#la police déteste tout le monde
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Tout le monde déteste la police! [video]
#acab#direct action#riot#riot police#france#gif#2023#tout le monde déteste la police#anti-police#black bloc#tear gas#fuck the police#police#fail#karma
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#tout le monde déteste la police#c.r.s. : s.s.#mets-nous 49-3 on te mai-68#rebloglousse#violences policières#police violence#welp this went almost more viral than pangolin soup#acaaabeuuuuuh#french riots#riots in france
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Calypso and the Pink Unicorn's pirate drag show !!!!!
[PRINT] - [COMMISSIONS]
Wee john served so hard it should be illegal 16 dead countless injured, I am dead Calypso was so hot
Process (and my french rant on why I hate the choice of la vie en rose) below vvv
Final without the text
Rough colors
Sketch !
Sorry english people, but what follows is too french an opinion to voice in english (I'll sum it up for u in the end <3)
Ok alors je suis désolé, Con o'Neill chante vraiment très bien ca n'a rien avoir avec sa performance, mais vraiment la vie en rose c pas possible. Le man est sur les champs Elysées a me vendre des tours Eiffel en plastique jpp- Franchement pipe et jambe de bois ca serai mieux passer. Ou les demons de minuit !!!!pourquoi pas les demon de minuit ?????? Chanson hyper connu française. Ok c moins cucu que la vie en rose, mais bonus point plus kinky (je pensais jamais decrire les demons de minuit comme etant kinky mais here we are-)
Ou juste n'importe quoi d'autre-
(And words of wisdom from my evil advisor @quijicroix : légende vivante (de Lorenzo) ça va avec tout. Ou une chanson triste de jul (pas bande organisée, tu peux pas ken dessus). Après tout le monde déteste la police ou nik le front national c les chansons les plus romantiques que je connaisse. Y a santiago aussi, avec le gros mat la. Les trois mâts, pour le steddyhands.)
Tout sauf la fucking vie en rose pitier (meme si, encore une fois, Con o'Neill la chante vraiment bien)
Welcome back english people ! To sum it up : la vie en rose is a french song for tourists that set up a fight or flight reaction in every native speaker. I'm glad people enjoyed this, but I cannot describe the cringe and disappointment I felt when they decided to have him sing this song- (even tho he sings it beautifully (which is part of the disappointment))
They are SO MUCH love songs in french, why this one.
PS : at this point (ep7) I don't know why Stede is still bothering with Ed "I'm hitting the banks didn't tell him which one" teach, when Izzy hands is right there ????? Sir please open your eyes
#I've never felt so validated by a show in my life#eat shit izzy haters !!!!!! How does it feel to loose this hard ?? hehehe#If you saw me post this with a huge typo in the title#No u did not#our flag means death#ofmd#ofmd spoilers#ofmd season 2#ofmd s2#izzy hands#wee john feeney#wee john ofmd#izzy hands ofmd#drag show#drag queens#ofmd s2 ep6#pirates#digital painting#illustration#art#my art#digital art#fanart#ofmd fanart#israel hands#prints
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Migliaia di persone marciano ad Atene, in lutto per le vite perse in mare dopo che le autorità europee hanno lasciato annegare circa 650 migranti, tra cui 100 bambini, al largo delle coste greche.
"Tout Le Monde Déteste la Police! / "
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Oh certainement que "tout le monde déteste la racaille"! Nous sommes bien d'accord. Mais pour autant est-ce que l'on va oublier ce que la police a fait en France depuis 30 ans? En pleine invasion n'importe quelle bourgeoise pouvait recourir à la police pour le "propos raciste" d'un brave type prolétarisé poussé à bout qui lâche un mot de travers. Cela est arrivé des milliers de fois, et les colonisés ont vécu dans la terreur du jugement d'autrui devenu son geôlier dans une taule fermée de l'intérieur. La police a sécurisé l'invasion. Tout ce que l'on voit aujourd'hui et qui va se répandre sur l'Europe jusqu'au fond de la Pologne à été protégé, sécurisé, surveillé par la police. Voilà pourquoi il ne faut pas se mêler de ce merdier et ne pas prendre parti, même pas en pensée.
La police et ses commissaires tous franc-maçons, les juges, les avocats, les procureurs, tout ce monde en basket blanches sous la robe d'hermine (authentique), toute cette classe qui ne sait plus si elle tient davantage à son prestige classique où à se la jouer canaille pour souffler un peu, tout ce monde a dépassé la mesure depuis très longtemps. Quand on connaît les mœurs de nombre de ces gens-là en privé, alors qu'ils n'existent socialement que par la terreur qu'ils inspirent, on mesure le fossé, le bluff par quoi sont tenus les braves gens. L'Elysée, le Parquet et l'Intérieur viennent de lâcher la police en rase campagne et de s'en désolidariser pour calmer la meute au moment où la police avait le plus besoin de leur soutien, voilà ce que ça rapporte donc, de se salir les mains pour le pouvoir.
2 tués aux émeutes de 2005: Jean-Claude Irvoas et Jean-Jacques le Chenadec. C'étaient des Français, personne n'a bougé. Cette année même si 10 Français étaient tués au couteau il n'y aurait rien non plus. Si 1 non-Blanc était abattu ce serait très différent. Si 1 policier était abattu idem. Mais le mode "salope" chez la masse reviendrait très vite, mode gouverné en sous-main comme toutes les salopes par la Trouille Physique, par l'empressement à se vendre physiquement, à aller du côté du plus méchant à l'instant T, du plus "respecté". Ainsi des bourges, des mi-cuits, des tiédasses et des étudiants, des bouches inutiles, des PàB, des managers, des "chefs", et des influenceurs. Toutes ces catégories de la foule dont le goût profond est la bestialité, le Surmoi le Primitif et la phobie la solitude. Ils sont prêts à tout pour être entourés dans le dépeuplement mondial, pour croire que la vie existe encore.
Les Primitifs de ces deux derniers jours sont plus violents que les Gilets Jaunes certes on peut le leur concéder, ils ne se laissent pas embringuer vers des "cortèges" certes, ils ont scié quelques caméras, ils sont moins alcooliques en manif que les Gilets Jaunes certes mais il n'en reste pas moins qu'ils sont tout aussi cons. Ces émeutiers dilettantes ne vont jamais s'en prendre aux vrais lieux du vrai pouvoir : locaux de banque, locaux de cabinets de conseil, domiciles de gens du pouvoir, rue Cadet, mairies, rues du 6e, 7e, 16e, Publicis, bas de Champs-Elysées, ils ne savent même pas ce que c'est. Encore quelques jours et ils retourneront en bas des blocs roter leur Monster, cuver leur shit étouffés de tartines de nutella, il ne faut pas rêver ce sont en majorité des bourgeois qui ont du bide dès 20 ans.
"Y a plus qu'des salopes"
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Alors, on va encore dire que j'ai mauvais esprit mais quand Assa Traoré chouine en louboutins que cinq de ses petits frères sont en prison, le sentiment qui m'étreint dans la foulée n'est pas celui d'injustice, vu que je me dis comme ça qu'à sa place je n'en tirerais aucune espèce de fierté.
Sinon, je ne sais pas si tu as vu Sardine Ruisseau et Louis Boyard à la manifestation-anniversaire, on aurait dit un couple de poules de collection en arrêt devant une ménagère complète... C'est marrant, les gens donnaient l'impression de ne pas du tout les reconnaître !
Je pense que la pauvre Assa Traoré elle a été propulsée par des militants qui restent dans l’ombre, qui l’ont relookée, financée et qui lui ont filé tous ses éléments de langage. Si tu regardes ses premières interviews après le décès de son frère, on dirait que ce n’est pas la même personne.
C’est comme la mère du jeune Naël qui du jour au lendemain se retrouve hissée au rang d’icône de la lutte contre les violences policières, alors que c’est pas compliqué d’imaginer comment elle devait être considérée dans son quartier en tant que mère célibataire.
C’est comme les femmes voilées poussées au premier rang qui peuvent pour la première fois être vues et et valorisées, comme jamais avant, pour une cause qui les méprise.
Il y a une instrumentalisation cynique des femmes dans ces idéologies, elles servent uniquement d’images, d’allégories, à des causes somme toute très masculines. On imagine que l’opinion publique aura plus de compassion pour la sœur éplorée, la mère courage ou la maman pieuse, que pour le délinquant multirécidiviste, le jeune au fichier déjà bien rempli, ou l’islamiste du coin.
Et ça marche pour une certaine gauche caviar dont font partie nos chers élus de la FI. Ils sont incapables d’attribuer aux minorités des idées complexes, une orientation politique ou des objectifs de long terme. Ils les pensent uniquement dans la spontanéité et l’émotion. Donc la marionnette émotionnelle leur parle immédiatement ! Et c’est comme ça qu’ils se retrouvent, élus de la République, au milieu d’une foule qui scande « tout le monde déteste la police ». Parce que depuis le début l’idée était de les attirer là pour les voir légitimer une manifestation illégale avec des slogans anti état.
Mais vu que comme tu dis ils sont quand même très cons ils n’ont pas flairé le piège, ou s’ils l’ont flairé, ils pensent pouvoir tourner tout cela à leur avantage. Ils ont tort 🤷♀️
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Cette semaine dans 2 salles, 2 ambiances, on vous emmène de l’autre côté du périph’ pour passer une journée au cœur de la cité des Muguets. Entre violences policières et sexisme cet épisode sur La Haine de Mathieu Kassovitz a fait de nous des vraies haters. N’oubliez pas: l’important c’est l’atterrissage pas la chute !
Voici le lien pour l'épisode :
Tw: racisme, violences policières, violences sexistes, fétichisme
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𝐡𝐢𝐬 𝐬𝐭𝐨𝐫𝐲;
Un père trop amoureux de la bouteille et une mère qui se prostitue, c’est dans ce cadre-là que naît Seung. Petit dernier de la famille, il n’est pas tellement chéri par ses parents, parce que sa mère, parfois, oublie même qu’il existe, et son père, qui n’est pas certain d’être vraiment son père, meurt très rapidement. Contrairement à ses trois grands frères, Seung est très silencieux, souvent sur la réserve. Pas de tentative rationnelle comme Kyungsu, pas d’explosion de colère comme Hyunsu, pas de fausse joie comme Eunwoo. Juste rien. Le silence. Seung va à l’école avec ses baskets trouées, revient parfois sans son cartable, qui a été volé, dort, et recommence sa journée. Les seuls moments agréables de sa vie, finalement, c’est quand il est avec ses frères. Quand sur une table de cuisine qui tient à peine debout, Kyungsu essaye de lui expliquer les mathématiques. Quand sur la balançoire du parc communal, Hyunsu lui apprend à faire ses lacets. Quand la nuit, Eunwoo vient dans sa chambre pour dormir avec lui, pour garder les mauvais rêves bien loin. Il n’a pas vraiment de parents, certes, mais c’est pas très grave, parce qu’il a ses frères, qui essaient, eux, de l’éduquer comme ils peuvent.
Mais ils ne peuvent pas le protéger à vie, parce qu’ils sont des enfants eux aussi, et quand Seung a douze ans, leur mère fait rentrer l’horreur dans la maison. Allez savoir pourquoi lui vient l’idée de vendre ses enfants au premier venu. Mais quand les hommes défilent dans la maison, c’est la peur qui grandit au cœur de l’être de Seung. Il le voit bien, que ses grands frères essayent de le protéger, mais ça ne change rien quand les clients s’extasient devant sa jeunesse, se défoulent sur lui, et Seung est probablement celui qui a le plus souffert de la main des clients - parce que dans le fond, il ne se défend pas. Il attend, simplement, que ça passe, le regard rivé vers le plafond. Et pour la première fois, sa mère le regarde différemment. Il pense qu’elle l’aime, pour une fois. Il ne comprend pas que c’est simplement parce qu’il lui rapporte un sacré paquet d’argent. Pour une fois, Seung a l’impression de ne pas être juste un frère, mais aussi un fils. Et puis, les voisins interfèrent dans leur vie de famille, décident de dénoncer les activités étranges qu’ils peuvent voir dans la maison des Kim. Seung les déteste aussi, ceux-là. Ils ont ruiné sa vie.
Quand les services sociaux débarquent, Seung, comme Eunwoo, est incapable de témoigner contre sa mère - il a peur d’être séparé de ses frères. Il pense qu’être à la maison, c’est mieux que d’être loin les uns des autres. Alors forcément, sa stupeur est grande, quand il voit les hommes vider la chambre de Hyunsu, et puis celle de Kyungsu, quand il voit les garçons monter dans la voiture, pour ne plus jamais revenir. Seung se sent profondément trahi, et ça ne va pas en s’arrangeant.
Leur mère avait promis qu’ils n’avaient plus à recommencer. Elle tient quatre jours, avant de rappeler un client, et Seung l’entend se diriger vers la chambre d’Eunwoo. Il comprend alors que sa mère n’a jamais eu l’intention d’arrêter - elle est juste plus discrète. Mais Seung n’est pas stupide - il sait que s’il est moins soumis aux demandes obscènes des clients de sa mère, c’est parce qu’Eunwoo se donne deux fois plus. Ça alimente la rage que Seung a contre le monde entier. Il sait, désormais, qu’il ne peut faire confiance à personne. Ni aux deux aînés, qui ne reviennent pas, ni à sa mère, qui continue de les prostituer, ni à Eunwoo, qui lui ment quand il dit qu’il va bien.
Et puis, quand Seung a dix-sept ans, Eunwoo disparaît à son tour. Il ne sait pas où il est, et tout ce qu’il voit, c’est qu’Eunwoo, comme les autres, l’a abandonné. Il n’attend qu’une semaine ou deux, avant d’embarquer quelques affaires, et de fuguer. Sa mère est trop ivre dans le canapé pour remarquer qu’il part. Parce qu’il est mineur, il est évidemment porté disparu - mais la police, comme les services sociaux, se font très peu d’illusions. Tout le monde connaît les Kim, et tout le monde sait qu’ils ne le retrouveront pas, parce qu’il est parti de lui-même. Alors, à ses dix-huit ans, son enquête est requalifiée en disparition volontaire. Durant cette année, Seung vit dans la rue. Il alterne entre différents foyers d’accueil pour sans-abris, mais finit toujours par partir, quand on lui demande pourquoi il est à la rue. Il ne parle pas, ne sourit pas, reste mutique, parce qu’il ne veut pas aborder la maison des horreurs.
Mais son mutisme l’empêche d’extérioriser sa colère, qui bouillonne, et qui le terrifie. Seung sait qu’il ne possède pas énormément de portes de sortie : il sait à peine se débrouiller, et il enchaîne les petits boulots ingrats, pour se faire un peu d’argent.
Et puis, il se penche sur la question des études - tout son temps libre, il le passe à la bibliothèque, pour prendre de l’avance. Il a dix-neufs, donc, quand il rentre à l’université pour poursuivre des études d’infirmier. Seung n’a pas de rêve de grandeur, il ne veut pas devenir un grand médecin. Mais il veut être utile. Il veut aider.
Sa vie, désormais, c’est un peu comme quand il était enfant. Aller à l’université avec ses affaires un peu trop grandes pour lui, enchaîner avec sa garde à l’hôpital, dormir, recommencer. Il s’ouvre difficilement au monde qui l’entoure, parce qu’il en veut toujours à ses frères, parce qu’il se sent toujours abandonné. Seung ne veut pas les retrouver - au contraire, il veut les fuir, le plus possible, sans savoir qu’une camarade de l’université, Jade, pourrait lui amener son plus grand cauchemar.
Le seul rapport humain constant que Seung a, dans une routine un peu étrange, c’est sa voisine de palier. Ils se détestent, ne se sont jamais dit un mot sympathique, et pourtant, Seung a tout de même développé une forme d’attachement étrange vis-à-vis d’elle. Peut-être que c’est elle, finalement, qui brisera la carapace de Seung.
𝐡𝐢𝐬 𝐭𝐫𝐢𝐯𝐢𝐚;
⁕ Seung a la fâcheuse tendance de ne pas oublier d’où il vient : de ce fait, il a pris l’habitude de cuisiner en plus grande quantité que nécessaire, pour pouvoir en donner une partie à un refuge de sans-abris qui se situe sur son chemin vers l’hôpital. Il donne régulièrement des vêtements, également.
⁕ Seung a deux moyens de lutter contre son anxiété constante. D’abord, il a Sunny, son chien d’assistance, qu’il a adopté chiot, mais il écoute aussi la musique excessivement fort, dans son casque, comme dans son appartement. Ça lui permet d’endiguer ses pensées, certes, mais c’est à l’origine de nombreux conflits avec Maggie.
⁕ Seung se consacre à ses études, parce qu’il est parfaitement conscient que c’est la seule chose qui peut l’aider à s’en sortir. Néanmoins, quand il réalise que Jade est la copine d’un de ses frères, il envisage de quitter le cursus, pour pouvoir fuir Kyungsu.
⁕ Seung garde encore énormément de nombreuses séquelles du temps passé chez sa mère. Au-delà de sa méfiance absolue envers tout ceux qui l’entourent, il est d’un naturel plus vigilant que la moyenne. Seung dort très peu, et ses insomnies sont régulièrement causées par ses cauchemars répétés, où il revit les abus qu’il a connus plus jeune. Naturellement anxieux, il a fini par se tourner vers un chien d’assistance, Sunny, qui est là pour l’aider à gérer ses crises d’angoisse. Enfin, Seung souffre de dysmorphophobie - très mal à l’aise avec son corps, il a du mal à l’imaginer comme il est réellement, et a plutôt tendance à le détester.
𝐚𝐩𝐩𝐞𝐚𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞;
Physiquement, Seung est plutôt grand, et bien qu’il ait l’air mince, parce qu’il passe sa vie dans des vêtements trop grands pour lui qui l’étouffent, il est en réalité assez musclé. Seung est brun, avec les cheveux longs, qu’il refuse de couper, parce qu’il préfère pouvoir se cacher derrière ces derniers. Il a toujours l’air fatigué, et pour cause, il ne dort que très peu, surtout quand il n’a pas Sunny, son bouvier bernois, avec lui. Ses traits sont constamment tirés, et il n’est pas rare de voir les cernes sous ses yeux. Seung possède également un large tatouage de Medusa sur sa cuisse - même si c’est un motif largement féminin, le symbole est trop important pour lui.
𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐚𝐥𝐢𝐭𝐲;
Seung est un perfectionniste. De ce fait, il est très méthodique dans ses actions, particulièrement précis, et il ne supporte pas l’échec. Prévenant, il est surtout très attentif à son environnement, constamment sur ses gardes. Seung est excessivement rationnel, probablement parce qu’il est autodidacte. Il est aussi extrêmement honnête, quitte à fâcher son entourage, parce qu’il se refuse de mentir à qui que ce soit. Seung peut-être particulièrement obstiné, malgré le fait qu’il soit naturellement assez anxieux. Plutôt effacé et réservé, il est très cynique quand il se sent attaqué.
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TRASHER magazine 100% agression
Le monde du skate et les exploits des skateurs sont fascinants et nous voulions faire une aparté sur ce magazine mythique, cette bible fondée par Kevin Thatcher, Eric Swenson et Fausto Vitello. Elle raconte l'évolution du skate, la vie des skateurs et la culture underground, qui gravite avec la musique punk, ska, métal, le graphisme lowbrow et d'illustrateurs indépendants, les exploits, les vidéos amateurs, les marques, les concours et les compétitions depuis 1981.
Le thème Break the rules va parfaitement avec la culture du skate car déjà tu enfreins la loi quand tu fais du street et que tu ne vas pas au skatepark. La plupart des lieux publiques sont interdits aux planches. Tu fais peur aux mamies, la police te déteste, tu détériores le matériel public rampes, escaliers, tu bois dans la rue, tu vis en meute, tu fumes, tu as des tatouages, tu portes des marques qui revendiquent la liberté...Certains revendiquent le style de vie "straight edge" associé à la musique punk hardcore dont les adhérents ne consomment ni alcool, ni tabac et autres drogues... sont aussi vegans.
C'est une sous culture underground qui tient dans le temps, qui évolue mais qui garde ses racines aux USA.
Bien sûr, chaque skateur a sa personnalité plus ou moins trash, plus ou moins lisse et c'est par la lecture du magazine que tu apprends à mieux les connaître.
Le plus souvent choisis pour leurs performances et leurs sponsors, les interviews restent brutes et dévoilent leurs atouts, leurs figures, leurs spécialités.
"TU DEFIES LA MORT, tu prends en main ta destinée." citation alambiquée mais representative.
Citation du redac chef sur ceux qui portent du Trasher et ne pratique pas.
“On n’envoie pas de produits à Justin Bieber ou Rihanna ou ces putains de clowns. C’est dans la rue que les vraies choses se passent. Du sang ou des croûtes, est-ce qu’on peut faire plus réel que ça ?“. Jake Phelps
Le skate c'est pour les têtes brulées dont les filles. Mais c'est aussi un sport qui tient pas en forme: tu te brises sur le pavé, tu tombes, tu te ramasses si tu aimes faire des figures. Mais c'est fun quand même! Les moment de relâchement sont cools, les rush videos des exploits vaillent la peine. Les skateurs se soutiennent autour d'une bonne pinte en sortant de cessions, comptent leurs bleus.
La police utilisée "Banco" pour le logo fut inspirée d'un album de Bob Marley au style de vie caribéen et au reggae qui correspond bien aux fondateurs et aux styles des publications cools.
Thrasher n'est pas qu'un magazine mais l'équipe de rédaction a su créer son propre contenu, propre au DIY, depuis le 1er numéro du magazine publié à San Francisco en 1981.
Découvre toutes les couvertures du mag depuis 1981 inspirantes: https://www.thrashermagazine.com/magazine/covers-archive/
A l'intérieur de THRASHER Magazine, sont présentés des centaines de pro skateurs célèbres du monde entier tels que Tony Hawk, Bob Burnquist, Bam Margera (Jackass), Steve Caballero (Bones brigade) pour les plus anciens, Stacy Peralta, Tom Sims, Tony Alva, Laura Thornill (70's) ainsi que Pascal Thomas et leurs équipes à travers des publicités et des articles, de la musique punk rock évidemment car la plupart des skateurs jouent de la musique dans des groupes de punk rock, c'est la Californie.
Les jeunes s'approprient dans le monde entier cet univers, cet état d'esprit, connaissent mieux les marques, les figures, la technique, deviennent fan de ... porte le logo signe d'appartenance.
Chaque année, THRASHER délivre son titre de « SKATER OF THE YEAR », sponsorisé par les divers annonceurs du magazine depuis 1990 avec TONY HAWK.
Jusqu’en 2009, fin du format dvd, l'équipe sortait une vhs par an depuis 1988. Le contenu en ligne maintenant est facile, abondant avec le numérique et la diffusion avec les réseaux sociaux même la façon de faire les vidéos sont allégées avec le matos numérique.
Chaque année depuis 2003, THRASHER organise également le « KING OF THE ROAD », une tournée challenge par équipes impliquant quatre équipes composées de proskateurs de différents horizons reçoivent un livre d'épreuves et ont deux semaines pour sillonner le pays et atteindre autant d'objectifs que possible.
THRASHER possède également son propre skatepark indoor : « DOUBLE ROCK » où l'équipe invite des personnalités à venir rider, en concrétisant leurs venues en vidéo. en découvrir plus sur:
thrashermagazine.com
youtube
2 documentaires à voir pour comprendre le lâcher prise que transfigure le skate, une sensation de liberté et une révolution pour les jeunes ainsi qu'1 marque lyonnaise qu'on aime bien Antiz et qui fait des belles planches.
ANTIZ
Créée en 2002 à Lyon par une bande de 4 potes que sont Julian Dykmans, Julien Bachelier, Hugo Liard et Loïc Benoît, ces boards aux graphismes assez sombres et provocateurs sont composées de 7 couches d'érable canadien pressées en Amérique du Nord chez ABC. https://www.antizskateboards.com/
Antiz video de Bruno Detante https://www.instagram.com/brunodetante/
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Bienvenue
※ Qui ? Quoi ? Et pourquoi ?
Je m'appelle Caroline, j'ai vingt-six ans. Cela fait désormais pas mal d'années que j'écris des fan-fictions et plus récemment j'ai décidé de me lancer dans la folle aventure de la fiction originale. Ici vous trouverez donc certaines de mes histoires et principalement Hérésie, mon tout premier récit surnaturel original. Dans cette histoire il est fort probable que vous retrouviez un peu de mes inspirations comme les séries, livres et films sur les vampires et les loups-garous. J'essaye d'être la plus originale possible, mais vous reconnaîtrez qu'il est difficile d'ajouter quelque chose d'inédit dans un univers autant exploiter. Alors, attention ! Cela ne signifie pas que je vais ouvertement plagier les œuvres qui m'inspirent. Je parle là de mes influences, rien de plus. L'intrigue, les personnages et l'univers qui les entoure sont bien évidemment ma création.
※ Comment ça se passe sur ce blog ?
Peut-être allez-vous être refroidi par ce paragraphe mais il est malheureusement essentiel. Comme quiconque qui écrit je déteste le plagiat. Mes écrits sont ma propriété. J'accepte bien sûr toute critique positive ou négative tant que c'est constructif. Mais aucun commentaire insultant envers les lecteurs ou moi-même ne sera toléré, ça me paraît évident. En ce qui concerne les pubs, j'accepte celles pour les fictions et les fan-fictions sauf celles qui concernent Justin Bieber, les One Direction ou autres du même genre. Je n'ai rien contre eux mais ce n'est pas du tout mon univers.
※ De quoi parle Hérésie ?
Némésis se questionne de plus en plus sur une période de sa vie qu'elle a oubliée. Les seuls indices en sa possession sont une cicatrice et les quelques éléments d'une enquête classée sans suite. Elle décide de retourner à Saint-Obscure, sa ville natale, où elle espère trouver de l'aide auprès de la puissante entreprise surnaturelle qu'est l'Occultatum. Mais la jeune femme doit se montrer prudente. Le monde surnaturel est persuadé que sa lignée est éteinte depuis plusieurs siècles.
※ Et Planet Hell ?
Fanfiction cross-over : The 100 & Doctor Who.
Sally Rose, une jeune Seigneur du Temps qui s'est réfugiée sur Terre après la Grande Guerre du Temps, survit du mieux qu'elle peut en un monde où elle ne parvient pas à trouver sa place. Un jour, alors qu'elle fuit les agents de police à ses trousses, elle trouve une faille spatio-temporelle. Voyant là enfin un moyen d'échapper à sa triste vie rythmée par les échecs, elle décide de la traverser. C'est alors qu'elle se retrouve sur une Terre irradiée où la vie semble avoir disparue.
※ Qu'en est-il de What lies beneath ?
Fanfiction : Once Upon a Time
Dans le monde de la piraterie, La Sirène est l'une des rares femmes à porter le titre de Capitaine et à être crainte par bon nombre de royaumes. Son navire, le Amadys Dahlia, sillonne les mers et océans en laissant bien souvent derrière lui les épaves de navires pêcheurs de baleines. Un jour, lors d'une tempête au milieu du Grand Océan, un homme tombe mystérieusement du ciel. En lui venant en aide, elle va découvrir que son propre passé cache en réalité certaines zones d'ombres.
※ Et La Liste ?
Fanfiction cross-over : Teen Wolf & The Originals
Les Mikaelson décident de quitter la Nouvelle Orléans pour s'installer à Beacon Hills, étant comme mystérieusement attiré par cet endroit. Très vite ils réaliseront que cette petite ville de Californie cache bien des secrets et que des personnes en veulent à ses habitants les plus particuliers.
※ Pouvez-vous me retrouver ailleurs ?
Eh bien oui ! Je suis également active sur Instagram, Wattpad et Neobook.
※ D'autres questions ?
N'hésitez pas à demander ! C'est avec plaisir que je vous répondrai.
* ATTENTION AUX ESPRITS SENSIBLES ! CERTAINS PASSAGES DE CES HISTOIRE ABORDENT LA VIOLENCE ET/OU LA SEXUALITÉ.
ACCÈS À MON COMPTE EN ANGLAIS.
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Comme on est en rééducation, ils disent que ma famille n'est pas ma famille....
Mon père est mort, ma mère aussi...
Ils ont préféré déclarer la mort de mon père et laisser ma mère être remplacée par une transsexuelle.,.
Pour ma soeur, ils ont dit que j'étais fille unique en fait.
Un militaire devenu fille était ma soeur au début, puis une auxiliaire de police m'a suivie, puis un policier devenu fille m'a protégée, ...
Puis une sorcière les a remplacés, à peu près vers 1988... Même eux ne savent plus la vraie année...
La sorcière a été tuée en 2022, tellement elle travaillait pour Skyrock....
Donc ma 'soeur' me trahissait pour Skyrock...
Maintenant, c'est à peu près Caroline Aigle ma soeur,... Elle lui ressemble beaucoup...
Là, tout le monde a peur .. ils ne savent pas si l'armée la cautionne ...
Tout le monde déteste ma soeur sauf quelques dingues qui pensent et espèrent qu'elle est une militaire...
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Dénigrer des confrères et consœurs car oppressant
En entrevue à Ici Radio-Canada Première, le directeur général de Fierté Montréal, Simon Gamache, a prouvé sa haine envers la police en présence de Fady Dagher soit le chef du Service de police de Montréal (SPVM).
Le message semble clair, les policiers et policières LGBTQ+ ne défileront pas en uniforme le 13 août prochain à cause que certains individus n'ont toujours pas atteint un degré de confiance envers la police en raison de... l'oppression.
Mais pour Dagher s'est plus facile de rien faire que défendre l'honneur de ses collègues LGBTQ+.
Vous avez le choix entre deux phrases: "Tout le monde déteste la police" ou "Définancez la police".
Sectarisme inquiétant
De plus en plus, la communauté LGBTQ+ adhère aux pratiques sectaires qui lui vaut une réputation malsaine et parmi ces pratiques on y retrouve les heures du conte animés par des drags.
Dans une parade organisé cette année à New York, on pouvait entendre des personnes scander "Nous sommes queer nous venons pour vos enfants." et ça passait crème aux oreilles des autorités américaines.
Selon Gamache, la communauté montréalaise LGBTQ+ doit adhérer de force au mouvement anti-police alors qu'on auront bien besoin de la présence policière en ces temps difficiles.
Simon Gamelin est-il un de ses individus qui veulent définancer la police? Est-il un de ses bobos qui hurlent "Tout le monde détestent la police"? À moins qu'il soit de ceux qui croient en la mixité sociale de la mairesse Valérie Plante?
La gauche ou encore le progressisme qui se veut tant la bienveillance et le bon chemin devient le symbole d'une anarchie, déconnection de la réalité ou même de toilettage. Mais ça, personne ne le voit car ils sont trop endormi pour en être conscient et dès qu'on le dénonce... Oh là là qu'on dérange et on nous traite de fou.
Réveillez-vous!!!
Faut-il rappeler que Le Village est un quartier civilisé qui perd de son lustre d'autrefois et plus en plus avec l'arrivée de toxicomanes qui exaspèrent les commerçants et les clients.
Pour être mieux compris, je dis exactement la raison pourquoi la police est essentielle et pourquoi les polices issues de la communauté LGBTQ+ méritent de défiler en uniforme que ça dérange ou pas. Si vous dérange tant que la police soit présente pour le défilé, n'assistez pas simplement à l'événement et faites autre chose au lieu de vous plaindre sur un détail.
Entre l'arbre et l'écorce
Que se soit la radicalisation de Simon Gamache ou la mauvaise défense de Fady Dagher, on peut qualifier ceci de match nul.
Les progressistes nous lance la même phrase soit de définancer la police pour financer des groupes communautaires sans poursuivre leur argument.
Gamache cite: On a 140 groupes communautaires qui font de l'intervention. Ces groupes font de l'intervention toute l'année, mais il y a un sous-financement de ces ressources extrêmement précieuses, hyper qualifiées, mais qui sont à bout de souffle. Le financement n'est pas récurrent.
Je me demande si les progressistes ne connaissent pas leurs groupes communautaires et en font un fond de commerce car ils sont de doux agneaux face à la méchante police? Désormais tout ce règle par grâce aux "groupes communautaires", c'est comme les indépendantistes québécois qui croient que l'indépendance de la province du Québec va régler les nombreuses misères actuelles.
Que l'on soit d'accord ou pas, c'est du dénigrement gratuit envers des membres de la communauté LGBTQ+ qui ont choisi ce métier pour protéger la population et veiller sur sa sécurité.
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Théodore est un garçon de 16 ans, il a un caractère sympa, souriant mais très rebelle , principalement avec ses parents, Théodore déteste sont prénom, tout le monde crois d'ailleurs qu'il s'appelle Théo.
Fils d'un policier, plus précisément chef de service et d'une avocate, Théo est toujours en conflit avec ses parents a qui il fait tout voir, tatouage, piercing, cigarette, même bagarre et vole, il fait tout pour les emmerder et sa marche d'ailleurs très bien pour sont plus grand plaisir, ses parents étant souvent absent et trop stricte Théo a fini par leur faire payer.
A l'école il avais de bon résultat mais a fini par tout laisser tomber, il est passer d'environ 17 de moyenne a à peine 10 et encore il a la moyenne grâce au sport et a l'art qu'il aime beaucoup.
a part sa Théo est un garçon avec pas mal d'amis, il a déjà eu une petite amis mais aussi un petit amis, en effet pour le plus grand malheur de ses parents Théo est Bi mais pour le coup se n'était pas pour les provoquer mais bien ses réel sentiment.
Plus tard Théo aimerai travailler dans le domaine artistique avec une grand préférence pour la dance où il est déjà assez fort.
Théo a aussi deux grand frères, un qui est rentré en école de police et l'autre pompier, on peut dire qu'il est le mouton noir de la famille.
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"Tout le monde déteste la police": pour Sandrine Rousseau, ce slogan "devrait nous alerter"
http://dlvr.it/SrxsRd
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I was at a party yesterday, and during one of the dj sets everyone started chanting "everyone hates the police" (et tout le monde déteste la police) and shouting "ACAB", emulating what most of us are chanting during the ongoing protests, and it was sooooo freeing to do it in a context of joy and release
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Tout le monde déteste la police, même la police
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