#littérature de l'imaginaire
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havaforever · 1 year ago
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ANATOMIE D'UNE CHUTE - Brillant, Subtile, Captivant.
On peut dire d' Anatomie d’une chute de Justine Triet (Palme d'or 2023 amplement méritée) que c'est un film sur le réel, sur l'impossibilité de capter le réel, sur l'effort incessant de l'humain pour le comprendre.
C'est un film subtil et fort sur cette part manquante à laquelle nous nous heurtons tous, sur la façon dont nous comblons les failles, les pièces du puzzle qui nous manquent avec l’imaginaire. Nous accumulons les grilles de compréhension, comme des filets, que nous jetons sur le réel en espérant le capturer et il nous échappe toujours.
Nos grilles de lectures s'accumulent sans succès. Ici, cinq au moins se confrontent: la subjectivité de chacun, la psychanalyse et ses interprétations, la justice et ses enquêtes, la littérature et la fiction et bien sûr, le cinéma et sa manière de se jouer des images.
Ceci pour le réflexion générale qu'inspire ce magnifique film.
En ce qui concerne plus précisément le récit, un enfant, Daniel, retrouve son père, Samuel, mort devant la maison, alors qu'il revient d'une promenade. Seule sa mère, Sandra, était présente au moment de la chute. Mais elle dormait. Comment cet homme est-il mort ? Sa femme l’a-t-elle tué ? S’est-il suicidé ? Le film ne répondra pas.
Ce que Justine Triet met en scène, c'est le procès de cette femme trop forte, trop dure, trop fermée, trop libre surtout, et à travers ceux qui gravitent autour : la recherche incessante, universelle qui nous confronte tous à notre impuissance à accéder à l'absolue Vérité. Les avocats ne cessent de s'interrompre les uns, les autres, de s'attaquer ( exceptionnel duo d'acteurs pour les deux avocats, Antoine Reinartz en avocat général teigneux qui ne lâche pas sa proie et Swann Arlaud en amour de jeunesse transformé en chevalier servant).
Ils se renvoient mutuellement à la figure qu’un procès n'est pas le lieu de l'imaginaire, de la création, de l'invention, mais celui de la preuve réelle, irréfutable, de la pièce à conviction, du témoin à charge, le lieu de la reconstitution exacte des faits. Et pourtant, c'est ce qu'ils ne cessent de faire :" imaginer". Tout comme cette femme accusée qui est un célèbre écrivain. Tout comme son mari mort qui enregistrait sur son téléphone les scènes de leur vie quotidienne pour s'en inspirer pour écrire enfin un livre à son tour. Parce que "imaginer" c'est ce que l'humain fait de mieux et notre rapport au réel est un aller retour constant vers l'imaginaire.
Discussion percutante en plein procès sur la différence entre ce qui est "probable" et ce qui est "possible". On ne peut pas condamner une femme parce qu'une histoire est "possible", tant de choses sont possibles, mais pas davantage sur ce qui est "probable". Le probable, c'est ce qui serait crédible dans cette affaire, or nous ne sommes pas là pour croire en une version, le procès ne doit pas être le lieu de l'opinion, ni de la conviction, même de l' "intime conviction"( film génial d'Antoine Raimbault , en 2019). Il doit être le lieu de la vérité judiciaire et c'est un effort constant de se le rappeler et de souffler sur toutes ces images qui assaillent notre cerveau au cours du procès, tous ces films, tout ce petit cinéma qui se met en marche sans qu'on le veuille dans notre esprit.
Les experts et leur ton grave de scientifique se succèdent et donnent leurs versions possibles des faits qui sont aussitôt démenties par d’autres expertises, d’autres hypothèses. Le psychanalyste du défunt, à son tour, vient à la barre et témoigne contre l'épouse. Il donne sa version du réel, celle qu'il a bâtie séance après séance dans son cabinet en écoutant son patient et l'accusée s'insurge : depuis quand confond-t-on l’interprétation psychanalytique et le réel? La vérité des faits et le ressenti du sujet qui s'exprime sur un divan? Le psychanalyste n'est pas un enquêteur, il ne recherche pas la vérité mais à comprendre son patient pour le soigner. Il ne sait que ce qu’a bien voulu lui dire son patient, le réel passé au crible de sa subjectivité et de sa souffrance. Il ne connaît rien, au fond, de la vie objective de ce couple…
On tourne autour de la vérité, on ne la connaît pas. La caméra ne nous montre que des subjectivités en concurrence, elle accroît le doute. On ne pourra s'appuyer que sur des photos du couple et une scène de dispute exceptionnelle. Une scène qui montre sans hésitation possible que ce couple allait mal mais que cet homme allait mal aussi. Cette scène de dispute, où la souffrance de Samuel est au coeur de ce qui les oppose, lui, la rendant responsable de cette souffrance, elle, le renvoyant à sa propre responsabilité face à son sentiment d'échec, peut nous faire autant pencher vers l’idée du suicide que vers celle du meurtre. Comment trancher?
C'est un couple qui ne se supporte plus et l’on voit qu'entre eux deux non plus, il n’y a pas de vérité. Ils ont beau crier, se gifler, briser des verres, personne ne l'emporte. Ils disent tous les deux la vérité. La vérité, c’est qu’ils ont vécu une tragédie, leur enfant a été victime d'un accident qui l'a rendu malvoyant et comme l’enfant était sous la responsabilité du père ce jour-là, c'est lui qui en porte la culpabilité. Il ne s’en est pas remis. Elle, si. Peut-être un peu trop bien, et en définitive ce serait ce dont elle est accusée. Elle a continué à vivre, écrire, aimer. Il s'est effondré. C’est une économie. Un équilibre. Et il la hait de cela.
Il la hait de sa force, jouée remarquablement par Sandra Hüller. Elle est inaccessible à la culpabilisation. Elle refuse de porter sur elle son échec à lui. Elle refuse de se flageller car elle est un écrivain à succès et qu'il n'a pas réussi à écrire son roman. Elle le tue à petits feux, c’est vrai, par ce qu’elle est : sa dureté, sa résistance, son absence de culpabilité, sa force, sa réussite, son appétit de vivre, son appétit sexuel qui la pousse à chercher ailleurs ce qu'il ne lui donne plus. Mais peut-on dire qu'elle ait tort? Est-ce faux que Samuel s’enferme dans une position de victime et d’échec, car il a peur de vivre, d'écrire, de s'exposer? et s'il l’étouffe de ses reproches, de sa jalousie, de ses complexes, de sa culpabilité n'est-ce pas pour l'entraîner dans sa chute précisément?
Et l’enfant est au milieu de cet affrontement où personne n'a tort, personne n'a raison. Et comme tout enfant face à un couple qui se déchire sous ses yeux, procès ou non, il est en position de juge, d’enquêteur, il veut comprendre. Qui fait du mal à qui ? Pourquoi tant de souffrance sous son toit ? Et il n’a pas toutes les pièces car il n’est qu’un enfant. Et il est "heurté" comme il le dit à la juge. On voudrait l'épargner mais c'est trop tard. Juger ses parents n’est pas sa position. Et la vie l'assigne pourtant à cette place.
Tel Oedipe à la fin de son enquête chez Sophocle, l’enfant du film est malvoyant. La cécité est à la fois le drame de cette famille, l’accident originel qui déchire ce couple, mais c’est aussi métaphoriquement l’impossibilité de voir le monde des adultes, l’enfant n’a pas les ressources pour juger ses parents. Il est dans le noir, comme nous tous face au réel, et il décide de sauver sa mère. Dans un geste précisément œdipien. Il n’est pas sûr de ce qu’il dit pour la sauver mais il suit son cœur. Puisqu’on ne pas comment la chose est arrivée, dit l'enfant, on peut au moins se demander pourquoi elle serait arrivée. Pourquoi la mère aurait-elle tué le père ? Il ne trouve aucune raison à cela. Pourquoi le père se serait-il suicidé ? Ça oui, il peut se le figurer. L’avocat général n’est pas convaincu. Mais c’est pourtant l’être qui vivait au plus près de ce couple, les connaissait le plus intimement qui parle et qui dit ce qu’il sent.
On ne saura jamais la vérité exacte de cette histoire, tout comme nous ne parviendrons jamais à pénétrer les secrets du réel qui recule dès que nous avançons. Nous ne connaîtrons que l'acte de cet enfant, celui de sauver sa mère. L'avant dernière image du film est très évocatrice à ce titre, les bras de l'enfant s'ouvrent et reçoivent la tête de la mère dans un geste extrêmement paternel et protecteur. Son visage s'approche et il baise ses cheveux. Face aux limites de la raison, la seule vérité, peut-être, alors, est-elle celle du désir de vivre au delà de tout ce qui est depuis toujours déjà mort?
NOTE 17/20 - Palme d'Or largement mérité pour un film magnifiquement filmé, juste, sensible et passionnant.
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through-the-trees-rpg · 2 years ago
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ambiance & inspirations.
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Through The Trees | Ici, vous plongerez dans la petite ville ensommeillée de Boring, Oregon, dont les mauvaises langues diront qu'elle porte bien son nom. Pour imaginer la vie dans cette bourgade, aux parfums de feux de cheminée et de pétrichor, nous vous proposons un petit aperçu des inspirations et esthétiques qui ont accompagné sa création.
keywords: dark forests ; bigfoot ; vhs tapes ; camping ; old newspapers ; flannel shirts ; backpacks ; velvet curtains ; abandoned railway ; short horror stories ; night at the diner ; fog ; strange footprints ; campfires ; rural exodus ; broken neons ; moss and mushrooms ; hiking trails : sawmills ; flying saucers.
☄️  Un forum 'slice of life' dans les 90s D'abord, et avant tout, Through The Trees se veut un forum tranche de vie, où l'on explorera les vies quotidiennes des habitant·e·s, leurs relations, leurs émotions. Ici, faites la part belle aux dramas ordinaires, aux retrouvailles et aux déchirements. Car, à Boring, tout le monde se connaît ; et les secrets ne le restent jamais bien longtemps. Pour retranscrire cela, vos personnages pourront rejoindre une, ou plusieurs, communauté(s) de votre choix. La petite ville, qui a connu son heure de gloire dans le passé, se trouve désormais au ralenti, comme figée par le brouillard qui règne en maître sur les lieux. Par ailleurs, le forum se situe en 1992, et nous ne pouvons que vous encourager à vous plonger entièrement dans cette ambiance de fin de vingtième siècle, avant que la photographie argentique, les radios amateures et les cabines téléphoniques ne sombrent dans l'oubli. A noter : le forum n'a pas vocation à être un rpg tourné vers les gangs ou la mafia. Si l'on y trouvera une communauté de bikers, ainsi qu'un speakeasy, le contexte n'en reste pas moins tourné vers la simplicité, propre à la vie de la petite ville qu'est Boring.
☄️  Une esthétique ancrée dans la nature environnante Nous souhaitons inscrire Through The Trees dans le genre du nature writing, qui désigne une littérature profondément ancrée dans les grands espaces, notamment américains, où les personnages évoluent dans un cadre naturel particulièrement scénique, prépondérant dans les récits. Nous plongerons ici dans le pacific northwest, qui comprend généralement les états de washington, de l'idaho et de l'oregon aux états-unis, et la colombie-britannique au canada. L'imaginaire y est tourné vers les immenses forêts de conifères (on parle d'evergreen), qui recèlent de nombreux mystères. Si le forum n'est pas à proprement parler surnaturel, cette ambiance planante, nappée de brume et de fantasmagories, infusera à travers lui.
☄️  Folklore local & phénomènes paranormaux Vous l'aurez compris, dans un endroit comme Boring, les légendes locales ont toute leur place : observations de soucoupes volantes, apparitions de bigfoot, disparitions mystérieuses dans les bois... Au village, on raconte beaucoup d'histoires, et que l'on y croie ou non, elles imprègnent profondément la culture de celles et ceux qui vivent ici. En terme d'esthétique, on parle de cryptidcore, qui peut désigner la quête romantisée de créatures et de phénomènes surnaturels, une passion qui habite certain·e·s de ceux qui vivent ici, voire qui se rendent à Boring à cette fin. Là encore, rien ne prouve leur existence (mais rien n'indique le contraire...) et dans cette petite bourgade, tout le monde a un avis sur la question.
inspirations: twin peaks ; life is strange ; stranger things ; indian creek...
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ondessiderales · 14 days ago
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Histoire éternelle
« Le conte, qu'il soit oral ou écrit, a constitué l'un des supports privilégiés de la psychanalyse.
La raison en est que, comme le mythe, le conte semble toucher au plus profond du fonctionnement de la psyché humaine : issu de l'imaginaire collectif, il est pétri de symboles qui en font un objet particulièrement riche du point de vue psychanalytique. Nicole Belmont a montré que si le conte et le rêve sont des objets très différents, ils fonctionnent néanmoins de manière similaire : l'interprétation des rêves étant l'un des principaux outils de la psychanalyse, il faut dès lors s'attendre à ce que le conte, objet voisin, engage nombre d'interprétations psychanalytiques. »
L'apport freudien
« Le travail de l’interprétation psychanalytique a débuté avec l’apport de son créateur Sigmund Freud. Il développe plusieurs axes autour de :
une théorie de culture arguant que les contes populaires sont le résultat de compromis entre les différentes instances de la vie psychique.
une théorie du développement de la personnalité humaine évoquant une évolution depuis la sexualité polymorphe de la toute-petite enfance jusqu’à la génitalité adulte en passant par de nombreuses épreuves à résoudre comme le complexe d'Œdipe.
une théorie des processus inconscients où le fantasme, l’accomplissement d’un désir jouant un rôle dans l’élaboration de récits fictifs, notamment dans les contes populaires : fantasme de retour au sein maternel avec l’enfant caché par la femme de l’Ogre, fantasme de la scène primitive avec la chambre interdite de Barbe-Bleue, fantasme de séduction avec Peau d’Âne. »
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Jung et les jungiens
« Aux théories freudiennes, les Jungiens ajoutent que les personnages et les événements représentent des phénomènes psychiques archétypaux qui nécessitent une maturation obtenue par l’inconscient personnel et collectif à la personnalité individuelle. Pour Marie-Louise von Franz, continuatrice de l’œuvre de Jung, les contes s’attachent au processus d’individuation. Ces processus s’attardent au stade qui concerne l’intégration de l’ombre (l’aspect primitif et instinctif). D’autres à l’expression de l’animus et de l’anima (principe féminin et masculin que l’on rencontre chez tout homme et toute femme). D’autres s’attardent sur l’image du père et de la mère ou encore sur la quête du trésor inaccessible.
Le travail fourni par Clarissa Pinkola Estés à partir du patrimoine de contes populaires, de fables et de mythes, et partant de l'interprétation psychanalytique de l'école de Carl Gustav Jung apporte une contribution originale à l'argument ainsi qu'une clé de lecture de celui-ci sans doute plus accessible et plus contemporaine. »
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Bruno Bettelheim et la fonction psychanalytique du conte
« Bruno Bettelheim dans son ouvrage Psychanalyse des contes de fées démontre que le conte merveilleux a une place importante dans l’apprentissage de la maturité en s’adressant simultanément à tous les niveaux de la personnalité. Il nous dit que les contes rassurent les enfants en leur montrant que leurs fantasmes ne sont ni uniques ni monstrueux. Nombreux sont les chercheurs qui produisent à partir des objets de l’oralité. Des centres de recherche existent dans de nombreuses universités, ils sont l’occasion de travaux d’analyse et de compréhension de ces objets. Des études apparaissent aussi aujourd’hui sur l’utilisation des contes, leurs fonctions thérapeutiques, éducatives initiatiques ou pédagogiques. Les universités de littérature, de communication, de sciences sociales (sociologie, anthropologie etc.), prennent de plus en plus en compte la place du conte, des récits et des mythologies dans leurs travaux. »
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Je vous propose ici une ébauche d'analyse littéraire et psychanalytique du conte-type, ce que l'on pourrait appeler « l'âme du conte », le conte universel.
Les deux protagonistes (les deux héros) :
La bergère et le ramoneur La belle et la bête Cendrillon et Peter Pan / Robin des bois Le chat et le chien (le renard) La petite princesse et le petit prince
Mêmes facettes du couple mythique Mêmes facettes de l'homme et de la femme héroïque qui sommeille en chaque petit garçon et en chaque petite fille Un symbole de pureté absolue
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L'antagoniste :
Le méchant roi La mauvaise marâtre Le mauvais père Le grand méchant loup
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La trame :
Acte 1 Le petit prince et la petite princesse ne sont encore que des enfants. Des enfants innocents, des enfants d'un milieu humble, des enfants de rien. Mais dès leur prime jeunesse ils s'aiment sans en avoir conscience, jusqu'à leur séparation et leur chute tragique du paradis perdu de l'enfance.
Acte 2 La vie est cruelle envers les innocents. Les méchants, riches et impitoyables, renforcent toujours plus leur emprise sur la société et leur cruauté. Ils méprisent et humilient les innocents, les renvoyant à leur condition sociale modeste et à leur impuissance.
Acte 3 Maintenant adultes, humiliés par la vie mais n'ayant jamais cédé au fond d'eux-mêmes, la vérité qui sommeille au fond des innocents se met en mouvement. Le monde, toujours plus injuste, poussé par l'appel à l'aide inconscient de la petite Princesse, inspire la révolte au petit Prince, ce sauvage des forêts que l'on méprisait, ce Robin des Bois. Sa révolte inspire l'espoir à la petite princesse qui tombe folle amoureuse de lui, et qui elle aussi se révolte contre cet ordre injuste, symbolisé par une autorité paternelle despotique et décadente. Sa rencontre avec le Prince, lui aussi follement amoureux d'elle, lui donne le courage de mettre définitivement fin à l'ordre ancien.
Acte 4 Confrontation entre le Bien et le Mal. Le Héros, avec l'aide de la Princesse et avec le soutien de la population maintenue sous le joug du mauvais Roi, remporte le combat contre lui et ce qu'il symbolise, un monde injuste et décadent. Symboliquement, il tue le Père et libère la Fille. Métaphoriquement, le Chien (le Renard) triomphe du Loup.
Acte 5 Les Héros triomphent au grand jour et leur vraie valeur éclate aux yeux de tous : ils ont engendré la Libération, ramenant la paix sur le royaume. Le mariage de la Princesse et du Prince est célébré dans le pays entier, et leur union, célébrée comme un symbole absolu de pureté. Ils sont devenus l'allégorie du Bien triomphant sur le Mal. À eux-deux, ils forment le mythe, le conte universel.
L'histoire éternelle.
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Crédits : artistedudiamant.com
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mollat-bordeaux · 30 days ago
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À l'occasion du mois de l'imaginaire et des futures élections présidentielles américaines nous vous invitons à découvrir notre sélection d'ouvrages autours des États-Unis à travers des essais et des textes de littératures réelles et imaginaires.
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jeremycircus · 3 months ago
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Une critique à découvrir sur Babelio : Tadzio: Mourir à Venise de
Une critique à découvrir sur Babelio : Tadzio: Mourir à Venise de
https://www.babelio.com/livres/-/1693666/critiques/4056245
TADZIO Mourir à Venise est un livre étonnant. J'ai la chance de connaître l'univers cinématographique de Jérémy Niels Circus (par ailleurs réalisateur), il ne pose jamais de frontières entre le réel et l'imaginaire, le roman et le conte, la vraie vie et la vie rêvée. Tout se mêle à se confondre. Dans cet essai, il retourne sur les traces du film mythique Mort à Venise et va à la rencontre des deux Tadzio, le héros du livre de Thomas Mann et l'acteur qui l'a incarné à l'écran Bjorn Andresen. Les deux entrant dans un dialogue à travers temps. L'enfermement du héros dans la littérature faisant miroir à la tragédie de l'acteur déclaré le plus beau garçon du monde. L'ombre portée par Thomas Mann et Luchino Visconti est immense, Jérémy Niels Circus trouve un chemin lumineux, une place particulière en abordant avec force les thèmes du règne de la beauté, de la puissance du cinéma et du passage du temps sur les œuvres et les êtres. Les héros de roman et les acteurs de cinéma accèdent-ils à l'éternité ou sont-ils condamnés à errer pour toujours dans leur œuvre ? Quelle est pour nous la frontière entre vivre sa vie et la rêver ? Les réponses sont multiples, vastes, intérieures. Le style est sobre, l'écriture précise. L'inspiration est à la fois poétique et philosophique. Des photos de l'auteur (par ailleurs photographe) illustrent le propos, l'amplifient et le magnifient. On est emporté dans ce voyage comme on l'est par la ville éternelle de Venise. L'essai invite à se replonger dans les deux chefs d'œuvre. Merci à Jérémy Niels Circus pour cette invitation au voyage et pour ce livre rare, passionné et passionnant.
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nicolasbaudoin · 6 months ago
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Maisons d'édition présentes au Salon des petits éditeurs (sic) indépendants n°2 à Rabatens
éditions crise et critique (albi, tarn, occitanie) / théorie critique du capitalisme-patriarcat / albi / hobo diffusion - makassar distribution
heliotropismes (marseille, provence-alpes-côtés d'azur) / littérature marginale (pas de ligne éditoriale) / paon diffusion - serendip distribution
éditions isabelle sauvage (plounéour-ménez, finistère) / poésie, littérature, livres d'artiste, atelier de typographie / autodiffusion - autodistribution
la volte (clamart, île-de-francce) / croisementre entre littérature de l'imaginaire (SF) et blanche / gallimard CDE diffusion - SODIS distribution
les éditions du bout de la ville (mas-d'azil, arrièges, occitanie) / littérature-témoignage-essai sujets sociaux /  autodiffusion - autodistribution
les fondeurs de brique (saint-sulpice-la-pointe, tarn, occitanie) / littérature et musique, anarchiste/marxiste / diffusion & distribution par les belles lettres
lufthunger (toulouse, occitanie) / club d'écrivains qui veulent se faire publier, pulp... / autodistribution & autodiffusion
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lecoeurdelabime · 7 months ago
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La littérature - ce mariage de l'art et de la pensée, cette réalisation qui ne vient pas souiller la réalité - m'apparaît comme le but vers lequel devraient tendre tous les efforts de l'être humain, s'il était vraiment humain, et non pas une excroissance superflue de l'animal. Je crois que dire une chose, c'est lui garder toute sa vertu, et lui ôter son pouvoir terrifiant. La campagne, évoquée par des mots, devient plus verte que ne l'est sa propre verdure. Si l'on décrit les fleurs en phrases qui les dessinent dans l'espace de l'imaginaire, elles ont alors des teintes qui sauront durer bien plus que ne le permet la vie cellulaire.
Fernando Pessoa, le livre de l’intranquillité
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pierrotdameron · 1 year ago
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Chambéry, le 30 octobre 2023. Communiqué de presse. Le groupe éditorial Salomon-Sansonnet et Pollen Diffusion ont le plaisir de vous annoncer la reprise des éditions Actusf, spécialisées dans les littératures de l'imaginaire. Deux mois après leur dépôt de bilan, le tribunal de commerce de Chambéry a choisi cette offre pour la continuité de leurs activités. Nous allons tout de suite nous mettre au travail pour créer la société "Les nouvelles éditions Actusf" et pour que les livres soient de nouveaux disponibles en librairies le plus rapidement possible, en concertation avec les auteurs et les autrices. Nous sommes déjà en train de réfléchir à un programme éditorial pour de nouveaux titres au printemps 2024, en concertation avec Jérôme Vincent qui est associé à notre projet. La distribution sera assurée par Pollen et la diffusion par CED CEDIF. Le groupe éditorial Salomon-Sansonnet vient de voir le jour, après la reprise par ses deux fondateurs, Laura Salomon et Nicolas Sansonnet des éditions La Part Commune. Pollen Diffusion investit pour la première fois dans une maison d'édition, en cohérence avec les valeurs de soutien et de défense de l'édition indépendante. Pollen Diffusion assure la distribution d'éditeurs indépendants depuis 2004. S'ouvre désormais une phase de reconstruction, d'échanges et de cogitations. Nous sommes toutes et tous très enthousiastes face à ce nouveau défi.    A très vite pour de nouvelles informations. Laura Salomon, Benoît Vaillant, Nicolas Sansonnet, Caroline Hermoso, Jérôme Vincent
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decostatue · 1 year ago
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Achille : Légende et héros de la mythologie grecque
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Dans la riche mythologie grecque, une figure se distingue par son courage, sa force et sa destinée tragique : Achille. Ce héros légendaire a joué un rôle central dans la guerre de Troie, marquant l'imaginaire collectif par sa puissance et sa quête de gloire.
Origines et naissance d'Achille
Selon la mythologie, il est le fils de Thétis, une déesse marine, et de Pélée, le roi des Myrmidons. Dès sa naissance, il bénéficie d'un statut exceptionnel en raison de ses origines divines. Toutefois, sa mère Thétis, consciente de sa destinée tragique, plonge Achille dans les eaux du Styx, le rendant invincible, à l'exception de son talon, par lequel elle le tenait.
L'éducation d'Achille
Pour préparer Achille à son rôle futur, il est confié à Chiron, le centaure sage et savant. Chiron lui enseigne les arts de la guerre, la chasse, mais aussi la musique et la médecine. Ainsi, Achille développe des compétences exceptionnelles, alliant force, rapidité et courage, faisant de lui l'un des plus grands héros de son époque.
La guerre de Troie
Il est étroitement associé à la guerre de Troie, un conflit épique entre les Achéens et les Troyens. Son rôle central dans cette guerre est marqué par une querelle avec Agamemnon, le roi des Achéens. Cette dispute entraîne la colère d'Achille, qui décide de se retirer du combat. Privés de son leadership, les Achéens subissent de lourdes défaites face aux Troyens. Cependant, Achille, profondément affligé par la mort de son ami Patrocle, revient sur le champ de bataille avec une vengeance implacable. Il tue Hector, le prince troyen, en représailles, contribuant ainsi à la chute imminente de Troie. Son courage et sa détermination inspirent les autres guerriers, et son nom devient synonyme de bravoure sans pareille.
Le mythe d'Achille et la mort
Malgré sa quasi-invulnérabilité, il n'échappe pas à son destin tragique. Selon la légende, il est frappé par une flèche décochée par Pâris et guidée par le dieu Apollon. Cette flèche atteint son talon vulnérable, sa seule faiblesse, entraînant la mort du grand héros. Après sa mort, une rivalité émerge entre Ajax et Ulysse pour obtenir l'armure d'Achille, symbole de sa puissance. Finalement, c'est Ulysse qui la remporte, grâce à sa ruse et à son éloquence. il est honoré par des funérailles grandioses et reste à jamais gravé dans les mémoires en tant que héros légendaire.
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Héritage et représentations d'Achille
L'héritage d'Achille se perpétue à travers les siècles. Sa figure puissante et tragique a inspiré de nombreux écrivains, artistes et cinéastes. Des œuvres littéraires telles que l'Iliade d'Homère ont contribué à la renommée d'Achille, tandis que des peintures et des sculptures grecques représentent souvent ses exploits et sa mort. De plus, l'expression "le talon d'Achille" est devenue courante pour décrire une faiblesse ou une vulnérabilité dans le langage courant. Ainsi, il continue de vivre dans notre culture collective, témoignant de la puissance intemporelle des mythes grecs. Conclusion Achille demeure un héros emblématique de la mythologie grecque, dont le récit de vie captivant et tragique continue d'exercer une fascination sur les générations successives. Son rôle central dans la guerre de Troie, ses exploits légendaires et sa mort tragique en font une figure inoubliable de l'histoire et de la littérature. En explorant les récits de la mythologie grecque, nous découvrons des personnages tels qu'Achille, qui ont le pouvoir de nous inspirer et de nous enseigner des leçons universelles sur la condition humaine. Read the full article
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songedunmatindhiver-iii · 1 year ago
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Il y a d'abord des traits finement ciselés, une peau tendue et lisse, éternellement figée dans le temps de la jeunesse. Une mâchoire carrée au menton brisé. Un sourire qui s'étire malicieusement sans remonter, signe de défi envoyé à l'existence. Un regard d'aigle qui darde l'insolence de celui sûr de ses facultés.
Cet homme spectaculairement beau ne retiendrait que brièvement l'attention si son visage ne semblait crispé par une inquiétude fugace, s'il n'était creusé par une intranquillité qu'il tentait vainement de dissiper en tirant nerveusement sur sa cigarette comme il tirait sur la vie, si un feu ardent ne crépitait dans ses yeux alertes. Julien Gracq, son professeur au lycée Claude-Bernard, le rassembla dans cette formule brillante: «Il rappelait obstinément le plein vent». Tout Huguenin tient dans ces trois mots: le plein vent.
La littérature réserve aussi ses foudroiements. Le nom d'un écrivain entre distraitement par une oreille, l'œuvre s'entame sans appréhension, une trame agrippe l'attention, un style séduit, le temps s'éclipse et il arrive qu'une collision se produise entre le lecteur et l'auteur tapi dans l'ombre de l'œuvre. Le journal, qui est un exercice de mise à nu, facilite cette rencontre singulière car il le révèle intimement.
Une attitude face à l'existence, des perceptions du monde extérieur, un tempérament nervuré d'élans, de sentiments, de peurs font résonner chez le lecteur attentif de profonds échos. Par le seul truchement des mots, un inconnu semble extraordinairement proche. Le Journal de Jean-René Huguenin évoque la fameuse charge de cavalerie de Murat à Eylau.
Ses phrases tirées au cordeau, précocement empreintes de cette belle gravité que seuls détiennent d'ordinaire les écrivains éprouvés, exultent et insufflent une telle soif de vie qu'elles en deviennent audibles. Quand on le lit, on entend instantanément sa voix, qui vibre encore longtemps à l'oreille après que l'on a relevé les yeux. Son écriture est un rugissement continuellement renouvelé par une incomparable vitalité — «Jetez-vous dans la rue, dans la vie, dans le monde, la tête bien haute et le corps exposé.» Nous aurions été à lui ce que Cassady était à Kerouac. Nous l'aurions regardé avec admiration, lui, armé de tous les dons, se consumer «comme une chandelle romaine»; et nous l'aurions aimé.
Son unique roman, La Côte sauvage, est une manifestation éclatante de prose poétique. Suzanne Julliard associait celle-ci, avec beaucoup d'à-propos, aux vers des Djinns de Victor Hugo: «Un chant sur la grève, par instants s'élève (…)». Dans leur prose, Chateaubriand et Proust brodent minutieusement leur poésie et l'ornent de multiples précisions. À l'inverse, Huguenin progresse en usant d'un style elliptique, comparable à celui de Céline.
Chez ces deux écrivains, on retrouve cette même émotion tenue en bride, distillée par phrases coupées, qui nous retrousse les lèvres, cet art d'esquisser le sentiment par l'allusion. C'est une littérature suggérée — et donc éminemment poétique. La prose de Céline est un chant funèbre tandis que celle d'Huguenin est un chant d'une joie tragique — «Faire du sentiment tragique de la vie non pas une raison de désespoir, mais la source de son exaltation.» Huguenin est un Céline solaire qui a intensément aimé les vives clartés d'un été trop court.
Tous deux fissurent la distinction formalisée par Sartre entre le prosateur qui se sert du langage et le poète qui le sert. Les chants célinien et hugueninien ne sont pas qu'utilitaires, ils ne vont pas droit au but, ils prennent des chemins détournés qui s'adressent à l'imaginaire et servent la langue. En lisant La Côte sauvage, on est écartelé entre la description poétique des journées d'été dans le décor breton et le caractère dérangeant de l'intrigue. Les deux hommes ont également ceci en commun d'être agacés par une légèreté indifférente d'après-guerre.
Quand Céline dit: «Qu'ils étaient lourds.» , il fait allusion aux préoccupations matérialistes de ses contemporains et à leur passion du mouvement frénétique et dérisoire. Huguenin écrit que ce qui n'est pas grave non seulement l'ennuie mais lui fait de la peine, et qu'il éprouve devant la légèreté «une sorte de chagrin d'enfant». La superficialité leur est pesante.
On entend distinctement la voix d'Huguenin parce qu'il rugit, mais aussi parce que ses positions littéraires et politiques dissonent dans un temps de libération des mœurs; et qui continuent de dissoner, avec encore plus de clarté, dans notre époque où cette libération s'aggrave. Il s'étonne de l'optimisme de ses aînés à l'égard de ce nouveau défoulement sexuel. Il est effaré de lire que ceux-ci s'applaudissent d'avoir relevé le défi rimbaldien («L'amour est à réinventer.») L'auteur de La Côte sauvage pense, à l'inverse, qu'aujourd'hui «l'entreprise hardie, insensée, mais peut-être enfin libératrice, ce serait de parler d'amour».
Il écrit que sa génération «commence à être lasse de cette civilisation sans mystère qui prétend lui donner réponse à tout et lui apprendre à ne croire qu'à ce qui se voit, se touche ou se compte. Elle est lasse de posséder si facilement les corps et de perdre, par cette facilité même, l'espoir d'une jouissance plus délicate, qu'elle n'ose pas appeler l'amour. Elle est lasse de ne sentir battre son cœur qu'une trentaine de secondes, sur un lit à peine froissé, le soir même de la première rencontre; (…) et dans le secret de son cœur déchiré, méconnu, elle rêve de béatitudes plus durables».
La critique formulée par Huguenin de la conception moderne de l'amour et, surtout, de la conception moderne de la vie, se prolonge dans celle qu'il fait de la Nouvelle Vague. Il «règle son compte» à ce «mythe» en fustigeant le dégoût du monde, la tristesse de jouir et la fatigue de vivre de ses héros. Michel Poiccard dans À bout de souffle, interprété par Jean-Paul Belmondo, en est une illustration.
On a beaucoup vanté la «fureur de vivre» des personnages archétypaux de cette époque — Sagan, par exemple, qu'Huguenin écorne à plusieurs reprises —, mais ils semblent plutôt habités d'une fureur de se fuir, une fureur face à leur insensibilité et leur ennui qu'ils comblent par des succédanés d'existence: l'alcool, la vitesse, «tout ce qui grise, fait tourner la tête et fermer les yeux». À rebours, Huguenin détestait la dispersion. Son Journal est traversé par une lutte perpétuelle avec lui-même pour échapper à la facilité, la faiblesse et l'indifférence.
Son exigence envers lui-même était impitoyable. Il voulait à tout prix se résister, se vaincre. Il recherchait la compagnie de la solitude et de la souffrance pour mieux descendre en lui et bâtir son œuvre. À l'heure où nous laissons la tyrannie du divertissement distraire nos vies et éventrer nos résolutions, Huguenin se dresse comme un rappel à l'ordre salutaire.
Aymeric de Lamotte à propos de Jean-René Huguenin, Le Figaro.
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tynatunis · 2 years ago
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Ce jeudi matin je vous fais visiter un appartement newyorkais inspiré par la littérature et l'imaginaire américain des appartements français des Années 40. Un appartement conçu pour une famille avec deux enfants. La propriétaire a fait appel à une grande amie architecte designer réputé Lauren Buxbaum Gordon associée du Cabinet Naten Berkus. Un appartement présenté sur Elle Decor #Repost @elledecor Calm and inviting could be two words to describe the primary bedroom in a stylish Manhattan home designed by Lauren Buxbaum Gordon (@laurenbuxbaumgordon) of Nate Berkus Associates (@nateberkus). “In our minds it feels very classic French 1940s,” the designer notes. One elegant corner features a 19th-century French boudoir chair from @hollispasadena and a 19th-century gilded Gustavian mirror from @selected.design.antiques. Written by @davidbryannash. Photographed by @sans.murs. https://www.instagram.com/p/CnTmiMEthPS/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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lagendageek · 2 years ago
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Le Festival de l'Imaginaire de Puylaurens 2022 aura lieu à Puylaurens (81) du 10 au 11 décembre 2022. Festival à l'ambiance familiale. Retrouvez tous les Imaginaires : Med-Fantasy Steampunk SF Historique Geek - Littérature - Artisanat - JDR - Rétro-gaming - Animations Culturelles Le Festival de l'Imaginaire de Puylaurens 2022, c'est du partage autours des auteurs, illustrateurs, libraires, créateurs, les univers Med-fantasy, rétro-futuristes, sci-fi et geek, de Harry Potter à Star Wars, où vous pourrez jouer au rétro-gaming, JDR et à de nombreuses animations pour petits et grands dans une ambiance familiale et chaleureuse. On vous donne rendez-vous les 10 et 11 décembre 2022 à la halle aux grains pour la seconde édition sur le thème "Idée et Portrait" A propos de Chitra L'association fut fondée en 2018 mais les activités de ses membres remontent à au moins 2014. Depuis le Steampunk qui est notre passion commune, nous rayonnons vers tous les univers imaginaires, tels des voyageurs intemporels ! Retrouvez l'actualité de l'association sur son site web officiel : https://mrfogg24.wixsite.com/mrfoggs-patio  
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rainbowtheque · 6 years ago
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B.
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Titre : B.
Autrice : Mathilde Sanson
Roman
Genre : fantastique
Auto-édition - Disponible en version numérique (2 tomes parus)
Âge conseillé : A partir de 14 ans
Résumé
Bienvenue en enfer ! ... ou bien au paradis ? Douze hommes et femmes se réveillent dans un manoir dont les pièces changent selon le bon vouloir d'un maître des lieux capricieux. Après quelques quiproquos, les nouveaux "colocataires" comprennent qu'ils viennent tous d'une époque historique différente, du Néolithique à l'an 5032. Comment vivre avec des personnes qui ne comprennent pas votre façon de penser et vos habitudes ? Comment retrouver la mémoire alors que chaque tentative de se souvenir de son passé provoque des visions d'horreur et des cauchemars ? Philémon, Anna et les dix autres vont devoir s'entendre, vivre ensemble et tenter de comprendre ce que leur veut le maître des lieux. Premier tome d'une duologie. Laissez-vous tenter !
Identités représentées :
Un personnage gay
Thématiques présentes :
Histoire, voyage dans le temps
Avis de Jamesina :
Douze personnes d'époques différentes qui se retrouvent enfermés dans le même manoir sans avoir aucune idée de comment ils sont arrivés là... C'est l'idée de base de ce roman qui passe sans cesse d'un point de vue à un autre. C'est très prenant et si le livre est un peu gros, on ne le lâche pas pour autant. On en apprends beaucoup sur les différentes parties de l'histoire, met en comparaison certaines choses et surtout, on passe son temps à tenter de reconstituer les puzzles de la vie de chaque individu, à partir des miettes laissées par ci par là. Un livre au dénouement surprenant. 
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asturn · 5 years ago
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Lise,
Libraire spé manga et jeunesse/young adult,
Éditrice de romans de l’imaginaire (SF & fantasy),
Lectrice passionnée de young adult, fantasy, de manga (SNK, Tokyo Ghoul, Nana, Shadows House ♥)
Autrice de quelques textes de fantasy urbaine et de fantasy, plutôt jeunesse.
Fascinée par les coquelicots, les personnages arrogants et torturés, les histoires de possessions et les démons, la puissance des chevaux, les réactions naturelles des gens, le rouge et le blanc, les relations entre les individus, la soie...
L’impression de déambuler dans un monde que je ne parviens pas vraiment à saisir. Peut-être est-ce pour ça que je lis et j’écris.
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wyrd-rpg · 4 years ago
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6persoschallenge
de @mysterious-corvidae
Mieux vaut tard que jamais ! Je voulais tout poster en une fois finalement, donc maintenant que tout est fait, c’est parti !
Je n'ai pas beaucoup voyagé dans la toile du rpg, donc les 3 premiers persos sont issus du même forum. Logique quand je réalise que ça fait 12 ans que je rp dans cet univers, avec une petite dizaine de persos pour celui-ci. Contexte urban fantasy avec créatures connues et inventées.
→ Perséphone | 40 ans | Katheryn Winnick – Slaying the Dreamer
Il s'agit du personnage que j'ai joué le plus longtemps, 7 ans bien qu'elle ait eu droit à une refonte.
Persé, c'est le genre de perso qui pense faire le bien mais s'aveugle de sa justice partiale. Elle ne veut pas admettre les problèmes de ses raisonnements, elle aura toujours une réplique à première vue pleine de bon sens. Elle veut servir de relais pour les victimes, les défendre, porter leur voix parce qu'elle cache elle-même des blessures qui ne sont, après des années, toujours pas cicatrisées. Comme elle s'est endurcie, elle veut se battre pour ceux qui n'en ont pas les moyens.  Sauf qu'elle veut tellement protéger qu'elle en perd de l'empathie pour les créatures qui, d'après elle, sont dangereuses, même si elle ne veut « que » leur faire renoncer à leur essence fantastique. Son don y a également contribué : ses cibles font des cauchemars qui mettent en évidence leurs noirceurs, et leur vision lui était imposée si elle dormait en même temps. Progressivement, elle perdait foi en l'humanité, accablée par la violence de ce qu'elle vivait au travers du subconscient d'autrui.
→ Abel | 36 ans | Jason Momoa - And it feels like I’m dying inside
C'est sans doute celui qui m'a le plus touché, dont les rps m'ont le plus ému. C'est aussi le seul vampire que j'ai joué, pas trop attiré par ce mythe à la base.
Marié, père de deux enfants, il mène une vie simple jusqu'à ce qu'on le transforme. Il se réveille à l'hôpital dans l'ignorance collective : aliéné par sa transformation, il attaque ceux qu'ils croisent dont sa fille. Il sera envoyé dans la prison de la ville d'à côté, ville vivant en connaissance de cause avec le surnaturel. Abel est persuadé d'avoir tué son enfant et tombe dans la dépression. Un traumatisme de son enfance le pousse à s'accrocher et, plus tard, suite à l'évolution de l'intrigue qui a révélé les secrets, il fait alliance avec les autorités. En échange de la protection pour sa famille (qu'il n'a pas vue depuis deux ans), il leur sert de taupe. Il a la conviction d'avoir détruit sa famille et n'espère même pas la retrouver. Pour lui, il est déjà mort. Il joue le rôle d'un jeune vampire désemparé (ce qui est aussi vrai), à l'écoute pour mieux glaner les informations auprès de ses pairs. Derrière ses mots aimables et ses blagues, il camoufle la haine qu'il ressent pour eux. Pour lui et le monstre qu'il est devenu à ses yeux. Il découvrira dans un RP que sa fille a survécu et que sa famille l'attend, apprendra même que son épouse se bat pour lui. L'espoir vibre dès lors de nouveau en lui. Il lorgne après la solution miracle proposée pour redevenir humain, mais le gouvernement traîne pour l'utiliser le plus possible...
→ Cash | 34 ans | Charlie Hunnam – Deux petits joints par jour, c'est anti-dépresseur
Je le joue actuellement, ou plutôt j'essaie, puisque j'ai beaucoup de mal à écrire pour le moment T_T 
Durant son adolescence, il subit l'attaque d'un lycan qu'il mettra longtemps à surmonter. Il y perd définitivement une partie de ses doigts. Le surnaturel non révélé à l'époque, personne ne le croit. En parallèle des séances de psy et de rééducation, il trouve refuge dans l'imaginaire (littérature, jeux de rôles) et le cannabis. Quand le secret est révélé, il ressent un immense soulagement : il sait, enfin, ce qu'il s'est passé. Il est heureux, fasciné, bien trop curieux... et en même temps terriblement effrayé. Il utilise néanmoins l'arrière boutique de son bar/magasin de jeux de société pour aider un trafic de sang : mieux les vampires sont nourris, moins il court de risques ! Cash, c'est un optimiste, rêveur, paumé, une peluche qui ne demande qu'à être rassurée. Il cherche à rattraper l'enfance qu'on lui a volée, à oublier ses douleurs qui lui rappellent ses membres fantômes. Sans surprise, il joue, beaucoup, et il a la fâcheuse tendance à prendre des décisions au jet de dés qui traînent toujours dans sa poche. 
→ Aaliyah | 28 ans/millénaires | Sara Sampaio – Anger filling the void
Je n'ai pu faire que quelques posts de rp avec elle, le forum ayant malheureusement fermé, mais elle a représenté une étape. Je me suis poussé à m'inscrire pour contrer mes insécurités (on connaît tous ces pensées de « je ne serais pas à la hauteur ») et c'était la première fois depuis mon co trans que je créais un nouveau personnage féminin.
Divinité de la destruction, incarnation de la colère, elle a pourtant perdu tout souvenir et puissance depuis des siècles. Née par la tourmente de son père et créateur qui voit son âme-sœur tuée devant ses yeux, elle hérite de cette rage qui la fera combattre dans une guerre aux confins de l'univers. Écho de ce lien déchiré, elles naissent à deux, jumelles et âme-sœurs, connectées au point de forcément disparaître avec l'autre. Leurs ennemis leur infligent une malédiction : elles atterrissent sur Terre, séparées, mémoire purifiée, capacités réinitialisées. Elles sont vouées à se réincarner parmi les humains dans l'ignorance, à errer pour se retrouver. Pourtant, son essence persiste, ce néant qui la dévore la corrompt sans cesse, parfois elle découvre une parodie de pouvoirs qu'elle avait auparavant sans jamais comprendre. Fidèle à ses attributs, elle reste un mal qui gangrène la société, à son échelle minuscule dorénavant. Dans sa dernière réincarnation, Aaliyah est une héritière fortunée qui utilise son argent pour se poser en bienfaitrice, participant activement à des ONG, cherchant une cause à son sentiment de révolte. Ce statut lui sert à cacher sa secte funeste.
→ Harmony | 23 ans | Rachel Bilson - Fear of the dark
Un de mes premiers persos, et je crois le premier PV que j'ai pris (il y a au moins dix ans donc). Un perso qui est à contre-courant de ce que je joue d'habitude depuis XD
De mes maigres souvenirs, c'était une jeune femme artiste, une véritable pile électrique qui n'arrêtait pas de parler (même dans les situations délicates – surtout dans ces situations ?). C'était toujours dans un contexte fantastique, et quand elle découvre la réalité de certains mythes, son côté froussard explose. Je ne m'en souviens pas dans les détails mais elle m'a suffisamment marqué pour que j'y pense en réfléchissant à ce challenge. C'était vraiment comme si une personne lambda se retrouvait au milieu de créatures mythiques : elle PANIQUAIT comme pas possible.
→ Lazarus | 38 ans | Ben Barnes – Lord of lies
Je l’ai déjà présenté dans ce post.
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lysakarell · 4 years ago
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Enigmatic character
Prints series of graphic artworks, relating to sometimes lugubrious sometimes magical characters. Atropa Parcae store for you get the collections of printed illustrations.
Vlad Tepes, Dracula - Vampire
There is darkness in life and there is light, and you are one of the lights, the light of all lights. ~ BRAM STOKER, Dracula, a legend. But long before the legend was Prince Vlad Dracul. Dracula marks the beginning of Gothic literature. The vampire myth, immortal, drinking the blood of its victims and turning them into vampires, appears in different forms in the popular imagination. Certainly, the most famous vampire remains Count Dracula, originally from Romania, central character of the novel written by Bram Stoker in 1897. Many talk about it, but few know the legend born from the true story of Prince Vlad Tepes (The Impaler ) reigning over Wallachia in the mid-15th century. The bloody legend of Count Dracula is strongly linked to the reign of Vlad Tepes and his mysterious region of southern Romania), the province that was the last bastion of Christianity against the Ottoman invasion. This prince, born in Transylvania in 1431 and crowned prince of Wallachia in 1436, moved to the palace of Targoviste. He would have impaled thousands of thousands of men: German traders from Transylvania, members of the nobility, Ottoman prisoners. In addition, he became known by the "Forest of Pals", place where the body of Turkish officers were erected on stakes, which were around his castle. However, this technique of massacre was very popular at the time among European princes. Historians qualify him as a very important prince in the fight against the Ottoman Empire, his father being part of the Order of the Dragon, an order of chivalry created in 1408 by Sigismund of Luxembourg, king of Hungary, to prevent the Ottoman expansion in Europe. In his wish to do justice, this bloody prince nicknamed after his death Dracula, that is to say the devil in the Wallachian language, shocks his contemporaries by his methods of sadistic torture.
- Oh! The terrible struggle I have had with sleep so often lately; the pain of insomnia, or the pain of fear of sleep, and with such unknown horror it has for me! As some people are blessed, whose life is neither afraid nor afraid; to whom sleep is a blessing that comes at night and brings only sweet dreams. ~ BRAM STOKER, Dracula ~
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Personnage énigmatique
Série d'impressions d'oeuvres graphiques se rapportant aux personnages parfois lugubres parfois féérique.
Vlad Tepes, Dracula
Il y a des ténèbres dans la vie et il y a des lumières, et vous êtes l'une des lumières, la lumière de toutes les lumières. ~ BRAM STOKER, Dracula, une légende. Mais bien avant la légende, était le prince Vlad Dracul. Dracula marque le début de la littérature gothique. Le mythe vampire, immortel, buvant le sang de ses victimes et les transformant en vampires, apparaît sous différentes formes dans l'imaginaire populaire.  Certes, le vampire le plus célèbre reste le comte Dracula, originaire de Roumanie, personnage central du roman écrit par Bram Stoker en 1897. Beaucoup en parlent, mais peu connaissent la légende née de l'histoire vraie du prince Vlad Tepes (L'Empaleur ) régnant sur la Valachie au milieu du XVe siècle. La légende sanglante du comte Dracula est fortement liée au règne de Vlad Tepes et sa région mystérieuse du sud de la Roumanie), la province qui fut le dernier bastion du christianisme contre l'invasion ottomane. Ce prince, né en Transylvanie en 1431 et couronné prince de Valachie en 1436, s'installe au palais de Targoviste. Il aurait empalé des milliers de milliers d'hommes: commerçants allemands de Transylvanie, membres de la noblesse, prisonniers ottomans. De plus, il s'est fait connaître par la "Forêt des Pals", lieu où étaient érigés les corps des officiers turcs sur des pieux, qui étaient autour de son château. Pourtant, cette technique de massacre était très populaire à l'époque parmi les princes européens.
Les historiens le qualifient comme un prince très important dans la lutte contre l'Empire ottoman, son père faisant partie de l'Ordre du Dragon, ordre de chevalerie créé en 1408 par Sigismond de Luxembourg, roi de Hongrie, pour empêcher l'expansion ottomane en Europe. Dans son souhait de rendre justice, ce prince sanglant surnommé après sa mort Dracula, c'est-à-dire le diable en langue valaque, choque ses contemporains par ses méthodes de torture sadique.
- Oh! La terrible lutte que j'ai eue contre le sommeil si souvent ces derniers temps; la douleur de l'insomnie, ou la douleur de la peur du sommeil, et avec une telle horreur inconnue qu'elle a pour moi! Comme certaines personnes sont bénies, dont la vie n'a ni peur, ni peur; à qui le sommeil est une bénédiction qui vient la nuit et n'apporte que de beaux rêves. ~ BRAM STOKER, Dracula ~
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