#laissez nous être ce que l'on veut
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auboutdespages · 9 months ago
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Notre rendez-vous du mois!
Hello mes papivores 2.0, et bienvenue à notre rendez-vous du mois qui s'annonce riche en émotions comme le premier. Aujourd'hui, je vous garde dans le même univers que mon précédent article, mais celui ci est un peu plus je dirais … GLAUQUE! L'écrivaine Louise Mey, auteure engagée au style on ne peut plus percutant, sait nous captiver, nous lecteurs dès les premières pages. Et ce que j'adore par dessus tout avec cette grande dame bourrée de talents c'est le fait que la plupart de ses thèmes repose sur des sujets sensibles et d'actualité, tels que les féminicides, les manipulations psychologiques, les secrets de famille et les injustices sociales.
C'est exactement dans un thème comme ceux suscités que je me suis plongée récemment. Laissez vous submerger d'émotions (je vous promets très débordantes), dans ce thriller psycho dramatique de Louise Mey: LA DEUXIEME FEMME .
Le PITCH d'abord!
Sandrine a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux enfants magnifiques, une vie paisible. Mais un jour, tout bascule. Son mari, Thomas, lui annonce qu'il a retrouvé son ex-femme, Clara, disparue depuis des années. Sandrine se retrouve alors en proie à un sentiment de jalousie et de peur qui va crescendo. Qui est vraiment Clara ? Que veut-elle ? Sandrine est-elle en danger ?
Mon avis, toujours HUMBLEMENT!
Louise Mey sait d'habitude comment tenir son lecteur en haleine. Dès les premières pages, on est happé par l'intrigue et on a du mal à lâcher le livre. L'auteure distille savamment les indices et les rebondissements, nous menant sur de fausses pistes et nous surprenant jusqu'au dénouement final. Par contre dans ce thriller, j'ai eu beaucoup de mal aux premières pages qui ennuyaient très vite et qui ont bien failli me faire laisser tomber ce livre (heureusement que non!). On nous présente Sandrine, jeune femme ordinaire envahie de complexes (sentiment normal je vous assure!), essayant de vivre sa vie paisiblement. Son univers bascule quand son mari Thomas (attention à tous les "Thomas" de votre entourage après ça!) lui annonce qu'il a retrouvé son ex femme auparavant mystérieusement disparue… Le retour de Clara (personnage très atypique), l'ex-femme de son mari, agit comme un tremblement de terre, ravivant des blessures enfouies et semant le doute et la peur dans son esprit. Le roman explore avec profondeur les sentiments complexes de Sandrine, tiraillée entre la jalousie, la colère et l'espoir de sauver son mariage. Sa confrontation avec Clara est électrique, chaque mot résonnant comme un coup de poignard dans une atmosphère de tension palpable.
La Deuxième Femme n'est pas seulement un thriller psychologique, mais également un récit poignant sur la place des femmes dans la société. Louise Mey met en lumière les injustices et les violences auxquelles elles sont confrontées, soulignant la douleur et la solitude ressenties par celles qui se retrouvent dans l'ombre d'une autre femme. C'est un livre poignant et bouleversant qui ne se résume pas à une simple intrigue policière. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et aux répercussions profondes de nos choix. Un récit qui m'a profondément marquée et qui m'a amenée à réfléchir sur la force et la résilience des femmes face à l'adversité. Ce qui rend ce livre particulier est le partage incroyable de sentiments que l'on peu avoir avec Sandrine: l'insécurité, la peur à chaque fois que son mari rentrait du travail, la douleur des coups qu'elle recevait, l'humiliation servie par Thomas et surtout la RAGE de vaincre et de se sortir de là une fois le déclic eu… La fois de trop! Attention, les violences psychologique et physique peuvent être difficiles à lire pour certains.
J'ai clairement savouré avec amertume (pour être honnête) ce livre et je le recommande à tous les lecteurs qui recherchent un roman intense et poignant, les amateurs de thrillers psychologiques et les personnes sensibles aux questions de société et aux violences faites aux femmes.
Vous pouvez vous procurer cette merveille au Supermarch�� CARREFOUR à PLAYCE, quartier WARDA à Yaoundé au rayon bibliothèque.
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barbiemonamie · 1 year ago
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Suffisamment
Je t'aime Passionnément, tu m'aimes Suffisamment, pour que je reste Mais pourquoi je reste? Sûrement, parce que je t'aime Passionnément, tu m'aimes Suffisamment, pour que je reste Mais pourquoi je reste?L'amour est tel Que l'on pardonne tout Personne de nous n'est fou Si ce n'est d'amour On entend, on voit On ne veut pas Non, je ne suis pas aveugle Je n'veux juste pas voir Laissez-moi y croire Laissez-moi pleurerTout ça parce que je t'aime Passionnément, tu m'aimes Suffisamment, pour que je reste Mais pourquoi je reste?Mais parce que, moi, je t'aime Passionnément, tu m'aimes Suffisamment, pour que je reste Pourquoi je reste?Un jour peut-être tu m'aimeras À la folie, comme je t'aime, toi Un jour peut-être tu m'aimeras Un jour Peut-être Mais pour l'instant, moi, je t'aime Passionnément, et toi, tu m'aimes Suffisamment, pour que je reste Alors pour toi, je reste
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nutraexperts · 14 days ago
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JAVA BURN : TRANSFORMEZ VOTRE CAFÉ EN ÉNERGIE ! ☕🔥
Vous vous êtes déjà demandé comment booster votre énergie tout en perdant du poids ?
La lutte contre les kilos superflus peut être épuisante et frustrante.
C’est là que java burn entre en scène.
Ce complément pourrait bien être la solution que vous attendiez pour transformer votre routine matinale.
Imaginez un café qui ne fait pas juste office de réveille-matin, mais qui aide aussi à brûler des graisses !
Restez avec moi pour découvrir comment java burn peut changer la donne pour votre santé et votre bien-être.
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Java Burn
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Quand on parle de Java Burn, on évoque une approche unique pour booster notre santé et notre métabolisme.
Je suis sûr que vous avez déjà ressenti ce moment où l'on se regarde dans le miroir et qu'on se demande si on pourrait faire mieux.
Peut-être que vous avez essayé différentes méthodes pour perdre du poids sans succès.
Ou peut-être que vous cherchez juste à améliorer votre bien-être général.
Laissez-moi vous parler de ce produit qui a fait des vagues : Java Burn.
Qu'est-ce Que Java Burn ?
Java Burn est un complément alimentaire en poudre conçu pour être ajouté à votre café quotidien.
Son objectif ? Transformer cette simple tasse de café en un puissant allié pour votre métabolisme.
Imaginez commencer chaque matin avec une boisson qui non seulement réveille vos sens, mais active également votre métabolisme.
C'est exactement ce que fait Java Burn.
Avec ses ingrédients naturels, il vise à augmenter la combustion des graisses tout en améliorant votre niveau d'énergie.
Les Bénéfices Pour La Santé
Quand je pense aux bénéfices de Java Burn, plusieurs choses me viennent à l'esprit :
Amélioration du Métabolisme : Grâce à ses ingrédients soigneusement sélectionnés, Java Burn aide à stimuler le métabolisme, ce qui signifie que vous brûlez plus de calories même au repos.
Soutien Énergétique : Qui ne veut pas d'un petit coup de fouet le matin ? Avec Java Burn, non seulement vous profitez d'une bonne tasse de café, mais vous ajoutez aussi un supplément d'énergie durable.
Contrôle du Poids : Si la gestion du poids est un défi pour vous, sachez que beaucoup ont trouvé leur solution avec Java Burn. En augmentant la thermogenèse (la production de chaleur par le corps), il aide à brûler les graisses stockées.
Amélioration de l'Humeur : Un bon café peut déjà faire des merveilles sur votre humeur, alors imaginez les effets positifs supplémentaires apportés par Java Burn !
Témoignages Réels
Rien ne vaut les témoignages réels pour comprendre l'impact d'un produit comme Java Burn. Voici quelques retours :
"J'ai commencé à utiliser Java Burn il y a un mois et je peux vraiment dire que ça a changé ma routine matinale ! Je me sens plus énergique et j'ai perdu quelques kilos sans effort." - Marie, 34 ans
"Je n'étais pas sûr au début, mais après avoir essayé Java Burn, je suis convaincu ! Mon appétit est plus régulé et je me sens bien dans ma peau." - Julien, 28 ans
Ces histoires montrent comment des gens comme nous peuvent tirer parti des avantages offerts par ce produit.
Pourquoi Choisir Java Burn ?
Il existe beaucoup de produits sur le marché promettant des résultats similaires. Mais pourquoi choisir spécifiquement Java Burn ?
Ingrédients Naturels : Contrairement à certains suppléments bourrés d'additifs chimiques, tous les ingrédients de Java Burn sont naturels et bénéfiques pour la santé.
Facilité d'Utilisation : Ajouter une cuillère dans votre café est tellement simple ! Pas besoin de préparer un smoothie compliqué ou de suivre un régime strict.
Résultats Rapides : Beaucoup d'utilisateurs rapportent des résultats visibles dès les premières semaines d'utilisation.
Satisfaction Clientèle Élevée : Les avis sont généralement très positifs concernant l'efficacité et le goût.
Comment Intégrer Java Burn Dans Votre Routine ?
Intégrer Java Burn dans votre routine quotidienne est facile :
Ajoutez simplement une dose au café chaud ou froid chaque matin.
Mélangez bien jusqu'à dissolution complète.
Profitez-en pendant vos moments tranquilles du matin !
C'est tout ! Vous commencez ainsi chaque journée avec une énergie renouvelée et une motivation accrue pour atteindre vos objectifs personnels.
Conclusion Personnelle
Si vous êtes fatigué des solutions temporaires qui n'apportent pas les résultats escomptés,
Donnez une chance à Java Burn.
Ce n'est pas juste un autre supplément ; c'est une façon intelligente d'améliorer votre santé tout en savourant quelque chose que vous aimez déjà – le café !
Ne laissez pas passer cette opportunité ; commencez dès aujourd'hui et ressentez la différence par vous-même !
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FAQ
Qu'est-ce que Java Burn ?
Java Burn est un complément alimentaire conçu pour améliorer le métabolisme. Il se présente sous forme de poudre que vous ajoutez à votre café. L'idée, c’est de booster la combustion des graisses tout en profitant de votre tasse quotidienne.
Comment utiliser Java Burn ?
C'est simple. Ajoutez simplement une dose de la poudre à votre café du matin. Mélangez bien et profitez-en. Pas besoin de changer vos habitudes alimentaires drastiquement.
Quels sont les ingrédients principaux de Java Burn ?
Java Burn contient des extraits naturels qui favorisent le métabolisme. Les détails spécifiques peuvent varier, mais l'accent est mis sur des ingrédients qui soutiennent la perte de poids et l'énergie.
Est-ce que Java Burn a des effets secondaires ?
Pour beaucoup, Java Burn est bien toléré. Cependant, comme avec tout complément, il est bon d'écouter son corps. Si quelque chose ne va pas, consultez un professionnel.
Qui peut prendre Java Burn ?
Tout le monde peut essayer Java Burn, mais c’est particuli��rement intéressant pour ceux qui cherchent à perdre du poids ou à augmenter leur niveau d'énergie au quotidien.
Combien de temps faut-il pour voir les résultats avec Java Burn ?
Les résultats varient d’une personne à l’autre. Certains commencent à sentir une différence en quelques semaines, tandis que d'autres peuvent prendre un peu plus de temps.
Puis-je prendre Java Burn avec d'autres compléments ?
En général, oui. Mais si vous prenez déjà d'autres suppléments ou médicaments, mieux vaut demander conseil à un médecin avant d’ajouter quoi que ce soit.
Où puis-je acheter Java Burn ?
Java Burn est souvent disponible en ligne sur divers sites marchands. Assurez-vous d’acheter sur des plateformes fiables pour éviter les contrefaçons.
Quelle est la durée de conservation de Java Burn ?
Une fois ouvert, il est conseillé de consommer le produit dans les six mois pour garantir sa fraîcheur et son efficacité. Rangez-le dans un endroit frais et sec.
Y a-t-il une garantie satisfait ou remboursé avec Java Burn ?
Oui, beaucoup de fournisseurs offrent une garantie satisfait ou remboursé. Cela vous permet d'essayer sans trop risquer votre argent si ça ne fonctionne pas pour vous.
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christophe76460 · 5 months ago
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CADEAUX DE SATAN
Le Seigneur Jésus-Christ m'a emmené dans une boutique dans l'Esprit. Il me l'a montré en me montrant la pollution démoniaque dans le monde. Avec ses mains saintes, il a touché un magazine du monde. Il l'a ouvert et a dit, voyez-vous ça sur cette section ? Ce sont des démons sous forme humaine. Ils se sont habillés et posés de cette façon pour attirer les gens et jeter des esprits de masturbation. Il y avait des hommes et des femmes dans toutes sortes de poses séduisantes, jeunes et vieux.
Sur cet article, j'ai vu que c'était écrit : "Seul ? Vous n'avez plus à l'être, appelez notre numéro et connectez-vous. Le Seigneur a dit : « Ils veulent que les gens sortent avec eux. Ils veulent que les gens sortent avec des démons. Dites à ces jeunes impatients de m'attendre dans la prière pour un partenaire. Dites-leur d'arrêter de sortir avec des démons ! "
Le Seigneur m'a aussi dit que beaucoup de démons se font de la publicité sur Internet. Il a dit que les belles filles qui disent qu'elles cherchent l'amour sur Internet sont généralement des démons sous forme humaine ! Ils ont même mis leurs photos. Ne vous laissez pas tromper par eux.
Le Seigneur m'a aussi dit que le diable utilise des démons sous forme humaine pour faire de la publicité de la pornographie. On peut être sur Internet et un clic ici pour en voir plus apparaît soudainement. Le Seigneur m'a dit que ces démons jettent des sorts pour attirer les gens à regarder.
Une fois qu'ils auront réussi, ils vous infligeront l'Esprit de fornication, d'adultère, de mari spirituel, de femme et de masturbation. De tels jougs ne peuvent être brisés que par une prière sérieuse et un jeûne.
Il a dit que les Yokes mènent à de sérieux démoniaques
possession, folie dans certains cas, limitations dans la vie, mort spirituelle et éventuellement, les feux de l'enfer.
Puis le Seigneur Jésus-Christ m'a donné un message pour ceux qui ne sont toujours pas mariés. Il a dit qu'ils devraient l'attendre car il sait tout ce dont ils ont besoin. La bible nous dit de chercher d'abord le Royaume de Dieu et sa justice, puis toutes ces choses seront ajoutées. Le Seigneur a dit : « Depuis que j'ai révélé des démons sous forme humaine, je m'attends à ce que mes enfants prient davantage à propos de leurs partenaires. Pensent-ils que je leur mens sur le fait que les démons existent sous forme humaine ? Qu'ai-je à gagner à mentir ? Je suis le Seigneur et je ne mens pas, Numéros 23:19. Dis-leur ça
La plupart des gens qui sont désespérés finissent par épouser des démons sous forme humaine. "
Le Seigneur Jésus-Christ m'a dit que lorsqu'un chrétien veut se marier, il envoie l'homme ou la femme avec qui ils sont censés se marier. Mais en même temps, le diable envoie aussi son propre homme ou femme à cette personne.
Il a dit que cette personne de Satan apparaîtra généralement rapidement et peut sembler être la réponse à la prière. Si l'on se précipite sans demander au Seigneur à propos de cette personne, alors il finit par épouser quelqu'un qui lui a été donné par Satan.
Le Seigneur a dit : "Dis-leur de m'attendre et de vraiment avoir de mes nouvelles. Beaucoup de gens sont aveuglés par leur attirance pour cette personne qu'ils ne veulent pas me poser de questions sur eux. Ils se précipitent à cause de leurs émotions attisées. "
« Le diable jettera rapidement des sorts et des rêves à ce chrétien impatient et à cause de leur impatience et de leur empressement, ils diront que ces rêves viennent de moi. "
« Le diable en a capturé beaucoup de cette façon. Quand Satan t'a capturé avec son don, ta foi sera bientôt aspirée.
Ce mari ou cette femme utilisera divers moyens pour vous décourager. « Esaïe 34:16 dit : « Cherchez le livre du Seigneur et lisez ; aucun d'entre eux n'échouera, aucun d'eux ne manquera de compagnon. "Attendez le Seigneur dans la prière.
Le Seigneur m'a dit que beaucoup de gens sortent aussi avec des démons en ligne. Il a dit : "Découragez mes enfants de s'engager dans des rencontres en ligne ! « Le Seigneur a dit que les gens sortent avec des démons sous forme humaine et aussi des démons non déguisés grâce à des rencontres en ligne.
Il a dit que ces démons non déguisés sont dans leur forme démoniaque mais ont même des comptes Facebook ! Sur leurs comptes il y aura même une photo d'un homme, d'une femme, d'un garçon ou d'une fille juste pour berner les gens. Il m'a montré un démon avec un compte Facebook. C'était en forme d'une idole en pierre mais il avait même un nom d'utilisateur Facebook et une photo d'un homme sur son profil ! C'était près de la mer et le Seigneur m'a montré sa boîte de réception. C'était en ligne et parler à une femme. Il était écrit « bonjour » et les mots semblaient avoir été tapés et le message a été envoyé. C'était un démon !
Le Seigneur m'en a montré un autre, c'était un squelette complet et il continuait à bouger ses bras de haut en bas. Mais le Seigneur ma dit que c'était aussi sur Facebook et trompeuse les gens.
Puis le Seigneur a dit : Laissez-moi vous montrer la réalité des démons sous forme humaine. C'était comme si un rideau couvrait mes yeux et qu'il était soudainement tombé. J'ai vu beaucoup de gens qui étaient des démons sous forme humaine et même des gens que je connais personnellement.
Il m'a montré des gens dans ma classe à l'université, des gens à l'église, des gens à la maison, des gens dans les magasins, des gens sur Facebook, etc. Il m'a montré ceux qui étaient des démons sous forme humaine. Il a dit, je veux vous montrer la réalité de leur existence parce que beaucoup de gens pensent que ce n'est pas réel. Il a dit, je vais vous montrer quelques acteurs et musiciens à donner en exemple au monde. Alors ils sauront que c'est réel. N'ayez pas peur de l'homme car je suis le Dieu qui règne sur le ciel et la terre. Comme je dis, ça parle ! Sinon, j'aurai besoin du sang des nations de vos mains. J'ai vu des acteurs de films que je regardais quand j'étais dans le monde.
Il a dit : « Ces « gens » ont même des lignées familiales que vous pouvez tracer et même des adresses où ils vivent. Ils font tout cela pour prétendre qu'ils sont de vrais êtres humains et pour influencer les gens. Il a dit : "Regardez ces démons que vous regardiez dans les films. « Il m'a montré des actrices nigérianes, Patience Ozokwor, Ini Edo, Genevive Nnaji et Tonto Dikeh. Ce ne sont pas les seuls, mais je les donne juste comme exemple que les gens peuvent croire.
Ils sont partout dans le monde et dans toutes les races. Même dans les endroits les plus reculés. Tout ce qu'ils veulent ce sont des âmes humaines.
Il a dit : " Beaucoup de gens pensent que c'est une blague. Nommez les démons que les gens peuvent croire. Ce sont des films d'acteur pour capturer votre âme. Je te dis ma fille, beaucoup de gens diront que tu es folle mais je ne t'abandonnerai jamais. "
Puis il m'a montré un groupe de musique appelé 'IMAGINE DRAGONS. Il a dit : "Fille, vois-tu ce groupe de musique rock appelé Imagine dragons ? C'est un groupe de démons sous forme humaine. Ils chantent ces chants pour planter l'Esprit de mort chez ceux qui les écoutent. Sachez que les démons chantent même des chansons pour vous, agissent des films pour vous et conçoivent des vêtements et des modes indécents pour vous. L'enfer est inimaginable et il n'y a pas de sortie. C'est là qu'ils veulent que tu ailles. "
« Beaucoup de gens ne pensent pas que les gens proches d'eux peuvent être des démons sous forme humaine. Dites-leur qu'ils sont partout. Dites-leur de prier pour qu'ils puissent se tenir debout et surmonter. Ils ont la victoire sur le diable. "
Quand le Seigneur m'a montré les démons sous forme humaine, ils étaient si nombreux ! Si 10 personnes étaient sélectionnées au hasard, le moins de démons sous forme humaine serait il y en a deux. C'est le moindre nombre.
Ces démons sont comme de vrais humains et peuvent même être vos amis très proches. On ne peut les connaître que par le discernement. Ce sont de vrais démons du puits de l'enfer ! Ne vous laissez pas tromper.
J'ai également lu récemment le témoignage d'Emmanuel Samson Jude. Il a vu le diable en train d'instruire les démons de venir sous forme humaine pour épouser les humains. Il les a vus autant que des sables de la mer. Jésus-Christ est notre seul refuge. Nous sommes dans un monde sombre et nous devons être la lumière pour ceux qui sont trompés par ces démons. Priez sans mesure. Laissez vos prières déborder.
SHALOM
PAR: Zipporah Mushala
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POUR TOUS CEUX QUI SE DEMANDENT, SI JÉSUS EST VRAIMENT LE CRÉATEUR LUI-MÊME.
JE VAIS VOUS DONNER DES ARGUMENTS BASÉS SUR LA BIBLE, MAIS GARDÉS À L'ESPRIT, QUE SANS RÉVÉLATION PERSONNELLE DE LA PART DU CRÉATEUR LUI-MÊME, NE CROYEZ PERSONNE, MES CHERS AMIS.
Car à la fin, seul le Créateur peut vous définir toute chose, car Dieu est lui-même la vérité.
Rien dans le monde visible ou invisible n'a le doit de vous convaincre de quoi que ce soit, sauf Dieu lui-même.
N'est-ce pas ?
Si ce n'est pas votre façon de voir, j'ai une question :
En quoi êtes-vous sincère ou sérieux, si vous vous laissez convaincre, si ce n'est par Dieu lui-même au sujet de quoi que ce soit, cher ami(e) ?
Si Dieu seul est fiable, comment pouvez-vous vous confier en quelqu'un d'autre ou en quelque chose d'autre que le Créateur Lui-même ?
En effet, nous ne sommes plus dans le temps de croire quelqu'un ou un Livre Saint, même si c'est la Bible, sans que Dieu ne le confirme lui-même.
Car si tu crois quelque chose ou quelqu'un, et que tu ne peux dire que c'est Dieu lui-même qui t'a dit de croire la moindre chose que tu crois, tu démontres ne pas être sincère, ni sérieux et ni intègre.
Non, cher ami(e) ?
Pose-toi ces questions pour juger de ton sérieux, de ta sincérité et de ton intégrité, si tu le veux bien :
- Es-tu fidèle à la moindre de tes convictions personnelles, au point d'être prêt(e) à tout sacrifier pour y rester fidèle jusqu'à la fin de ta vie, comme Jésus l'a fait ?
- Es-tu fidèle à ta propre conscience au point de ne plus pouvoir du tout lui désobéir ?
NOUS SOMMES DANS LE TEMPS OÙ DIEU VEUT VOIR DES PERSONNES SUR TERRE, QUI SOIENT SI SÉRIEUSES AVEC LEUR PROPRES VIES, QU'ELLES RESSEMBLENT RÉELLEMENT AU SEIGNEUR JÉSUS.
En effet, le Seigneur nous a dit :
Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. - Matthieu 5:48 LSG
"Je vous dis cette vérité intemporelle : la personne qui me suit dans la foi, en croyant en moi, fera les mêmes miracles puissants que moi - et même des miracles plus grands encore, parce que je vais auprès de mon Père ! - Jean 14:12 TPT
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CAR L'ÉTERNITÉ, C'EST ÉTERNEL.
CELA NE S'ARRÊTE JAMAIS, MES CHERS AMIS.
Donc, si l'enfer et le paradis existent et qu'il y a réellement une vie après la mort, on ne peut plus s'amuser à ne pas recevoir de révélation personnelle de Dieu lui-même, au sujet de chaque sujet de la vie.
Car après la mort seul le Créateur sait ce qui se passe.
Aucun de nous ne le sait concrètement, car on n'est pas la vérité, qui est Dieu lui-même.
Non ?
DONC, NOUS SOMMES DÉSORMAIS DANS LE TEMPS, OÙ DIEU VEUT QUE L'ON VEUILLE DORÉNAVANT, QU'IL NOUS PARLE À CHACUN DE NOUS, LUI-MÊME, DE FAÇON PERSONNELLE ET INDIVIDUELLE.
LE SAVAIS-TU, CHER AMI(E) ?
En réalité, il en a toujours été ainsi, les vies d'Abraham, Hénoch, Job, etc. ..., nous témoignent de la réalité de la relation ou même de l'amitié que l'on peut avoir avec le Créateur.
Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. Je me laisserai trouver par vous, dit l'Éternel - Jérémie 29:13-14 LSG
Alors l'Éternel dit : Cacherai-je à Abraham ce que je vais faire ? - Genèse 18:17 LSG
Hénoc marcha avec Dieu; puis il ne fut plus, parce que Dieu le prit. - Genèse 5:24 LSG
L'Éternel répondit à Job du milieu de la tempête et dit - Job 40:6 LSG
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JE VOUS PARTAGE "UN MESSAGE QUE J'AI ENVOYÉ À UNE AMIE", QUI ME DISAIT QUE JÉSUS S'EST DÉFINI EN TANT QUE "FILS DE DIEU", ET NON EN TANT QUE LE CRÉATEUR LUI-MÊME.
Autre chose Jésus n'a jamais dit qu'il n'est pas Dieu.
L'exemple que tu as cité en disant qu'il a dit qu'il n'y a de bon que Dieu seul, n'est pas l'aveu qu'il n'est pas Dieu.
Je comprends que les gens aiment se donner de l'importance et donc Jésus a compris l'hypocrisie du jeune homme riche et il lui a répondu "il n'y a de bon que Dieu seul".
Car trop de personnes aiment les compliments ou l'hypocrisie et Jésus a voulu cassé cela, d'où le fait qu'il n'a pas accepté qu'on l'appelle une bonne personne.
Car Dieu résiste aux orgueilleux.
Jésus se laisse découvrir, que par les personnes humbles, pas par les personnes remplies d'orgueil.
Il faut savoir à qui Jésus s'adresse aussi, pour comprendre ce qu'il dit.
Il faut prendre cette phrase comme si Jésus corrigeait le jeune homme riche.
Avouer qu'on est Dieu est aussi de l'orgueil, c'est pour cela que Jésus par sa vie à prouver qu'il était Dieu.
Car il n'a jamais péché.
Tout être humain est obligé de pécher.
Il a dit qui de vous me convaincra de pécher.
Autre part, il dit que le diable n'a rien en lui.
Ce qui signifie que je ne suis pas influencé par le diable
1/3 des anges ont été influencés par le diable, à le suivre dans sa rébellion contre Dieu.
Un être humain que le prophète Ésaïe donne les noms ou les titres suivant ne peut être que Dieu lui-même :
Ésaïe 9:6 LSG
Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule ; On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix.
Si ce n'est pas Dieu, il y a un problème selon moi.
Non ?
Jésus est Père Éternel et Dieu puissant.
N'est-ce pas Dieu ?
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kisos-kay24 · 1 year ago
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Vous voyez la France ? Ouais ce beau pays, à ce qu'on dit. Vous voyez le monde ? Bel endroit hein ? Le monde à changé, Doré dit qu'il s'est déplacé. Déplacé de quoi ? Déplacé de son chemin initial. Vous voyez les Hommes ? A s'arracher la peau, et se tirer dessus à tour de rôle. On ressemble plus à rien. Nous, la race supposée supérieure ? Laissez moi rire. Elle vaut rien notre race. On s'entretue tous, on se critique les un et les autres. On se trompe et se trahit. On tue sans raison, et on tire avec notre raison. Les gens meurent, sous les coups des balles, des mots, des poings, des couteaux. Sous les coups des bombes, et d'un coup de jus. On se respecte plus, on est raciste, homophobe, et sexiste. On est les pires. Pires que ces bêtes dites sauvages. Comment on explique que des gens soient contraints de justifier leur sexualité ? Pour s'en prendre plein la gueule après. Qu'est-ce ça peut bien vous foutre ? Comment on explique, que certain se font tuer parce qu'ils sont pas blanc, et pas pétés de thunes ? Et qu'on cache tant bien que mal après. Comment on explique que l'on interdise le droit de faire ce qu'on veut de notre corps ? Pour se faire peut-être traiter de pute après ? Comment on explique les agressions sexuelles, et agressions tout court en fait, sur des personnes qui passent juste dans la rue, pour des raisons quelconques telles que "t'es bonne" ou "sale gay" ? Comment on explique les harcèlements? C'est un complexe d'infériorité ? Comment on explique tout ça hein ? Et ce ne sont que quelques exemples ! On s'envenime de ces choses mais on fait la même après ? On est à vomir. Une fille s'est faite harceler ? Oui faut faire quelque chose, mais est-ce que ça nous donne le droit d'harceler les personnes qui ont harcelés ? MDR. On nous dit "pays libre!" Et on nous ferme la bouche. Comment les gens, quand ils voient quelqu'un se faire agresser peuvent simplement juste filmer ? On doit rien dire, rien dire parce qu'on risque tout, une agression, un coup de couteau, et qui sait ? Une balle bien placée ? On essayait de s'échapper ? XD. C'est ça notre monde ? Mais comment pouvons nous penser que nous sommes supérieurs ? Nous sommes des bêtes sauvages. L'humanité me donne envie de gerber. Oui ce qu'on est et ce qu'on est devenu me dégoûte et me répugne. Alors ouais excès de colère de ma part, et j'ai bien le droit de vider mon sac, et si ça vous plait pas, bah allez vous faire voir parce que je fais ce que je veux
Et comme on dit, cogito ergo sum.
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leblogdemarinaetjeanmarie · 2 years ago
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JEUDI 5 JANVIER 2023 (Billet 5/5)
Notre « coup de gueule » de la semaine.
Une chose est sûre, comme Omar Sy est acteur mais aussi producteur du film « Tirailleurs » qui va sortir mercredi prochain, nous n’irons pas le voir. En plus, les quelques critiques qui ont déjà été publiées dans la Presse (avant la polémique) n’étant pas bonnes, cela nous conforte encore davantage dans notre choix.
Le texte ci-dessous est un peu long mais lisez-le bien attentivement. Omar Sy a beau ensuite s’être expliqué sur tous les médias de Gauche (dont le Huffington Post et dans l’émission « Quotidien » de Yann Barthès…), et même être défendu par Clémentine Autin (mais oui !), il n’en reste pas moins vrai que ce qu’il a dit est proprement scandaleux !
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« OMAR SY »
L'acteur a déclenché une polémique en déclarant que les Français se sentiraient plus touchés par le conflit en Ukraine que ceux qui font rage sur le continent africain. Marie-Laure Buisson (*) regrette l'ingratitude de l'acteur envers le pays qui, selon elle, lui a tout donné.
« Ainsi, cher Omar Sy, vous avez cru bon de déclarer au journal Le Parisien, à l'occasion de la promotion commerciale de votre dernier film « Tirailleurs » : « Je suis surpris que les gens soient si atteints (par le conflit en Ukraine). Ça veut dire que quand c'est en Afrique, vous êtes moins atteints ? ».
Une première réaction consiste à douter de votre sens logique, puisque vous affirmez que le fait de ressentir de l'empathie pour les Ukrainiens serait la preuve que l'on est moins atteint par l'émotion lorsqu'il s'agit des Africains. Avouez que votre envolée lyrique est assez déroutante, plutôt illogique sur un plan sémantique et qu'elle peut laisser le lecteur perplexe, voire choqué.
En vérité, à lire une telle déclaration, on est en droit de se demander si vous avez un compte à régler avec la France, ou si vous êtes simplement mal informé. Les nouvelles circulent pourtant rapidement de nos jours et arrivent quasiment partout à ceux qui veulent bien les lire : même au bord d'une piscine à Hollywood !
Dites-le franchement, cette déclaration est un procès d'intention doublé d'un mensonge historique, alors, laissez-moi vous rappeler quelques faits irréfutables. Oui la France s'intéresse au destin des Africains et à leur sécurité, tout autant qu'à celui des Ukrainiens. Sans doute avez-vous oublié que notre pays s'est engagé en Afrique dans le cadre de plusieurs opérations depuis le 11 janvier 2013 : ce jour-là, le président Hollande déclenchait l' « Opération Serval » à la demande des autorités maliennes, alors en proie à une attaque terroriste d'ampleur venant notamment des salafistes d'Ansar Dine. Cet engagement de l'armée française fit même dire au président Keïta le lendemain, 14 janvier, lors d'un sommet Afrique-France : « Le peuple Malien et moi-même n'oublierons jamais ce que le Mali vous doit ». Ce vibrant hommage rendu à la France illustre la reconnaissance que ce chef d'État ressentait pour notre pays, présenté alors comme le sauveur de la nation malienne. Apparemment, cet épisode vous a sans doute échappé. À moins que vous n'ayez une mémoire sélective.
Par la suite, la France s'est engagée dans l' « Opération Barkhane », pendant près de neuf ans, déployant à la fois des hommes, du matériel, et permettant aux populations civiles locales de bénéficier de l'aide au développement financée par notre pays, votre pays. Ainsi, durant neuf années, quatre mille hommes et femmes ont été déployés au Sahel tous les quatre mois afin de garantir la sécurité des Africains. Faites une opération mathématique simple, Omar Sy, et vous calculerez que ce sont 108.000 soldats français qui ont foulé du pied les terres sahéliennes afin de protéger les Africains de la mortelle menace terroriste. Avec courage, loin des plateaux de cinéma que vous avez l'habitude de fréquenter, ils ont combattu armes à la main Al Quaïda, Daesh, et tous leurs affidés qui oppriment les populations du Sahel.
Sur ces terres meurtries, au Mali, au Burkina Faso, au Niger, au Tchad, nous autres français avons perdu des soldats. Ils s'appelaient Cédric de Pierrepont, Pierre Bocquel, Karim El Arabi, Maxime Blasco, Samir Bajja, pour n'en citer que quelques-uns... Et vous, Omar Sy, vous êtes-vous senti « atteint » lorsque ces jeunes gens sont morts en servant ce pays que vous avez quitté pour vous installer aux États-Unis ? Vous êtes-vous senti « atteint » lorsque leurs cercueils ont traversé le pont Alexandre III pour être exposés dans la cour carrée des Invalides, avant un dernier hommage ? Allez, puisque l'on peut tout se dire, depuis la Californie où vous vivez, aviez-vous jamais entendu le nom de ces soldats, vos compatriotes, morts pour s'être engagés dans la protection des Africains du Sahel ?
En vérité, Omar Sy, vous n'avez jamais de mots aimables pour la France à laquelle vous devez tout, vous, l'enfant de Trappes. C'est en France que vous avez grandi, en France que vous avez connu vos premiers succès, que ce soit sur Canal + ou au cinéma. Ce sont les Français qui vous ont consacré, et adoubé dans le palmarès de leurs acteurs préférés. Alors que vous devriez être le plus bel ambassadeur de la réussite française, vous avez choisi, dès que cela vous a été possible, de vous exiler loin de ce pays qui vous a construit et auquel vous devez tout. Si vous ne semblez pas « atteint » par la moindre reconnaissance pour le pays qui a fait de vous une star de cinéma, au moins pouvez-vous cesser de le critiquer dès que vous en avez l'occasion.
Puisque vous vous trouvez exceptionnellement en France dans le cadre de la promotion de votre film, venez rendre visite aux soldats blessés dans le cadre des opérations militaires africaines. Bien plus jeunes que vous, ils sont hospitalisés dans plusieurs hôpitaux militaires, et ont perdu un bras, une jambe, une mâchoire, la vue. Les voir ainsi atteints dans leur chair sera certainement difficile, mais je vous fais une promesse : ces hommes-là, eux, ne sont pas des clowns. »
(*) Après avoir été auditrice à l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale (IHEDN), Marie-Laure Buisson a créé une fondation qui œuvre en faveur des militaires et de leurs familles, notamment les blessés au combat et les familles de soldats morts pour la France. Elle a également publié « Femmes combattantes » (2022, éd. Les Presses de la Cité).
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idereahellyeah · 3 years ago
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Quand aujourd'hui j'ai pris une grande décision : me désabonner sur Insta des comptes d'influenceurs qui m'épuise.
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plaidetchocolatchaud · 3 years ago
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Oh mais ça m'énerve, je viens de voire l'affiche du film Cruella, je ne sais pas si c'est l'affiche officielle ou pas, mais c'est marqué "On ne devient pas une légende en étant gentille" mais c'est quoi cette phrase à la con ???
Il me semble que l'on devient une légende (comme si ça devait être un but en soi..) en faisant quelque chose que d'autres gens n'ont pas fait, et ça peut-être très varié. Le caractère n'a rien à voire avec ça.
D'ailleurs les personnes que je qualifie de "légendes" notamment quand elles sont connues sont souvent plutôt "gentilles". Et ça fait que je les apprécie encore plus, je me dis que ce sont des gens normaux.
Après c'est sûr, que pour faire certaines choses, il faut du caractère de la volonté et de la détermination. Mais ça ne veut pas dire que les gens qui ont ces qualités ne sont pas "gentils". Et si tu ne veux pas buter des chiots pour te faire un manteau, tu ne sera jamais une "légende" ?
Très drôle aussi de constater que ça vient de Disney qui nous ont habitués à une version très manichéenne du monde, avec les gentils contre les méchants, à défaut de proposer une vraie réflexion sur ce que c'est d'être intègre ou non.
Disney, arrêtez vraiment de nous concocter des nanars à la destination des ados et jeunes adultes, vraiment, laissez la place à d'autres productions qui tentent de faire vraiment réfléchir son public, de l'ouvrir à d'autres choses (je n'avais pas vraiment râlé là-dessus, mais notre pratique culturelle d'adulte va donc maintenant se résumer à regarder des dessins animés que l'on a vu enfant d'une grosse firme américaine en version remixée ?) . Pour l'amour du ciel, je n'avais pas prévu de parler de ce film, ni de faire la critique à chaud de la phrase de son affiche, mais là je n'avais pas le choix.
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traitor-for-hire · 5 years ago
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Entre voisins
« Qu'est-ce que tu vas faire maintenant, Jo ? » demanda Meg par un après-midi enneigé, quand sa sœur traversa le couloir d'un pas lourd, en bottes de caoutchouc, vieux manteau et capuchon, avec un balai dans une main et une pelle dans l'autre.
« Je sors faire de l'exercice, répondit Jo avec une lueur malicieuse dans l'œil.
— J'aurais pensé que deux longues marches ce matin t'auraient suffi ! Le temps est froid et sinistre, et je te conseille de rester au chaud et au sec près du feu, comme moi, dit Meg avec un frisson.
— Comme si j'allais t'écouter ! Je ne peux pas rester tranquille toute la journée, et je n'ai rien d'un matou, je n'aime pas somnoler près du feu. J'aime les aventures, et je vais en trouver. »
Meg s'en retourna se rôtir les pieds et lire Ivanhoé, et Jo commença à creuser des chemins avec beaucoup d'énergie. La neige était fraîche, et avec son balai elle eut tôt fait de déblayer un chemin tout autour du jardin pour que Beth puisse se promener et faire prendre l'air aux poupées invalides quand le soleil sortirait. Il faut savoir que le jardin séparait la maison des March de celle de Mr. Laurence. Toutes les deux se trouvaient dans un quartier en banlieue de la ville, qui avait encore des allures de campagne, avec des bosquets et des pelouses, de grands jardins, et des rues calmes. Une haie basse séparait les deux propriétés. D'un côté se trouvait une vieille demeure aux murs bruns, l'air nue et miteuse en l'absence des plantes grimpantes qui la couvraient durant l'été et des fleurs qui l'entouraient alors. De l'autre côté se tenait un majestueux manoir de pierre, qui respirait le confort et le luxe, depuis le grand hangar pour les voitures et les jardins bien entretenus jusqu'à la serre et à toutes les belles choses que l'on pouvait entrapercevoir entre les luxueux rideaux.
Pourtant cela semblait être une maison solitaire et dépourvue de vie, car nul enfant ne jouait sur la pelouse, nulle figure maternelle ne souriait aux fenêtres, et peu de personnes entraient et sortaient, à l'exception du vieux monsieur et de son petit-fils.
Pour l'imagination vivace de Jo, cette belle maison était un genre de palais enchanté, plein de splendeurs et de délices dont nul ne profitait. Elle avait depuis longtemps voulu contempler ses trésors cachés, et faire connaissance avec le jeune Laurence, qui avait l'air d'en avoir envie, lui aussi, s'il savait seulement par où commencer. Depuis la fête, elle avait été plus décidée que jamais, et avait planifié bien des façons de se lier d'amitié avec lui, mais il ne s'était pas montré dernièrement et Jo commençait à penser qu'il était parti quand elle avait repéré un jour une tête brune à une fenêtre de l'étage, regardant tristement vers leur jardin où Beth et Amy se lançaient des boules de neige.
« Ce garçon manque cruellement de compagnie et d'amusements, se dit-elle. Son grand-père ne sait pas ce qui est bon pour lui, et le garde enfermé tout seul. Il a besoin d'une bande de joyeux garçons pour jouer avec lui, ou de quelqu'un de jeune et plein de vie. J'ai très envie d'aller sur place et de le dire au vieux monsieur ! »
L'idée amusa Jo, qui aimait à faire des choses osées et scandalisait toujours Meg par ses actes saugrenus. Ce plan « d'aller sur place », ne fut pas oublié. Et quand vint cet après-midi de neige, Jo se résolut à tenter ce qu'elle pouvait. Elle vit Mr. Laurence quitter la maison en voiture, et elle se creusa un chemin jusqu'à la haie, où elle s'arrêta pour observer les environs. Tous les rideaux étaient fermés aux fenêtres les plus basses, les domestiques hors de vue, et rien d'humain n'était visible à l'exception d'une tête aux boucles brunes inclinée sur une main fine, à une fenêtre de l'étage.
« Le voilà, pensa Jo. Pauvre garçon ! Tout seul et malade en ce jour lugubre. Comme c'est dommage ! Je vais lui jeter une boule de neige pour le faire regarder au dehors, et lui dire quelques mots gentils. »
Une poignée de neige s'envola, et la tête se tourna vivement, montrant un visage qui perdit son air apathique dans l'instant, comme les grands yeux s'illuminèrent et la bouche commença de sourire. Jo hocha la tête et rit, et agita son balai en appelant :
« Comment allez-vous ? Êtes-vous malade ? »
Laurie ouvrit la fenêtre, et croassa d'une voix rauque :
« Je vais mieux, merci. J'ai eu un mauvais rhume, et je suis resté dans ma chambre toute la semaine.
—  Je suis désolée. Avec quoi vous amusez-vous ?
—  Rien du tout. C'est aussi morne qu'un tombeau ici.
—  Ne lisez-vous pas ?
—  Pas beaucoup. On ne me laisse pas faire.
—  Personne ne peut vous faire la lecture ?
—  Grand-père le fait parfois, mais mes livres ne l'intéressent pas, et je déteste devoir tout le temps demander à Brooke.
—  Faites-venir quelqu'un pour vous voir, alors.
—  Il n'y a personne que je veuille voir. Les garçons font trop de tapage, et j'ai mal à la tête.
—  Il n'y a pas de gentille fille pour vous faire la lecture et vous distraire ? Les filles sont calmes et aiment jouer les infirmières.
—  Je n'en connais pas.
—  Vous nous connaissez, commença Jo, qui rit et s'interrompit.
—  C'est vrai ! Voulez-vous venir, s'il vous plaît ? s'écria Laurie.
—  Je ne suis ni calme ni gentille, mais je viendrai, si Mère le veut bien. Je vais le lui demander. Fermez la fenêtre, comme un gentil garçon, et attendez que je vienne. »
Sur ce, Jo repartit vers la maison, le balai sur l'épaule, en se demandant ce que les autres lui diraient. Laurie était tout excité à l'idée d'avoir de la compagnie, et se précipita pour se préparer, car, ainsi que Mrs. March l'avait dit, il était « un petit gentleman », et pour faire honneur à l'invitée à venir il passa une brosse dans ses cheveux bouclés, enfila un col propre, et tenta de mettre de l'ordre dans la pièce qui était tout sauf rangée, malgré la demi-douzaine de domestiques. À ce moment retentit un coup de sonnette, puis une voix décidée, qui demandait à voir « Mr. Laurie », et une servante stupéfaite vient en courant annoncer une jeune dame.
« Très bien, faites-la monter, c'est Miss Jo, » dit Laurie en allant à la porte de son petit parloir pour retrouver Jo, qui apparut, les joues roses et l'air ravie et tout à fait à son aise, avec une assiette couverte dans une main et les trois chatons de Beth dans l'autre.
« Me voici, avec armes et bagages, dit-elle sans préambule. Mère vous envoie son amour, et était contente que je puisse faire quelque chose pour vous. Meg a voulu que je vous amène un peu de son blanc-manger, qu'elle réussit fort bien, et Beth a pensé que ses chats vous apporteraient un peu de réconfort. Je savais que vous en ririez, mais je ne pouvais pas refuser, elle avait tellement envie de faire quelque chose. »
Il se trouva que la drôle d'idée de Beth était juste ce qu'il fallait, car tout en riant des chatons, Laurie oublia sa timidité, et devint aussitôt plus sociable.
« Cela semble trop beau pour être mangé, » dit-il en souriant de plaisir quand Jo découvrit l'assiette pour lui montrer le blanc-manger, entouré d'une guirlande de feuilles vertes et des fleurs écarlates du géranium préféré d'Amy.
« Ce n'est rien, elles ont toutes eu envie de faire quelque chose pour vous. Dites à la femme de chambre de le mettre de côté pour votre thé. C'est un mets si simple que vous pouvez en manger, et si moelleux, qu'il glissera sans vous faire mal à la gorge. Quelle belle chambre est-ce là !
—  Elle le serait si elle était mieux rangée, mais les domestiques sont paresseuses, et je ne sais pas comment les faire obéir. Cela me dérange, néanmoins.
—  Je vais arranger ça en deux minutes. Il y a seulement besoin de balayer l'âtre, comme ça, et de redresser ce qu'il y a sur le manteau de la cheminée, comme ça, et de mettre les livres ici, et les bouteilles là, et de détourner votre sofa de la lumière, et de regonfler un peu les oreillers. Voilà, maintenant, vous êtes bien installé. »
Et en effet, tandis qu'elle parlait et riait, Jo avait remis les choses en place et donné un air bien différent à la pièce. Laurie la regardait dans un silence respectueux, et quand elle lui fit signe de s'installer sur le sofa, il s'assit avec un soupir de satisfaction, en disant avec gratitude :
« Comme vous êtes gentille ! Oui, c'est ce que je voulais. Maintenant s'il vous plaît prenez le grand fauteuil et laissez-moi vous distraire.
—  Non, je suis venue vous distraire, vous. Voulez-vous que je lise à voix haute ? » dit Jo en regardant avec affection en direction de livres très tentants juste à portée de main.
�� Merci ! J'ai lu tous ceux là, et si cela ne vous dérange pas, j'aimerais mieux discuter, répondit Laurie.
—  Cela ne me dérange pas du tout. Je parlerai toute la journée si vous me laissez faire. Beth dit que je ne sais jamais quand m'arrêter.
—  Beth, c'est celle aux joues roses, qui reste souvent à la maison et sort parfois avec un petit panier ? demanda Laurie avec intérêt.
—  Oui, c'est Beth. C'est ma petite fille à moi, et elle est très gentille.
—  Meg est la jolie jeune fille, et celle aux cheveux bouclés est Amy, je crois ?
—  Comment savez-vous cela ? »
Laurie rougit, mais répondit franchement, « Eh bien, vous voyez, je vous entends souvent vous appeler les unes les autres, et quand je suis seul ici, je ne peux m'empêcher de regarder vers votre maison, vous avez toujours l'air de bien vous amuser. Je vous demande de pardonner mon impolitesse, mais parfois vous oubliez de baisser le rideau de la fenêtre aux fleurs. Et quand les lampes sont allumées, c'est comme regarder un tableau ; voir le feu, et vous toutes autour de la table avec votre mère. Son visage est juste en face, et elle a l'air si douce, derrière les fleurs, que je ne peux pas m'empêcher de regarder. Je n'ai pas de mère, voyez-vous. » Et Laurie se mit à tisonner le feu pour dissimuler un léger tremblement des lèvres qu'il ne pouvait contrôler.
L'expression solitaire, avide, de ses yeux toucha le cœur tendre de Jo. Son éducation simple l'avait dotée d'un caractère droit, et à quinze ans elle était aussi innocente et franche qu'une enfant. Laurie était malade et seul, et se rendant compte combien elle était riche de son foyer et de son bonheur, elle tenta avec joie de les partager avec lui. Son visage empourpré était très amical, et sa voix perçante inhabituellement douce quand elle dit :
« Nous ne tirerons plus jamais les rideaux, et je vous autorise à regarder autant que vous le souhaitez. Mais j'aimerais mieux que vous veniez nous voir, au lieu de nous observer. Mère est si merveilleuse, elle vous apporterait beaucoup, et Beth chanterait pour vous si je la suppliais, et Amy danserait. Meg et moi vous ferions rire avec nos accessoires de théâtre, et nous nous amuserions bien. Est-ce que votre grand-père ne vous laisserait pas venir ?
—  Je pense que si, si votre mère le lui demandait. Il est très gentil, même s'il n'en a pas l'air, et il me laisse plus ou moins faire ce que je veux. Il a seulement peur que je dérange des étrangers, » commença Laurie, de plus en plus animé.
« Nous ne sommes pas des étrangers, nous sommes voisins, et vous n'avez pas besoin de penser que vous dérangeriez. Nous voulons faire votre connaissance, et je tentais d'y parvenir depuis un moment. Nous ne sommes pas là depuis très longtemps, voyez vous, mais nous avons fait la connaissance de tous nos voisins à part vous.
—  C'est que, Grand-père vit parmi ses livres, et ne s'intéresse pas trop à ce qui se passe au dehors. Mr. Brooke, mon tuteur, ne reste pas ici, vous voyez, et je n'ai personne avec qui sortir, alors je reste juste à la maison et me distrais comme je peux.
—  Ça n'est pas une bonne chose. Vous devriez faire un effort et accepter toutes les invitations que l'on vous envoie, ainsi vous aurez plein d'amis et d'endroits plaisants où vous rendre. Ce n'est pas grave que vous soyiez timide. Ça ne durera pas si vous persistez. »
Laurie rougit à nouveau, mais ne s'offusqua pas d'être accusé de timidité, car Jo était de si bonne volonté qu'il était impossible de ne pas voir la gentillesse derrière son franc-parler.
« Aimez-vous votre école ? » demanda le garçon, changeant de sujet, après une courte pause durant laquelle il avait contemplé le feu tandis que Jo regardait autour d'elle, l'air contente.
« Je ne vais pas à l'école, je suis homme à tout faire - fille, je veux dire. Je m'occupe de ma grand-tante, cette chère vieille ronchon, » répondit Jo.
Laurie ouvrit la bouche pour poser une autre question, mais se rappelant juste à temps qu'il est impoli de trop mettre le nez dans les affaires des autres il la referma, l'air mal à l'aise.
Jo aimait ses bonnes manières, et rire aux dépens de Tante March ne la dérangeait pas, aussi lui fit-elle une description vivace de l'impatiente vieille dame, de son caniche obèse, du perroquet qui parlait espagnol, et de la librairie qui faisait sa joie.
Laurie s'en amusa immensément, et quand elle lui parla du vieux monsieur guindé venu un jour pour courtiser Tante March, et comment, à son grand désarroi, Poll lui avait arraché sa perruque au milieu d'un beau discours, le garçon rit de si bon cœur que des larmes roulèrent sur ses joues, et une bonne vint passer la tête à la porte pour voir ce qui se passait.
« Oh ! Cela me fait un bien fou. Continuez, s'il vous plaît, » dit-il en détachant son visage rougi et rayonnant du coussin du sofa où il l'avait enfoncé.
Enhardie par son succès, Jo continua, et lui raconta tout de leurs pièces et de leurs plans, leurs espoirs et leurs craintes pour Père, et tous les évènements les plus intéressants du monde où elle vivait avec ses sœurs. Puis ils en vinrent à parler de livres, et au ravissement de Jo il se trouva que Laurie les aimait tout autant qu'elle, et en avait même lu davantage.
« Si vous les aimez tant, venez voir les nôtres. Grand-père est sorti, aussi vous n'avez pas à avoir peur.
—  Je n'ai peur de rien, répliqua Jo en relevant fièrement le menton.
—  Je vous crois ! » s'exclama le garçon en la regardant avec admiration, tout en pensant qu'elle aurait de bonnes raisons d'être effrayée si jamais elle croisait le vieux monsieur dans un de ses accès de mauvaise humeur.
Comme il faisait bon dans toute la maison, Laurie put les mener de pièce en pièce, laissant Jo examiner tout ce qui attirait son attention. Ainsi ils parvinrent enfin à la bibliothèque, où elle joignit les mains et se mit à bondir sur place, ainsi qu'elle le faisait toujours quand elle était particulièrement ravie. Les murs étaient tapissés de livres, et il y avait des gravures et des statues, de petits cabinets pleins de pièces et d'autres curiosités qui attiraient le regard, des fauteuils capitonnés, des tables, des bronzes, et, cerise sur le gâteau, une large cheminée toute entourée d'une élégante mosaïque.
« Quelle richesse ! » soupira Jo, en sombrant dans les profondeurs d'un fauteuil en velours et en regardant autour d'elle avec un air d'intense satisfaction. « Théodore Laurence, vous devriez être le garçon le plus heureux du monde, ajouta-t-elle solennellement.
—  Personne ne peut vivre rien qu'avec des livres, » dit Laurie en secouant la tête, perchée sur une table en face d'elle.
Avant qu'il ne puisse en dire plus, une cloche sonna, et Jo se leva d'un bond en s'exclamant, alarmée, « Miséricorde ! C'est votre grand-père !
—  Eh bien, qu'est-ce que cela fait ? Vous n'avez peur de rien, après tout, répliqua le garçon d'un air malicieux.
—  Je pense que j'ai un peu peur de lui, mais je ne sais pas pourquoi je le devrais. Marmee a dit que je pouvais venir, et je ne pense pas que vous vous en portiez plus mal, » dit Jo en se donnant une contenance, quoiqu'elle ne quittât pas la porte des yeux.
« Je m'en porte même bien mieux, et je vous en suis très reconnaissant. J'ai seulement peur que vous en ayez assez de me faire la discussion. C'était si plaisant, je ne voudrais stopper pour rien au monde, dit Laurie.
—  Le docteur est ici pour vous voir, vint appeler une servante.
—  Cela vous dérangerait-il si je vous laissais une minute ? Je suppose que je dois aller le voir, dit Laurie.
—  Ne vous occupez pas de moi. Je suis comme un poisson dans l'eau ici, » répondit Jo
Laurie s'en vint, et son invitée s'amusa par ses propres moyens. Elle se tenait devant un beau portrait du vieux monsieur quand la porte se rouvrit, et sans se tourner elle dit avec conviction « Je suis sûre maintenant que je ne devrais pas avoir peur de lui, car il des yeux pleins de bonté même si sa bouche est sévère, et il a l'air d'avoir une volonté formidable. Il n'est pas aussi bel homme que mon grand-père, mais il me plaît.
—  Merci, m'dame, » dit une voix rude venue de derrière elle, où se tenait, à sa grande détresse, le vieux Mr. Laurence.
La pauvre Jo rougit jusqu'à n'en plus pouvoir, et son cœur se mit à battre la chamade tandis qu'elle pensait à ce qu'elle avait dit. Pendant un instant elle eut la folle envie de fuir, mais cela aurait été lâche, et ses sœurs se seraient moquées d'elle, aussi résolut-elle de rester et de se tirer d'embarras comme elle le pouvait. Au second regard elle s'aperçut que les yeux, sous les sourcils broussailleux, étaient plus aimables encore que ceux du portrait, et qu'il s'y trouvait une lueur espiègle, ce qui atténua grandement ses peurs. La voix du vieux gentleman était plus rude que jamais quand il reprit abruptement, après ce terrible moment de pause, «  Alors vous n'avez pas peur de moi, hein ?
—  Pas beaucoup, sir.
—  Et vous ne me trouvez pas aussi bel homme que votre grand-père ?
—  En effet, sir.
—  Et j'ai une volonté formidable, n'est-ce pas ?
—  J'ai seulement dit que je le pensais.
—  Mais je vous plais tout de même ?
—  Oui, sir. »
Cette réponse plut au vieux monsieur. Il émit un rire bref, lui serra la main, et, lui passant un doigt sous le menton, fit pivoter son visage et l'examina gravement avant de dire avec un signe de tête,
« Vous avez le courage de votre grand-père, si vous n'avez pas ses traits. Il était séduisant, ma chère, mais mieux encore il était brave et honnête, et j'étais fier d'être son ami.
—  Merci, sir. » Et Jo fut tout à fait à l'aise après cela, car cela lui convenait parfaitement.
« Qu'avez-vous donc fait à mon garçon ? fut la question suivante, posée avec brusquerie.
—  J'ai seulement voulu être une bonne voisine, sir. » Et Jo lui raconta comment elle en était venue à leur rendre visite.
« Vous pensez qu'il a besoin de s'amuser davantage, alors ?
—  Oui, sir. Il semble un peu solitaire, et voir d'autres jeunes personnes lui ferait peut-être du bien. Nous ne sommes que des filles, mais nous serions heureuses d'aider si nous le pouvons, car nous n'avons pas oublié le splendide cadeau de Noël que vous nous avez envoyé, dit Jo avec empressement.
—  Ta ta ta ! C'était l'idée du garçon. Comment va la pauvre femme ?
—  Elle va bien, sir. » Et Jo se lança en parlant à toute allure, et lui raconta tout sur les Hummel, sur lesquels sa mère avait attiré l'attention d'amis plus riches.
« La même façon de faire le bien que son père. Je devrais venir voir votre mère un de ces jours. Dites-le lui. Voilà qu'on sonne la cloche pour le thé, nous le prenons plus tôt à cause du garçon. Venez donc et continuez d'être une bonne voisine.
—  Si vous voulez bien de moi, sir.
—  Je ne vous le demanderais pas, si ce n'était pas le cas. »
Et Mr. Laurence lui offrit son bras avec une courtoisie un peu vieux jeu.
« Que dirait Meg de tout cela ? » pensa Jo tandis qu'il l'escortait dans la maison, ses yeux pétillant d'amusement comme elle s'imaginait raconter l'histoire en rentrant.
« Hé ! Eh bien, que diable arrive-t-il à ce garçon ? » demanda le vieux monsieur quand Laurie surgit en descendant les escaliers quatre à quatre et stoppa net à la vision étonnante de Jo bras dessus bras dessous avec son redoutable grand-père.
« Je ne savais pas que vous étiez là, sir, » commença-t-il, tandis que Jo lui lançait un regard triomphant.
« C'est évident quand on voit le fracas que vous faites en descendant. Venez prendre votre thé, sir, et conduisez-vous comme un gentleman. » Et après avoir affectueusement tiré sur les cheveux du garçon en guise de caresse, Mr. Laurence continua son chemin, tandis que Laurie s'adonnait dans leur dos à toutes sortes de pitreries, qui faillirent faire exploser de rire Jo.
Le vieux monsieur ne dit pas grand chose tout en buvant ses quatre tasses de thé, mais il observa les jeunes gens, qui bavardaient bientôt comme de vieux amis, et les changements survenus chez son petit-fils ne lui échappèrent pas. Il y avait maintenant de la couleur, de la lumière, de la vie sur le visage du garçon, de la vivacité dans ses manières, et un franc amusement dans son rire.
« Elle a raison, cet enfant est solitaire. Je vais voir ce que ces petites filles peuvent faire pour lui, » pensa Mr. Laurence tout en regardant et en écoutant. Il aimait bien Jo, pour ses manières étranges et brusques, et elle semblait comprendre le garçon aussi bien que si elle en était un elle-même.
Si les Laurence avaient été ce que Jo appelait des gens « raides et guindés » ils ne se seraient pas entendus du tout, car les personnes de ce genre l'intimidaient et la mettaient mal à l'aise. Mais les trouvant honnêtes et simples, elle fut tout à fait elle-même, et fit bonne impression. Quand ils sortirent de table elle proposa de s'en aller, mais Laurie dit qu'il avait encore quelque chose à lui montrer et l'emmena dans les serres, qui avaient été illuminées à son intention. Cela sembla bien féérique à Jo, de se promener dans les allées, profiter des murs fleuris de chaque côté, de la douce lumière, de l'air humide et parfumé, et des merveilleuses plantes grimpantes et des arbres qui l'entouraient - tandis que son nouvel ami coupait les plus belles fleurs jusqu'à avoir les mains pleines. Puis il les lia en un bouquet, et dit, avec l'air heureux que Jo aimait tant à voir, 
« Veuillez les offrir à votre mère, s'il vous plaît, et dites-lui que j'aime beaucoup le remède qu'elle m'a envoyé. »
Ils retrouvèrent Mr. Laurence dans le grand salon, mais toute l'attention de Jo se porta sur un grand piano, qui était ouvert.
« Vous jouez ? demanda-t-elle à Laurie avec respect.
—  Parfois, répondit-il modestement.
—  Jouez quelque chose, s'il vous plaît. Je voudrais l'entendre, pour le raconter à Beth.
—  Ne voulez vous pas jouer d'abord ?
—  Je ne sais pas jouer. Je suis trop stupide pour apprendre, mais j'aime énormément la musique. »
Aussi Laurie joua et Jo écouta, le nez voluptueusement plongé dans les héliotropes et les roses thé. Son respect et sa considération pour le jeune Laurence s'accrurent considérablement, car il jouait remarquablement bien et ne prenait pas de grands airs pour autant. Elle aurait voulu que Beth puisse l'entendre, mais n'en dit rien, et lui fit compliment sur compliment jusqu'à ce qu'il ne sache plus où se mettre et que son grand-père vienne à la rescousse.
« C'est assez, c'est assez, jeune fille. Trop de cajoleries ne lui valent rien. Il ne joue pas mal, mais j'espère qu'il s'en tirera aussi bien dans des matières plus importantes. Vous partez ? Eh bien, je vous suis très reconnaissant de votre visite, et j'espère que vous reviendrez. Mes respects à votre mère. Bonne nuit, Docteur Jo. »
Il lui serra affectueusement la main, mais avec un air contrarié. Quand ils furent dans le hall, Jo demanda à Laurie si elle avait dit quelque chose qu'il ne fallait pas. Il secoua la tête.
« Non, c'est à cause de moi. Il n'aime pas m'entendre jouer.
—  Pourquoi cela ?
—  Je vous le dirai un de ces jours. John va vous raccompagner, puisque je ne le peux pas.
—  Nul besoin. Je ne suis pas une dame, et ce n'est qu'à deux pas. Prenez soin de vous, voulez-vous ? 
—  Oui, mais vous reviendrez, je l'espère ?
—  Si vous me promettez de venir nous voir quand vous irez mieux.
—  Je le ferai.
—  Bonsoir Laurie !
—  Bonsoir, Jo, bonsoir ! »
Quand Jo eut raconté toutes les aventures de l'après-midi, toute la famille fut prise d'envie de visiter leurs voisins, car chacune avait trouvé quelque chose d'attirant dans la grande maison de l'autre côté de la haie. Mrs. March souhaitait parler de son père avec le vieil homme qui ne l'avait pas oublié, Meg se languissait des serres, Beth soupirait après le grand piano, et Amy avait grande envie de voir les beaux tableaux et les statues.
« Mère, pourquoi est-ce que Mr. Laurence n'aime pas que Laurie joue du piano ? demanda Jo, qui était curieuse.
—  Je ne suis pas sûre, mais je pense que c'est parce que son fils, le père de Laurie, a épousé une Italienne, une musicienne, ce qui a déplu au vieux monsieur qui est très fier. La dame était bonne et belle et talentueuse, mais il ne l'aimait pas, et il n'a jamais revu son fils après son mariage. Ils sont morts tous les deux quand Laurie était petit, et son grand-père l'a recueilli. J'ai l'impression que le garçon, qui est né en Italie, n'est pas de constitution très robuste, et que le vieil homme a peur de le perdre, c'est ce qui le rend si prudent. Laurie a un talent naturel pour la musique qu'il tient de sa mère, et je pense pouvoir dire que son grand-père craint qu'il ne veuille devenir un musicien. En tout cas, son don lui rappelle cette femme qu'il n'aimait pas, et c'est pourquoi il "faisait la tête", comme a dit Jo.
—  Mon Dieu, que c'est romantique ! s'exclama Meg.
—  C'est stupide ! dit Jo. Qu'on le laisse faire de la musique s'il en a envie, au lieu de lui gâcher l'existence en l'envoyant à l'université, alors qu'il déteste ça.
—  C'est pour cela qu'il de si beaux yeux noirs et de si jolies manières, je suppose. Les Italiens sont toujours charmants, dit Meg, qui était un peu sentimentale.
—  Qu'est-ce que tu sais de ses yeux et de ses manières ? C'est à peine si tu lui as jamais parlé, s'exclama Jo, qui n'était pas sentimentale pour deux sous.
—  Je l'ai vu à la fête, et ce que tu racontes prouve qu'il sait se tenir. C'était très joli, ce qu'il a dit sur le remède que lui a envoyé Mère.
—  Il parlait du blanc-manger, je suppose. 
—  Comme tu es bête ! Il parlait de toi, bien sûr.
—  Vraiment ? » Et Jo écarquilla les yeux comme si cela ne lui était pas seulement venu à l'esprit.
« Je n'ai jamais vu une fille comme toi ! Tu ne sais pas reconnaître quand on te complimente, » dit Meg, avec l'air d'une jeune dame qui connaissait son affaire.
« Je pense que ce ne sont que des sottises, et je te prierais de ne pas être ridicule et de ne pas me gâcher mon plaisir. Laurie est un gentil garçon et je l'aime bien, et je ne veux pas entendre parler de choses sentimentales à propos de compliments et d'autres sornettes. Nous serons toutes gentilles avec lui parce qu'il n'a pas de mère, et il pourra venir nous rendre visite, n'est-ce pas, Marmee ?
—  Oui, Jo, ton ami est le bienvenu, et j'espère que Meg se souviendra que les enfants devraient le rester aussi longtemps qu'ils le peuvent.
—  Je ne me vois plus comme une enfant, et je n'ai pas encore treize ans, observa Amy. Qu'est-ce que tu en dis, Beth ?
—  Je pensais à notre Voyage du Pèlerin, répondit Beth, qui n'avait rien écouté. À comment nous avons quitté le Marais de la Tristesse et passé le Portail en prenant la résolution d'être bonnes, et comment nous avons commencé de grimper la colline en faisant de notre mieux. Et que peut-être cette maison pleine d'objets splendides sera notre Palais Merveilleux.
—  Il nous faudra passer les lions d'abord, » dit Jo, comme si cette perspective l'enchantait.
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guillaume-juet · 5 years ago
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L'absurde Vie
L'absurde vie!
Toutes les histoires portent en elles la même trame: Quelqu'un veut obtenir quelque chose. Pour cela, ce quelqu'un devra traverser des épreuves, des obstacles qui formeront le contenu de l'histoire. Que ce soit un polard ou un classique de la littérature, la trame sera toujours celle-ci.
Une histoire à l'objectif final qui serait différent de celui du début serait-elle une histoire ratée? Nos vies, à l'image de la plupart des histoires contées et vécues doivent-elles être conduites par un lien logique qui mènerait inéluctablement et sans surprises à la mort?
N'est-ce pas là qu'intervient nécessairement le rôle salvateur de l'absurde? Celui qui évite le suicide aux poètes! Mener le lecteur, le spectateur là où il ne s'attend pas à arriver. Lui laisser entrevoir un objectif qu'il n'atteindra jamais mais qui le conduira vers quelque chose de plus grand encore que ce qu'il avait osé espérer!
C'est délicieux de se laisser porter vers des paysages inconnus. Avoir foi en ce que l'on ne maîtrise pas forme un esprit curieux et donne ô combien d'espérances de découvertes! Parfois bafouées, parfois survoltées!
Faisons de l'humanité une fantastique absurdité. Oublions les trames ordinaires de nos vies et de la mort certaine qui y aboutit. Découvrons mille rêves tellement plus beaux, plus incroyables que la simplicité de nos existences. Et à travers leurs illusions, qui dépasseront de si haut nos imaginations, laissons-nous porter vers plus d'originalité!
Laissez s'envoler vos raisons pour faire naître quelques utopies! Laissez l'impossible envahir vos espoirs! Laissez crier vos émotions jusqu'à ne plus les contrôler! Et alors, avant que de mourir, vous connaîtrez le bonheur de vivre!
Guillaume JUET
28/11/2019
02h12
DEL BRINA Fransisco, "Le rêve de la vie humaine", XVIème siècle.
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christophe76460 · 1 year ago
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(Étude très édifiante)
FRÉQUENCE CHRÉTIENNE
NE VOUS CONFORMEZ PAS AU SIÈCLE PRÉSENT !
Partout où l'on passe, les gens ont tendance à nous pousser à vivre avec notre époque. C'est-à-dire à ne pas rester à la traîne, à être moderne et branché, à suivre le mode de vie de la majorité; qui recherche toujours plus, qui veut toujours gagner plus, qui exige toujours plus des autres, qui recherche toujours à aller plus loin, à aller plus vite, à obtenir le maximum de tout le monde, tout de suite, tout en prenant le temps de rechercher son propre bonheur avant toute chose, afin d'être en phase avec le mode de vie de ses contemporains, cela grâce aux médias(mot dérivé de MÉDIUM). Tout cela occasionne de lourdes conséquences dans la vie intime de plusieurs personnes, autant ceux qui ont du mal à suivre que ceux qui fournissent un immense effort pour se maintenir dans cette cadence effrénée. Avec du stress et autres au niveau mental, des problèmes d'estime de soi ou d'isolement au niveau émotionnel, et parfois même avec le développement de la boulimie, de l'anorexie et autres maladies au niveau physique. Et pourtant, à la fin de leurs vies, presque unanimement, tout ce beau monde avoue avec regrets et remords qu'ils sont passés à côté de l'essentiel durant leur vie terrestre. Ils finissent par reconnaître que le plus important à leurs yeux, à quelques jours ou heures de la mort prochaine, c'est L'AMOUR.
La Bible nous apprend que Dieu est amour justement, c'est même Sa nature (1 Jean 4 : 8 ). Ce que ces personnes expriment souvent sans le réaliser, qu'ils soient non croyants ou déjà en Christ, c'est le regret de ne pas avoir vécu en conformité avec Dieu et Ses principes. Et l'un des principes majeurs du Créateur de toutes choses est celui-ci:
{Romains 12:2}
"Ne vous conformez pas au siècle présent "
Autrement dit: Ne cherchez pas à vivre selon les lois et les principes du monde qui vous entourent. Ne prenez pas pour modèle ce monde décadent. Ne cherchez pas à suivre ni à copier aveuglement ce que les gens font autour de vous. Ne vous laissez pas influencer par la culture dominante et ambiante du moment, ni par les us et coutumes de vos sociétés, de vos familles, vos tribus, vos mœurs, etc... . Voilà ce que Dieu nous recommande. Et si le Créateur prend la peine de nous adresser cette mise en garde, c'est parce qu'IL nous aime mais aussi pour quelques-unes des raisons suivantes que voici :
1.) Dieu a un plan merveilleux pour chacun de nous.
C'est ce plan que nous devrions tous appliquer, et non les principes du siècle présent. En effet, l'Éternel déclare dans:
{Jérémie 29 : 11}
"Car Je connais les projets que J'ai formés sur vous, dit l'Eternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance ".
Chacun de nous a donc un projet taillé sur mesure pour soi, descendu tout droit du trône de Dieu, lequel devrait nous emmener à faire efficacement la bonne chose, de la bonne manière, au bon moment, pour la gloire de Dieu et pour notre propre épanouissement. Inutile d'essayer de copier notre voisin ni notre frère. Inutile d'essayer de suivre son rythme non plus, car Dieu ne nous comparera jamais à une autre personne, mais uniquement par rapport au plan qu'Il a pour nous, en rapport avec Son standard divin. Beaucoup de personnes se sont battues pour atteindre le sommet de la société, et une fois qu'elles y étaient parvenues, elles ont découvert la solitude et se sont mises à boire et à se droguer. Dieu a mieux pour nous et Son plan n'échoue jamais.
2.) Le siècle présent est sous l’influence du Prince de ce monde.
Effectivement, ce monde a son propre dieu, son propre prince (2 Corinthiens 4 : 4 et Jean 14 : 30 ) qui s'emploie à influencer le monde. C'est encore lui qui s'assure de rythmer diaboliquement le mode et le style de vie ambiant que beaucoup adoptent comme standard, sans savoir que celui qui l'a inspiré a comme seul but: de dérober, égorger et détruire (Jean 10 : 10) la santé, le foyer, les affaires, le travail, les projets, la famille d'un grand nombre, afin de les priver ad vitam de paix, de joie et de la justice, qui constituent des attributs disponibles uniquement dans le Royaume de cieux (Romains 14 : 17 ). Avec Sa recommandation, Dieu veut sortir Ses créatures de l'influence néfaste de l'ennemi.
3.) On ne doit pas mixer les principes de ce monde avec ceux de Dieu.
Beaucoup de personnes pensent qu'il serait agréable de goûter aux meilleurs de deux mondes, le Royaume de cieux d'une part et ce siècle décadent de l'autre. Ça n'est juste pas possible. En effet, dans la Bible :
{2 Corinthiens 6 : 14 }
" Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l'iniquité ? ou qu'y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres ? ".
Si nous voulons voir la main de grâce de Dieu se déployer avec puissance dans nos vies, si nous voulons profiter de Sa protection, obtenir Sa bénédiction ainsi que Ses faveurs, nous devrions choisir de nous conformer uniquement à SES principes, en recherchant d'abord SON Royaume et SA justice. Jésus dit dans :
{ Matthieu 6 :33}
"Cherchez premièrement le Royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus ".
Ainsi on n'écrasera pas les autres sous prétexte qu'on veut aller plus vite ou plus loin. Et on ne dénigrera personne pour être plus connu.
4.) Constamment viser le renouvellement de l'intelligence pour accomplir la volonté de Dieu.
Cela consiste à veiller à chaque instant, à chercher, à capter et à appliquer la pensée de Dieu, dans chaque domaine de notre vie, et non celle de ce siècle, avec pour but de constamment s'aligner à Sa volonté bonne, agréable ou parfaite. En effet, le verset qui produit cette recommandation divine nous dit dans :
{Romains 12 : 2 }
" Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait ".
Fréquenter une salle de sport pourrait constituer la volonté bonne de Dieu, à cause de l'espérance qui vous y anime. Aider les autres, par la foi, à mieux manger et à bouger plus lui serait agréable. Mais la perfection consisterait à lui offrir votre corps tout entier et au complet. C'est ainsi que la Bible déclare dans:
{ Romains 12 : 1 }
" Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. "
Si vous acceptez de suivre cette recommandation de ne pas vous conformer au siècle présent, alors ses vicissitudes ne pourront pas vous affecter. Vous nagerez souvent à contre-sens, mais votre vie, qui aura tout son sens, glorifiera Dieu. Et Son amour ne cessera de se répandre en vous et autour de vous. Alors, le bonheur qu'EL-Shaddai promet sera votre partage, pour toujours. Alléluia !
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taisniere · 5 years ago
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What?! I think I'm an animal!
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Aujourd'hui, nous allons parler de reportage à propos de l'alter-humanité.
Je vais traiter de la fameuse vidéo : "What?! I think I'm an animal!", basée sur le concept de la thérianthropie et publiée sur YouTube en 2013. Elle est assez ancienne, mais, si vous aviez l'habitude de traîner sur la thériosphère anglophone, vous n'avez pas pu la rater.
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Il s'agit d'un reportage (qui se veut sérieux et le plus neutre possible) sur la thérianthropie chez nos confrères américains et autres anglophones (donc seulement en anglais et sans sous-titres français, désolée). Cette émission a une allure très professionnelle. Une véritable équipe de tournage (cameraman, monteur, voix off etc.) a participé à la conception de cette émission ! La vidéo est très correct, les termes utilisés sont les bons (thérian, otherkin, awakening...) et bien prononcés (rip les personnes qui disent "térience" ou "ozerskinsse"). 
Le reportage se concentre à la fois sur les points de vu psychologiques et sur les points de vu spirituel. La narratrice reste impartial et n'a pas un ton moqueur (contrairement à ce que l'on peut voir sur les chaînes télévisées françaises). Nous pouvons noter une très grande ouverture d'esprit, avec, par exemple, la mention de polyamour sans jugement etc. Les personnes interviewées sont majeurs : 
La thérianthropie n'est pas une identité réservée aux plus jeunes en recherche identitaire. 
Les adultes sur cette vidéo sont principalement des loups. Mais un raton laveur et un léopard font également leur apparition. Leur recherche de thériotype a été sérieuse et travaillée. Ils semblent connaître leur animal sur bout des pattes (par exemple, une des personnes est un loup rouge, race de loup pas très connue). Malgré petites gaffes par-ci par-la, les interviewés semblent honnêtes dans leurs ressentis. Nous pouvons malheureusement noter un petit manque de maturité dans certains de leurs propos... J'aimerais me centrer sur le fait que certains de ces individu pensent être littéralement des animaux dans un corps humain. Ce déni peut induire une mauvaise image de notre communauté. En effet, nous avons bien évidemment un corps humain mais également... Un cerveau humain, une éducation humaine, un environnement humain, des proches humains, des gestes et habitudes humaines (et j'en passe). J'ai été déçue de voir, sur ce reportage, certaines personnes dont un prénom à leur thériotype ("Snow", "Luna") comme s'il s'agissait d'un être ou d'une entité extérieure. De plus, beaucoup d'entre eux confondent thérianthropie et multiplicité, ce qui est très différent. Une thérian, dans cette vidéo, pense que l'animalité est le fait d'avoir une "seconde personnalité" en qui elle peut switcher. Je tiens à faire une parenthèse : La thérianthropie est une identité, pas un système (plusieurs êtres dans un même corps).
Notre thériotype et nous-même ne font qu'un.  C'est indissociable !
Enfin, dans cette vidéo, les individus vont nous raconter leur animalité dans leur vie de tout les jours. Ils nous expliquent leurs ressentis au quotidien et leurs liens avec leur theriotype (Un peu trop stéréotypée parfois, du genre "Je suis un loup, j'aime la viande et je hurle"... C'est assez dommage.) Il y a également le point des "therians gears" qui a été subtilement mentionné. Malheureusement, promouvoir le fait d'avoir des longues queue aux pantalons, un bonnet à oreilles de loup et un collier de chien peut inciter à la moquerie (même si la personne moquée n'est pas du tout en tord, nous vivons dans un triste monde).
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Pour conclure :
La vidéo (de 45min quand même) reste sympathique à regarder. Il n'y a pas vraiment vraiment de kikoowere à proprement parlé. Aucun loup-tigre-requin-divin-du-chaos-chaotique-trop-d4rk-qui-crache-du-feu. Le seul vrai reproche que je puisse faire est le GROS GROS GROS amalgame entre furry et therian. Les individus ci-dessus s'inventent un personnage et se déguisent en lui, confondant therianthropie et fursuiter. Par exemple, certains des interviewés affirment d'être des loups de couleur verte ou bleue. Ceci est totalement différent de l'alter-humanité.
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Controverse :
Cette vidéo (mis au grand public) a occasionné beaucoup (beaucoup beaucoup) de haine envers les thérianthropes. De nombreux haters et trolls ont totalement anéanti les espaces de discussions autour de cette vidéo (en particulier dans les commentaires). Certains thérianthropes ont également été très déçu par la vidéo et ont participé à la destruction de la page. Au final la thérianthropie à été très ridiculisée par des remix, mèmes et autres parodies de l'émission. Comme le fameux "À part mon physique, je suis entièrement un loup ! Woof !" Puis la vidéo à été supprimée, les commentaires également...et tout ce qui tournait autour de cette vidéo.
C'est que depuis quelques petites années que la vidéo est de nouveau disponible et en ligne sur YouTube. Cela faisait au moins 5 ans que cette émission avait disparu de la toile (merci à la personne qui l'a de nouveau uplaodé). J'ai pu également re-regarder la vidéo avec un autre regard plus adulte. Je vous laissez vous faire votre propre avis... Car cette vidéo vaut tout de même le détour. Surtout si l'on est therian et que l’on a du temps à tuer.
Dites moi ce que vous en avez pensé par commentaire ! Bon visionnage !
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washtoast50-blog · 6 years ago
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ETAPE DU DEUIL
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Chaque fois que vous faites face à quelque chose de traumatisant comme la mort d'un être cher, il peut être difficile à gérer. Cependant, vous devez toujours vous rappeler qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de faire son deuil et que chacun le fait à sa façon. Beaucoup de gens, mais, passent par un processus spécifique pour les aider à faire face à une perte. Le processus peut ne pas être typique pour tout le monde, mais la plupart d’entre nous passent par ce processus psychologique. Cela nous permet de comprendre ce qui est arrivé et apprendre à y faire face. Alors, quel est le processus de deuil? Ce processus a été appelé les quatre étapes du deuil. Bien qu’il y ait des étapes que les gens semblent traverser, ils n’ont pas toujours à les traverser dans l’ordre. Pour certaines personnes, il peut sembler qu’elles ne franchissent pas vraiment les étapes du deuil jusqu’à ce que certains arrangements comme l'enterrement d'homologation ou ont été résolus. Bien que cela peut sembler malsain pour certaines personnes, chacun passe par son propre processus et traite ses émotions différemment. Cependant, les quatre étapes proposées: le déni, la colère, la dépression et l’acceptation. Le déni: très courant lorsqu’il s’agit d’essayer de faire face à la perte. Beaucoup de gens qui à ce stade, le processus peut sembler comme s’ils sont engourdis et ne veulent pas reconnaître ce qui s’est exactement passé. Parfois, lorsque l'on perd un être cher, il peut même mettre la table pour cette personne supplémentaire, ou emballer un repas supplémentaire, ou même d'acheter quelque chose dans un magasin qu’elle aurait normalement pour elle. accepter la mort , mais l’acte peut aussi être simplement supprimé sans aucune rupture ou note sur ce qui s’est passé. C'est normal. Passer à travers la négation permet à notre esprit de gérer petit à petit ce qui est arrivé. La colère: il peut parfois être déroutant pour la personne qui le traverse. Certaines personnes trouvent qu’elles sont en colère contre un membre de la famille, du médecin ou un être spirituel. Il est également fréquent que la personne commence à se mettre en colère contre le défunt l'accusant de l'avoir quitté. Beaucoup de gens trouvent que à ce stade, ils se demandent« pourquoi suis-je» et essaient de blâmer quelqu’un pour que cela se produise. La colère est très courante lorsqu’il s’agit de faire face à la perte ou à une mauvaise nouvelle. Beaucoup de gens trouvent aussi qu'ils commencent à faire des affaires différentes. Cela signifie demander à Dieu ou à un être spirituel sinon si vous pouvez faire quelque chose pour le changer, comme« Je ferai n'importe quoi pour garder ma femme en sécurité si vous la laissez vivre». Ces bonnes affaires et ces émotions finalement conduire à des occasions différentes, comme si nous étions sur un second regard, si nous attrapons un cancer à un stade précoce, ainsi de suite et ainsi de suite. la dépression: qui peut nous amener à nous sentir seuls, extrêmement tristes et peut même avoir des effets physiques, comme la fatigue, la paresse ou la paresse, ou de la douleur. La dépression n'est pas une maladie mentale, mais si vous avez l’impression que vous ou quelqu'un que vous aimez a été déprimé pendant un certain temps, le fait d’aller voir un psychiatre peut vous aider à sortir de cette étape particulière. de l'adoption:c'est la prochaine et dernière étape que les gens connaissent. Cela signifie que vous êtes d'accord avec ce qui s’est passé. Cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas être triste ou contrarié; c'est tout à fait normal de se sentir triste de ce qui s’est passé. Cependant, cela signifie que vous n'êtes pas déprimé ou que vous n'avez pas de réactions émotionnelles graves comme avant et que vous comprenez que vous avez perdu quelqu’un qui vous est cher. Il n’y a pas de façon déterminée pour qu’une personne puisse faire son deuil, et bien qu’il y ait 4 stades de deuil, rien ne dit qu'une personne doit les traverser selon un schéma spécifique. Si vous avez perdu quelqu'un, sachez qu’il est normal de pleurer et parfaitement bien de ne pas pleurer trop, ou prendre plusieurs mois voire plusieurs années. Les gens pleurent à leur manière et il n’y a pas de bien et de mal quand il s'agit de faire face à quelque chose de traumatisant comme la mort d’un être cher.
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lupitovi · 7 years ago
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Télégramme et Gypsophile (Eric Poindron)
Lui : Mon dernier souvenir de vous, c'est une empreinte de rouge baiser et un billet de banque malgache, sur lequel vous aviez mentionné le nom de l'hôtel où je pouvais vous écrire. Marie, c'est rare pour une Hollandaise.
Marie : Je n'aurais que des souvenirs grâce à vous.
Lui : Les mouettes volent au-dessus de la Seine et plongent en piqué dans le bassins du Luxembourg, c'est en France.
Marie : J'ai des ancêtres français.
Lui : Il y aussi des îles en France et des montagnes.
Marie : Souriez un peu, rien n'est important, rien ne s'efface.
Lui : Irons-nous en Allemagne, Unter den Linden, sous les tilleuls ?
Marie : Partout peut-être.
Lui : Je vous offrirai des roses et du gypsophile.
La Hollandaise : C'est quoi gypsophile ?
Lui : Des petites boules blanches comme la neige, sur les vitrines, au coin des rues, dans les cheveux des enfants.
Elle : Même en Californie ?
Lui : Partout. Il neige partout quand nous sommes ensemble. Il faut continuer, quand on galope dans le désert, l'horizon recule.
Marie : Tout dépend de la guerre, des gens que l'on rencontre, des films. Inutile de prévoir, l'avenir n'est jamais conforme. Tu vis comme dans les romans, alors tout est possible.
Nous ne sommes pas des anges, nous n'avons pas d'ailes pour aller loin, et pourtant je suis tentée de croire le contraire. Dans ce cas, la Madonne et les canaux nous protègent. Le cosmos régit les anges.
Jack : Soyez amoureuse, je vous prie, laissez-moi encore des illusions.
Marie : Et si nous souffrons tous les deux ? Je ne veux pas d'illusions, mais quand vous serez sur la barque dans le golfe du Mexique, y croirez-vous ?J'aimerais tant vous croire.
Lui : Nous verrons, nous imaginerons peut-être. Vous reprenez quelque chose ?
Marie : À boire ? Prudence. Non, ce n'est pas le nom d'un cocketelle.
Jack : My funny Valentine. Chet Backer traînait dans les bars de Montmartre avec des copains musiciens ... "Au clair de la lune", à Barbès, un café morose avec des néons, avant de mourir. My funny Mary, my poor Mary.
Marie : Notre histoire banale, si seulement nous trouvions d'autres mots. Les mots les plus doux sont les plus méchants, ici rien n'est léger.
Lui : Sous les tilleuls, j'y serai.
Marie : L'univers se porte dans une poche quand on veut le serrer, de temps en temps.
Lui, Jack, car il s'appelait Jack, à la vérité : Moi sur mon bateau, la nuit au milieu des galaxies et des étoiles invisibles ou qui se cachent, je pêche en songeant à vos cheveux presque roux. Et puis j'attends, et je fume. Je serai votre océan américain, le ciel et les forêts enchantées. Les fleurs géantes, l'essence, le soleil et la lune, l'herbe qui se couche quand le vent la pénètre.
Marie : Les poissons lumineux, ça existe ?
Lui : Oui, et la vague argentée aussi.
Jack : À quelle heure est votre bateau ?
Marie : Bientôt, je crois, à l'aurore, mais je ne connais pas encore le jour.
Marie est repartie (...) Jack plus tard a remonté la mer rouge. (...) Une fin d'après-midi, devant un verre de raki, il s'est lié d'amitié avec Kostas ou Nikos, le pêcheur, un peu penseur aussi. (...)
Le pêcheur a joué les oracles - c'était le bon endroit pour le faire - et a dit à Jack : Puisque tu la cherches, écris lui, mais ce n'est pas vous qui déciderez. Regarde plus haut, les vents et les marées sont contraires, tu ne la reverras pas, alors écris-lui.
C'est ce qu'a fait Jack. L'année d'après. Jack n'a pas reçu de lettre de Marie en retour. Il n'a plus jamais eu de nouvelles de Marie.
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malabimba · 3 years ago
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Planter là les bonnes gens et leurs sourires si doux : Voici l'impératif qui me dévore le ventre Rejetant la pitié, je veux quitter le centre De l'attention sereine dont on pare les fous
Ô juges apeurés qui surveillez mes actes L'illusion votre amie, sa main m'a refusée Et je ne puis signer de mon sang votre pacte Car la terre a grand soif et je dois l'abreuver
Je devais fuir hier et ne suis aujourd'hui Que mon ombre égarée en retard sur moi-même Vous n'avez rattrapé qu'une carcasse blême Dont les os sont rongés par le froid et l'ennui
Veuillez me faire sortir de la lugubre geôle Où les grands murs résonnent du fracas de ces poings Connectés, réflexifs, au néant de contrôle ; Car d'asile je n'ai ni envie ni besoin
Pantins assujettis au devoir de vivre Affectez l'apathie, rendez ma liberté ; Que je puisse sortir, tout habillé de givre De votre beau et grand royaume d'inanité !
Mes pensées m'ont rongé ; l'orifice est béant Je vous prie chers amis de me laisser partir A bord de ce bateau, ivre selon vos dires Où mon esprit voguera jusqu'au seuil du néant
J'ai le regard lucide - celui qui vous effraie - Il ne faut jamais voir ces vérités qui blessent Pour vous mieux vaut survivre, fût - ce dans la bassesse Edifier les mensonges pour en masquer le Vrai
Dès les premiers instants, c'est souffrance qu'est la vie La vanité du jeu dévoile la déchirure ; Et la perforation de l'hymen par le vit Engendre quelquefois une nouvelle blessure
La plus belle chose que l'on puisse souhaiter aux aimés Est de ne plus souffrir - donc de s'éteindre enfin - Mais ce souhait si fragile ne peut être que feint Car l'on ne veut la mort des êtres estimés
Nous sommes des égoïstes, et nous préférons fuir Plutôt que d'envelopper l'aimé du dernier drap Je veux ne plus vouloir. Laissez-moi donc partir ! Ne soyez point jaloux, car votre tour viendra. Patience
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