#le monde à l'envers
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Carnaval !
Une assez longue série sur une expo du MuCEM, à Marseille : "le monde à l'Envers"
merdule et boe (Sardaigne)
homme-arbre et homme-maïs (Cantabrie)
bonhomme de paille (Bourgogne)
ours (Arles-sur-Tech, Pyrénées ariégeoises)
krampus (Autriche)
chapeaux de printemps
#carnaval#déguisement#masque#marseille#MuCEM#le monde à l'envers#merdule#boe#sardaigne#italie#homme de paille#cantabrie#bourgogne#espagne#ours#arles-sur-tech#boeuf#pyrénées#ariège#krampus#autriche
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Shi-Long Lang: "J'ai très envie d'avoir un rapport sexuel avec vous."
Benjamin Hunter: "Oh moi aussi, agent Lang. Un coït avec vous serait un rêve rêvé pour un procureur comme moi. Vous savez mon mari ne me comble guère. Il a... un tout petit penny."
Shi-Long Lang: "Laissez-moi vous féconder."
Phoenix Wright: "Que se passe-t-il ici?? Shi-Long Lang! Vous me trompez avec ma femme??"
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Les clients qui se pointent au drive sans rdv et qui osent se plaindre que leur commande n'est pas prête.
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youtube
Bon matin 💟🧍♂️🧍♀️🆕️
Orlika 🎶 Le monde à l'envers
#new music#orlika#clip video#le monde à l'envers#music video#clipanim#clip music video#youtube#bonnematinée#fidjie fidjie
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Si on fixe cet escalier pendant qqes secondes, il change de sens.
#c'est le monde à l'envers ou j'ai des visions ?#ben non c juss la covid longue : veux-tu un vaccin ?
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youtube
J'ai les oreilles qui sifflent, carton rouge
Laissez-les kouma - Zaho ft. MHD
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Le jeu des drapeaux
Mon amour de Stargate Atlantis pour son histoire, son écriture, son lore et ses personnages ne saurait égaler la joie sans nom que j'éprouve quand je crie "ALLEMAGNE !" "SUÈDE !" "AFRIQUE DU SUD !" "MEXIQUE !" quand un figurant passe en arrière-plan.
Parfois, je vais jusqu'à faire pause et retour en arrière, image par image, jusqu'à bien voir l'épaule gauche du personnage, puis j'ouvre wikipédia.
C'est comme ça que je sais qu'il y a juste un Français sur la base d'Atlantis mais deux Belges !
#A un moment le drapeau allemand a été attaché à l'envers#ça m'a rendu complètement folle pendant plus d'une heure#je cherchais un drapeau qui n'éxistait pas#ouin ouin#mon frère a trouvé ça très drôle lui#mon rêve est de créer une archive avec tous les drapeaux visibles et un screen du membre d'Atlantis qui le porte#ainsi que l'épisode dans lequel il apparaît#stargate#stargate atlantis#drapeau#drapeaux du monde#stargate flag
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La cantine
Dieu que j'ai aimé la cantine.
Les nourritures roboratives des cantines nous enseignent que nous faisons peu les difficiles quand nous avons faim, et que nous faisons les ingrats une fois rassasiés. Et au souvenir de la fête que c'était, enfant, les jours de cordon bleu, de steak haché, de bourguignon et de petit salé, nous regrettons cette douce prise en charge. La cantine était l'un des trésors d'une routine qui semblait devoir durer toujours pour des enfants heureux à la seule odeur de la sauce brune, dans le vacarme du couloir de la file d'attente. Un esprit rassurant habitait les lieux hospitaliers de notre enfance. Le carrelage du sol, la glissière des plateaux-repas, la fumée des chauffe-plats, la foule nombreuse, l'institution d'un jour des frites, formaient un monde compréhensif et chaleureux.
J'allais deux fois, trois fois, chercher du supplément de cordon bleu, de yaourt à l'ananas, et des tranches de baguette "bien cuite", au point de finir seul à table, longtemps après le départ des camarades partis jouer au football. La paix revenue dans la grande salle posait la respiration. L'avenir serait meilleur. Nous portions des Nike Air et disions des gros mots, mais c'était temporaire. Tintement des couverts en arrière-plan plan. Grondement tranquille de quelque soufflerie, bruit apaisant. Je restais longtemps après la fin de ces services, parfois jusqu'à la sonnerie de fin de récréation tandis que les "dames de la cantine" s'étonnaient de trouver encore un élève à table. Je n'irai pas jouer, le monde est décevant, il fait meilleur dans la proximité des grandes personnes qui sont là pour nous. J'allais encore chercher du supplément. Tout revenait dans l'ordre. C'était la vie stable et la paix, peut-être un aperçu d'éternité bienheureuse. Tintement de couverts encore. Travailleurs en cuisine qui s'apostrophent en rangeant des chariots. La paix loin des engrenages du monde. Mes grands-parents, à Paris, là-bas, l'ordre de leur maison. Un refuge possible. La France tenue par des gens de France, souriants et âgés. Une organisation du monde qui venait de loin et se donnait à moi pourtant, à demi-étranger, un ordre qui me donnait hospitalité, amour, avenir. J'ai immensément aimé ces fins des services de cantine. Moments d'alternative inventés, gagnés sur l'engrenage obligatoire, moments de récollection, de récapitulation, moments de retrouvailles avec le temps lent de mon pays. La cour de récré c'était les jeux stupides, les prochaines boums, les tiraillements sans répit de la réputation et de la sentimentalité qui vous hameçonnent et vous enlèvent à vous même. Rester longtemps à la cantine c'était être rendu à soi-même dans la joie contenue, sans commentaire, sans éclat, dans un cadre, un tout petit cadre, qui délimite une paix totale.
Beaucoup plus tard je n'ai plus aimé que la vie variée, les "excitantes opportunités" pour "profiter de la vie" et "s'éclater comme des malades" dans des nouveautés étonnantes et toujours renouvellées, qui vous mettent la tête à l'envers. Il fallait pour que la vie ait du sel, pour repousser le démon qui vous accuse d'être un raté, accumuler en une seule journée un maximum de musts, que ces musts deviennent un flux continu, abondant, et sûr, qui vous remplisse et vous fasse passer par-dessus la vie.
Il fallait en une seule journée avoir gagné de l'argent, avoir été beau, avoir été bien habillé, avoir affermi son avenir professionnel, avoir serré une petite et s'en être réservé une autre pour plus tard, avoir été drôle, avoir été profond, avoir été guerrier de la survie immédiate dans un tête à tête avec l'existence tout en ayant accepté avec dégagement un salaire, l'amour d'une famille, d'un pays, d'un Dieu charitable, et goûté cette stabilité.
Il fallait en une seule heure avoir capté au réveil une musique nouvelle et opportune qui avait éteint vos doutes et façonné votre optimum d'état d'esprit, puis s'être douché en étrennant un fabuleux gel douche dérobé la veille dans un magasin de luxe, puis avoir passé vos vêtements favoris tout en honorant simultanément un rendez-vous téléphonique pris de longue date qui allait permettre un déblocage administratif auquel on ne croyait plus, être sorti et avoir marché face au soleil tout juste revenu et croisé au moins un regard de jolie passante, être monté dans le métro à la seconde exacte où les portes fermaient, et s'en être allé ainsi vers la foule des opportunités de l'heure suivante, de la journée suivante, des années suivantes sous l'égide d'une présence protectrice et bienveillante.
Au retour de certaines nuits passées dehors à courir les filles je prenais conscience dans des moments d'illumination profonde, que jouir vraiment de la vie supposait de se contenir totalement et tout le temps. J'allais ces nuits là au bout de moi-même, au bout de mes finances, au bout de mon temps libre, au bout de ma peur de l'autre pour oser l'aborder et réussir à la convaincre, j'osais aller chercher cette vie qui ne venait pas à moi et j'assumais de la prendre avec méthode et passion exactement comme on prend une fille. Je touchais au centre de l'existence, à ce pourquoi j'avais jusqu'ici vécu sans avoir osé y aller. Aussitôt, tout devenait paradoxe. Les hommes etaient malheureux disaient Pascal, de ne pouvoir rester en leur chambre ? Eh bien tout le malheur des hommes je le voyais était de vouloir jouir de la vie, de vouloir s'abîmer, s'évader, s'oublier. La musculation, l'éducation, le gain d'argent, les belles possessions matérielles, les appuis mondains étaient des potentiels laborieusement amassés, mais ils étaient comme de l'huile dans des outres fatiguées de les contenir et qui ne demandaient qu'à crever, qu'à se répandre, qu'à purger leur trop-plein. Il faudrait ne jamais vouloir se soulager et ne jamais se fatiguer d'amasser, toute la vraie joie est là. À quels tourments nous condamnent, je le voyais, la recherche hédoniste ! À cet homme moderne et maudit qui se gaspille lui-même parce qu'il est seul, habité d'un monde de désir et assiégé d'un monde d'impossibilités. Telle est la cruelle condition des hommes, voilà ce que je comprenais. En-dedans, un besoin total, et en-dehors, une indifférence totale. J'ai beaucoup aimé les auteurs qui ont su exprimer ce moment précis, ce lieu précis de l'existence, ce vrai tête à tête avec les choses, un face à face musculaire, intellectuel, instinctif, spirituel, financier, judiciaire, total, qui engage avec frayeur et ivresse la totalité de votre être qui veut de toutes ses forces faire naître un nouveau monde. Herman Hesse, Dostoievski, London, Morand, Céline. Et plus près de nous, Soral et Cysia Zykie. Alors vous sentez que vous n'êtes pas de taille, que vous êtes faible et fanfaron ou tout du moins, que vous pourrez tenir mais temporairement, qu'il faudra très vite un support, "un lieu où reposer sa tête", une grâce, une aide externe, une réponse à vos tentatives comme une bouée de sauvetage à un naufragé haletant qui s'épuise et s'affole.
J'ai longtemps fait le fou pour sortir de la condition de perdant immobile que nous promettait cette affreuse ville de Grenoble, entre les gauchistes, les fonctionnaires, les étudiants ESC et les racailles. Il a fallu, du moins le croyais-je, il a fallu trouver une bande de fous et de déclassés comme moi, et lancer la machine. Resquiller, voler, cambrioler, siphonner, camper, cogner, attraper, crier, saccager, courir pour sa vie. Plus tard ce fut le Vietnam, Hongkong, Paris, tenter sa chance, forcer la chance. L'argent, la bourgeoisie retrouvée, re-perdue, regagnée, les vestes en cuir et les baskets Dior Homme ancien modèle, les filles qui ont la mèche sur le front et le collant qui s'arrête à la cheville. Planer au-dessus du marécage où s'enfonce le monde impie des indifférents, et parfois se débattre dedans, avec horreur, larmes et rage.
Eh bien je préférais la cantine.
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Crier au harcèlement mais harceler en retour ? C'est vraiment le monde à l'envers, mais askip c'est autorisé faut bien montrer a tast of your own medicine ✌🏻
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Pause musicale...🎵🎙
ZAZ aux Carrieres de Lumières
La chanteuse se produit au coeur des galeries souterraines de ce haut lieu provençal, "Les Beaux de Provence." (France)
C'est beau...doux...tendre...émouvant et tout le reste...!
Paroles...
Pardonneront-ils pour ce qu'on leur laisse?
Connaitront-ils comme nous l'ivresse?
Les enfants qu'on laissera ici bas
Que feront ils de ce qu'on leur lègue?
De ce monde qu'on a pris pour test
Sauront-ils y refleurir la joie?
Pour l'amour la tendresse et le reste
Qu'a-t-on fait pour que tout cela cesse?
Diables de géants de paresse
Pourquoi n'avons nous pas fait comme toi?
Toi qui donne pour la beauté du geste
Haut comme trois pommes tu vises l'Evrest
Et je sais que tu y arriveras
Pour l'amour la tendresse et le reste
Une vie à chercher la justesse
Pour une justice à deux vitesses
Tant d'amertume, de colère en moi
J'ai beau sourire y'a comme un malaise
Vivre c'est marcher sur les braises
Des bleus à l'âme j'en ai mais j'y crois
Pour l'amour la tendresse et le reste
Et le reste, tout le reste
On a beau se couvrir de médailles
Nos souvenirs sans représailles
Qui pourra dire qu'il ne savait pas?
Puisqu'ici le monde tourne à l'envers
Je peux en compter les revers
J'aimerais tant ré-écrire tout cela
Pour l'amour la tendresse et le reste
Et le reste
Pardonne moi de n'avoir pu faire plus
Je n'descends pas au terminus
Et le voyage se poursuit sans moi
Puisse-t-il être doux comme un caresse
Ici je sais que mes mots blessent
J'espère un jour on se retrouvera
Pour l'amour la tendresse et le reste
Et le reste
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Nathalie - T16 - Le Monde à l'Envers
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Carnaval !
Une assez longue série sur une expo du MuCEM, à Marseille : "le monde à l'Envers"
l'Homme aux dents de haricot (Turquie)
klaubauf (Autriche)
schiache percht (Autriche) + Mort (Pologne
masque de cerf (Sardaigne)
masque de survakar (Bulgarie)
masques de vieillards (Maroc)
diable (Gand, Flandres) - 2014
#carnaval#déguisement#masque#marseille#MuCEM#le monde à l'envers#homme aux dents de haricot#turquie#klaubauf#autriche#schiache percht#pologne#spectre#squelette#cerf#sardaigne#italie#survakar#bulgarie#maroc#diable#gand#gent#flandres#belgique
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J'ai la tête qui éclate
J'voudrais seulement dormir
M'étendre sur l'asphalte
Et me laisser mourir
Stone, le monde est stone
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit
J'sais pas si c'est la terre
Qui tourne à l'envers
Ou bien si c'est moi
Qui me fait du cinéma
Qui me fait mon cinéma
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Bienvenue –si j'ose !-- en enfer...
Dans un délai qui risque d'être court, cette ''Fête de Pâques 2024'' restera comme la date officielle du début de la fin de ce qui fut la France : depuis le 15 novembre 2013, ce blog, s'appuyant sur mon arabophonie et ma connaissance de la civilisation arabe –c'est à dire, à peu de choses près, le Coran-- a répété, billet après billet, que nous allions vers une bérézina... Combien de gens de bonne foi et bien intentionnés m'ont écrit que j'étais pessimiste, que je voyais tout en noir...
Et soudain, voilà que toutes les boutiques de sondages se mettent à changer de discours et découvrent ce qu'elles refusaient de voir : les français sont inquiets à en paniquer, ils sont plus pessimistes que je ne l'ai jamais été, et les vrais chiffres sortent enfin des armoires où on les tenait cachés… Faut-il que tout aille mal, pour que nos armadas de vrais parasites/faux démocrates, nos laïcards de salon, nos soi-disant républicains, nosgauchistes d'opérette et nos révolutionnaires du ''Flore'' en soient soudain réduits à dire la vérité, comme de vulgaires hommes de Droite : neuf français sur dix osent enfin dire qu'ils ont peur, dans leur vie de tous les jours, et que l'insécurité progresse à toute vitesse... 72% d'entre avouent ne pas faire confiance au gouvernement pour les protéger (dixit Odoxa, devenue brutalement honnête), et 6 sur 10 ont décidé de se défendre eux-mêmes (alarmes, armes de poing, sports de combat).
Jusque là, on pouvait craindre qu'une passion pour le déni du réel, un attrait pour les idées de Gauche –toutes mauvaises-- et un refus de ce qui n'est pas conforme au grand mensonge qui sert de fondement à toutes nos idéologies mortifères, ne soient devenus de plus en plus difficiles à contourner : le ''système'' en place avait réussi à tout bloquer ! Des gouvernements peuplés d'aveugles et de nuls (mais tout puissants) nous interdisaient tout ce qui n'était pas ''pile-poil'' conforme à leur mensonge, via l'injustifiable (et démodé) enrégimentement à Gauche de 99 % des journalistes (qui doivent être tenus pour co-responsables de tous les maux qui nous tombent dessus). Ils ont été jusqu'à inventer des ''pandémies'' inexistantes pour nous cacher la seule pandémie (qui, elle, en est une, et ''mahousse'' !) qui nous menace vraiment : l'islam triomphant.... aidé dans sa marche par leurs silences et leurs mensonges ! Cet arsenal mortifère nous conduisait peu à peu là où ils voulaient que nous allions : en enfer. Nous n'y sommes pas encore, mais ''on n'en a jamais été aussi près'' !
Nos lamentables gouvernants, incapables --par système, mais aussi par absence d'intelligence et de référentiels culturels-- de désigner par leur nom toutes les horreurs dont ils ont fait notre quotidien, ont brutalement ouvert les yeux, et viennent tout juste de commencer à entr'apercevoir la série de catastrophes à laquelle leur impéritie et leur imprévoyance ne nous laissent que très peu de chances d'échapper : ceux qui ont vu clair ont baptisé ce drame ''le grand remplacement'', pendant que les idiots-utiles parlaient ''d'une chance pour la France''. Cherchez l'erreur !
On en revient toujours à Camus : ''Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde''... sauf que nos faux guides ne nomment même pas : ils esquivent ! Dans un torrent de pensée à l'envers, ils essaient de nous faire avaler que si on est pour la paix, on est pro-poutine... si on est pour dire la vérité, on est complotiste... et si on aime la France en tant que ce qu'elle est (et non en souhaitant leur enfer-sur-terre), on est facho... Notre cas semblait sans espoir...
Devant ce changement, la panique de nos apprentis-ministricules si peu professionnels devrait faire de la peine à voir... sauf que, ayant fait tout ce qu'il ne fallait pas pour que le ciel leur tombe sur la tête, ils n'ont que ce qu'ils méritent ! Nous allons, nous, souffrir ''un max'', mais en ce qui les concerne... ''c'est bien fait pour leur gueule''. Et ils croient nous impressionner en ayant mis devant chaque église, pour Pâques, (''quoi qu'il en coûte'', ajouterait sans doute leur chef, s'il ne s'était pas réfugié dans un inutile ''sauvetage -sic !'' de la forêt amazonienne --qui, sans lui, est condamnée... tout le monde sait ça !-- en veillant à ce que ses costumes voyagent sur un siège ''First Class'', plein prix. Honte à lui !), des militaires lourdement (?) armés des quelques sarbacanes qui nous restent encore, après que nous ayons sacrifié nos arsenaux et nos réserves stratégiques au fantasme anti-poutinien du chef... La vérité ? On ne les croit plus, c'est tout.
Vous rendez-vous compte de ce que signifie cette déroute en rase campagne ? Au nom d'une ridicule ''laïcité'' résiduelle, vidée de son sens et de tout intérêt, seul le christianisme est interdit de pratique, de respect et de considération, en France, où seuls comptent les choix supposés de quelques minorités, surtout si elles ne sont représentatives de rien ou de quelque dépravation indescriptible... Des pouvoirs hostiles ont pris le pouvoir dans nos banlieues, dans nos villes, nos campagnes, nos villages... et nous avons de moins en moins les moyens d'assurer la sécurité dans nos rues... Si Jules Romains revenait parmi nous, il ne ferait plus de ''Ambert et Issoire'' deux ''trous de province'' où des ''Copains'' (joués, plus tard, par Philippe Noiret, Guy Bedos, Pierre Mondy et Claude Rich, accompagnés par Les Copains d’abord de Georges Brassens) exerceraient leurs talents... mais des lieux de ''points de deal'' ! Sic transit gloria mundi, hélas !
Aujourd'hui, la population française –qui n'ose même plus se revendiquer telle, tremble en permanence pour son intégralité physique (je ne parle même pas de son intégrité morale...) pour ses biens, pour ses femmes et ses filles, pour ses enfants visés par les drogues les plus immondes... Notre langue est battue en brèche et arabisée, notre magnifique culture est niée par celui-là même qui devait la promouvoir, nos modes de vie menacés par la violence la plus barbare, et notre histoire, si riche, remplacée par des enchaînements de bobards dont pas un seul ne tient la route, mais que des ''cavaliers d'Allah'' barbus et sales interdisent de mettre en doute, puisqu'ils sont archi-faux !
Au nom de notre gloire fanée, et dans l'irresponsabilité la plus totale... nous avons fait la danse du ventre pour organiser des jeux olympiques qui ne devraient logiquement plus être ni l'un ni l'autre : nous n'avons plus un kopek vaillant en poche, et ceux que nous jetons par les fenêtres vient de traites tirées sur le futur de nos enfants. La guerre rode partout –en partie par notre arrogance à raconter que nous sommes prêts à la déclencher ''pour de vrai'' sans en avoir le début de l'ombre d'un moyen... Au nom du beau mouvement olympique, nous refusons aux athlètes russes de se produire sous les couleurs de leur pays et d'avoir droit à leur hymne national … qui sont les deux strictes définitions-conditions de l'olympisme... Nous sommes inconséquents, irresponsables et provocateurs, en offrant notre gorge aux tueurs de Daech, du défilé inaugural (''Une folie criminelle'', d'après Alain Bauer) au défilé final... qui risque ''d'être de la revue'' !
Et s'il n'y avait que tout ça... Au fil des ans et des mauvaises idées, c'est par vagues successives que nos lamentables gouvernants qui, initialement nuls, se révèlent dangereux tout azimuts (dixit aussi Alain Bauer) détruisent le bel édifice, construit avec amour, persévérance et tellement d'intelligence par 70 générations de français (qui furent, par moments, gaulois ou gallo-romains) : ils croyaient bâtir un monde... et il a suffi de 2 mandatures de ''lumières éteintes'' pour tout foutre par terre... Oh ! Que j'ai mal, très mal, à ma France !
En rongeant les fondamentaux, ils ont fait s'écrouler les murs... et nous voilà offerts, sans défense, aux dangereux vents du large. Un exemple ? Au moment où le monde entier se réarme, fait des stocks de munitions, re-remplit ses arsenaux... nous nous sommes engagés à offrir, gratos, à l'Ukraine (à qui ça ne sera d'aucune utilité : les carottes sont cuites... et nous, avec ! Là encore, il serait sage de voir le monde tel que 7 humains sur 10 le voient...), la totalité de tout ce que nous aurions pu produire... mais que notre impécuniosité va laisser à l'état de ''rêves éveillés''. Pauvre France ! Lorsque les canons tonneront (ce qui est possible, avec les puérils excès présidentiels !), on pourra continuer à donner au monde ce que nous nous croyons encore capables de donner : de mauvais conseils... à surtout ne pas suivre... Dire qu'il suffisait de si peu... trois fois rien, peut-être...
H-Cl.
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pour l'anon, je suis abonnée l'equipe :
« On a toutes essayé de faire comme elle » : Marine Johannès, un tir à 3 points unique et jalousé
Marine Johannès possède une technique unique que ses anciens entraîneurs et partenaires, dont la star Sabrina Ionescu, décryptent.
Lorsqu'elle avait rejoint le centre de formation de Mondeville, Marine Johannès, alors âgée de 16 ans, avait été adoubée par la leader de l'équipe pro, Touty Gandega, tombée sous le charme du jeu fascinant de la jeune arrière, tout en finesse et rempli d'arabesques.
« Elle l'impressionnait tellement qu'elle l'avait surnommée "Kobe" (en hommage à la légende de la NBA Kobe Bryant) ce qui lui avait vite donné un statut d'intouchable dans le groupe, raconte Romain Lhermitte, l'entraîneur du club à l'époque. À chaque fois que Marine touchait le ballon, on entendait "Kobe, Kobe !" qui sortait des tribunes. » Mercredi, Bercy n'a pas scandé « Kobe » mais Johannès, éblouissante face à l'Allemagne, a rappelé qu'elle restait dans le basket féminin ce qui se rapproche le plus des stars NBA, par son jeu spectaculaire, ses dribbles nerveux, sa vitesse d'exécution et son shoot hors-norme, qu'elle peut déclencher n'importe où et n'importe comment.
Un geste signature
Entre ses deux paniers à trois points inscrits dans le premier quart-temps (5 réussis au total), Johannès a ainsi tenté mercredi son geste-signature, une folie qu'elle seule ose expérimenter en plein match : un tir à près de dix mètres du panier... sur une jambe. Une extravagance instinctive, inimitable, qu'elle a su ajouter à sa palette offensive au fil des années. « Je le travaille pas mal à l'échauffement mais ce n'est pas quelque chose que j'anticipe en match, dit-elle avec un naturel aussi désarmant que son jeu. Quand je sens que j'ai bien posé les pieds, ça peut partir. » Tout simplement.
« Parfois, elle sort ça, je ne sais pas pourquoi, se marre Lhermitte, qui accompagne la joueuse lorsqu'elle rentre s'entraîner en Normandie. Elle a toujours aimé faire des gestes de folie, des "floaters"pas possibles, des tirs à l'envers, et maintenant ce tir sur une jambe... Au début, elle se faisait engueuler par ses coaches quand elle les tentait. Mais depuis que (Victor) Wembanyama le fait, bizarrement, c'est devenu plus acceptable. »
Depuis toute petite, Johannès déroule un basket spontané, spectaculaire et risqué, crispant parfois, mais qui souvent fait chavirer. Depuis que Jean-Aimé Toupane a repris les rênes de l'équipe de France, elle a dû se refaire à un rôle de remplaçante auquel elle avait déjà goûté en sélection par le passé, qui lui offre une grande liberté et qu'elle semble doucement apprivoiser.
Elle y est déjà parvenue en WNBA, à New York, où la Normande sort du banc pour suppléer Sabrina Ionescu, l'une des meilleures shooteuses du monde, qui parle de son acolyte de 29 ans comme d'un exemple. « On a toutes essayé de faire comme elle à un moment donné, pour l'imiter, dit l'Américaine. Je ne vois pas comment je pourrais ajouter sa palette de tirs à mon jeu. Elle shoote tellement vite. Techniquement, sa vitesse lui permet de compenser son manque de force et c'est pour ça qu'elle est à est 40 % à trois points (43,7 % très exactement en 78 matches joués en WNBA). Je la vois travailler tous les jours sur ces tirs. »
Lorsqu'il l'entraîne dans le vieux gymnase de Cagny, dans le Calvados, Romain Lhermitte impose à sa protégée des séances de tirs éprouvantes qui ne s'achèvent qu'une fois qu'elle a réussi 16 tirs à trois points, en 18 tentatives. « À chaque fois, elle le termine en un temps record, assure-t-il. Un truc de dingue. Bizarrement, c'est quand elle est en échec qu'elle se met à tirer sur une jambe. Ou avec la planche. Ou à l'envers, parfois. Ça lui permet de sortir de sa routine et de se remettre dedans. » Unique, on vous dit.
Merci beaucoup anon ❤️. Elle est tellement emblématique de Jojo que maintenant, quand Lebron et Wemby font un tir à 3 points sur une jambe, les spectateurs parlent d'elle.
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