#le terasse
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EL
MIMI
#EL GATITO#IL M'A SUIVIS TOUT LE TEMPS OU J'AI NETTOYÉ LA TERASSE#GREAT COOWORKER . DESERVES A RAISE (GETTING ADOPTED. BY ME)#journaliteuse#Pige's job saga#Cat pictures
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On ne peut pas vendre le 107.5 fm on a les serbes qui deviennent fou ... le foutu four 4th war world orthodoxe versus europe !! Moi aussi ils m' ont douiller (tarifer,) 75kg /100 d'or mes etudes en ingeniery du son sound priver private tomber a l' eau !
pepites d' or ! #luxembourg on vous les echange a condition d' obtenir la mignolette de la world cup adresser a Materrazzi 2006... pour iomatrix-23 [, he took my name on tweeter ] i am exiged the beauty boop... the trophy => italia rend the le double col du cou plus les lanieres lacet a tirer la tete de nos joueurs attendez notre reaction ... puis rosebiff twickenam 7-56 pour le maillot du dragon ... ... SF PARIS ils se sont fait terasser ok !
@pentagon-net : recupeared thx a lot ... the cadre usa five monnay of paris ... excelent choice versus 1.200.000 $ (0.78£) . ok men ?
Price => 750.000 £ exchange acrylic peint 970.000 $ x 0.78 = 760.000 £ ...
Other point (1) BD clean shit. Soon as the tri tri nations will existing we aren't been both three ... team (8) rugby... football (7) .... basket (5)... the same in all sports category ... interrested for a confrontation direct between England France Italia 2 partys x 3 sports .. each will be played as RSA - Australia - New Zeland !
#king charles lll#king charles 3rd#king charles iii#king charles portrait#willem alexander#king willem alexander#luxembourg
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chefs de guerres
Pour de fiers chefs de guerres,
S'éprendre c'est faire taire, l'autre,
Jusqu'à ce qu'il n'en reste rien,
L'élu de chacun, ne peut, qu'en tout point,
Triompher, terasser,
De force égale à l'affection partagée,
Pendant que l'envie ronge leur honneur,
Animé d'imaginer l'ennemi, un genou sur le sol.
L'épée s'en va tout droit vers le coeur, mais
Le vent ne peut porter que les draps de l'humilité.
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6 octobre:
Atterrissage à Lima à 05h00 après une escale à Atlanta. Pour rejoindre le quartier de Miraflores je ne dois compter que sur moi même afin d'éviter de prendre un taxi et trouver le bon bus. Finis le monde des bisounourses d'Europe. Je rejoins Javier à son hotel qui partagera mon séjour latino pendant 1 semaine. On prend un petit déjeuner incluant des fruits tout aussi inconnues que délicieux. Puis c'est parti pour une visite d'une journée de cette ville dont on n'attends absolument rien d'un point de vue tourisme.
On ne sera pas déçus. Peu d'intérêt du "vieux" centre mis a part ses cathédrales, la place principale, le palais du gouvernement et le marché dont on mangera un bon ceviche. Puis direction le quartier barranco en bus. Le chauffeur devait être ivre puisqu'il conduisait comme un crétois en Égypte jusqu'à se faire arrêter par la police. Il refuse de donner ses papiers puis prend sa veste et se tire en faisant croire qu'il revenait... C'était divertissant.
Évidement arrivé à Barranco on est déçu mais on aperçoit tout de même une jolie vue sur la plage et les falaises de Lima, ainsi que des surfeurs qui n'auraient pas peur de se baigner dans la Seine à Paris.
Le soir c'est bière puis direction le terminal de bus pour rejoindre Trujillo de nuit.
7 octobre :
Arrivés à destination on se croirait toujours à Lima. C'est moche et je me sens mal d'avoir embarqué Javier avec moi dans ce coin (Cusco et Arequipa sont des merveilleuses villes mais que j'avais déjà visités en 2017). Mais on est venu ici pour les sites archéologiques de Chan Chan et de la Huasca del Sol. Le premier fut fondé par la dynastie Tang de Chine au VIe siècle de notre ère. Je déconne ça n'a aucun sens. Il s'agit d'une ville pre-inca, des chimú, qu'on explore à l'aide d'un guide qui nous raconte plein de chose intéressantes qu'on peut trouver sur Wikipedia. On sera impressionnés par la taille du complexe (80 000 habitants !) dont seuls les murs ont été "déterrés" ornés à certains endroits de sculptures à leurs base. Le 2e site est une pyramide (Huasca) dont on observe des peintures bien préservées sur ses façades. Ceci est dû au fait qu'à chaque mort du souverain Chimú, ils rebatissaient la pyramides SUR l'ancienne. Du coup ça taille augmentait et les peintures étaient emmurées.
Je m'étais déjà fait la remarque à Nazca en 2017: c'est très regrettable et incompréhensible de voir que le gouvernement péruvien se "fiche" de ses vestiges. La fouille et préservation de la Huasca del Sol est entièrement privée, et celle de la Huasca de la Lune publique, toujours à moitié sous terre et ne se visite pas.
Le soir on cherche un bar en vain, et on finit par boire des bières sur la terasse du hostel où l'on fait la connaissance d'autres hôtes.
8 octobre :
Journée posée avec grasse matinée puis direction la plage de Huanchaco. Plage laide, ville laide, paysage laid, ceviche bon. Retour au hostel où l'on retrouve nos "potes" (j'avais perdu l'habitude de m'en faire dans des hostels) et on joue aux Jenga, une activité incontournable au Pérou lorsqu'on doit attendre le bus de nuit pour Huaraz.
9 octobre :
Réveil dans le bus à 05h00 en arrivant dans cette ville située à 3000m d'altitude et aux pieds des cordillères blanches. On rejoint notre hôtel et on enchaîne direct avec une ballade d'acclimatation au lac Roccotuyoc (Paccharuri sur maps). Javier voit son 1er glacier et je partage donc son émerveillement devant cette petite mer de glace qui finit sa course dans un lac truffé de mini-iceberg. On est à 4500m et ça nous mets KO, même si la rando est très courte. On est malheureusement avec un groupe et on fait sur le chemin du retour des activités dont on se serait bien passées: des thermes d'eau chaude et un restaurant imposé (on mangera nos sandwich à l'écart). On finit la journée de manière totalement improvisée et imprévisible, dans un bar.
La journée il fera moche et c'est avec grande déception que j'apprends que la saison des pluies est arrivées 1 mois plus tôt que prévu, du jamais (ou très rarement) vu selon certains locaux. Fait chier, je comptais y rester un petit moment après le départ de Javier.
10 octobre :
Grasse matinée car prévisions météo pourrie. Sauf qu'il fait très beau... donc on se dépêche pour trouver une rando accessible depuis Huaraz. Ca sera donc le lac Churup. 2h de monter pour atteindre cette jolie "laguna" au pied d'un glacier. Évidement je respecte la tradition et je m'y baigne. L'eau venant directement du glacier je m'attendais à être secouru par Javier après évanouissement mais je suis agréablement surpris d'y trouver une eau que j'estime autour de 10°c (oui c'est froid, mais pas pour un lac de glacier).
De retour en ville c'est resto puis dodo. On est suffisamment acclimatés, finit les politesses, demain on rentre dans le dur avec rando sur 2 jours et point culminant à 5000m.
Bilan: 6km, 700m d+, 4500m alt. Max
11 octobre :
C'est parti pour la boucle du "Paso zorro". On galère à trouver l'accès au chemin et on débute 300m plus bas que prévu. Du coup ça sera soit un bivouac au bout de 600m d+ à un "camping", soit au 1er lac à 1100m d+ (à 4600m). La 1ere moitié se passe très bien, ciel bleu, chien errant qui nous tient compagnie, cardio OK, et on décide donc de poursuivre jusqu'au lac. 200m d+ plus haut Javier est HS par le mal d'altitude, je prends tout le poids de son sac que je peux faire rentrer dans le mien (il doit être autour de 23kg). Mais ça ne s'arrange pas pour lui, moi même je me sens anormalement fatigué. Je finis en galère la monté et redescend (50m d-) pour prendre le sac de Javier qui est au bout de sa vie. On monte la tente, on prend l'apero sans les bières (qu'on avait montées pour les vidées par terre tellement l'idée de boir de l'alcool nous écœurait) et on se force à manger (on n'a pas d'appétit non plus). La mauvaise mine ne nous empêche pas d'admirer un coucher de soleil qui peint en rouge les nuages au dessus de nos têtes. La nuit on a du mal �� respirer et on mesure notre pouls à 110bpm (tout les 2, synchro). J'essaie de rassurer Javier qui commence un peu à paniquer... Si je n'avais pas vécu bien pire au Kilimandjaro je pense que j'aurai angoissé un peu aussi. Point positif, notre corps chauffe tellement qu'on a absolument pas froid pendant cette nuit en dessous de 0°.
12 octobre :
Avec une nuit de 11h, on a pu trouver certains créneaux pour dormir et avec avoir un sommeil récupérateur. Comme chaque matin, le ciel est complètement dégagé et on re-découvre le paysage avec le petit déjeuner. On entame ensuite la dernière monté vers le Paso Zorro 430m d+ plus haut, à savoir à 5000m d'altitude. Javier m'insulte intérieurement à chaque "faux" col qu'on aperçoit qui nous fait descendre pour remonter de plus belle. Mais à l'arrivée la vue est dignement méritée et nous est présentée par Philippe Ecebez: Sommet blanc sur fond bleu avec coulis de glace émeraude surplombant deux lacs glaciers, avec comme accompagnement sur arrière plan la vallée immense et aride afin d'équilibrer les goûts.
Arrivés au niveau des lacs je me fait un petit bonus pour monter sur la colline entre les 2 lacs et juste en dessous de la mer de glace. Ecebez n'a plus les mots. Et enfin 12 km pour rejoindre notre point de départ sur une descente qui nous fait retrouver nos sens au fur et à mesure que l'altitude baisse. Sur le chemin on admire d'autres sommets blancs, on longe des canaux parfois légèrement aérien qui font jurer Javier (faut dire qu'il ne s'agissait pas du sentier "normal" et il me semblait plus "spicy" de l'emprunter. C'était avant que je constate le vertige de Javier).
Enfin la boucle bouclée, retour à la chambre, douche, bière, pizza, dodo, pas de réveil.
Bilan Paso Zorro (2 jours): 22km, 1700m d+, 5000m alt. Max
13 octobre :
Journée dédiée au repos, absolument rien au programme. Même la seule activité possible à faire à Huaraz, le musé archéologique, on ne le fera pas. Du coup j'en profite pour faire une lessive et me renseigner sur le trek de Huayhuaysh qui se fait en 8 jours. Comme je veux le faire en solo et pas passer par une agence, ça demande un peu de logistique pour le transport. Grosse galère pour obtenir des information, on nous mens, on nous insulte (oui), on nous donne de faux espoirs, bref... je démerderai finalement avec un transport publique puis taxi sur 2 heures, tant pis pour le porte monnaie.
On finit la journée avec bières artisanales et Javier s'en vas prendre son bus pour Lima chopper son avion du retour.
Je me sens seul et j'appréhende pour le trek que je commence demain, je dormirai mal.
14 octobre :
Réveil à 04h00 pour prendre le bus de 05h00 qui m'amène jusqu'à Chiquián. Les 42km sur route non revêtu qui me restent je les effectue en mini bus, mais comme je suis le seul passager et que je suis un gringo je paie le prix d'un taxi. Il me propose 200s, on conclu à 150s (38eur). Ca n'a l'air de rien pour 2 heures de route mais un local doit payer ça à peine 5eur.
Sur le chemin je me fais raquetter de 18eur de droit de passage pour arriver au point de départ. Payer un droit OK, mais pas un smic péruvien non plus.
Bref, je commence mon trek avec une météo passable (au sec) et 3 heures plus tard j'arrive au 1er "camping". Les paysages sont très verts, beaucoup de vaches, on ne se croirait absolument pas à 4000m. Au passage je me fais encore raquetter de 10eur par les paysans du coin. Ramené au niveau de vie locale, ça doit être équivalent à 80 000€ en Haute Savoie.
Comme je suis arrivé à 13h00, je m'ennuie un peu dans la tente sous la pluie qui vient me rappeler que c'est la saison humide. Mais c'est aussi ce que je recherche. Au camping il y a aussi un groupe de 8 personnes qui feront probablement le même trek que moi mais avec une agence. On est donc peu sur ce sentier.
A 17h00 je dîne et à 18h00 dodo.
Bilan: 9km, 600m d+
15 octobre :
Ciel bleu au réveil et vite je me prépare pour profiter de la rando tant que ça dure. Je réalise que j'avais campé pas loin d'un sommet avec glacier, et je prends conscience de la chaîne de montagne blanche dont je vais faire le tour. Je longe les sommets en suivant la vallée et en passant par un col; c'est très beau. Je dépasse le camping pour être tranquil et je pose ma tente dans une vallée assez étroite au bord d'un lac et en bas d'un glacier. Il commence à pleuvoir et je sors ma tête de la tente uniquement quand le glacier gronde pour apercevoir les chutes de blocs de glace. La génération qui suit n'aura vraisemblablement plus ce problème.
J'essaie de m'occuper comme je peux jusqu'à l'heure du dîner (17h00), sachant que j'ai posé la tente à 11h30. Observer les goutes qui ruissellent sur ma tente devient mon passe-temp favori. Je me demande s'il y a eu un chercheur qui se faisait chier comme moi pour établir une relation entre la chute d'une goute sur une paroie, sa masse, sa densité, la rugosité et pente de la surface. A vérifier quand j'aurai internet. Si j'avais internet je ne me poserai pas ces questions...
Bilan: 15km, 650m d+
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PASSEGIATA AL LAGO - 15.09.23
Après cette nuit agitée, on profite enfin de la belle vue sur le lac ! Lecture et petit-déjeuner à l'arrière de la camionetta.
On redescend ensuite à Verbiana pour aller visiter la Villa Taranto, réputée pour ses riches jardins. Acquise en 1930 par un capitaine écossais passionné de botanique, il aurait découvert l'annonce de vente au court d'un voyage à bord de l'Orient Express, en lisant le Times, de retour d'un séjour à Venise... rien que ça ! Déambulation entre arbres centenaires, labyrinthe de dahlias (une pensée pour mon sublime bouquet de mariée ! ♥️) et nénuphars géants ; j'étais plus dans mon élément que Léo - en plus j'y ai bu un deliziosa cioccolata calda !
Déjeuner rapide cuisiné par mon chef personnel, avant d'embarquer sur le bateau qui nous conduit aux Iles Borromées. Archipel acheté par la famille homonyme au XVème siècle, il est composé de :
l'Isola dei Pescatori, ancien village de pêcheur, charmante mais transformé en village de restaurants et échoppes à touristes
l'Isola Madre, la plus grande, sur laquelle se trouve un "petit" palais, et surtout un parc exotique enrichi au travers des siècles et ouvert au public depuis les années 70
l'Isola Bella, la plus célèbre, constituée d'un Palazzo et de jardins à l'anglaise très étonnants.
Visite du Palazzo Borromeo donc, de ses nombreuses galeries et chambres encore meublées, les fenêtres laissant entrevoir de superbes vues sur le lac. On traverse de nombreux salons, dont un, particulièrement vaste (haut de trois étages) au plafond duquel on peut lire la devise familiale : humilitas.
On y apprend également que Napoléon a fait escale sur l'Isola Bella sans prévenir durant sa campagne d'Italie, que lui et sa garnison de 60 soldats se sont comportés comme des goujats, et que l'intendant du palais a été bien heureux que cette visite ait été de courte durée car ils ont laissé après eux "des chambre sales et malodorantes"...
Au rez-de-chaussée, on découvre les Grottes, appartements restant frais par les chaudes journées d'été, tapissés de galets du lac, du sol au plafond.
Sans oublier que partout sont repris les symboles des Borromeo : un chameau assis, un cèdre, trois anneaux entrelacés et une licorne. Mais ce sont les aménagements extérieurs qui rendent cette île unique : en sortant, après avoir traversé la cour de Diane, on découvre la Serra Elisa, luxuriante et très jolie. Léo y propose un intermezzo musicale.
Au coeur du jardin se trouve le Teatro Massimo, décor invraisemblable et débauche de statues, terassant les jardins sur plusieurs niveaux. Le tout surplombé par une immense licorne. En haut, une vaste esplanade encadrée de quatre obélisques reprenant les quatre éléments et offrant un panorama sur le lac magnifique.
Sur le trajet de retour en bateau, je m'improvise photographe de cartes postales - il doit bien y avoir un type dont c'est le job, non ?!
Une baignade-douche aux abords du lac, de l'essence pour la camionetta, et nous voilà comme neufs pour rouler jusqu'à Stresa, ville d'en face et point de départ principal pour les îles Borromées.
Sur place, on visualise bien le passif de lieu de villégiature de la région. Sur tout le front de lac, sont alignés de grands hôtels, aux vitres en verres soufflés gigantesques, serveurs en livrée, restaurants de luxe et enseignes lumineuses.
Après une bonne pizza à emporter sur le port, on reprend un petit peu de hauteur pour observer une dernière fois le Lago Maggiore avant de partir à la découvert des autres lacs !
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Je suis complètement à bout. J'ai du mal à faire face, rester debout et sourire. Ça me coûte beaucoup d'énergie dernièrement de juste rester en vie. Il ne subsiste pas un pan de ma vie qui m'apporte réconfort, apaisement ou sérénité. Je suis toujours à un éclat de rire de craquer. Quand je parle, peu importe à qui, j'ai l'impression de sortir de mon corps, de regarder de l'extérieur la conversation et de me rendre compte comme c'est absurde. C'est cette absurdité constante qui m'angoisse. Cette phobie sociale qui ne cesse de prendre du terrain. Cette fatigue qui me terasse. Cette nausée qui me destabilise. Ça pourrait me faire gerber ma vie. Ça me degoute. Je ne sais pas quoi dire aux gens si ce n'est que je n'en ai rien à foutre de leur vie, d'avoir un avis, d'être cordiale. Pour me voir faudrait presque prendre un rendez-vous. Je pousse les gens à l'abandon, à force d'être exécrable, injoignable et désagréable, je ne peux qu'espérer qu'ils me foutent la paix durablement. C'est pathologique de rester confiner dans mon lit. De partir marcher des heures pour juste ne pas réaliser que je n'ai pas envie d'investir quelconque minute. C'est d'un inconfort tout ça. Je n'ai qu'une envie qui reste immuable celle de me foutre dans mon lit et attendre. Ce que je m'emmerde en vérité. En société, je phase très vite. Je suis dans l'incapacité de fixer mon attention, mon intérêt sur quoique ce soit. Il n'y a rien qui éveille un temps soit peu ma curiosité. Tout me laisse emprunté d'une lassitude nauséabonde. Je suis d'une pédance et presque d'une incorrection reprochable. Ça effraie pas mal de monde ma froideur et le fait que je n'attache d'importance à rien. Je peux comprendre. Moi aussi ça me ferait peur de rencontrer quelqu'un comme moi. Je fais tellement d'efforts pour ne pas céder à ces pulsions dans ma tête qui me disent de me sectionner une artère, de bouffer l'armoire maladie ou juste un bus. Je donne sûrement la sensation d'être immature et d'être pourrie gâtée, mais je ne crois pas. Jai beaucoup de mauvais travers mais pas eux. Le temps se fait long, et tout reste si fade et dégueulasse
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De nos échanges, de nos écrits, tous ces nuages en sont chargés. Chargés pour nous de sauvegarder en l'air, toutes ces paroles qui n'en sont pas. Mais de coup de fil en coup de foudre. Le ciel se couvre, Peter. L'orage nous guette à Pan. Ne risquons nous pas que nos histoires d'eau ne s'évaporent si personne à jamais ne les lisent ? Ô rage �� désespoir. A peine voilé, le message éclair : Libérez nos textes de ces serveurs en TERAsse
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O2Vie 205-2024/08: LES UNS LES AUTRES (2)
Hébreux 3:13 - Mais exhortez-vous les uns les autres chaque jour, aussi longtemps qu'on peut dire: Aujourd'hui! afin qu'aucun de vous ne s'endurcisse par la séduction du péché.
Le plan de famille chrétienne est une initiative très bénéfique pour les enfants de Dieu. Dieu nous a créés interdépendants afin que le monde garde une stabilité. Ainsi dans le corps de Christ, il y a différents membres indispensables, aucun ne peut remplacer valablement l'autre mais ils se complètent d'où les uns les autres. Dans le corps de Christ, le chrétien doit savoir qu'il s'agit de la complémentarité afin de ne pas s'isoler dans un coin. Lorsqu'on s'inspire de l'image de corps humain, les oreilles ne peuvent remplacer les yeux, les yeux ne peuvent pas jouer le rôle des sourcils et la bouche ne peut jouer le rôle de l'anus, ils sont tous complémentaires. Dans l'épitre aux Éphésiens 4:11, l'apôtre Paul a nommé les ministères donnés à l'église en disant : "il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme pasteurs et docteurs". L'apôtre Paul ajoute dans le verset suivant que ces ministères bien que spécifiques en leur genre concourent à l'édification du corps du Christ. L'église est l'œuvre du Saint-Esprit et elle est parfaite. Dieu a tout pourvu à l'église afin que la vie soit possible et que la gloire lui soit donnée.
L'apport des uns et des autres est indispensable pour l'édification de l'église, c'est pour cela que chaque chrétien doit être favorable au sens de l'interdépendance. Aujourd'hui dans nos églises, nous constatons l'isolement de certains chrétiens qui pensent être suffisant. Dans les versets 10,11 et 12 d'Ecclésiaste, la Bible nous montre combien c'est mieux d'avoir un second car le fruit qu'ils produisent est nettement profitable que celui d'une seule personne:
- ils peuvent se relever si un tombe
- ils peuvent se réchauffer
- ils peuvent affronter un fort et le terasser
Ecclésiaste 4:9 - Deux valent mieux qu'un, parce qu'ils retirent un bon salaire de leur travail.
Bien-aimés dans le Seigneur, nous devons cultiver la promotion de l'autre. Le chrétien ne devrait pas être jaloux, ni envieux ou essayer d'étouffer l'autre pour ce qu'il sait mieux faire que nous. Les frères de Joseph l'ont envié à cause de l'amour particulier que Jacob témoignait à l'égard de Joseph et ils l'ont vendu pour un gain éphémère. Ne vendons pas nos frères pour se débarrasser d'eux mais contraire, soutenons, encourageons, faisons la promotion pour l'édification du corps du Christ.
Que votre journée soit riche en bonnes œuvres.
Pasteur Eric BODJONA & L'Equipe Eau de Vie
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PARIS
A grey cold morning in Paris but we took the metro to Chatelet and wlalked across to Ile de la Cite . The queue to get into St Chapelle was ++++ long so as I had benn there at least three times I decided not to join. A walk to see the restoration work on Notre Dame followed.A lot of photographs explaining the phases are on the hoardings
From my observation there were a lot more Springbok than AB supporters in the city.
Paris has been on a red alert for weeks and the number of poolice etc is amazing but today it was wall to wall police. Peoples bags and backpacks were searced as they were crossing back to Place du Chatelet from Ile de la Cite.
We then wandered St Gervais area before going to Les Haslles area where we found the wonderful Church of St Eustache.
"Home" to a late lunch at La Terasse and shared an extra bottle of wine with John and Julie .
Then out to THE GAME. It rained as we exited the coach so we all donned our ponchos for the walk to the ground . we have become experts on the route " cross at the lights then walk until the ramp go through two lots of '"frisking"( male and female queues ) then walk to your gate then efficient roundabout queues to finally scan your ticket and get into your alloted area". The rain had stopped by then and altohugh there was a light droizzle through much of the game we were all dry.
What a game it was - hardly running rugby but the most brutal defence and you can't deny the Springboks know how to win a game. Three 1 point victories in the last 3 weeks demonstrate this. My "Man of Match " was Faf de Klerk .He can kick, tackle and had a wonderful pass - all from the smallest guy on the field.
The crowd was amazing in this marvellous stadium and the noise and atmosphere was electric.
About ten of us stayed to watch all the festivities - mainly those of us who had been barracking for the Bokka. The others got out to beat the crowd ( most of the 80,000 plus crowd stayed ) .The fireworks were great but I think provoked another downpour as we ten got absolutely drowned on the walk back to the bus. Lots of videoas were taken.
The trip home was the quickest ever and lots of game analysis .All agreed we have been so lucky to only see one game where the result was a foregone conclusion before the last few minutes.
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Writever Mai2023 Jour 10 "Misérabilisme"
- Et nous retrouvons Martine…
- Marine
- Oui, je vous écoute, Martine, donc, tétraplégique, elle ne PEUT ABSOLUMENT PAS BOUGER et…
- En fait j’ai de la mobilité dans cette main, ça me permet de…
- TOTALEMENT PARALYSÉE du corps, Martine, en revanche, n’est pas…
- Ho non ne le dis pas, ne le dis pas…
- ��� paralysée du CŒUR !
- Doux Jésus.
- Martine est seule, désoeuvrée, si seulement un patron d’ESAT voulait bien la laisser trier des cordons d’attache de portes-clés 30 heures par semaines…
- En fait je suis prof d’anglais.
- Ses journées, elle les passent à contempler les nuages par la fenêtre…
- Vous pouvez abréger ? J’ai soirée poker avec les filles dans 20 minutes.
- Hélas, Martine ne peut pas sortir.
- Ah si, justement, c’est à ça que sert le fauteuil, le problème c’est qu’avec les beaux jours la rue est bloquée par les terasses de café et…
- Martine aimerait tant devenir normale…
- J’ai pas l’air normale là ? J’ai fais quoi ?
- Un coeur si tendre…
- J’ai un truc sur la figure ?
- Dans une prison de chaire.
- Doucement avec la chaire, je ne vous ai même pas encore présenté mes parents…
- Ce soir j’aurai une pensée pour tous ceux qui comme Martine…
- Oui tous ceux qui en ont marre que les terasses prennent toute la place du trottoir !
- Nous font réaliser la chance que nous avons…
- Pas vraiment non, si j’étais ta mère j’aurais tellement honte…
- De ne pas être à sa place.
- Raymonde, aidez moi, le Monsieur perturbé a attrapé mon épaule !
- Moi j’pourrais pas…
- D’accord mais il faut me lâcher… Qu’est-ce que… vous pleurez ?
- Je préfèrerais qu’on me
- BON ON VA ARRÊTER LÀ MONSIEUR HEIN !
#writever 2023#writers on tumblr#writever#en français#français#handicap#own voice#psychiatrie#fiction#writevermai2023#Gpetri court
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A LOUER S+1 MEUBLE - LA MARSA - TEL 53672333 - FB.4401
Loyer mensuel : 900 DTType : S+1Superficies : 90 m²Adresse : La MarsaContacter notre conseiller en immobilier au 53672333 / 52026677 / 70727279A louer un étage de villa S+1 au 1 ére étage richement meublé situé dans une quartier calme a cité les pins pas lin de trois kiosques La Marsa. Composé d’un salon qui s’ouvre a une kitchenette, une chambre a couché qui contient un grand terasse et un salle…
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Gueux plaza
I.Le centre du village n’arrive plus à absorber le flux des automobiles, le flux du besoin de consommation. Enfaite, le centre du village n’a plus les capacités en terme d’espace et d’expansion que les besoins nouveaux recherchent. Impossible à aggrandir, il faut en faire un nouveaux, qui sera automatiquement décentraliser de l’ancien. L’ancien avait conservé cet effet central et historique. Le nouveaux ne peut l’être qu’à condition de continuer à faire étendre le village.
Le tabac/presse voit sa taille quintuplé, la superette triplé et la déchetterie doublé. L’expansion démographique du village fait qu’il est nécéssaire de revoir ses infrastructures. C’est un fait.
Le maire recréer de toute pièces ce nouveaux pôle, espace végétalisé, place publique, terasse à café, etc.. L’ancien centre est quant à lui vidé. Le village se voient greffer d’une double polarité. Certain des anciens commerces/habitant resistent et continuent à croire en leur vieux centre, quant d’autre, plongent dans ses commerces standardisé, espaces sans aucune histoire. Sans souvenir.. Mais jusqu’à quand?
Je veux dire, à cette vitesse démographiques, jusqu’à quand le nouveaux centre sera t-il efficace? Est-ce peut être le deuxième et dernier centre? Comment son dimensionnement à t-il était réaliser? Quand va t-il craquer?
La notion de care n’est pour autant pas jetté à la poubelle. L’ancien centre reste actif, les commerces autrefois utile aux habitants se voient transformé en service, agence immobilière, centre de soin animalier et ou bureaux.. Mais le maire recherche avant tout à déplacer le coiffeur, l’épicerie, la pharmacie, le médécin, la boulangerie dans ce nouveaux pôle. Ce sont ces activités qui font que les habitant se déplacent quotidiennement et fréquentes donc le lieux, où l’église, le lac, la place était positionnée. Déplacer et quoi faire ensuite des infrastructures? dur à dire..
Il existe une friction clair entre l’imaginaire “authentique” et l’imaginaire “moderne”.
C’est l’urbanisme sur rien. C’est un genre d’urbanisme classique qui apparait quand la démographie d’un espace explose. Il faut dessiner des centres. Je pense aux villes nouvelles des années 70, aux quartiers ouvriers des années 00.. etc. C’est l’urbanisme à partir de rien. L’artisanat est mise au rebut et l’industriel mise à l’éloge.
II. Finalement, peut-être que le maire voit juste. Enfaite, ce revirement de centralité, cette nouvelle offre commerciale ne permet-elle pas de conserver le peu d’activité qu’il pourrait rester dans le village.
A quelque dizaine de minute du village se trouvent une offre commerciale incroyable. C’est la zone classique de hyper-commerciale où l’on retrouve la boulangerie authentique et ultra performante, le hyper super mega marché, la fnac etc.. La pauvreté du libraire, de l’épicerie faisaient peut être fuire les habitants du village vers cette périphérie.
Le maire, est-il plutôt un grand sauveur en rendant son offre commerciale attractive? Et ainsi nous faire éviter à nous habitant de vivre dans la france moche, mais aussi de faire virer des fluxs de capitaux vers les mondiaux.
“A-po(pulation)-ca-lypse- The Danger of Overpopulation on the Environment Within America“
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I am back in Paris for a few more days, and so have been continuing my touristic ventures. My first stop yesterday? Another laundromat. Ooh, la la! Very exciting! Well, perhaps not exciting, but certainly lovely to have fresh clean clothes to put on, especially my sweater, since I only brought the one and had been wearing it over mostly everything.
After my laundry was taken care of, I jumped on the metro to head to to l’Aquarium de Paris. My tourist browsing lead to targeted ads on Facebook, which is how I learned Paris has an aquarium, and since I love aquariums, I absolutely had to make my way there. I was joined by my friend Sage; she was a summer student in our shop last year, coming up from Ottawa for a four month stint in the region as part of her university coop opportunity. She’s now working on contract here in Paris, so I had a lovely buddy to hang out with over the last two days.
Lobster
I got to pet fish in the koi pond!
Red and white starfish!
Jelly fish!
Shark!
A constellation of jellyfish.
The aquarium is pretty great, and even though it was a chilly Saturday, it wasn’t too busy, which was so nice! I love aquariums, and so does Sage, so it was a really brilliant time. We even spent a good half hour watching the shark tank! After that, we had an early dinner near the aquarium at a place called Le Wilson, where we chose to have another of those course selection menus. Sage had a yummy mozzarella and tomato salad as her started, while I opted for the French onion soup. She had roast beef for her main, while I went with the roast chicken. For dessert, she had creme caramel and I went with my beloved creme brûlée. The platter menus are such a good idea and good value!
A taste of the Rouen aesthetic.
After that, it was home for an early night, because Sage and I were meeting up again today bright and early, to catch a train for a day trip to Rouen. It’s a charming little village with a sort of French medieval aesthetic, and is probably best known for being where Jeanne d’Arc (Joan of Arc) was imprisoned and then burnt at the stake. Our train left shortly after 7:30, so I hopped on the metro and made my way there fairly handily. I do like the transit here in Paris.
The Donjon (dungeon) tower in Rouen.
The train takes about two hours to get to Rouen. As it was Sunday, many of the shops were closed, but we still found so much to do, and possibly since it was Sunday, much of it for free as well. This included our first stop at the Donjon (dungeon) – not, in fact, where Joan of Arc was imprisoned, though she was brought into the tower and threatened there before being kept elsewhere.
The spiral steps are a menace, but it was very interesting. There are examples of weaponry and clothing, as well as just some information about historical players of the time, such as “Charles the Mad”. They do escape rooms there, too, which might be fun for a group of 3 to 6 people who want to drop 105 euros on that kind of puzzle.
After the Donjon, we made our way to the market (stopping to get some macarons and “larmes de Jeanne d’Arc”, which are not tears but chocolate covered almonds) for later since a little shop was open only until noon. We checked out the produce and listened to the French singer for a bit, before finding the Joan of Arc church, which unfortunately did not appear to be open to the public today.
After that, we found a place for lunch called La Terrase where we got to do another platter selection, though Sage and I opted to just have a starter and main, and skip dessert, since we had macarons and chocolate almonds and also chocolates I bought in Belgium for later. Sage had a lovely prosciutto and butternut squash dish while I decided to give the oysters a go, and then she had a burger while I went with a magnificent duck in orange sauce. It was all very good, and I would definitely go back. The jazzy vibe of the place was nice, too.
After lunch, we made our way to a cathedral, another Notre Dame, this time of Rouen. I seem to be collecting Notre Dames this trip! It’s certainly very stunning, from the detailed intricacies of the outside, which must have been even more stunning before time weathered some of the precision away, to the stained glass and artistry of the interior.
We were going to go into the Musee des Beaux Arts next, but there was a little museum of iron works next door, and it was free, so we decided to check it out. It was very cool! It’s apparently ��unique au monde” (the only one in the world), according to one of the staff – a little museum dedicated to work done in iron, from keys to art to tools and more, some dating as early as the first century! It was extremely interesting and definitely worth stopping in to check out.
We then moved to the Musee des Beaux Arts, and wouldn’t you know it, there was no cost to view the permanent collection today either. It was such a pleasant surprise, all the free things we got to explore today! The collection was also interesting, full of artists I hadn’t heard of but certainly talented, if not the “masters”, dating from the 1500s onward into the final collection floor of impressionists’ work, where I did know some of the artists, as Renoir, Monet, and Pisarro are featured there. There was even one of Monet’s earlier works, done before he began to work in the impressionist style for which he is well known. The Musee is also a LOT bigger than it looks where you start out, and it was a great way to while away the rest of this chilly afternoon in Rouen. I also especially liked a little room dedicated to Joan of Arc works – very appropriate for Rouen, I think!
We had hoped to stop at a coffee shop on the way to the train station, but it too was closed. We managed to find a machine that made coffee; not as nice, certainly, but it would do nicely. So Sage and I had hot drinks to go with our macarons (which we split so we could try four kinds) and our chocolate covered almost and my Belgian chocolate. It was a lovely end to a perfectly charming day, and I’m so glad I went and had such a lovely travel companion to join me!
Travel is extra fun with a friend, especially once as nice and fun as Sage!
EU Go, Girl! Adventures in Europe: Part # 9 I am back in Paris for a few more days, and so have been continuing my touristic ventures.
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Trois femmes sur la terrasse / Le Bouquet de Roses (Baie de Saint Tropez) (ca. 1930) / Femme buvant le thé sur une terrasse / Elégantes sur la terasse au clair de lune
Delphin Enjolras (1857-1945)
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A la terasse d'un café
Je vois défiler
Des jeunes percés
Des vieux tatoués
Des hommes efféminés
Des femmes musclées
Tant d'âmes perdues
Si loin de Jésus
La question qui peut se poser
Est on prêt à l'église à les accepter?
Certains n'hésiteront pas
D'autres ne se prononceront pas
Dans tous les cas
Évitons de les rejeter
Annonçons leur la Vérité
Apprenons à les aimer
Ces âmes perdues
Qui ont besoin de Jésus
Impuissant je les ai regardé
Pour eux j'ai prié
Ce jour là j'étais accompagné
De mon Pasteur, sa femme et ma moitié
On était sidéré mais déterminés
A sauver ces âmes perdues
Qui doivent entendre le nom de Jésus
Amen!!
LES LUMIÈRES DE DAVID
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