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Le Brasier ardent (Ivan Mosjoukine, 1923)
#le brasier ardent#ivan mosjoukine#nathalie lissenko#nicolas koline#film#classic film#silent film#silent cinema#silent era#french film#french cinema#my screencaps#1920s
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— Les magies - l'Embras
héritée du peuple du feu qui vit depuis toujours sur les dévers d'un volcan qui, de temps en temps, crache sa fureur pour montrer qu'il n'est qu'endormi - autrefois sauvé d'une terrible éruption par Vaymire cinquième dieu primordial, il charrie depuis lors des rumeurs sur son affiliation avec le soleil et son caractère emporté.
Par personnage : 3 capacités innées initiales, 1-2 caractéristiques physiques initiales et une voie au choix (comprenant elle-même 2/3 capacités innées, 2 capacités acquises et 1 capacité ultime.) Capacités innées propres à cette magie et possédées par toustes ses pratiquant.es :
• invulnérabilité aux brûlures • vulnérabilité à l'élément aqueux qui les empoisonne • insensibilité aux effets de la fumée Caractéristiques physiques possibles (1 obligatoire, 2 maximum.): • Un éclat doré ou rougeoyant dans leurs iris, surtout lorsqu’iels utilisent leur magie. • Des tâches sombres ou rougeoyantes sur la peau, comme si des braises s’étaient incrustées sous l’épiderme. • Une chaleur constante émanant de leur peau, perceptible au toucher. La voie du Cendre
Capacités innées :
manipulation du feu lorsqu'il y en a à proximité,
soin mineur lorsqu'iel est pieds nus dans les flammes (rend 20% de sa vie.)
Capacités acquises (deux au choix) :
création de lames de flammes infligeant une brûlure,
capacité à invoquer une créature humanoïde de feu qui portent assistance lors d'un combat,
capacité à créer un dôme de protection de feu anti magie sur la terre ferme
capacité à créer dans sa main une flamme noire qui n'éclaire que son.sa créateurice.
capacité à éteindre ses flammes pour créer un nuage de fumée dans lequel se dissimuler
Capacité ultime (une au choix) :
La Tempête de Scories ; Un pouvoir cataclysmique qui crée une pluie de pierres brûlantes et d’étincelles dans un large rayon, transformant tout en un chaos infernal.
L'Étreinte Volcanique ; En frappant le sol, lea mage libère une onde de chaleur intense ou fait jaillir des jets de lave, transformant l’environnement en un paysage infernal.
La voie du Brasier:
Capacités innées :
capacité à générer des flames
les flammes créées persistent plus longtemps, même sur des surfaces inhabituelles.
immunité aux brûlures et résistances accrues aux dégâts de feu.
Capacités acquises (deux au choix) :
invocation d’un « Phénix de Cendres », une créature éphémère qui explose en mourant.
création d’une onde de chaleur étouffante qui ralentit les ennemi.es dans une large zone.
augmentation temporaire des dégâts des flammes en sacrifiant une partie de ses PV.
capacité à chauffer des objets pour les rendre fragiles ou brûlants.
création d’une aura de chaleur autour d’iel, infligeant des dégâts mineurs à tout ce qui s’en approche.
Capacité ultime (une au choix) :
Les Cendres Immortelles : Se relève une fois après avoir été vaincu.e, entouré.e d’un halo de flammes destructrices.
L'Inferno Éternel : Les flammes déchaînées embrasent tout ce qu'elles touchent et ne s’éteignent qu’après un long moment.
La voie des Flammes Spectrales :
Capacités innées :
capacité à générer des flammes
lea mage peut créer de petites illusions à partir de flammes existantes, comme des ombres mouvantes ou des formes indistinctes.
une aura oppressante entoure lea mage, rendant les ennemis proches légèrement hésitants ou nerveux.
Capacités acquises (deux au choix) :
lea mage crée des illusions réalistes de murs de feu, de créatures ardentes, ou d'explosions, qui n'infligent pas de dégâts mais manipulent les perceptions.
Invoque des entités éthérées enflammées qui errent sur le champ de bataille, perturbant ou distrayant les ennemis.
Lea mage génère une copie illusoire de lui-même, qui peut bouger indépendamment pour désorienter les adversaires.
Manipule les flammes pour créer des ombres menaçantes qui peuvent effrayer ou désorienter les ennemis.
Plante une flamme spectrale invisible dans l'esprit d'un.e ennemi.e, qui provoque des hallucinations ou des visions effrayantes.
Capacité ultime (une au choix) :
Marcheur des Flammes Fantasmagoriques : Lea mage devient temporairement intangible, se déplaçant comme une ombre enflammée à travers les murs ou les ennemi.es, tout en semant des illusions chaotiques autour de lui.
Inferno Illusoire : Une vaste illusion de destruction par le feu s'abat sur une zone, plongeant les ennemi.es dans une panique totale et brouillant toutes leurs perceptions pendant plusieurs minutes.
#baldur's gate 3#forumactif#forum rpg#forumrpg#french rpg#rpg french#projet forum#rpg#rpg francophone#the witcher
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« Et les étoiles alentour se noient en son brasier de feu, les statues des faux dieux éclatent en tessons d'argile, et de nouveau toute forme forgée se fond en mille fourneaux ardents, pour être refondue en des valeurs nouvelles ».
Ernst Jünger, La guerre comme expérience intérieure (1922)
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Seen in ’23: Annual Roundup
Top new-to-me films of ‘23
(in the order I saw them, not preference)
The Blizzard / Gunnar Hedes saga (1923) [imdb | letterboxd]
The Rafter’s Bride / Koskenlaskijan morsian (1923) [imdb | letterboxd]
Funeral Parade of Roses / 薔薇の葬列 (1969) [letterboxd | imdb]
Dorian Gray in the Mirror of the Yellow Press / Dorian Gray im Spiegel der Boulevardpresse (1984) [letterboxd | imdb]
Drylongso (1998) [letterboxd | imdb]
The Cruz Brothers and Miss Malloy (1980) [letterboxd | imdb]
The Burning Crucible / Le Brasier ardent (1923) [letterboxd | imdb]
Let’s Scare Jessica to Death (1971) [letterboxd | imdb]
Merry-Go-Round (1923) [letterboxd | imdb]
Dream Demon (1988) [letterboxd | imdb]
Mazel Tov / Ost und West (1923) [letterboxd | imdb]
The Signal Tower (1924) [letterboxd | imdb]
The Second Track / Das zweite Gleis (1962) [letterboxd | imdb]
Restless Blood / Levoton Veri (1946) [letterboxd | imdb]
The Man Without Desire (1923) [letterboxd | imdb]
Revolutionary Girl Utena: The Adolescence of Utena / 少女革命ウテナ アドゥレセンス黙示録 (1999) [letterboxd | imdb]
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Honorable mention:
Ritratto di donna velata (1972) [letterboxd | imdb] (because it’s technically a mini-series)
Spirits of the Dead / Histoires extraordinaires (1968) [letterboxd | imdb] (because it would make the year-end list for “Toby Dammit” alone TBH)
So, according to letterboxd, only 33% of the films I watched in 2023 were rewatches. In an unexpected bit of consistency, that’s also my proportion of rewatches for ‘22 and ‘21. Sometimes crunching the numbers teaches you potentially meaningless things about yourself.
On my letterboxd, I put together a list of my top new-to-me films of ’23, in case you want an easier way to check if there’s anything you might want to add to your own watchlists!
READ ON BELOW THE JUMP!
As I continued my tradition of watching films as they turn 100, the 1920s was my most-watched decade as it was in 2022.
I was startled looking at the stats that the 1930s were so underrepresented! To ward that off in 2024, I think I’ll binge some pre-codes. Maybe we should all watch pre-codes in March 2024 to dishonor Will Hays on his birthday?
My top individual years were:
1923
1987
1986
1920
1911
1971 (unexpected!)
1988
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In another bit of unexpected consistency, I seem to have watched roughly 60% American-made films every year for the last 3 years?
Regardless, I think my MVP for this year was Finland. Teuvo Tulio is quickly becoming one of my favorite directors and the silent films from Finland that I watched this year were highlights too!
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My most watched actors for 2023 were:
Alice Howell
James Finlayson
Stan Laurel
Snub Pollard
Katherine Grant
Marie Mosquini
Christopher Lee
Jackie Cooper
Lois Weber
Mabel Normand
Noah Young
Oliver Hardy
Richard Smith
Can you tell that I watched a ton of silent comedy in 2023? Of course Marie and Snub are making a return appearance here from last year, so I suppose I watched plenty of comedy shorts in ‘22 as well.
If you were only to count the feature films that I watched, Christopher Lee, Boris Karloff, Douglas Fairbanks, Vincent Price, and William Haines would top the list!
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My most watched directors were:
Alice Guy
Dave Fleischer
George Jeske
Arthur Rankin Jr. & Jules Bass
Charley Chase
John G. Blystone
Lois Weber
Richard Smith
Maya Deren
Phillips Smalley
Another affirmation that I watched a whole lot of silent shorts, but this time because of the fantastic Pioneers: First Women Filmmakers set. I highly recommend picking up a copy (or checking it out of your local library). Not only is the set well curated, but there are so many great extras to put the films in context.
For Christmas ‘23, I got the Cinema’s First Nasty Women set and I’m very excited to marathon those and be influenced into a year of behaving badly.
Maya Deren makes the list because I re-watched her films in advance of my cosplay/profile of her. If you haven’t dug into Deren’s short but fascinating filmography yet, I highly recommend it!
#roundup#year end roundup#film recommendation#movie recommendations#film blog#film#classic film#classic movies#silent film#silent movies#silent cinema#cinema#filmblr#movies#world cinema#animation
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Bienvenue au Clan Destin. Ici, jour et nuit, nous tentons le destin Et le destin nous tente – nous y succombons! Nous tentons le destin par le choix Nous tentons notre chance par le risque Nous tentons Satan comme bon Dieu nous semble, Pauvres diables que nous sommes, Nous qui ne croyons pas au destin Mais en sommes les maîtres, Nous qui ne croyons qu’en l’Être des lettres En somme, nous débutons par la finalité Nous causons la division en vue du partage Nous parions nos biens comme nos maux Sur la Fortune en haillons Et nous vivons en respirant la fatalité Dans l’air familier d’un cri, Dans l’aire de jeu du devenir Car nous sommes un troupeau de moutons noirs, Une meute de loups solitaires, Une volée d’oiseaux en cage MMA, Une colonie de manchots sans empereur, Une ruche de guêpes dont la taille Entoure tout l’univers, Une horde d’éléphants gardant en mémoire La gloire future, Un banc de saumons n’ayant pas de rivière À remonter Voilà. Les dés sont jetés. Chaque dé prime sur notre sort Comme la force prime le droit, La gauche l’emporte sur la droite Et les courbes emportent nos « tout droit » … Nous sommes! De chaque déprime nous sortons Quand, quoique jetés dans le monde, Nous allons tout droit! Tout droit! Tout droit! … et plus haut! Toujours plus haut! Plus vite, plus haut, plus fort – ensemble! Gravissons l’Olympe! Délogeons-en les dieux Tant que le feu sacré nous habite! Brûlons d’amour! Faisons des étincelles Pour que nos torches éclairent la voie! Soyons le brasier incendiant les cimes, Au prix que notre buisson ardent se consume Et qu’on nous mette sur le bûcher Comme par magie, existons! – au prix De nous jeter un sort et que le sort Nous jette par la fenêtre Marchons! – au prix de nous perdre Courons! – au prix de nous couvrir de bleus Volons! – au prix de nous briser les ailes Espérons! – au prix des déceptions amères Visons les étoiles! – au prix de les tuer Et aimons, aimons, aimons à tout prix, Aimons coûte que coûte! L’amour n’a pas De prix autre que le premier prix Et le dernier baiser de nos chéris
Bienvenue au Clan Destin. Ici, voleurs de feu, poètes clandestins, Nous n’aimons que d’un amour clandestin, Avec un cœur ouvert pour saigner en roses, Avec un cœur mis à nu et tombé des nues, Avec un cœur qui (se) bat sans arrêt, Avec la fougue d’une jeunesse éternelle Ici, nous aimons, nous vivons sans raison Car la voix de la raison parle à tort et à travers Et nous sommes les porte-paroles des mimes Nous avons des saltimbanques en tête d’affiche Et chez nous, les fous sont rois, L’équilibre de vie est funambule, Les priorités sont jonglées par des clowns Et seul Orphée – tout seul, dévoré par le chagrin – Dresse les bêtes fauves que nous sommes!
-Poésie: "Le Clan Destin", à lire dans "Genèse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme
#poesie#poetry#french literature#clandestine#destiny#alea jacta est#orpheus#animals#wildlife#fate#wheel of fortune#human existence#free verse
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Servir de bouc émissaire 04/01/2025
Quant au bouc désigné par le sort comme bouc émissaire, on le présentera vivant devant l’Éternel, pour servir à l’expiation et pour être chassé comme bouc émissaire dans le désert. ! Lévitique 16.10
Selon le sens populaire de cette expression, quand quelqu’un est « le bouc émissaire », c’est qu’on lui fait endosser la faute de tous, on le charge de tous les torts. Autrement dit plus familièrement : « on lui fait porter le chapeau » ! L’origine de l’expression se trouve dans l���Ancien Testament, la première partie de la Bible. Une fois par an, le Jour des Expiations ou Yom Kippour, le grand-prêtre offrait à Dieu en sacrifice un jeune taureau et un bouc, pour couvrir le péché du peuple. Il posait ensuite ses mains sur la tête d’un autre bouc et confessait sur lui toutes les désobéissances et les fautes des Israélites. Il les faisait ainsi passer sur la tête du bouc et celui-ci était ensuite chassé au désert, emportant symboliquement sur lui les péchés du peuple.
Le sens véritable de ce rituel nous est expliqué dans le Nouveau Testament, la deuxième partie de la Bible. Jésus nous est présenté comme le véritable bouc émissaire. L’apôtre Pierre nous l’affirme : Il a pris nos péchés sur lui et les a portés dans son corps, sur la croix, afin qu’étant morts pour le péché, nous menions une vie juste 1.
Si nous plaçons notre confiance en son Fils, Dieu ne nous condamne plus, il ne voit plus notre péché…
Bernard Grebille
1 1 Pierre 2.24 __________________ Lecture proposée : Livre du Lévitique, chapitre 16, versets 6 à 17.
6 Aaron offrira son taureau expiatoire, et il fera l'expiation pour lui et pour sa maison.
7 Il prendra les deux boucs, et il les placera devant l'Éternel, à l'entrée de la tente d'assignation.
8 Aaron jettera le sort sur les deux boucs, un sort pour l'Éternel et un sort pour Azazel.
9 Aaron fera approcher le bouc sur lequel est tombé le sort pour l'Éternel, et il l'offrira en sacrifice d'expiation.
10 Et le bouc sur lequel est tombé le sort pour Azazel sera placé vivant devant l'Éternel, afin qu'il serve à faire l'expiation et qu'il soit lâché dans le désert pour Azazel.
11 Aaron offrira son taureau expiatoire, et il fera l'expiation pour lui et pour sa maison. Il égorgera son taureau expiatoire.
12 Il prendra un brasier plein de charbons ardents ôtés de dessus l'autel devant l'Éternel, et de deux poignées de parfum odoriférants en poudre; il portera ces choses au delà du voile;
13 il mettra le parfum sur le feu devant l'Éternel, afin que la nuée du parfum couvre le propitiatoire qui est sur le témoignage, et il ne mourra point.
14 Il prendra du sang du taureau, et il fera l'aspersion avec son doigt sur le devant du propitiatoire vers l'orient; il fera avec son doigt sept fois l'aspersion du sang devant le propitiatoire.
15 Il égorgera le bouc expiatoire pour le peuple, et il en portera le sang au delà du voile. Il fera avec ce sang comme il a fait avec le sang du taureau, il en fera l'aspersion sur le propitiatoire et devant le propitiatoire.
16 C'est ainsi qu'il fera l'expiation pour le sanctuaire à cause des impuretés des enfants d'Israël et de toutes les transgressions par lesquelles ils ont péché. Il fera de même pour la tente d'assignation, qui est avec eux au milieu de leurs impuretés.
17 Il n'y aura personne dans la tente d'assignation lorsqu'il entrera pour faire l'expiation dans le sanctuaire, jusqu'à ce qu'il en sorte. Il fera l'expiation pour lui et pour sa maison, et pour toute l'assemblée d'Israël.
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Quant à la terre et aux cieux actuels, ils sont réservés par cette même parole pour être livrés au feu : ils sont gardés en vue du jour du jugement où tous ceux qui n’ont aucun respect pour Dieu périront (2Pierre 3:7). ❗
Pierre est le seul auteur du Nouveau Testament à décrire la future destruction du monde par le feu. C’est un scénario très catastrophe puisqu’un peu plus loin, l’apôtre précise :
Le ciel disparaîtra dans un fracas terrifiant, les astres embrasés se désagrégeront et la terre se trouvera jugée avec tout ce qui a été fait sur elle (2Pierre 3:10). ❗
Et au cas où quelqu’un n’aurait pas prêté attention, Pierre enfonce le clou en ajoutant :
Ce jour-là, le ciel en feu se désagrégera et les astres embrasés fondront (2Pierre 3:12).
Dans le passé, suite au commandement de l’Éternel, le monde a été détruit par les eaux du déluge. Dans le futur, il le sera à nouveau, toujours sur l’ordre de Dieu, mais par le feu. Le jugement de ce monde est déjà arrêté (2Pierre 2:3, 4, 9, 17) et Dieu attend simplement que le moment qu’il a fixé d’avance soit venu.
La terre et les cieux sont réservés [ … ] pour être livrés au feu. Le mot pour « réservés » (tethêsaurismenoi) signifie mettre de côté comme un trésor. Les prophètes Ésaïe et Malachie associent tous deux le feu au retour du Seigneur. Je lis ces passages :
Car l’Éternel va venir dans le feu et ses chars surviendront comme un vent d’ouragan pour verser sa colère avec fureur et pour accomplir ses menaces comme des flammes. Car, c’est avec le feu que l’Éternel exercera son jugement et avec son épée qu’il châtiera tous les humains, et l’Éternel fera un très grand nombre de victimes (Esaïe 66:15-16).
Car voici : le jour vient, ardent comme un brasier, où tous les arrogants et ceux qui font le mal seront comme du chaume. Ce jour-là, ils seront consumés par le feu, déclare l’Éternel, le Seigneur des armées célestes. Et il n’en restera ni rameaux ni racines (Malachie 4:1).
Ces événements terrifiants auront lieu pendant ce qui s’appelle le Jour de l’Éternel ou le Jour du Seigneur, qui est en réalité une longue période de temps qui commence par la nuit de la tribulation et qui se prolonge jusqu’à la fin du millénium. Ensuite viendra le jugement du Grand Trône blanc où tous les impies de tous les temps seront formellement condamnés et jetés dans l’étang de feu (Apocalypse 20:1-15). Finalement aura lieu la destruction des cieux et de notre planète tels que nous les connaissons, ce qui n’est pas très difficile à concevoir.
En effet, le noyau de la terre contient une masse énorme de roche en fusion dont la température voisine les 7 000 degrés. Or, seule une petite croûte d’à peine seize kilomètres d’épaisseur nous sépare de cette fournaise. ❗❗❗
D’autre part, en raison de sa structure atomique de base, toute la matière (et pas seulement celle qui est radioactive) est une bombe nucléaire en puissance. De plus, des milliards d’astres incandescents composent les milliards de galaxies que compte l’univers ; ce sont des torches qui n’attendent que l’ordre du Tout-Puissant. La mise à feu de la fin du monde est donc prête depuis longtemps.
À son heure, Dieu relâchera toute cette énergie pour dissoudre l’univers qui s’embrasera dans une gigantesque gerbe de feu. Cet événement sans précédent pourra être observé par les bienheureux du haut de leur balcon dans la Nouvelle Jérusalem du royaume des cieux. La question est donc : Serez-vous en bas ou en haut ?
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Le Brasier ardent (1923)
[letterboxd | imdb]
Archive: HENRI by La Cinémathèque française
Director: Ivan Mosjoukine
Directors of Photography: Joseph-Louis Mundwiller, Nikolai Toporkoff
Performer(s): Ivan Mosjoukine, Nathalie Lissenko, Nicolas Koline
Languages: French Intertitles
Music: Neil Brand
Runtime: 108 min.
#HENRI#La Cinémathèque française#Ivan Mosjoukine#Nathalie Lissenko#France#French#>60#with music#silent cinema#silent movies#silent film#drama#classic film#classic movies#1920s#1923
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Whatever the result of this poll, there can only be one answer to this: Ivan Mosjoukine. The eyes! The eyeliner! The charisma! The effortless energy! The humour! The mind that gave us the bonkers genius of Le Brasier Ardent! He’s not a man for the long haul of monogamous matrimony but my goodness would there be some nights in Montmartre…
Propaganda
Ivan Mosjoukine (Surrender, Casanova, Michel Strogoff)—no propaganda submitted
Gilbert Roland (The Cisco Kid movies, The Bad and the Beautiful)—no propaganda submitted
This is round 1 of the bracket. All other polls in this bracket can be found here. Please reblog with further support of your beloved hot sexy vintage man.
#ivan mosjoukine#ivan mozzhukin#oh do not get me started#from russia with love#silent film#tumblr polls
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La Torche
Je vous aime, mon corps, qui fûtes son désir, Son champ de jouissance et son jardin d’extase Où se retrouve encor le goût de son plaisir Comme un rare parfum dans un précieux vase.
Je vous aime, mes yeux, qui restiez éblouis Dans l’émerveillement qu’il traînait à sa suite Et qui gardez au fond de vous, comme en deux puits, Le reflet persistant de sa beauté détruite.
Je vous aime, mes bras, qui mettiez à son cou Le souple enlacement des languides tendresses. Je vous aime, mes doigts experts, qui saviez où Prodiguer mieux le lent frôlement des caresses.
Je vous aime, mon front, où bouillonne sans fin Ma pensée à la sienne à jamais enchaînée. Et pour avoir saigné sous sa morsure, enfin, Je vous aime surtout, ô ma bouche fanée.
Je vous aime, mon cœur, qui scandiez à grands coups Le rythme exaspéré des amoureuses fièvres, Et mes pieds nus noués aux siens et mes genoux Rivés à ses genoux et ma peau sous ses lèvres…
Je vous aime, ma chair, qui faisiez à sa chair Un tabernacle ardent de volupté parfaite Et qui preniez de lui le meilleur, le plus cher, Toujours rassasiée et jamais satisfaite.
Et je t’aime, ô mon âme avide, toi qui pars – Nouvelle Isis – tentant la recherche éperdue Des atomes dissous, des effluves épars De son être où toi-même as soif d’être perdue.
Je suis le temple vide où tout culte a cessé Sur l’inutile autel déserté par l’idole ; Je suis le feu qui danse à l’âtre délaissé, Le brasier qui n’échauffe rien, la torche folle…
Et ce besoin d’aimer qui n’a plus son emploi Dans la mort à présent retombe sur moi-même. Et puisque, ô mon amour, vous êtes tout en moi Résorbé, c’est bien vous que j’aime si je m’aime.
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Le Brasier ardent (1923) dir. Ivan Mosjoukine
“Mosjoukine’s most innovative use of Expressionism occurs during the editing of one particular sequence, that in which Z plays piano in a bar and Elle’s emotional turbulence surfaces. Mosjoukine builds suspense in the scene as it moves through a number of styles, from a very slow shot/reverse shot in which Z and Elle look into each other’s eyes to a rapid sequence at the end of the scene, when an extremely high volume of shots unfold, the average shot length of which is between only one and two seconds. The editing is used to create an explosion of neurotic jealousy experienced by the would-be lovers. This sequence conveys not just these feelings of emotional disturbance experienced by the lead characters, but also the wild sexual excitement of the audience, comprising licentious females and aroused males who dance to the increasing tempo of Z’s piano playing. Editing is less often examined as a feature of German Expressionist cinema, but that is indeed its purpose at this point in Le Brasier ardent. The fast and pronounced editing style—as well as the particular images being cut—generates a form of expressionist editing that communicates individual and mass neuroses and sexual desire. The result, to borrow a phrase from Béla Balázs, conveys the crowd’s most “expressive expression.” Put another way, here is editing that— as Kasimir Edschmid might say—“grasps what is behind” the characters—their increasing sexual desires—and rips them frenetically to the surface.” Bernard McCarron, Ivan Mosjoukine's clin d'oeil to German Expressionism in Expressionism in the Cinema, 2016.
#le brasier ardent#ivan mosjoukine#nathalie lissenko#film#classic film#classicfilmsource#classicfilmedit#silent film#silent cinema#silent era#french film#french cinema#expressionism#1920s#moviegifs#filmgifs#my gifs
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Assis sur un banc, l'air concentré, un cahier de Japonais ouvert sur les genoux à la page du lundi. Ride du lion marqué au milieu du front, aucun nuisible n'aurait pu perturber sa tâche. La plume serrée dans la main gauche, prêt à calligraphier scrupuleusement sa série quotidienne de mots. Il voulait retravailler les arrondis de son écriture, la rendre plus légère, plus instinctive. L'écriture était une affaire de famille, l'héritage, le don des anciens. Pratique du temps, et de l'application. Il lui savait qu'il faire preuve de rigueur et d'assiduité ; c'est du moins la leçon que son grand-père lui avait inculqué.
Au loin ses camarades le scrutaient, curieux et désapprobateurs. Personne ne parvenait à le comprendre. De temps coupé dans un vers, le noiraud levait la tête agacé d'un bruit ou d'une nuisance sonore ; il les foudroyait alors, les priant d'aller jouer plus loin. D'un geste de main, d'un petit grondement sourd. À cet âge ce qu'on aime c'est : courir, se salir, embêter les filles. On ne passe pas son temps à raturer des cahiers. Il sentait la distance se creuser sans chercher à la diminuer. L'écart était là, un peu plus pesant à chaque instant. Hermétique, cellule chromosomique singulière, il n'effectuait aucune action de camaraderie pour rejoindre le noyau et n'entrait pas dans leurs mondes, comme eux n'entraient pas dans le sien. L'étrange, c'est ainsi qu'on l'avait à ce jour surnommé.
Tout était si mystérieux chez lui. Ce dernier avait pris pour habitude de garder le silence, et quand il s'exprimait, il le faisait à voix basse de façon si peu audible que l'interlocuteur renonçait presque aussitôt à entretenir l'échange en sa compagnie. Brimades et coups semblaient devenir sa galère quotidienne. Les genoux bleus coloraient à présent l'épiderme blanchâtre du chérubin, la couleur n'avait rien de jolie. Il aurait pu chérir un bleu plus gaie, moins terne, un peu comme un ciel d'Été. Céruléen comme l'océan qu'il aimait ébaucher à l'aide de l'aquarelle offerte à Noël.
Parfois, il effrayait. Que savait-on de lui ? D'où venait-il ? Il était apparu au milieu d'année scolaire dans cet uniforme parfait, dont aucun accroc ne serait ternir la réputation. Dès lors les rumeurs allaient bon train . Bruits de couloirs et messes basses qui circulaient à l'ombre des casiers.
L'Étrange entendait sans écouter. À quoi bon lutter contre un brasier ardent ?
Les jours se ressemblaient, on lui inventait des tas de fantaisies bonnes à nourrir une chef d'oeuvre littéraire. Une oeuvre insipide, comme cet essai de Pascal, qu'il avait tenté de lire sans jamais achever l'immondice. Il appartenait au cercle des rêveurs, ceux qui ne trouvent pas leurs places sous les nuages.
Ainsi, personne ne partageait un repas en sa compagnie. Aucun enfant n'occupait la place juxtaposant la sienne. L'univers du garçon était désespérément dépourvu d'âmes tendres ; et la solitude amicale, lui tendait les bras à mesure où la chaleur quittait sa carcasse. Patiemment, il attendait la nuit tomber pour s'évader, au creux de ses draps. C'est-là, dans le cocon qu'il s'était bâti, qu'il pouvait enfin lâcher prise, s'abandonner aux larmes amères qui pesaient sur ses frêles épaules.
Les jours passant, le gamin avait déserté le self soumis au rejet, la faim n'était plus une si grande peine. Parfois, il emportait dans ses poches une ou deux pommes, qu'il ne consommait pas. Il conservait cette manie de les emporter " au cas où". La faim l'avait quitté depuis bien longtemps. Il ne lui restait désormais que les vestiges d'un sentiment âcre ; l'amertume.
La journée, il avait appris à longer les couloirs, discret automate. Sourire à la moindre interaction, sourire pour ne pas laisser transparaître la mélancolie. La larme nichée sous les paupières, il s'efforçait de contenir la rivière, l'ouragan qui grondait au creux de son ventre..
Jour après jour le visage mutin perdait de son éclat, les joues creusées de détresses. La faim revêtait une forme unique, elle prenait l'allure du manque ; celle du désespoir. L'autre faim, celle qui donnait consistance à son être ne trouvait plus sens dans sa réalité.
L'invisible tendait à se perdre. À trop vouloir se faire oublier, il s'oubliait lui-même.
Il eut plusieurs fois supplié la mère de le soustraire à cette prison. Les scènes d'angoisses, de crises rythmaient désormais les liens familiaux. À la mère solitaire, il hurlait de ne jamais retourner dans cet enfer. Mort ou école, il n'y voyait plus de nette différence.
Un matin sur un coup de tête, coup de pouce du destin ; il eut l'idée de remplir son sac à dos. Un livre, des affaires de consolations, et une peluche favorite. Prenant la route de la forêt derrière la maison, filant loin du monde. Petit poucet qui s'échappait, déliant les chaînes qui entravaient ses poignets. Il allait, où personne n'aurait idée de le trouver. Il échappait, échappait cette vie qu'on lui avait prescrit, échappait au monde. Perte d'un foyer, pour mieux se retrouver.
S'installant sur une pierre au bord de l'étang, un tas de livres à ses pieds. Prêt à rejoindre sa bulle... Son univers préservé, aucun regard indiscret ne viendrait le troubler. Sommeil de plomb et rêverie douce, l'enfant désormais bercé par l'écho de l'étang, un livre de Japonais en guise d'oreiller.
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Extinction
Une forte odeur de brûlé me tire du sommeil, cette lueur n'est pas le soleil. Les flammes rugissent dans une langue démoniaque l'heure de la destruction, Tandis que je rampe parmi les cendres et les charbons, Je m'arrête pour contempler ma ruine, Réalisant que je n'ai aucune envie d'y mettre fin. J'inhale de grandes bouffées de fumée toxique et foule les braises ardentes. La douleur est extatique et la vision transcendante.
Puisses-tu être l'incendie instigateur de la dissolution, Le foyer salvateur du déclin sans concessions Puisses-tu être la purge rédemptrice, mère de tous les demons, Le brasier où tout meurt et qui de noir peindra l'horizon
Je me ferai Phoenix corps beau neuf se pavanant sur la voûte céleste. Je remonterai le Styx, à contre courant, bravant les orages et les tempêtes. Mon regard se parera d'onyx, orgueilleux et jugeant, dont la rage tempeste.
J'assècherai les océans, engloutirai la pluie et siphonnerai chaque fleuve. Pour que plus un ruisseau ne coule et plus un nuage ne pleuve. Que seule gronde ma propre colère, et que brûle sans fin le feu de la dévastation Dans l'écrasante fournaise d'une unique et caniculaire saison.
Bénies soient les flammes destructrices d'âmes errantes Et de chairs pourries qui m'ont libérée de ce carcan glacial Et purifié l'air de toute forme de vie. Je m'éveille étendue dans les gravats d'une ruine fumante à rebâtir, Vestige des combats perdus et des limbes de mauvais souvenirs.
Un rire incontrôlable me parcourt l'échine dans un frisson, Attisé par l'idée de carboniser le carbone, et que le feu sonne l'extinction.
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Favorite New-to-Me Films
July '23
(in order of collage above R to L)
R.O.D: Read or Die OVA (2001) [letterboxd | imdb]
The Immortal Voice (1923) [letterboxd | imdb]
Passport to Destiny (1944) [letterboxd | imdb]
Let’s Scare Jessica to Death (1971) [letterboxd | imdb]
Le Brasier ardent / The Burning Crucible (1923) [letterboxd | imdb]
Little Nemo Pilots: (which I created gifs of!)
Little Nemo in Slumberland (1980) [letterboxd | imdb]
Nemo (1984) [letterboxd | imdb]
Nemo (1987) [letterboxd | imdb]
Merry-Go-Round (1923) [letterboxd | imdb]
Back Stage (1923) [letterboxd | imdb]
Batman & Mr. Freeze: SubZero (1998) [letterboxd | imdb]
#film recommendation#2000s#1920s#1940s#1970s#1980s#1990s#horror film#animation#silent film#silent movies#our gang#japanese film#american film#french film#classic movies#classic film
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Le Brasier Ardent (1923) dir. Ivan Mosjoukine
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Watching 100 Years Go By: The Burning Crucible/ Le Brasier Ardent (1923)
10/10 At first I thought the husbands worries were from unfounded jealousy because he’s a lil rich manlet and his wife is hot BUT then there was the gaggle of adoring men she went out with all the time so... his desperation can be forgiven I guess. Nonetheless, he really set himself up with this one. The detective Z and the wife were both so fun and in love 🥺🥺 !! It was beautiful.
This film was also the best technically shot of the 20s that I’ve watched so far and honestly holds up so well today. I’m sure it’d be more popular with modern audiences if it didn’t come out in the silent era. The lighting was so beautiful - it really did the “old Hollywood” thing justice even though this is even older than that “era”. The set design was so grand, you could tell stuff was FINALLY not made out of cardboard lol! The directing, writing and acting were also so so good - honestly I just loved everything about this film.
This Russian man really brought cinema to France!
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