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#le Petit livre de la révélation
eli-kittim · 2 years
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French translation of Eli Kittim’s article
Traduction française de l'article d'Eli Kittim
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PREUVE QUE DANIEL 12.1 FAIT RÉFÉRENCE À UNE RÉSURRECTION D'ENTRE LES MORTS BASÉE SUR LA TRADUCTION ET L'EXEGÈSE DES LANGUES BIBLIQUES
Par l'auteur Eli Kittim
Daniel 12.1 se situe dans le contexte de la grande tribulation de la fin des temps !  Matthieu 24.21 en parle aussi comme le temps de la grande épreuve : καιρός θλίψεως (cf. Apocalypse 7.14).
Daniel Théodotion 12.1 LXX :
καὶ ἐν τῷ καιρῷ ἐκείνῳ ἀναστήσεται Μιχαηλ ὁ ἄρχων ὁ μέγας ὁ ἑστηκὼς ἐπὶ τοὺς υἱοὺς τοῦ λαοῦ σου καὶ ἔσται καιρὸς θλίψεως θλῖψις οἵα οὐ γέγονεν ἀφ’ οὗ γεγένηται ἔθνος ἐπὶ τῆς γῆς ἕως τοῦ καιροῦ ἐκείνου.
La Théodotion Daniel 12.1 de la Septante traduit le mot hébreu עָמַד (amad) par αναστήσεται, qui est dérivé de la racine du mot ανίστημι et signifie « se lèvera ».
Traduction:
À ce moment-là, Michel, le grand prince, le protecteur de ton peuple, se lèvera. Il y aura un temps d'angoisse, tel qu'il n'y en a jamais eu depuis que les nations ont vu le jour.
Mon affirmation selon laquelle le mot grec ἀναστήσεται ("se lèvera") fait référence à une résurrection d'entre les morts a été contestée par des critiques. Ma réponse est la suivante.
Le premier élément de preuve est le fait que Michel est mentionné pour la première fois comme celui qui « ressuscitera » (ἀναστήσεται ; Daniel Theodotion 12.1 LXX) avant la résurrection générale des morts (ἀναστήσονται ; l'ancien grec Daniel 12.2 LXX). Ici, il existe des preuves linguistiques solides que le mot ἀναστήσεται fait référence à une résurrection parce que dans le verset suivant (12.2) le même mot au pluriel (à savoir, ἀναστήσονται) est utilisé pour décrire la résurrection générale des morts ! En d'autres termes, si ce même mot signifie résurrection dans Daniel 12.2, alors il doit aussi nécessairement signifier résurrection dans Daniel 12.1 !
Le deuxième élément de preuve provient de la version grecque ancienne de Daniel de la Septante qui utilise le mot παρελεύσεται pour définir le mot hébreu עָמַד (amad), qui est traduit par « surgira ».
La version de la LXX de l'ancien grec Daniel 12.1 se lit comme suit :
καὶ κατὰ τὴν ὥραν ἐκείνην παρελεύσεται Μιχαηλ ὁ ἄγγελος ὁ μέγας ὁ ἑστηκὼς ἐπὶ τοὺς υἱοὺς τοῦ λαοῦ σου ἐκείνη ἡ ἡμέρα θλίψεως οἵα οὐκ ἐγενήθη ἀφ’ οὗ ἐγενήθησαν ἕως τῆς ἡμέρας ἐκείνης.
La version de la septante de Daniel en grec ancien démontre en outre que Daniel 12.1 décrit un thème de mort et de résurrection parce que le mot παρελεύσεται signifie « mourir » (mourir), indiquant ainsi le décès de ce grand prince au moment de la fin! Il plante le décor de sa résurrection alors que la forme dite « Theodotion Daniel » de la LXX comble les lacunes en utilisant le mot αναστήσεται, signifiant une résurrection corporelle, pour établir la période des derniers jours comme le temps pendant lequel cette figure princière sera ressuscitée d'entre les morts !
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ernestinee · 4 months
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Je lis assez bien. En ce moment, c'est mon loisir principal, avec les cours de langues. En tout cas le rythme me plaît bien.
Aujourd'hui, après 8h passées à fendre des bûches, déplacer des bûches et réorganiser des bûches (oui j'en ai un peu marre j'avoue, ça fait une semaine que je coupe du bois plusieurs heures par jours, j'ai envie qu'il pleuve demain pour m'offrir un petit congé et pouvoir bosser pour mon vrai boulot qui n'est pas bûcheronne), j'ai réchauffé le repas, rangé la cuisine, vidé et rempli le lave-vaisselle, mis sécher une machine et puis enfin j'ai pu continuer ma lecture, un chat sur les genoux, ce qui est le meilleur argument pour demander aux autres de faire des trucs à ma place.
Mais bon tout était déjà fait.
Et du coup je termine aujourd'hui un livre que j'ai commencé la nuit dernière, genre 220 pages, j'avais envie d'un rapide roman d'horreur. C'est "10000 litres d'horreur pure" (modeste contribution à une sous-culture) de Thomas Gunzig.
Alors c'est un slasher, il faut aimer le style. Ça commence comme un slasher tout à fait normal, des personnages hyper stéréotypés, la bimbo blonde, l'intello, le moche bizarre, le BG un peu con, ils vont passer un chouette weekend dans la cabane qui appartient à la tante de l'un d'eux et leur weekend va être plus agité que prévu et ils vont prendre un tas de mauvaises décisions pour s'en sortir. Ça se termine comme un slasher normal avec un seul personnage qui s'en sort voilà voilà
Sauf que c'est Thomas Gunzig, et donc on le sait dès le départ, que ça ne va pas être un énième slasher sans suspens. Les pages se suivent avec des détails horribles, sanglants, c'est gore, c'est bizarre, avec un fond de chimie, de manipulations génétiques, de paranormal qui flirte presque avec le normal et d'histoire familiale.
Hum j'ai bien aimé !
⭐⭐⭐⭐⭐
J'ai vraiment du mal à mettre moins de 5 étoiles, à être nuancée sur ce que j'aime et n'aime pas. Du coup je suis allée voir sur Babelio ce que disent les lecteurs qui mettent moins d'étoiles et ils disent pareil que moi, en gros ils expliquent le pitch sans argumenter davantage à propos de leur avis. L'un a juste trouvé l'histoire trop prévisible mais je ne suis pas d'accord avec lui, même si de la situation initiale au dénouement, la trame du slasher est respectée, les "monstres" et leur origine n'étaient pas si prévisibles, des fausses pistes étaient amenées plusieurs fois pour que la surprise soit gardée jusqu'à la révélation.
Je reste sur mes 5 étoiles du coup.
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letsstudieren · 10 months
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On a fini Arsène Lupin Gentleman Cambrioleur avec @romansfeuilletons! (merci bcp pour les e-mails!)
Et j'ai a-do-ré!
Dès le premier chapitre, c'était fascinant ne pas savoir où ou quand Arsène apparaîtrait. Parfois il était évident, mais cela ne diminuait jamais l'émotion de la révélation.
L'homme est tellement captivant. Carrément intelligent, mais il possède aussi un sens de l'humeur génial. Sa sûreté en tout moment était toujours une de mes choses préférées à lui. Ainsi que la facon dont il s'associe avec ses adversaires. Le fait qu'ils tous le respectent en tant que professionel et presque génie, me semble splendide.
Malgré qu'il est un voleur, et par conséquence quelqu'un dont le parole on ne pourraît avoir confiance, personne ne doute qu'il tiendra à la sienne toujours, n'importe quoi. Je trouve époustouflant qu'il a pu renforcer sa légende a tel point.
Pour les autres personnages, il est un fantôme, il peut tout le faire, mais j'adore que nous les lecteurs pouvons apercevoir ses erreurs et ses petits moments de faiblaisse, sourtout avec un personnage en particulière que je n'attendais pas revoir dans ce livre. J'était tellement ravie de la revoir.
Bref, c'est un chef d'oeuvre, et dans ma liste pour acheter une copie papier parce que j'aimerais bien le relire un jour.
Et maintenant, je peux regarder Lupin 0w0
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aurevoirmonty · 1 year
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Pourquoi insistent-ils pour normaliser la pédophilie ?
Pourquoi les élites financières insistent-elles pour sexualiser les petits enfants dans tous les pays du monde ? La réponse est donnée dans notre rapport de preuves qui détaille comment la majorité des élites ont une chose en commun : elles sont fortement impliquées dans l’abus organisé d’enfants.
Ceci est confirmé par l’ancien directeur du FBI Ted Gunderson, ainsi que par d’anciens membres de l’armée, de la maréchaussée, de la gendarmerie, de la police et des détectives. Leurs témoignages sont révélés dans ce rapport.
Calin Georgescu, ancien directeur exécutif des Nations Unies, a témoigné devant le Comité d’Enquête sur les Crimes Internationaux que l’ONU est une plateforme permettant aux oligarques criminels de mettre en œuvre un agenda néfaste. Le documentaire « Secrets of the United Nations » (voir ci-dessous) révèle tout cela en détails. Ce film est à voir absolument pour tous ceux qui veulent comprendre ce qui se passe dans notre monde. Georgescu a également déclaré que les oligarques qui se cachent derrière les Nations Unies sont des pédophiles. Ne manquez pas de regarder ce film…
"https://www.bitchute.com/embed/xMtUt2sDQUd7/"
Le documentaire « Chute de la cabale » révèle comment des représentants et des militaires des Nations Unies ont violé des milliers et des milliers d’enfants et de femmes dans des pays où ils prétendaient apporter la paix. Ces séries documentaires ont été créées par un enquêteur plusieurs fois primé et un ancien analyste de la criminalité financière de la police néerlandaise.35 Dans l’épisode ci-dessous, ils dévoilent la nature extrêmement sombre des Nations Unies et les traces de sang des horribles abus sexuels qu’elles laissent dans le monde entier… 
"https://rumble.com/embed/vk7w82/?pub=rwtxi"
De nombreux témoignages de victimes survivantes et de témoins oculaires de tous les pays du monde montrent que ces élites financières sont profondément impliquées dans des abus sexuels systématiques sur des enfants. 
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L’une d’entre elles est l’ancien mannequin Nathalie Augustina, dont l’esprit a été programmé par la CIA pour servir de chaton sexuel à des familles royales, des hauts fonctionnaires et des célébrités hollywoodiennes. Elle raconte son histoire déchirante dans le livre « Nathalie – Confessions d’un mannequin » (néerlandais).36
Les révélations de Nathalie ont été confirmées en détail par l’ancienne juriste Anne Marie van Blijenburgh, qui a témoigné en 2014 devant le Tribunal pour les crimes commis par l’Église et l’État (ITCCS) qu’elle avait assisté à trois reprises à des réunions au cours desquelles des enfants étaient violés et assassinés sur une scène, devant un public composé de représentants du gouvernement, de la magistrature, de l’armée, de la police, de l’éducation, des médias, etc. Son témoignage d’expert est présenté dans notre rapport « Abus sexuels organisés par des fonctionnaires de haut niveau« .
« Ils veulent avoir accès aux enfants sans être poursuivis »
Nous sommes en contact direct avec plusieurs victimes survivantes de ces pratiques cruelles des élites. L’une d’entre elles est une dame du Canada, dont je ne citerai pas le nom pour sa protection. Elle est née dans les cercles des élites et m’a écrit plusieurs lettres. Je partage ci-dessous une partie de ce qu’elle m’a envoyé. Veuillez comprendre que, bien que ces informations soient profondément troublantes, elles sont confirmées par des membres du FBI, de l’armée, des agences de renseignement, de la police, de la gendarmerie et des maréchaussées du monde entier, ainsi que par d’innombrables autres témoins oculaires, dans le rapport susmentionné.
« Une enfance typique de cette horreur verra des enfants violés plusieurs milliers de fois avant d’atteindre l’âge de 18 ans. Il s’agit d’un réseau de culte satanique à l’échelle mondiale. Et ils gagnent une grande partie de leur argent en trafiquant des enfants. C’est brutal. … Ils tentent de placer leurs membres au sommet des domaines dans le monde entier. »
Concernant la normalisation de la pédophilie par le biais du système éducatif mondial, ce survivant des élites m’a envoyé ce qui suit :
Oui, c’est un comportement normal dans les sectes. Tout le monde est encouragé à avoir des relations sexuelles les uns avec les autres. Les frères et sœurs entre eux… les enfants et les adultes… les enfants avec les enfants… les enfants avec les animaux… tout cela n’est pas seulement encouragé, c’est obligatoire. Ils prennent donc le comportement normal d’une secte et essaient de le rendre courant… et vous avez tout à fait raison…  ils veulent avoir accès aux enfants 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour faire ce qu’ils veulent avec eux sans être poursuivis. »
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Un ancien directeur exécutif des Nations Unies, un enquêteur primé, un analyste de la police, un juriste et un témoin oculaire, ainsi que plusieurs victimes survivantes, tous disent la même chose : les élites financières derrière les Nations Unies sont impliquées dans la pédophilie organisée.
Allons-nous nous lever et défendre les enfants ?
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Si nous ne nous levons pas pour mettre un terme à ce sombre programme, qui se fait passer pour une absurde « défense des droits de l’homme », tous les enfants du monde finiront par grandir en étant victimes d’abus sexuels pendant des années – et seront également formés pour devenir des prédateurs sexuels. Et cela ne s’arrête pas là, car les personnes qui suppriment les limites saines et naturelles continueront à supprimer les limites suivantes, parce qu’il n’y a pas de fin à leur désir effréné. Comme nous le disent les victimes survivantes des élites, le sexe avec les animaux est la prochaine étape, tout comme le sexe avec les cadavres.
Le même ministre de la justice qui a insisté pendant des années sur le fait qu’il n’y avait rien de mal dans le Manuel des pédophiles a également déclaré que le sexe avec des cadavres n’était pas un crime.37 Et le ministre-président néerlandais Mark Rutte, qui est un membre enthousiaste du Forum Économique Mondial, a fait partie, dans ses jeunes années, d’un groupe politique qui a appelé à la légalisation du sexe avec des animaux.38
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Aux États-Unis, nous assistons à l’invasion écœurante de drag-queens dans d’innombrables écoles, où les enfants sont exposés à des danses sexuelles perverses, à des histoires dégoûtantes et aux tenues anormales de monstres pervers qui s’en prennent aux enfants. Posez-vous la question :
Qui peut bien vouloir que des homosexuels exécutent des danses sexuelles devant des enfants ? Qu’est-ce qui se cache derrière tout cela ?
Johns Library de Portland, dans l’Oregon, des enfants ont été photographiés allongés sur le corps d’une drag queen.39
L’invasion soudaine de drag-queens dans des milliers d’écoles à travers le monde est clairement une opération stratégiquement orchestrée, similaire à l’éruption soudaine de la folie transgenre, qui est littéralement sortie de nulle part et s’est soudainement répandue partout. Tout cela se produit en même temps :
✔︎ qui ordonne à toutes les écoles publiques du monde entier de sexualiser les enfants
✔︎ introduisant d’innombrables drag-queens dans les écoles 
✔︎ en introduisant massivement la confusion transgenre dans tous les pays
✔︎ utiliser les médias pour appeler à l’acceptation de la pédophilie
✔︎ des juges appelant à la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs
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Cette situation est bien plus grave que nous ne pouvons l’imaginer. Comme le disent les dénonciateurs de l’élite, « ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec des mineurs » : « Ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec tout le monde ». Nous devons prendre position et protéger courageusement les enfants, partout dans le monde.
Partager ce rapport avec le monde entier
Il est essentiel que ce rapport parvienne au plus grand nombre. Merci de l’envoyer au plus grand nombre, par tous les moyens possibles. Vous pouvez par exemple copier cette courte lettre et l’envoyer aux journaux locaux, aux écoles, aux forces de l’ordre, aux églises, aux hôpitaux, aux hommes politiques, etc. Vous trouverez leurs coordonnées en effectuant une recherche rapide sur Internet.
À qui de droit,
L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies demandent aux autorités éducatives du monde entier d’apprendre aux bébés, aux enfants en bas âge et aux jeunes enfants à se masturber, à utiliser la pornographie, à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation, et à avoir des relations avec des personnes du même sexe. L’OMS et les Nations Unies demandent aux éducateurs d’encourager les enfants à commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible et d’aider tous les enfants à avoir des partenaires sexuels. Les faits montrent que cela fait partie d’une opération mondiale visant à normaliser la pédophilie. Voir le rapport suivant :
"https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/"
Nous vous invitons à examiner attentivement ces informations.
Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées,
Partager sur les médias sociaux
Utilisez les boutons de partage des médias sociaux, ou copiez l’adresse URL ci-dessous et publiez-la sur n’importe quelle plateforme. Vous pouvez également l’envoyer à vos contacts et aux autorités dans un courriel : https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/
Distribuer des dépliants et des mèmes
Téléchargez le mème en couleur pour le distribuer par courriel et sur les médias sociaux, ou pour le faire imprimer par un service d’impression en ligne (tel que VistaPrint). Vous pouvez également télécharger le dépliant en noir et blanc pour l’imprimer sur votre propre imprimante et le distribuer dans votre communauté. Vous pouvez aussi les envoyer à un journal local pour qu’ils y soient placés en tant qu’annonce. Si vous avez besoin d’une résolution plus élevée ou de grandes quantités, contactez-nous. 
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Inviter David à un entretien
Si vous voulez inviter David Sorensen de Stop World Control dans votre émission pour parler de ce sujet afin d’avertir le monde, alors contactez-nous. 
Références et téléchargements
Toutes les preuves des affirmations contenues dans ce rapport peuvent être trouvées en ouvrant le conteneur à bascule ci-dessous. Vous pouvez également télécharger tous les documents de l’OMS, de l’ONU, de l’IPPF, de Rutgers, etc. Si un lien a été supprimé d’Internet, vous pouvez le relocaliser en utilisant Archive.org.
Références:
1: Guide technique international sur l’éducation sexuelle 2: Standards pour l’éducation sexuelle en Europe 3: Agenda 2030 des Nations unies 4: Déclarations de la Maison Blanche sur l’Agenda 2030 5: La Fondation Rutgers 6: Rutgers est financé par la Fondation Bill et Melinda Gates. 7: Programme scolaire de Rutgers « Spring Fever » (fièvre du printemps) 8: Brochure Rutgers pour les écoles primaires 9: Brochure pour les écoles primaires 10: Fièvre printanière Leçon 11 : Qu’est-ce que le sexe ? 11: Programme scolaire Education 12: Guide pour la formation des enseignants à l’endoctrinement sexuel des jeunes enfants 13: Reportage sur les jeux sexuels dans les écoles 14: Chronologie historique de Rutgers 15: Informations historiques de Wikipédia sur la pédophilie 16: Archives en ligne du magazine pédophile NIKS 17: Enfants ayant des relations sexuelles dans le magazine pédophile NIKS 18: 1982 Édition de septembre du magazine NIKS 19: Magazine NIKS « L’épisode de l’anti-éducation » 20: Article: How The Hague petted pedophiles” 21: Pétition pour la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs 22: Publication du PSP, parti qui a appelé à la légalisation de la pédophilie 23: Entretien avec Pieter Wijnsma 24: Rapport 2018 de la FWOS 25: Déclaration de mission de la FWOS 26: Magazine « Éducation sexuelle des jeunes enfants : Faites-le ! » 27: RTL News parle d’un manuel de pédophilie 28: Fondation contre les abus envers les enfants 29: La lutte contre le manuel pédo 30: Le Comité international de juristes appelle à la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs 31: EXCLAIM ! Manifeste de la pédophilie 32: Reportage du Daily Mail sur l’arrestation de Peter Dalglish 33: Île d’Epstein 34: Bill Gates est allé sur l’île d’Epstein 35: Réalisateurs de la série documentaire « La chute de la cabale » (Fall of the Cabal) 36: Confessions d’un mannequin de mode 37: Le ministre de la justice a refusé d’ériger en infraction les relations sexuelles avec des cadavres 38: La ministre présidente a demandé la légalisation des relations sexuelles avec les animaux 39: Des enfants allongés sur des corps de drag-queens
Source : stopworldcontrol.com – 17 mai 2023 https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/
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swedesinstockholm · 8 months
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10 août
j'ai commencé le livre de gaëlle obiégly et mon dieu que j'aime la lire et que ça me donne envie de m'y mettre mais non j'ai décidé de faire un film, même si le plus important dans mon film c'est le texte, ça m'avance pas dans mon livre. elle dit qu'elle est assez peu lue et que parfois ça la rend triste. j'ai envie de lui écrire pour lui dire à quel point je l'aime. après avoir entendu lydie salvayre sur france inter ce matin qui parlait des critiques littéraires qui employaient toujours les mêmes expressions toutes faites et qui disait qu'aujourd'hui un livre n'avait plus besoin d'être lu, qu'il suffisait qu'on en parle, je me disais que peut être, le plus belle et la plus pure et la plus vraie expérience de la littérature que je ferai jamais c'est celle-là, celle de tous les jours, celle de mon journal et de mes petites lectures de poésie. que même si je publie un livre et que même s'il a du succès, ce sera forcément décevant. mais peut être que je me trompe, peut être que des gens m'écriront comme moi j'ai envie d'écrire à gaëlle obiégly pour me dire qu'ils m'aiment et que je les ai aidés et que ce sera trop cool.
gaëlle obiégly dit qu'on la connait pas parce qu'elle va pas sur les plateaux de télévision et qu'elle est jamais invitée à la télé parce qu'elle a un physique disgracieux, qu'on avait tendance à ne pas l'écouter parce qu'on n'écoute pas les gens qui ont un physique disgracieux. je sais pas à quel point elle est sérieuse quand elle dit ça mais j'ai interrompu ma lecture pour la googler parce que j'avais pas le souvenir qu'elle était moche et je me suis demandé avec horreur si mon propre physique disgracieux allait m'empêcher de devenir une star littéraire. j'avais pas du tout envisagé cette possibilité. quel monde de merde. heureusement qu'y a la radio. ou je pourrais mettre un casque comme daft punk pour créer le mystère. ou garder des grandes lunettes de soleil tout le temps comme jenna lyons.
11 août
j'ai rêvé de r., on allait au resto dans un sous-sol mais il fallait attendre qu'une table se libère et on était tous assis les uns sur les autres en bas du petit escalier en colimaçon, j'étais à moitié assise sur lui mais encore plus près de lui y avait une fille petite et brune avec le visage caché par une épaisse frange, elle parlait pas beaucoup, elle parlait même pas du tout mais elle était collée à lui et elle enfouissait son visage dans le creux de son cou et il l'embrassait. je crois que c'était gaëlle obiégly. mais comme moi aussi j'étais assise sur lui j'ai commencé à caresser sa cuisse, puis je me suis brutalement arrêtée en me rappelant que j'avais pas le droit. que ça servait à rien. que ça ferait que m'humilier d'avantage.
deuxième soir de suite que r. me gâche mon plan de me coucher tôt pour lire gaëlle o. non seulement il sort avec elle dans mes rêves mais en plus il m'empêche de lire son livre? mais j'imagine que c'est le prix à payer pour avoir une vie sociale. ça prend du TEMPS. il m'a confié ses insécurités et je lui ai écrit sache que je ne fraie qu'avec des gens de haute qualité et il m'a répondu en rigolant avec plein de cours rouges et puis il m'a dit que mes conseils lui avaient fait avoir une révélation et je lui ai écrit you go girl!!! et puis on a parlé de mes problèmes à moi et c'était très satisfaisant comme conversation.
à part ça ce matin j'ai déjeuné sur le balcon en regardant le chat se rouler dans l'herbe dans le jardin en bas, puis j'ai sorti loki et j'ai vu c. sortir de chez elle en robe pour prendre la voiture et on s'est fait bonjour, il faisait beau et agréablement chaud et c'était le matin et tout est magique le matin. tout est magique le soir aussi, mais moins. y a que l'après-midi qui sert à rien. en revenant de la piscine on s'est arrêté à la boucherie et en rentrant je me suis rendu compte que j'avais le visage d'une lépreuse, j'étais en train de me fossiliser vivante comme dans le texte de mon film et j'ai pensé aux deux bouchers qui ont vu un fossile vivant entrer dans leur boucherie et regarder leurs saucisses et leurs steaks hachés et leurs escalopes de dinde et dire à maman non j'ai mangé trop de pain à paris quand elle a demandé si on prenait une baguette au levain.
13 août
hier soir après avoir fini the other two (fin sublime) j'ai regardé les deux nouveaux épisodes de how to with john wilson et r. m'a envoyé des vidéos de son écran avec des passages qui l'ont fait rigoler et on l'entend éclater de rire exactement au même endroit où moi aussi j'ai éclaté de rire et l'entendre éclater de rire m'a de nouveau fait éclater de rire et je l'ai remis plusieurs fois et je rigolais toute seule dans mon lit et je le remettais et je rigolais et je le remettais et je rigolais et je crois que je suis pas guérie du tout. mais au moins ça me déprime plus. ce matin il m'a envoyé la même vidéo de vinciane despret sur la politisation des émotions que j'ai ouverte dans mes onglets depuis une semaine en me disant qu'il l'avait écoutée en faisant la vaisselle et qu'il exultait tellement il aimait ce qu'elle disait.
pendant que je préparais mon porridge ils passaient une chanson mélancolique de paul mccartney à la radio qui m'a fait penser à lui et quand je le lui ai dit j'avais l'impression de prendre un petit risque d'avoir l'air encore amoureuse. je suis encore amoureuse, mais il doit pas le savoir. je suis encore amoureuse parce que pour qui d'autre je prends mon téléphone au lit le soir? pour absolument personne. j'ai besoin de personne. j'ai passé l'entièreté du mois de juillet et bientôt du mois d'août seule, à part les quelques personnes usuelles de temps en temps, et c'est même pas une question de La Situation ou de trou ou de dépression, j'ai juste la flemme, et j'adore passer mes soirées à regarder des séries et le reste du temps à travailler.
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claudehenrion · 1 year
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Et si on parlait de l'islam ? – ( I ) : un peu d'histoire proche
   Il y a quelques jours, faisant une recherche, j'ai retrouvé un ''Billet'' qui évoquait l'idée, attribuée à André Malraux, que ''le XXI ème siècle sera religieux ou ne sera pas''. Au moment où la France s’apprête à se déchirer à nouveau  (une recette ‘’Spéciale Macron’’ !), cela m'a remis en mémoire une prédiction vieille de plus de 40 ans que rien n'est jamais venu rendre caduque : '' Malheureusement,  le monde ne pourra pas faire l'économie d'une guerre totale contre l'Islam''. Inutile de dire que cette idée, émise aujourd'hui, ferait de son émetteur un monstre, un tout-ce-que-vous-voulez-o-phobe, une raclure de l'humanité. Il ne lui serait ni permis ni possible de s' expliquer : l'islam serait devenu ''une religion d'amour'' un ''iso-christianisme.
Pour parler de l'islam, de nos jours, pas besoin de savoir de quoi on parle : il suffit d'enfiler des colliers de fausses perles de lieux communs, de poncifs, d’ idées toutes faites (et généralement très fausses)... dont celui qui les profère serait bien incapable de dire à quoi tout ce fatras correspond dans ses souvenirs remplis de stéréotypes, en général sans rapport avec quelque réalité que ce soit. Essayons de trouver un sens à ces pagailles de méconnaissances dont certaines –histoire de tout compliquer ! – peuvent paraître exactes, puisque rien n'est jamais ''tout'' ou ''que'' mauvais –(sauf, à en croire le scénario du moment, les populistes, les russes, et l'immense masse de ceux qui ne bavent pas d'admiration devant la perspective d'un 8 ème ou d'un 9 ème ''vaccin''... ou devant le ‘’danger-issime’’ de voir une moitié de l'humanité, puis l'autre, vouloir changer de sexe --on dit :’’de genre’’ ?.).
Car oui, bien sûr... il y a les monuments que l'islam a construits, notamment iraniens, moghols et grenadins, d'une beauté admirable : ma bibliothèque regorge de livres (que je feuillette souvent) sur ce sujet... Et il y a la littérature et les sciences qui ont été développées par des musulmans  (en général grâce à des esclaves européens qui traduisaient les richesses de la Bibliothèque d'Alexandrie –le plus souvent en grec)... Il y a aussi une mystique et un sens du sacré… que nous ; occidentaux, avons perdus en chemin, échangés contre du rien, des mots vides et notre néant... Mais –pour ne pas trahir la Vérité et la grande Histoire-- il y a aussi la litanie interminable des meurtres, des horreurs, des massacres, des génocides perpétrés par les musulmans, ces populations entières mises en esclavage, et tout ce que le petit narratif moderne, convenu obligatoire mais dépourvu de tout lien avec ''ce qui s'est passé'', met un point de déshonneur à oublier... ou à fabriquer en permanence une saga mensongère incontournable....
Ces deux tendances antagonistes donnent de l'islam une image difficilement compréhensible, aussi bien par les islamophiles qui ne veulent retenir de la culture islamique (dont ils ignorent tout, le plus souvent) qu'un pacifisme impossible et inventé, lui aussi,, que par les islamo-sceptiques qui évoquent une violence qui semble être inhérente à l'islam et qui l'a accompagné et escorté partout et de tous temps. Conséquence directe : avant de le déclarer ''inoffensif'' et ''user-friendly'' (= amical, bienveillant) et d'en faire une sorte de clone de la révélation christique et de son ''aimez-vous les uns les autres''... il y a un gouffre  qui, sauf exceptions rarissimes, n'est pas franchissable... Pourtant, plus le temps passe et plus notre Occident en pleine décadence (cause ou effet d'erreurs d'analyse, reconduites et répétées) semble se vautrer dans des visions qui sont fausses à en être mortelles
La première erreur que fait l'Occident, c'est de décliner en permanence un amalgame entre islam et arabes. La majorité des arabes sont musulmans, mais ils ne sont eux-mêmes qu'une minorité dans ''l’oumma'', la communauté (?) des musulmans qui pratiquent une forme ou l’autre de l’islam. Les Malais (200 millions), les Hindous (170 millions), les ''Pakis'' (200 millions), les turcophones (250 millions), les berbérophones (50 millions), etc... sont plus nombreux, et fournissent d'ailleurs les plus gros contingents des savants, des artistes de ce qui est généralement appelé ''la culture musulmane''. Le seul savant authentiquement arabe qu'a retenu l'Histoire fut Ibn Kaldoun, né en Tunisie de parents venus de la péninsule arabique, et il fut l’un des critiques les plus durs des mœurs arabes. ''Partout où les Arabes sont passés, ils n’ont laissé que ruines et désert derrière eux'', écrivait-il en 1377. Sans doute un islamophobe avant l'heure, selon les critères de nos cuistres-aux-manettes ! Être musulman n'est pas synonyme de être arabe, la réciproque étant vraie, aussi... et critiquer n'est pas détester  --sauf en Macronie immigrationniste !
La seconde erreur est de croire que l’islam serait une religion, au sens où les chrétiens –et eux seuls, au monde--  emploient ce mot : l'islam est, avant tout, une idéologie morale et politique théocentrée. La confusion, fréquente, vient de ce que cette ''idéologie'' s’habille d’une religion (mais c'est sans doute le regard, très orienté ''christianisme'' que nous portons sur lui, sans même nous en rendre compte, qui est responsable de cette impression).  Mahomet, imitant Abraham et Moïse, eut l’idée de justifier ses visées politiques, ses lois et ses actions militaires (parfois d’une férocité incroyable) par des ordres divins confirmés par Dieu Lui-même (via l'archange Gabriel --Djibril). Mais au delà de cette version ''à l'eau de rose'' réécrite par nous, il en existe d'autres, dont une, récente, écrite par Oussama ben Laden, dans Guerre sainte multinationale (Ed. Gallimard, 2002), résumait l’idéologie de l’islam en trois étapes essentielles (je cite) : (1)- le terrorisme, vestibule du califat ; (2)-le califat international, étendant la domination de l’islam sur la Terre tout entière ; et (3)- l’Apocalypse musulmane donnant enfin à Allah et à son peuple la totalité du pouvoir sur la Terre tout entière.
Peu d'observateurs, embués qu'ils sont dans leur lecture ''iso-chrétienne'' du monde et de ses évolutions, ont lu entre les lignes que Oussama Ben Laden, homme d'affaires confirmé, avait organisé le terrorisme sous une forme inspirée de celle d’une ''multinationale'',  en octroyant des ''franchises'' à un réseau diffus de cellules autonomes, qui font que les djihadistes post-Al Qaïda sont des produits du monde laïc moderne : ils ont les préoccupations politiques de leur temps, des moyens financiers importants, des moyens militaires on ne peut plus actuels, une maîtrise de la technologie occidentale et un savoir-faire top en communication.
Le pseudo-califat dit État Islamique d'Abou Bakr al Baghdadi poursuivit l’action terroriste en repartant de la base logistique d Al Qaïda, et le livre La Gestion de la Barbarie d’Abou Bakr al Naji, qui organise déjà la gestion islamique de l’Europe, constitue la preuve la plus indiscutable que, contre tous les idiots criminels qui ne veulent que l'anarchie et le désordre (une certaine France en a même fait entrer 75 dans notre Assemblée nationale, ce qui est pire qu'une faute : c’est un crime), le principe que les clairvoyants désignent par ''le Grand Remplacement'' est, au pied de la lettre, le seul objectif de la vaste majorité de nos ''migrants'', décrits par les idéologues du pire comme dépourvus de toute mauvaise intention. (NDLR : les deux livres cités ci-dessus devaient être lus, relus et des pages entières apprises par cœur par nos contemporains. Or...personne ne se souvient même de leur existence... et je le dépore,  souvent, en établissant un parallèle avec ''Mein Kampf'' –dont Lyautey disait ''Tout français doit lire ce livre''... L'histoire, parfois, sert et re-sert les plats les plus indigestes !). (à suivre)
H-Cl
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albad · 2 years
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J'ai trouvé le commentaire d'une rare pertinence tout en me disant qu'il serait sans doute nécessaire de relire l'opus en question, dévoré à l'époque avec un certain nombre d'interrogations, ne connaissant du Coran qu'une version résumé et abrégé( Le Coran pour les nuls)
Voici ce que la réalisatrice iranienne Abnousse Shalmani écrit alors que Salman Rushdie vient d'être poignardé :
"À l'heure où j'écris ces lignes, Salman Rushdie, a été poignardé au cou, sur scène, alors qu'il s'apprêtait à tenir une conférence LITTÉRAIRE. L'aveuglement et la surdité intellectuelle vis-à-vis de l'islamisme s'étant répandus, j'use, comme les petits fascistes des réseaux sociaux, de majuscules pour bien me faire comprendre. Pour annoncer ce qui est déjà une tragédie, la majorité des journaux ont tenu a rappelé doctement que le plus grand écrivain du réalisme magique avec Gabriel Garcia Marquez était sous le coup d'une fatwa depuis 1989, édictée par l'ayatollah Khomeiny, en précisant que c'était à cause du blasphème qu'il avait commis avec le chef d'oeuvre qu'est Les Versets Sataniques (qualifié d' "ouvrage controversé" dans une dépêche AFP). Alors que Salman Rushdie est encore entre la vie et la mort, on prépare déjà le terrain aux excuses islamistes, en faisant sonner la petite musique devenue si familière : il l'a quand même un peu cherchée à la pointe d'une plume, cette condamnation à mort.
Cher lecteur, tu connais déjà mes répétitions, mes obsessions, mais de toute évidence, il faut encore marteler, rappeler, disséquer, offrir la seule chose que j'ai entre mes mains : le savoir et l'analyse. Ce qu'a commis l'ECRIVAIN Salman Rushdie est le contraire d'un blasphème. Ce qu'a accompli Salman Rushdie avec Les Versets Sataniques, est un retour aux sources de la tradition islamique, que les islamistes s'évertuent à détruire depuis le XIe siècle.
Transgression de l'écrivain, transgression du roman. Pour un livre-monument que très peu de personnes ont lu, encore moins ceux qui brûlaient le livre en Inde ou en Grande-Bretagne... on peut se demander pourquoi une telle rage ? D'un point de vue factuel, Khomeiny est en perte de vitesse, il cherche à braquer les projecteurs sur lui et Les Versets Sataniques lui apparaissent comme un coup d'éclat mondial, un moyen de se transformer en chef de l'Orient islamique contre la décadence occidentale. Mais alors, comment la mayonnaise a pris ? Comment une partie la gauche a pu (déjà en 1989) croire au blasphème ? Qu'est-ce que Salman Rushdie a donc bien pu transgresser pour mériter la mort ? Ce qui était reproché au roman, c'est un tiers de sa narration : l'histoire du prophète Mahound et des versets sataniques - qui existent dans le Coran. Il s'agit des fausses révélations de l'ange Gabriel (Gibreel) qui était en fait Satan déguisé, et qui ordonna à Mahound d'accepter de vivre en bonne entente avec les autres religions polythéistes. Mahound découvre le pot aux roses et rectifie le tir : il condamne les autres religions et proclame l'unicité de la foi. Mais... et si Gibreel était encore Satan déguisé ? Et si toute la révélation était le fait de Satan ? Et si ? Et si ? C'est de la littérature, du fantasme, un jeu d'enfant qui projette ses questions sur le feu de la curiosité pour voir ce que ça pourrait donner...
L'ijtihad plutôt que le djihad
Pourquoi personne n'a relevé la transgression de Rushdie ? Pourquoi personne n'a relevé que Les Versets Sataniques transgressait un interdit mortifère, forgé entre les XIe et XIIIe siècles, qui a précipité la chute de l'empire arabo-musulman ?
"La disparition progressive de la tradition islamique de l'ijtihad ou d'interprétation personnelle a été un des désastres culturels majeurs de notre époque, qui a entraîné la disparition de toute pensée critique et de toute confrontation individuelle avec les questions posées par le monde contemporain", nous apprend Edward W. Saïd dans sa préface de L'Orientalisme. Ce que Rushdie a transgressé, c'est cet interdit : la fin de l'interprétation personnelle. Ce qu'il a tenté de remettre au goût du jour : l'ijtihad qui avait été la source des innovations et de la domination orientale avant la Renaissance occidentale. Rushdie n'a rien fait d'autre que d'exercer sa pensée critique et de fictionnaliser le savoir islamique, pour ouvrir la voie à la réflexion. Il transgresse un interdit qui immobilise l'espace arabo-musulman, il n'est pas un blasphémateur, il reprend le travail des intellectuels musulmans du Moyen-Age, il choisit pour ce faire la fiction, les et si... et déploie la richesse des savoirs, les mystères de la révélation, l'ambiguïté du bien et du mal... La démarche de Rushdie écrivain est profondément transgressive, mais certainement pas insultante. Il n'y a pas d'insultes, là où se pose le doute, là où se déploie l'imagination, là où se réfléchit le passé.
Si Les Versets Sataniques avaient pu rouvrir l'ijtihad, si les écrivains, les intellectuels, les mollahs, les imams, les croyants et les athées s'étaient arrêtés un instant de crier à l'insulte, de se lamenter, de pointer le blasphème, s'ils avaient seulement pu voir que la démarche de Rushdie était le retour de l'interprétation personnelle, la clef pour replacer l'espace arabo-musulman au centre du débat intellectuel et artistique, pour rouvrir la voie aux écoles juridiques et réintroduire la subtilité dans la pensée religieuse, la polémique se serait tue et peut-être, je dis bien peut-être, aujourd'hui, le mot qui court de bouche en bouche, d'article en article, de manifestation en manifestation, d'attentats en attentats, de morts en morts, ne serait certainement pas djihad mais ijtihad. Car les conséquences de l'ijtihad furent avant tout de créer un vide intellectuel dans lequel la violence a pu se faire un nid. En interdisant le "je", en reniant l'individu, en criminalisant la démarche personnelle, les tenants de la foi au Moyen-Age ont précipité la fin des progrès philosophiques, techniques, économiques, artistiques et ont préparé le terrain pour la colonisation et la défaite. Si l'ijtihad n'avait pas été jugé dangereuse pour la foi, Edward W. Saïd n'aurait jamais écrit L'Orientalisme, car l'Orient n'aurait pas été réécrit par l'Occident, l'Orient aurait eu ses propres mythes et légendes, ses visages, et ses spécificités pour se raconter seul.
La transgression de Rushdie l'écrivain est en fait un retour à la loi originelle, un acte d'amour et un gage d'avenir. C'est avec une émotion qui me serre la gorge, que je lève mon verre alcoolisé en guise de soutien, en espérant que Salman Rushdie échappe à la mort qui est soudain apparue sur scène alors qu'il s'apprêtait à grandir un peu plus les Hommes avec la plus belle de ses créations : la LITTÉRATURE."
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already-14 · 2 years
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L'intrigue de La Marraine du sel, comme celle de La Nuit du Rose-Hôtel, tient dans l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette ; mais comme son prédécesseur, le roman possède des charmes qui tiennent moins à la succession des moments qu'à la lente et subtile révélation d'une vérité soigneusement occultée, au risque de laisser son lecteur un peu trop vorace sur sa faim une fois arrivé à la dernière page. L'action brumeuse et comme passée au ralenti se déroule à Richelieu (Indre-et-Loire), dans ce « jardin de la France » que Max Ernst a si joliment peint : deux bras de fleuve caressant des jambes de femme en bas résille… Un représentant de commerce, Clair Harondel, tombe sous les charmes vénéneux de Mariette Allespic, jeune épouse du mercier local, dont la rumeur laisse à penser qu'elle posséderait des dons en sorcellerie. Et pas question de basculer dans un « ménage à trois » : le mari disparaît, emporté par une brusque et rapide maladie (que toute la ville aura vite traduite en autre chose), et l'envoûtement peut alors déployer toute sa puissance, lugubrement symbolisé par la fonte en plein soleil de deux mannequins de cire dans la vitrine de la mercerie. Mais, tout comme Prospero s'écriant "Now my charms are all o'erthrown", Mariette Allespic doit des années plus tard faire face à la perspective de sa propre mort, qui signifie aussi la fin de ses enchantements. Sorte d'Alcina des Pays de la Loire, elle laisse planer alors sur le pauvre Clair la menace d'un pacte par lequel sa fin signerait également la sienne.
C'est là que le livre débute, et c'est à partir de cette épée tranchante et invisible, planant au-dessus de l'étrange ville rectangulaire de Richelieu et de la tête de Harondel, que le rituel auquel se livre Maurice Fourré démarre, entre pensées circulaires ou angoissées et voyages oniriques se déplaçant dans le temps, sans qu'on sache jamais réellement qui parle, qui se trouve où, dans ce qui n'est pas une confusion, mais bien au contraire le petit labyrinthe maniériste et doucement inquiétant que Fourré bâtit mot après mot.
Tout comme La Nuit du Rose-Hôtel préparait longuement et superbement l'instant où le lecteur effleurerait enfin de sa pensée toute l'étendue de la réalité mystique qui entoure des protagonistes en apparence si triviaux, La Marraine du sel est la lente cristallisation, sous l'apparence d'un brouillard de paroles fleuries et enchanteresses, d'une inquiétude et d'un mystère qui ne peuvent trouver leur résolution que dans l'échappée d'un simple mot ou d'un seul nom. La conclusion du livre ne conclut rien du tout, et nous engage au contraire à tout reprendre à rebours, à reparcourir, dans l'étonnement, la toile d'araignée si finement tissée, et à goûter encore plus pleinement les cercles autour desquels Fourré navigue, un doigt levé masquant son sourire.
Un peu plus sévèrement, on pourrait dire que La Marraine du sel, ce n'est que ça, une atmosphère, un fantôme évanescent qui glisse entre nos doigts et qu'il ne tient qu'à notre désir de merveilleux, miraculeusement préservé dans le monde terne et triste, de suivre encore une fois. Maurice Fourré serait alors un de ces plaisirs coupables, totalement anachroniques, qu'on s'offre hors de tout sentier obligé, de toute téléologie littéraire, voire même loin de toute ambition forcenée pour le langage : rien que le plaisir des mots minutieusement choisis, orfèvrerie magique des vieilles provinces ensommeillées et bercées de légendes, goûtés les uns après les autres, dans la surprise des métaphores, des décrochages, des assemblements illuminés qu'on n'espérerait pas.
Miracle anachronique d'un homme écrivant comme un vieux briscard du symbolisme, étrangement égaré aux temps du Nouveau Roman et de l'engagement sartrien, pouvant même en remontrer niveau atemporalité rétrograde à un Julien Gracq (qui contribua à sa découverte, d'ailleurs) ; comme si l'explorateur du temps de H.G. Wells débarquait dans la vallée de la Loire, porteur d'amulettes et de phrasés d'une autre centurie…
Il y a bien sûr de quoi sérieusement rebuter le lecteur moderne, qui s'usera les sourcils à force de les froncer devant ces dialogues rhétoriques invraisemblables, ces descriptions extrêmement poétisées, ces brèves situations qui se figent et se transforment comme portées dans une autre dimension, pas tellement celle des collages grimaçants de Ernst que ce qu'on appelait autrefois le "style français", ce curieux mélange de limpidité et de poésie apaisée. Bon, je l'avoue, pas vraiment le genre de lectures à l'ordre du jour ; et j'aurais du mal à convaincre mes collègues amateurs de grands américains d'abandonner séance tenante leurs Sorokine et leurs Vollmann pour cette bizarrerie brillant comme une bougie sur une barque nocturne. Mais pourquoi s'en priver ? La comète descendante du surréalisme, dans les années cinquante, a donné peu de voix vraiment dignes de la génération qui les précédait. Si, pour ce qui est de la poésie, Jean-Pierre Duprey, à jamais caché Derrière son double, règne sans partage, protégé par la figure d'Ueline et surtout par la couleur « NOIR » à laquelle il a donné ses plus belles lettres de noblesse, le vieux Maurice Fourré, dans ce domaine de la fiction dont se défiaient tellement Breton et ses amis, a su apporter une touche d'inquiétante étrangeté, blottie entre les eaux de la trivialité et du sublime, qui n'appartient qu'à lui, et qui en fait une de ces "curiosités de bibliothèque" que certains lecteurs se mordraient les doigts d'ignorer.
Il ne nous reste plus qu'à organiser des manifestations devant l'hôtel de la rue Sébastien-Bottin pour que La Nuit du Rose-Hôtel, là où tout lecteur de Fourré se devrait de commencer, soit enfin réédité (dans la collection « L'Imaginaire », par exemple, où il fit une brève apparition il y a vingt ans), ses fenêtres et ses occupants enfin dotés d'une lumière nouvelle, et le nom de Fourré enfin réinsufflé de son aura si particulière, si doucement et inaltérablement "magnétique". Apprenant la mort de Fourré, André Breton écrivit : "L'œuvre de Maurice Fourré est prise dans ses gloires. Elle est de celles qu'on redécouvrira." Paroles que L'Arbre Vengeur a portées sur le bandeau rouge entourant leur petit dernier. Espérons juste que les mots de Breton accomplissent enfin leur portée prophétique.
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yes-bernie-stuff · 28 minutes
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« Lève-toi, va à Ninive, la grande ville, et crie contre elle ! » (Jonas 1:2)
Le livre de Jonas nous renseigne sur la préoccupation de Dieu pour le salut universel des hommes. Ce livre nous rappelle que Dieu aime tous les hommes, et désire leur salut. Jonas appartient au peuple qui a reçu la révélation de Dieu, et Dieu veut se servir de lui pour apporter un message aux gens de Ninive, lesquels n’ont de leur côté aucune connaissance de Dieu. Il est précisé : « Ils ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche » (Jonas 4:11).
Dieu cherche un messager pour aller avertir ce peuple nombreux, et il fait le choix de Jonas. Mais il y a un petit problème : Jonas ne veut pas y aller ! Il refuse de répondre à cet appel divin, il prend la fuite !
À ce moment-là, Jonas nous fait penser à tous ceux qui, étant croyants, refusent de s’intéresser au salut de ceux qui, enfoncés dans les ténèbres du péché, périssent dans l’ignorance de l’amour de Dieu. La fuite peut prendre diverses formes, depuis le désintéressement total jusqu’au mépris le plus absolu. Or, parce que nous sommes disciples de Christ, le salut de ceux qui périssent est notre responsabilité. Fuir notre responsabilité, c’est passer à côté des projets de Dieu. Le Seigneur appelle l’Église à se lever pour aller vers les perdus. Ne fuyons pas, entrons dans la mission de Dieu !
Jonas fuit, mais Dieu va le ramener à reprendre le chemin de Ninive. 
Parfois cela peut prendre un peu de temps, mais Dieu est patient pour qu’enfin nous reprenions le chemin de notre vocation. Il va créer les circonstances nécessaires pour nous amener à prendre conscience de l’appel qu’il nous a adressé : « Allez par tout le monde ». 
Jonas va avoir un succès que beaucoup de serviteurs aimeraient avoir ! « Les gens de Ninive crurent à Dieu » ! (Jonas 3:5). 
Plus de cent vingt mille hommes qui se repentent en une seule prédication ! Aucun prédicateur n’a jamais eu un tel succès ! Or, Jonas est déçu !
Il a prophétisé la destruction, et voici que la repentance de ce peuple éloigne le jugement divin. Le cœur de Dieu n’était pas de détruire, mais de sauver. Jonas avait besoin de comprendre l’immense grâce de Dieu.
« Seigneur, que la grâce inspire notre témoignage, notre service ! Que l’amour que tu as envers tous les hommes les pousse à la repentance ! Au nom de Jésus, amen ! »Avec amour, Paul
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vinelge · 1 month
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Le jour où j'ai rencontré le prix Nobel de la paix 1948
Il devait être sept heures précises, plus ou moins. Comme chaque lundi matin, j’œuvrais au bien commun en retirant des boîtes à livres de mon quartier les exemplaires du petit routard et autres guides touristiques – impiétés qui bafouent les saines valeurs d’échange du bookcrossing. Alors que je décidais du sort d’un livre photo de Yann Arthus-Bertrand, le bruit caractéristique d’un crachat déchira le silence auroral, m’arrachant du même coup à ma contemplation (j’en étais à la page de garde). Je me retournai brusquement, interdit, et aperçus derrière moi un vieillard assis sur un banc, la tête affaissée jusqu’aux genoux, tout à fait inerte – à le voir ainsi, je crus avec effroi que ce geste avait été son dernier. Bien heureusement, il manifesta quelques spasmes pleins de santé, que je décidai de prendre pour une invitation : après tout, si l’expectoration de cet individu m’avait déconcentré dans mon entreprise, pourquoi donc ne pas en tirer le meilleur en engageant la conversation avec lui ? C’est aussi ça, les valeurs du bookcrossing.
M’asseyant près de lui sur le banc en ayant pris soin de l’épousseter un peu au préalable (le banc), je réfléchis à un moyen d’établir un contact et finis par lui adresser mes compliments en désignant la petite flaque ronde, d’une régularité impeccable, que formait sa salive sur la terre battue à ses pieds. Soudain ragaillardi par cet éloge, l’inconnu se redressa en un instant, secoua la tête en tous sens et balaya les environs d’un regard inquiet, cherchant un corps à cette voix calme et suave qui, avec tant de justesse, avait su exprimer la perfection de son œuvre. Après une vingtaine de secondes, l’homme finit par poser les yeux sur moi et, lentement, tendit dans ma direction une main sale et caleuse que je m’empressai de serrer avec une vigueur fraternelle, loin d’en ressentir le moindre dégoût – je portais des gants en latex, pour ne pas abîmer les livres.
D’une voix tremblante d’émotion, le vieillard me demanda mon nom, que je lui donnai ; mon âge, que je lui donnai ; et un peu de monnaie, que je n’avais pas parce que je n’utilise que ma carte bleue et n’ai jamais rien sur moi, désolé. Ne pouvant contenir ma curiosité plus longtemps, je me dépêchai de lui retourner ces requêtes – même la dernière, on ne sait jamais. « Auguste Grouillot » ; « quatre-vingt-huit ans » ; « c’est tout ce que j’ai, tenez ». En rangeant ses pièces jaunes dans ma poche, je m’enquis de ce que lui, Auguste Grouillot, pouvait bien faire ici à sept heures du matin, alors qu’on a tant de choses à faire chez soi lorsqu’on a quatre-vingt-huit ans. N’avait-il pas une femme, des petits-enfants, une matinale à regarder, une fin de vie, quoi ? Il me répondit que non : « Je n’ai rien. J’ai tout perdu en 1948 ». Par un rapide calcul de tête, je déduisis qu’il avait tout perdu vers l’âge de douze ans, ce qui me sembla quelque peu précoce ; mais après tout, à cette époque, on servait bien du vin à la cantine, alors bon. Apitoyé par cette révélation pathétique, je sortis ses pièces de ma poche et les posai entre nous sur le banc, l’air de rien, pour ne pas froisser son orgueil de vieil homme. Je rajoutai aussi un ticket resto, que je ne comptais pas utiliser de toute manière (je n’ose jamais les présenter au moment de payer, je trouve que ça fait « près de ses sous »). Voyant que je ne m’interrogeais pas vraiment sur ce qu’il venait de me dire, il répéta « J’ai tout perdu… tout… et maintenant je n’ai plus rien ». Après un long silence, il posa ses gros yeux jaunes sur les miens et murmura : « et, bon… Ça vous dirait pas que je vous raconte ? ».
J’acquiesçai avec un enthousiasme affecté, doutant sérieusement des capacités de cet homme à produire un discours biographique digne de susciter chez moi une remise en question profonde. Ça n’avait rien de personnel, d’ailleurs, mais comprenez-moi : qui que l’on soit, lorsqu’il faut abréger à brûle-pourpoint quatre-vingt années d’expérience pour en tirer une conclusion, on en revient inévitablement aux fondamentaux. Essayez vous-même d’énoncer une leçon de vie fondamentale, la leçon de votre vie, là, maintenant. Vous constaterez que dans ces moments-là, tous les fins plis de votre singularité s’avèrent stériles, bien rangés au fond de vous, et ce qui sort spontanément ne dépasse en rien le vulgaire enseignement commun. Je ne vous en veux pas, je suis pareil. Mais vous comprendrez au moins ma frilosité devant Auguste Grouillot lorsqu’il entreprit son récit. S’étirant de toute sa longueur, il inspira à s’en froisser les narines et chercha dans sa gorge la plus belle voix qu’il lui restait :
« Bon, je commence. Alors voilà : d’aussi loin que je me souvienne, je suis né en 1936. Ma pauvre mère, qui vivait sans le sou, m’a élevé dans le dénuement le plus total. Mon père n’y pouvait plus grand chose, puisqu’il est mort neuf mois avant ma naissance. Maman me répétait souvent qu’il s’était « transvasé », mais je n’ai jamais compris ce que ça voulait dire.
J’étais un enfant agréable, en ce qui me concerne tout du moins. J’ai toujours tenu les adultes en estime, ainsi que toute personne dépositaire de l’autorité ; invariablement. Vous le verrez, ça m’a parfois causé du tort. »
Je commençais déjà à redouter le reste. Lorsqu’une histoire prend place à l’orée des années 40, vous pouvez être certain qu’elle impliquera le nazisme ou l’expressionnisme abstrait new-yorkais. La suite me démontra qu’il s’agissait du nazisme, ce qui me parut un moindre mal. Le vieux reprit :
« La guerre m’a beaucoup affecté, vous savez. Lorsque j’avais quatre ans, ma mère dût faire appel à un psychiatre pour calmer les terreurs nocturnes dont je souffrais quotidiennement. Au moment de passer le test de Rorschach, croyant faire plaisir au docteur, qui était allemand, je prétendis voir le Reichsadler dans chaque tâche d’encre. Ce mensonge eût un effet formidable : très vite, il franchit les murs du cabinet et mon nom se mit à circuler dans tous les cercles scientifiques de la France occupée. Au bout de quelques semaines, je m’étais déjà vu octroyer la réputation d’enfant prodige du Reich. Le chancelier lui-même – j’ai oublié son nom, ça va me revenir –, ayant eu vent d’un petit français viscéralement possédé par l’esprit de Weimar, m’invita dans son quartier général du Wolfsschanze en prétextant vouloir « récompenser mon enthousiasme à propos du national-socialisme ». En réalité, nous avons passé l’après-midi à jouer au rummikub, dont il était secrètement féru. »
À cet instant, je demandai à Auguste de m’accorder une petite pause. Son récit mobilisait beaucoup de mots allemands, et mes oreilles encore somnolentes montraient des signes de faiblesse. De plus, je rappelle au lecteur que ce brave homme avait quatre-vingt-huit ans : imaginez un vieillard, face à vous, prononçant de sa bouche molle et humide tout un tas de « krrr » et de « frschh » en direction de votre visage. Hélas, la barrière de la langue ne protège pas de ces choses-là. Après m’avoir laissé me débarbouiller, il poursuivit :
« Mon amitié avec Hitler – le nom m’est revenu – ne s’est jamais démentie par la suite. Nos liens se renforcèrent encore lorsque, au printemps 1941, j’assistai Eva Braun dans sa mise en couche. (Je sais bien ce que vous vous dites : Hitler n’a jamais eu d’enfant, vous a-t-on appris. Eh bien en vérité, il eut un fils dont j’ai été le parrain ; un gars très précoce qui, sentant le vent tourner dès 1944, s’est exilé en Argentine pour refaire sa vie. C’est pourquoi on n’en entend pas parler.)
Enfin voilà : l’accouchement de cet enfant fut bien difficile. Celui-ci se présentait dans le mauvais sens et sa mère, Frau Braun, perdait patience de minute en minute. Son chancelier de père, inconscient du danger, s’enorgueillissait déjà de ce que l’héritier ne daignasse pas venir au monde en faisant le poirier : bébé Hitler tenait obstinément la tête haute, comme le font les grands hommes. Aucun chirurgien n’étant disponible au Wolfsschanze – il était dix-sept heures, tous étaient en train de déjeuner –, je fus désigné pour pratiquer une version du fœtus, parce que j’avais de petites mains. La version, ça consiste à retourner le bébé à naître dans l’utérus afin qu’il sorte plus facilement. Les sages-femmes avaient préconisé une version combinée (une main dedans, une main sur le ventre), mais Hitler exigea une version interne parce que « une seule main, c’est obscène ». Plongeant alors mes bras dans l’inconnu, je saisis fermement le petit corps chaud et le retournai comme un sablier, en prenant soin de ne pas l’abîmer dans la manœuvre. Bientôt une tête rougeâtre sortit au grand jour en poussant un cri guttural, sous les applaudissements de toute l’assemblée, ou presque : Hitler père, voyant que son fils arborait une chevelure brune, laissa échapper un « Scheiße » insatisfait. Cette déconvenue capillaire n’entama en rien sa reconnaissance envers moi : à l’issue de cet épisode, il m’attribua le surnom d’« Hauptgericht ». Ça ressemble à une insulte, mais ça veut dire « Mains d’or ». La langue allemande est ainsi faite : des mots doux dissimulés dans un grognement. Une sorte de pudeur, peut-être. Si le nazisme a rencontré des difficultés pour s’exporter, je pense que ça vient d’abord de là.
Avec la confiance dont je jouissais au sein du parti, je fus appelé à endosser de plus grandes responsabilités. J’aidai Hitler et ses généraux dans leurs conseils de guerre, proposant des manœuvres audacieuses qui s’avérèrent payantes. Bientôt, je fus considéré comme l’éminence grise du Führer et mon avis fut sollicité à chaque grande décision stratégique. J’obtins mon propre appartement, à la porte duquel les plus hauts dignitaires vinrent frapper avec déférence pour demander conseil et estimer leur côte auprès du chancelier. Ce dernier venait rarement pendant les heures de travail (10h-16h30) ; le plus souvent, il passait me voir tard dans la nuit pour me proposer une petite partie de rummikub qui, immanquablement, se terminait à l’aube.
Vous vous demandez peut-être comment, à peine sorti des jupons de ma mère, j’ai pu machiner de grandes batailles avec une telle réussite. La réponse est toute simple : personne ne l’avait encore remarqué, mais pour gagner, il suffisait d’être plus nombreux. Lorsqu’on me disait : « Monsieur, il y a 500.000 Russes sur le front de l’Est à Smolensk ! », je répondais avec assurance : « Eh bien, envoyez donc 500.001 hommes. ». Cette découverte capitale demeure sans conteste ma plus grande contribution à l’armée nazie – ex-æquo avec l’héroïne, mais je n’ai pas le temps de vous en parler aujourd’hui. Ça peut paraître absurde, mais aucun fonctionnaire n’y avait pensé auparavant. À cette époque, on n’avait pas encore inventé ces séminaires de trois jours qui leur apprennent à réfléchir. »
En racontant cette histoire, le vieux Grouillot s’était comme métamorphosé. Il remuait sur le banc, accompagnant certains passages d’un large geste des bras, qu’il lançait en avant puis retenait brusquement, comme pour ne pas trop en dire. De temps à autre, il s’interrompait pour observer mes réactions, bien décidé à maintenir mon intérêt éveillé. Il se ravissait alors de lire sur mon beau visage les marques d’une fascination croissante, à chaque instant plus désireuse de goûter à ces pages tues de l’Histoire. Aussitôt assuré d’avoir toute mon attention, il continuait :
« Tout ceci a duré pendant trois bonnes années, jusqu’à l’hiver 1944. À cette période, les relations entre le Reich et le reste du monde n’allaient pas dans le meilleur sens. Winston Churchill, notamment, agaçait beaucoup Hitler pour son côté grande gueule et pour le « V » qu’il faisait souvent avec ses doigts. Adolf s’en plaignait quotidiennement, et répétait à qui voulait l’entendre : « le signe avec la main, c’est mon truc ». Peu à peu, cette obsession gâtait son entrain naturel, et il commençait à passer pour un caractériel. Soucieux de le délivrer de cette névrose, je fis parvenir en secret un télégramme au 10 Downing Street, suppliant Churchill de reconnaître la paternité hitlérienne de son geste culte, en échange de quoi je promis d’aider le chancelier à contrôler ses humeurs belliqueuses. Je jurai également de donner le Danemark à l’Angleterre, par principe, mais mon appel resta sans réponse et Hitler continua de s’égarer dans l’entreprise destructrice qui devait bientôt causer sa perte.
Vous pensez qu’il est mort en 1945, qu’il s’est suicidé par désespoir, pas vrai ? Eh bien vous avez raison, mais la chose ne s’est pas produite comme on le raconte.
Lui et sa petite famille, ce jour-là, devaient entamer une cure de vitamines à base d’huile de foie de morue, les états d’âme passagers du Führer, selon les médecins, ne pouvant s’expliquer que par une carence. Après le dîner, Madame Braun, qui était myope, attrapa les petites capsules dorées posées sur le bureau de son mari et les donna aux enfants avant d’en prendre une à son tour. Malheureusement, il s’agissait d’ampoules de cyanure – accident bête, par trop commun à cet époque. Adolf en laissait traîner partout dans la maison ; je savais bien qu’un drame finirait par arriver tôt ou tard.
Pendant ce temps, celui-ci était déjà reparti au travail et nous entamions notre deuxième partie de rummikub. Aux alentours de minuit, il se rappela la cure et ôta de son manteau une petite capsule jaunâtre qu’il avala goulûment. Distrait par le jeu en cours, il eut d’abord la mauvaise idée de la croquer pour faciliter le passage. Par malchance, la capsule contenait bel et bien de l’huile de foie de morue : submergé par le goût intolérable qui se répandait dans son auguste bouche, il se précipita sur son pistolet et posa le canon sur sa tempe avant de tirer. En une seconde, tout était fini : j’avais perdu mon ami le plus cher, et l’odeur rance de l’huile empestait mon bureau. Celle-ci s’étant imprégnée dans le parquet, nous dûmes ensuite nous résigner à purifier les locaux par le feu. Alors je suis rentré chez ma mère, en France. Après tout, j’avais que neuf ans.
Trois ans plus tard, alors que j’avais repris une vie à peu près normale pour un enfant de mon âge, un homme vint se présenter à la porte de ma villa – difficile de se défaire de certaines habitudes « nouveau riche », d’autant qu’Hitler m’avait désigné comme légataire universel – et me demanda si j’étais bien le dénommé Auguste Grouillot, auteur d’un télégramme adressé à Winston Churchill en 1944. Mon sang se glaça ; mes activités au sein du Reich dévoilées, je crus mon temps venu de rejoindre Hitler Fils en Argentine. À mon grand soulagement, j’appris que cet homme n’était que le président du comité Nobel : impressionné par ma tentative de rabibochage, il m’avait retrouvé et me faisait maintenant savoir que mon nom figurait sur la short-list du prix pour la Paix. À vrai dire, j’étais le seul récipiendaire qu’ils envisageaient encore. Les autres étaient morts ou trop désintéressés ; seuls quelques américains réclamaient la médaille, mais bon, entre nous… vous imaginez, le symbole de la paix, une nation qui a décimé deux-cent mille civils ? Ça n’aurait pas de sens, voyons.
Ainsi donc je me retrouvai, un matin de novembre 1948, devant une assemblée de hautes figures, toutes incarnant l’une plus que l’autre la sacro-sainte Paix© (en prononçant ce mot, le vieil Auguste avait dessiné un « C » dans les airs. J’imagine que c’est ce que ça voulait dire). On me remit une petite médaille dorée, et le directeur de l’académie m’invita à prononcer un discours. Soucieux d'honorer devant tous mon principal bienfaiteur, j'improvisai un hommage qui, je le crois, fit date :
« Adolf,
Je te le dis maintenant sans gêne et sans en faire un drame, j'ai toujours senti la mort en toi. Pire, je pensais que tu nous quitterais encore plus vite. C'était une certitude terrible que je gardais pour moi. Je ne pouvais rien faire. J'étais le spectateur forcé de ce compte à rebours… »
À cet instant, les huées commencèrent à pleuvoir. Je dus m’interrompre et le directeur reprit le micro de mes mains ; puis il s’excusa en évoquant une « erreur de casting » et m’invita à quitter la scène depuis laquelle j’étais censé rentrer dans l’Histoire. Quelques instants plus tard, il me confisquait le Nobel. Une fois de plus, j’avais tout perdu.
Allez savoir pourquoi, il avait sous-estimé mon rôle auprès du chancelier, m’imaginant l’un de ces rêveurs qui, dans un conflit, jouent les entremetteurs en envoyant des lettres doucereuses à l’une et à l’autre des parties. Maintenant que le jour avait été fait sur mon passé, voilà qu’il nous voyait d’un très mauvais œil, moi et mon implication en faveur du régime nazi. »
Votre humble narrateur, en écoutant parler ainsi ce vieillard, ne trouvait rien à dire ni à penser. D’ailleurs c’est encore le cas. Heureusement pour mon récit, Auguste est en train de terminer :
« De cet instant, ma vie n’a été qu’une succession de déboire judiciaires et financiers. À quinze ans, j’appris que l’héritage qu’Hitler m’avait laissé était gangrené par les dettes. Je travaillai comme je pus, mentant sur mon C.V. pour justifier le trou entre mes quatre et neuf ans. L’affaire ayant été étouffée, personne ne me proposa d’écrire mes mémoires ou d’acheter les droits de mon histoire. Pourtant, je suis sûr que ça aurait fait un bon téléfilm.
Maintenant, j’attends mon heure. Je me console en me disant que j’ai bien vécu, avant mes dix ans tout du moins. »
Enfin délesté de ce secret, Auguste poussa un long soupir et s’affala sur le banc, retournant à l’état dans lequel je l’avais trouvé. Il devait être neuf heures (il parlait très lentement) ; le temps était venu pour moi de partir. Je lançai un dernier regard dans sa direction et, remontant dans ma tête le fil de son histoire, en vins à une conclusion : tout ceci était certes bien triste, mais n’expliquait pas vraiment la précarité financière de ce monsieur. Alors, en reprenant discrètement mes pièces jaunes et mon ticket resto, je m’inclinai devant Auguste Grouillot, prix Nobel de la Paix 1948, et repris mon chemin.
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editionskelach · 3 months
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Un jour, un livre aux Éditions Kelach.
La marche de l'enfant-saule.
Merveilleux - Illustrations - Voyage.
Le diagnostic est tombé pour Vitor : il est atteint de l’errance, le mal du vagabond.
La pousse qu’il a découverte sur son crâne va grandir et il se transformera bientôt en une plante qui s’enracinera dans le jardin de ses parents.
— La marche ! annonce le médecin du village. Ce petit doit marcher pour empêcher la propagation du mal. Il faut l’accompagner jusqu’au sentier de la forêt d’Ulween et le laisser parcourir les dizaines de lieues qui le séparent de la guérison.
Mais la route est longue, peut-être même sans fin, semée de pièges et de rencontres étranges.
Une épreuve cruelle ? Et s’il ne s’agissait pas seulement de cela ?
De révélation en révélation, au fil du sentier, la forêt accouchera de tous ses secrets…
« … marcher, marcher sans se retourner… ne jamais s’éloigner du sentier. Oh, grand Dieu, non, ne jamais s’en éloigner ! »
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christophe76460 · 4 months
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Ne te soucis pas, Jésus a déjà la solution
La plus grande problématique de l'humanité a été révélée par Jean dans le livre de la révélation: Apocalypse 5:1-5 Je vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux. Et je vis un ange puissant, qui criait d'une voix forte: Qui est digne d'ouvrir le livre, et d'en rompre les sceaux? Et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder. Et l'un des vieillards me dit: Ne pleure point; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux. Les plus grandes solutions portes toujours en elles-mêmes toutes les petites. Ne te soucis donc pas, Jésus a déjà la solution à tes préoccupations. Le véritable problème ce n'est pas ce qui te préoccupe, mais la dimension de la foi qu'il te faut pour activer la solution divine.
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richyrichyrichyrichy · 5 months
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jésus ?                        volume   24                      relu mars   2020 
 en cours de refondation   svp lire à partir du vol1
  2000 ans perdus, 2000 ans d’oubli de la réincarnation de par l’expansion de ce qui serait le judéo christianisme
le vrai jésus, celui que peut-être tu adores…, sais-tu vraiment qui tu adores ?  (si tu le sais : tant mieux pour toi, car, personne d’autre ne le sait…)
alors voici  une série de réflexions
née à la suite de la lecture de    « le dictionnaire amoureux de jésus  » écrit par un fou de la secte dite judéo-chrétienne (dite judéo-chrétienne, tu dois toujours parler des judéo-chrétiens comme cela, car il n’y a pas de christ, il n’y a pas de messie, authentifiés par les instances judaïques, or ces concepts sont nés dans la tradition judaïque, et les dits judéo-chrétiens se considèrent comme de cette tradition), et qu’il m’a, par « imposition », aussitôt, fallu voir comme soudainement :  « le livre en trop »,    l’exemple de  livre, prévenons les dits judéo-chrétiens !, à ne plus lire (& non lu complétement par moi, à ce jour), à ne plus écrire en 2017 sauf à démolir l’ensemble de ce qu’il promeut (tant de galéjades) encore et encore…  /
cette petite mais attentive recherche en tenant compte (enfin) notamment du point de vue (lequel aura été explosif pour tant de gens encore dans une critique constructive un peu trop lâche, par rapport au dit judéo-christianisme, un doute qui profitait aux menteurs), du point de vue de michel onfray, et bien sûr, après l’étude des révélations des chercheurs enfin réunis, confrontés  par les inattendus  documentaristes prieur et mordillat  (« corpus christi » et ses suites), une confrontation transparente qui a pu enfin apparaitre !,
 enfin pouvant se faire, loin des inquisiteurs tout puissants d’hier, & laquelle aura conduit au livre  « jésus contre jésus » de prieur et mordillat, en 1999…, the right book at the right time, un séisme anti-christique, lequel donc efface 2000 ans de superstition, & qui est… passé inaperçu ! & cela aussi reste assez inattendu! (ainsi… les consciences auront donc été violées sur le long terme…)
cette recherche en méditant aussi jour après jour sur jésus, en, d’une part, oubliant, tout ce qui a été écrit, dit, officiellement, sur lui, les fables…,
 avec cette question : pourquoi, comment cette continuation extra longue de cette religion ?, par diabolisme ?,
quoiqu’il en soit : une religion dangereuse, qui conduit en fait ses fidèles à l’angoisse, à la croyance au néant après la mort,
cette religion continue à occulter la seule religion cohérente possible : celle de la réincarnation, celle de la continuation spirituelle, &, là, croire n’est plus, heureusement, seulement une fabrique si infinie de désespoir…     mon commentaire     (work in progress)    propose des  éléments de réflexion   (de toutes façons personne n’est d’accord et sur rien en cette histoire)
l’énigme Marcion          (éléments disparates, à confirmer, synthèse impossible, on est dans les débuts d’une religion, d’une escroquerie spirituelle, ou de ce qui l’est devenue, et qui passe par précisément l’effacement des débuts, car les débuts c’est : la fabrication)
on dirait un peu : Marcion, c’est un des personnage stars qui (pour nous, bien après !) ? qui émerge après les tout débuts du judéo-jésusisme et nous sommes amenés par lui à comprendre : la difficile fabrication de jésus, les scriptoriums, le prophète jésus non encore bien dessiné !, donc surtout inventé etc.
ce qu’on apprend grâce à « corpus christi », et voilà qui complique encore l’affaire jésus
un riche armateur, un fils d’évêque jésusiste, qui, se fait théologien !!!, il propose de financer les débuts du jésusisme, en contrepartie : il veut participer à la fabrication théologique de jésus (mais ça ne marchera pas, il sera excommunié !, récupérera son argent, fondera sa propre religion)  
fils d’évêque : alors il part déjà d’une connaissance que seuls ont les premiers dignitaires de cette religion qui « commence » autour de l’émergence d’un être dit divin : jésus
et à l’évidence il a compris quelque chose (que nous on a difficulté à comprendre) il se dit lui aussi jésusiste  mais décrète : tous les écrits ne venant pas de paul et de « luc » (mais ce « luc » est un mystère aussi) ne doivent pas être pris en considération
paul, selon Marcion, est à voir comme celui  venu pour le service après-vente
très curieusement pour nous : Marcion vient dire et il est aussitôt très écouté : « problème, personne n’a compris le message de jésus, ceux qui l’ont connu de son vivant ont mal rapporté ses paroles, et pire, certains ont truqué son enseignement pour s’en servir comme celui qu’eux ! ils voulaient imposer » (il met en doute certains évangiles sauf 1, celui de luc, et encore qu’il retouche), bref les textes d’alors ne sont pas considérés comme fiables (dont quasiment ceux que nous avons aujourd’hui, alors) par lui  
Marcion proclame (on reconstitue) genre : « dieu ( !), voyant ce bordel a alors élu : paul (et en + marcion fait le tri entre ses écrits car certains écrits dits de paul ne sont pas de paul) pour réparer tout cela et pour qu’on revienne à ce que jésus appelait la bonne nouvelle »
selon Marcion : paul et dépositaire de la vraie révélation
ainsi, je le répète, alors, si l’on en croit Marcion l’esprit saint n’aurait fonctionné qu’à partir de paul, ah ah ah !!
on a l’impression, en allant un peu + loin, que Marcion croit donc + en paul qu’en jésus, alors c’est vertigineux…, on ne comprend plus rien
ce qu’on sait : Marcion veut déjudaïser jésus
 il veut le voir ? comme créant une nouvelle religion, alors il dénonçait : ses proches comme l’ayant criminellement judaïsé, dans ce cas jésus aurait été au départ un juif baptiste dissident encore + dissident, mais récupéré par le baptisme certes dissident mais restant complétement quand même dans le camps judaïque (ses proches, baptistes l’auraient maintenu dans le pur baptisme) 
Marcion savait-il mieux qui était ce paul  (et savait-il mieux en ce qui concerne l’évangile selon luc ?), Marcion voyait-il paul conceptualisant (inventant ?) (lui, bien) jésus ?
tous ces théologiens, en leurs querelles croyaient-ils en jésus en tant que personnage divin ?, ou bien comme personnage théologique (surtout inventé donc), de prêche et de manuscrits qui était encore en train, en cette forme, d’émerger, donc pouvant encore être largement modifié
paul lui (selon les chercheurs) aurait décidé : « moi paul,  je dis ceci et cela et croyez le car cela vient directement de dieu ! »
= Marcion privilégie ?, valide la réalité ou bien l’invention théologique (de jésus et de son enseignement) par le seul paul, il considère paul comme pouvant mettre au clair tout cela (le message de dieu, de dieu qui vient donc de se manifester avec jésus, mais l’important : dieu s’est manifesté, qu’importe si jésus et les siens n’ont pas été à la hauteur), car dans les faits : Marcion, en bon gnostique nie l’importance de jésus, l’important est le message de dieu, et le message aurait donc été finalement donné par paul ! (or nous on ne voit trop pourquoi cette sur-importance de paul !, ce qui aurait été donc une refondation par paul)
on pourrait aussi prendre la piste : Marcion voit la religion jésusiste partir sur de mauvaises bases, trop inventée, mal inventées avec l’histoire de jésus phantasmé, divinisé ?, et il faudrait revenir à paul : le théologien qui s’est attaché à reconceptualiser mieux cette proposition baptiste de départ, et proposition qui en devenant jésusiste est devenue : encore autre chose,
on a un personnage phantasmé : jésus, une illusion collective spirituelle avec jésus, qui est née (comme cela arrive), et différents théologiens veulent s’en emparer ?, d’où plusieurs écoles spirituelles jésusistes à Rome, dont celle de Marcion ! / ces théologiens se considèrent-ils comme travaillant sur la croyance en jésus : celle-ci comme ayant été vraiment une manifestation de dieu ?  ou bien comme une rumeur qu’il faut étoffer cyniquement, qu’il faut conceptualiser pour la rendre mieux effective, ou bien c’est un peu les deux ?
je ne sais pas, c’est le genre de questions qu’on peut se poser :  car : finalement déjà plusieurs générations après la crucifixion de jésus, ce qui ne fait pas beaucoup : personne n’est d’accord sur ce qu’était jésus, sur ce qu’était ceux qui suivront ensuite : tel paul, « luc »
et puis paul, c’est « les actes des apôtres », ce texte si fou…, alors Marcion cautionne cela ?
et puis paul, aujourd’hui, ce n’est pas du tout ce que dit Marcion, c’est au contraire, quelqu’un qui s’accorde parfaitement à tout ce qui est dans le Nouveau testament (du moins bien sûr quand on regarde de loin  / de près : c’est AUSSI très compliqué, et particulièrement avec le personnage de paul, dont l’enseignement est à géométrie variable)
en fait marcion validerait là un peu + ? : l’invention théologique de tout cela (une invention que marcion jugerait divine bien sûr), car paul = quand même cela se peut prendre pour de la seule invention théologique puisque paul ne semble pas trop tenir compte du personnage historique de jésus ! (selon le dire des chercheurs de « corpus »)
mais on ne sait pratiquement rien de + sur Marcion, ses écrits ont disparu : à l’évidence il avait découvert quelque chose pour que ses théories fassent « le tour de la terre », mais tout cela a été effacé par les dits juifs chrétiens orthodoxes en train de se constituer, en train d’aller dans un sens, lequel à l’évidence ne sera pas celui de Marcion
à rome, avant d’être excommunié (an 150): Marcion a son école de théologie jésusiste (ou déjà dite judéo-chrétienne ?)
 à noter : sur les 3 écoles dites judéo-chrétiennes : 2 sont dirigées par des gnostiques !, or en principe, les gnostiques sont parmi les fous dits juifs chrétiens : des encore + fous dits juifs chrétiens (à savoir au passage : tous les fous gnostiques ne sont pas jésusistes)
 tous ces gens essaient  de donner du sens à la montée en puissance de cette rumeur qu’est jésus ?, montée en puissance plutôt irrationnelle (en tout cas, si les gens d’alors trouvent des avantages à se faire juifs chrétiens : du côté de la base, de la spiritualité : c’est pas au point jésus !, et certains théologiens veulent cependant trouver des réponses spirituelles autres que celles déjà connues, se basant sur la Bible juive
 donc ceux qu’on appellera ensuite : « les gnostiques », supportent mal ce jésus qui finalement continuer la Bible judaïque, et veulent donc réparer les dégâts ?, il faut, selon eux, un jésus qui amène une quasi complète nouvelle religion
mais apparemment ces gnostiques ne seront pas assez suivis, et vite persécutés, ou bien : tués dans l’œuf, mais certains auront leur propre religion quand même durablement effective
les gnostiques (en parlant des gnostiques jésusistes) se disent-ils ? : « bon, les prêcheurs scribes ont fait de jésus un prophète, or cela a marché, cette figure semble s’imposer, il y là quelque chose d’irrésistible, mais on sait bien : tout cela a été inventé / alors que fait-on nous gens de meilleure qualité ? : on peut en effet prendre jésus comme prophète, mais il faut quand même améliorer tout cela… », et ils se mettent à délirer ?…. encore bien + que les scribes judéo-jésusistes (mais on est dans le flou spirituel : là le délire est inévitable !, c’est en tout cas la preuve d’une prodigieuse recherche, d’une prodigieuse sincérité : ce qu’il y avait avant ne tenait pas la route, doit être vu comme cela, et quand il s’agit de juifs qui s’attèlent à cela : c’est à un moment où il n’est plus possible aux juifs de lapider…, les juifs sont en cours de désintégration d’exil, et les dits juifs chrétiens déjà orthodoxes : ne sont guère en position de force, et puis ils sont des pacifistes, c’est dans leur adn de départ)
c’est une supposition, car on ne comprend pas ces délires gnostiques (un chercheur dit genre : « ces gnostiques chrétiens : ne voient pas l’homme comme étant sauvé bientôt historiquement, fin du monde etc., mais devant se voir sauvé possiblement par la connaissance, ainsi là ce ne sont pas des populistes !, pour eux on doit rester dans le théologique pur)
donc : Marcion reste une énigme, les débuts du judéo-christianisme restent une énigme complète mais ce qu’a apporté « corpus christi » : c’est on continue à croire à partir d’un flou complet :  et surtout pas les chercheurs dits juifs chrétiens, les théologiens d’aujourd’hui ne peuvent se dire : notre croyance est basée sur du solide (mais on le sait à l’avance : une telle croyance par nature ne peut se baser sur du solide, c’est pourquoi la croyance dite judéo-chrétienne continue, certes en ayant perdu toutes ses couleurs : sa solidité c’est notre possibilité de croire en du flou)
je me souviens, était-ce moi ou un autre : dans une conversation avec le prêtre pierron qui nous enseignait : quelqu’un avait lancé le nom « Marcion » (car on avait lu des choses sur les hérétiques, cela nous avait étonné, et il y avait ce nom : Marcion)  en étant sûr que le prêtre allait être mis dans l’embarras, mais en étant aussi en fait avide d’une réponse intéressante (mais cela prouvait : nos doutes éveillés déjà, je suppose que je devais déjà avoir 15 ou 16 ans) : le prêtre pierron avait balayé le nom d’un revers de main « c’est pas important ça » / comment intégrait-on un gnostique dans l’enseignement au grand séminaire !!!, en plus avant « corpus christi », alors que déjà : les plus grands chercheurs rament pour explique ce qui se passe, là / le prêtre pierron, avec un tel nom lancé, comprenait : on revient là au temps de la fabrication de jésus, le terrain était miné.., il ne fallait même pas dire entamer le débat…, on était bel et bien dans une croyance, à prendre ou à laisser , et nous nous étions considérés par le prêtre comme la prenant…, pour lui nous étions des croyants, et tout simplement il fallait nous éloigner de cet hérétisme, hérétisme donc : la non vérité selon lui, cela n’était pas + compliqué que cela)
ce qu’il faut bien comprendre
on ne peut pas trop comprendre la période jésus aujourd’hui  car on n’attend personne, on n’attend pas de nouveaux prophète, nous/
on ne peut pas comprendre les dits juifs chrétiens de l’antiquité, car on a tendance à les voir comme les dits juifs chrétiens d’aujourd’hui alors que eux, ceux qui ont suivi, n’attendent plus personne… : selon eux si quelqu’un doit venir, c’est jésus, cette fois en gloire… , mais au bout de 2000 ans d’attente ils n’y croient plus, il n’y croient plus depuis l’an 2001…, pourrait-on dire !, le cap des 1000 ans a pu encore être passé mais difficilement…, mais après 2000 cela n’est plus possible
personne ne croit en la fin du monde avec jésus etc…, les gens comprennent enfin, croient maintenant à…. : « c’était facile de faire ce genre de promesse », « on avait besoin de croire à cela, on y a cru, surtout on a voulu y croire », les foules comprennent ce qui leur est arrivé..
aujourd’hui : les dits juifs chrétiens ne sont même plus sûrs de la venue d’un messie voilà 2000 ans !,  alors… s’agissant de sa revenue !, la venue du messie avait été crue sur la croyance de sa revenue…, alors… (pas de revenue) =  (pas de venue)
il existe de moins en moins de différence entre ceux qui croient et ceux qui ne croient pas… ah ah ah
à l’époque de jésus
tout être vivant est avide de spiritualité, et il faut avancer sur le sujet alors que la fin du monde semble être en cours (du moins la fin du monde judaïque) : alors on attend un prophète et même au Temps de jésus certains, les sectes nouvelles, précisément pleines d’entrain car : ce sont elles concernées par cette urgence spirituelle ont-elles pensé : « cette fois c’est la fin du monde alors… mais c’est bien sûr un messie qui doit venir
les juifs baptistes dissidents auraient donc eux réussi à « concocter » ce super prophète = « il est venu… » (cela se passe sur le Temps spirituel, sur le Temps des prêcheurs, des scribes, un jour : la bonne nouvelle a réussi à arriver un peu partout, et tout le monde sait alors : « il est venu, c’était jésus le crucifié », tout cela se passe des années après la mort de jésus…, les baptistes ont eu le temps d’affiner leur messie, la rumeur s’est enflée autour de ce personnage, cette rumeur qui a commencé à se paralléliser avec : la connaissance du fait qu’un prêcheur baptiste, un juste, avait été crucifié par les romains en accord avec les grands prêtres du Temple / tu vois : il faut imaginer une telle croyance, attisée progressivement par des prêcheurs, cela se passe comme la création d’une rumeur : et un jour la rumeur c’est : « jésus était le messie », et le mouvement baptiste est doucement devenu le mouvement jésusiste, jésus est devenu le personnage le + prêché par les prêcheurs juifs baptistes, car ils ont vu : c’est le personnage mort le + édifiant, le + susceptible de remuer les foules, déjà : la crucifixion d’un prêcheur juif par les romains : on peut imaginer : l’onde de choc : le conscient collectif très vite a été marqué par cela, ensuite, le personnage de jésus n’aurait plus cessé d’être customisé, bien sûr, dans le cadre de l’enseignement juif baptiste : mais à nouveau tous les juifs (et pas seulement les baptistes) se sentaient concernés par cette mort horrible d’un juif, d’un prêcheur, car si les baptistes sont considérés comme dissidents, par les élites religieuses juives : il n’en est pas de même pour les foules : les foules juives écoutent les prêcheurs baptistes, elles suivent l’avancée irrésistible de cette nouvelle secte, de ceux qui se disent des purs : il faut pour le comprendre : étudier un peu l’avancée fulgurante cathare : cela se fait en secret : et ceux qui se convertissent au catharisme ou bien qui sont des cathares friendly : s’en fichent assez que les cathares soient dits : des hérétiques)
un super prophète est fabriqué par les fous de dieu que sont les baptistes
les Temps sont si difficiles que tout le monde comprend : un prophète cela ne suffirait pas, les gens ne le croiraient pas, le Temple, qui était sous la protection de dieu, et de ses… prophètes
il sera facile de  doubler le courant judaïque officiel qui ne propose pas de prophète, faisant profil bas, n’a pas de figures charismatiques mortes à stariser ?
 un messie est venu ! (trop tard pour le contester, pour voir de + près ce messie !, pour lui demander si il serait capable de faire telle et telle merveille puisqu’il se dit messie ou bien qu’il est dit messie !)
et cela a marché, ce (messie au proche passé) a été pris au sérieux !!!!! une religion s’est faite à partir : de ce super prophète, qui était donc venu (ah ah ah !), frustration, mais… et qui allait revenir (ah ah ah)
les juifs baptistes se sont emparés sans vergogne :   d’un concept judaïque qui existait bel et bien mais qui devait toujours être « en attente », espéré,  mais les juifs baptistes sont donc des juifs (pouvant faire leur ce concept) et des dissidents : ils décident, eux, tout simplement que ce messie virtuel a existé !!!!!!
 les jésusistes reconceptualisent ce personnage de messie
quand ?, une fois que jésus était déjà dit prophète par eux, ou bien directement ? quand ils décident de diviniser leur prêcheur crucifié jésus ?, et qu’ils leur semblent donc qu’il faut donner aux foules un messie, un prophète ne suffirait pas, un prophète cela ne colle pas avec la fin du monde qui est en cours
( les Temps n’ont été guère changés par le prophète précédent ?, je suppose que les gens voient cela comme ça, le dernier prophète juif officiel il faudrait savoir qui il était, comment on l’a élevé au rang de prophète, avant sa mort ?, après sa mort ?, qu’est-ce qu’on lui a fait dire, à l’évidence il n’a pas empêché l’invasion romaine, au moins l’a-t-il prédit, je ne suis pas un juif, je ne peux pas savoir)
 / un nouveau prophète qui arrive voilà quelque chose de plus assez plausible pour les foules super désespérées, et qui voient la romanité écraser tout sur son passage
, les prêcheurs baptistes, les théologiens juifs baptistes, les scribes vont vite comprendre (en leur mouvement), il faut un super prophète, un messie, et d’ailleurs, il n’ont pas l’autorisation de dire : jésus = prophète ! , avec un messie ?, ils auraient pensé  pouvoir se passer des autorisations des instances représentatives judaïques, et d’autres dans cette surenchère décideront d’aller encore + loin : « jésus il faut en faire le fils de dieu », puis dieu lui-même…., après il n’y avait plus rien…. sinon ils ne se seraient pas arrêtés…
des théologiens juifs dissidents, des scribes fous, eh oui, puisque sans gardes fous…, puisque faisant leur théologie nouvelle, n’ayant pas à se soucier des grands prêtres juifs qui leur ont dit : « sortez des synagogues vous tous gens de jésus votre… prophète à la noix »
 (s’agissant du messie, une notion nouvelle, cela permettait tout, et il fallait frapper fort, en quelque sorte : dieu était mort / il fallait vite agir :  les Temps sont devenus si difficiles, c’était la fin, encore le Temple venait d’être détruit, en quelque sorte il y avait confirmation du non pouvoir du dieu tel que les courants officiels judaïques le présentaient, le courant baptiste juif dissident était vu lui, qui promettait le pire à Jérusalem la corrompue était vu par les foules : « ce sont eux qui ont raison ! », alors c’est cette secte qui a raison qui va sortir la plus incroyable carte spirituelle : « le messie était parmi nous les baptistes, il est venu, il a donné son enseignement (tu parles… c’est juste l’enseignement baptiste !), il a fait si et ça… » (« eh oui, il est venu se faire reconnaitre parmi les juifs baptistes, ceux qui ont raison, ceux qui sont des purs !; comment en serait-il autrement, vous pensez pas qu’il aurait sa chambre au Temple ?, chez les grands prêtres rapaces !, chez ceux qui ont dévoyé le judaïsme ! »)  
vite il fallait ne pas céder à la tentation de renier le dieu juif, on dit aux gens : « non, votre dieu n’est pas mort, il ne vous a pas laissé tombé !,  au contraire : cette confirmation avec la chute du Temple : c’est ce qui devait accompagner la venue de dieu, et en effet cette venue de dieu c’est notre messie, c’est jésus !!!!!! » et ces gens-là qui ont fait cette rumeur sont les juifs baptistes devenant ainsi des juifs maintenant jésusistes
et ça marche !!!!!!!!!!
pourquoi ne pas s’adonner à ce messie…, à l’époque tu avais vraiment besoin de dieu…, ce n’était pas encore le Temps de dire : « dieu est mort ! »
bon, déjà, dans un premier Temps, on attendait  un prophète ? = un jour les instances judaïques diraient : « un tel était notre prophète », c’était celui-là qui a triomphé des romains   (tout cela se passe sur de nombreuses générations, un jour on trouverait cela dans les livres officiels, il faudrait du temps pour que ce chapitre nouveau soit écrit, on serait passé à autre chose, on serait loi, aussi on ne serait pas trop regardant sur la véracité du prophète, de sa bio, de son enseignement)      
 aussi : il y a pas mal de candidats qui eux : sont des prétendants vivants à la prophétie, se vivent comme des prophètes au présent, certes c’est dangereux, à tout moment un tel prétendant risque la lapidation (mais le prophète qui sera entériné, sera quand même un de ceux-là ?), et maintenant si tu te prétends prophète tu peux aussi te faire remarquer en + par les Romains et te faire occire par eux, et la crucifixion n’est pas loin (car eux comprennent : le prophète prétendant il est le 1er rebelle, et le 1er qu’il faut vite occire)
mais quand même, tu peux en effet te mettre au coin d’une rue et prêcher, en attente que des foules te remarquent non pas encore comme le nouveau prophète bien sûr mais comme un prétendant correct, plein d’avenir  (même si au Temps de jésus, on attendait plutôt un Résistant, qui conjuguerait grande spiritualité et grande expertise de guérilla !), & c’est déjà beaucoup, et tout commence forcément comme cela, le prétendant le sait, et les foules le savent, on n’est pas à l’abri de l’émergence de personnages charismatiques, qui sont des petits prophètes, et qui un jour en seront peut-être des grands, jusqu’à possiblement être dits : LE prophète qui était attendu (et qu’alors les scribes vont customiser)
bien sûr tout le monde sait : un prophète cela se désigne une fois qu’il est mort, alors il est homologué par les instances religieuses à partir d’un consensus qui est petit à petit apparu
à l’époque les gens croyaient vraiment en dieu
 ils pensaient : « si on veut que la vie continue, pas trop mal, il faut la protection de dieu », leur désarroi était effectif, leur foi était effective, aussi était effective : leur attention déjà à tout personnage charismatique qui se présentait…, des fois qu’il soit en effet désigné bien + tard comme le prochain prophète… et paré de tout ce qu’on attend d’un prophète, là cette fois, on mettait le paquet…, tout le contraire de l’accueil qu’on avait réservé au prétendant, d’ailleurs tous les prétendants étaient un jour ou l’autre assassinés, car à un moment ils en faisaient trop, ils en disaient trop, ils s’affichaient trop comme des candidats à la nouvelle prophétie
mais un grand prophète : ça se faisait après coup, ça existait par les prêches, par les manuscrits qui racontaient sa vie et sa prophétie, son action spirituelle sur l’époque : au présent : un grand prophète ne pouvait pas exister : il aurait dû faire des merveilles…, personne ne fait des merveilles, quelques guérisons peut être et encore…, il y a les récidives qui peuvent ruiner une réputation !!!
et quelqu’un qui tout simplement dirait sur un coin de place : « je suis votre nouveau grand prophète », aussitôt il recevrait une volée de pierres, bien sûr si le type était un clochard, un ermite, un pauvre type, un fou, on le laisserait tranquille, pas une personne ne l’entourerait quand il prendrai la parole.., ou si quelques enfants, attention à leurs pierres à eux…
est-ce qu’on a fait toujours avec les prophètes judaïques précédents ce qu’on a fait avec jésus ? : on dit : « il est venu », « il était un prophète » : oui bien sûr, à part qu’avec jésus cela s’est fait beaucoup + vite ?
+ facile, moins dangereux est d’annoncer : la venue d’un prophète, « il est venu » : on a affiné la bio de ce personnage, on a fait coller son enseignement à l’air du Temps, aux nouvelles demandes des foules, et de ce qu’elles deviennent
Il y a le sketches avec francis blanche et pierre dac
Le mage réponds à toutes les questions : « je peux répondre », et son acolyte de confirmer : « il peut répondre à cette question, bravo à notre grand mage », bien sûr le mage ne répond pas à la question
et c’est encore tellement + facile cette fois de dire : « notre prophète pouvait répondre aux grandes questions existentielles », « oui, il était à proximité de dieu, il pouvait répondre » dommage que vous n’étiez pas né ! quand il était parmi nous, et même ceux qui l’ont côtoyé ne sont plus là…, heureusement on a leur témoignage…
« dommage qu’il n’est plus là pour vous donner directement ces réponses… », « il les donnait les réponses ! »
un jour un certain jésus s’est présenté aux foules
il n’a pas dit : « je suis le nouveau prophète », il était un prêcheur qui demandait de croire au dernier prophète ou annonçait l’arrivée du prochain prophète, un prêcheur cela se résume à cela, cela dépend du besoin de nouveauté, si le dernier prophète  fonctionne encore, on ne cherche pas à en inventer un autre, c’est pas facile d’inventer un prophète, c’est risqué..,
dans ces Temps difficile de pré fin du monde : les prêcheurs juifs baptistes attendaient-ils un messie, carrément ?
très possible / et il fallait qu’ils restent à l’avant-garde du mouvement dissident baptistes que les chercheurs disent messianiste (mais c’est après que le messie a été inventé, que ce mouvement a été qualifié ainsi ?)
 le prêcheur jésus s’est conduit comme un prêcheur qui a sans doute annoncé, puisqu’il était un juif baptiste fou furieux : l’arrivée prochaine d’un messie
il ne se doutait pas qu’un jour prochain les prêcheurs juifs baptistes (puisqu’il fallait passer à la vitesse supérieure, des paroles aux actes, et qu’il fallait profiter ? de l’affaiblissement de jerusalem ?) le hausserait en ce messie après sa spectaculaire crucifixion qui en faisait déjà le Résistant numéro1 aux Romains, ainsi, cela le faisait : « le roi des juifs »
jésus, était-il un prêcheur baptiste  star ?
 très possible, c’est pourquoi il aurait été crucifié, les Romains auraient fait un exemple en immolant ce prêcheur baptiste qui avait eu le culot de venir enseigner à jerusalem !
 il a fait des annonces de changement radical etc.  et possiblement il avait des idées originales, bien à lui mais proposées dans le cadre baptiste, possiblement ces idées ont été transmises par ses proches
jésus était-il un dissident juif baptiste ?, qui aurait fédéré autour de lui un petit groupe de baptistes, faisant ainsi un sous-groupe baptiste ?, cela expliquerait que tout le baptisme n’ait pas été derrière lui, comme le voient les chercheurs, le baptisme a continué aussi en tant que mouvement de jean le baptiste et non comme mouvement de jésus, et on retrouve de tels baptistes peut-être même encore aujourd’hui  
le judéo baptisme devenait-il le mouvement dissident numéro1 ?, alors des prêcheurs juifs baptistes comme jésus  sillonnaient-ils la palestine, alors qu’auparavant : ils s’auto-exilaient consciencieusement loin de jerusalem, et jésus aurait-il été le premier prêcheur juif baptiste à se risquer à jerusalem après un parcours spectaculaire en Palestine : où les juifs baptistes devenaient donc les prêcheurs enthousiastes qui médusaient les foules ?
mais très possible : cela serait les romains qui ont décidé de sa mort rapide (car au contraire de ce qu’on rapporte : par ex. : il aurait dit : « ne payez pas l’impôt ! », qui peut savoir ?, tout ce qu’on sait de jésus, c’est d’après des bios faites + tard où on raconte aussi qu’il a fait des miracles !!!!, alors, on peut raisonnablement être non sûrs de ce qui a été rapporté d’un peu + « normal » ah ah ah)
 tout dépend quand le premier évangile a été écrit
qu’en était-il après la mort de jésus, de sa montée en puissance, en tant que le nouveau martyr juif baptiste, et en fait martyr juif tout court ?, jésus, le 1er religieux crucifié ?
 celui qui en une vingtaine d’années ? fut inventé comme « celui qui est venu et qui était notre nouveau prophète », comment présenter les choses, pour que les romains tolèrent cette nouvelle possibilité de continuation judaïque ? (+ ou - controversée déjà : + ou - refusée par les instances judaïques (puisque elle émane de la communauté juive baptiste dissidente honnie, et qui va vite devenir dangereuse, de par les nombreux adeptes qu’elle fait partout, et bientôt donc avec l’invention de jésus en : le meilleur d’entre nous, puis de fil en aiguille haussé en prophète puis en messie ?)
pour les romains : jésus, de son vivant, personnage anecdotique, mais quand même à occire : un prêcheur juif baptiste, donc d’une secte juive que les romains savaient dissidente et surveillaient de près même si on savait qu’il s’agissait de pacifistes, de fous de dieu, cependant, il s’agissait quand même d’une sorte de Résistance aussi aux Romains, il s’agissait de gens qui mettaient beaucoup de territoires entre eux et les romains, cela n’était pas très catholique
ce prêcheur charismatique qui faisait du scandale au Temple, donc possible dénoncé aux Romains par les grands prêtres, voilà qui apparait comme très possible, et cela n’aurait bien sûr pas fait l’objet d’un procès…, tout dépend de la starité de jésus alors, jésus est-il devenu une star avant la crucifixion ou après ?, mais possible : il aurait été auditionné par Pilate, alors que Pilate passait à jerusalem dans ces tournées de gouverneur, de procureur etc., très possible, Pilate aurait eu le plaisir de tuer un juif de + que, même, on lui livrait
jésus crucifié, à  peine arrivé à jerusalem, en tant qu’émissaire baptiste
puis durant une vingtaine d’années : ce jésus devient donc : le juif baptiste numéro1, il devient «le baptisme !, il est le grand Résistant aux Romains puisque ceux-ci l’ont crucifié, ils ont fait là aussi une terrible blasphème : on ne tue pas de cette manière réservée aux criminels, aux zélotes : un religieux, une prêcheur !, avant d’être un prêcheur juif baptiste, jésus est déjà un prêcheur juif, un religieux juif !,    et        c’est bien comme cela que petit à petit il va passer de martyr juif baptiste à : martyr juif, ainsi, passant de héros juif baptiste à héros juifs, de prophète juif baptiste à prophète juif,  de messie juif baptiste à messie de tous les juifs bien sûr (il n’y a de prophète : que pour tous les juifs, il n’y a de messie pour tous les juifs)
ensuite, cette légendalisation de jésus, elle ne concerne plus les romains, elle se fait en basse fréquence, les prêcheurs juifs baptistes repartent à leur clandestinité, et cette fois avec : quelque chose d’énorme : un héros, jésus, qui va, de prêche en prêches s’augmenter de légende, quand à l’enseignement de jésus, ce qu’il proposait et si fort, si vrai : que les grands prêtres et les Romains ont dû le stopper : c’est tout simplement l’enseignement baptiste, alors tout était près : on avait le personnage, on avait l’enseignement    (alors que c’était le contraire qui s’était passé dans la réalité : il y avait l’enseignement judéo-baptiste mais manquait encore, le personnage, le prophète, c’était avant jésus crucifié)
les événements deviennent de + en + terrible : mais les juifs baptistes ont : leur arme secrète : un héros, un prophète, un messie, à donner aux foules, partout où il y a des juifs, la formidable ascension du héros baptiste commencer et n’en finira plus
là on ne sait pas
de son vivant / si les romains ne s’étaient pas occupé de son cas : il aurait été lapidé vite fait, car surtout à l’époque : les Romains s’occupaient de beaucoup de choses, tuaient beaucoup de juifs résistants en armes en palestine, mais les instances religieuses se chargeaient, elles, de continuer à assassiner un imposteur religieux, les romains n’avaient pas à s’occuper de cela, autant se servir de cette petite liberté pour les instances juives (les instances avaient le droit de tuer avant les romains, elles garderont ce droit, à moins que les Romains aient fait de cela : une chasse gardée, question d’image de marque…)
(on sent bien : possible : après coup, alors que les instances juives continuaient à être des collabos (bien obligé… pour sauvegarder le Temple) :
Les juifs baptistes qui étaient en train d’inventer : (jésus prophète), ont pu avoir l’idée d’imaginer un procès de jésus où Pilate s’est occupé de son cas mais aurait été rajouté par les juifs baptistes : la responsabilité des instances juives : aussi montrait-on, je l’ai déjà écrit : les Romains n’étaient pas responsables de la mort de jésus, du prophète, ainsi on montrait aux Romains : « nous les jésusistes nous ne vous en voulons pas : au contraire : Pilate est montré comme disant : « mais… celui-là est votre roi !, moi je ne veux pas le tuer, mais si vous insistez… »
aussi : (c’est ma trouvaille… perso)
 toute cette histoire de (« oui, nous juifs, nous ne pouvons pas tuer jésus, alors chargez-vous en, vous Romains ») : tout cela pourrait juste s’expliquer dans le cadre du storytelling : il faut qu’il y ait un procès romain : et que pilate dise : « il est véritablement votre roi, il n’y a rien à lui reprocher »  / je l’ai déjà écrit : cela permettrait l’homologation de jésus en prophète (au moins, ça se ferait par Pilate, par césar..,  et c’est quand même pas rien) tandis que les instances juives (qu’on montre dans le procès : hyper collaboratrices et donc non légitimes) ne veulent pas l’homologuer 
 pour les scribes juifs baptistes ? : il s’agit de montrer ? : les instances juives n’ont plus lieu d’être, elles décident de la mise à mort d’un prophète mais en + aggravent leur cas : en le faisant lâchement tuer par les Romains = en + le prophète est abandonné aux envahisseurs.., on donne toute latitude à l’envahisseur pour tuer un juif = de la part des instances juives, c’est la collaboration à son état ultime ? (dans une situation historique comme cela, montrent les scribes juif baptistes, comment pourrait-on demander à ces juifs corrompus d’homologuer un prophète ????, alors : « voilà pourquoi les instances juives n’ont pas homologué jésus, car ils ne pouvaient plus le faire, donc jésus est bien notre roi, le messie, Pilate lui-même l’a dit »…)
cela servirait juste aux instances jésusistes (ou déjà aux dits juifs chrétiens) (qui n’ont plus le droit de se dire juifs !, interdiction) : de dire : « vous voyez bien, ceux qui ont demandé la mort de jésus n’ont plus à se considérer (eux !) comme continuant le judaïsme, c’est nous les juifs jésusistes qui continuons le judaïsme, ce sont eux, les juifs orthodoxes, qui doivent être chassés des synagogues et pas nous les juifs jésusistes »
le procès de jésus : procès mi juif mi romain, s’expliquerait comme cela, du pur storytelling
on ne se rend pas compte assez : du fait que les romains, les envahisseurs, ceux qui sont les nazis de l’époque : même eux (par l’expertise de Pilate) croient en quelque sorte en jésus ! (ce que les scribes juif jésusistes ont posé), alors….   : QUELLE évidence !!, forcément, jésus est donc bien le nouveau prophète…
il y a aussi cela : mais, mais…., mais pour qu’il soit prophète, il faut qu’il soit tué par les siens !!!!! c’est la règle (c’est aussi une autre forme d’homologation !), alors on réussit avec ce que nous raconte les Evangiles ? : à avoir à la fois    :
    jésus juif baptiste mis à mort par les siens (qui demandent à Pilate de le tuer)  
   et…. jésus juif (Pilate ne fait pas de détail, baptiste ou pas, jésus, il s’en fiche) homologué roi des juifs par l’envahisseur (donc : roi des juifs = messie… / le représentant de césar homologue, césar homologue jésus en messie… / les foules qu’on informe de cela : comprenne bien ce qui se passe : oui jésus est le messie, il y a un évidence après que l’on vous dit cela : « oui, il est bien votre roi », si Pilate le confirme…, en ces Temps où les Romains sont les divins puissants du long moment : cela vaut même mieux qu’une homologation en bonne et due forme par de petits grands prêtres, d’ailleurs eux aussi sous la botte romaine)
  on a  là : la totale / le prophète (et bientôt messie, tant qu’à faire) est tout trouvé   (bien sûr cela mis au point par le courant juif dissident baptiste qui a décidé : jésus serait son prophète, rien d’étonnant là : cela s’est toujours passé comme cela, je le répète : c’est comme quand on doit élire un président de la république : c’est déjà une personne seule, puis il crée un parti ou il « nait », devient de + en + effectif dans un parti et un jour il est président de tous les français…., cela n’est pas + compliqué que cela, la différence juste : là c’est : le prophète devient effectif une fois mort)
 si l’on simplifie : si jésus a été crucifié, on a là une affaire complétement romaine, pour à la fois homologuer jésus messie, et en + : divin : on se met bien avec les Romains : comment les Romains pourraient-ils vouloir éradiquer la religion juive jésusiste alors qu’on a montré que : Pilate avait homologué jésus en roi spirituel juif /  
sinon, cela aurait été tout simplement : lapidation / cela m’apparait très clair / le fait que le procès soit à la fois juif et romain apparait comme très suspect : il y a du storytelling dans l’air
tu te dis « chrétien » ???
c’est + compliqué…, je crois : tu ne sais pas trop où cela t’emmène de te dire ainsi... « chrétien », il faudrait que tu te renseignes, sur ce que cela fait de toi : une telle appellation : tu acceptes par là à de présenter comme : juif chrétien (puisque on te fait adepte de jésus et continuant la tradition judaïque), or les juifs authentiques, de cette continuation judaïque : n’ont pas reconnu l’invention jésus messie par les juifs baptistes, puisque les juifs baptistes étaient pour eux : des hérétiques juifs
au moins : fort de cette information, tu peux persister et signer, mais tu dois quand même te savoir comme ayant confié ta spiritualité à des guides très controversés ah ah ah 
(mais c’est encore + compliqué : tu es là dans le cadre de continuations judaïque, or cette continuation judaïque légitime, certes légitime, mais qui peut l’être à ses seuls yeux, car il s’agissait déjà d’une imposture / mais par contre : si : tu te mets dans cette première imposture : la continuation judaïque : alors, au moins choisis plutôt les authentiques et non les copieurs, d’autant qu’ils ont voulu tuer tous les légitimes.., et on presque réussi, en la religion totalitariste juive chrétienne qu’ils ont réussi à élever)
je crois
 il est Temps pour toi de faire amende honorable !!!!, il est le Temps pour toi, de comprendre : les instances juives légitimes t’ont interdit de te considérer comme émanant de la tradition juive
depuis 2000 ans elles te l’interdisent : elles ne considèrent depuis en aucun cas qu’elles se sont trompées : pour elles : un messie n’est pas venu, jésus n’est pas venu, jésus n’avait pas à être dit : « messie », jésus n’avait pas  à être dit théologiquement : « messie », la proposition (bien sûr : imposition) de « dernier prophète » afin la fin du monde n’avait pas à être faite, ni avec jésus (ni avec un autre puisque ce concept théologique de « messie » ne doit jamais être activé mais doit rester toujours : le derniers espoir possible)
ton prophète, jésus n’est pas un prophète juif, il n’a pas été homologué, au contraire : ceux qui se disent les juifs avec le christ, les chrétiens, sont considérés depuis le départ comme : non juifs
il est Temps pour toi de demander aux juifs qu’ils te pardonnent, mais pour cela, il va te falloir vraiment te délier de tout ce qui a été le dit judéo-christianisme,    tu vas oublier un peu les juifs…, tu vas les lâcher !
tu n’as pas à te prétendre dans la continuité judaïque.., tu ne peux continuer à vivre dans le mensonge, dans le VOL
alors ?
tu es d’accord ?, alors que faire ?, tu veux quand même garder jésus ?
tu peux imaginer un nouveau jésus
la théologie c’est ça : c’est la fabrication de prêt-à-adorer
alors il faut trouver un scribe, les scribes qui vont écrire enfin : la vie de jésus et son enseignement, en tant que prophète, certes né juif, mais qui sert de figure à une nouvelle religion, & d’ailleurs pourquoi pas, en largement contestant les préceptes de sa religion de naissance, en se montrant un rebelle complet
ce scribe va devoir reprendre les choses depuis le début / jésus est arrivé : il s’est opposé à la religion juive, a éventuellement été tué par des religieux juifs (s’il était considéré à raison, donc, comme un ennemi du judaïsme, soit en voulant le détruire, soit en se considérant comme celui qui allait le continuer trop différemment pour qu’il s’agisse encore de judaïsme)
 ce jésus a voulu une nouvelle façon de concevoir dieu, commencée par les juifs baptistes /
dans cette foulée les scribes baptistes, une fois l’interdiction faite au baptisme jésusisme de se considérer encore comme juifs et dans la continuation judaïque : auraient dû inventer cette nouvelle religion, cela n’a pas été fait (ils l’ont voulu : arme de continuation novatrice du judaïsme), alors il faut écrire ainsi jésus maintenant ! : faire la religion jésusiste !, imaginer un prophète né juif mais qui commençait une nouvelle religion
de même que les scribes ont voulu écrire jésus en tant que continuateur rebelle du judaïsme : il s’agit d’imaginer jésus comme ayant proposé un enseignement nouveau : on pourrait faire de jésus par exemple : un adepte de la réincarnation puisqu’il a été vu avec une autre apparence par la toute première témoin de sa revie (marie madeleine)
jésus a été déclaré : hérétique juif par les juifs (= sa fabrication par les juifs baptistes dissidentes :  en prophète, en messie : cela a été considéré comme une hérésie juive), alors il faut le sortir de cette hérésie : jésus n’aura plus de judaïque que : sa naissance
un prophète : cela se fabrique / alors même toi, si tu t’en sens capable : tu peux écrire ce jésus nouveau-là : les scribes juifs baptistes voilà 2000 ans n’ont pas fait autre chose !, tu vas imaginer un jésus ad hoc avec notre air du Temps, je te conseille vivement de le montrant : ayant passé par l’inde, ayant été initié là-bas, et amenant en palestine la notion de réincarnation (cela a déjà été esquissé ici et là ) : là tu vas pouvoir avoir un bon matériel de base : car quand tu commences à documenter cette notion de réincarnation : tu entres dans un nouveau monde (cf. leREincarnomicon sur ce même Tumblr, écrit par moi)
prenons le cas du personnage charismatique et scribe Marcion : il veut un jésus créateur d’une nouvelle religion, il est mis en minorité, alors il fonde un nouveau courant, il est bien obligé  
AINSI IL FAUT ECRIRE LA VIE DE JESUS ET SON ENSEIGNEMENT QUI COMMENCENT UNE NOUVELLE RELIGION PUISQUE LES CONTINUATEURS DE LA RELIGION JUIVE NE VEULENT PAS DE LUI et ont toute légitimité pour décider de cela, et cette décision n’a jamais varié en 2000 ans
si tu veux continuer à prendre en compte jésus comme un prophète, un messie, le fils de dieu, ou bien tout ce que tu veux : il te faut te baser sur un nouveau livre, il faut le sortir du VOL de la Bible hébraïque, un vol qui a eu pour conséquences : de faire des dits juifs chrétiens : des criminels (puisqu’il s’agissait pour eux, les dits juifs chrétiens de tuer jusqu’au dernier ceux qui les accusait d’avoir volé la Bible hébraïque)
IL FAUT CONSIDERER QUE TOUT CE QUI EXISTE DANS LE NOUVEAU TESTAMENT EN TANT QUE MONTRANT JESUS né et PORTé PAR LA RELIGION JUIVE : EST : MENSONGE
PUISQUE cela NON homologué par les instances religieuses juives, habilitées à donner ou non cette homologation (et même si l’on considère au temps de jésus que les instances juives étaient corrompues, n’étaient plus légitimes : dieu, ah ah ah, aurait fini par bonifier ces instances juives : qui une fois, la mauvaise période passée, auraient pu donc : homologuer jésus, mais : on a vu : cela n’est pas le cas depuis 2000 ans, en toute connaissance de causes : les instances juives ont continué à refuser la proposition : (jésus messie), alors que pourtant elle triomphait partout (en fin, heureusement, ce triomphe décroit, et n’a pas réussi à toucher toute la Terre) /
tout cela, le Nouveau testament,  a été écrit, le jésusisme, le dit christianisme dans le cadre d’un vol d’une religion (les dits juifs chrétiens ont charcuté la Bible hébraïque pour y trouver… jésus.., ce jésus qu’ils inventaient quasiment de toute pièce)
assez vite, DES suiveurs de jésus prophète (ou déjà dit directement messie, on ne sait pas) (= des suiveurs de la création judéo baptistes de jésus crucifié), on ne sait pas combien d’années après sa mort, ont vu jésus comme ne continuant pas la continuation judaïque : ce sont ceux que les historiens des religions rassembleront un jour sous le nom de : gnostiques
ce sont eux qui avaient raison : il va falloir repartir d’eux pour créer le jésus initié non continuateur du judaïsme
il faudrait montrer : la Passion de jésus (et pas du christ  car christ, tu commences à comprendre, c’est : messie, c’est un concept juif) comme l’acte montrant : jésus jeté du judaïsme, montré comme celui qui est livré aux romains pour : création d’une nouvelle religion (celui qui a le culot de proposer une nouvelle religion en territoire juif !)
il va falloir : imaginer le parcours de jésus, de son vivant, en palestine : dispensant les fondements d’une nouvelle religion : le scribe de ce jésus : pourra se servir de tous les épisodes des Evangiles, et il les écrira, les interprétera dans un nouveau sens : on peut d’ailleurs imaginer : 4 évangiles newlook, bien sûr il sera possible d’imaginer d’autres épisodes
cependant : il faudra rester dans une simplicité, il ne faudra pas partir dans les délires gnostiques
on pourra donc constituer un new Nouveau Testament, avec le même nombre de textes ! 27 !
ce que les Evangiles montrent bien sûr : c’est un jésus officiellement continuateur du judaïsme, mais qui donc le modifie,
car les juifs baptistes croyaient que leur enseignement judéo-baptiste et leur création de prophète messie : serait homologué par les instances judaïques, il s’agissait pour les juifs baptistes de continuer le prêt à adorer déjà existant : mais en l’améliorant / c’est du volontarisme : c’est : il faut continuer l’illusion collective, il faut continuer à socialiser les foules, à leur donner l’espoir, à les rapprocher avec dieu /   or cela, cette pourtant positive évolution d’une religion judaïque qui devenait problématique :  leur a été refusé
alors ce volontarisme (cette envie d’aider les foules : une religion c’est cela : des (en l’espérant positifs, utiles) arrivistes qui veulent driver les foules) : aurait dû se transformer : en : « ok, d’accord : nous : les juifs baptistes nous ne sommes plus juifs, et notre prophète jésus que l’on propose n’est plus juif :   et bien on continue mais différemment
d’un certain sens c’est ce qui s’est passé, mais pas complétement : ils ont décidé de faire du : un peu nouveau, et de se voir en continuateurs de l’illusion collective judaïque
ils ont continué à se dire chrétiens = se dire suiveurs d’un messie (juif !), car « messie » est un concept juif, d’un messie juif qui se réfère, je suppose, continuellement, à l’enseignement juif
 car finalement n’aurait pas été vue comme possible, ou adéquate à jésus : une nouvelle religion / là est le mystère (en tout cas pour moi, je n’arrive pas encore à bien comprendre) / d’un autre côté : faire une nouvelle religion, complétement cela n’est pas facile !!!
mais bon, de toutes façons : ceux qui ont créé jésus : étaient des juifs baptistes et ils ont créé un « messie » complétement juifs, ils étaient des dissidents juifs, mais ils se considéraient comme avant tout des juifs, et les meilleurs juifs (cela s’est complique avec la création du « messie », car là : ils sont devenus des juifs voleurs : des mauvais juifs : des juifs qui trafiquaient la Bible hébraïque pour y montrer que jésus était annoncé, là partout / mais les créateurs de prophète précédents : n’ont-ils pas fait toujours comme cela, pour justifier l’élévation de leur prophète ?, certes, mais cette fois le prophète était fait par des dissidents juifs)
tu comprends ce que je te dis là ::   je pars du principe  que : après (le refus de « jésus », du judéo-baptisme) par les instances juives : il fallait donc accepter ce refus et faire un jésus autre : mais il était trop tard ????, le jésus judaïque était lancé ?
en tout cas : cela n’a pas empêché les gnostiques, vite, de proposer un jésus non judaïque : et en 2000 ans il y en a eu des propositions d’un nouveau jésus : alors 2000 après ce jésus inventé juif controversé : on peut faire une synthèse : et faire un jésus gnostique ad hoc au nouveau millénaire : n’oublie pas : la théologie c’est cela : c’est colorer dieu, par un enseignement, par un prophète, c’est du volontarisme ! alors ce volontarisme peut très bien consister à présent à ma proposition  (qui ne seras pas mise en œuvre par moi)
en tout cas
 les décideurs religieux juifs n’ont pas voulu du personnage de jésus (dans la bouche duquel était mis l’enseignement juif baptiste) en continuateur rebelle de la religion juive  /
et pourtant les juifs baptistes qui ont voulu jésus en prophète de tous les juifs (puis en dernier prophète !, en messie, ou bien qui ont peint jésus directement en messie !!!!!, qui sait ? après un terrible événement, qui pourrait être la destruction du Temple) ont persisté et signé et se sont donc mis en claire position de vol de la tradition juive
à l’évidence : car : les instances juives officielles n’étaient affaiblies terriblement : en quelque sorte, du fait de cet affaiblissement tout devenait possible : une dissidence pouvait prendre le pouvoir et cela sera bien le cas
 et se faisant, les juifs baptistes : qui ont eu en fait la chance de ne pas être affectés par la fin du monde juif en cours  (Temple détruit, exil forcé) ont pu apparaitre comme : ceux qui pouvaient continuer à proposer : la vérité, donc l’espoir : ils s’étaient sortis eux même et ils avaient été sortis aussi : du judaïsme qui était en train de mourir
 ils sont devenus + puissants, tellement + puissants !, que ceux qu’ils volaient déjà pourtant de façon risquée, et cela est devenu de moins en moins risqué de désobéir à ce qui restait des instances juives officielles
juifs baptistes jésusistes puissants !  mais ils n’ont fait qu’apporter de la confusion, 2OOO ans de confusion et même ils ont à la fois, discrédité la religion judaïque en montrant sa faiblesse insigne, et ils se montrés eux, en les plus grands voleurs de l’histoire du monde, alors qui impossiblement pourrait faire croire qu’ils sont avec dieu ?
alors il faut repartir sur l’option :
jésus, nouvelle religion / on peut possiblement écrire : la venue d’un jésus non voleur
il faut se baser sur le passage de la femme adultérée : « moi jésus, non je ne veux pas ta lapidation, je n’ai rien à voir avec la loi juive »…
cela va être une nouvelle invention de jésus, mais correcte celle-là, sans vol de la religion juive, cette fois, cette écriture pourra se faire sans truquer les passages soi-disant annonciatifs de jésus (dans la Bible hébraïque) etc.
bien sûr, je ne parle pas pour moi
je ne suis plus un dit juif chrétien, je l’ai été seulement un temps par imposition /   moi je crois en la réincarnation / mais pour toi dit juif chrétien : tu continueras à vivre dans l’erreur (quoique le jésus nouveau sera peut-être épatant), mais au moins cela ne sera pas une erreur criminelle comme celle que tu embrasses toi aussi après tant d’autres
en + : cet évangile attendu, on dira : « selon… », mais avec le vrai nom du mec qui l’a écrit, on recommencera Tout dans une belle transparence
et puis, et puis…, enfin le scribe va pouvoir dire : ce sont les romains qui l’ont tué (dommage car en fait ce jésus aimait tout le monde), les juifs, eux le prenaient pour quelqu’un qui différait trop du judaïsme pour qu’ils se sentent concernés par cet électron libre
bien sûr
cela ne va pas être (aussi) possible de garder le mot « chrétien » : eh oui, car cela signifie : (celui qui est oint), « le pommadé », (celui qui a été homologué dans le cadre de la continuation juive), eh oui : il n’y a plus de christ possible si l’on revient au début, si l’on accepte de prendre en compte la non homologation par les juifs
ce jésus à réinventer théologiquement (tout comme il a été inventé théologiquement voilà 2000 ans) encore il va falloir le désigner, en sa tout puissance, autrement, il faudra trouver un autre concept que « messie », « christ », car ces mots son copyrightés, protégés, ce sont des concepts judaïques
(ex : si les instances juives représentatives demain disent : « ok, cette fois, le messie est venu, c’était un tel », là cela colle)
alors, oui, ceux qui continuent à suivre jésus (ou du moins ceux qui vont suivre : ce que les nouveaux scribes vont faire de jésus, en se servant bien sûr de quelques éléments supposés être authentiques de sa vie et de son enseignement, il faut faire une histoires qui puisse tenir un peu debout) pourraient s’appeler
les compagnons de jésus, les jésusistes
de toutes façons on les appellera : les compagnons de jésus, les jésuséens ?, les jésusiens ?, cela fait bien comprendre : on part de jésus, juste de jésus, le créateur (né juif, comme il aurait pu naître romain) d’une nouvelle religion mondialiste qui n’a pas + à voir avec la tradition juive qu’avec toute autre tradition religieuse
oui
par exemple le nouveau scribe ou le groupe de scribes qui vont se coller à cela : je pense, il vont prendre l’option : jésus tué par les romains, alors que les instances juives demandaient que l’on tue Barrabas à sa place…(car même si les juifs ne reconnaissent pas jésus, ils ne lui veulent pas de mal à ce prêcheur novateur, et le tuer, ou demander qu’on le tue serait lui donner trop d’importance, pour les juifs d’alors : il vaut mieux laisser tranquille jésus en lui collant juste dessus : imposteur), etc., souvent il y aura le contraire  de ce que les premiers scribes (qui se disaient « judéo baptistes » puis « judéo chrétiens ») ont décidé, on sera sans doute comme cela : + proche de la réalité de ce jésus, et puisque tant de gens veulent continuer à le suivre…, ils pourront donc suivre un jésus clean, méritant enfin leur adoration 
tu comprends enfin ?
les baptistes ont proposé une nouvelle interprétation des textes juifs : mais ils n’ont pas été autorisés à rester sous la bannière juive : alors il aurait fallu : obéir et faire une complète nouvelle religion, qui aurait puisé dans le judaïsme comme dans toutes autres traditions : puisque de toutes façons tout cela est du théologique : de l’inventé, une coloration de (l’hypothèse dieu)
en partie cela a été fait : de nombreux convertis au jésusisme (le baptisme devenant jésusisme à partir de la fabrication du super prophète jésus) : ne voulait pas trop entendre parler de judaïsme, disent les chercheurs ici et là
mais : les juifs baptistes, jésusistes n’ont pas eu assez d’ambitions : ils ont préféré rester des juifs, et donc des hérétiques juifs : cela leur permettait (certes problématiquement) de n’avoir pas à tout réinventer : s’agissant de dieu, la présence humaine, le mal etc.
en gardant le socle judaïque : ils pouvaient se concentrer sur leur avancée : il n’y avait pas de nouveau socle spirituel à inventer
mais se faisant : comme écrit souvent ici : ils auront fait un terrible boulot : ils ont proposé un judaïsme frelaté (controversé, taxé d’inauthentique par les juifs légitimes) et ils aussi : abimé définitivement le judaïsme authentique : qui, en étant doublé par ses hérétiques, montrait sa faiblesse, sa non évidence, il montrait clairement que dieu n’était pas avec lui, pour avoir laissé faire cela)
cette fois : les jésusiens devront repartir de zéro, et on les attend au tournant : trouvez messieurs dames les théologiens et les scribes : une nouvelle explication de dieu et du monde…, sans passer par adam et Eve et tutti quanti !, on attend ! on vous écoute !
 pour ne pas à avoir à partir de zéro (car alors : risques de ne pas dépasser le zéro !) le baptisme jésusisme s’est servi de la puissance d’une autre religion, laquelle (la religion volée) bien sûr a refusé de lui céder cette puissance
ce mouvement autour de jésus, et d’un certain nombre de + ou - nouvelles croyances, s’est nommé frauduleusement : « christianisme », alors qu’un christ juif est un christ si seulement homologué, accrédité par les leaders religieux officiels juifs, représentatifs
la religion juive (tout ce qui avait été longuement élaboré par ses théologiens et ses scribes) s’est retrouvée… en train de nourrir ses voleurs !!!, et depuis 2000 ans cela durait, depuis 2000 ans une religion qui avait à être complétement nouvelle s’est assisse sur la religion judaïque pour être puissante
et… cette puissance acquise frauduleusement : cette nouvelle religion (car décrétée : non judaïque) s’en servait (en guise de remerciements !) contre les juifs !!!!!! genre : « juif non suiveur de jésus tu dois disparaitre de la planète »
(mais tu as compris aussi : la religion volée ne pouvait pas vraiment se défendre : car il aurait fallu tout dire…. :
je l’ai expliqué dans les chapitres précédents
tout dire = [« nous juifs avons inventé une religion, nous avons créé une illusion collective, et vous aussi vous qui vous dites judéo chrétiens inventez un prophète, jésus, vous créez une suite de notre illusions collective
 vous, dits judéo chrétiens faites comme si notre dieu était vrai, à partir de cette soi-disant vérité vous prétendez que votre dieu inventé est vrai
 votre religion dite judéo chrétienne ne repose sur rien, elle est d’autant + : rien que la nôtre était déjà : rien 
votre religion dite chrétienne est rien + rien = rien rien »]
oui, cela les juifs ne pouvaient pas le dire !, ne peuvent toujours pas le dire, or… c’est pourtant cela qui aurait pu écraser la religion dite judéo chrétienne, et aurait sauvé la vie à tant de juifs 
je ne me lasse pas
 de regarder tel doc tv (rien à voir avec la hauteur des docs de prieur et mordillat) racontant la découverte d’un fragment qui pourrait établir que : marie madeleine était la compagne de jésus
le vatican a été prié officiellement de réagir, et le doc dit : « inhabituel, ils ont répondu en 15 jours !!!!, du jamais vu », il faut dire que depuis « da vinci code », les pauvres gardiens de l’illusion collective dite judéo-chrétienne sont au + près des explications à peu près possibles à donner
et la réponse du vatican, fulgurante, quelle surprise !!!!, quelle est-elle ? : « c’est un faux » (il n’y avait pas besoin de les déranger.., on s’en doutait ah ah ah !)
et en effet ils peuvent répondre cela et vite !!!! : « c’est un faux », car au départ tout est faux, ils le savent bien eux, eux les suiveurs directs des inventeurs de tout cela ! (ou bien par volontarisme, par dévotion : ils font semblant de l’oublier), il n’y a pas à faire de grandes recherches de leur coté
tout au long de ce petit doc, pas une seconde on ne pose cette hypothèse : « est-ce que l’on ne serait pas là en train d’argumenter ! à partir de ce qui est au départ une fiction ? »
toujours il est dit : « pourquoi pas une compagne à jésus ?», pas une seconde on prévient : « il y a aussi l’hypothèse que l’on est là sur…. un matériel de départ fictionné de b à z, alors : que le héros de roman jésus ait ou pas une femme, cela affecte juste un personnage de roman ! »
pauvres théologiens du vatican !
voici qu’on se retrouve dans une période néo-gnostique (cf. mes écrits là-dessus dans les chapitres précédents) : les croyants ne se demandent pas : « jésus a-t-il existé ? » (du moins tel qu’on le raconte), mais ils se demandent : « jésus faisait-il l’amour à marie madeleine ? »
mais bien sûr derrière cette question « jésus avait-il une compagne ? », il faut quand même voir la question « jésus a-t-il existé ? », c’est : les doutes généraux des foules (trop longtemps qui ne se permirent de ne pas douter, de ne pas se poser de questions) qui parlent là, mais qui ne peuvent s’exprimer complétement tant elles sont encore aux prises avec le logiciel chrétien
en tout cas, une fois que tu as lu mon blog : tu commences à décrypter mieux un tel doc, qui à sa façon, même ironique, contribue à montrer la puissance de l’illusion judéo chrétienne, en fait non remise en question : les commentaires fondamentaux ici ne sont pas entendus
je le répète
enfants, ados : le personnage de paul ne nous parlait pas, on n’arrivait pas à bien situer ce personnage (ne pas oublier : on nous imposait tout cela et nous ne nous intéressions à cela que « d’une oreille »)
alors, paradoxe : c’était pourtant lui le personnage central, puisqu’il aurait été l’inventeur de tout cela !!!!!!
résumé
un prêcheur juif baptiste arrive à jerusalem après un parcours de prêcheur de + en + starisé ?, jésus, (ou appelé jésus ensuite),  arrive à jerusalem, est-il le premier prêcheur juif baptiste à revenir à jerusalem, à croire que les prêcheurs baptistes pouvaient maintenant enseigner là où ils sont encore considéré comme hérétiques juifs, mais alors que les événements font que les instances officielles sont de + en + faibles ? / aussi : après sa spectaculaire, inattendue crucifixion : les siens, les juifs baptistes, en font leur héros puis leur prophète, puis leur messie (ou en font directement leur messie : car quand ce haussement de jésus se fait : les événement sont devenus dramatiques, tout semble dire : la fin du monde est effectivement en train de se faire, et comme les baptistes et autres dissidents juifs l’annonçaient depuis un certain temps)
ou possiblement encore : un prêcheur indépendant mais dans la mouvance juive baptiste ?, & qui aurait ensuite été complétement récupéré par les juifs baptistes, une fois après sa crucifixion, et les baptistes auraient trouvé en lui leur nouvel héros
les Temps sont devenus dramatiques : or jésus, est le personnage religieux le + édifiant donné en exemple aux « foules » par les prêcheurs baptistes qui continuent (mais pas à jerusalem !) à essayer de convertir à leur enseignement, et petit à petit jésus devient le prophète des baptistes, or, l’important c’était d’être haussé à : prophète / et à partir de prophète baptiste pouvait alors se faire un autre haussement de stature : jésus était proposé partout bientôt comme le prophète (baptiste) de tous les juifs…, et comme on le sait cela sera à la fois le cas et… pas le cas
une fois jésus mort crucifié, et dans des circonstances qui peuvent ou non être celles qui sont arrivées à nous : est devenu un martyr baptiste, à partir de là peut-on dire : il était lancé
un martyr aussi : de tous les juifs / car c’est un religieux juif qui a été crucifié : tous les juifs se seraient sentis concerné par ce terrible événement, ce sacrilège !, jésus, un juste !, un prêcheur, certes un prêcheur baptiste, un prêcheur juif dissident : mais : avant tout : un juste !, d’ailleurs un bon guérisseur aussi.., un bon exorciste…
il y avait l’enseignement judéo-baptiste : il fallait trouver un prophète : il fallait que le foules puissent suivre un personnage divin, et on avait jésus mort : on fit de jésus mort ce personnage divin / comment en serait-il autrement : on ne pouvait pas attendre dans le mouvement baptiste : un personnage directement divin qui ferait des miracles et se ferait ainsi voir comme le prophète baptiste : ça c’est pas possible / faire de jésus mort ce personnage : par contre, là c’était possible
à partir du moment qu’on avait « le prophète », qu’on avait le bon personnage : le martyr jésus : on pouvait mettre dans la bouche d’un prophète cette fois : tout l’enseignement baptiste et c’est ce qui se fit : le baptisme devint le jésusisme : et en + comme je l’ai déjà écrit, c’est une de mes trouvailles : cela permettait de passer du (judéo baptisme = dissidence, problème) à (judéo jésusisme pour tous, jésus étant déjà, comme on l’a vu + haut : par sa martyrisation, d’emblée : un jésus pour tous), mais là cela ne va pas complétement marcher…, le concept jésus ne réussira pas à transformer le baptisme dissident en (baptisme devenant un des courants religieux judaïques officiel)    
jésus s’est-il montré en tant que prêcheur théologien avec quelques idées forces qui ont fait de lui un leader juif baptiste ?   possible / dans un tel mouvement : tous les prêcheurs sont des théologiens car un tel nouveau enseignement (nouvelle interprétation des textes existant) se fait collectivement, tel prêcheur trouve un slogan lors d’un de ses prêches, qui fonctionne, et lequel slogan est ensuite repris par d’autres prêcheurs etc.
ces concepts de jésus, ces concepts baptistes perso se sont-ils retrouvés ensuite dans les prêches des prêcheurs baptistes qui lui ont survécu, et cités comme étant de jésus, et ensuite pris en compte par les scribes des évangiles, pourquoi pas…, mais surtout : jésus c’était un prêcheur baptiste, et ce qu’on retrouvera dans les Evangiles et autre : je parie : c’est tout le judéo-baptisme et c’est tout 
jésus héros juif baptiste, jésus prophète baptiste, jésus prophète juif !!!!, ou bien si l’on considère que les Temps devenaient soudain de type : « fin du monde », et jésus, qui dans un autre Temps aurait été fabriqué en prophète, là : il devenait : « le messie », car soudain on se mettait à attendre un messie, à vouloir un messie : alors jésus a été donc proposé comme « le messie », un jour, les foules ont eu comme prêche : « le messie est venu, c’était jésus, et on va vous dire comment cela s’est passé », c’est comme cela que cela s’est toujours passé avec un nouveau prophète, cette fois cela allait se passer avec un… messie / les théologiens savaient faire : régulièrement un nouveau personnage, un leader religieux divin (donc mort) doit être proposé : c’est une fabrication, mais vite, la fabrication est effacée, ne reste que : le personnage : que bientôt on n’imagine plus que comme ayant vraiment existé dans la réalité / eh oui, et cette fabrication c’est tabou !, personne ne l’évoque, jamais.., elle n’est pas dans les livres, les théologiens se la transmettent …, c’est ultra secret : ce qui fait : que nous encore on croit encore un peu à cette venue régulière de divins prophètes juifs.. ah ah ah…, dans toutes les séries de type « corpus christi » : je crois bien : pas une seule fois un chercheur te met sur cette piste-là !, tabou !
la célébration de jésus crucifié, le martyr juif baptiste et aussi le martyr tout simplement juif  a conduit progressivement viré en : « on a besoin d’un prophète, ah mais, on a jésus ! », et cela est devenu effectif dans le mouvement juif baptiste déjà bien sûr, et cela est devenu une évidence, une telle évidence, que bientôt cela pouvait être une évidence pour tous les juifs, jésus martyr et en fait qui était le prophète, et on le savait pas, mais on va se rattraper, eh oui, jésus, le Résistant romain numéro1, « oui !, son procès par Pilate lui-même ! », « jésus qui avait aussi une sacrée réputation de  guérisseur aussi ! » etc.
c’est comme ça, tout à coup tout le monde se focalise sur un personnage, car bien sûr, ce personnage a réussi à faire un début conséquent déjà (= la crucifixion), et comme personne d’autre ne peut s’aligner sur un tel exploit…, et en + ce jésus était un prêcheur juif baptiste, le baptisme cette avant-garde spirituelle, qui a une telle cote d’amour…, partout, tant de juifs aimeraient se convertir au baptisme, quel dommage que cela soit interdit par les instances juives
 les prêcheurs baptistes : par conviction bien sûr, par dévotion pour le meilleur d’entre eux, et ne l’oublions pas ce sont des fous de dieu : font de jésus : un personnage de + en  divin…, et se mettent à croire en ce qu’ils sont en train d’inventer : (jésus prophète)
possiblement : un des prêcheurs fous : dit dans l’enthousiasme d’un prêche :  « jésus, c’était même le messie ! », et cette folie se met à être contagieuse, virale, cela suscite l’enthousiasme « oui, oui, oui ! c’était le messie », il ne faut pas oublier l’état de désespérance générale d’un pays occupé par les nazis romains, qui détruisent le Temple, tuent un maximum de juifs, heureux ceux qui réussissent à partir en exil…
 illusion collective
les juifs baptistes sont des fous de dieu : ils se sont faits de fait créateurs d’une nouvelle illusion collective :  ils veulent un judaïsme nouveau, un judaïsme d’exode, de désert  : on revient aux fondamentaux, tout cela se fait dans un incroyable enthousiasme : ces prêcheurs juifs baptistes itinérants sont capables de remuer des montagnes
alors : à supers prêcheurs : super prophète = ainsi ce jésus devenant messie, tel est l’évidence qui serait né de leur enthousiasme
aussi : possiblement : les judéo baptistes sont apparus à partir de la même attente : celle d’un messie / leur hérétisme de départ cela serait cela ?  / ces sortes de secte de ce moment-là : se formaient dans l’attente cette fois d’un messie et non plus d’un prophète ?     possible : puisque à cette période : on le voit : le judaïsme faiblissait = les prophètes passés faiblissait = « alors maintenant, ne parlons plus  de prophètes, ils ne sont pas assez puissants, par contre… un messie… voilà ce qu’il nous faut »
« c’est la figure attendue ! »
Les juifs baptistes ont trouvé la figure attendue…, « c’était jésus, le messie »
de martyr : le prêcheur jésus est devenu « le messie », un messie né dans l’urgence / avait-il fait aussi, le prêcheur jésus, un petit acte surnaturel ??????, possible, c’est par là que serait née la légende : les miracles…
de tous Temps on aura des manifestations surnaturelles, pourquoi jésus n’aurait-il pas lui-même été impliqué dans une situation surnaturelle ?, un prêcheur fou de dieu est forcément confronté au surnaturel, il vit au plus profond d’une illusion collective qui se nourrit de spirituel, donc pouvant produire le surnaturel, l’appui des forces supérieures spirituelles
 ils prêchent sur jésus
chaque prêcheur peut-être, au stade de la création du mouvement baptistes, considéré comme un théologien, puis cela sera bientôt les scribes qui vont écrire la vie de jésus et comment il a divulgué l’enseignement baptiste
ont fait comme si jésus avait été le messie : alors comment il se serait comporté, là, et comment il aurait été reçu ici, et il faut tenir compte bien sûr du parcours réel du prêcheur jésus en palestine, il faut quand même que tout cela soit crédible, et pas trop inventer : car : cela se verrait : cela ne pourrait être prouvé par des témoignages
déjà jésus, promotionné, mais sans doute dans le cadre, comme d’habitude de la promotion de plusieurs personnages juifs baptistes, qu’on vient de connaitre et qui peuvent être édifiants pour les foules, or : la figure de jésus trouve son public, et bientôt c’est lui qui franchit la ligne d’arrivée, de ce personnage on décide : on fait de lui le prophète attendu, et bientôt, lorsque tout cela est confirmé dans la secte baptiste, les scribes baptistes s’y mettent, on sait faire…, et le résultat serait : des tous premiers écrits dont on n’a plus traces bien sûr, vite, remplacés et remplacés, et remplacés…
nouveau prophète potentiel d’Israël cependant
 car ceux qui le proposent sont des juifs baptistes dissidents 
(les esséniens avaient aussi leur prophète : « le maitre de justice », on ne sait pas quand ce situe cette élévation de prophète là, c’est dommage car cela nous en apprendrait beaucoup sur ces histoires)
 (cela veut dire : le judéo baptisme alors est l’avant-garde cependant, et en tout cas : dit dissident par les instances juives représentatives, mais elles ne sont pas TOUT en leur diversité, et elles sont corrompues + ou -, et n’oublions pas : tout cela se passe dans un Temps d’occupation : pour comprendre : imaginons qu’il y ait eu en pleine Occupation de la France par les nazis : tout à coup : une secte hérétique chrétienne qui fait des milliers d’adeptes et soudain : elle dit : « notre prêcheur machin, qui vient d’être tué par les nazis, c’était le messie revenu, jésus revenu, et oui, il a fait tel miracle !!!! »  
jean le juif baptiste
il était sans doute un personnage saint pour les siens, ceux qui l’avaient suivi aux frontières de la palestine mais aussi vu comme saint par de multiples juifs mais qui n’osaient pas ou ne voulaient pas prendre la carte du parti judéo-baptiste, et finalement cela n’est pas lui qui a été considéré comme étant « le messie »
c’est un grand mystère car : les chercheurs nous disent : c’est pas passé loin / ils voient même une sorte de (jésus-jean) en jésus   (on risquait pas de nous donner ces détails quand on était enfants et ados !)
eh, oui, il y a une fabrication de prophète, et cette fois de « messie »
 cela n’est pas la 1ère fois qu’un tel processus fait naitre un prophète depuis une dissidence ?, d’où déjà ? la mise à mort de certains personnages charismatiques qui ensuite vont pourtant avoir le rang de prophètes après leur mort,  et après : on dit : « les instances officielles avaient tué ce prophète » : non, elles avaient tué un personnage charismatique : différence / cela se passera en partie comme cela pour jésus, mais différemment, puisque lui n’a pas réussi à devenir le prophète de tous les juifs, du coup : les juifs officiels ont… un peu dénoncé cette fabrication, ont déclaré : jésus imposteur, alors qu’il était déjà… lancé, eux aussi, là ont cassé le métier (cassé le tabou), mais eux, ils étaient bien obligés, ils étaient mis dans un piège (je l’explique ailleurs), un terrible piège, ils étaient soudain (et le resteront), mis en dépendance par les juifs baptistes      (mis en dépendance : les textes juifs chrétiens allaient notamment les définitivement peindre en les + grands criminels de l’histoire du monde, ils avaient tué le… MESSIE !!!!!!!!, 27 écrits du Nouveau testament allaient les mettre en dépendance, les textes opératifs les + diffusés de l’histoire de l’humanité)
ce choix de jésus
jésus comme prophète potentiel
 (potentiel, car jésus doit être homologué par les juifs officiels, cela ne sera pas le cas, alors aujourd’hui, jésus cela rester une proposition de prophète)
après avoir été choisi durant sa vie et après sa mort comme personnage charismatique juif baptiste, mais donc dans le cadre d’une dissidence juive, d’une hérésie juive, mais, de son vivant, il ne devait pas être le seul prêcheur qui avait cette potentialité,
jésus le prêcheur baptistes a sans doute été vu comme insignifiant, ou bien à surveiller (tout comme le mouvement qui le publicisait, vu comme déjà dissident), on ne sait pas, mais sa mort ultra évènementielle   (on ne peut aujourd’hui, sans doute, se le figurer) aurait fait la différence, et puis ceux qui l’inventèrent étaient géniaux…, c’étaient des fous de dieu, des inspirés, et le Temps était, à l’évidence, à la création spirituelle (on le verra aussi : avec l’incroyable floraison qu’on nommera + tard : gnostique / après le mystère de « jésus messie » qui trouve des adeptes, irrésistiblement : ces anti juifs : les gnostiques qui proposent : une cette fois complétement nouvelle religion, avec jésus !!!! mais un jésus très différent / personne n’a réussi à comprendre depuis : ce qui se passa là / trop de traces ont été effacées par les dits judéo chrétiens)
ce choix (quand les instances officielles judaïques prennent le temps de s’occuper vraiment de cela et cette fois + officiellement) décrété  comme : NON conforme avec le judaïsme officiel
 trop tard, les prêcheurs, les scribes juifs jésuséens persistent
oui, car évidemment on est dans des Temps de fin du monde, il s’agit d’une nouvelle donne, comme prévu par les juifs baptistes : jerusalem c’est fini !, et qui avait raison, c’est le jean le juif baptiste, un vrai prophète celui-là !
 leur prophète jésus (à ces juifs baptiste qui ont vu juste !),  reste selon les juifs baptistes : le nouveau légitime prophète d’israël (et quel autre pourrait jouer ce rôle ?, voudrait-on d’un prophète né de l’impéritie pharisienne et autre), et en même Temps, il faut créer une… nouvelle religion puisque, du fait du non des instances juives, on s’est largement tourné vers la conversion de païens !, le judéo baptisme baptise les païens depuis le début, et bientôt avec le personnage de jésus : on convertit pas tant les païens à un judaïsme nouveau, mais à un jésusisme !!!!!, et le jésusisme c’est flou, c’est nouveau, c’est le judaïsme et cela ne l’est pas : c’est pas important : l’important c’est que ce qui est devenu la secte jésusiste christique (le baptisme est oublié, connotation trop judaïque) : devienne énorme !!!!!!
 tout cela va se passer maintenant aussi en dehors du judaïsme (en pleine dispersion de toute sorte) / commence là : une vraie fausse nouvelle religion, c’est… n’importe quoi et… le pire arrive (pour les juifs juifs, ceux qui se détachent en tout cas de ce courant jésuséen) : cette construction de jésus prophète va trouver de + en + un public, mais en trichant : en « bourrant les urnes », un jésus prophète de tous les hommes de la Terre ! (c’est donc le contraire qui se passe et c’est terrible : la décision des instances juives au contraire s’affaiblit en cette décision (vue à présent comme ridicule, et entrainant de fait à considérer le judaïsme comme perdu) et renforce les jésuséens, mais en même temps : ces jésuséens peuvent être vus comme des adeptes d’une religion frelatée, et c’est le cas depuis 2000 ans)
c’est invraisemblable, la Résurrection  par exemple ?
non…, c’est théologique…      (ainsi, là, : l’invraisemblable peut se transformer en vraisemblable !)
 on te dit : « cela existera pour les hommes dans le futur, à la fin du monde, et pour que tu le saches et entretienne cet espoir : jésus est venu te montrer comment il a ressuscité ! » ah ah ah
alors tu crois ou tu ne crois pas… à tout cela, mais tu ne peux pas dire : « c’est faux, c’est complétement faux »…, personne ne sait ce qui se passera vraiment à la fin du monde…, si même il y aura une fin du monde etc., ainsi tout peut être dit : on est dans le domaine théologique, de dieu, donc de l’invisible, invisible que tu peux tenter de colorer, les théologiens donc colorent
et un jour : enfants nés autour de 1960 on se retrouvait à être enseigné avec une telle coloration…, on avait rien demandé…, mais le prêt à adorer là était donc tout prêt pour nous…
certains illuminés, + ou – inspirés, bien ou mal inspirés :  interprètent l’invisible, décident de le  colorer
alors on se trompe un peu (ce qui n’arrange pas les choses) : on se dit : « c’était jésus qui a proposé cette résurrection pour tous (pour résumer) à la fin du monde »,
mais les pistes ont été brouillées (en principe : les inventeurs de religion brouillent un max) : dans le cas évoqué là : ce sont les juifs baptistes, les théologiens juifs baptistes qui, dans leur construction théologique ont trouvé intéressant de faire de leur prêcheur baptiste : le messie, après qu’il eut été crucifié, ce qui a fait de lui un martyr, une star théologique après son parcours qui avait celui d’un juste et sans doute d’un grand guérisseur
alors : on est tout à coup : snobé par un tel envoyé de dieu / cela permet d’oublier : l’invention : l’invention d’un nouvel enseignement fait par : les vrais grands personnages de l’affaire (et peut être un peu divins !) : les théologiens, ou le théologien qui a inventé cet enseignement : dans cette affaire : possiblement : on pourrait penser c’est jean le juif baptiste qui a décidé de quitter jerusalem pour aller créer une secte itinérante aux frontières de la palestine
une secte
la secte juive baptiste constituée de fous de dieu, se sent investie pour représenter le dieu judaïque, son leader : a décidé que les lois devraient être à présent celles-ci et celles-là
et donc un jour : cette théologie passera à l’étape : fabrication d’un personnage de type prophète / et à l’époque on peut penser : le courant juifs baptiste n’était plus dirigé par jean le juif baptiste
ensuite : arrive le textologique   :     quand il ne s’agissait que de prêches : cela dépendait donc : de la fougue des prêcheurs,
mais cela change de tournure : une fois que l’enseignement, et en l’occurrence : la vie et l’œuvre du prophète (qui a été inventé) est mise par écrit / c’est fois on passe par cette phase encore possible à l’époque (et cela durera longtemps) : (c’est écrit alors c’est vrai) !!!!!!!, et les foules bientôt, oui, se feront avoir comme cela !!!!!
alors, voilà, que cela a été écrit ! cela est écrit noir sur blanc !, alors on devrait le croire :
un prêtre dit juif chrétien dit dans un doc tv (à propos de marie madeleine, épouse) : « si cela n’est pas dans les évangiles, alors cela n’existe pas », c’est simple !
 = tout ce qui est  dans les évangiles est vrai
 on essaie déjà de te dire : « cela existe maintenant fortement comme cela !!!, ne nous demandez pas + d’explications, tout est dans les textes ! », tu n’as pas à aller en deçà des textes, voilà c’est devenu… textologique, cela est devenu vérité à partir de la vérité de l’existence des textes /  l’invention est oubliée, il n’est plus question d’elle, l’invention est remplacée par l’écriture de cette invention, qui comme par miracle  efface l’invention
l’évènement : Résurrection par exemple, a été complétement inventé, mais était déjà : théologique (ne demandant pas de preuves, et pour cause des preuves ne sont pas possible à obtenir, tout est invention), était logique, conceptualisable !, existant en tant que possiblement décrivant l’existence de dieu pour les hommes
l’enthousiasme des prêcheurs déjà : « je te le dis, et je te dis : cela est vrai », alors déjà on est dans une certaine réalité : un être humain réel, le dit, le certifie… (non pas parce qu’il a vu un homme ressuscité mais par ce qu’un homme le lui a dit, par ce que cet homme-là aussi avait été prévenu, et à un moment on ne sait plus comment tout cela a été inventé, mais on en profite pour inventer un peu sur cette invention, on compense : la pauvre invention du départ, on complète, et on croit à un moment : que tout ce que cet enseignement a été dès le départ aussi riche / or chacun y a été de se petite invention, si petite que tout cela ne s’est pas vu : qu’on a complétement tout inventé)
puis cela passe au stade de l’écriture, l’événement est de + en + conceptualisé, l’invention  cesse d’être affinée : on n’y touche plus / évidemment : il ne faut plus montrer que tout cela est fait « de main d’hommes », cela devient fait de main de dieu : alors surtout : ne plus changer un mot !
et tu te retrouves donc avec la puissance du textologique : ce prêtre vu + haut : qui peut dire : qui sait toute sa puissance à dire : « c’est pas dans les textes… »
puis toi : croyant, prêcheur ou prêché : tu dois t’en tenir à la version écrite scellée, il n’y a plus d’autre vérité que cette vérité-là, et en effet : les textes sont là, bel et bien là !, c’est incontestable si tu rentres dans la logique (fausse) = c’est écrit alors c’est incontestable, ça existe , dieu existe !, ce sont les textes !, eh oui, en effet : quelque chose existe, dieu, pas + qu’avant, mais : les textes, oui, en effet
c’est grave, diabolique : si tu crois aux textes, alors cela devient facile de croire, tu peux même aller jusqu’à tuer les autres sur le fait de cette vérité qui a été en fait : déjà juste flou théologique puis devenant juste de la réalité textologique… (de la pauvre réalité textologique, mais les hommes ont tellement besoin d’un socle spirituel)
c’est ce que raconte « corpus christi » (sans trop le dire.. directement, c’est très difficile à dire, à conceptualiser, moi pour le comprendre : il faut que je passe par l’écriture de ce blog) , et cela commence par la question : mais qui donc étaient ceux qui ont fait passer du théologique au stade : textologique
la vache !, ils se sont bien cachés !, là « corpus christi » le montre bien
au fait
la résurrection des corps, nous, enfants et ados, on se disait : c’est grand, c’est divin, c’est apporté par jésus, par le messie, par jésus-dieu, puisqu’on nous dit : « ils ne font qu’un »
à part que c’est un concept qu’on nous dit apporté par Zoroastre déjà…. (c’est à l’évidence un concept vieux comme le monde)
 rappel
jésus n’a pas été homologué par qui de droit alors qu’il a été inventé comme étant l’évolution du judaïsme, il n’aura finalement pas été homologué, les juifs baptistes qui ont créé cette chimère après la mort de celui qui a ainsi prêté son personnage, étaient trop considérés comme des dissidents pour avoir la moindre chance de voir cette chimère : homologuée   
(mais : cela n’est pas parce que jésus était : une imposture / toutes les créations de prophètes sont des impostures, cependant : une telle imposture, une telle invention, après sa mort, d’un personnage divin : doit être confirmée comme devenant : réalité spirituelle pour la religion en cours : et ce prophète quand il est homologué continue ainsi par un nouveau texte le grand écrit de la religion en question / cela devenait + difficile ce processus, puisque les juifs baptistes étaient des dissidents juifs, et bientôt priés de ne plus se dire juifs : ou de se contenter d’être des hérétiques juifs)
et pour faire croire quand même à une homologation… (c’était cela ou bien : la fin de cette secte, ou bien sa continuation de + en + en hérétisme : jusqu’à devenir une nouvelle religion :  et là cela va se compliquer : car ce judéo baptisme, va prendre la tournure que l’on connait)
  les dits juifs chrétiens ont tenté de museler ou tuer ceux qui sont dans le camps de ceux qui n’ont pas voulu homologuer, et qui ne veulent toujours pas homologuer
au détour de l’an 2000 : on a assisté à quelque chose enfin de nouveau : le dit judéo christianisme devenant moins virulent contre le judaïsme : puisque doucement : s’éteignait le judéo-christianisme, soudain les églises se vidaient, juste restaient les + atteints des fous juifs chrétiens, les + en désespérance  : et ce profil bas allait se paralléliser mieux avec le judaïsme éteint depuis si longtemps
(cette homologation de l’invention (jésus prophète de tous les juifs) aurait pu se faire bien après la mort du soi-disant prophète et messie)  mais cela n’a pas été le cas
alors il avait fallu tenter un tour de passe-passe /
cela sera une sorte de mix inattendu qui se fera mais qui était en fait évident car aussitôt proposé par les créateurs du mouvement juif baptiste : mouvement très ouvert aux autres (on ne sait pourquoi aujourd’hui)
à tel moment : alors que les juifs baptistes étaient dits hérétiques, confirmés hérétiques, et à présent ils étaient dits : non juifs
 il a fallu penser à aller beaucoup + loin    (de toutes façons il ne s’agissait plus de convaincre les juifs de venir en masse dans ce mouvement : cela leur était formellement interdit), aller + loin dans la révolution judéo baptiste (révolution = retour au point de départ, l’exode et tout cela) = et dans ce sens-là il se serait agi de créer une nouvelle religion qui aurait été fondée par un jésus cette fois qui n’avait de juif que la naissance, et pouvait faire une religion « non spécialement juive » ? (en tout cas : c’est ce qu’on verra autour de l’an 100 avec les différentes sectes gnostiques et leurs propositions spirituelles)
mais : NON / les juifs baptistes ne prirent pas du tout cette option : s’éloigner donc en effet du judaïsme, de tout ce qui avait été forgé =  ce n’est pas par ce que cela serait très dur !, de faire concurrence à une religion si construite comme le judaïsme : non : le judéo baptisme n’avait pas du tout envie de se séparer du judaïsme : puisque au contraire : les juifs baptistes se considéraient comme les juifs les + légitimes du moment, les seuls légitimes du moment
 le prophète jésus est resté dans le sein juif : là pour révolutionner le judaïsme
ainsi  le jésusisme est devenu : de + en + constitué par des païens = en cela : une nouvelle religion, de fait + se voulant : purement juif, en se voulant : la continuation du judaïsme, la seule continuation possible du judaïsme : pour les juifs baptistes : les hérétiques juifs c’étaient ceux qui ne suivaient pas le baptisme-jésusisme !
et comme : le monde entier pouvait se faire avec un baptême magique : judéo-jésusiste : le jésusisme est devenu énorme, irrésistible : et de fait est devenu aussi le courant judaïque ! le + important comme cela était prévu par eux !
cette espèce de tour de passepasse, qui a marché, donc avec l’aide du diable ! (si l’on se met dans le cadre d’une religion, il y a toujours la part du diable), les judéo-chrétiens ont essayé de le cacher, de le maquiller au moins, et cela aussi a marché !, les judéo-chrétiens ont réussi à masquer le fait qu’ils étaient dès le départ : une hérésie juive
par le baptême : on fait de toi (sur le papier) : un judéo-chrétien (un  juif avec jésus) / mais dans le faits : on fait de toi : un hérétique juif  /
bien sûr : tu peux dire : « ah, non, car les juifs baptistes, étaient légitimes, eux à continuer le judaïsme, ce sont les juifs de jerusalem corrompus qui eux n’étaient plus légitimes et d’ailleurs ils ont tué le messie, et donc pas du tout légitimes à dire : « vous les baptistes vous êtes des hérétiques juifs » », ok, mais tu vois, il y a un problème, il y a une controverse, et… dieu, c’est l’évidence, c’est pas la controverse
quand nous étions enfants, ados
 on nous cachait ce refus de la part des propriétaires de la tradition judaïque, on nous cachait le fait : jésus n’était pas considéré par la tradition judaïque comme ayant été annoncé messie dans les textes dits sacrés, et de ce fait : on nous a caché : jésus est devenu le messie par manipulation de ces textes judaïques
(bon, certes, toujours, je suppose, on manipule les textes pour que le nouveau prophète toujours apparaisse annoncé dans les textes dits sacrés !, mais cela se fait en interne, par des scribes officiels, et non par des théologiens et scribes dissidents)
On se retrouve là : avec une secte juive qui se permet de créer un… messie juif qui est censé être donc le messie de tous les juifs or… les juifs n’en veulent pas…, et pourtant ce messie devient un opératif messie : en son nom se regroupent des millions de fidèles, alors que ceux qui ont créé ce concept de messie : les propriétaires de ce concept : disent : « non, non, jésus n’était pas, n’est pas, ne sera pas le messie », qui croire ?, plutôt les propriétaires du concept non ?
Certes il y avait en effet une illégitimité voyante à tel moment de la continuation judaïque officielle, mais c’était loin d’être la norme, et une fois cette période oubliée : en cas de… l’existence d’un messie que certains juifs dissidents auraient attestés : les juifs officiels auraient finit par la grâce de dieu par rejoindre celui qui était le messie évident : une évidence ne se refuse pas, or non : les juifs n’ayant jamais suivi jésus n’ont jamais (à part quelques-uns), décidé de finalement rejoindre jésus : alors que cela aurait été si facile… : le judéo-christianisme c’est un judaïsme….
il n’y a pas eu homologation = il n’y a pas eu d’évidence / et pour cause : un messie arrivant (qui est venu) cela ne risquait pas d’être homologué : c’est un concept à conjuguer au futur : toujours le messie juif doit être attendu, c’est un concept qu’on pourrait qualifier : de super théologique, alors qu’un prophète est un concept juste théologique : on peut dire à tel moment : dans la religion juive on peut écrire à tel moment : « nous venons d’avoir un prophète, et c’était machin »
par là les juifs baptistes ont fait quelque chose de terrible : ils ont blasphémé le concept suprême : le concept de messie, ils ont irrémédiablement Sali ce concept : car depuis jésus, qui sans rire peut se mettre dans la position que la conceptualisation du messie  prévoyait ?, qui peut dire, se dire : « j’attends le messie », on va te rire au nez,
déjà il était pas prêt d’arriver alors l’attendre…., et en + n’y avait-il pas ce messie, jésus, à moitié juif qui est venu, lui…
j’essaie de faire comprendre ce que j’ai fini par découvrir : en faisant un messie : les juifs baptistes ont cassé » le métier théologique : ils ont fait exactement ce qu’il fallait faire pour créer un messie…, ils l’ont fait leur messie !, mais cela n’était pas possible de le faire, et qu’en + cela soit des dissidents qui le fassent tant ce messie devait s’habiller de pure évidence (d’une telle pure évidence que cela le condamnait à ne jamais exister !!!, jamais il n’y aurait de messie !, c’était juste un concept qui devait rester un concept) : et les juifs ont été obligé de contester cette fabrication de messie, de la contester comme une imposture, alors que… : tout ce que eux avait fait auparavant : était aussi de la pure imposture, quoique… officielle…., tout cela était mis au grand jour !!!!, pour que tu comprennes il faudrait que je prenne un autre exemple, je le trouverait prochainement
les instances juives ont contesté le fait que jésus aurait été annoncé dans leurs textes, or ces textes sacrés ce sont eux, les juifs, qui les « possèdent », les transmettent et ont tout pouvoir pour les interpréter, une religion est basée sur l’autorité
ainsi, pour nous enfants et ados  + que mal informés : désinformés :
jésus, c’était quelque chose de fulgurant, de divin, d’évident, et cela l’avait été toujours et pour tous / des juifs (pas tous, puisque nous étions nous aussi juifs, judéo-chrétiens, cela nous était étonnant, mais quand même on l’imprimait) s’opposaient à cette fulgurance, mais c’était en quelque sorte l’exception, il y a toujours une petite exception, à tout (ainsi même à… DIEU !, quoique, non !, dieu aurait dû être évident pour tous)!, et d’ailleurs, oui, ces juifs anti-jésus c’était une minorité, c’était en quelque sorte des irréductibles, des fous, et puisqu’ils étaient minoritaires, fous, persécutés, alors c’est donc bien qu’ils avaient eu tort et s’ils persistaient dans leur erreur, pensions-nous, c’était en quelque sorte culturellement, c’était le ciment de cette communauté
(bien sûr on ne réfléchissait pas à cela, enfants et ados on tolérait toute la propagande sourde dite judéo chrétienne, mais on n’y adhérait pas, mais on se disait : « oui, c’est cela en effet », mais tout cela ne nous concernait pas trop ces histoires de religions, on s’en fichait surtout, et je parle pour moi : dès que je serais sorti du pouvoir paternel : bye bye ! jésus, l’église, je ne pense pas que je me serais marié à l’église, mais qui sait.., j’y aurait peut-être été obligé comme d’autres avant moi, j’aurais aussi tombé dans ce piège de me confirmer dit chrétien par le piège du mariage obligé à l’église ; je ne me voyais pas marié du tout, d’ailleurs, toutes ces simagrées m’étaient complétement étrangères)
d’ailleurs : « ils avaient tué le christ !!!!! » (nous disait-on), et on se disait : « pourquoi avoir tué ce jésus qui était si gentil, et dont l’enseignement ne nous apparaissait pas stupide » (en + il avait fait des merveilles en son Temps, on a dû le croire durant le temps de notre enfance) c’étaient vraiment, les juifs, « ceux qui s’étaient trompés », et se trompent encore (bien sûr il fallait aller + loin : voir : nous avions été mis dans une bataille de prêt à adorer faite pour les niais, ceux qui n’étaient pas capable de voir que dieu existait mais différemment, c’était la continuation spirituelle / par contre : si on était dans un prêt à adorer : autant choisir celui qui n’était pas frelaté : or : à la réflexion : le dit judéo christianisme était un pauvre enseignement, orgueilleux et en + criminel puisqu’il avait criminalisé et largement tourmenté les juifs juifs)
pas une seule fois dans mon enfance-adolescence : un doute ne m’a atteint :  et si c’étaient nous chrétiens qui dînions tous les jours avec le diable ? (dans la logique d’une religion, car en fait ni les juifs ni les dits chrétiens n’ont le bon dieu, ni le diable) et si le prophète-messie des chrétiens était un faux prophète, et encore moins le messie ? / non on était loin d’arriver à ces questions
 et pourtant on se disait quand même : toute cette histoire de Résurrection et de fin du monde cela ne tient pas debout…, eh oui, cependant le logiciel chrétien nous tenait bien, fermement !
on aurait dû se poser la question : et si c’étaient les juifs qui avaient raison ?
mais on ne pouvait pas se la poser cette question, elle ne venait pas, et pourquoi ?, car ce n’était pas non plus la bonne question,
et oui, la bonne question (bien cachée) c’était : et si juifs et chrétiens disaient n’importe quoi ?, et qu’il fallait voir la controverses juifs : judéo chrétiens comme le montrant, le prouvant
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 il nous manquait une chose : il fallait savoir, il aurait fallu venir à l’idée : et si les uns et les autres, chrétiens et juifs étaient à… égalité : le dieu judéo-chrétien et anti juif était : n’importe quoi
jésus c’était de la pipe
et tout autant le dieu juif c’était déjà n’importe quoi, et vite les gnostiques : le comprirent et commencèrent à se dire : « vite il faut avancer sur l’idée de dieu : le judaïsme, c’est l’impasse, et les pauvres juifs se retrouvent avec leur maison en carton de dieu encore détruite, ils sont pas gâtés par leur dieu, et voilà que d’autres juifs, les juifs baptistes jésusistes voient la fin du monde arriver pour eux !, heureusement eux, croient, ah ah ah  que c’est pour les sauver ! »
enfants et ados : nous n’étions pas encore en mesure, gouvernés par le logiciel judéo chrétien de nous dire : les deux propositions, juive, ou judéo-chrétienne (encore +, puisque continuation judaïque non autorisée)   =  n’importe quoi
 ainsi le (fait jésus) avait donc bel et bien volé la tradition spirituelle judaïque, mais cette tradition judaïque mais c’était déjà rien que des simagrées /
heureusement, quand même : pour ma part : je suis venu à cela, vers 13 ans ?, en découvrant ou en prenant + en compte l’idée de réincarnation, et c’était une fantastique sortie du dit judéo-christianisme enfin !!!
résumé
voilà ce qui s’est passé voilà 2000 ans :  un mouvement juif dissident, les baptistes ont vu : la fin du monde arriver (en tout cas la fin du monde juif, c’était en cours, ils n’avaient pas tout à fait tort) : ces fous de dieu, auto exilés : crurent bon à un moment de faire : eux : dans le cadre de leur mission divine : un messie !!!!!, la fabrication la + folle qui soit !!  (déjà tentée plusieurs fois, certains voulurent voir moise : le messie) : or le problème : c’est que cela a marché et que cela a disqualifié les vrais juifs, mais ce faisant cela a aussi disqualifié tout le théologique : on a vu par la controverse qui a suivi, et le triomphe des usurpateurs : que tout cela était de la pipe, mais de la pipe qui pouvait être terriblement dangereuse : le peuple juif a failli être génocidé complétement par cette fabrication de messie qui a fait des fous de dieu baptistes : les maîtres du monde spirituel (heureusement pas dans le monde entier, mais pas loin), c’est une histoire de prêt-à-adorer qui a notamment tourné mal, et tant mieux pour ceux qui ont reçu la charité par ce prêt à adorer là, mais voilà une religion judaïque qui s’est autodétruite : alors vite : repartons sur du prêt à adorer + sain
la trinité de la confusion
confusion avec le personnage d’un jésus historique, prêcheur juif baptiste, mais, déjà ? sortant du lot ?, un prêcheur théologien ?, qui est en train de théologiser le baptisme qu’il a rejoint tôt ?, ainsi prêcheur juif qui commence à enseigner un judéo-baptisme qu’il personnalise ? (ainsi cela serait cela qui serait devenu le jésusisme, cette personnalisation ?)    
confusion dans ce qu’a dû être la création progressive (divination progressive) d’un potentiel nouveau prophète pour tous les juifs à partir de la figure d’un prêcheur baptiste, jésus (et possiblement à partir de la figure quelques autres illuminés prêcheurs juifs baptistes, ils étaient tous des fous de dieu, le soleil tapait fort sur leur nuque, chaque prêcheur était un  jésus, était ce qui nous a été rapporté sur jésus, des prêches, des exorcismes…(« voilà ! maintenant tu es délivré du démon ! », et comme il n’y avait pas de démon, c’était facile de le chasser), cette création aboutissant bien après la mort du prêcheur jésus historique, le prêcheur jésus crucifié serait passé de martyr juif (de tous les juifs même s’il était un juif baptiste et si même les grands prêtres l’auraient effectivement livré aux romains / le grands prêtres sadducéens n’étant pas tout le judaïsme), à messie !!!, alors il a fallu drôlement retoucher sa bio !
confusion : quand jésus n’est pas homologué (comme prophète juif, et devient alors messie pour tous les hommes ?), mais reste ! pour ses partisans : dans la continuité judaïque / alors devenant tantôt + judaïque ou tantôt moins selon ceux qu’on veut convertir (« corpus christi » explique bien ce jésus proposé par st paul, à géométrie variable, une des preuves que tout cela n’était que théologie, mais en fait ce qu’on aurait toujours dû voir comme cela / en religion… on ne peut faire que dans la théologie et la textologie : tout n’est que prêches et manuscrits pour faire s’élever des êtres divins)   
la création d’un prophète néo-américain
jésus est présenté (par les dits judéo-chrétiens) comme le dernier prophète du judaïsme
certains dits juifs chrétiens comprennent bien + tard, en ne se laissant pas impressionner par tout ce que la doxa raconte :
jésus n’est pas « le dernier prophète du judaïsme » !, il n’est pas homologué comme prophète du judaïsme, le judaïsme a fait sa continuation sans jésus (apparait-il quand même dans les textes sacrés juifs, ont-ils des nouveaux textes saints dans leur épopée manuscrite ? / je ne sais pas, je ne suis pas juif : et cela ne vient pas à moi : j’ai eu beau ouvrir des livres sur le judaïsme et autres dictionnaire : cela, c’est un truc qui n’est pas évoqué pourtant : cela me parait être fondamental à savoir, non ?)
alors un dit juif chrétien aux usa, va se dire ? :  le nouveau prophète du judaïsme, et cela va marcher assez bien !!!!!
 des dits juifs chrétiens se retrouvent perdus sur un territoire complétement nouveau et connaissent un terrible moment d’abandon, le dieu dit juif chrétien, là, n’est plus là, ne les protège plus, il faut le solliciter, faire une alliance avec lui, sur ce territoire non consacré
 un prophète peut, doit être inventé, peut s’inventer, ceux qui se retrouvent dans cette situation sont dans la situation de premiers hommes sur Terre, avec l’obligation d’avoir un rapport très fort avec leur créateur, dieu  / il faut du théologique !!!!!!!!  et ce type comprend : il lui faut s’inventer en prophète
il faut réinventer le dieu judaïque, le rapport à dieu, quand on est dans une situation : de conquêtes de nouveaux territoires non encore habité par ce dieu
il faut adapter le dieu judaïque aux nouveaux territoires : et john smith se voit être celui qui peut faire cela : c’est une invention, mais une invention théologique (= en spirituel : on ne peut qu’inventer, pour s’approcher de dieu, voir ailleurs dans le blog où j’essaie de  l’écrire mieux que cela)
et je suppose : donc il va inventer un message de dieu, à lui donné : pour que cela sonne mystérieux donc  divin : ce texte est donné dans une langue inconnue mais avec quelques-uns de ses compagnons frappés par l’esprit saint : il va pouvoir faire une traduction
cela n’est pas une nouvelle religion qui veut être proposée là : c’est une continuation du judaïsme, et donc du judéo-christianisme car je suppose : jésus est dans l’affaire, mais : un jésus que forcément il faut mettre un peu de côté   (comme ce qui se passera avec le messie jamaïcain) : car en principe : jésus était le messie, le dernier prophète, et que… si un prophète arrive, cela serait en principe l’antéchrist !!!!!! (je me mets là bien sûr dans le cadre de l’enseignement judéo christianiste, que je ne soutiens pas)
c’est un peu comme si : en Jamaïque : on considère que jésus n’a pas vraiment été opératif : si loin : alors : on fait un messie :  sur mesure pour les blacks, après tout : c’est purement théologique / on décide : « ok, jésus a été le messie, là-bas, mais chez nous : il faut la venue d’un messie, ad hoc à nous, et ils décident : ce messie : c’est : le négus !
pour ces futurs mormons : c’est pareil : ils considèrent (c’est le concept, je le vois, moi, comme cela, / dommage : dans les séries de type « corpus christi », les chercheurs ne se sont pas sentis obligés de parle du mormonisme pourtant on était dans le sujet !), ce territoire ne peut être considéré comme ayant été consacré par le messie  jésus : il faut autre chose / ce john smith : sait : un prophète cela s’invente, le théologique le permet : alors il s’invente prophète, c’est pas + bête que ce qu’on fait tant d’inventeurs de prophètes avant lui, mais là encore : comme ce qui s’est passé pour les juifs baptistes : il ne sera pas homologué, mais lui il s’en fiche : il le sait à l’avance : il sait : je fais une hérésie judéo-chrétienne, il assume…
  il y a comme une idée de renaissance spirituelle obligatoire car on se trouve dans un nouveau lieu, c’est une sorte de nouvelle Création de l’homme, il faut absolument trouver un sens à tout cela, alors une religion nouvelle peut éclore, en fait : c’est comme pour le judéo-baptisme : c’est une continuation particulière du judaïsme : john smith considère : il faut juste adapter : le judaïsme aux temps nouveaux, aux territoires nouveaux : je suppose : il ne considère pas qu’il a rénover le judéo-christianisme car celui-là serait devenu corrompu
non : c’est plus facile : il s’agit juste de continuation / le + difficile : c’est la création du message…., comment on va faire gober ça, mais à l’évidence : ces gens étaient des fous de dieu, et ils ont réussi à convertir quelques proches, et loin de tout : le mormonisme a pu apparaître comme un meilleur socle spirituel que celui déjà existant : le judéo-christianisme si usé
est-ce ce qui s’est passé avec le mormonisme ?, ceux qui sont devenus mormons,  ont en quelque sorte (à la suite de l’inventeur de cette prophétie locale) voulu se replacer dans un cadre d’exode juif, alors il a fallu faire un écrit divin qui ressemble à ce que les scribes juifs écrirent sur ces périodes (complément fantasmées), tout était inventé par les scribes d’antan, pourquoi pas de nouveaux scribes : john smith (avec ses affidés ?) se lancèrent : et en sortit : un livre qui est fait de phrases et tout cela, il faudrait essayer de le lire, en principe quand ce livre vient à toi, et après avoir lu quelques lignes, tu le reposes…, mais bon, peut-être que la prochaine fois que je l’ouvrirai…
tout cela est très curieux, et personne ne semble s’intéresser trop à cette religion !, comment elle a bien pu naître et pourquoi !, alors que cela serait très éclairant pour comprendre le début du jésusisme, il semble bien que n’existe pas : de récit en détail de cette élévation d’un prophète, d’un écrit.., comment tout cela a été pris au sérieux, par qui déjà ?
en tout cas, pour nous petits dits judéo-chrétiens, il nous a manqué à l’école, un cours sur les religions, qui nous aurait montré comment par exemple un nouveau prophète apparait et réussit à avoir des disciples…, et le prof il nous aurait parlé du mormonisme, ou du rastafarisme
on aurait été un peu éveillés…, on aurait compris que : la construction théologique ne se limite pas au judéo-baptisme
  quand je suis allé en 6eme au lycée marquette il y avait un cours de caté, mais on n’était pas obligé d’y aller ! (ça c’était super !), incroyable !, c’était quelque chose de stupéfiant, cette liberté, et j’y étais allé…, durant quelques cours, c’est dire que j’étais encore bien gouverné par le logiciel chrétien !!!, eh oui…, peut-être pour découvrir comment : on pouvait être enseigné sans contrainte, je suppose : c’était cela qui m’a amené à aller à ce cours puisque précisément : rien ne m’y obligeait : c’était par esprit de contradiction
à l’époque : mes deux sœurs parlait du prêtre, du lycée, comme surtout « flirtant » avec les filles de bourgeois de la ville et cela les révoltait mes sœurs, alors cela ne poussait pas trop à aller à ce cours : pour elle c’était la seule raison de se désolidariser un peu de leur religion !, comme si il n’y avait que cela !/ mes sœurs, en leurs temps, avaient-elles alors quitté le cours ?, je ne pense pas / en tout cas tout ceci pour dire : qu’à l’époque on ne se posait pas trop de questions sur ce que cette religion avait de vrai…, tout cela, ces histoires de jésus, cela semblait parfaitement non à questionner avec du doute
mon frère : silence sur son détachement / en comprenant que par là : il s’opposait à mon père, qui n’avait pas réussi à en faire un organiste liturgique, il a réussi à échapper ainsi à tant de bourrage de crâne, que moi j’ai dû subir ! sans en avoir conscience, preuve que j’étais vraiment un autiste ! / notre frère nous avait vite prévenu, un  jour à la table familiale : genre : « on peut tout à fait s’appliquer à écrire en style biblique… », genre : tout cela est de l’invention, et cela nous ramène à l’écrit sacré des mormons, peut-être parlait-il alors de ce john smith ?
(à propos de mormonisme : voir ma pièce de théatre : ils n’ont pas tué jésus / où ma reflexion est + poussée
hérésie
il faudrait savoir : quelles têtes ont fait : en Jamaïque le christianisme bien installé dans l’ile et les juifs de l’ile (?, y en a –t-il  beaucoup ?), comment ils ont pris la montée en puissance du mouvement rasta ! /
mais donc, quand même, il ne pouvait y avoir une vraie confrontation : au moins tout cela existait dans l’attente d’un messie !
attention : ici : déjà webb le conferencier théologien noir annonce la revenue du messie chrétien : jésus et il sera noir comme était noir jésus !
puis garvey : annon la venue du messie noir : pour 1927, or lui : le voit dans la tradition judaique « etyiopienne » : noir, ok, mais aussi : il n’a rien à voir ave jésus, le vrai messie c’est le messie juif, et bientôt en 1930 : on a le négus empereur, d’où le fait que celui-ci devient le messie dieu juif  
du coté chrétien et par webb : c’était hérétique, cette annonce, déjà de l’arrivée imminente du messie et en tant que noir : mais cela revérifiait le fait : que les blacks pouvaient bien avoir un autre messie qu’un messie blanc / un messie blanc peut quand même être considéré comme offensant pour les blacks  /   ici : tu en sauras + et mieux : en lisant Le Procés de jésus 2019, et un article de moi sur rastafari (tout cela sur tumblr)
pour les mormons : cela était + facile : jerusalem était loin !, mettre en dépendance la Bible hébraïque n’était pas susceptible de se voir aussitôt lapidé, et la Bible hébraïque avait déjà connu pas mal de mise en dépendances !, une de +…, et depuis longtemps les juifs officiels étaient si affaiblis, et puis et puis, comme je l’ai écrit + haut : je suppose que le mormonisme peut être dit : à la fois une hérésie juive, et une hérésie judéo chrétienne, alors en quelque sorte, les juifs officiels pouvaient voir en le mormonisme : les judéo chrétiens salis, et les judéo chrétiens pouvaient… 
mais quand même il faudrait : étudier comment ces 2 hérésies ont été commentées : alors qu’elle commençaient à être connues, comment avec stupéfaction on a vu s’installer ces 2 nouvelles sous religions : et…, dans le cas du rasta : comme l’on sait : cela allait d’une certaine manière (quoique de façon anecdotique et non profonde malgré l’énergie dispensée) : le rastafarisme allait se faire connaitre sur toute la Terre, puisque à son tour bob marley aurait pu se dire + connu que jésus dit le christ
le mormonisme c’est ? : un type propose SA revitalisation à lui, qu’il croit légitime (car : il a vu : le manque, et l’ancienne religion non ad hoc à une nouvelle situation, l’installation sur une terre vierge) du courant judaïque (incluant son hérésie : le dit judéo christianisme, je suppose que jésus existe dans cette affaire mormone, à vérifier)
mais il faut : raconter une histoire divine : il faut montrer que cela n’est pas soi qui décide de tout cela, mais dieu lui-même : sinon les foules ne le croiraient pas, sauf à faire des miracles et tout, au présent : or cela n’a jamais été possible et n’est pas possible pour lui
 (le lecteur ira se renseigner là-dessus  lui-même : mais en ne pas oubliant : qu’on est là dans la manipulation, s’agissant des éléments qui sont restés de cette « invention spirituelle », de l’acte théologique du 1er mormon, incluant la dissimulation de ce qui s’est vraiment passé)
 il  fait croire : guidé par un ange, il trouve un texte écrit par dieu (je caricature, j’ai lu un peu là-dessus, mais j’ai oublié, et il vaut mieux…, on peut imaginer, depuis longtemps, smith, un illuminé écrivait un texte à la façon biblique, ce texte écrit de longue main, il va être Temps et occasion pour lui de le révéler, quand un nouveau monde recommence, et qu’il devient un acteur de cette conquête : pour lui il s’agit alors d’une nouvelle étape, pour la continuation judaïque
 et voilà un hérétique judaïque (de +, après jésus), qui se profile, et les circonstances vont faire que ce prophète va trouver un public, de son vivant du fait de circonstances extraordinaires, que lui a vu comment favorisant : une nouvelle alliance avec dieu : on est dans un endroit paumé en amerique, nouvel eden possible, personne ne va aller vérifier où le message divin a été trouvé, sous quelle forme etc.( et cette plaque de cuivre sur lequel le texte à traduire était gravé : a été récupérée par l’ange, ce qui est quand même très embêtant, s’agissant des preuves : alors que dieu sait : combien il y a de saints thomas !, dieu n’a vraiment pas de mémoire !, il fait reprendre la preuve : décidément : il veut vraiment que l’on croit par nous-mêmes, qu’on n’ait juste la foi pour nous !)
une mythologie peut commencer  (là encore, on est dans un entre-deux : cet écrit sacré, c’est théologique, cela appartient au domaine de dieu, et on passe vite au textologique (le mot que j’invente pour dire : il faut une matérialisation direct du théologique : et c’est l’écrit : alors on peut commencer à dire : « mais, c’est écrit ! », alors c’est vrai…, et ça marche !, l’écrit oblige aussi à : une élaboration affinée du « mensonge » (utile, c’est pourquoi je mets des guillemets) spirituel)) : le prophète mormon dit, on, mes compagnons et moi, a fait la traduction du texte divin !!!! », on croit donc à l’existence du très long message (sur des plaque de cuivre, alors de quelles tailles !), et donc, bravo à toi si tu réussi à le lire !,  on est prié de croire fermement à partir de la phase textologique (tout le reste ne peut plus être prouvé, n’a plus à l’être, tout texte sacré n’a plus : d’avant, il n’a que de : l’après / il est mal vu de demander des détails sur l’histoire première de tout cela, et pour cause : il y a juste l’imagination théologique de quelqu’un qui s’est présenté comme prophète)
ce type qui s’autoproclame prophète, est assassiné cruellement, connait donc une « Passion » (de quoi cette fois lui donner une certaine assise, cela a été on homologation à lui : un prophète qui meurt dans son lit, c’est pas très divin !, il faut une marthyrisation, une sortie, terrible, du réel), or il se trouve des gens qui veulent aller dans le sens de ce « prophète », et une religion mormone commence, prospère : surtout : on ne sait comment cette sous religion a pu prendre : le savoir nous en dirait long sur : comment cela s’est fait avec l’illusion collective autour de jésus dit le christ
ce n’est pas si bête
 cette volonté de créer un nouveau chapitre à la Bible hébraïque : c’est même une idée de génie !, cette Bible il fallait bien la compléter : je suppose donc : j smith voulait donc écrire (comme tant d’autres : la suite du Nouveau testament) je le répète : ce qu’enseigne le dit judéo christianisme n’est plus valable depuis longtemps et transforme peu de pêcheurs
 alors, toujours, quelqu’un peut dire : « moi, j’ai le véritable message du christ, on va pouvoir régénérer notre religion judéo chrétienne» (se faisant là, hérétique chrétien, si les instances chrétiennes refusent d’homologuer ce prétendant à la prophétie), et en effet, c’est le boulot d’un prophète (soit de créer une nouvelle religion, soit de renouveler une religion qui existe)
et quand on se trouve dans un espèce de début de l’humanité, l’implantation en amerique, très vite il faut pacifier les hommes, donner un sens à leur vie et à leur mort, d’où la demande là, dans un tel contexte, d’un nouveau prophète
à noter pour les mormons, je suppose encore : pour leur prophète, le type autoproclamé donc, n’a pas ressenti le besoin d’être homologué par les instance juives ou chrétiennes (pourtant il semble qu’il estime se fonder lui aussi à partir de textes bibliques) !!!!
(mais… on peut supposer : les baptistes n’ont pas demandé non plus cette homologation : les juifs baptistes : avec leur invention de (jésus le messie) : on fait du forcing : je suppose quand ici et là les prêcheurs juifs baptistes, puis les prêcheurs juifs baptistes jésusistes : proposaient leur enseignement : ils ne demandaient pas l’homologation : ils s’imposaient avec autorité  (bien sûr quand je parle d’homologation : c’est à un moment : il faut bien que les instances représentative disent : « ceux-là qui prêchent hors synagogues, eh bien maintenant ils peuvent prêcher intra muros », c’est ça l’homologation, ou bien la non homologation cela sera des mêmes : « les juifs baptistes ne sont plus considérés comme des juifs, attention : le prophète baptiste jésus n’a jamais été à considérer comme un prophète juif et ne le sera jamais »), et les baptistes n’ont jamais demandé ensuite cette homologation : devenue sans elle : si puissants…, l’homologation leur est venue par la multitude, par dieu lui-même veulent-ils penser, c’est encore mieux !
ni es suiveurs du fondateur du mormonisme n’ont cherché à faire une telle démarche d’homologation ???? (il ne faut pas compter trouver cela dans les livres sur le mormonisme), tout le monde a en tête (et le prophète mormon encore +), ce qui s’est passé avec jésus, tout le boulot des scribes d’une secte juive pour créer un prophète quand même ad hoc au judaïsme (c’était quand même une demande d’homologation : mais tout au début, quand les jésusistes pensaient que leur invention de prophète était un succès, et que tous les juifs allaient se reconnaitre dans jésus) et puis : niet ! de la part des instances juives supérieures
eux, comment les mormons se rattachent-ils au judaïsme et au judéo-christianisme ?, il faudrait l’étudier, bien sûr donc il y a cet écrit : en style biblique je crois (pour l’avoir donc ouvert à deux ou trois endroits, tel jour)     
4 évangiles
4 fois le même procès surréaliste avec un Pilate qui juge quelqu’un dont il n’avait jamais entendu parler !
le jésus des miracles : pilate n’a pas l’air de connaitre
jésus roi…(à l’estime de ceux, au moins, qui sont venus à son arrivée à jerusalem), mais en quelle intensité ?, par qui, depuis quand, etc., jésus arrive devant pilate comme un parfait inconnu !, « quelle histoire ! » comme pourrait dire un chercheur laïque de « corpus christi »
au moins, lui demande-t-il de s’expliquer sur ce qu’il a fait au Temple ?, cette histoire de vouloir détruire le Temple etc. etc., cela aurait été ainsi un peu plus documenté pour nous aujourd’hui (car les chercheurs nous disent : tout ce que l’on sait de jésus au Temple ne justifiait pas du tout une arrestation ! (dans le contexte judaïque de l’époque : au contraire : montrer qu’on n’aimait pas le Temple construit mais souillé par les hérodes : était plutôt politiquement correct !, même les changeurs et commerçants du parvis du Temple, insultés par jésus, auraient préféré un Temple complétement casher / mais encore  une fois : bien sûr, tout ce qui nous est rapporté là : c’est une belle histoire, qui sait ce qui s’est passé ?, s’il s’est passé quelque chose ?, mais possible : un prêcheur baptiste serait allé faire du scandale au Temple ?, et cela aurait été précisément jésus ?, mais très possible par exemple : le jésus des évangiles : est une construction romancée à partir de faits réels, mais empruntés à plusieurs personnages, en principe : les héros de roman sont fabriqués comme cela, et là on a un roman théologique : dont l’idée géniale a été de relater de 4 façons, pour faire ainsi un effet de réalité)
4 évangiles pour le même flou…, ça le fait pas !
un bibliste de « corpus christi » (ici, dans ce blog, nom générique pour les séries vidéo et prieur et mordillat) évoque un petit agitateur spirituel… (le messie aurait donc été à la base un petit agitateur !, cela le fait pas non plus…, ce n’est peut-être pas la meilleur piste)
(donc un imposteur selon les instances juives, que ces instances ont voulu voir jugé par Pilate comme un dangereux Résistant ?, ce qui permettait, à peu de frais, et sans avoir de sang sur les mains et de poussières de pierres ?, possible : si en effet les Romains enlevaient tout droit de tuer aux juifs : ce qui serait plausible : le droit de tuer réserver aux seigneurs… )
mais alors donc jésus, petit agitateur, mais alors, pas de miracles, rien de tout cela, semble attester ce chercheur…     (à vérifier, quand je reverrai ce passage)
les phéniciens
il faut se méfier de ce que l’on croit savoir, qu’on nous avait toujours dit, qu’on avait pris pour argent comptant
un historien, xavier  mauduit, vient de nous faire savoir : les phéniciens, ce peuple, n’a jamais existé, c’était une invention, il s’agit des libanais de l’antiquité mais qui existaient bel et bien, mais ne formaient pas une civilisation, là cela a été inventé…
si j’étais un dit chrétien gnostique 
 (je ne mets pas là : « dit juif chrétien gnostique » car : le gnosticisme (surtout) ne se considère pas comme étant dans la suite de la Bible hébraïque)
je te dirais, prenons une possibilité  : « j’ai une connaissance supérieure de ce qui s’est passé avec l’arrivée de jésus : or toi, tu fais partie de l’élite qui peut recevoir la vérité : alors voilà : tu le sais, marie la magdalienne a pu, alors qu’elle voulait entrer dans le tombeau de jésus, et que ce tombeau était ouvert et vide, avoir une rencontre avec jésus revenu dans le monde des vivants, or elle vit un homme qu’elle ne connaissait pas, mais bientôt par sa voix, si bien connue d’elle, elle comprit qu’elle avait à faire à jésus, ainsi, jésus s’était réincarné en une nouvelle personne, jésus n’a donc pas ressuscité mais s’est réincarné, a continué son cycle de réincarnation, et aujourd’hui, jésus est très probablement en une autre réincarnation parmi nous »
l’Apocalypse
un chercheur semble dire : « jésus revient, demain !, alors il n’y a même pas lieu de raconter l’histoire de jésus par des évangiles », comme s’il suggérait : l’Apo a été écrite avant les Evangiles
l’Apo
rappel : n’a pas été écrite par un jean qui aurait été un des compagnons de jésus
Il ne s’agit pas de jean l’ancien, qui aurait écrit des épitres du Nouveau testament
Il ne s’agit pas de (du fameux) « jean le disciple bien aimé  de jésus » (là, en +,  c’est très problématique : l’identité de ce personnage)
Il ne s’agit pas de jean qui aurait écrit un Evangile (ou bien évangile selon ce jean, ce qui voudrait dire : selon son témoignage / je sais, c’est complexe, et personne ne s’y retrouve s’agissant des auteurs des Evangiles)
par contre serait plausible, dit un chercheur : « ce jean de l’ile Pathmos (exilé là, pourquoi ? si on le savait cela serait une grande avancée) qui aurait écrit l’Apo (tout seul ?) serait à situer quand même du côté de ceux qui sont à l’origine de (l’évangile « de », ou selon jean), possible que cela soit le même scriptorium qui se soit chargé de cela, hypothèse cependant
les gnostiques ?
ils constatent : l’irrésistible élévation de jésus messie, les foules qui croient !
or : 1 jésus ne revient pas, la fin du monde générale n’est pas là 2 ce que jésus est = du judaïsme newlook internationaliste, du judaïsme frelaté (les juifs disent : le baptisme  = une dissidence, une imposture, et leur jésus messie encore +) et donc = quand même nouveauté semblant vue comme telle par les foules, et plébiscitée = en fait bullshit spirituel : cette nouveauté c’est l’accouchement d’un galimatias spirituel sans intérêt, juste bon à nouveau à calmer les foules = tout cela, catastrophique
les foules accourent et spirituellement parlant : il n’y a rien, là, dans cet enseignement, dans la connaissance de dieu, de la présence humaine, du mal etc.
alors ??????? les gnostiques arrivent : se disent, sont quelques-uns à avoir la même réaction : « ne comptons pas proposer aux foules la vérité !, apparemment cela n’est pas possible, alors : continuons quand même, entre nous, entre initiés : à chercher !!!!!, et à ne pas dire que nous avons trouvé ! et qu’il y a une révélation à donner  »
ces gnostiques sont des théologiens : eux ne sont pas des fous de dieu, ils ont du recul : voient la situation spirituelle du moment : il faut inventer, mieux inventer que l’invention des judéo-baptistes
on prend les gnostiques pour des illuminés (avec leur délire), mais les illuminés seraient plutôt les juifs baptistes ?  avec leur invention de jésus ? ou bien tous sont des fous de dieux illuminés !
les gnostiques préviennent ? : cherchons entre nous, restons dans l’ésotérisme, éloignons nous des foules (c’est ce qui semble se passer avec eux, et qui nous étonne aujourd’hui) et de leurs bas besoins spirituels qui ne peut être assouvis, les foules ne peuvent qu’être trompées, et voilà qu’elles le sont par les juifs jésusistes…
mais la grande nouveauté : au moins : c’est : finie la croyance (pour les gnostiques, et quelque part pour les jésusistes puisqu’ils VOLENT la tradition judaïque, dont ne la respectent pas du tout !!!!) en la tradition judaïque, fini : le dieu des juifs, c’est un dieu créateur d’un monde imparfait
les gnostiques proposent donc leur recherche, on repart à zéro, s’agissant de la divinité, certes, on prend ici et là des éléments, et on recommence cela en petit comité : ésotériquement (car on sait aussi : ce que nous trouvons, là, ne pourra pas être confronté aux foules, car nous aussi : on ne réussit pas à trouver ?, au moins on n’a pas le cynisme de le proposer aux foules / ce gnosticisme pour initiés seulement : pourrait être expliqué notamment comme cela, selon moi)
signification
Apocalypse = dévoilement à nous ! des desseins de dieu et de jésus…, corrigent les chercheurs, « tout est clair, tout est dévoilé », comment en arrive-t-on à prétendre dire les desseins de dieu !!!!!, qui a pu prendre la responsabilité de ce délire !, est ce qu’une seule phrase de ce texte est censée ? , et pourtant les bibles sont l’ouvrage le plus diffusé de l’histoire du monde, comment on en est arrivé là !
certains gnostiques pensent, proclament
jésus est venu pour sauver les hommes du dieu juif !, le dieu de la Bible hébraïque
comment on en est arrivé là vers 100 après j. c., et au délire que va être l’enseignement judéo-jésusiste, ou déjà judéo-messianiste
à noter : délire gnostiques qui, par comparaison, rend CREDIBLE le petit délire des judéo-jésusistes
et en tout cas : pour des gnostiques (pas tous) : jésus a existé, mais comment ?, à quel moment ? ces gnostiques s’emparent de jésus ?, ils le détournent de quoi ?, on ne sait pas : on manque de repères sur les débuts du dit judéo-christianisme, qui (on le voit) essayait de virer à nouvelle, complète religion : de par ce personnage énigmatique : jésus, qui fait changer d’époque (en fait : ce judéo baptisme, ces autres sectes aussi : qui, de fait, se mettent à décrédibiliser le judaïsme : et qui logiquement aurait dû seulement déboucher sur le gnosticisme : c’est-à-dire sur la fin du judaïsme et la recherche du nouveau dieu : or ce qu’on a eu : c’est quand même la continuation du judaïsme, juste teinté d’un peu de « nouveauté » complète ou de retour en arrière judaïque) 
les cathares
 dans l’édition53   Edition française 74, et reedition88      de « les cathares » d’arno borst
il y a une postface sans doute récente signée c. roy : et l’Apoc est évoquée, or… à l’époque : encore ! on croit encore que ce texte fou a été écrit par jean, proche de jésus (en suivant là la tradition dite judéo-chrétienne, on n’a quasiment pas d’autres traces de tels personnages), et c roy donc évoque « le disciple bien aimé, jean a écrit l’apo », « jean l’aimé du christ »   « son état visionnaire »
il serait très intéressant de savoir  quand : on a commencé à divulguer (et qui ?) qui était + probablement l’auteur de ce livre   (et on est loin de savoir tout de cette piste là, mais c’est la bonne piste, on ne sait rien sur la fabrication de tels textes, et celui-là 100% ésotérique), jean de Pathmos,
eh oui
les prêtres qui nous ont habitué à voir jésus comme « le fils de dieu »
et nous, petits imbéciles enfants et ados , on était bluffés ! en effet on pouvait bien adorer « le fils de dieu »
les prêtres se gardaient bien de nous dire : « mais, vous savez, jésus n’est pas le premier à se dire ou à être dit « le fils de dieu »…, tant d’autres… »
eh oui, rien qu’un petit truc comme cela, une toute petite vérité comme cela dans leurs bouches, et nous aurions été mis sur la bonne piste : « tout ce que l’on nous enseigne là c’est du bullshit !
les hérésies   (pistes de réflexion)
elles naissent toujours au sein du clergé de la « maison mère » /
ceux qui se sont mis au service de l’illusion collective, du prêt à adorer de leur religion, le trouvent-ils trop débiles ? , ou bien au contraire pas assez délirant ?
ceux qu’on peut appeler les SERVANTS (le continuateurs de l’illusion collective) : par exemple les juifs baptistes : sont des fous de dieu : qui en fait veulent faire autrement que les fous de dieu juif autorisés : les juifs baptistes font une révolution (retour en arrière), en cela ils peuvent être considérés comme, voulant se replacer à la source de ce qui est… : une escroquerie spirituelle
alors que les servants juifs officiels : quelque part peuvent être vus comme moins fous  (même si multipliant les lois) : puisque pouvant être vus juste : comme bêtement : voulant juste confirmer ce que les tous premiers fous spirituels ont édicté
les fous hérétiques veulent remplacer les fous officiels : les hérétiques : veulent proposer juste, selon eux : un meilleur prêt à adorer   (toujours la même question se profile : ceux qui créent une nouvelle voie spirituelle : sont-ils des illuminés, inspirés : ou des inventeurs cyniques… mais quand même inspirés quelque part ?)
on n’a pas trop l’impression qu’il s’agit d’une prise de conscience que tout cela est du bullshit ou bien : alors ils continent donc à se croire utiles en voulant donner du prêt à adorer + efficace, et en cela encore + utile que ce qu’il y avait avant, ils seraient conscients que les foules doivent passer par le bullshit   / cela pour le théologien de sa secte : les servants eux croiraient à ce bullshit   (voir ailleurs : ce que j’ai écrit sur les prêtres, leur si particulière vocation)
gnose
le salut par la connaissance !!! , voilà ce que les gnostiques post jésus proposent : c’est par le savoir que tu seras sauvé : non par jésus, non par la fin du monde et toutes ces conneries / comme si : on revenait au point de départ : le théologique : le seul théologique
4 évangiles officiels…   (quels sont les versions précédentes, ou la version précédent, quel flou !, quand ont-ils été écrits ?, par qui ?, quand ?)
or voilà d’autres scribes (avant ?, pendant cette réalisation d’évangiles « officiels », après) qui se permettent d’écrire eux aussi des évangiles, et de les proposer, eux aussi, comme étant écrits par d’autres apôtres (ou comme étant une prise en compte du témoignage de tel apôtre, processus déjà de mis pour les évangiles officiels)
basiquement : il est tentant de penser : ces scribes gnostiques  (alors : que tout à coup une grande demande spirituelle se fait ? car les baptistes, avec jésus ?, et leur désobéissance aux instances représentatives judaïques, ont réussi ouvrir l’époque : la faire : en recherche genre : « eh bien, le dieu judaïque, c’était rien, c’était faux, le Temple a encore été détruit, on ne peut + croire en lui.., on ne va pas refaire éternellement sa maison !!! , il n’y avait personne dans cette maison !», ils   ont vu que des textes inventaient jésus : alors pourquoi ne pas proposer leur invention de jésus à eux ?, pouvant tout aussi bien être valable et peut-être + valable
protection
roland hurteaux est un des rates chercheurs qui fait comprendre : le Temps de jésus, notamment, en + de l’invasion romaine : un Temps d’épidémies, même un empereur romain, marc Aurèle mourra de la peste, il faut absolument trouver une protection spirituelle
la protection judaïque n’est plus bonne, les fous juif baptistes pensent : elle a été mal appliquée, mais elle reste top, en quelque sorte : eux sont déjà un peu des gnostiques : pour eux tout est dans l’interprétation : ils proposent une nouvelle interprétation des textes, et cela va jusqu’à leur faire dire, (aux textes) que leur jésus, leur prêcheur jésus crucifié, dont ils font un messie, était prévu par ces textes judaïques, et comme ils sont juifs, ils se permettent cela, à part que le judaïsme : c’est quand même un tout, et si un courant propose quelque chose de nouveau, pourquoi pas : mais il faut qu’il y ait un concensensus pour que cela devienne kasher, c’est : l’homologation dont je parle partout
et donc : les juifs baptistes ont pris le pouvoir : ont volé le pouvoir : avec leur arme de destruction massive : jésus / leur création d’un messie : ce qui n’a pas été possible de contrer par les autres juifs !!!!! (pris de cours ! par un truc qui était en fait inimaginable, qui aurait osé.., eh bien si les juifs baptistes ont osé, et nantis soudain de cette arme (de prêches, de papier, mais qui a été prise au sérieux, et est donc devenue opérative !), oui, ils ont pu prendre le pouvoir
prendre le pouvoir jusqu’à tuer les autres juifs !!!!!!, car il ne faut pas oublier : le génocide juif : ce sont des juifs qui tuent des autres juifs
donc Temps d’inquiétude : de demande de nouveau dieux : ainsi même le judaïsme, de ce fait, a pu être évolutionné !!!!!!, en se faisant judéo-jésusisme : l’évolution a été à la fois une révolution (retour en arrière) et une évolution : toutes nouvelles règles   (je suppose, n’ayant rien à voir avec le judaïsme),
il faut une nouvelle époque : ainsi : les soldats romains : se mettent eux sous la protection de mytrha (quittant leurs dieux romains !) : le dieu qui chevauche un taureau, un dieu sanguinaire, cela les conforte dans leur droit de tuer, c’est très pratique pour eux
tel grand personnage romain s’accompagne d’une grand prêtresse orientale…
 gnose
gnose = connaissance   / alors possible : connaissance : le dieu judaïque créateur était donc (pour eux) : Satan, alors, il faut le savoir : et échapper à ce monde : en ayant connaissance de l’autre dieu : le dieu bienveillant : on peut supporter le mal terrestre, on peut s’en détacher, mais seuls certains peuvent le faire : la plupart des hommes resteront des grands attachés au monde démoniaque
ce n’est pas loin de ma théorie des 3 Niveaux (voir leREincarnomicon sur ce compte Tumblr) : le Niveau1 : faire avec le monde de la réalité / possible  car : un Niveau2 existe : pouvant cette fois privilégier : une meilleur façon d’exister par l’esprit cette fois
possible :   erreur sur : saint etienne,        j’avais mal compris, suite à un mauvais enchainement dans origine du christianisme de prieur et mordillât
possible erreur sur flavius josèphe, qu’au début je voyais exister bien + tard…
possible erreur  avec le jacques   qui a été trucidé    / il y a notamment : 3 jacques   , le majeur,le mineur, et « le juste », dit le cousin de jésus (ou son frère)   
tout dans les écrits chretiens est propagande, et on n’a que ça   / et à partir de : (jésus tranformé en messie »
jésus     24    completé en janvier 2024
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wvduun · 8 months
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Zoom sur "Elma" de Eva Björg Ægisdóttir
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J'aimerais vous parler d'un livre que j'ai découvert en début d'année, par hasard dans une gare, et qui m'a touché de par son écriture et des thèmes abordés. Ce livre est un polar qui se situe en Islande et, je l'admet, comme ça fait du bien de découvrir de nouveaux paysages et une nouvelle culture, bien loin de celle anglophone auquel nous sommes tout.es habitué.es à force.
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Photo de Peter Holmboe
Je le dis sans détour, ce livre mérite son prix, celui du meilleur polar de 2023. L'intrigue est, à mon sens, bien ficelle, on s'y perd dans cette enquête qui tire sur la longueur et pour le mieux, car la révélation final est en tout point glaçante.
Nous suivons donc l'histoire d'Elma, qui prête son nom à ce premier tome. Elle retourne à Akranes, ville morose qu'elle a pourtant fuie dès qu'elle la put. Notre protagoniste y retrouve ses parents, mais aussi sa sœur avec qui elle entretient une relation conflictuelle. Elle essaie de repartir à zéro, de reconstruire sa vie et ne plus penser à son ex-copain.
Elma est aussi grise que cette ville décrite comme terme, vieillotte. L'autrice sait planter le décor, car on y ressent toute la tristesse du lieu qui, une nuit, sera le théâtre d'un meurtre.
Une femme est retrouvée là, au pied d'un phare et c'est là le début de l'enfer. On plonge avec Elma et à côté de ça, on découvre les souvenirs de la petite fille qu'on aurait aimé jamais lire. Et la fin ? Que dire de cette fin ? Elle m'a laissé sans voix, elle est inattendu et criante de vérité, d'une dure réalité.
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Photo de Casey Allen
Elma n'est pas non plus un énième polar, c'est certainement ça qui fait toute sa force. Notre protagoniste est plutôt passif, elle subit les événements professionnels comme personnel. Je me suis aussitôt attaché à elle, car j'suis aussi paumé qu'elle dans ma vie. Je me suis reconnu dans ses doutes, dans une partie de son vécu et par moments, j'ai eu tellement envie de la réconforter, comme cette petite fille.
Mais comment vous parler de ce livre, sans vous parler d'actualité. Parce que c'est loin de chez nous, on ne s'en inquiète pas, ou alors on tend à applaudir ce pays qui "bat tous les records en termes de droit des femmes". Ce qui est faux, ne serait-ce que le salaire qui est plus bas que celui des hommes, si bien qu'il y a quelques semaines, la première ministre et une grande majorité de femme ont manifesté pour de meilleures égalités.
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image provenant du compte officiel du président de l'Islande, publié le 24 octobre 2023.
L'autrice nous montre ce qu'est la vie d'une femme en Islande tout en étant subtile tant le sexisme est normalisé, comme par chez nous, en somme.
Ce fut, dans tous les cas, une lecture riche en émotion ; j'ai ri, ressentit de la peine, de l'horreur, de la compassion, j'en ai pleuré. Ce livre m'a chamboulé et j'espère qu'il ne vous laissera pas indifférent. En-tout-cas, j'ai découvert une autrice d'un grand talent.
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hecatt · 9 months
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WITCH and GOD T.3
Liv Stone
Insoumise Méroé
🏺Comment ne pas tomber amoureuse de ce dieu des forges ?!
⚠️ Attention ⚠️ ce post contient des spoil ⚠️
Quand j’ai commencé cette trilogie, Méroé était, pour moi, la sœur avec l’histoire la moins attirante.
Au milieu, avec une petite sœur sans dons mais au final qui en a car on lui a caché dès sa naissance (beaucoup de rebondissements dans le tome 1), une grande sœur destinée à être une des guides de leur communauté. Elle était juste celle du milieu.
Tome 1 : Ella la promise : premier livre de cette trilogie, il avait tout pour marquer, la nouveauté, l’histoire d’amour inattendue (mais attendue), les complots et révélations. Ella est douce, Deimos est la terreur incarnée. Elle va réussir à le rendre heureux et à adoucir la terreur même.
Tome 2 : L’enlèvement de Circé : on suit la sœur qui va être guide, l’aînée des trois, qui meurt. Son histoire avec Hermès semble plus vraie que celle d’Ella, ils se connaissent depuis longtemps sans jamais avouer leurs sentiments jusqu’à ce que Circé ne soit aux Enfers. Ce second tome montre la détermination de Circé et l’amour à toute épreuve avec Hermès.
Voici le dernier tome de cette trilogie
Insoumise Méroé. Au début j’avais un peu peur… qu’allait elle nous apporter ? Ses deux sœurs ayant déjà presque tout.
Puis j’ai énormément douté quand elle se retrouve avec Zeus… son peu de confiance en elle, le fait de se dévaloriser autant … j’ai eu peur qu’elle cède pour qu’elle aussi ait une place dans ce monde ? Qu’elle soit aussi reconnue … heureusement que son côté impétueux l’amène aux forges
D’ailleurs la rencontre entre les deux je la trouve un peu maladroite mais ce détail est vite balayé par leur histoire, et quelle histoire … je fonds pour Hephaistos
Si on se concentre sur l’histoire des dieux et des sorcières, sur les complots, la bataille à venir, la mise en place de tout ça c’est CAPTIVANT . Surtout l’histoire qui se cache derrière le dieu des forges, on comprend pourquoi il est isolé, sa rancœur. La malédiction qu’il subi mais qui a touché son âme sœur avant même qu’elle ne soit née, Méroé.
Or si maintenant on se concentre sur l’histoire de Méroé et Hephaistos … mais que dire …
Tous les oppose et finalement tout est fait pour qu’ils s’attirent … un de mes passages préférés et la danse qu’ils partagent, le moment où Hephaistos lui avoue qu’elle l’attire, sans parler du premier baiser sur Aiaía et ce qui va avec …
Elle est compréhensive avec lui, le défend même si elle a subit la malédiction sans le savoir, elle lutte contre pour éprouver cet amour qu’elle sait qu’il est normal de ressentir, elle se bat pour le ressentir car elle sent au fond d’elle que c’est Lui.
Lui est attentionné avec elle, il a peur de la rendre malheureuse mais en même temps sait qu’il l’a comble.
Leur premier « je t’aime » m’a littéralement fait fondre. Pas le moment le plus adéquat mais il fait du bien à lire…
Au final c’est leur histoire qui reste ma préféré. Il n’est pas question de mariage, d’enfants, juste deux êtres qui s’aiment malgré tous les obstacles et préjugés.
En lisant le premier tome, je me suis dis, voilà une histoire pour détendre mais j’avais envie de savoir ce qui allait se passer de l’histoire des complots et tout le reste.
Le deuxième tome m’a plu car Circé est davantage plus réaliste dans ses sentiments.
Mais le dernier tome … il est de loin le meilleur pour moi!! Je me suis reconnue en Méroé, étant aussi une fille du milieu avec des autres sœurs.
J’ai réussir à dire mon premier « je t’aime » qu’à l’âge de 19ans à l’homme avec lequel je suis encore actuellement soit 11ans plus tard, avant même si j’ai eu des flirts ça n’allait jamais au delà et jamais eu ce sentiment au point de le dire. Je ne pensais pas être capable de quoi que ce soit, comme elle, je ne me trouvais pas de place au milieu de mes deux sœurs. Mais finalement tout s’est arrangé ;)
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claudehenrion · 2 years
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Pour une écologie qui s'occupe (enfin)... de l'écologie -         ( II ) : ''Nihil novi sub sole''!
  Nous citions hier l'excellent livre ''L'écologie, champ de bataille théologique'', de Stéphane Lavignotte, pour regretter, une fois de plus, que la Gauche, qu'elle soit ou non macronienne, soit incapable de se sortir de ses vieux démons, et de poser quelque problème que ce soit autrement qu'à travers le prisme déformant de ses dadas éculés, démontrés faux, pervers et ''sans espoir''... et accusant le même coupable, depuis Rousseau (’’JJ’’, pas Sandrine ! Soyons sérieux !) : l'Eglise, même devenue une fraction de ce qu'elle était ! Quant aux problèmes (réels) que pose l'évolution des climats, il faudra se contenter de la liste des ''progrès'' qui n’en sont pas, et de l'absence de solutions pour résoudre de faux problèmes mal posés !
Contre toute vérité et contre toute intelligence, des jocrisses écolodoules (NB : du grec δουλεία / douleia = ''qui obéit à'') n'ont rien trouvé de mieux que d'accuser le christianisme d'être responsable de l'état de la Planète, qu'ils décrivent comme catastrophique et, ajoutent-ils, par la faute de l'homme : une lecture ''humaniste'' de la nature par le christianisme serait la cause de tout ce qui va mal dans leur univers vraiment atroce. C'est depuis le milieu des années '60 qu'une histoire revisitée a trouvé pignon sur rue : la souveraineté ''confiée'' à l'homme par les Ecritures sur les terres et les animaux serait à la base d'un impardonnable ''péché originel contre l'écologie''. Le christianisme, trop anthropo-centré pour ces adorateurs de toute contrainte liberticide, aurait développé une arrogance excessive et imméritée et un désir fou de domestiquer la nature et ses autres composants... en les esquintant, cela va de soi : on prête à autrui ce que l'on ferait soi-même, dans cette situation
Le vieux mythe rousseauiste du ''paradis perdu'' se cache dans ces idées  ''hors sol'' :  jusqu'à l'agression (?) qu’a été une vision chrétienne du monde, l'Homme aurait été intrinsèquement bon, les sociétés, fraternelles, et les rapports avec la nature, harmonieux... Et que toute cette invention soit un gigantesque bobard mille fois démontré ne suffit pas à ce qu'on revienne à une vue plus réaliste de ''ce qui s'est vraiment passé'' : les chasseurs-cueilleurs du pléistocène, qui peuplaient la Terre (un peu) lors de l'extinction d'une partie de la mégafaune du pliocène et des méga-glaciations suivies de notre holocène inter-glaciaire, se seraient sauvés, si on leur avait parlé de l'humanisme chrétien ! C’est absurde ! Comment osent-ils ?
Et pourtant l'encyclique ''Laudato sí'', en personnifiant la Terre --présentée comme une victime--  peut être lue comme un gage donné à cette lecture ''trop anthropo-centrée'' de la Révélation chrétienne; ou un gage donné à ce néo-paganisme qu'est l'écologisme. A moins que, comme Alain de Benoist, on ne voie dans  l'exaltation de ce folklore réinventé un moyen de s'attaquer aux racines-mêmes de notre héritage humaniste et chrétien qui est un de axes majeurs de la civilisation occidentale...
C'est un truisme de dire que tout le monde veut l'harmonie entre l'homme et son environnement ! Mais la vraie écologie scientifique ne peut être que descriptive des interactions entre les êtres et les choses : ce n'est pas un ring de catch entre de vagues idées antagonistes. Partant, elle ne saurait se transformer en ''petit livre rouge'' de prescriptions et d'interdits. Un exemple évident ? Au XIV ème siècle, Paris ne comptait que 200 000 habitants, mais la pollution tuait infiniment plus que dans notre Paris d'aujourd'hui, avec les 2 millions d'habitants intra-muros et les 7 à 8 millions du Grand Paris : la contemplation stérile d'un passé qui --en plus !-- n'a jamais existé, ne devrait pas résister longtemps à la dure loi des chiffres, et la vulgate écologiste, ses fausses vérités, ses fausses recettes, ses fausses évidences gaucho-progressouillo-mensongères devrait céder le pas à une écoute attentive des vrais messages qu'envoie sans cesse la nature... et qui n'ont rien --mais alors... vraiment RIEN !-- à voir avec un seul des fantasmes prétendument ''sociétaux'' que brandissent les soi-disant ''écolos'' qui ne sont que des vecteurs du malheur de l'humanité, et qui se foutent du destin de la planète (cf. la bienveillance des ''Grünen'' allemands devant le rallumage des centrales à charbon, entre autres : une lettre à la poste !).
Une fois de plus, nous voici ramenés à nos ''fondamentaux'' : tout d'abord à l'analyse de GK Chesterton, que nous citons souvent tant elle est une clé pour comprendre où, comment et pourquoi le monde moderne s'est fourvoyé dans une épuisante et infructueuse recherche de ce qu'il a à portée de la main mais qu'il refuse de voir : ''Le monde moderne est plein d'anciennes vertus chrétiennes devenus folles''.  Ensuite et surtout, en se référant au seul texte qui puisse faire autorité, la Genèse et son livre premier, dont la beauté est éternelle. Relisons ensemble, si vous le voulez bien, les paragraphes 26 à 30 de ce Livre 1 :
 26 Dieu dit : ''Que l'Homme soit le maître des poissons de la mer, des oiseaux du ciel, des bestiaux, de toutes les bêtes sauvages, et de toutes les bestioles qui vont et viennent sur la terre''.                                                                                            27 Dieu créa l’homme, puis ensemble, il les créa, homme et femme. [NB : on comprend la haine d’une Sandrine Rousseau pour la Foi et l’Eglise ! ]                         28 Dieu les bénit et leur dit : ''Fructifiez, soyez féconds, remplissez la terre et soumettez-la. Soyez les maîtres des poissons de la mer, des oiseaux du ciel, et des animaux qui vont et viennent sur la terre''.                                                                      29 Dieu dit encore : ''Je vous donne toute plante qui porte sa semence sur toute la terre, et tout arbre dont le fruit porte semence : telle sera votre nourriture''.              30 À tous les animaux de la terre, à tous les oiseaux du ciel, à tout ce qui va et vient sur la terre et qui a souffle de vie, je donne comme nourriture toute herbe verte.] Et il en fut ainsi.
Il est difficile de trouver un texte qui soit plus massivement ''écolo'' que la Bible et surtout que sa partie ''Le Nouveau Testament'' : mis à part des traités spécialisés, nulle part on ne parle autant d'oliviers, de figuiers, de champs de blé, de sycomores ou d'autres arbres, ou bien d'agneaux, de moutons, des ''oiseaux du ciel'', de poissons, petits ou grands, et même de saisons, des parfums de la nature. L'ensemble du système de référence chrétien est joliment agreste, champêtre, pastoral... à en être parfois bucolique ! Une grande partie de la saveur des écritures réside dans un contact permanent avec un univers tellement éloigné de nos usines, de nos écrans multiples, de notre ''divorce'' avec le Vrai, le Sensé, ce qu''ils'' appellent leur ''vivre ensemble'' et tout le fatras prétendu ''sociétal'' qu'on nous fait croire ''Bon pour l'Homme'' alors qu'il ne le conduit qu'à son malheur individuel et collectif... Chaque fois que je me replonge (avec délices) dans la lecture des textes bibliques, je me demande comment les fabricants de laideur et les créateurs de mensonges qui se sont institués ''maîtres à penser --de traviole'' peuvent oser affirmer qu'ils trouvent là le contraire exact de tout ce qui y est écrit !
Dieu, évidemment, n'a jamais dit  ''exploitez tout comme des cochons, salopez tout ce que je vous ai donné, cassez, salissez, ruinez, consommez, soyez indignes et imprévoyants, comportez-vous en ''antifas'' standards ou en gréviste ''CGT-2022''... pas plus qu'il n’a dit, lui, ''emmerdez ceux qui ne pensent pas selon les grandes lignes de vos marottes –même néfastes à terme''. Et en plus, comme pour en remettre une couche, comme par prudence, bien plus tard (en temps ''non-humain''), le Christ est venu, pour expliquer que ''le bon maître est celui qui soigne son héritage, qui protège ce qui existe, qui traite dignement tout ce qui est à lui et le fait ''fructifier'' (''Fructifier'', ou donner de beaux fruits, est un des mots les plus fréquents du nouveau Testament. C’est d'ailleurs le premier mot que Dieu dit à l'Homme --Gn 1,28, ci-dessus. Et ‘’ils’’ prétendent avoir inventé l'écologie !).
Il a fallu des siècles de lecture mal intentionnée pour arriver à faire dire à tous ces textes ce qu'ils ne disent pas, et la ''lutte des classes'' --qui a tellement contribué à faire sombrer l'humanité dans le malheur le plus profond-- a semé une graine terrible : la gauche récite, avec JJ. Rousseau, que l'homme serait bon par nature... alors qu'elle croit vraiment, avec Marx et Lénine, qu'il n'est capable que du mal, voire du pire : mauvais gestionnaire de la planète, héritier indigne, mauvais jardinier, puis mauvais patron, avide et avare, affameur du peuple, injuste et égoïste (cf la vulgate coco !). On se demande... Mais si vous trouvez la moindre cohérence dans le fatras conceptuel qui nous est présenté comme une ligne de conduite (vers le cimetière !), je suis preneur ! (à suivre).
H-Cl
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