#le festin de babette
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Affiche japonaise pour Le Festin de Babette (1987) de Gabriel Axel.
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Marigold. You know why I love her? because she cooks, with love. She knows what Frodo loves and makes it, she is extra careful. She prepare those little things that make cooking and baking go beyond merely making food.
She makes me think about Babette in the move "Le Festin de Babette" although I don't know if there is a title in English (and I'm too lazy because last night we try, in vain, to see aurora and now I want to sleep).
I feel that Marigold and me could have been friend. I would have learn some of her recipe, I would have teach some of mine.
Reason #517 why Marigold is the Shire's "That Girl." (1)
She does yoga.
Except they don't call if yoga in the Shire. They just call it morning stretches.
When she and Frodo start living together, Frodo wakes up to her doing said stretches, and it like....
O__O wow, that's hot... Break me off a piece of that right now...
(1) Other reasons why she is That Girl: she is sweet, pretty, kind, helpful, humble, has a trade and many other useful, practical skills, is curious and enjoys learning and improving herself. No one has a bad word to say about her. Also, she has multiple suitors, but she sends them all away very kindly, because she is "needed at home" and is "busy with her apprenticeship." How wholesome is that?
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Stephane Audran
1932 - 2018
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Karen Blixen au cinéma. Après Out of Africa, adaptation mélodramatique et à grand spectacle, saucée à l’américaine, passons aujourd’hui au Festin de Babette. Autre univers artistique, puisque nous voici de plain-pied dans le cinéma d’auteur danois, dans de l’art et essai inspiré par Carl Theodor Dreyer. La parenté avec Ordet est flagrante, les amateurs de longs silences et d’ellipses seront ravis. J’ai été ravi. Le Festin de Babette est l’adaptation d’une nouvelle de Karen Blixen, réalisée en 1987 par Gabriel Axel. Il s’agit surtout du premier film danois à avoir remporté l’Oscar du Meilleur Film Étranger. À raison, puisqu’il s’agit d’un chef-d’oeuvre. Un chef-d’oeuvre non pas grandiloquent, mais d’une subtilité et d’une émotion sans pareille. Au menu : 102 minutes filmées dans les paysages âpres et dénudés de la côte du Jutland. Des falaises abruptes, des plages battues par les vents, des collines arasées, des villages oubliés et Stéphane Audran, extraordinaire en Babette. Le rôle avait été initialement proposé à Catherine Deneuve qui le déclina, alors qu’Audran manifesta son enthousiasme dès sa première lecture. Le restant de la distribution, composée d’acteurs suédois et danois, m’est inconnu. Seule évidence : tous sont parfaits.
Martine et Philippa sont deux sœurs âgées et pieuses vivant dans un petit village perdu. Elles perpétuent l’oeuvre de leur père, un prêcheur visionnaire et austère, et consacrent l’essentiel de leur existence à la charité. Leur table est frugale, leurs préoccupations sont spirituelles, leurs amis vieillissent dans le regret et l’amertume. Toutes deux ont connu dans leur jeunesse des histoires d’amour, Martine avec un officier de cavalerie suédois et Philippa avec un baryton français. Toutes deux y ont renoncé pour rester aux côtés de leur très envahissant paternel. Trente ans plus tard, ce dernier a rejoint son créateur. Au beau milieu d’une nuit d’orage, Martine et Philippa sont surprises par des coups frappés à leur porte. Elles découvrent sur leur seuil, une femme épuisée, porteuse d’une lettre du baryton. C’est Babette ! Suite à la chute du Second Empire et aux soubresauts conséquents, Babette a perdu son mari et son fils, fusillés sur ordre du général Galliffet. Elle vient trouver refuge auprès des deux sœurs.
Après quelques hésitations, Martine et Philippa l’accueillent chez elle. Babette devient leur servante et cuisinière. Leurs vies reprennent un cours paisible, rendu cependant plus agréable par la présence de Babette, cuisinière talentueuse, économe hors pair et auxiliaire dévouée. La Française s’adapte avec grâce à cet environnement tout protestant. Quatorze ans passent ainsi, jusqu’à une péripétie inattendue : Babette gagne 10.000 francs à la loterie. La voici richissime et libre. Martine et Philippa s’attendent à son départ. Surprise : Babette leur annonce qu’elle préparera pour la congrégation un festin français, à l’occasion du centième anniversaire de la naissance de leur père. Les ingrédients nécessaires sont acheminés à grands frais depuis Paris. Le soir venu, l’ancien amoureux de Martine se joint à la tablée. Le souper est somptueux. Les convives, au départ réticents, se laissent emporter par les mets succulents et les vins délicieux.
Le film se conclut sur deux révélations : Martine et Philippa découvrent l’histoire de Babette et Babette leur apprend qu’elle a dépensé tout son argent pour la confection du repas. Les deux sœurs s’apitoient sur sa pauvreté future. Babette leur répond qu’une artiste n’est jamais pauvre. Elles l’embrassent et lui assurent qu’au Paradis, elle enchantera les anges. Le spectateur a alors atteint l’acmé de son ravissement et bien perçu le message : entre hédonisme débridé et ascétisme extrême, le bonheur est in medio virtus. Le contentement des sens et du corps conduit à l’apaisement de l’âme et du cœur. Celui-ci conduit à son tour au bonheur et à la communion des êtres humains entre eux. Le Festin de Babette transcende son statut de film pour nous offrir ainsi une belle leçon de philosophie : ne renoncez jamais aux bonheurs et aux joies terrestres qui passent à votre portée, ils vous conduiront plus loin sur le chemin de la vérité !
Concluons par le détail de ce légendaire festin :
potage de tortue
blinis Demidoff
cailles en sarcophage
salade d’endives
savarin au rhum et fruits glacés
assortiment de fromages et de fruits frais
café et cognac
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Films about the Paris Commune
Sur les traces de Maxime Lisbonne, le D'Artagnan de la Commune Par Jacques Swirn, socio-historien, Marcel Cerf, historien. Durée : 27 minutes; réalisateur : Margueritte, Jacqueline; auteur : Cerf, Claudine; producteur : CNDP. 1983, France.-
L'émeute sur la barricade Le premier film sur la Commune de Paris intitulé (durée 4 minutes). Réalisatrice Alice Guy, 1906-
La Commune (Paris 1871) Film de Peter Watkins coproduction La Sept ARTE, 13 Production, Musée d'Orsay, France 2000 durée 5h45
La Commune Film de Ken Mc Mullen coproduction ARTE, France/Grande-Bretagne 1990 durée 1h30.-
Les Aubes de Paris Real. Grigori Rochal, 1936, URSS, 1 H 42.-
La Commune Réal. Armand Guerra, 1914, France, 13 minutes.
La Barricade du Point du Jour, Réal. René Richon, 1977,couleur, 1 H 50.
Le Destin de Rossel, Réal. Jean Prat, 1966, noir et blanc, 1 H 25. Partie
- Le Festin de Babette, Réal. Gabriel Axel, 1987, couleur, Danemark, 1 H 39.-
Héros et martyrs de la Commune, Réal. F. Loupatine, URSS, 1921.-
Jaroslav Dombrowski Réal. Bohdan Poreba, URSS, 1975, couleur, 2 H 12. Russian Polish
1871, Réal. Ken Mc Kullen, Grande Bretagne 1990, couleur, 1 H 40.-
Louis Rossel et la Commune de Paris, Réal. Serge Moatti, 1977, couleur, 1 H 43. Trailer
La Nouvelle Babylone Réal. Grégori Kozintsev et Léonid Trauberg, 1929, muet, URSS, 1 H 23.-
La Pipe du Communard Réal. C Mardjanov, 1929, URSS, muet, 49 minutes.-
La Semaine sanglante, Réal Joël Farges, 1976, couleur 53 minutes.-
Une Journée au Luxembourg, Réal. Jean Baronnet, 1993, couleur, 50 minute-
Actualités Gaumont : - 1911 : 40me anniversaire ; - 1936 : la manifestation au mur ; - Mai 1945.-
A l'Assaut du ciel, Réal. Jean Péré, 1962, noir et blanc, 19 minutes.- L'Année terrible, Réal. Claude Santelli, 1984, couleur, 2 H 06.-
La Commune de 1871 Réal. Cécile Clairval et Olivier Ricard, 1971, noir et blanc, 1 H 16.-
La commune de Paris 1871 (54 minutes) un documentaire réalisé en 2004 par Medhi Lallaoui.-
La Commune de Paris Réal. Robert Menegoz, 1951, noir et blanc, 26 minutes.- Les Communards cassette vidéo de 52 mn, réalisée par Léon Rabinowicz, disponible chez les Amis de la Commune.
- La Commune, Louise Michel et nous, Réal. Michèle Gard, 1972, noir et blanc, 45 minutes.-
Mémoire Commune, Réal Patrick Poitevin, 1978, couleur, 1 H 20.-
L'œuvre législative de la Commune, Réal. Claude Tertrais, 1986, couleur, 27 minutes.-
Paris au temps des cerises, Réal. Jacques Darribehaude et Jean Desvilles, 1965, noir et blanc, 28 minutes.-
Les grandes batailles du passé - Paris (1871), la semaine sanglante Réal. Jean-Pierre Gallo, 1976, couleur, 56 minutes.-
Si on avait su, Réal Stanislas Choko, 1976, couleur, 13 minutes.-
Un solo funèbre, la Commune de Paris, Réal Jacques Cogniaux, 1971, noir et blanc, 1 H 41.-
Le temps des cerises, la Commune et les livres, Réal Robert Lombaerts, 1971, noir et blanc, 45 minutes.-
La IIIme République ; les premières années, Réal. Daniel Lander, 1970, noir et blanc, 1 H 07.-
Le Voile écarlate de Paris, Réal. Marlen Khoutsiev, URSS, 1971, couleur, 1 H 19.
Henri Guillemin raconte la Commune, documentaire en 13 épisodes de la TSR, 1971.
Louise Michel, Solveig Anspach, France, 2010
Les Damnés de la Commune, de Raphaël Meyssan, film d’animation, 2021.
Rives d'exil, de Céline Léger, court-métrage, 2021.
Die Tage der Commune (DDR, 1966) (le video malheureusement n’est plus disponible, mais il y a une version audio en allemand de 1949 et de 1977)
Nederlaget, Norvège, 1966
Pour la France - Animation Short Film 2019 - GOBELINS
Comme un echo , 2011
That Little Flame, vimeo on demand
La Boîte Noire, 2020, vimeo on demand
Les déportés de la Commune, 1982
Bas les coeurs
28 mai 1871, l'ordre règne à Paris
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Place Karen Blixen, Copenhague, Danemark. Architectes : Cobe.
Place Karen Blixen, Copenhague, Danemark. Architectes : Cobe. Projet : refaire une des plus grandes places publiques de la ville et offrir aux cyclistes quelque 2000 places de stationnement. Terminée en 2019, la place s’est méritée de nombreux prix et est en lice pour le prix Mies van der Rohe de la Communauté européenne en 2022.
Karen Blixen, ex-baronne Karen von Blixen-Finecke du nom de son ex-époux, le baron suédois Bror von Blixen-Finecke, née Karen Christentze Dinesen le 17 avril 1885 à Rungstedlund dans la commune de Hørsholm, décédée le 7 septembre 1962 à Rungstedlund, était une entrepreneuse au Kenya et une femme de lettres danoise.
Elle est célèbre pour avoir notamment écrit La Ferme africaine dont est tiré le film « oscarisé » de Sydney Pollack Out of Africa : Souvenirs d'Afrique (1985) et Anecdotes du destin dont une nouvelle sert de base au film Le Festin de Babette (1987).
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Sommaire
4 EN BREF
12 MUSIQUES BLA NEF TUNNG JAAKKO EINO KALEVI CHRISTIAN OLIVIER RUFUS WAINWRIGHT SIDÉRAL PSYCH FEST BORDEAUX LAS HERMANAS CARONNI SUNN O))) DB CLIFFORD FESTIVAL NOUVELLE(S) SCÈNE(S) BERTRAND BELIN
20 EXPOSITIONS DANS L’INTIMITÉ DE ROGER BISSIÈRE ARCHITECTURE DU BAUHAUS CLAIRE FONTAINE BABETTE MANGOLTE—SPACES TO SEE LISIÈRES LA PARADE MODERNE, CLÉDAT & PETITPIERRE ANETTE LENZ DOM JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE À PLAT L’HORIZON, BENOÎT GÉHANNE
34 SCÈNES PIÈCE D’ACTUALITÉ N°9-DÉSOBÉIR L’AUTRE RIVE BERLIN SEQUENZ WE WERE THE FUTURE PERIPÉ’CIRQUE UN PAYS DANS LE CIEL FISH MIND#4 LOUIS LUBAT RÉDA SIDDIKI FESTIVALS DE DANSE EN NOUVELLE-AQUITAINE
42 LITTÉRATURE
44 JEUNE PUBLIC
48 GASTRONOMIE JEAN-LUC ROCHA
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Le Festin de Babette (Axel 1987) / Portrait de la jeune fille en feu (Sciamma 2019)
Plage et corsage, motifs récurrents de films sur le female agency (le chef d’oeuvre étant La pianiste mais pas de belle photo pour illustrer) La quête de l’autodétermination, c’est des femmes encorsetées qui ont regardé l’horizon
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20 Alben für 2020 (Teil 1)
Eine schlecht geschriebene Kritik verrät mehr über den Schreiber als über die Platte – das würde ich eigentlich Intro-Rezensenten so mitteilen. Nur auf Anfrage, versteht sich. Aber für mich und diese Jahresliste gilt das natürlich nicht. Ein Tumblr ist schließlich eine Personality-Show. Und ein angehängter Youtube-Embed schafft doch auch Platz für nur-am-rande-musikalisches Entertainment im Text darüber.
Um Musik geht es trotzdem. Die mit Christoph vor, oh, sieben Jahren eingeführten Jahres-Top-20 zum ersten Mal nicht als Facebook-Liste der Marke „lost in threadisation“, sondern als kompaktes Dings zum Drüberscrollen. Versteckt sind auch zwei Wiederentdeckungen. Vielleicht ist ja für eine/n von euch etwas Neues dabei. Dann hat sich’s gelohnt. Weiter zu: Platz 10 bis 6. | Platz 5 bis 1. | Der kompletten Spotify-Playlist.
20: Okkervil River – A Dream In The Dark
Hallo, vergessene und verlorene Teile dieses Lebens: Als ich vor 15 Jahren in die Stadt zog (ja: ”als man damals nach München kam”) hörte ich ausdauernd Okkervil River von „Blue bridge lights“ und „real blood“ singen und starrte an einsamen Winterabenden aus dem Küchenfenster auf die Highlight Towers. Als mich drei Jahre später vier Freunde in Schweden besuchten, hörten wir „The Stage Names“ in einem Volvo. Soll heißen: Gute Zeiten, schlechte Zeiten, selbe Soundtrackschreiber. Das mit der Band ist irgendwie lange vorbei. Aber „A Dream in the Dark“ war dann auf Tipp eines damaligen Mitreisenden ein doller Hör: Weil Okkervil River – wusste ich ja – live ein zehnhändiger Ausbruch sind, Songs und sonst recht strikten Strukturen zerschmettern. Und laut aufgedreht auf diesem Album klingen wie ein echtes Konzert, das halbvergessene Konzept. Was ich auch nicht wusste: Dieses „Judey On A Street“ ist live ja ein optimaler Song, ich mag späte Belohnung. Kam nach meiner Zeit. Weiß aber auch sonst kaum jemand: 38 Youtube-Aufrufe seit September.
Sonderplatz 19: Hunt - Branches
Hinter sieben Dickichten und vierkommaacht Wegesbiegungen liegt das Jahr 2016 – eine andere Welt, in direkter zeitlicher Verbindung mit noch vergangeneren Lebensphasen. Seltsam, dass dieses Album vier Jahre verspätet in meinem Feed aufpoppte. Hunt, verantwortlich für einen der denkwürdigsten selbstveranstalteten Münchner Konzertabende für mich (es regnete Laub und atmete fast ein bisschen Underground), stampfen und wiegen plötzlich in schwerem, aber lichtschwangerem Post-Rock durch eine weit zurückliegende Nacht. Gitarre antwortet Bass, Drums schlagen Schienenschwellen und eine wohlbekannte Stimme schlägt Funken hoch über den Gleisen. Ein wohlig-beunruhigend ratternder Gruß aus dieser Vergangenheit. Und bei „Sorry“, nur zwischendurch, in momentaner Euphorie. Was ja auch schön ist, als Lichtblick - das Album hat eine dunkle Vorgeschichte. Eine ebenso feine Band aus verwandtem Genre nannte ihre Platte mal: „After this darkness, there's a next.“
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18: Hachiku – I'll Probably Be Asleep
Revivals der 70er, 80er oder 90er zu zitieren ist mittlerweile Gewohnheit. Klingt ja auch nach hinlänglich lang bekanntem Slogan des Adult-Orientated-Mainstream-Radio. Aber ob das nun tatsächlich die Wiederkehr der 00er ist? Hachikus Drummachine scheint jedenfalls gut mit der von Casiotone For The Painfully Alone bekannt, das raumhall-errechnete Säuseln aus dem Sampler ein bewusst cheesy Zitat der alten Wohnzimmer-Recording-Schule zu sein. Und beim Gesang könnte man schon an die ganz frühe Lykke Li denken. Oder an sehr, sehr gut gelaunte The Knife. All das kommt jedenfalls neben Ironie auch mit Lyrics der Marke „klar selbsterkannt und für schräg genug befunden um es festzuhalten“, einem mitfühlbaren Spaß an Sound und Klang und eher glockenhellen Melodien. Für so circa 6,5 von 8 Songs wirkt das in meinen ohren enorm unterhaltsam. Und sind es wirklich die auf die Meta-Ebene eskalierten 00er, wäre es jedenfalls – zusammen mit den 90er- und 00er-Wochen auf MTV – ein Beweis sehr freundlicher Natur für ihr Vergangensein.
17: Bumpkin Island – Le Festin de Babette
Now, well. Die Vertonung einer französischsprachigen Lesung. Gehört im Secret-Promo-Link. Das wäre genug Off-Mainstream um bloßer Show-Off zu sein. Aber tatsächlich: Bumpkin Island sind ein sehr, sehr feiner Geheimtipp aus dem selten besuchten Drei-Länder-Eck zwischen Post-Rock, Acoustic und Pop. Und der Soundtrack zu „Le Festin de Babette“ (von Karen Blixen) trägt große, sphärisch-silbergraue Dämmerungsmomente, sonant und in Spannung, wohl gesetzt im An- und Abschwellen. Mit Gitarren-Blinklichtern auf den norwegischen Fjorden. Vielleicht ein bisschen zu schnell für die historische Epoche des literarischen Werks, aber grade recht für heute. Ein Album für einen Ort, wenige Kilometer hinter einem Deich – keine nassen Füße, aber die Gewalt des Wasser ist schon spürbar. Das gefällt dem Ex-Skandinavisten in mir. Und dem Musikhörer eben. Bandcamp-Link
16: Black Marble – I Must Be Living Twice
Der Preis für das beste Cover geht an Black Marble. Zweimal: Der Blick des Kindes auf der Albumfront scheint wirklich anzudeuten, wie sich Wiedergeburt wider Willen anfühlen muss – die ganze Arbeit, die da wartet und ein schicksalsergebenes “wollt ihr mich verarschen?”... Zugleich ist die ganze Fünf-Song-EP ein Cover im Sinne eines Remakes. Dem der Fingerübungs-Spaß noch um die Moll-Akkorde weht. Mit Drumcomputer und sehr seriösem Schmelz in der Stimme das Leben „In Manchester“ besingen oder „Johnny und Mary“ wiederbeleben, das sind a) zwei starke Stücke, b) ein verrückter Coup gerade wegen des Sound-Downgrades in Lo-Fi und c)... meine erste Begegnung sowohl mit Black Marble, als auch mit Wire gewesen. Interessanterweise dank eines Wohnzimmers-Streams von Marc Zimmermanns Lunastrom, bei dem sicher schon vor Jahren, in echten Clubnächten, Wire lief. Die kleine EP funktioniert aber auch einfach als Wegverkürzer für Lockdown-Spaziergänge zum Supermarkt.
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15: Moaning – Uneasy Laughter
Es brauchte schon einen Lockdown und ein Puzzle, damit „Uneasy Laughter“ seine zweite Chance bekommen hat. Selbst in der Pseudo-Quarantäne ist mir zwar meine Lebenszeit zu schade für Puzzle. Aber gültig ist die Regel offenbar nur für echte, physische solche. Auf das Youtube-Video mit dem Bandnamen und dem Stanzteilchensalat habe ich dann doch geklickt. Und erfahren: Hinter dem Hit „Ego“ und dem sich unnötig sperrenden „Make It Stop“ (gesagt, getan. Dmals, beim ersten Durchgang) folgt ein Album wie ein treuer Begleiter durch einen Corona-Katertag: Eine einzige, wärmend menschliche post-alkoholische Depression in den Lyrics. Und synthiger, kalter Post-Punk, der direkt aus den 80ern sein könnte darunter. Schon mal gehört, vielleicht. Aber gute Tunes funktionieren auch im zweiten Aufguss. Blieb nur die Frage, ob das Puzzle bis zum letzten Akkord fertig wird... Ich würde empfehlen, das selbst zu überprüfen.
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14: Die Sterne – Die Sterne
Eigentlich nichts zu kritisieren: Zu Beginn der musikalischen Kleinstadt-Sozialisierung bin ich zu „Universal Tellerwäscher“ vier Minuten über die Holzbalkendecke gesprungen. Und habe K.O.O.K. in stundenlangen Dauerschleifen gehört. Das war mein Hamburger Muster das blieb. Die Sterne sind mittlerweile nun nur noch ein Stern. Und für mich weiter Einzelsong-Band: „Der Sommer in die Stadt wird fahren“ als diskotanzbodentaugliche Hoffnung gegen Corona (und das Leben davor) in schönstem 24/7, „Du musst gar nichts“ als Kopfzurechtrücker wäre eigentlich alle paar Tage nötig. Dazwischen salzwasser-klar brennende Gesellschaftsanalyse: „Das Elend ist fleißig, fair und pflichtbewusst.“ Fein und hörenswert – aber dann doch kein Dauerrotierer und Durchhörer. Trotzdem sehr schön, dass es da ist. „Die Unendlichkeit“ habe ich übrigens auch nicht mehr durchgehört. Vielleicht mein Fehler.
13: En Attendant Ana - Juillet
Nach gut zehn Jahren Konzertveranstalterei darf ich mir (oder doch der Musikwelt?) attestieren: Es scheint da geografische Konjunkturen zu geben. Auf die offensichtliche Schweden-Phase folgte irgendwann Kanada, dann Polen, schließlich Niederlande und Belgien; eine seltsame herkunftsregionale Ballung von Live-Besuchen und Albenkäufen mit Gewicht, musikalisch oder biografisch. Vielleicht auch nur der ewige Algorithmus. Als explizit frankophil würde ich mich explizit nicht bezeichnen – aber aktuell ist es trotzdem Frankreich. Siehe Bumpkin Island, siehe zweiter Teil dieser Liste. Aber zum Beispiel auch: En Attendant Ana. Kein neuerfundenes Rad. Dafür leicht lo-fi verknarzter und scheinbar an den Farbfilm der 60er angelehnter (nicht so wichtig) Retro-Indie mit glaubhaft mitreißenden Hooks, Twangs, Gesangsmelodien und unerwarteten Songwendungen (wichtig). Verwirrenderweise für mich ein Flashback an südschwedische Clubnächte, ein Leichtbier in meiner Hand. Gerne auch dabei: Die im Sound ertrinkende Trompete. Wild. Gut.
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12: Dekker – Slow Reveal: Chapter One
Rue Royale gibt es fast solange wie mein Erwachsenenleben. Viel mehr als folky nett mochte ich die Musik aber nie finden. Bis Brookln Dekker jetzt – inhaltlich offenbar zufällig – gleich mehrere erschrecklich passende Soundtracks für das Corona-Jahr geschrieben hat. Und für das Driften durch die Zeit und Beziehungsfragen. Was man 2020 so tut. Nicht verkünstelt, eher direkt ins Gesicht. Und das ist ja auch eine Kunst. „Keep your hands clean / keep your hearts wide open“. Oder: „About as far as we are gonna go / Look at us.“ Das zweite Zitat stammt aus „This Here Island“, einem gelassen kopfschüttelnden akustischen Tune, zu dem Sony eine Fernseher-Fernsehwerbung hätte drehen können. Das erste aus „Hands Clean“, dem ich live in einer Spätsommernacht sogar das simple „Hope over fear / Love over hate“ zu meiner massiven Rührung abgenommen habe. Musikalisch ist das eine Konzertgitarre, Pop, klar, und ein kühleres Acoustic Movement. Vielleicht eine Spur Bon Iver. Und manchmal, in Nuancen (etwa beim Bass in „I Follow My Feet“) einfach sehr smart gemacht. Ein starkes Ding also. Das in die passende Zeit fällt. Und nebenbei vielleicht mein Lieblings-Konzert 2020.
11: Loma - Don’t Shy Away
Ein Album direkt aus der Kühle und Distanz: In den ganz ruhigen Momenten setzen Loma fast ein wenig Frost an - und das ist ja ein Klima, in dem Gedanken ganz gut gedeihen können. Dazwischen schwellen etwas lautere Töne und gar Beats zu hypnotischen Ausbrüchen an... Der ganz große Hit in der Klang-Arktis ist “Half Silences”. Mit bedrückend punchy Beziehungslyrics - “I generate life, generate heat, generate feeling / I forget myself / Forget my life / Remember believing / I never get used to your tongue” - kurzer Melodieflut und trotzigem Vorangleiten. Aber überhaupt ist die Zurückgenommenheit der Rahmen für große Bedeutsamkeiten: Eine Akustikgitarre als karge Umarmung, ein Kratzen übers Becken als Hoffnungsglimmen oder (in “Ocotillo”, noch so ein Hit in der Stille), das recht unerbittlich voranhinkende Zusammenspiel von Stimme, trockener E-Gitarre, Bass, gedämpften Drums und Saxophon. So als psychedelischer Sog wie bei den frühen Verve. Ich glaube ja nicht an “Slow Food”. Aber “reduced music” funktioniert bei Loma schon sehr, sehr gut. Wenn am Ende eines Albums nicht Reizüberflutung, sondern Gliederstrecken und morgendliche Frische steht. Wenngleich etwas beunruhigt.
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Fortsetzung: Folgt hier.
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Blinis Demidoff selon “Le Festin de Babette”
Préparation : 20 mn
Repos : 1h
Cuisson : 30 mn
Ingrédients pour une quinzaine de blinis
Pour les blinis
25 cl de lait entier tiède
15 g de levure de boulanger fraîche (ou 5 g de levure de boulanger sèche)
3 œufs, blancs et jaunes séparés
1 c. à soupe d’huile végétale au goût discret (colza, tournesol, maïs…)
5 g de sel (soit 2/3 de cuillère à café)
60 g de beurre fondu
250 g de farine
1 c. à soupe de sucre en poudre
Beurre pour cuisson
Pour la garniture
20 cl de crème fraîche épaisse, crue de préférence
Un filet de jus de citron
Un pot d’œufs de poisson, selon votre goût et vos moyens : caviar, truite, saumon, lump…
Délayez la levure avec le lait dans un saladier.
Mélangez dans un bol les jaunes d’œuf avec l’huile, le sel et le beurre fondu.
Ajoutez ce mélange à celui à la levure.
Ajoutez la farine en pluie en mélangeant vivement pour éviter la formation de grumeaux.
Couvrez et laissez lever 1h.
Fouettez les blancs en neige. Lorsqu’ils sont bien montés, ajoutez le sucre en pluie et incorporez-le rapidement.
Incorporez la moitié des blancs dans la pâte en soulevant le mélange délicatement, puis incorporez le reste comme pour une mousse au chocolat.
Faites chauffer à feu moyen le beurre, soit dans une petite poêle soit dans une crêpière.
Faites cuire des cuillerées de pâte en les espaçant bien. Lorsque de petites bulles apparaissent à la surface, retournez le blini pour terminer sa cuisson de l’autre côté.
Réservez-les au fur et à mesure entre deux assiettes ou dans un four préchauffé à 80 °C pour qu’is restent chauds.
Mélangez la crème avec un peu de citron.
Décorez les blinis d’une cuillère de crème et recouvrez d’une autre cuillère d’œufs de poisson. Servez sans attendre.
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http://lemiroirdesfantomes.blogspot.com/2020/06/le-festin-de-babette-poulet-au-vinaigre.html?view=magazine
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Alexander Payne s’engage pour que le festin de Babette soit réinventé
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"Une Histoire Immortelle" de et avec Orson Welles (1967) - tiré de la nouvelle "L'Éternelle Histoire" de Karen Blixen du recueil "Le Festin de Babette" (1958) - avec Jeann Moreau, Roger Coggio et Norman Eshley, juin 2017.
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