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L'Hypocrisie Internationale Face au Génocide Israélien : Des Paroles sans Actes
Malgré des condamnations publiques des actions israéliennes à Gaza, des pays comme l’Afrique du Sud, l’Irlande et l’Espagne maintiennent des relations économiques et diplomatiques avec Israël. John Reynolds, professeur à l’université de Maynooth, dénonce cette hypocrisie flagrante et appelle à des actions concrètes contre ce qu’il qualifie de régime génocidaire israélien. Il est temps, selon lui,…
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Benoit Hamon : Tu attends ce bruit ? Ce bruit, c'est celui de l'honneur.
Jean-Christophe Cambadélis : non, c'est le bruit d'un parti qui est prêt à perdre.
#Jean-Christophe Cambadélis#Benoit Hamon#incorrect quotes#incorrect french politicians quotes#whatthefrance#upthebaguette
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Jean-Christophe Cambadélis dit organiser une opération de « transparence » en dévoilant certains documents de son cursus universitaire. Mais involontairement, il confirme nos informations : il n'indique pas s'il a obtenu un DEUG ; il révèle qu'il a obtenu deux dispenses pour la licence et la maîtrise ; et il refuse de préciser quel a été son mémoire de DEA.
#Jean-Christophe Cambadélis#PS#Parti socialiste#vivelarépublique#politique#France#Mediapart#Laurent Mauduit
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/emmanuel-macron-un-favori-sans-programme/
Emmanuel Macron : un favori sans programme
Emmanuel Macron est devenu le grand favori des sondages de la présidentielle 2017. Mais quel est son programme ? Décryptage
Dans un sondage publié hier (jeudi 9 février) sur France Télévisions, Emmanuel Macron se qualifie pour le second tour de l’élection présidentielle, juste derrière Marine Le Pen (Sondage Harris Interactive/France Télévisions). Un revirement qui fait suite au Penelope Gate dans laquelle François Fillon est de plus en plus impliqué au fil des jours. Cependant, le sondage dévoile également le taux de votants qui seraient certains de voter pour le candidat qu’ils ont choisi. Seulement 49% des gens se sont dits déterminés à voter pour le candidat de En Marche ! contre 80% pour les électeurs de Marine Le Pen.
Cette différence provient peut-être du manque de clarté d’Emmanuel Macron concernant son programme. Le candidat enchaîne les meetings – il sera le 18 février à Toulon et le 21 février prochain à Londres – mais il n’a encore jamais présenté de propositions politiques concrètes. A gauche comme à droite, ses opposants n’hésitent d’ailleurs pas à le critiquer sur cette spécificité. Le 7 février dernier, le premier secrétaire du Parti Socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, déclarait au micro de BFM TV/RMC : « Emmanuel Macron ne veut pas se définir et ça commence à poser problème. »
Même les soutiens du candidat commencent à trouver le temps long. Ségolène Royal était interrogée au micro de France 3 cette semaine : « Pour l’instant Emmanuel Macron n’a toujours pas donné son programme. Je l’attends. » En l’absence de propositions de mesure concrètes, les hommes et femmes politiques préfèrent pour l’instant rester neutres concernant d’éventuels soutiens.
Sur le site de En Marche ! – le mouvement fondé par Emmanuel Macron – aucun programme n’est en vue. Pour le moment, le candidat a choisi de décliner les valeurs auxquelles il tient : Travail, Liberté, Fidélité et Ouverture.
#BFM-TV#emmanuel macron#en marche#france 3#François Fillon#jean-christophe cambadélis#marine le pen#RMC#ségolène royal
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Ali Rahni 18 h ·
INTERNATIONAL Algérie : Emmanuel Macron met le feu à la poudrière mémorielle 04 octobre 2021 | Par Rachida El Azzouzi En reprenant les antiennes éculées de ceux qui veulent euphémiser les violences coloniales infligées par la France aux Algériens, l'Élysée donne des gages à l’extrême droite et ouvre une crise diplomatique d’une ampleur inédite avec l’Algérie. «La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie. Et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face, en présentant nos excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avons commis ces gestes. » Le 15 février 2017, Emmanuel Macron, alors en campagne pour le fauteuil présidentiel, déclenchait une tempête en France en tenant des propos inédits dans la bouche d’un responsable politique français sur l’antenne d’une télévision algérienne. La droite, l’extrême droite mais aussi une partie de la gauche lui tombaient dessus tandis qu’en Algérie, on se réjouissait qu’enfin, après tant de décennies de déni, un candidat à la présidence de la République française ait le courage de regarder le passé en face. « Honte à Emmanuel Macron qui insulte la France à l’étranger ! », fulminait Gérald Darmanin, alors sarkozyste et maire de Tourcoing, devenu depuis macroniste et promu ministre de l’intérieur. « Ni droite ni gauche, un jour pour la colonisation positive, un jour crime contre l’humanité », tweetait l’ancien premier secrétaire du parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis. Allusion à un entretien d’Emmanuel Macron au Point quelques mois plus tôt, en novembre 2016, déclarant qu’il y a eu en Algérie « des éléments de civilisation et des éléments de barbarie ». Emmanuel Macron reçu par le président du Sénat algérien Abdelkader Bensalah à son arrivée à l'aéroport d’Alger, le 6 décembre 2017. © Photo Ryad Kramdi / AFP Près de cinq ans plus tard, le candidat LREM (La République en marche) de 2017 ne ressemble en rien au candidat LREM de 2022. Plus question de se mettre à dos la droite et l’extrême droite françaises qui saturent le débat public de leurs obsessions identitaires : à sept mois de l’élection présidentielle, l’heure est au labour de leurs terres, même les plus nauséabondes. Quitte à sacrifier une relation franco-algérienne structurellement très compliquée et à faire un bond en arrière. Lors d’une rencontre avec une vingtaine de descendants de protagonistes de la guerre d’Algérie jeudi 30 septembre, et relatée samedi 2 octobre par Le Monde, seul journal invité par l’Élysée, Emmanuel Macron a eu des mots peu amènes et jamais tenus jusqu’ici publiquement par un chef d’État français en exercice, à l’égard du pouvoir algérien et des fondements même de la nation algérienne. « C’est terrible, se désole un diplomate français “catastrophé”. On revient à 2005. » Quand le traité d’amitié franco-algérien avait volé en éclats sous Jacques Chirac après que le Parlement français eut adopté une loi reconnaissant « le rôle positif » de la colonisation. Dans un article intitulé « Le dialogue inédit entre Emmanuel Macron et les “petits-enfants” de la guerre d’Algérie », le journaliste Mustapha Kessous rapporte que le président français estime qu’après son indépendance en 1962, l’Algérie s’est construite sur « une rente mémorielle », entretenue par « le système politico-militaire », que l’« histoire officielle » est « totalement réécrite » et qu’elle « ne s’appuie pas sur des vérités » mais sur « un discours qui repose sur une haine de la France », que « le président [algérien] Abdelmadjid Tebboune » est pris dans « un système très dur », « un système fatigué », « fragilisé » par le Hirak (le soulèvement populaire qui a balayé en 2019 Abdelaziz Bouteflika récemment décédé). Des propos non démentis par l’Élysée qui ne s’arrêtent pas là. « La construction de l’Algérie comme nation est un phénomène à regarder, a encore déclaré le président, toujours selon Le Monde. Est-ce qu’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française ? Ça, c’est la question. Il y avait de précédentes
colonisations. Moi, je suis fasciné de voir la capacité qu’a la Turquie à faire totalement oublier le rôle qu’elle a joué en Algérie et la domination qu’elle a exercée. Et d’expliquer qu’on est les seuls colonisateurs, c’est génial. Les Algériens y croient. » En allant jusqu’à remettre en question l’État-nation algérien, en cherchant à mettre sur le même pied d’égalité l’interminable conquête française bien plus sanglante et meurtrière que la domination ottomane entre le XVIe et le XVIIIe siècle, et en reprenant ainsi les antiennes éculées de ceux qui veulent euphémiser les violences coloniales infligées par la France aux Algériens, ceux qui disent que l’Algérie n’est pas un pays, le président français donne des gages à l’extrême droite et ouvre une crise diplomatique d’une ampleur inédite à quelques mois de l’anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie (1954-1962) et son indépendance. Ses propos incendiaires interviennent deux jours après la décision brutale de l’exécutif de réduire drastiquement le quota de visas accordés aux citoyens des pays du Maghreb, à commencer par les Algériens (lire ici notre article). Sous les ors de l'Elysée, devant la jeunesse héritière de la douloureuse mémoire franco-algérienne - des petits-enfants de pieds-noirs, de soldats, de harkis, d’indépendantistes du FLN et de juifs d’Algérie - Emmanuel Macron a justifié cette décision qui envenime encore les rapports très tendus entre les deux pays pour « ennuyer les gens qui sont dans le milieu dirigeant, qui avaient l’habitude de demander des visas facilement » et leur dire « si vous ne coopérez pas pour éloigner des gens qui sont en situation irrégulière et dangereux, on ne va pas vous faciliter la vie ». « C’est terrible, se désole un diplomate français “catastrophé”. On revient à 2005. » Quand le traité d’amitié franco-algérien avait volé en éclats sous Jacques Chirac après que le Parlement français eut adopté une loi reconnaissant « le rôle positif » de la colonisation et que la France eut offert au monde entier le spectacle désolant d’une nation passéiste incapable d’assumer ses méfaits, ses crimes, ses pillages devant le miroir, se félicitant du bon vieux temps des colonies. Tout le but de mon rapport est de ne pas donner de leçons d’histoire aux autres. C’est aux historiens d’écrire l’histoire qui ne peut pas être hémiplégique, ce n’est pas aux chefs d’État. Benjamin Stora, historien Emmanuel Macron, dont la candidature à l’élection présidentielle d’avril prochain ne fait pas l’ombre d’un doute même s’il ne l’a pas encore officialisée, a cessé de parler depuis bien longtemps de « crimes contre l’humanité » de la part de la France en Algérie. Il n’aura condamné les 132 ans d’oppression coloniale en Algérie qu’une seule fois tant qu’il était candidat à la présidentielle. Le credo de son quinquennat, martèle son entourage, c’est « ni excuses ni repentance ». Et d’être réélu à tout prix. « Le deuxième mandat est devenu l’objectif presque unique de la fin du premier », constate auprès de Mediapart un ancien ambassadeur de France en Algérie. Un avis partagé de l’autre côté de la Méditerranée par plusieurs diplomates français qui déplorent une relation bilatérale et des efforts de bonne entente entre les deux pays « sacrifiés » par des visées électoralistes. « Macron est en train de se laisser dépasser par son souci de politique intérieure », abonde à son tour un ancien directeur Afrique et Moyen-Orient du Quai d’Orsay. Le pouvoir algérien, qui avait convoqué trois jours plus tôt l’ambassadeur de France à Alger François Gouyette pour « une protestation formelle » après la décision de Paris de réduire de moitié les visas accordés aux Algériens, n’a pas tardé à réagir dans des proportions qui dépassent sa susceptibilité habituelle. Après avoir procédé samedi 2 octobre au « rappel immédiat pour consultation » de son ambassadeur, Alger a interdit le lendemain le survol de son territoire aux avions militaires français, qui empruntent depuis 2013 son espace aérien pour rejoindre ou quitter la bande sahélo-saharienne où sont déployées les
troupes de l’opération antijihadiste « Barkhane ». Un coup dur pour Paris qui est en train de quitter les bases militaires les plus au nord du Mali et qui s’apprête à réduire le nombre de soldats au Sahel d’ici à 2023. Alors que l’état-major français est depuis quelques semaines en pleine réorganisation de son dispositif dans cette poudrière, Emmanuel Macron braque l’un de ses partenaires clés dans la lutte contre le terrorisme. « Son attitude est politiquement, moralement, stratégiquement indéfendable. Les Algériens nous sont très utiles dans le Sahara, ils nous donnent des renseignements parfois en direct et sont capables de bloquer la frontière si des groupes terroristes cherchent à s’enfuir », confie un diplomate français. Dans un communiqué, la présidence algérienne condamne « toute ingérence dans ses affaires intérieures » et « des propos irresponsables ». « Les propos en question [du président Macron] portent une atteinte intolérable à la mémoire des 5 630 000 valeureux martyrs qui ont sacrifié leurs vies dans leur résistance héroïque à l’invasion coloniale française ainsi que dans la Glorieuse Révolution de libération nationale », fait-elle savoir en avançant pour la première fois un chiffre officiel de victimes causées par la colonisation française en Algérie, de 1830 à 1962. Jusque-là, seul le bilan de la guerre d’indépendance était chiffré côté algérien à 1,5 million de martyrs. Alger ne s’interdit pas de revoir ses relations économiques et commerciales avec la France, l’un de ses partenaires les plus importants qui a déjà perdu beaucoup d’influence, de contrats et qui a oublié, à l’heure d’une des plus graves crises énergétiques mondiales, que son principal fournisseur de gaz était l’Algérie. « Déclaration de guerre ». « Humiliation du président »… Les réactions continuent d’être vives et scandalisées de l’autre côté de la Méditerranée. « Comment en est-on arrivés là, à quelques mois de la fin du mandat d’un président qui, quoi que l’on dise, a fait avancer le dossier de la mémoire et s’est toujours montré prudent quand il s’agit d’évoquer l’Algérie et sa situation interne ? », se demande le journal en ligne Tout sur l’Algérie (TSA) qui voit là « l’une des plus graves crises entre les deux pays depuis 1962, sinon la plus retentissante » et qui rappelle pourtant « la lune de miel » prometteuse entre les présidents Macron et Tebboune qui s’étaient lancé le défi de « réconcilier » les mémoires endolories par la guerre et la colonisation de part et d’autre des deux rives. Pour nombre d’observateurs, les propos d’Emmanuel Macron s’expliquent par sa déception de se heurter à un mur en Algérie sur ce dossier mémoriel. « J’y vois, ou bien la marque d’une déception après l’échec de sa politique mémorielle, ou bien une petite pensée électorale », analyse un haut diplomate français. Tandis qu’en France, plusieurs initiatives ont été conduites, à commencer par le rapport sur la colonisation et la guerre d’Algérie de l’historien Benjamin Stora, en Algérie, il ne s’est rien passé de concret. La France a restitué les crânes de résistants algériens, conservés dans un musée parisien depuis un siècle et demi, reconnu officiellement sa responsabilité dans la torture pratiquée pendant la guerre d’Algérie et dans la mort des résistants Maurice Audin et Ali Boumendjel, ouvert droit à réparation pour les harkis, ces Algériens qui ont combattu dans les rangs de l’armée française pendant la guerre d’Algérie… L’Algérie n’a fait aucun pas, aucun geste, pas même un retour sur le rapport Stora, jamais dépassé les déclarations d’intention… Rien de surprenant dans un pays où, comme le rappelle dans cette émission de Mediapart l’historienne Karima Dirèche, « l’instrumentalisation et la manipulation de l’histoire sont dans l’ADN du régime algérien ». Certes, Emmanuel Macron enfonce des portes ouvertes, énonce des évidences, dit tout haut ce qu’on pense tout bas en France et aussi en Algérie concernant le système politico-militaire algérien à bout de souffle, sa rente mémorielle qui lui sert à masquer sa corruption, son impotence
et à prendre en otage un peuple qui aspire à la liberté, à la démocratie... Mais est-ce au président de la République française de dire cela depuis son palais et d’oublier de balayer devant la porte de la France qui a mis des décennies à mettre le mot guerre sur les « événements » en Algérie, qui verrouille les archives pour taire la vérité, qui n’arrive pas à mettre les mots sur les crimes d’État, tel le massacre policier et raciste du 17 octobre 1961... ? Est-ce cela la diplomatie, après la débâcle de la vente des sous-marins à l’Australie ? Alors que la rupture est à son comble entre le Maroc et l’Algérie, que les bruits de bottes se font entendre aux portes des deux grands États du Maghreb, Emmanuel Macron choisit en connaissance de cause d’être dur avec l’Algérie et faible avec le Maroc. Il n’a jamais eu un mot de cette teneur acerbe à l’égard de la monarchie marocaine qui n’hésite pas à instrumentaliser la détresse des migrants pour faire pression sur l’Europe dans le dossier explosif du Sahara occidental, ni à espionner des téléphones de plusieurs personnalités publiques françaises – jusqu’à sa propre personne, comme l’a révélé le scandale mondial d’espionnage « Pegasus ». Sans parler de l’Arabie saoudite qui emprisonne des féministes, découpe en morceaux un journaliste, de la Tunisie où le président s’arroge seul les pleins pouvoirs, et de bien d’autres régimes autoritaires à travers le monde avec lesquels la France brille par son silence et sa complaisance. « Tout ça pour couper l’herbe à Zemmour » « Surpris » par les propos du président français à la table de l’Élysée où il faisait partie des conviés, « de le voir se lancer dans un cours d’histoire qui finit dans la presse », « las de voir qu’on en revient encore et toujours à des disputes sur le colonialisme, la mission civilisatrice de la France », l’historien Benjamin Stora explique à Mediapart ne pas souhaiter « rentrer dans le débat ». Il tient cependant à rappeler que son rapport est « tout l’inverse de cela » : « Tout le but de mon rapport est de ne pas donner de leçons d’histoire aux autres. C’est aux historiens d’écrire l’histoire qui ne peut pas être hémiplégique, ce n’est pas aux chefs d’État. La rente mémorielle est des deux côtés, pas d’un seul côté. La question algérienne structure l’extrême droite française qui a l’habitude de me rentrer dedans et qui refuse de reconnaître le principe de l’indépendance de l’Algérie. » « Moi, ce que je veux, poursuit le spécialiste de l’Algérie, c’est savoir ce qu’on fait concrètement de mes propositions. Que fait-on le 17 octobre ? Je n’ai toujours pas eu de réponse. On commémore, on reconnaît le crime d’État ? J’espère qu’il y aura une réponse. C’est un des combats de ma vie. » Dans les prochains jours, selon nos informations, l’Élysée devait mettre en place l’une des mesures phares de son rapport : l’installation d’une commission « Mémoire et vérité » rassemblant une dizaine de spécialistes parmi les meilleurs sur la question algérienne et coloniale, tels Abderahmen Moumen, Tramor Quemeneur, Karima Dirèche, Naïma Yahi, Tassadit Yacine, pour plancher concrètement sur des avancées mémorielles. « Cela va être très compliqué de le faire dans ce contexte, se désole un proche du dossier. Macron a peut-être bien tout torpillé, tout ça pour couper l’herbe à Zemmour qu’il contribue à faire monter et qui, comme lui, se fait désirer candidat. » Mardi 5 octobre, le président français est revenu pour la première fois sur ce qu'il appelle « une crispation » dans un entretien à France Inter. Tout en appelant à « un apaisement » « parce que (...) c’est mieux de se parler, d’avancer », il a assumé ses propos polémiques et les a justifiés de manière poussive, en invoquant notamment les insultes et les menaces encaissées par l'historien Benjamin Stora à la remise de son rapport. « Ce n’est pas un problème diplomatique, c’est d’abord un problème franco-français », a-t-il déclaré. Il n'a pas été interrogé en revanche sur sa tirade en pleine pré-campagne électorale cherchant à atténuer la violence de la colonisation
française en la mettant au même niveau que la tutelle ottomane
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Le fiasco de la Belle Alliance populaire de Cambadélis
Le fiasco de la Belle Alliance populaire de Cambadélis
9 AOÛT 2017 PAR CHRISTOPHE GUEUGNEAU Lancée le 13 avril 2016 et destinée à élargir le socle du PS, la Belle Alliance populaire affiche aujourd’hui un bilan calamiteux et plusieurs de ses fondateurs ont déserté pour filer chez Macron. Son avenir sera scellé ces prochaines semaines lors de l’élaboration de la « nouvelle feuille de route » du PS. C’était le bébé de Jean-Christophe Cambadélis et de…
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the discreet mission of Bernard Cazeneuve with the majority
the discreet mission of Bernard Cazeneuve with the majority
Alexis Delafontaine, edited by Gauthier Delomez 06:42, May 20, 2022 The socialist elephants are still standing against the PS agreement with La France insoumise. Jean-Christophe Cambadélis calls for the self-dissolution of the party, while Lionel Jospin supports the dissident Lamia El Aaraje on the ground. Bernard Cazeneuve, meanwhile, would be invested with a discreet mission with the…
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“She tried to swallow medicine”: the story of a chilling night between François Hollande and Valérie Trierweiler
“She tried to swallow medicine”: the story of a chilling night between François Hollande and Valérie Trierweiler
In a book to be published at the end of January, Jean-Christophe Cambadélis delivers confidences on a terrible night between François Hollande and Valérie Trierweiler, the day after the revelations concerning the idyll of the former head of state with Julie Gayet. Le Point unveils an incredible extract this Friday, January 21. It was a night that could have ended very badly. Next January 27,…
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Crise à l'Élysée : Macron à la recherche d'un Premier ministre introuvable !
Jean-Christophe Cambadélis, ancien premier secrétaire du Parti socialiste, est au cœur d’un nouveau scandale judiciaire. Condamné pour détournement de fonds publics, il est reconnu coupable d’avoir utilisé à des fins personnelles plus de 100 000 euros provenant de son enveloppe de frais de mandat entre 2015 et 2017. Les détails de ses dépenses sont accablants : plus de 30 000 euros de loyers…
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Je m’inquiétais presque pour Camba. Mais c’est bon. J’ai l’impression qu’il va bien.
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Hamon : Mon frère, aide moi! Valls : Longue vie au roi Cambadélis : Nooooooooooooon
#Le roi lion#benoit hamon#Manuel Valls#Jean-Christophe Cambadélis#incorrect quotes#incorrect french politicians quotes#whatthefrance#upthebaguette#submission
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/2017-la-mort-des-socialismes-europeens/
2017, la mort des socialismes européens ?
A l’heure où les partis traditionnels semblent avoir de plus en plus de mal à maintenir la tête hors de l’eau, le socialisme semble clairement se noyer. En France comme dans d’autres pays européens, la situation est souvent complexe et l’avenir sombre
Dimanche 18 juin 2017, 20 heures. Les premières projections des couleurs de l’Assemblée confirment la nouvelle, c’est une débâcle du PS français, dans la parfaite lignée de la présidentielle. Jean-Christophe Cambadélis qui était le patron du parti à la rose quitte lui aussi le navire en annonçant sa démission. En 2012, le parti raflait 280 circonscriptions. Cinq années plus tard, il en a perdu 250, pour n’avoir que 30 députés au palais Bourbon.
https://twitter.com/jccambadelis/status/876502433010200576
Que l’on parle de sociaux démocrates, de travaillistes ou de socialistes (il faut cependant différencier les partis socialistes issus d’Europe de l’ouest, ceux dont il est question dans cet article, de ceux d’Europe centrale ou orientale, souvent issus des partis communistes et dont les propos sur certains thèmes comme les migrants ou le mariage entre deux personnes du même sexe sont inimaginables pour les socialistes plus modérés), partout les partis de gauche modérée traversent des épisodes creux. Avec un électorat qui tend à s’éroder, un contexte global peu favorable et des tensions tant internes qu’externes, les partis socialistes peinent à se renouveler alors qu’ils devront peut-être leur salue à cette seule option dans le futur.
Piliers et repli
Pour comprendre le déclin des socialistes, et la débâcle du parti français, certains analystes donnent des pistes de réflexion inhérentes à la conjoncture et aux évolutions sociales et sociétales. Ainsi, Alain Bergounioux, le président de l’Office Universitaire de Recherche sur le Socialisme explique: « La force du PS, c’était avec la construction des idées d’état providence, le terme d’état social après guerre. Les trois piliers qui faisaient la force de ces partis, avec des différences selon les rapports nationaux, étaient tout d’abord la capacité de contribuer au plein emploi, celle d’assurer une redistribution ensuite, et enfin, le fait qu’ils soient des partis qui se sont identifiés aux valeurs des années 1970, d’extension des libertés« .
Le plein emploi est plus difficile, les solutions viennent souvent plus avec des remèdes plutôt libéraux
Si ces trois piliers ont permis aux partis socialistes d’Europe de gouverner ou, à tout le moins, de participer activement à l’opposition, aujourd’hui, la donne a changé. « Le plein emploi est plus difficile, les solutions viennent souvent plus avec des remèdes plutôt libéraux, il y a moins de redistribution, la croissance a faibli et le coût financier de l’état social a crû, notamment du fait du vieillissement des sociétés. Sans parler du fait que nous soyons entrés dans une période plus complexe en matière d’extension des libertés, avec des problématiques comme le terrorisme, la migration et donc un phénomène de populisme de droite, impliquant un refus de société plus diversifiée« .
Un cas par cas national
Cependant, si pour comprendre la chute des partis socialistes en Europe il convient donc de les placer dans une dynamique globale faite de changements sociétaux et sociaux, il faut néanmoins également s’intéresser aux enjeux à l’échelle locale. Ainsi, en France, la ligne de conduite du Parti socialiste est floue depuis déjà un certain temps. Alain Bergounioux ajoute que « le parti s’est affaibli et n’a pas retrouvé les capacités de synthèse d’un Mitterand ou d’un Jospin pour unir des tendances différentes. Le PS s’est retrouvé divisé en interne, mais également victime d’une double offensive avec la France Insoumise qui représente une sorte de radicalisation de gauche […] et puis Macron qui a fait l’analyse d’une rénovation interne du PS impossible. Il est passé par l’extérieur en assumant un libéralisme central« . Sans oublier que, comme l’explique Fabien Conord, professeur des universités en histoire à l’université de Clermont-Auvergne, les législatives sont très proches de la présidentielle en France et que la dynamique n’était pas favorable au PS entre ces deux scrutins.
Le parti s’est affaibli et n’a pas retrouvé les capacités de synthèse d’un Mitterand ou d’un Jospin pour unir des tendances différentes
Ailleurs comme en Espagne, les mêmes fractures apparaissent. C’est un PS divisé qui a vu revenir à sa tête son ancien patron Pedro Sanchez, qui avait été poussé vers la sortie en octobre 2016 par des caciques qui ne toléraient plus ses (relativement vaines) tentatives de rapprochement avec le parti de gauche plus radical Podemos. Donnée gagnante face à Pedro Sanchez lors de la primaire du parti et soutenue par le parti, six gouvernements régionaux et des dizaines de fédérations provinciales exerçant une pression sur les militants (ainsi que du parrainage de grandes figures du PSOE, comme les ex-présidents du gouvernement Felipe Gonzalez et José Luis Rodriguez Zapatero), Susana Díaz s’est inclinée. Autant dire qu’avec un léger goût de Benoît Hamon, les électeurs de cette primaire du PSOE ont choisi le plus à gauche des candidats du parti et ce dernier est encore plus divisé qu’avant cet épisode.
En Allemagne, le SPD a toujours eu du mal à se relever de l’après Gerhard Schröder, y compris entre 2005 et 2009 malgré sa présence dans une grande coalition ou en ensuite, au sein de l’opposition. La position de force de la CDU outre-Rhin complique les plans du SPD alors que les élections législatives sont prévues pour le 24 septembre prochain. Outre-Manche, alors qu’un épisode similaire à ce qui s’est produit en Espagne avait mené Jeremy Corbyn à la tête du parti travailliste britannique en 2015, le bilan n’est pas non plus très reluisant pour le parti. En Grèce, le PASOK avait une forte majorité avant 2015 qui s’est totalement effondrée, au profit de Syriza notamment. Dans le nord de l’Europe, les partis socialistes ont là aussi perdu des électeurs. Certes, leur chute est moins brutale du fait notamment de la situation économiques des pays ou du fait que le choix parmi les partis de gauche y soit plus restreint. Mais ces partis n’échappent pas totalement à ce qui semble être la règle ces dernières années en Europe. Fabien Conord résume: « c’est compliqué pour tout le monde. Même ceux qui sont intégrés dans des coalitions« .
L’électorat déserte
Pendant longtemps, les ouvriers ont voté socialiste. Cependant, deux facteurs sont à prendre en considération à l’heure actuelle. Tout d’abord, la classe ouvrière tend à diminuer du fait de phénomènes globaux. Une partie de cet électorat disparaît donc simplement. Par ailleurs, et c’est l’autre point, les partis socialistes ont eu tendance à se diriger vers des politiques un peu plus libérales au fil du temps, se coupant d’une frange de leur électorat de base. Et c’est ainsi que les partis socialistes voient leurs soutiens se faire de plus en plus rares, y compris dans des régions ou l’idéologie était ancrée de longue date. En France, les candidats socialistes ont tous été éliminés au premier tour des législatives dans les circonscriptions du Nord-Pas-de-Calais. Les électeurs ne se retrouvant plus dans les propositions socialistes partent vers d’autres partis. Dans certains cas en France, ils ont opté pour Emmanuel Macron, dans d’autres pour Jean-Luc Mélenchon ou Marine Le Pen.
Toujours en matière d’électorat, d’autres raisons peuvent être soulignées lorsque l’on tente de comprendre l’érosion de la base de l’électorat socialiste. Nombreux sont les partis socialistes qui, depuis longtemps, ont participé à la construction de l’Union européenne. Or, la tendance en la matière a souvent conduit à l’imposition de mesures d’austérité et de politiques économiques contraignantes, respectant des chiffres stricts. Cette ligne de conduite, en contradiction avec l’idéologie du PS, a poussé une partie des électeurs à se tourner là-encore vers d’autres groupes politiques.
Avec la peur de la mondialisation que l’on retrouve chez certains électeurs, les partis humanistes sont forcément mal placés
Avec ce difficile équilibre, la situation est donc complexe pour les socialistes. Fabien Conord rappelle d’ailleurs qu' »il est plus facile de faire accepter des politiques de la sorte à un électorat plus libéral qu’à un électorat de gauche. […] Il y a deux solutions. Soit le parti se radicalise, soit c’est l’électeur qui s’en va au profit d’un autre. On l’a vu en France avec la montée de la France Insoumise et surtout d’Emmanuel Macron, pour les électeurs qui assumaient plus ces politiques libérales« . De plus, développe le professeur des universités en histoire à l’université de Clermont-Auvergne, l’électorat populaire, « ressent un besoin de protection. Avec la peur de la mondialisation que l’on retrouve chez certains électeurs, les partis humanistes sont forcément mal placés. La gauche n’arrive pas à capter les attentes, y compris dans les franges populaires« .
Se renouveler ou mourir
Après des résultats comme ceux qu’il est possible d’observer dans de nombreux pays, la question de l’avenir des socialistes en Europe peut se poser. Pour éviter une multiplication des défaites et stopper l’hémorragie en matière de fuite des électeurs, Fabien Conord souligne que « les socialiste ont besoin de redevenir des partis du peuple, là où le peuple peut se retrouver« . Et pour ce faire, ces partis doivent « proposer de vraies idées et faire de vraies propositions clivantes […] Ces partis n’ont pas renouvelé leur référentiel programmatique. La dominante n’est pas de gauche« .
Le PS n’arrive pas à être dans le débat. Qu’ont-ils proposé de clivant en France pour les législatives ou la présidentielle ? Poser la question, c’est presque y répondre
A défaut de proposer de nouvelles solutions, ou des propositions fraîches, il subsistera donc des interrogations pour l’avenir. Pour Fabien Conord, « il reste quelques segments » où trouver des électeurs, mais ceux-ci sont désormais trop étroits pour assurer la survie des parti. « Le PS n’arrive pas à être dans le débat. Qu’ont-ils proposé de clivant en France pour les législatives ou la présidentielle ? Poser la question, c’est presque y répondre« , détaille-t-il avant de conclure: « Partout où d’autres forces politiques ont éclos, dans tous les pays où à gauche le PS n’est pas la seule solution, les électeurs se font de moins en moins nombreux et partent ailleurs« .
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Olivier Faure officiellement élu premier secrétaire du Parti socialiste
Le député de Seine-et-Marne est arrivé en tête des suffrages au premier tour de l'élection du premier secrétaire du PS, avec 48,56% des voix.
Olivier Faure a été formellement élu, jeudi 29 mars, premier secrétaire du PS. Les patrons des 103 fédérations départementales socialistes ont aussi été élus, selon des chiffres provisoires obtenus dans la nuit de jeudi à vendredi de sources socialistes.
Après le vote du 15 mars, qui a placé largement en tête la motion d'Olivier Faure (48,56%), et le désistement de Stéphane Le Foll, arrivé loin derrière (26,10%), ce scrutin ne réservait plus guère de suspense : le député de Seine-et-Marne était seul en lice pour prendre la succession de Jean-Christophe Cambadélis.
La participation, qui n'était guère flamboyante le 15 mars, avec 37 014 électeurs pour quelque 102 000 socialistes susceptibles de se mettre à jour de cotisation, s'est maintenue au-dessus de 30 000 votants, selon Rachid Temal. Les résultats définitifs du scrutin interne au Parti socialiste seront dévoilés vendredi matin.
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Article complet: Franceinfo - Les Titres — https://www.francetvinfo.fr/politique/ps/olivier-faure-officiellement-elu-premier-secretaire-du-ps_2681446.html#xtor=RSS-3-[lestitres]
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