#l'art révolutionnaire
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More on the Gautherot drawing of Max
I've found that it was exhibited in January 1848 at the Exposition de l'Association des Artistes, labelled as a sketch from life done at the Convention. A reference is also made to a painting in Saint-Albin's collection being by David… Now, the most famous Max portrait Saint-Albin had is the one of the same type as the drawing. I wonder if it's another case of the master being credited with a work by one of his pupils/atelier members, because the Berlin painting doesn't look like a David.
I'd love them to x-ray it, to see if the glasses have been overpainted/removed at some point.
The drawing is described, too, with an attribtion to Gautherot in 1882, in one of those rather trashy 'petite histoires' so popular at the time: Adolphe de Lescure's L' amour sous la Terreur:
C’est le Robespierre des derniers temps, usé, pâli, fatigué, peut-être découragé, mais guardant, au-dessus de ce troupeau de la Convention qu’il régente encore, cette allure roide, rogue et pédagogique qui persista chez lui jusque devant la mort. Il a teint blafard, les pommettes saillantes, l’œil cave où brille un regard gris; il porte l’habit nankine rayé de vert (c’est le quatrième connu); un gilet blanc, rayé de bleu; la cravate blanche, rayée de rouge. Le dessinateur a soigneusement noté ce costume, et il n’a eu garde d’oublier les besicles relevées (à l’envers) sur le front, aux ailes de pigeon décollées par la sueur oratoire; sueur de triomphe, près de devenir la sueur d’angoisse.
I don't think he realised that the softer wig-style is a fashion (we see it in the 1792 physionotrace), nothing to do with sweat relaxing the curls.
Gautherot was an active Jacobin, closely associated with Michel Le Peletier and Nicolas Maure. He also 'rectified' Fouquet's physionotrace from Le Peletier's death-mask for engraving.
#pierre-claude gautherot#maximilien robespierre#jacques-louis david#revolutionary art#l'art révolutionnaire#révolution française
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La première vertu révolutionnaire, c'est l'art de faire foutre les autres au garde-à-vous......✨💞😉
Jean Giono
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Plagier des idées.
(Je bloque les reblog de ce poste, néanmoins, on peut discuter en commentaires tant que c'est dans le respect.) Je vous préviens, les dramas sont interdits suite à ce poste. Je ne veux aucun buzz, aucun déchaînement, juste qu'on lise ce que j'ai à dire sur le sujet.
Ça fait 15 ans pratiquement que je fais du rpg et 22 que je graph. Ces mots que je pose ici, ça n'est jamais arrivé. Je tiens bien à le souligner, que vous vous rendiez bien compte. Je n'ai jamais posté ce genre de messages, affirmé ce que je vais affirmer. Je le précise par prévention pour toutes formes de Gaslighting potentiel. (Je vais clairement pas avoir la patience pour ça.) J'ai toujours laissé le bénéfice du doute (Bon en vrai j'estime que les gens n'ont en général aucun intérêt à s'inspirer de mon taf dans tous les cas, l'herbe est plus verte ailleurs) et, en toute franchise, je suis persuadée que moi-même, inconsciemment et avec ce fichu mécanisme d'adaptation, j'ai déjà sûrement involontairement reproduit des trucs. C'est un peu ma hantise personnelle car on a beau me dire que mon style et reconnaissable et unique, il n'en reste pas moins que je suis humaine, neuroA et qu'on se laisse tous-tes influencer par notre quotidien, ce qu'on voit et ce qui nous fait vibrer. Et parfois, on se trouve juste à avoir des goûts très similaires ou à choisir les mêmes types d'identité graphique. C'est comme ça, ça arrive. Ça fait même de belles rencontres, parfois.
Pourtant, il y a quelques mois, je me suis rendu compte qu'on m'avait plagié une idée. Certes, pas révolutionnaire, sûrement déjà utilisée dans d'autres domaines que les avatars 400x640, mais une idée chouette que j'étais hyper contente d'avoir réussi à mettre en place. Et contente de vous l'avoir montré. Je ne dirais pas quelle idée, je ne dirais pas quelle personne. (Et merci de ne pas me demander, de ne pas chercher, de ne pas faire je ne-sais-quoi sans mon consentement. Je ne tolère aucune forme de harcèlement.) Ce que je partage ici, c'est assez difficile comme ça. J'ai peur d'en parler alors même que je sais être légit. Mais on sait tous-tes que ce sujet - tabou partout dans le rpg et surtout dans le graphisme - déchaîne les passions. J'ai toujours voulu en rester très très loin de mon côté.
Et je le répète, je n'ai jamais affirmé une telle chose en plus d'une décennie de RPG. En deux, dans le graphisme. Les inspirations ici et là, ça arrive à tout le monde. J'en ai déjà parlé dans un poste sur l'art, d'ailleurs. Ici, c'est surtout dans la manière dont les choses se sont déroulés. Le timing, le combo, le tout. J'ai même eu beaucoup de mal à grapher durant quelques semaines après cette découverte. J'ai attendu très très longtemps avant d'écrire ce poste, j'ai sincèrement pris le temps de la réflexion pour ne rien écrire à chaud. Et parfois encore, mon manque de confiance me chuchote que je me suis fait des idées. Que c'est moi, et donc, complètement illogique. Mais ce soir, je lui colle une baffe, à ce moi belliqueux.
Honnêtement, que ça soit le cas ou pas, il n'y a qu'une conclusion à ça pour moi : Si vous voulez vraiment et volontairement reprendre une idée, que c'est complètement conscient, gros comme une verrue sur un pif, dites-le ? Si c'est inconscient, ça arrive ! Mais tout le processus ici fait que ça me paraît vraiment, vraiment improbable.
Citer une personne en mention, juste pour dire 'Voilà, je me suis volontairement inspiré-e d'untel-le', ça ne mange pas de pain et en vrai, ça fait même plaisir. C'est même pas honteux tant que la personne en face est d'accord avec ça. Si iel vous dit 'Écoute, je suis flâtté-e mais pas à l'aise avec ça', et bien vous aurez tenté et vous saurez que ça ne sera plus possible avec iel.
Ce poste va dormir, le temps que je me décide et que je sache si oui ou non, je vais le publier.
Si je vois que ça part en vrille, je supprimerais ce poste !
En attendant j'espère que vous passez un super été, et courage à celleux qui bossent sous cette chaleur. Hydratez-vous !
Edit : J'ai clairement attendu assez longtemps. Décidé de ne rien poster et puis, je ne sais pas, ce soir, je me dis que je suis légitime. Mais aussi que c'est normal d'être en rogne dans ce genre de situation et de taper un peu du poing. J'essaie juste de le faire de manière utile et constructive. J'espère que ce poste peut aider. Je me dis qu'il faut souligner certaines choses, mettre les points sur les i, parfois. Je déteste ça. Mais je n'arrive toujours pas à passer outre. Vraiment pas. Je ne prétend rien changer. Mais j'ai besoin de le dire "à voix haute'.
Bonne soirée,
Swan.
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Un enterrement à Ornans est un tableau peint par Gustave Courbet entre 1849 et 1850. Le peintre avait 33 ans lorsqu'il réalisa cette œuvre de grandes dimensions qui fut l'objet d'une violente polémique lors de sa présentation au Salon de peinture de 1850. On a alors reproché au tableau sa vulgarité et les critiques ont accusé Courbet de peindre « le laid », « le trivial » et « l'ignoble ». L'Enterrement à Ornans devient vite une œuvre manifeste du réalisme dont Courbet fut le chef de file ; un peintre engagé pour l'Art mais aussi pour la République.
Le contexte historique
Courbet achève Un enterrement à Ornans en 1850, à une période charnière pour l’histoire de France comme pour l’histoire de l’art moderne. Louis-Philippe a été destitué en 1848, et en décembre 1848, Louis-Napoléon Bonaparte, futur Napoléon III, a été élu président de la république.
En 1850, dans cette époque sensible au contexte social, les artistes ne se rangent pas forcément aux côtés de la classe ouvrière et de son combat (Courbet participera à la Commune seulement en 1871) mais ils se détachent de la bourgeoisie qui rejette les nouvelles formes d’art. L’artiste véritablement novateur tend à s’isoler et à se marginaliser : après la Bohème, forme de vie aléatoire mais libre des artistes romantiques, la deuxième moitié du xixe siècle voit l’apparition de l’image de l’artiste maudit, qui n'est plus au service des institutions et des pouvoirs en place comme auparavant, et qui n'est compris que par une petite élite intellectuelle et artistique.
La scène
Ornans, la ville natale de Gustave Courbet, est une petite localité de 4 000 habitants située à 25 km de Besançon dans le Doubs en Franche-Comté. Dans le tableau, on retrouve en arrière-plan les caractéristiques du paysage de la région : des falaises calcaires qui encadrent les méandres encaissés de la Loue (un affluent du Doubs qui traverse la ville d'Ornans).
À partir de la Révolution, du fait du nombre croissant de morts, l'exiguïté des sites entraîne l'exurbanisation des cimetières, traditionnellement implantés autour de l'église du village. À Ornans, la population s'est opposée à ce transfert pendant des décennies et il faut attendre septembre 1848 pour qu'un nouveau cimetière hors du village soit inauguré. Dans le tableau c'est précisément dans ce nouveau cimetière à l'écart de la ville que se déroule l'enterrement. De plus, les personnages regroupés masquent les autres tombes et les murs du cimetière, ce qui nous laisse penser que la fosse a été creusée au milieu de nulle part. Le peintre fait figurer la scène à un moment précis : le convoi vient d'entrer dans le cimetière et s'est scindé en trois groupes (les officiants, les hommes et les femmes).
Les personnages
Les 27 personnages pressés en double rang sont tous des habitants d'Ornans que Courbet avait fait poser un à un dans son atelier. Comme à l'église, les hommes (à gauche) et les femmes (à droite) sont séparés. Les hommes portent des costumes noirs et plusieurs d'entre eux un chapeau haut de forme. Les femmes quant à elles portent des coiffes blanches et des capuches noires ; plusieurs d'entre elles tiennent un mouchoir blanc dans la main et pleurent le mort (la description suivante est issue des données des archives municipales et des actes notariés).
Courbet, Un enterrement à Ornans schéma personnages.jpg
Les individualités
Le curé (10) : habillé en grande pompe, il porte le costume funèbre et lit les textes de son bréviaire (livre liturgique contenant les prières à lire chaque jour par les prêtres) qu'il tient à la main. Il fait face au révolutionnaire de l'autre côté de la fosse.
Le fossoyeur (13) : Antoine Joseph Cassard, fils de cordonnier et paysan pauvre, a posé sa veste et son bonnet de laine sur les bords de la fosse qu'il vient de creuser comme l'indique la couleur de la terre. Il attend l'arrivée du cercueil et pose un genou au sol. Si son regard, à mi-hauteur de la toile, tourné vers le groupe des « officiants de l'au-delà » et de la haute croix, nous entraîne vers l'univers spirituel de la cérémonie, le reste de son corps tourné vers la fosse nous attire vers le « monde d'en bas » et sa réalité : l'ensevelissement du cadavre.
Les ensembles de personnages
Les quatre porteurs : ils sont munis de gants blancs, de tenues noires et de grands chapeaux à bords ronds. Ils soutiennent le cercueil entouré d'un drap blanc et détournent leurs visages du mort (à la campagne, on exposait le corps plusieurs jours avant l'enterrement et la pestilence des morts est peut-être évoquée ici par le peintre). Ce sont probablement un artisan cordonnier (1), un propriétaire cultivateur-rentier (2), un musicien (que l'on retrouve dans la toile Après dîner à Ornans) (3), et un propriétaire (4). Ces deux derniers sont des amis de Courbet.
Les cinq sacristains : ils se tiennent en arrière du curé, à gauche du cercueil et sont vêtus de blanc. L'un d'entre eux est le porte-croix ; c'est un propriétaire-vigneron (7). Les deux autres en (5) et (6) sont respectivement un musicien et un artisan cordonnier. À l'extrême gauche de la toile derrière les porteurs est peut-être représenté le grand-père de Courbet décédé un an plus tôt (il n'est pas visible ici). Le groupe des sacristains est « relié » au ciel par la croix qui surmonte la foule et les falaises en arrière-plan.
Les deux enfants de chœur : le premier (8) lève la tête vers le porteur, dont il vient de toucher le chapeau avec son cierge. Le second (9) au premier plan porte le vase d'eau bénite.
Les deux bedeaux : employés laïcs d’église, ils s'assurent du bon déroulement des cérémonies religieuses. Celui de gauche (11) est un vigneron aisé tandis que celui de droite (12) est un cordonnier modeste. La couleur rouge de leur costume et de leur toque les fait sortir tout droit d'une toile italienne du bas Moyen Âge, cependant on a retrouvé dans la sacristie de l'église d'Ornans une de ces toques.
Le groupe des hommes : au premier plan les bourgeois et notables, un juge de paix (14), le maire d'Ornans Prosper Teste (15), un ancien gendarme devenu prêteur sur gages tenant un mouchoir à la main (17) et un meunier enrichi (19) ainsi qu'un avocat (20), ami de Courbet. Au second plan figurent deux amis d'enfance du peintre : un rentier célibataire (16) et un bourgeois aisé (18).
Les deux révolutionnaires : ils portent le costume porté par les révolutionnaires entre 1792 et 1793 (c'est-à-dire au moment de la Première République) soit un demi-siècle plus tôt. Nous sommes en 1849 et Courbet a assisté à l'avènement de la Deuxième République en 1848. Le premier (21) porte des guêtres blanches et le second au premier plan (22) des bas bleus. La main tendue vers la fosse, ce dernier semble officier en même temps que le curé en face de lui. Ce face-à-face incongru entre la République et l'Église est à mettre en lien avec l'engagement politique de Courbet qui sera un partisan de la Commune de Paris en 1871.
Le groupe des femmes : En tête du cortège au premier plan sont représentées les femmes de la famille de Courbet. Sa mère (23) et trois de ses sœurs (24)-(25)-(26). La petite fille à l'extrême droite du tableau (27) est une petite cousine de l'artiste.
La religion et la mort
Dans Un enterrement à Ornans se mêlent conjointement les thèmes de la mort et de la religion à travers l'enterrement, un rite funéraire occupant une place fondamentale car il soude dans le chagrin la communauté villageoise. Au-delà du rite religieux en lui-même, l'univers de l'œuvre est chargé de symboles ayant des liens avec la religion et la mort.
Ainsi, une tradition apocryphe indique que « lors de l'agonie du Christ, la terre trembla, se fissura et fit jaillir le crâne d'Adam enfoui depuis des millénaires ». Courbet a justement représenté un crâne dans le tableau, à droite de la fosse. On retrouve ce crâne symbolique dans Hamlet et Horatio au cimetière peint par Delacroix en 1839, seulement dix ans auparavant. Ce même crâne, ainsi que les os croisés et les larmes sur le drap mortuaire, signifient que « l'initié va renaître à une nouvelle vie ». S'agit-il d'une vanité ou une allusion à l'univers de la Franc-maçonnerie (Courbet ferait référence à la sourde et secrète tradition maçonnique à Ornans) ? Le chien, quant à lui, alimente aussi l'univers symbolique. En effet, dans de nombreuses sociétés, l'animal accompagne l'homme dans l'au-delà et est souvent présent lors des cérémonies sacrées (dans l'Égypte ancienne ou chez les Incas par exemple).
La facture du tableau
Courbet a réalisé son tableau dans le grenier de la maison familiale d'Ornans qui lui servira d'atelier pour de nombreuses autres toiles (dont L'Atelier du peintre en 1855). Du fait de la pente du toit, Courbet doit peindre sur une partie de la toile tandis qu'il enroule les parties droites ou gauches précédemment réalisées. On distingue également les coutures qui divisent la toile en trois tiers de haut en bas. Il dit à ce sujet : « Il faut être enragé pour travailler dans les conditions où je me trouve. Je travaille à l’aveuglette ; je n’ai aucune reculée. Ne serai-je jamais casé comme je l’entends ? Enfin, dans ce moment-ci, je suis sur le point de finir 50 personnages grandeur nature, avec paysage et ciel pour fond, sur une toile de 20 pieds de longueur sur 10 de hauteur. Il y a de quoi crever. Vous devez imaginer que je ne me suis pas endormi. »
La préparation de la toile
On trouve du blanc (de plomb) à grain épais qui donne une teinte d'ambre brûlé, devenue apparente lorsque les couches de peintures ont séché. Cette technique a assombri le tableau et a atténué les tons froids (les mains et les visages ont été réalisés au pinceau et soulignés au bistre (couleur brun-noirâtre préparée à partir de la suie) par des traits apparents.
Les zones indéterminées du premier plan (sol, terre) et de l'arrière-plan (ciel, falaise) ont probablement été réalisées au couteau.
L'omniprésence du noir et du blanc
Le noir ne forme pas une masse uniforme mais il présente au contraire des nuances charbonneuses ou bleutées. Les notes violentes de blanc s'y opposent : les draps des porteurs, les surplis du porte-croix, la chemise du fossoyeur, les bonnets et les mouchoirs des femmes ainsi que le chien blanc tacheté de noir au premier plan.
Le satin bleuté du drap mortuaire, qui n'est pas noir ou violet comme le veut la tradition, est une nuance particulière. Courbet a utilisé ce drap de satin blanc pour « rattraper » un déséquilibre majeur dans la toile entre les blancs minoritaires et les noirs qui dominaient.
La palette de couleur
Outre le noir et le blanc, des touches de couleurs vives ponctuent la toile. Le rouge vermillon des bedeaux et des enfants de chœur, Le jaune cuivré du vase du crucifix (le « vase » est la boule inférieure du support du crucifix), le vert olive de la blouse sur laquelle le fossoyeur est agenouillé, les bas bleus, la culotte verte, la redingote grise et le gilet brun du révolutionnaire forment une « phrase colorée » qui traverse la toile et contraste avec le triste évènement qu'est l'enterrement.
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Alix Payen, née le 18 mai 1842, a marqué l'histoire comme ambulancière et épistolière durant la Commune de Paris en 1871. Son engagement dans l'un des épisodes les plus tumultueux de l'histoire française marque une rupture avec les conventions sociales de son époque.
Issue d'une famille bourgeoise et socialiste, elle passe son enfance en Savoie, région alors indépendante du régime de Napoléon III. Dès son plus jeune âge, Alix se distingue par son esprit indépendant et son intérêt pour les questions sociales et politiques, influencée en partie par les idéaux révolutionnaires qui circulent dans la France du XIXe siècle.
Cependant, c'est la Commune de Paris qui devient le catalyseur de son engagement actif. En 1871, lors de l'insurrection populaire qui prend le contrôle de Paris, Alix se joint aux communards, montrant un courage et une détermination exceptionnels. Durant le siège de Paris par les Prussiens en 1870-1871, puis lors de la Commune de Paris, elle s'implique activement comme ambulancière, accompagnant le bataillon de son époux et portant secours tant aux combattants de la Commune qu'aux soldats versaillais. Elle partage ainsi les conditions éprouvantes des communards, intervenant en première ligne dans les tranchées à l'ouest de Paris dès avril 1871. Sa détermination ne s'arrête pas là : elle endosse également le rôle de combattante, se battant aux côtés des hommes pour défendre les idéaux de la Commune. Son engagement va à l'encontre des normes de genre de son temps, où les rôles de combat sont presque exclusivement réservés aux hommes. Cependant, elle doit mettre un terme à son engagement sur le front à la suite de la grave blessure de son mari en mai 1871.
Après la défaite de la Commune, Alix Payen est arrêtée et fait face à la répression brutale qui s'abat sur les communards. Malgré les risques et les menaces, elle ne renonce pas à ses convictions et continue de défendre les principes pour lesquels elle a combattu.
Sa participation à la Commune est principalement documentée grâce à la correspondance qu'elle envoie à sa famille, dans laquelle elle détaille la vie quotidienne des communards et souligne le rôle des femmes dans ce mouvement insurrectionnel.
Veuve et sans ressources après la chute de la Commune, Alix se tourne vers l'art pour subvenir à ses besoins, notamment en peignant et en coloriant des photographies. Dans les années 1880, elle rejoint sa famille dans une communauté fouriériste, connue sous le nom de « La Colonie », établie dans un phalanstère à Condé-sur-Vesgre (Yvelines). Ce phalanstère, inspiré des théories socialistes utopiques de Charles Fourier, fonctionne sur le principe de coopération et de vie communautaire.
Alix continue à écrire des lettres sur sa vie au sein de cette communauté, témoignant de son parcours et de ses convictions. Sa correspondance fut ultérieurement incluse dans une biographie familiale publiée par son frère cadet dans une revue de l'époque.
Alix Payen s'éteint en 1903 à l'âge de 61 ans, laissant derrière elle un héritage important en tant que témoin et actrice de l'un des événements majeurs de l'histoire de France. Elle demeure non seulement un symbole de la participation des femmes dans les mouvements révolutionnaires, mais aussi un témoignage de la lutte pour l'égalité et la justice sociale. Sa vie, marquée par le courage, la résilience et la fidélité à ses convictions, inspire encore aujourd'hui ceux et celles qui luttent pour le changement social et l'égalité des sexes.
Portrait d'Alix Payen par son frère Paul Milliet.
#Alix Payen#Commune de Paris#Femme combattante#Histoire française#Egalite des sexes#Revolution#Biographie
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Aujourd'hui, nous avons réellement vécu deux mondes, deux ambiances.
La matinée était assez sereine et contemplative : nous avons remonté la rivière pendant deux heures jusqu'à un petit village, puis fini en bus le trajet jusqu'à la capitale, Phnom Penh.
La seconde partie de la journée était plus axée culture, mais assez glaçante : nous sommes allées visiter un ancien camp de détention, nommé S21, reconverti en musée sur le mouvement révolutionnaire des Khmers rouges. Par camp de détention, il faut bien comprendre qu'environ 20000 personnes y sont rentrées, et 7 personnes en sont ressorties.
J'ai découvert une facette de l'histoire qu'on n'a jamais abordé à l'école, et appris comment un quart de la population du pays est décédée en moins de 4 ans au pouvoir. Comment tous les "nouveaux cambodgiens", c'est à dire les personnes habitant en ville, instruites, ou ayant décidé de dédier leur vie à l'art, les sciences ou la religion se sont vues envoyées dans des camps à la campagne dans le meilleur des cas, ou torturer puis éliminer dans le pire. Comment un cambodgien sur quatre est mort de faim, de fatigue, des mauvais traitements, ou simplement assassiné. Sous prétexte d'une évacuation pour risque de bombardement américain, 3 jours après la prise de pouvoir des Khmers rouges, toute la population était à la campagne pour reprendre l'agriculture à l'ancienne (ils considéraient que c'était la modernité qui avait amené le pays à un état de déchéance, et voulaient donc repartir à zéro en prônant l'autosuffisance), et avaient pour objectif de produire 3 tonnes de riz à l'hectare (sur tout le territoire, quelles que soient le sol, l'hydrometrie, ou le niveau des connaissances des "agriculteurs" qui venaient souvent tous de la ville et n'avaient jamais fait pousser le moindre légume de leur vie). Comment cueillir une mangue dans un arbre pour essayer de nourrir sa famille était considéré comme un crime punissable par la mort de l'intéressé et de tous ses proches (ne pas garder de "mauvaise herbe" qui pourrait chercher à se venger), la seule nourriture autorisée étant celle fournie quotidiennement lors du repas commun à tout le camp. Comment les hommes et les femmes étaient "accouplés " de force, sans choix du partenaire, puisque tout le monde était égal, et leurs enfants kidnappés à la naissance pour devenir des petits soldats. Et comment la politique internationale a soutenu les Khmers rouges jusqu'à 15 ans après leur chute (ils ont tenté d'envahir le Vietnam, qui a peu apprécié et a libéré une bonne partie du territoire en contre attaquant), que l'on parle des USA ou de l'Europe.
Le plus terrifiant étant de comprendre qu'aujourd'hui, les bourreaux et les familles des victimes vivent encore parfois côte à côte puisque cela s'est passé entre 1975 et 1979.
Bref, notre après midi fut certes culturellement intéressante, mais un peu lourde psychologiquement.
Par respect, il n'y aura aucune photo de ce que nous avons pu voir cet après midi.
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Plaque en hommage à : Jean-Claude Diamant-Berger
Type : Lieu de résidence
Adresse : 288 rue Saint-Jacques, 75005 Paris, France
Date de pose : 22 octobre 2007 [source]
Texte : Ici a vécu le poète Jean-Claude Diamant-Berger, cadet de la France libre, mort pour la France, 1920-1944
Quelques précisions : Jean-Claude Diamant-Berger (1920-1944) est un poète et résistant français. Il participe à la formation du mouvement artistique des Réverbères en 1937, mais finit par s'en séparer en signe de désapprobation de la volonté d'absence d'engagement politique du mouvement. Il rejoint alors en 1939 la Fédération internationale de l'art révolutionnaire indépendant. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est arrêté à la suite d'une perquisition mais parvient à s'enfuir et à gagner les États-Unis puis l'Angleterre. Enrôlé au sein de l'École des cadets de la France libre du général de Gaulle, il y suit une formation de parachutiste. Envoyé en mission en Normandie, il y décède le 2 août 1944.
#individuel#hommes#residence#poetes#seconde guerre mondiale#resistance#france#ile de france#paris#jean claude diamant berger#datee
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Stripsody : Une Oeuvre Révolutionnaire - L'avenir de l'art de la perform...Stripsody, Une Oeuvre Révolutionnaire, art de la performance, art révolutionnaire, art contemporain, mouvement artistique, innovation artistique, génie créatif, narration visuelle, exploration artistique, art moderne, expérience transformative, voyage artistique, passionnés d'art, performance révolutionnaire, techniques artistiques uniques, critique d'art, analyse artistique, impact culturel, tendances artistiques, narration innovante, éléments visuels, communauté artistique, appréciation de l'art, expression artistique, critique de performance, histoire de l'art, art avant-gardiste, révolution artistique, expression créative, performance artistique, vitrine artistique, documentaire artistique, perspectives artistiques.
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L'attrait du rosé de Provence ultime et de la Tenuta San Guido Sassicaia : un voyage à travers des vins exquis
Les amateurs de vin du monde entier sont toujours à la recherche de vins d’exception offrant des expériences uniques. Parmi la myriade de choix, Ultimate Provence Rose et Tenuta San Guido Sassicaia se distinguent par leurs qualités extraordinaires et leur riche histoire. Ces deux vins, originaires de régions différentes, mettent en valeur l'art de la vinification à son meilleur. Voyons ce qui rend ces vins si spéciaux et pourquoi ils méritent une place dans votre collection.
Le charme du Rosé de Provence Ultime
C'est un vin qui capture l'essence de la région Provence en France. Cette région, réputée pour ses paysages pittoresques et son climat méditerranéen, offre un environnement idéal pour produire des vins rosés de grande qualité. Les vignobles sont baignés de soleil et les douces brises de la mer Méditerranée contribuent au terroir unique qui définit ce vin.
Il est célébré pour son caractère élégant et rafraîchissant. Le vin présente une belle teinte rose pâle qui rappelle les paysages ensoleillés de Provence. Au nez, il offre un bouquet séduisant de fruits rouges, d'agrumes et de subtiles notes florales. La bouche est tout aussi captivante, avec des saveurs de fraises mûres, de framboises et un soupçon de melon, le tout équilibré par une acidité vive qui le rend incroyablement rafraîchissant. Qu'il soit dégusté lors d'une chaude journée d'été ou accompagné de plats légers, Ultimate Provence est un vin polyvalent qui ne déçoit jamais.
L'héritage de la Tenuta San Guido Sassicaia
De l'autre côté du spectre se trouve la Tenuta San Guido Sassicaia, un vin légendaire de la région de Bolgheri en Toscane, en Italie. Ce vin a gagné sa place parmi les meilleurs au monde en raison de sa qualité exceptionnelle et de son riche passé. Les origines du Sassicaia remontent aux années 1940 lorsque Mario Incisa della Rocchetta décide de créer un vin de style bordelais en Italie. Le résultat fut tout simplement révolutionnaire, puisque Sassicaia devint l'un des premiers vins super toscans, remettant en question les normes traditionnelles de la vinification italienne.
Il s'agit d'un assemblage majoritairement composé de Cabernet Sauvignon avec un petit pourcentage de Cabernet Franc. Cette combinaison donne un vin riche, complexe et incroyablement apte au vieillissement. Au nez, le Sassicaia révèle une palette d'arômes, dont le cassis, le cèdre et le tabac, avec des notes d'épices et de vanille issues de l'élevage en chêne. La bouche est corsée, avec des tanins bien structurés et un équilibre harmonieux de fruit, d'acidité et de chêne. Chaque gorgée de Sassicaia témoigne du soin méticuleux et du savoir-faire apporté à sa production.
Les accords parfaits
Lorsqu’il s’agit d’associer ces vins à des mets, les possibilités sont infinies. Ultimate Provence Rosé accompagne délicieusement les plats de fruits de mer, les salades et les entrées légères. Son acidité vive et son profil fruité complètent les saveurs délicates des fruits de mer et des légumes frais, ce qui en fait un choix parfait pour les repas en plein air.
Conclusion
Dans le monde des grands vins, Ultimate Provence Rosé et Tenuta San Sassicaia occupent une place à part. Leurs caractéristiques distinctes, ancrées dans leurs terroirs uniques et leurs traditions viticoles, en font des choix exceptionnels pour tout amateur de vin. Que vous soyez attiré par l'élégance rafraîchissante de l'Ultimate Provence Rosé ou la sophistication audacieuse de la Tenuta San Guido Sassicaia, ces vins promettent de vous procurer un plaisir sans précédent. Pour explorer davantage ces vins, visitez fuxweine.ch, où vous pourrez découvrir une sélection organisée de vins d'exception qui conviennent à tous les palais. Profitez du voyage à travers ces vins exquis et élevez votre expérience viticole vers de nouveaux sommets.
URL de la source du blog :- https://fuxweine.blogspot.com/2024/08/lattrait-du-rose-de-provence-ultime-et.html
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Messieurs, préparez-vous à briller (et pas qu'au soleil) ! Mesdames, voici comment le surprendre avec style cet été !
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GRISELDA POLLOCK
Vendredi 14 juin à 18h (heure de Paris)
Friday June 14th 2024, 6pm (Paris time)
@ MSH, 16 – 18 RUE SUGER, 75006 (métro Odéon ou St – Michel)
Griselda Pollock est l’une des figures les plus impressionnantes de celles qui, depuis les années 1980, ont révolutionné l’histoire de l’art en la soumettant au questionnement féministe. Bien au-delà de la question désormais classique du « canon » de l’histoire de l’art, c’est à une réélaboration radicale du cadre même de la discipline, informée par la théorie politique, la psychanalyse et l’anthropologie, qu’elle a consacré une vingtaine d’ouvrages qui sont aujourd’hui considérés comme incontournables parmi lesquels Vision and Difference: Feminism, Femininity and the Histories of Art (1988), Differencing the Canon: Feminist Desire and the Writing of Art's Histories (1999), Encounters in the Virtual Feminist Museum: Time Space and the Archive (2007), After-Affects I After-Images: Trauma and Aesthetic Transformation in the Virtual Feminist Museum (2013). Au fil des années 2000, Pollock a déployé un riche programme de recherche, à la fois personnel et collectif, sur le trauma, la représentation après la Shoah, la mémoire et le cinéma. Charlotte Salomon and the Theatre of Memory, publié en 2018, se situe à la convergence de ces deux perspectives. Professeure à l’université de Manchester (1974-1977) puis à celle de Leeds (à partir de 1977), Pollock a dirigé le Centre for Cultural Analysis, Theory and History (CATH) de l’université de Leeds. En 2020 elle a obtenu le plus prestigieux prix international pour les sciences humaines, le prix Holberg "pour ses contributions révolutionnaires à l'histoire de l'art féministe et aux études culturelles". En 2023, traçant les grandes lignes d’une approche entièrement renouvelée de l’historiographie, elle a dirigé un volume d’études consacrées à Helen Rosenau, historienne de l’art et de l’architecture, autrice du pionnier Woman in Art : From Type to Personality (1944). Aujourd'hui paraît enfin en français le classique des classiques, sa première intervention féministe dans l’histoire de l’art, Maîtresses d’autrefois. Femmes, Art et Idéologie qu’elle publia avec Rozsika Parker en 1981.
[EN] Giselda Pollock is one of the most impressive figures among those who, since the 1980s, have revolutionised the history of art by subjecting it to feminist questioning. Far beyond the now classic question of the art-historical “canon”, she has devoted some twenty books to a radical re-elaboration of the very framework of the discipline, informed by political theory, psychoanalysis and anthropology. These include Differencing the Canon: Feminist Desire and the Writing of Art's Histories (1999), Vision and Difference: Feminism, Femininity and the Histories of Art (2003), Encounters in the Virtual Feminist Museum: Time Space and the Archive (2007), After-Affects I After-Images: Trauma and Aesthetic Transformation in the Virtual Feminist Museum (2013). Over the 2000s, Pollock deployed a rich, personal, and collective program of research on trauma, representation after the Shoah, memory and cinema. Charlotte Salomon and the Theatre of Memory, published in 2018, lies at the convergence of these two perspectives. Professor at the University of Manchester and then at Leeds University, Pollock directed the Centre for Cultural analysis, Theory and History at Leeds University. In 2020, she was awarded the most prestigious international prize for the humanities, the Holberg Prize “For her groundbreaking contributions to feminist art history and cultural studies”. In 2023, outlining an entirely new approach to historiography, she edited a volume of studies devoted to Helen Rosenau, art and architecture historian and author of the pioneering Woman in Art: From Type to Personality (1944). Todday, the classic of classics, Old Mistresses: Women, Art and Ideology, her first feminist intervention in history published with Rozsika Parker in 1981, is finally published in French.
Programmation et prochains rendez-vous sur ce site ou par abonnement à la newsletter : [email protected]
Pour regarder les séminaires antérieurs : http://www.vimeo.com/sysk/
Séminaire conçu et organisé par Patricia Falguières, Elisabeth Lebovici et Natasa Petresin-Bachelez et soutenu par la Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte
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Plongée dans l'Univers de KYUBEE : Révolutionner le Closing avec Wesley et Cyprien
Bienvenue dans l'univers de KYUBEE, où Wesley et Cyprien incarnent le nouveau visage du closing. À travers un dévouement inébranlable pour l'excellence et une passion ardente pour l'art de la vente, ces jeunes entrepreneurs de 25 ans bouleversent les normes établies.
KYUBEE n'est pas simplement une société lucrative, mais une communauté dédiée à l'accompagnement de ses clients à chaque étape de leur parcours vers le succès. Notre approche centrée sur la qualité et la personnalisation fait de nous bien plus qu'une simple entreprise de services.
Nos clients témoignent de notre impact :
Tiffany Tisserand a vu ses revenus augmenter de +12 000€ NET en seulement 3 semaines.
Jessi DV a également bénéficié d'une croissance spectaculaire de +12 000€ NET en 3 semaines.
Chacha Lestrade a connu un succès remarquable avec une augmentation de +12 000€ NET en 1 mois.
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Chez KYUBEE, nous nous engageons à offrir des stratégies inédites sur le marché, adaptées à chaque client. Notre objectif est de transformer non seulement les résultats financiers, mais aussi la vie de ceux que nous accompagnons.
Rejoignez-nous pour une expérience de closing enrichissante et révolutionnaire. Avec Wesley et Cyprien à la barre, KYUBEE est bien plus qu'une entreprise - c'est une promesse de succès. Vérifie si il reste encore de la place !
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LE PAYS DANS LE CIEL
Ici Roubaix
Hitler eu
Churchill bleu mis
Mai Bernard Arnault démis
En chevalier du Commonwealth
Empire Rouge
Le maire Guillaume Delbar
Héritage André Diligent qui dit
1944 libération de la ville
Une bleue Paradis prostituée
Pour fliquer le maire collabo Vivtor provo
Qui s'en sort accord local
Patronat-SFIO
Victor Provo s'en rend compte
Par le bleu collabo Pierre Prouvost
Le supplée et le remplace à la mairie
Algérie elle explore sa diplomatie
1983 cependant ère Diligent
Les lords britanniques
Empire schizo distorsion d'Eros
Le portrait de Dorian Gray
1993 David Bowie
Etre psychique à Roubaix
Ensemble nous nous élevons
Récit de lutte voyage étrange
Climat guerre des étoiles
L'Art sera notre bannière révolutionnaire
Jeudi 25 avril 2024
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Asja Lācis (1891-1979) : artiste et militante lettone, a joué un rôle important dans le mouvement artistique de l'avant-garde en Europe au début du XXe siècle.
Elle étudie l'art à Saint-Pétersbourg et à Moscou, où elle est influencée par les idées révolutionnaires de l'époque. Bolchévique dans les années 1920, elle monte des troupes de théâtre prolétariennes pour les enfants et des spectacles d'agitprop dans la Russie soviétique et la Lettonie. Elle a coécrit des œuvres d'importance telles que "Kuhle Wampe", explorant les thèmes de la pauvreté et de la lutte des classes.
En 1938 elle est arrêtée par la police stalinienne et elle est envoyée dans un camp de travail au Kazakstan, elle y reste dix ans jusqu'en 1948. De 1950 à 1957, elle est directrice du Valmiera Drama Theatre.
📚 Quelques-unes de ses œuvres :
- Kuhle Wampe ou : À qui appartient le monde ?" (Scénario du film). Réalisé par Slatan Dudow, 1932.
- "Rosa Luxemburg : La vie d'une socialiste." Éditions Verlag Neues Leben, 1956.
- "Je parcours les rues." Éditions Verlag Neues Leben, 1978.
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La porcelaine de Limoges : un art intemporel qui défie le temps
Dans le cœur battant de la France, la porcelaine de Limoges a émergé comme une icône de l'artisanat et du luxe. Née au XVIIIe siècle, elle est le fruit d'une découverte révolutionnaire : la présence de gisements de kaolin à Saint-Yrieix, près de Limoges. Ce composant clé, couplé à l'expertise artisanale locale, a donné naissance à une porcelaine d'une blancheur et d'une finesse sans égales. Dès lors, la renommée de Limoges s'est propagée, établissant la ville comme un pôle majeur de la porcelaine. Le processus de fabrication : un savoir-faire unique La création d'une pièce de porcelaine de Limoges est un ballet précis d'étapes méticuleuses. Tout commence par la sélection rigoureuse du kaolin, mélangé à du feldspath et du quartz. Cette composition est ensuite façonnée, soit par moulage, soit à la main, avant de subir une première cuisson appelée "biscuit". Vient ensuite l'émaillage, qui donne à la porcelaine son aspect lustré et translucide, suivi d'une seconde cuisson à une température avoisinant les 1400°C. Ce processus, alliant tradition et innovation, est le garant de la qualité exceptionnelle de la porcelaine de Limoges. Les décors de Limoges : entre tradition et modernité L'art de la porcelaine de Limoges ne se limite pas à sa fabrication. Le décor, apporté à la main par des artistes peintres, est ce qui lui confère son caractère unique. Des motifs floraux délicats aux représentations plus contemporaines, chaque pièce raconte une histoire, celle d'un savoir-faire transmis de génération en génération. La diversité des styles et des techniques de décoration, comme la peinture sous glaçure ou la dorure à l'or fin, témoigne de la richesse artistique de cet artisanat. La porcelaine de Limoges dans le monde : symbole d'excellence française Reconnue mondialement, la porcelaine de Limoges est devenue un symbole du raffinement et de l'élégance à la française. Présente dans les plus grandes tables et les demeures les plus prestigieuses, elle est aussi un ambassadeur de la culture française à l'international. De nombreux chefs-d'œuvre en porcelaine de Limoges sont exposés dans les plus grands musées du monde, témoignant de son rayonnement culturel et historique. La porcelaine de Limoges aujourd'hui : innovation et créativité Bien que profondément ancrée dans la tradition, la porcelaine de Limoges n'a cessé d'évoluer. Les manufactures modernes allient technologie de pointe et créativité pour répondre aux besoins contemporains, tout en préservant l'héritage artistique de leurs aînés. Cette capacité à se réinventer, tout en restant fidèle à ses racines, assure à la porcelaine de Limoges une place de choix dans le monde de l'art et du design contemporains. A voir : Osez la transition : adoptez une cuisine zéro déchet aujourd’hui Investir dans la porcelaine de Limoges : une valeur sûre Investir dans une pièce de porcelaine de Limoges, c'est posséder un fragment d'histoire, un objet d'art intemporel. Les collectionneurs et amateurs d'art reconnaissent en elle un investissement de valeur, non seulement financier mais également culturel. Chaque pièce, par sa beauté et son authenticité, continue de séduire et d'inspirer, traversant les époques avec grâce et élégance. La porcelaine de Limoges, un héritage préservé La porcelaine de Limoges n'est pas seulement un produit de luxe ; elle est le reflet d'un patrimoine, d'un savoir-faire et d'une passion qui se perpétuent. Elle incarne l'excellence française, alliant histoire, art et innovation. Dans un monde en constante évolution, la porcelaine de Limoges reste un pilier de la culture et de l'artisanat, un art intemporel qui défie le temps. Read the full article
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