#karin va bien vous en faite pas
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par contre, fascinée par ce papier
le dialogue et le fast forward disent qu'il est étudiant, mais ce que le papier dit est
"[...] institut de recherche
sur la surcapacité [...]
[...]aine projet super m[...]
Nous avons
[le] plaisir de vous informer [que]
[nous] avons été très intére[ssé]
[par] vos travaux et c'est avec
[plai]sir que nous vous prop[osons]
un poste de chercheur
[au sein] de notre structure.
[...] votre intégration
[...]ra à 50.000 dollars"
C'est pas juste une lettre d'admission en tant qu'étudiant dans une école; c'est une lettre lui disant qu'il serait carrément reçu comme chercheur, dans un institut de recherche! Le gars il a pas fait d'études, ses travaux de recherche c'est un projet personnel, et il semble se faire admettre pas juste comme étudiant ce qui semblait être son objectif, mais aussi comme chercheur. Un genre de mix, étudiant ET chercheur. Ses recherches doivent vraiment être ultras impressionnantes et prometteuses; sachant que le comic nous fait une timeline où il développe son sérum à son point final PUIS SEULEMENT il fait des études, Karin est vraiment juste. un putain de génie.
Le mec aurait pu être un scientifique reconnu, mais il a plutôt décidé qu'il se péterait la clavicule trois fois par semaine en faisant du sport extrême. Puis aussi il a décidé qu'il passerait pour un abruti. Je suis sûr que sa santé mentale va bien et qu'avoir perdu toute sa famille à cause de son père et le mont Tolyse et puis voir son père mourir à petit feu puis finalement juste crever donc au final le travail de sa vie n'a pas du tout été utile hormis pour le sauver lui ne l'a pas du tout affecté. Du tout.
#karin va bien vous en faite pas#il n'a pas du tout développé son amour pour le sport trop extrême dans un objectif de curiosité scientifique ET self-destructeur.#du tout.#(le plaisir du saut à l'élastique c'est dans la chute l'élastique est juste là pour t'éviter de t'éclater au sol)#(donc si l'élastique te coupe le plaisir de saut à l'élastique ça veut dire que c'est pas tant la chute sui te plaît.#mais plutôt l'anticipation de ce qui arrive à la fin quand l'élastique est pas là pour te rattraper.#je dis pas forcément que c'est l'éclatage au sol qui te plaît mais plutôt la sensation que tu vas t'éclater.#dans tous les cas c'est super sain et tout va bien :) )#hero corp#hero corp karin#<- put him in a jar and shake him#sorry simon astier et arnaud tsamere j'ai pris le contrôle de ce personnage il a des problèmes maintenant
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l'aventure commence...
Encore une belle idée qui s'est lancée un dimanche 29 décembre 2022: on retourne voir Loic à Tad Lo ?
En 20 min, on avait le nombre de participants et la date n'avait plus qu'à être confirmé.Gros engouement: Titi, Fred, Karine, Loic, Jacques, Rose et moi, une belle gang pour retourner voir la Fandee famille du 21 octobre 2024 au 1 novembre 2024.23 mois pour économiser...plusieurs propositions: un chouthon; la grille de loto???...en vrai: petit écureuil, tu feras!!!
Un an plus tard, les billets sont pris pour chacun...sauf pour moi, à cette période là, j'espérais ne pas partir et réaliser un autre projet.Malheureusement, la vie ne m'a pas permis de réaliser mon rêve, mais m'a ouvert d'autres opportunités: partager ce magnifique voyage avec les copains, j'ai donc pris mon billet en juin (merci frangin de m'y avoir encouragé.)...et c'est de là que l'aventure a commencé...On a tous pris des billets différents, les départs se sont fait de manière différés...
Jeudi 17 octobre 2024...Titi et Fred sont partis pour le Cambodge et nous rejoindront aux 4000 îles directement.La p'te famille prépare ses bagages: full equipent pour le 1er voyage des loulous...Moi, j'ai pris la route au départ de Carpentras; la fille qui part 15j sans bagages?!; du coup,passage par Lille et merci à Karine et Chou de me prendre mes affaires ;D...Loic de son côté prépare notre arrivée (bien vu l'investissement de la cible).
Vendredi, les premiers sont bien arrivés. Nous, on fête les vacances au champagne.
Samedi, 2ème départ 8h30...les yeux collés, Karine, Loic, Jacques et Rose sont montés dans l'avion...une halte à Singapour et on se retrouvera à Bangkok.
Pour ma part, le vol étant un peu plus tard, j'ai pris l'option flixbus pour ne pas arriver trop tôt à l'aéroport..Mais voilà, 45 min après le départ, le chauffeur s'arrête sur les bandes d'arrêt d'urgence et en remontant, il nous annonce avoir perdu une pièce, il va nous mettre en sécurité à la prochaine station essence et nous allons devoir attendre le dépanneur...
L'expérience veut que j'ai appelé directement Loulou qui est venu me chercher et m'accompagner à l'aéroport (chanceuse!); je suis arrivée dans les temps, le bus,quant à lui, est toujours à la station essence!Le temps de traverser l'aéroport est me voilà dans l'avion.. je vous avoue que je me réjouissais de me faire payer l'apero par Austrian Airlines, mais je monte dans un pti coucou et ce sera plutôt verre d'eau et carré de chocolat...mouais..jcroise les doigts pour le prochain vol...
Petite pause d'une heure à Vienne...espérant dormir sur le prochain vol...à l'arrivée les copains!
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QUE L'AVENTURE COMMENCE!
A chaque nouvelle année, c'est le moment de faire ses vœux pour l'année suivante...et le nouvel an 2023, je l'ai fais avec ma poule, (Karine).
C'est autour d'une coupette que l'idée est venue: le GR34 à pied!?
Puis, concrétisation lors d'une visite en avril de la p'te famille à la maison où Karine me relance, " ma poule, tu me régales !"
1h plus tard, nous avions nos billets: DERMAT CROZON!
Retrouvailles jeudi 25 juillet au soir chez karine pour un dernier check des sacs et pour profiter d'une dernière nuit douillette...
On s'en reparle du sac ma poule 🤣 jamais sans mes crèmes...
Merci Chou d'avoir pris soin de nous et de nous avoir emmenées à 6h du matin à Tourcoing!
Ptite nuit, mais ravies: l'aventure commence!
ET v'la l'aventure...
Un ouigo classique, tu fais la queue, tu t'installes à ta place, tu es heureuse...et 6h03, je dis à karine, c'est pas normal qu'on ne parte pas...
5min plus tard, pti jingle sncf qui nous annonce une heure de retard pour acte malveillant sur voie...on revient vers vous quand on en sait plus...
10 min plus tard, de nouveau ce jingle : "mesdames, messieurs, je ne vais pas vous mentir, c'est la merde."
Rappelons le contexte, journée d'ouverture des JO à Paris et plusieurs sabotages ont eu lieu pendant la nuit un peu partout sur le réseau ferroviaire français entrainant dans un premier temps des retards puis tres vite de nombreuses suppressions de train.
...alors au début tu ris...puis, on te fait sortir du train (remarques, ca te laisse le temps de regler tes dragonnes), on te fait remonter en urgence 😅🤣 cours ma poule//café ou pas café //😅🤣.
Pour en réalité partir 4h30 en retard, en te disant on va passer par la gare du nord pour changer de conducteur...bref, on arrivera à 15h à Massy TGV... soit 9h depuis notre arrivée à Tourcoing...
On pensait jusque 14h16, qu'on aurait une correspondance pour Rennes ou Brest, mais en vain...plus aucun train?!
Et c'est à force de fouiller qu'on a trouvé Astrid, qui en galère comme nous, a fait le choix de prendre sa voiture pour aller à Brest.
Parfait!
A peine le temps de boire une bière et voilà notre chauffeur, en route pour 5h et plus de voiture...arrivée prévue 21h...
Cela nous laisse le temps de décaler le bateau à demain matin, et de passer 2, 3 coups de fil pour notre 1ere nuit bretonne et hop, karine nous trouve une pte cousine, Anne Laure qui veut bien venir nous chercher, nous héberger et nous déposer au bateau demain matin pour qu'on rejoigne la presqu'île de Crozon.
Pti apero dînatoire en famille: quel accueil ! Merci à Anne Laure et Julien.
Au top...émotions, sensations et création de souvenirs pour cette 1ere journée bien remplie, mais au final, on attaque comme prévue le Gr demain matin!
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #3
Comme j'ai chopé un sale truc pendant les vacances, je n'ai pas pu avancer tant que je voulais sur la traduction.
Traduction faite durant le mois :
Vieille Maison : celle avec le sous-sol et l'autel des Nouveaux Dieux.
Cabane Abandonnée : la cabane à côté du train.
Une partie de la cabine du train, comprenant la discussion avec Pav, Marina qui dégrade le train (racaille), Tanaka après l'entrainement, et les pauses de Marina, Abella, Karin et Daan. Avant d'écrire ce billet, j'était en train de bosser sur les dialogues d'Osaa.
Du coup, pas grand chose ce mois-ci. Mais j'ai quand même des choses à dire !
Ça va être assez urgent et important de trouver un moyen de décrypter les fichiers du jeu. Non pas juste les images et la bande-son, ça c'est assez facile à trouver, mais vraiment les lignes de codes. De transformer le game.exe en game.rpgproject. Il y a pas mal de dialogue où, comme je n'ai pas les moyens de faire une version masculine ou féminine, je n'ai pas le choix d'utiliser, par exemple, un verbe du troisième groupe, ou de faire une grosse bidouille qui m'éloigne clairement du sens original de la phrase :
Surtout que je sais que c'est possible. Il y a des mods sur ce jeu, il y a eu des propositions de fangame (tous abandonnés mdr), donc il existe bien un outil pour faire ça. Je pourrais enfin faire des dialogue différents si on incarne un personnage féminin ou masculin, tutoyer les gamins (aka Levi, Marina et p'têt Olivia) et sortir des insultes plus fleuries que « Sale ordure ! ».
Vieille maison
Lorsqu'on lance la discussion de groupe, avec Daan dedans, il dit que la maison sent le moisi, le "black mold". Tout bêtement, j'aurais traduit ça par moisissure noire, mais j'en n'ai jamais entendu parler de ça de ma vie, en tout cas dans ces termes. J'ai toujours entendu juste moisi ; sur les sites des dénominateurs de France métropolitaine, ils appellent ça eux aussi moisi. Il n'y a que sur les sites québecois où ils parlent de moisissures noires, et tout le monde sait que le Québec hait les anglicismes encore pire que l'Académie Française. Du coup, j'avais pensé à le traduire comme ça :
La mention du Stachybotrys (le vrai nom de cette moisissure) est là pour mieux marquer que ce n'est pas une odeur de moisi normale.
Comme je l'ai mentionné plus haut, j'ai un autre cas où je bloque avec le dialogue, à cause de problème technique :
La ligne en anglais était "You, who came with the offering". Du coup, vu que je ne peux pas le traduire par « Vous, qui êtes venu(e) avec l'offrande. », je dois me contenter de cette bidouille ci-dessus.
La ch'tite ref à un film bien rigolo, j'ai repris juste le même dialogue que dans la VF.
2. Cabane Abandonnée Rien de particulier à dire dessus.
3. Cabine du train (1er partie)
J'ai un blocage dans un des dialogues avec Pav : "He had one long time coming. Too bad it wasn't enough". Le vrai sens de la phrase est « La balle a mis longtemps à venir. Dommage qu'une n'ai pas suffit. », car elle suit la bulle précédente, qui était " You don't think the big man deserved a bullet to the head?". J'ai du mal à trouver une phrase qui garde le même sens sans être lourdingue. Pour le moment, je pars sur cette traduction :
Un petit parti-pris, pour la traduction "banjo-playing yokels" :
Un autre blocage, un peu moins emmerdant, à propos d'un dialogue avec Karin, pour la ligne "Whatever is happening here, could be an alternative to that.". J'ai du mal à saisir ce que veux dire "alternative". Le mot est bizarre dans le contexte, je pense du coup que riposte colle mieux.
Pas plus de choses à dire, je tafferai sûrement mieux le mois prochain, vu que j'suis plus en train de mourir.
À la prochaine, et tombez pas malade !
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Écrire sur Aberkane suite à "l'affaire Fact & Furious" : petit retour en arrière
On cause beaucoup d'Aberkane. Et si on revenait quelques mois en arrière pour piger ses méthodes ?
Je vous propose de partir d'un exemple typique, un article publié début décembre, sur Heidi News, un média en ligne suisse :
"Ecrire sur Aberkane et prendre la foudre de la complosphère"
On nous raconte les mésaventures d'une journaliste qui avait osé écrire un précédent article critique à l'égard de "l'Hyperdoctor".
Le mieux serait de lire l'article. Mais bon, je vous situe le problème.
Nous sommes début décembre 2022, et Aberkane et ses amis se déchaînent contre toutes celles et tous ceux qui ont pu avoir un lien quelconque avec le site Fact & Furious.
Or, 3 semaines plus tôt, une journaliste de Heidi News avait publié un article sur Idris Aberkane. Article qui avait fortement déplu à l'Hyperdoctor. Et il y avait notamment ce passage :
Les multiples travaux de vérifications permettent donc d’affirmer qu’Idriss Aberkane n’est pas titulaire d’un doctorat en neurosciences, ni en biologie. Et l’un de ces titres est d’ailleurs encore sujet à caution et à controverses. En mai 2022, le site Fact and Furious relevait que la thèse de 2016 faisait l’objet d’un signalement pour cause de plagiat.
Il y avait donc une référence à ceci, un article de Fact & Furious, daté de mai 2022 et expliquant les fortes suspicions de plagiat à l'égard de la fameuse thèse d'Idriss Aberkane.
Suspicions aujourd'hui confirmées, ne l'oublions pas.
Et c'est sur ce passage et cette référence à Fact & Furious qu'Aberkane va s'appuyer pour attaquer violemment Heidi News et sa journaliste.
Et vous voyez le mécanisme.
Vu que le site Fact & Furious a parlé publiquement des doutes sur la fameuse thèse, toutes celles et ceux qui en parleront ensuite seront accusés de "tremper dans l'affaire Fact & Furious".
Mais au fait, vous êtes au clair avec "l'affaire Fact & Furious" ?
Je vous résume.
L'affaire Fact & Furious
Au départ, on a un site consacré au fact-checking, dirigé par un certain Antoine Daoust, qui compte sur la collaboration de diverses personnes.
Et ce site s'est notamment intéressé à Idris Aberkane.
Fin-novembre 2022, Idriss Aberkane diffuse une vidéo avec l'ex-épouse du fondateur, Malika Daoust. Cette dernière lance de graves accusations contre Antoine Daoust, notamment de violences conjugales.
Mais pas que. Malika Daoust et Idriss Aberkane décrivent un vaste réseau, dont Antoine Daoust ne serait qu'un rouage, une vaste entreprise impliquant Karine Lacombe, un certain "Rudy" (on devine qu'il s'agit de Rudy Reichstadt, de Conspiracy Watch), l'AFP, etc. Les personnes ayant collaboré ou eu des liens quelconque avec Antoine Daoust sont par ailleurs accusées d'avoir couvert les violences conjugales.
Je précise que les investigations que mènent les journalistes qui se penchent sur l'affaire mettent en évidence passablement d'incohérences et de contre-vérités dans ce récit. On découvre par ailleurs une affaire de chantage et de menaces assez sordide (cf les 2 articles en lien).
Les "révélations" de la vidéo d'Aberkane sont accompagnées d'une "enquête" de France Soir. Et toute la complosphère se rue dessus.
Suite à ces "révélations" se déclenchent alors de violentes attaques contre toutes celles et ceux qui ont pu être lié(e)s de près ou de loin à Fact & Furious.
Son fondateur, Antoine Daoust est bien sûr visé. Mais aussi, entre autres, les personnes ayant collaboré à son site. Sous les menaces et les tentatives de chantage, le site a fermé. Le contenu a cependant été archivé.
Et la complosphère lance alors une chasse à l'homme... et à la femme.
Marcel D, un gros compte complotiste à plusieurs dizaines de milliers de followers, affiche ainsi les photos (ou éventuellement les avatars) avec les noms (ou les pseudos) de collaborateurs ou collaboratrices de Fact & Furious, invitant le public à les dénicher.
Vous remarquerez, parmi les personnes ainsi affichées, celle qui était devenue la compagne d'A Daoust, très active dans le débunk, connue sous les pseudos de Yogina ou de Cassandra de Berrenger, dont vous avez sûrement entendu le témoignage récemment.
Cette dernière sera d'ailleurs affichée de manière beaucoup plus brutale et grossière dès le début de l'affaire (soit le 23 novembre 2022) par le patron de France Soir.
D'autres attaques, encore plus brutales et grossières, auront lieu à fin-décembre contre cette même Yogina.
Celles et ceux d'entre vous qui avez un peu suivi cette sinistre histoire n'apprenez pas grand chose. Mais ces rappels me semblaient utiles.
Il faut bien voir que le récit d'une sorte de "mafia" du fact-checking se diffuse alors, récit justifiant à peu près tous les coups bas.
Écrire sur Aberkane ?
Je reviens à cet article de Heidi News, celui publié le 11 novembre. Aberkane et ses amis ont-ils des arguments à apporter sur le fond ?
Même pas.
Mais le fait que Fact & Furious ait été cité justifie toutes sortes d'attaques contre la journaliste et son employeur.
Toute une série de tweets sont publiés dans ce contexte. Tweets repris ou commentés par les fans et les amis de l'Hyperdoctor.
Et tout ça pour un article qui était FACTUELLEMENT CORRECT, sous prétexte que la journaliste citait, sur un point précis, un article de Fact & Furious... Article lui-même également factuellement correct, où l'on avait pointé du doigt les soupçons de plagiat confirmés depuis.
Et maintenant ?
Nous venons de l'apprendre suite à un article de L'Express : il y a bel et bien plagiat.
L'imbroglio réglementaire bloque pour l'instant toute sanction réelle.
Et ce n'est pas la seule casserole que traîne l'Hyperdoctor !
Comme à son habitude dans ce type de situations, l'Hyperdoctor attaque et menace diverses personnes et entités :
L'Express, et en particulier le journaliste Victor Garcia, premier média à avoir révélé la confirmation du plagiat (et qui ont déjà publié quelques révélations sur Aberkane dans le passé)
les universitaires qui se sont penchés sur sa thèse
Thomas Durand de la Tronche en Biais et du blog La Menace Théoriste (qui mettait déjà en évidence l'imposture Aberkane en 2016, à l'époque où l'Hyperdoctor était encore en odeur de sainteté dans passablement de grands médias).
etc
À défaut de deviner quels seront les prochains épisodes, je vous propose d'avoir une petite pensée pour celles et ceux qui ont œuvré pour que vous soyez informé(e)s de ces scandales et qui ont, parfois, morflé pour cela....
...et qui risquent de morfler encore.
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L’hôtel particulier (32)
Chapitres précédents
Chapitre 32 : Un peu d’histoire
- Arthur, ça va ?... Arthur ?... Arthur ?
Complètement déboussolé, je me réveillai avec le visage de Marc devant moi. Je regardai l’environnement me demandant ce que je faisais dans une chambre d’hôpital. Puis, je me rappelai de ma présence en cet endroit.
- Oui… Je me suis assoupi.
- Et Tatiana ? Elle n’est pas ici ?
Je mis un temps avant de répondre. Je gardai en mémoire le terrible cauchemar encore frais. Sentant la tête lourde à cause du manque d’un vrai reposoir, je me levai du fauteuil pour me dégourdir les jambes. En fait, je n’avais pas porté attention au départ de mon amie ou elle et les infirmières avaient décidé de me laisser dormir.
- Elle est partie faire quelques examens. J’attendais qu’on vienne la chercher pour rentrer mais je crois que je me suis endormi avant.
- C’est tout toi, dit Marc en riant.
Déçu de ne pas voir Tatiana, Marc posa sur la table de chevet une boite de chocolats ainsi qu’un petit pot dans lequel une Iris bourgeonnait. La couleur bleue de la fleur rappela les roses déposées à ses pieds le matin. Je trouvai étrange d’avoir rêvé de fleurs, juste avant sa venue.
Dans mon cauchemar car il s’agissait bien d’un cauchemar, je me promenai dans les couloirs de la maison lorsque trois hommes surgirent. Ils portaient des vêtements anciens genre XVIIIe siècle et après m’avoir pourchassé, ils m’attrapèrent et me frappèrent. Curieusement, je ne cherchai pas à me défendre malgré l’angoisse qui tenaillait mon esprit. J’étais conscient qu’on me tabassait. Allongé, le visage en sang, le corps tuméfié, je pris un dernier coup pied écrasant mon crane jusqu’à en sortir la cervelle. Puis, Marc me réveilla. Mais avant, j’eus le temps d’apercevoir un homme respirant une rose bleue qu’il tenait dans la main. Ou alors, l’aurais-je aperçu au moment de quitter mon corps ?
Ne sachant pas quand Tatiana revenait, nous quittâmes l’hôpital. Aussi, je proposai à Marc de manger à la maison. Son visage afficha un certain plaisir. D’ailleurs, il signala avoir quelques informations à donner concernant la maison. Sans m’en parler ouvertement, et suite aux découvertes, il s’était intéressé à son histoire.
Le portail s’ouvrit automatiquement à l’arrivée des deux voitures. Marc gara la sienne un peu avant le perron. La mienne avait sa place dans une sorte de vieille grange aménagée et disposé en face de la villa. A peine étions-nous sur le seuil de la porte qu’un bruit attira notre attention. Deux hommes se promenaient dans le jardin comme si de rien n’était. L’un d’eux portait une caméra tandis que l’autre équipé d’un détecteur cherchait un endroit précis. Ils se fichèrent de notre présence continuant de marcher entre les arbres.
- Eh, c’est une propriété privée ! Vous n’avez rien à faire ici, criai-je.
Les deux hommes s’arrêtèrent, se regardèrent puis comprenant que j’étais sérieux quittèrent le parc en le traversant. Je compris qu’ils avaient franchi le mur du fond. Marc fronça les sourcils pendant que nous les observions en train de s’éloigner.
- C’est comme ça depuis qu’ils ont trouvé les cadavres, dis-je.
- Il y en a beaucoup ?
- Plus que tu ne crois. Mais le pire, ce sont les gens qui s’arrêtent devant le portail. Alors dès que la grille est ouverte, ils entrent pensant voir les trous et surtout des restes visibles.
La découverte avait fait la une du monde entier. Depuis, si la maison est pleine de fantômes, le jardin se remplit de vivants curieux et plus nuisibles que n’importe quel démon.
Après s’être assuré du départ des intrus, nous entrâmes dans le hall. Marc s’installa dans le salon pendant que je sortais un rafraichissement. Je posai sur la table un paquet de cacahuètes et deux verres que je remplis de whisky soda. Mon pote remarqua le changement de canapé. Je ne donnai aucune explication et répondit simplement en hochant de la tête. En même temps, je tendis un verre à Marc avant de lui demander :
- Tu voulais me parler de quelque-chose ?
- Oui, je me suis renseigné auprès d’un ami sur les possibles origines des corps retrouvés. J’ai découvert que la maison avait une sacrée réputation déjà au début du XXe siècle. Enfin, à l’origine c’était un manoir datant du XVIe siècle et reconverti au siècle suivant en pavillon de chasse par un comte, le sieur Martin de Breuil. Alors, le gars avait une sale réputation dans la région. On le décrivait comme un barbe-bleue du coin. Mais, il n’y a jamais eu de procès et ce n’est que de la légende.
Tout en buvant mon whisky, j’écoutai Marc dont les talents de professeur d’histoire et ses connaissances administratives servirent énormément. De temps en temps, il montrait quelques vieux documents pris en photos par son téléphone. J’observai les fichiers sans réellement les lire car l’écriture parut trop compliquée, l’encre trop grasse ou carrément illisible pour un non initié. Soudain, son smartphone s’éteignit.
Marc ralluma l’appareil, vérifia qu’il n’était pas tombé en panne. Cependant, il démarrait sans jamais arriver à terme parce qu’il s’éteignait lorsque Marc voulut accéder aux fichiers. Nous trouvâmes cela troublant. Enfin, il se décida à me les télécharger une fois rentré chez lui. Dès lors, il reprit sa narration.
- Beaucoup plus tard, la maison a été vendue à une mère-maquerelle d’un bordel parisien. Les filles venaient ici pour prendre des vacances. Elles restaient enfermées dans le domaine, ne sortaient pas en ville. J’ai lu qu’elles ne recevaient aucune visite. La maison resta longtemps un…comment dire…un centre de repos pour femmes aux mœurs légères. Et avec la première guerre mondiale, elle fut réquisitionnée en hôpital puis en clinique spécialisée pour les blessés graves.
Je pensai soudainement aux hommes masqués dans le cabaret. Je devinai le nombre important de morts dans cet hôpital de fortune. Je compris que leur âme n’avait pas voulu quitter l’endroit. Un bruit de cognement d��tourna mon regard. Je regardai l’heure sur mon téléphone qui fonctionnait correctement. Dans la minute qui suivit, les enfants coururent dans les couloirs de l’étage. Marco ne sembla pas les entendre. Je restai muet préférant l’écouter.
- Après la guerre, la maison redevint une maison de repos pour des prostituées de Paris, mais elle était toujours et c’est ça le plus étrange, un centre de réadaptation pour mutilés de guerre.
- C’est possible ou il y a une part de légende ? demandai-je
- Franchement, je n’en sais rien. Parce que je n’ai rien trouvé là-dessus. Enfin, bref. Et avec l’invasion allemande, la villa a été de nouveau réquisitionnée par les nazis. Et tu sais quoi ?
- Ils ont fait des expériences sur des enfants ? répliquai-je.
- Pas vraiment. C’était ce qu’on appelait un lebensborn. Une maternité pour enfants de SS.
Je dévisageai Marc car je ne comprenais pas vraiment. Il sourit pour afficher son contentement ou plutôt sa fierté d’avoir trouvé un tel scoop avant de reprendre :
- Les femmes de nazis venaient ici pour accoucher et des médecins vérifiaient la pureté de la race des enfants… blonds aux yeux bleus en bonne santé. D’après ce que j’ai trouvé, elles venaient de partout. Il y aurait même des françaises et des hollandaises qui auraient accouchées dans la maison.
- Si je comprends bien, les corps retrouvés sont ceux qui avaient des yeux noirs et les cheveux bruns ?
- Peut-être. Je ne sais pas.
- Il y a un hic, dis-je en soupirant. Ce n’étaient pas des bébés mais des enfants d’une dizaine d’années pour la plupart.
Marc garda le silence, laissant entendre les cris des jeux des gamins à l’étage. Puis, plus rien ! Il réfléchit, fronça les sourcils avant d’écarquiller les yeux en réponse à mes dernières paroles. Il ne sut quoi dire, pensa à des enfants déjà présents ou l’aménagement d’une école pour les grands frères et les grandes sœurs. Ses explications me laissèrent perplexe.
- Pourrais-tu te renseigner sur un certain Joseph Von Meiderich ?
- Heu oui. Pourquoi ?
- Il a été médecin et je crois qu’il a travaillé ici. J’ai trouvé son nom sur un mur pendant les travaux.
Après l’apéro, nous décidâmes de cuisiner des escalopes à la crème. Non pas parce que c’était facile mais surtout parce que c’était le repas de soirée de notre jeunesse. On avait envie de se rappeler ce bon temps. Nous parlâmes de tout et de pas grand-chose. Marc était ravi que je m’associe au frère de sa copine. Nous discutâmes de cette future entreprise. Puis, il me quitta un peu avant minuit.
Cette nuit, je n’entendis pas de bal ni de nouveaux jeux d’enfants. Je ne reçus pas la visite de cette femme à la recherche de Joseph. Je restai allongé dans mon lit à imaginer la chambre transformée en nurserie avec des petites têtes blondes dans des berceaux.
Alex@r60 – mars 2021
Photo : Les infirmières Karin, Ragnhild et Helen avec leur patients. Photo prise en Suède à une date inconnue.
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La culpabilisation collective, arme idéologique absolueThomas Verden pour France Soir
« Nous sommes en guerre » ! Cette phrase prononcée il y a quelques mois par le président Macron n’est pas seulement un slogan politique destiné à frapper la population, elle exprime une manière de comprendre la relation à la maladie : l’ennemi est en face et il faut le supprimer.
Tout le monde ou presque sait pourtant aujourd’hui au moins deux choses : premièrement que nous sommes porteurs d’une quantité énorme de virus en tous genre qui stimulent et renforcent notre système immunitaire, autrement dit notre capacité à nous défendre. Deuxièmement, qu’un virus n’est viable qu’au sein d’un organisme et absolument jamais de façon isolée telle une entité indépendante. Or ces deux principes connus de tous ont été totalement occultés dans la manière dont le problème « corona » a été médicalement et médiatiquement traité.
Le virus a été présenté à la manière d’une entité autonome, indépendante des facteurs organiques individuels. On a donc complètement objectivé le concept de virus en en faisant un ennemi en soi justifiant une attitude frontale de « déclaration de guerre ».
L’image qui a été façonnée correspond exactement à celle d’un terroriste frappant n’importe qui, n’importe où, n’importe quand. Le portrait-robot de la covid 19 est donc celui d’un psychopathe meurtrier lâchant ses bombes virales dans les populations du monde entier et risquant d’en décimer une partie importante.
Mais outre cette gigantesque menace qui, numériquement parlant, dépasse de bien loin Al-qaida ou Daech, ce terroriste d’un genre nouveau possède une propriété supplémentaire qui fait de lui un danger sans précédent. Tout comme dans le jeu du « loup » des enfants, celui qui est touché devient lui-même le loup, le prédateur. Autrement dit tout le monde se sent porteur potentiel de cette explosive « bombe virale », tout le monde devient potentiellement ce terrifiant terroriste vis-à-vis de tout le monde.
C’est très rigoureusement cette image qui a été créée et implantée dans les consciences. Et l’effet premier de cette image, qu’on l’admette ou non, c’est la terreur.
De la terreur à la culpabilisation
La peur est certes un prodigieux levier idéologique. Ce phénomène a souvent été relevé dans le cadre de cette épidémie mais il en est un autre possédant une puissance encore supérieure.
Il y a quelques années, l’atout de toute politique médicale préventive était la protection personnelle. Mais en peu de temps le « protégez-vous » s’est transformé en « si vous ne vous protégez pas vous mettez en danger les autres » ! Un retournement de paradigme d’une prodigieuse puissance psychologique.
En étant saisi par une valeur profondément éthique où la pensée vers autrui l’emporte sur l’intérêt personnel, l’individu est directement touché au cœur de sa conscience morale : quelle sorte d’être humain suis-je donc si je ne fais pas ce qu’exige la protection d’autrui ?
Or dans le cadre de l’image « virus meurtrier », que signifie ne pas protéger les autres ? Pesons de tout leur poids les conséquences d’airain d’une problématique posée de cette façon-là. Il en découle une logique implacable : par ma faute, quelqu’un peut contracter le virus et en mourir. Je deviens donc un criminel en puissance !
Dès lors que l’on est captif d’un réseau de pensées qui prend sa racine dans le concept « virus terroriste et meurtrier », dès lors que l’on implante dans ma conscience que je suis potentiellement ce terroriste meurtrier, l’injonction « mettre en danger les autres » acquiert une force illimitée et devient la pièce à double face d’un puissant levier idéologique et psychologique : côté face, la bonne intention morale de protection d’autrui et côté pile, le jugement implacable envers celui qui n’agit pas conformément à la préconisation dominante et officielle !
L’union du couple peur/culpabilité devient le ferment actif d’une véritable dictature par le bas : chacun exige de l’autre qu’il se soumette à une nécessité éthique de groupe, laquelle devient l’acte obligé de la totalité des individus.
L’Etat, la version scientifique officielle, l’opinion publique se tournent vers l’insoumis : si tu n’agis pas conformément à la préconisation générale, tu deviens un criminel potentiel ! Pire encore, lorsque cette injonction semble sortir tout droit de ma propre conscience!
Une bien singulière éthique que celle qui s’appuie sur le ressort psychologique de la culpabilité !
De la culpabilisation à l’obligation vaccinale
« Tant que nous n’aurons pas un vaccin, nous ne parviendrons pas à éradiquer cette pandémie !»
La phrase culte rabâchée à satiété sur toutes les ondes ou presque du monde entier, fait apparaître, en face de l’entité conceptuelle « virus terroriste », une autre entité conceptuelle à caractère quasi messianique : « le vaccin sauveur ». C’est donc lui, l’unique, le seul... que l’on appelle de nos vœux, que l’on attend avec ferveur !
Là encore, la même logique déroule son fil d’airain : puisque le terroriste est potentiellement en chacun de nous, le sauveur doit entrer en chacun de nous. Logique implacable ! Dès lors, l’exception doit être bannie.
Et c’est ici que le concept « d’obligation vaccinale » fait son entrée en scène.
Bien que le 24 novembre dernier, le président Macron ait annoncé « Je ne rendrai pas la vaccination obligatoire », tout donne à penser que la question est sans doute très loin d’être définitivement réglée. D’une part parce cette perspective concerne de très nombreux pays de par le monde. D’autre part, parce qu’à la suite de l’annonce présidentielle, nous serions tentés de demander si cette « promesse » reste valable quoi qu’il arrive ?
Autrement dit, est-ce une décision ponctuelle relative à la situation présente ou est-ce une décision définitive qui relève de la conviction éthique du droit au libre choix ? Cette « petite » précision ne me semble pas inutile dans le contexte général dans lequel nous nous trouvons.
Pour ces différentes raisons il est urgent que la question de l’obligation vaccinale soit réellement pensée dans ses implications les plus profondes du point de vue humain.
Une éthique…. totalitaire.
L’infectiologue Karine Lacombe déclare : “[…] Comme dans toute société solidaire et altruiste, ce sont ceux qui accepteront de se faire vacciner qui vont protéger les autres… car lorsque l’on accepte de se faire vacciner on se protège soi mais aussi les autres »”* interview Marie Claire 16/11/2020
L’élément premier qui me semble le plus profondément pervers dans une telle déclaration réside dans le ligotage d’une valeur humaniste à une obligation de ce genre !
Une merveille de manipulation psychologique permettant d’imposer ce que l’on veut à une population ! Le propos des plus simplistes vise implicitement à diviser d’emblée la société en deux groupes : d’un côté, les individus solidaires, altruistes, ceux qui possèdent de vraies valeurs morales et éthiques et, de l’autre côté, les purs égoïstes méprisant le danger de mort qu’ils font courir à autrui !
Chers lecteurs, vous avez donc le choix : le volontariat vaccinal et vous êtes du côté du bien, de l’altruisme, ou le refus d’obligation et vous représentez le mal, l’égoïsme. L’individu est littéralement pris en étau entre ce qu’il ne souhaite pas et ce qu’il est contraint de faire s’il veut rester un individu moral aux yeux de la société.
Quant aux insoumis, les humanistes plein de bonté qui veillent sur l’avenir de l’humanité pointeront vers eux le doigt accusateur : « La persistance des épidémies et des morts seront votre fait ! ».
Karine Lacombe, qui s’inscrit dans la droite ligne de l’approche gouvernementale n’ajoutait-elle pas à ses propos cités plus haut : « Malheureusement, si la défiance est trop importante, la vaccination devra être rendue obligatoire […]. »
Dans l’esprit de cette dernière, la liberté vaccinale ne peut être conservée que sur la base d’un volontariat massif. L’arrivée annoncée du vaccin pour les mois, voire semaines qui viennent, va de toute évidence de pair avec une campagne médiatique destinée à en faire comprendre à la population l’enjeu... éthique, puisque « ce sont ceux qui accepteront de se faire vacciner qui vont protéger les autres ».
Ce n’est donc que si la population ne devient pas massivement altruiste à la manière dont madame Lacombe le conçoit, que « la vaccination devra être rendue obligatoire. […] ».
Dès lors, la loi apparaîtra en justicier dont la tâche sera de « contraindre à la raison », celui qui s’en écartera. Au « mieux » on isolera les rebelles en leur interdisant tout accès à la vie commune, au pire...
Pas à pas, étape par étape, la divergence se transforme insensiblement en dissidence, la conviction personnelle en obligation morale, la préconisation médicale en contrainte juridique.
L’idée de la vaccination « pour autrui » engendre, non pas un altruisme véritable mais une grave atteinte à la liberté de conscience. Des valeurs aussi profondes que la solidarité et l’altruisme sont ici placées sur un plan illégitime, ayant pour effet d’engendrer le plus insidieusement qui soit une forme d’éthique par la culpabilité, une éthique excluant toute altérité d’opinion, une éthique… totalitaire.
Cette prise en otage odieusement manipulatrice des bons sentiments doit être mise à jour et dénoncée !
Les sophismes de l’obligation vaccinale
Premièrement, à celui qui accuserait mes propos d’égoïstes, je réponds en premier lieu que l’approche médicale qui aboutit à une telle « préconisation », est tout sauf une vérité scientifique absolue et unique. Il y a donc d’autres façon de penser la résolution du problème ! Les plus grands scientifiques mondiaux se sont diversement expliqués sur ce point. La volonté d’obligation vaccinale est donc d’abord l’expression d’une idéologie médicale qui se croit absolue. Elle représente déjà une dictature de la pensée. Cette dernière conduit inévitablement à une dictature de l’action.
Il ne s’agit donc en aucun cas d’égoïsme ou d’irresponsabilité mais d’une autre façon de concevoir la résolution du problème ! L’obligation vaccinale interdit cette altérité.
Que l’on regarde seulement, avec honnêteté, le fossé existant entre le fait d’être positif à un test PCR (dont le CT est situé entre 35 et 50) et le fait d’être réellement porteur d’un virus actif : un premier décompte engendrerait déjà une chute vertigineuse des chiffres. Que l’on regarde ensuite, à partir de ce qui reste, le second fossé existant entre ceux qui sont vraiment porteurs du virus et ceux dont la vie est réellement en danger, un deuxième décompte ferait encore chuter les chiffres de façon tout aussi vertigineuse.
Sur la base de chiffres réalistes et honnêtes qui rendraient compte qualitativement des risques réels, une fois retranchées les personnes déjà atteintes de pathologies graves après soixante-dix ans, les diabétiques et quelques autres affections, on arriverait à un taux de létalité totalement dérisoire !
Au mépris du réel, on inonde la population de chiffres globaux, gonflés, qu’on illustre en dénichant les cas d’exception servant la thèse dominante.
Deuxièmement, pourquoi un individu non vacciné mettrait-il en danger des individus vaccinés ? Sauf si le vaccin est inefficace, nulle personne vaccinée ne devrait se sentir mise en danger puisque justement la vaccination est, pour celui qui le souhaite, la garantie de sa protection ! Sauf génocide de la logique, nul n’a besoin de la vaccination d’autrui pour se protéger lui-même !
Précisons bien qu’il n’est pas question ici d’opposer les pour et les contre la vaccination ; nous parlons de l’obligation vaccinale, laquelle relève d’une discrimination négative pénalisant des gens sains qui ne souhaitent pas la vaccination pour eux-mêmes.
La conservation de son intégrité corporelle et intellectuelle comme principe éthique supérieur à toutes les autres.
A la spoliation du principe d’autodétermination qui garantit le respect de la personne individuelle s’ajoute la violation de l’intégrité corporelle. Car peut-on imposer à des individus sains de corps et d’esprit d’introduire, sous la contrainte, des substances dans leur propre corps ?
De la science-fiction ? Non cette menace est aujourd’hui bien réelle et ne manque pas de faire frémir toute personne attachée à l’exercice de sa liberté de choix. Il semblerait que l’humanité actuelle doive de nouveau mener un combat pour la conserver.
Dans les temps qui viennent, l’être humain devra absolument exiger jusque dans la loi, de garder le pouvoir absolu de décision concernant sa propre entité corporelle. L’intégrité corporelle doit rester affaire individuelle ! Ce principe doit être placé au-dessus de tous les autres.
Nul ne saurait être obligé de consentir à un acte qui aurait la valeur d’un viol. Nul ne doit faire l’objet d’une répression morale et juridique pour un tel choix.
Au Danemark, le projet de loi qui vient d’être fermement contesté par une minorité lucide et active consistait à octroyer au ministère de la santé « ... la capacité d'isoler, de traiter de force et de vacciner de force des groupes de population si cela vise à enrayer la maladie contagieuse".
Avons-nous bien lu ? Il est question d’obliger des groupes de population, à une vaccination, manu militari ! Au nom de la protection de tous cela va sans dire !
La question est donc d’une extrême gravité ! Que l’on soit favorable ou défavorable pour soi-même à tel ou tel vaccin n’est pas la question. La seule question ici est de savoir qui doit en décider ? Est-ce chaque individu selon sa conscience ou est-ce une autorité de tutelle qui prétend posséder la connaissance ultime de ce qu’il convient de faire ?
Tout le monde doit donc se sentir concerné par un tel enjeu. Quels que soient ses choix médicaux, tout être humain qui aime la démocratie, doit revendiquer avec force le même degré de liberté de choix pour celui qui pense autrement que lui !
Ce n’est pas une question d’égoïsme, c’est une question de dignité !
Toute obligation de ce type revient à destituer l’individu de son droit à se déterminer lui-même. Seul un individu qui conserve cette liberté peut encore être appelé individu. Ou alors ne parlons plus de démocratie, de liberté mais d’un troupeau de moutons guidés par les bons bergers de la conscience morale universelle...
Gardez votre obligation vaccinale solidaire, je garde ma dignité
Madame Lacombe, j’ignore quelle est la valeur marchande, pour vous et vos frères d’armes, de cette « éthique du vaccin pour le bien d’autrui », que vous défendez si bien en vous drapant de rigueur scientifique et d’altruisme. Je refuse votre morale vrillée et manipulatrice qui à mes yeux n’est rien d’autre que le signe avant-coureur d’une monstrueuse dictature.
Je souhaite pouvoir me vacciner si je le veux, et ne pas me vacciner si je ne le veux pas ! C’est mon affaire. Je l’affirme comme principe souverain.
Et je récuse l’idée simpliste et perverse de l’égoïsme ou de la mise en danger d’autrui si je ne souscris pas à votre logique. Le danger, le vrai, c’est le totalitarisme qui sévit dans les consciences de directeurs de conscience sans conscience.
Nul argument fallacieux, nulle propagande, nuls détours par une troisième, une quatrième vagues… ne me feront abandonner mon bien le plus précieux, gage de la dignité humaine : ma liberté de penser, de choisir, d’agir, de devenir !
En d’autres temps, les hommes ont dû lutter pour conquérir leur liberté. Faut-t-il désormais en faire de même pour la conserver ? Humains qui voulons le rester, il nous faut réclamer avec force une garantie de droit, pérenne et non négociable du pouvoir souverain de tout individu à disposer de son intégrité corporelle. Plus encore, la protection juridique contre toute discrimination d’accès à quelque service que ce soit au seul motif de la non-vaccination doit être, dans un état démocratique, garantie par la loi. Une ostracisation par voie détournée équivaudrait à un asservissement déguisé en libre choix et reviendrait à mettre un costume de démocrate sur une dictature.
Le temps est venu de nous unir, indépendamment de toute appartenance, de toute nationalité, sur la base du seul attachement à une valeur universelle, qui fait de nous des êtres humains à part entière, porteurs de nos idées, de nos choix, de notre liberté.
Thomas Verden, conseiller pédagogique et philosophe
Auteur(s): Thomas Verden pour FranceSoir
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SAMEDI 19 SEPTEMBRE 2020 – (Billet 1 / 3)
« ANTOINETTE DANS LES CEVENNES » (1h35)
Un film de Caroline Vignal, avec Laure Calamy, Benjamin Lavernhe, Olivia Côte…
Nouvelle règle dans les cinémas parisiens : avant il fallait porter un masque uniquement lorsqu’on se déplaçait dans le cinéma, pour aller aux toilettes par exemple… Maintenant il est aussi exigé durant toute la projection du film !
Vous connaissez notre amour du cinéma, mercredi nous avons voulu tester la nouvelle formule. Marina a parfaitement supporté la « chose » mais JM, très difficilement. Dès qu’il porte un masque, tout le gratte, le nez, les joues, la bouche, le menton… Lorsqu’il marche, ça va plus ou moins bien mais là, assis devant un écran, sans bouger, ça lui est devenu vite insupportable ! Du coup, profitant du fait que le nombre de spectateurs dans une salle de cinéma depuis la pandémie du Covid dépasse rarement la quinzaine, distanciés en plus par un siège vide de part et d’autre, il a retiré l’élastique d’une de ses oreilles et a mis la main devant sa bouche. Sur un plan sanitaire, c’est nul, il le sait mais il a pu respirer normalement sans se gratouiller en permanence le visage.
Comme il est écrit dans le règlement des salles Gaumont/Pathé qu’on peut retirer le masque lorsqu’on mange, il va demander s’il peut manger des pop-corn durant la projection et si oui, il mettra 1h30 à les grignoter (quitte même à venir ensuite avec un paquet vide et à faire semblant). Affaire à suivre…
Mais revenons à ce petit film TRES sympathique. Charmant même. Nous avons passé un bon moment et nous ne nous sommes pas ennuyés une seconde.
La critique d’un spectateur ci-dessous, publiée sur le Site Allo-Ciné, dit très bien tout ce que nous en avons pensé.
Nous lui donnons tous les deux ♥♥♥,5 et vous le conseillons. Dans le contexte actuel : sourire assez souvent, même rire à 2 ou 3 reprises… et passer 1h30 dans les Cévennes ne peut vous faire que le plus grand bien !
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« Tous les garçons s'appellent Patrick. C'est Godard qui le prétendait dans un court-métrage de ses débuts. Pour les ongulés, le prénom est moins fréquent mais c'est bien celui que porte l'âne de « Antoinette dans les Cévennes », véritable vedette masculine du film. Ce n'est que le deuxième long-métrage réalisé par Carole Vignal, après 20 ans de silence, et gageons qu'elle n'attendra pas autant de temps pour tourner à nouveau, étant donné que le succès devrait être au rendez-vous des aventures d'Antoinette avec son compagnon à quatre pattes (une sorte de comédie romantique entre les deux randonneurs qui, comme le genre l'affectionne, débute plutôt mal, d'autant plus que l'âne est un animal obstiné, c'est bien connu).
« Antoinette dans les Cévennes » repose en très grande partie sur les épaules de Laure Calamy qui démontre, mais on s'en doutait déjà, qu'elle a largement les capacités pour un premier rôle, se révélant assez irrésistible de drôlerie. Attention tout de même à ne pas en faire trop, cela peut être son péché mignon, et à ne pas non plus se Karine Viardiser, car elle semble parfois copier, involontairement, sans doute, les mêmes attitudes bougonnes devant l'adversité. Il est indéniable que le film est plaisant, joliment écrit, en ayant en tête que le voyage est plus important que la destination. Admirer la splendeur des Cévennes fait aussi partie du périple, sur les traces de Robert Stevenson. Dommage que les vacances d'été soient terminées, il est certain que le film ferait beaucoup pour le tourisme local. Quitte à rebaptiser certains quadrupèdes autochtones Patrick, Bernard, Kevin ou encore Lætitia ou Sylvie, puisque le droit d'ânesse existe, faut-il le rappeler ? »
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Je veux sortir de l’insatisfaction chronique
https://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Comportement/Articles-et-Dossiers/Jamais-content-e
Souvent, les insatisfaits chroniques comme Cédrine ont été des enfants dont les désirs étaient comblés avant même qu’ils aient pu les formuler.
A ce moment-là, l’article suggère que derrière l'insatisfaction chronique se cache un enfant roi et je le relève ça parce que je pense que c’était mon cas. Je considère que le foyer familial était un trop bon cocon. Pour continuer à désirer, à exister psychiquement, ils ont dû mettre la barre très haut. Et s’inventer des exigences impossibles à combler. A 26 ans, je chasse toujours la personne que je pensais pouvoir devenir quand j'avais 12 ans. Je n’accepte pas ce que je suis devenu. Mais, quand on a été trop choyé, on peut aussi grandir, à l’inverse, avec la conviction que nos besoins et nos désirs peuvent être immédiatement comblés. Toute frustration est alors insupportable. Même pour moi, le besoin de me sentir important, j’arrivais à le combler de suite dans le cadre scolaire parce que j’avais un très bon niveau pour mon âge sans fournir d’efforts. Aujourd’hui, je n’arrive plus à me combler immédiatement et ça crée forcément une frustration immense. A 28 ans, Karine a "tout" pour être heureuse. Pourtant, elle trouve toujours une raison de se plaindre : « C’est plus fort que moi. Comme si, quoi que la vie me donne, je voulais justement ce qu’elle ne me donne pas. »
Actuellement, est-ce que j’ai tout pour être heureux ?
Non, je me sens méprisé par le ghosting de la personne avec qui je vivais il y a 4 mois.
Non, l’appartement qu’elle m’a laissé a été totalement dépecé et je suis encore loin d’avoir retrouver le confort que j’avais avant.
Non, j’ai sacrifié les sorties entre amis et les fêtes de fin d’année avec ma famille pour retrouver un confort matériel le plus vite possible, .
Non, j’ai pas d’emploi dans lequel je me sens important.
Avec tout ça, est-ce que c’est anormal de ne pas parvenir à me satisfaire du moment présent ? C’est sûr que m’en insatisfaire n’accélérera pas les choses mais c'est que je m’entête à poursuivre un idéal. C’est une mauvaise chose ? Ne pas poursuivre un idéal, être tout le temps dans le temps présent, ça rend sans doute la vie plus simple à vivre mais est-ce que la vie devient pas fade en la prenant de cette façon ? J’ai pas envie d’une vie de souffrance mais je n’ai pas envie d’une vie fade où je me contenterais de me laisser vivre seconde après seconde. Je me sens coincé à devoir supporter le pire aujourd’hui pour viser le meilleur. Pour François Roustang, philosophe et psychanalyste, cette "tendance" à la plainte témoigne du refus inconscient d’être heureux. Je refuserais d’être heureux ? Je le refuse si je dois rester la personne en dessous de mes attentes que je suis actuellement mais si j’y parviens, je ne vois pas pourquoi je le refuserais à ce moment-là. Principal responsable de cette "perversion narcissique", l’intérêt excessif porté par chacun à son "moi chéri".
Moi, un pervers narcissique ? Je me vois pas du tout comme ça. Du coup, je ressens le besoin de chercher la définition exacte de ce que c’est
https://www.psychologies.com/Moi/Problemes-psy/Troubles-Maladies-psy/Articles-et-Dossiers/Manipulateurs-pervers-narcissiques-qui-sont-ils La raison d’être de ces derniers ? « Se rendre valables en nous écrasant pour se sentir supérieurs. Ils sont comme des virus. Ils distillent le mal auprès de plusieurs victimes à la fois - leur époux(se), leurs enfants, le boulanger…- Vous n’êtes qu’un pion sur lequel ils s’appuient pour se valoriser »
C’est une vraie angoisse pour moi de me voir attacher cette étiquette un jour. J’ai plutôt le sentiment d’être l’inverse de ça, de me diminuer pour les autres et de privilégier les autres à moi. Un intérêt que la fréquentation désormais banalisée des cabinets de psy ne fait, paradoxalement, que cultiver. Je commets une erreur à faire une psychothérapie en ce moment ? Que faire ?
Lister des raisons d’être satisfait On notera quotidiennement cinq raisons, même petites et pas évidentes, d’être content, en utilisant des formules affirmatives. Par exemple : « Je vais enfin pouvoir aménager mon appartement d’une manière plus rationnelle » plutôt que : « C’est horrible, j’ai une tonne de rangement à terminer avant ce soir. » Mouais. C’est un peu niais, non ? Ah non, pardon... Utiliser des formules affirmatives va me détourner des pensées négatives et me rendre le quotidien plus facile à vivre. Ca serait perdre en spontanéité mais bon, c’est sûr que je peux pas compter sur mon crétin de cerveau pour avoir une réaction positive sans m’y forcer. Je vais donc essayer de m’y tenir... Parler positif « L’expo est intéressante, mais il y avait trop de monde ! » Avoir l’esprit critique, c’est bien, s’il n’a pas toujours le dernier mot. On tentera d’inverser ses modes d’expression. « Il y avait beaucoup de monde à cette expo, mais elle valait le coup ! » Finir sur une bonne note laisse le dialogue ouvert.
En fait, on me propose de me forcer pour redevenir maître à bord. Les efforts que ça va demander, ça m’angoisse d’avance.
Se recentrer sur soi « Tu as tout pour être heureux », « Pense à ceux qui souffrent vraiment »… Se faire à soi-même ce type de remarques culpabilise et ne permet pas de mieux se connaître. Or, pour se donner des objectifs viables, il convient de se recentrer sur soi. En s’interrogeant : « Que me manque-t-il, concrètement, pour être satisfait ? » On notera ses envies, on choisira celles qui sont accessibles, puis on réfléchira aux étapes à franchir. Ça me convient ça. C’est juste s’écouter. Lâcher prise Vivre heureux, c’est aussi savoir vivre avec ses manques et ses imperfections. Autrement dit, faire preuve de tolérance et accepter de lâcher prise. Autant d’attitudes mentales à travailler. Relaxation, yoga, tai-chi favorise cette détente. Et évite une trop grande rigidité du corps… et de l’esprit. Accepter de lâcher prise ? Mais c’est renoncer à mon idéal, non ? L’horreur.. Bref, ça va être compliqué mais je vais essayer de faire ça si c’est le seul moyen d’être vraiment satisfait...
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3 adresses pour trouver du vrac sur la rive sud de Québec
Crédits photo : Tim Mossholder
Dans les années 90, je vivais à la campagne avec mes parents, mon frère et ma soeur. Dans ce temps-là, notre gros bonheur c’était d’aller jouer dehors...Dans ce temps-là je jouais à l’écologiste. En fait, je croyais que j’y jouais. Ça consistait à m’imaginer en charge d’un camp avec une thématique sur la nature. En bref, moi et mon amie Karine (une petite voisine) on faisait des excursions à la découverte de la nature et de ce qu’elle pouvait nous apporter. Mais on faisait plus jouer que d’aider la nature. Et puis à cette époque, on ne peut pas dire que l’écoresponsabilité était un sujet bien à la mode. C’est une toute autre histoire aujourd'hui. Heureusement. Comme consommateur, on commence à sentir le mouvement. Petit hic, quand on habite à l’extérieur des grands centres, consommer de façon responsable demande un peu de recherche. Alors qu’à Québec l’offre en matière d’alimentation en vrac est bien présente, qu’en est-il de l’autre côté du pont? Voici donc quelques spots pour réduire son empreinte écologique sans trop se compliquer la vie.
Mais revenons un instant aux années 90. Non mais quelle époque quand même. De ce que je me souviens, on ne faisait pas de recyclage, on économisait pas l'eau, on n'avait pas de voiture électrique, on se souciait peu de l'environnement et du réchauffement climatique. Pourtant, on nous parlait beaucoup de nature et d'écologie; sans toutefois relier le tout à nos comportements. Quand même étonnant.
Il aura fallu encore plusieurs années avant que les gens se mobilisent.
Quoi qu’on en pense, on est tous responsable de notre planète. Je ne prétends pas être irréprochable, mais j’ai choisis de tendre vers une vie moderne plus écoresponsable. J’ai choisis d’en faire un peu plus et puis j’y ai même pris goût. En faire un peu ou beaucoup au quotidien, l’essentiel c’est d’être actif. J’ai commencé par l’achat en vrac. Voici quelques bonnes adresses sur la rive-sud.
1- Bidon Rempli – Épicerie Zéro Déchet – 5731, local 100, rue Saint-Louis
Situé dans le Vieux-Lévis, cet endroit offre une panoplie de produits avec une belle ambiance épicerie du coin. J’y vais pour les huiles de cuisson et les produits de cuisines (ex. farine, etc.) J’adore leur coin légumes de saison et fines herbes et leur offre de produits corporels.
2 -Totalement Vert – Produits nettoyants/Vrac – 1685, boul. Guillaume-Couture
Plus près des ponts, cette boutique au secret bien gardé propose une multitude de produits diversifiés. Je m’y approvisionne en produits ménagers en grande quantité et j’ai récemment découvert le dentifrice et les soins corporels. C’est un endroit chouchou qui met en valeur l’achat local en plus.
3 - Bulkbarn - Produits en vrac – 65-B Route du Président-Kennedy, 1236 Rue de la Concorde A2-102
Deux succursales sont accessibles. L’une est à Lévis près des épiceries, l’autre près des ponts et du Costco. Deux endroits tout indiqués pour essayer un nouvel aliment ou faire une recette avec disons…un peu…;) de Garam masala sans avoir peur de gaspiller. J’y vais pour essayer un vaste choix de cafés moulus, de thés, d’épices et pour me gâter une fois de temps en temps avec des bonbons. Faut bien se faire plaisir.
Tiens, pourquoi pas d’autres trouvailles qui méritent qu’on y porte attention?
LA tasse de transport qui fait dire bye bye aux tasses en carton
Pratique et compacte, la tasse Stojo se replie pour devenir un disque étanche à conserver dans votre sacoche ou dans un sac à dos. Génial. Je suis tombé en amour avec elle. Un peu chère à l’achat, mais disons qu’on peut se reprendre. Avec une tasse on peut bénéficier d’un rabais dans plusieurs cafés. C’est intéressant à long terme. Elle est à la fois très solide grâce à son manchon et souple lorsqu’on la replie. Elle va au aussi au lave-vaisselle.
Un shampoing coup de cœur en barre
Dur de trouver un shampoing en barre en pharmacie. Je suis tombé sous le charme de l’odeur de noix de coco et de mimosa du savon en cœur de la gamme Love Beauty and Planet. C’est certain qu’il y a plein de bons produits qui sont faits localement et en vrac. C’est aussi possible de faire son savon soi-même. Pour ma part, je ne suis pas rendu là. J’ai aussi remarqué une réaction allergène suite à mes essais. Alors, je suis toujours en formule test.
Prochaine étape : partir à l’assaut de la transpiration pour trouver un déodorant écologique, efficace, facile de recharge et qui sent bon.
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ok donc j'ai pu voir les épisodes des archives; maintenant c'est le moment de trouver comment exploiter ça dans mon au
Épisodes 1 et 3 restent complètement canon, John et Klaus qui deal avec l'expérience traumatisante de Klaus qui doit tuer John, j'approuve à 100%, et Karin président qui fait n'imp' avec Cécil dans le fond qui fait des magouilles pour gagner plus de pouvoir, j'adore. Aussi, l'opposition qui a moins de pouvoir que le gouvernement de super héros, c'est quand-même pas très très démocratique, autant n'avoir pas d'opposition si tu peux simplement l'ignorer. Ça me permet donc de garder un peu le côté smart de Karin qui lui ait donné dans sa backstory des comics, certes il se laisse tenter, mais en vrai il est un peu d'accord.
L'épisode 2 va trop à l'encontre de ma fan continuation et de comment le perso de Neil s'était développé en fin de saison 4 pour que je le prenne à 100% canon. Donc on retire le côté arnaque de sa communauté, mais on garde le reste. Car même redevenu plus gentil, Mackormack reste un peu une bitch <3
Pour l'épisode 4.... ok donc Julien qui est le fils d'Hoodwink mais c'est un grand secret qui à ce point causerait plus de tort d'être révélé j'aime bien. J'enlèverai l'enlèvement et le harcèlement sexuel car je suis à peu près certaine que ni Meghan, Jennifer, ou Miss Moore se laisserait faire comme ça (surtout que la saison 4 montre qu'elles ont déjà subi la séquestration et se sont enfuie, et Hoodwink c'est quand même un autre niveau que le type qui a plus toute sa tête). Par contre qu'elles acceptent de rester à tourner dans une série pourrie qui est sûrement populaire parce que les gens la regarde comme on regarde Riverdale, je prends; c'est vraiment la merde le climat actuel, donc elles préfèrent s'assurer avoir un salaire et un rôle discret dans la société jusqu'à ce que ça se calme. Puis Hero Corp vient fouiller, et même si Julien n'a pas fait d'harcèlement sexuel, il a quand-même flirté avec Jennifer, ce qui la dégoûte une fois qu'elle apprend que d'une certaine façon, c'est son demi-frère (techniquement y a aucun lien de sang et elle a renié Hoodwink, mais ça reste quand-même le type qu'elle a appelé papa durant toute sa vie). Julien n'est sans doute pas conscient du côté yikes du truc.
bon maintenant faut que je vous les plot points plus précis que tout ça apporte
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BIENVENUE SUR L’ESPACE HINODE
Hinode signifie en japonais “lever de soleil”
Quoi de plus porteur et lumineux que cette évocation d'un astre qui nous apporte à tous, humains, animaux et végétaux tant de bienfaits.
Chaque lever de soleil annonce un jour nouveau et son champ des possibles.
Il nous appartient de nourrir notre quotidien pour qu'il nous apporte le meilleur.
Je sais, tout comme vous, qu'il est parfois compliqué de garder à l'esprit cette idée que nous pouvons agir sur notre vie. Nous avons parfois le sentiment de subir davantage des situations que de les avoir choisies, et ce dans la famille, le couple, la vie professionnelle ou sociale. Cela peut engendrer à la la longue un stress qui risque de nuire à notre santé.
Je peux vous aider à mieux comprendre ce sentiment de “contrainte”, vous accompagner dans certains changements probablement nécessaires de vos attitudes ou de votre regard sur des situations parfois complexes de la vie, afin d’aller vers ce qui sera meilleur et plus positif pour vous.
Après ce petit préambule, je me présente :
Je m'appelle Lucile Foucart. Après des études de psychologie clinique, je me suis orientée vers la profession de Conseillère Principale d'Éducation au sein de l'Éducation Nationale que j'ai exercée durant 30 ans. Pour financer mes études lorsque j'étais étudiante, je m'étais formée en tant qu'aide-soignante afin de pouvoir intervenir en service de soins à domicile auprès de personnes âgées ou malades. J'ai gardé de cette expérience le goût et la volonté du soin. J’ai fait le choix d’une retraite anticipée afin de réorienter ma vie professionnelle et de revenir au domaine du soin pour partager les compétences que j’ai acquises au fil du temps. Je dispose d'un lieu dédié à mon domicile où je peux vous accueillir. Selon la nature du soin, je peux également me déplacer dans un rayon de 15 km autour de la commune d'Agnetz (60) ou travailler à distance.
VOICI LES SOINS ET/OU PRATIQUES QUE JE PEUX VOUS PROPOSER :
Le massage Bien-Être : Je vous accompagne avec ce massage dans un moment de pause que vous allez vous accorder en dehors du temps. Il s'agira de laisser de côté ce qui était avant et ce qui sera après pour se concentrer sur l'instant présent et les sensations du corps durant le massage. La séance dure environ 1h30, le temps d'arriver calmement, d'échanger, de s'installer, de profiter du soin, et de revenir ensuite au présent et à la vie qui va reprendre son cours. Il est souhaitable, dans la mesure du possible, de vous organiser pour que vous disposiez d'un temps de repos et de tranquillité suffisant dans les heures qui suivent le massage afin d'en ressentir totalement les bienfaits.
Le soin énergétique : Il s'agit ici d'avoir recours au magnétisme, cette “force vitale et fluide” que nous possédons tous et de savoir l'orienter correctement pour nous soulager des maux du corps ou de l'esprit. Le magnétisme curatif consiste en des mouvements techniques bien définis pour rétablir une bonne circulation et un bon équilibre de l'énergie dans le corps du sujet.
Pour ce soin, en dehors de l'apposition des mains, j'ai recours à divers accessoires : Le pendule, la lithothérapie (technique qui utilise les propriétés des pierres et cristaux dans l'objectif du soin), les sons du bol tibétain et d'autres pratiques qui vont permettre au corps, dans un premier temps de se “nettoyer”, puis de se “recharger” et enfin de “s'harmoniser”.
Ce soin peut également se faire à distance avec la même efficacité. N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez plus d’informations sur cette possibilité.
J’ai été formée par Karine Le Goaziou, thérapeute familiale et énergéticienne à qui j’adresse toute ma reconnaissance pour la qualité exceptionnelle de son enseignement.
Réflexologie : La pratique de cette discipline a pour origine les arts orientaux ancestraux de la guérison. Elle consiste à exercer une pression sur des zones spécifiques des pieds et des mains et du crâne « reliées » à des régions correspondantes de l’organisme. Ces pressions activent des capteurs qui provoquent l’émission d’ondes relaxantes qui se propagent à l’ensemble du corps.
Le but généralement recherché est de permettre au corps de se relâcher, d’évacuer des tensions corporelles, organiques, articulaires ou énergétiques. Ces tensions emmagasinées occasionnent un ressenti de malaise ou d’inconfort et leur évacuation permet de retrouver l’état d’équilibre, de bien-être et d’homéostasie (équilibre des constantes de l’organisme) que l’on peut qualifier « d’état de santé ».
Formation : Hélène Le Goaziou (magnétiseur et relaxologue – Harmonie et Art de Vivre, Clermont de l’Oise) à qui j’adresse également mes plus vifs remerciements.
INITIATION AU QI GONG
Le Qi Gong fait partie des trésors de la culture chinoise. Son histoire de plus de 2500 ans est liée au développement, entre autres, de grands courants philosophiques et de la médecine chinoise. Qi se traduit par énergie, souffle et Gong qui désigne le travail, la technique, ainsi que la maîtrise, le but que l'on recherche à travers les exercices.
Cette pratique travaille sur l'harmonie de trois éléments qui sont le corps, la respiration et l'esprit, la conscience.
Le Qi Gong vise à l'épanouissement individuel de l'être, à l'entretien de la santé, à l'équilibre émotionnel et à l'unité entre l'esprit et le corps. Il stimule le fonctionnement organique et vise, au plus profond de nous-même, à l'élaboration d'un équilibre subtil entre santé et spiritualité. C'est une voie de santé qui unifie l'esprit et le corps tout comme la médecine chinoise.
Les exercices de Qi Gong utilisent des postures statiques ainsi que des mouvements dynamiques, la respiration et la concentration de l'esprit pour faire circuler l'énergie, assouplir les articulations et enrichir l'énergie vitale.
Le Qi Gong est accessible à tous, à tout âge de la vie. Il n'y a pas de recherche de performance, chacun s'adapte aux exercices selon sa souplesse et ses capacités.
J'ai été initiée à cette discipline il y a plusieurs années et j'en ai retiré de réels bienfaits sur ma santé tant dans le corps que dans l'esprit. Je serais donc heureuse, à mon tour, de servir de relais et de vous guider vers la découverte des bases et de la philosophie du Qi Gong.
Qi Gong thérapeutique
Des études anciennes et modernes montrent que le Qi Gong peut aider à la lutte contre le vieillissement. Mais il peut également prévenir ou accompagner certaines pathologies chroniques grâce à l’activité physique apportée par la pratique régulière de “postures” spécifiques, la diététique, la méditation et l’auto-massage. Je peux vous accompagner dans la mise en place d’un protocole particulier et adapté à votre situation.
ACCOMPAGNEMENT THÉRAPEUTIQUE
Au fil de ma pratique, je constate que les personnes qui viennent en quête d’un soin, sont aussi et surtout à la recherche d’un espace de paroles où « déposer » leurs difficultés du moment. Je réserve donc toujours ce temps de paroles avant de pratiquer un soin.
Ma formation initiale de clinicienne, me permet de vous proposer un accompagnement psychologique global. Toutefois, je suis plus spécifiquement formée à l’accompagnement des problématiques suivantes :
- Difficultés face à la maladie et aux traitements parfois éprouvants
- Difficultés du deuil
- Difficultés liées à la parentalité
- L’accueil des problématiques de l’adolescence
CHARTE DÉONTOLOGIQUE
Mon accompagnement à travers les divers soins que je propose ne saurait en aucun cas se substituer à la nécessité d'une consultation médicale si vous avez un problème de santé, ni au suivi et traitement médicamenteux que ce problème nécessiterait. Il peut toutefois vous accompagner vers un mieux-être global dans une période qui peut être très difficile à vivre sur la durée.
TARIFS
Soin énergétique — 1h • 45€
Réfléxologie plantaire — 1h • 50€
Massage bien-être — 1h • 50€
Soin complet — 2h/2h30 • 65€ (écoute thérapeutique, soin énergétique, massage)
Séance de Qi Gong — 1h30 • 15€
Séance Qi Gong thérapeutique — 1h30 • 60€
Consultation accompagnement thérapeutique — 1h • 45€
Le règlement pourra s’effectuer, à votre convenance par chèque ou espèces.
IMPORTANT : Il est fondamental dans la philosophie qui anime ma démarche que personne ne soit écarté d’un soin dont il a le besoin pour des raisons financières. Si mes tarifs sont trop élevés face à vos contraintes matérielles, n’hésitez surtout pas à m’en faire part. Nous conviendront ensemble des aménagements possibles.
Il s'agit à l'Espace Hinode, d'accueil bienveillant, d'écoute et de partage.
CONTACT / PRISE DE RDV
Pour toute information complémentaire, questions ou prise de RDV n’hésitez pas à me contacter par mail à l’adresse suivante :
[email protected] ou par téléphone au 06 88 98 75 81.
Le cabinet de soins se situe au 701, Rue de Froissy, 60600 Agnetz.
N° de SIRET : 918 404 849 00013
Merci de votre visite sur le blog d’Espace Hinode. N’hésitez pas également à me suivre sur Instagram, celui-ci est régulièrement nourri de contenu et ressources.
LE MOT DE LA FIN
Un grand merci également à ma fille Clémence à qui je dois la création de ce blog, des visuels (logo, illustrations) ainsi que les photos. Vous pouvez retrouver son travail photographique ici.
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#municipales2020 : de 14 % à .... ? : “ Tous les jours, je lis le journal et je me dis : 'Les gars, qu'est-ce qui ne va pas avec vous ?! Qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez nous ? Ces derniers temps, les hommes m'agacent. (...) Nous sommes violents, nous sommes des harceleurs, nous ne savons pas gérer nos affaires. Je pense que donner plus de pouvoirs aux femmes sur le continent - cela va améliorer notre politique” : ces propos forts, c’est un ancien Président d’une démocratie occidentale qui les a tenus publiquement tout dernièrement (cf 2 ci-dessous). Aujourd’hui, dans l’agglomération grenobloise, sur 49 Communes, 7 Communes ont des femmes maires soit seulement 14 % (1 : cf ci-dessous) :
- Champagnier : Françoise Cloteau
- Domène : Chrystel Bayon (1 : cf ci-dessous).
- Eybens : Francie Megevand
- Herbeys : Françoise Fontana
- Montchaboud : Magdeleine Fasola
- Proveysieux : Christiane Raffin
- Venon : Françoise Gerbier
Au niveau de l’agglomération grenobloise, elles sont donc peu nombreuses et par ailleurs totalement inconnues. Impossible de citer des dossiers marquants ayant été portés par l’une d’entre elles. C’est dire combien la vie publique locale est masculinisée. Autre constat, à Claix, tout dernièrement, l’équipe municipale a voté le nom du successeur de Michel Octru dans le cadre de son départ en permanence différé, la saviniste MN Strecker (LR 38 tendance Fillon) a été
battue bien que 1ère adjointe .... Et pourtant, dans le même temps, aux Etats-Unis actuellement, à la sortie des actuelles primaires, selon la prise en considération des différentes instances locales, les femmes vont représenter de 33 à 48 % des candidats en novembre 2018. Là bas, 2018 est d’ailleurs qualifiée : l’année des femmes ! A 570 jours des municipales, au moment où la rentrée sera celle des clarifications sur des candidatures ou pas (cf 3 ci-dessous), quelles candidates potentielles peuvent contribuer à une meilleure participation des femmes : gagner en nombre et aussi gagner en tempéraments forts ? Car si la Métro a autant rongé des pouvoirs municipaux depuis 2014, c’est également parce que des élus municipaux sortants ont été faibles. Parmi les tempéraments forts, il faudra suivre :
Vif : la candidature de Mme Karine Maurinaux, personnalité de l’Isère 2016, serait un symbole de première importance,
Jarrie : la candidature de Mme Aline Kozma parait de plus en plus probable. Une réunion préparatoire très constructive serait même déjà intervenue début août,
Le Pont de Claix : Mme Martine Glé a fait le consensus autour d’elle. Une pontoise de longue date qui connait particulièrement bien les dossiers de cette ville,
Sur Varces et Le Gua : deux noms de femmes quadragénaires, professionnelles libérales, circulent de plus en plus manifestement,
... si c’est le cas, le sud de l’agglomération pourrait connaître une percée historique de candidatures féminines en têtes de listes.
Pour ce qui concerne Grenoble, tout semble dépendre du sondage que le parti présidentiel a annoncé sur octobre ou novembre 2018. Si Olivier Véran se détache dans ce cadre, il parait bien peu probable qu’il renonce. En parlant de sondage, noter qu’après la fièvre locale sur celui de juin 2018, c’est le calme plat absolu. Un dossier local de plus sans suivi concret dans la durée...
Si le sud de l’agglomération respecte ses “actuelles promesses”, il pourrait porter une perspective d’éventuel premier changement notoire dans la prochaine composition de La Métro.
13 août 2018
1) Le chiffre de 7 ci-dessus est erroné. Le Maire de Domène n’est pas une femme mais un homme. Merci pour ce signalement. Le chiffre est donc de 6 femmes et non pas 7 (correction apportée le 14/08 à 07.40)
2) Citation de Barack Obama dans ses derniers discours.
3) Calendrier de publication de décision mise en ligne par Denis Bonzy la semaine dernière sur son blog personnel.
#grenoble#Varces Allières et Risset#commune de vif#Jarrie#Aline Kozma#MartineGle#KarineMaurinaux#lepontdeclaix#Claix
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Promotion Limitée Des Baskets Asics
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LA FAMILLE BELIER (2014)
** SYNOPSIS ** Dans la famille Bélier, tout le monde est sourd sauf Paula, 16 ans. Elle est une interprète indispensable à ses parents au quotidien, notamment pour l’exploitation de la ferme familiale. Un jour, poussée par son professeur de musique qui lui a découvert un don pour le chant, elle décide de préparer le concours de Radio France. Un choix de vie qui signifierait pour elle l’éloignement de sa famille et un passage inévitable à l’âge adulte.
Je dois avouer que quand j'ai vu l'affiche et le titre du film je me suis dit ''Vive la France, encore un film de beaufs tout pourri'' puis ma compatriote blogueuse j'ai nommé Emmanuelle (son blog ici) m'en a parlé alors j'ai tout de suite regardé la bande-annonce qui m'a donné très envie et a suscité une hâte chez moi. Vite, vite le 17 décembre.
Je suis donc allé découvrir le film en avant première (YES ! Merci UGC) et je vous assure que je n'ai pas été déçu. Non seulement le scénario est intéressant mais il est aussi drôle et très touchant. Ajoutez à cela de la musique (vive Michel Sardou) et vous obtenez un superbe film. LA FAMILLE BÉLIER, comme un bélier, c'est l’histoire d'une famille unie et différente. Paula est une CODA (Child of Death Adults). Seule entendante de sa famille, elle est aussi le porte parole de ses parents et leur traductrice que ce soit professionnellement (marchés) ou personnellement (chez le médecin). Elle tente de vivre sa vie d'adolescente comme tout le monde, sauf qu'elle est très demandé par ses parents vu leur condition. Un jour le professeur de chant de son lycée, qui est ici interprété Eric Elmosnino qui est hilarant et apporte un petit côté déluré au long métrage ; lui découvre un talent incroyable et décide de la prendre sous son aile. Il essaye de l'aider à penser à elle et à son futur; d'ouvrir ses yeux et surtout sa bouche. Louane Emera, la finaliste de THE VOICE saison 2 prête ses traits et surtout sa voix à Paula, qui va devoir imposer son choix et sa voix dans sa famille de sourds. Malgré quelques fausses notes (mouahahah, le jeu de mots, je sais) dans son jeu, Louane vous prendra au dépourvu et arrivera même à vous faire pleurer (bon j’avoue j'ai la larme facile) ou au moins vous faire dresser les poils. Au top pour une débutante, non ? Karin Viard et Fançois Damiens qui ont appris le langage des signes pendant 6 mois vous toucheront sans prononcer un seul mot. Tout est dans l'attitude, dans les gestes. Bien que prévisible par moment LA FAMILLE BÉLIER traite le handicap avec humour, comme ce fut le cas pour INTOUCHABLES et nous raconte une histoire fraîche, touchante et qui fait du bien. Une très jolie surprise cinéma qu'on vous invite à aller voir ! Attention, vous risquez de fredonner du Michel Sardou en sortant de la salle. N'essayez pas de résister ! La B.O est disponible alors courez vite vous la procurer.
9/10
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SAMEDI 16 MAI 2020 – (Billet 2 / 3)
« PETIT PAYS » (111 minutes) est un film réalisé par Eric Barbier
Casting : Jean-Paul Rouve, Isabelle Kabano, Djibril Vancoppenolle, Delya de Medina, Tao Monladja, Veronika Varga…
Nous avions vu au cinéma la bande-annonce, qui nous avait bien plu et les premiers échos que nous avions lus sur le film étaient plutôt bons.
Rentrant de Marrakech le 14 mars, nous serions sûrement allés le voir le jour de sa sortie, soit le 18 mars… mais LA Covid en a décidé autrement, le film n’est jamais sorti.
Il est tiré d’un livre qui a obtenu le Prix Goncourt des Lycéens en 2016. Grâce à Internet et Amazon nous avons réussi à le retrouver d’occasion… mais dans son édition originale (juste un tout petit moins coûteux que neuf en Edition de Poche).
Vous saurez ci-dessous ce qu’en a pensé Marina. Quant à lui, JM, n’a pas encore tout-à-fait terminé « Les choses humaines » de Karine Tuil. Sachez juste qu’il est passionnant. Il nous semble même que notre cousine Sophie (R.) nous a écrit que “Les choses humaines” était à ce jour son livre préféré de l’année.
Qu’avez-vous acheté le premier jour d’ouverture des magasins qui étaient fermés jusqu’à présent ?
Nous, étant partis faire quelques courses alimentaires dans le quartier, nous nous sommes arrêtés dans une petite librairie et sommes rentrés avec :
« Le pays des autres » de Léïla Slimani et « Une Deux Trois », un roman policier dont nous n’avions jamais entendu parler auparavant mais qui était un coup de cœur d’une de nos deux libraires (voir la Photo 2 ci-dessous).
Marina va les dévorer comme d’habitude et vous en parlera sûrement bientôt. Par contre « Le pays des autres » qui se passe à Meknès, JM le lira avant elle.
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Lecture pour les amis du Blog (Marina)
« PETIT PAYS »
Une vraie petite « pépite » de librairie, un pur joyau d’émotion, de tendresse, de générosité et de joie de vivre. Avec un rare sens du romanesque, Gaël Faye évoque les tourments et les interrogations d’un enfant de 10 ans pris dans l’histoire de son pays natal, le Burundi, où il vit avec son père entrepreneur français, sa mère rwandaise et sa petite sœur Ana, dans un quartier confortable d’expatriés. Mais la guerre n’est pas loin, incompréhensible pour des enfants. Narration bouleversante, vous fermerez le livre la gorge serrée et les larmes aux yeux. Le film tiré de ce livre sera probablement le premier que nous nous promettons de voir dès l’ouverture des cinémas.
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