#jusqu'ici tout va bien
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closetofcuriosities · 10 months ago
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La Haine - 1995 - Dir. Mathieu Kassovitz
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nu-creature-int-o-munno · 7 months ago
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sheltiechicago · 2 years ago
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“Faille (Crack)” (2022), acrylic on canvas.
So Far So Good: Vivid Paintings by Murmure Take a Wry Perspective on the Climate Crisis
Artists Paul Ressencourt and Simon Roche, a.k.a. Murmure (previously), have worked collaboratively for the past twelve years to synthesize a studio-based practice with large-scale street art. In high-contrast acrylic paintings, the duo reference the climate crisis and enduring problems of overconsumption, especially regarding the immense impact that humans have on marine life and rising sea levels. The artists’ new exhibition Jusqu’ici tout va bien, which translates to “So far so good,” approaches environmental catastrophes like thawing glaciers and overfishing from a characteristically sardonic perspective.
All images © Murmure
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“Whale Sushi” (2022), acrylic on canvas
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“Whale Maki” (2022), acrylic on canvas
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Left: Detail of “Whale Sushi.” Right: Detail of “Joyau”
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“Joyau” (2022)
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suesswiebaklavas · 1 year ago
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La haine attire la haine!
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Behind the scenes of La Haine (1995)
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I am watching Thicker than water (Jusqu'ici tout va bien) and who else watched it and just wanted our girl Fara to become modern tommy shelby of Paris?
Like go girl girlboss them all you got this.
Such a bad bitch energy. She should take them all down and become queen gangster.
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lecoindecachou · 2 months ago
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Ce qui serait bien, ce serait qu'en France on se serve de l'exemple de l'Amérique sur les trois prochaines années pour se rendre compte du carnage que sème l'extrême-droite sur le droit commun au lieu de simplement dire "Oui mais les Ricains sont frappadingues, on peut pas se baser sur eux" et de se convaincre que chez nous ça risque pas d'en arriver là, mais bon j'ai pas trop d'espoir j'avoue.
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celine-song · 4 months ago
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Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici tout va bien...
La Haine (1995) dir. Mathieu Kassovitz
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lilias42 · 1 month ago
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Juste un petit ajout de rien du tout : Hector, Briséis et Chryséis qui regardent Achille se prendre sa raclée monumentale et amplement méritée de la part d'Hélène !
Briséis est surtout soulagée que Kelon aille bien et ne se soit pas fait plumer (vu qu'elle s'attendait limite à ce qu'Achille le tue pour l'avoir volé et s'inquiétait pour lui vu qu'il est retourné vers le camp), Hector est satisfait de voir son pire ennemi se prendre la leçon qu'il mérite, et Chryséis se régale en voyant celui qui a massacré la famille de sa cousine et les a considéré toutes les deux comme des objets juste bon à être échangés se prendre une raclée de la part d'une femme.
Pour les costumes :
Hector n'est pas basé sur une représentation particulière mais, vu qu'il a souvent une barbe et que sur ce lécythe, il en a une contrairement à Achille, je lui ai laissé (enfin, comme dirait les romains, un grec, c'est un mec avec une barbe donc, voilà), et ça permettait de lui donner l'air plus âgé et mur qu'Achille. Vu qu'Hector est plutôt fidèle à ce qu'il est dans l'Iliade (soit un prince responsable qui défend sa cité après que son frère les ait tous envoyé dans la guerre en enlevant Hélène), je voulais lui donner un air plus respectable, même s'il a un petit sourire en voyant le sale gamin égocentrique qui tente de détruire sa cité se faire battre dans les grandes largeurs par une de ses propres soldates. Pour les motifs sur sa tunique, j'ai repris des symboles qu'on pourrait associé à Apollon qui est le protecteur de Troie, avec la lyre fait dans une carapace de tortue comme dans la légende avec bébé Hermès, le serpent, et les feuilles de laurier sur ses manches. J'ai aussi ajouté une grenade d'Héra, même si techniquement, la Déesse est dans le camp d'en face mais, c'est pour rappeler qu'il est marié et jeune père, surtout qu'il est très amoureux de sa femme (et au nom des dieux, il l'écoute ENFIN !) et adore son fils Astyanax, comme dans le passage de l'Iliade où il le réconforte quand le petit a peur de lui à cause de son casque.
Briséis est toujours basée sur cette représentation mais, elle a retrouvé ses habits originaux, même si elle a gardé les manteaux de Kelon et veut pouvoir lui rendre. Son châle a des motifs de cygne et de coquille pour rappeler Aphrodite qui est aussi du côté des troyens dans la légende.
Enfin, pour Chryséis, je n'ai trouvé que cette représentation d'elle sur le site du Louvre qui est ma principale source de références pour la période de Kelon et Pyrkaïa, et honnêtement, vu que je voulais surtout faire un petit dessin satisfaisant pour clore la boucle de la raclée d'Achille (vu que de base, si ça n'aurait pas cassé le rythme, ces trois-là aurait dû avoir un encart pour aller voir le spectacle pour Chryséis et Hector, s'inquiéter encore plus pour Briséis), je n'ai pas trop creusé. Elle a donc gardé son gros chignon haut et son foulard dans les cheveux, même si elle a un air plus impertinent que sa cousine pour mieux les différencier et juste, elle voie ceux qui l'ont humilié, humilié son père, ont détruit sa cité, ont détruit la vie de sa cousine et failli la violer... évidemment que si le popcorn existait déjà, elle regarderait leurs querelles internes en en mangeant un plein paquet ! C'est pour ça que j'ai essayé de la faire se pencher un peu en avant tout en se tenant sur son coude, elle veut rien rater du spectacle ! (et elle est moins occupée que sa cousine à angoisser sur son sauveur, ça aide aussi à être aussi détendu)
Suite : la colère d'Achille maitrisée AVANT que ça tourne à la Tragédie !
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Suite de ce billet. Merci à @ladyniniane pour m'avoir parlé de ce passage de l'Iliade et m'avoir donné l'idée !
Comme j'en parlais dans le précédent billet, Kelon aide Briséis à s'enfuir avant qu'Achille ne puisse lui faire quoi que ce soit, mais il provoque la colère du prince d'Egine, même s'il arrive à s'en sortir grâce à ses camarades, en particulier de son amie Hélène, de la cité d'Egine (rien à voir avec Hélène de Troie).
Petit point conception de personnage !
Kelon : J'ai finalement décidé de mettre tout le monde en tunique qui correspondrait plus à l'époque mycénienne, histoire de rappeler qu'on est à une époque plus ancienne que celle de Pyrkaïa où on est vraiment à l'époque de la Grèce classique / fin de l'époque archaïque, et de l'époque de Metaheta où on est au début de l'époque mycénienne et où ses habits se rapprochent plus de ceux représenté sur les fresques du fort de Knossos (et comme on est avec elle, les habits représentés sont bien plus féminins). On est sur la fin de l'époque mycénienne / début époque archaïque alors, il y a des tuniques cousus et des habits plus drapés. J'ai laissé Kelon en psuedo-chiton car, même si on est à une époque où on porte plus de tunique, il a la composante "comment je fais pour m'habiller avec deux ailes énormes dans le dos ?" à prendre en compte alors, il a une sorte de tunique cousu qu'il enfile par les jambes, et tient autour de son cou avec une bande de tissu et deux fibules pour que ça ne tombe pas. Il n'a également aucun motif sur ses habits pour souligner sa pauvreté et sa différence sociale avec les autres personnages, il n'a pas les moyens d'avoir de beaux tissus avec de belles broderies comme les généraux ou les soldats venant d'une famille plus aisée. Il a aussi gardé son bandeau pour retenir ses cheveux quand il vole et rappeler Claude.
Hélène (de la cité d'Etolie) : c'est un vrai personnage d'une version de l'Iliade ! Dans cette histoire, Hélène participe à la guerre de Troie, combat Achille et gagne contre lui au point de le tuer mais, Zeus ressuscite Achille qui la tue en retour. Bon, c'est une histoire qui sert surement à dire aux femmes de ne jamais combattre et de rester bien sagement à la cuisine MAIS, elle a quand même tué Achille le quasi invulnérable ! ça mérite d'être soulignée ! Ici, vu qu'on est à une période de transition entre l'époque mycénienne où les femmes avaient une place plus importante, et l'époque classique grecque où les femmes sont d'éternelles mineures à peine humaines et sans aucun droit ou presque, j'ai décidé d'en faire une engagée volontaire qui est là parce que dans sa cité, on laisse encore de la place aux femmes, même si ça reste exceptionnelle qu'une femme s'engage, et ça reste très dur pour elle et ses camarades car, ce n'est pas le cas dans toutes les cités, en particulier avec les généraux qui sont tous de très grands nobles ou propriétaires terriens où la condition des femmes... voilà, elle s'est dégradée assez vite car, ils n'ont pas vraiment besoin d'elles à part pour gérer la maison (ce qui est déjà une énorme tâche et responsabilité, ne l'oublions pas), là où ça a pris plus de temps côté peuple car, les femmes travaillent autant que les hommes pour subvenir aux besoins de leur famille, même si elles deviendront de plus en plus marginalisées avec le temps
ATTENTION ! Pour le coup, je ne sais pas si c'est comme ça que ça s'est passé dans notre monde ! Surtout que déjà qu'on a du mal à trouver des sources pour les élites, je ne vous parle même pas des gens du peuple ! C'est vraiment pour le fonctionnement de mon monde, ne prenez pas ça au pied de la lettre !
Hélène s'est cependant vite illustré pour être une excellente fantassine qui a un très grand esprit de corps et sait galvaniser ses camarades, tout en étant très apprécié par eux, en particulier les autres femmes. Elle est très amie avec Kelon d'ailleurs, elle le trouve gentil et intéressant, et lui apprend même à lire et écrire vu qu'il est analphabète de base (pas les moyens d'aller à l'école). Faut dire, en dix ans de guerre et de siège, ils ont eu le temps. A la fin, même si elle est là volontairement au début, elle perd de plus en plus patience en voyant la guerre s'éternisée, et pète littéralement un cable quand elle voie les généraux se mettre à se disputer pour une femme alors que leur camp vient d'être ravagée par la peste car, un des leurs s'est comporté comme un connard avec deux prêtres d'Apollon, y a des choses plus urgentes à régler ! Alors, quand Kelon va aider Briséis à s'évader, elle le couvre avec d'autres soldats de leur camp, histoire qu'elle puisse rentrer chez elle et éviter qu'une autre vie soit détruite. C'est un vol mais, c'est un vol pour la bonne cause donc, ça passe. Quand Achille menace de plumer Kelon, elle intervient et s'interpose entre eux, même si elle sait que normalement, Kelon a mérité de se faire punir pour son délit, elle sait qu'Achille ne fait qu'une crise de colère et veut juste massacrer quelqu'un pour se passer les nerfs. Kelon est son ami alors, elle le défendra, comme une phalange qui reste toujours soudés quoi qu'il arrive !
Pour ses habits, elle est d'une famille plus aisée que Kelon alors, elle a quelques motifs sur sa tunique : une chouette (ref + ref) qui est le symbole d'Athéna, et un vautour qui est un des animaux d'Arès, pour représenter qu'elle est une combattante complète, elle a autant l'intelligence d'Athéna que la force brute d'Arès. Elle porte également une tenue d'homme car, c'est bien plus pratique pour se battre. Je ne l'ai pas mis en armure car, c'est un duel qui s'est fait de manière impromptue et pour mieux montrer ses émotions vu que bon, l'armure complète de l'époque, ça ressemble à ça : l'armure de Dendras (reconstitution en dessin et reconstitution physique). Je lui ai juste laissé ses jambières en plus de son bouclier pour finir de la protéger et elle aurait pu encore les avoir. Pour son bouclier, il est basé sur une représentation des boucliers bilobés qu'on a retrouvé à Mycènes avec une grosse arrête centrale et cette forme de huit.
ATTENTION A NOUVEAU !!! JE ME SUIS TROMPE ! C'EST PAS HELENE D'ETOLIE QUI ARRIVE A LE TUER ! C'EST PENTHESILEE QUI ARRIVE A LE TUER ! Hélène, elle ne fait "que" le blesser ! C'est pas mal mais, je me suis emmêlée les pinceaux quand même !!! Je suis vraiment désolé pour ça, j'essayerai de ne pas refaire l'erreur plus tard !
Achille : pour lui, j'ai peut-être pas trop à le présenter mais, étant donné qu'il fait une colère car il ne peut pas avoir la plus jolie esclave du camp, qu'il tue quand même un de ses propres alliés car il s'est moqué de lui (car Achille est tombée amoureux de Penthésilée, reine des amazones, alors qu'elle est en train de mourir car il vient de la tuer, ce type doit revoir sa définition du romantisme !), et qu'il préfère aller mourir jeune couvert de gloire au lieu d'écouter sa mère qui a toujours pris soin de lui et de rester à Egine pour mourir vieux et inconnu, ce qui le fait regretter dans l'Odyssée (vraie anecdote, il dit à Ulysse en enfers qu'il préférerait être un valet de ferme [donc très souvent un esclave à l'époque, soyons clair] que d'être mort, y a fallu attendre qu'il meurt pour qu'il grandisse)... ouais, pour une version moderne du personnage, c'est très facile d'en faire un petit c*n égocentrique ne pensant qu'à lui et à sa gloire. Attention ici aussi, c'est dans les codes de l'époque : les héros grecs le sont car, ils sont à la recherche de gloire, ils ne sont pas là pour aider la veuve et l'orphelin. Si Héraclès fait ses douze travaux, c'est pas pour aider les gens mais, pour payer sa dette suite à son meurtre de sa femme et de ses enfants dans un coup de sang provoqué par Héra. C'est ça un héros grec mais, pour une histoire moderne qui suit des codes moraux et narratifs de notre époque, soit faut assumer à fond qu'on est vraiment sur les codes de la Grèce antique autant qu'on les connait et là, autant lire / écouter l'Iliade directement, soit on assume qu'on change des trucs pour en faire autre chose.
Je suis donc partie sur ça : Achille est un prince très fier de son rang, très fier de sa force, très sur de son droit sur tout, qui a également le comportement d'un sale gamin pourri gâté qui déteste qu'on lui dise non (merci Pélée pour le coup, Thétis est le seul parent compétent dans ce couple) et qui n'a aucun respect pour les personnes en-dessous de lui comme Kelon ou Hélène ou qui ne rentre pas dans l'idéal aristocratique de la force comme Kelon dont il trouve le pouvoir inutile, voir même Odysseus vu qu'il est plus rusé et veut que la guerre s'arrête pour rentrer chez lui retrouver sa femme et son fils, et très sanguin quand il s'énerve. Pour ses habits à lui, je lui a donné plein de motif pour souligner sa richesse, plus dans le style des vases à décors géométriques qui vont avec la période, tout en étant facile à reproduire sur toutes les pages. Le motif sur son bouclier de type tour est un aigle, pour rappeler Zeus (capable de se transformer en aigle et de mémoire, je crois que c'est un animal qui lui ait pas mal associé mais je peux me tromper, je me suis surtout appuyé sur mes souvenirs pour cette BD) qui l'a ressuscité dans la légende originale avec Hélène d'Etolie. Pour la forme de son épée, je me suis appuyé sur les reproduction de cet article (en accès libre) : "Les armes aux premiers temps de la Grèce mycénienne : marqueurs de pouvoir et de hiérarchie sociale". J'ai juste juste exagérée la taille des antennes de sa garde pour la rendre plus unique. La forme de son bouclier demi-cylindrique de type tour vient également de là. Etant donné qu'il est quand même censé être un des plus puissants guerriers achéens, il n'a pas de cicatrice, il n'a jamais été assez blessé pour en avoir une (et l'armure de Dendra aide, essayez de passer une forteresse de métal pareille !)
Odysseus : Ulysse retrouve son nom grec pour marquer que c'est un personnage qui est pas mal modernisé aussi. Si déjà dans l'Iliade, il fait tout pour ne pas aller à la Guerre de Troie en se faisant passer pour fou et c'est lui qui trouve la ruse pour en finir avec de Troie, ici, j'ai poussé le curseur plus loin en en faisant vraiment LE général qui veut en finir au plus vite avec cette guerre en négociant avec les troyens et qui n'est pas dans la course à l'égo qu'est cette guerre. Il veut rentrer chez lui car il a déjà loupé toute la croissance de Télémaque et que sa femme qu'il aime vraiment (dans le futur, Kelon le décrira comme l'homme le plus fidèle à sa femme qu'il a rencontré de toute son existences qui durera quand même mille ans) lui manque terriblement. Il a autre chose à faire que s'enterrer à Troie pour récupérer de la gloire au combat et du butin puis Hélène car c'est l'excuse pratique pour se taper dessus. Il est également un des rares qui arrivent à relativement bien canaliser Achille et qui ne se laisse pas impressionner par ses colères et ses coups de sang : Odysseus est un père, il a l'habitude des enfants capricieux, même si Télémaque est bien plus sage et mature qu'Achille. Il apprécie beaucoup les pouvoirs de Kelon car, il les trouve extrêmement pratique. On est en Grèce / équivalent de la Grèce en Almyra après tout, le climat est plutôt sec et pouvoir faire pleuvoir à volonté est une vraie aubaine pour les cultures, et il trouve ça bien plus pratique que juste augmenter sa force brute, surtout qu'il voie le potentiel futur de Kelon qui maitrise quand même la météo à 40 ans, alors quand il sera bien plus âgé, il risque de devenir extrêmement puissant. Il essaye donc de ne pas se le mettre à dos, histoire qu'il n'est pas de dent particulière contre sa cité.
Pour son design, je lui ai donné une barbe et tenté de lui faire des rides autour des yeux pour marqué qu'il est un homme d'âge mur, là où Achille qui est plus jeune et est donc glabre (Kelon a plus l'âge d'Odysseus, mais il continue à se raser de près car, son visage est encore assez juvénile étant donné qu'il vieillit bien moins vite à cause de sa condition de sorcier), et que le stress et la fatigue de la guerre l'ont fait vieillir bien plus vite (et comme on dirait : les bustes de grecs qu'on a, c'est des copies romaines et pour un romain, un grec, c'est un homme avec une barbe). Pour ses habits, je me suis basée sur cet oenochoé où il a un pétasse et une chlamyde (sorte de grand manteau) de voyageur, même si après coup, le manteau lui fait vraiment de grandes épaules... Pour les motifs, il s'agit de canard pour rappeler Pénélope / Πηνελόπεια dont le nom pourrait venir du mot "sarcelle, oiseau aquatique" en pré-grec, et de chouette étant donné que c'est le favori d'Athéna dans les mythes. Pour sa fibule, c'est un lys stylisée, de nouveau pour rappeler son mariage et sa fidélité à sa femme. Le motif en bas de sa tunique représente des grenades, qui sont un des fruits associés à Héra avec le paon et le coucou.
Ménésthée : roi d'Athènes à l'époque de l'Iliade, vu qu'il a tout petit rôle dans cette histoire, j'ai laissé Achille ne pas le respecter du tout et le prendre de haut comme les autres. Etant donné qu'il est le fils de Thésée, je lui ait donné des motifs de taureau sur son col afin de rappeler les exploits mythologiques de son père (même si dans la version Fodlan / Almyra, il n'a sans doute pas la même origine, c'est surement plutôt un sorcier dont les fiertés lui donne une apparence mi-homme, mi-taureau).
Agamemnon : figure importante de l'Iliade alors, les gens l'écoute mais, ça reste quand même un type très violent (le mec a quand même assassiné le premier mari de Clystemnestre et ses enfants pour pouvoir convoler avec elle et a été à deux doigts de sacrifier sa fille Iphigénie pour partir à la guerre, tu m'étonnes que sa femme veuille sa peau !) qui aime le combat alors, il a zéro souci à laisser deux personnes de son propre camp se battre pour résoudre un problème entre eux, même s'il sait aussi que les troyens ne doivent rien rater depuis leurs remparts. Il a des motifs de sanglier pour rappeler Arès et son caractère violent mais, qui n'est pas adouci par la présence de la chouette d'Athéna comme pour Hélène qui est bien plus pondérée que lui.
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baranmoltisanti · 2 years ago
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jusqu'ici tout va bien
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shakeskp · 9 days ago
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Bilan d'écriture 2024 ✨
Bonne année, toute le monde, qu'elle soit pleine d'espoir bien nécessaire et de douceur !
C'est l'heure du bilan d'écriture, qui est donc ultra positif.
D'abord, un point décembre, j'ai fini sur un mois productif à quasi 23 000 mots, éparpillés sur le Soulmate UA Genshin et du Star Wars par bouts, je n'étais pas très concentrée, mais j'ai avancé un peu sur tout, c'est déjà ça !
En 2024, je m'étais encore une fois inscrite au défi @gywo, en m'engageant sur 150 000 mots annuels, un total que j'ai explosé en écrivant 265 295 mots. On ne va pas se mentir, ça fait un peu année outlier that shouldn't be counted, mais je me suis quand même ré-engagée sur 200 000 mots.
Les mots, c'est bien, mais comme l'année dernière, c'est surtout la joie d'écrire qui est à retenir, surtout pendant cette année compliquée sur pleins de plan, personnels autant que géopolitiques.
C'est l'heure des stats ! Tous ces mots, ça veut dire quoi ?
C'est 137 548 mots et 13 fics de publiés, la très grande majorité dans le fandom Star Wars qui m'aura pris par la gorge par surprise cette année. Ils m'ont demandé 183 846 de premiers/second jets.
Les 81 449 restants sont éparpillés sur 13 projets, certains ayant plus de chances d'être oubliés que d'autres 😬
Mon mois le plus productif a été avril avec 40 067 mots, je sais pas ce que j'avais bouffé, écrits sur 25 jours. Le mois durant lequel j'ai passé le plus de jours, c'est mai, avec 28 jours. Le mois le moins productif a été novembre avec 1041 sur une seule journée... Mais une journée productive on va dire ?
Les projets de l'année en cours, c'est de finir le Soulmate UA Genshin, déjà. Dans mes projets Star Wars, j'ai Les Voies Parallèles, un petit bonus aux Voies au sujet des jumeaus ; Springbreak qui me tue à petit feu ; l'UA Qui-Gon Lives qui m'est revenu sans prévenir ce dernier mois et a bien avancé ; le projet Beauty and the Beast, un UA qui se passe après la série Obi-Wan Kenobi ; la Dinluke qui suit De l'Espoir.
Enfin, j'aimerais re-consacrer du temps à mon projet original Hallmark Movie !
J'ai du taff XD
Et si vous êtes venus jusqu'ici, des bouts de fics de plusieurs projets à venir :
Genshin Impact, Soulmate UA :
(Période de leurs études).
Un an plus tard, lors d'une soirée tardive à réviser dans le Foyer de Daena, Kaveh céda à l'épuisement et posa la tête sur son livre. De là, il voyait parfaitement le profil d'Alhaitham, de trois quarts, ce petit pli entre les sourcils qu'il avait malgré lui quand il devait faire un effort de réflexion. L'éclairage à la lampe adoucissait ses traits. Le cœur de Kaveh s'emballa un peu, un tout petit peu.
— Est-ce que tu as une âme sœur ? demanda-t-il tout bas.
Cette question avait été rhétorique, même pas faite pour être entendue. Mais le phono-isolateur d'Alhaitham ne devait pas être enclenché, car il tourna tout de suite les yeux vers lui. Kaveh avait fini par gagner gain de cause, au sujet de l'esthétique - Alhaitham avait prétendu que c'était pour qu'il arrête de le fatiguer, Kaveh avait traduit que c'était pour lui faire plaisir. C'était une première étape sur le chemin ardu qui s'annonçait pour lui faire voir l'intérêt de la beauté, mais c'était déjà ça. Il était particulièrement fier de ce travail, même si, certes, cela avait quelque peu compliqué la tâche d'y incorporer tous les éléments nécessaires.
Kaveh avait pris du retard sur son propre projet pour y arriver, mais peu importait ! Il aurait été hors de question qu'il laisse Alhaitham se promener avec un arceau noir sur la tête.
— Oui, répondit Alhaitham.
Avec un pincement au coeur qu'il nierait jusqu'à sa mort, Kaveh se redressa.
— Pas moi. 
*
Star Wars, Les Voies Parallèles :
Le ton monta très vite, le ton montait toujours très vite entre Leia et Anakin, deux forces de la nature qui s'entrechoquaient. Parce que les talents de diplomate de l'une disparaissaient complètement face à l'autre et que ce dernier acceptait très mal qu'elle grandisse, qu'elle ait grandi  ; parce que Leia cherchait désespérément à le rendre fier et qu'Anakin voulait pouvoir encore la bercer dans ses bras.
Obi-Wan avait appris à les laisser se hurler dessus, du moins jusqu'à ce que... Il jeta un regard à Luke qui s'était rembruni après un « Tu ne sais pas ce que tu veux » d'Anakin qui répondait à un « Je fais ce que je veux et je me fiche de ton opinion » de Leia.
L'adolescent posa sa tasse d'un geste brusque sur la table.
— Papa. Leia.
Sa voix n'était pas monté du tout, mais sa présence dans la Force brûlait tout ce qu’elle touchait. Son père et sa sœur s'interrompirent d'un coup, se tournèrent vers lui, prêts à lui présenter leurs excuses pour ne pas avoir à se demander pardon l'un à l'autre.
Souvent, Obi-Wan regrettait que Luke soit devenu le vaisseau entre eux, leur voix à tous les deux. C'était injuste, même s'il avait endossé le rôle avec sa bonne volonté habituelle. Obi-Wan aurait dû l'inviter à sortir de l'appartement avec lui, à laisser le père et la fille se débrouiller, mais la situation exigeait malheureusement de lui une autre intervention.
— Leia, dit-il, puis-je discuter avec toi un instant ?
*
Star Wars, Springbreak :
La T8-Ex était un petit vaisseau de transport habitable de seize mètres, à la puissance acceptable pour son genre, et surtout relativement maniable. Et elle le serait encore plus une fois qu'Anakin aurait l'occasion de s'y attaquer. L'espace, rentabilisé au maximum, lui permettait d'exécuter des kata lents tant que son sabre laser n'était pas allumé.
Dans l'ensemble, un bon petit appareil.
Un silence terrible y régnait, R2 était sur son pod de charge, et la vibration de l'hyperespace ne comptait pas. Si Anakin se posait et étendait sa perception, il réussirait peut-être à sentir la présence d'autres vies dans la Force, mais c'était désagréable, les distances changeant constamment lui faisait l'effet d'un grésillement.
Te voilà seul.
Sans rien ni personne pour le surveiller, dans un vaisseau spatial pouvant parcourir plus d'une semaine de voyage en hyperespace sans avoir besoin d'être rechargé. La galaxie était à sa portée. 
Il pourrait partir, s'il le voulait.
Et qu'est-ce que tu ferais ? Qu'est-ce que tu ferais, Anakin Skywalker ?
 Tant de choses, en réalité. Pilote ou mécanicien sur tous les vaisseaux possible et imaginables, mercenaire. Il ferait un excellent récupérateur.
Il pourrait aussi chasser tous ceux qui restaient du règne de Palpatine. Pénétrer dans les centres de détention où les procès s'éternisaient et régler le problème d'un coup de sabre. Eux, et ceux qui s'étaient échappés, qui s'étaient fait discrets, ceux qui avaient soutenu en toute « légalité », et restaient sénateur de leur planète, ceux qui avaient retourné leur veste à la dernière seconde.
Anakin connaissait leur nom à tous.
Il se demanda combien de temps il faudrait à l'Ordre pour lui envoyer Obi-Wan aux trousses.
Combien de temps il faudrait à Obi-Wan pour laisser tout ce qu'il faisait et venir le chercher lui-même.
Il était presque tenté de le tester.
*
Star Wars, UA Qui-Gon Lives :
Son com sonna dans sa ceinture, et la voix de Maître Qui-Gon en sortit tout de suite.
— Bonjour, Obi-Wan.
— Bonjour, Maître. J'ai cru comprendre que vous étiez revenu de Sarka 6. J'espère que la mission s'est bien passée.
— À une destruction de speeder près. Quand tu le verras, peux-tu rappeler à Anakin qu'il est attendu en cours de diplomatie ossatienne dans une demi-heure ?
Obi-Wan haussa les sourcils, Anakin fit mine de vomir. 
— Je n'y manquerai pas, dit Obi-Wan en indiquant d'un air sévère la direction générale des salles de classe.
L’adolescent leva les yeux au ciel.
— Je te remercie.
— File, intima Obi-Wan quand Qui-Gon eut raccroché. Je ne te couvrirai pas.
— L'adelphe de lignée de Ferus l'aurait couvert.
— Ferus est le premier padawan de la chevalière Tachi, alors tu n'en sais rien du tout. File !
File, mima Anakin avec une grimace avant de partir au petit trot.
*
Star Wars, Beauty and the Beast :
Comme sortit de nulle part, une silhouette immense, noire surgit dans le couloir. Elle dégageait un froid glacial, un tourbillon de désespoir et de rage qui aspirait tout. Luke hoqueta et cacha le visage dans le cou d'Obi-Wan. 
Celui-ci le serra encore plus fort contre lui, se demandant déjà comment il allait sortir son sabre laser et se battre alors qu'il avait un enfant dans les bras. 
La créature portait une étrange armure d'un noir aussi profond que la Force qui tourbillonnait de colère autour de lui. Ce n'était pas le premier utilisateur du Côté Obscur qu'Obi-Wan croisait, loin de là. Ce n'était même pas le premier Sith, loin de là non plus. Mais il y avait quelque chose chez celui-ci, quelque chose qui le saisissait aux tripes, le glaçait jusqu'à la moelle de ses os.
Tous les enfants se turent.
— Obi-Wan Kenobi, prononça l'Inquisiteur lentement d'une voix caverneuse, déformée, et avec un plaisir perturbant.
— Vous avez l'avantage, répondit Obi-Wan d'un ton léger, je crains ne pas être en mesure de vous identifier.
Il y eut un silence. Autour de l'Inquisiteur, la Force se déchaîna soudain, tous les meubles et les esclavagistes se soulevèrent, puis retombèrent dans un bruit de fracas. Obi-Wan sentit quatre des cinq esclavagistes mourir, un bleu soudain qui s'effaça aussi vite qu'il était arrivé.
Les enfants se remirent à hurler en s'accrochant à ses jambes de toute leur force.
— Chut, chut, intima Obi-Wan, désarmé, cherchant dans son usage rouillé de la Force un moyen de les réconforter, de les faire taire.
Qui savait de quoi l'Inquisiteur était capable ? Un coup de ce sabre laser au goût de sang sur sa langue et ils seraient tous morts avant même qu'Obi-Wan ait pu faire quoi que ce soit.
Qu'est-ce que tu veux faire ? Qu'est-ce que tu peux faire ? Inutile, impuissant.
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je-suis-ronflex · 10 months ago
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J'ai fait virer une collègue sans faire exprès
Une nouvelle collègue a été recrutée pour commencer lundi dernier. Jusqu'ici tout va bien sauf que la meuf a peine arrivée elle fait des dingueries de zinzin.
Déjà la meuf nous explique sans pression que les gens qui fume et/ou qui boivent son "sales" dans le sens de "impur" car pour sa religion, il ne faut ni boire ni fumer. Déjà avec les collègues on s'est regardé en mode ???? qu'elle ne veuille ni boire ni fumer par respect pour sa religion c'est tout à fait ok mais tenir ce genre de discours a des gens que tu ne connais pas c'est déjà un peu chaud
Plus tard dans la journée de lundi, deux collègues parlaient de moi et du prof d'anglais (oui cette histoire n'en finira jamais) car ils s'étonnaient de ne pas l'avoir revu et une des deux collègues sort "il n'est pas revenu car il a du se faire croquer par un requin quand il est parti surfer à défaut de se faire croquer le cul par Quentin" et là la nouvelle c'est pas qu'elle explique que les homosexuels ne la dérange pas mais qu'il ne faut pas qu'ils se reproduisent ???? euh ma belle l'homophobie c'est un délit on t'a jamais expliqué ou quoi
Puis la meuf prend trop la confiance avec les élèves, elle leur parle comme si c'était leurs potes, et elle a même claqué la bise a une élève sans rien lui demander et la gamine était ultra gênée Donc la meuf fait toutes ces zinzineries en 1 journée (et elle ne revenait que le vendredi) donc moi j'en parle aux CPE en mode "ouais son attitude est problématique mais elle n'a pas l'air foncièrement méchante" afin que les CPE puissent recadrer un peu le truc quoi sauf que les 2 CPE en ont parlé vite fait à la proviseur qui l'a appelé et qui lui a dit "en fait ne revenez pas merci bisous"
ptn j'avoue du coup je culpabilise un peu wsh je pensais pas que ça irait jusque là
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mavra-matia · 11 months ago
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Jusqu'ici tout va bien.
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halebop-c-est-moi · 1 year ago
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- Dites, docteur, vous savez pourquoi l'autre il m'a chouré mon pull ? demanda Raph en entrant dans la piece.
Il s'assis à la table et passa une main dans ses cheveux; Il accrocha ses chausettes derriere les pieds de chaise. Il posa ses joues mal reveillées dans ses mains et regarda Henry, au dessus de l'evier, en train de nettoyer une de ses tasses à thé.
- Tu veux dire mon pull ? demanda-t-il en se retournant, torchon a la main.
- Ouais, ça, dit Raph se grattant la joue. Il l'a pris et il s'est enfermé dans sa chambre, elle est fermée et tout. Chuis presque sur qu'il a chourave ma couette de rechange.
- Oh c'est très probable, c'est une des couvertures les plus confortables.
- Mais pourquoi il me la prend, là ?
Henry s'intrrompis dans son geste et se retourna, sourcils froncé l'air de se demander si Raph se payait sa tete. Le jeune homme en fut un poil vexé.
- ...Eh bien pour son nid, annonça-t-il comme si c'était l'évidence même.
- Son nid?
- Eh bien oui.
Henry posa doucement son torchon sur son épaule.
-Mais euh... C'est un Renard, pas un oiseau hein, tenta Raph avec un sourire.
Henry semblait commencer à réaliser qu'il ne se foutait pas de sa gueule.
- Tiens, nous ne t'avons jamais parlé des mutations de troisième millénaire ? demanda-t-il.
Il se caressa la moustache et s'assis doucement à la table, en face de Raph. Celui-ci se redressa legerement.
- Le troisième millénaire c'est à partir de trois-mille, non ?
- Non, à partir de deux-mille, soupira Henry.
- Et il s'est passé quoi, du coup ?
Henry plissa les yeux, et se gratta le menton. Raph s'appuya contre le dossier de son siege et tendit la main vers le paquet de pretzel de petit dejeuner : Ca, c'était sa tete de quand le docteur se préparait à se lancer dans des grandes explications, et Raph ferait mieux mettre d'etre confortable. Il enfourna un gateau dans sa bouche tandis que Henry posait ses mains sur la table.
- Alors. Dans le courant du troisieme millenaire, une mutation fut découverte chez les humains. Il est difficile de poser une date précise, car bien évidement, la science est un actes communautaire.
- Ouais, dit Raph qui ne savais pas ce que ça voulait dire.
- Elle se caractérise, vois-tu, par des facteurs d'un coté, disons, génériques, innés, et de l'autre coté comportomentals. Il existe trois classifications caractéristiques possibles, qui peuvent atteindre les humains. Les scientifiques, mes collègues, en ont bien évidement nommé au fur et à mesure qu'ils les ont identifié. Tu suis jusqu'ici ?
- Ouais, les humains peuvent etre séparés en trois groupe, répondit Raph en hochant la tete.
- Tout à fait. Le premier groupe, qui fut bien évidement nommé Alpha. Le second, Beta, et le troisième ...
- Gamma ? sourit Raph qui avait fait grec LV3.
- Non, Omega. C'était le dernier groupe, Raph.
- Ah d'accord.
- Ces mutations ammènent des... disons, des mutation physique, dit Henry en se caressant la moustache. Qui furent détaillées, et quelque peu inquiétantes quand elles ont commencé à s'exprimer dans lapopulation.
- Ah ouais ? Genre quoi, des troisieme bras ?
- Non, le coupa Henry avec une mine de daron. Encore que... Mais non. Ces mutations... disons....
- Y a vos ventilateurs qui se mettent en route, docteur.
- Je sais, Raph ! Ces mutations sont... euh... Ah, tiens : une de ces mutations a a voir avec l'emission d'odeur particulieres. L'apparition d'une glande à parfum, entre le cou et l'épaule, vois-tu. Et les odeurs sont différentes entre les trois groupes, et evidement avec ça s'est développé une sensibilité particuliere pour pouvoir identifier les odeur émises par les autres humains, ne serait-ce que pour pouvoir savoir dans quels groupe l'interlocuteur se place.
- Ouais c'est cool, mais y a quoi d'autre comme différence entre les groupes ? genre des odeurs, ça va c'est pas mega chelou, si ?
- Bon. Une des mutations les plus importantes fut la création d'une maniere alternative de se reproduire. Notamment, les individus appartenant au groupe Omega, qu'ils soient homme ou femme...
- Ou autre, fit Raph en hochant la tete.
- Ou autre, tres juste, eh bien ils peuvent tomber enceint. Par une voix alternative, parallele à la classique mais complémentaire.
Raph se releva sur son siege et ouvrit des yeux ronds.
- Ah ouais ?
- Oui. Mais , fait interessant, les Omega ne peuvent etre... euh... parents que avec des Alphas.
- Mais c'est ouf !
- Tout à fait, sourit Henry en s'appuyant contre son dossier. Après, des différences comportementales ont été mises à jour : les individus alpha avaient plus tendance à deveopper des problemes de gestion des émotions, d'impulsivité, et les omega des sur-empathie. Bien sur, ce ne sont que des tendances, soyons clairs.
Raph hocha la tete, préssé d'entendre Henry continuer tout ça.
- Les individu Beta - appellation qui a fait débat en France, comme tu peux t'en douter- ont des capacité de resolutions de conflit, et de cohesion de groupe. Voilà, ce sont les différences majeurs entre les trois
- C'est ouf !
- Je ne te le fais pas dire, sourit Henry avec un sourire satisfait. Ce fut une révolution scientifique, à l'époque.
Il hocha la tete d'un air philosophe, et Raph se passa la main dans les cheveux.
- Mais du coup tout le monde dans le futur a ça ?
- Mais tout à fait ! A des degrès différents selon l'époque, soyons réaliste : notre ami Mattéo viens d'une époque ou ces mutations commençaient juste à se répendre dans la population, elles n'etaient pas... elles n'etaient pas puissament exprimée, dirons-nous. Alors que en 2550, tu peux etre sur que tout le monde fait parti d'un de ces groupe, sans probleme. Il est meme probable que toi- meme tu ais des tendances d'appartenance dans ton ADN.
- Wow... Mais du coup, vous vous l'etes pas ?
- Eh bien figure toi que c'est fascinant, sourit HEnry en se penchant vers lui. Je le suis, car mon créateur, mon Daddy, comme tu connais...
- Ouais je connais ouais.
- ...eh bien il était très au fait des découvertes scientifiques. Il a fait des tests et s'est découvert omega. Il ne pouvait pas rendre ses créations oméga, evidement, et il a préféré, peut-etre par sentimatalise, nous donner des caractéristiques physique des alphas. Donc, malgrès le fait que je sois un robot, j'appartient à un de ces groupes d'humain.
- Ouais, genre un Alpha synthétique ? sourit Raph en recommencant à manger son pretzel.
- Tres exactememnt, approuva Henry avec bonhommie. Je suis affublé de chemo-senseur d'une précision atomique, par exemple.
Il s'inclina contre le dossier de sa chaise, alors que Raph machouillait son pretzel. Mains dans les cheveux, il essayait de realiser tout ce que ca voulait dire pour cette epoque deja incroyable. Puis il releva la tete d'un coup.
- Mais pourquoi il m'a piqué mon pull, du coup?
- Bah pour son nid, dit Henry comme si ca devait tout expliquer.
- Mais quoi, "son nid" ?
- Mais parce que il oublie la moitié du temps les bloqueurs que je me casse le cul à lui faire, donc apres oui, faut pas s'ettonner qu'il doivent se faire chier à construire un nid une fois tous les deux mois ! gromela Henry en indiquant la chambre de leur ami de la main.
- Des bloqueurs, mais des bloqueurs de quoi ?
- Des bloqueurs de chaleur, Raph.
Son habitude à dire des choses comme si elles étaient evidentes commencait à bien taper sur les nerfs du jeune homme.
- Mais ca veut dire quoi , ses chaleurs ? Des chaleurs comme des chats et des chien ?! s'ecria-t-il en sortant le truc le plus con auquel il pouvait penser.
- Eh bien oui.
Le ton direct d'Henry le coupa dans son elan d'energie.
- Euh... Pardon ?
- Eh bien oui, comme les animaux. Les humains sont des animaux, Raph.
- Non mais du coup ça veut dire que là... dans sa chambre... il est...
Il savait pas trop quoi dire, alors il fit un vague geste d'aller-retours de la main. Un geste tout de meme assez facile à comprendre. Henry leva les yeux au ciel.
- Oh mais qu'est ce que j'en sais, moi, oui, probablement !
- Mais mon pull !
- C'est mon pull, Raph.
- Pourquoi il le veut dans sa chambre ?!
- Parce que que c'est mon pull, il est confortable, et vu l'etat dans lequel notre ami est actuellement, il a bien le droit d'etre entouré de choses comfort.
- Mais quoi, son etat ?
- Quoi, Raph, tu penses que c'est facile de vivre des chaleurs ? D'avoir une hypersensibilité tactile pendant une semaine par moi, qui fait que la moindre texture désagréable peut l'envoyer en crise se spasme ? La physiologie de son cerveau change, Raph, ses hormones - et sa glande à odeur- font n'importe quoi, et combiné à sa fatigue extreme, car oui son corps prend l'energie de quelque part pour la transformer en chaleur, eh bien il est completement à fleur de peau ! paranoia, comportement d'auto apaisement, il est dans un état sauvage qui est extenuant ! Alors il merite bien la converture confortable de la cave, Raph.
- Ah merde... je... je savais pas...
- Oui, hein. Voilà.
Henry attrappa un pretzel d'un mouvement un peu trop brusque et le fourra dans sa bouche. Raph regarda ses mains. Il ne savait pas si il avait le droit de parler.
- Mais euh... y a rien pour lempecher ca ?
- Ah bah si, evidement, y a des bloqueurs ! des pillules simples, il a qu'a en prendre une par semaine ! Mais non, ce con il oublie ! Et a cause de lui, la cave est inondéee d'odeur d'Omega, et moi gmpf mpf...
La fin de sa phrase se fini en en gromellement autour d'un nouveau pretzel.
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sinvulkt · 5 months ago
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Chap 1 Chap 2 ✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯
Edmond se réveilla sous la fraîcheur du vent nocturne et le bercement du va et vient des vagues. La pluie avait cessé. 
La nuit, loin d'être silencieuse, était emplie de vie. En plus du son des vagues, Edmond pouvait entendre le cri d'oiseaux rieurs et le bruissement des rares feuilles présentes en février. Seulement et plus inquiétant encore, il distinguait le son de voix qui discutaient.
“Tu penses qu'il est arrivé jusqu'ici ?” une voix grave et bourrue demanda.
“Non, y'a aucune chance. On est trop loin. Plus de 2 kilomètres dans la mer enragée, tu imagines ? Si tu veux mon avis, il baigne dans la vase le pauvre bougre.”
Pour quiconque, la nuit aurait semblé d’une noirceur absolue ; mais ce n’était pas le cas pour un prisonnier dont les yeux avaient eu quatorze ans pour s’habituer à la pénombre. La lueur du croissant de lune brillant haut dans le ciel lui suffisait. Il papillonna des paupières jusqu’à distinguer les broussailles le surplombant. La lueur d'une lampe brillait au loin, illuminant une barque sur laquelle se tenait deux gendarmes qui s'approchaient.
“Tu penses qu'il est mort?” 
“Je pense bien. J'étais de garde quand ils ont tiré. J'ai tout vu. Il est tombé tout droit, comme un faisan à la chasse !” Le gendarme soupira. “Mais la consigne dit qu'il faut fouiller, donc on fouille.”
Toute somnolence qu'Edmond aurait pu ressentir sur le moment s'envola aussitôt. Il se plaqua au sol, cœur battant sous l'adrénaline. Le mouvement réveilla sa blessure, et il dû étouffer un gémissement dans sa manche à la soudaine sensation de brûlure pour ne pas être repéré. Alerte, il suivit ses poursuivants du regard, comme un aigle suit sa proie et tendit l'oreille. Ses yeux irrités par le sel se remplissaient de larmes, qu'il devait alors chasser régulièrement. 
“Tout de même, quel gachi,” l'homme à la voix grave continua. “J'ai entendu dire que c'était un ange.”
“Un ange, s'en était bien un !” celui qui s'était vanté d'être présent la veille rétorqua d'un léger accent italien. “Aux ailes parfaitement blanches, aussi. Le plumage n'avait pas une seule tâche !”
“Et ils l'ont gardé enfermé ?”
“Bah, tu connais le château d'If. Ce qui compte, là- bas, c'est la politique. Pas la couleur de tes plumes.” 
“On m'a dit que c'était un bonapartiste. Bon débarras.” Le premier gendarme cracha au sol. Le second, étonnement, garda le silence.
La barque s'approchait dangereusement des broussailles où Edmond s'était réfugié. Déjà, la lampe des gendarmes en éclairait les premières branches, aveuglant partiellement les pupilles sensibles d'Edmond. Il rampa prudemment dans la direction opposée, espérant y trouver un passage vers la mer avant que les veilleurs ne le repère. 
La barque cogna contre le rocher qu'Edmond avait grimpé, exténué, à peine quelques heures plus tôt. Il rampa un peu plus vite.
“On fouille ici aussi?” le gendarme avec l'accent italien demanda avant de débarquer.
“Oui. Ça fait partie du secteur.”
Les deux hommes s'avancèrent sur la pierre, leurs bottes résonnant sourdement sur le sol humide.
Il y eut un soupir.
“Allons,” l'homme à la voix grave reprit, “mieux vaut être ici à chercher des fantômes, que de garde devant le bureau du gouverneur. Il est en rogne depuis qu'il a appris la façon dont le prisonnier s'est échappé.”
Une vague lécha les doigts d'Edmond, qui poussa un sourire victorieux et se glissa sans un bruit sous l'eau. Son sourire se transforma en grimace sous la brûlure du liquide glacé qui recouvrait peu à peu ses membres. La mer absorba à vue d'oeil le peu de chaleur qu'Edmond avait réussi à rassembler durant son sommeil, et ses frissons se transformèrent en violents grelottements. Pour empirer les choses, le sel fit crepiter les estafilades jumelles qui lui parcouraient le torse et l'aile droite. Il serra les dents et s’enfonça plus profondément, jusqu'à ce que seul le haut de son visage ne dépasse.
Les deux gendarmes étaient en train de quadriller l'îlot rocheux, passant sans grande motivation leurs lampes sous chaque recoin et chaque broussailles. Ils ne tardèrent pas à illuminer le recoin où Edmond s'était tenu un instant auparavant, endormi.
“C'est étrange,” le gendarme à l’accent italien s’étonna. “La zone est tassée, par ici.”
“Montre moi?”
Edmond nagea comme il pu derriere un rocher aux bruits des pas qui se rapprochèrent, priant pour que les gendarmes ne repèrent pas les plumes blanches laissées à l'abandon. La providence aimait visiblement se jouer de lui, car l’homme à la voix grave ne tarda pas à tenir une desdites plumes à la lueur de sa lampe.
“Ah! Une plume d'oie. On a probablement trouvé le terrier d'un renard. La côte n'est pas loin, et ce sont de bon nageurs ces fripouilles.” Il designa le reste des plumes tachées sur le sol. “Ce doivent être les restes de son repas.”
Les deux hommes fouillèrent le reste de l'îlot rocheux en silence. Ils trouvèrent bien quelques autres plumes, parsemant les broussailles, mais leurs éparpillements et les taches de sang qui les recouvraient les convinrent d’autant plus que c’était là les restes de quelques oies sauvages ou albatros, tué par un renard passé par la.
La torche passa une fois, sur la mer en reflux dans laquelle Edmond se cachait. Il plaqua ses ailes fermement contre son dos et plongea aussi profondément qu’il put, puis se cramponna, grelottant, à un des rocher submergé jusqu'à ce que ses poumons soient sous le point d’exploser. Il ne remonta prendre de l’air qu’une fois la surface redevenue sombre, certain que les gendarmes s’étaient éloignés. Si un d’entre eux entendit le bruit de ses bras brassant les vagues, il ne se retourna pas pour autant. 
Satisfaits de trouver l'amas rocheux désertique, les deux gendarmes retournèrent à leur barque.
“On va ou ?” Le gendarme à l’accent italien demanda en embarquant. L’autre leva le doigt vers la côte que l’on apercevait au loin.
“Tu vois l'île d’Endoume, la bas ? On est censé y retrouver l’équipe de Martin.”
Le gendarme plissa des yeux.
“Mais c’est que c’est bougrement grand. On va y être jusqu’au matin !”
L’autre rigola d’un son gras de ceux qui ne se soucient guère des nuits blanches au travail, et pour qui l’idée n’était rien de plus qu’un amusant changement à la routine.
“Pour sûr.”
La barque s’éloigna, emportant la lumière de la lampe et les deux hommes avec elle.
Edmond se hissa avec difficulté sur le rocher. Il claqua des dents, s’enroulant dans ses plumes humides afin de bénéficier d’un peu de chaleur. Ses haillons de prisonnier étaient de nouveau trempés, et les frissons qui le secouaient peinaient à le réchauffer. Il baissa les yeux et grimaça. Ses orteils étaient bleuis par le froid. Marcher lui donnait l’impression de tapper deux blocs de glace contre le sol, tellement ses pieds et mains s’étaient engourdis. 
Il ne pouvait pas rester ici plus longtemps. Qui sait ce que les gendarmes diraient aux hommes qu’ils rejoindraient sur l'île. Il suffisait qu’ils parlent des larges plumes blanches qu'ils avaient trouvé, pour que quelqu’un de plus aguerri face le lien avec la condition d’ange d’Edmond et vienne fouiller la zone en force. Edmond doutait avoir la force de se cacher une seconde fois dans la sécurité glaciale des flots.
Il sonda le ciel sombre des yeux. L’envol de la veille avait été un succès. Il battit tentativement des ailes. L’air remua agréablement sous leur coups, et le poids de son corps s’allégea, bien que son aile droite le brula légèrement. Lors de son évasion, Edmond avait eu le support de la chute et du vent tempétueux pour décoller. Cette fois, c’est à peine s’il pouvait étendre son envergure sans que des plumes ne se prennent dans les broussailles. Encore emplis de l’impudence folle des évadés, il était tout de même confiant de pouvoir s’élancer. 
La nuit le couvrirait tandis qu’il glisserait dans les airs. Il suffisait qu’il vole assez haut, parallèlement à la côte pour que la blancheur de ses plumes ne se fasse pas prendre dans les torches, et on le prendrait pour un nuage, ou un albatros de passage, si on avait en premier lieu des yeux suffisamment bon pour l'apercevoir.
Edmond palpa son aile blessée. Quand il approcha de la zone encore croutée de sang, masquée derrière un mélange de plumes partiellement brisées, il remarqua que le membre était légèrement enflé, et tiède, là où le reste de son corps était glacé. Il vérifia son torse, et découvrit la seconde enfilade dans le même état. Il n’avait pas besoin d’être médecin pour savoir que le pus qui suintait de la plaie n’était pas bon signe. Au moins le sang avait cessé de couler, et il ne se viderait plus de ce liquide si vital sans aiguille ni fil pour se recoudre la peau comme lui avait appris l’abbé. 
Il déclara son corps apte à s’enfuir de l’amas rocheux et reprit vigoureusement ses battements d’ailes. Puis, comme il l’avait fait sur les remparts du château d’If, il se mit à courir de toutes ses forces. Les rochers glissaient traitrement sous ses pieds, et les broussailles lui mordaient les chevilles. Edmond persévéra, refusant de s'arrêter même quand la mer apparut au bout des rochers escarpés. Quelque chose en lui cliqua, ses ailes s’arquèrent légèrement différemment, et l'instant d’après, Edmond gagnait son combat contre la gravité.
Ses pieds battirent un instant dans le vide, hésitant quant à leur place dans cette activitée surhumaine. Puis comme Edmond s'habituaient à naviguer le ciel plutôt que la terre, ils trouvèrent tout naturellement leur place en tant que contrepoids à l’arrière ; une sorte d’ersatz, ce gouvernail que possèdent les oiseaux. Le vent perçait à travers ses vêtements engorgés d’eau. L’air était lourd, annonçant la venue d’une seconde tempête au moins aussi violente que la première. Le nuage d’orage semblait l’attirer vers son étreinte sombre. Curieux, Edmond prit de l’altitude jusqu'à arriver à la base de l’objet brumeux, pour y glisser les doigts. Aussitôt, un violent courant ascendant l'entraîna à l’intérieur du nuage, chargé de grêlons de la taille de son poing et d’électricité statique. Edmond replia ses ailes avec un cri. 
Ce fut juste assez pour éviter une décharge tonnant au-dessus de sa tête et retomber sous la couverture létale des nuages sombres. Edmond se garda de s’en rapprocher par la suite, quitte à voler plus bas, malgré son idée initiale de les utiliser pour se camoufler. Le regain d’énergie qui l’avait accompagné à son réveil, épuisé par son séjour dans l'océan, son envol et la fuite du nuage, ne tarda pas à s'épuiser. Ses muscles tressaillent, tremblant de fatigue, et c’est à peine si Edmond parvenait à battre des ailes. Il les tendit, et se concentra à planer sous l’aspiration continue de la tempête menaçant d’éclater.
Les minutes s’écoulèrent, longues et lentes à la fois, comme le reflux d’une vague qu’on observe des heures sans jamais la voir se briser. Son corps était à l’agonie, mais il n’avait aucun refuge où se poser. Surement déjà les bateaux et les phares côtiers avaient reçu l’alerte qu’un ange s’était évadé, et guettaient le moindre oiseau étrange  s’approchant du continent. 
De plus en plus souvent, ses ailes manquaient un battement, et son corps menaçait de tomber, endormi, dans les eaux noires qui le narguaient. Edmond avait depuis quelques temps perdu la côte de France de vue, et craignait de s’être élancé en pleine mer. Il persévéra toutefois. S’il ne trouvait pas un rocher d’ici l’aube, il se mettrait à la mercie d’un navire. Sûrement était-il assez loin, désormais, pour atteindre quelques équipages trop isolés en mer pour recevoir les nouvelles d’une évasion. 
Le soleil pointa l’horizon, sa lueur masquée par la lourde couverture nuageuse qui couvrait le ciel. L’intensité lumineuse suffit toutefois à blesser les pupilles sensibles d’Edmond, trop longtemps habituées à la lueur nocturne. Il fouilla d’un regard brouillé les eaux sombres. Là, au loin, s'amassaient un groupe de petits points blancs. Des bateaux de toutes sortes, rassemblés près de la ligne sombre de l’horizon.
Edmond plissa les yeux. Chaque coup d’aile le rapprochait, et lui permettait de distinguer un peu mieux la scène. Il fila droit, porté par le vigoureux courant de l’espoir. Les rayons blafards du soleil illuminaient le rassemblement de navires, qui selon toute logique, ne pouvait être qu’une armée se préparant à la guerre, ou le mélange hétéroclite de vaisseaux qui se retrouvaient dans un port. La réponse ne tarda pas à se révéler à lui. Là, sous ses yeux désespérés, s’étendait la ligne fractionnée d’une côte. 
Il avait retrouvé la terre ferme.
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himsky · 7 months ago
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на фото держу на руках самого красивого ребёнка 2024 года от пары, которую познакомил в лучшем заведении родного города.
jusqu'ici tout va bien
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Thicker Than Water (Jusqu'ici tout va bien) season 2
Movie sequels we need:
1. Predator’s Gold (Mortal Engines)
2. Never fade (Darkest minds)
3. Infinite Sea (5th wave)
…Continue the list 
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