#le monde à l'envers
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philoursmars · 9 months ago
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Carnaval !
Une assez longue série sur une expo du MuCEM, à Marseille : "le monde à l'Envers"
merdule et boe (Sardaigne)
homme-arbre et homme-maïs (Cantabrie)
bonhomme de paille (Bourgogne)
ours (Arles-sur-Tech, Pyrénées ariégeoises)
krampus (Autriche)
chapeaux de printemps
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very-bad-gifs · 4 months ago
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Les clients qui se pointent au drive sans rdv et qui osent se plaindre que leur commande n'est pas prête.
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fidjiefidjie · 1 year ago
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youtube
Bon matin 💟🧍‍♂️🧍‍♀️🆕️
Orlika 🎶 Le monde à l'envers
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lemondeabicyclette · 1 year ago
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Si on fixe cet escalier pendant qqes secondes, il change de sens.
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asemimir · 3 months ago
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Le jeu des drapeaux
Mon amour de Stargate Atlantis pour son histoire, son écriture, son lore et ses personnages ne saurait égaler la joie sans nom que j'éprouve quand je crie "ALLEMAGNE !" "SUÈDE !" "AFRIQUE DU SUD !" "MEXIQUE !" quand un figurant passe en arrière-plan.
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Parfois, je vais jusqu'à faire pause et retour en arrière, image par image, jusqu'à bien voir l'épaule gauche du personnage, puis j'ouvre wikipédia.
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C'est comme ça que je sais qu'il y a juste un Français sur la base d'Atlantis mais deux Belges !
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ultra-violences · 10 months ago
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Crier au harcèlement mais harceler en retour ? C'est vraiment le monde à l'envers, mais askip c'est autorisé faut bien montrer a tast of your own medicine ✌🏻
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au-jardin-de-mon-coeur · 10 months ago
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Pause musicale...🎵🎙
ZAZ aux Carrieres de Lumières
La chanteuse se produit au coeur des galeries souterraines de ce haut lieu provençal, "Les Beaux de Provence." (France)
C'est beau...doux...tendre...émouvant et tout le reste...!
Paroles...
Pardonneront-ils pour ce qu'on leur laisse?
Connaitront-ils comme nous l'ivresse?
Les enfants qu'on laissera ici bas
Que feront ils de ce qu'on leur lègue?
De ce monde qu'on a pris pour test
Sauront-ils y refleurir la joie?
Pour l'amour la tendresse et le reste
Qu'a-t-on fait pour que tout cela cesse?
Diables de géants de paresse
Pourquoi n'avons nous pas fait comme toi?
Toi qui donne pour la beauté du geste
Haut comme trois pommes tu vises l'Evrest
Et je sais que tu y arriveras
Pour l'amour la tendresse et le reste
Une vie à chercher la justesse
Pour une justice à deux vitesses
Tant d'amertume, de colère en moi
J'ai beau sourire y'a comme un malaise
Vivre c'est marcher sur les braises
Des bleus à l'âme j'en ai mais j'y crois
Pour l'amour la tendresse et le reste
Et le reste, tout le reste
On a beau se couvrir de médailles
Nos souvenirs sans représailles
Qui pourra dire qu'il ne savait pas?
Puisqu'ici le monde tourne à l'envers
Je peux en compter les revers
J'aimerais tant ré-écrire tout cela
Pour l'amour la tendresse et le reste
Et le reste
Pardonne moi de n'avoir pu faire plus
Je n'descends pas au terminus
Et le voyage se poursuit sans moi
Puisse-t-il être doux comme un caresse
Ici je sais que mes mots blessent
J'espère un jour on se retrouvera
Pour l'amour la tendresse et le reste
Et le reste
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bulles-de-bd · 13 days ago
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Nathalie - T16 - Le Monde à l'Envers
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claudehenrion · 7 months ago
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Bienvenue –si j'ose !-- en enfer...
Dans un délai qui risque d'être court, cette ''Fête de Pâques 2024'' restera comme la date officielle du début de la fin de ce qui fut la France : depuis le 15 novembre 2013, ce blog, s'appuyant sur mon arabophonie et ma connaissance de la civilisation arabe –c'est à dire, à peu de choses près, le Coran-- a répété, billet après billet, que nous allions vers une bérézina... Combien de gens de bonne foi et bien intentionnés m'ont écrit que j'étais pessimiste, que je voyais tout en noir...
Et soudain, voilà que toutes les boutiques de sondages se mettent à changer de discours et découvrent ce qu'elles refusaient de voir : les français sont inquiets à en paniquer, ils sont plus pessimistes que je ne l'ai jamais été, et les vrais chiffres sortent enfin des armoires où on les tenait cachés… Faut-il que tout aille mal, pour que nos armadas de vrais parasites/faux démocrates, nos laïcards de salon, nos soi-disant républicains, nosgauchistes d'opérette et nos révolutionnaires du ''Flore'' en soient soudain réduits à dire la vérité, comme de vulgaires hommes de Droite : neuf français sur dix osent enfin dire qu'ils ont peur, dans leur vie de tous les jours, et que l'insécurité progresse à toute vitesse... 72% d'entre avouent ne pas faire confiance au gouvernement pour les protéger (dixit Odoxa, devenue brutalement honnête), et 6 sur 10 ont décidé de se défendre eux-mêmes (alarmes, armes de poing, sports de combat).
Jusque là, on pouvait craindre qu'une passion pour le déni du réel, un attrait pour les idées de Gauche –toutes mauvaises-- et un refus de ce qui n'est pas conforme au grand mensonge qui sert de fondement à toutes nos idéologies mortifères, ne soient devenus de plus en plus difficiles à contourner : le ''système'' en place avait réussi à tout bloquer ! Des gouvernements peuplés d'aveugles et de nuls (mais tout puissants) nous interdisaient tout ce qui n'était pas ''pile-poil'' conforme à leur mensonge, via l'injustifiable (et démodé) enrégimentement à Gauche de 99 % des journalistes (qui doivent être tenus pour co-responsables de tous les maux qui nous tombent dessus). Ils ont été jusqu'à inventer des ''pandémies'' inexistantes pour nous cacher la seule pandémie (qui, elle, en est une, et ''mahousse'' !) qui nous menace vraiment : l'islam triomphant.... aidé dans sa marche par leurs silences et leurs mensonges ! Cet arsenal mortifère nous conduisait peu à peu là où ils voulaient que nous allions : en enfer. Nous n'y sommes pas encore, mais ''on n'en a jamais été aussi près'' !
Nos lamentables gouvernants, incapables --par système, mais aussi par absence d'intelligence et de référentiels culturels-- de désigner par leur nom toutes les horreurs dont ils ont fait notre quotidien, ont brutalement ouvert les yeux, et viennent tout juste de commencer à entr'apercevoir la série de catastrophes à laquelle leur impéritie et leur imprévoyance ne nous laissent que très peu de chances d'échapper : ceux qui ont vu clair ont baptisé ce drame ''le grand remplacement'', pendant que les idiots-utiles parlaient ''d'une chance pour la France''. Cherchez l'erreur !
On en revient toujours à Camus : ''Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde''... sauf que nos faux guides ne nomment même pas : ils esquivent ! Dans un torrent de pensée à l'envers, ils essaient de nous faire avaler que si on est pour la paix, on est pro-poutine... si on est pour dire la vérité, on est complotiste... et si on aime la France en tant que ce qu'elle est (et non en souhaitant leur enfer-sur-terre), on est facho... Notre cas semblait sans espoir...
Devant ce changement, la panique de nos apprentis-ministricules si peu professionnels devrait faire de la peine à voir... sauf que, ayant fait tout ce qu'il ne fallait pas pour que le ciel leur tombe sur la tête, ils n'ont que ce qu'ils méritent ! Nous allons, nous, souffrir ''un max'', mais en ce qui les concerne... ''c'est bien fait pour leur gueule''. Et ils croient nous impressionner en ayant mis devant chaque église, pour Pâques, (''quoi qu'il en coûte'', ajouterait sans doute leur chef, s'il ne s'était pas réfugié dans un inutile ''sauvetage -sic !'' de la forêt amazonienne --qui, sans lui, est condamnée... tout le monde sait ça !-- en veillant à ce que ses costumes voyagent sur un siège ''First Class'', plein prix. Honte à lui !), des militaires lourdement (?) armés des quelques sarbacanes qui nous restent encore, après que nous ayons sacrifié nos arsenaux et nos réserves stratégiques au fantasme anti-poutinien du chef... La vérité ? On ne les croit plus, c'est tout.
Vous rendez-vous compte de ce que signifie cette déroute en rase campagne ? Au nom d'une ridicule ''laïcité'' résiduelle, vidée de son sens et de tout intérêt, seul le christianisme est interdit de pratique, de respect et de considération, en France, où seuls comptent les choix supposés de quelques minorités, surtout si elles ne sont représentatives de rien ou de quelque dépravation indescriptible... Des pouvoirs hostiles ont pris le pouvoir dans nos banlieues, dans nos villes, nos campagnes, nos villages... et nous avons de moins en moins les moyens d'assurer la sécurité dans nos rues... Si Jules Romains revenait parmi nous, il ne ferait plus de ''Ambert et Issoire'' deux ''trous de province'' où des ''Copains'' (joués, plus tard, par Philippe Noiret, Guy Bedos, Pierre Mondy et Claude Rich, accompagnés par Les Copains d’abord de Georges Brassens) exerceraient leurs talents... mais des lieux de ''points de deal'' ! Sic transit gloria mundi, hélas !
Aujourd'hui, la population française –qui n'ose même plus se revendiquer telle, tremble en permanence pour son intégralité physique (je ne parle même pas de son intégrité morale...) pour ses biens, pour ses femmes et ses filles, pour ses enfants visés par les drogues les plus immondes... Notre langue est battue en brèche et arabisée, notre magnifique culture est niée par celui-là même qui devait la promouvoir, nos modes de vie menacés par la violence la plus barbare, et notre histoire, si riche, remplacée par des enchaînements de bobards dont pas un seul ne tient la route, mais que des ''cavaliers d'Allah'' barbus et sales interdisent de mettre en doute, puisqu'ils sont archi-faux !
Au nom de notre gloire fanée, et dans l'irresponsabilité la plus totale... nous avons fait la danse du ventre pour organiser des jeux olympiques qui ne devraient logiquement plus être ni l'un ni l'autre : nous n'avons plus un kopek vaillant en poche, et ceux que nous jetons par les fenêtres vient de traites tirées sur le futur de nos enfants. La guerre rode partout –en partie par notre arrogance à raconter que nous sommes prêts à la déclencher ''pour de vrai'' sans en avoir le début de l'ombre d'un moyen... Au nom du beau mouvement olympique, nous refusons aux athlètes russes de se produire sous les couleurs de leur pays et d'avoir droit à leur hymne national … qui sont les deux strictes définitions-conditions de l'olympisme... Nous sommes inconséquents, irresponsables et provocateurs, en offrant notre gorge aux tueurs de Daech, du défilé inaugural (''Une folie criminelle'', d'après Alain Bauer) au défilé final... qui risque ''d'être de la revue'' !
Et s'il n'y avait que tout ça... Au fil des ans et des mauvaises idées, c'est par vagues successives que nos lamentables gouvernants qui, initialement nuls, se révèlent dangereux tout azimuts (dixit aussi Alain Bauer) détruisent le bel édifice, construit avec amour, persévérance et tellement d'intelligence par 70 générations de français (qui furent, par moments, gaulois ou gallo-romains) : ils croyaient bâtir un monde... et il a suffi de 2 mandatures de ''lumières éteintes'' pour tout foutre par terre... Oh ! Que j'ai mal, très mal, à ma France !
En rongeant les fondamentaux, ils ont fait s'écrouler les murs... et nous voilà offerts, sans défense, aux dangereux vents du large. Un exemple ? Au moment où le monde entier se réarme, fait des stocks de munitions, re-remplit ses arsenaux... nous nous sommes engagés à offrir, gratos, à l'Ukraine (à qui ça ne sera d'aucune utilité : les carottes sont cuites... et nous, avec ! Là encore, il serait sage de voir le monde tel que 7 humains sur 10 le voient...), la totalité de tout ce que nous aurions pu produire... mais que notre impécuniosité va laisser à l'état de ''rêves éveillés''. Pauvre France ! Lorsque les canons tonneront (ce qui est possible, avec les puérils excès présidentiels !), on pourra continuer à donner au monde ce que nous nous croyons encore capables de donner : de mauvais conseils... à surtout ne pas suivre... Dire qu'il suffisait de si peu... trois fois rien, peut-être...
H-Cl.
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detournementsmineurs · 10 days ago
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“Chez CocoChanel, Le Grand Monde à l'Envers" de Sem (1919) à l'exposition “Sem, Lestrade, Carrier : Trois Regards périgourdins sur le Monde” à la Médiathèque de Périgueux, octobre 2024.
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philoursmars · 9 months ago
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Carnaval !
Une assez longue série sur une expo du MuCEM, à Marseille : "le monde à l'Envers"
l'Homme aux dents de haricot (Turquie)
klaubauf (Autriche)
schiache percht (Autriche) + Mort (Pologne
masque de cerf (Sardaigne)
masque de survakar (Bulgarie)
masques de vieillards (Maroc)
diable (Gand, Flandres) - 2014
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very-bad-gifs · 4 months ago
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aurevoirmonty · 3 months ago
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30 juillet 1998, mort de Maurice Bardèche. Maurice Bardèche (1907-1998): «Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l'homme et de la création. Je crois à l'inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l'hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d'autres hiérarchies que celle de l'argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner c'est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré.» L'histoire de Bardèche, c'est d'abord l'histoire d'une extraordinaire amitié, d'une amitié littéraire et politique, d'une amitié d'hommes, aussi. Robert Brasillach a littéralement illuminé la jeunesse de Bardèche. Dans la seconde partie de sa vie, Bardèche a en quelque sorte essayé de payer sa dette. Son oeuvre de mémoire et de réhabilitation, c'est la poursuite de cette amitié, d'un dialogue par-delà la mort. Il y a ensuite son travail sur Balzac et Stendhal. Bardèche a renouvelé en profondeur le regard que l'on portait sur ces deux géants de la littérature. Si Bardèche n'avait pas été embarqué par les soubresauts de l'histoire, il ne resterait que cela, mais cela resterait. Enfin, l'aspect le plus controversé : c'est le Bardèche révisionniste. Il serait facile de passer rapidement sur ses pamphlets et de rejeter dans la nuit de l'oubli sa revue Défense de l'Occident. Pourtant, ses exercices de «lecture à l'envers de l'histoire », comme il les appelait lui-même, font partie des points les plus détonants de son discours. Ils démontrent son courage tranquille et ne peuvent que susciter l'admiration. Bardèche avait osé braver ces tabous, en son temps, ce qui lui valut la prison.
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annlocarles · 11 months ago
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Je renforce le monde qui m'entoure et dégringole au fond des corps.
Il s'en fallait de peu pour que mon paysage s'écroule comme une toiture mal entretenue.
Quelques morceaux déjà battaient au vent.
Je les rattache avec du fil de fer , une maille à l'endroit, une maille à l'envers. Pareilles à ma fa��on d'être.
Mes appels auront dorénavant l'assurance des faîtages centenaires,
mais je ne le sais pas encore.
Matthieu Lorin - Un corps qu'on dépeuple- extrait
Via blog laboucheaoreille
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jeanchrisosme · 3 months ago
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Tu n'es pas "malade" ou "fou" comme on tente de te le faire croire. Ce sont cette société, ce monde, qui tournent à l'envers, pas toi.
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wubblesred · 6 months ago
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Ghoulcy week 2024 day 3 SFW French
Bonjour mes chers habitants d'abri, j'espère que vous allez bien. Nous revoilà parti avec la semaine ghoulcy. Le thème du jour 3 est Entraînement au tir. Bonne journée à tous et bonne lecture
De toute les activités qu'elle aurait pu imaginer faire avec la goule au cours de leur voyage, celle-là ne faisait pas partie de la liste. Lucy le regarda aligner les bouteilles vides de Nuka Cola, il avait limite une joie enfantine en le faisant comme si l'idée de voir la jeune femme utiliser une arme lui procurait une certaine satisfaction. Après l'homme la surnommait sa petite tueuse donc ce comportement n'étonnait pas vraiment l'habitante d'abri. Elle avait beau lui avoir expliquer maintes fois qu'elle était la meilleure de l'abri au stand de tir, elle utilisait si rarement son arme que la goule en doutait fortement.
« On est vraiment obligé de se stopper pour faire ça ? » La jeune femme trouvait ça dangereux de s'arrêter ainsi juste pour faire quelque chose qu'elle savait déjà faire.
« Pour la cinquième fois, petite tueuse, oui on est obligés. Je saurai pas assurer ton cul à chaque instant et je me sentirais mieux de savoir que tu sais utiliser ce flingue, surtout qu'il est notre dernière trouvaille. »
En effet, ils étaient encore devant le Super Duper Mart devant lequel Cooper avait trouver des munitions ainsi qu'un nouveau fusil dont il insistait qu'il revienne à Lucy. Un cadeau dont la goule voulait être sûr qu'il soit en mesure d'être utiliser correctement pour protéger celle qui lui procurait des sentiments supposés morts depuis des siècles. Lucy avait failli être blesser à de maintes reprises à cause de son refus de porter une arme et il allait changer ça par tout les moyens. Hors de question de perdre une des rares personnes qui soient dans son cœur.
Lucy avait de nouveau du mal à s'exprimer face à l'homme, elle avait de nombreuses fois exprimer son choix de ne pas prendre d'arme mais Cooper rétorquait toujours que les terres désolées n'étaient pas un foutu abri et qu'ici être gentil n'était pas forcement une brillante idée. Quand les humains n'essaient pas de nous la foutre à l'envers c'était les foutues bestioles qui voulait faire de nous leur quatre heure, ne cessait de répété son compagnon. Elle savait que tôt ou tard il finirait par lui balancer une arme entre les mains et ayant vu la cruauté du monde extérieur, elle était au courant que c'était pour le mieux qu'elle ait de quoi se défendre mais une partie d'elle aimait mal sainement devoir être secouru en permanence par Cooper. Que son regard la suive continuellement, qu'il vérifie qu'elle aille bien en l'inspectant entièrement avec des gestes et des regards, que toute son attention soit sur Lucy et Lucy seulement. Elle ne sait pas dire à quel moment ses sentiments ont vriller mais elle sait que depuis ce changement dans son cœur, elle en voulait plus. Et cette partie d'elle qui grandissait rapidement lui faisait peur.
Ça y est, tout était prêt pour sa petite tueuse, la goule s'écarta tout en lui faisait signe qu'elle pouvait y aller. Il inspecta chacun de ses gestes tandis qu'elle se positionna pour tirer. Une sensation d'exaltation germa doucement en lui tandis qu'il observait la jeune femme. La voir ainsi concentrer tout en utilisant une arme était une image qui lui plaisait. Autant Lucy était sûrement la femme parfaite pour vivre protéger dans un abri autant elle pouvait devenir redoutable dans les terres désolées, surtout si elle restait à ses côtés. Et ça, l'homme comptait bien faire en sorte qu'elle le reste et même son débile de père ni changera rien. En abri ou à la surface, Cooper n'abandonnerai pas sa petite tueuse. Elle ne s'en doutait pas mais elle n'avait qu'à dire un mot et la goule la suivrait n'importe où.
Lucy avait du mal à se concentrer et à viser, le regard intense de l'homme sur elle la déstabilisait et elle trouvait cela grisant. Il semblait jauger chaque faits et gestes qu'elle faisait, analysant le moindre détail de ses actions. Elle savait qu'il faisait ça pour sa sécurité et cette pensée enflamma son corps encore plus. Elle devait se reprendre et tirer pour lui prouver qu'il pouvait lui faire confiance et qu'ils pouvaient faire une bonne équipe tout les deux. Cependant, ses pensées parasitaient tellement son esprit qu'elle rata son tir. Et celui d'après, créant ainsi en elle un sentiment de peur, et si Cooper décidait qu'elle était un poids, et si il l'abandonnait... Ses nouvelles pensées néfastes furent balayer quand elle senti un corps se collait au sien, épousant entièrement celui-ci et la repositionnant pour avoir la posture idéal.
« Détente-toi, poupée, tu vas y arriver. » Ces mots susurrer à son oreille n'aidait pas son stress par contre les mains de la goule qui délicatement l'épaulait pour trouver la meilleure posture et l'amena dans la bonne direction pour tirer, elles, furent d'une grande assistance. Cette fois-ci, la balle atteignit sa cible faisant exploser en éclat la bouteille mais ce ne fut pas ce son sur lequel Lucy se concentra mais le rire emplit de fierté de son ami. Prise par l'émotion, la jeune femme rigola à son tour tout en sautant au cou de la goule arrêtant net le rire de celui-ci.
« J'ai réussi, je t'avais dit que je savais utiliser une arme. »
« Ouais ouais aller encore quelques tirs comme ça on est sûrs. » Dit-il tout en mettant de la distance entre eux. La réaction de la jeune femme l'avait perturber au plus au point. Il avait déjà tenter le diable en se mettant ainsi contre elle, il ne pouvait pas lui montrer l'effet qu'elle avait sur lui.
Lucy réussi les tirs suivants sans accros. Et c'est avec un sourire narquois qu'elle se tourna vers son compagnon de route pour lui rétorquer qu'elle avait bien mériter son surnom de petite tueuse maintenant.
« Oui, le vieux Coop n'a plu à être derrière toi en tout instant maintenant. » Rigola-t-il malheureusement cette fois-ci ce son refroidit la jeune femme, cela voulait-il dire que Cooper allait partir loin d'elle. Cette nouvelle ne lui plaisait guère.
« Oui... » Suivit d'un rire nerveux furent les seuls sons qui sortirent de la bouche de l'habitante d'abri. Il n'eut fallu que quelques jours pour qu'elle soit dépendante de la goule et le goût d'une pseudo liberté loin de lui était étrangement amer. « Mais je suis pas sûr que je devrai porter une arme. Tu es là pas vrai ? Tu me protégeras comme d'habitude. »
« Non Lucy non. Tu dois avoir une arme sur toi. Je peux pas être à tes côtés à chaque instant. Je deviendrai fou si il t'arrive quelque chose poupée. » La goule était tout autant étonné que Lucy que ces mots sortent de sa bouche mais il ne pouvait pas faire machine arrière, il fallait qu'elle se protège elle-même.
« N'importe quoi... Tu me déteste... » La jeune femme avait murmurer ces mots tout en fuyant le regard de l'homme. Elle avait l'impression d'être une de ses filles dans un roman à l'eau de rose qu'elle avait lu dans l'abri. Quelques jours avait suffi pour qu'elle pense à tout renier si cela lui permettait de rester avec Cooper. Il rigolerait sûrement si il savait ce qu'elle ressentait pour lui.
Son cerveau eut un bug quand elle sentit des mains agripper son visage et des lèvres se déposer sur les siennes. Cooper amena Lucy complètement contre lui tandis qu'il l'embrassa plus profondément.
« Est-ce que ça à l'air d'être de la haine ça ? » La jeune femme ne put que bouger la tête de droite à gauche exprimant ainsi un non. « Bien. Maintenant, tu vas prendre cette arme, la garder sur toi et l'utiliser si besoin. On reprend la route et ce soir on continuera cette petite discussion. »
Il déposa un rapide baiser sur sa bouche à nouveau puis repris la route en sifflotant. Lucy mis quelques instant à reprendre ses esprits avant de ranger son arme à sa ceinture et de courir après la goule afin de le rattraper. Oh Lucy avait hâte d'être ce soir, Cooper allait l'entendre si il pensait qu'il pouvait faire ceci et la laisser en plan comme ci de rien n'était. La jeune femme allait lui faire ravaler son sourire suffisant avec beaucoup de plaisir.
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