#La jeune femme et le triporteur
Explore tagged Tumblr posts
azulpressagadir · 4 months ago
Text
Animalia de Sofia Alaoui: La jeune femme et le triporteur
Mohammed Bakrim //  Sofia Alaoui aime le Haut Atlas, notamment son versant oriental, du côté d’Azilal ; elle est attirée par la langue amazighe qu’elle aborde comme une composante de cet espace dont elle a fait son thème de prédilection. Une terre et une langue qui lui permettent de vivre certainement un sentiment d’étrangeté symbolique qu’elle exprime dans ses scénarii par le choix d’aborder …
0 notes
reseau-actu · 6 years ago
Link
Achats de voix, menaces, propositions d’échanges en tous genres... dans Le Maire, la politique italienne pour les nuls, un documentaire tourné en caméra cachée qui vient de sortir en salle en Italie, le journaliste Ismaele La Vardera dévoile les coulisses peu reluisantes de sa candidature à la mairie de Palerme, dans le costume d'un indépendant soutenu par la Ligue.
Palerme (Italie), correspondance.– « Malheureusement, dans ce pays, la politique est devenue un cirque médiatique. » Quoi de plus ironique que ce constat, lâché par un journaliste de l’un des programmes phares de la télé berlusconienne, qui fut candidat à la mairie de Palerme lors des dernières élections municipales en 2017 et qui vient, qui plus est, de sortir un documentaire sur son expérience politique ?
Pourtant, Ismaele La Vardera l’assure dans un entretien à Mediapart : « J’ai vraiment voulu devenir maire et même si j’avais été élu, le documentaire serait sorti. Ce n’était pas juste un plan B après mon échec politique. Je voulais lever le voile sur le fonctionnement de la vie politique. » 
Bouille ronde, houppette rousse, lunettes de premier de la classe, le journaliste de 23 ans avait surpris tout le monde en annonçant sa candidature à la mairie de Palerme, en janvier 2017, en tant qu'indépendant. Le jeune Sicilien est alors connu pour être l’un des visages des « Iene », une émission satirique de Italia 1, connue pour ses reportages au vitriol sur la vie politique italienne. Son thème de prédilection : la mafia.
En 2014, et à seulement 21 ans, alors qu’il travaille pour une télé locale, il enregistre des conversations compromettantes qui font tomber tout le conseil communal de sa ville d’origine, Villabate, à quelques kilomètres de Palerme. Invité sur les plateaux télé, il dénonce alors la mentalité mafieuse qui imprègne le quotidien : « Jeter ses papiers par terre, se garer en double file. »
Tumblr media
L'affiche de campagne d'Ismaele La Vardera pour les municipales du 12 juin 2017.
Trois ans plus tard, son discours et son profil a priori apolitique séduisent de jeunes Palermitains, souvent dans la vingtaine, pleins d’entrain et d’énergie pour changer leur ville et dont on suit les premières réunions. Les pontes de la politique locale et nationale aussi l’ont à l’œil. C’est là que tout dérape. À une vitesse impressionnante, les rendez-vous s’enchaînent, tous filmés en caméra cachée. Ils ont abouti à un film, Le Maire, la politique italienne pour les nuls, sorti en salle dans toute l’Italie le 26 novembre.
« Au début, je voulais filmer ma campagne un peu comme l’a fait Emmanuel Macron, en France », raconte Ismaele La Vardera, impeccable dans son costume noir, à la sortie de l’avant-première à Palerme.
Mais il décide de recourir à la caméra cachée lorsqu’il reçoit un appel de Marianna Caronia. Ancienne première adjointe de centre-droit (avec les chrétiens-démocrates) à la mairie de Palerme, elle souhaite le rencontrer… pour lui proposer de soutenir Fabrizio Ferrandelli, ancienne étoile montante du Parti démocrate et le plus grand concurrent du maire sortant Leoluca Orlando. « Ah bon ? Mais Ferrandelli n’était-il pas de gauche ? », fait semblant de s’étonner le jeune candidat dans son documentaire.
C’est le début d’une longue série d’images volées sur les coulisses de la politique italienne qui, parfois, donnent le tournis, voire la nausée.
youtube
La bande-annonce de « Le Maire, la politique italienne pour les nuls ».
En échange de son soutien, on lui propose un poste d’attaché de presse, une place dans l’administration ou encore une élection assurée au parlement régional. Cette dernière proposition lui est faite par l’une des grandes figures de la politique sicilienne, Totò Cuffarò, pourtant inéligible et condamné à sept ans de prison pour ses liens avec la mafia.
Assez vite, le journaliste se rend compte qu’en dépit de sa condamnation, c’est encore lui qui tire les ficelles de la politique sicilienne. Puis c’est au tour de Gianfranco Micciché, chef de file de la droite de Berlusconi, de lui proposer un poste de conseiller municipal contre son ralliement. « Bien sûr, on ne peut pas te forcer, mais si tu souhaitais le faire, on te dirait oui tout de suite », lui dit-il en substance, avant de conclure leur entretien sur cette phrase terrible : « En tout cas, si on perd de 3 % et que toi tu as fait 3 %, je n’aimerais pas être à ta place. » Le tout autour d’un verre de vin, en toute décontraction.
Dès les premières minutes du documentaire, Ismaele La Vardera avait prévenu : « J’ai fini dans quelque chose qui m’a dépassé. » Alors quand son téléphone sonne et qu’il est invité à Rome par le bras droit de Matteo Salvini, il saute dans l’avion et se retrouve quelques heures plus tard soutenu par la Ligue. Ont-ils discuté d’un programme ? D’idées communes ? On n’en voit pas la trace et Ismaele La Vardera confirme : « Au cours de ma campagne, aucun des grands responsables politiques qui m’ont approché ne m’a demandé le contenu de mon programme. »
L’actuel ministre de l’intérieur, à l’époque chef de file de la Ligue, le dit sans détour : il cherche un profil jeune, nouveau et sans casseroles afin de faire percer son parti dans ces terres du sud du pays qui lui sont encore si hostiles. La jeune recrue est adoubée grâce à ses quelques vidéos sur Facebook. Plus tard, il est aussi approché par Giorgia Meloni, à la tête de Fratelli d’Italia, un autre parti d’extrême droite.
�� Ce que je retiens de cette expérience, c’est que souvent la classe dirigeante choisit ses représentants dans les grandes villes avec peu d’attention et ce n’est pas parce que l’on sait se vendre sur les réseaux sociaux que l’on sait administrer une ville », déplore le candidat, avant de résumer : « Ça n’a aucune importance de faire ce que tu dis, il suffit de bien le dire. »
Le réalisateur placé sous protection policière renforcée
Les déplacements de Matteo Salvini sur l’île, en pleine campagne, en sont le parfait exemple. « En tant que bons populistes, on commence au Zen », commente la voix off du journaliste sur des images de Matteo Salvini et de lui-même parcourant les rues défoncées d’un des quartiers les plus abandonnés de Palerme, le Zen, à bord d’un triporteur orange. Proximité, accessibilité, franc-parler, la recette fait mouche dans ce quartier dépeint comme l’un des pires d’Italie.
Chemise blanche aux manches retroussées, col ouvert sur le torse, Matteo Salvini s’adresse aux habitants avec une aisance déconcertante : « Les rats entrent chez vous, madame ? demande-t-il à une femme à sa fenêtre, en filmant la scène avec son téléphone portable. Et les autorités sanitaires font quelque chose ? Et la mairie ? Ils ne font rien. » « Voilà Ismaele. Il va venir nettoyer le quartier », promet-il au mégaphone, déjà à bord du triporteur orange, qui s’éloigne vers la prochaine étape de son passage éclair dans la ville.
Lire aussi
Italie: décompositions, recompositions Par La rédaction de Mediapart
En Italie, l’irrésistible ascension de Matteo Salvini Par Romaric Godin
Au milieu de cette farce tragi-comique, on en oublierait presque ceux qui étaient pourtant les personnages principaux : ces dizaines de jeunes, bénévoles, désireux de changer le destin de leur ville et de leur île, ces électeurs prêts à voter pour le changement.
« Quand la candidature d’Ismaele a été soutenue par la Ligue, j’ai été très déçue, reconnaît Francesca Picciuro, une trentenaire palermitaine. On n’est pas dupes. Les reproches que la Ligue faisait aux Méridionaux comme nous, maintenant elle les fait aux immigrés. » Debora Niccoli, 30 ans, fait partie des premiers soutiens au jeune homme. Elle a intégré sa petite équipe de campagne, où personne n’était dans la confidence du projet de documentaire, jusqu’au soir de la cuisante défaite électorale – 7 140 votes, soit à peine 3 % des voix.
« Ça a été un vrai soulagement quand il nous a dévoilé son idée », assure la jeune femme, revenue dans sa ville natale après des études à Milan, tout en admettant : « Salvini et Meloni mis à part, en le soutenant, j’ai fait un choix humain plus que politique. » Une fois le subterfuge révélé, nombreux sont ceux à dénoncer un projet individuel fait sur le dos de ceux qui lui faisaient confiance. Un acteur palermitain, soutien de la première heure de La Vardera, a même demandé l’interdiction du film, en raison des méthodes douteuses utilisées par Ismaele La Vardera.
« La fin justifie les moyens », tranche Francesca Picciuro. « Je suis contente que la lumière soit faite sur un fonctionnement de la vie politique que j’imaginais mais dont j’ai la confirmation », ajoute Debora Niccoli, elle aussi soutien de la première heure. « Dans le fond, le projet, c’était de lever le voile sur la politique, et c’est réussi, défend Mickael Artale, étudiant en sciences de l’éducation de 23 ans. « Ça ne nous a pas découragés, au contraire, toute cette expérience nous a secoués », poursuit ce membre de l’équipe de campagne, actuellement membre d’une association politique à l’université de Palerme. Debora Niccoli, elle, en a fini avec la politique et « espère que d’autres personnes transparentes et généreuses se dévoueront pour cette ville ».
« Tout n’est pas blanc ou noir. J’ai aussi rencontré tout un tas de personnes qui croient vraiment au changement. Même si elles ne représentent qu’une toute petite partie de la politique, cela ne doit pas nous décourager et nous inciter à taire la réalité, car si on ne la dénonce pas, on ne pourra jamais la changer », veut croire, optimiste, Ismaele La Vardera.
Tous pourtant partagent la même crainte que « rien ne change et que les gens oublient rapidement ce qu’ils ont vu », selon Mario Camminita, 54 ans, croisé à l'avant-première à Palerme et à qui le film laisse « un goût amer » et des questions irrésolues.
Comme cette scène où un ancien conseiller municipal présente à Ismaele La Vardera quelqu’un qui « pourrait l’aider ». La rencontre a lieu dans un immeuble de La Kalsa, l’un des quartiers qui borde le port de la ville, connu pour être un bastion de la mafia de Cosa Nostra. « T’as besoin de combien de votes ? », lui demande un homme qui se présente comme un proche de Gino Abbate, un boss condamné à 21 ans de prison pour activités mafieuses. L’offre est simple : 30 euros par vote, payables pour moitié avant les élections, pour moitié après.
« Ce sont des familles pauvres et ils ont faim », argumente le mafieux pour défendre son offre indécente. « Ces votes, qui les a pris ? » répète Mario Camminita à la sortie du film. « Qui les a pris ?, répète-t-il, en détachant chaque syllabe. Car ils sont forcément allés quelque part. » Ismaele La Vardera n’a pas non plus la réponse mais, depuis la sortie du film, et après avoir dénoncé à la police cette proposition, il est placé sous protection policière renforcée avec sa famille. Le boss, lui, est libre.
1 note · View note
isaluciole · 4 years ago
Text
Inde: un chauffeur de tuk-tuk se change en ambulancier pour aider les gens atteints du Covid .
Quand Mohammad Javed Khan, chauffeur de triporteur à Bhopal dans le centre de l'Inde, a vu des gens porter sur leur dos des êtres chers, malades du Covid-19 en direction de l'hôpital, faute d'argent pour financer une ambulance, il s'est dit qu'il ne pouvait pas rester sans rien faire
Cet homme de 34 ans a alors vendu les bijoux de sa femme et a transformé son tuk-tuk en petite ambulance qu'il a équipée d'une bouteille d'oxygène, d'un oxymètre pour mesurer le taux d'oxygène dans le sang et d'autres équipements médicaux. Alors que l'Inde subit une deuxième vague épidémique ravageuse, certaines personnes comme Mohammead Javed Khan s'engagent pour aider leur communauté à survivre dans cette guerre contre le virus.
«Un malade grave ne peut pas être conduit à l'hôpital sans soutien en oxygène», a-t-il déclaré à l'AFP. «Alors, j'ai pensé, pourquoi ne pas transformer mon triporteur en ambulance ? Ce n'est pas aussi spacieux qu'une ambulance, mais cela peut sûrement sauver des vies», poursuit-il. «J'ai vu des jeunes gens sans oxygène se débattre (pour survivre)». «Et lorsqu'ils appellent les ambulances, elles facturent de 5.000 à 10.000 roupies (de 55 à 110 euros). Comment une personne pauvre pourrait-elle se le permettre ? Surtout pendant cette pandémie où la plupart des gens n'ont plus de revenus ?», interroge-t-il.
Large soutien
Quelqu'un lui a fourni une bouteille d'oxygène, quelqu'un d'autre lui a donné un oxymètre, puis un médecin lui a appris à se servir de ces équipements pour placer des malades sous oxygène en toute sécurité pendant leur transport à l'hôpital. «De nombreuses personnes m'ont approché et aidé en contribuant avec des dons puis m'ont demandé de poursuivre cette action jusqu'à ce que la pandémie soit terminée», dit-il. «C'est grâce à l'aide de tant de personnes que je suis en mesure d'agir ainsi. Je n'aurais pas pu le faire tout seul».
1 note · View note
ontherousteagain-blog · 8 years ago
Text
La Esfinge / Le Sphynx
Depuis tout gamin je suis fasciné par l'Égypte ancienne. La vie rythmée par le Nil, les mystères qui entourent la construction des pyramides, les secrets qu'elles renferment, la beauté des hiéroglyphes et la puissance évocatrice de leurs Dieux. Le tout renforcé par une iconographie incroyablement riche et variée. Indiana Jones, Blake et Mortimer, Christian Jacq et Théophile Gautier ont par la suite renforcé cet attrait en y ajoutant le piment de l' aventure et du fantastique. Mon seul véritable contact avec l'Égypte eut lieu à l'adolescence et aurait pu très mal finir. La scène se passe au British Museum. La pierre de Rosette trône au milieu d'une immense salle. Un jeune homme s'approche fasciné par cet objet qui permit à Champollion de déchiffrer les hiéroglyphes. Et ne peut s'empêcher de passer la main dessus. Vigile, empoignade, semon, rebellion. Heureusement que la maman est la pour désamorcer la situation. Bref vous l'aurez compris, je ne pouvais pas passer à côté d'une montagne baptisée Le Sphynx. Comme son homologue de Gizeh, le Sphynx péruvien est majestueux. Comme lui, il est tourné vers l'Est. Les similitudes s 'arrêtent là. Il est 10 fois plus haut et fait dans un caillou béton qui ne connaît pas l'usure du temps. Et en prime la ligne qui permet de gravir ce monument a tapé dans l'oeil de ma chérie. C'est le seul objectif incontournable dont on avait parlé avant le voyage... Dans notre auberge espagnole, deux allemands avec qui nous avons bien sympathisé partagent notre projet. On décide de partir ensemble pour mutualiser les frais de transport. Dans le collectivo ( minibus péruvien) un péruvien espiègle me fait passer pour un membre du groupe Indochine auprès de sa femme. Ces rires! Ensuite c'est triporteur puis taxi tout terrain jusqu'au lac Paron. C'est le Pérou de cinéma: eau turquoise, sommets acérés et enneigés qui étincellent au soleil. Énième fracture de la rétine. La suite relève de la féerie. Ici c'est comme la vraie vie mais en mieux. Approche vite expédiée Rest Day au Paradis. On en profite pour faire qques longueurs et mater nos potes allemands qui s'éclatent dans la voie. Le lendemain c'est à nous! 750 m de parois en terrain montagne sur pitons et friends. Il y a même une renfougne. Tout passe à vue. C'est extra. On honore quand même quelques relais façon Mercanton 😝 et je me fume la paume de la main en bataillant pour extraire un coinceur récalcitrant. Mais à 15h on est au summit. Pas de vent. Un paysage dément. Je me sens Pharaon, elle rayonne comme Cléopâtre 😎
5 notes · View notes
streaming-paradis-blog · 6 years ago
Text
Dilili à Paris
Dilili à Paris en streaming Dilili à Paris en streaming Synopsis Dans le Paris de la Belle Époque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de fillettes. Elle va d’aventure en aventure à travers la ville prestigieuse, rencontrant des hommes et des femmes extraordinaires, qui l’aident, et des méchants, qui sévissent dans…
View On WordPress
0 notes
songedunenuitdete · 6 years ago
Text
Bonjour à tous !  Nous voilà de retour pour notre rendez-vous hebdomadaire. Et là encore, je pense avoir une belle sélection à vous montrer. Allons jeter un petit coup d’oeil 😉
“VENOM���
Film réalisé par Ruben Fleischer. Avec Tom Hardy, Michelle Williams, Riz Ahmed
SYPNOPSIS: Possédé par un symbiote qui agit de manière autonome, le journaliste Eddie Brock devient le protecteur létal Venom.
youtube
“GIRL”
Film réalisé par Lukas Dhont. Avec Victor Polster, Arieh Worthalter, Oliver Bodart
SYNOPSIS: Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs Lara, 15 ans, rêve de devenir danseuse étoile. Avec le soutien de son père, elle se lance à corps perdu dans cette quête d’absolu. Mais ce corps ne se plie pas si facilement à la discipline que lui impose Lara, car celle-ci est née garçon.
youtube
“DILILI À PARIS”
Film d’animation réalisé par Michel Ocelot.
SYNOPSIS: A partir de 6 ans Dans le Paris de la Belle Époque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de fillettes. Elle rencontre des hommes et des femmes extraordinaires, qui lui donnent des indices. Elle découvre sous terre des méchants très particuliers, les Mâles-Maîtres. Les deux amis lutteront avec entrain pour une vie active dans la lumière et le vivre-ensemble…
youtube
“VOYEZ COMME ON DANSE”
Film réalisé par Michel Blanc. Avec  Karin Viard, Carole Bouquet, Charlotte Rampling
SYNOPSIS: Voyez comme ils dansent… Julien sent comme une présence hostile derrière lui en permanence. Alex, son fils apprend qu’Eva, lycéenne de 17 ans a oublié de le prévenir qu’il allait être père. La mère d’Eva, Véro, dans une sale passe depuis sa naissance pense qu’elle va être obligée d’arracher le sac des vieilles pour nourrir le futur enfant. Elizabeth, dont le mari Bertrand s’est volatilisé, voit sa maison dévastée par une perquisition. Lucie exaspérée par les délires paranos de Julien, son mari, est au bord du burn out conjugal. Serena, la maîtresse de Julien sent qu’il lui ment. Julien ne sent pas que Serena lui ment aussi. Loïc, fils ainé de Véro, seul élément stable de la bande ne l’est pas tant que ça. Sans oublier un absent toujours très présent…
youtube
  Encore une fois, une jolie sélection diverse ! Lequel vous tente le plus dans les 4 ? Dans tous les cas, j’espère que cette sélection vous plaise 😀 ! Bonne journée à tous et à la semaine prochaine !
AFFICHES
[Klolianebooks] Hello ! Prêts pour un nouveau rendez-vous Sorties Cinéma ? C'est parti ! Bonjour à tous !  Nous voilà de retour pour notre rendez-vous hebdomadaire. Et là encore, je pense avoir une belle sélection à vous montrer.
0 notes
vfmovies · 6 years ago
Text
Regarder Dilili à Paris en streaming VF
New Post has been published on https://vfmovies.to/movies/dilili-a-paris/
Voir Dilili à Paris complet en franaçais, très bonne qualité et gratuit.
Dans le Paris de la Belle Époque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de fillettes. Elle va d’aventure en aventure à travers la ville prestigieuse, rencontrant des hommes et des femmes extraordinaires, qui l’aident, et des méchants, qui sévissent dans l’ombre. Les deux amis feront triompher la lumière, la liberté et la joie de vivre ensemble.
0 notes
axiafilms · 6 years ago
Video
DILILI FA AXIA WebHi from Axia Films on Vimeo.
Dans le Paris de la Belle Epoque, en compagnie d'un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de fillettes. Elle va d'aventure en aventure à travers la ville prestigieuse, rencontrant des hommes et des femmes extraordinaires, qui l'aident, et des méchants, qui sévissent dans l'ombre. Les deux amis feront triompher la lumière, la liberté et la joie de vivre ensemble. UN FILM DE MICHEL OCELOT
0 notes
anxiousfever · 7 years ago
Text
Rêve 20180628
3h45 20180628
J'étais à Levroux. Avec mon père ma mère ma sœur. Je dormais dans le lit du salon la tête loin du mur. Ils regardaient un match de foot très tard/tôt (presque jour) et j'essayais de dormir. Je leur fais remarquer que le son de la télé est désagréable. Ils ne m'écoutent pas et s'en fichent. Je pars aux toilettes et je découvre que la porte a du mal à s'ouvrir vers moi, coincée par la cuisinière. Quand j'aperçois au dehors ma grand-mère Édith qui se trouve être voisine. J'éteins vite les lumières, espérant que le temps que je me glisse et fasse pipi, elle ne me verra pas et rentrera chez elle. Sauf qu'elle se glisse par la fenêtre (qui n'existe pas irl) qui donnerait sur la table de la cuisine. Elle tient un renard à la main, par le cou. Déjà commencé à dépiauter, on lui voit les épaules. Il a taille humaine. Je hurle. Je hurle l'alerte, j'appelle à l'aide par ce hurlements long, répété, indistinct. J'essaie d'atteindre ma mère mais c'est d'abord ma sœur qui apparaît. On me demande ce que j'ai. J'explique que la grand-mère est arrivée avec ce renard à taille humaine, j'insiste sur ce point. Elle est occupée à continuer son œuvre, semble attendre déboussolée que nous participions car c'est normal/naturel. Il est hors de question que je fasse ça et invoque mes convictions antispécistes. Tout celà est horrible et je vois la fourrure apparaître davantage sur son dos dénudé. Pas de sang.
Je parviens à entrer dans la sdb pour faire pipi. Je suis surprise de découvrir qu'elle est en réfection et me fait penser à une caravane collée à la maison. Je décide de faire pipi à l'emplacement de la douche et me laisse léviter de petits trous des cratères d'évacuation en petits trous. La douche est comme une pluie. Il semble rester de l'eau dans les tuyaux même si les travaux ne sont pas terminés. Je finis par en faire fi pour vider ma vessie mais je suis trempée comme une soupe.
Ensuite je m'échappe et me retrouve à l'arrière d'un pick-up. J'ai peur de louper mon arrêt initial (je loupe souvent mes arrêts de bus en ce moment) et frappé qqs coups du poing pour me signaler des jointures à la personne qui conduit. Il s'avère que je suis dans une cabine à l'arrière d'un triporteur vélo. La jeune femme qui me transporte râle car je l'empêche de faire son travail comme elle en a l'habitude. Elle est bourrue. J'essaie de l'aider à traverser certains passages en portant avec elle le vélo mais elle ne comprend pas pourquoi je fais ça. Ce n'est pas utile, ce n'est pas prévu. Ma considération détonne mais elle me laisse finalement l'aider. Nous arrivons à une destination rue de la mairie à la Riche. Je tombe sur une assemblée de lesbiennes loin dans ma mémoire. Je félicite l'une d'elle en tapotant ses épaules. Je lui dis qu'elle fait maintenant partie des lesbiennes célibataires âgées et difficiles à caser. Qu'on baise moins souvent mais que c'est plus fort. J'essaie de faire comme si c'était drôle comme statut alors que ça m'inquiète un peu moi-même...
Je retrouve mon lieu objectif. Un hangar derrière un supermarché qui vend des plantes et fait drogueries dans d'autres rêves. Sauf que là, j'essaie de me cacher derrière leurs poubelles. Pour dormir ? Pour faire pipi vraisemblablement. J'essaie d'aller plus loin, dans un escalier qui longe le bord d'un grand hangar façon la villa des Papes à Avignon. Je me retiens d'un main à la rampe, les fesses dans le vide. Je crains une caméra de surveillance. Je crains de ne croiser une personne malveillante. Étant nue sous mon t-shirt long (journée sans culotte juste avant...), j'essaie de ne pas tenter le diable et de ne pas croiser un potentiel agresseur sexuel.
Fin du rêve : caméra omnisciente, je vois le réveil de clones et leur armement après des tests. Ça a lieu derrière des réservoirs dans un espace grillagé, assez visible dans le haut du hangar tout de même. Ce sont des personnages grosso modo issus des films Resident Evil, les derniers. Je me fais la réflexion que si jamais j'étais surprise, on me tuerait pour ça. Mais ce n'est pas une caméra subjective.
Je me réveille avec bcp de détails.
Je sais avoir rêvé de la famille à un moment, genre Christian G. comme sur la photo que m'a montrée Maman du mariage de Raphaël et Sylviane. Mais pas de souvenirs précis là-dessus.
4h05
0 notes