#l'aubaine
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âIn our extreme circumstances, the mission cannot but go back to whatâs essential, to its eschatological dimension: hope; which means the primacy of evangelization over all politicization and the prevalence of metaphysics over morals. Everything must be taken up again from its foundations. Progressivism, for all its hopes of replacement, was able to infuse life with a provisional impulse. But if humanity is doomed to misfortune and to disappear, what prevents a woman from having an abortion? Why not slit my neighborâs throat if that way I can forget for an instant the absurdity of the human condition? Why not give myself over to drugs and pleasures? We can repeat until exhaustion that those are suicidal actions, and they will rightly reply that, anyway, nature only brings forth beings to later annihilate them; and, after all, suicide may be a way to live according to nature.
Nevertheless, Thomas Aquinas is categorical: âBy hope, man is induced to observe the precepts.â Where thereâs no hope, morality cannot keep up. Therefore, before morality, even beyond good and evil in our actions, this is about manifesting the goodness of being because itâs been created and itâs been saved [âŠ]â
â Fabrice Hadjadj: The Fortune of Being Born in Our Time
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''Catch 22''
  En 1964, Ă©tait paru, en traduction française, ''Catch 22'', de Joseph Heller, un de ces livres qui marquent une gĂ©nĂ©ration, ou qui ''aurait dĂ» marquer'', car s'il connut un triomphe en langue anglaise, il a bien ratĂ© sa cible en France, oĂč ses lecteurs Ă©ventuels voulaient avant tout oublier le service militaire de 3 ans ! Dans mon ''hit-parade'' culturel personnel, je le range prĂšs du ''Camp des Saints'' de mon regrettĂ© ami Jean Raspail, du ''Futur Ă dĂ©jĂ commencĂ©'' de Robert Jungk ou... des 150 premiĂšres pages du ''Matin des magiciens'' (Louis Pauwels & Jacques Bergier), qui ont, dans des registres diffĂ©rents, posĂ© le problĂšme de la nouvelle folie du monde.
Un de mes petits-fils, qui dĂ©bute dans la vie, voulait ''coloquer''(si le mot existe) mais les ''3 bulletins de salaire supĂ©rieurs Ă ce qu'il peut espĂ©rer gagner'' sont incompatibles avec sa situation, et ses parents, trĂšs aisĂ©s mais indĂ©pendants, ne peuvent exhiber les dits ''bulletins''. Le pauvre avait rĂ©ussi Ă contourner le fameux ''5 ans d'expĂ©rience demandĂ©s Ă un dĂ©butant'', mais lĂ ... il a fallu qu'il se mettent Ă 2 et qu'il se fende d'une visite aux grands-parents... ravis de l'aubaine ! Cette histoire aussi frĂ©quente que stupide mâa remis en mĂ©moire ce livre... Je l'ai re-feuilletĂ©, hier.
Historiquement, Catch 22 fut une satire fĂ©roce de la Seconde Guerre mondiale, de l'armĂ©e et de la hiĂ©rarchie, Ă travers l'Ă©popĂ©e burlesque d'un capitaine amĂ©ricain, navigateur sur un bombardier B-25, hĂ©ros tragi-comique qui tente de sauver sa vie en simulant la folie dans un monde qui a perdu la raison. Mais un ââArticle 22âČâ du rĂšglement de l'Air-Force prĂ©voyait que ''Quiconque veut se faire dispenser d'aller au feu en invoquant sa folie n'est pas rĂ©ellement fou''. Autrement dit, quelqu'un jugĂ© en mauvaise santĂ© mentale n'est pas obligĂ© de prendre part aux missions aĂ©riennes, mais si c'est lui qui fait Ă©tat de cette faiblesse en demandant de rester au sol, il montre qu'il est en bonne santĂ© mentale... et doit, ââDONCââ, prendre l'air et voler.
Le livre voulait donc ''comprendre cet article 22'' (d'oĂč son titre, ''Catch 22'', catch voulant ici dire ''saisir'' ), et son succĂšs fut tel que ce titre est passĂ© dans le langage courant aux USA, pour dĂ©signer une situation perdant-perdant (inextricable), un dilemme kafkaĂŻen ou un Ă©tat dit  ''de double contrainte'', comme on en rencontre frĂ©quemment dans notre sociĂ©tĂ© qui se croit intelligente. (Rappel : on dĂ©signe par ''Une double contrainte'' --en anglais, ''a double bind''-- une situation dans laquelle une personne est soumise Ă deux contraintes ou pressions contradictoires ou incompatibles, ou Ă deux injonctions qui s'opposent mutuellement, augmentĂ©es d'une troisiĂšme contrainte qui empĂȘche tout individu de sortir de telles situations. Presque chaque problĂšme, en France, ressortit dĂ©sormais de cette pathologie).
Par exemple, nous l'avons dit, est ''catch 22'' tout Ă©tudiant qui postule Ă un premier emploi pour lequel on demande ''5 ans minimum d'expĂ©rience professionnelle'' : pas question d'avoir l'emploi s'il n'a pas cette expĂ©rience, mais impossible d'avoir l'expĂ©rience s'il n'a pas l'emploi,. Ne riez pas en disant que ''je pousse le bouchon'' : notre monde soi-disant si Ă©voluĂ© est menĂ© --Ă sa perte-- par des gens pleins de diplĂŽmes inutiles, qui invoquent sans cesse des principes vides de tout sens, jusquâĂ dĂ©border d'exemples oĂč on ne peut Ă©chapper Ă une situation paradoxale oĂč la solution au problĂšme ne peut ĂȘtre autre que... la cause de ce problĂšme. L'exemple le plus frĂ©quent, ces temps derniers, se trouve Ă©videmment dans les deux impossibilitĂ©s sans cesse brandies par le chef de l'Etat : ''quoi qu'il en coĂ»te''... et ''et en mĂȘme temps''. On a vu les drames que cela entraĂźne... et on n'a pas fini d'en souffrir, avec l'Ukraine... ou avec les 64 ans de travail qui en sont 43 sauf dans les cas oĂč etc... Personne ne sait plus Ă quelle sauce il sera mangĂ©... ni par qui !
Ces exemples font comprendre que, outre des situations, des individus peuvent Ă©galement devenir des ''catch 22'' : irrĂ©cupĂ©rables, irrĂ©conciliables, qui croient voir ce qu'ils ne voient pas... ce qui est donc non-miscible avec les descriptions des mĂȘmes situations... revues, dĂ©formĂ©es et rendues incomprĂ©hensibles par ceux qui se sentent ''le droit de parler'' (journalistes, hommes politiques, intellectuels --de gauche, cela va de soi ! Les autres sont, juste, niĂ©s !) alors que câest eux qui nâont rien compris et qui ferment toutes les portes avant mĂȘme de savoir oĂč elles sont !Â
Quelques exemples exemples d''homo-catch22'' ? Philippe Murray, George Orwell, Arthur Koessler, Albert Camus... mais aussi Salman Rushdie, Alain Finkelkraut ou Pascal Bruckner, voire mĂȘme un Jacques Julliard, sans oublier les soignants et les pompiers non vaccinĂ©s... tous impossibles Ă classer dans les ''cases'' habituelles et convenues, câest-Ă -dire la marĂ©e mĂ©prisĂ©e de ceux qui sont honnis par les dix-mille ''sachants'' mais adorĂ©s par une grande partie des gens ''normaux'',  tous dotĂ©s d'une pensĂ©e claire mais qui n'a le droit, par principe, de ne dĂ©boucher que sur... rien... puisque ils sont rejetĂ©s par ceux qui se trompent et les trompent (en gros : le pouvoir et les instances officielles). Dans le monde politique, on citerait Jean-Marie lePen ou Eric Zemmour, mĂ©connus, conspuĂ©s... au motif qu'ils ont raison sur Ă peu prĂšs tous les points dont ils parlaient, en refusant tout compromis /compromission...
''Etre catch 22'', c'est ou ce serait donc ĂȘtre capable de ne rien dire, faire ou penser qui soit un tant soi peu conforme au discours ambiant, Ă cette doxa gaucho-progressiste qui ne peut dĂ©boucher que sur des catastrophes, aux idĂ©es (?) du courant ''main stream'' et, bien entendu, Ă tout le fatras conceptuel qui ravage le monde devant nous, jour aprĂšs jour, sous des noms qui changent au courant des modes (en ce moment, ce sont les mortels ''woke'', ''racialisme'' et ''cancel culture'' qui dĂ©truisent tout bonheur possible. et toute vie en sociĂ©tĂ©). Une diffĂ©rence majeure avec tous les ravages prĂ©cĂ©dents est que la puissance de nos outils de communication permet de craindre que cette Ă©niĂšme tentative de tout dĂ©construire soit, finalement, la bonne... c'est Ă dire la pire, celle sur laquelle on ne revient pas.
Il est Ă©vident que je n'aurais pas lâoutrecuidance d'avancer une idĂ©e aussi dĂ©finitive si d'autres ne l'avaient pas exprimĂ©e avant moi, des ''autres'' dont l'intelligence, la culture et le savoir permettait de mettre en garde l'HumanitĂ© contre les dangers qui la menacent. J'ai, pour mon plus grand bonheur, passĂ© des heures Ă©blouissantes avec mon ami Jean Raspail, avec Jean FourastiĂ©, mon maĂźtre aux Hautes Etudes et avec Bertrand de Jouvenel Ă ''The Innovation Group'' et meublĂ© mes loisirs en compagnie (virtuelle, par livres interposĂ©s, mais intense) de Jean-François Revel, de Pierre-Paul GrassĂ©, Pierre Chaunu, Jean-Emile Charon, ou Raymond Aron âdont Evelyne fut la collaboratrice-- mais aussi de Toqueville ou Joseph de Maistre et tant d'autres ''tĂȘtes bien faites'' Ă qui je dois tant... et dont je dĂ©plore que leurs hĂ©ritiers, un Zemmour ou un Houellebeck..., nâaient pas, ou pas encore, l'intensitĂ©, la dimension' et la ''vista'' de leurs grands anciens : n'est pas ''catch 22'' qui veut !
Pourquoi ai-je Ă©prouvĂ© le besoin fort de partager avec vous ces quelques instants de nostalgie dans lesquels m'a fait tomber la relecture de quelques paragraphes des ''Souvenirs'' de Toqueville, oĂč il invente le mot superbe de ''despotisme dĂ©mocratique'' qui rĂ©sume parfaitement le faux dilemme qui nous tue Ă petit feu, nous mettant dans la posture de la grenouille qui, chauffĂ©e lentement, ne se rend compte qu'elle est foutue que lorsqu'elle n'a plus la force de sauter hors de la casserole (NDLR : nous en parlions rĂ©cemment : ''on'' nous raconte de toute part que nous serions encore en dĂ©mocratie, au nom de quoi ''on'' nous impose des contraintes inacceptables. Nous vivons dans une ''dĂ©mocratie liberticide'' qui nous interdit de rĂ©aliser comme nous sommes tombĂ©s bas, et nous anesthĂ©sie... ).
Et un souvenir en appelant un autre, j'ai ressorti de ma mĂ©moire ce ''Catch 22'' qui permet de se rendre compte qu'il y a trĂšs longtemps que des miasmes purulents rongent notre bel Ă©difice, et que nous n'avons rien vu venir... ou si peu.  C'est notre cĂ©citĂ© qui fait que notre rĂ©veil doit ĂȘtre Ă la hauteur des dĂ©fis qui nous sont lancĂ©s. Attendre ne servirait Ă rien qu'Ă nous rapprocher d'une fin qui n'est peut-ĂȘtre pas inĂ©vitable... mais qui semble bien avancĂ©e, hĂ©las. Il faut regretter que ''Catch 22'' n'ait pas eu, en France, le succĂšs quâi mĂ©ritait !
H-Cl.
PS â La courte interruption due au deuil qui m'a non pas frappĂ© mais ''mis KO debout'', n'a Ă©tĂ©, en fin de compte que l'annonce de la ''trĂȘve estivale'' qui, chaque annĂ©e, met ce Blog entre parenthĂšses pour vous laisser profiter pleinement de vos vacances, sans venir ressasser que l'Ă©poque est triste, le futur glauque, l'avenir bouchĂ© et nous ''mal barrĂ©s''... Je vous propose donc, comme chaque annĂ©e, de ne plus faire paraĂźtre nos ''Ă©ditoriaux'' qu'une fois par semaine (sauf nĂ©cessitĂ©), et de nous retrouver, rituellement, le 6 septembre âc'est un mercredi--, si Dieu le veut... Je vous souhaite, du fond du cĆur, de superbes vacances... ''A PLUS'' !
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Au nom d'un dieu un attentat odieux - David Frenkel
En mémoire d'autres drames, comme celui d'Annecy
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Au nom d'un dieu, un attentat odieux
En mĂ©moire d'un homme dĂ©capitĂ© dans le Val-d'Oise au cri de « Allahu Akbar » 16 octobre 2020 Au nom d'un dieu que l'on n'a jamais vu, qui ne nous a jamais Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©, certains commettent des monstruositĂ©s. Ils ont crĂ©Ă© le dĂ©miurge Ă leur image pour assouvir leurs bas instincts. Que le ban et l'arriĂšre ban de l'humanitĂ© se soulĂšvent contre les assoiffĂ©s de sang qui tuent des innocents. En enseignant la tolĂ©rance dans les Ă©coles, un professeur ignorait que le halo ensanglantĂ© du martyr tant vantĂ© allait le recouvrir et le faire mourir. Sus Ă une certaine religion dont la hiĂ©rarchie modĂ©rĂ©e n'a pas le courage de se dĂ©marquer officiellement dâun fanatisme bien marquĂ©. Humains, libĂ©rons-nous de cette foi qui castre notre diversitĂ©. Si la nature brille par sa variĂ©tĂ©, pourquoi les hommes ne pourraient-ils pas resplendir dans la diversitĂ© des croyances ? Alors, crions haro sur les maĂźtres penseurs qui brandissent la chimĂšre d'un paradis pour entraĂźner une jeunesse Ă accomplir des actes maudits. Mais de grĂące ne faisons pas d'amalgame en mettant les prĂ©dications mĂ©phistophĂ©liques uniquement sur le dos de l'Islam. Les manipulateurs et les faiseurs de haine n'ont pas besoin de sauter sur l'aubaine religieuse pour promouvoir la rancĆur contagieuse. L'histoire nous a appris qu'une simple thĂ©orie raciale peut provoquer un gĂ©nocide au retentissement mondial.  David Frenkel Read the full article
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L'aubaine de la semaine : Un vin rouge savoureux du sud de la France
Depuis les trois derniĂšres dĂ©cennies, les vignobles du Languedoc-Roussillon et ses 23 appellations exhibent un niveau qualitatif grĂące Ă une gĂ©nĂ©ration de jeunes vignerons au savoir-faire dynamique. Par Janine Saine Entre mer et montagne, dotĂ© dâun climat mĂ©diterranĂ©en avec hivers doux et Ă©tĂ©s secs et chauds, cet immense vignoble mĂ©ridional offre une palette diversifiĂ©e de vins blancs, rouges,âŠ
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«Ce n'est pas pour tout de suite. DĂ©solé»: depuis le WEF, Borrell annonce aux EuropĂ©ens quâil vont devoir continuer (longtemps) Ă payer pour lâUkraine
ConvoquĂ© dans lâantre du pouvoir mondialiste, le chef de la diplomatie a livrĂ© sa sentence aprĂšs une analyse de haute volĂ©e:
«[Les Ukrainiens] ne savent pas quand Poutine arrĂȘtera cette guerre, car c'est lui qui l'a commencĂ©e. Je crains qu'il n'attende les Ă©lections amĂ©ricaines.»
Je sais que c'est une question difficile,et beaucoup de gens pourraient dire, eh bien, pendant combien de temps devrons-nous dépenser autant d'argent?
«Nous devons continuer à le faire», poursuit-il, glissant incidemment qu'il n'était plus question de gagner la guerre mais simplement de permettre aux Ukrainiens de résister jusqu'à ce que Poutine se lasse.
De son cÎté, Zelensky a bien senti l'aubaine, poussant Washington (https://tass.com/world/1781967) à «s'engager sur le papier à des niveaux concrets de soutien pour cette année et pour les dix prochaines années».
«Il s'agira d'un soutien militaire, financier et politique, ainsi que d'une production conjointe d'armes.»
Et de quoi construire quelques villas.
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https://waterbluespaservice.ch/decouvrez-pourquoi-la-couverture-de-spa-est-importante-raison-dinvestir/
DĂ©couvrez pourquoi la couverture de spa est importante - Raison d'investir
La couverture pour spa est indispensable lorsque la baignoire n'est pas utilisée. Si vous envisagez déjà d'en acheter une, c'est le meilleur moment pour profiter de l'aubaine et protéger votre spa contre l'obstruction ou les dommages causés par les rayons ultraviolets.
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Lovely RĂą
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RescapĂ©s de la nuit, les gĂ©ants d'ombres frĂ©missent dĂ©jĂ de leur trĂ©pas annoncĂ©. Frayant son passage entre les feuilles, il s'Ă©tend, s'Ă©tire, s'Ă©chauffe avant de prendre possession des lieux. Les branches inventent une rĂ©vĂ©rence, l'activitĂ© s'intensifie entre les brins d'herbes, Ă la surface de l'eau et dans ce ciel qui ouvre le rideau pour une nouvelle reprĂ©sentation. Sa MajestĂ© est. Son Altesse resplendit, contemple le royaume de ses faits et gestes, de ses exploits, de ses miracles quotidiens et lui sourit, bras grands ouverts comme on chĂ©rit ses enfants. L'accolade est pourtant de courte durĂ©e et les ombres en sursis disparaissent soudain, tout s'Ă©teint, tout se fige quand de gazeux impĂ©trants osent se prĂ©senter devant le monarque sans s'annoncer; la rosĂ©e des cieux s'invite aussi, profitant de l'aubaine. Sur son trĂŽne, maussade et impassible, Sire prend son mal en patience. Le siĂšge ne durera pas et bientĂŽt, il rĂšgnera Ă nouveau comme depuis la nuit des temps et le premier jour qui la suivit. Il est tout. Il attend. Il sait. Il luit. Peu Ă peu, il Ă©carte les intrus, un par un, il sĂšche les larmes du ciel de la chaleur du pĂšre, il rĂ©concilie les ombres et les ĂȘtres sylvestres, minĂ©raux, humains. Il revient. Il est lĂ .
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1 an + 30
J'ai 1 an et j'observe tous les grands s'agiter
Quelques pleurs, pas de verve mais je dois cogiter
Je me forge, j'imagine un futur décisif
Deux grands frÚres, pas d'frangine un costaud un chétif
J'ai 6 ans, je m'exprime pas qu'un peu, je suis pitre
Ăa rigole sans dĂ©prime je suis clown, c'est mon titre
J'ai 10 ans, j'ai perdu mon chien, mon protecteur
Mon moral est foutu comme mon Ăąme et mon cĆur
Je m'ennuie tout Ă coup, je suis triste, en colĂšre
Tu me manques mon chien loup et notre humeur sincĂšre
J'ai 13 ans, un rebel, cheveux longs, révolté
Je crache sur ceux et celles qui font autorité
J'ai 16 ans, et je suis amoureux, romantique
Sur ma moto je fuis, un peu mélancolique
J'ai coupé mes cheveux mais pas mes idéaux
Je me crois ténébreux je me sais pas si beau
Je compense en humour j'ai aiguisé ma verve
Je suis en mal d'amour il faudrait que j'observe
A 20 ans pas sérieux mais je me sens en cage
Je le vois dans mes yeux mon miroir en message
22 ans je pars, je laisse derriĂšre moi
L'envie d'un vrai départ d'autres premiÚres fois
Je pose maux et langue et c'est la fin d'un monde
Le début d'un big bang dont je mesure les ondes
Quelques années s'enchaßnent et je me réinvente
En brisant quelques chaĂźnes en comptant les passantes
Mon cĆur reprend son rythme mon Ăąme est Ă©coutĂ©e
L'esprit par mimétisme se range à ses cÎtés
L'ego un peu sonné commence un chant du cygne
Dont l'écho raisonnait quand fierté se résigne
Et de ce tĂȘte Ă tĂȘte personnel esseulĂ©
Est partie la tempïżœïżœte, un peu dĂ©boussolĂ©e
24ans je rencontre une Ăąme Ă cajoler
J'y noyais mes yeux contre elle prĂȘt Ă m'envoler
J'ai demandé sa main pour mieux tenir la mienne
J'ai offert mon demain, que mes envies soient siennes
Et puis on s'est dit oui comme ça se fait, je crois
Depuis ce que je suis ressemble plus Ă moi
Je me découvre encore, comme à 1 an à peine
Chaque jour est alors l'occasion et l'aubaine
De grandir d'avantage et d'Ă©crire mon histoire
J'ai tourné quelques pages pris des échappatoire
A l'aube de mes 30 ans, j'envie ceux Ă venir
Et j'espĂšre pour longtemps me savoir devenir
Et ne jamais finir. Un Ă©ternel enfant
Qui aurait su vieillir sans figer pour autant.
Et puis l'année d'aprÚs, un nouveau mouvement
M'a été présenté et ma fille a un an
Et sa mÚre s'est barrée et que la vie est belle
Nous on va se marrer et ta mĂšre reste belle
Alors au 30 prochaines années
Tu vas Ă©crire et tu vas vivre
Tu vas essayer et glaner
Je suis la préface à ton livre !
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Qu'est-ce que l'homme, si le bien suprĂȘme, l'aubaine de sa vie est uniquement de dormir et de manger ? ⊠Une bĂȘte, rien de plus. - shakespeare ( Hamlet)
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Un peu de piquant dans la vie !
Tiens tiens ! V'là ma p'tit' boul' hérissée de piquants qui apparaßt !
Chaque annĂ©e, Ă la mĂȘme Ă©poque, ces roules-ta-boule au nez pointu, furtifs et affairĂ©s, viennent fureter dans mon jardin, croquant de-ci ... de-lĂ ... limaces et escargots qui se goinfrent, profitant de l'aubaine, dans mon potager. Et rien n'Ă©chappe aux deux petits boutons noirs et brillants qui leur servent de mirettes.
J'ai bien l'aide de Mesdames les Taupes mais quel bouleversement aprĂšs leur razzia ! Un vrai champ de mines ! Elles font plus de mal que de bien Ă mes lĂ©gumes Ă labourer la terre comme des forcenĂ©es ! Quant Ă ma pomme, aprĂšs leur passage, plus moyen d'ouvrir une chaise longue ou de monter sur un escabeau sans disparaĂźtre au pays des taupes, crevant le plafond de quelques galeries insoupçonnĂ©es ! Je ne connais pas ce qui fait trottiner mes visiteurs saisonniers : d'oĂč viennent-ils ?  OĂč vont-ils ? quels itinĂ©raires suivent-ils ? Des chemins connus d'eux seuls ou bien vadrouillent-ils au hasard ...  sans but prĂ©cis ... ? Sont-ce eux qui se frayent des passages dans mon grillage ? J'ai beau pĂ©tasser, les portes sont aussitĂŽt rouvertes sur le chemin de la libertĂ© ! Ils ne me le diront pas mais peu importe, qu'ils continuent, obstinĂ©ment, leur vie de hĂ©rissons, c'est tant mieux. Souhaitons leur BONNE CHANCE et laissons-les repartir Ă leurs affaires vers leurs horizons inconnus du commun des mortels.
Parfois, au printemps, au grand nettoyage, entre l'Ă©quinoxe de printemps et la fĂȘte de Beltaine, en rangeant mon bois - ratissant les feuilles - m'occupant du compost ... je tombe sur un roulĂ©-boulĂ© profondĂ©ment endormi.Â
Cette année ce fut une merveilleuse surprise de découvrir toute une petite famille bien pelotonnée au chaud, nullement dérangée par mon arrivée intempestive dans mon sweet garden devenu provisoirement leur sweet home !
Vite ... remettre tout en dĂ©sordre en attendant le rĂ©veil de ces gros dormeurs. Et souhaitons leurs de beaux rĂȘves, pleins de cagarols et de limaçons.
Floflo
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15- LE VIOL
J'ai été violé à l'ùge de 17 ans mais miraculeusement je ne souffre d'aucun traumatisme.
Je descends sur la cĂŽte avec Nathalie et une tente de quatre places; Ò«a pĂšse 30 kilos, c'est une horreur mais on a chacun sa chambre. Nous faisons du camping Ă Saint-RaphaĂ«l, je veux seulement me baigner et rester sur la plage. Il fait beaucoup trop chaud pour Nathalie, elle reste Ă l'intĂ©rieur de la tente et je ne comprends pas, il fait encore plus chaud sous la tente. Je dĂ©couvre Saint-Tropez, si on part l'aprĂšs-midi pendant que les gens sont Ă la plage, on peut faire les 40 kilomĂštres en stop en juste un peu plus d'une heure. Si on tombe dans les bouchons, Ò«a peut durer 4 heures. Une fois lĂ -bas, j'ai une dizaine d'heure pour trouver avec qui dormir la nuit; la plage de la Ponche, ce n'est pas trĂšs confortable.
Nathalie ne veut pas aller Ă Saint-Tropez, elle rentre Ă Paris et je suis bloquĂ© Ă Saint-RaphaĂ«l, avec une tente qui pĂšse une tonne. Tout seul Ă Saint-RaphaĂ«l, non merci, tout le monde m'attend Ă Saint-Tropez. Mes vacances sont donc ponctuĂ©es d'auto-stop entre mon camping et les joies exclusives tropĂ©ziennes. Je deviens un pro du stop; les stations services, les postes de pĂ©ages, le contact visuel (jamais de lunettes de soleil), le sourire et l'allure avenante, je maitrise trĂšs vite tous les codes d'un transport rapide et trĂšs Ă©conomique. Le stop au dĂ©but des annĂ©es 80 reste trĂšs connotĂ© hippie, mais n'est pas encore considĂ©rĂ© comme dangereux. Je suis joli et propre sur moi. De trĂšs belle voitures s'arrĂȘtent avec plein de gens intĂ©ressants, le stop c'est quand mĂȘme plus excitant que le bus. J'invente des moyens pour refuser les voitures trop lentes, j'ai le choix et pas de temps Ă perdre.
Un jour, de retour Ă Saint-RaphaĂ«l, une moto s'arrĂȘte. Le type est vraiment pas sexy, en jeans sales et en gilet de cuir et pue la transpiration mĂ©langĂ©e Ă l'huile de moteur. Il enlĂšve son casque, ses cheveux sont mal coiffĂ©s et gras. Il n'a pas de casque pour moi mais il peut me rapprocher. Il va retrouver sa copine, et c'est sur sa route. La moto, c'est l'aubaine, c'est vraiment le transport le plus rapide sur la cĂŽte. Je suis malhabile, quand la moto se penche je dois me pencher avec. J'ai toujours le reflexe de faire le contraire, je ne suis pas rassurĂ©. Ce mec a une odeur toxique, il fait chaud mais quand mĂȘme. Nous dĂ©passons toutes les voitures, je me penche Ă droite, je me penche Ă gauche, si je serre le type vraiment fort, Ò«a devient trĂšs simple de suivre ses mouvements. C'est trĂšs grisant, je suis en confiance, j'ai le cuir du gilet du mec dans mes bras et je crois qu'il commence Ă faire des figures de style exprĂšs pour m'impressionner. Je rigole Ă chacun de ses exploits, son odeur ne me dĂ©range plus, j'entends la moto pĂ©tarader et tout d'un coup, il dĂ©noue mes mains l'une de l'autre sur son ventre pour me poser la main droite sur son entrecuisse. Je suis un peu surpris, mais sa queue est bien dure et son paquet est Ă©norme. Je dĂ©boutonne le premier bouton de son jean et faufile ma main dans son slip, ses couilles  baignent dans la sueur et sont gigantesques. Nous continuons notre chevauchĂ©e fantastique sur la route encombrĂ©e et je suis tentĂ© de mettre ma main sous mon nez pour respirer son odeur intime. J'ai un peu peur, je ne vais pas le lĂącher comme Ò«a. Il me crie qu'il peut me dĂ©poser jusqu'Ă mon camping,  ҫa ne se refuse pas, pour le remercier je l'invite Ă l'intĂ©rieur de ma tente. Il est beaucoup plus tendre que je pensais, quel moment excitant! Je pense que c'est ce genre de moments qui m'a permis de relativiser d'autres nettement moins agrĂ©ables.
C'est quoi le viol exactement? Techniquement c'est la pĂ©nĂ©tration d'une victime non consentante au moyen de la violence. Bon, techniquement, je n'ai pas Ă©tĂ© violĂ©. Je me demande toujours quelle peut ĂȘtre la motivation d'un viol. Est-ce seulement le dĂ©sir sexuel ou alors le besoin de soumettre un autre et de dĂ©montrer sa supĂ©rioritĂ© physique. Une victime qui ne se dĂ©bat pas perd-elle son intĂ©rĂȘt pour certains violeurs? Que c'est lamentable! Je n'ai aucun complexe d'infĂ©rioritĂ©. je me demande des fois si je n'ai pas un complexe de supĂ©rioritĂ©. Je n'ai rien Ă prouver intellectuellement et encore moins physiquement. Je veux simplement ĂȘtre une personne sociale, je me mets au niveau des gens autour de moi, je veux communiquer.
Un autre jour, je suis dĂ©jĂ en retard, j'ai promis d'ĂȘtre Ă 17 heures au SĂ©nĂ©quier, et mon conducteur me dit qu'il veut pisser, il va passer par les petits chemins. Pourquoi ne s'arrĂȘte-t-on pas au bord de la route? Je ne peux pas rester dans la voiture pendant qu'il pisse?? Non, je ne veux pas pisser. Je ne veux pas me mettre Ă l'aise et qu'il me laisse tranquille. Je me demande ce qu'il ce serait passĂ© s'il avait Ă©tĂ© gentil. La beautĂ© n'est pas essentielle pour moi dans le sexe, j'aime ĂȘtre dĂ©sirĂ©, j'aime ĂȘtre surpris. La gifle m'a surpris mais vraiment pas excitĂ©. Il est malade ou quoi? je veux retourner dans la voiture et les portes sont fermĂ©es. La deuxiĂšme gifle arrive, je le repousse violement, nous nous battons sur le sol. Il est lĂ©gĂšrement plus fort que moi, mais je n'ai pas dit mon dernier mot. Il y a un peu de sang, il y a de nombreux coups et finalement il y a cette guĂȘpe. Je me fais piquer Ă la jambe et Ò«a brĂ»le tellement que ma dĂ©fense se relĂąche. Je me fais piquer une deuxiĂšme fois au bras et lĂ j'abandonne. Il veut me sucer, qu'il me suce! Mon pantalon blanc, mon Lacoste blanc sont ruinĂ©s, couverts de poussiĂšre. Cet individu abject ouvre ma braguette ... et la sienne. Je veux vomir.
J'arrive beaucoup trop tard au SĂ©nĂ©quier et tout le monde se demande ce qu'il m'est arrivĂ©, j'ai l'air d'un hippie. "Je suis tellement bĂȘte, je suis aller pisser et j'ai glissĂ© dans une crevasse; le mec qui m'avait pris en stop ne m'a pas attendu, je suis dĂ©solĂ©"
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âLa misiĂłn . . . no es la aplicaciĂłn de una ciencia ni la expansiĂłn de una secta. Lo que es externo a la secta le es externo y, por lo tanto, hay que ignorarlo, suprimirlo o absorberlo. Lo que es externo a la Iglesia le es tambiĂ©n interno, porque lo externo a la Iglesia ha sido creado por la propia cabeza de la Iglesia. El ateo tambiĂ©n es una palabra de Dios: no por lo que afirma, sino por lo que es; el hermano musulmĂĄn tambiĂ©n es hermano de Cristo, no por lo que cree, sino por lo que cree el cristiano [âŠ]
De ahĂ que toda la expansiĂłn de la Iglesia sea ante todo una escucha: no una escucha psicolĂłgica como la de los asistentes sociales o la de los malos samaritanos que, en lugar de buscar las heridas y sanarlas, se conforman con acariciarlas y hablar de ellas. Se trata de escuchar a Cristo que estĂĄ actuando ya en cualquier vida (una vida que, por lo tanto, deja de ser una vida cualquiera) con un estilo y un grado de articulaciĂłn distintos segĂșn las culturas.
Si el partido se extiende mediante la anexiĂłn, la Iglesia crece mediante la acogida de un misterio del que va siempre precedida («IrĂĄ delante de vosotros a Galilea» Mt 28, 7). Si el propagandista de partido se impone mediante la conquista, el misionero de Dios se expone mediante la contemplaciĂłn: busca al Salvador que ya estĂĄ presente en el exterior, en el extranjero, en el indiferente, aunque de manera oculta, y que exige tambiĂ©n ser desvelado y conducido a la medida de la plenitud de Cristo (Ef 4, 13).â
â Fabrice Hadjadj: La suerte de haber nacido en nuestro tiempo [Lâaubaine dâĂȘtre nĂ© en ce temps; trad. Gloria Esteban]
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Dictature ? Vous avez dit ''dictature'' ?
Devant le reproche cent, mille fois fait ces temps derniers que ''la France serait en train de sortir de la forme de démocratie à laquelle nous sommes habitués'', ce qui est indiscutable pour qui ne vit pas séparé du peuple par des cohortes de CRS surarmés et des hurlements de sirÚnes stridentes (et entouré d'iso-Benalla, le mensonge toujours à portée de main), notre Président-déconnecté a piqué une grosse colÚre, frappant l'air derriÚre les micros, en pestant : ''nous ne sommes pas (encore ?) dans une dictature''. Ce qui, bien sûr, n'est pas (encore ! -bis) le sujet !
Il y a peu, dans un ''billet'' qui fĂȘtait ''le numĂ©ro 1000'' de ce Blog, j'Ă©crivais : le fait que, seul contre tous, le PrĂ©sident se sente encore dans une vraie dĂ©mocratie n'engage que lui : c'est une question de âoĂč on place le curseurâ'. Il faut donc lui rappeler que, entre ''sortir de la dĂ©mocratie'' et ''vivre dans une dictature'', il y a... le mince espace qui nous sĂ©pare encore de ces deux expressions : la critique qui lui est faite est qu'il conduirait la France vers une sortie de la dĂ©mocratie afin de mieux y instaurer une dictature, fut-elle ''soft'', et qui est dĂ©jĂ parmi nous. S'il n'a jamais entendu parler de la ''dictature intellectuelle'' qu'a si longtemps exercĂ© la Gauche, pour le plus grand mal de la France... et dont il a pris le relais avec la fougue propre Ă son Ăąge, il faut vite lui en parler pour qu'il ne meure pas idiot !
Lorsque l'on parle de ''dictature'', les rĂ©fĂ©rences sont ''1984'' et ''La ferme des animaux'', de George Orwell, sur l'atroce dictature communiste, Mais Orwell y trace Ă©galement les grandes lignes de ''LA Dictature'' en tant que ''phĂ©nomĂšne qui peut renaĂźtre de ses cendres'' en employant des moyens divers, mais nombreux, tels que  la diminution des libertĂ©s (et, pire encore, de la LibertĂ©), l'appauvrissement de la langue, une redĂ©finition du mot ''vĂ©ritĂ©'', la rĂ©Ă©criture de l'Histoire (voire sa suppression), la nĂ©gation des vĂ©ritĂ©s Ă©ternelles de la ''Nature'' (rien Ă voir avec la mĂ©tĂ©orologie-au-jour-le-jour que les cuistres ont rebaptisĂ©e ''Ă©cologie'' ou ''COÂČ''), et propager la haine entre les citoyens... En regardant ce qu'est devenue notre pauvre France, je me demande comment on peut Ă©viter de se sentir concernĂ©Â !
En ce qui me concerne, moi, j'ai en permanence l'impression que mon pays n'est dĂ©jĂ plus tout-Ă -fait dĂ©mocratique, entre le ''flicage'' perpĂ©tuel des radars sur routes et en ville, les millions dâeuros dĂ©pensĂ©s en matĂ©riels sophistiquĂ©s qui traquent la moindre infraction au stationnement... le croisement des fichiers fiscaux, mĂ©dicaux et sociaux (facebook) entre eux et avec tous les autres... les interdictions qui frappent la voiture, la circulation, la nourriture, l'argent, le temps, l'air qu'on respire ou les valeurs morales (confisquĂ©es par le ''progressistes'' qui en ont fait une foire aux bestiaux)... avec l'interdiction de ceci et cela, partout, en augmentation exponentielle, et aussi la diminution ininterrompue des libertĂ©s individuelles dans tous les domaines (l'Etat-LĂ©viathan ayant sautĂ© sur l'aubaine du rĂ©chauffement climatique pour Ă©tendre son emprise sur absolument tout ce qui bouge... ou pas !)Â
Ou les tripatouillages des rĂ©sultats des Ă©lections (NDLR : Un grand Merci, MM. les Conseillers d'Etat !), la gĂ©nĂ©ralisation d'un ''Novlangue'' qui ramĂšne le vocabulaire Ă des mots sans dĂ©finition qui obscurcissent des concepts foireux (''Un pĂšre, a osĂ© dire le chef --qui a un problĂšme avec ça-- n'est pas forcĂ©ment de sexe masculin''... DONC, ce n'est pas un pĂšre, dont la seule dĂ©finition connue est : ''Parent de genre masculin d'un enfant. L'Ă©quivalent pour dĂ©signer un parent de genre fĂ©minin est la mĂšre'' ! -CQFD)... la toute-puissance de l'Administration en gĂ©nĂ©ral et de la Justice en particulier (nous en parlions hier), sans oublier lâaffreuse idĂ©ologie ''gaucho-bobo-soft-repento-pleurnicho-commĂ©mo-islamo-cool-zen-Ă©colo'' qui est enseignĂ©e dans nos Ă©coles, avec interdiction de tout dĂ©saccord ou de toute critique...
Et je n'ai pas l'impression de rĂȘver, non plus, quand je constate que les mĂ©dias sont ''aux ordres''... qu'un ''faux rĂ©el'' fabriquĂ© devient la vĂ©ritĂ© officielle (exemple : ''la culture française nâexiste pas'', ou : ''le colonialisme français en AlgĂ©rie est lâĂ©quivalent de la Shoah'' --aux chambres Ă gaz et aux six millions de morts prĂšs, tout-de-mĂȘme !)... que toute pulsion de vie est en voie de dĂ©sorganisation complĂšte, Ă travers la confusion sexuelle quasi-obligatoire et des manipulations gĂ©nĂ©tiques, obstĂ©triques et chirurgicales (remboursĂ©es, puisque nĂ©fastes), le tout Ă©tant rĂ©putĂ© ''mĂ©dicalement assistĂ©'' (et offert par une Sec-Soc qui n'a plus un sou pour soigner les vraies maladies de ses nationaux)... sans oublier l'assassinat de ''la Famille'', la seule cellule qui a toujours fonctionnĂ©, et celui, lĂ©galement acceptĂ©, de millions de ''bĂ©bĂ©s-en-puissance'' dĂ©sormais appelĂ©s ''gamĂštes'' par une ministre ivre d'admiration devant sa propre nullitĂ©... ou aussi la psychiatrisation de toute pensĂ©e critique, l'invention d'ennemis fantomatiques (les fake news, les populistes, les conservateurs, les retraitĂ©s) et la nĂ©gation des vrais dangers (l'islam, les migrations invasives, le progressisme, la dĂ©christianisation de lâEurope)... ou une relecture mensongĂšre de l'Histoire (une spĂ©cialitĂ© du macronisme au crĂ©puscule).
La liste est interminable, mais elle semble se sublimer elle-mĂȘme dans quelques constatations qui font mal : le formatage caricatural de tous les enfants... la mise au pas d'une opposition ramenĂ©e a un rĂŽle de ''faire-valoir'' (ex. : Marine lePen est une fasciste, soi-disant ''Ă tuer''... mais surtout Ă bichonner en vue du second tour de la ''PrĂ©sidentielle''!)... le rĂšgne du mensonge d'Etat (une spĂ©cialitĂ© de Castaner, qui a Ă©tĂ© mis Ă ce poste pour cette raison), ou le fait de ne gouverner qu'avec des clones (Philippe), des cuistres (Buzyn), des dangers publics (Schiappa) ou des nullitĂ©s (tous les dĂ©putĂ©s ''En Marcheââ) pour que rien ne vienne ralentir la marche en avant... vers le recul brutal de leurs victimes, ainsi rendues dociles, conformistes et mallĂ©ables. Il est exact que la France n'est pas (encore) dans l'horreur de ''1984'â. Mais quand on bricole la filiation au profit de la reproduction artificielle, et quand une loi humaine (plutĂŽt inhumaine !) prĂ©tend remplacer le principe biogĂ©nĂ©tique naturel, aussi vieux que lâhumanitĂ©, par une inversion normative de la procrĂ©ation sexuĂ©e... on peut, on doit se demander qui se fout de la gueule de qui...Â
Pour ĂȘtre honnĂȘte, il faut dire qu'Emmanuel Macron ne fait que prendre place dans la liste des prĂ©sidents qui ont contribuĂ© Ă ce triste Ă©tat des choses depuis quatre dĂ©cennies, de Mitterrand post-1983 jusqu'Ă Macron 2020 en passant par Chirac et Hollande (et mĂȘme Sarkozy, un peu). On retrouve une politique constante, celle de Maastricht et de l'Europe des technocrates... Le ''choix'' (?) qui nous est proposĂ© Ă chaque ''prĂ©sidentielle'' nâest en rĂ©alitĂ© que celui d'un changement d'homme, de style, de tempĂ©rament, de caractĂšre ou dâallure, et Ă la rigueur de ''first lady'', de la dĂ©licieuse Carla Ă l'envahissante Brigitte... mais pas de changement de politique.
Nos prĂ©sidents appellent ''un changement'' chaque virgule qui devient point virgule, et parlent de ''progrĂšs'' Ă propos du ''serial killing'' de bĂ©bĂ©s Ă naĂźtre ou la location des utĂ©rus de femmes pauvres. Ce systĂšme traite de fasciste quiconque pense que ces rĂ©gressions sont tout, sauf des ''progrĂšs'', mais ''en mĂȘme temps'', il encense un Pierre BergĂ©, ce rĂ©pugnant ami de Mitterrand qui a votĂ© Chirac, soutenu DelanoĂ« puis Hidalgo et financĂ© SĂ©golĂšne Royal, avant de dĂ©clarer son amour Ă Macron et qui disait : ''Louer son ventre pour porter les enfants des autres, câest la mĂȘme chose que louer ses bras dans une usine ou aux caisses dâun supermarchĂ©''.
Dans sa grosse colĂšre contre ceux qui redoutent une ''soft-dictature'' (cf. la loi ''Avia'' !), Macron a jetĂ©Â : ''Mais allez-y ! Essayez la dictature et vous verrez ! ''⊠alors que c'est justement pour arrĂȘter ''En Marche'' avant qu'il ne soit trop tard que la France entiĂšre est dans la rue, Ă l'arrĂȘt, sur les ronds-points, en colĂšre, au bord de la violence : elle n'en peut plus de ces ââprogressistes rĂ©gressifsââ qui, si on les laisse faire, nous prĂ©parent un effroyable enfer terrestre qu'ils appellent ''paradis''...
H-Cl.
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Mercato 2022 : Le 11 type des recrues les plus chĂšres.
Les prix des transferts ont flambĂ© ces derniĂšres annĂ©es. Nous sommes de plus en plus confrontĂ© Ă des sommes astronomiques pour acquĂ©rir un joueur. Ă l'heure actuelle, il n'y a pas eu beaucoup de recrutements coĂ»teux. Mais presque tous ont Ă©tĂ© effectuĂ©s par des clubs de Premier League. Gardien de but : Gavin Bazanu (Manchester City Ă Southampton, 15MâŹ) Cela montre bien l'aubaine que Newcastle United a fait en recrutant Nick Pope. Southampton a payĂ© plus cher pour un gardien qui fera ses dĂ©buts en Premier League cette saison. DĂ©fenseur central : Nayef Aguerd (Stade Rennais Ă West Ham, 35MâŹ) Ce chiffre sera probablement dĂ©passĂ© plusieurs fois cet Ă©tĂ© (par Chelsea et Manchester United pour commencer) mais pour l'instant, c'est une impressionnante dĂ©claration d'intention de la part des Hammers. Maintenant, il leur faut plus. Un projet plein d'ambition. DĂ©fenseur central : Diego Carlos (SĂ©ville Ă Aston Villa, 32MâŹ) Aston Villa a misĂ© gros et tĂŽt sur le BrĂ©silien qui pourrait ĂȘtre soit brillant, soit un dĂ©sastre total. Il a tout de mĂȘme rĂ©alisĂ© de bonnes performances en Liga. C'est un solide dĂ©fenseur. ArriĂšre droit : Rasmus Kristensen (RB Salzburg Ă Leeds United, 14MâŹ) L'international danois, ancien joueur du Red Bull, fait partie du nouveau projet de Leeds United. L'Ă©quipe aura vraiment besoin de l'appui des supporters. Lire aussi : Les 5 transferts (dĂ©jĂ ) signĂ©s avant mĂȘme l'ouverture du mercato ! ArriĂšre gauche : Nuno Mendes (Sporting Ă PSG, 37MâŹ) Enfin, un joueur qui ne rejoint pas un club de Premier League. Au lieu de cela, nous avons le PSG qui convertit un prĂȘt rĂ©ussi pour l'arriĂšre gauche portugais qui a dĂ©jĂ 15 sĂ©lections Ă l'Ăąge de 20 ans. Milieu dĂ©fensif : AurĂ©lien Tchouameni (de Monaco au Real Madrid, 80MâŹ) Les champions d'Europe viennent de rajeunir et de s'amĂ©liorer. Quelle signature ! Tchouameni est annoncĂ© comme un futur grand joueur du football mondial. Milieu dĂ©fensif : Yves Bissouma (Brighton Ă Tottenham, 30MâŹ) Une bonne affaire, car le Malien n'Ă©tait qu'Ă un an d'ĂȘtre libre, mais sa place dans ce XI est trĂšs menacĂ©e par Frenkie de Jong, qui devrait rejoindre Manchester United pour 75 millions d'euros. Milieu offensif : Fabio Vieira (Porto Ă Arsenal, 35MâŹ) Un joueur de type Martin Odegaard signĂ© dans le cadre du Big Spend Ă Arsenal. Il a dĂ©livrĂ© 14 passes dĂ©cisives dans le championnat portugais la saison derniĂšre, ce qui devrait permettre Ă Gabriel Jesus d'avoir beaucoup d'occasions de marquer des buts dĂ©cisifs. Lire aussi : Mercato : Un point sur les derniĂšres rumeurs de transfert Ailier : Federico Chiesa (Fiorentina Ă Juventus, 40MâŹ) AprĂšs deux saisons de prĂȘt, dont la derniĂšre a Ă©tĂ© marquĂ©e par des blessures, Chiesa a rejoint dĂ©finitivement la Vieille Dame. Il s'entraĂźne actuellement pour revenir Ă temps pour le dĂ©but de la saison prochaine aprĂšs une blessure aux ligaments croisĂ©s qui a mis fin Ă sa derniĂšre saison en janvier. Ailier : Darwin Nunez (Porto Ă Liverpool, 75MâŹ) Vous n'aviez pas entendu parler de lui il y a un an, mais nous pensons qu'il pourrait ĂȘtre assez bon aussi. Nous n'avons aucune raison de ne pas faire confiance Ă Jurgen Klopp et Ă Liverpool, car ils font toujours ce qu'il faut. Il a Ă©tĂ© une des rĂ©vĂ©lations de cette campagne de Ligue des Champions. Attaquant : Erling Haaland (Borussia Dortmund Ă Manchester City, 60MâŹ) Erling Haaland reprĂ©sente avec Kylian MbappĂ© la nouvelle gĂ©nĂ©ration de future star. Il n'est plus Ă prĂ©senter. Le gĂ©ant NorvĂ©gien a fait la misĂšre Ă toutes les dĂ©fenses de Bundesliga. Il s'attaque dĂ©sormais Ă la Premier League. Lire aussi : Manchester United : Erik Ten Hag impose des rĂšgles strictes Ă ces joueurs. Read the full article
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FORMATION TECHNIQUE DE MONTAGE DE DOSSIER DE RĂCOMPENSE.
Cher(e) membre,
đTu as des dossiers de rĂ©compense Ă monter đ€đ€đ€;
đTu seras probablement appelĂ© Ă monter des dossiers de rĂ©compenseđŽđŽđŽ ;
et tu ne sais pas comment t'y prendre đđđ
Plus de soucis Ă te faire, la JCI BĂ©nin par le biais de l'Ă©quipe de sa RĂ©gion 12 organise une formation pratique sur le montage des dossiers de rĂ©compenses Ă l'endroit des reprĂ©sentants des organisations locales dĂ©sireuses de soumettre au moins un dossier.đđș
Vient donc profiter de l'aubaine. C'est le :
đïž Samedi 12 DĂ©cembre 2022
đ 14h00
đ Verechaguine
ⳠDurée : 02h
đšâđ« Formateur : Ambroise PADONOU
_C'est lĂ bas nous s'en va comme ça._ đââïžđââïžđââïž
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#commissioncommunicationmarketing#renforconsnotrereseau#jci#jcicotonouaurore#jcibenin#CommissionFormation#CommissionCommunicationMarketing#JCICotonouAurore#RenforconsNotreReseau#dossier#recompense#R12#JCI
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[pages 22-23]
Je suis nĂ© sous ton rĂ©gime. J'ai grandi et Ă©voluĂ© dans une sociĂ©tĂ© configurĂ©e par des rapports de classes et de force infĂ©rĂ©s du mode de production capitaliste. Si nocifs que tu les prĂ©tendes, ce n'est Ă Marine Le Pen et Ă ses affidĂ©s que mon pas quotidien se cogne. Ce n'est pas dans les coordonnĂ©es du fascisme que mon corps est paramĂ©trĂ©. Ce nâest pas le fascisme qui dĂ©truit la petite paysannerie ; ce n'est pas une coalition de gouvernements d'extrĂȘme droite qui extermine les poissons, qui impose Ă tous le chantage Ă l'emploi, qui tĂŽt le matin parque des corps amers et hagards dans des RER, qui impose Ă une caissiĂšre des journĂ©es 9-13 / 17-22, qui esclavagise la moitiĂ© de la planĂšte pour mettre l'autre au chĂŽmage, trans forme en GPS les ouvriers d'entrepĂŽt, m'oriente par algorithmes, privatise la santĂ© et les plages, flique les chĂŽmeurs, bourre les pauvres de sucre, bourre tout le monde de perturbateurs endocriniens, soustrait 100 milliards par an au fisc.
Ce n'est pas le fascisme, tiens, qui discrimine les Arabes Ă l'embauche, couvre les crimes racistes de ses flics, impose la tĂȘte nue Ă des lycĂ©ennes musulmanes, renvoie des migrants vers la guerre. LâextrĂȘme droite mĂȘme forte n'est pour rien dans ces saloperies effectives. Elle n'y participe que par oĂč il t'arrive, Ă Calais ou ailleurs, de prĂ©figurer son rĂšgne. Tu me demandes d'apporter mon suffrage aux forces concrĂštement aliĂ©nantes pour mieux freinet un mouvement qui en l'Ă©tat n'opprime que le cerveau de ses partisans. Tu me demandes de faire barrage a un fleuve a sec en grossissant le torrent en cours.
[page 51]
Tu aimes la fable - la sociodicĂ©e, dirait Bourdieu - d'une Ă©cole gĂ©nĂ©reusement conçue par ses fondateurs bourgeois pour Ă©manciper la masse. Tu aimes la story du citoyen fait prof, non pour subvenir Ă ses besoins, mais pour contribuer Ă cette opĂ©ration philanthropique. Les nombreuses fois oĂč tu as voulu me faire dire que l'enseignement me manquait, ma nĂ©gation t'a dĂ©sappointĂ©. Pendant trois secondes elle t'a fait redescendre du village dans les nuages ââââoĂč le systĂšme qui te profite est forcement juste, oĂč l'Ă©cole qui t'a profitĂ© est forcement juste. OĂč l'Ă©cole pavĂ©e de bonnes intentions s'est seulement Ă©garĂ©e en chemin. Comme parfois notre RĂ©publique, cette mĂšre aimante. Comme le capitalisme, d'abord bĂ©ni des dieux.
[page 84]
Les grandes Ă©coles oĂč tu te reproduis lancent des programmes Ă©galitĂ© des chances. L'illusion d'une chance Ă©gale achĂšte le silence des perdants. Le pauvre ainsi soutenu ne peut plus se plaindre, il ne doit s'en prendre qu'Ă lui-mĂȘme, il a eu sa chance.
Tu appelles équité ce pastiche d'égalité.
Aussi bien, tu offres refuge aux Ă©lĂšves pĂ©riphĂ©riques les plus dociles dans des internats d'excellence oĂč ils potasseront tes concours. Tu veux intĂ©grer, tu veux ĂȘtre inclusif, tu offres aux pauvres les plus disciplinĂ©s l'aubaine de devenir toi. Mais si chacun devient toi, tu ne seras plus distinct - et qui ramassera les poubelles ? Il faut donc que tous rĂ©ussissent mais pas tous. L'Ă©cole te sert de trieuse, elle est un casting gĂ©ant dont tu tires, selon un numerus clausus officieux, une poignĂ©e de pauvres mĂ©ritants
[page 204]
Du reste quel usage en [lâintelligence du bourgeois ] ferais-tu puisque tout est rĂ©glĂ©, tout est consommĂ© ? L'histoire a rendu son verdict et tu en es le vainqueur. L'Ă©lite occidentale de l'humanitĂ© est arrivĂ©e Ă son point de perfection, il n'y a plus qu'Ă la copier, il n'y a plus rien Ă discuter, plus d'alternative Ă configurer.
Dégagez d'abord une problématique , spécifiaient nos profs de philo Pour penser il faut qu'un problÚme soit défini. Or pour toi il n'y a plus de problÚme. Significativement, ta langue managériale a remplacé problÚme par sujet. Dans les débats, tu abordes le sujet du chÎmage, le sujet des déchets nucléaires. Plus rien n'est un problÚme.
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