#la première heure est plutôt agréable
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Eureka 2023
#eureka#2023#lisandro alonso#viggo mortensen#chiara mastroianni#la première heure est plutôt agréable#mais 2h27 ça part en couilles#4/10
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Un souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
Une autre soirée fut aussi tout autant une étape importante dans mon chemin vers le Candaulisme...
Une soirée étudiante ou presque d’Ana ma petite amie de l’époque.
Etudiante brillante et consciencieuse, elle avait voulu participer au fait que je lui avais ouvert mon appartement totalement et spontanément pour l’aider à réaliser ses études dès le premier jour de notre rencontre...
Quelques conflits récurrents avec ses parents lui pesaient.
Elle me les avait confiés le soir même de notre rencontre et je m’en étais aussi ému...
J’étais aussi pleinement amoureux...
Aussi, nous habitions ensemble depuis quelques mois sans que jamais je ne lui demande rien en retour.
Elle en était consciente et voulait-elle aussi participer.
Mener de front études et travail est un défi et un challenge où l’organisation et le rythme imposé sont parfois peu compatibles avec l’amour, les résultats et la fatigue...Elle le savait mais indirectement elle pensait me devoir tant sans pour autant ne lui avoir jamais rien réclamé en retour, ce qu’elle appréciait aussi beaucoup.
Elle avait quelques fois abordé le sujet mais je ne lui répondais toujours que d’un sourire, lui disant de vivre, de profiter, d’aimer, de travailler et d’être la plus heureuse possible...
Je crois, et je sais maintenant, que tout cela est aussi une racine profonde du Candaulisme...
Néanmoins, et c’est assez paradoxal, ce furent ses études qui lui permirent un jour de prétendre à un travail...
Il s’agissait en début d’année étudiante, sa deuxième année, d’être présente à la sortie des amphis et d’inviter et de sensibiliser ses jeunes collègues étudiants de première année à lire et surtout à s’abonner à des magazines divers et variés leur permettant d’élargir leurs connaissances dans des domaines voisins et importants de leurs sujets d’étude...
Aussi, se rendait elle en équipe pendant les quatre ou cinq premières semaines de la rentrée dans les amphis, de tôt le matin jusqu’à parfois tard le soir, agrémenté de virées nocturnes dans les bars à étudiants de la ville.
Il le fallait selon les recommandations du responsable des ventes pour souder les équipes et faire connaissance de plus de monde encore au travers les premières soirées estudiantines organisées pour la cohésion des futures promotions...
Aussi, après des débuts enjoués et prometteurs sur le plan financier (chaque abonnement certifié faisait l’objet d’une ristourne de l’éditeur et comme il s’agissait d’abonnements annuels, les émoluments pouvaient parfois être réellement intéressants...) une certaine fatigue et quelques désagréments brisant notre agréable routine de jeune couple virent le jour.
Un rythme de travail assez effréné était demandé ainsi qu’une grande disponibilité pour « écumer » les facs de la grande ville où nous habitions...
Nous ne nous voyons plus beaucoup et mon appartement servait surtout de base arrière pour les présentoirs et les exemplaires des magazines et autres quotidiens en vente.
La fatigue se faisait réellement sentir et moi je devenais surtout celui qui l’hébergeait, lui faisait à manger (repas qu’elle prenait en fait rarement car son équipe très dynamique et pour tout dire « fêtarde » allait très souvent « célébrer » les résultats des uns et des autres dans un bar pour encore et toujours souder les équipes commerciales et profiter des contacts étudiants qui pouvaient s’y faire encore plus aisément autour d’un verre...
Aussi, sur le plan sentimental et sexuel, c’était plutôt la disette...
Dur, dur pour moi alors que d’ordinaire, nous étions rarement plusieurs heures sans nous câliner et sûrement pas et encore moins un jour......
Un petit « cérémonial » s’était néanmoins instauré car je crois qu’elle m’aimait sincèrement, pâtissait aussi de cette situation et s’en sentait un peu coupable même si la fierté de ramener de l’argent dans notre couple la motivait et la recompensait.
Ainsi, chaque soir (plutôt en milieu de nuit du coup...) où elle rentrait, juste après s’être douchée et alors que j’étais bien souvent endormi, elle venait me câliner, me prendre en main sexuellement parlant (elle aimait depuis nos premiers jours mon sexe, sa forme, sa douceur...)
Bref elle aimait ma bite, jouer avec pour me faire bander...
Chose qu’elle obtenait très rapidement au vu de sa dextérité et de ses envies manifestes...
En trentenaire ardent et vaillant, qui aurait pu s’en plaindre... ?
Elle me prenait alors rapidement en bouche pour me sucer (elle raffolait des fellations... !) et me taillait une pipe experte, souvent rapide en ces circonstances mais toujours appréciée, appréciable, adroite et victorieuse...
J’en appréciais totalement le bonheur tout en devant souvent rester sur ma faim et sur « la béquille » tandis que, quasiment à chaque fois, elle s’endormait en me gratifiant d’un « Bonne nuit mon amour », la bouche pleine et comblée de l’expression de mes désirs et de mon plaisir...
Elle aimait le gout de ma semence, l’avalait depuis toujours et l’appréciait...
Jamais elle ne m’avait sucé sans déguster le fruit de ses audaces et expertises.
Parfois même, elle me déposait un baiser légèrement gluant et chaud sur les lèvres...
Au début de notre relation j’en avais été surpris mais m’étais habitué et trouvais cela touchant en termes de partages et d’audace...
Ce rituel effectué, elle se tournait rapidement puis s’endormait profondément tout aussitôt...
Profondément était le terme : j’avais une ou deux fois, dans un état érectile indécent et difficile à calmer, n’arrivant réellement pas à m’endormir, voulu la prendre mais devant son corps si tendrement abandonné, j’avais résisté à l’envie de le faire sans son consentement express, même si rien ne pouvait me faire douter de ses désirs une seconde, pour la pénétrer sauvagement...
Elle ne m’en aurait pas voulu...
Non, j’en étais pleinement assuré et je pense même qu’elle aurait pu percevoir cela comme tout à fait légitime, voire même coquin...
Mais pour moi sans conscience et sans consentement il n’en était pas question...
Question de principe, de respect, d’honneur et tout autant de bonheur du partage.
S’en serait-elle même aperçue... ?
Du coup, pour quel plaisir... ?
Si je ne pouvais partager, je trouvais assez absurde de ne satisfaire que moi...
Oui, elle dormait très profondément !
Pour autant, souvent pris par les désirs et la beauté de son corps alangui qu’elle abandonnait parfaitement et naturellement à ma vue, (elle ne dormait que nue et y tenait), je la caressais tendrement, bandant là encore comme un fou, et la couvrais de baisers ...
Le spectacle de son corps abandonné et offert sans défense enchantait et régalait au plus haut point mes yeux... Et pas que...
Ce n’était rien qu’en cela et déjà un réel bonheur...
Je dois confesser que parfois, il m’arrivait même de me masturber en la regardant, si belle, innocente, ...
Je m’autorisais aussi de mes lèvres et de ma langue à la humer, la titiller sans la réveiller, la couvrir de baisers et notamment sur son sexe...
Quelques gémissements parfaits attestaient qu’elle ressentait sûrement mes attouchements sans pour autant en être réveillée... C’était réellement délicieux...
Oui, je me satisfaisais et même me régalais de tout cela à défaut de pouvoir lui faire l’amour comme j’en avais envie et l’honorer pleinement comme à nos habitudes...
Cependant, un soir, elle rentra un peu plus tard et vint directement se coucher...
Elle ne manqua pas pour autant à nos nouvelles habitudes et me suça talentueusement, avec même une gourmandise et une ardeur qui me rappelaient les pipes interminables dont elle était experte et adorait me gratifier avant d’incorporer cette équipe commerciale et qui j’en étais sûr ne tarderaient pas à reprendre une fois cette parenthèse économique terminée...
Je fus bien entendu ravi de sa prestation et lorsqu’elle vint m’embrasser à pleine bouche avec délectation et gourmandises, je perçus un goût légèrement différent du mien et de l’ordinaire...
Je n’en fis pas un problème et mis cette différence sur le compte de l’alcool et de la soirée festive qu’elle venait manifestement de passer...
Je la laissais s’endormir et poursuivis seul mon cérémonial...
Non douchée et manifestement très fatiguée, certainement assez ivre, elle ne s’était pas couchée nue comme d’habitude à mon grand étonnement mais avait conservé sa robe légère de soirée ainsi que son string que je pouvais deviner alors qu’elle se lovait sur le côté remontant ses jambes et redressant du coup sa courte robe sur le galbe de ses sublimes fesses...
Comme d’habitude, je ne résistais pas au plaisir de la couvrir de baisers et de caresses me sentant même encore plus entrain de la voir m’être revenue guillerette et heureuse, encore plus que d’ordinaire de sa soirée...J’aimais la voir heureuse et satisfaite...
Poursuivant mes « voyages », je relevais d’avantage sa robe sur son cul...
Je baisais de mes lèvres entreprenantes ses fesses et m’approchais de sa fente...
J’avais pris l’habitude, quoiqu’il arrive d’y déposer tous les soirs un baiser et même parfois d’oser y introduire légèrement la pointe de ma langue afin de gouter aux douces saveurs de sa chatte aux effluves pour moi si envoutantes...Elles berçaient, enchantaient et embaumaient ainsi quoiqu’il arrive mes nuits d’une telle douceur...
J’entrepris alors de mes doigts agiles de déplacer légèrement son string, sans la réveiller, car la ficelle fermait partiellement l’accès à sa délicieuse fente...
Je fis glisser le trait d’étoffe de mes doigts et qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’il était complétement trempé et même qu’une sorte de méat un peu gluant semblait y être déposé...
Une jouissance... ? Du sperme... ?
L’ire et ma jalousie prirent immédiatement le contrôle de mon cerveau et de mes émotions
J’en restais, mentalement et physiquement sur le cul...Le sang affluant et bouillonnant dans mon esprit et mon corps...
Elle avait baisé... !
Elle avait dû baiser avec un autre... !
Un autre que moi dans cette putain de soirée...Et dans ce con qui était censé n’être qu’à moi... !
Je me sentais dans une telle rage, une telle colère...
Que faire... ?
Assis sur mes genoux, la regardant avec des yeux totalement différents de l’habitude...
Son string encore là...tout souillé du sperme d’un autre...j’en étais sûr...!
Instinctivement j’approchais mon visage et mon nez jusqu’ à y porter mes narines puis ma langue...
Oui, oui, c’était ce même goût que j’avais identifié dans le baiser donné avant qu’elle ne s’endorme...
La salope ! Elle m’avait trompé cette chienne..., c’était sûr...
Cette salope, ma salope... !
Ma chienne alors qu’on s’était toujours promis d’être complice quelque fut notre ou nos envies... !
Néanmoins, je ne parvenais pas à décoller mon regard de son cul et de son sexe encore gonflé et emplit d’un autre...Non je n’y parvenais pas, et même en moi j’arrivais à trouver des ressources et un calme doux qui maintenant m’envahissait…
J’avais bien des « papillons » dans le ventre..., un vertige dans la tête...
Mais étonnamment, pas ou plus de colère... !
A tel point que je me suis de nouveau penché...
De nouveau j’ai humé ce méat que je ne pouvais même plus détester... !
Son string était tellement imprégné de la mouille et de son odeur qu’il en devenait agréable, tant à la vue qu’à l’imaginaire...Oh oui elle avait du réellement jouir...
Je ne pus m’empêcher de retourner le sentir, le toucher, le « tester » même de mes narines...
Plusieurs fois...
Le goûter même...
Puis d’instants en instants jusqu’à la lécher consciencieusement, minutieusement avec, je devais me l’avouer, un plaisir grandissant, subjuguant et effaçant de manière incroyable toute colère ...
J’en profitais abondamment...J’aimais... !
J’en étais stupéfait mais j’aimais... !
J’aimais surtout à m’imaginer la saillie qu’elle avait subi, la saillie de son con et le plaisir qu’elle, qu’ils avaient dû connaitre...Je n’étais même pas jaloux de ne pas y avoir été...
Un peu vexé...j’aurais préféré que pour une première, même si je lui avais déjà confié ce fantasme du mari trompé avec son plein acquiescement mais présent...Elle était allée plus loin...
Plus vite même que je n’avais secrètement jamais imaginé ou désiré...
Pour autant c’est un rêve secret dont je lui avais fait la confidence et que par bravade je l’avais assurée que je ne serais pas jaloux...
En fait, si un peu, mais pas si fortement que cela ...
Assurément déçu qu’on n’ait pas partagé cette première et de ne pas avoir l’histoire de cette incartade ni d’avoir pu y assister...
Lorsqu’on en avait parlé et évoqué elle ne m’avait pas caché la possibilité que cela puisse arriver tant elle aimait le sexe, attirait les hommes et avait conscience de ses désirs et de ses faiblesses...
De plus, en lui ayant fait la confidence de ce Candaulisme naissant que je sentais déjà vivre en moi, je ne pouvais rien lui reprocher...
Elle avait seulement anticipé mes désirs et peut-être plaisirs...
Je ne les avais pas imaginés de la sorte et s’imposer aussi brutalement à moi...
Pour autant, qu’en restait-il pour moi... ?
Je venais de le constater...Je le constatais en direct...
Du plaisir, de la cérébralité, de l’amour pour le sexe, de l’amour pour elle, des envies...
Encore plus d’envies ...
Encore plus de désirs et d’amour pour elle comme je l’avais imaginé et quelque part voulu et demandé...Alors... ?
Plus encore quand je me rendis compte que je bandais comme un taureau et ne débandais pas alors que de longues minutes s’étaient déjà passées a regarder, que dis-je, admiré et fantasmé sur sa chatte épanouie, belle et manifestement comblée et heureuse...
Je n’avais ainsi, à cet instant, que l’irrésistible envie de la baiser comme la chienne qu’elle était, celle que j’avais souhaité qu’elle soit...
Oui, je bandais comme un fou et contrairement à ma réserve et mes principes des soirs auparavant, je l’ai prise sauvagement, bestialement, jusqu’à la faire jouir comme peut-être jamais, ni elle ni moi-même n’avions jouis comme cela depuis longtemps et sommes partis dans un orgasme fulgurant et absolu qui me faisait de nouveau encore plus encore bander, devenir fou d’elle, fou de son corps, fou de son con, fou de ses jus...
Elle s’était réveillée...Jouissait ...hurlait...m’en demandait encore et encore... !
C’était incroyable... ! Irréel... !
Nous avons fait cinq ou six fois l’amour cette nuit-là sans jamais nous lasser et nous nous sommes endormis tendrement l’un dans les bras de l’autre...
Au petit matin, elle est venue sensuellement me réveiller, me remercier de cette folle nuit et de la liberté que j’avais pu lui accorder, me disant qu’elle avait tant rêvé dans ses fantasmes les plus insensés de ce genre de nuit...
Elle me dit que toute cette intensité et ces besoins sexuels lui avaient manqués depuis un certain temps et son incorporation dans cette team de vente...Nous n’avions quasi plus le temps de faire l’amour... !
Que cette nuit un homme plus âgé mais beau lui avait fait du rentre dedans, l’avait fait boire, l’avait séduite et convaincue de passer à l’acte sans même me prévenir (elle était bien consciente de ce manque mais m’ayant informé que cela pouvait arriver et moi lui ayant tant parlé de ce fantasme du mari trompé consciemment... elle s’était dit avant de s’abandonner totalement à lui dans les toilettes du bar que cela ne changerait rien aux choses et que si notre amour était bien réel et celui qu’elle m’avait décrit et toujours imaginé était bien présent, alors cela ne poserai pas de problème...)
Oui elle s’en voulait de ne pas avoir pu le vivre avec moi en direct live...
Oui elle s’en voulait de ne pas me l’avoir dit directement en rentrant...
Elle ne voulait pas m’inquiéter et me priver de notre petit rituel jouissif et s’était endormie si ravie, heureuse et comblée surtout quand elle avait osé ce baiser fou dont elle avait si souvent rêvé, mêlant le sperme de cet amant de passage au mien dont elle appréciait tant la saveur...
Oui, bien évidemment elle l’avait sucé, avant, et surtout après qu’il l’ai prise sur un lavabo des toilettes communes du bar et alors qu’il s’essuyait le dard encore gorgé de semence sur son string qu’il avait adroitement écarté pour la pénétrer sauvagement, elle l’avait de nouveau sucé ... !
Accompagnés d’un autre couple se livrant aux mêmes exploits sexuels qu’eux, elle avait indirectement fait une compétition avec l’autre fille qui était par ailleurs sa chalengeuse pour obtenir une prime supplémentaire en raison du nombre de magazines vendus tout au long de leur journée de labeur...
La compétition faisait rage et n’avait pas de limite...
La fille s’était tournée vers la glace surmontant le lavabo pour se refaire une discrète beauté...
Ana avait ressaisi le sexe de son partenaire et l’avait embouché pour le nettoyer scrupuleusement...
Oui ; elle craquerait sûrement sur d’autres, en d’autres lieux, en d’autres soirées, avec moi, sans moi, Elle aimait trop ça... !
Elle m’aimait à la folie... !
Tout comme elle aimait plus que tout sa liberté.
Elle m’assurait qu’elle saurait me récompenser au-delà de mes attentes si je lui procurais tout à la fois la sécurité et la folie de cette impensable liberté...
Dans les vapeurs de la nuit, j’acquiesçais à tout ce qu’elle disait...
Ses aveux étaient si authentiques, touchants et somme toute correspondant tellement à mes aspirations les plus secrètes que je lui pardonnais instantanément et pour toujours...
Elle parti comme d’ordinaire et nous n’avons plus jamais eut à parler de ces instants.
D’autres similaires se reproduiraient...
Beaucoup d’autres à mon et notre plus grand bonheur... !
Je savais qu’elle pourrait de nouveau me tromper...
Sans moi,...Avec moi...Peu importerait pourvu qu'elle me revienne et me conte ses exploits...
Elle savait qu’elle pourrait me tromper...
Nous savions l’un et l’autre ...mais nous le savions maintenant...
Et surtout nous en jouissions si intensément que nous n’en avons jamais eu à en reparler.
Je savais que j’étais réellement Candauliste...
Elle savait qu’elle était une terrible baiseuse, une amante hors-pair et là, maintenant devenue une Hot-Wife comme les nomment les anglo-saxons...
Pour le plaisir de tout le monde, le sien d’abord, le mien, celui de ses futurs amants celui d’avoir une vie sexuelle, libre, riche, épanouie et épanouissante...
Nous en avons réellement profité toutes ces années de fac...
Un jour elle partit étudier définitivement à l’étranger...
Cela ne changea rien...
Ni pour elle, devenue près d’un de ses professeurs de Fac américaine et beaucoup plus âgé qu’elle, la Hot-Wife respectable et respectée qu’elle avait toujours voulu être, la lady américaine classe et parfaite le jour et aux désirs "naughty" de chaque instant...Un des paradoxes de l'Amérique...
Moi, je lui dois d'être devenu pour toujours Candauliste...
Je me souviens tant et avec tant d’émotions, parfois même érectiles, de ces instants où j’ai découvert son string imbibé de sperme, admiré, vu et goûté sa chatte gonflée de plaisir, partagé tant et tant de fois avec elle ces plaisirs et d’autres ensemble, cette philosophie et ce style de vie...
J’ai parfois eu des nouvelles et surtout j’ai toujours eu depuis ses confidences érotiques écrites par mail sur un site dédié à ces pratiques outre-Atlantique, ses délires et ses escapades sexuelles...
Elle s’en était fait un principe de me les dire, comme un légitime devoir envers moi.
Je ne lui demandais rien mais forte et fière de cette liberté que j’avais su lui donner, elle m’informait toujours, parfois même avant son mari, de ses rencontres et péripéties sexuelles variées et nombreuses...
C’est encore aujourd’hui le cas et c’est si bon et intense...
Elle est même devenue BBC, je n'en fus pas surpris connaissant les descriptions des Blacks qu'elle pouvait parfois rencontrer à la Fac et qui à chaque fois qu'elle m'en faisait la confidence la mettait dans des états torrides dont je profitais allègrement...
Moi, j’étais devenu et serais Candauliste pour la vie...
Merci à elle....Merci Ana...Je t’ai enseigné la liberté...Tu es bonne élève, tu as dépassé et il en est fier et heureux, le « maitre »...
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Lundi 8 juillet 2024
Comment lui dire adieu
Ce n'est pas la grande forme. Je veux dire, mentalement, parce que physiquement, je vais pas trop mal, enfin, je grossis, les gens pensent que je ne fais rien de mes journées mais c'est faux : je grossis.
Mais je déprime pas mal, épisodiquement. Là ça m'a encore repris hier, dans la nuit, envie de crever. J'ai réfléchi et j'ai pensé qu'il fallait que j'aille manger, alors je suis allé manger du Saint Nectaire avec du saucisson, ça m'a remonté le moral, la bouffe, ça fait du bien.
Je souffre un peu, oh, c'est rien par rapport aux gens qui ont de vrais raisons de souffrir (malades et handicapés, je les surnomme les infortunés lorsque je les croise, et je que me réjouis d'être bien portant). Mais voilà, c'est la misère affective qui provoque mon désarroi. Quand est-ce que je vais arriver à être heureux tout seul ?
J'essaye de rencontrer des filles, ça me coûte même pas mal de pognon, sur Tinder... je match avec des filles et puis on discute, quand elles daignent me répondre mais ça ne va jamais plus loin. Mais enfin, de quoi je me plains, après tout cela ne fait que 10 mois que je suis célibataire ! Whatever...
Je me suis forcé à écrire ce soir, j'ai eu raison, parce qu'au fur et à mesure où s'écrivent ces lignent ma peine s'envole, le pouvoir de l'écriture...
Il faut que je vous dise, le mois dernier, il est arrivé un malheur, malheur prévisible hélas, mais voilà, Françoise Hardy est morte.
Et, un peu sur un coup de tête, j'ai décidé de me rendre à ses obsèques.
Alors me voilà une semaine plus tard à Paris, où j'ai loué un Airbnb, et je suis allé au Père Lachaise (que je commence à connaître, parce que ce n'est pas la première fois que je m'y rendais).
Que dire de l'événement... au début, j'ai trouvé que c'était un peu un cirque digne de Cannes en période de festival, tous ces gens qui commentaient l'arrivé des people... il en est arrivé un paquet, de Nicolas Sarkozy (avec la fidèle Carla) à Mathieu Chedid, en passant par Etienne Daho qui est passé à côté de moi, arrivant par le côté du public, reconnaissable malgré son bonnet et ses lunettes noires, et puis la première dame, Brigitte Macron, et puis bien sûr Thomas et Jacques Dutronc, qui ont été applaudis.
Et puis le cerceuil est apparu et en l'apercevant ma gorge s'est serrée, je l'avoue.
Ensuite retentit une musique : Et Si Je M'en Vais Avant Toi, j'ai trouvé ça très beau.
J'avais acheté une fleur, une rose blanche, et je me trouvais un peu bête parce que je ne savais pas où la déposer, de plus, bizarrement, quasiment personne n'est venu avec des fleurs... J'ai fini par la déposer quelque par à côté d'une photo de Françoise et de quelques fleurs qui avaient été accrochées là.
Je ne me suis pas éternisé. J'ai dû rester une heure et demi. Et puis je suis reparti, après la cérémonie. Je n'ai pris aucune photo, je pensait bêtement que ce serait indécent en telles circonstances mais j'avais probablement tort puisque la plupart des gens prenaient des clichés à tout va.
Quelques temps plus tard après ma sortie, j'étais sur un banc non loin de l'entrée du Père Lachaise, lorsqu'on m'a abordé. Il s'agissait de Benoît, une homme que je connais via les réseaux sociaux (et particulièrement par le forum « Sugar Montain »). Cela fait trois fois en un an que je me fait accoster comme ça par une connaissance des réseaux. C'est plutôt agréable, parce que ça me fait socialiser. Benoît était accompagné d'un jeune ami à lui et ça m'a permis de faire aussi sa connaissance. Depuis, nous nous suivons mutuellement sur Instagram.
J'avais parlé de Berlin, ici, il y a quelques temps. Ce projet est tombé à l'eau, comme souvent, en fait. Avec mes amies on fait des plans excitants et au final ils ne se réalisent pas, c'est une habitude. Mais je garde cette envie de voyage. J'ai réfléchi et il me semble qu'en économisant seulement quelques mois (c'est à dire en cessant de dépenser des centaines d'euros en bouquins chaque putain de mois) je pourrais facilement me payer un autre séjour à New York. Ca me trotte dans la tête depuis un moment. J'ai rêvé de New York pendant toute ma vie, et puis j'y suis allé, et depuis, je ne rêve que d'y retourner. Ce projet se concrétisera t il ? Ou sera t il empêché par ma tendance maladive à procrastiner ? J'aurai voulu y aller avec mon frère, histoire qu'il s'occupe de régler toutes les choses pratiques que j'ai la flemme de prendre en main, mais selon lui, il ne peut plus se rendre aux USA pendant plusieurs années parce qu'il a fait un voyage à Cuba. Cette idée me semble surprenante mais c'est en tout cas ce qu'il prétend. Et si j'y allais seul ? Justine, ça ne l'intéresse pas. Mais peut être que Canel serait encore enthousiasmé par cette idée, alors je pourrais y aller avec elle...
On verra, mais en tout cas si ça se fait ce sera en 2025.
Je me suis rendu qu'on d'une chose, récemment : je suis un artiste sans œuvre, et ça, c'est une vraie tragédie.
Dans 3 jours je me rendrai à nouveau à Lyon pour le concert de Cat Power, donc je vous parlais dans la dernière note, vous savez, celui où je suis censé rentrer gratuitement sur invitation en échange d'un papier. Ca me remontera peut être le moral.
Allez, je vous laisse, j'ai écris deux pages, c'est déjà pas mal, non ?
Bande son : The River, Bruce Springsteen
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Les nouvelles expériences d’une vie sans fin (8.2/15)
L’air était tiède, un soleil d’été déjà levé depuis plusieurs heures mais un vent du Nord rafraichissant agréablement l’atmosphère. La petite forme emmitouflée dans le duvet de satin émeraude roula avec plaisir sur le matelas de lierre rembourré, se délectant encore un peu de ce demi-sommeil… avant de s’écraser lourdement sur le plancher.
« Q-que… Hein ? Y-yugo… ? C’est toi ? »
La voix fluette mais encore endormie d’Adamaï fit émerger son frère de la pile de draps emportée dans l’accident, celui-ci massant son crâne vigoureusement.
« O-oui, c’est moi, je -aoutch ! T-tout va bien, Ad’ !
- Tss… » Soupira le dragonnet. « T’es encore tombé du lit, pas vrai ?
- Hey, ne fais pas comme si c’était quelque chose de régulier ! » S’indigna l’autre, qui tentait tant bien que mal de s’extirper des couvertures.
« Ah ouaip ? Il m’semble pourtant que c’est aussi ce qui est arrivé avant-hier ! » On pouvait presque entendre son sourire. « Et le jour d’avant, et celui d’-… !
- C’est bon, c’est bon ! T’as gagné ! » Ricana Yugo.
« J’espère bien ! Et pour gage de ma victoire, j’attends bien un croissant à la confiture, un bol de myrtilles, avec un jus d’o- Humpf ! »
Un oreiller parfaitement ajusté força Adamaï à écourter sa liste d’exigences matinales. De l’autre côté de la pièce, Yugo, qui avait fini de remettre un peu d’ordre de son côté et avait commencé à s’habiller, se mordit l’intérieur de la joue pour ne pas éclater de rire devant l’état de choc du dragon ivoire. Il comptait descendre aux cuisines quoi qu’il arrive, et ce n’était pas non plus la première fois qu’il jouait les coursiers, mais cela ne signifiait pas pour autant qu’il ne pouvait pas se rebeller un peu !
« Un jus d’orange sanguine - t’inquiète frérot, je te connais, non ?
- Toi… » De la fumée s’éleva des narines bleutées. « Tu vas voir ce qu’il en coûte d’attaquer un véritable dra- !
- Bye, Ad’ ! On se voit tout à l’heure ! »
Un portail plus tard, et le jeune Éliatrope se retrouvait à plusieurs couloirs de leur chambre commune, où il savait que son frère n’aurait pas la motivation de poursuivre leur petite rivalité ; il y avait plutôt fort à parier que celui-ci n’ait préféré se rendormir en attendant le petit-déjeuner. En parlant de nourriture, son ventre se mit à gronder. Il faut dire que le dîner de la veille, plus « végétarien » qu’à l’accoutumée n’avait pas vraiment su contenter son estomac, et ni les entremets de légumes sautés, ni les escalopes d’aubergines braisées ou même les veloutés de mangue servis sur leur trop maigre biscuit, malgré toute leur saveur et délicatesse, n’étaient parvenus à le sustenter. Phaéris et Adamaï, de même que Tristepin, avaient également avalé leur « maigre repas », regrettant plus ou moins vocalement l’absence de viande dans leur assiette. Cependant, Yugo gardait un bon souvenir de cette soirée, car même s’il ne s’été pas agi d’un festin pour sa part… Il avait été rassuré de voir Qilby manger un peu plus qu’à l’accoutumée.
De manière générale, le scientifique était assez avare en termes de quantités. Cela ne semblait pas l’empêcher d’apprécier le fait de manger, et il lui arrivait même d’émettre parfois des commentaires appréciatifs ; fait qui ne manquait pas d’attirer l’attention autour de la table, et qui se faisait, de ce fait, assez rare. Non, le problème venait de la quantité à laquelle son aînée se restreignait : même Amalia et Évangéline, qui prenaient également toutes deux soin de leur alimentation, l’une pour une question esthétique (bien que Yugo la trouvait jolie peu importe son apparence), l’autre pour maintenir son agilité de combattante, avaient des assiettes largement plus garnies ! Une salade, une ou deux tranches de pain de seigle et, si l’humeur y était, quelques cuillérées de l’accompagnement du jour, mais autrement… Par les Douze, on n’a pas idée de se nourrir de thé et de gâteaux secs ! Le régime du savant, au-delà de potentielles aversions en raison de ses « expériences passées », avait sérieusement commencé à inquiéter Yugo. Il s’apprêtait d’ailleurs à lui en toucher deux mots, quitte à prévoir une nouvelle intervention de force avec Ruel, quand, la veille, la grande coiffe blanche avait fait son entrée dans la grande salle, l’air… détendue. Ses traits arboraient un sourire que l’on aurait pu méprendre pour un rictus, il tenait sa tête plus haute, et sa main ne présentait pas la même agitation nerveuse qu’à son habitude. Un brin surpris par ce changement, le plus jeune n’avait pas hésité à se rapprocher :
« Euh, Qilby ? Pardon, mais… Tout va bien ? »
« Hum ? Ah, bonsoir Yugo. Oui, il n’y a pas de problèmes - pourquoi cette question ? »
« P-pour rien ! C’est juste que tu parais plus… »
« … ? »
Le regard lourd d’interrogation du vieil Éliatrope, davantage dû à la panique du plus jeune qu’au motif même de sa question, força Yugo à préférer s’enquérir de la pluie et du beau temps : son après-midi, ses découvertes et progrès, les éventuelles visites qu’il avait reçues… Le changement n’échappa pas à l’autre, mais il semblait plutôt habitué au malaise que pouvait générer ses interactions et ne s’en alarma donc pas plus que de mesure. Le repas s’était résumé par une discussion sympathique, bien que sans réelle chaleur.
Je me demande tout de même si…
Non !
Qilby n’a… Il est toujours assez réservé et
est encore sur la défensive sur beaucoup de points, mais…
C’était là la source de bon nombre de ses tourments nocturnes. Depuis qu’il avait pris la décision de sortir son frère de sa prison, sa conscience ne cessait d’imaginer chaque conséquence qu’il pourrait en découler… chaque fin inévitable que ses espoirs peut-être un peu trop naïfs avaient débloquée. Dans ses rêves, il voyait le Royaume Sadida réduit à brasier infernal, les cris de ses habitants faisant écho à ceux de ses amis, sa famille, tous périssant de manière tragique. Dans le ciel, d’immenses portails reproduisaient l’assaut des Griffes Pourpres, à la seule différence que ce n’était pas des Shushus qui se déversaient sur les terres des Douze comme une vague de peste noire… Il s’agissait de monstrueuses créatures mécaniques, aux yeux flamboyants et au souffle chargé de souffre. La petite coiffe turquoise était incapable de leur donner un nom, et pourtant, il avait cette étrange impression de déjà-vu, comme si…
Comme si
je les avais déjà rencontrés…
Hum…
Peut-être que Qil-
Qilby, dans ces cauchemars, se tenait debout sur une colline, un plateau, la branche d’un arbre, cela pouvait changer selon les nuits, mais son sourire demeurait identique. Chaque fois que Yugo parvenait à le retrouver, les yeux emplis de larmes et les poumons de rage, le sommant de répondre de ses actes… le savant se retournait, ses amples vêtements beiges contrastant avec ses cheveux bruns-dorés, pour lui offrir le plus doux des sourires. Aucune trace de malice, ses yeux noisette le figeaient alors sur place malgré leur tendresse.
« J’ai peut-être condamné nos vies et nos rêves,
mais je ne supporte plus nos mensonges… »
Yugo le confrontait alors, pointant le paysage de désolation en arrière-plan comme pour appuyer son propos : pourquoi donc en être arrivé à de telles extrémités ? N’y avait-il donc aucun autre moyen pour le savant de communiquer ?! Néanmoins, à peine lui répliquait-il que la posture du scientifique changeait radicalement. Il reculait de quelques pas, ses pupilles se dilataient, ses épaules s’affaissaient et sa main valide venait enserrer son flanc blessé. Le timbre de sa voix muait en ces notes aiguës, désespérées, qui rappelaient que trop bien à Yugo le démon noir et blanc qu’il avait dû affronter :
« La vérité est trop lourde ! »
Il avait bien tenté de poursuivre, de comprendre ce que ces « mensonges » pouvaient receler. Il s’était avancé vers son aîné, l’avait parfois supplié de lui parler, l’avait certaines nuits, même, poussé à combattre, ou encore d’autres fois, lui avait promis qu’il acceptait de « lui pardonner » s’il l’aidait à mettre un terme à cette folie destructrice… Mais aucune de ces réponses n’avait convenu à cette version fantôme, car elle reprenait alors ces mots terribles…
« C’est vous qui m’avez trahi et pas l’inverse…
Frères indignes !! »
… et le rêve s’achevait. Dans les flammes et le sang. De manière brutale pour son esprit, plus ou moins pour son corps selon sa capacité à rester sur son lit. Après plusieurs nuits passées à revivre la même trame, impuissant, Yugo était épuisé ; le seul avantage qu’il en tirait était qu’il pouvait ressentir un peu plus d’empathie pour l’autre, prisonnier de ses souvenirs. Cependant, ces « visions » ne l’aidaient pas à se sentir pleinement serein quant aux chances de repentir du vieil Éliatrope. Il ne se voyait pas se confier à lui, par crainte de briser le semblant de relation qu’il était parvenu à créer, mais il ne lui donnait que peu de temps avant de sentir que quelque chose clochait dans son attitude. Il n’y avait qu’à voir sa réaction lors de leur séance d’entraînement la semaine dernière ! Qilby était capable d’interpréter le moindre de ses mouvements, la moindre de ses expressions : cela ne faisait qu’ajouter plus de crédit au fait qu’il avait vécu plusieurs millénaires à les côtoyer, tout en le rendant par la même occasion impossible à manipuler !
Non !
Yugo ferma les yeux et secoua la tête : il ne tomberait pas dans les travers qui ont pu mener leur peuple à sa perte autrefois ! Il se refusait à user de telles méthodes, indignes d’un roi. De plus, cette méfiance ne risquait que d’aggraver celle de Qilby… S’il souhait un jour pouvoir réunir sa famille, les deux frères allaient devoir faire un pas vers l’autre, et Yugo ne savait que trop bien que son frère était bien plus orgueilleux qu’il voulait bien le laissait paraître. Quoi qu’il ait pu advenir lors de sa précédente existence, ces évènements avaient profondément impacté le scientifique au point qu’il en renie les siens ; c’était donc à lui de faire le premier geste.
Il faut juste que je lui laisse
un peu plus de temps…
Il finira bien par… changer ?
Transformer un être pétri par des siècles d’amertume grâce à de belles paroles, des confiseries et des arcs-en-ciel ? L’idée était risible, mais il se devait de la tenter. De toutes manières, maintenant sorti de la Dimension Blanche, il n’avait plus vraiment le choix…
J’espère juste que
je n’ai pas fait une erreur…
Encore…
Et, plongé dans ses pensées, Yugo descendit vers les cuisines dans l’espoir de trouver un peu de réconfort dans un solide petit-déjeuner.
Les hauts fourneaux crachaient à pleine gorge d’épaisses volutes de fumées, où l’écorce de cèdre rivalisait avec moult épices et parfums fruités, avant de s’échapper par les hautes fenêtres pour allécher les passants en contre-bas. Les larges tables étaient couvertes de sacs de farine et sucre de toutes les variétés, de poêles et marmites n’attendant qu’à sauter sur le feu, les corbeilles d’être garnies de fruits provenant des quatre cardinaux. Dans les étagères, confitures, miel et gelées voyaient les portes s’ouvrir pour se refermer dans une valse chaotique, au grès des petites mains du Palais. Comme d’habitude, à l’aurore, toutes s’étaient éveillées, et bien avant que les plus matinaux des résidents ne songent à ouvrir une paupière, elles auraient déjà préparé la grande salle pour les accueillir par un buffet digne des dieux eux-mêmes ! Comme chaque jour, le martèlement des sandales contre l’écorce et l’entrechoquement des ustensiles pouvaient se faire entendre depuis l’étroit escalier en colimaçon menant aux cuisines. Cependant, lorsque Yugo parvint enfin à sa destination, il fut instantanément choqué par… le silence. En dehors du bruit de fond habituel qui régnait en permanence sur ces lieux, il y manquait…
Pourquoi tout le monde semble
si calme aujourd’hui ?
Serveurs, chefs, assistants : pas un seul cri n’était lancé à travers la pièce, pas une seule remarque, critique, excuse, pas un ragot royal échangé entre deux casseroles ni même une complainte sur un travail trop pénible ou une paye trop basse au détour d’une sauce ! Les théières sifflaient mais aucun marmiton ne donnait la cadence avec un air populaire. L’on aurait pu se croire au cœur d’un rite gastronomique où la parole était bannie par crainte qu’elle ne détériore les plats !
« Hum, excusez-moi... ? » La Sadida à la longue tresse bardée de fleurs sauvages sursauta presque, rattrapant de justesse la cruche qu’elle tenait. « P-pourquoi est-ce que tout est si… « tranquille » aujourd’hui ?
- Ah ! Maître Yugo, c’est vous ! Pardonnez-moi je ne vous avais pas vu ! » Il n’était toujours pas à l’aise avec ces titres jetés à tout va, préférant toutefois s’abstenir de tout commentaire. « Non, tout va bien ! C’est juste que… » La servante se mordit la lèvre.
« Quoi ? Il y a eu quelque chose de grave ? » Il cherchait désespérément son regard.
« Non, non, non ! R-rien de grave ! » Bégaya l’autre. « C’est… Enfin… »
Elle indiqua alors le fond de la salle d’un geste de tête discret, où de larges placards et saloirs avaient été creusés à même le tronc. C’est là qu’il l’aperçut :
« Qilby ?!
- Hum… ? » L’intéressé redressa soudainement la tête en entendant son nom, ce qui s’apparentait à une boite en fer blanc dans la main. « Oh, Yugo : c’est toi ! Déjà debout ? »
En quelques enjambées, le cadet rejoint son aînée, chose assez aisée compte tenue de la distance plus que respectable que les membres du personnel tenaient à garder avec le second. Celui-ci, s’il paraissait toujours aussi désintéressé par son environnement, arborait néanmoins un léger sourire depuis qu’il avait remarqué son frère.
« C’est plutôt moi qui devrais te faire la remarque ! » S’exclama Yugo. « Depuis quand es-tu arrivé ? Comment as-tu seulement trouvé ton chemin jusqu’ici ?!
- Héhé, toujours suspicieux à mon égard, n’est-ce pas ? » Un sourire bien moins sympathique se dessina sur ses traits. « Peur que je vole une recette ancestrale de tarte aux fraises ou décide d’invoquer un golem de guimauve, hein, Yugo ? »
La plaisanterie n’était apparemment, pour filer la métaphore, pas au goût de tout le monde, car plusieurs paires d’yeux alarmés se figèrent subitement sur les deux Éliatropes. Peu importe qu’elle soit tournée en dérision, la menace demeurait bien réelle…
« Ha ! Pas besoin de me faire cette tête, voyons ! » Au moins, le savant n’était pas insensible à la tension ambiante. « Je me suis simplement retrouvé à cours de thé et cette charmante personne s’est proposée pour m’accompagner jusqu’à la réserve ! »
Il désigna alors du doigt un garde dont la face impassible donnait une toute nouvelle définition à « charmant ». Ce-dernier adressa un hochement de tête sec à Yugo en guise de salutations, avant de fixer à nouveau les moindres gestes du scientifique. Le jeune Éliatrope répondit d’un geste de la main gêné. Il ne pouvait pas en vouloir aux Sadidas d’adopter une telle posture face à la large coiffe ivoire, mais il ne pouvait s’empêcher de trouver l’atmosphère pesante… si ce n’est disproportionnée. Après tout, sans sa maîtrise du Wakfu, Qilby ne représentait guère une menace : à première vue, n’importe laquelle de ces lavandières pourrait mettre à terre l’être pluri-millénaire qu’il était.
Enfin, maintenant que j’y pense,
Phaéris et Qilby ont dit que le collier
servait autrefois lors d’entraînements spéciaux…
Notre peuple savait-il donc
se battre sans l’aide du Wakfu ?
Et par rapport à ces créatures dans mes rêves…
Je me demande si…
« Hum, dis-moi Qilby…
- Oui ? » S’enquit l’autre, partiellement absorbé dans sa sélection rigoureuse de biscuits.
« Tu es disponible cet après-midi ?
- Disponible est un bien grand mot. » Ricana l’autre, inspectant une pâtisserie à la prune noire avant de la reposer avec une mine de dégoût. « Je serai présent dans ma cellule jusqu’au souper si c’est que tu souhaites savoir. Donc si toi ou l’un de tes « compagnons » avez besoin d’ennuyer quelqu’un aujourd’hui, je suppose que… »
Il s’arrêta soudainement, ayant senti plus que perçu le changement d’attitude chez son jeune frère. Yugo n’avait pourtant pas bougé, ses traits étaient les mêmes, et pourtant, derrière ses grandes iris noisette, se trouvait un sentiment que Qilby avait appris à craindre… La déception.
Oh Déesse…
« À moins… » Relança-t-il doucement. « À moins que tu n’aies quelque chose d’important à me dire… ?
- Hein ? Je – non ! Enfin, c’est-à-dire que… »
Le plus jeune jeta un coup d’œil nerveux derrière l’épaule du scientifique, qui n’eut pas besoin de le suivre pour comprendre d’où venait l’inconfort de son cadet.
« Pourriez-vous nous laisser un instant ? » Adressa-t-il au garde sans se retourner. « Mon frère et moi-même devons nous entretenir un instant… »
Le Sadida à l’armure de cuir et d’écorce émis un grognement qui devait s’apparenter à un accord quelconque, car le savant tira alors le plus jeune hors des cuisines, ses quelques provisions précautionneusement rangées dans une besace pendant sous sa capeline. Son attitude, si elle continuait à dégager complaisance et agacement envers le monde extérieur, trahissait cependant une nouvelle posture : celle de l’aîné, anxieux.
Très vite, ils se retrouvèrent sous les hautes voutes des corridors, avec, comme ultime destination, la salle-à-manger où le reste des hôtes et invités de marque les y attendraient. Le pas se ralentit, maintenant que le vacarme des fourneaux qui avait repris avec leur départ s’estompait dans leur dos. Seule la marche cadencée du garde escortant le savant les suivait, ce à une distance respectueuse ; assez proche pour garder le prisonnier à l’œil, mais avec la distance nécessaire pour accorder à l’un de leur sauveur la discrétion qu’il désirait.
« Donc… » La coiffe crème croisa brièvement son regard. « Nuit difficile, hum ?
- Une n- quoi ?! C-Comment peux-tu savoir que j’ai- ?
- Allons bon, Yugo… » Rétorqua l’autre, une pointe de fatigue comme d’amusement dans la voix. « Je suis ton.. » Son regard se perdit brusquement et son échine se raidit. Un battement de cil. « Je t’ai côtoyé durant des millénaires. » Il baissa d’un ton. « Tu ne peux pas me cacher ce genre de choses… Tu ne l’as jamais su d’ailleurs… »
Yugo, qui s’était jusqu’alors laissé porter par le mouvement, encore décontenancé par ce début de journée peu banal, s’arrêta en plein milieu de la traverse de bois suspendue. L’autre l’imita, penchant la tête sur le côté en guise d’interrogation :
« Yugo… ? »
Cela ne pouvait pas… Non. Son frère était un manipulateur renommé : feindre la sympathie était parfaitement dans ses cordes. Il l’avait d’ailleurs prouvé à maintes reprises ! Et pourtant, là, sous ces sourcils froncés par une légère inquiétude, derrière cet empressement à l’éloigner d’un lieu bondé au premier signe d’angoisse de sa part… Se pourrait-il que celui qui ne cessait de le repousser dans ses tentatives de réunion… ? Se pourrait-il qu’il demeure encore un peu d’attention ? D’espoir ?
« Je-hum, oui ! U-un instant !» Une brève secousse pour écarter les dernières torpeurs. « J’avais juste besoin d-d’un peu d’air… Ça va mieux !
- Tu en es certain ? » Reprit le savant. « Nous pouvons encore prendre quelques minutes si tu veux.
- Non, non ! On peut y aller : marcher me fera du bien je pense.
- Comme tu l’entends… » Conclut le plus vieux, haussant les épaules avant de reprendre la tête du cortège.
Un bref regard en arrière indiqua à Yugo que le garde avait automatiquement emboité le pas de celui dont il avait la charge. Voyant que ce-dernier l’avait déjà distancé de quelques mètres, il entreprit de le rattraper en faisant appel à un ou deux portails. Une fois à sa hauteur, pourtant, l’autre ne lui accorda pas davantage d’attention, comme si son élan de générosité s’était arrêté à lui laisser un peu plus d’espace. Enfin…
C’est peut-être justement ça… ?
Peut-être qu’il préfère que… j’y aille à mon rythme ?
En s’y attardant davantage, le jeune Éliatrope fut surpris de constater que le scientifique ne cherchait pas à écourter leur temps en commun, comme si cette interruption l’avait froissé, bien au contraire… Son regard n’était pas fixé au-devant de leur objectif, mais errait plutôt sur le décor, une expression neutre. S’il évitait soigneusement de s’arrêter là où se trouvait son jeune frère, il semblait s’être rapproché de lui ; leurs mains pouvant presque se frôler par inadvertance.
Bon, eh bien,
qui ne tente rien… !
« Il y avait d’énormes créatures de métal. » Un raclement de gorge affirmatif se fit entendre sur sa gauche, sans commentaire. « Cette nuit, je veux dire, dans mon r-… Enfin, cauchemar plutôt. Je… J’y ai vu des espèces de géants, mais entièrement faits de métal, et ils avaient c-ces yeux rouges ! Ils tiraient des rayons d’énergie, comme du Wakfu, qui détruisaient absolument tout sur leur passage et je… » Le souffle lui manquait, les ombres de cette nuit revenant à l’assaut de sa conscience. « Je ne pouvais rien faire ! Chaque fois que je créais un portail pour les détourner, i-ils se… Ils se brisaient tout simplement ! Et tout le monde criait, t-tout le m-monde…
-Yugo… » L’autre prit en fin la parole. « C’est fini. Ce n’était qu’un mauvais rêve…
- Mais c’était si réel ! » S’exclama-t-il. « Ces… Ces choses, c’était des Méchasmes, pas vrai ? Comme ceux dont tu parlais ? Comment cela se fait-il que je les ai vu ?! Est-ce que cela signifie qu’ils peuvent… revenir… ?
- Oui, Yugo, d’après ta description, ces « créatures » devaient très certainement être des Méchasmes. Du moins, une version de ceux-ci… » Si différente de ce qu’ils- de ce que nous avons pu être. « Cependant, tu n’as rien à craindre d’eux : le dernier de nos poursuivants, Orgonax, a été détruit à la fin de la seconde guerre qui nous a opposés. En aurait-il été autrement, nous ne serions pas ici pour en parler…
- E-et les autres ? Tu as bien dit « le dernier de nos poursuivants », cela signifie-t-il qu’il y en aurait d’autres qui… qui seraient toujours quelque part, tu sais… là-haut ? »
Enfant -De- L’Étoile Bleue
Nos Route -Aujourd’hui- Se Séparer
Mais -Notre Cœur- Avec Toi -Demeurer-
-
Et -Le Tien-
-Avec- Nous
« Peut-être… » Soupir. « Pour être tout à fait honnête, je ne sais pas.
- J-je vois… »
« La vérité est trop lourde ! »
« Et si c’était le cas, hum… Tu… Tu aimerais ça ?
- Pardon ?! »
Cette fois-ci, ce fut le tour du savant que de mettre un stop à leur progression.
« Insinuerais-tu que je… ? » Grinça-t-il.
« Non ! Je n’insinue rien du tout, c’est toi qui- humpf… » Yugo ne put retenir un soupir : pourquoi fallait-il toujours se méfier de prétendus sous-entendus cachés ? « Je n’ai pas dit que tu y étais associé ou quoi que ce soit, simplement…
- Simplement… ? » L’autre reprit, suspicieux.
« Tu n’es pas obligé d’avoir le même ressenti que tout le monde ? » Devant l’air ahuri, il s’empressa de préciser : « Ce que j’essaye de dire, c’est que… Je sais pas – tu as l’air de les avoir étudié plus que nous autre ? Donc peut-être que leur disparition ne t’a pas… » Été profitable ? « … fait plaisir ? »
Nul Xélor n’aurait pu suspendre le temps aussi parfaitement qu’il le fut en cet instant. Sans pour autant avoir été introduit dans la discussion, le garde qui suivait les deux Éliatropes avait de lui-même décidé de reculer de quelques pas.
« … Oui et non. » Finit par lâcher Qilby. « Je ne peux pas dire que je ne suis pas soulagé que cette maudite guerre ait pu prendre fin…
- Mais… ?
- Mais. » Regard noir. « Je… J’aurai souhaité… Juste pour… »
« J’aimerai tellement que ça se passe différemment pour une fois…
Mais l’histoire se répète
inlassablement. »
« Ils n’étaient pas tous comme… Lui. » À ses côtés, son poing se serra. « Certains ne méritaient pas de finir ainsi. Nous… Nous ne méritions pas de finir ainsi. » Rire forcé. « Tu sais, je pense que tu aurais aimé les rencontrer lors de leur arrivée sur notre planète, ils… Ils ont voyagé à travers tant de galaxies, avaient tant d’histoire à partager… » Nostalgie. « Non, vraiment, je suis sûr que tu les aurais adorés… »
Yugo n’en croyait plus ses sens : était-ce bien son frère aîné qui lui faisait face ? Le paria égocentrique et malade ? Celui-là même qui, en cet instant, décrivait avec tant de douceur, de bienveillance, un peuple qui avait pourtant réduit le leur en cendres ? Les traits du scientifique étaient détendus, un léger sourire au coin des lèvres.
« P-pas tous comme… Orgonax, c’est ça ? » Tenta-t-il d’approfondir. « E-et je suppose, enfin d’après ce que tu viens d’expliquer, qu’il y en avait des, hum… « des gentils » ?
- Hé, hé, oui bien sûr… Comme pour l’ensemble des êtres vivants : on ne peut se permettre de tirer une loi générale d’un seul spécimen. Tous les Méchasmes n’étaient pas comme Orgonax… » Les iris du savant prirent une teinte plus sombre. « … et tous les Éliatropes ne sont pas les mêmes non plus.
- Et… Et toi, Qilby ?
- Et moi, Yugo ? » Imita l’autre, sur le ton d’une vieille plaisanterie.
« Si on y réfléchit, tu as eu le temps d’observer et de vivre avec les deux… espèces ? Races ?
- Communautés.
- Oui, hum, c’est ça. Donc… » Inspiration. « Est-ce qu’il y en a une que tu, peut-être, préfères ? »
Tu ne penses tout de même pas à… ?
Un parfait irresponsable : voilà ce que tu es !!
Mon frère, tu sais à quel point je t’aime et te soutiens dans tes travaux, mais…
Non ! Tout mais pas ça, Maître !
Qui va nous protéger de la peste ?! Nos récoltes des parasites ?!
Pouvons-nous nous permettre de les abandonner ainsi ?
Pitié… Ne me laissez pas derrière…
Tu veux tous nous condamner c’est ça ?!
Tu es libre de partir, bien sûr…
En as-tu encore seulement quelque chose à faire de nous ?!
Juste…
Réfléchis-y encore un peu, d’accord ?
« Qilby… ? Qilby !
- Hum – hein, quoi ?! » Sursaut. « Oh, pardon, je… J’ai dû me perdre dans mes pensées. »
Devant eux, à quelques enjambées à peine, se dressaient les deux imposantes portes sculptées menant à la grande salle de réception dont s’échappaient déjà des voix familières. Le choix du savant fut rapide :
« Et si l’on remettait cette discussion à plus tard, hum ? Tes amis doivent t’attendre. » Fuyant autant le sujet que son interlocuteur, il tenta malgré tout d’adoucir sa réponse. « Tu as bien dit que tu voulais me voir cet après-midi, non ?
- Je… Oui ? » Répliqua le benjamin, qui n’était pas assez naïf pour ne pas comprendre l’esquive de l’autre. Chaque chose en son temps.
« Très bien, faisons ainsi alors. »
Et juste comme cela, ils firent leur entrée parmi le reste de la Confrérie et de la famille royale, attablé autours de ce qui s’apparentait, comme chaque matin, au plus fastueux des petits-déjeuners.
« Et moi je te dis que c’est un de ses tours machio…machiavil… Enfin un de ses tours !
- Pinpin, tu sais que j’t’aime bien, mais parfois je me dis que tu as reçu trop de coup sur ton crâne de Iop. » Ruel profita de cette pause dans le monologue de l’autre pour se resservir. « Comment veux-tu qu’il puisse jeter un sort alors qu’il porte ce fameux collier magique, hein ?
- J’en sais rien, moi ! I-il a peut-être trouver une faille ? C’est bien ce qu’il sait faire : manigancer, trouver des points faibles, tout ça !
- D’accord, D’accord, mais cela n’enlève rien au fai’t qu’il ne peut pas manier le Wakfu dans son état.
- Tss… De toutes manières, je suis certain que toi aussi, il a réussi à t’envouter ! » Commença à maugréer le guerrier. « Tout comme il a réussi à entrer dans le cerveau d’Eva pour la forcer à aller lui rendre visite ! Je n’sais pas ce qu’il trame, mais laisse-moi te dire une chose : je vais découvrir ce que ce vieux crouton manigance avant de lui donner une bonne raison d’arrêter ses… ses plans… !
- Machiavéliques… ?
- C’est ça ! »
Le mineur soupira longuement devant l’enthousiasme du rouquin, préférant glisser des tranches de brioche à la confiture vers son familier, Junior, qui n’en faisait alors qu’une bouchée. Il aurait bien voulu rassurer son compagnon de voyage quant aux motivations d’Evangéline (il avait d’ailleurs les siennes), mais le problème était, d’une part, qu’il n’en avait pas lui-même connaissance, et de l’autre, que la perspective que d’autres membres de leur troupe aient commencé à se rapprocher du scientifique n’était pas pour lui déplaire. Fut un temps, il se serait peut-être inquiété de cette soudaine empathie pour celui qui avait presque mené leur monde à sa perte. Enutrof savait que ces doutes l’habitaient toujours. Cependant, après plusieurs semaines passées à ses côtés, après tout ce qu’il avait pu voir, entendre, constater… ce qu’il avait pu déduire des non-dits, soutirer des silences et arracher aux mensonges… son opinion s’était, disons, équilibrée.
Pas un bon gars, définitivement.
Mais pas un mauvais bougre non plus…
Quelqu’un qui a beaucoup perdu, ça, c’est sûr.
Tristepin s’apprêtait à repartir dans l’une de ses théories farfelues, Ruel, à prier les Divins pour l’extraire de cette situation, quand il fut exaucé. Les deux battants de la salle-à-manger royale s’ouvrirent, laissant passer deux coiffes familières.
« Ah, Yugo ! Comment ça va aujourd’hui, gamin ? » Se tournant vers l’autre. « Et vous, Doc’ ? C’est rare de vous voir ici-bas dès le réveil ! Vous ne vous êtes pas trop fait mal en tombant d’vot’ lit j’espère ? »
La plaisanterie provoqua quelques sourires dans l’assemblée, mais nul ne portait la trace de la moquerie. Exception faite du Iop, qui préféra conserver son air boudeur. Fait encore plus remarquable, la cible de cette pique se prit au jeu :
« Je vous remercie de votre bienveillance, mais ne vous en faites donc pas pour ces vieux os : j’ai pris toutes les dispositions nécessaires avant de me coucher hier. » Rictus. Retour à l’envoyeur. « Peut-être pourrai-je vous donner quelques conseils à l’occasion pour vous occuper des vôtres… ? »
On put entendre quelques rires étouffés, notamment dû à l’expression outrée mais exagérément dramatique prise par le mineur. Il était clair que celui-ci versait dans le théâtralisme, et qu’aucune rancœur ne serait gardée.
Les deux Éliatropes prient places autours des larges tablées, impatient pour l’un de pouvoir se substanter, l’autre plus intéressé par la compagnie. Nous arrivions à la fin de la semaine, et comme à son habitude, Maître Joris n’allait pas tarder à venir faire son rapport concernant l’état de la Nation « du Bien et de la Justice » - un nom quelque peu provocateur et pompeux avait jugé le scientifique. Il était certain qu’une étude approfondie des comptes de certains nobles bontariens, voire une courte promenade dans les coulisses du palais, seraient toutes deux riches d’enseignements concernant cette soi-disante « justice ». Il avait arpenté ces mêmes couloirs plusieurs milliers d’années auparavant et savait que, derrière ces rideaux de velours, se peignaient les fresques les plus sombres, celles que le peuple n’aura jamais l’occasion d’admirer car leur simple mention risquerait de fragiliser ces vieilles colonnes qui avaient supporté tant de dynasties auparavant. L’huile ne cessait pourtant de s’infiltrer dans la moindre nervure, n’attendant qu’une étincelle pour dévorer forts et cités… qu’un mot interdit pour souffler sur les braises de la guerre. Ainsi, il ne s’aviserait pas d’en débattre avec le messager pour le moment ; ne sachant si sa loyauté à la couronne surpassait son esprit critique, mieux valait ne pas tenter Rushu sur la question des éventuels travers de ses supérieurs. Il se réservait ça pour plus tard, quand…
Plus tard ?
Ha !
Plus tard…
Comme prévu, le petit être encapuchonné finit par faire son entrée, son visage dans l’ombre mais des yeux perçants, qui se mirent immédiatement à détailler la scène qui se présentait à lui. Une habitude très certainement tirée d’une vie militaire, voire d’espion, nota Qilby, une tasse de thé au bord des lèvres. Maître Joris pris un soin particulier à saluer la famille Sheram Sharm, avant que son attention ne se reporter sur le vieil Éliatrope. Celui-ci en profita pour lui rendre un sourire éclatant, ignorant par cela même le regard gêné de son frère. Toutefois, l’autre ne sembla pas prendre ombrage de son attitude, la considérant comme une énième bravade envers ses « geôliers » comme il aimait à le répéter. Car ce que ne savait pas Qilby, ou ce qu’il préférait ignorer, c’est que si son expérience lui permettait de lire ouvertement Maître Joris, l’intelligence et la perspicacité de ce-dernier lui offrait les mêmes capacités…
Hum…
Barbe taillée, cernes moins visibles,
main droite posée sur la table - absence d’agitation nerveuse - ,
s’autorise un brin d’ironie ou de cynisme contre l’autorité,
mais surtout,
assis à côté de son frère.
Pas de tension apparente entre les deux.
…
Eh bien, il semblerait que notre « invité » soit bien disposé aujourd’hui.
Sur ces observations, l’émissaire alla se poster à l’avant de la salle, tirant de son imposant paquetage un parchemin dans lequel il ne manquait jamais de consigner le moindre avancement dans leur quête. Il y tenait également compte des nouvelles envoyées par la Cité-État, et dont il s’apprêtait à faire la lecture… quand il releva la tête, interrogateur :
« Sir Phaéris ne nous a pas encore rejoint ? »
Tous les yeux se dirigèrent alors vers la place vacante aux côtés d’Adamaï, celle-là même que le large dragon turquoise aimait occuper d’habitude.
« Adamaï. » C’était Évangéline qui tentait de couvrir les interrogations vocales de ses camarades. « Vous n’aviez pas d’entraînement matinaux aujourd’hui ?
- Non, non ! On en a déjà fait plusieurs d’affilés et Phaéris m’a même dit hier que je pouvais me reposer aujourd’hui !
- Je confirme ! » Appuya Yugo. « Il était encore avec moi lorsque je suis sorti pour aller aux cuisines ce matin.
- Il est peut-être simplement aller se dégourdir les ailes ? » Proposa Ruel. « Il tourne parfois ‘tours du Palais à l’aube.
- Si c’est ça, on l’aurait croisé avec Rubi’ ! » S’exclama alors le Iop à ses côtés. « On est parti se défouler sur quelques monstres dans la forêt et je l’aurais entendu !
- Oui, enfin, c’est plutôt toi qui a décidé pour nous deux que nous allions découper de pauvres souches innocentes dans les bois, et tu criais tellement fort à chaque coup que je doute fort que tu aies pu entendre un Trool mugir derrière un buisson… » Se permit d’ajouter Rubilax.
Les hypothèses allaient bon train autours de la grande table, au point où même le scientifique, pourtant favorable à ce que Phaéris se tienne loin de lui, ne serait-ce le temps qu’il ne termine ses frugales tartines, commença à s’inquiéter de cette absence. Il était rare que le Puissant fasse preuve d’un tel laxisme… Inhabituel… Anormal. Le script ne suivait pas son cours.
De manière tout aussi surprenante, alors même que le Roi Sadida envisageait de demander à la garde de mander le dragon, la réponse s’incarna dans une voix timide, presque entièrement dissimulée derrière l’imposante jarre de confiture qu’elle portait.
« Messire Phaéris ? » Demanda le domestique. « Il vient à peine de partir, il y a de cela… Une vingtaine de minutes ? Trente peut-être ? Mais nous pensions que vous étiez au courant, Maître Joris, étant donné qu’il s’agit d’un agent de Bonta qui…
- Un agent de Bonta ? » Répéta l’intéressé, visiblement perturbé. « Quel agent ?
- J-je ne saurais pas trop v-vous répondre, Maître Joris, il… C’était u-un agent de Bonta ?
- C’est impossible : aucun agent n’a été détaché de la garnison. Je suis le seul habilité au Royaume pour la durée de cette mission. Un changement, aurait-il dû advenir, j’en aurais été informé.
- E-eh bien… J-je suis vraiment navré, j-je ne savais p-pas que… !
- Mais il vous a donné son identité au moins ? Ou vous ne lui avez pas demandé vous-même ?! » S’impatienta alors le Prince Armand. « À quoi ressemblait-il ? Était-il accompagné ? D’autres personnes l’ont-elles vu entrer et sortir du Palais ?! »
Le pauvre servant tremblait à présent des branches aux racines, persuadé de finir dans les cachots le soir même. Posant une main sur le bras de son fils aîné, le Roi ramena le calme, ce sans que son regard ne perde le sérieux que les évènements avaient projeté sur les gaufres et croissants, désormais délaissés sur leurs plateaux d’argent.
« Méryn… c’est bien cela ? » Le domestique, tétanisé, ne put qu’hocher la tête. « Je suis certain que tu ne cherchais qu’à accomplir ton devoir. Quelques rappels sur les principes premiers de sécurité devront néanmoins être menés, nous sommes bien d’accord ? » Le ton était ferme, mais la bienveillance demeurait. L’autre sembla se détendre. « Maintenant, pourrais-tu raconter, avec le plus de détails possibles, la venue de cet « agent » ? Et plus encore, ce qu’il souhaitait transmettre…»
Le dénommé Méryn, se débarrassant prestement de son chargement sur la table la plus proche, époussetant machinalement son tablier, débuta son récit :
« C-cela devait être le soir où Dame Amalya ainsi que ses compagnons sont revenus de la Foire de la Science. Tout le monde était retourné dans ses appartements, e-et je vaquais aux préparations du d-diner. C’est alors qu’en revenant vers les cuisines, un des g-gardes m’a interpellé : un agent de B-bonta était à ses côtés.
- Comment l’avez-vous reconnu ? » S’enquit Maître Joris, le regard aussi incisif que soucieux.
« I-il portait la t-tunique officielle des envoyés de la Cité ! Bleu et argent ! » S’empressa de préciser le domestique. « Il semblait a-avoir longtemps v-voyagé, couvert qu’il était de boue et de poussière… Mais ce qui était le plus a-alarmant était… » Il ravala bruyamment sa salive. « L-le sang.
- Le… ? Vous vouliez dire qu’il était blessé ?
- Je n’en suis p-pas certain, Princesse, m-mais c’est ce que son état laissait paraître : du sang et des m-marques de batailles sur ses vêtements ! J-j’ai donc dans un premier temps s-souhaité l’escorter à l’infirmerie : p-pour qu’ils puissent l’assister s-si nécessaire !
- Pourquoi se fait-il donc que vous n’y soyez jamais parvenus ? » Reprit Joris. « Nul doute que les Eniripsa auraient pu voir à ces prétendues blessures tout en m’interpellant pour que je vienne à la rencontre de cet émissaire… ?
- J-je ne sais pas ! » Il commençait de nouveau à paniquer. « M-mais il a insisté pour parler a-avec un r-représentant de la Cour ! Il a lui m-même demandé à vous voir, vous, Maître Joris, la famille royale… » Voix étranglée. « … ou Sir Phaéris… »
L’histoire avait beau se dérouler devant eux, les nœuds de ce mystère ne semblaient pas pour autant disposés à relâcher leur étreinte.
« Ce que je ne comprends pas… » Énonça le Prince Armand, une once de nervosité diluée dans la voix. « … c’est pourquoi nous n’avons pas été tenus au courant de sa venue. Pourquoi le mener uniquement auprès de Phaéris ?
- I-il était le seul présent à cet instant ! Et il paraissait si pressé ! » Tenta de défendre le malheureux domestique. « A-après avoir trouvé Sir Phaéris, qui a-arpentait l’aile Ouest, j-j’ai à nouveau insisté pour a-aller visiter l’infirmerie. C-cette fois-ci, le m-messager a accepté e-et je l’ai donc laissé aux gardes q-qui en g-gardent l’accès de nuit ! » Il se prosterna alors contre l’écorce. « J-je suis sincèrement d-désolé de ne p-pas vous avoir averti ! M-mais le sujet s-semblait i-important, e-et vous nous aviez avertis du caractère c-confidentiel de cette m-mission ! Je pensais qu’a-après avoir appris la n-nouvelles, Sir Phaéris é-était directement allé v-vous trouver pour vous a-avertir également ! »
Le voilà qui sanglotait à présent, implorant à demi-mot le pardon de son suzerain, mais aussi de l’ensemble des héros, comme héraults, présents. Avant de murmurer quelques directions à l’une des servantes restées en retrait pour qu’elle puisse raccompagner Méryn dans les branches basses où se trouvaient leurs quartiers, le Roi lui demanda néanmoins :
« Et cette nouvelle… Cette nouvelle de la plus haute importance… Quelle était-elle ? »
Se relevant péniblement avec l’appui de l’une de ses camarades, le Sadida dont le feuillage avait pris une teinte jaunâtre articula :
« L-les praires de M-montay… La bête les a r-ravagées. »
Derrière les regards, à présent emplis de terreur, les interrogations se bousculaient ; une succession de rouages qui tentaient tant bien que mal de s’emboiter, de donner du ressort à cette machine incomplète… incompréhensible.
« C-c’est impossible. » Finit par décréter Maître Joris dans un murmure qui, dans ce silence, résonnait comme un cri. « Le gros de nos forces sont basées dans les régions du Sud… Nous au-… !
Un claquement assourdissant l’interrompit soudain. Un des bancs de chêne venait de s’écraser au sol.
« Q-qilby… ?! » S’étonna Yugo, se massant les vertèbres qui l’avaient suivi dans sa chute. « Qu’est-ce qu’il se passe ? Tu… ? »
Mais le scientifique ne l’écoutait plus. Debout, les yeux perdus dans le vague mais pourtant dotés d’un vif éclat, sa mémoire rejouait les scènes de ces derniers jours. Il avait résolu l’énigme.
Hey ! Le Traître !
Le poison contre la créature : quand l’auras-tu terminé ?
Un Nephylis…
Dans une d-dizaine de jours. Je devrai avoir fini dans une dizaine de jours…
J’image certainement, à l’image de certains ici présents, que ceux-ci se sont lancés tête baissée dans la bataille, hum ?
La bête les as r-ravagées.
Or, il s’agit là exactement de ce que la créature désire…
.
Nous ne pourrons probablement pas nous permettre d’attendre plus longtemps.
.
.
Déjà debout ?
C’est plutôt moi qui devrais te faire la remarque !
« Sombre imbécile ! » Hurla-t-il alors devant les Douziens, médusés.
Sans plus d’explication, l’Éliatrope se mit à courir. On pouvait entendre, talonnant de près le claquement de ses semelles, les exclamations surprises accompagnées des ordres de s’arrêter. Il n’y répondit pas, réservant son souffle pour conserver son allure effrénée. Les longs couloirs avalés en quelques foulées laissèrent leur place aux marches dévalées en trois ou quatre sauts. Un instant, il crut remarquer un éclat azuré dans son champ périphérique, très certainement son frère tentant d’ouvrir un portail pour le rattraper, mais son cadet n’était malheureusement pas encore habitué à se déplacer dans un espace aussi réduit…
Lorsque la Confrérie du Tofu, épaulée par Maître Joris, le Prince Armand et une demi-douzaine de gardes finirent par retrouver le scientifique, ils venaient de franchir le seuil du laboratoire improvisé pour les besoins de leur mission. À première vue, celui-ci ne semblait pas différer de l’ordinaire, ce, bien entendu, si ce n’est la coiffe ivoire qui déambulait frénétiquement de paillasses en paillasses, les pupilles sautant frénétiquement de la plus ridicule éprouvette à la plus étrange des fioles. Ses lèvres murmuraient simultanément des termes étranges, certains évocateurs et d’autres issus de langues presque oubliées, tandis que sa main droite s’agitait fébrilement, les doigts se levant et s’abaissant dans une valse mécanique. Il comptait.
« Ha… Qil-… Haaa… Qilby ! » L’interpella Yugo, se remettant de leur course.
L’intéressé hocha la tête.
« Veratrum album : trois onces d’huile. Bien. Poudre de magnésium : un bocal. Ici. Hysopus officinalis : huile fine et macérat. Intacts. Soufre et Chlore : sur l’étagère. Parfait… »
C’était à se demander comment il lui était possible de se déplacer aussi aisément dans cet amoncellement de bois, de verre et de métal.
« Hum, Doc’, avec tout vot’ respect… »
La tentative du mineur fut tout aussi sèchement écartée par un geste agacé. Soudain, alors que le Prince Armand ne s’apprêtait à faire lui-même cesser cette folie, la transe s’arrêta. Son regard venait de se figer sur un présentoir en chêne grossier. Certains des espaces étaient occupés par des instruments, d’autres, des ingrédients attendant patiemment leur transformation, mélange ou encore maturation… Cependant, ce n’était pas tant le matériel présent qui avait saisi le scientifique… mais celui qui manquait.
« Non… Non ! » En deux enjambées, il atteint le plan de travail, écartant notes et rouleaux comme s’ils pouvaient dissimuler l’objet de ses recherches. « Non, non, non ! »
Il avait levé la voix, celle-ci ayant repris les notes aigues trahissant sa frustration.
« Il… Il n’est plus là. » Ses épaules s’abaissèrent. « Il l’a pris avec lui…
- Quoi donc ? » Interrogea Amalia, les yeux ronds de terreur. « Qu’est-ce qu’il se passe enfin ? »
Lentement, Qilby se retourna vers la troupe qui s’était amassée aux portes du laboratoire de fortune. Il paraissait avoir pris dix ans, soit peut-être un millénaire en équivalent Éliatrope.
« L’a-antidote. » Finit-il par déglutir. « Phaéris est parti avec l’antidote. »
~ Fin de la partie 2/3 du chapitre 8
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DIY : Fabriquez votre propre caisse vin bois
Introduction
La création d'une caisse à vin en bois est un projet de bricolage enrichissant, qui combine artisanat et amour du vin. Que vous soyez un amateur de vin ou que vous souhaitiez simplement offrir un cadeau unique, fabriquer votre propre caisse à vin peut être une expérience très gratifiante. Dans cet article, nous allons explorer les différentes étapes pour construire une caisse à vin en bois, les matériaux nécessaires, ainsi que quelques astuces et conseils pour vous aider dans ce projet. Prêt à vous lancer dans cette aventure ? Allons-y !
DIY : Fabriquez votre propre caisse vin bois
1. Pourquoi choisir une caisse à vin en bois ?
La première question qui vient souvent à l'esprit est : pourquoi opter pour une caisse à vin en bois plutôt qu'une autre matière ? La réponse réside dans plusieurs facteurs.
1.1 Esthétique et élégance
Les caisses en bois apportent une touche chaleureuse et authentique qui ne peut être égalée par d'autres matériaux. Le bois a un charme naturel qui complète parfaitement la présentation d'une bouteille de vin.
1.2 Durabilité
Le bois est un matériau robuste qui peut durer des années, surtout s'il est bien entretenu. Une caisse bien fabriquée pourra protéger vos bouteilles tout en ajoutant une dimension décorative.
1.3 Personnalisation
Lorsque vous fabriquez votre propre caisse, vous avez la liberté de personnaliser sa taille, sa forme et même sa finition. Vous pouvez ajouter des gravures ou des peintures pour rendre chaque pièce unique.
2. Les matériaux nécessaires pour fabriquer votre caisse à vin
Avant de commencer le bricolage, il est essentiel de rassembler tous les matériaux dont vous aurez besoin.
2.1 Bois
Le choix du bois est fondamental. Voici quelques types populaires :
Pin : Léger et économique. Chêne : Plus durable et offre une belle finition. Cèdre : Résistant aux insectes avec un parfum agréable. 2.2 Outils
Pour caisse bois vin réaliser votre projet, voici une liste d'outils indispensables :
Scie circulaire Perceuse Ponceuse Colle à bois Vis 2.3 Finitions
Pour protéger votre création, pensez aux finitions comme :
Vernis Huile Peinture 3. Étapes de fabrication d'une caisse à vin en bois
Maintenant que nous avons rassemblé nos matériaux, passons aux étapes pratiques de la fabrication.
3.1 Mesurer et couper le bois
Commencez par mesurer les dimensions souhaitées pour votre caisse à vin :
Longueur : 40 cm Largeur : 30 cm Hauteur : 15 cm
Utilisez la scie circulaire pour découper le bois selon ces mesures.
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3.2 Assembler les pièces
Une fois toutes les pièces découpées (les côtés, le fond et le couvercle), il est temps de les assembler.
Instructions : Appliquez de la colle sur les bords. Utilisez des vis pour renforcer l'assemblage. Laissez sécher pendant plusieurs heures. 3.3 Poncer la surface
Pour obtenir une caisse vin bois fin
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Le mode 'New Game Plus' également ! De nouveaux éléments continuent d'être révélés dans l'interview sur Shin Sangoku Musou ORIGINS [Dynasty Warriors ORIGINS] lors du TGS2024
Prévu pour sortir le 17 janvier 2025 par Koei Tecmo Games, Shin Sangoku Musou ORIGINS. Que nous réserve ce dernier opus de la série 'Musou', qui porte le terme 'ORIGINS' dans son titre ? Nous vous proposons une interview avec le producteur Tomohiko Sho, réalisée lors du Tokyo Game Show 2024.
◆ La réalisation des "cris de guerre des alliés" était un rêve de longue date !
— La date de sortie, annoncée pour le 17 janvier 2025, est plus tôt que prévu, ce qui a été une agréable surprise. Pouvez-vous nous dire où en est le développement actuellement ?
Tomohiko Sho : Le développement est en phase de réglages finaux, et toute l'équipe travaille d'arrache-pied. Aujourd'hui, j'ai donné congé à la moitié des jeunes membres de l'équipe pour les amener ici. J'espère que voir autant de personnes essayer le jeu leur donnera encore plus de motivation.
— La démo jouable du TGS a été très populaire, avec des files d'attente même pendant les journées professionnelles.
Sho : Je ne sais pas si c'est bien de dire cela en voyant les gens faire la queue, mais je suis vraiment reconnaissant pour cet engouement.
— Permettez-moi de parler un peu plus de cette démo. Lorsque l'on attaque avec les alliés, les cris de guerre qui résonnent sont incroyablement épiques, ce qui rend l'expérience encore plus excitante.
Sho : Les cris de guerre sont un élément que je voulais vraiment intégrer depuis longtemps, et ce rêve de longue date s'est enfin concrétisé !
— Je suppose qu'il y aura des réglages de difficulté dans la version finale du jeu, mais à quel niveau de difficulté était configurée la démo jouable ?
Tomohiko Sho : La difficulté était réglée sur un niveau standard, mais elle était bien plus facile que ce que proposera la version finale. Par exemple, dans la version finale, la bataille de Hulao Gate (汜水関の戦い) sera disponible après environ 10 heures de jeu, tandis que dans la démo, elle devait être appréciée par des joueurs qui la découvraient pour la première fois, en seulement 15 minutes.
— J'ai eu l'impression que "si on s'avance sans réfléchir, on peut mourir assez facilement"...!?
Sho : Oui, cette fois-ci, nous avons ajusté le jeu de manière à ce qu'il soit "prêt à tuer les joueurs" !
— Cela dit, dans la démo, même si on mourait, on pouvait immédiatement reprendre juste avant l'endroit où on avait échoué, ce qui permettait de changer facilement de stratégie. Par exemple, retarder l'affrontement avec les ennemis les plus forts.
Sho : Cette fonctionnalité sera également présente dans la version finale, donc vous pourrez jouer en toute décontraction et essayer différentes approches.
◆ Des milliers de soldats dotés d'une IA réagissent et se déplacent, recréant l'immersion du champ de bataille !
— Vous l'avez mentionné dans les émissions officielles du TGS, mais dans ce jeu, l'ampleur impressionnante des armées alliées et ennemies est vraiment frappante.
Tomohiko Sho : C'était une idée que nous avions dès la phase de planification. J'avais dit au directeur : "Je veux afficher plus de soldats que dans n'importe quel autre jeu de la série. Utilise toute la puissance de la PS5 pour en afficher autant que possible."
Suite à cela, le directeur a demandé à l'équipe de développement d'afficher 1 000 soldats à l'écran en même temps. Le programmeur a répondu : "Dans ce cas, dites plutôt qu'on en affiche 10 000 !"
— C'est impressionnant... D'ailleurs, lorsque le joueur excelle, le jeu le félicite en lui disant : "Tu es un guerrier invincible que même 10 000 hommes ne pourraient vaincre !"
Sho : Nous n'avons malheureusement pas pu atteindre les 10 000 soldats affichés simultanément, mais il y en aura tout de même plusieurs milliers. L'équipe a vraiment fait de son mieux. Cependant, c'est là que le vrai défi a commencé pour nous.
— Que voulez-vous dire par là ?
Sho : Même si nous affichions plusieurs milliers de soldats, cela ne créait pas l'immersion espérée. Nous nous sommes beaucoup questionnés sur la façon de rendre cette sensation de bataille réaliste. Finalement, nous avons utilisé une IA sophistiquée pour permettre aux soldats de réagir de manière autonome en fonction de la situation, ce qui, je pense, a vraiment permis de rendre l'expérience impressionnante.
◆ Les "généraux accompagnants" sont incroyablement puissants !
— Avant chaque bataille, il est possible de choisir un général accompagnant. Vous avez mentionné dans l'émission officielle du TGS que des généraux célèbres comme Guan Yu ou Xiahou Dun sont ajustés pour être plus forts que le personnage principal dans ce jeu. Est-ce bien le cas ?
Tomohiko Sho : Oui. Bien qu'il soit possible de les remplacer uniquement à des moments précis, ils sont littéralement conçus pour être des guerriers "invincibles face à des milliers d'ennemis". Le jeu propose une histoire que vous vivrez du point de vue d'un protagoniste original, mais nous voulions aussi préserver le plaisir de contrôler ces célèbres généraux. Ils sont extrêmement puissants, alors attendez-vous à quelque chose d'impressionnant ! Si vous pouviez contrôler un général accompagnant en continu, leur force serait tellement démesurée que cela déséquilibrerait totalement le jeu.
— En plus des généraux accompagnants, les "gardes du corps" qui servent le protagoniste font également leur retour après une longue absence.
Tomohiko Sho : Nous les avons réintroduits en tant qu'élément qui relie l'action et la stratégie, deux caractéristiques propres à la série "Musou". Cela ajoute aussi un aspect d'entraînement et de profondeur au jeu. J'avais dit à l'équipe de développement : "Puisqu'on augmente le nombre de personnages à l'écran, on peut bien ajouter des gardes du corps aussi, non ?"... (rires).
— (rires). Dans la démo, il y avait 21 gardes du corps qui suivaient le joueur, est-ce que c'est la limite du nombre que l'on peut emmener ?
Sho : Non, non, on peut en avoir bien plus ! Nous avons fait en sorte que cela ne soit pas trop envahissant, mais lorsque vous atteindrez le maximum de gardes du corps, vous serez probablement surpris en vous demandant : "Je peux vraiment en commander autant !?" De plus, dans certaines situations où vous êtes censé avancer avec les troupes alliées, il sera tout à fait possible de mener la bataille uniquement avec vos gardes du corps.
À l'inverse, vous pouvez aussi partir seul sans emmener de gardes du corps, donc c'est à vous de choisir selon votre style de jeu.
— C'est bien d'avoir plus d'options !
◆ Le protagoniste est un personnage entièrement fictif
— J'aimerais vous poser des questions sur le protagoniste. Il semble que sa mémoire soit également liée à l'histoire. Il est très beau, donc avant la révélation au Tokyo Game Show, j'avais imaginé qu'il pourrait s'agir de Zhao Yun ayant perdu la mémoire (rires).
Tomohiko Sho : Je suis très heureux que vous ayez imaginé toutes sortes de choses, mais je tiens à préciser que le protagoniste n'est pas un personnage du Roman des Trois Royaumes. Cependant, bien qu'il soit fictif, ce n'est pas un personnage créé au hasard. Nous avons recherché une approche qui, tout en étant inventée, donne l'impression que ce type de personnage aurait pu exister, en tenant compte du contexte historique de l'époque.
— Le joueur peut choisir le nom du protagoniste, mais y a-t-il un nom prédéfini par défaut ?
Tomohiko Sho : Il n'y a pas de nom prédéfini. Si je devais en donner un, ce serait peut-être "Mumei" (無名), qui signifie "sans nom". Mais je ne suis pas sûr que cela compte comme un véritable nom... (rires). Nous encourageons les joueurs à utiliser le nom de leur choix pour jouer. De plus, en raison d'une capacité spéciale appelée "L'Œil de l'Oiseau Spirituel" (qui permet de voir le champ de bataille depuis une vue surélevée, comme celle d'un oiseau), le personnage est également appelé "Shiran" (紫鸞) dans le jeu. (Note de l'éditeur : "Luan" (鸞) est le nom d'un oiseau mythique dans la mythologie chinoise).
— Il semble que le protagoniste et certains généraux verront leur apparence changer en fonction du déroulement de l’histoire. Y aura-t-il un système de "customisation vestimentaire" permettant de modifier librement les tenues du protagoniste ?
Tomohiko Sho : En résumé, oui. Au cours de l’histoire, le personnage changera de tenue, et par la suite, vous pourrez choisir entre la tenue d’origine et la nouvelle. De plus, il y aura des bonus exclusifs en fonction des points de vente, ainsi que des bonus de précommande.
— Donc, il ne s’agit pas d’un changement d’apparence lié au vieillissement, mais plutôt lié à l’évolution de l’histoire, n’est-ce pas ?
Sho : Si cela a été mal compris, je m'en excuse, mais nous n'avons jamais dit que l'apparence changerait à cause du vieillissement. À partir de 20 ou 30 ans, l’apparence des gens ne change pas énormément au bout de cinq ou dix ans, n’est-ce pas ?
Pour ce jeu, il s’agit plutôt de changements d’apparence liés à "l’évolution des responsabilités ou du statut" des personnages, plutôt qu'à l'âge.
◆ Des caractéristiques et atouts différents pour chaque type d'arme !
— En observant la scène de la "carte continentale" représentant la Chine, j’ai remarqué des nuages planant au-dessus de Shu. Est-ce que cela signifie qu’on ne se rendra pas du tout dans le royaume de Shu dans ce jeu ? Vous avez mentionné que le jeu se concentre sur la bataille de Chi Bi (Bataille de la Falaise Rouge), or Liu Bei n’a établi Shu comme territoire qu’après cette bataille, n’est-ce pas ?
Sho : C’est exact... Se rendre à Shu serait envisageable si nous devions faire une suite à ce jeu.
— Vous avez déjà des idées pour une suite ?
Sho : Non, à ce stade, il n’y a absolument aucun plan (Note de l'éditeur : l'intention est de dire "nous ne réfléchissons pas encore à faire une suite", plutôt que "nous n'avons pas encore d'idées pour une suite"). Pour l’instant, notre seul objectif est de "réinventer Dynasty Warriors" et de proposer "le meilleur Dynasty Warriors possible". Nous ne penserons à une suite que si ce jeu est bien accueilli par le public.
— Il semble que le protagoniste puisse manier différentes armes. Combien de types d'armes seront disponibles dans le jeu ?
Tomohiko Sho : Pour l’instant, nous avons confirmé 5 à 6 types, mais la version finale proposera beaucoup plus de variétés, chacune ayant ses propres caractéristiques et forces.
Dans la version d’essai, l’une des armes était une épée à une main, comme la "Tachi" (将剣), qui est classique et facile à utiliser. L'arme à hallebarde appelée "Yengetou" (偃月刀) permet d'enchaîner les attaques normales pour former des combos, avec une puissance qui augmente en fonction du nombre de coups portés.
— Cela semble très efficace contre des groupes d’ennemis.
Sho : Oui, et le "Bodao" (朴刀) que tenait Xiahou Dun ne permet pas de passer directement d'une attaque normale à une attaque chargée. Cependant, en enchaînant les attaques chargées, vous pouvez atteindre un état de charge qui inflige de gros dégâts, ce qui en fait une arme spécialisée dans les attaques chargées. J'espère que vous aurez l'occasion d'essayer différentes armes.
— Dans le programme officiel du TGS, vous avez également utilisé des armes de combat.
Sho : Il s'agit des "Tekkō" (手甲). Cette arme a une cadence d'attaque rapide et permet d'infliger des dégâts importants grâce à des enchaînements, ce qui la rend très agréable à utiliser.
— Il y avait également des frappes avec l'arrière du corps (y compris l'épaule), ce qui a donné une esthétique digne des films de kung-fu.
Sho : Oui, nous avons intentionnellement inclus des attaques de type "Tiezhan Kao" (鉄山靠) (rires). Ces éléments visuels sont vraiment "impressionnants", vous savez.
— Parlez-nous également des "Arts Martiaux". Les arts disponibles dépendent-ils du type d'arme que vous utilisez ?
Sho : En général, c'est le cas, mais il existe également des arts généraux qui peuvent être utilisés avec n'importe quel type d'arme. Par exemple, dans le programme officiel du TGS, il y a un art où le personnage prend immédiatement un arc et tire des flèches, ce qui est un des arts qui ne dépend pas du type d'arme.
◆ Branches narratives et fins multiples avec des sauvegardes pour une expérience fluide !
— Vous avez mentionné que le jeu aura des branches narratives et plusieurs fins. Faut-il prévoir de jouer plusieurs fois après avoir atteint une première fin ?
Sho : Oui, j’espère que vous profiterez d’une partie en boucle. Bien sûr, vous pourrez transférer vos statistiques améliorées et les armes que vous avez obtenues, et vous pourrez commencer à jouer à partir des points où l’histoire diverge, donc pas de souci. Nous avons conçu le jeu pour qu’il soit facile à jouer !
— Cela me rassure ! Enfin, un message pour les joueurs qui attendent la sortie.
Sho : Bien que le nombre de généraux jouables soit moins élevé que dans les précédents opus, nous avons compensé cela par une expérience riche et immersive, et je pense que c'est l'un des meilleurs jeux de la série Dynasty Warriors, qui prépare également l'avenir. J'espère que vous prendrez le jeu en main et que vous l'apprécierez.
De plus, comme l’histoire est dense, je pense que même ceux qui ne connaissent pas le Roman des Trois Royaumes pourront en profiter. Dans ce jeu, nous avons mis des furigana pour les kanjis difficiles, donc j'espère que cela suscitera un peu d’intérêt !
Source : Gamespark
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La nuit dernière j’ai vécu quelque chose de très rare , la dernière fois c’était il y a environ 5 ans dans un temps de prière avec 2 soeurs dans mon auto.
Et cette nuit wow !
J’étais dans mon lit après un temps de prière je venais juste de m’endormir et là
j’ai senti ce que j’appelle le parfum de Dieu , une odeur si incroyable que cela m’a fait ouvrir les yeux pour voir ou j’étais ou en présence de qui .
Ensuite je me suis posé la question où est que l’on voit cela dans la Bible ?
La Bible nous parle souvent de parfums et d'odeurs.
Il y avait même un autel aux parfums dans le tabernacle.
Exode 30.1 à 10 et Exode 30.34-35
Tout ce que l’on sait, c’est que ces deux parfums ne pouvaient être sentis que dans le temple de Jérusalem. Il existait donc une odeur du sacré, une odeur que les fidèles associaient à la présence de Dieu.
Cette odeur spécifique au sanctuaire se retrouve dans de nombreuses sources antiques. Elle évoque toujours la grandeur de Dieu.
Aussi Le Parfum de Christ
Être chrétien, selon l'apôtre Paul, c'est être premièrement le parfum de Christ, partout où nous sommes.
Écoutons-le plutôt : « Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous en tout lieu l'odeur de sa connaissance !
Nous sommes, en effet, pour Dieu, la bonne odeur de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent : aux uns, une odeur de mort, donnant la mort ; aux autres, une odeur de vie, donnant la vie. Et qui est suffisant pour ces choses ?
La louange du chrétien, c’est une odeur, un parfum agréable pour notre Dieu.
Voir Hébreux 13.15
Où allons-nous chercher ce parfum si cher, si agréable pour notre Dieu ?
Tout simplement dans notre relation quotidienne avec Lui, car ce parfum ne s’achète pas, il est créé dans l’intimité, il est unique à chaque personne.
Il ne peut pas être créé artificiellement au risque de devenir fade, et sans tenue. D’ailleurs dans Exode 30.9, l’Éternel nous demande de ne pas offrir un " parfum étranger ".
Ce " parfum étranger ", c’est comme celui que nous achetons dans les marchés, simple contrefaçon, le résultat en apparence est réussi, mais il suffit de quelques heures pour se rendre compte qu’il n’est pas celui qui nous voulions, il ne sent plus grand chose.
Nous négligeons très souvent notre louange et surtout notre relation avec Jésus.
Quel parfum offrons-nous à Dieu ?
Nous voulons avoir un bon parfum pour lui offrir, mais nous allons le prendre au supermarché du coin, car le temps presse, et la vie nous happe au passage et ne nous laisse plus le temps.
Ce parfum que nous offrons à notre Dieu est l'expression de tout ce qui constitue notre relation avec lui : il a une bonne odeur ou il est fade. Il peut être tellement riche en aromates qu’il imprègne tout notre être, et il est " senti ", remarqué par les autres.
Il y a alors des changements qui se produisent en nous, qui font que les autres personnes sont sensibles à cette odeur nouvelle.
Quel doux parfum l’Éternel nous donne !
Parfum d’amour, de paix, de joie, de bonté, de compréhension, etc.…
Que chacune de nous soit remplie du bon parfum.
Que le Seigneur vous bénisse.ç
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3 conseils pour booster votre productivité
Comment booster sa productivité ? Vaste question... Tout d’abord, il faut s’entendre par ce que l’on veut dire par : « productivité ». Que vous soyez salariée ou entrepreneuse votre réussite professionnelle est en relation directe avec les résultats que vous obtenez au travail. Ainsi on pourrait définir la productivité comme le résultat et la valeur produite plutôt que le temps passé au bureau. Il vous est sûrement arrivé de passer des heures sur un projet ou une tâche sans pour autant aboutir à un véritable résultat. Vous y avez mis tout votre cœur et une quantité considérable d’efforts mais le compte n’y était pas. A l’inverse, il vous est peut-être arrivé d’accomplir une tâche en dix minutes alors que vous pensiez que cela allait vous prendre un temps infini. La différence entre le fait de pouvoir effectuer rapidement un travail ou pas dépend énormément de votre état d’esprit et de l’organisation de votre travail. Voici quelques conseils pratiques pour être toujours au top mentalement et booster votre productivité. Établir des listes Vous avez sans doute de nombreuses actions à faire tout au long de la journée et dans la semaine. Établir des listes vous permet de hiérarchiser les choses à faire par importance et par priorité. En procédant de la sorte vous pouvez voir clairement ce que vous avez à faire et passer d’une tâche à l’autre aisément. Une fois un élément accompli vous pouvez le cocher ou le rayer de la liste. Ce faisant cela vous procure la sensation agréable d’avoir terminé une action. Et alors cela booste votre motivation pour passer à la suite. Être monotâche Les entreprises ont tendance à privilégier le recrutement d’éléments polyvalents, pour une question évidente de productivité. Cependant, polyvalente ne veut pas dire multitâche. La première est capable de gérer plusieurs projets en même temps. Tandis que la seconde réalise plusieurs tâches en même temps. Des études scientifiques ont démontré qu’une personne multitâche a des difficultés à passer d’une action à l’autre et des problèmes de concentration. Il est de loin préférable de porter toute votre attention sur la tâche que vous exécutez. Une fois terminée passez à la suivante et ainsi de suite. Vous pouvez bien évidemment faire des pauses, qui si elles sont bien espacées et bien placées peuvent renforcer votre capacité à réfléchir aux tâches suivantes. Par exemple, vous pouvez faire une partie de blackjack sur Casino777, puis vous atteler à la prochaine action avec un regard frais. Par contre si vous êtes en plein milieu d’un travail ne vous laissez pas distraire par un coup de téléphone ou un e-mail qui n’a rien à voir avec ce que vous êtes en train de faire. Rester monotâche vous permet de ne pas vous éparpiller et booster votre productivité. À lire aussi : Nos 5 astuces pour bien commencer un nouveau travail ? Éliminer les distractions Dans un monde où nous sommes en permanence connectées ce n’est pas facile d’éviter les distractions. Entre les notifications des réseaux sociaux, les infos ou les jeux en ligne, vous pouvez vite perdre le fil de ce que vous faites. L’idéal pour rester concentrée est de couper son portable ou le mettre en mode avion. Si vous travaillez en open-space essayez de vous isoler le temps de réaliser ce que vous voulez faire. Éliminer les distractions est fondamental pour booster votre productivité, pensez-y ! Read the full article
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On continue de faire des miniatures, et cette fois on s'attaque à celle de ma 30e VOD de Rune Factory 5 !
Honnêtement, jusqu'à la fin du live en question, je pensais que la VOD aurait un titre et donc une miniature en lien avec l'amour, la saint valentin, ou des dragons, vu que ce sont les évènements les plus marquants du stream. Puis y a eu la fin du donjon du post game du jeu, et c'était tellement anti climatique que ça a brisé mon mood ^^" La VOD s'appelle d'ailleurs "Tout ça pour ça ?", c'est vous dire ^^"
Donc j'ai voulu faire une miniature montrant cette déception ressentie. Elle a été plutôt rapide à faire, le plus compliqué à été la photo du fond, parce que rune Factory 5 ne permet pas de faire disparaitre l'interface ou de faire une photo à la première personne. J'ai donc lancé le jeu, trouvé le point de vue le plus sympa du dit labyrinthe, prié pour que l'interface veuille bien disparaitre (j'ai été agréable surpris quand tout l'UI a disparu, même si ça a été juste 2 secondes, ça a suffit pour la capture d'écran) Du coup oui, derrière ma photo et les artwork, on voit mon personnage immobile :v Pour la photo, j'en avais juste une, dans cette position, détourage rapide, et pour les artwork des personnages, j'ai eu quelques soucis avec Scarlett, l'elfe, car pour une raison que j'ignore, il est impossible de trouver d'autres artwork en HD sur internet de ses diverses expressions faciales, contrairement aux autres. J'ai donc dû effacer ses sourcils sur son artwork de base, et les refaire en mode inquiet à partir d'une capture sur internet qui n'était pas à la bonne taille (et donc floue agrandie) Le résultat rend pas mal, on voit pas vraiment que je l'ai retouché. A la base j'avais aussi modifié la bouche, mais ça rendait mieux comme ça que ce que j'avais fais.
Et au moment où j'allais la poster sur youtube, je me suis dis "mince ! Mais y a eu des dragons dans ce live aussi ! Allons en rajouter un ! Et là, c'est le drame, aucune image de bonne qualité des dragons ^^" donc j'ai cherché une image potable avec un dragon vert, je l'ai détouré, changé sa teinte, redétouré car il avait des contours rouge moche, flouté un peu, changé le contraste, et voilà un pitit dragon bleu dans le coin de la miniature ! Aucune mention des histoires d'amour dans cette miniature du coup, mais bon, je pense que ça suffit comme ça ^^"
Pour ceux qui voudraient voir cette vidéos, ainsi que les autres du let's play, je vous passe les liens : Tout ça pour ça ? Let's play Rune Factory 5 fr #30 Playlist Rune Factory 5
Oui, ça fait 30 VOD de plusieurs heures chacune, j'aime beaucoup ce jeu :v
Voilà, à la prochaine pour d'autres montages !
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El ascenso del chachani
Le 3 septembre 2022
1h30 du matin ⏰
Le réveil sonne! Je saute du lit et j'enfile la tenue du jour c'est à dire: une brassière, un tee shirt de sport, un haut thermique, un pull en laine et un manteau coup vent. Pour le bas ce sera des chaussettes de montagne, un bas thermique, un legging, un pantalon de trek. Je n'oublie surtout pas le tour cou, le bonnet et les gants. Puis direction la cuisine, je range mes 3 litres d'eau, mes fruits secs et mes pommes dans mon sac et en route pour ......
le CHACHANI !
Pour cette excursion nous sommes 5, quatre français et un péruviens. Deux français ne sont autres que mes collègues/ colocs et le péruvien c'est Abel! Le responsable de la salle d'escalade. Bref on se connait tous, ou presque, le 4 ème français est ici pour les vacances, c'est un ami d'Abel.
2 heures du matin, nous sommes en route direction la merveille qui surplombe Arequipa et qui nous fait de l'oeil depuis qu'on est arrivés. Bien sûr qu'on allait te grimper petit volcan, comment résister à ta beauté !
La route, enfin si on peut la prénommer comme cela, ne fut pas la plus agréable. Notre chauffeur était doté d'un bon 4x4 et heureusement ! Pendant 2h nous roulons sur un chemin de terre semé de trou.
4h45, arrivée au point de départ. Nous abandonnons la voiture et commençons l'excursion à la lampe frontale.
A oui je ne vous ai pas dit, nous sommes montés jusqu'à 5100 mètres avec notre bolide. Je vous laisse imaginer à combien d'altitude nous serons à notre arrivée!
6h du matin, le soleil montre ses premiers rayons de soleil. Il est l'heure pour nous de faire notre première pause et d'avaler quelques fruits avant de commencer la véritable et interminable montée.
Le souffle, le corps, la lourdeur des pas, le mental.... tout doit s'habituer à cette altitude.
Alors j'ai adopté une démarche assez rigolote mais plutôt efficace : la marche du pingouin. "El pingüino" comme ils aimaient m'appeler. Des petits pas qui m'ont permis d'économiser la force de mes jambes.
Les minis pauses régulières m'ont également aidé à tenir le rythme et surtout à arriver jusqu'en haut.
Nous étions 5 et chacun avait ses propres besoins. Ma coloc par exemple, se sentait obliger de faire des micros siestes régulièrement.
Notre corps n'est pas forcément ami avec l'altitude. Sur les 5, seulement 2 n'ont pas supporté cette hauteur. Mal de ventre, mal de tête était de leur partie. Mais ils ont tenu bon jusqu'au sommet, force à eux!
Personnellement, je n'ai eu qu'un mal de tête, assez léger mais présent. Particulièrement après les longs arrêts, le temps que le corps rallume la mécanique et retrouve son rythme.
Arrivés à 5600m une sieste de 40 minutes s'impose pour tous. C'est la première randonnée que je fais, où je dors presque autant que je marche ( bon j'exagère peut être un peu, mais le sommeil était de la partie)
La reprise était motivante! Plus que 400 mètres de dénivelé et on y était. Ça voulait dire encore 3 heures! Nous avions fait la moitié !! Le paysage durant toute l'ascension n'était pas très diversifié, mais donnait sur le volcan voisin qui était plutôt agréable à regarder. Mais nous pouvions également contempler la cordillère d'Arequipa.
A 5900 mètres , nous surplombons la ville blanche. Nous pouvons également apercevoir la neige et la toucher! El pingüino avait retrouvé sa banquise!!
Lors des 100 derniers mètres, notre ami Jean nous a laissé continuer, son mal de ventre a eu raison de lui, et les derniers efforts lui étaient insurmontables. Nous passons à côté du cratère du volcan qui nous a accueilli durant cette formidable journée. Puis nous arrivons, enfin, au sommet du sommet.
La joie, la fatigue, la fierté, le bonheur, la satisfaction, le plaisir.... toutes ces émotions se confondent à ce moment : 6057 mètres d'altitude bb, ON L' A FAIT!!!!!
Nous avons le privilège de contempler son voisin le Misti et Arequipa. Sur la terrasse de mon toit je peux contempler le Chachani. A ce moment là, sur le sommet de Chachani je peux contempler la ville blanche. C'est une sensation incroyable et indescriptible.
Il est l'heure pour nous de redescendre. Cette dernière est assez atypique. Descendre une montagne comme un skieur mais sans les skis et sans la neige, vous avez déjà fait ? Lors des premiers mètres c'est plutôt amusant. Mais ça l'est un peu moins quand je compris qu'il me restait encore 900 mètres de dénivelé à snowboarder sur des cailloux avec des chaussures de randonnées. Mais cela reste une expérience unique en son genre.
15h, Nous voilà enfin en bas du Chachani. L'excursion touche à sa fin. Nous retournons dans notre 4x4 direction notre demeure et surtout notre lit: des cailloux plein les chaussures, un mal de crâne plein la tête mais surtout des étoiles plein les yeux! ✨
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Bon, les choses sérieuses commencent !
J'avais hâte d'y aller, c'était donc aujourd'hui : la saga du rhum à Saint-Pierre. Bon on a pas forcément pris la route la plus simple pour y aller. On a croisé quelques gouzous sur la route, dans la zone industrielle. Mais le jeu en valait la chandelle !
Comme d'habitude, je vais mettre les photos dans l'ordre de mon choix et pour illustrer le propos, donc pas dans l'ordre chronologique !
En arrivant sur le parking de la distillerie, on tombe là dessus ! Les couleurs sont belles, la façade du bâtiment aussi, donc pause photo !
La visite guidée est réservée pour 10h, à l'ouverture du musée, qui est dans une partie de la distillerie. Dès cette heure, on était nombreux. Mais la visite est restée très agréable et intéressante, entre autres grâce à la guide qui était très chouette ! Par rapport à ce qu'on a pu voir à Stella Matutina ou autre, encore des explications sur la culture et la collecte de canne à sucre. Des machines qui ont fonctionné jusqu'il y a peu, d'autres qui tournent toujours. De bonnes odeurs (question de point de vue dirait Camille). Très très intéressant d'apprendre plus de choses sur la distillation, les différentes étapes, les machines en jeu, mais aussi l'histoire de cet alcool, du jus de canne fermenté à l'extérieur, en passant par les premiers alambics qui produisaient un alcool qui a été interdit parce qu'il attaquait le cerveau...
Un alambic, et la précédente colonne de distillation en cuivre. La nouvelle est en inox, mais les photos sont interdites dans cette partie !
Une autre partie très intéressante du musée concernait son lien avec l'histoire mondiale, notamment la première guerre mondiale, ou encore la prohibition américaine.
Fin de la visite. On parlait alors de temps de vieillissement, de différence entre rhum vieux et rhum ambré...
Puis vient le moment un peu sérieux de la visite : la dégustation. Pour la petite histoire, il reste trois distilleries actives sur l'île, appartenant à trois marques différentes. Plutôt que de se tirer dans les pattes, les trois se sont mises d'accord pour faire un musée ensemble, même s'il a lieu dans la distillerie Isautier. Du coup, il est de temps en temps subtilement mis en avant dans la visite. Et surtout, c'est lui qu'on déguste !
Personnellement, j'ai commencé par un 10 ans d'âge. Puis un mélange ananas goyave piment, de leur nouvelle gamme. Camille a pris un rhum café bourbon pointu, et une crème de rhum à la banane flambée. On n'a pas eu la même réaction :
Bon en vérité ils étaient très bons aussi, c'est juste que Camille n'aime pas le rhum...
Photo prise APRÈS le rhum. Ça se voit, c'est flou !
Une fois le rhum passé et un nouveau tour fait au musée (et à la boutique), on a pris la route vers le centre ville. Là, on avait faim. On était sur le front de mer, et on ne savait vraiment pas quoi manger, alors bon... Pains-bouchons ! Ensuite, on est allés se baigner vers le port. Petite nouveauté pour moi : des lunettes neuves. Ça a l'air con, mais jusque là je ne voyais pas grand chose dans l'eau avec mes lunettes toutes griffées. Et là, eh bien on nageait au milieu des poissons, et surtout je pouvais les voir !! C'était très beau.
Entre une et deux heures dans l'eau, puis direction le centre commercial pour faire un magasin ou deux, encore une fois ceux qui ont des vêtements qu'on ne trouve qu'ici : l'effet pei, et pardon!. Quelques achats sous les bras, on a fait un crochet par le temple tamoul d'à côté :
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Tamouls flemme d'expliquer !
Enfin, on a fait un arrêt obligatoire : la gallerie de Jace, l'artiste qui peint les gouzous ! Le lieu s'appelle : l'Usine à Gouzous !
Sur place, des originaux, des impressions à encadrer, quelques livres, des stickers... Un peu de merchandising sur le thème !
Là dessus, retour au Tampon. Bon, d'abord on s'est arrêtés en centre ville du Tampon pour prendre des chichis, pour le goûter ! Et puis après, on a écrasé, on a plus bronché de la journée ! Bonne nuit !!
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Mardi 7 mars 2023
Oh Caroline !
Encore une fois il a fallu que je me mette un coup de pied au cul pour me forcer à écrire ce soir. Ce n'est pas comme si je n'avais rien à dire mais la motivation n'est pas au rendez-vous. J'ai ouvert mon bloc notes virtuel et j'ai jeté un coup d'oeil à mes notes. Ca concerne essentiellement le concert auquel j'ai assisté il y a un peu plus de deux semaines lors du bond que j'ai fait à Paris.
Alors voilà, comme prévu, j'ai pris un train pour Paris où je ne devais rester qu'une journée pour voir ce fameux concert de Caroline Polachek et rentrer le lendemain après avoir passé une nuit à l'hôtel.
Le voyage en train s'est bien passé, j'avais de quoi lire, j'avais de la musique, aucun souci, en général j'apprécie les voyages en train et les trois heures et demi séparant Clermont-Ferrand de Paris sont passés plutôt vite.
Une jeune fille était assise à côté de moi durant tout le trajet. Elle avait un look intéressant et je me suis dit que j'aurai aimé faire sa connaissance, mais nous nous sommes échangés que quelques mots (je lui ai dit que si elle avait besoin d'utiliser la prise qui se situait de mon côté, elle n'avait pas à hésiter à me faire signe) et ce fut tout.
Arrivé à Paris, je suis allé acheter des tickets de métro (hors de prix) après avoir fait la queue pendant une demi heure interminable (je déteste attendre et j'ai aucune patience pour ces choses là). Puis ce fut direction l'hôtel, le même que celui dans lequel j'avais séjourné quelques mois avant. J'aime bien avoir mes marques, ce qui explique que j'ai choisi de séjourner encore dans cet hôtel relativement modeste.
Le soir venu, je me suis rendu à la salle de concert (salle Pleyel) après des trajets interminables en métro (j'exagère un peu).
J'ai immédiatement constaté qu'il y avait une queue importante devant l'entrée et je m'y suis mis, tout au bout. J'ai dû encore patienter relativement longtemps, ce qui est un peu idiot de ma part, puisque j'avais une place assise et numérotée, alors, nul besoin d'arriver avant tout le monde. Whatever...
Ce qui m'a sauté aux yeux, en voyant tous ces gens venus assister au concert, c'est la nature flamboyante de ces jeunes gens. Ils avaient presque tous des tenues extraordinaires, parfois complétée par un maquillage du même acabit, chez les filles comme chez les garçons. J'ai alors réalisé qu'il s'agissait d'un public essentiellement queer. Naïf comme je suis, je n'avais alors pas encore réalisé que Caroline Polachek était une sorte d'icône gay !
Ce public, je n' l'oublierai jamais parce qu'il était vraiment intéressant, complètement différent de celui que j'ai l'habitude de côtoyer lorsque je vais à mes habituels concerts de rock composés essentiellement de mâles hétérosexuels de plus de 50 ans au look tout ce qu'il y a de plus convenu.
Le fait seul de regarder tous ces jeunes gens extravagants était un divertissement en soi, mention spéciale à ce grand Noir au blouson de moto en cuir qui portait d'immenses platforms shoes, très impressionnant ! Et à côté, il y avait moi, me sentant comme un con dans mon vieux jean et avec mes vieilles Converses... Heureusement, en haut, j'étais vêtu d'un sweat-shirt à l'effigie de David Bowie : l'honneur fut sauf !
En entrant dans la salle Pleyel, j'ai encore eu le loisir d'observé encore un peu plus la faune locale et j'ai même pu croiser Pi Ja Ma, la chanteuse... Je suis très observateur, et il n'est pas rare que je repère des personnalités lorsque je me rend à des concerts parisiens (souvenir de cette fois où à l'Olympia j'avais repéré Pénélope Bagieu).
Ce fut ensuite le moment pour moi de me rendre à ma place située au premier balcon. J'étais en avance et j'ai eu tout le temps d'assister à la prestation de la première partie, une dj mixant de la musique électronique pendant un bon moment. Ca allait, c'était relativement agréable, même, j'avais vu pire, comme premières partie.
Et le moment qu'on attendait tous est arrivé, Caroline Polachek a fait son entrée en entonnant le titre qui ouvre son nouvel album sous les acclamations d'un public complètement fou de joie. L'album était sorti il y a moins d'une semaine avant et les gens connaissaient et chantaient les paroles par cœur, ce qui m'a bluffé.
J'ai vraiment beaucoup aimé le concert et j'ai pris un pied pas possible au moment ou Caroline a chanté So Hot You're Hurting My Feeling (et je n'étais pas le seul). Je dois même avouer qu'au cours de la chanson, un frisson a parcouru mon corps, chose qui m'arrive rarement, en concert (la fois précédente c'était en écoutant Pete Townshend chanter « don't cry, don't raise your eye, it's only teenage wastland »). Après tout, cette chanson était la chanson que j'avais le plus écoutant depuis quasiment quatre ans, alors, de l'entendre comme ça en live, ça m'a fait quelque chose (je suis un être sensible, vous savez).
Le concert s'est achevé et, comblé, j'ai filé très vite prendre un Uber pour rentrer à l'hôtel (il n'était pas question pour moi de faire le trajet en métro, vous comprenez, j'aime avoir mon petit confort et le taxi est le genre de luxe que je m'octroie à l'occasion).
Je n'ai rien à ajouter concernant ce séjour rapide à la capitale, si ce n'est que j'ai hâte de m'y rendre à nouveau.
Il faut que je prenne le temps d'adresser un clin d'oeil à Gladys qui est une fidèle lectrice (il m'en reste une poignée, je crois) et qui est la seule à me faire part de son attente lorsque je ne poste rien pendant une certain temps : Gladys, merci de me lire !
A la fin de la semaine, je suis censé voir Morrissey à Lyon en compagnie de Justine, alors je suppose que mon prochain récit sera consacré à cet événement.
Bande son : The Fine Art Of Self Destruction, Jesse Malin
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Challenge écriture : Jour 1 - Première fois
C’est l’histoire d’un premier baiser. En fait, c’est plutôt l’histoire du souvenir d’un premier baiser.
La perspective n’est pas la même : douze années se sont passées depuis, j’ai changé, j’ai vécu de nombreuses autres premières fois, et parfois même des dernières fois, depuis ce premier baiser. Mes impressions en ont changé depuis.
Ici, c’est l’histoire des souvenirs de mon premier baiser.
Ce premier baiser a été accompagné de plusieurs premières fois.
J’allais en boîte de nuit pour la première fois, je sortais en semaine pour la première fois alors que j’étais au lycée, je mentais à mes parents pour la première fois sur ce que j’allais réellement faire ce soir là, j’étais entourée du regard d’hommes pour la première fois. J’embrassais un garçon pour la première fois.
J’ai d’abord des flashs de cette soirée, parmi eux, plusieurs me reviennent : une grande salle noire, remplie de seulement une cinquantaine de personnes alors qu’elle aurait pu en accueillir largement cinq cent. Dans un coin, un couple qui se cache sans vraiment se cacher, puis qui se fait expulser par un des videurs pour être allé un peu trop loin dans ce soin sombre.
Les toilettes, un grand amas de lumières blanches qui font plisser les yeux, qui contrastent avec l’atmosphère et la couleur noire de la boîte.
Le bar, couvert de boisson, sale et collant.
Des odeurs aussi, celle de la vodka Redbull servie dans un grand pichet, celle des corps qui transpirent en dansant, celle de ce fameux garçon.
Et enfin, Elodie et moi, ne nous apercevant pas de tout ce qu’il y a autour, bougeant nos corps au rythme des musiques commerciales, rigolant, profitant, entourées des paillettes de nos vêtements.
Et puis, il y a ce garçon. Il est assez beau, grand, brun, un t-shirt Adidas. Il me dit s’appeler Adrien, il danse avec moi. Ce n’est pas un bon danseur, mais le contact d’un homme contre moi est nouveau, je reste donc avec lui.
Il me fait rire, essaie de m’embrasser plusieurs fois sur la piste de danse. Je suis gênée, d’un côté j’ai envie de l’embrasser, de l’autre, j’ai peur de décevoir car je ne sais pas embrasser. En plus, un premier baiser en boîte de nuit, ce n’est pas ce qu’il y a de plus romantique.
Après plusieurs minutes de danse et de jeu, je décide de l’embrasser. Au moins, mon premier baiser sera passé.
Je l’embrasse. C’est plutôt agréable, il est un peu rentre-dedans. Je découvre le jeu des baisers, des lèvres les unes contre les autres, le mélange et le manège de nos langues.
Le monde autour me réveille de ces instants de premier baiser. Je ne veux pas continuer à l’embrasser dans cette boîte de nuit.
La nuit se termine, Adrien m’accompagne à la sortie de la boîte de nuit, il part ensuite dans se retourner. Je retourne à l’arrêt de bus pour rentrer à la maison avec Elodie, afin de dormir une petite heure avant de prendre le chemin du lycée.
Assises sur le trottoir, souriantes après notre première sortie en boîte, nous sommes heureuses, libres et remplies de souvenirs.
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Thomas joue à Warhammer 40K: Mechanicus #1
Prologue
Pour le moment je suis dans une période Warhammer 40K. Il y a peu avec des amis on a décidé d'inverstir du temps (et de l'argent) dans le jeu Kill Team. J’ai donc commencé à peindre une armée de Sœurs de Bataille dans le but de leur faire vivre des aventures dans le 41e millénaire.
C’est un peu une retombée en adolescence pour moi.
Et donc lors d'une de nos séance de peinture, un de mes amis a mentionné le jeu "Warhammer 40K: Mechanicus". Curieux j'ai donc décidé de l'acquérir et d'y jouer sur ma Switch (le jeu existe aussi pour PC, PS4, XBox One).
L’Adeptus Mechanicus est pour moi une totale découverte. Il faut savoir que bien que mon adolescence ait été teintée de Warhammer 40K, je n’ai qu’une connaissance très réduite du lore, souvent acquise via des discussions avec des amis et par le biais de lecture random ou de jeux vidéo.
Après deux heures de jeu.
La dernière fois que j’avais essayé un jeu tactique dans cette univers, c’était Chaos Gate.
Pas la version de 2022, non celle de 1999:
Là, je viens de finir la première mission après le tutoriel, et pour le moment je trouve ce jeu plaisant et je suis curieux de la suite.
Pour faire court et sans spoiler, vous allez incarner une équipe de tech-priest qui vont explorer un tombeau nécrons.
L’idée d’en savoir plus sur les Nécrons et l'Adeptus Mechanicus via ce média me plait beaucoup. J’ai vraiment hâte d’avancer dans l’histoire.
De plus les dialogues entre les prêtre de l'Apetus Mechanicus sont vraiment bien fait et si comme moi vous êtes developpeur, ça rajoute encore à la saveur.
Le jeu est simple à prendre en main et le tutoriel ainsi que les messages explicatifs sont bien fait et très bien intégré dans la diégèse du jeu.
Après le tutoriel, on découvre que le jeu est timé. En effet, à chaque mission vous avez un niveau de menace qui augmente. Ce niveau commence à zéro au début de la mission et augmente en fonction de vos actions. Non content d'augmenter le niveau de danger de la mission (plus le niveau est haut, plus vous allez rencontré de Nécrons et plus ils seront resistants lors des batailles), à la fin de la mission ce niveau s'ajoute à une jauge qui indique la progression du réveil des nécrons.
Quand cette jauge à atteind 100%, le protocole de réveil sera fini et donc le jeu aussi.
Focus sur le Gameplay
C'est donc un jeu tactique en tour par tour.
Chaque action à un cooldown et donc ne peut pas être faite chaque tour. En plus de ça, beaucoup d'action demande des points de connaissance qui sont une sorte de resources que l'on gagne en explorant les environs où en effectuant des actions spéciales comme étudier la carcasse d'un nécron.
Vous aller jouer deux type d'unité: des tech-priest et des serviteurs.
Si les premiers représentent le coeur de votre escoude, les deuxièmes sont de la chair à canon.
Ce n'est pas moi qui le dit, c'est comme ça qu'ils sont présenté par l'Adeptus Mechanicus dans le jeu.
J'adore le fait que lorsqu'un serviteur se fait blesser, on reçoit un point de connaissance pour représenter le faites que les prêtes étudient rapidement les blessures faites sur leurs sous-fifres.
Entre les batailles, votre escouade se déplacera dans des salles du tombeau, parfois des choix vous seront demandés, et qui dit choix, dit conséquences.
Évidemment, il y a un système de progression qui vous permettra de faire évoluer vos tech-priests.
Le système permet d'ajouter de nouvelles compétences ou bien d'upgrader des parties de leur corps.
Mon impression pour le moment
Comme je l'ai dit plus haut, pour le moment je prends beaucoup de plaisir à jouer à ce jeu. Découvrir l'Adeptus Mechanicus par le prisme de ce jeu me rend l'expérience encore plus agréable.
Les jeux tactiques et l'univers de Warhammer 40K me plaisent plutôt, donc je savais où je mettais les pieds, mais ça n'en demeure pas moins une belle surprise.
J'ai vraiment hâte de continuer, et d'encore en découvrir plus.
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⬇️
10h30 c'était, ce matin, notre heure d'arrivée à Dublin. 19 c'est le nombre d'heures en ferry. Aucune vague durant le trajet, ce qui a rendu le trajet plutôt simple et agréable. Notre première nuit en van à Granville fut très bonne. Un sommeil de qualité. Nos duvets en plume étaient nécessaires. Dans le ferry, on a dormi sur les banquettes, la nuit fut bonne ! La cabine c'était 100 euros, on a pas voulu faire nos privilégiés. Heureusement que les membre du ferry sont cools pour le coup sinon ils te mettent la clime ou les TV fortes pour éviter que les voyageurs dorment sur les banquettes et non dans les chambres ... BREF ! Une fois arrivée à Dublin, on a prit notre temps et visité. Halloween se prépare et en Irlande cette fête est bien prise au sérieux ! On a hâte d'y retourner !! Que des rues avec des maisons charmantes, en brique, et un nombre de pubs et de restaurant incalculables. Petite marche dans un parc et nous sommes arrivés à Enniscorthy.
Deux jeunes français sur place (20 ans pas plus) qui travaillent depuis une semaine. Un couple hippy d'une cinquantaine d'années nous accueillent chaleureusement. Discussions anglaises évidemment. Repas du soir 17h15.
On vous en dit davantage plus tard 😘😘
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3 conseils pour booster votre productivité
Comment booster sa productivité ? Vaste question... Tout d’abord, il faut s’entendre par ce que l’on veut dire par : « productivité ». Que vous soyez salariée ou entrepreneuse votre réussite professionnelle est en relation directe avec les résultats que vous obtenez au travail. Ainsi on pourrait définir la productivité comme le résultat et la valeur produite plutôt que le temps passé au bureau. Il vous est sûrement arrivé de passer des heures sur un projet ou une tâche sans pour autant aboutir à un véritable résultat. Vous y avez mis tout votre cœur et une quantité considérable d’efforts mais le compte n’y était pas. A l’inverse, il vous est peut-être arrivé d’accomplir une tâche en dix minutes alors que vous pensiez que cela allait vous prendre un temps infini. La différence entre le fait de pouvoir effectuer rapidement un travail ou pas dépend énormément de votre état d’esprit et de l’organisation de votre travail. Voici quelques conseils pratiques pour être toujours au top mentalement et booster votre productivité. Établir des listes Vous avez sans doute de nombreuses actions à faire tout au long de la journée et dans la semaine. Établir des listes vous permet de hiérarchiser les choses à faire par importance et par priorité. En procédant de la sorte vous pouvez voir clairement ce que vous avez à faire et passer d’une tâche à l’autre aisément. Une fois un élément accompli vous pouvez le cocher ou le rayer de la liste. Ce faisant cela vous procure la sensation agréable d’avoir terminé une action. Et alors cela booste votre motivation pour passer à la suite. Être monotâche Les entreprises ont tendance à privilégier le recrutement d’éléments polyvalents, pour une question évidente de productivité. Cependant, polyvalente ne veut pas dire multitâche. La première est capable de gérer plusieurs projets en même temps. Tandis que la seconde réalise plusieurs tâches en même temps. Des études scientifiques ont démontré qu’une personne multitâche a des difficultés à passer d’une action à l’autre et des problèmes de concentration. Il est de loin préférable de porter toute votre attention sur la tâche que vous exécutez. Une fois terminée passez à la suivante et ainsi de suite. Vous pouvez bien évidemment faire des pauses, qui si elles sont bien espacées et bien placées peuvent renforcer votre capacité à réfléchir aux tâches suivantes. Par exemple, vous pouvez faire une partie de blackjack sur Casino777, puis vous atteler à la prochaine action avec un regard frais. Par contre si vous êtes en plein milieu d’un travail ne vous laissez pas distraire par un coup de téléphone ou un e-mail qui n’a rien à voir avec ce que vous êtes en train de faire. Rester monotâche vous permet de ne pas vous éparpiller et booster votre productivité. À lire aussi : Nos 5 astuces pour bien commencer un nouveau travail ? Éliminer les distractions Dans un monde où nous sommes en permanence connectées ce n’est pas facile d’éviter les distractions. Entre les notifications des réseaux sociaux, les infos ou les jeux en ligne, vous pouvez vite perdre le fil de ce que vous faites. L’idéal pour rester concentrée est de couper son portable ou le mettre en mode avion. Si vous travaillez en open-space essayez de vous isoler le temps de réaliser ce que vous voulez faire. Éliminer les distractions est fondamental pour booster votre productivité, pensez-y ! Read the full article
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