#le triporteur
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azulpressagadir · 4 months ago
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Animalia de Sofia Alaoui: La jeune femme et le triporteur
Mohammed Bakrim //  Sofia Alaoui aime le Haut Atlas, notamment son versant oriental, du côté d’Azilal ; elle est attirée par la langue amazighe qu’elle aborde comme une composante de cet espace dont elle a fait son thème de prédilection. Une terre et une langue qui lui permettent de vivre certainement un sentiment d’étrangeté symbolique qu’elle exprime dans ses scénarii par le choix d’aborder …
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philoursmars · 3 months ago
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Avec Christine, on a fêté nos 40 ans d'amitié en faisant un voyage de 15 jours en Sicile. Basés à Catane, on fait une virée d'un jour à Taormine (Taormina)
Vers la Porte de Messine, on est dans une ambiance très typique (peut-être un peu trop, pour les touristes ? Bon, j'étais un touriste , alors...). Donc, des triporteurs arborant les images fortes de la Sicile en des couleurs pétantes et offrant (à des prix un peu forts !) des pistaches et autres douceurs, des musiciens jouant pour les gens attablés en terrasse...
Les 3 dernières photos sont celles du Palazzo Corvaja aux influences arabes évidentes.
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piftheone · 1 year ago
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bruxellescity · 6 months ago
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#Commerce :Avis de vacance pour un #triporteur à l’avenue de la Toison d’Or
La Ville de Bruxelles lance un avis de vacance dans le but de concéder le droit d’occuper un emplacement pour triporteur sur l’avenue de la Toison d’Or (à hauteur du numéro 28) à des fins commerciales. La date limite de réception des offres est fixée au 1er septembre 2024 à 16h.   Les candidats intéressés devront faire une offre portant sur l’offre de vente alimentaire (à l’exclusion des glaces…
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lonesomemao · 1 year ago
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CHAMPS FERTILES
Les acrobaties chinoises
Du Pape Français
Lui renseignements pris
Grâce aussi à un désir chinoi
Essence commune
Art humanisme
Lutte contre la Haine
Ca passe par le virtuel
Du camp de rééducation
Numéro quatre numérique
Le Mont Cassel
Gérard Guiot un poète triporteur
Jardinier vert libéral
Le bourgeois catho
Par la beauté des mots il désaliène
L'Alchimie du Verbe
Il désenchaîne
Lui, hors de la logique Alien
Samedi 3 février 2024
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zehub · 2 years ago
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Mobilité décarbonée : le vélo cargo, alternative crédible au véhicule utilitaire
Avec les ZFE, les professionnels se déplaçant en ville doivent trouver des solutions alternatives au véhicule thermique. Renault Trucks a ouvert un atelier spécialisé dans la fabrication de triporteurs répondant aux exigences de différents métiers.
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J1 • Copenhague – Hundige • 25,5 km
Ça y est, on est parti, sous la canicule danoise. Bon, pas d’affolement non plus, il fait 24 et ça montera à 26 ; le Danemark est un pays raisonnable. Le début du chemin est assez simple. Il y a un bras de mer qui sépare le Copenhague qui est sur l’île de Seeland, l’historique, du Copenhague qui est sur l’île d’Amager, une extension urbaine plus récente. Pas très large, le bras de mer. Deux fois la Seine, peut-être, et encore. Bref, on passe côté Amager et on enfile les quais vers le sud jusqu’aux derniers faubourgs où nous récupérons une voie cyclable. La 6. Nous comprendrons un peu plus tard que c’est la véloroute qui relie Copenhague à Berlin. Et du fait, nous allons bouffer du vélo, du vélo de course, du triporteur (très nombreux, on y transporte femme ou enfants) et du vélo de randonnée à lourde sacoche. On trouvera aussi un logo du chemin de randonnée européen E6 que nous suivons, associé à une coquille jaune, mais on sent bien que nous ne sommes que tolérés sur cette piste. Au bout de l’île, on traverse par un grand pont routier pour retrouver Seeland dont nous parcourons la côte entre plages et lagunes pour retrouver notre première étape, Hundigue.
Nous avions été contents de trouver ce premier hébergement, Barney’s, SPA et Wellness. Bon alors c’est pas un quatre étoiles, on s’en doutait un peu, les quatre étoiles on rarement des douches-toilettes partagées. Ce que nous n’avions pas vraiment réalisé, c’est que c’est sur la 151, la route très fréquentée qui suit la côte. Et si la route est fréquentée, les environs le sont moins. Le restaurant pas trop loin que j’avais repéré sur Google Maps est fermé pour congés. Heureusement, à un petit kilomètre, après le Chinois qui a fermé, il y a une pizzéria « à emporter » dont la Vegetariana (sans ananas, tak) en format familial suffira à notre bonheur de randonneur.
Nous réalisons aussi que nous suivrons cette route demain jusqu’à Koge… Mais en attendant, c’est pas tout ça, il faut que nous allions dormir au son des voitures qui passent.
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fidjiefidjie · 5 years ago
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Bonjour et bon Dimanche à tous ☕ 🥐🍒
Amoureux sur le triporteur 🗼Paris
Photo de Robert Doisneau 1960
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rympresse · 4 years ago
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ENQUÊTE │Pillage de sable, la bombe à retardement
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Ce sont des organisations complexes qui se cachent derrière le trafic aussi fructueux qu’illégal du pillage de sable au Maroc. Ce marché noir hautement protégé a des conséquences désastreuses sur l’environnement, l’économie et induit la fragilisation au long terme de plus de la moitié des constructions du pays. Zoom sur cette mafia des sables que rien ne semble arrêter.
« Toutes les plages disparaîtront à la fin du 21ème siècle », c’est l’alarmant constat que fait le consortium scientifique et associatif. Pourtant la montée du niveau de la mer n’est pas la seule cause du phénomène. Le pillage de sable est une pratique si développée que l’écosystème mondial en est influencé. Une récente enquête réalisée par la chaîne franco-allemande Arte est revenue sur ces mafias du sables au Maroc, différentes organisations clandestines qui représentent 55 % de l’ensemble des sables qui finissent par alimenter le secteur marocain de la construction.
Cet attrait pour le sable côtier est explicable à plusieurs niveaux. D'abord, le sable des plages est peu coûteux car non consolidé et donc facile à enlever avec des chargeurs frontaux ou même en chargeant des camions à la main. Ensuite l’activité continue des vagues de la zone de surf fournit un sable bien trié et exempt de boue. Enfin, argument de taille : la majorité des plages au Maroc sont publiques et représentent donc une source «gratuite» d'agrégats pour ceux qui sont prêts à le prendre. Devant l’aubaine, dans les régions côtières sinistrées, voler le sable pour le revendre, devient pour certains jeunes un choix évident.
Un état des lieux affolant
Dans le reportage, signé Sophie Bontemps et intitulé « Razzia sur la sable », on part à la rencontre d’un groupe de jeunes de Larache qui remplissent infatigablement de sable des sacs de paille accrochés à des ânes. Ils constituent le bas l’échelle de ce trafic rentable, « les maillons fragiles d’un système illégal », et sont payés entre 50 à 60 dhs la journée. Le phénomène d’extraction sauvage et illégale existe dans tout le pays et l’explosion de la construction en a fait un marché clandestin, du fait de l’importance du sable dans la confection du béton. Le sable est désormais la deuxième ressource après l’eau la plus recherchée et consommée sur la planète. Selon nos informations, aux environs de la région Casablanca-Settat, c’est la côte de Sidi Rahal, et les environs de Douar El Houaoura qui sont le plus concernées.
D’après la géologue Aicha Benmohammadi, ce sable extrait des carrières sauvages qui n’a aucune traçabilité est « impropre à l’utilisation dans le domaine de la construction ». Certaines études qui ont relevé sa richesse en fer en démontrent le risque cancérigène. « Dans certaines zones on observe un décapage de terres sableuses vendues comme étant du sable utilisable », informe-t-elle. Pour Saad Charikioui, ingénieur en bâtiment, la concentration en sel marin et donc en chlorure de sodium de ce sable sont bien supérieures aux quotas imposés, ce qui en affecte l'efficacité à long terme. « En 20 ou 30 ans les structures sont fragilisées, en raison de de l’oxydation de l’armature, des gonflement, des fissurations ce qui peut causer des effondrements », alarme-t-il. Le lien est vite fait entre cette situation désastreuse et les statistiques effrayantes d’effondrement dans la ville de Casablanca. Les carrières d’où est extrait le sable légal appliquent des quotas relatifs aux quantités de sable à extraire et à commercialiser. Mais l’informel reste majoritaire sur le marché, soit plus de la moitié des 30 millions de tonnes chaque année. Au total, ce business coûte 1,1 milliard de dollars au gouvernement marocain en taxes impayées.
Cela est sans compter les scandales qui entourent le volet légal de ce business. Derrière ce marché, la société Drapor, filiale du groupe Satram depuis sa privatisation, ainsi que l’entreprise Rimal chargée de la partie traitement et commercialisation. Une enquête de 2014 a révélé des actes présumés d’escroquerie, de faux et usage de faux, d’abus de confiance et de dilapidation des biens dirigés contre les proches de l’ex-PDG du groupe, Lahcen Jakhoukh. De plus, malgré l’importance considérable des volumes de sable concernés et des recettes engorgées, il semble que ces sociétés privées soient aussi peu contrôlées sur leur fonctionnement, que sur leur impact écologique. Aujourd’hui, les autorisation d’exploitation de Drapor prennent toutes fin et malgré le feu vert de Aziz Rebbah, ministre de l'Énergie, des mines et de l'environnement ne sembles pas prêtes à être renouvellées.
Dans les coulisses du marché noir
En parallèle, les promoteurs immobiliers et chefs de chantier, acteurs majeurs de ce commerce, feignent l'ignorance d’un tel trafic. Interrogé par Le Desk, un promoteur immobilier établi à Casablanca, informe anonymement : « Dans les carrières officielles, l'équivalent d’un camion-remorque de sable est vendu autour de 6500 dhs. Pour l’extraction dans les carrières sauvages cela passe à 5000 dhs ». « Il existe plusieurs façons de procéder pour extraire le sable côtier : les plus petits poissons utilisent des charrettes à roues qu’ils chargent la nuit, à la pelle. Considérant qu'une charrette est équivalente à 1 mètre cube de sable, c’est 150 dhs dans leurs poches. Ils peuvent même investir dans un triporteur et doubler ou tripler leur recette », ajoute-t-il. Pour ceux qu’il appelle les « plus gros poissons », le procédé est différent. Il raconte : « Ceux-là ont plus de moyens et de biens plus gros engins. Ils utilisent des machines de type trax pour extraire le sable et possèdent plusieurs semi-remorques. Naturellement ils corrompent systématiquement les autorités locales pour être tranquilles. D’après mes informations le caïd est payé autour de 500 dhs par semi-remorque. En comptant le plein d’essence et les bakchichs, le trafiquant peut faire un bénéfice net de 1500 dhs par semi-remorque rempli ». Mais plus récemment nous apprend notre source, pour optimiser ce processus c’est avec de plus petits camions de 5m3 et manuellement, que s’opère l’accumulation du sable. « De jour le volume d’un de ces petits camions est vendu à 100dhs. La nuit, ce prix double. Pour atteindre le volume habituel contenu dans un semi-remorque traditionnel, les voleurs de sable disposent de 5 petits utilitaires. »
Le rapport onusien sur les mafias du sable
Dans le rapport des Nations unies, « Mafias du sable, extraction de sable illégale et contrebande au Maroc », publié en mai 2019, l’organisation alerte sur la gravité de ce trafic pour la construction d’hôtels, de routes et d’autres infrastructures liées au tourisme. Selon ce rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (ONU Environnement), c’est bien 10 millions de mètres cubes par an qui proviennent de l’extraction illégale de sable dans les zones côtières.
L’étude qui évoque des carrières sauvages sur le littoral allant de Safi à Essaouira, évalue à 16% le sable issu des oueds, et à seulement 7,25% le sable issu de concassage. En plus de l’évitement fiscal que cela représente, le rapport évoque également l’impact écologique d’un tel trafic. Ironiquement, rappelle le rapport onusien, « la poursuite de la construction risque de conduire à une situation non durable et à la destruction de la principale attraction naturelle des visiteurs : les plages elles-mêmes ». C’est le cas d’Assilah qui à la suite de l'érosion de ses plages a vu nombre des structures sur la côtes commencer à se détériorer.
Impact écologique et destruction du patrimoine archéologique
Dans un rapport de la fondation Coastal Care qui veille à la sensibilisation contre la décimation en cours des plages et des côtes à travers le monde, on apprend que les problèmes engendrés par le pillage de sables côtiers sont nombreux. D'abord il est question de destruction potentielle de sites touristiques. L'extraction de sable a transformé ces sites miniers en paysages lunaires laids et donc inexploitables touristiquement.
Ensuite, on assiste à la perte d'écosystèmes côtiers entiers, dans de nombreuses régions notamment au Nord du Maroc. De fait, c’est plusieurs espèces d’oiseaux de rivage nicheurs et les tortues de mer mais également toute une végétation endémique rare sur les dunes, qui se voient décimées. Dans les zones humides côtières c’est la sauvagine migratrice ainsi que plusieurs autres organismes qui pourraient totalement disparaître.
Le déplacement de quantités aussi grandes de sable diminue la réserve disponible qui est la réponse naturelle aux tempêtes de plage, alors que ce sable constitue une excellente protection contre les tempêtes, les tsunamis et autres grands événements de vagues. Ainsi l'exploitation minière sur les plages accroît la vulnérabilité de toutes les infrastructures et écosystèmes côtiers qui étaient autrefois protégés. Enfin, Coastal Care alerte sur l’augmentation des taux d'érosion du littoral à cause du retrait du sable de la plage et des dunes adjacentes. On assiste par ailleurs à la destruction d’une multitude de sites archéologiques côtiers qui devraient être recensés et protégés.
Quelles solutions ?
Parmi les moyens mis en place pour que ce phénomène ne devienne inarrêtable : l’élaboration de solutions de construction respectueuses de l’environnement. Étonnement, c’est en se tournant vers des processus traditionnels de construction et des architectures vernaculaires qu’on trouve les moyens naturels les plus adaptés pour diminuer l’impact de la construction sur l’environnement. Les matériaux bio-sourcés ont déjà fait leurs preuves, présentant des bilans environnementaux bien meilleurs que le béton.
D’autre part, le compte-rendu de Coastal Care, propose d’étudier les sols de façon à pouvoir privilégier les corps de sable côtiers fossiles, déposés dans le passé géologique lorsque le niveau de l'océan était plus élevé ou plus bas qu'aujourd'hui. Ces anciennes étendues de sable non reliées aux écosystèmes côtiers modernes, préviendrait l’impact écologique de l’extraction. Pour cela il faudra effectuer des études approfondies des sols pour pouvoir les dater et établir un plan d’extraction efficace. Aussi, il devient vital de remettre en état les sites miniers existants et abandonnés.
Pour finir, le renforcement des moyens juridiques pourrait faire basculer l’état des choses. Ainsi, améliorer les réglementations existantes et instaurer des lois plus fermes du Code minier, permettrait de protéger plus efficacement le sable côtier marocain. Dans ce sens, le rapport de la Cour des comptes ont émis plusieurs recommandations dans le cadre de leur contrôle de la gestion du Domaine Public Maritime en 2013, allant de la veille à la mise en jeu de la concurrence lors de l’octroi des autorisations de dragage, à l’instauration d’un système de suivi et de contrôle de l’activité de dragage en passant par le recouvrement des créances.
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spmat-blog1 · 4 years ago
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🥇 SP MAT - Matériel de nettoyage industriel
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Business Name: -
🥇 SP MAT - Matériel de nettoyage industriel
 Street Address: -
130 Rue du Moulin Vedel Mas des Rosiers
 City: -
Nîmes
 State: -
Occitanie
 Zip Code: -
30900
 Country: -
France
 Business Phone: -
+33(0)466269787
 Website: -
https://www.spmat.fr/
 Business Description: -
SP MAT est un fournisseur de matériel et solutions de nettoyage industriel pour les domaines de la grande distribution, industriel, logistique, transport, tertiaire, hôtellerie, santé et municipalité. SP MAT est revendeur officiel et spécialiste de la marque Tennant, leader mondial de matériel de nettoyage industriel. Nous vous conseillons pour choisir la solution la plus adaptée à votre activité et proposons l’achat ou la location selon votre situation. SP MAT prend également en charge le SAV avec une équipe professionnelle dédiée. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter ou visiter notre site internet pour avoir un aperçu de toute notre gamme de produits professionnels.
 Business Timing: -
Mon-Fri 9:00am-6:00pm Sat-Sun Closed
 Payment Methods: -
Cash
Check
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Master
 Products: -
Autolaveuses, Balayeuses, Monobrosses, Aspirateurs professionnels, Injecteurs extracteurs, Lustreuses-polisseuses, Centrales Orbio, Les triporteurs électriques professionnels
 Owner Name: -
Serge Patricolo
Location:- https://g.page/sp-mat?share
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Service Areas:- https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1Y_KPQOFf3mAO1tLq4DQC68fGLVOii6w5
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fulang1 · 5 years ago
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A Pékin, le tri sélectif qui aurait du commencer au 1er février, a attendu des jours meilleurs pour se mettre en place. L’an dernier, Shanghai avait été la première municipalité à inaugurer ce système. Les autres villes de premier rang, Canton, Shenzhen, Chongking et Tianjin devraient suivre sous peu. Maintenant que la situation est stabilisée, on nous a distribué ces petites brochures pour bien expliquer comment trier les ordures et le rôle des poubelles de différentes couleurs. Il faudra sans doute un certain temps pour que l’éducation du public fasse effet. En attendant, les chiffonniers continuent leur oeuvre utile, en retirant des poubelles tout ce qui peut être valorisé, verre, plastiques, cartons. Ils vont d’immeuble en immeuble avec de petits triporteurs puis vont revendre à des grossistes leur récolte. C’est un des plus vieux métiers du monde. Cela me fait penser au roman de Dickens que je préfère “Our mutual friend” qui se passe dans le milieu des récupérateurs d’ordures.
Des magasins et restaurants rouvrent leurs portes et le font savoir avec ces énormes couronnes de fleurs, qu’on pourrait associer à un décès en Occident mais qui en Chine, marquent l’ouverture d’un commerce. Le ton général est rouge ce qui est un signe de bonheur et prospérité ici.
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Dans le même pour reprendre un langage macronien, les soldes se mettent en place. Il s’agit de vendre le plus rapidement possible tous les invendus de la crise. Devant le centre commercial du quartier de Mudanyuan (le jardin des pivoines)  une tente a été montée et on y vend à prix défiant toute concurrence des habits et des chaussures. 99RMB, c’est à dire 1,3 €. 
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philoursmars · 1 year ago
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Marseille. La vie sur le Vieux-Port, au crépuscule. Des musiciens et des triporteurs où l'on sert du thé et des boissons...
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boireuncoup · 6 years ago
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les-portes-du-sud · 5 years ago
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Le triporteur...
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franckdoutrery · 6 years ago
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Des vélos à vau-l’eau
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Amsterdam est une ville de canaux, de marchés et de musées, certes, mais aussi et surtout de vélos ! Elle le fut depuis longtemps, mais à s’y promener de nos jours, on dirait qu’elle se fait un point d’honneur à l’être toujours plus. On sait que partout en Hollande, les deux-roues circulent en quantité et variété quasi illimitées, mais ici ils semblent en plus avoir priorité sur tout autre véhicule. Il y en aurait plus d’un million rien que dans la capitale, pour une population qui compte désormais, agglomération comprise, quelque 1,5 million d’habitants. C’est dire que pour ceux-ci, refuser de se déplacer à vélo relèverait d’une volonté farouche de ne pas faire comme tout le monde.
Le fait est qu’on trouve ces engins partout : dans les parkings à vélos (celui de la gare centrale comporte quinze-mille places sur trois niveaux), dans des stalles inamovibles le long de certains trottoirs, mais aussi dans les endroits les plus improbables. Ainsi on en voit de toute forme, âge et usure, souvent attachés avec un câble ou un cadenas aux réverbères, aux poteaux de signalisation, aux balustrades des ponts, au mobilier urbain, à tout ce qui peut donner au propriétaire l’illusion qu’il retrouvera son bien le lendemain. Ce qui souvent n’est pas le cas. Car ce qu’il retrouve n’est parfois plus qu’une roue avant, un cadre sans guidon ni selle, quand ce n’est pas son câble antivol sectionné, et un vélo en tout ou partie volé ou envolé. On voit par là qu’un mal sournois sévit ici, qu’on pourrait appeler la « cyclo-cleptomanie », soit une tendance largement répandue à « emprunter » un vélo qui ne vous appartient pas et qui de toute façon sera « emprunté » à son tour par un autre utilisateur. Interrogeons ce monsieur qui retrouve ce matin son véhicule bien attaché, mais sans roue avant ni selle. Jure-t-il ? Pleure-t-il ? Ameute-t-il le quartier ? Rien de tout cela, car cette mésaventure lui est arrivée déjà plusieurs fois. Dans le magasin de cycles le plus proche, il trouvera pour une modique somme une vieille bécane délabrée, une qui n’attirera pas le regard du passant, voire du gang des receleurs de vélos. Ce qu’il ne dira pas, c’est qu’il a lui-même déjà « emprunté » d’autres bécanes trouvées dans des parkings sauvages. Ou que celle qu’on a démembrée cette nuit n’était qu’en partie la sienne.
On évoquait leur variété quasi illimitée. La plupart semblent conçus pour transporter leur cycliste seul. Mais un autre type, appelé bakfiets, leur fait apparemment concurrence. C’est un engin plus étiré avec, entre le guidon et la roue avant, un baquet oblong qu’on peut remplir du résultat des courses au Bijenkorf ou chez Albert Heyn, mais aussi d’enfants, de chiens ou chats, de plantes et fleurs, de meubles, que sais-je. Ce qui tient plus du déménagement que du transport de personnes. Beaucoup disposent aussi d’appendices multiples : paniers, sacs et sacoches, coffres en rotin, malles en osier. Certains « deux-roues » en ont trois ou quatre, poussant devant un genre de triporteur ou tirant derrière une remorque remplie d’objets hétéroclites. Sachant que tout ce flux se déplace sur une étroite piste cyclable, qui n’est séparée du trottoir que par un trait flou ou imaginaire, que ce branle continu dépasse souvent la vitesse légale de 20km/heure, que sur la même piste circulent des engins plus ou moins motorisés cherchant à dépasser les autres, on devine le cauchemar du piéton. Fiers de leur tradition cycliste, les Hollandais aiment à souligner que le vélo est bon pour la santé. Pourtant, selon des statistiques récentes, plus de 60% des blessés graves de la circulation concernent les cyclistes eux-mêmes, sans parler des piétons qu’ils percutent à des vitesses excessives. Or la vitesse n’est pas seule en cause. Observons cet homme qui traverse le Vondelpark : il a une main sur le guidon et dans celle-ci un gobelet de café chaud ; de l’autre il tient son portable à l’oreille et devise avec un correspondant. Comment fera-t-il pour éviter un touriste pressé, qui veut tout à coup traverser le sentier ?
Pour montrer l’importance du vélo dans l’urbanisme au cœur de la capitale hollandaise, rappelons que pour le réaménagement du Rijksmuseum il y a une quinzaine d’années, l’Autorité avait d’abord décidé de supprimer le passage sous les voûtes néogothiques du musée, réservant la Museumstraat (celle qui donne accès à l’entrée) aux seuls piétons. Mais le Fietsersbond (la ligue des cyclistes), qui siège au Conseil municipal, a mis son véto et obtenu gain de cause. Ce qui fait que, pour un musée qui connaît une fréquentation annuelle de quelque 2,5 millions de touristes, dont beaucoup d’étrangers peu habitués à la « petite reine » hollandaise et aux dangers qu’elle comporte, son hall d’entrée est désormais traversé par un flot ininterrompu de bécanes de tous ordres. Si Guy Béart avait vécu, il aurait chanté : « À Amsterdam / y a des vélos et y a des trams / et quand ça roule à trente à l’heure ça fait des drames / à Amsterdam ! »
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zehub · 2 years ago
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Des triporteurs pour les seniors, l'initiative de la Rochelle pour lutter contre l'isolement
Pour casser la monotonie et l’isolement des personnes de plus de 60 ans, la ville de Charente-Maritime a eu une idée maline qui fonctionne : la balad
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