#judaïsme rabbinique
Explore tagged Tumblr posts
Text
Pierre Hillard:
"Le judaïsme rabbinique s’est construit en opposition au catholicisme"
3 notes
·
View notes
Text
LES DISCIPLES DE JESUS CONTRE LES DISCIPLES RABBINIQUES
GE Ladd écrit dans sont livre intitulé : A Theology of the New Testament ce que recouvrait le fait d'être un disciple du Christ.
Sans doute la définition qu'il en donne rebuterait certains aujourd'hui si on leur présentait l'engagement de la vie chrétien en ces termes.
"Être disciple de Jésus n’était pas comme être disciple d’un rabbin juif. Les rabbins liaient leurs disciples non pas à eux-mêmes mais à la Torah ; Jésus liait ses disciples à lui-même. Les rabbins offraient quelque chose d’extérieur à eux-mêmes ; Jésus s’offrait lui-même seul. Jésus exigeait de ses disciples qu’ils se soumettent sans réserve à son autorité���
Cette relation n’avait pas d’équivalent dans le judaïsme. Être disciple de Jésus impliquait bien plus que de suivre sa suite ; cela ne signifiait rien de moins qu’un engagement personnel total envers lui et son message. La raison en est la présence du Royaume de Dieu dans la personne et le message de Jésus. En lui, les gens étaient confrontés à Dieu lui-même."
GE Ladd, A Theology of the New Testament , 105-6
0 notes
Text
Après l’attentat meurtrier d’une barbarie sans précédent commis en Israël par le ‘Hamas, beaucoup dans le monde, et même en Israël, ont pris conscience de la menace que représentent ces organismes radicaux islamistes. Au cri de “Allahou Akbar”, ils détruisent et tuent sans distinction des êtres innocents et sans défense, justifiant leurs massacres au nom du Djihad islamique.
Des esprits critiques, ignorants ou malveillants, ont voulu apparenter le Juif pratiquant avec l’intégriste musulman, de par son apparence extérieure, son épouse elle aussi se couvrant la tête et s’habillant pudiquement, mais également par cette volonté ferme d’appliquer des lois vieilles de millénaires tout en refusant “d’évoluer” - selon leurs dires - avec le temps. Ils relèvent que dans la Torah, celui qui transgresse le Chabbath, commet un acte adultère ou homosexuel est passible de mort. “C’est exactement ainsi qu’on agit envers ceux qui enfreignent la loi islamique !”, arguent-ils, faisant un amalgame qui n’est pas innocent.
Pourtant, un gouffre sépare ces deux ethnies. Tout celui qui a vécu, ne serait-ce qu'une courte période dans un quartier juif religieux en Israël ou aux États-Unis, a pu observer l’esprit manifeste de tolérance, de respect et de bienfaisance envers l’étranger qui y règne. Il est de notoriété publique que le Judaïsme a apporté à toutes les Nations ses notions d’humanisme, de pitié envers l’indigent, le faible, la veuve et l’orphelin, mais aussi les droits des ouvriers, l’aide aux malades et aux nécessiteux, l’amour du prochain, la paix avec son voisin, etc.
Qu’est ce qui, en définitif, fait la différence entre le Judaïsme et l’Islam, pourtant toutes deux religions monothéistes avec comme patriarche commun Avraham ? La réponse est dans leur approche vis-à-vis de l’étranger, de celui qui n’adopte pas ou n’agit pas comme le réclame leur propre croyance : chez le Juif, le moteur est l’amour du prochain et non la haine de celui qui n’est pas dans sa lignée. On voit qu’il n’existe pas dans le Judaïsme de prosélytisme ; même envers des Juifs éloignés, on adoptera une approche douce et bienveillante. Notre référence est celle d’Avraham Avinou : lorsqu’il apprendra que D.ieu S’apprête à anéantir les villes pécheresses de Sodome et de Gomorrhe, le Patriarche essaiera de leur trouver des mérites pour les sauver, bien que les résidents de ces villes fussent totalement corrompus, idolâtres et immoraux.
En ce qui concerne la peine capitale prévue par la Torah, le Talmud nous rapporte qu’un tribunal rabbinique qui condamnait à mort plus d’une fois tous les 70 ans est qualifié de “meurtrier”. Rabbi ‘Akiva affirmait que s’il avait fait partie du Sanhédrin, jamais on n’aurait abouti à la mise à mort d’un seul fauteur, de par la manière dont il aurait mené l’interrogatoire des témoins de l’accusation (Makot 7a). De plus, pour pouvoir traîner un individu en justice, il fallait absolument que celui-ci ait été mis en garde au préalable : “Sais-tu qu’en agissant de la sorte, tu te rends passible d’une condamnation à mort ?” et qu’il réponde : “Je le sais, et malgré tout…”
En réalité, ces peines n’étaient appliquées que dans un contexte où le peuple juif vivait dans la proximité avec D.ieu, avec la présence du Temple dans lequel les miracles étaient communs, et de Sages de très haut niveau. Quarante ans avant la destruction du Second Temple déjà, le Tribunal avait cessé de traiter de cas de peine capitale, car le niveau spirituel du peuple juif était jugé insuffisant.
Béni sois-Tu, qui nous as éloignés des fausses croyances, loué sois-Tu, qui sépares la lumière des ténèbres ! (Rav Daniel SCEMAMA) - https://torahbox.com/9TH5
0 notes
Photo
Pharisiens
Les Pharisiens étaient une secte juive apparue vers 150 av. J.-C., qui prônait l'idée de la pureté rituelle pour tous les Juifs, la croyance en la providence ou le destin, et le concept de la résurrection des morts. Ils enseignaient qu'outre les commandements, la Loi orale avait été aussi transmise par Moïse. Le Judaïsme rabbinique primitif, au 2ème siècle ap. J.-C., revendiquait une filiation spirituelle avec les Pharisiens.
Lire la suite...
1 note
·
View note
Text
Haredim contre Datim : la bataille pour le grand rabbinat s'intensifie
La bataille pour le grand rabbinat s’intensifie : le parti Degel Torah affirme qu’il refuse de soutenir la candidature du rabbin Meir Kahane au poste de grand rabbin ashkénaze, après qu’il a battu dimanche le rabbin Micha Halevi lors des élections organisées par le comité rabbinique . Dans le “Pôle loyal” de Degel HaTorah, les membres du parti auraient déclaré que “le judaïsme fidèle sera…
View On WordPress
0 notes
Text
Communauté sacerdotale
1 Pierre 2, 4-9 5ième Pâ. 07. 05. 23 St Paul Mpl
La Première Épître de Pierre - notre deuxième lecture de ce jour - nous dit par deux fois que les membres du Peuple de Dieu forment une « communauté sacerdotale » (en grec : Ierateuma). Le mot sacerdoce vient du latin et signifie « établir du sacré » ; il s'agit d'une fonction religieuse exercée à l'origine dans l'Israël ancien par le chef de famille ou par le Roi, puis confiée à la tribu de Levi. La fonction est devenue une institution avec au sommet le Grand prêtre, puis les Cohen - (prêtres sacrificateurs fils d'Aaron), puis les lévites. Leur métier, c'était surtout d'offrir des sacrifices. Le Judaïsme rabbinique a pris acte de la destruction du Temple en 70 de notre ère pour, en quelque sorte, refonder sa foi sans sacerdoce. Les chrétiens, eux, ont intégré le sens profond de la fin du Temple dans une grande convenance avec la nouvelle Alliance : pour nous, il n'y a plus d'institution sacerdotale : Jésus ressuscité est désormais l'unique Grand Prêtre selon l'ordre de Melchisédek (Voir la Lettre aux Hébreux) ; et nous tous baptisés, qui avons reçu l'onction pour devenir dans le Christ « prêtres, prophètes et rois », nous sommes toutes et tous envoyés pour exercer le sacerdoce nouveau selon l'Évangile : pour offrir tous ensemble l'unique sacrifice dans la liturgie de la messe et dans la longue messe de nos vies. Oui, toute notre existence est appelée à devenir de plus en plus eucharistique et sacerdotale, dans la louange, le partage et le don de nous-mêmes.
Quant aux « prêtres » chrétiens, ils ne sont ni des sacrificateurs ni des dignitaires sacrés médiateurs entre Dieu et son peuple ! Les prêtres chrétiens sont - faudrait-il dire - des « presbytres », membres non d'une caste sacerdotale, mais du presbyterium de l'Évêque. Avec lui, ils sont les serviteurs de la communauté sacerdotale ; rien de plus !
from Paroisse Saint-Paul et Sainte-Croix https://ift.tt/WhUcvlG via IFTTT
0 notes
Text
Le sage contre le prophète
Le sage contre le prophète
La Kabbale juive oppose le prophète et le sage, et met celui-ci fort au-dessus de celui-là. Pourquoi cette hiérarchie ? Est-elle justifiée ? Que nous apprend-elle ? Que peut-on attendre de cette vision des choses ?
Commençons par les éléments à charge (contre le prophétisme).
« Le Sage l’emporte toujours sur le Prophète, car le Prophète est tantôt inspiré, tantôt non, tandis que l’Esprit Saint…
View On WordPress
#Gershom Scholem#Hassidisme#Isaac Luria#Isaïe#Jésus Christ#judaïsme rabbinique#kabbale#Nathan de Gaza#Prophètes#Prophétisme#Rabbi Hayyim de Volozhyn#Sabbataï Zevi#Sabbatianisme#Torah#YHVH#Zohar
0 notes
Text
Delphine Horvilleur, "folle" d'histoire
Delphine Horvilleur, “folle” d’histoire
ÉMISSION : Delphine Horvilleur, “folle” d’histoire Dimanche 31 juillet 2022 ÉCOUTER (59 MIN) Provenant du podcast Le Cours de l’histoire Delphine Horvilleur s’envisage médecin puis journaliste, jusqu’en 2003. Elle entreprend alors des études rabbiniques à New York. De retour à Paris, elle exerce le rabbinat, dans un judaïsme libéral. Un itinéraire et un héritage familial qui interrogent…
View On WordPress
0 notes
Text
Hanoucca (hébreu חג החנוכה Hag HaHanoukka, « Fête de l'Édification » ou « de l'Encénie ») est une fête juive d'institution rabbinique, commémorant la réinauguration de l'autel des offrandes dans le Second Temple de Jérusalem, lors de son retour au culte judaïque, trois ans après son interdiction par Antiochus IV des Séleucides.🕎
Elle marque une importante victoire militaire des Maccabées et symbolise la résistance spirituelle du judaïsme à l'assimilation grecque.
Selon la tradition rabbinique, au cours de cette consécration se produit le miracle de la fiole d'huile, permettant aux prêtres du Temple de faire brûler pendant huit jours une quantité d'huile à peine suffisante pour une journée. C'est pourquoi Hanoucca est aussi appelée la Fête des Lumières.
#HappyHanoucca #Encénie #FêtedesLumières 🎁🕯🕯🕯🕯🕯🕯🕯🕯🕯
https://fr.chabad.org/holidays/chanukah/default_cdo/jewish/Hanukkah.htm
0 notes
Text
Consistoire de Paris. Le 26 novembre : des élections vraiment démocratiques ?
Tous les 4 ans, l'ACIP renouvelle la moitié de son Conseil. Or les dirigeants de cette institution religieuse, orthodoxe au sens le plus étriqué du terme, qui glisse de plus en plus vers une forme d'intransigeance, voire de sectarisme ne se contentent plus de gérer le cultuel, mais tentent d'exercer une sorte de main mise sur le politique, le culturel, l'éducatif, le social…
En substance, ce qui est en cause, ce sont les tentatives des dirigeants du Consistoire de s'ériger en représentant des Juifs de France, alors que leur aspiration affichée (notamment dans les colonnes du journal ultraorthodoxe Yated Neeman) consistant à prendre les "Haredim" comme modèles leur fait exclure agnostiques, humanistes, libéraux, massortis et même modern orthodoxes, etc.
Or les dirigeants actuels de l'ACIP fondent la référence de leur intransigeance sur un judaïsme institutionnel qui n'a jamais existé, ni en France, ni en Europe centrale ou orientale, ni en Afrique du Nord. D'ailleurs leur référentiel est à géométrie variable :
- Pour refuser des évolutions, ils invoquent leur tradition ou leurs coutumes qu'ils ont largement foulées au pied. Leur "harédisme" s'est ainsi peu à peu imposé comme une véritable "tradition de substitution" aux judaïsmes très ouverts de France, d'Algérie, du Maroc ou de Tunisie, voire d'Egypte. - Ils invoquent le modèle des Harédim d'Israël, mais lorsqu'Israël est très en pointe comme dans le cas de l'humanisation des procédures de "guittin" (divorce religieux - guett) avec la nomination des "toanot rabbaniyot" (conseillères halah'iques qui accompagnent les femmes en Israël y compris dans les Tribunaux rabbiniques), ils se rétractent et remettent en 1ère ligne de leurs arguments leur tradition locale, arguant que les autorités israéliennes n’ont pas à leur imposer leur point de vues.
« Qui trop embrasse mal étreint »
A force de vouloir supplanter toutes les institutions juives, telles que le CRIF en suscitant des contestations contre son rôle d’instance représentative centrale des juifs de France, le FSJU, avec une association le Secours Juif, qui serait une émanation du Consistoire, sans l’être vraiment (les deux noms sont parfois accolés « ACIP-Secours Juif », parfois non, laissant un flou assez opaque sur la provenance des fichiers, sur qui engage les dépenses de collecte et qui en récolte les fruits, sur les salariés qui opèrent, etc.,
Il y a longtemps que le Consistoire a renoncé à remplir correctement ce qui est le cœur de sa mission.
Comme nous le disions plus haut, les dirigeants actuels du Consistoire laissent perdurer des situations intenables pour des femmes en attente de leur Guett, sans tenir compte des évolutions remarquables des institutions religieuses d’autres pays, y compris Israël (voir plus haut). Dans cette institution, des comportements inadmissibles sur des chantages au guett ont été cautionnés par des dirigeants qui ont ainsi montré leur totale absence de sensibilité aux situations tragiques des femmes dont la vie est brisée à cause du refus de leur mari de leur délivrer le guett. Les femmes qui voteraient pour des dirigeants qui ont un tel mépris pour leurs droits ressemblent à ces otages atteints du « syndrome de Stockholm » qui prennent fait et cause pour leurs preneurs d’otages.
Depuis 12 ans que Joël Mergui préside les Consistoires de France et de Paris, rien n’a jamais été tenté pour certifier toute une production, ce qui permettrait aux consommateurs de produits Cachers de bénéficier de prix moins onéreux, alors que la production d’un lot spécial de produits coûte évidemment un prix bien plus élevé. Mais la volonté de garder ces consommateurs prisonniers d’un réseau de magasins spécialisés, laisse toujours sur le bord de la route, les familles les plus défavorisées qui n’ont pas les moyens de payer deux ou trois fois plus cher pour un produit Cacher.
Ces considérations suffiraient à elles seules à voter pour les 9 candidats de la liste "Notre Consistoire Demain" conduite par David Revcolevschi et les 3 candidats indépendants, les uns et les autres représentatifs d'un judaïsme ouvert et respectueux du partage des rôles entre institutions juives.
Mais il y a d'autres raisons objectives.
Nous comprenons mal que les responsables de causes prétendument unitaires telles que la collecte du KKL ou l'Appel National Pour la Tsedaka (ANPT) n'aient pas respecté la démocratie au Consistoire. Etait-il nécessaire de mettre en péril l'ANPT en affichant seul aux côtés de ceux du président de l'ANPT, la déclaration et le visage du président partisan de l'ACIP en pleine campagne électorale. Fallait-il que le KKL aille encore plus loin en commettant une publicité partisane. Est-ce pour ce type de communication que des donateurs de toutes sensibilités envoient leurs dons à la Tsedaka ou au KKL ?
Quant à la presse juive, si Actualité juive et les radios de la fréquence juive de Paris ont contribué à faire connaître de manière démocratique et équilibrée, les positions de tous les candidats, certains journaux ont transformé leurs éditoriaux et leurs colonnes en tracts de propagande unilatérale pro-Mergui.
Ce déploiement de moyens disproportionnés destinés à étouffer tout pluralisme ne peut qu'inciter les défenseurs de la démocratie à choisir des causes vraiment unitaires pour leurs dons et à privilégier une presse pluraliste.
Jean-Claude Lalou, Président d'Avenir du Judaïsme.
1 note
·
View note
Text
LES SUPPLICATIONS DE PAUL AUX GALATES
Soyez comme moi, car moi aussi je suis comme vous, frères, je vous en supplie. (Galates 4.12)
Paul supplie ses frères en Christ de reconnaître et de vivre par la liberté dont jouissent tous les croyants par la grâce de Dieu. C’est là la vérité centrale de l’épître, une vérité qu’il a déjà prêchée et enseignée aux Galates, mais que les judaïsants semblent réussir à leur faire mettre en doute et à abandonner.
Il les supplie en disant : « Soyez comme moi, […] je vous en supplie, libres d’avoir à gagner votre salut en observant la loi et en vivant selon ses symboles, ses cérémonies, ses rituels et ses restrictions externes. » Il leur a déjà dit : « je suis mort à la loi, afin de vivre pour Dieu » (Ga 2.19). Maintenant il les implore de reconnaître encore cette mort à la loi comme voie de sanctification, cette mort dont eux aussi ont fait l’expérience lorsqu’ils ont accepté Jésus-Christ comme leur Seigneur et Sauveur. Bien que tous les croyants soient appelés à vivre en obéissant aux normes morales immuables de Dieu (une telle vie démontre une conversion véritable, comme l’indique Ép 2.6- 10), ils ne peuvent pas davantage vivre par la loi qu’ils n’ont pu être sauvés par elle. « C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude » (Ép 5.1).
Paul n’accumule plus les arguments, il exhorte du fond du cœur. Il dit plus ou moins : « Vous savez comment j’ai toujours vécu depuis que j’ai reçu Christ et comment je vivais lorsque j’étais parmi vous. C’est comme cela que je veux que vous viviez, vous aussi. »
Paul supplie pour des raisons personnelles
Paul supplie également pour des raisons personnelles : car moi aussi je suis comme vous. Lorsqu’il est venu à Christ, il s’est dépouillé du moindre fil du légalisme dont il était peut-être plus prisonnier qu’aucun autre Juif de son temps (voir Ph 3.4-6). Bien que maintenant il devienne volontairement comme un Juif parmi les Juifs, et comme un non-Juif parmi les non-Juifs, se faisant ainsi « tout à tous, afin d’en sauver de toute manière quelques-uns » (1 Co 9.20- 22), Paul ne s’est jamais présenté, ni même considéré, comme autre chose qu’un pécheur racheté par Jésus-Christ, en qui « il n’y a ni Juif ni Grec […] ni esclave ni libre […] ni homme ni femme » (Ga 3.28). Sur le conseil des anciens de l’Église de Jérusalem, il a accepté à une occasion, pour ne pas offenser certains Juifs non croyants, de pourvoir aux dépenses de quatre hommes qui faisaient un vœu selon la coutume juive dans le temple (Ac 21.23-26). Mais il l’a fait comme un geste de liberté chrétienne et non comme un acte obligatoire selon la loi.
Les croyants juifs de Galatie savent bien que Paul a abandonné son ancienne attitude d’asservissement non seulement aux traditions rabbiniques, mais également aux lois cérémonielles de Moïse (voir Ac 21.21). Beaucoup de ces croyants, comme Paul lui-même, ont payé cher leur abandon du judaïsme pour Christ et ont été frappés d’ostracisme par leur famille et leur synagogue, et traités comme morts. Pourtant, les judaïsants essaient maintenant de les intimider pour qu’ils reprennent leur ancien esclavage à la loi. Paul dit en fait : « Je vous ai présenté la liberté, ne vous remettez pas en esclavage. »
Cet article est tiré du livre : Galates – John MacArthur de John MacArthur
0 notes
Text
Petite intro dans l'exégèse Rabbinique
Petite intro dans l’exégèse Rabbinique
Un passage du Zohar (un commentaire mystique de la Genèse) dit : « Malheur à l’homme qui vient nous déclarer que la Torah nous conte l’histoire du monde, et qu’elle nous rapporte les évènements des hommes de cette même période ». Cela veut dire que la Bible ne parle pas d’hier, mais uniquement de l’aujourd’hui de la Torah.
L’étude de la Torah, ou de la Bible, doit être quelque chose qui nous…
View On WordPress
0 notes
Video
youtube
LES FONDAMENTAUX du Judaïsme-- La Littérature rabbinique
0 notes
Text
Derrière la Porte
Abraham, Sara et la visite de Mamré On sait que le dogme de l’unité absolue de Dieu prévaut dans le judaïsme orthodoxe; mais d’un autre côté, nombreux sont les exemples de textes juifs, relativement tardifs, comme ceux de la Cabale juive du Moyen Âge, qui assurent qu’il y a plusieurs “essences” de Dieu, ou en Dieu. Ce fait est assez “embarrassant” pour les commentateurs rabbiniques. Ils…
View On WordPress
0 notes
Text
Les abattoirs juifs au <b>Maroc</b> et le pari de la nourriture Casher
La communauté juive du Maroc vit ses rituels et ses coutumes conformément aux préceptes du Judaïsme. Ainsi, en plus de la Cour rabbinique qui ... source https://www.google.com/url?rct=j&sa=t&url=http://moroccojewishtimes.com/2020/02/09/les-abattoirs-juifs-au-maroc-et-le-pari-de-la-nourriture-casher/&ct=ga&cd=CAIyHGZjOGY3YTdmOWE3MjBhYTI6Y29tOmZyOlVTOkw&usg=AFQjCNHqvREW_iRdYE2YYxKBXcdhZtx_Rw
0 notes
Text
Relu décembre 2019 jésus ? / ce qu’on a fait de jésus, 2000 ans perdus, 2000 ans d’oubli de la réincarnation de par l’expansion du christianisme fou VOLUME 9
jésus ? / jésus, 2000 ans perdus, 2000 ans d’oubli de la réincarnation de par l’expansion du judéo-christianisme fou
JESUS ? le dit jésus chrétien, celui décrété jésusDIEU, qui était-il au départ ?, qui était-il vraiment ? t’es-tu vraiment posé la question ?
alors voici une série de réflexions
née à la suite de la lecture de « le dictionnaire amoureux de jésus » écrit par un fou de la secte dite chrétienne (dite chrétienne, tu dois toujours parler des chrétiens comme cela, car il n’y a pas de christ, il n’y a pas de messie, authentifiés par les instance judaïques, or ces concepts sont nés dans la tradition judaïque, et les dits chrétiens se considèrent comme de cette tradition, on les nomme aussi les « judéo-chrétiens »), et qu’il m’a, par « imposition », aussitôt, fallu voir comme soudainement : « le livre en trop », l’exemple de livre, prévenons les dits chrétiens !, à ne plus lire (& non lu complétement par moi, à ce jour), à ne plus écrire en 2017 sauf à démolir l’ensemble de ce qu’il promeut (tant de galéjades) encore et encore… /
cette petite mais attentive recherche en tenant compte (enfin) notamment du point de vue (lequel aura été explosif pour tant de gens encore dans une critique constructive un peu trop lâche, par rapport au dit christianisme, un doute qui profitait aux menteurs), du point de vue de michel onfray, et bien sûr, après l’étude des révélations des chercheurs enfin réunis, confrontés par les inattendus documentaristes prieur et mordillat (« corpus christi » et ses suites), une confrontation transparente qui a pu enfin apparaitre !,
enfin pouvant se faire, loin des inquisiteurs tout puissants d’hier, & laquelle aura conduit au livre « jésus contre jésus » de prieur et mordillat, en 1999…, the right book at the right time, un séisme anti-christique, lequel donc efface 2000 ans de superstition, & qui est… passé inaperçu ! & cela aussi reste assez inattendu! (ainsi… les consciences auront donc été violées sur le long terme…)
cette recherche en méditant aussi jour après jour sur jésus, en, d’une part, oubliant, tout ce qui a été écrit, dit, officiellement, sur lui, les fables…,
avec cette question : pourquoi, comment cette continuation extra longue de cette religion ?, par diabolisme ?,
quoiqu’il en soit : une religion dangereuse, qui conduit en fait ses fidèles à l’angoisse, à la croyance au néant après la mort,
cette religion continue à occulter la seule religion cohérente possible : celle de la réincarnation, celle de la continuation spirituelle, &, là, croire n’est plus seulement une fabrique si infinie de désespoir… mon commentaire (work in progress) propose des éléments de réflexion (de toutes façons personne n’est d’accord et sur rien en cette histoire)
jean le baptiste
ce personnage quand nous étions enfants nous plaisait bien, il y avait là une pureté, une simplicité, une vérité donc
car jb était un prêcheur light, on ne nous le montrait pas comme un bonimenteur, il se contentait de baptiser
je comprends mieux aujourd’hui, car ce personnage = loin du mensonge, de ce fait, car pour nous jésus était quand même celui qui prêche, annonce etc. et rien de tout cela n’était effectif, puisque le mal était bien là, on sortait de la 2eme guerre mondiale, et il semble bien : c’était pas trop dieu qui l’avait arrêtée ou bien l’avait arrêtée si lentement, si encore elle avait duré seulement 1 an, et cela aurait été pour nous punir de notre impiété, mais non… 4 5 ans…., c’était donc que dieu n’avait rien pu faire, la victoire avait été péniblement, humainement acquise par les hommes sans dieu
et en fait, confusément, on ne croyait pas aux miracles de jésus, avec j b, au moins on ne chargeait pas la barque, il se suffisait à lui-même, certes… ce qu’on savait de lui se résumait en ses baptêmes, cela n’allait pas très loin, ce qui se passait avec jésus, évidemment serait + ambitieux !, mais pas crédible…, ces histoires de jugement dernier etc., lointain…
& pourtant, les fondateurs du christianisme, ont aussi inventé une naissance miraculeuse à jean le baptiste !, alors, heureusement on ne le savait pas (justement : les prêtres n’insistèrent pas là-dessus, eux-mêmes comprenaient : on a déjà jésus avec sa naissance miraculeuse, on ne va quand même pas enseigner que c’était pareil pour le baptiste !!!!!!)
avancée du dit christianisme
voilà qu’on proposait à tous les pauvres et mal nés : de rejoindre en quelque sorte la religion juive, sans doute, alors : le top ?, et cela devait présenter de nombreux avantages, et conversion donc sans que cela demande trop d’efforts, de sacrifices… très coûteux, et puis il fallait se faire circoncire, c’est pas un passage amusant, je le sais…, je suis un circoncis médical, le réveil est douloureux
les pauvres d’esprit d’alors : le dit judéo-christianisme : pour eux aussi, voilà quelque chose de complétement neuf aussi : donc redonnant un max d’espoir, ça y est on en était sûr, cette fois cela allait marcher, on serait vraiment protégés p ar ce dieu bon que promettait jésus, on allait tous ressusciter, cela était confirmé, documenté, par quelqu’un dont on nous disait qu’il avait ressuscité & reviendrait ressuscité
la force de la nouveauté dite chrétienne (d’autant + nouveau du fait du refus juif bientôt de cautionner jésus) + la force de la tradition juive, c’était l’œuf de colomb, le package complet
& cela tombait bien, car l’angoisse était complète aussi, on sentait à l’époque de l’invention de jésus, en effet la fin du monde devait être proche, tous ces romains partout… et respectant un peu le judaïsme mais le considérant aussi comme dément
moise, noé,
tout cela, tous ces personnages conceptuels, imaginaires, si évoqués durant tant de générations qu’il en devenaient réels, & jésus (vu par nous, enfants et ados) se plaçait très naturellement dans cette suite (par un incroyable prodige !), juste : on voyait bien quand même une césure, mais on se disait : « c’est parce que c’est le truc le + près de nous par le Temps, c’est encore tout frais » (on n’avait pas compris : cette césure c’était surtout : les juifs ne voulaient pas de jésus !)
alors lui aussi avait donc vraiment existé !, tout le monde prêts à le croire…, de ce fait, en + les dits chrétiens disaient : « oui, notre jésus, annoncé par tant de prophètes de la bible hébraïque, comment pourriez-vous en douter ? », & ces nouveaux prêcheurs paraissaient si forts en leur croyance (débuts d’une illusion collective, quand l’espoir vient remplacer l’angoisse, tout devient possible et on ne voyait pas à l’époque : même le n’importe quoi peut être prêché, trouver des prêcheurs)
un certain temps //
il m’a fallu un certain temps !!!, plusieurs décennies pour imprimer : tout ce qui existe, genre tombeau du christ à jérusalem etc. n’est pas « historique »
en fait je crois bien, pour moi : il a fallu attendre michel onfray pour arriver à cela
et pourtant dieu que je suis curieux !, etc., mais c’était assez difficile donc d’accéder à cette vision du mensonge chrétien, le mensonge était vraiment bien établi : tout le parcours soi-disant historique de jésus avait été reconstitué bien + tard, à l’instigation de constantin
ainsi : il y avait eu jésus, ou une sorte de jésus / puis des prêcheurs puis des scribes qui avaient fait un jésus de textes / puis constantin avait en quelque sorte décidé de l’incarnation de ce jésus de textes…
les rois faiseurs de miracle !!!!
déjà ce fut : le roi te touche, dieu te guérit, mais cela ne marchait pas ( cela a-t-il marché au moins une fois réellement ?)
alors ce fut : le roi te touche : « dieu te guérisse ! » (ça n’engageait à rien)
et puis, à partir de louis 15 je crois, les rois ne croient plus à leur pouvoir de guérisseur !!!!, et personne ne compte plus sur ce pouvoir, il est oublié, on ne parle plus de ce ratage… (les rois ne veulent plu connaitre l’affront de ne pouvoir guérir quand on leur demanderait)
ésotérique ?
tu es dit chrétien et tu regardes de haut les recherches ésotériques (certes la plupart : partant dans de mauvaises directions, car qui dit recherche dit : fausses pistes suivies et escroquerie aussi, car les chercheurs vont loin et peuvent difficilement être contrôlés), mais toi dit chrétien voici à ce à quoi tu t’accroches comme étant vrai :
« et voilà que le rideau du Temple se déchira en 2, du haut en bas ; la terre trembla, les rochers se fendirent, les tombeaux s’ouvrirent et de nombreux corps de saints trépassés ressuscitèrent , ils sortirent , entrèrent dans la ville sainte et se firent voir de bien des gens » (mattieu)
eh oui, on est en plein ésotérisme là, & personnellement j’aimerais pas trop te croiser si tu crois à cela…, zombie chrétien que tu es
les paraboles….
les prêtres nous laissaient croire : ces paraboles, une invention divine de jésus pour nous enseigner / comment ne pas craquer ? pour un personnage qui s’exprimait comme cela en langage de dieu
mais, non, cette façon d’enseigner, « tout à fait rabbinique, juive, de grande tradition ».., dit un chercheur
l’énigme :
« jésus roi des juifs » / c’est soi-disant écrit sur l’écriteau sur la croix, et prononcé dans le procès
les chercheurs en perdent leur latin…
déjà est-ce que jésus a existé, a été jugé, a été crucifié, et a donc en tant que (prétendant roi des juifs),
si il a existé en tant que personnage charismatique qui a fait parler de lui : mon hypothèse (tu comprendras seulement si tu as tout lu ce qui précède) : pour les juifs « en place », les officiels religieux juifs qui ont compris : ce jésus, cette personnalité baptiste était un guérisseur suspect etc., un dangereux evolutionniste (ou révolutionnaire baptiste : en ce sens : retour aux fondamentaux) & qui a déjà fédéré autour de lui pas mal de gens (une petite poignée sans doute), & cela est déjà de trop pour les mandarins juifs orthodoxes qui essaient de de voir ce qui est dissident et ce qui ne l’est pas
pour eux : donc il faut mettre à mort jésus, en tant que tel : en tant que forcément, parmi d’autres, prétendant roi (spirituel) des juifs (lui, il ne se serait pas présenté comme cela il faudrait avoir une sacré prétention pour cela), mais ses supporteurs le voient en effet comme un chef spirituel possible, donc en effet comme un nouveau roi des juifs (régulièrement émergent donc de tels prétendants prophètes potentiels, beaucoup d’illuminés se prétendent prophètes, en ces Temps, cela est sûr, et certains font un « bout de chemins », sont acclamés sur leur passage)
ainsi : les scribes bien + tard qui avaient à mettre tout cela en forme : ont donc dû imaginer un procès un peu complexe (alors que jésus aurait été assez vite crucifié sans procès comme tous les suspects de zélotisme)
ainsi : est mis en scène, en grossissant tout : des religieux qui demandent la mort d’un grand imposteur, d’un grand orgueilleux, qui est déjà considéré comme roi des juifs par certains (dans le cas donc où jésus aurait réussi de son vivant à continuer à vivre un certain temps en tant que personnage charismatique dissident important)
jésus va être dit et écrit bien + tard : messie par les prêcheurs puis les scribes / oui, car, il ne sera pas question de son homologation en tant que prophète, alors, il faut passer au-dessus des instances officielles judaïques et les prêcheurs trouvent la parade : dire : « jésus ?, pas prophète ?, eh bien oui !, car il est le… messie »
alors il faut montrer au moins que ses adversaires, juifs et romains le considèrent eux de son vivant : comme quelqu’un qui est considéré comme les siens comme au moins : le nouveau roi souhaité des juifs
on ne peut pas passer directement de quidam à messie !!!!
on met en face un Pilate étonné, par ce personnage, auquel très vite il confère ! (même en sa grande non spiritualité, en sa grande barbarie de romain) le statut de personne ne semblant pas exaltée ou criminelle en quoi que ce soit, et au contraire : il va dans le sens des foules qui acclament jésus sur son passage (cela inventé déjà) : Pilate dit : « mais si c’est bien votre roi ! », eh bon…, on peut le croire, lui-même est quelqu’un de puissant, et on peut le croire : lui Pilate, vous voyez bien, il est indépendant dans cette affaire…
ainsi pilate = le personnage qui confirme jésus en roi des juifs (tout cela sur le papier des scribes) / jésus, donc, est montré par les scribes : dénoncé par les juifs en tant qu’imposteur, et cela permet de définitivement monter que jésus est au contraire : le roi des juifs, le messie, puisque le pouvoir romains, la + grande puissance du monde après dieu dit : jésus est votre roi
1 : les juifs sont montrés se trompant (alors comment pourrait-on attendre qu’ils homologuent jésus / les scribes montrent qu’il n’y avait pas attendre d’homologation de la part des instances juives, puisqu’elles sont démentes / ainsi pas besoin d’homologation de jésus, on s’en passera
2 : c’est Pilate qui homologue jésus, les scribes ont trouvé cette astuce / et il faut le reconnaitre, c’est une belle homologation !!!!, dont on nous fait comprendre qu’elle vaut bien celle des instances israélites
3 bien sûr il faut quand même que jésus soit mis à mort (et bien officiellement, à la façon romaine, et cela a été le cas d’ailleurs)/ pourquoi ? / bien sûr… pour arrêter là l’histoire / jésus doit mourir, le messie doit mourir car sinon : continuant à vivre, ah ah ah, il faudrait qu’il se conduise en messie !!!!, fasse des miracles et tutti quanti, or l’histoire n’a rien consigné de tel, il ne s’est rien passé à jerusalem, sous pilate, rien de surnaturel…, là les scribes ne peuvent pas attester de miracles, oui, ils peuvent parler d’une arrestation, d’un procès, etc., ça ça mange pas de pain…
bon, on comprend, les scribes ont manigancé cette histoire, on essaie de faire exister jésus : qui soit en existence crédible pour les uns et les autres, et ça donne cela : des grands prêtres et autres responsables qui sont dans l’erreur totale, démente (qui prennent le messie pour un imposteur, en tout cas un anti israélite, oh la la), et Pilate !!!!! qu’on montre déjà prévenu par sa femme (attention : jésus, un juste) et qui confirme : oui, bien sûr, il est le roi des juifs et Pilate : c’est l’homme du triomphe, on peut le croire alors que les instances israélites : elles sont : la défaire, la Collaboration
résumons donc : les scribes imaginent même un titulus, une épitaphe sous la croix de jésus (qu’importe, ou au-dessus) : où c’est marqué : roi des juifs, la confirmation par écrit / ainsi : voilà quelqu’un qu’on fait prophète, messie (possible : quand tout cela est devenu de l’écrit : jésus en était déjà au stade de dit messie)
et bien sûr tout cela arrive dans le bon ordre : on n’est pas prophète de son vivant : jésus ne peut être dit prophète de son vivant : mais quand même il faut montrer que même si jésus n’est pas considéré unanimement comme le prophète attendu (puisque cela on ne le sait jamais en temps réel, sauf ses proches et quelques autres le savent, le voient), et c’est bien le cas ici avec les instances juives qui sont montrées ne voulant pas entendre parler de lui
ainsi, dans cette histoire inventée : à sa crucifixion, voici jésus manifesté, et c’est Pilate qui le manifeste : c’est lui le roi des juifs, moi pilate je le proclame, je le dis, je le fais écrire
ainsi, par le procès (où nous, enfants et ados on croyait : jésus messie, à la fois méconnu par les juifs et les romains !, et on croyait : pilate se moquait : en disant : « roi des juifs »….) : au contraire : subliminalement on nous amenait à comprendre : Pilate homologue jésus, lui aussi dans ces quelques paroles : dit : « il n’y a rien à reprocher à cet homme », et puis il le taxe de « roi des juifs » / le dit chrétien est prié de bien comprendre qu’il y a là : homologation
les scribes nous font voir : les foules l’ont désigné comme « le roi des juifs », et qui donc vient le voir comme cela aussi ?? PILATE !!!! / cela n’est pas du tout : pilate l’interroge est le voit dément et comprend : en effet, quel imposteur quelqu’un comme cela qui se dirait messie, ou bien que les foules diraient messie / non, non, non : les scribes montrent un Pilate qui pense : vous instances juives, vous êtes complétement connes de me demander la mort de votre roi, ça va vraiment pas dans votre tête, mais, puisqu'o n’est en association on va crucifier ce type, on va le faire souffrir un peu… , il faut que Pilate reste Pilate un peu quand même !!!
voilà mon hypothèse s’agissant de « roi des juifs » (à noter : les chercheurs de « corpus christi » n’arrivent pas à se mettre d’accord dans cet épisode, ils ne comprennent pas ce qui se passe là, admettent leur incompréhension, je ne m’inspire pas là de leurs commentaires)
ainsi les scribes vont + loin, cela se termine : pilate écrit : « jésus rois des juifs » & il écrira cela qu’on le veuille ou non : « pour moi pilate ce type est le roi (spirituel) des juifs » / les juifs sont définitivement montrés comme déments
(sous-entendu : les scribes montrent Pilate homologuant jésus contrairement aux religieux juifs orthodoxes : Pilate ne peut en dire + car cela ne serait pas crédible et serait contreproductif, et ferait de jésus un… collabo des romains lui aussi / non : simplement on lui fait dire : moi le païen je vois un juste, je vois votre roi actuel, et pis c’est tout, et je vois : ce sont les religieux juifs orthodoxes qui sont tombés sur la tête et qui tuent leur roi légitime / « mais moi Pilate je tue : le + de juifs possibles, je suis hors concours dans tout cela, et je dois rester l’ennemi », alors les scribes le font tuer jésus, ainsi à la fois : les dits chrétiens profitent de la bienveillance des romains, et ne sont pas pour autant à taxe de collabos des romains, puisque les romains restent ceux qui tuent jésus, de fait)
(les scribes montrent : pilate a à s’occuper d’un « roi des juifs », proclamé ! par les foules juives,
Les scribes qui sont en train d’inventer un nouveau prophète sont obligés de le présenter comme déjà largement important de son vivant
Tout en ne le présentant pas comme messie déjà, car un messie devient messie, quand il est « manifesté », quand il est oint, et quand on fabrique ainsi jésus par des textes soi-disant sacrés, il faut faire attention (car il s’agit de convaincre tous les juifs) de ne pas proclamer trop vite jésus = messie, il faut que cela se fasse fluidement, et que chacun et tous déduise de la progression, du storytelling : « ah oui, jésus en effet est le messie »
Ainsi, on présente jésus : roi des juifs, déjà, car roi des juifs cela « passe », et cela permet aussi d’introduire le personnage de Pilate
Autrement dit : les scribes feront passer jésus de roi des juifs à messie, car non possible serait de faire passer jésus de petit rabbin à messie !
si jésus n’é n’était pas montré de son vivant « roi des juifs » proclamé, comment ferait-on intervenir Pilate dans cette histoire de juifs, et qui + est religieuse ?, or Pilate a une fonction dans les écrits des scribes : il arrive dans cette histoire : pour qu’on comprenne : « jésus est bien celui que l’on vous présente comme un prophète, comme le messie, puisque quand il s’agit de sa mise à mort, de sa marthyrisation : c’est Pilate lui-même qui s’en charge mais…. vous voyez il le fait mettre à mort à regret (mais jésus doit être mis à mort : voir le blog + haut) :
le procès permet d’officialiser la condamnation à mort du prophète par les instances juives (c’est dans le cahier des charges) et c’est la nouveauté : c’est l’Occupant qui va en fait officialiser la royauté spirituelle de jésus ! : et on retrouve ce genre de retournement (spectaculaire et édifiant) par exemple avec paul : le chasseur de juifs qui devient le pilier du christianisme….
les scribes montrent un Pilate (l’homme fort du moment, donc celui qui a la vérité) ridiculisant ses alliés juifs : on voit : on est dans une période de grande décadence : avec des instances spirituelles qui demandent la mort d’un juste (et lesquels vont persister dans leur stupidité et démence en refusant le prophète proposé par la dissidence baptiste, et ne l’oublions pas : les textes du Nouveau Testament sont d’origine dissidente baptiste, qui jamais ne sera réintroduite dans le judaïsme)
Pilate cependant est montré comme devant se soumettre à la décision de ses assujettis et associés, les instances dirigeantes juives, en cela il est celui qui s’en lave les mains, il est montré comme un lâche qui n’a pas le courage de prendre la bonne décision : laisser jésus faire son « roi des juifs » et + / à la fois Pilate montré sous un bon jour : assez intelligent, inspiré pour voir : jésus est votre roi (alors comment les Romains pourraient-ils s’opposer aux dits chrétiens dans ces conditions…, Pilate, le romain numéro 1 de cette histoire, a déclaré jésus roi… / et il faut quand même ne pas montrer les baptistes comme des collaborateurs : ainsi le jésus baptiste sera mis à mort par l’envahisseur romain / on a la totale là (n’oublie pas : il faut aussi que jésus meure : car jésus ne doit pas survivre en roi des juifs, en prophète, en messie, car alors la logique serait qu’il fasse de grandes merveilles, or… aucunes grandes merveilles n’a été faite du temps de jésus, ainsi les dits chrétiens peuvent dire « oui, jésus, n’a pas fait de miracles, il n’a pas aussitôt sauvé tous les juifs de l’envahisseur romain, eh oui, mais… il n’en n’a pas eu le temps, il a été assassiné par ses coreligionnaires et par l’Occupant »)
voilà ce que les scribes nous suggèrent de croire : lui, pilate tue jésus, mais en quelle circonstance ! : celle de le voir comme effectivement le + grand personnage spirituel du moment, alors si même lui, Pilate, croit à jésus… alors tout le monde peut croire !, lui qui au contraire devrait avoir à cœur d’amener la confusion et la discorde dans une religion israélite qu’il juge comme stupide
ainsi Pilate, à la fois montré aussi : avec la satisfaction (les scribes ont compris que cela serait crédible) de devoir tuer le + important personnage juif du moment en la toute-puissance romaine qui peut même s’offrir cela en un clin d’œil ! & en + cela est demandé par les instances juives elles-mêmes !, alors quel caviar !
en + donc : là-dessus, je peux m’en laver les mains, je n’ai pas à avoir une once de remords si cela avait déjà été possible !!! spectaculairement, voilà qu’on me prie de tuer un juif ! quel bonheur ! je réussis même à éliminer un juif car telle est ma volonté de tuer des juifs, or voilà que je peux même décréter : ce n’est pas vraiment moi qui l’assassine (là cela fait penser à quelque chose de terrible qui arrivera bien + tard…), ce sont les religieux juifs qui le mettent à mort, eux-mêmes d’ailleurs se détachant de la faute de tuer quelqu’un (= en fait : alors personne ne tue vraiment alors personne n’est tué = toute cette histoire est fausse, et pour cause on est là sur du papier, mais les meurtres, c’est pour après, quand tout cela va devenir textologique, va trouver des adeptes, des fous de dieu, va rameuter des tueurs de juifs, tout cela va devenir opératique)
je dirais : symboliquement : personne ne tue jésus, il est quelqu’un de trop virtuel pour être tué par quelqu’un, et d’ailleurs…. Et en effet, ah ah ah, c’est bien ce que je dis : la suite de l’histoire…, Il ne va pas vraiment mourir, les scribes jésusistes posent là : la grande singularité d’un prophète de papier, dont personne (directement) ne veut avoir de sang sur les mains, par ce qu’en fait, tout cela est virtuel
donc pour les scribes jésusistes (baptistes) en tout cas : serait bien établie là : la stature de jésus-prophète (messie cela sera décidé + tard, c’est ma théorie), un prophète (roi des juifs, c’est cela aussi, roi spirituel, prophète) en quelque sorte surtout homologué par le romain (il fallait bien trouver quelqu’un, mais de crédible aussi, pour homologuer)
cette hypothèse : en pensant : tout cela est écrit alors que la tendance c’est : la figure de jésus qui est prêchée partout et fait un tabac, or : les principales sous communautés israélites au contraire, se mettent à combattre de + en + la proposition baptiste « jésus notre nouveau prophète »
pour les différentes instances juives : jésus, le package jésus, la proposition jésus, elle prend source dans un personnage de rabbin qui de son vivant a été toujours vu comme un personnage en rébellion, un blasphémateur, et cette proposition de prophète jésus sera toujours considérée comme blasphématrice, le fait que cette proposition fasse de + en + d’adeptes ne changera rien à cela
même si jésus avait de + en + d’adeptes, jésus était poussé par une petite communauté juive dissidente (le judaïsme d’alors était multiple) et il n’était pas question que celle-ci fasse un jour la loi !
de son vivant : jésus = quasiment rien, longtemps non visible puis venant à jerusalem et là, vite crucifié / et les scribes jésusistes après sa mort, auraient dû mêler sans doute les bios de plusieurs prétendus prophètes du moment pour alimenter sa bio
je ne pense pas qu’il n’aurait pas existé du tout / un prophète, je pense, n’est jamais complétement inventé
/ bien sûr historiquement, comme cela a été écrit souvent : explication un peu différente si tout cela a été écrit (réécrit) dans un contexte où le dit christianisme se détachait (bien obligé) du judaïsme, et alors il fallait mettre donc toute la faute sur les juifs juifs (on dit : ce sont eux qui ont voulu la mort de jésus (or c’est bien arrangeant car cela figure aussi une sorte d’homologation), alors que les romains eux ont juste arrêté jésus, ou bien sont-ce les juifs qui l’ont arrêté c’est à vérifier) & : les romains s’en sortent toujours : en la personne de pilate ils ont en quelque sorte eu le bon gout de voir jésus comme quelqu’un qui n’avait pas à être tué (c’était le principal, ils n’étaient pas à même de voir +, nous amènent à croire les scribes de même qu’ils ne sont pas à même de voir les miracles de jésus…, ah ah ah, ainsi, les scribes on à montrer un Pilate, assez détaché de toute cette histoire : pour qui jésus est un « roi des juifs », mais sans miracles bien sûr, sinon, il aurait été un peu + interrogé là-dessus, jésus, ah ah ah, oui, Pilate devait être montré comme à côté de l’histoire, n’y rentrant juste pour homologuer jésus en tant qu’étranger et indépendant, et il mettait jésus à mort car c’était son job, et justement cela permettait donc : jésus peut être mythifier, il ne risque plus d’être montré comme sans miracles, incapable de faire du surnaturel, puisqu’il est mort, les scribes placeront quelques miracles quand jésus était en province…., donc miracles faits en catimini, peu de gens les voyaient ah ah ah, donc certainement pas les romains, qui étaient très peu nombreux dans ces contrées), mais que pouvait-il faire Pilate, les siens voulaient sa mort…, et lui-même devait éliminer un roi des juifs (ce que les scribes veulent nous amener à croire pour faire croire à l’élection par la victimisation)
l’ascension
pas d’ascension dans l’évangile de mattieu !!!!! parait-il / un des trucs les + importants de la vie de jésusDIEU, & mattieu n’y croit pas donc !
matthieu
voici ce que dit un petit dico larousse des religions : « évangéliste, juif publicain pour le compte d’hérode et collecteur d’impôts , devint disciple de j il convie le Maitre chez lui à un festin !!!!!!!! il écrit en hébreux, traduit en grec »
les chercheurs
quand ils parlent de l’évangile de jean, les chercheurs d’aujourd’hui prennent les précautions d’usage : ils parlent de la « tradition johannique », comprendre : l’invention johannique, les différents scribes qui ont amélioré le texte…
le verbe….
complétement ésotérique, cette histoire de « au commencement était le verbe », cela serait pas plutôt « l’esprit » avec lequel commence tout ???? et le verbe = plutôt le commencement de la coloration, et hélas du mensonge
depuis 2000 ans, on se demande ce que cela signifie
mais comme tous ceux avant nous, on entendait ça, on ne cillait pas / cela faisait donc partie de l’ésotérisme général de cette religion, comme je l’ai écrit dans un autre volume : si tu ne comprends pas c’est parce que c’est supérieur, et l’important c’est que tu accompagnes du supérieur (te fait-on croire pour accompagner ce flou, ce flou d’ailleurs qu’on ne peut pas préciser, car tout cela est de l’invention, de la coloration)
mais, c’est pas très bon de vivre sur de telles bases spirituelles, tu essaies de te tenir droit dans les sables mouvants, un jour ce que je viens d’écrire + haut ne marche plus, & tu te retrouves sans ce supérieur spirituel, car le supérieur que tu as cru qu’il te portait ne te portait pas du tout en fait, & oui, on a besoin d’être porté, mais pas par n’importe quoi
ésotérisme
tu sais ce que dis jésus à la samaritaine ?, eh bien renseigne-toi… :
« si tu savais qui j’étais tu m’aurais toi demandé de l’eau », ce qui est à comprendre pour les dits chrétiens : « tu aurais dû me demander la vie éternelle »
eh oui, on est en plein ésotérisme…., il faut quand même que vous, les jésusistes commenciez à comprendre ce qu’est votre religion, votre secte
s’approche-t-on de la vérité historique en écrivant ceci ?
un jésus (ou bien les personnages qui ont inspiré aux scribes l’invention de jésus etc., on ne sait pas, on ne sait rien là-dessus, sauf que jésus est un personnage évidemment terriblement conceptuel, auparavant : on prévenait les dits chrétiens un peu haut de gamme ainsi : jésus est certes un personnage théologique, alors cela rassurait sur ce jésus qui ne tient pas debout)
un jésus complétement différent de celui que l’on connait aujourd’hui
c’est ce que pensait un Cocteau par exemple : jésus aurait été récupéré par le judaïsme : c’est-à-dire : finalement il aurait été récupéré par ses proches, par sa communauté quand même judaïque, quoi dissidente (jésus aurait été une dissidence dans la dissidence) = les baptistes eux voulaient rester dans la continuation judaïque (mais était de + en + considéré comme des hérétiques juifs, sans avenir) : ainsi les baptistes se seraient finalement servi de jésus pour revenir au bercail = jésus aurait été inventé déjà pour tenter ce retour : il aurait été présenté comme une évolution acceptable du judaïsme, pouvant être acceptée par tous les juifs
or : 1 le message de ce jésus crucifié aurait été oublié, juste sa figure, son personnage aurait été surtout gardé (avec quand même quelques traces du jésus initial), et don un jésus à la fois évolutionnaire et restant cascher aurait été dessiné /
2 et pourtant : les instances israélites n’en ont pas voulu
3 or… : c’est sur ce jésus frelaté que se serait fait (surprise) : une religion frelatée, à la fois israélite et pas israélite : le jésusisme, puis le dit christianisme quand jésus aurait été haussé en messie
Le jésus inconnu
Que Marcion évoquait / celui qui « n’avait pas été compris par ses proches » (en fait qui aurait été très bien compris par ses proches, mais que ses proches ont de façon fautive repeint en judaïque (alors qu’il y avait sans doute de bonnes raisons pour les grands prêtres le fasse mettre à mort) et marcion évoque aussi cette possibilité que le message de jésus ait été volontairement tronqué
ce jésus encore + rebelle, amenant une nouvelle conception de la vie, et pourquoi pas voulant une nouvelle religion,
qui a donc complétement été effacé, dès le départ, quand il a été plutôt question de le faire entrer dans la continuation israélite par la grande porte (et après cela aurait été trop tard pour le faire se rapprocher de ce qu’il était historiquement : et là mystère), car les baptistes, ou les baptistes jésusistes croyaient vraiment qu’ils avaient à prendre le pouvoir, et que cela était faisable, et avec… jésus
c’est ce que pensait cocteau : jésus aurait été détourné par les juifs (mais comprenons bien : par des juifs baptistes, par les juifs de sa communauté dissidente / il faut faire attention : on ne peut pas comprendre cette histoire : si on ne sépare pas bien les juifs / les juifs c’est aussi : les hérétiques juifs, les baptistes par exemple / il y a aussi d’autres courants, et la proposition jésus prophète : se confronte à différents courants, et même dans le courant baptiste : la proposition de jésus prophète a peut-être fait problème etc.)
jésus détourné donc non par les juifs, mais par DES juifs, mais alors lesquels et avec quel pouvoir sur la communauté juive toute entière ?
en tout cas de tout cela, d’une acceptation et d’une confrontation, ici et là : allait naître ce jésusisme pluriel, nouveau dans son genre, une synthèse et cela allait être irrésistible
le Temps de jésus
terrible : la religion juive, les juifs en train de se faire annihiler par un autre peuple, celui-là tout puissant, les romains et = des anti religion israélite
ainsi : pensent tant de juifs : « on s’est trompé, nos dieux nous ont lâchés, pouvons-nous croire encore à notre dieu ????, pas sûr !»
ou bien alors se pense-t-on encore, et cela va être illustré par les baptistes notamment semble-t-il : « tout cela est un mauvais cauchemar, et au contraire : c’est le moment propice, pour l’avènement de Jahvé, sa vraie présence, sa confirmation » etc.
cela aurait commencé cet espoir par jean le baptiseur
puis arrive jésus, personnage encore + clivant, et finalement, c’est lui qui suscite des prêcheurs de choc !!!!!
ces prêcheurs, proches de jésus, directement ou indirectement le voient (continuent à le voir) comme le nouveau prophète ad hoc à l’époque : attendu
(et bientôt, il est prêché comme carrément le messie, car l’idée : les romains, c’est la fin du monde, c’est le ciel qui nous tombe sur la tête et en effet cela va être le cas : destruction du Temple déjà, mais cela n’est qu’un début)
Mais je pense : 1 jésus a déjà été une proposition de prophète, et cela se serait installé assez vite, quand les baptistes ont compris que jésus crucifié, leur rabbin de choc, était en train de devenir le personnage dont les foules avaient le plus envie d’entendre « parler »
et, bientôt ce jésus et le baptisme en général était de + en + combattu par les autres courants israélites : or bient la destruction du Temple (la confirmation que le ciel est tombé sur la tête des juifs) et les jésusistes baptistes persistent et signent et font de jésus : le messie , puisque la fin du monde est effective : ou bien cela se passe + tard : quand les juifs sont interdits de jérusalem, quand c’est le nouvel exil, et là la folie : (jésus = messie) est prêchée / ce haussement arrive quand c’est le cas, le pire scénario, le temple détruit, le génocide qui commence, l’exil : alors là jésus serait devenu carrément le messie, arrivant à une sorte de moment de fin des Temps
en tout cas était urgent, tous les juifs devaient l’éprouver : il fallait en urgence un personnage messianique, au moins un prophète
qui annonce le messie ?
jésus devient carrément le messie : pour comprendre cela tu dois te mettre dans la tête : jésus prophète, puis jésus messie : c’est une proposition (par prêches, puis par des écrits dont on n’a plus de traces, qui ont été effacés car ils ne tenaient pas la route) assez folle faite par : une secte !, par une communauté, mais très en vue, très connue pour sa dissidence
en principe une proposition de prophète se fait + officiellement…, par les instances dirigeantes mais on est passé dans une époque où une secte, une hérésie israélite est + écoutée que les instances israélite collaboratrice avec les envahisseurs et le grand remplacement qu’on voit venir (et bientôt cela sera le cas à jerusalem décrété villes sans juifs)
en tout cas, à un moment ce nouveau prophète on le cherche : l’évidence c’est : on l’attend et certains fous disent (des baptistes, eux ils sont dans une veine messianique dès le début : en ce sens : eux ils ont tout quitté pour aller dans le désert etc. , ce sont des fous de dieu): « mais !!!! bande de cons , c’était jésus !!!!!!, vous ne l’avez pas remarqué et pire, nos officiels juifs l’ont fait tuer par les romains !!!!!! »
= une période de demande de prophètes avec plein d’illuminés qui parlent puis cela se fait + précis : on en a marre de chercher, et il y a une proposition baptiste qui est intéressante, en tout cas elle est prêchée avec force par certains : jésus
alors comme on est pressé, et « jésus », la proposition baptiste « jésus prophète » va avoir des prêcheurs géniaux puis ensuite des scribes talentueux qui vont inventer (comme cela se fait toujours) jésus en le nouveau prophète sur mesure pour les Temps nouveaux
et de + en + de juifs et autres (car les baptistes depuis le début s’ouvrent aux païens) : « ok pour jésus »
bien sûr : il faudra un jour ou l’autre quand même une confirmation par les instances juives et comme on le sait : elle viendra pas !!!!!!!
l’Occupation romaine
et viennent : jean baptiste, puis jésus (ou encore une fois : de tels personnages, avec des caractéristiques communes) qui lui se serait risqué à jerusalem, ah mais ce n’est pas tout à fait ce qui est attendu par les religieux en place à jeru !!!!!!!!
non, ces personnages charismatiques, ces fous de dieu baptistes, qui soudain ont des disciples !!!! et osent venir (revenir) maintenant en judée, la situation est si grave que cela est possible cette intrusion de dissidents, les « grands prêtres » sont si discrédités…, et si mis au régime sec par les romains, comment imaginer une lapidation d’un prétendant prophète sur une place, cela ne serait plus possible, et les romains ne permettent plus trop le droit de tuer, cela est encore admis par eux, mais il vaut mieux faire profil bas, et montrer que les romains ont seuls, cette force, ce privilège
maintenant, ces baptistes ont clairement l’oreille des foules, on ne se contente plus d’évoquer le baptisme en chuchotant
les prêcheurs baptistes savent parler aux foules !, et ils sont + ou moins guérisseurs, qui réussissent à mettre en place une illusion collective (à l’évidence, c’est le retour du « divin », de quelques événements hors du commun, des preuves qu’on se trouve là dans la bonne direction n’en déplaise aux leaders religieux orthodoxe en place) (on est dans le cadre du spirituel : et toujours le spirituel peut générer du surnaturel et les baptistes, ont la mains, ce sont des purs)
oui : la rébellion : elle est non pas trop contre l’Occupant !!!!, les envahisseurs romains, mais contre…. ce qu’est devenue alors la religion juive, d’autant + bien sûr qu’elle collabore avec les romains
« le Temple est sous le contrôle de l’envahisseur romain ? eh bien nous ; les baptistes, jésus et les autres, on s’en fiche, cela ne compte pour rien pour nous, nous on est dans le « désert », on revient aux fondamentaux, à l’ESPRIT : on te rebaptise : voici que dieu est à nouveau avec toi, cela suffit, pas besoin de Temple, un peu d’eau suffit, tu confirmes ton être-esprit, on recommence à zéro, on fait le coup de dire : ceux qui ont amenés la chute ce sont eux…, les sadducéens (pour résumer, à préciser) / nous les baptistes on n’a rien à voir avec eux (et puis dans la fougue, on refait donc complétement la religion israélite)
Les baptistes prêchent : finis les prêtres !(plus besoin de prêtres, remplacés par des intercesseurs + lights), finis leur pouvoir, le décorum, les folies des sacrifices sanglants à dieu, les multiples obligations / la vie religieuse c’est autre chose…., nous les baptistes on vous l’explique, la bonne vie c’est autre chose, dieu c’est autre chose »
& ça va marcher, et ce courant dissident, doucement hors la loi, est en train de devenir un courant juif comme un autre !, & même, même ! ce courant forcément lorgne sur le leader ship (vu son ascension fulgurante) : et va être confirmé : hors la loi, non juif !, interdiction aux baptistes de prêcher des juifs dans les synagogues (mais dans un long temps, ici et là, les baptistes continuent à avoir leurs entrées dans les synagogues, le temps que la fatwa arrive et soit acceptée)
et cela va s’appeler alors le christianisme
à la fois juif et nouveau, et de + en + nouveau lorsque les juifs sont priés de s’en détourner, et quand même : ancien + nouveau quand les dits chrétiens vont persister à se voir comme quand même, malgré l’interdiction, se considérer comme dans la continuation israélite (même : au contraire : ils disent : « c’est nous la continuation, vous : qui nous l’interdisez-vous êtes du diable »)
cette volonté de continuation, cette volonté de ne pas vouloir créer une nouvelle religion avec jésus : a-t-elle perverti le message de jésus qui aurait été complétement dionysiaque, libertaire (ce qui serait resté dans les épisodes concernant les femmes) ?
on se serait retrouvé, au contraire, pas du tout prévu, avec un méli-mélo imbuvable : ce judéo-jésusisme
la destruction du Temple (la preuve de l’invention de jésus ?)
Il faut bien écouter ce qui se dit dans « corpus cristi », le doc qui nous a fait voir enfin la vérité (le doc qui nous a permis de douter avec + de preuves), il faut bien écouter, si tu veux comprendre : tous les jours tu dois écouter les chercheurs qui s’expriment là…, c’est tellement complexe de par l’obligation de sortir de là où les textes flous dits chrétiens veulent t’emmener (et réussissent à t’emmener) (depuis 2000 ans !)
un chercheur évoque jésus disant �� : « je peux détruire ce Temple & le reconstruire en 3 jours », et le chercheur dit : « … jésus se comporte là en messie juif, car le Temple au Temps de jésus est considéré comme un Temple reconstruit par Hérode, un Iduméen, pas kasher »
déjà le chercheur pense : jésus a existé comme ça et il aurait cela…,
or c’est oublier que cette histoire de scandale pourrait bien être une tentative de se raccorder avec une prédiction israélite (voir ailleurs dans le blog)
mais les textes en disent peu sur l’interprétation de cette parole, et c’était « je pourrais le détruire ? », « je peux le détruire ? », « il faudrait le détruire ? », comment doit-on comprendre une parole aussi fantaisiste ?
c’est un des aspects vertigineux de ces textes, jésus là : parle en messie !!!!, en prophète en tout cas, et n’est-il pas plus simple de penser : quand le Temple a été détruit, et que le personnage de jésus prophète a été dessiné, il était tentant de faire dire à jésus : un truc qui annonce la destruction du Temple, voilà le + cohérent dans tout cela et je ne crois pas que les chercheurs de « corpus christi » évoquent cette possibilité, pourtant au niveau des dates cela colle
les dits chrétiens pensent : ce Temple aurait été vu par « jésus le messie » (en fait c’était l’opinion de tous les juifs, mais bien sûr par des sadducéens qui officiaient là) ! comme non approprié à une venue de messie, de sa venue à lui, donc…
& alors en effet il faudrait qu’il soit détruit et reconstruit !, c’était la volonté de jésus…
ce serait là la preuve donc, nous font croire les scribes, que jésus est bien le messie !!!, il prenait la bonne décision
et les scribes il vont écrire cette histoire avec : 1 jésus le messie est venu et 2 jésus le messie revient très bientôt / alors donc : les scribes font comprendre : oui, bien sûr, jésus ne peut pas cautionner ce temple hérodien / il s’agit de dire : jésus est un jésus seulement de paroles, d’annonces tel qu’il est raconté dans les textes sacrés nouveaux, mais on vous l’a dit, il va revenir, et bien sûr vous devez comprendre : le premier signe du début de sa revenue : cela sera la destruction du Temple (et tout cela était pensé donc, alors que le Temple venait d’être détruit par les romains, ainsi… les scribes pouvaient crédibiliser ce qu’ils faisaient dire à jésus vivant, de par la réalisation de sa prédiction : le Temple n’était plus…, donc le jésus qui avait prédit cela avait bel et bien existé)
pour les juifs :
cette venue du messie est pour bien + tard, le messie, c’est une notion à toujours mettre au futur, car lui il apporte TOUT, il est TOUT, et déjà on a du mal à faire croire à un prophète, alors, faire croire à un messie…
on peut pas dire : le messie est venu / pour cela : il faudrait que ce messie ait fait quelque chose d’incroyable…, or l’incroyable n’existe pas, ne peut pas être dit comme ayant existé, aucunes traces n’existe (alors bien sûr, longtemps après, on peut dire…, « oui il y a eu tels miracles, mais c’est si loin… ,c’est normal qu’on n’ait plus de traces, mais si, si ces miracles ont eu lieu, et aussi, ils ont eu lieu devant peu de personnes.., c’est normal que cela ne soit pas historique »…, pour un messie, ce process ne peut pas marcher car un messie ne peut pas se contenter de faire quelques petits miracles, cela ne serait pas plausible, un messie doit faire des grandes choses devant tout le monde, devant de gigantesques foules, si cela a existé au passé…, alors c’est : historique… d’où donc l’impossibilité de dire : le messie est venu / les juifs ont donc compris à un certain moment : il fallait garder une carte-espoir ultime, cela irait mieux, les juifs seraient sauvés par un messie…, mais c’était dans le futur, au moins ce messie au futur ne décevraient personne / or… les baptistes jésusistes allaient casser tout cela, et dire : « le messie est venu », des déments…
les scribes chrétiens ont décidé eux de le faire ce messie : et ils ont donc inventé l’incroyable : les miracles de jésus / ils ont eu ce culot, et ça a marché… / certes pas pour tout le monde : les leurs, les juifs, n’ont pas voulu adhérer à ce story telling là : genre : « le storytelling on connait ! mais, là , non, on ne prend pas, débrouillez-vous avec votre messie, et vous juifs baptistes messianisant, juifs jésusistes messianistes, ne mettez plus les pieds dans les synagogues, vous êtes avec Satan »
ainsi : il faut comprendre : si les scribes ont inventé jésus & ils l’ont inventé donc comme messie !! : il a fallu lui mettre dans la bouche ces paroles, ces paroles obligatoires pour un messie, qui ne peut se satisfaire du Temple contemporain à lui
le messie jésus n’a pas été homologué par les juifs officiels, alors il a bien fallu le montrer de son vivant rebelle à différents points judaïques (à creuser)
inventions totales que ces paroles au Temple (et tout le reste), car : si jésus avait proféré de telles paroles, qu’il soit déjà un personnage important par la rébellion, le guerissage ou autre, ou bien qu’il ait été un quidam : dans la seconde il aurait été lapidé, déchiré, impossible aurait-été de le garder vivant pour un procès exemplaire / ne pas oublier : ceux qui sont au Temple et qui + est au temps de la pâque : sont des fous de dieu, et ils sont là en foules
j’évoque ici des paroles de blasphèmes qui n’auraient pas été forcément celles rapportées longtemps après dans les textes (d’ailleurs les chercheurs notent : rien de très blasphémateur dans les paroles rapportées dans les textes, genre : « je suis le fils de dieu », tout le monde bien sûr pouvant se prétendre fils de dieu, cela est recommandé même..)
mais bien sûr, quand même : possible : si jésus était un rabbi, un prêcheur en vue, important, bien identifié, ou bien un peu identifié, dont on parlait, considéré forcément comme un rabbin baptiste, qu’on aurait toléré à jerusalem (ce qui apparait quand même comme fantaisiste), du fait de la pénétration des idées baptiste dissidentes dans le judaïsme (une avant-garde irrésistible) : alors ce représentant baptiste qui aurait fait la provoc de trop aurait pu être ainsi : arrêté pour être jugé exemplairement par un tribunal juif, par le sanhédrin, et procès sommaire qui aurait pu connaitre un processus faisant jésus se retrouver devant pilate, qui s’occupait forcément de confirmer les condamnations à mort
et l’exemple serait devenu contre-productif, devenant exemplaire au contraire de la collusion : instances juives/envahisseurs, d’où l’idée de voir dans cette crucifixion insupportable d’un prêcheur baptiste, du meilleur d’entre eux : la manifestation d’un prophète, du prophète nouveau, les baptistes décidant, dans leur lancée, de faire leur prophète, de prendre le leadership de la communauté judaïque
dans le documentaire « corpus christi »
à propos encore de la scène du scandale au Temple, un chercheur sans doute chrétien (et dans le cadre de de ce documentaire, où bien sûr, & avec raison, tous les chercheurs sont invités à en toute vérité essayer d’aller + loin sur toute cette histoire de jésus « impossible »)
oui, alors ce chercheur dit, en substance : « en fait, cela a pu être très modeste cette action de jésus au Temple, de l’ordre du tout petit événement, juste constatée par quelques commerçants, quelques badauds, la petite bande de jésus, & bien sûr, quand même, cela en tout cas a été constaté et vite dénoncé »
là, derrière une telle déclaration de ce grand chercheur (des gens qui passent tout leur vie à tenter de décrypter les textes, si possible, dans le sens de la religion de jésus dit christ, pour certains comme celui ci, donc, à l’évidence qui pas une seconde ne pense : cette situation, complétement inventée, et jésus = un personnage conceptuel, ex. de réflexion très possible) : : :
oui, là, cela sous-entend la question + générale et fondamentale qui commence ici : oui, il n’y a pas de traces historiques de jésus, il n’y a en quelque sorte que des traces religieuses, qui ne peuvent pas être cautionnées, car de l’ordre de la persuasion, de la propagande /
ainsi : le chercheur veut nous amener à penser : « eh bien, s’il n’y a pas de traces historiques, c’est par ce que jésus (et il a bien le droit !, & peut être cela va-t-il encore + dans le sens de jésus-dieu) était un prophète modeste : il ne faisait pas grand bruit !!!!, il passait à jérusalem en catimini, le volume d’air qu’il déplaçait était infime » !
il faudrait que l’on pense : « voilà qui signe un grand personnage, non ?? » (less is more) !!!!!! « et le miracle c’est qu’ : il va faire ainsi parler de lui pendant 2000 ans !, alors croyez mes amis ! »
ainsi ce chercheur nous prend pour des imbéciles, il transforme le manque d’historicité en preuve d’existence !!!!!
et donc, la question esquissée un peu + haut : un messie doit-il arriver sur Terre sur un char de feu, ou bien plutôt comme le jésus de ce chercheur, bougeant 3 éventaires, et bousculant 3 changeurs au Temple ?, & c’est ce que ce chercheur dit chrétien tente de croire(pour sa survie de type qui s’est toujours trompé) maintenant : puisqu’il faut bien convenir que jésus n’a pas existé historiquement comme les scribes l’ont raconté : il tente de croire à un jésus parti de très petit (loin des miracles etc. alors !, et de l’arrivée triomphale à jérusalem) et qui serait… quand même le… messie !!!!!!, le type le + attendu du monde, quoique non…, le + attendu par un petit peuple, les israélites, qui se sont persuadés de l’existence de dieu, un dieu complétement ad hoc à eux, un dieu trop « sur mesure » pour ne pas être complétement inventé ah ah ah ! (mais ils se « rebelleront » un jour les juifs : il refuseront le messie jésus fait aussi sur mesure pour eux, peut-être car cela n’était plus le Temps, du sur mer sure, le sur mesure, ils avaient déjà donné !)
voilà, les pauvres dits chrétiens où ils en sont !!!!!!!, au profil bas…
jean le baptiste jésus
enfants, ados, les prêtres ne nous disaient pas : « tous 2 des doubles résistants, en fait : de ceux qui ne supportaient pas de voir les autorités religieuses et autres, juives collaborer avec les envahisseurs romains » /////
certes, dans l’optique de ces autorités judaïques, c’était pour sauver les meubles, pour la liberté de continuer leur religion, bien sûr ils avaient eux-mêmes conscience qu’ils jouaient aussi le jeu des romains, de leurs envahisseurs, de ceux qui voulaient les remplacer, ce faisant, or les baptistes et des petits rebelles comme jésus ne comprenaient pas ? que: cette collaboration était indispensable
pour jb et jésus et d’autres, c’était le moment de dire : « il faut que notre religion prenne un autre tour, il faut revenir aux fondamentaux, & finalement, bien sûr, les romains étaient dérangeants, mais encore + : ces mandarins juifs qui, à l’occasion de cette Occupation romaine, montraient leur vrai visage, le vrai visage d’une religion qui s’affadissait, qui n’était plus capable de rien en fait (là il faudrait faire appel aux historiens pour mieux connaitre le moment pré jésus de l’histoire juive)
où cela se complique : c’est que pour ces mandarins israélites, notamment sadducéens : des prêcheurs comme jésus et d’autres, étaient donc des gens à abattre (puisque ces derniers voulaient leur mort) & pour les abattre cela était facile : il suffisait de les désigner aux romains, comme des rebelles, comme surtout dangereux pour le pouvoir romain, & alors pour les romains : c’était un cadeau, on leur offrait sur un plateau des juifs à effacer
le procès de jésus cela serait donc cela ou significatif de cela ; déjà / et cela serait crédible ce qui y est raconté (basiquement), cela se fondait sur une réalité historique
je jésusisme serait donc né sur cette base baptiste : simple : la résistance non armée, par exil dans le désert, pour essayer d’en finir avec le « sadducéisme », les sacrifices et tout cela, pour ne plus alimenter cette corruption, il fallait revenir au simple baptême… en signe de soumission à dieu…, et sur cette base à la jean-baptiste, voulue comme basique : des baptistes ont voulu compliquer les choses, et ont profité de ce mouvement pour en faire un mouvement qui pouvait prendre le leadership en proposant un prophète, et le personnage de jésus, ce rabbin, ce prêcheur crucifié ! (quelque chose qui était inimaginable !) se prêtait à cela, & les baptistes au lieu de se contenter de ce beau « less is more » ont préféré la tradition : la création d’un prophète / et…. ironie du sort : c’est la tradition… israélite qui n’en n’a pas voulu !!!!! (certes la proposition venait donc d’une dissidence)
un chercheur
un chercheur (à l’évidence chrétien) vu dans « corpus christi » revient sur l’historien juif flavius josephe qui parle de jean le baptiste, « c’est donc que… j b a bien existé » », dit le chercheur, qui parle d’attestation d’historicité, là !!!!!!, alors que ce qui est écrit là parait bien peu crédible, bien peu historique, « on dirait qu’un chrétien cul béni l’a écrit », disent les autres chercheurs !!!
surtout : les dits chrétiens, comme on peut le constater, auront tant et tant falsifié !!, que de telles « attestations historiques » semblent ne pas trop pouvoir être alléguées si on est un peu lucide & dans le contexte de ce doc !!!
jean le baptiste
parfait pour les dits chrétiens, en un seul personnage, qu’on a (à raison ou pas ?) associé à jésus, est comme voulu, donc par eux, comme celui qui représente toute la bible hébraïque, ressemblant aux vieux prophètes de jadis et naguère (ainsi : cette figure patriarcale permet de dire : « on n’a pas seulement en magasin chrétien : ce curieux jésus, on a aussi un prétendant prophète à l’allure traditionnelle, qui ne parle pas par paradoxe, et par tant de contradictions dans son discours »
c’est simple : enfants et ados : le personnage de jean le baptiste se résumait à : celui qui reconnait jésus en tant que messie, du premier coup d’œil, il fallait ça dans le cadre de l’existence d’un messie, au moins il fallait que le personnage spirituel du moment le voit du premier coup comme le messie attendu ! (à l’époque cela ne nous dérangeait pas de savoir aussi que jésus et j b étaient de la même famille !, cela pourtant ruinait tout) / c’est tout ! ce jlb n’avait pas de message, pas d’enseignement particulier, il n’avait pas écrit lui non plus !!!!, et enfants et ados cela ne nous gênait pas ce peu d’existence !!!!, je découvrirais bien + tard, dans «corpus christi » : jésus, d’après les chercheurs, reprenaient des paroles de jean le b / mais je suppose celles-ci tout autant inventées etc. par les mêmes scribes, tout cela vertigineux)
et pourtant donc le baptiste homologue jésus en tant que messie !!!!!, et donc l’homologue en tant que dernier prophète, et cela… se passe très simplement !!!!, ça se passe comme ça dans les écrits dits chrétiens !!!!
ainsi, pour nous, les petits chrétiens, enfants : c’est là que le transfert se faisait : �� j le b était le personnage qui légitimement emmenait tout (l’Ancien testament) au profit de jésus le chrétien, jésus le valait bien, il était le dernier prophète, eh oui, cela nous paraissait tellement crédible !!!!!, normal, juste…, on ne se doutait pas un instant que tout cela était hyper conceptualisé, inventé de toute pièce : un personnage est inventé (ou détourné) & on lui fait dire : « voilà, on n’attend plus, on a le messie, c’est jésus, c’est toi, jésus & moi jean le baptiste qui suis le personnage le + haut spirituellement du moment (mais pas trop haut, pas trop important, il ne faut pas écraser jésus) : je te dis : tous les prophètes, tout le monde prédisait ta venue »
on croyait cela, c’était vachement bien amené !, il suffisait de se mettre dans les rails de cette histoire (surtout : c’était cru depuis 2000 ans donc cela faisait sérieux ces 2000 ans)
en effet tout commençait par le verbe
le verbe des mensonges qu’on nous servait, & qu’à notre tour nous confirmerions par notre inconnaissance, et qu’à notre tour nous transmettrions (du moins c’est ce qui était prévu, heureusement cela ne serait pas le cas pour moi, si j’avais été père de famille, j’aurais pris soin d’éloigner ma progéniture de tout cela), pour montrer : nous ne nous étions pas trompés, bien sûr nous avions des doutes mais cela n’allait pas jusqu’à penser : « et si nous avions eu l’imbécilité de nous être fait berner par une mythologie… ?»
enfin : la clé de l’énigme jésus, cela tient en 2 lignes
à tel moment des fous juifs dissidents ont décidé : jésus est le nouveau prophète (de tout le judaïsme, ainsi parlent toujours les dissidents, qui eux ne se jugent pas dissidents)
puis ces fous, ivres de leurs premiers succès (et fâché de voir : les instances judaïques les chassent des synagogues cette fois) ne s’en tiennent pas là et décident : « jésus est le messie »
puis ils ont dit : « jésus est en fait dieu »
si ils s’étaient contentés de dire : jésus est notre nouveau prophète…, cela n’aurait-il pas suffit ????
le courant baptiste
puissant, c’était la nouveauté , le (bon) sens de l’histoire religieuse juive
& il fallut concrétiser cela, & à l’époque cela se passait encore par la création d’un prophète : et on fit j le b, et le courant baptiste avait donc son prophète, mais certains virent ce prophète comme non assez opératique : la mort par crucifixion du rabbin jésus allait devenir l’événement numéro1 du moment : cela symbolisa la volonté des Romains d’annihiler tout le judaïsme
forcément : des scribes + ou – baptistes, mais non complétement attachés aux baptistes disent : « oui, bien sûr, l’idée est bonne de créer en ce moment une proposition de prophète mais… non, jean bapt ça colle pas, non
-alors, qui ?
-jésus
-alors on fait quoi de jean baptiste, c’était un beau personnage !
-on en fera celui qui homologue jésus, il faut bien quelqu’un qui homologue, puisque un prophète baptiste dissident ne sera jamais homologué par les juifs orthodoxes »
ainsi fit-on jésus prophète numéro1, j l b homologuant jésus, tout cela se fait entre soi…, dans le cadre d’un courant baptiste qui a pris la tête de la contestation, de la dissidence (les résistants zélotes, eux se font, un à un zigouillés par les romains)
en regardant attentivement le doc « corpus christi » puis les docs suivants de prieur et mordillat tu comprends :
1 : les chercheurs interrogés sont pour la plupart ? + ou moins cathos, & donc, tout en leur questionnement pointu des textes, restent ou non sur la position : ces textes témoignent d’une historicité
alors de temps à autres, ils continuent, en tant que dits chrétiens, à prendre pour forcément VRAIs, à peu près HISTORIQUEs (car pas trop non plus, car ils ne seraient plus crédibles), certains passages des textes etc., certaines situations mettant en scène jésus et autres apôtres
en catimini ils continuent à essayer de nous faire croire : « c’est écrit !, là, alors c’est vrai, certes c’est à comprendre mieux je vous l’accorde…, mais c’est écrit, alors s’il vous plait, ne sortons pas trop de cet écrit » essaient-ils de faire passer
mais tu dois vite comprendre toi : donc extrême difficulté de voir quand le chercheur continue en fait ce qui a été dit pendant 2000 ans, continue à propager, de fait, l’invention : jésus, en faisant seulement semblant d’essayer de comprendre mais ce genre de faux chercheur (en fait des nouveaux scribes de l’illusion collective jésus) cela ne lui semble pas trop important d’aboutir ou de penser : tout cela demande un moratoire : cela demande de ne plus croire avant d’être un peu + sûr de toute cette histoire
toi, qui n’est pas lié profondément au dit christianisme si tu veux comprendre, alors tu vois…, toi : plus simplement : tout cela ne tient pas (ce qui tient c’est ce qui reste bien posé sur le socle chrétien si tu es chrétien)
une telle religion dite chrétienne :
c’est avant tout un piège à cons, heureusement pas complétement ayant réussi à cacher le piège à cons, évidemment, voilà 500 ans, celui qui disait : « ah mais attention, il y a telle situation, telle parole qui montre : ce serait un piège à cons » : le type, aussitôt il était déclaré diabolique, et c’était comme les inquisiteurs le voulaient, ils avaient le type entre les mains, ils le broyaient, et cela calmait pour un bout de temps ceux qui doutaient et expliquaient pourquoi leurs doutes,
mais n’oublie pas : à chaque parole même de ces chercheurs qui tentent, déjà de mieux comprendre : tu es encore susceptible de te mettre (d’être mis) dans le piège !! et pourtant donc on est à la phase 2, à la phase du doute caractérisé quant à cette religion, / évidemment : tout cela est subtil : pour comprendre où veulent nous mener les chercheurs dits chrétiens : tu dois voir et revoir le doc
(((((((((((((((((((((((((((il te faut pour t’aider à comprendre : actuellement , par exemple, en prenant RADIO France disons depuis 30 ans : ils distillent le politiquement correct mais à haute dose, à dose massive, mais pour le voir, le constater : il faut prendre chaque mot, chaque intonation, des journalistes, de leurs invités sélectionnés etc., car tant c’est devenu NORMAL que c’est difficile à constater !!!!!
moi quand je m’amusais à décrypter cela, pendant une dizaine d’années, quand j’avais déjà une très grande liberté d’écrire au Nouvel obs, j’avais constaté : tu ne peux pas proférer simplement : « ces gens de radio France sont des propagandistes » / tout autant qu’ils propagandisent tout autant ils apprennent à le cacher, ils sont malins, ils ont des arguments pour se bien protéger d’une telle critique / je me souviens : il me fallait, exemple par exemple détailler, écrire : dans telle émission : il y a eu la promotion de tel film, l’invitation de telle personnalité dans l’actualité culturelle mais en fait militante de gauche (le + bon exemple : c’était l’invitation d’un rédacteur en chef italien, toujours juste présenté comme « rédacteur en chef Italien », de tel grand journal, ah très bien, à part que jamais n’était dit : « attention, il s’agit d’un magazine italien militant de gauche » !), et l’animateur a dit ceci, d’entrée de jeu, etc. etc., & là, semaine après semaine tu pouvais bien démontrer : la propagande éhontée qui était distillée / (bien sûr, moi-même il me fallait dénoncer cela en ne pas montrant que j’étais anti-propagande de gauche, cela demandait des ruses de sioux)
encore (un 15 janvier) : sur france culture, l’animateur de la tranche du matin, recevant une ultra gauchiste (aude lancelin complétement f f de gauche) : pour elle, avait-elle le culot de dire !, les journalistes de radio france ne sont pas assez de gauche, là on atteint des sommets !) , dans une situation extrêmement paradoxale d’ailleurs : et cet animateur, quelqu’un qui a l’air bien, qui a l’air d’un journaliste éthique : il disait : « non, à france culture, on n’est pas de gauche !, on est neutre » / ce qui est encore une fois la + incroyable parole qui peut être prononcée !!! / mais je te dis cela juste donc pour te dire : lorsque le piège à cons est installé, le logiciel si tu veux, il faut être très fort pour ne pas le subir, pour s’échapper…, autrement dit : moi, ce qui est écrit un peu + haut sur radio france, cette analyse, & comment je pouvais agir contre cela, j’ai commencé à pouvoir l’énoncer clairement : au bout de 5 ans de journalisme et alors que j’étais à la tête d’une rubrique, donc d’un espace de liberté & touchant tous les sujets dont le politique / cependant : si j’avais été invité dans une émission de télé ou de radio : sauf à avoir la possibilité de dire tout ce chapitre : cette fois en quelques phrases : je ne pourrais pas m’expliquer et on pourrait me dire : « non ce ne sont pas des propagandistes… », on sortirait le logiciel, car donc on est dans le : subtil en ces matières))))))))))))))))))))
l’invention de jean le baptiste
curieux, les scribes n’ont pas réussi à harmoniser cette invention : on ne sait pas trop, quelqu’un qui est né à peu près à la même époque que jésus, ou bien en fait : beaucoup + vieux, genre : ayant juste le temps de baptiser jésus, et puis il est mort
quand même curieux !, cette imprécision, alors que l’on nous dit : « les écrits là-dessus datent, genre, 30 ans après la mort du nommé jésus »
une autre curiosité, moins grave : jésus avait donc pour maitre : jean baptiste, & jean baptiste baptise jésus
or jésus est le messie, est dieu !!!!!! : logiquement, j b aurait dû demander à jésus : « je ne suis pas digne de te baptiser, c’est toi qui doit me baptiser !!!!! », ou bien, jésus, dans sa suprême, acceptée supériorité aurait dû demander : « c’est moi qui doit te baptiser jean baptiste car je suis le messie, et tu le sais très bien, tu viens de me le confirmer ! », ah, ah, ah….
les chercheurs, quant au personnage de jlb, ils semblent en être sûrs : invention complète, & sur le modèle de tels autres personnages de la Bible hébraïque
et comme on l’a dit + haut : curieuse non-dissociation possible des 2 prophètes, comme si il avait été difficile de trouver la bonne formule, & puis : oui, on va faire de l’un celui qui va reconnaitre le messie (car jlb aurait été quand même impossible à effacer ?) / j b devient le numéro2, & il a fallu vite écrire en fonction de cela, lui faire une bio adéquate ?, bon, bref, les scribes se sont débrouillés de cela
mais cela n’était pas au point !!!! (même un chercheur juif dans le doc « corpus cristi », semble complétement à côté de ses pompes à ce sujet), qu’importe, l’essentiel, c’était : « voilà : jésus a son homologueur », il en fallait absolument un : car cela ne pouvait pas être les instances juives officielles, autorisées à homologuer (celles-ci ne voulaient pas de jésus)
donc c’était parfait : jean baptiste était à la fois complétement dans le judaïsme (allure de prophète israélite et un peu à l’écart puisque baptiste, loin de jérusalem, mais c’était encore mieux, c’était type : moise, désert, confins, possibilité là d’être en communication avec dieu pouvaient faire croire les scribes / on ne comprenait pas cela quand on était ados, cette manigance habile
jean le baptiste
un simple illuminé mais passif, qui se contente de baptiser, comme bien d’autres sans doute, encore un type qui n’a pas écrit, ou bien dont on a effacé les écrits, alors on ne sait rien.., juste : il prêchait la justice sociale, dit un chercheur de « corpus cristi » / comment on se retrouve !, comme ça ! le numéro 2 divin…., le numéro 2 après jésus dieu !, vertigineux !
délires
assez vite, ados, on était au courant des incroyables querelles s’agissant du corps du christ dans l’hostie et., on savait : cela avait suscité des centaines de milliers de pages,
alors, c’était l’hypothèse basse : on était amené (au plein de l’illusion collective dans laquelle on était plongés) à croire : bon, d’un certain côté, voilà qui est presque normal, puisque l’on est là sur la base de quelque chose qui est divin, d’infiniment questionnable à raison, car difficilement adaptable au monde humain
mais il y avait l’hypothèse haute, à laquelle donc, on se serait bien gardé de penser, même confusément : l’idée : toutes ces querelles byzantines, donc, de la confusion intellectuelle, de la folie même, & qui s’expliquait par le fait que tous ces théologiens théologisaient sur le RIEN, sur une complète invention, et cela pouvait donc se faire à l’infini, sans jamais aboutir à quoi que ce soit de censé
pour les juifs
jésus, bien sûr, donc le coucou, un oiseau à priori non différent de ses frères et sœurs mais qui vient dans le nid et bouffe tout, et s’avère être en grandissant un autre oiseau et qui pourtant tient à garder encore les atours qui l’ont fait croire…
l’idée aussi, une invention peut en cacher un autre,
les juifs inventent une religion, & d’autres se disent, cette religion, c’est une invention, on va en faire donc NOTRE invention
que peuvent dire les 1ers inventeurs… ?, ils ne peuvent pas protester, eux aussi, déjà, ont inventé, et ont fait croire eux aussi qu’il s’agissait de la vérité
relecture
un chercheur nous fait remarquer : dans les évangiles, tout l’aspect politique, les romains, les envahisseurs d’alors, collaboration ou pas, etc. tout cela gommé / plus rien de cet ordre / jésus et les romains : une histoire bien faible
bien sûr, comme on le sait, pour ne pas fâcher les romains, qui sont en cours d’assimilation du christianisme (et dit christianisme qui va bientôt les étouffer, assez diaboliquement…)
mais, on en arrive à penser : des textes sacrés !, & ainsi donc si aménagés pour des raisons politiques, alors donc : si peu sacrés, si peu intouchables, s’homogénéisant donc parfaitement au premier contexte politique trouvé
le procès
dans les 3 évangiles dits synoptiques : le procès, peu développé, les scribes à ce moment difficile en disent le moins possible, par prudence, pour ne pas tout gâcher
les scribes qui écrivent l’évangile de jean s’aperçoivent : cela ne colle pas les textes d’avant, il faut quand même un peu développer là, & il y a une insertion d’un petit dialogue (jésus / pilate), pas grand-chose, mais cela peut paraitre crédible, je suppose alors c’est l’invention de ce passage : « la vérité, qu’est-ce que la vérité », ce truc si stupide, et… cela va tout gâcher, il valait mieux laisser le rien
pilate
montré par les scribes bien + que neutre (contrairement à ce qu’on croyait quand on était enfants et ados)
en fait : pilate montré comme homologuant, ne contestant pas, même si donc il ne se sent pas concerné (et en trouvant ce jésus plutôt sans reproche, alors il s’agit bien d’un complot, ces gens qui veulent sa mort sont les méchants, ainsi les scribes incriminent les juifs orthodoxes)
pilate (autant que possible, pas trop, sinon cela deviendrait suspect, irréaliste, non historique) confirme l’épaisseur du personnage : « c’est votre jésus votre leader spirituel du moment ! », semble-t-il dire, en tout cas les évangiles nous amènent ainsi à cela, malin…
bien joué ! les scribes !
fernand Compte écrit
« existent des prophètes occasionnels, dérangeant un moment les habitudes puis retournant, qui dans son champs, qui dans son atelier »
ainsi, après leur mort, longtemps après possiblement, on peut revenir sur un tel personnage, & l’exalter, car d’une certaine manière il avait vu juste, ou bien on a besoin, cette fois crucialement, en urgence, d’une telle figure de par les nouvelles circonstances, etc.
ou bien : enfin : le Temps fait que ce personnage charismatique, local, a fini par être connu par toute la communauté
325 après J C
par exemple, à tel moment : la divinité du christ décrétée
(alors il leur a fallu compléter, préciser tous les textes déjà écrits,? la réécriture ils savent faire les dits chrétiens !)
1546 après jc
on décrète : « l’écriture sainte » est inspirée de dieu !
la curieuse crucifixion
pourquoi toutes ses imprécisions, le moment le + important soi-disant de l’humanité, et on ne sait pas vraiment qui sont ceux qui sont suppliciés avec lui…
en regardant l’épisode « Barrabas » du doc vidéo « corpus christi » de prieur et modillat
tu te surprends à voir les chercheurs expliquer ce qui se passe, au 1er degré !, ils ont l’air de croire encore à cette histoire de jésus et des 2 brigands qui partagent sa crucifixion avec lui
et c’est ce que je dis dans les prologues, difficile de s’y retrouver, tant, on est obligés (j’aime mettre des s après on) de rester dans le logiciel chrétien imposé depuis si longtemps, on n’en sort pas facilement
si je me souviens bien, quand on étaient enfants, ados, les prêtres and co faisaient croire aussi à : la crucifixion pour jésus, et pour les 2 brigands, eux « juste » liés à leur croix, pour marquer la différence avec le messie, le messie devait connaitre une vraie matyrisation, eux ils ne méritaient pas le supplice complet (on était là dans le masochisme chrétien)
incroyable cécité
en regardant donc ces chercheurs parler du procès : (et d’ailleurs les chercheurs n’évoquent pas une seule seconde ce que j’écris ici, mêmes eux, pourtant dans une optique de recherche de vérité)
je me rappelle, durant pas une seconde dans mon enfance cela était évoqué : pilate juge donc un jésus qui est en principe quand même quelqu’un qui a fait des miracles !!!!, non ?, c’est un type qui, se faisant, qui, en ressuscitant lazare, ah ah ah , est devenu le type le + important du moment, et de l’histoire du monde !!!
et voici, pilate qui prend le risque !!!! de se confronter à un tel homme-dieu, à un tel mage au moins !!!!, même si seulement magicien, moi je ne me montrerais pas à lui!
& on ne nous dit pas : la foule présente, n’était pas étonnée de voir : voilà ce messie, complétement soumis !!!, qui a perdu tous ses pouvoirs, alors qu’est ce qui s’est passé !!!!!!, les scribes auraient pu imaginer telle petite conversation de quidams, évoquant cela et l’un expliquant pourquoi cette perte de pouvoirs !!!!
nous, enfants, cela ne nous étonnait pas non plus !!!!!!, pendant 2000 ans, on ne se posait pas ce genre de questions, pourquoi une telle situation paradoxale & pourquoi personne ne l’a jamais relevée!!!!!!
bien sûr, il fallait donc que jésus, pour devenir jésus en passe par là !!!, mais quand même peu de détails réalistes sur cette situation / un peu donc comme si le personnage conceptuel jésus, passait de prophète aux milles merveilles (donc connues, attestées par les saints évangiles !, écrits considérés presque comme relatant des faits historiques !!!) à ce personnage qui n’avait pas d’histoire pour pilate
ainsi tout ce qu’avait fait jésus, tant de miracles, n’était pas arrivé aux oreilles des romains, c’est désespérant !!! pour un messie !
pilate : le questionne…., à peine, en principe il aurait dû demander !!! : « mais eh bien alors, tes miracles, c’était quoi ???, on dit : tu as marché sur l’eau, j’aimerais savoir !!!!, tu aurais guéri tel aveugle ?, comment ?, ces prodiges »
ou bien alors : « tu es un sacré magicien, dis-moi quelques-uns de tes trucs !, et je te redonne ta liberté, moi aussi j’aimerais faire un ou deux prodiges »
enfants, ados, tout cela nous paraissait crédible, l’entrevue de pilate et de jésus, le fait : pilate ne semblait pas du tout ou bien peu au courant de la bio de jésus !!!!
oui…., enfants, ados, on était pris dans le logiciel chrétien (pourtant infiniment bas de gamme !!!), & de même les chercheurs de « corpus christi », semblent encore prisonniers du logiciel, là c’est + grave…
phase 1 : le bâton magique de moise
phase 2 : on explique le prodige de ce bâton miraculeux aux foules, dans le sens de la continuation, ainsi, ce bâton aurait été déjà une branche d’un arbre du jardin d’éden, et pourquoi pas l’arbre qui a servi à adam et eve carrément
phase 3 : & puis au 13ème siècle c’est un ésotériste qui fantasme sur ce bâton, résultat : c’est en quelque sorte la continuation, quelque chose, qui même en quelque sorte, rend crédible l’invention 1,
& au passage on peut même retrancher l’invention2, pas grave,
ainsi reste crue l’invention1, crue comme le truc vrai, car moins faux que le reste, que l’invention 2…. quand même dure à avaler
ainsi le logiciel qui se met en place, & te voici enclin à croire au moins l’invention 1 & un jour, tu ne peux plus penser : tu es pris en charge par le logiciel
on a failli avoir un nouveau prophète, oui récemment !!!!!!
(en résumant et tu verras tout cela en détail toi-même, moi je l’ai écrit + en détail dans « le procès de jésus 2019)) un prêtre noir dans le Tennessee, bien allumé, annonce la venue prochaine d’un messie noir
marcus garvey le jamaïcain, notamment, décide que ce messie annoncé (ou bien lui aussi, annonce un messie, tout cela n’est pas claire) est celui qui vient d’être dit « le roi des rois », celui qui vient de se faire couronner en Ethiopie, celui qui va inciter les noirs américains exilés, jamaïcains etc. à revenir en afrique : le nommé rasta fari devient hailé sélassié
il est le nouveau jésus !!!!
le mouvement rasta fari nait et se développe en jamaique
& Hailé Sélassié va passer justement en jamaique, ça se passera mal (il refuse d’être dit : le messie noir, immense déception chez les rastas !), mais le mouvement n’en continue pas moins !!!
l’empereur veut rester juste chrétien…, & resteront quelques reggaes pour attester de cet espoir déçu, de cette illusion collective avortée
pour jésus, le premier jésus, ça allait marcher…, le processus d’illusion collective allait aller à son terme, mais dans quelles circonstances !!!! : le vol de la religion juive
résumé pour s’y retrouver (indispensable)
jésus, tel personnage charismatique, un peu guérisseur, un peu prophète, ayant existé, devient dès après sa mort spectaculaire : le sujet de rumeurs !, il serait ressuscité !!!!, c’est ce que ses proches font croire, peut-être sont-ils sincères, frappés par le chagrin, la mort de jésus ne « passe pas », et possible, jésus était en effet un personnage si charismatique qu’il atteignait au surnaturel, et même après sa mort, ce grand prêcheur persistait assez surnaturellement, comme dit un chercheur : avec elvis presley, il a fallu absolument pensé, il n’était pas mort, il avait décidé de se faire invisible…, loin des foules oppressantes
et combien d’êtres humains, artistes etc. ont nourri le fantasme de mourir en grand secret, comme si la mort n’avait pas été effective, et donc quelques fois ce sont ses adeptes qui organisent cela, par exemple : le chanteur gérard manset pourrait demander à ses proches : on n’informera personne de ma mort…(c’est l’orgueil suprême : on ne sait pas ma mort = je ne meurs pas)
à minima un truc se passe, quelque chose de surnaturel, qui est fantasmé / ou bien tout simplement : ce jésus disait qu’il n’allait pas mourir, influencé par cette idée dans l’air du Temps : les rebelles aux romains ne connaitront pas la mort / aussi ses adeptes, ceux de sa communauté auraient : !!!!!!! accédé à ses souhaits et auraient dit aussitôt sa mort : « non jésus n’est pas mort / et cela s’est passé comme il l’avait prévu !!!! »
ou, le fait que jésus ait été mis dans la fosse commune : quand jésus a été prêché par ses adeptes, publicisé après sa mort donc, et quand l’enseignement de jésus, la proposition jésus prophète a été mise sur papyrus : on se dit : « où est le corps de ce grand jésus ! », eh bien ce corps il est dans une fosse commune, au mieux, ou bien il a été déchiré par les chiens sur le golgotha, alors…. alors… ce corps qui n’existe plus…, alors…. alors.. : « eh si on disait !!!!! si on disait : jésus est ressuscité, et après tout, il était un rebelle aux romains, il a été crucifié par eux, il a été le premier des rebelles, alors… alors… il est un de ceux dont nos instances judaïques officielles, dit qu’il ne connaitra pas la mort, elles ne pourront contester cela »
en tout cas
jésus était déjà un personnage charismatique mais après sa mort, il a été fantasmé, customisé / cela arrive tout le temps !!!! ce genre de choses autour d’un personnage charismatique, il est toujours rehaussé après sa mort
lui-même se rehausse après sa mort.., il passe dans l’inconscient collectif, et reste dans le conscient collectif, il s’y améliore, son être esprit débarrassé de son corps prend sa dimension complète esprit, tel est le sort des grands personnages, il est facile de le constater : Johnny Hallyday est devenu, quittant son être corporel : un personnage immense, il a changé de dimension, c’est cela qui pourrait être appelé une résurrection…
et puis, il y a le travail de ses proches, tous des prêcheurs eux aussi, tous des fous de dieu baptistes, il faut compenser sa disparition, et faire exister quelqu’un après sa mort demande que le personnage soit amplifié, soit rehaussé encore, le + possible / la résurrection était dans l’air du temps, c’était le concept « nouveau », en ce sens : c’était un fabuleux concept mais il n’avait pas été assez exploité auparavant, et là, alors que le ciel tombait sur la tête des juifs (les envahisseurs romains) : cela apparaissait comme une fabuleuse arme théologique, presque nouvelle en +, donc pouvant attirer de nombreux jeunes gens !
jésus, martyrisé par les romains (et forcément avec l’assentiment des forces collaboratives juives), alors, dans l’esprit baptiste : jésus est l’alpha et oméga
il incarne tout à coup l’espoir !!!!!!, et on se rend compte, que ce qu’il disait, n’était pas sot !!!
alors : un culte se fait !!!!, inattendu !!!!! , sans doute quelques jeunes gens de la communauté spir dont était jésus vivant, et ces jeunes gens sont de très bons prêcheurs, et de fil en aiguille, comme cela, puisque le personnage de jésus « prend », un véritable jésusisme se développe / cela se fait toujours comme cela : il y a un grand vide, une demande, pas de concurrents sérieux, et il y a toujours des gens pour faire une proposition nouvelle, et c’est celle-là qui va enthousiasmer !!!! : jésus prophète ! (auparavant personne n’aurait osé proposer cela, accoler le mot prophète à jésus, cela aurait été vu comme ridicule, et digne de recevoir des pierres)
et puis un jour, alors que les Temps sont devenus de + en sombres : on dit : « jésus c’est notre nouveau prophète » !!!!! un nouveau prophète est attendu, il faut bien qu’il arrive un jour !!!!!!!! ce jésus a marqué, unepré- illusion collective semble se former à partir de lui, notent ceux qui sont à l’affût de cela : le peuple semble bien prêt à croire à ce jésus ressuscitant (surtout qui n’aurait pas dû mourir si jeune, et si injustement ?, quelle émotion ce fut, quels regrets, tout a pu simplement commencer comme cela, tout l’enseignement de jésus a pu être ensuite inventé, collant à l’air du Temps, mais cette invention ne plaira pas à tout le monde…, les instances judaïque veillent)!
ainsi, bientôt, alors donc que l’illusion collective progresse, et peut être lorsque les instances dirigeantes juives REFUSENT la proposition (jésus nouveau prophète juif)… / alors c’est la catastrophe / eh bien les jésusistes s’en fichent : et ils mettent le curseur encore + haut !!!!!!!!!! « ah vous nous refusez jésus en prophète !!!!! eh bien, oui vous avez raison !!!!! il n’est pas un prophète mais LE MESSIE !!!!!! et le messie n’a pas besoin de votre autorisation pour être le messie »
ainsi est contournée l’interdiction à tous les juifs de considérer jésus comme le nouveau prophète juif
messie ? mais si ! messie ! (car il suffit que tout le monde l’admette et c’est cela qui fait un messie, cela n’est pas + compliqué que cela) : « celui qui a donc non seulement ressuscité d’entre les morts (car en effet on a réussi à imposer cette idée folle mais… dans l’air du Temps) et qui va revenir, & mes chers frères, mes chers sœurs : croyez !, car sa deuxième arrivée est imminente, voilà pourquoi vous n’avez pu voir que si fugitivement ce messie, il allait revenir si vite, alors…, pourquoi se serait-il attardé lors de sa première venue » !)
notre messie jésus l’ a dit : « vous allez voir la fin du monde juste demain ou après-demain, oui : vous !, c’est ça la seconde venue du messie, alors vite rejoignez ceux qui vont survivre à cette fin, car seuls ceux qui suivent jésus survivront » !!!!!!!!, alors donc : sous un tel argument : grande peur, grande ferveur, et voici une croyance qui connait une avancée fantastique
il faut dire : toute le monde vivait dans les ténèbres de l’envahissement romain, c’était pas rien, & en effet bientôt il y aura un génocide fait par les romains, il ne faudrait pas trop l’oublier…, le juif sous Tibère, il est sous le régime nazi
mais…. non
pas de retour du messie, mais bon, ce n’est pas grave : on dit : « oh on s’est juste trompés un peu, il ne revient pas sur l’instant mais + tard, soyez patients ! », et ça marche toujours !!!!, en effet, la nouvelle religion est si lancée, l’illusion collective semble s’imposer si facilement sur sa lancée !..., ce jésus est si bien fabriqué par des scribes jésusistes et des jeunes prêcheurs que : tout passe (on oublie le fait que la fin du monde n’est pas venu comme prévu) !!!!
ainsi : lorsque le roi des rois arrive en jamaique en tant que messie noir et qu’il dit : « non, mes amis, je ne suis pas celui-là »…, eh bien…. le mouvement rasta fari ne se saborde pas, il continue de + belle… / quand les gens veulent à tout prix croire à n’importe quoi, que peux-tu faire…
la fin du monde n’arrive pas ? mais pourquoi quitter cette croyance en jésus si tu es un adepte ?, & pourquoi casser la belle machine à convertir si tu es un prêtre ?, l’important est le positif que cette nouvelle religion inventée apporte à chacun & à la collectivité, c’est beau une religion qui commence
& puis, on ne va pas en finir de nourrir l’illusion collective, puisque tout cela est attendu par les uns et les autres, et on réinvente continuellement la vie de ce jésus, on n’en finira pas de rajouter des chapitres fantastiques à la saga, toujours dans la belle avancée de l’illusion collective / si implantée un jour, que plus personne ne pourra plus la contrer, l’histoire aura été suffisamment raffinée pour qu’elle passe à la phase : parole d’évangile, vérité, on ne touche plus à la verité
l’invention de jésus
renseignes-toi : et tu vas apprendre pourquoi, il y a cette histoire de la fuite en égypte
c’était en fait pour que cela soit raccord avec la prophétie biblique d’un messie qui devait passer par l’égypte, tu le liras dans « le livre des égyptes » (robert laffont)
oui, & ça a marché même pour nous enfants, ados, à la fin du siècle dernier, ce messie passant par l’Egypte cela avait de la classe !, cela, oui, était digne d’un fils de dieu !, d’un messie
(de quelqu’un qui allait nous faire perdre (des milliers d’heures de notre vie) en simagrées)
ah oui !, ce jésus, on ne perdait pas son temps à l’adorer ah ah ah, c’était vraiment le type à qui il fallait s’accrocher, quelqu’un de passé par l’énigmatique egypte, jésus homologué par l’egypte !
curieux
s’agissant de jean le baptiste, les prêtres nous évoquaient le très beau passage du baptême par lui de jésus, & de la désignation de jésus : « c’est toi le messie », & l’autre qui sans rien dire acquiesçait, genre : « oui c’est bien moi, tu l’as dit bouffi ! » !
& puis, plus rien, on se gardait bien de nous renseigner un peu + sur la destinée de jean baptiste, sa disparition du paysage, certes s’il était très vieux..., son assassinat pas Hérode, cela c’était déjà un peu embêtant, l’homologateur de jésus qui se faisait bêtement capturer et mettre à mort, cela était un peu gênant pour un tel personnage, décidément, celui-là n’avait pas de pouvoirs surnaturels !, en un sens, et dans un sens, cela amenait à penser : jésus est bien le messie, car lui, il fait des miracles, il en a assez fait pour qu’il ait rang de messie évident
on voyait jean le bapt comme une sorte de patriarche, bien + vieux que jésus… , or on était au courant de certains toiles qui montraient jésus et jean le b bébés, tout cela était bien confus…, mais ne pas oublier : tout cette croyance on nous l’imposait, et elle ne nous intéressait pas…, ou un peu, quand on était ados, oui, là, quand même on se essayait de se renseigner, en fait on était un peu poussé par notre esprit critique, cet esprit critique réussissait à percer un peu, mais encore une fois : tout ce qu’on nous avait inculqué était considéré par nous comme : pas vraiment nous composant, on ne l’avait pas vraiment fait nôtre, on avait à peine fait semblant de le faire nôtre, c’était une sorte d’initiation, c’était comme les parents à supporter quand ils étaient cons, c’était un moment à passer, après on verrait et là c’était claire : dès que possible, il serait question de ne plus aller à la messe… et d’oublier tout cela (moi, dans mon cas, cela allait être une transition un peu + longue : organiste liturgique, mon père me demandait d’aller rendre service de temps en temps en allant accompagner une messe, et j’étais bien obligé d’accepter, car je suis resté un peu trop longtemps chez mes parents, car mon activité artistique pop me coutait de l’argent au lieu de m’en rapporter !)
on se disait : j b est sans doute bien + vieux & va donc mourir tandis que jésus poursuit ses aventures, et qu’importe que l’on sache rien de lui, et qu’il ne délivre pas le moindre enseignement : il est tellement important en disant : « oui, soyez sûrs, c’est bien lui, le messie, et quand même je suis jean baptiste !!! alors vous pouvez me croire » !!!!, tout cela était bien mesuré, calibré
on ne nous racontait pas la mort spéciale (mythologique) de j le b., car cela aurait été aller sur un territoire mythologique qui n’avait plus lieu d’être en cette fin de millénaire dans laquelle nous vivions, et du coup, cela aurait nous entrainer à faire glisser le personnage de jésus sur le même terrain glissant…
or… jean baptiste nous plaisait, nous percutait, car en fait il était une esquisse, quelqu’un de généraliste, donc avec cette forme, il n’était pas un personnage mensonger, le mensonge était light, ce type était un purificateur, c’était bienvenu, il était un personnage cool, loin des envahisseurs, il se mettait hors du temps, on prenait en plein cœur la sagesse de ce jean le baptiste
le fait qu’il était parent avec jésus, cela ne vous venait pas à l’esprit de dire : mais qu’est que c’est que cette histoire de fous, l’homologateur de jésus est de sa famille !!!!, mais après tout pourquoi, ton cousin vient te dire : « eh… c’est toi qui est le prophète nouveau » (ou « c’est toi carrément le messie »), oui, cela nous paraissait pas trop fous, parce que tout cela avait donné 2000 ans de dit christianisme, avait donné l’église dans laquelle cette histoire nous était racontée…
alors on se disait donc : « jésus était donc, lui, devenu (alors que son cousin jean le baptiste était parti dans le désert) un prêcheur un peu plus solitaire (quoiqu’avec un petit groupe d’adeptes) et + ou – ne sachant pas avant cet épisode qui il était vraiment, et son cousin baptiste, fondateur du baptisme… (il avait bien réussi lui !, quoique se mettant en dissidence, c’était assez risqué son job, à la fois suspecté par les romains de sédition, et hérétique juifs, cela faisait beaucoup, mais tout cela loin de jerusalem), lui apprenait : « tu es bien + que ce que tu crois être… »
alors à partir de là : tout changeait, tout pouvait changer, ce baptême permettait de faire la transition fluide, acceptable entre le jésus d’avant, en recherche (et dont les scribes n’arrivèrent pas à imaginer ce qu’il avait bien pu faire si longtemps, avant la trentaine, disons), et puis le jésus confirmé messie, qui allait faire des miracles ah ah ah…
jésus commençait seulement sa prédication, il fallait cet épisode qui expliquait le jésus d’auparavant : sans histoire…, sans enfance, sans adolescence : tout commençait avec jlb alors, nous n’avions pas à trop demander à savoir sur qui était jésus auparavant et cette curieuse bio !!!!, tout pleine de trous (décidément les messies étaient des gens très spéciaux !!!, et donc c’était en fait raccord, normal, qui n’avaient pas trop à être documentés !!!, au contraire : il fallait comme jésus qu’ils apparaissent tout d’un coup : et il fallait trouver comment, et cela serait trouvé avec jean le baptiste, il fallait que tout à coup : jésus soit manifesté : qu’on explique ainsi pourquoi : jésus n’avait pas été considéré auparavant comme un grand personnage avec des rapports de grand personnage avec ses proches etc., / là : boum : tout peut commencer à 30 ans…, les miracles, tout ça peut être montré comme fulgurant (donc peu visible, donc c’est normal.., ah ah ah, non historique) / essayons de comprendre : les scribes ont dû imaginer : ok on fait un messie de jésus, mais facile à dire, mais à faire… : comment un messie ça pourrait exister parmi les gens, etc , combien de temps on peut le faire tenir dans le monde réel, comment on rend tout cela crédible ?
c’était aussi une sacrée pause, entre ce qui va devenir l’Ancien testament et le nouveau, deux livres qui nous faisaient entrer dans une complexité terrible, & pourtant : là encore : grâce à J LB : fluidité : c’était crédible, on voyait les choses ainsi (sans que l’on nous le précise) : l’Ancien testament avec jlb : lequel homologuait la nouveauté obligatoire : le Nouveau testament, avec Jésus et pour nous i y avait égalité : l’Ancien testament et le Nouveau, de même poids, le 1er était + gros, mais c’était beaucoup de la galéjade, et le Nouveau, là était l’affinement, la vérité, c’est à cela que nous étions amenés…
pierre
on nous présentait l’apôtre pierre, comme un roc, donc, celui choisi par jésus pour faire son église
il m’aura fallu quelques décennies, & les dires scientifiques des chercheurs de « les débuts du christianisme », le doc de prieur et mordillat, pour apprendre :
pierre ?, personnage complexe, un peu trop complexe pour être vrai
par ex. : pierre traité de démon par jésus !, /apôtre surtout considéré comme le grand héritier par (saint !) matthieu à tel moment de son évangile, mais GRAND CONTRESENS
contresens enseigné durant 2000 ans : en fait le même évangile, un peu + loin, dit : « tous les apôtres sont les héritiers »
tout cela pour dire : c’est le grand n’importe quoi, il s’agit de personnages conceptuels, & s’agissant de pierre, les scribes n’ont pas réussi à s’entendre
alors, il y avait ce pierre (vu par nous enfants, ados) cet apôtre, un des 12, qui semblait donc avoir une certaine consistance, un peu « historique », et non !, dès que les scribes s’avancent un peu, densifient un personnage…. : cela devient forcément n’importe quoi
autre rapport à la religion à l’époque de jésus
dans ces Temps anciens si tu n’avais pas de religion tu étais peu de chose, alors tu t’attachais vraiment à une religion
on a du mal à comprendre cet état d’esprit mais dans de tels Temps de grandes angoisses : il fallait vraiment être sous une protection
on a tendance à prendre les premiers dits chrétiens pour semblables aux dits chrétiens d’aujourd’hui, mais ceux d’aujourd’hui ne croient en rien, continuent juste leur religion de naissance, et la transmettent, oui, c’est cela, ils sont passés juste à l’état de transmetteurs passifs, dans un monde où on attend peu de dieu, très peu (mais cela suffit à faire vivre la secte dite chrétienne)
fin volume 9 relu décembre 2019
0 notes