#l'héroïsme
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#Vie de couple#bonheur#contenter#qu'on#niveau#plus#c'est#l'héroïsme#regardez#merde#d'ailleurs#toi#non#pour#tape#frère#bien#joué
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"[…] il n'y a de liberté que là où le problème social est résolu de façon à favoriser, chez un petit groupe, le développement le plus complet des possibilités humaines, serait-ce au prix de la plus grande inégalité entre les hommes, conformément à l'organisation du monde classique païen ; il n'y a de liberté que là où la glorification de la Sapience et de l'héroïsme sait emporter les petites valeurs de la vie bourgeoise, économique et industrielle."
Julius Evola, Impérialisme païen (1927)
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Collaborative Masterpost on Saint-Just
Primary Sources
Oeuvres complètes available online: Volume 1 and Volume 2
A few speeches
L'esprit de la révolution et de la constitution de la France (1791)
Transcription of the Fragments sur les institutions républicaines (1800) kept at the BNF by Pierre Palpant
Alain Liénard's edition and transcription of his works in Théorie politique (1976)
Some letters kept in Papiers inédits trouvés chez Robespierre, Saint-Just, Payan, etc. (1828)
Fragment autographe des Institutions républicaines
Une lettre autographe signée de Saint-Just, L. B. Guyton et Gillet (not his writing but still interesting)
Two files at the BNF with his writing (and other strange random stuff):
Notes et fragments autographes - NAF 24136
Fragments de manuscrits autographes, avec pièces annexes provenant de Bertrand Barère, de V. Expert et d'H. Carnot - NAF 24158
Albert Soboul's transcription of the Institutions républicaines + explanation of what's in these files at the BNF
Anne Quenneday's philological note on the manuscript by Saint Just, wrongly entitled De la Nature (NAF 12947)
Masterpost (inventory, anecdotes, etc.) - by obscurehistoricalinterests
Chronology
Chronology from Bernard Vinot's biography
Testimonies
Élisabeth Duplay-Le Bas on Saint-Just, as reported by David d'Angers - by frevandrest and robespapier
Élisabeth Duplay-Le Bas corrects Alphonse de Lamartine’s Histoire des girondins (1847) - by anotherhumaninthisworld
Many testimonies by contemporaries (in French) on antoine-saint-just.fr
Representations
Everything Wrong with Saint-Just's Introductory Scene in La Révolution française (1989) - by frevandrest
On Saint-Just's strange representation of "throwing tantrums" - by saintjustitude and frevandrest
Saint-Just as "goth/emo boy"? - by needsmoreresearch, frevandrest and sieclesetcieux
Recommended Articles
Bernard Vinot:
"La révolution au village, avec Saint-Just, d'après le registre des délibérations communales de Blérancourt", Annales historiques de la Révolution française, No. 335, Janvier-Mars 2004, p. 97-110
Alexis Philonenko:
"Réflexions sur Saint-Just et l'existence légendaire", Revue de Métaphysique et de Morale, 77e Année, No. 3, Juillet-Septembre 1972, p. 339-355
Miguel Abensour:
"Saint-Just, Les paradoxes de l'héroïsme révolutionnaire", Esprit, No. 147 (2), Février 1989, p. 60-81
"Saint-Just and the Problem of Heroism in the French Revolution", Social Research, Vol. 56, No. 1, "The French Revolution and the Birth of Modernity", Spring 1989, p. 187-211
"La philosophie politique de Saint-Just: Problématique et cadres sociaux". Annales historiques de la Révolution française, 38e Année, No. 183, Janvier-Mars 1966, p. 1-32. (première partie)
"La philosophie politique de Saint-Just: Problématique et cadres sociaux", Annales historiques de la Révolution française, 38e Année, No. 185, Juillet-Septembre 1966, p. 341-358 (suite et fin)
Louise Ampilova-Tuil, Catherine Gosselin et Anne Quennedey:
"La bibliothèque de Saint-Just: catalogue et essai d'interprétation critique", Annales historiques de la Révolution française, No. 379, Janvier-mars 2015, p. 203-222
Jean-Pierre Gross:
"Saint-Just en mission. La naissance d'un mythe", Annales historiques de la Révolution française, Année 1968, no. 191 p. 27-59
Marie-Christine Bacquès:
"Le double mythe de Saint-Just à travers ses mises en scène", Siècles, no. 23, 2006, p. 9-30
Marisa Linton:
"The man of virtue: the role of antiquity in the political trajectory of L. A. Saint-Just", French History, Volume 24, Issue 3, September 2010, p. 393–419
Misc
Saint-Just in Five Sentences - by sieclesetcieux
On Saint-Just's Personality: An Introduction - by sieclesetcieux
Pictures of Saint-Just's former school, with the original gate - by obscurehistoricalinterests
Saint-Just vs Desmoulins (the letter to d'Aubigny and other details) - by frevandrest
Saint-Just's sisters - by frevandrest
On Thérèse Gellé and Henriette Le Bas - by frevandrest
Saint-Just and Gellé being godparents - by frevandrest and robespapier
On Saint-Just "stealing" and running away to Paris and the correction house - by frevandrest and sieclesetcieux
How was/is Saint-Just pronounced - Additional commentary in French by Anne Quenneday
#saint-just#antoine saint just#saint just#to be updated#masterpost#refs#sources#frev sources#testimonials and commentaries
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« Aujourd'hui comme hier l'aventure est la fille du rêve. Sous des formes sans cesse renouvelées, chacun est en mesure de la vivre, s'il a gardé le goût de la beauté et de l'héroïsme. »
Saint-Loup, Le Roi blanc des Patagons
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The Kills, jeu dévoué
La série de photographies intitulée Dogs Chasing My Car in the Desert, réalisée entre 1996 et 1998 par l'artiste américain John Divola, capture l'instant pendant lequel des chiens poursuivent sa voiture lancée à pleine vitesse sur une route désertique de la Californie du Sud. Toute la puissance existentielle de cette série tient précisément dans la fugacité du moment saisi, celui où le chien atteint la fenêtre du conducteur pour capter son regard, dans l'espoir vain de rattraper la voiture. À propos de ces photographies, John Divola déclare : « Contempler un chien poursuivant une voiture invite à de nombreuses métaphores et juxtapositions : la culture et la nature, le domestique et le sauvage, l'amour et la haine, la joie et la peur, l'héroïsme et l'idiotie. Ici, nous avons deux vecteurs et deux vitesses, celle d'un chien et celle d'une voiture et, étant donné qu'un appareil photo ne capturera jamais la réalité et qu'un chien n'attrapera jamais une voiture, c'est la preuve d'une dévotion à une entreprise sans espoir. »

John Divola, D05F23 de la série Dogs Chasing My Car in the Desert, 1996-1998.

John Divola, D10F15 de la série Dogs Chasing My Car in the Desert, 1996-1998.
The Kills ont toujours fonctionné en double et en antagonisme. Alison Mosshart et Jamie Hince sont les deux faces d'une même pièce. C'est la tension entre l'isolement et le désir qui est leur moteur de création. La juxtaposition des opposés – domestique et sauvage, héroïsme et idiotie, joie et peur – est manifeste jusque sur la pochette de God Games, où matador et taureau s'affrontent.
À l'écoute de ce disque, le temps passe à une vitesse folle. C'est le temps d'un regard à 130 km/h derrière soi pour y apercevoir un animal à bout de souffle. Non pas parce que ses chansons sont courtes, mais parce qu'il n'y a rien d'aussi immédiatement obsédant que dans Keep On Your Mean Side, No Wow, Midnight Boom, ou même Blood Pressures et Ash & Ice (qui s'essoufflait déjà parfois). Bien s��r, les premiers morceaux des Kills visaient plus juste par leur proximité avec l'ethos DIY, un beat rustique sur une boîte à rythmes bâtarde, un riff à la manière d'un bluesman aveugle, des paroles crachées avec droiture et l'urgence punk dans la voix. Écouter Keep On Your Mean Side, c'est comme lire un fanzine trouvé à prix libre dans une cave où joue un concert de garage rock en 1997 : Xerox ou 4-pistes, même combat.
L'album God Games, lui, fait plutôt l'effet de séquences de films contemplatifs, se voulant artistiques et en marge des tendances, mais avec un très bon budget alloué au montage. Ce qu'il y gagne en production, il le perd en expressivité personnelle et en saleté sincère. Dans un paradoxe un peu fâcheux, les premiers singles révélés cet été, New York, LA Hex et 103, distillaient jusqu'au gimmick toute la substance de leur univers garage et indie rock, sans produire cet effet accrocheur des anciens tubes. Il y a ici de bonnes idées et quelques fulgurances mais, à rebours du récit promotionnel vendu par le label et le groupe lui-même dans les nombreuses interviews récemment données à la presse, qui promet un changement de son, une liberté absolue et une approche expérimentale de la composition, il est intéressant de constater que les meilleurs morceaux de l'album – j'entends par là, les plus réussis soniquement, ceux dans lesquels on entend l'aisance technique, la facilité de l'habitude – sont ceux qui sonnent comme leurs précédents morceaux.
En cela, la deuxième partie de l'album, de Wasterpiece à Better Days, se réécoute avec plaisir, rappelant les beaux jours de Ash & Ice. Et les chœurs gospel de LA Hex sont une réminiscence des chœurs de Satellite. Mais les synthés, les orgues et le mellotron, ce clavier polyphonique vintage, étaient aussi déjà en usage dans Blood Pressures. Quant aux paroles d'amour-haine, poèmes haletants où tendresse et violence se confondent, histoires d'amours et d'errances qui puent l'essence, elles ont toujours été la pulsation de leur son. Difficile de comprendre en toute bonne foi où se situe le potentiel infini de possibilités musicales dans le processus d'écriture de ce nouvel album, dont le duo parlent pourtant régulièrement. Et la ligne entre référence et paresse de se troubler progressivement. L'adage des Kills, incandescents, qui est de ne jamais regarder en arrière, sonne faux.
Il est des groupes qui mettent des années à trouver leur son, ou bien des artistes dont la signature est justement l'identité caméléon, toujours en mouvement. The Kills, quant à eux, ont trouvé leur signature sonore dès leur rencontre en 2001, scellée par le pacte de ne plus jamais se quitter et de se consumer ensemble par la musique.
Je n'ose pas parler de confort, pourtant il y a toujours eu un peu de cela dans leur musique. C'est d'ailleurs bien ce qui a contribué à créer la formule magique du duo : le confort musical de ce « vieux couple marié » (ce sont les mots de Jamie Hince), c'est la complicité évidente, totale et fusionnelle dès les débuts, alors qu'Alison et Jamie se connaissaient à peine.
Alors, maintenant, quoi ?
Dans la langue anglaise, le proverbe 'to be like a dog that caught the car' désigne quelqu'un ayant atteint son but et ne sachant pas quoi faire de cette victoire. C'est une course vide de sens : le chien n'est pas censé rattraper la voiture. Cette « dévotion à une entreprise sans espoir » dont parle John Divola, c'est peut-être ce qui constitue le moteur créatif des musicien.ne.s, ce point de fuite imaginaire destiné à aider un groupe à construire son œuvre en perspective. Pour mieux s'en affranchir ensuite.
Il me semble que la musique des Kills en 2003 contenait infiniment plus de matière expérimentale et de liberté de création que celle de 2023 engluée dans sa narration de fausse naïveté magique. Comme s'il n'y avait plus rien à raconter au monde. Que faire quand on a déjà atteint la voiture vingt ans plus tôt ? Admettre de ne pas avoir su se renouveler n'est pas gage d'agonie, ce n'est même pas une faute. The Kills peuvent bien poursuivre leurs aventures de rock crade-classe, d'élégance musclée et arty bien à eux (d'aucuns parlent de posture, je ne suis pas de ceux-là, je crois leurs origines punk sincères), leur avenir y est faste. Il n'est pas besoin de maquiller ses intentions, ses faiblesses ou sa constance derrière une légende marketée quand la musique leur colle autant à l'âme.
Originally written for Dans Ta Face B, November 2023.
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L'amour est un art, une acrobatie, c'est parfois de l'héroïsme.
Lya Luft
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Samedi 10 mars 2012.Le Havre. Réédition du journal.
Jean-François me conseille, pour me rendre du centre-ville du Havre à la bibliothèque universitaire où nous accrochons l’exposition « Vents d’Est », d’emprunter le boulevard de Strasbourg, après avoir fait des zig zags autour de la mairie, pour voir de très belles maisons bourgeoises épargnées par les bombardements qui ont littéralement rasé la ville. Le 5 septembre 1944, deux heures de raid intensif par l’aviation anglaise sur le centre-ville et le port pour affaiblir l’occupant allemand, 800 bombardiers lourds, 80 000 tonnes de bombes déversées, 5123 morts et 10 000 immeubles détruits feront du Havre la ville la plus détruite de France.
Le général De Gaulle fait une visite au Havre le 7 octobre 1944. La ville du Havre reçoit la Légion d'honneur le 18 juillet 1949 pour « l'héroïsme avec lequel elle a supporté ses destructions ».
Au printemps 1945, le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme confie le projet de reconstruction du centre-ville du Havre à l'atelier Perret. Il souhaite faire table rase des anciennes structures et appliquer les théories du classicisme structurel. Le matériau retenu pour l'édification des bâtiments est le béton et le plan général est une trame orthogonale. Officiellement, la reconstruction s'achève au milieu des années 1960.
Le long du boulevard de Strasbourg s’étale le chantier du tramway. Les rails sont déjà posés, mais le boulevard est toujours fermé à la circulation. Le tramway doit être mis en service vers le mois d’octobre.
Sur une barrière du chantier, une photo d’identité d’une petite fille est accrochée avec un trombone. Il ne doit pas s’agir d’une disparition, car aucun mot n’est accroché. La photo, tombée d’un cartable ou d’un portefeuille, sans doute, est en très bon état. La personne qui l’a accrochée à cet endroit espérait sans doute que la petite fille photographiée, ou ses parents la verrait.
Une photo d’identité, en soi, ce n’est pas grand-chose d’important. Mais c’est le geste de la sauvegarder de cette manière qui me plaît et m’interpelle.
Je continue sur le boulevard car la journée va être dure. Il va falloir accrocher à la bibliothèque. Et finir pour ce soir le gros du travail, qui comprend entre autres 5 photos de 1,70 m de large qui seront suspendues dans le vide.
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Unordinary est un RPG dystopique et surnaturel inspiré du webcomic éponyme, mais s'inspire plus largement de l'univers des X-Men, de My Hero Academia et de The Boys. Prenant place à Wellston, ville fictive située au-dessus de New York, il aborde les thèmes des pouvoirs surnaturels, de la criminalité et de l'héroïsme dans une société réaliste. UNO est ouvert depuis le 25/09/21 et évolue sur Discord.
Ceci étant dit...
Notre RPG a vu le jour sur Skyrock, plateforme restée active jusqu'à août 2023. Quand on a appris sa fermeture, il a été temps pour nous de décider d'un nouvel endroit où nous installer et c'est Discord qui a gagné ! Sauf qu'avec tous ces changements, notre communauté s'est essoufflée et traînasse depuis l'été 2023. On (les administratrices) a décidé de le relancer un peu, ayant trop d'amour pour ce que nous y avons construit pour le laisser tomber si vite !
Après quelques semaines d'observation sur tumblr et de prise de repères, le temps est venu pour nous de nous lancer et de faire nos premiers pas sur cette plateforme, en espérant que certain·e·s seront intéressé·e·s pour nous rejoindre.
Dans l'attente de prochains posts concernant UNO, on vous laisse quelques liens utiles :
Le Wiki où se trouvent toutes les informations nécessaires à la compréhension du RPG, ses personnages joués, jouables et non-jouables (issus de biographies ou d'intrigues)
Le serveur Discord sur lequel nous gérons les questions, demandes de renseignements et les formulaires d'inscriptions !
Ne nous en voulez pas de mettre un peu de temps à répondre ici ou là-bas, nous promettons que nous voyons vos messages et donnons toujours une réponse (même si elle peut tarder) !
#french rp#french rpg#rpg surnaturel#discord rp#discord roleplay#projet rpg#rp francophone#discord rpg
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"En fait, l'héroïsme et le sacrifice des soldats seront engloutis dans la défaite et dans la condamnation du nazisme, tout sera retourné contre le peuple allemand."
August von Kageneck, La guerre à l'est.

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Mais où sont les héros et les saints de ce peuple? " Un peuple qui a le sens du confort ne se prépare en rien à ce qui est la vie, la vraie vie."
Drieu nous enseigne qu'il n'existe pas de chemin entre l'embourgeoisement et l'héroïsme. Il ne nous cache pas que c'est un rude piton qu'il va falloir gravir. Mais nous en avons tellement gravi. Sans cesse d'autres cailloux et d'autres ronces. La sueur avec ses grands cernes blancs de sel se mêlait au camouflage des treillis pour dessiner sur nos corps les déserts et les océans de nos fatigués. Que de pitons! Le piton de la peur et le piton du froid, le piton de la soif et le piton du sang. Nos pensées bourdonnaient comme ces moustiques qui se collaient à nos visages rongés de barbe, sous nos casquettes bariolées. Et puis venait le moment où il n'y avait même plus de pensée et où il ne restait que la fatigue quand nous ne savions plus si nous étions mourants ou si nous étions heureux. Deux millions d'hommes ont appris, après tant d'autres, que " l'héroïsme est une atmosphère mystique qui presse à l'infini la faculté de jouir et de pâtir pour le corps, tout comme la sainteté."
Aucune génération ne peut se passer d'héroïsme. Pas plus qu'elle ne peut se passer de sacré. Drieu nous le dit:" Ce sont aussi les idées de la religion qui se trempent dans le sang versé par les héros. Les dieux comme les poètes ont besoin pour vivre du sang des sacrifices "
Tant de sang que nous ne parvenions pas à étancher en attendant d'improbables hélicoptères. Tant de vies données et tant de soldats perdus. Tant de jeunes morts dont nous nous demandons tous les jours ce que signifiait le sacrifice...
Mais non, ce ne furent pas des victimes. Nous vous interdisons de les appeler des victimes. Ne Pleurez pas plus que nous pleurons. Ne cherchez même pas à savoir qui les a tués. Peu nous importe maintenant que la guerre est finie s'ils sont morts à l'ennemi, s'ils ont été trahis par leurs frères, trompés par leurs chefs, oubliés par leurs femmes. Non, ce ne sont pas des victimes même si nous devons un jour demander compte de leur sang. Ce sont des héros. Nos héros.
Jean Mabire, Drieu parmi nous.
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L'âme réclame l'héroïsme ; mais notre société ne permet guère aujourd'hui qu'une seule forme d'héroïsme (si c'est de l'héroïsme encore), l'héroïsme de résignation, d'acceptation."
André Gide
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Camerone : Un Héros parmi les Héros de la Légion Étrangère
🇫🇷✨ Le 30 avril 1863, une page d'histoire s'écrivait au Mexique, marquant l'héroïsme de la Légion Étrangère lors de la bataille de Camerone. Ce jour-là, 65 légionnaires français ont fait face à une armée mexicaine de 2 000 hommes, montrant un courage inébranlable.
🔍 Contexte Historique Au cœur du 19ème siècle, la France s'engageait dans une aventure mexicaine sous Maximilien Ier, mais cela a provoqué des tensions avec les forces locales. C'est alors que la Légion Étrangère, composée de soldats venus des quatre coins du monde, a été déployée pour défendre les intérêts français.
⚔️ Le Déroulement de la Bataille En route pour Veracruz, le détachement de la Légion a été attaqué, se retrouvant encerclé dans une hacienda. Le capitaine Jean Danjou, malgré ses blessures, a insufflé à ses hommes la force de se battre jusqu'au bout. Leur bravoure a permis d'infliger des pertes significatives à l'ennemi, mais ils ont finalement été submergés.
💔 L'Héroïsme des Légionnaires Le sacrifice ultime de ces hommes est devenu un symbole de l'engagement et du courage. Chaque année, la Journée de Camerone rappelle ce moment héroïque.
📜 Héritage et Impact La devise de la Légion Étrangère, « Vous pouvez nous tuer, mais jamais nous vaincre », prend tout son sens dans ce contexte. Aujourd'hui, la bataille de Camerone est commémorée dans le monde entier, avec des monuments en hommage aux légionnaires tombés au combat.
🎥 Pour aller plus loin Pour découvrir cette bataille héroïque en détail, regardez la vidéo complète sur Camerone : Le Combat Héroïque de la Légion Étrangère ! et plongez dans l'histoire de ces hommes d'honneur.
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Camerone #LégionÉtrangère #Histoire #Héroïsme #Sacrifice
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La décadence est l'abandon des normes et un nivellement vers le bas. Elle est la quête du commun à la place de l'aspiration à atteindre un niveau supérieur. La décadence est l'indulgence dans le transitoire. Mais peut-être que, surtout au niveau individuel, la décadence est le manque de vrai caractère. La décadence privilégie la ruse, l'‘éducation’ et la prétention intellectuelle au-dessus de l'expérience, du courage et de l'héroïsme. La décadence élève l'autosatisfaction au-dessus de l'autodiscipline. La décadence dénigre le devoir, l'honneur et la loyauté. La décadence affirme ce que ceux de faible caractère embrassent - le pacifisme, la paix, l'égalité, 'l’harmonie’, l'amour 'inter-racial’. La décadence est matérialiste - elle se moque de l'idéalisme, du numineux, et du profond, et à la place de l'esthétique de la beauté, elle championne le laid et le banal. La décadence est, fondamentalement, une manifestation de ce qui est faible, superficiel, prétentieux et vain. C'est la philosophie, et l'esthétique, du lâche.
David W. Myatt
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Robert de Flandres

La lumière du matin se levait doucement sur la ville de Bruges, illuminant les pavés humides de la nuit précédente. Robert de Flandres, se tenait sur le balcon de son château, contemplant l'horizon. L'appel au pèlerinage résonnait dans son cœur, une promesse d'aventure et de gloire, mais aussi un devoir sacré envers la chrétienté.
Autour de lui, ses barons s'affairaient, chacun préparant son équipement et rassemblant ses hommes. Leurs voix s'élevaient dans un mélange d'excitation et d'appréhension. Robert se retourna, son regard perçant balayant la cour. « Mes amis, » commença-t-il, sa voix résonnant avec autorité, « nous partons pour Jérusalem, non seulement pour libérer les lieux saints, mais aussi pour prouver notre valeur. »
Les barons hochèrent la tête, certains échangeant des sourires complices, d'autres affichant une gravité palpable. Parmi eux, Baudouin, son cousin, se tenait en avant, l'armure scintillante sous le soleil naissant. « Comte Robert, » dit-il, « les routes sont périlleuses, et les épreuves que nous allons rencontrer seront nombreuses. Mais je crois fermement que notre foi nous guidera. »
Robert acquiesça, conscient des dangers qui les attendaient. « Nous devons être unis, » poursuivit-il. « Chaque homme ici présent est un maillon de notre chaîne. Si l'un de nous faiblit, nous faillirons tous. » Ses mots résonnèrent dans l'air, insufflant courage et détermination à ses compagnons.
Alors que le jour avançait, les préparatifs prenaient forme. Les chevaux étaient sellés, les provisions chargées, et les bannières déployées. Robert se dirigea vers son destrier, un magnifique animal noir aux yeux vifs. Il caressa sa crinière, se remémorant les histoires de bravoure et de sacrifice qui avaient marqué l'histoire de ses ancêtres.
« En avant, mes amis ! » s'écria-t-il, montant en selle. Les barons le suivirent, formant une procession impressionnante. Les habitants de Bruges, rassemblés pour les saluer, applaudirent et crièrent des encouragements. Robert leva son épée, un geste symbolique qui scella leur départ.
La route vers l'est était longue et semée d'embûches. Les jours se succédaient, rythmés par les batailles contre des bandits, les traversées de rivières tumultueuses et les rencontres avec d'autres croisés. Chaque victoire renforçait leur détermination, mais chaque perte pesait lourdement sur leurs cœurs.
Un soir, alors qu'ils campaient près d'un ruisseau, Robert rassembla ses hommes autour d'un feu. Les flammes dansaient, projetant des ombres sur leurs visages fatigués. « Nous avons déjà parcouru un long chemin, » dit-il, sa voix empreinte de gravité. « Mais le plus difficile reste à venir. Nous devons garder notre foi et notre courage. Jérusalem nous attend. »
Les barons, inspirés par ses paroles, levèrent leurs coupes en un toast à la victoire. La camaraderie qui les liait se renforçait à chaque instant, et Robert savait qu'ensemble, ils surmonteraient tous les obstacles.
Alors que les étoiles brillaient au-dessus d'eux, Robert ferma les yeux un instant, imaginant la ville sainte, ses murs dorés et ses promesses de rédemption. Ce pèlerinage n'était pas seulement un voyage, c'était un appel à l'héroïsme, une quête qui marquerait l'histoire. Et il était prêt à y répondre, avec ses barons à ses côtés, pour l'honneur et la foi.
#Robert de Flandres#first crusade#première croisade#medieval history#history medieval#moyen age#11th century#fanfic
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⚡️"La solution face aux injustices est une seule : l'héroïsme. Ne pas se taire, parler, lutter, s’impliquer. Ne te contente pas de t’occuper de tes propres affaires, mais occupe-toi de la justice, qui est la véritable affaire de chacun."
Nicolae Steinhardt
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L'affaire P-Diddy est bien pire qu'on ne le pensait | IA reçoit Alex Jor...
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