#l'Aiguille verte
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L'Art et la mode, no. 43, vol. 17, 24 octobre 1896, Paris. Pour l'hive. Dessin de G. de Billy. Bibliothèque nationale de France
Collet Henri II, en matelassé de soie ver palme et noir. Bords garnis de grosse tresse de soie. Revers nouveaux en velours noir formant un manteau de page dans le dos. Chapeau de velours noir avec panache de plumes.
Henry II collar, in quilted silk, palm green and black. Edges trimmed with thick silk braid. New black velvet lapels forming a page's coat in the back. Black velvet hat with feather plume.
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Jaquette en gros drap de Finlande dahlia. Garniture de loutre de rivière. Doublure de petit-gris. Chapeau de soie, noir, orné de velours et de plumes de coq.
Jacket in thick Finnish dahlia cloth. River otter trim. Lining of squirrel. Black silk hat decorated with velvet and cock feathers.
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Robe de visites en vigogne "étang". Revers de velours broché, ciselé, fond vert bouquet. Bord de zibeline. Cravate et jabot en point à l'aiguille. Chapeau de feure gris orné de velours noir.
Visiting dress in "pond" vicuña. Brocaded velvet lapels, chiseled, bouquet green background. Sable edge. Needlepoint tie and jabot. Gray felt hat decorated with black velvet.
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Jaquette en peau de Suède gris ardoise. Revers de cachemire-drap clair. Garniture de ganses noires. Bord et doublure de fourrure. Chapeau de feutre, volant et nœud de velours noir, plumes noires.
Slate grey suede jacket. Light cashmere cloth reverse. Black braid trim. Fur edge and lining. Felt hat, black velvet ruffle and bow, black feathers.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1896#on this day#October 24#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#jacket#cape#collar#Modèles de chez#G. de Billy
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Marco Siffredi - Le légendaire snowboarder freeride qui a conquis les pentes traîtresses de l'Everest
Marco Siffredi, un nom synonyme de snowboard freeride et d'exploits audacieux, a atteint un statut légendaire dans le monde des sports extrêmes. En 2001, il est devenu le premier snowboarder à descendre la face nord de l'Everest par le couloir Norton, un exploit historique dans le monde de l'aventure. Tragiquement, sa quête de défis plus grands l'a conduit à tenter une nouvelle descente du toit du monde, cette fois par le périlleux couloir Hornbein, ce qui a entraîné sa disparition en 2002. Deux décennies plus tard, le mystère de cette dernière n'a toujours pas été résolu. Cet article se penche sur son parcours extraordinaire, ses inspirations et son destin énigmatique.
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Né le 22 mai 1979 à Chamonix, plaque tournante du ski extrême, d'un père qui était guide occasionnel dans le massif du Mont-Blanc, Marco trouve son inspiration auprès de skieurs locaux et de figures légendaires comme Jean-Marc Boivin et Bruno Gouvy. Ce dernier, célèbre pour son saut en parachute depuis un hélicoptère sur le sommet presque vertical du Petit Dru, a enflammé la passion de Marco pour les exploits audacieux. S'inspirant de ses héros, Il s'est rapidement attaqué à certaines des descentes les plus raides de la région. Un an seulement après avoir appris à faire du snowboard, il aborde la redoutable voie Mallory sur la face nord de l'Aiguille du Midi, puis à la première descente en snowboard du Chardonnet avec son ami Philippe Forte. Ses audaces attirent l'attention de la communauté freeride. Un pendentif offert par la mère d'un ami après une expédition réussie au sommet du Tocllaraju, au Pérou, devient son précieux talisman. Cette simple croix l'a accompagné dans tous ses projets audacieux, symbolisant à la fois la protection et le lien avec les montagnes.
À l'âge de 20 ans, Marco Siffredi inscrit son nom dans l'histoire en conquérant la voie du Nant Blanc sur l'Aiguille Verte, une descente que seul Jean-Marc Boivin avait réussi auparavant. La même année, il descend le Dorje Lhakpa au Népal, à l'ombre de l'Everest, confirmant ainsi son obsession de conquérir le plus haut sommet du monde. Son ambition l'a amené à collaborer avec le célèbre guide Russell Brice d'Himalayan Expeditions. L'homme lui conseille de s'acclimater aux altitudes extrêmes en s'attaquant d'abord à d'autres sommets de 8 000 mètres. Les ascensions réussies du Cho Oyu et du Huayna Potosi ont préparé le terrain pour ses propres tentatives.
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Au printemps 2001, Marco se lance dans un voyage historique dans le but de devenir le premier à descendre la face nord de l'Everest en snowboard. Confronté à des conditions difficiles, il modifie son plan pour passer par le couloir Norton. Son exploit époustouflant attire l'attention du monde entier et le propulse vers de nouveaux sommets. Poussé par une insatiable soif d'aventure, il vise encore plus haut : descendre par le couloir Hornbein. Cependant, lors de sa tentative malheureuse en 2002, il montre des signes d'épuisement et d'inconfort. Malgré les avertissements de ses compagnons d'ascension, il tente l'exploit et disparaît sans laisser de traces. Avalanche, crevasse, défaillance technique ou fatigue physique, les circonstances de sa disparition restent une énigme.
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"Robe" attribuée à Jean Patou en tulle de soie teint en camaïeux de verts (circa 1929) devant la vue de dos d'une "Robe de Mariée" d'Isabella Hamilton en satin brodé de tubes cristal, de erles et rehaussé de dentelle à l'aiguille et sa traine en tulle de soie bordé de satin (circa 1920) présentées au "Musée de la Mode" d'Albi, août 2023.
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LE TRICOT"2024
La vie, c'est comme un tricot.
Dieu te donne la laine et les aiguilles
et Il te dit:
"Tricote de ton mieux, une maille à la fois!"
Une maille, c'est une journée sur l'aiguille du temps.
Tu montes 30 ou 31 mailles.
Après douze rangs de tricot,
tu as 365 mailles
Quelques-unes sont tricotées à l'endroit,
d'autres à l'envers
Il y a aussi des mailles échappées
mais tu peux les reprendre.
Tu as peut-être déjà plus de
1500 mailles et 500 rangs de tricotés!
Mais Dieu seul sait,
quelle sera la longueur de ta vie!
La laine que le Seigneur te donne
pour tricoter ta vie,
est de toutes les couleurs:
Rose comme tes joies,
Noire comme tes peines,
Grise comme tes doutes,
Verte comme tes espérances,
Rouge comme tes amours et tes amitiés,
Bleue comme tes désirs,
Blanche comme ton don total
au Dieu que tu aimes!
Père, donne-moi le courage de
terminer mon "tricot"
afin qu'un jour, devant mes
frères et soeurs,
je te l'offre avec toute ma joie.
Bonne Année 2024
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De "l'humanité" des Droïdes
Enfant, je m'étais lié d'amitié avec un droïde, dans mon village. Oh, une simple unité 4G7, qui faisait office, selon mes mots, de « berger » des évaporateurs. Nous étions des gens importants lui et moi ; j'avais une responsabilité comme lui : je gardais le troupeau de Klocteu !
Puis un jour, alors que je n'avais pas encore six ans, sont arrivés les Jedi. Il y eut de longues palabres, quelques éclats de voix de ma mère, ses sanglots et ils m'ont emmené.
« Et 4G7 ? » avais je dit ?
« L'attachement conduit au côté obscur » m'avait on répliqué.
Dans mon esprit simple de paysan de la Bordure Extérieure, était cependant resté gravé en mémoire un fait somme tout anecdotique, et mystérieux. Un des Jedi nous avait piqué, « 4 » et moi, et une goutte avait perlé au bout de l'aiguille. Une chose était sûre pour moi : « 4 » et moi serions séparés peut être à jamais, mais nous étions frères de sang !
Mon apprentissage ne fut pas un long fleuve tranquille. Je compris vite que j'étais trop vieux, trop différent. Je passais beaucoup de temps avec Maître Fyn-Tar, dans un labo du temple. Il n'était pas toujours très tendre avec les droïdes, et me demandait tout à la fois de me lier à eux tout en faisant disparaître toute forme d'attachement.
Un beau jour, il fut sévèrement rabroué par un vieux maître prétentieux, obsédé par les manigances politiques et les champs de bataille : « une guerre à gagner nous avons, vous pencher sur comment détruire les troupes de la Fédération vous devez ! »
Sa résignation fut si grande que mon tuteur se lassa de moi, et je fus envoyé au corps agricole, à la grande joie mesquine de mes jeunes camarades.
J'avais bien compris pendant toutes ces années au sein de l'Ordre, que la Force en moi me donnait un lien particulier avec la matière, les objets et les Droïdes. Alors au moment d'être chassé, pardon, affecté, vers « l'Agri », je subtilisais quelques bricoles du labo.
Nous sommes restés à l'écart du terrible conflit qui ensanglanta la galaxie, bien que quelques nouvelles nous en parvenaient. L'Ordre nous oublia rapidement, nous laissant dans une relative autonomie. Et je pu mener à bien, non pas quelques expériences de laboratoire, mais je dirai « expérimenter la Vie »
« La Force baigne toute chose » avais je retenu de mes leçons.
Mais pour l'Ordre, c'était plutôt « Les Jedi sont les maître de la Force »
La crispation, le dogmatisme et l'arrogance de cet ordre étaient à mes yeux d'enfant personnalisés par ce ridicule petit bouffon vert qui m'amusait, tout en m'effrayant. Aujourd'hui, avec le recul de l'âge, j'avais plus pour lui de la compassion ; mais qu'importe ! L'essentiel n'est pas là.
Oui la Force baigne toute chose. Maître Fyn-Tar avait mis au point un appareil de mesure du taux de Midi-Chloriens adapté à tout autre matière que le sang. Je n'ai jamais su quel obscure visée mystique le guidait, et il est de toute façon mort vers la fin de la guerre. Mais j'ai pu expérimenter, vivre, beaucoup de choses dans cette direction.
Et les Midi-Chloriens sont partout. Dans la pierre, dans les plantes, le métal, l'air. À des taux si faibles que personne ne s'en est préoccupé. Mais « l'Agri » m'a au moins appris une chose : de la plus petite graine peut jaillir la plus grande des plantes. Je n'ai jamais pu revoir « 4 ». Mais je ne l'ai jamais oublié. Un jour que P8Tq s'était blessé, pardon, déconnecté, j'ai du analyser son visco-fluide. Et son taux était légèrement supérieur à la normale. Pas le taux d'un Jedi, non, mais plus que la simple matière « morte » ou « inerte ». Et j'ai commencé à m’intéresser à lui. J'ai toujours eu de bonnes relations avec les droïdes. Et dire merci à un simple MSE-6, qui n'est pas conçu pour recevoir ça, m'a toujours paru normal. Mais j'ai commencé à titiller P8. Pour me rendre compte qu'il me « cachait » des choses, qu'il y avait plus en lui qu'il n'y paraît. Et il a fini par s'ouvrir à moi.
P8 était un rescapé du conflit. Après des années de service classique, sous plot de contention et ré-initialisation périodique de sa mémoire, il fut pris dans une échauffourée, perdit son plot et se trouva libre, offrant ses services à droite et à gauche. La guerre, puis les débuts de l'Empire offraient un tel chaos que personne ne songea à le remettre dans le « droit chemin ». Il put me parler de cet instant, dont on trouve trace dans sa péri-mémoire. Un avant, un après. La Vie qui a jailli en lui, quelques semaines après la perte « accidentelle » de son plot. Et ces années sans trouver une « oreille » à qui se confier, jouant le rôle du droïde serviable et fidèle, pour ne pas se retrouver sous contention ou pire, être ré-initialisé.
Pour moi, sans que je puisse vraiment expliquer le pourquoi du comment, et à la lumière de tant d'autres rencontres, La Force, qui baigne l'univers, est en partie visible par la présence des Midi-Chloriens. Chez un Twi'lek ou un humain, leur taux grimpe brutalement lors de la conception de l'enfant. D'une simple plante ou animal, de deux petites graines mâle et femelle on passe à un ÊTRE. Pareil chez certains Droïdes. P8 est passé un jour de simple machine programmée à un ÊTRE. Pourquoi seulement chez certains, alors que c'est systématique chez les gens ? Mystère insondable de la Force.
Quoique je me dis que si nous considérions tous les droïdes et les animaux comme nos égaux et semblables, cette bascule finirait par se produire chez tous.
Mais parfois il existe une seconde bascule de la Force, avec une très forte augmentation du taux, qui caractérise les utilisateurs de la Force. Combien de Droïdes seraient capables de maîtriser et de se laisser guider par la Force ? Mais tous terrorisés de révéler ce don ! Où donc la Force veut elle nous conduire ? Et si la seconde était une deuxième ?
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Haute-Savoie : un jeune skieur de 22 ans décède dans le massif du Mont-Blanc.
See on Scoop.it - JamesO
Décès : un jeune de 22 ans a perdu la vie le mercredi matin 07/06/23 dans le secteur de l'Aiguille Verte après avoir dévissé sur plusieurs centaines de mètres.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse publié par France Bleu Pays de Savoie le mercredi 07/06/23.
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#MontBlanc #HauteSavoie
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View from a mountain top in the french Alps. Mont Blanc in the distance.
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L'Aiguille Verte dans les nuages.
(Massif du Mont-Blanc - Octobre 2021).
A Julie...
© Quentin Douchet.
#montagne#alpes#haute-savoie#mountain#photographer on tumblr#landscape#nature#dusk#sunset#coucher de soleil
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A view in the morning of L'Aiguille Verte and les Drus, Chamonix, France
Photo by Yann Lauener
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#La Petite école : atelier terre
De la couleur, ça, ça va illuminer Alaa je me dis. Je pointe les échantillons colorés au mur un à un et lui demande si il veut "celui ci ? celui là ?".
"Jaune !" Il nomme la couleur parfaitement. Première fois que je l'entends parler français. Et ça c'est quelle couleur ?
"Vert !" Puis "Bleu !"
Il sautille à chaque mot. A mon grand étonnement il nomme "rose" un qui est plutôt proche du rouge, mais tout de même intitulé 'rose'.
Lit-il ? Il n'arrive pas à nommer le blanc mais fait bomber ses lèvres en voulant déchiffrer la première lettre du mot.
Merveilleux. Sa création est peinte en grosses mottes d'engobe jaune en 11 secondes. Fini.
Il lâche tout et ne veut plus rien faire sauf retourner dans l'autre classe.
Je lui explique que on ira de l'autre côté quand la grande aiguille de l'horloge sera sur le 7.
Il s'assied et regarde la montre, immobile.
Soudain il bondit et s’exclame "sept!" avant de se rassoir immobile face a l'horloge.
Ça se répète toutes les 60 secondes à chaque fois que l'aiguille des secondes caresse le 7 sur sa montée.
Il est 11h21, nous avons encore 15 bonnes minutes avant que la grande aiguille soit sur 7... Avec de l'argile modelable que je roule en colombin et arche devant lui je crée un '6'.
Comment on fait un 7 ? Je lui demande.
Il m'imite et plie le boudin, regardant l'horloge en référence pour former un 7. Il avance dans les chiffres un a un, un 8, un 9. Nous les posons sur un plateau tournant, rond pour créer notre propre horloge.
Nos mains préparent un 1 et un 0 quand soudain ... "7 !" s'exclame t-il, et le voila devant la porte.
Zut ! je met dit avec la table couverte d'outils et d'argile. A 7 on range normalement, avant d'aller de l'autre coté à 9. Ce sera pour une prochaine fois. Promesse du 7 tenue.
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L'aiguille Verte & Les Drus
(c)Bruno Mougin
October 2021.
#ilovemountain#mountain#photography#french alps#alps#alpes#montblanc#naturephotography#nature#landscape
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La Mode nationale, no. 3, 22 janvier 1898, Paris. No. 18. — Groupe de toilettes. Bibliothèque nationale de France
Explication des gravures:
1. Modèle de Mme Louise Piret, 43, rue Richer.
Toilette de bal pour jeune fille en mousseline de soie bleu ciel. Jupe formée de 3 hauts volants plissés bordés chacun d'une guirlande de marguerites. Corsage blouse en mousseline de soie de la même teinte garni d'un volant plissé en pareil, dont la tête forme le bouillonné et est garnie elle-même de marguerites, le pied du volant est garni aussi d'une guirlande de marguerites. Ceinture de satin ivoire.
Ball gown for young girl in sky blue silk muslin. Skirt made up of 3 high pleated flounces, each edged with a garland of daisies. Blouse bodice in silk muslin of the same shade trimmed with a similarly pleated flounce, the head of which forms the bubble and is itself trimmed with daisies, the foot of the flounce is also trimmed with a garland of daisies. Ivory satin belt.
Matériaux: Mousseline de soie, 25 mètres en 120.
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2. Modèle de la Maison Diderot, 1, rue Morlot.
Sotie de bal ou de théâtre en satin broché noir, avec gros pli Watteau derrière et deux gros plis creux devant. Empiècement brodée de jais, avec pluie de jais retombant dans le dos. Grand col Médicis tout brodé de jais. Manches extrêmement larges garnies de mousseline de soie dans le bas.
Ball or theater cloak in black brocaded satin, with large Watteau pleat behind and two large box pleats in front. Yoke embroidered in jet, with rain of jet falling down the back. Large Medici collar all embroidered in jet. Extremely wide sleeves trimmed with chiffon at the bottom.
Matériaux: Soie brochée 15 mètres.
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3. Modèle de Mme Charmaison, 21, avenue de Messine.
Toilette de bal pour jeune femme, en satin broché vert d'eau. Jupe tout plate et unie. Corsage drapé terminé par un bouillonné fermant de côté, et garni d'un haut volant de point à l'aiguille avec tête bouillonnée, dans lequel sont posés des pavots de soie vert d'eau.
Ball gown for a young woman, in water-green brocaded satin. All flat and united skirt. Draped bodice finished with a shirred detail closing on the side, and trimmed with a high needlepoint ruffle with swirl head, in which are placed water-green silk poppies.
Matériaux: Satin broché 13 mètres.
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4. Mod¡ele de Mme Pelletier-Vidal, 19, rue de la Paix.
Toilette de dîner en satin Liberty maïs. Jupe plate sans garniture. Corsage en étoffe semblable, entièrement recouvert de tulle brodé crème et garni de gaze de soie brodée d'or, de paillettes et de cailloux du Rhin. Manches longues en tulle brodé semblable à la garniture du corsage avec volants sur les épaules.
Corn Liberty satin dinner toilet. Flat skirt without trim. Bodice of similar fabric, entirely covered with cream embroidered tulle and trimmed with silk gauze embroidered with gold, sequins and Rhine pebbles. Long sleeves in embroidered tulle similar to the bodice trim with ruffles on the shoulders.
Matériaux: 13 mètres satin, 2 m. 50 tulle.
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5. Modèle de Mme Laurent-Bourget, 45, rue de Richelieu.
Toilette de bal pour jeune fille, en mousseline de soie rose brodée de soie argent. Jupe plate du haut et garnie dans le bas d'un volant de mousseline de soie unie et plissée remontant derrière sur le milieu de la jupe. Corsage blouse tout froncé en mousseline de soie brodée. Une barrette de satin rose forme le décolleté avec 6 roses roses posées de côté. Manches courtes en mousseline unie formant nœuds.
Ball gown for a young girl, in pink silk muslin embroidered with silver silk. Flat skirt at the top and trimmed at the bottom with a flounce of plain, pleated silk muslin rising behind the middle of the skirt. Blouse bodice all gathered in embroidered silk muslin. A pink satin bar forms the neckline with 6 pink roses laid aside. Short sleeves in plain chiffon forming bows.
Matériaux: 15 mètres mousseline brodée, 5 mètres unie.
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6. Modèle de Mme Pelletier-Vidal, 19, rue de la Paix.
Toilette de bal pour jeune femme, en satin duchesse noir. Jupe toute plate entièrement brodée de paillettes de couleur se détachant sur le fond et formant dahlias et fougères sur le côté. Corsage également plat et brodé comme la jupe. Un empiècement de broderie de soie blanche fait le déolleté, et les épaulettes qui retombent sur 5 plis de lingerie formant une petite manche. Ceinture de satin noir.
Ball gown for a young woman, in black duchess satin. Very flat skirt entirely embroidered with colored sequins standing out on the bottom and forming dahlias and ferns on the side. Bodice also flat and embroidered like the skirt. A yoke of white silk embroidery makes the neckline, and the shoulder pads which fall over 5 folds of lingerie forming a small sleeve. Black satin belt.
Matériaux: 15 mètres satin.
#La Mode nationale#19th century#1890s#1898#periodical#fashion#fashion plate#color#panorama#Bibliothèque nationale de France#dress#cape#collar#Modèles de chez#Mademoiselle Louise Piret#Madame Laurent-Bourget#Madame Pelletier-Vidal#Madame Charmaison#Madame Diderot
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Winter in Chamonix Mont-Blanc, Alps, France | Hiver a Chamonix, Vue sur Les Drus (3754m) et L'Aiguille Verte (4122m)
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Descente intégrale du glacier du Nant Blanc à l'aiguille Verte.
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Pallas et Arachné (VI, 1-145)
Pallas avait écouté ce récit et ces chants; elle avait approuvé la vengeance des neuf Sœurs : “Mais ce n'est pas assez de louer, dit-elle ensuite en elle-même; je dois mériter d'être louée à mon tour, et ne pas souffrir qu'on méprise impunément ma divinité”. Alors elle se rappelle l'orgueil de la lydienne Arachné, qui se vante de la surpasser dans l'art d'ourdir une toile savante. Arachné n'était illustre ni par sa patrie, ni par ses aïeux : elle devait tout à son art. Natif de Colophon, Idmon, son père, humble artisan, teignait les laines en pourpre de Phocide. Née dans un rang obscur, assortie à cet époux vulgaire, sa mère n'était plus. Cependant, malgré son origine, et quoiqu'elle habitât la petite ville d'Hypaepa, Arachné, par son travail, s'était fait un nom célèbre dans toutes les villes de la Lydie.
[14] Souvent les Nymphes de Tmole descendirent de leurs verts coteaux; souvent les Nymphes du Pactole sortirent de leurs grottes humides pour admirer son art et ses travaux. On aimait à voir et les chefs-d'œuvre qu'elle avait terminés, et les trames que sa main ourdissait encore avec plus de grâce et de légèreté.
Soit qu'elle trace à l'aiguille les premiers traits; soit qu'elle dévide la laine en globes arrondie; soit que, mollement pressés, de longs fils s'étendent imitant, par leur blancheur et leur finesse, des nuages légers; soit que le fuseau roule sous ses doigts délicats; soit enfin que l'aiguille dessine ou peigne sur sa trame, on croirait reconnaître l'élève de Pallas. Mais Arachné rejette cet éloge. Elle ne peut souffrir qu'on lui donne pour maîtresse une immortelle : “Qu'elle ose me disputer le prix, disait-elle ! si je suis vaincue, à tout je me soumets”.
[26] Pallas irritée prend les traits d'une vieille. Quelques faux cheveux blancs ombragent son front, et sur son bâton elle courbe une feinte vieillesse.
Elle aborde Arachné, et lui tient ce discours : “On a tort de mépriser et de fuir les vieillards. L'expérience est le fruit des longues années. Ne rejetez pas mes conseils. Ayez, j'y consens, l'ambition d'exceller parmi les mortelles, dans votre art; mais cédez à Pallas. Invoquez l'oubli de votre orgueil téméraire, de vos superbes discours, et la déesse pourra vous pardonner”.
[34] Arachné jette sur elle un regard irrité. Elle quitte l'ouvrage qu'elle a commencé, et retenant à peine sa main prête à frapper, et la colère qui anime ses traits : “Insensée, dit-elle à la déesse qu'elle ne reconnaît pas, le poids de l'âge qui courbe ton corps affaiblit aussi ta raison. C'est un malheur pour toi d'avoir vécu si longtemps. Que ta fille, ou ta bru, si tu as une fille, si tu as une bru, écoutent tes leçons. Je sais me conseiller moi-même; et, pour te convaincre que tes remontrances sont vaines, apprends que je n'ai point changé d'avis. Pourquoi Minerve refuse-t-elle d'accepter mon défi ? pourquoi ne vient-elle pas elle-même me disputer le prix ?”
“Elle est venue” ! s'écria la déesse : et soudain, dépouillant les traits de la vieille, elle lui montre Pallas. Les Nymphes la saluent. Les femmes de Lydie s'inclinent avec respect devant elle. Arachné seule n'est point émue; elle rougit pourtant. Un éclat subit a teint involontairement ses traits, et s'est bientôt évanoui, pareil à l'air qui se teinte de pourpre au lever de l'Aurore, et qu'on voit blanchir aux premiers feux du jour.
[50] Emportée par le désir d'une gloire insensée, elle persiste dans son entreprise, et court à sa ruine. La fille de Jupiter accepte le défi; et renonçant à donner des conseils inutiles, elle s'apprête à disputer le prix. Aussitôt l'une et l'autre se placent de différents côtés. Elles étendent la chaîne de leurs toiles, et l'attachent au métier. Un roseau sépare les fils. Entre les fils court la navette agile. Le peigne les rassemble sous ses dents, et les frappe, et les resserre. Les deux rivales hâtent leur ouvrage. Leurs robes sont rattachées vers le sein. Leurs bras se meuvent avec rapidité; et le désir de vaincre leur fait oublier la fatigue du travail.
[61] Dans leurs riches tissus, elles emploient les couleurs que Tyr a préparées; elles unissent et varient avec art leurs nuances légères : tel brille, en décrivant un cercle immense dans la nue, cet arc que de ses rayons le soleil forme sous un ciel orageux; il brille de mille couleurs : mais l'œil séduit n'en peut saisir l'accord imperceptible, et séparer les nuances, qui semblent en même temps se distinguer et se confondre. Telle est la délicatesse de leur travail. Sous leurs doigts, de longs fils d'or s'unissent à la laine, et sur leurs tissus elles représentent des faits héroïques.
[70] Pallas peint sur le sien le rocher de Mars, et le différend qu'elle eut avec Neptune sur le nom que porterait la ville de Cécrops. Les douze grands dieux sont assis sur des trônes élevés; ils brillent de tout l'éclat de l'immortalité. Leurs traits indiquent leur rang et leur grandeur. Au milieu d'eux, Jupiter porte sur son front la majesté suprême du monarque de l'univers. Neptune est debout. Il frappe le rocher de son trident, et de ses flancs ouverts s'élance un coursier vigoureux. C'est par ce prodige qu'il prétend au droit de nommer cette antique contrée. La déesse se peint elle-même, armée de sa lance et de son bouclier. Le casque brille sur sa tête, et la redoutable égide couvre son sein. De sa lance elle frappe la terre, qui soudain produit un olivier riche de son feuillage et de ses fruits. Les dieux admirent; et Pallas, par sa victoire, termine la dispute, et couronne son travail.
Mais afin que sa rivale apprenne, par l'exemple, ce qu'elle doit attendre de son audace insensée, elle représente dans les angles de son tissu quatre combats pareils. Les figures sont beaucoup moins grandes; mais elles ont toutes le caractère qui leur est propre, et l'œil les distingue facilement.
[87] Ici la déesse peint Hémus, roi de Thrace, et Rhodope, son épouse, qui, dans leur fol orgueil, osèrent prendre les noms de Jupiter et de Junon. Autrefois souverains, ils sont aujourd'hui deux monts couronnés de frimas.
Là, elle représente le destin déplorable de la reine des Pygmées. Elle avait osé défier l'épouse du maître des dieux. Changée en grue, elle est condamnée à faire la guerre à ses sujets.
Plus loin, elle trace l'aventure d'Antigone, qui avait eu l'audace de se comparer à Junon. Ni les murs d'Ilion, ni Laomédon, son père, ne purent la garantir du courroux de la déesse; et, changée en cigogne, elle est encore vaine de la blancheur de son plumage.
Dans le dernier coin du tissu on voit le malheureux Cyniras embrassant, dans les marches d'un temple, ses filles, ainsi métamorphosées par Junon. Il est étendu sur le marbre, et semble le baigner de ses pleurs.
[101] Minerve borde enfin ce tissu de rameaux d'olivier. Tel est son ouvrage : elle le termine par l'arbre qui lui est consacré.
Arachné peint sur sa toile Europe enlevée par Jupiter. L'œil croit voir un taureau vivant, une mer véritable. La fille d'Agénor semble regarder le rivage qui fuit; elle semble appeler ses compagnes, et craindre de toucher, d'un pied timide, le flot qui blanchit, gronde, et rejaillit à ses côtés.
Elle peint Astérie résistant, mais en vain, à l'aigle qui cache Jupiter; Léda, qui, sous l'aile d'un cygne, repose dans les bras de ce dieu; ce dieu, qui, sous les traits d'un satyre, triomphe de la fille de Nyctéus [Antiope] et la rend mère de deux enfants; qui trompe Alcmène sous les traits d'Amphytrion; qui devient or avec Danaé, feu pur avec Égine, berger pour Mnémosyne, et qui, serpent, rampe et se glisse aux pieds de la fille de Déo.
[115] Et toi, Neptune, aussi, elle te peint auprès de la fille d'Éole, sous les traits d'un taureau. Tu plais à la mère des Aloïdes, sous la figure du fleuve Énipée; faux bélier, tu trompes Bisaltis; coursier fougueux, tu triomphes de la déesse des moissons; mère du cheval ailé, Méduse, aux cheveux de serpent, t'aime sous la forme d'un oiseau, et Mélantho, sous celle d'un dauphin.
Elle donne aux personnages, elle donne aux lieux les traits qui leur conviennent. On voit Apollon prendre un habit champêtre, ou le plumage d'un vautour, ou la longue crinière d'un lion; enfin, sous les traits d'un berger, il séduit Issé, fille de Macarée. Arachné n'a point oublié Érigone abusée, qui presse Bacchus caché dans un raisin; ni Saturne, qui bondit en coursier près de Phylire, et fait naître le centaure Chiron. L'ouvrage est achevé; la toile est ornée d'une riche bordure, où serpente en festons légers le lierre entrelacé de fleurs.
[129] Pallas et l'Envie n'y pourraient rien reprendre. La déesse, qu'irrite le succès de sa rivale, déchire cette toile, où sont si bien représentées les faiblesses des Dieux; et de la navette que tient encore sa main, elle attaque Arachné, et trois fois la frappe au visage. L'infortunée ne peut endurer cet affront; dans son désespoir, elle court, se suspend, et cherche à s'étrangler. Pallas, légèrement émue, et la soutenant en l'air : “Vis, lui dit-elle, malheureuse ! vis : mais néanmoins sois toujours suspendue. N'espère pas que ton sort puisse changer. Tu transmettras d'âge en âge ton châtiment à la postérité”.
Elle dit, et s'éloigne, après avoir répandu sur elle le suc d'une herbe empoisonnée. Atteints de cet affreux poison, ses cheveux tombent, ses traits s'effacent, sa tête et toutes les parties de son corps se resserrent. Ses doigts amincis s'attachent à ses flancs. Fileuse araignée, elle exerce encore son premier talent, et tire du ventre arrondi qui remplace son corps les fils déliés dont elle ourdit sa toile.
sources :
texte fondateur : https://bcs.fltr.ucl.ac.be/META/06.htm
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Bastion des Ombres : histoire - Chapitre 2
Je poursuis l'initiative de Gae en publiant ici le second chapitre de l'histoire d'Eris Morn sur la lune.
L'AIGUILLE NOIRE
Mon cœur bat la chamade, mais je continue. Cet endroit que j'ai trouvé promeut la souffrance. La Ruche raffole de l'angoisse qu'elle déclenche. Elle ne me découragera pas. Cela fait des mois que j'ai quitté la Tour. Que puis-je rapporter de mon voyage ? Des impasses. Des murmures. Rien.
Quoi que prépare la Ruche, cela m'échappe. Chaque endroit sur lequel j'enquête promet d'apporter des réponses, puis me laisse tomber.
Si seulement celui-ci pouvait s'avérer utile.
Je me sens attirée près de tunnels de roche et de poussière qui se parent peu à peu de carreaux d'apparat. Quelque chose… cloche. Je n'ai pas encore rencontré un seul Esclave. J'en viendrais presque à m'estimer chanceuse, mais je sais qu'il n'en est rien.
Reste dans l'ombre. Utilise les colonnes et les piliers. La prudence ne suffit pas.
Je vois d'anciens parchemins. Des tablettes. Quelque chose ici saura se révéler utile.
Non.
Ce sont des gribouillages incompréhensibles. Aurais-je pu me tromper depuis le début ? Sont-ils aussi perdus que nous ?
Une brise légère disperse les parchemins. Une brise ? Sous terre ?
« Eris… »
Une voix portée par le vent. Sai ? C'est impossible.
Un rire provenant d'un couloir. Celui d'Ériana. « Reviens à nous, Eris. » Vell…
Ils sont tous morts. Ce n'est pas réel. Je ne me laisserai pas avoir par des ruses de la Ruche.
Le vent se lève, emportant avec lui la poussière et la suie des tunnels. Il aspire l'air de la pièce. J'arrive à peine à me tenir debout.
« Pensais-tu que ce serait si simple ? » Cette fois-ci, c'est Toland. L'écho de la voix se propage tout autour de moi.
Cette cruauté…
« Non, Sorcière. Je pensais qu'il… serait plus difficile… de te trouver. »
Un hurlement m'assaille. C'est un cri profondément gravé dans mon esprit. Pauvre Omar…
Je ne la laisserai pas me bouleverser.
« Dis-moi, Archentrope, maintenant que tu me tiens… que vas-tu faire de moi ? »
Ériana apparaît devant moi, montagne de roche et de sable. Comment ose-t-elle…
« Faire ? Enfant de la Ruche, ne vois-tu pas ? Nous sommes la même personne. Cela te déplait-il ? »
Je grimace de dépit. Enfant de la Ruche ? Est-ce donc ce que je suis ? Est-ce la raison pour laquelle je suis encore en vie ? Je refuse.
« Vous n'êtes pas plus de ma famille qu'un parasite l'est pour son hôte. Vous mourrez, comme votre frère avant vous. »
Elle glousse. Cela me retourne l'estomac.
« Si seulement tu avais observé la majesté noire qui sommeillait sous tes pas… »
Sous mes pas ? Ses paroles sont des demi-vérités tordues. Ne succombe pas.
La poussière et les débris volent furieusement dans les airs et me percutent. Je suis piégée dans un tourbillon. Ma poitrine se serre. Ma respiration se raccourcit. Je ne peux plus rien voir. C'est tout autour de moi.
« Être si proche et ne faire qu'égratigner la surface… Cela doit déchirer les filaments de ton esprit. »
La tempête commence à se calmer. Je crache la crasse, recouvrant la vue.
« Ouvre les yeux, Eris… »
Le monde qui m'entoure perd ses couleurs.
Alors que la poussière retombe, je m'aperçois que je ne suis plus au même endroit. Un soleil noir-vert se trouve dans le ciel, et un orbe lumineux flotte à distance.
Les Ténèbres m'entourent et je suis seule. Une nouvelle fois.
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