#l'était
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echo-s-land · 1 year ago
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Y a des fois j'ai envie de me faire surprendre de la même façon que quand j'ai compris que la Toussaint c'est parce que les morts sont tous des saints
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skopostheorie · 2 years ago
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Finished and submitted a one-time-only test and immediately remembered a fact I got wrong
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elmaxlys · 1 month ago
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Mon père : *remarque sur la mort de jmlp*
Ma mère : c'est pas très gentil...
Moi : parce que lui il l'était ?
Ma mère : 😶😐
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chifourmi · 3 months ago
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Bon voilà c'est fini. On a parlé et on a compris qu'on avait tous les deux des sentiments, comme je le pensais. Mais le désir n'est plus là de son côté, malgré les sentiments. Son voyage au Portugal lui a fait se rendre compte que nos rapports ne lui manquaient pas. Je lui manquais mais pas au niveau sexuel.
Donc on a décidé d'arrêter de se faire souffrir. Ça nous a soulagé d'un poids. On a énormément pleuré. On va rester en contact mais ne plus se voir pendant un petit temps au début pour se laisser de la distance, réfléchir et se retrouver individuellement.
Au fond je crois que c'est un blocage quelque part dans sa tête. À cause de mon voyage, entre autre. Il a souvent abordé le sujet. Puis il m'a expliqué que le désir était parti petit à petit à force de coucher ensemble, parce que c'était galère pour qu'il finisse. Je crois que ça l'a fait douter, ça lui a fait perdre confiance en ses capacités et finalement ça lui a fait perdre tout désir pour moi. Tout comme moi qui ai fini par perdre du désir pour lui suite à ça. Je finissais par fantasmer sur le fait d'aller voir ailleurs juste pour me prouver que j'étais désirable. Bon, je ne l'aurais jamais fait évidemment. Je me dis que soit ça n'aurait pas marché dans tous les cas, même sans mon voyage, soit il y aurait eu moyen de travailler sur tout ça. Mais je crois que de toute façon, là, ce n'est pas le moment. Ces dernières semaines, on a vraiment eu l'impression de se forcer niveau sexe. Ça ne devenait plus naturel. Même si après les débuts un peu forcés, c'était très bon. Il trouvait aussi que ça l'était, ça m'a un peu rassurée. Mais on a besoin de distance maintenant, on a pas envie de finir par ne plus se supporter et se dégoûter.
Maintenant on doit vraiment se concentrer sur nous. Je vais me concentrer sur mon voyage et il va travailler sur lui. Parce qu'il a compris qu'il avait été un peu égoïste. Il voulait vraiment être en couple mais n'était pas prêt du tout. Son addiction à la beuh, ses problèmes de colère, d'impulsivité et d'impatience. Il en a pris conscience et s'est excusé pour ses comportements toxiques.
On s'est dit qu'on verrait comment les choses se font, on ne se ferme pas à un futur à deux si les conditions font que ça pourrait vraiment marcher.
Dans tous les cas, je ne regrette absolument rien. Je suis tellement contente de l'avoir rencontré. Je me sens super chanceuse que nos routes se soient croisées et qu'il fasse à jamais partie de ma vie maintenant, d'une façon ou d'une autre. Et même si un jour on ne se parle plus du tout, je suis tellement heureuse de savoir qu'il existe quelque part dans le monde. C'est un garçon merveilleux. Et cette fois je le dis en âme et conscience sans l'idéaliser.
To be continued.
(23/11/2024)
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alain-keler · 3 months ago
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New York, juin 1993.
Au premier plan deux amoureux, en arrière-plan le pont de Manhattan. La jeune fille semble inquiète. Au loin sur l'East River un bateau, des lumières. 
New York est une ville merveilleusement folle, ou l'était lorsque j'y habitais, longtemps avant cette photo. C'était la ville où tout était possible, le meilleur comme le pire. Elle vivait 24 heures sur 24, comme on l'entendait sur les stations de radio. 
J'y allais en 1971 pour une amoureuse. Sans doute effrayée par ma venue, avec très peu d'argent, un visa touriste, elle quitta la ville de mes r��ves pour...la France. Je restais. J’y achetais mon premier Leica, fit toutes sortes de bouleaux, devint photographe.
C'est à cela que je pense en regardant cette photo paisible.
Demain, les États-Unis jouent très gros. Le reste du monde aussi.
Cette jeune femme a trente et un an de plus. Moi aussi d'ailleurs. 
Demain sera un autre jour, pour le meilleur ou pour le pire.
J'ai bien peur que ce soit pour le pire.
J'espère me tromper.
Il y aura d'autres amoureux qui viendront contempler le Manhattan Bridge.
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claudehenrion · 1 month ago
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Mais enfin... qu'est-ce que je t'ai fait ?
Tout à commencé ''un 24 mai'' pas tout à fait comme les autres... lorsque je me suis retrouvé, en pleine rue avec un diagnostic totalement inattendu de pathologie pulmonaire.. On croit aller et venir librement... et on se découvre au bout d'une ''longe'' qui vous entrave, trop courte... Au mieux, ce pourra être un œdème pulmonaire qui vous encouragera à vous ébattre dans une piscine parfois conçue trop grande pour vous... et au pire, ce sera une ''quelque choz-o-pathie'' plus ou moins précisémenr désignée....
Mais tout ça, c'était ''avant''. Car depuis, voyez-vous, il y e eu le 24 juin mai... et ''c'est pas rien'' : pas si éloigné que ça du 24 mai, mais avec, en plus, plein de flotte partout, qu'il va bien falloir se résoudre à enlever... par exemple par ''floppées de 3 ou 4 laconnées l'une --dans les 350 hg à chaque coup... Et plus ''ça''va couler en dehors, plus ''ça'' fera de grandes vagues un peu partout... le résultat n'étant pas très esthétique.
Bref, un ''26 mai'', c'est comme un ''24'' mais pas complètement... Ca ressemblerait pluotôt ) à un ''trente octobgre'' qui aurait mal toutné, puisqu'un l'interrompu brutalement : vers les six heures du soir, incapable du moindre mouvement, comme paralysé, sans même pouvoir grimper les 4 marches qui séparent mon appartement de son niveau ''zéro'' : cinq minutes-chrono pour abandonner la voiture en plein milieu du garage, prendre le train et arriver comme une fleur à Ambroise-Paré, prêt à faire face aux horreurs de l'Inquisition ou de la pneumologie. Bien entendu, je ne vais pas vous révéler tout de suite le nombre d'autres dates non-significatives qui ont escorté ma marche vers mon propore acmé : y a eu la chute provoquée, les mauvais traitements, les menaces inacceptables, les violences verbales devant 30 témoins... les points de suture tenus secrets...
Il y avait donc, de fait, un petit côté magique à ce déroulement : en gros, le minimum prétendu syndical était assué sans l'être. quant au reste... il l'était aussi à sa façon, dans le genre ''tu verras bien, à l'arrivée''... Toujours est-il que le départ se faisait beaucoup attendre, mais que j'aurai donc tenu un temps impressionnant.
Mais à ce soir.... je peux enfin crier victoire : que je sache, il ne s'est toujours rien passé... Par d'autres canaux, je me suis faufliié hier soir dans une autre équipe ... qui m'a manifesté sa satisfaction de mon comportement en me donnant un rv par jour, de ce mardi-qui-vient jusqu'à vendredi prochain... Et moi de me reprendre à rêver .... Et si ''ils'' me trouvaient quelque chose ? Je vous promets de vous tenir au coutant.... le cas échéant !
H--Cl.
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kilfeur · 2 months ago
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Un enfant compliqué
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La saison finale nous a donné des moments forts et intéressants concernant Ezran que ce soit en tant que roi ou bien en tant que jeune frère. Mais aussi sur ses principes montrant les échecs de ce dernier. Cependant ils étaient nécessaires pour montrer les défauts de son approche. Lorsqu'il arrive dans les ruines de Katolis, il a encore du mal à réaliser ce qui s'est passé. La scène du trône montrant un dernier souvenir de ses parents avant qu'ils disparaissent, ça fait mal. Et même quand il monte de nouveau au trône, c'est comme pour retrouver une certaine stabilité !
Quand Runaan arrive, son ressenti explose et sa colère est compréhensible mais pas le blâme envers lui. D'ailleurs même quand les autres essaient de le calmer, le fait qu'il soit sur le trône alors que ses amis sont en bas. Montre justement la distance qui commence à se creuser ! Même quand Rayla arrive de manière impulsive, il n'aime pas le fait qu'il soit qualifié comme "un gentil assassin." Même Callum était distrait pendant la réunion et lorsqu'il vient le voir dans le manoir Banther, il pointe du doigt le fait qu'il soit une tête de mule. Quand à l'argument de Zubeia, je l'ai jamais vraiment aimé. A mes yeux, c'était surtout un moyen de dédouaner Runaan de toute faute. Mais dans leur discussion, ça fait sens bien qu'à mes yeux l'une des raisons pour laquelle il l'a pardonné, est justement parce qu'elle est une mère. Contrairement à Ezran et Sarai, Zym et Zubeia ont l'opportunité de se revoir. Et les circonstances étaient tout aussi différentes avant, tout comme ça l'était pour Runaan et Harrow.
Comme je l'avais dit pour mon analyse sur Callum, il est porté par cette narration de peur amené par Harrow dans sa lettre, la peur de perdre davantage ! Et c'est arrivé, en poussant son armée vers Rayla et Callum, il les perd malgré la rancoeur qu'il éprouvera pour son grand frère par la suite. Leur situation est complexe aucun d'entre eux n'a raison ! Même si Aanya est là, elle lui propose une alternative le fait de créer des armes. Et c'est aussi là qu'on voit Ezran se détourner de ses principes. Vous connaissez l'expression "Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre, et finit par perdre les deux." ? Cette expression va avec Ezran avec ses principes en voulant privilégier les défenses de son royaume. Même son conseil s'inquiète pour leur roi qu'ils sont censés servir ainsi que Zym.
Deux souverains qui se contrastent et deux oiseaux
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Là où j'avais souligné les parallèles entre Janai et Ezran, deux souverains avec leurs responsabilités en tant que souverains et le fait de gérer leurs royaumes respectifs. Dans cette saison, ils se contrastent là où Janai fait preuve de clémence et essaie de raisonner Karim en apprenant qu'il puisse être père. Celui ci ne veut rien entendre cependant lorsqu'elle fait face à une situation d'urgence contre une menace. Elle n'a d'autres choix que de se tourner vers son frère pour détruire le globe solaire mais se fera de nouveau trahir par Karim ne trouvant que la mort dans la main d'Aaravos. Là où justement Ezran prépare ses défenses avec Aanya. Même suite au départ de Callum et les autres, le fait qu'il veuille les traquer est bien plus personnelle qu'un roi qui veut retrouver son haut mage ! Dans ses idées noires, il repousse même Zym ce qu'il n'aurait jamais fait avant ! Et lorsqu'il a réussit à piéger Aaravos par son embuscade, la lettre de Callum montre qu'il est toujours de son côté malgré leurs ressentis respectifs ! Toutefois à la rencontre de Terry et malgré sa méfiance envers lui, le fait qu'il lui parle de la menace d'Aaravos et présente aussi les deux oiseaux, lui permettant de se reconnecter à nouveau à son amour pour les animaux. Pendant un bref instant, on retrouve le roi qu'on connaît !
Le roi et le titan
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Je trouve les dialogues entre Ezran et Aaravos assez intéressants, malgré la lettre de Callum et le fait qu'Aaravos lui dit qu'il fera de la magie noire. Malgré sa rancoeur, il tient toujours à lui. Même pendant la scène où justement Aaravos plaide son innocence, est un joli contraste avec le "procès" de l'ordre cosmique. Et bien qu'Ezran sent qu'Aaravos ne dit pas toute la vérité, Aaravos le sent aussi. Il est tout à fait possible que leurs interactions avaient quelque chose de similaire entre lui et la reine orpheline. Même celui ci veut qu'il se joigne à lui, prétextant qu'il est son plus grand allié. Qu'il a "sauvé" l'humanité en donnant la magie et que celui est encore jeune contrairement à Aaravos. Ça lui a pas suffit de vouloir l'aîné, il veut le cadet aussi ! D'un autre côté, Ezran parle aussi d'une nouvelle ère mais sans lui, car pour lui, Aaravos ne voit qu'à travers un regard de haine pour avoir ce qu'il désire. Et d'une certaine manière, cette réplique reflète aussi Ezran au début de la saison 7 et après le départ de Callum. En revanche, Aaravos réussit quand même à tromper Ezran lui faisant croire qu'il était arrogant en commentant une erreur en parlant de l'histoire de sa famille. Mais c'est justement qu'il voulait lui faire croire pour qu'il puisse récupérer la lame de Nova afin de le transpercer avec. Même le fait qu'il arrive au moment où Callum s'apprête à exécuter le sort est délibéré pour donner une autre raison de détester Runaan.
Un jour, il arrivera à lui pardonner
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Après le sort interrompu de Callum par l'ancien roi Avizandum, Ezran n'a pas eu à transpercer Aaravos avec la lame de Nova. Et le fait que les archidragons se sacrifient justement pour les sauver. Ces mêmes archidragons dont il avait prit le temps de les rencontrer ne pouvant rien faire pour eux à part d'être là pour Zym maintenant qu'il perd aussi sa mère mais aussi son père pour la deuxième fois. Et Ezran les honore avec une fresque mural dans la vallée des tombes ce qui contraste avec la cérémonie de l'entente entre les humains et les dragons. Quand à Runaan, il se montre sincère sur ce qu'il est, ainsi que son rôle en tant qu'assassin mais aussi en tant que père. Et Ezran sait que ce sera pas facile mais un jour, il arrivera à le pardonnera. Tout comme le fait qu'il tient toujours à Rayla malgré leur désaccord. J'ai d'ailleurs pas mal aimé la scène de réconciliation car pour moi elle reflète pas la scène du départ de Callum mais plus la scène des ruines de Katolis où justement tout deux sont perdus suite à la perte de leur maisons. Et que la première chose qu'il a trouvé en arrivant et le dragon en peluche faisant référence à sa propre peluche quand il était petit.
Quand au discours de leur nouvelle ville, il montre aussi le nouveau départ d'Ezran en tant que roi, retrouvant ses principes mais sachant aussi ce qu'il devra faire pour veiller sur son peuple mais il ne sera pas seule car ses amis seront là pour le suivre, le guider ou bien le pointer du doigt quand il a tort. Le développement d'Ezran en tant que roi mais aussi en tant qu'enfant et jeune frère est l'un de mes préférés avec Callum. Et si on a l'acte 3, je serai vraiment curieuse de voir quel chemin il continuera de tracer.
A complicated child
The final season gave us some strong and interesting moments concerning Ezran, whether as king or as younger brother. But also about his principles, showing his failures. However, they were necessary to show the flaws in his approach. When he arrives in the ruins of Katolis, he is still having a hard time realizing what has happened. The throne scene, showing one last memory of his parents before they disappeared, is painful. And even when he ascends the throne again, it's as if he's trying to regain a sense of stability!
When Runaan arrives, his feelings explode and his anger is understandable, but not the blame. In fact, even when the others try to calm him down, the fact that he's on the throne while his friends are below. Just shows the distance that's starting to form! Even when Rayla impulsively shows up, he doesn't like the fact that he's being described as “a nice assassin.” Even Callum was distracted during the meeting, and when he comes to see him in the Banther mansion, he points to the fact that he's a stubborn hothead. As for Zubeia's argument, I never really liked it. To me, it was mostly a way of clearing Runaan of any wrongdoing. But in their discussion, it makes sense in my eyes that one of the reasons he forgave her was precisely because she's a mother. Unlike Ezran and Sarai, Zym and Zubeia have the opportunity to see each other again. And the circumstances were just as different before, as they were for Runaan and Harrow.
As I said in my analysis of Callum, he's driven by this narrative of fear brought by Harrow in his letter, the fear of losing more! And so it happens, as he pushes his army towards Rayla and Callum, he loses them despite his later resentment of his older brother. Their situation is complex: none of them is right! Even if Aanya is there, she offers him the alternative of creating weapons. And this is also where we see Ezran turn away from his principles. You've heard the expression “A people willing to sacrifice a little freedom for a little security deserves neither, and ends up losing both”? This expression goes with Ezran's principles in wanting to prioritize the defenses of his kingdom. Even his council is worried about their king, whom they are supposed to serve, as well as Zym.
Two rulers who contrast each other and two birds
Where I had pointed out the parallels between Janai and Ezran, two rulers with their responsibilities as rulers and managing their respective kingdoms. In this season, they contrast each other, with Janai showing mercy on her people and trying to reason with Karim on learning that he could be a father. Karim, however, won't listen when she's faced with an emergency threat. She has no choice but to turn to her brother to destroy the solar globe, only to be betrayed again by Karim, who finds only death in Aaravos' hands. Just as Ezran is preparing his defenses with Aanya. Even with Callum and the others gone, the fact that he wants to track them down is far more personal than a king wanting to find his high mage! In his dark thoughts, he even pushes Zym away, something he would never have done before! And when he succeeds in ambushing Aaravos, Callum's letter shows that he's still on his side, despite their respective feelings! However, when Terry meets him, and despite his distrust of him, the fact that he tells him about the threat from Aaravos and also introduces the two birds, allows him to reconnect once again with his love of animals. For a brief moment, we're reminded of the King we know!
The king and the titan
I find the dialogue between Ezran and Aaravos quite interesting, despite Callum's letter and Aaravos telling him he'll be doing dark magic. Despite his resentment, he still cares about him. Even the scene in which Aaravos pleads his innocence is a nice contrast to the “trial” of the cosmic order. And although Ezran senses that Aaravos isn't telling the whole truth, so does Aaravos. It's entirely possible that their interactions had something similar between him and the orphan queen. Even the latter wants him to join him, claiming he's his greatest ally. That he had “saved” mankind by giving them magic, and that he was still young, unlike Aaravos. It's not enough for him to want the eldest, he wants the youngest too! On the other hand, Ezran also speaks of a new era, but without him, because for him, Aaravos only sees through a look of hatred to get what he wants. And in a way, this line also reflects Ezran at the start of season 7 and after Callum's departure. On the other hand, Aaravos still manages to fool Ezran into thinking he's arrogant by commenting on a mistake when talking about his family history. But this was precisely what he wanted Ezran to believe, so that he could retrieve Nova's blade and pierce him with it. Even the fact that he arrives just as Callum is about to execute the spell is deliberate to give another reason to hate Runaan.
One day, he'll be able to forgive him
After Callum's spell was interrupted by the former king Avizandum, Ezran didn't have to pierce Aaravos with the Nova's blade. And the fact that archidragons sacrifice themselves to save them. The same archidragons he had taken the time to meet, unable to do anything for them except to be there for Zym now that he has lost not only his mother but also his father for the second time. And Ezran honors them with a mural fresco in the Valley of Graves, which contrasts with the ceremony of understanding between humans and dragons. As for Runaan, he's sincere about who he is, and his role as both assassin and father. And Ezran knows it won't be easy, but one day he'll be able to forgive him. Just like the fact that he still cares about Rayla despite their disagreement. I also liked the reconciliation scene, because for me it's not a continuation of the scene where Callum leaves, but more a reflection of the scene in the ruins of Katolis, where they're both lost after losing their homes. And the first thing he finds when he arrives is the stuffed dragon, a reference to his own stuffed toy when he was a child.
As for the speech about their new town, it also shows Ezran's new start as king, regaining his principles but also knowing what he'll have to do to look after his people, but he won't be alone as his friends will be there to follow him, guide him or point the finger at him when he's wrong. Ezran's development as a king but also as a child and younger brother is one of my favorites along with Callum. And if we get Act 3, I'll be really curious to see what path he continues to forge.
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alicedusstuff · 2 years ago
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Pensée nocturne_version française
Wukong n'a jamais écouté les conseils de Macaque. Chaque philosophie sombre était contrée par une pensée heureuse. Chaque avertissement était balayé d'un revers de la main, effacée d'un baiser, soufflée d'un câlin, ou épousseté de l'idée d'un idéal incertain. En soit, tout ce que le Macaque pouvait dire qui n’allait pas dans le sens du légendaire roi singe était ignoré de la plus belle des manières. Et ce n’est que maintenant, dans le creux de son lit, au milieu de la nuit, coincé dans les bras de la cruelle personne qui l’avait tant de fois rejeté et désiré à la fois, que l’esprit de Macaque lui fit un rappel bruyant de sa condition. 
"Wukong ne m'écoute pas…" réalisa Macaque. 
Et l'idée même que cette réalité se répète à nouveau dans le futur dans lequel il se trouvait le paralysait. Était-il sain de reprendre sa relation avec Wukong ? Non. Ça ne l'était certainement pas. Macaque savait plus que trop bien ce que l'un et l'autre voyaient en eux. Le singe de pierre voyait en Macaque, le compagnon fidèle et aimant qu'il regrettait avoir assassiné. Et le singe de l'ombre voyait en Wukong le doux bonheur brûlant qui l'avait forcé à tout nier pour se laisser consumer jusqu'à la tombe. 
C'était clair que si Macaque et Wukong s'étaient une fois  aimés sincèrement à leur premier "je t'aime"; ils n'aimaient tous deux chez l'autre,  aujourd'hui,  que le souvenir fané qu'ils représentaient. 
Aucun d'eux ne se connaissait plus. Leur mouvements restaient en synchronisation; mais ils n'étaient plus harmonisés de la même façon qu'avant. La différence entre ces deux faits était aussi fine et confuse que la différence entre amour et adoration. 
"Wukong ne m'aime pas." Réalise Macaque pour la seconde fois, tandis que son  souffle s'accélère. 
Le singe à la fourrure de jais se retourna dans son lit, et se blottit dans les bras de son compagnon. Depuis la destruction de la maison de Wukong sur la montagne de fleurs et de fruits, le singe de pierre était en cohabitation avec Macaque. La situation les avait rapprochés, et ils avaient alors décidé de reprendre leur relation, depuis longtemps brisée. Mais maintenant, Macaque doutait. Il aurait dû dormir. S'il s'était endormis,  il n'aurait pas pensé autant. Pourquoi diable ne dormait-il pas ? 
Macaque ferma fortement les yeux. Ses muscles se tendirent sous l’effort, comme si tout son corps essayait de le forcer à dormir. Malgré tout, le geste ne fait que rendre Macaque encore plus conscient de ses pensées parasites. Il ne devrait pas penser. Il ne devrait vraiment pas laisser son esprit lui jouer des tours. Mais il n’y pouvait plus rien. Chaque tentative mise en œuvre pour faire disparaître les pensées sombres était conclue par une vague encore plus forte de pensées obscures. 
Dieux! N'allaient-elles pas se taire !?
-Macaque. 
Le cœur de Macaque loupa un battement et ses oreilles s’agitèrent une seconde. Macaque tentait de regarder autour de lui. Il leva les yeux vers Wukong pour voir si ce dernier dormait réellement. 
Avait-il imaginé la voix du sage ? 
Le souffle de Macaque s’arrêta, uniquement pour écouter la respiration de Wukong, s’assurer de si ce dernier était bien celui qui avait ouvert la bouche, ou s’il avait juste entendu une voix. 
Cela lui arrivait souvent à l’époque. Les ombres lui sussuraient toujours un aperçu du futur, ou du passé de temps à autre. Et c’était si réel que Macaque avait du mal à les différencier de la réalité. Mais ces derniers siècles, il avait été seul quand ces manifestations vocales lui étaient arrivées. 
Le souffle de Wukong était régulier, et lourd. Sa peau était chaude. Et bien que Macaque adorait se coller à cette fourrure qui sentait le soleil; il était, là maintenant, bien trop concentré à s’assurer du fait que Wukong dormait bel et bien. 
-Wukong ? 
Murmurra Macaque, incertain, malgré le fait évident que son compagnon n’avait pas pipé mot. La respiration de Wukong changea de rythme, comme si ce dernier s'était réveillé à l’appel de Macaque. Mais non. Il dormait toujours. Macaque le savait. Le singe de l’ombre sourit, satisfait, et mis à l’aise dans les bras de Wukong; s’agitant comme un petit oiseau qui essayait de s'ébrouer pour retirer la pluie de ses plumes. Puis, quand il fut enfin bien installé, il ferma les yeux encore, essayant de remplacer ses inquiétudes par le battement de cœur de l’homme qu’il aimait. 
-Je t’aime Mac…
Macaque se tendit et leva des yeux surpris vers Wukong dont le rythme reprit un ton plus agité, laissant échapper au sage quelques ronflements. C’était une phrase dite de façon incompréhensible. Les paroles d’une personne endormie. Peut-être même que ce n’était rien de plus que les mots échappés tout droit des rêves de Wukong, mais Macaque les avait entendus de façon bien trop claire. 
Wukong avait dit qu’il aimait Macaque. Il avait dit Mac! Pas Liu Er. Wukong n’avait pas utilisé l’ancien nom de Macaque. Il avait…Wukong a…il aimait…il…!
Le cœur de Macaque battait trop vite dans sa poitrine. Il cognait si fort que le singe de l’ombre eut peur que le son réveille Wukong. Oh par pitié, faites que Wukong ne se réveillerait pas. 
Si il le faisait, il verrait certainement le visage rouge de Macaque, et le sourire qu’il était incapable de faire disparaitre. Les yeux du singe à la fourrure de jais montreraient certainement tout l’amour qu’il portait à Wukong? et Macaque n’était pas prêt à ce que Wukong voit cette expression de lui. Ce serait tellement honteux. Il se sentirait si déshonoré, si Wukong découvrait à quel point des mots aussi simples avaient excité le singe à ses côtés. 
C’était stupide de penser ainsi. Mais le Macaque serait prêt à tuer Wukong, plutôt que de lui avouer combien une simple phrase avait été efficace. Suffisamment pour lui permettre d’effacer ses doutes, et lui permettre de dormir à nouveau.  Dieu! Macaque détestait tellement Wukong! Ce crétin était beaucoup trop adorable pour le bien du singe de l’ombre. 
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une-valse-pour-rien · 11 months ago
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L'intention l'était-elle ?
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microcosme11 · 6 months ago
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Napoleon is clueless on Elba during visit of Marie Waleska
À l'Ile d Elbe l'Empereur était entouré de beaucoup de gens qui étant tout nouvellement attachés à son service ne savaient pas ce que c'était que d'avoir de la discrétion, et ce qu'ils virent et ce qu'ils entendirent, ils n'eurent rien de plus chaud que d'aller le conter à qui voulut les entendre. L'Empereur lui même tout en aimant le mystère agissait sans précaution se croyant encore entouré de personnes discrètes. Le soir il sortait de sa tente en robe de chambre allait chez ces dames d'où il ne sortait qu'aux approches du jour. Les factionnaires eux aussi savaient bien quoi penser de ces allées et venues. En affaires amoureuses l'homme le plus simple est beaucoup plus adroit que ne l'était l'Empereur et que ne sont en général les grands seigneurs.
Souvenirs du mameluck Ali (Louise-Étienne Saint Denis) sur l'empereur Napoléon.
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On the Island of Elba the Emperor was surrounded by a great many people, who, being newly attached to his service, did not know what it was to have discretion. What they saw and heard they were eager to go and tell to whomever would listen. The Emperor himself, while loving mystery, acted without precaution, believing himself to be still surrounded by discreet people. In the evening, he left his tent wearing his dressing gown and went to the ladies' house, from which he only emerged at daybreak. The sentries knew well what to think of these comings and goings. In amorous affairs the simplest man is much more skillful than the Emperor, and more than great lords generally are.
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ernestinee · 4 months ago
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J'ai reçu le roman graphique "Tout le bleu du ciel", d'après le roman de Melissa da Costa, pour mon anniversaire. Grosse bd format A4, de 200 pages, avec des belles illustrations.
Je viens de la terminer. C'est une histoire pleine de bons sentiments, deux personnes cabossées par la vie, qui se rencontrent et font un bout de chemin ensemble. Emile a 25 ans, Alzheimer précoce, n'en n'a plus que pour deux ans à vivre et ne veut pas que sa famille le voit dépérir, ni ne lui impose de rester hospitalisé pour des tests sur les effets d'hypothétiques traitements médicamenteux, il passe une annonce pour partir en camping-car avec un ou une partenaire de voyage, et rendre son dernier souffle dans les montagnes. Il rencontre Joanne, qui reste mystérieuse, on apprend son histoire petit à petit, en même temps que lui. C'est l'alchimie entre eux, ils respectent chacun la bulle de l'autre et évidemment le voyage ne sera pas de tout repos.
C'est du feel good à plein poumons, mais avec des petites touches de réflexion sur la maladie, le deuil, le respect des dernières volontés, la perte d'un enfant, le retour en enfance lorsque le cerveau se vide.
Je suis un peu émue dès que je pense à la maladie d'Alzheimer, quand j'avais 19 ans j'ai vu ma grand-mère s'éteindre à petit feu, touchée par cette horrible maladie. Vendredi, j'étais au tél��phone avec ma maman, elle a 70 ans cette année, et j'ai remarqué qu'elle cherchait un peu + certains mots, pourtant assez usuels. Sûrement juste de la fatigue, parce que 5 ans après une triple opération cardiaque pendant laquelle elle a bien failli y rester, elle est hyper active toute la semaine mais surtout le vendredi, elle a commencé cette année des cours de dentelle, ça lui demande 4h de concentration assez soutenue, dans une position pas top mais "ça va, je vais aux toilettes handicapés pour faire des étirements, le fais le chat-vache comme la kiné a dit et ça passe". Mais je vais rester attentive à certains signes qu'on peut retrouver dans le langage. C'est un truc qui m'angoisse très fort, la gestion de la fin de vie.
Mon père est décédé à 41 ans, il était en vie et puis il ne l'était plus. Entre les deux, il y a eu une journée de douleurs à la poitrine que cette abrutie de médecin de garde a pris pour une oesophagite. Je crois que je savais que c'était son cœur et je m'en veux encore de n'avoir eu que 16 ans à l'époque et pas suffisamment d'assurance pour aller à l'encontre d'un avis médical.
Mais ça se passe comment quand ça tire en longueur, quand les personnes qu'on aime ne sont plus elles-mêmes, comprennent leur état et en souffrent ?
Finalement le seul truc qui me rassure un peu c'est redevenir l'enfant qui subsiste en chacun de nous jusqu'à la fin, et offrir à nos aînés l'amour et la bienveillance dans les soins. Peut-être l'occasion de leur offrir aussi du temps et de rencontrer l'enfant qu'ils étaient autrefois.
⭐⭐⭐⭐ mais les illustrations font une grosse partie du boulot, pcq l'histoire ne m'a pas transportée, c'est un peu trop feel good à mon goût, je suis une vieille aigrie. J'ai néanmoins apprécié ce moment chill et apparemment ce roman est un must read pour les amatrices et amateurs du genre. Puis ça a permis de parler de la fin de vie, tiens d'ailleurs j'avais réfléchi récemment aux limites du deuil, je ferais bien un billet là dessus à l'occasion, pour l'ambiance.
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Un de perdu..
Hier, un homme de 58 ans, avec qui je discutais depuis plus de 15 jours, m'a effacé de ses contactes Instagram et Telegram, et bloqué sur Tumblr. Belle preuve d'immaturité et de susceptibilité pour ne pas dire manque de couilles flagrant ! Je pensais qu'à nos âges, nous savions expliquer ce qui ne nous convient pas et partir comme des gens civilisés. Ben non !
Ce qu'il me reprochait, c'est avant toute chose de ne pas vouloir entrer dans la sphère senso-sexuelle avec lui. Nous avons bien accroché dès les premiers échanges, au point qu'il s'est rapidement emballé et a parlé de sentiments, de feeling, de rencontre des âmes en moins de 48 heures. De mon côté, tous les reds flags se sont dressés ! Probablement parce que je ne ressentais pas une telle attirance mais aussi parce que le coup de l'amoureux, on me l'a déjà fait des dizaines de fois et je sais bien que c'est du blabla.
Néanmoins, j'aimais discuter avec lui, j'aimais sa présence jour après jour mais pas de là à dire que nos âmes étaient connectées. Donc, pour lui, comme pour beaucoup d'hommes (trop !) le désir n'a fait que s'accroitre au fur et à mesure que nous discutions de sujet pourtant tout à fait anodins, ce qui m'agaçait au plus haut point. J'ai dû le remettre à sa place et nous avons eu notre première dispute moins d'une semaine après notre premier échange. Mais il est revenu, a promis de ne plus me mettre la pression et de mon côté, j'ai espéré que le désir allait naitre également. Mais il n'en a rien été. Quand il m'envoyait des photos, même s'il était charmant, rien ne se passait. Je le trouvais lisse, je crois. Il faut dire qu'il est Hollandais et que mon type d'homme est plutôt Latin. Les blonds aux yeux bleu, je n'ai jamais vraiment couru derrière. Comment dire à un homme : Ce n'est pas que je n'éprouve pas de désir, c'est que je n'en ai pas pour toi ! Mais mon manque de désir n'était pas uniquement dû au fait qu'il ne soit pas mon type. J'ai eu des hommes qui ne l'était pas non plus et avec qui tout s'est bien passé. Non, je pense que depuis le départ, quelque chose me gênait chez cet homme, je le sentais frustrer, cynique par moments, donneur de leçons, me rendant coupable de tous nos accrochages et essayant de me faire changer et ça, je déteste ! J'ai fini par lui dire, en début de semaine, que nous ferions mieux d'être des amis et rien de plus. Bien qu'il m'ait dit que j'avais raison, il a continué à m'envoyer des piques dès que possible, sur un emoji cœur que deux amis ne doivent pas s'envoyer par exemple, ou sur le fait que je ressentais la même chose que lui sans me l'avouer. Hier, il devait être plus énervé que de coutume de voir que je restais dans la friend zone et il m'a viré. De mon côté, découvrant cela, je l'ai bloqué sur tous les réseaux de façon à ce qu'il ne soit pas tenté de me recontacter dans quelques semaines !
Voilà, fin de l'histoire. Une histoire qui ne cesse de se répéter encore et encore avec plus ou moins de variante. Ces relations nées sur les réseaux sont encore plus fragiles que du verre et bien plus fausses qu'elles n'y paraissent.
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e642 · 10 months ago
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Le point de non retour relationnel, je le ressens comme un long soupire. Un élan pour arranger les choses, et puis, finalement, se résigner à les laisser tel quel. Un "ça ne sert à rien" chuchoter doucement mais constamment. C'est quand tu sens que ça t'impacte toujours mais plus de la même manière qu'avant. Tristesse s'est changée en colère et inquiétude en lassitude. C'est quand le ratio contribution/rétribution d'une des actions que tu t'apprêtes à faire se fait instantanément. Où avant il fallait peser le pour et le contre, là, ça s'impose à nous. Sûrement aussi quand tu ne t'arrêtes plus sur aucune inattention, manque, maladresse, tu te dis que c'est pas grave là où avant ça l'était. C'est cette perte de significativité. Cette indifférence de l'indifférence de l'autre. Il n'y a plus de conditionnel, on est plus dans le aurait pu, aurait dû, j'aimerais que, pourrait faire. C'est plus une question d'attente parce que, petit à petit, ça germe, un jour on se lève et on attend définitivement plus rien de quelqu'un. C'est sûrement ça l'acceptation. Non pas que la relation soit acceptable ou qu'on se résolve à la laisser s'atrophier, au contraire, je crois que c'est à ce moment là que naît le déclic. Le saisir c'est dur, s'en dessaisir l'est peut-être davantage même s'il n'y paraît pas quand on est dans le présent. J'ai toujours trouvé ça surprenant le travail interne qu'il se passe en nous. En les autres. Je ne crois pas qu'on puisse toujours être sûr de se lever émotionnellement intact et indemne de la veille. Ça arrive comme ça. Un jour la réserve est épuisée là où tu pensais pouvoir puiser indéfiniment. La plupart des mises à jour émotionnelles sont libératrices, parce qu'on peut enfin avancer, ou concevoir qu'on puisse avancer, mais elles sont douloureuses aussi. Si ça fait mal c'est parce que ça appelle à faire fatalement des choix qui seront visiblement peu anodins. Il n'y a rien de plus effrayant que de faire un choix en réalité. C'est pas le faire le problème, c'est l'issu, les répercussions, les conséquences. Au fond, c'est compliqué de se dire qu'on saura si notre choix nous dessert uniquement quand il sera fait. C'est pour ça que beaucoup en font peu ou le moins possible en comptant sur le reste du monde pour le faire à leur place histoire de se sentir parfaitement intègre et léger. C'est sûrement ça que j'attends aussi. J'ai toujours voulu qu'on choisisse pour moi. Cependant, je sens au fond de mon cœur cette urgence de prise d'initiative et de décision. Ça me fait mal constamment. Je me demande pourquoi ce serait à moi de faire certains choix alors que j'y suis seulement poussée. C'est injuste. Pourquoi je devrais être maître des conséquences alors que je n'ai pas été maître de l'arrivée du choix ? Pourquoi la lâcheté de certains devraient nous pousser à avoir le courage de faire des choix qui nous appartiennent certes mais dont nous ne sommes pas le décisionnaire réel ?
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elmaxlys · 3 months ago
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yo les frenchies qui regardent des anime, où est-ce que vous allez pour trouver des sous titres et doublages fr ? pcq le site que j'avais a fermé (l'était basé en nouvelle calédonie, tout ça tout ça) et voilà de temps en temps on n'a pas envie de se brancher en anglais :')
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sh0esuke · 8 months ago
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" Strawberry Guy "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Geto Suguru
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Suguru retrouve sa petite amie après les atrocités qu'il a commises en tant qu'exorciste. L'heure n'est pas aux réconciliations, ni à la confrontation.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟔𝟓𝟓.
Song : Stawberry Guy - Mrs Magic
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Je n'arrive pas à croire que je le tiens entre mes mains.
Il est délicat, j'en ai les doigts qui tremblent. À l'instar d'un cœur pulsant il est fragile, sorti hors de sa cage il s'effrite sous mon toucher. Je l'observe difficilement, c'est mon cœur qui se brise à sa vue. L'envie de vomir me prend. Mon ventre me fait mal. À la différence d'un cœur, il ne bat pas, il est dur comme de la pierre doré d'une expression impassible qui me fait mal. Je le tiens aussi parfaitement que je peux. Il me paraît irréel. J'ai peur de le faire tomber Il ne pèse pas plus lourd qu'une plume, j'ai l'impression de toucher un hologramme. Mes doigts se crispent. J'ai les larmes aux yeux. Si je m'accroche je sais que je n'aurais plus l'occasion de le tenir, je sais qu'il me quittera. Il est d'une fragilité inhumaine. Mon ventre se tort, mon cœur rétrécit, mes aspirations me quittent. Mon pouce le caresse, il agit de lui-même car je ne contrôle rien. Pas même mes propres pensées.
Sa peau laiteuse est illuminée par les rayons lunaires projetés depuis la fenêtre de ma chambre. J'ai oublié de fermer les volets, c'est ma faute. Je suis à dos à elle tandis qu'elle lui fait face. Ils sont comparables à des projecteurs. Tout comme moi, le clair de lune ne regarde que lui, le reste de ma chambre a été avalé par l'obscurité, il ne reste plus rien. Il n'y a que lui. Pour lui comme pour moi, il n'y a que lui.
Suguru est entré par effraction dans ma chambre.
Cela fait déjà un mois qu'il est considéré comme maître des fléaux par la sphère de l'exorcisme, j'ai entendu dire qu'il avait massacré un village entier, il aurait pris la vie de ses propres parents. Il me répugne, il me terrifie. Je sais que c'est vrai, il s'est transformé en monstre. Ou peut-être l'était-il déjà avant cet incident. Rien de ce qu'il pourrait me dire ne changerait l'opinion que j'ai de lui.
Pourtant, je le tiens. Et j'ai peur de le blesser.
Ce qui réside entre mes mains, ce que j'ai de si précieux en cet instant en creux de mon existence, c'est son visage que je tiens en coupe. Mes doigts plongés dans les racines de sa chevelure, la pulpe de mes doigts caressant ses joues, mes paumes contre sa mâchoire, je l'ai cueilli à l'instar d'une délicate poupée de porcelaine. Et malgré le sentiment de peur qu'il fait naître au sein de ma poitrine, je suis physiquement incapable de me séparer de lui. Une gravité alienne m'attire à lui que je le veuille ou non. Je gravite auprès de lui malgré les atrocités qu'il a commises. Je l'aime.
Je l'aime.
« Tu as disparu... Je pensais ne plus jamais te revoir. »
Il hésite. Aucune réponse ne suit ma déclaration. Cela m'arrache un sourire, il n'a rien de joyeux, plutôt, il empeste l'amertume, Suguru n'a rien à me dire. Je me demande si il regrette. La porte de ma fenêtre est encore ouvert dû à son intrusion, rêve-t-il de l'emprunter à nouveau afin de me fuir ? J'ai mal au cœur. Mon ventre continue de me faire mal. J'ai envie de pleurer. Je crois que c'est trop tard.
Ma vue est brouillée de larmes.
Je le serre un peu plus fort.
Il se brise. Il s'effrite, il me glisse entre les doigts alors je le lâche.
Nous sommes assis face à face sur mon lit, j'en profite pour me rapprocher de lui. Je sèche maladroitement mes larmes, elles trempent mes poignets, mon visage, ma nuque, elles noient mon cœur dans un océan d'amertume. Je ne sais plus quoi faire de mes membres. Je tremble de partout. Mes yeux ne savent plus où regarder, l'anxiété me gagne. J'en ai la chair de poule. Alors que je me colle à lui je sens ses mains me toucher. Suguru me baise la tempe. Son baiser est à l'instar d'un murmure. Il passe en coup de vent mais me fait profondément frissonner. Je pose ma tête contre son torse et ferme mes paupières. J'ai peur, je manque de confiance. À son égard, je ne ressens que colère et terreur et pourtant alors que je me tiens si vulnérable au centre de son existence, écoutant à la porte de son cœur, l'idée de le fuir m'outre. Je la fais immédiatement taire puis, je me blottis davantage contre lui.
L'amour que j'éprouve pour lui n'a d'égal que ma rancœur, malgré tout elle ne parvient pas à me séparer de lui.
Enfermée dans cette spirale pervertie, elle m'oblige à me haïr autant que lui.
Il n'y a rien que je désire plus au monde que de m'en aller, j'aspire à le détruire, réduire à l'état de néant son âme tout comme il s'est joué de la mienne. Et pourtant je me cramponne à lui. Mes ongles se pressent contre son t-shirt alors que ma joue se frotte à son torse. Intoxiquée par son odeur que j'inhale désespérément je recroqueville mes jambes après de moi. Suguru raffermit sa prise sur mon corps. Il m'encourage, au travers de ce geste il me rassure. Je ne parle plus. Je n'ai plus rien à dire.
Je suppose que c'est un au revoir.
Ainsi est-elle notre dernière enlace, la preuve éphémère de notre romance enfantine. Cette étreinte à la tendresse florale m'arrache un gémissement de douleur. C'est dans les bras de ce meurtrier cruel que je sanglote, je me tiens contre lui. Ce garçon qui m'a autrefois tant donné et qui à présent me reprend tout d'une violence inouïe. Jamais ne me suis-je sentie aussi vulnérable auparavant. Pour seule mélodie, ce sont les battements de son cœur qui m'accompagnent. Ils me certifient que tout cela n'est pas un songe. Il monopolise mes sens, m'intoxique de haut en bas, de la tête jusqu'à mon âme. Celle-ci vibre puissamment, elle emporte avec elle mon corps. Désormais il est celui qui me tient. Il est celui qui me manipule avec la peur de me briser, sous lui je me fais de glace, encore plus fragile que lui comme si l'espace d'un instant je prenais sa place. C'en est humiliant. Pour cela, je le déteste davantage.
Je le déteste.
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course-poursuite · 2 months ago
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Pensée 15 19min
Elle est belle. Qui aurait pu croire qu'en prenant le même chemin pour aller au lycée que je prends tous les jours, je la croiserais. Elle semble douce. Elle semble sortie d'un rêve. Elle semble ne pas savoir qu'elle est jolie, malheureusement elle le sait. En ce moment, elle s'en fiche complétement, car oui, elle pleure. —Pourquoi ? Je n'en ai aucune idée mais j'ai envie de la réconforter—. En effet, je pourrait aller la voir et lui dire qu'il n'y a pas de raison de laisser couler des larmes. Le monde est beau, le Soleil brille, les fleurs parfument et les oiseaux existent. Plein de choses font mériter au sourire une plus importante place que les pleurs sur son visage. Malgré tout cela, elle continue à creuser sa tristesse. —Pourquoi ? Je ne le sait toujours pas.— En la regardant, on se demande comment une fille qui est charmante, sûrement intelligente mais aussi sûrement gentille peut se retrouver à éprouver un autre sentiment que la joie. Son chagrin la rend plus belle encore qu'elle ne l'était avant. Sa beauté se reflète dans ses larmes pour parvenir à mes yeux sous une nouvelle forme et sans savoir pourquoi je ne me suis pas hâté de lui parler, elle est partie. —Pourquoi pleure-t-elle, je ne le sais toujours pas vraiment. Cependant je suppose que c'est parce que le monde est ce qu'il est, le Soleil brûle, les fleurs piquent et les oiseaux crottent.—
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