#je suis tres fatiguée
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arctic-hands · 1 year ago
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Am I fatigued because I overextended myself by scheduling two appointments yesterday, one of which was at a hospital so there was a lot of walking, and having only gotten five hours sleep the night before? Am I crashed bc I drank five cups of coffee in the morning–one for every hour of sleep I got–then had to take three puffs of albuterol for a breathing test, then had an adrenaline surge and freak out as my lyft home was nearly sideswiped by bus on my side of the vehicle? Or am I just chronically ill to the point of disability?
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vkeivampire · 1 year ago
Note
¿Sabes que yo hablo español?
Tomando el control
Para leer tu libro requiere alchohol
Me duele el corazon, ¿se a el cholesterol?
Me has convertido en un troll
Expuesto de nuevo por un inglés caballero
Si escucho a tu canción me muevo
A otro ciudad
Ser latina no es una personalidad
Y lo digo por necesidad
Adiós Lele
Tu libro me duele
Adiós Lele
Soy trilingüe
Ataca en tres idiomas
Es subido otro video aunque dijimos "no más"
Para una cara no es una broma
Tengo un diploma
Tu libro me puso en un coma
¿Has tenido una amistad sin un apuñalada?
No quiero té da me una piña colada
A la gente no le gusta tu comedia
¿Tu carrera? Que tragedia
Como Corona una epidemia
Adiós Lele
Tu arte me duele
Adiós Lele
POURQUOI PARLEZ-VOUS ESPAGNOL??? Je parle bien espagnol et je suis trop fatigué pour le traduire😜😜
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mrsines · 2 months ago
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 11 : Le monstre des rêves
Attention ce chapitre contient une  scène 🔞 si vous n'êtes pas a l'aise avec ça ne lisez pas. 
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
L'après-midi était calme chez Ganny's, le petit café emblématique de la ville. Regina, Emma, Lilia, Lucillia, Agatha, Ivana, David, et Henry étaient tous réunis autour des tables en bois usées par le temps, discutant de tout et de rien. L'ambiance chaleureuse était ponctuée par le doux parfum du café fraîchement moulu et le léger grincement de la porte à chaque client qui entrait.
Soudain, la porte s'ouvrit brusquement, et une silhouette imposante fit irruption. C'était Rio, une présence aussi glaciale qu'inattendue. Ses yeux perçants balayèrent la pièce avant de se poser sur Ivana, qui, loin de se démonter, se leva lentement, les poings serrés.
« Qu'est ce que  ? » cracha Ivana, un mélange de colère et de défi dans la voix.
Rio avança d'un pas, un sourire en coin. « Tu pensais vraiment que je ne viendrais pas ? Cette ville n'est pas assez grande pour toi et moi, Ivana. »
Avant que quiconque puisse intervenir, les deux femmes s'affrontèrent dans une lutte acharnée, mêlant coups violents et mouvements précis. La force brute de Rio semblait dominer au début, mais Ivana, agile et déterminée, ripostait avec une rage qui trahissait leur passé conflictuel.
Regina, jusque-là spectatrice, se leva brusquement. Ses yeux étincelèrent d'un éclat magique.
« Ça suffit ! » lança-t-elle d'une voix qui résonna dans tout le café.
Elle tendit une main, et une onde de magie violette enveloppa Rio, la propulsant violemment contre un mur. Rio se releva avec difficulté, un rictus de frustration sur le visage.
« Je ne te laisserai pas faire, » dit Regina d'un ton glacial. « C'est ma ville, et tu ne feras pas régner le chaos ici. »
Rio fixa longuement Regina, ses yeux brûlant de colère. Puis elle observa Ivana, qui se tenait toujours prête à se battre, le souffle court mais le regard aussi tranchant qu'une lame.
Après un moment, Rio recula, son expression changeant subtilement. Elle comprit que s'attaquer à Ivana avec toute cette protection ne serait pas aussi simple qu'elle l'avait cru.
« Ce n'est que partie remise, » murmura-t-elle avant de tourner les talons et de quitter le café dans un claquement de porte.
Le silence retomba lourdement sur la pièce. Tous les regards se tournèrent vers Ivana, dont le poing était encore crispé, et vers Regina, qui relâcha lentement son sort, l'air fatiguée mais déterminée.
« C'était quoi, ça ? » demanda Henry, brisant enfin le silence.
Regina et Ivana échangèrent un regard complice mais chargé de non-dits.
« Un avertissement, » répondit Regina, la mâchoire serrée. « Mais elle reviendra. »
Le silence pesant qui suivit le départ de Rio fut brisé par une voix hésitante.
« Je... je la connais. »
Tous les regards se tournèrent vers Agatha, dont le visage était pâle, ses mains tremblant légèrement. Ivana fronça les sourcils, visiblement confuse.
Agatha déglutit, évitant d'abord son regard, puis planta ses yeux emplis de culpabilité dans ceux d'Ivana.
« Rio... c'est... c'est mon ex. »
Un souffle d'étonnement traversa la pièce. Ivana resta immobile, son visage figé entre surprise et incompréhension.
« Ton ex ? » répéta-t-elle, ses yeux se plissant. « Et pourquoi est-ce qu'elle veut s'en prendre à moi, alors ? Qu'est-ce que j'ai fait ? »
Agatha secoua la tête frénétiquement, son regard suppliant.
« Je n'en sais rien, Ivana. Je te le jure.»
Le doute passa dans les yeux d'Ivana, mais elle resta silencieuse, croisant les bras comme pour se protéger. Agatha, incapable de supporter cette distance entre elles, s'approcha lentement, chaque pas une tentative de se racheter.
« Ivana... je suis désolée, » murmura-t-elle. « Je ne voulais pas te cacher ça. Je... je ne savais même pas qu'elle était ici, dans cette ville. Je... je ne veux pas te perdre à cause d'elle. »
Agatha était maintenant si proche qu'Ivana pouvait sentir la chaleur de sa présence. Elle leva une main tremblante, hésita, puis la posa doucement sur l'épaule d'Ivana.
« Je resterai près de toi, quoi qu'il arrive. Je ne te laisserai pas affronter ça seule. »
Ivana la regarda, un mélange de colère et de tendresse dans les yeux. Elle soupira, relâchant un peu la tension dans ses épaules.
« Tu ferais mieux de me dire tout ce que tu sais sur elle, Agatha, » dit finalement Ivana 
Agatha hocha la tête, mais au lieu de répondre tout de suite, elle glissa ses bras autour d'Ivana, la tenant avec une force presque désespérée.
« Je te promets que je ne te laisserai pas tomber, » murmura-t-elle, sa voix tremblant d'émotion.
Ivana, surprise par ce geste, resta raide un instant avant de céder à son propre besoin de réconfort. Elle posa une main hésitante sur le dos d'Agatha, laissant un soupir échapper de ses lèvres.
« Tu as intérêt à tenir cette promesse, Agatha, » répondit-elle doucement, mais avec un avertissement dans la voix.
Autour d'elles, les autres observaient la scène en silence, certains gênés par l'intimité du moment, d'autres, comme Regina, déjà en train de réfléchir à la manière de se préparer à ce qui les attendait.
Mais pour Ivana et Agatha, il n'y avait que cet instant, un fragile équilibre entre peur et confiance, qu'elles espéraient ne pas briser.
Alors qu'Agatha serrait encore Ivana contre elle, tentant de calmer ses propres tremblements, la voix tranchante de Regina brisa le moment.
« Tu aurais vraiment pu mieux choisir tes ex, Agatha. »
Le ton était glacial, empreint de reproche, et Regina croisa les bras en fixant Agatha avec une sévérité qui fit frissonner toute la pièce.
Agatha se redressa lentement, relâchant Ivana à contrecœur. Elle tourna son regard vers Regina, ses yeux désormais remplis d'une étrange étincelle, mi-amusée, mi-menaçante.
« C'est bon, Regina. Je sais que tu adores juger, mais je n'ai pas prévu qu'elle débarque ici pour semer le chaos. »
Regina ne baissa pas les yeux, avançant d'un pas vers Agatha, son aura magique commençant à s'intensifier autour d'elle.
« Je m'en fiche, Agatha. Elle a osé s'en prendre à Ivana, à ma ville. Si elle revient, crois-moi, je vais la tuer. »
Un silence lourd s'abattit. Emma et les autres échangèrent des regards inquiets, sentant la tension grimper entre les deux femmes. Mais Agatha, loin de se laisser impressionner, éclata d'un rire bref, presque moqueur.
« Tu veux tuer Rio ? » dit-elle, un sourire énigmatique sur les lèvres. « Je déteste te décevoir, Regina, mais tu ne peux pas tuer la mort. »
Les mots résonnèrent dans la pièce comme une sentence.Regina arqua un sourcil, une lueur de défi dans le regard.
« La mort ? C'est ça que tu appelles ? Une ex hystérique et vengeresse ? Ne me dis pas que tu as vraiment fricoté avec... ça. »
Agatha soutint son regard, cette fois plus sérieuse.
« Tu crois que je plaisante ? Tu as vu ce qu'elle peut faire. Rio n'est pas une simple mortelle, ni même une sorcière ordinaire. Elle est... bien plus. »
Regina s'arrêta, la mâchoire serrée. Le sérieux dans la voix d'Agatha lui fit comprendre qu'il s'agissait de quelque chose de beaucoup plus sombre qu'elle n'avait imaginé.Ivana, restée silencieuse jusque-là, posa une main sur le bras d'Agatha.
« Agatha, qu'est-ce que tu veux dire par "la mort" ? Qui est vraiment Rio ? »
Agatha détourna les yeux, comme si elle hésitait à répondre. Mais finalement, elle fixa Ivana avec un mélange de peur et de résignation.
« Elle est... une incarnation. Une puissance. Je ne sais pas comment expliquer, mais elle ne peut pas être détruite. Pas par nous. »
Regina haussa les épaules, un sourire sarcastique aux lèvres.
« On verra bien. Si elle revient, crois-moi, je trouverai un moyen. Peu importe qui elle est. »
Agatha soupira profondément, passant une main dans ses cheveux.
« Tu peux essayer, Regina. Mais ce genre de combat... on en sort rarement indemne. »
Les deux femmes continuèrent à se toiser, une tension palpable entre elles. Mais dans un coin de la pièce, Ivana fixait Agatha, la peur grandissant dans son regard. Car si Rio était vraiment "la mort", alors le danger qu'elle représentait était bien plus grand qu'elles ne l'avaient imaginé.
☆○o。  。o○☆
La nuit était tombée depuis plusieurs heures, enveloppant la maison d'un calme presque surnaturel. Tout le monde dormait profondément, les respirations régulières et le silence seulement troublé par le léger bruissement des feuilles à l'extérieur. Lucillia, épuisée par les événements de la journée, était plongée dans un sommeil agité.Cependant, son esprit ne trouvait pas le repos.
Dans son rêve, les ténèbres semblaient l'engloutir. Une épaisse brume noire s'insinuait autour d'elle, l'enveloppant comme une étreinte glaciale. Elle tentait de bouger, de s'échapper, mais ses pieds étaient cloués au sol. Une voix basse, rauque et indistincte résonnait dans la pénombre, des murmures incompréhensibles mais terrifiants.
Les ombres commencèrent à s'étirer, formant des silhouettes menaçantes aux contours indistincts. Le froid était saisissant, pénétrant jusque dans ses os. Une force invisible l'attirait, inexorablement, vers un abîme sans fin.Puis, tout devint noir.
Lucillia se réveilla brutalement, haletante, son cœur battant à tout rompre. Elle était en sueur, ses draps collant à sa peau. Elle passa une main tremblante sur son visage pour chasser les restes du cauchemar. Mais quelque chose n'allait pas.
Elle sentit une présence.Son regard se tourna instinctivement vers le coin de sa chambre, où l'obscurité semblait plus dense, plus lourde qu'ailleurs. Elle plissa les yeux, tentant de discerner ce qui s'y trouvait, et soudain, elle la vit.
Une ombre, indistincte mais indéniablement humaine, se mouvait lentement vers la porte. Elle glissait plutôt qu'elle ne marchait, ses mouvements silencieux et fluides.Lucillia se figea, son souffle coupé. Elle voulut crier, mais aucun son ne sortit de sa gorge.
L'ombre s'arrêta un instant, comme si elle avait senti son regard. Un frisson glacé parcourut le corps de Lucillia. Puis, sans un bruit, elle franchit la porte et disparut dans le couloir.
Restant immobile quelques instants, Lucillia se força à respirer, reprenant lentement ses esprits. Ce n'était pas qu'un rêve. Quelque chose – ou quelqu'un – avait vraiment été là.
Elle se redressa dans son lit, les mains tremblantes.
« Qu'est-ce que c'était ? » murmura-t-elle pour elle-même, sa voix presque inaudible.
Sans réfléchir, elle se leva, ses pieds nus touchant le sol froid, et se dirigea vers la porte. Elle hésita avant de l'ouvrir, le couloir plongé dans l'obscurité lui semblant encore plus menaçant que son cauchemar.Mais elle savait qu'elle ne pourrait pas ignorer ce qui venait de se passer.
Une brise légère fit trembler les rideaux d'une fenêtre entrouverte au bout du couloir, et un faible murmure, comme un écho lointain, sembla lui parvenir. Un avertissement, ou une menace ? Elle n'aurait su le dire.Ce qu'elle savait, c'est que les ténèbres de son rêve avaient peut-être commencé à se frayer un chemin dans la réalité.
☆○o。  。o○☆
Lilia se trouvait dans une grande salle illuminée par des lustres scintillants. L'atmosphère était à la fois chaleureuse et étrange, comme si tout était légèrement déformé. Elle reconnaissait l'endroit : c'était une pièce dans le château, un lieu qu'elle associait à des souvenirs agréables. Pourtant, quelque chose dans l'air semblait... faux.Elle avançait doucement, ses pas résonnant sur le sol en marbre. Des voix flottaient dans l'air, lointaines mais distinctes, et l'une d'elles fit tressaillir son cœur.
C'était Lucillia.
Elle suivit le son, son rythme s'accélérant, jusqu'à ce qu'elle atteigne une arche voûtée. Au-delà, elle vit une scène qui lui fit l'effet d'un coup de poignard.Lucillia était là, debout près de la cheminée, un sourire doux sur les lèvres. Et en face d'elle se tenait Regina, ses traits illuminés par une lueur qu'elle n'avait jamais vue auparavant. Elles parlaient doucement, leurs mots indistincts, mais l'intimité entre elles était évidente.
Lilia voulut entrer, se faire remarquer, mais ses jambes semblaient figées. Elle resta là, immobile, obligée d'observer la scène se dérouler devant elle.
Regina posa une main sur le bras de Lucillia, ses doigts effleurant sa peau avec une délicatesse presque exagérée. Lucillia ne recula pas, au contraire : elle répondit par un sourire éclatant, celui que Lilia avait toujours cru être réservé à elle seule.
Puis, l'impensable se produisit. Regina se pencha doucement vers Lucillia, ses gestes emplis d'une confiance naturelle. Lucillia ne montra aucun signe d'hésitation. Leurs lèvres se rencontrèrent, et le monde de Lilia sembla s'effondrer.
Le baiser n'était pas furtif ou hésitant. Il était profond, sincère, empli de quelque chose qui ressemblait à de l'amour. Chaque seconde qui passait renforçait l'angoisse de Lilia, la douleur dans sa poitrine devenant presque insupportable.
Elle voulut crier, mais aucun son ne sortit. Elle voulut détourner les yeux, mais son corps refusait de lui obéir.
Enfin, le baiser prit fin, mais l'intimité entre les deux femmes ne disparut pas. Regina murmura quelque chose à Lucillia, et celle-ci rit doucement, un rire que Lilia aurait donné n'importe quoi pour entendre à nouveau.
C'est à ce moment que Lucillia tourna la tête, comme si elle avait senti la présence de Lilia. Leurs regards se croisèrent, mais il n'y avait ni surprise ni regret dans les yeux de Lucillia. Seulement une tristesse douce et résignée.
« Je suis désolée, Lilia, » dit-elle, sa voix résonnant étrangement dans l'espace. « Mais tu savais, au fond de toi, que ça devait arriver. »
Avant que Lilia ne puisse répondre, tout autour d'elle se mit à vaciller. Les murs de la pièce s'effondrèrent, la lumière se dissipa, et elle se retrouva seule, plongée dans une obscurité froide et oppressante.Elle se réveilla en sursaut, son souffle court et son cœur battant furieusement dans sa poitrine.
☆○o。  。o○☆
La chambre était plongée dans une obscurité paisible, seulement troublée par la lumière de la lune qui filtrait à travers les rideaux. Le souffle régulier d'Agatha et Ivana résonnait doucement dans l'air calme de la nuit. Agatha, blottie contre Ivana, avait enfoui son visage dans le creux de son cou, cherchant instinctivement la chaleur et la sécurité de son corps. Ses bras enroulaient fermement Ivana, comme si elle craignait que la jeune femme disparaisse à tout moment.
Mais derrière ses paupières fermées, l'esprit d'Agatha n'était pas en paix.
Le rêve commença comme une scène familière : un petit salon austère, baigné dans la lumière jaunâtre d'une lampe vacillante. Une voix criarde résonnait, tranchante et brutale, celle de sa mère.
« Tu n'es qu'une incapable, Agatha ! Toujours à causer des problèmes ! »
Une petite fille pleurait, recroquevillée dans un coin. Ses mains tremblaient, tenant un morceau de tissu déchiré. C'était Agatha, bien plus jeune, bien plus vulnérable. Elle voulait crier, mais aucun son ne sortait de sa bouche.
Le décor changea soudain, basculant vers une autre scène. Le froid mordant d'une nuit hivernale. Des cris. Des pleurs. Elle courait, mais ses jambes semblaient trop lourdes. Devant elle, son fils, un petit garçon aux cheveux bouclés, courait en riant, insouciant.
« Arrête ! » criait-elle, sa voix brisée par la peur. « Reviens ici, c'est dangereux ! »
Il ne l'entendait pas, ou peut-être ne l'écoutait-il pas. Et puis, tout bascula. Une voiture surgit de nulle part, des phares éclatants illuminant la rue. Un hurlement résonna dans l'air.
« Non ! »
Agatha se précipita, mais elle était trop lente, bien trop lente. Elle vit son fils disparaître sous l'impact, son petit corps projeté dans les airs avant de retomber lourdement sur le sol glacé.
Elle s'agenouilla près de lui, ses mains tremblantes cherchant à le réveiller, à réparer l'irréparable. Ses sanglots déchirants emplirent l'air.
« Mon bébé... Mon bébé, reste avec moi ! »
Le décor changea encore, mais cette fois, c'était une spirale de souvenirs, des images de maltraitance, de solitude, et toujours ce cri incessant dans sa tête.
Soudain, elle se vit elle-même, adulte, seule dans une pièce sombre. Un miroir devant elle reflétait son visage, mais il était marqué par des larmes et de la douleur.
« C'est ta faute, » murmurait son propre reflet, son ton accusateur.
Elle hurla, se débattant contre ce cauchemar oppressant, cherchant une sortie.
Agatha se réveilla en sursaut, un cri étouffé s'échappant de ses lèvres. Sa poitrine se soulevait violemment, chaque respiration un effort. Elle était trempée de sueur, son corps frémissant sous l'intensité de l'émotion.
Agatha tremblait encore, son souffle saccadé alors qu'elle émergeait lentement des ténèbres du cauchemar. Ses larmes coulaient silencieusement, marquant des sillons brillants sur ses joues. Le poids du rêve restait sur sa poitrine, étouffant chaque tentative de calmer son esprit.
Ivana, réveillée par les cris étouffés d'Agatha, n'avait pas hésité une seconde. Elle l'avait immédiatement attirée dans ses bras, sa chaleur et sa présence apaisante comme un rempart contre les souvenirs oppressants.
« Chut, je suis là, » murmura Ivana, sa voix douce et basse, presque un murmure contre l'oreille d'Agatha.
Elle la serrait fermement, suffisamment pour que l'agitation d'Agatha commence à faiblir sous la sécurité de cette étreinte. Les mains d'Ivana glissèrent dans les cheveux d'Agatha, peignant doucement ses mèches désordonnées. Ce geste répétitif, presque instinctif, semblait vouloir lisser non seulement ses cheveux, mais aussi les nœuds d'angoisse qui habitaient son esprit.
« Respire, Agatha, » dit Ivana, ses doigts s'enroulant tendrement autour des boucles sombres. « Je suis là. Rien ne va t'arriver. »
Agatha s'accrocha davantage à elle, enfouissant son visage dans le cou d'Ivana, son souffle chaud caressant la peau douce de celle qui la soutenait. Entre deux hoquets de sanglots, elle murmura :
« C'était lui... Je l'ai revu... encore et encore. »
Ivana sentit son propre cœur se serrer à ces mots. Elle s'éloigna juste assez pour croiser le regard noyé de larmes d'Agatha. Doucement, elle leva la main, effleurant les joues humides avec ses doigts. Les larmes traçantes furent balayées par ce geste plein de douceur et de soin.
« Je sais que ça fait mal, » murmura Ivana, son ton empreint d'une tendresse rare. « Mais tu n'as pas à porter ça toute seule. Je suis là, Agatha. Et je serai toujours là. »
Agatha ferma les yeux, savourant le contact apaisant d'Ivana sur sa peau. Une nouvelle vague d'émotion monta en elle, mais cette fois, ce n'était plus de la douleur brute. C'était un étrange mélange de soulagement et de gratitude.
Ivana posa son front contre celui d'Agatha, leurs souffles se mêlant dans le silence de la chambre. Elle continua à caresser ses cheveux, sa main libre venant se poser sur le bras d'Agatha, traçant des cercles légers pour calmer les tremblements qui persistaient.
« Tu n'as pas besoin d'être forte tout le temps, » ajouta Ivana après un moment. « Laisse-moi t'aider, laisse-moi porter un peu de cette douleur avec toi. »
Agatha ouvrit les yeux, plongeant dans le regard sincère d'Ivana. Ses larmes avaient cessé de couler, bien que ses yeux restent brillants de chagrin.
« Pourquoi tu fais tout ça pour moi ? » demanda-t-elle, sa voix rauque et brisée, teintée d'une fragilité rare.
Ivana sourit doucement, posant une dernière fois sa main sur sa joue. « Parce que je t'aime Agatha. Plus que tu ne le réalises. »
Ces mots réchauffèrent le cœur d'Agatha malgré l'obscurité persistante de ses souvenirs. Elle hocha doucement la tête, puis laissa sa tête retomber sur l'épaule d'Ivana.
« Merci... » murmura-t-elle, sa voix presque inaudible.
Ivana déposa un baiser léger sur le sommet de sa tête, continuant à la bercer doucement. « Tu n'as pas besoin de me remercier. Je t'ai promis que je serais là pour toi, et je tiens toujours mes promesses. »
Dans les bras d'Ivana, Agatha sentit enfin le poids de son cauchemar s'alléger, même si elle savait que les souvenirs ne disparaîtraient pas. Mais pour l'instant, elle se laissa aller à cette sécurité, à cette douceur qui faisait taire ses peurs, ne serait-ce que pour un instant.
☆○o。  。o○☆
La chambre de Regina était plongée dans l'obscurité, les rideaux tirés pour empêcher la lumière de la lune d'y pénétrer. Tout était calme, si ce n'était le léger bruissement des draps alors qu'elle s'agitait dans son sommeil. Son front était perlé de sueur, son souffle rapide et irrégulier. Elle était plongée dans un rêve qui n'avait rien de paisible.
Le décor était flou, changeant constamment autour d'elle, mais une chose restait immuable : Daniel. Il était là, debout devant elle, son regard perçant la fixant avec une intensité glaciale.
« Daniel ? » murmura Regina, hésitante. 
Elle s'approcha de lui, ses bras tendus comme pour le toucher, mais quelque chose dans son expression lui donna envie de reculer.
Daniel sourit, mais ce n'était pas le sourire doux qu'elle connaissait. C'était un rictus cruel, tordu par une colère qu'elle ne comprenait pas.
« Pourquoi ? » dit-il, sa voix froide et tranchante. « Pourquoi tu as fait ça, Regina ? »
Elle cligna des yeux, confuse. « Fait quoi ? Daniel, je... je ne comprends pas. »
« Ne joue pas l'innocente ! » Il s'avança, et d'un geste brusque, il saisit ses poignets. Son étreinte était douloureuse, presque brûlante. « Tu m'as tué. C'est ta faute si je suis mort ! »
Regina sentit son cœur se serrer dans sa poitrine. « Non... Non, ce n'est pas vrai ! » protesta-t-elle, les larmes aux yeux. « Je t'aimais, Daniel. Jamais je n'aurais voulu que... »
Mais il ne la laissa pas finir. Son regard s'assombrit, et son visage devint une caricature terrifiante de lui-même. Ses traits autrefois familiers et aimants étaient désormais déformés par la haine.
« Tu m'as trahi ! » rugit-il, sa voix résonnant comme un coup de tonnerre. « Si tu m'avais écouté, si tu avais fait ce qu'il fallait, je serais encore en vie. Mais à la place... »
Il relâcha ses poignets et recula d'un pas, plongeant la main dans sa poche. Lorsqu'il la ressortit, un couteau brillait entre ses doigts.
« Tu m'as laissé mourir, et maintenant, c'est ton tour. »
Regina sentit une vague de panique l'envahir. Elle recula, trébuchant sur le sol, son regard rivé sur l'arme.
« Daniel, non ! Arrête ! Ce n'est pas moi, je t'en prie... »
Il ne l'écoutait pas. Il avançait lentement vers elle, son regard sombre fixé sur le sien. Les murs autour d'eux semblaient se rapprocher, emprisonnant Regina dans une terreur grandissante.
« Tu m'as détruit, Regina. Maintenant, je vais te renvoyer la pareille. »
Il leva le couteau, et dans un mouvement rapide, il l'abattit vers elle.
Regina se réveilla en sursaut, son cri perçant brisant le silence de la nuit. Elle haletait, son corps tremblant sous l'effet du cauchemar. Sa main se porta instinctivement à sa poitrine, là où le couteau avait été sur le point de la frapper.
Elle tourna la tête, s'assurant qu'elle était bien seule dans sa chambre. Les murs étaient immobiles, le lit intact, et aucune trace de Daniel. Mais son cœur battait encore à tout rompre, et son esprit était hanté par ses dernières paroles.
Elle se leva lentement, sa chemise de nuit collée à sa peau moite. Elle se dirigea vers la fenêtre, espérant que l'air frais de la nuit calmerait ses nerfs. Mais même en fixant les étoiles, elle ne pouvait chasser l'image de Daniel, son regard de reproche et ses accusations.
« Ce n'était pas ma faute, » murmura-t-elle à voix basse, comme pour se convaincre elle-même.
Mais au fond d'elle, une petite voix murmurait : Et si c'était vrai ?
☆○o。  。o○☆
Le bureau de Regina était illuminé par la lueur tamisée d'une lampe ancienne posée sur son bureau. Les murs, ornés de bibliothèques remplies de grimoires et de journaux, semblaient presque oppressants sous le poids des secrets qu'ils contenaient. Regina se tenait debout derrière son bureau, les bras croisés, le regard grave.
Autour d'elle, les autres étaient rassemblés. Agatha, assise dans un fauteuil près de la cheminée, avait les mains qui tremblaient légèrement. Ses doigts jouaient nerveusement avec le bord de sa manche, trahissant son malaise. Ivana, toujours attentive, s'était instinctivement rapprochée d'Agatha et posa doucement une main sur celle d'Agatha pour la calmer.
Lilia était debout, adossée contre le mur, les bras croisés, mais son visage portait une expression préoccupée. Lucillia, quant à elle, semblait plus tendue que jamais. Elle était assise à côté de Lilia, et son regard allait de Regina à chaque personne dans la pièce, comme si elle cherchait des réponses qu'elle ne pouvait pas trouver seule.
Mary-Margarette et David étaient silencieux, échangeant des regards furtifs. L'atmosphère était lourde, presque étouffante.
Regina prit une profonde inspiration avant de briser le silence.
« Nous sommes tous ici pour une raison », dit-elle, sa voix calme mais empreinte de gravité. « Ces cauchemars que vous avez eus... ils ne sont pas normaux. Ce n'est pas un hasard si nous les avons eus en même temps. Quelque chose de plus sombre est à l'œuvre. »
Lucillia hocha la tête, le regard fixé sur ses mains jointes. Après un moment d'hésitation, elle parla, sa voix légèrement tremblante.
« Ce n'est pas seulement un cauchemar... » murmura-t-elle. « Je... j'ai vu quelque chose. Une ombre. »
Tous les regards se tournèrent vers elle. Lilia se redressa légèrement, les sourcils froncés.
« Une ombre ? » demanda Regina, son ton devenant plus tranchant.
Lucillia acquiesça lentement. « Oui. Juste après que je me sois réveillée... Elle était là, dans ma chambre. Elle s'est déplacée comme si elle cherchait quelque chose... ou quelqu'un. Puis elle a disparu dans le mur. »
« Tu es sûre de ce que tu as vu ? » demanda David, la voix pleine de scepticisme.
Lucillia lui lança un regard noir. « Je sais ce que j'ai vu, David. Ce n'était pas mon imagination. »
Lilia, qui n'avait pas parlé jusque-là, serra les poings. « Si ces cauchemars sont liés à cette ombre, alors il faut trouver ce que c'est. Nous ne pouvons pas rester dans le noir. »
Regina approuva d'un signe de tête. « Nous devons enquêter. Mais avant cela, je veux entendre ce que chacun de vous a vu dans ses cauchemars. »
Agatha tressaillit à cette demande. Ses mains tremblaient plus violemment maintenant, et Ivana, toujours à ses côtés, glissa sa main dans la sienne. Elle pressa doucement les doigts d'Agatha, un geste à la fois apaisant et protecteur.
« C'est bon, Agatha, » murmura Ivana. « Tu n'es pas obligée de tout raconter si tu ne te sens pas prête. »
Le regard d'Agatha se posa sur Ivana, une lueur de gratitude mêlée de douleur dans les yeux. Elle hocha doucement la tête, mais les tremblements persistèrent.
Lucillia, sentant la tension monter, reprit la parole. « Si cette ombre est liée à nos cauchemars, alors elle pourrait aussi être la source de ce que nous ressentons. Une sorte de... parasite ? Une force maléfique ? »
Mary-Margarette prit enfin la parole, sa voix sèche et distante. « Si c'est un sort ou une entité, alors il faut agir vite. Ces cauchemars vont finir par nous briser. »
Regina acquiesça. « D'accord. Voici ce que nous allons faire : je vais chercher dans mes grimoires des informations sur des ombres similaires ou des entités capables d'influencer les rêves. Mais je vais avoir besoin de vous tous. Chacun devra partager ce qu'il a vu ou ressenti. Même les détails les plus insignifiants pourraient être importants. »
Un silence suivit ses paroles, seulement brisé par le crépitement du feu dans la cheminée.
Ivana serra un peu plus fort la main d'Agatha et se pencha légèrement vers elle. « Tu n'es pas seule dans tout ça, » murmura-t-elle doucement.
Agatha prit une profonde inspiration et redressa un peu les épaules. « Merci, Chérie. »
Regina les observa un moment avant de poser ses mains à plat sur son bureau. « Très bien. Nous avons du travail à faire. Mais une chose est claire : nous ne sommes pas seuls ici. Cette ombre, quoi qu'elle soit, veut quelque chose. Et nous devons découvrir quoi avant qu'il ne soit trop tard. »
Tous hochèrent la tête, conscients que ce n'était que le début d'un combat bien plus grand que leurs cauchemars.
« Je sais ce que c'est, » dit Gold, qui se tenait à l'écart jusqu'à présent, les mains croisées derrière son 
dos.
Tous les regards se tournèrent vers lui. Son ton était calme, mais ses yeux brillaient d'une inquiétude inhabituelle.
« Vous avez vu ça avant ? » demanda Regina, fronçant les sourcils.
Gold hocha lentement la tête, avançant de quelques pas pour rejoindre le centre de la pièce. Il sembla peser chaque mot avant de parler, comme s'il s'agissait d'un poids qu'il portait depuis trop longtemps.
« Ce que vous avez vu... ce n'est pas un hasard. C'est une entité ancienne. Un parasite qu'on appelle le Monstre des Rêves. Il existe pour une seule raison : se nourrir. »
Lucillia déglutit, mal à l'aise. « Se nourrir de quoi ? »
Gold la regarda, ses yeux sombres plongés dans les siens. « De vos peurs. De vos regrets. Il hante vos nuits, cherchant les failles dans votre esprit. Les souvenirs douloureux, les remords, les doutes. Chaque moment où vous cédez à la peur, il grandit. Il devient plus fort. »
Agatha serra instinctivement la main d'Ivana, son visage pâle. « Pourquoi nous ? Pourquoi maintenant ? »
Gold détourna les yeux, regardant le sol comme s'il y voyait une réponse. « Le Monstre des Rêves ne vient jamais par hasard. Il est attiré par une énergie particulière, un déséquilibre émotionnel ou magique. L'un d'entre vous... ou peut-être vous tous... portez quelque chose en vous qui l'a attiré. Une douleur si intense qu'il n'a pas pu y résister. »
Regina fronça les sourcils. « Et comment savons-nous qui ou quoi l'a attiré ? »
Gold la fixa, mais ne répondit pas immédiatement. Au lieu de cela, il s'approcha de la fenêtre, ses doigts effleurant le verre froid.
« La dernière fois que je l'ai vu... c'était il y a de nombreuses années. Une femme que je connaissais, tourmentée par le souvenir de la perte de ses enfants. Il s'était infiltré dans ses rêves, la rendant de plus en plus faible. Il s'est nourri d'elle jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'une coquille vide. »
Lilia, qui avait écouté en silence, serra les poings. « Alors quoi ? On est condamnés à le laisser nous détruire comme elle ? »
Gold tourna lentement la tête vers elle, son expression grave. « Non. Il existe un moyen de le vaincre. Mais ce n'est pas facile. »
Regina s'avança, posant une main ferme sur son bureau. « Parle. Maintenant. »
Gold soupira profondément, croisant les mains devant lui.
« Pour affaiblir le Monstre des Rêves, il faut lui refuser ce qu'il cherche. La peur. Les regrets. Vous devez affronter vos cauchemars, accepter vos erreurs et vos douleurs passées. Tant que vous fuyez ou que vous luttez contre vos souvenirs, il se nourrira. Mais si vous les acceptez, il perdra son pouvoir sur vous. »
Un silence lourd suivit ses paroles. L'idée de revisiter leurs pires souvenirs, de faire face à leurs traumatismes, semblait presque pire que le cauchemar lui-même.
Mary-Margarette brisa le silence, sa voix sèche et incrédule. « Donc tu es en train de nous dire que pour le vaincre, on doit... faire la paix avec nous-mêmes ? »
Gold acquiesça. « C'est la première étape. Mais même si vous réussissez, il restera dangereux. Il faut l'attirer dans un lieu où il sera vulnérable. Un endroit entre le monde des rêves et la réalité. Une sorte de frontière. Là, il peut être détruit. »
Regina croisa les bras, son regard perçant fixé sur Gold. « Et comment on l'amène là ? »
Gold esquissa un sourire froid. « Il existe un sort. Mais il nécessite une grande puissance magique et un sacrifice. Une personne devra l'affronter directement dans le monde des rêves pour l'attirer à cet endroit. »
Lucillia fronça les sourcils. « Et cette personne ? Elle risque quoi ? »
Gold la regarda longuement. « Tout. Si elle échoue, elle restera prisonnière du Monstre pour l'éternité. »
Un murmure inquiet parcourut la pièce. Agatha détourna les yeux, ses mains tremblant légèrement malgré la présence réconfortante d'Ivana à ses côtés.
Les regards échangés dans la pièce étaient lourds d'une détermination teintée de peur. Une chose était claire : ce combat serait aussi bien contre leurs propres démons qu'une entité surnaturelle.
☆○o。  。o○☆
Le ciel était sombre, strié de nuages tourbillonnants comme si la nuit elle-même avait pris vie. Le terrain choisi pour l'affrontement était un espace liminal entre rêve et réalité, une clairière fantomatique entourée de silhouettes d'arbres qui semblaient vaciller à chaque instant. Au centre de cet endroit, une masse d'ombres mouvantes et informes flottait, ses murmures terrifiants résonnant dans l'air.
Le Monstre des Rêves était gigantesque, son corps ressemblant à une fumée noire qui s'échappait et se reformait sans cesse. Ses yeux, deux puits de lumière rouge, suivaient chaque mouvement de ses adversaires. Il semblait se nourrir de leurs doutes et de leurs peurs, grandissant à chaque instant.
Regina se tenait en avant, ses mains étincelant d'énergie magique. « On doit le distraire pendant que le sort se termine. Si quelqu'un flanche, il s'en prendra à nous tous. Soyez prêts ! »
Emma hocha la tête à ses côtés, serrant son épée enchantée. « Facile à dire. Ce truc donne l'impression de pouvoir nous avaler tout entiers. »
Lucillia, bien que moins expérimentée que les autres, s'avança avec détermination. Elle tenait entre ses mains un talisman magique donné par Rumple, un artefact essentiel pour sceller la créature. 
« J'ai le talisman. Faites en sorte qu'il reste occupé pendant que je l'active. »
Rumple, vêtu de son habit sombre habituel, observait le monstre avec une expression calme mais concentrée. « N'oubliez pas, mes chers... ce monstre vit de vos peurs. Contrôlez-les, ou il vous consumera. »
Le Monstre des Rêves poussa un hurlement, une onde de choc qui fit trembler le sol. Sa voix gutturale résonna dans l'air :
« Vous osez me défier ? Vous n'êtes rien ! Vous êtes faibles, brisés... et je me nourrirai de chacun de vos échecs ! »
Regina ne se laissa pas intimider. Elle lança une boule de feu directement dans le cœur de la créature, la faisant hurler de rage
. « On verra qui est faible ! » cria-t-elle, ses yeux brillant de défi.
Emma bondit en avant, son épée enchantée fendillant l'air. Elle frappa une des extensions d'ombres qui se dirigeait vers Lucillia, dispersant la fumée avec une lumière éclatante.
 « Reste derrière moi, Lucillia ! » dit-elle, tenant fermement sa position.
Rumple, quant à lui, traçait des symboles compliqués dans l'air, ses paroles anciennes résonnant dans la clairière. « Le sort est en cours, mais il faut plus de temps. Regina, Emma, tenez-le en respect ! »
Le Monstre des Rêves répliqua en envoyant une vague d'énergie noire dans leur direction. Regina dressa un bouclier magique juste à temps, mais l'impact la fit reculer de plusieurs pas.
« On va avoir besoin de plus qu'un simple bouclier, » grogna-t-elle, transpirant sous l'effort.
Emma chargea à nouveau, son épée brillant d'une lumière dorée. Elle planta la lame directement dans une autre extension de fumée, forçant le monstre à se rétracter momentanément. 
« Ça, c'est pour tous les cauchemars que tu as causés ! » cria-t-elle.
Pendant ce temps, Lucillia se concentra sur le talisman. Elle récita les incantations que Rumple lui avait enseignées, sa voix tremblante mais ferme. L'objet commença à émettre une lumière intense, et les murmures du Monstre devinrent plus agressifs.
« Arrêtez-la ! » hurla la créature, envoyant des tentacules d'ombres vers Lucillia.
Rumple intervint juste à temps, levant sa main pour projeter un éclair d'énergie dorée qui dispersa les ombres. 
« Pas si vite, mon très  cher. C'est fini pour toi. »
Regina, voyant une ouverture, canalisa toute son énergie dans un sort destructeur. Une colonne de feu jaillit de ses mains, enveloppant la créature dans une lumière aveuglante.
Emma se retourna vers Lucillia. « Maintenant ! Fais-le ! »
Lucillia serra le talisman et prononça les derniers mots de l'incantation. Une lumière éclatante jaillit de l'objet, enveloppant le Monstre des Rêves. La créature hurla, se débattant violemment alors qu'elle était aspirée dans le talisman.
En quelques secondes, l'ombre s'était dissipée, et le silence retomba sur la clairière. Lucillia, épuisée mais triomphante, s'effondra à genoux, tenant le talisman maintenant froid et inerte.
Regina s'approcha rapidement d'elle, posant une main sur son épaule. « Tu as réussi. »
Lucillia leva les yeux vers elle, un sourire fatigué mais sincère aux lèvres. « On a réussi. »
Emma essuya la sueur de son front, rangeant son épée. « Eh bien, ça... c'était intense. »
Rumple, avec son habituelle nonchalance, épousseta son manteau. « Pas mal pour une équipe improvisée. »
Alors que la lumière s'estompait et que le Monstre des Rêves disparaissait enfin dans le talisman, Gold recula légèrement, un sourire en coin masquant sa véritable intention. Tandis que Regina et Emma s'assuraient que Lucillia allait bien, il saisit l'occasion.
Profitant de la fatigue générale et du chaos qui s'éteignait, Gold fit un geste subtil, ses doigts experts s'avançant vers une mèche fine des cheveux de Lucillia tombée sur son manteau pendant le combat.
Il murmura doucement, pour lui-même : « Rien ne se perd dans le tumulte, n'est-ce pas ? »
Sa main refermée sur la mèche, il glissa habilement le précieux filament dans la poche intérieure de son manteau, son expression calculatrice cachée derrière un masque d'indifférence.
Lorsque Regina se tourna vers lui, il hocha simplement la tête. « Tout va bien ? » demanda-t-elle, fatiguée mais vigilante.
« Aussi bien que possible, » répondit-il d'une voix suave, son regard fuyant brièvement Lucillia.
Mais plus tard, alors que les autres quittaient la clairière, il resta en arrière un instant. Se retirant à l'écart, il sortit la mèche de cheveux, la tenant délicatement entre ses doigts, comme un trésor fragile.
« Une simple mèche, et pourtant... tant de réponses possibles, » murmura-t-il, ses yeux sombres scintillant d'une étrange lumière.
Il inspira profondément, fixant les cheveux comme si la réponse lui apparaîtrait soudainement. Puis, dans un murmure à peine audible, il laissa échapper :
« Je saurai qui tu es... Lucillia. »
Un sourire énigmatique étira ses lèvres, avant qu'il ne range soigneusement la mèche et ne disparaisse dans l'ombre, toujours aussi insaisissable.
☆○o。  。o○☆
Lucillia, cherchant à effacer les souvenirs troublants de ses récents cauchemars, s'était réfugiée sous une douche chaude. Une fois prête et habillée, elle décida d'aller rendre visite à Lilia, qu'elle n'avait pas revue depuis la fameuse réunion dans le bureau de Regina. Le besoin de retrouver leur complicité et de s'assurer que tout allait bien pour son amie la poussa à frapper à sa porte.
Lilia ouvrit presque immédiatement, visiblement ravie de voir Lucillia. Un sourire éclaira son visage tandis qu'elle l'accueillait avec un chaleureux. La chambre était calme, éclairée uniquement par une petite lampe posée sur la table de chevet. Lilia se tenait près de la fenêtre, les bras croisés, regardant distraitement le monde extérieur. Lucillia, assise sur le bord du lit, l'observait en silence depuis plusieurs minutes.
Elle finit par rompre le silence, sa voix douce mais légèrement frustrée.
« Lilia, qu'est-ce qui se passe ? »
Lilia ne répondit pas tout de suite, se contentant de serrer ses bras un peu plus fort contre elle. Lucillia soupira, se levant pour s'approcher.
« Tu es... distante. Froide, même. » Elle s'arrêta juste derrière elle, hésitant un instant avant de poser une main légère sur son épaule. « Si j'ai fait quelque chose, dis-le-moi. Mais ne me laisse pas dans le flou comme ça. »
Lilia se raidit sous le contact, mais ne se retourna pas.
« Ce n'est rien, » murmura-t-elle, sa voix légèrement tremblante.
« Ce n'est pas rien, » répliqua Lucillia, plus ferme. « Je te connais. Et là, tu es en colère, ou blessée, ou... je ne sais pas. Mais je veux comprendre. »
Lilia inspira profondément, son cœur battant à tout rompre. Elle n'avait pas prévu de parler de ça. Pas maintenant. Mais le regard sincère et persistant de Lucillia était impossible à ignorer.
Finalement, elle se retourna, croisant les bras devant elle comme pour se protéger.
« J'ai fait un rêve, » avoua-t-elle à contrecœur, son regard baissé. « Et depuis, je n'arrive pas à m'en débarrasser. »
Lucillia fronça les sourcils, intriguée. « Un rêve ? Quel genre de rêve ? »
Lilia hésita, ses joues prenant une légère teinte rosée. Elle serra les poings, luttant contre l'embarras et la peur de se dévoiler.
« Je t'ai vue, » finit-elle par dire, sa voix presque inaudible. « Avec Regina. »
Lucillia recula légèrement, surprise. « Regina ? »
Lilia hocha la tête, fixant obstinément le sol. « Vous étiez... ensemble. Vous vous embrassiez. Et... » Elle serra les mâchoires, sa voix tremblant légèrement. « Ça avait l'air si réel. Si... naturel. Comme si tu... comme si tu l'aimais. »
Un silence tomba, Lucillia observant Lilia avec une expression mêlant surprise et incompréhension. Puis, doucement, un sourire amusé se dessina sur ses lèvres.
« Tu crois que Regina et moi... » Elle s'interrompit, secouant la tête, presque incrédule. « Lilia, écoute-moi. Ça n'arrivera jamais. »
Lilia releva enfin les yeux, ses sourcils légèrement froncés. « Comment peux-tu en être si sûre ? Vous avez un lien, toi et elle. Je le vois bien. Elle t'admire, elle te cherche constamment. Et toi... tu n'es pas indifférente. »
Lucillia posa une main sur la joue de Lilia, la forçant doucement à la regarder dans les yeux.
« C'est vrai que Regina compte pour moi, » dit-elle calmement. « Mais pas comme toi. Avec elle, c'est de l'amitié, de l'affection. Mais toi, Lilia... » Elle s'arrêta, cherchant les bons mots. « Toi, c'est différent. Tu es celle qui occupe mes pensées, celle avec qui je veux être. »
Lilia sentit son cœur s'emballer, mais une part d'elle résistait encore. « Tu dis ça maintenant. Mais... Regina elle est t forte, déterminée... et belle. Très belle, même. Ça ne m'étonnerait pas que tu ressentes quelque chose pour elle. Après tout, c'est Regina. Qui ne tomberait pas sous son charme ? »
Lucillia fronça les sourcils, perplexe. « Lilia, pourquoi tu me dis ça ? »
Mais Lilia continua, presque comme si elle ne l'avait pas entendue. « Elle a cette présence, tu sais ? Cette manière de captiver tout le monde autour d'elle. Et toi, Lucillia... tu mérites quelqu'un comme ça. Quelqu'un qui est à ta hauteur. »
Lucillia ouvrit la bouche pour protester, mais Lilia n'avait pas fini.
« Mais toi, tu es encore plus incroyable, » ajouta-t-elle, sa voix s'adoucissant. « Tu es intelligente, drôle, sexy... et tu as ce regard, ce sourire... Je veux dire, qui ne tomberait pas amoureux de toi ? Tu mérites tellement mieux que... »
Elle s'arrêta brusquement, ses mots mourant dans sa gorge.
« Que quoi ? » demanda Lucillia doucement, s'approchant un peu plus.
Lilia secoua la tête, évitant son regard. « Que moi, » murmura-t-elle finalement.
Lucillia resta silencieuse un instant, ses yeux fixant Lilia avec une intensité qu'elle ne pouvait ignorer. Puis, sans un mot, elle s'avança, réduisant la distance entre elles.
« Lilia, » murmura-t-elle, un sourire en coin. « Seigneur tu parles trop. »
Avant que Lilia ne puisse réagir, Lucillia attrapa son visage entre ses mains et l'embrassa.
Le baiser fut rapide au départ, un simple moyen de la faire taire, mais il se transforma rapidement en quelque chose de plus profond, de plus sincère. Lilia, d'abord figée de surprise, se laissa rapidement emporter, ses mains trouvant leur place sur la taille de Lucillia.
Quand elles se séparèrent, légèrement essoufflées, Lucillia la fixa avec un mélange d'amusement et de tendresse.
« Pour que tu saches, » dit-elle doucement, « je ne veux pas Regina. Je te veux, toi alors arrête de t'inquiéter pour des choses qui n'existent pas ? »
Lilia fixait Lucillia, encore sous le choc de ses paroles. Les battements de son cœur résonnaient dans ses oreilles, et ses pensées tournaient en boucle.
« Tu... tu veux de moi ? » murmura-t-elle, presque incrédule.
Lucillia, toujours si sûre d'elle, resta silencieuse un instant, un sourire doux flottant sur ses lèvres.
Lilia secoua la tête, incapable de comprendre. « Pourquoi ? Pourquoi moi ? Je suis plus vieille que toi, moins belle que Regina... Je ne comprends pas. »
Lucillia ne lui laissa pas finir. Elle posa doucement une main sur la joue de Lilia, la forçant à se taire et à la regarder dans les yeux.
« Arrête, Lilia, » dit-elle fermement, sa voix emplie de tendresse. « Ne parle pas de toi comme ça. »
Elle caressa lentement la joue de Lilia du bout des doigts, avant de glisser sa main dans ses cheveux, jouant avec une mèche.
« Tu es magnifique, » continua Lucillia, sa voix baissant d'un ton, presque un murmure. « Tu as ces yeux qui disent tout, même quand tu ne veux rien montrer. Ce sourire... si rare, mais tellement précieux. Et cette force... même quand tu doutes, tu continues d'avancer. »
Lilia ouvrit la bouche pour protester, mais Lucillia posa un doigt léger sur ses lèvres, l'interrompant.
« Laisse-moi finir, » murmura-t-elle avec un sourire. « Tu es douce, attentionnée, et bien plus courageuse que tu ne le crois. Tu te dénigres, mais moi, je te vois. Toute entière. Et c'est toi que je veux. Pas Regina, pas quelqu'un d'autre. Toi, Lilia. »
Lilia  n'avait jamais entendu de tels mots, encore moins venant de quelqu'un qu'elle admirait autant.
Lucillia s'approcha, posant doucement son front contre celui de Lilia. Elle ferma les yeux un instant, respirant profondément avant de murmurer :
« Je t'aime, Lilia. »
Avant que Lilia ne puisse répondre, Lucillia l'embrassa à nouveau, ses lèvres trouvant les siennes avec une douceur infinie. Ce baiser n'avait rien d'hésitant : il était empreint de passion, mais aussi de tendresse et de sincérité.
Quand elles se séparèrent, Lucillia ouvrit les yeux et croisa le regard embué de Lilia. Elle sourit doucement, effleurant à nouveau sa joue.
Lilia fixait Lucillia, son cœur battant la chamade. Les mots dansaient sur le bout de sa langue, brûlant d'être prononcés.
« Moi aussi... » murmura-t-elle finalement, sa voix tremblante mais sincère. « Je t'aime, Lucillia. »
Lucillia resta figée un instant, ses yeux brillants d'émotion. Puis, un sourire radieux éclaira son visage, et elle se rapprocha doucement de Lilia.
Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser tendre, délicat, presque timide au départ. Mais cette douceur céda rapidement la place à une passion plus intense. Lilia, laissant ses sentiments prendre le dessus, glissa ses mains dans les cheveux de Lucillia, jouant avec leurs mèches soyeuses.
Elle approfondit le baiser avec une assurance nouvelle, ses lèvres caressant celles de Lucillia avec une intensité grandissante. Puis, dans un geste instinctif, elle mordilla doucement la lèvre inférieure de Lucillia avant de la sucer délicatement.
Lucillia se mit à sourire contre ses lèvres, un léger rire s'échappant de sa gorge. « Tu sais que j'adore ça, n'est-ce pas ? » murmura-t-elle, amusée mais visiblement ravie.
Lilia recula légèrement, ses joues rougissant, mais un sourire malicieux jouait sur ses lèvres. « Peut-être que je commence à comprendre ce que tu aimes. »
Lucillia rit doucement avant de l'attirer à nouveau contre elle, capturant ses lèvres dans un baiser encore plus passionné. Le monde autour d'elles semblait disparaître, ne laissant que leur proximité, leurs caresses, et le feu naissant entre elles.
Le baiser dura longtemps, chaque instant chargé d'émotion et d'une intensité nouvelle. Quand elles se séparèrent enfin, leurs fronts se touchèrent à nouveau, leurs souffles courts mais synchronisés.
Le souffle encore court après leurs baisers passionnés, Lucillia laissa ses mains effleurer la taille de Lilia. Puis, lentement, elle inclina la tête pour déposer ses lèvres sur le cou délicat de Lilia.
Le contact fut doux au départ, une simple pression chaude, mais bientôt ses lèvres traçèrent un chemin plus précis, alternant entre des baisers légers et des pressions plus insistantes.
Lilia ferma les yeux, sa respiration s'accélérant. Elle pencha la tête en arrière, offrant davantage son cou à Lucillia, un soupir échappant à ses lèvres. Son corps tout entier semblait réagir à ces attentions.
Soudain, prise d'une audace nouvelle, Lilia se redressa légèrement et, dans un mouvement fluide, elle se retrouva à califourchon sur Lucillia. Les mains de Lucillia, instinctivement, se posèrent sur les cuisses de Lilia, leurs doigts s'enfonçant légèrement dans la chair, témoignant de la tension et de l'excitation du moment.
Lilia se pencha alors, ses lèvres frôlant doucement la peau tendre du cou de Lucillia. Elle y déposa un baiser, puis un autre, avant de se concentrer sur un point précis. Ses lèvres et sa langue laissèrent une marque visible, un suçon qu'elle créait avec soin.
« Tu es à moi, rien qu'à moi, » chuchota-t-elle contre la peau de Lucillia, sa voix à la fois douce et possessive.
Lucillia frissonna sous ces mots, un sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle serra un peu plus les cuisses de Lilia entre ses mains, savourant chaque sensation.
Elle releva les yeux, plongeant son regard dans celui de Lilia, et murmura : « Toujours. »
Lucillia s'approche lentement de Lilia, ses mains glissant délicatement sous le haut de celle-ci. La douceur de ses caresses fait frissonner Lilia, qui ferme les yeux pour savourer chaque instant. Les doigts de Lucillia explorent la peau nue de Lilia, créant une sensation de chaleur et d'intimité. 
« Tu es si belle, » murmure Lucillia, sa voix douce comme un souffle. Lilia, perdue dans ce moment, laisse échapper un soupir de contentement. 
Lucillia, avec une tendresse infinie, commence à enlever le haut de Lilia, révélant sa peau douce à la lumière tamisée. Elle prend un instant pour admirer la beauté de son amante avant de descendre lentement, ses lèvres effleurant le haut de la poitrine de Lilia. 
« Je veux te chérir, » dit-elle, ses mots chargés de promesses, alors qu'elle embrasse délicatement la peau de Lilia, créant une connexion intime entre elles. 
Lilia, encore plus envoûtée, murmure : « Ne t'arrête jamais. »
Lucillia, avec une assurance nouvelle, inverse les rôles et se retrouve au-dessus de Lilia. Un sourire complice éclaire son visage alors qu'elle plonge son regard dans celui de Lilia, une étincelle de malice dans ses yeux. 
Lucillia commence à enlever délicatement le bas de Lilia, ses mouvements fluides et attentifs. Chaque geste est empreint de tendresse, comme si elle voulait savourer ce moment. Une fois le bas retiré, elle se penche vers Lilia, ses lèvres frôlant sa peau. 
« Tu es magnifique, » chuchote-t-elle avant de commencer à embrasser chaque parcelle de son corps, explorant chaque courbe avec une passion palpable. 
Lilia, enivrée par cette attention, laisse échapper un soupir de plaisir. « Oh, Lucillia, cela me rend folle, » murmure-t-elle, ses yeux s'ouvrant pour rencontrer ceux de Lucillia, remplis de désir. 
À chaque baiser, Lilia se sent de plus en plus excitée, chaque contact de Lucillia sur sa peau éveillant des sensations nouvelles et intenses. « Ne t'arrête pas, » implore-t-elle, sa voix tremblante d'anticipation.
Lucillia s'approche lentement de Lilia, ses mains délicates glissant sur sa cuisse, frôlant la culotte avec une douceur exquise. Un frisson parcourt le corps de Lilia, ses yeux s'agrandissant sous l'effet de la surprise et du désir. 
« Oh, Lucillia... » murmure-t-elle, sa voix tremblante trahissant son impatience. « S'il te plaît, continue... »
Lucillia sourit, un éclat malicieux dans ses yeux. Elle se penche plus près, sa respiration chaude effleurant la peau de Lilia. « Tu veux savoir l'effet que tu me fais ? » chuchote-t-elle, sa voix douce et envoûtante. 
Lilia, captivée par cette déclaration, se sent envahie par une vague de chaleur. « Oui, dis-moi... » supplie-t-elle, son cœur battant la chamade. 
Lucillia s'approche lentement, son regard captivant fixé sur Lilia. Avec une douceur délicate, elle prend la main de Lilia, la guidant doucement vers son corps. 
« Lilia, viens... » murmure-t-elle, sa voix empreinte de désir.
Lilia, le cœur battant, se sent frémir à l'idée de ce qui va suivre. Lorsqu'elle touche la culotte de Lucillia, déjà humide, un frisson d'excitation la parcourt. Elle se mord la lèvre, hésitant un instant, avant de se laisser emporter par l'instant. 
« Tu aimes ça ? » demande Lucillia, son souffle court, alors qu'elle observe la réaction de Lilia. 
« Oui... » répond Lilia, un sourire espiègle sur les lèvres. Elle commence à taquiner l'endroit, ses doigts explorant avec une assurance nouvelle. 
Lucillia ferme les yeux, un soupir d'extase échappant de ses lèvres. « Lilia, tu me rends folle... » dit-elle, sa voix tremblante de plaisir. 
« Je veux que tu ressentes tout, » répond Lilia, son regard pétillant de malice. Elle continue à jouer, intensifiant les sensations, savourant chaque instant de cette connexion intime.
. Avec une douceur infinie, elle glisse un doigt délicatement à l'intérieur de Lucillia, l'observant attentivement. 
« Lilia ... » murmure-t-elle, sa voix douce et chargée de désir. 
Lucillia laisse échapper un gémissement, un son qui résonne comme une mélodie pour Lilia. Elle peut voir le plaisir se répandre sur le visage de Lucillia, ses yeux se fermant sous l'effet des sensations. 
« Oh, Lilia... » soupire Lucillia, sa voix tremblante, « ça fait tellement de bien... » 
Pour Lilia, voir Lucillia dans cet état est une chose vraiment parfaite. Chaque gémissement, chaque mouvement de son corps, lui donne une satisfaction indescriptible.. 
« Ne t'arrête pas... » implore-t-elle, sa voix empreinte de désir. 
« Je ne compte pas le faire, » répond Lilia, sa détermination renouvelée, heureuse de pouvoir offrir à Lucillia ce moment de pur bonheur.
Les femmes continuent leur danse passionnée, le temps semblant s'étirer autour d'elles. La nuit enveloppe la pièce d'une atmosphère intime, et chaque mouvement est empreint de désir. Les bruits des gémissements et des soupirs se mêlent à la mélodie de la nuit, créant une symphonie de plaisir.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
4 notes · View notes
christophe76460 · 6 days ago
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4Le VIH/Sida m'a transformé en autre chose au bout de quelques années😭😭😭😭.Angelina Josiane depuis l'Allemagne .J'ai toujours maintenu ma forme initiale au début. Seulement un petit matin la maladie a déclenché 😭.Ma peau a commencé par changer de teint 🙆🙆. Le pire je maigris peu à peu😭. Quelques mois après j'ai honte de sortir parce que je suis totalement maigris 😭.Mon boulot et mes projets sont arrêtés.J'ai fait les traitements de l'hôpital pendant 3ans. Peu importe les comprimés prescrit par les médecins,je fais de mon possible pour payer. Pas de solution😭.Je suis fatiguée. Quand je me regarde en miroir, moi même je me dis que ma vie est finie 😭. Ma tante venant de voyage venue me voir dans cet état m'a dit que j'ai toujours la chance d'être guérit. Quand elle m'a mis en contact avec ce docteur qui traite ces cas de maladies où ces témoignages sont nombreux sur Facebook. Le docteur m'a parlé des produits naturels en boîtes. J'ai commandé et je les ai reçu. Petitement j'ai commencé mon traitement avec la foi🤲🤲. Je vous confirme aujourd'hui que Dieu a donné la force d'aller guérir les malades à certaines personnes
Ce que j'ai tenté pendant 3ans et 10mois, seulement à 45jours de traitements et je suis geurie.Merci mon Dieu🙏🏻🙏🏻🙏🏻
Vous qui êtes dans le cas, pour ne pas être surpris,contactez ce docteur prophète Moïse par son lien WhatsApp voici l'adresse du docteur 👇🫵🏻👇👁️👇🫵🏻👇TRES IMPORTANT POUR TOI QUI AS DE PROBLÈME POUR TOMBER ENCEINTE.
Je m'appelle Marie Marina, je vis au Congo précisément à Kinshasa. Ma soeur,n'abandonne jamais la recherche d'enfants jusqu'à ton dernier souffle. Prends mon cas comme exemple. Bien vrai,c'est Dieu qui donne l'enfant. Mais il ne descend jamais pour donner d'enfants à quiconque.C'est à travers les hommes qu'il fait son miracle. Un jour,Dieu t'excusera par quelqu'un.Prends courage. Ce n'est pas encore fini pour toi. Tu vas bientôt tomber enceinte parce que j'avais vécu aussi cette souffrance comme vous.J'avais
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worldsbiggestnerd101 · 5 months ago
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hi em.
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Je suis tres fatigué et malade :(
yo también, me duele la garganta y estoy cansada 3: lo siento que estás enfermo
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journalintimedemimi · 10 months ago
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depression 13/04/2024
Update de vie amoureuse :
Je suis en couple toujours , on est bien en paix calme mais on se parle rarement vu nos deux rythmes de vie differents on n'arrive pas à discuter des details juste l'essentiel. Et tant mieux . Si ca se trouve c'est plus paisible avec moins d'efforts et de temps perdu ❤️
Coté mental health :
Je suis toujours dans le meme combat , à vrai dire je suis fatiguée , ramadan etait dur mentalement et physiquement . Je compte me reprendre en main avec de nvs objectifs esperant que ça ira de mieux en moeux .
Coté self care :
Tres negligéeeeeeee je dois me resaisir ASAP parceque c'est plus possible cet état là
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s1lv3rp4w3dc4t · 24 days ago
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off topic, when I was little and we were learning prefixes, suffixes and root words, I think that's when I started loving language........ can you tell that I write lol
Bref, je vais essayer à parle français maintenant, mais je parle tres petite. Ma grammaire est tres tres mal........ Et je suis tricherie un peu...!! Qu'est que vais je dire?? Je m'appelle Silver ou Silv, j'adore 'inanimate insanity' et série similaire. (Ma tricherie est pire maintenant!!!!! et ma grammaire) Je veux à mange macaroni au fromage.... J'ai faim...... C'est presque cinq heures () et je suis fatiguée maintenant matin. Bonne nuit!, et je suis désolée pour ma grammaire presque.....
hi....... I noticed you have french in ur bio........
I'm learning french right now and I'm a pretty huge language nerd overall, but ESPECIALLY for french
right now I can make several very simple sentences with decent-ish grammar, but I hope to become fluent!!!!!
okay no one wants to hear me talk about french sorry. Im being strange again
I love hearing people talk about French actually
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etsicetaitmavie · 5 years ago
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Actuellement en train de regarder quand je vais poser mes vacances d'ici à fin août.
Parce que quoiqu'il arrive, ça me fait du bien de prévoir des vacances. Voilà.
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rosesoraa · 5 years ago
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Voila comment j'imagine Albus tout les vendredis soirs après un bon verre de fire whisky
Ca arrive quand il reçoit une lettre de minerva ( lettre qui se veut en fait très sérieuse )
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natequarter · 3 years ago
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ça va?
ca va bien mais je suis tres fatigué
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strxnged · 4 years ago
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oui, je vais tres bien! je juste sorti de la practique, j'ai pu bloquer une tonne de balles aujourdui-- mais je pense que je blesser l'ego de goshiki. 𝗵𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝗱𝘀, 𝗴𝗶𝗴𝗴𝗹𝗶𝗻𝗴 𝘀𝗹𝗶𝗴𝗵𝘁𝗹𝘆 𝗮𝘁 𝘁𝗵𝗲 𝗹𝗮𝘀𝘁 𝗯𝗶𝘁.
i laugh, shaking my head. oh nonn pauvre goshikiii. mais il ne devrait pas le prendre personellement. il n’a aucune chance contre toi, c’est comme ça. moi, j’aime te voir t’amuser!! êtes vous fatigué?? mais -- c’est pas difficle de blesser l’ego de goshiki. je suis sûr que tu as encore beaucoup d'énergie.
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nev-shitposts · 5 years ago
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Point mangos - Partie 3
La suite des mangasses que je lit actuellement ! 
Demain les oiseaux : 
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J’ai trouvé que ça commençais vraiment bien, et le trait de Tezuka et sa narration sont très efficace. Il y a des problématiques soulevées intéressantes, mais j’ai du mal à aller à l’encontre du chapitre dessiné comme des caricatures racistes et des côté très misogynes. En plus, là aussi, j’ai l’impression que ça sait plus trop où ça va, en refaisant des scènes de la Bible ou de l’histoire ?? Plutôt mitigée au final. 
Le mari de mon frère : 
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Il s’est avéré que c’était tout ce à quoi je m’attendais, donc un chouette manga, intéressant et touchant. J’avoue que je saurais pas trop quoi dire de plus, à part que je vous le recommandes, même si j’avoue que sur la thématique du traitement réaliste de comment sont perçues les personnes LGBT+ au Japon, j’ai préféré Eclats d’âme. Mais un chouette titre quand même. 
Octave : 
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Un yuri assez atypique sur une ancienne idol et la fille qu’elle rencontre et dont elle tombe amoureuse. Déjà, c’est agréable de voir un yuri qui représente de la sexualité lesbienne sans côté porn, mais en allant plus loin que des petits bisous. C’est très touchant, fort et introspectif, et la relation entre les deux héroines est extrêmement crédibles, leur tourments existentiels et liés à leurs boulots ou à leur amour sonne ultra vrai, j’ai moultement relaté (alors que je peux pas trop relater sur le côté lesbien de la chose). Le trait est doux, efficace et beaucoup de problématiques matures sont vraiment très bien abordées. La fin est bonne et touchante, j’ai vraiment adoré, un gros coup de cœur.  
Wet Moon : 
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Hmmm comment dire ? C’est graphiquement TRES BEAU, vraiment, mega belle claque et un encrage vraiment top. Après, le scénar est... vraiment vraiment bordélique, avec des histoires de voyage dans le temps, dans l’espace, les souvenirs et mes fesses et j’étais vraiment paumée. Sinon le contexte est plutôt atypique et intéressant, mais ouais, ça pars un peu trop dans tous les sens. Mais c’est beau ptn. 
Blue Spring Ride : 
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C’est très mims ! La relation des persos est cool, surtout les amitiés entre meufs/mecs, et le dessin est doux et léger. J’ai bof accroché sur les premiers tomes, j’ai trouvé ça un peu long globalement et surtout ptn le 2nd love interest est assez détestable et me rappelle mon premier ex adieu. Mais j’ai quand même apprécié ma lecture de ces 13 tomes. 
Doukyusei : 
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Le dessin est vraiment très beau et élégant, leur relation a un chouette développement et est agréable à suivre, et la narration marche bien... c’est du bon yawa bien sympa à se mettre sous la dent ! 
Au grand air : 
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C’est très cute pour l’instant (j’ai lu que le début), les relations entre les persos sont très mims et l’ambiance de camping vraiment chouette. C’est très le mignon.
Orange : 
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Génial. Une jolie petite claque, de beaux dessins, un ton aussi doux amer qu’optimiste, le thème de la dépression bien traité et surtout un groupe de personnages très réussi. Le groupe de pote est très attachant et leur amitié très touchante, les intérets amoureux sont de chouettes personnages, et on s’attarde juste assez sur tout dans ces 5 (6) tomes. C’est beau, c’est bien raconté, c’est top. 
Yokohama Kaidashi Kikō : 
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Un manga de SF simple et doux, qui parle d’un monde qui s’éteind tout doucement et de comment les gens vivent. C’est mélancolique, ça parle des petites choses de la vie, et le dessin est vraiment top (surtout les pages colorées, y’a des ambiances géniales). Au début, je trouvais ça un peu long, mais à force de retrouver les personnages, les lieux, et cette belle ambiance, on s’attache vraiment fortement à tout ça. A la fin, les choses nous touchent d’autant plus fortement qu’on les as suivit à leurs débuts. Une jolie découverte.
Un pont entre les étoiles : 
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 Un manga historique de l’amitié entre une petite fille japonaise et un petit garçon chinois durant la guerre sino-japonaise. Le dessin est très beau, et les thématiques vraiment intéressantes (surtout que je connaissait pas du tout cette partie de l’histoire. C’est bien fait, et certains questionnement, surtout de son côté à elle, sont vraiment intéressant (sur l’endoctrinement par ex). Après, j’ai trouvé certains passages un peu cuculs, mais quand on lit l’histoire, ça passe. 
La Fille du temple aux chats : 
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Un slice of life vraiment sympa ! J’en suis qu’au tome 6, mais si j’étais un peu dubitative au début, j’aime vraiment beaucoup à présent. Le dessin est top, en plus les personnages féminins ont une morphologie beaucoup plus réaliste que dans pleins de titres, ce qui fait zizir. Le groupe de persos est vraiment super attachants, encore une fois, et les thématiques sont chouettes. Bon, le fan service au début m’a un peu fatiguée, mais franchement ça passe. Ca représente les émois du héros de 15 piges, pourquoi pas. Et puis encore une fois, c’est traité de manière plutôt réaliste, ce qui est plutôt mims (et pas du gros ecchi lourd). Ce que j’ai beaucoup apprécié aussi, c’est comment était dessinée Shion, qui même si elle va être souvent mims, peut être dans des situations vraiment désexualisantes (genre en combinaison dans un arbre à couper des branches) et c’est tout con, mais c’est pas si fréquement fait .
Yamete kudasai, Mabushii desu : 
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Un bon petit yawa ! C’est très mignon, le dessin est très choupi, leur histoire est très choupie et contourne pas trop mal le côté “coup de foudre”, vu que même si ça part sur ça, les deux apprennent à se connaître. C’est mignon et sans prétention, mais franchement, on passe un doux moment. (en plus y’a un personnage féminin qui pourrait juste être une vilaine rivale mais qui finalement soutient et yess)
Shuuden Elegy : 
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Un recueil de oneshots yawas. Le dessin est très beau, et y’a vraiment de bonnes idées et de chouettes départs, mais on reste un peu sur notre faim je trouve. (même si j’aime beaucoup le chapitre 4). 
Gunjou no Subete : 
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J’ai eut un joli coup de cœur pour ce yaoi, avant de me rendre compte qu’il était de la même autrice que Kimi wa Natsu no Naka, qui est surement un de mes yaois fav (bien que je sois une pine là dedans). Donc, je note l’autrice, car elle sait à merveille développer des jolies relations sur des intérêts communs et une vraie complicité. C’est une histoire d’amour entre deux potes à la base qui ont un vrai problème de communication, qu’ils vont doucement régler. C’est bien traité, c’est doux, c’est du dessin mims (et ses couvs ensoleillées <3). Une bien jolie lecture. 
Summer Switch : 
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Je l’ai lu, et sur le moment je crois que j’ai bien apprécié, mais honnêtement j’en ais qu’un souvenir un peu vague, c’est que ça devait pas être si marquant, oupsie. 
Orange Yellow : 
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Et on termine sur un recueil de yuris... qui m’a laissé un peu sur la même impression. C’est mims, hein, mais je me souviens pas de grand chose. 
C’est tout pour cette fois, je reviendrais avec moult mangos. 
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nepvatu · 5 years ago
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cher amour !
Qu’est ce que tu fais maintenant? Peut-etre tu plonge dans le travaille à compagnie, où peut-etre tu lis un roman philosophie, je ne sais pas. ce que je sais est tu me manques beaucoup, beacoup. Dans récent jours, à cause de travaille, tu ne dors pas bien, chque fois je te vois, je vois des fatigues. je me sens tres triste, j’espere que je peux t’aider de faire quelque chose, donc tu as un bon dormir, un peu repos. mais je suis tres inutile, je ne  sais te voire que tu travaille et travaille, et je crie dans la solitude des nuites et des nuites..je t’aime, je t’aime beaucoup. 
tu le sais?
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Oh mon amour! Qu'est-ce que tu fais? Peut-être que tu te lances dans les affaires, ou peut-être que tu lis un roman philosophique, je ne sais pas. Ce que je sais, c'est que tu me manques beaucoup, beaucoup. Ces derniers jours, à cause du travail, tu ne dors pas bien, chaque fois que je te vois, je suis fatigué. Je me sens très triste, j'espère que je peux t’ aider à faire quelque chose, donc tu as un bon sommeil, fais une pause. Mais je suis tellement inutile, je ne sais même pas que tu travailles et travaille, et je pleure dans la solitude de la nuit et de la nuit .. Je t'aime, je t'aime beaucoup. tu connais?
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dlricket-blog · 5 years ago
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Comme sen passe ma semaine
Le week-end dernier J’ai visitée mes parents a Raleigh. Quan J’etais la, mon grand frère m’a invité a son maison. J’ai vue ma nièce d’enfant, Elle s’appelle Yumi. Elle a deux semaines. Je suis retournée a Greensboro dimanche. Je voulais aller Pride, mais J’etais tres fatiguée de voyager. J’espere que Je pouvais aller l’année prochaine. 
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thelittledarkfaery · 6 years ago
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Sevrage
Ca fait maintenant deux semaines que je suis à zero, j'ai arrêté mon effexor (antidépresseur , évidemment j'ai fait tout ça par palliers)
Je suis pas mal perdue
J'ai plein d'énergie mais pas pour tres longtemps
Je suis vite fatiguée
Mais niveau stress ça va
Mais j'ai beaucoup de mal à me réveiller et j'ai souvent le blues
Mais je vais m'en sortir
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nelltoo · 6 years ago
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Dans un Camion ???
Relou écrit « Tu as des fantasmes ? »
Nell écrit « Non pas spécialement »
Relou écrit « Plutôt hard ou soft ? »
Nell écrit « Les deux »
Relou écrit « Insolite ou confort ? »
Nell écrit « L’insolite ne me dérange pas, même si un peu de confort c’est pas mal aussi »
Relou écrit « Tu as des plans Q réguliers ou tu teste toujours de nouvelles personnes ? »
Nell écrit « Un peu les deux »
  « j’avoues, c’est pas cool de répondre de la sorte... je ressemble à Nyls avec ce genre de réponses, mais il n’arrête pas de poser des question et ça commence à me saouler un peu... »
Relou écrit « Tu ne veux pas dire à ton plan Q de ce soir que t’es malade ? »
Nell écrit « Dsl mais ce n’est pas un mec ce soir, c’est le sport »
Relou écrit « On peut en faire ensemble du sport ! »
Nell écrit « Dommage pour toi j’en ai déjà fait hier de ce sport-là »
Relou écrit « Tu ne fais pas d’efforts lol »
Nell écrit « En fait, tu es un gros forceur toi XD »
Relou écrit « Je suis juste fatigué et j’argumente toujours jusqu’au bout, mais tkt je ne suis pas méchant… juste un peu con ! Sinon tu as vu combien te mec dans ta vie ? »
Nell écrit « Je ne dirais pas plus d’une dizaine… et toi ? »
Relou écrit « Une centaine… je n’ai pas que des plans réguliers XD »
Nell écrit « C’est évident XD »
Relou écrit « J’espère que tu aimes les hommes expérimentés »
Nell écrit « Oui c’est TRES bien 😉 »
Relou écrit « Dis-moi des choses à savoir sur toi »
Nell écrit « Tu n’as pas plus vague comme question ? XD »
Relou écrit « Répond par tout ce qui te passe par la tête… sexuellement déjà »
Nell écrit « J’ai un blog…je suis une séduction addict… »
Relou écrit « Détails ? »
Nell écrit « Bin la séduction me plaît presque plus que le reste et j’ai tendance à séduire compulsivement… en fait, le sexe c’est surtout une preuve que ma séduction fonctionne »
  Relou écrit « Je suis sûr que tu pourrais te laisser tenter par un cuni »
Nell écrit « Non même pas… c’est agréable mais pas mon kiff »
Relou écrit « C’est quoi ton kiff alors ? »
Nell écrit « Je n’en ai pas spécialement »
Relou écrit « Tu kiff pas au lit ? »
Nell écrit « J’ai du plaisir mais jamais d’orgasme, ça bloque à ce niveau-là »
Relou écrit « Même seule ? »
Nell écrit « Me le faire seule ne me fait absolument aucun effet »
Relou écrit « Et tu as essayé de dépasser tes limites genre un peu plus hard ? »
Nell écrit « Ouai mais rien de concluant »
Relou écrit « Tu es allé jusqu’où ? »
Nell écrit « C’est mon jardin secret et tu en sais déjà assez »
  Relou écrit « J’ai vraiment envie de te voir… »
Nell écrit « Patience »
Relou écrit « Tu ne fais pas d’effort LOL, on pourrait se voir là tout de suite… »
Nell écrit « Bon stop forcing stp XD »
Relou écrit « T’as jamais fait l’amour dans un camion de livreur je suis sûr… »
« Gnéeee? Mais qu’est-ce qu’il me raconte celui-là? »
Nell écrit « Où tu veux sauf chez moi »
Relou écrit « Mon camion ? »
Nell écrit « Tu as un matelas dans ton camion ? XD »
Relou écrit « Madame tient à son confort ? »
Nell écrit « Bin dis moi comment on fait alors… »
Relou écrit « Debout contre les parois, par terre, sur une étagère, qu’est ce qui te convient le mieux ? »
Nell écrit « Are You Serious ? Y a intérêt que ça soit propre alors XD »
Relou écrit « Je ferai ce que je peux, est-ce que ça te va ? »
Nell écrit « Mouai je ferai avec »
Relou écrit « Madame n’est pas très ouverte »
Nell écrit « Tu te fou de moi ? XD je n’ai pas dit non alors qu’une grande partie aurais refusée »
Relou écrit « Mais tu n’es pas enjoué non plus »
Nell écrit « Qui serait enjoué avec ça ? »
Relou écrit « Des filles dont c’est le fantasme »
Nell écrit « Et c’est pour ça que tu galère à trouver un plan Q régulier ? y a trop de filles que ça excite ? XD »
 Après un semblant de conversation avec cet homme peu raffiné et très douteux, Nell le bloque
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