#je suis en pleurs de rire
Explore tagged Tumblr posts
Text
LE DERNIER LE DERNIER LE DERNIER
Some memes about La Comédie Française de 1979 à 1983
8 notes
·
View notes
Text
Je donnerais la moitié de ma vie à celui qui fait rire un enfant en pleurs.
Et je donnerais l'autre moitié pour conserver la fraîcheur d’une fleur.
Je marcherais mille ans derrière une chanson.
Je traverserais mille vallées aux chemins épineux.
Je naviguerais sur chaque mer déchaînée,
Jusqu’à ce que je recueille le parfum du lilas.
Je suis l’humanité à la taille d'un homme.
Alors, puis-je me reposer
Tandis que le sang pur est versé!
Je chante pour la vie
Car à la vie j'ai dédié tous mes poèmes.
Et mes poèmes sont tout ce que je possède.
Tawfiq Zayyad (Palestine)
17 notes
·
View notes
Text
il y a 3 semaines, je devais appeler mon grand-père pour lui raconter mes premiers jours dans mon nouveau travail mais je suis sortie le soir et je me suis dit que j'appellerais le lendemain au soir
il est mort le lendemain matin.
c'était mon 3ème jour au travail, dans un nouvel environnement où l'accueil avait été moyen et où j'avais du mal à comprendre mon rôle et trouver ma place, et j'étais à peine arrivée que je préparais déjà mon retour.
je devais me mordre la langue et pincer la main pour éviter de fondre en larmes devant chaque personne qui me parlait (heureusement, peu de monde me parlait!), mais j'ai pu rentrer plusieurs jours (avec 10h de trajet pour revenir en france)
l'enterrement était beau, et j'ai passé 4 jours à pleurer, mais aussi à rire et à partager des souvenirs en famille.
sauf que je suis maintenant rentrée et j'ai encore l'impression d'être à contre-courant.
j'ai ce nouveau boulot où j'avais peur d'être incompétente mais c'est presque pire : je n'ai RIEN à faire. je demande dix fois par jour aux gens s'ils veulent que je les aide parce que le boulot sur ma fiche de poste peut être fait en 5h par semaine
et c'est toujours un environnement un peu bizarre : il y a 50 cliques et les gens sont tous plus âgés que moi. même les stagiaires (certains sont à peine plus âgés). ce qui était déjà le cas dans mon ancien boulot mais là-bas, j'étais relativement junior. maintenant, je suis manager - ce qui fait une dynamique intéressante ( = peu de vie sociale)
donc j'ai tout ce temps libre, que j'essaie de meubler comme je peux - je cuisine beaucoup, je deviens une habituée de ma salle de sport, j'ai tout réorganisé mon appartement,....
mais je m'ENNUIE tellement. et je déteste m'ennuyer parce que c'est du temps où je n'ai rien d'autre à faire que de penser ce qui fait que je pleure 2 fois par jour
bref. j'en suis à un point où je me dis : vite, février.
48 notes
·
View notes
Text
Mon amour,
Tu es tout pour moi.
Je t'aime.
J'aime la personne que tu es.
J'aime qui je suis à tes côtés.
J'aime cette part de folie en toi qui réveille l'enfant en moi.
J'aime quand tu me prends dans tes bras et que j'ai l'impression d'être toute petite et protégé à l'intérieur de toi.
J'aime ton sourire.
J'aime ton rire, il m'emmène loin au-dessus des nuages, là où le soleil brille.
J'aime aussi tes pleurs, parce qu'ils me montrent à quel point tu me fais confiance pour ne pas avoir peur de me montrer tes faiblesses.
J'aime la personne que je devient à tes côtés.
J'aime ta peau et son odeur, il y a quelque chose de rassurant lorsque je te touche ou te sens.
J'aime entendre ton coeur battre, c'est un son mélodieux.
J'aime quand nous ne sommes pas d'accord, cela nous pousse chacun dans nos retranchements et nous montre que l'on est tout de même capable de s'aimer.
J'aime tout de toi. Et je veux pouvoir t'aimer encore longtemps mon amour.
Ton amoureuse éperdument amoureuse de toi.
11 notes
·
View notes
Text
Tout me touche, m'atteint, m'émeut, me submerge, me gonfle. J'ai mal pour moi, pour l'autre. Je ressens. Je pleure pour un rien, je ris facilement. Je sens les odeurs, la tristesse. Je n'ai aucune limite à ressentir. Je m'énerve plus facilement, Je suis à fleur de mots, de peaux, de beaux. Je suis différente. Remplie de poésie. Quelque chose danse en moi. Une lumière me rend bizzare, intouchable, indomptable. J'en demande toujours trop. Je parle pour ne rien dire, parce ce qu'il y a toujours quelque chose à en dire. Je suis empathe. Je décèle ce qu'on ne me dit pas, Je tire les vers du nez. Je respecte le silence, car je le parle couramment. Je suis ainsi. Un peu cabossée, tendre, et émotive. J'ai un orage qui gronde, et un arc en ciel qui brille. Je ressens plus fort, tout ce qui effleure l'autre. Je peux perdre pied. Plus vite, plus violemment que quelqu'un d'une sensibilité normale. La mienne n'est jamais banale. J'ai une petite boule qui bouge en moi. Qui se coince dans ma gorge, fait mal à mes yeux, ou fout le feu dans mon ventre. Je peux ressentir très fort, m'envoler très haut et redescendre brutalement. Je peux éclater en sanglots, et rire aux éclats pour quelque chose qui me fait peur, vibrer, ou vivre. Je vis toujours accrochée à ma boule d'émotion. Elle ne saute pas aux yeux des autres, mais prend toute la place en moi. C'ést ma fragilité. Mon cœur qui bat n'est pas un muscle chez moi, C'est un lieu d'immersion, de rendez vous, de petites morts et de profondeurs inégalées. Et celui qui peut me comprendre, alors seulement celui là, peut m'aimer... Je suis hypersensible.
Cyrielle Soares
16 notes
·
View notes
Text
Résilience
Encore une nuit, avec corps et esprit en bataille, Une folie me ronge, une douleur sans faille. Réalité mordante, je suis bien réelle, Entre souffrir pour être et fuir ce ciel. Équilibre impossible, sans cesse je suis rongée, Je nage sans souffle, dans l'ombre abandonnée. Lutte infinie vers un horizon lointain, Comment lâcher prise, la peur dans mes mains ? Le cœur bat trop fort, cogne et se balance, Est-ce mal d'aimer jusqu'à l'errance ? Je cherche la paix dans l'acharnement, Sous l'enfer, le monde semble apaisé, pourtant. Seule le soir, le vide m'envahit, Un gouffre me dévore, translucide sans répit. Penses-tu à moi ? Je compte pour toi ? Fatigue hantée par des nuits blanches, je ne m'épargne pas. J'oublie de nourrir ce corps indifférent, Quelles conséquences aux pleurs incessants ? Rivières sur mes joues, suis-je désirable ? Vestige du passé, pitié palpable ? Comme une biche égarée, sans repère, Immobile, je m'enfonce dans la boue, sans lumière. Couple perdu, maison, travail envolés, Direction floue, aveugle, je suis égarée. Rire, sourire à la vie, paraître sereine, Haine cachée, ma vie sans chaînes. Je sombre lentement, mots pénibles à dire, À mes proches, comment m'ouvrir ? Émotions intenses, épuisement grandissant, Peur de moi-même, délire envahissant. Plans pour disparaître, doucement m'évaporer, Libération douce, vers le ciel m'envoler. Mes proches admirent ma résilience, Mais elle me tuera, sans clémence.
#ecriture#writer#creative writing#creativity#mood#mood today#writing#writing life#french poetry#sad poem#sad poetry#melancolia#depressing poem#poems on tumblr#original poem#poems and poetry#poetry#poem#love poem#poetic#poésie française#amour#poésie#resilience
11 notes
·
View notes
Text
100 Days of Productivity [Day: 18] || 100 Jours De Productivité [Jour: 18]
something I've learned from watching many of my friends learn english over the years is that you need to immerse yourself in the language as much as possible. that's been reinforced by a lot of people who I know now as an adult who say the same. so, in the spirit of trying to exercise the same with myself, I've decided to try making more posts in French on here. :]
part of studying language is looking at the both the formal & colloquial sides. there's a bunch of slang that I use in my regular speech that just doesn't work in french, or, you simply say the english words with a french accent. maybe it breaks the immersion sometimes but I find it adorable - like when I was listening to a francophone tourism podcast & one of the hosts made joke about the assumptions people make about public transit. they yelled "fake news!" in english, instead of something like "faux informations" or "nouvelles faux". when I looked it up, you really do just say "fake news". I am quite literally still laughing as I type that. I love language. So, so much.
currently listening // Tes Pleurs by TSS
french below the cut || français après la couper
quelque chose que j'ai appris en regardent beaucoup de mes amis apprendre l'anglais au fil des ans, c'est qu'il faut s'immerger dans la langue autant que possible. cela a été renforcé par beaucoup de personnes que je connais maintenant en tant qu'adulte et qui disent la même chose. donc, pour essayer de faire la même chose avec moi-même, j'ai décidé d'essayer de faire plus de posts en français ici.
il y a un tas d'argot que j'utilise dans mon discours normal et qui ne fonctionne tout simplement pas en français, ou alors on dit simplement les mots anglais avec un accent français. Par exemple, j'écoutais un podcast sur le tourisme francophone et l'un des animateurs a fait une balague sur les suppositions que les gens font à propos des transports en commun. Ils ont crié "fake news!" en anglais, au lieu de quelque cose comme "fausses informations" ou "nouvelles fausses". quand j'ai vérifié, vous dites vraiment simplement "fake news". Je suis encore en train de rire en écrivant cela. J'aime la langue. Tellement, tellement.
chanson // Tes Pleurs par TSS
#100 days of productivity#day 18#100 jours de productivité#jour 18#100dop#100jdp#studyblr#study motivation#studyspo#study aesthetic#study blog#bookish#gradblr#tea#french
21 notes
·
View notes
Text
❄❄❄
🄲🄾🄻🄳 🄷🅄🄶
『𝙿̷𝚊̷𝚛̷𝚝̷𝚒̷𝚎̷ 𝟸̷ 』
Le son grinçant des volets brisés par le vent me sort de mon sommeil glacé.
J'ai. . . froid.
Ainsi sont les mots qui me viennent chaque matin. Et ça bien avant d'avoir trouvé cette maison
Mademoiselle espace vital prend le malheureux plaisir me servir de réveil en me volant ponctuellement de la chaleur corporelle.
Cependant, aujourd'hui, j'ai beau avoir froid, ce n'est pas comme d'habitude. Elle n'est pas là, toujours pas là.
Deux jours déjà, seulement deux jours et le dégoût d'une routine de silence s'installe dans mes pensées. Deux jours sans qu'elle me dérange, deux jours sans ses interminables tirades, deux jours de vide.
L'ennuie et la curiosité me semble être de bonnes raisons pour résoudre la question de son absence.
Enfin motivée, je sors de la cave pour traverser le couloir transpercé de planches tombé du plafond et des murs. Le vent souffle et siffle entre les pièces et les lattes du plancher. La cave a beau être un frigo, au moins elle m'épargne du chant des nuages.
Les trous et les fissures jonchent les murs et les sol, mais le peu d'endroits où le vent ne s'engouffrent pas entièrement rend cette passoire préférable à la forêt.
Aussi tôt sorti de ma demeure, je me réengouffre dans l'épaisse forêt.
Perdre une journée alors que j'aurai pu me reposer après cette dure semaine de chasse. Elle ne se soucie même pas m'aider pour ça. Pourquoi ne voit-elle pas à quel point je travaille, que son absence est une meilleure compagnie que sa personne, que plus je la vois, moins j'ai envie de . . . . . Non, mais je vais rire
Et maintenant que je me suis habitué à cette nuisance, elle décide de disparaître.
Quelle hideuse ironie : en route pour chercher l'objet mes tourments, esclave de cette putain d'accoutumance.
Au détour d'un arbre, je la trouve adossée au tronc.
Quelle idiote elle do...
Immobile
Le dos de ces mains allongé sur le sol.
Couché sur le lit blanc de la forêt devenue boueux et rougeâtre.
Défigurée, la gorge et les côtes exposées au ciel.
Ce n'est plus qu'un corps inerte, il est réellement mort.
Mes jambes se retrouvent immobilisé par la dureté de cette image.
Son visage saccagé, ses yeux dérobés de vie
Elle n'est plus rien à présent, non si ça trouve, elle ne l'a jamais été et je suis juste confronté au mensonge de mon imagination.
Réminiscence, fantôme ou hallucination. J'aurais préféré ne jamais m'en rendre compte.
Que ce soit réelle ou dans ma tête son existence s'est éteinte.
Mes jambes rendant ma fuite impossible, mon dos glissa le long de l'arbre sur lequel elle est adossée.
Mes larmes se mêlent à la neige et au sang.
Faut croire que l'empathie ne m'a pas entièrement quitté.
Une voie hystérique transperce la forêt. Pourquoi crier ? Mes pleurs se fondent dans le sifflement du vent.
Wow qu'est que je suis pathétique, obligé de s'inventer de la compagnie pour plus sentir seul. Haha, je fais quoi maintenant, je n'ai plus rien maintenant.
- . . .
— hin ?
Un son, quelque chose émet de quelque part. Mes yeux balais la forêt.
- . . . .
Étant plus attentif, ma tête pivote vers l'origine du bruit, son cadavre. Je ne sais par quel miracle c'est possible, sa mâchoire tremble légèrement.
— tu . . . es encore en vie
- . . . onjour . . .
— Bonjour ? Bonjour ! T'es vivante !
- . . . .
— Fatigué ? Est-ce que je peux te soigner ? S'il te plaît dis-moi ce que je peux faire.
- . . . heuhin . . .
— quoi
- guehin
— Demain ? Hé répond ! demain ?
J'agrippe sa main désespérément
- . . . ouuuui . . .
— Mais non, je ne peux pas te laisser comme ça, tu tu ...tu ...
Apercevant sa mâchoire bougée de nouveau, j'approchai ma tête de son visage, ignorant l'état de celui-ci.
"Laisse. Attend demain" dit-elle.
Je ne sais que faire. Dois-je la prendre avec moi ? Ou je risquerai d'aggraver son état.
Sa voie était déformée par les multiples mutilations que contenaient sa gorge et sa mâchoire.
Sa main froide transperce la mienne. Je ne sens plus mes doigts, mais je sens de sa présence. Cette froideur unique, associable qu'avec un seul corps, une seule personne. La température qui me convient, celle que je ne veux plus perdre.
S'il te plaît parle-moi encore.
SUITE (un jour. . . peut-être) PRÉCÉDENT
6 notes
·
View notes
Text
On les appelle les émotifs, les penseurs.
Je suis hypersensible.
Tout me touche, m'atteint, m'émeut, me submerge, me gonfle.
J'ai mal pour moi, pour l'autre.
Je ressens.
Je pleure pour un rien, je ris facilement.
Je sens les odeurs, les âmes, la tristesse.
Je n'ai aucune limite à ressentir.
Je m'énerve plus facilement,
Je suis à fleur de mots, de peaux, de beaux.
Je suis une hypersensible.
Je suis différente.
Remplie de poésie.
Quelque chose danse en moi.
Une lumière me rend bizzare, intouchable, indomptable.
J'en demande toujours trop.
Je parle pour ne rien dire, parce ce qu'il y a toujours quelque chose à en dire.
On les appelle les marginaux, les fous, les extra humains.
Je suis une écorchée, une abîmée, une blessée de vie.
Je suis empathe.
Je décèle ce qu'on ne me dit pas,
Je tire les vers du nez.
Je respecte le silence, car je le parle couramment.
Je suis ainsi.
Un peu cabossée, tendre, et émotive.
J'ai un orage qui gronde, et un arc en ciel qui brille.
Je ressens plus fort, tout ce qui effleure l'autre.
Je peux perdre pied.
Plus vite, plus violemment que quelqu'un d'une sensibilité normale.
La mienne n'est jamais banale.
J'ai une petite boule qui bouge en moi.
Qui se coince dans ma gorge, fait mal à mes yeux, ou fout le feu dans mon ventre.
Je peux ressentir très fort, m'envoler très haut et redescendre brutalement.
Je peux éclater en sanglots, et rire aux éclats pour quelque chose qui me fait peur, vibrer, ou vivre.
Je vis toujours accrochée à ma boule d'émotion.
Elle ne saute pas aux yeux des autres, mais prend toute la place en moi.
C'était ma fragilité, j'en ai fait ma force.
C'est mon démon que j'aime, mon diable au corps.
Mon cœur qui bat n'est pas un muscle chez moi,
C'est un lieu d'immersion, de rendez vous, de petites morts et de profondeurs inégalées.
Et celui qui peut me comprendre, alors seulement celui là, peut m'aimer.
-Cyrielle Soares
16 notes
·
View notes
Text
C'est Pas Juste - Steve Rogers
Drabble Masterlist
Résumé : Steve ne comprend pas pourquoi tu pleures la mort d'un certain Jack.
Warnings : grossesse, mention de la fin du Titanic, fluff, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 995
Version anglaise
Tu éteins la télé alors que de grosses larmes coulent sur tes joues. Tu n'essayes même pas de les essuyer pendant que tu poses le bol de pop corns sur la petite table devant toi. Alors que ta respiration se fait de plus en plus saccadée, tu caresses ton ventre de femme enceinte de cinq mois, espérant que ça va t’aider à te calmer. Steve apparaît dans le salon et accourt vers toi en entendant tes sanglots. Il te prend dans ses bras et tente de te calmer, en vain.
-Y/N, qu’est-ce qui se passe ? demande-t-il, inquiet.
-C’est pas juste, Steve, murmures-tu, les lèvres tremblantes. Il méritait pas de mourir.
-Qui est mort ?
-Jack ! t’écris-tu comme si c’était évident. Il aurait dû vivre. Il aurait dû avoir une longue et heureuse vie avec Rose. Ils méritaient d’être heureux ensemble. Ils s’aimaient. Pourquoi est-ce qu’ils ont pas fait plus attention à ce maudit iceberg ? Tout aurait pu être évité. Et puis, il y avait de la place sur cette putain de planche !
Steve ne réagit pas à ton juron, trop préoccupé par ton état émotionnel. Ignorant quoi dire, il continue à caresser ton dos. Il ne sait pas qui sont Jack et Rose, mais il devine qu’ils sont des proches, car tu es totalement bouleversée. Tu sanglotes encore dans ses bras pendant une dizaine de minutes jusqu’à ce que l’arrivée de Sam et Bucky vous interrompent.
-Wow, qu’est-ce qu'il se passe ici ?
Pour répondre à la question de Sam, Steve hausse les épaules pour montrer qu’il est tout aussi perdu. En entendant la voix de tes amis, tu te sépares de ton mari. Tu t’excuses indiquant que tu as besoin de mouchoirs laissant les trois hommes ensemble.
-C’était quoi ça ? questionne Bucky, perdu.
-Je crois que l’un de ses amis est décédé. Un certain Jack.
-Tu le connais ?
-Non, répond Steve à Sam. Ils étaient peut-être amis d’enfance ? suppose-t-il, tentant de donner du sens à ce que tu lui as dit. En tout cas, il serait mort à cause d’un iceberg et il aurait laissé derrière lui sa partenaire du nom de Rose. Elle a aussi dit qu’il y avait de la place sur la planche.
-Quoi ? demande Bucky, comprenant encore moins la situation.
En comprenant la réelle raison de tes pleurs, Sam ne peut s’empêcher d’exploser de rire. Les deux super-soldats le regardent, choqués de voir Sam s’esclaffer à l’annonce d’un décès. Sam continue de rigoler pendant quelques minutes. Quand il arrive enfin à se calmer, Sam tape amicalement l’épaule de Steve.
-C’est pas son ami, Steve, lui assure-t-il avec un sourire.
-Quoi, tu le connais, ce Jack ?
-J’arrive pas à croire que j’ai oublié de te dire de le regarder. Jack, Jack Dawson, ça vient du film Titanic, informe Sam.
-Pourquoi est-ce que ce nom me dit quelque chose ? s’interroge Bucky, cherchant dans ses anciens souvenirs.
-C’est pas le bateau qui avait coulé en 1912 ? Ma mère m'en avait parlé, déclare Steve à son ami d’enfance.
-Oui, c’est ça !
-Bref, les coupe Sam, ils ont fait un film sur cette tragédie en 1997 et il y a une histoire d’amour entre Jack et Rose. Jack meurt à la fin alors que Rose vit sa vie comme Jack lui avait dit de le faire. Et à en juger par les popcorns sur la table, je dirais que Y/N vient tout juste de terminer de le regarder, explique-t-il, en montrant le bol.
-Attends, elle est dans cet état à cause d’un film ? Steve questionne.
-Les hormones, se moque Bucky.
-Ce film détruit tout le monde, lui rétorque Sam, presque outré. Toi aussi, tu serais en train de chialer, malgré tes airs de grincheux qui déteste la vie.
-J’en suis pas si sûr.
Bucky et Sam partent alors en débat tandis que Steve s’éloignent de ses amis pour te retrouver dans ta chambre. En ouvrant la porte, il te voit assise sur ton lit, un mouchoir en main. Il vient à tes côtés et met son bras autour de tes épaules.
-Comment tu vas ? demande-t-il d’une voix douce.
-Je m’en remettrai comme à chaque fois que je vois ce film, déclares-tu en reniflant. Je viens de réaliser que tu ne dois même pas savoir de quoi je t’ai parlé.
-Sam m’a tout expliqué. Mais je ne vais pas mentir, je me suis inquiété, j’ai vraiment cru que t’avais perdu un ami, t’informe Steve, te faisant rire.
-Désolée, j’étais juste tellement triste par rapport à la fin et avec mes hormones, j’ai l’impression que c’est pire.
-Tant que personne n'est mort, affirme Steve d’un air léger et tu tournes vers lui, vexée.
-Jack est mort, Steve ! Fictionnel ou pas, sa mort est sérieuse.
-Pardon, s’excuse-t-il en se retenant de rire. Quand tu auras accouché de notre magnifique bébé, commence Steve en touchant ton ventre, on regardera le film ensemble. Par contre, Sam et Bucky risquent de s’incruster, car Sam pense que Bucky va pleurer et Bucky ne pense pas que ça sera le cas.
-C’est vraiment des enfants, pouffes-tu en levant les yeux au ciel.
-Ça fait un entraînement.
Steve pose ses lèvres sur les tiennes et vous vous embrassez pendant quelques instants jusqu’à ce que Sam et Bucky apparaissent dans ta chambre bruyamment, vous demandant une réponse à leur dispute. Steve roule des yeux alors que tu rigoles face à leur gaminerie.
Finalement, moins de cinq mois plus tard, pendant que votre bébé dort, Steve, Sam, Bucky et toi organisez une soirée spéciale Titanic. Même sans tes hormones de femme enceinte, tu pleures dès le moment où le Titanic heurte l’iceberg alors que Steve et Sam commencent à pleurer quand Rose est dans le canot avant qu’elle saute pour retrouver Jack. Quant à Bucky, il reste silencieux toute la fin du film, mais quand vous rallumez la lumière, vous pouvez voir ses yeux rouges et ses joues mouillées. Sam tend sa main à Bucky et avec agacement, il lui donne un billet de vingt dollars.
Drabble Masterlist
{This is my side blog so I'll be answering comments under the username @marie-sworld}
#marie swriting in french#marvel mcu#mcu fandom#mcu imagine#mcu marvel avengers#mcu#mcu drabble#marvel#marvel drabble#marvel fanfic writer#marvel fandom#marvel fanfiction#marvel fic#steve rogers x female reader#steve rogers x you#steve rogers x y/n#steve rogers#steve rogers x reader#steve rogers x f!reader#steve rogers x pregnant reader#Dad! Steve Rogers#captain america x reader#captain america#captain america x you#captain america x female reader#steve rogers fanfiction#steve rogers fluff#steve rogers fandom#steve rogers drabble#tumblr français
7 notes
·
View notes
Text
Voici le top 10 des balles perdues que @lehoedagan a tirée sur Francis Huster ces trois dernières semaines :
1/ Il aurait vraiment fait un très bon Musset c'est dommage : la tronche à faire ouin ouin, il se pense beau-gosse sans l'être du tout, il se regarde se tenir et il se tape des meufs sans même savoir pourquoi mais en fait tout le monde le déteste.
2/ Je faisais une introspection sous la douche et en fait Huster, c'est les vieux chewing-gums qui sont collés sous les tables de cours, quand tu les touches ça te dégoûtes mais même après t'être lavé les mains tu le sens encore.
3/ Huster il s’écoute pas parler, il s’observe en train de s’observer en train de prendre la pause.
4/ Je suis vraiment pas fan de Christine Fersen, mais putain qu’est-ce qu’elle joue bien. Contrairement à Francis Huster au final
5/ Quand Toja fait le père de Huster dans Dom Juan il a des pensées suicidaires qui sont communiquées par son petit rire nerveux : Qu’est-ce que ça fait si je l’étouffe avec une perruque ?
6/ Il aurait été un très bon Octave : nul avec les femmes, personne ne l’aime et il pleure tout le temps.
7/ J’ai besoin d’insulter Huster au quotidien Ilona, c’est une question de survie. C’est comme simper sur Jacques j’en ai BESOIN !!
8/ Regarde : Huster ça rime avec hater, donc, par son nom, il a été condamné à se faire haïr par moi.
9/ Et il est à la Comédie Française ce que Legrandin et Bloch ont été au Narrateur.
10/ Jacques could play Lorenzaccio but Huster could never play l’amant dans Un Tour au Paradis dans la séquence de rêve
7 notes
·
View notes
Text
J'ai regardé pour la énième fois la scène "je suis un sanglier" d'Astérix... comment je l'adore cette scène, ça me fait si rire <3 Cependant, je ne l'avais jamais vue en français. Après l'avoir vue, je dirais qu'il est possible que, objectivement, les voix sonnent mieux en VF mais la version tchèque l'emporte pour moi. Je dirais même que la traduction est meilleure parce qu'il y a des jeux de mots INCROYABLES (qui ne sont pas présents dans l'original je crois, mais il est tout à fait possible que je me trompe), j'en pleure de rire, vraiment c'est >>>>>>>
4 notes
·
View notes
Text
NSBC • Chapitre 34
Un jour, en début de soirée, alors que je suis tranquillement en train de regarder la télévision, je reçois un sms qui contient une nouvelle à laquelle je ne suis pas préparé. Du tout.
Maman… Non… Et ma petite sœur qui se retrouve toute seule… ! Sans attendre, je me lève précipitamment et, après un mot à Kalpita et un enfilage express d’une tenue plus légère, je sors de la maison en courant, me dirigeant vers celle de mon enfance.
Devant la maison, je trouve Raphaël, qui a l’air anéanti.
« Gaby… Tu… Tu as entendu… ?
— Oui… Ça… Ça va aller… »
Je dois jouer mon rôle de grand-frère…
Mais on dirait qu’il n’y a personne dans la maison. Où est Gaëlle… ?
Au moment où je pense ça, je la vois qui arrive en courant, en uniforme de restauration rapide, apparemment. Elle se jette dans mes bras.
« Pardon, j’étais au travail, je suis arrivée aussi vite que j’ai pu… ! »
Nous sommes entrés dans la maison… et avons découvert l’urne.
« Maman… »
Je venais de finir la lettre que j’allais lui envoyer pour l’inviter à mon mariage… et je me faisais une joie de sa présence à l’anniversaire d’Aurèle, dans quelques temps… Pourquoi maintenant… ?
Et Gaëlle, qui reste toute seule… Elle n’est même pas encore adulte ! Elle est d’ailleurs montée pleurer dans son ancien lit d’enfant.
Il faut que je lui parle, elle ne peut pas rester toute seule ici… !
« Gaëlle… Gaëlle ! »
Elle semble m’avoir entendu puisqu’elle est redescendue. Raphaël, lui, n’arrive pas à arrêter de pleurer.
« Gaëlle… Tu ne peux pas rester ici toute seule… Viens vivre avec moi jusqu’à ta majorité, d’accord ?
— Non, Gaby… Je veux rester ici… »
Je ne m’attendais pas à cette réponse.
« Tu… Tu es sûre… ?
— Certaine. Je… J’aurai l’impression de l’avoir encore avec moi, comme ça… »
Je peux comprendre. J’ai eu le désir inverse à la mort de notre père, mais j’avais aussi besoin d’oublier tous les mauvais moments qu’on a passé à s’engu.euler dans cette maison.
« Si c’est ce que tu souhaites, alors je n’ai rien à dire… »
Je suis allé voir Raphaël qui semblait vraiment très mal le vivre.
« Ça va, Raph… ?
— Je… Je voulais lui… Je voulais lui annoncer qu’elle allait être grand-mère une deuxième fois…
— C-C’est vrai ?
— Oui, Mariko est enceinte…
— C’est… C’est une super nouvelle, malgré tout, Raphy…
— Oui, mais… J’aurais voulu qu’elle puisse le ou la connaître… »
Je l’ai enlacé, et nous avons passé un petit moment tous ensembles dans la maison de maman. Puis, ayant des obligations familiales, Raphaël et moi sommes rentrés, après nous être assurés que Gaëlle n’allait manquer de rien.
« Attendez, j’ai même un petit boulot, pas de panique les gars ! nous a-t-elle dit. »
Elle est forte, je ne me fais pas de soucis.
Je suis rentré, et j’ai tout de suite commencé à préparer le repas, histoire de me changer les idées. Kal’ n’est pas venue me voir tout de suite, et je lui en suis reconnaissant. J’avais besoin de me retrouver seul avec mes sentiments…
•
Kalpita a aussi été affectée par la mort de ma mère. Elle l’aimait bien. Donc nous n’avions pas spécialement la tête à faire la fête lorsque l’anniversaire d’Aurèle est arrivé. Nous l’avons alors fêté tous les trois. Et c’est moi qui aie eu le privilège de le sortir du berceau, dès que nous sommes rentrés du travail.
« Viens là mon grand ! »
Je sentais les yeux de Kal’ sur moi. Je pense qu’elle s’étonne de me voir aussi enthousiaste. En même temps, ça veut dire moins de pleurs au milieu de la nuit… !
J’ai pris le temps de le changer, et ensuite je l’ai fais marcher jusqu’à moi.
« Allez, viens voir papa ! »
Bon, il a tout pris de sa maman, ce petit bonhomme… mais je crois reconnaître la bouche de ma mère (et donc la mienne) sur sa petite frimousse. C’est bien le mien ! Un élan d’amour me submerge à cette constatation. Mon fils…
« Petit sacripant, viouuuh !
— Hihihi ! »
Son rire est le son le plus adorable que je n’ai jamais entendu.
Comment… Comment n’ai-je pas ressenti ça tout de suite ? J’ai une pensée pour maman. Elle savait que ça viendrait.
« J’aurai tellement aimé que tu la connaisses, bonhomme. »
J’ai eu l’impression qu’il avait compris de qui je parlais, puisqu’il a affiché par la suite une moue d’une profonde tristesse…
4 notes
·
View notes
Text
3 ans plus tôt.
En ce deuxième jour sans toi j’ai les yeux tantôt sec, tantôt noyés de larmes. Je ne sais plus dire pourquoi je pleure. Est-ce de tristesse ? De colère ? De manque ? Ou de solitude ?
Est-ce tout ça à la fois? Je ne sais plus.
Je ne vois pas de souvenirs mais, par flaches, il me reviens des sensations. Une odeur, une couleur, un souffle… J’ai l’impression de laisser tanguer mon corps au rythme de la tempête que tu as provoqué, résignée. Je ne me bat pas, je ne fais que ressentir passivement la douleur des émotions qui disparaissent.
Je ne veux pas me souvenir, je veux tout oublier, je veux remonter le temps et ne jamais avoir commencé cette histoire insensée. Je ne veux plus y croire si fort. Je ne veux plus t’aimer.
Je marches en titubant, c’est la puissance des vagues qui fait ça. J’entends ta voix et je trébuche. Je vois tes yeux et je vacille. Je sens ton parfum et je m’effondre.
Je ne suis plus que ça : une coquille pleine de vagues monstrueuses, qui se fracassent contre ma peau. J’aimerais me noyer pour m’endormir et ne plus t’aimer mais il n’y a pas assez d’eau dans les larmes.
Alors je suis assise là et je vois mon corps qui n’a plus l’air d’être mon corps, et forcément, j’y vois le tiens, emboité au miens comme s’il était fait pour ça. Alors je n’en veux plus de ce corps je veux qu’il disparaisse, je veux que les vagues l’emportent loin pour ne plus jamais voir qu’il y manque le tiens. Je veux rétrécir et devenir si petite que je finirai aspirée par le moindre courant d’air. Je m’envolerai loin. Si loin qu’on ne pourra plus m’atteindre.
Je n’arrive pas à aimer cette vie que tu as rendue si injuste. Cette vie que tu as montré du doigt. Cette vie trop dure pour toi, dans laquelle tu m’as laissé seule. Je dois vivre chaque jour avec cette vie dont tu n’as pas voulu en essayant d’oublier à quel point c’est dur. Mais sans toi c’est impossible. Il n’y a plus de soleil, il fait tout le temps nuit.
J’ai envie de te détruire pour ce que tu m’as fait. Je veux que tu souffres autant que je souffre. Je veux te fracasser contre un mur, je veux t’éclater le crâne sur le trottoir, je veux te gifler si fort que tu en perdras une dent. Je veux te démolir et je veux te serrer contre moi si fort que tu ne pourras plus jamais partir.
Ne plus te voir à ma droite au réveil est un choc permanent, alors je dors sur le canapé. J’ai mal au dos et je te déteste encore un peu plus de me faire subir ça. Je ne t’entends plus rire dans le silence alors je met du bruit tout le temps, j’allume YouTube et je branche l’enceinte. Je n’écoute pas, ce n’est qu’un vacarme qui me défonce le crâne, et je t’en veux encore un peu plus de me faire subir ça. Entre chaque chanson, entre chaque vidéo, les 30 secondes de silence me suffisent à m’effondrer.
Ça ne fait que deux jours et je n’en peux plus, je ne veux pas me réveiller demain.
- Blanche, récit de survie 1.
2 notes
·
View notes
Text
Chapitre 1 - Asphaël
Ses larmes coulaient, désespérément. Il sanglotait roulé en boule, par terre, au bas de son lit. Il était minuit. La demeure était silencieuse. Ses pleurs aussi.
Si quelqu’un l’entendait, il y aurait de graves répercussions. Il n’était pas autorisé de pleurer chez les De Villiers. Seuls Aurélie pleurait souvent. Mais on lui excusait du moment qu’elle était silencieuse. C’était une femme, et pour l’esprit étriqué de cette famille, les femmes étaient fragiles. Maximylien, lui, était un homme. Il n’avait pas le droit.
Ses dents se serrèrent en pensant à ce prénom. Il détestait ce prénom. Et bien qu’il appréciait grandement la révolution française et ses révolutionnaires, y compris Robespierre, ce n’était pas réellement comme ça qu’il s’appelait. Chaque nuit, dans ses rêves il voyait un ange venir du ciel, un ange qui était grand, svelte, la peau claire, les yeux bleus brillants et les cheveux longs et blond. Et cet ange l’appelait, en lui tendant la main, dans la lumière divine.
Il fut soudain pris de spasmes. Il se détestait. Son corps lui brulait ardemment. Les coupures saignaient encore.. Il détestait aussi sa famille.
Sa journée commençaient si bien pourtant:
Il venait de recevoir les résultats des examens blancs de français. Il avait pratiquement tout juste. Son niveau visait l’excellence. Il était rassuré mais pas fier de lui. Cependant lorsqu’il avait remarqué que les résultats de sa classe était médiocre, une satisfaction intense était apparue. C’était avec confiance qu’il allait pouvoir rentrer chez lui, ou plutôt chez ses parents. Il avait même pu bénéficier d’une semaine de calme total car quelques jours auparavant, alors que cela faisait des années qu’il se faisait harcelé, il avait pris sa revanche. Par légitime défense mais avec une certaine jouissance, il avait recouru à la manière forte : en se battant avec ces garçons et en gagnant. Tout le monde les avait vu. Le corps enseignants n’avaient évidemment pas réagit sauf que tant mieux, car ainsi les autres élèves comprenaient qu’il pouvait se défendre. Alors certes, il avait eu quelques bleus mais il était vainqueur. Il n’y avait pas de mal à se satisfaire d’une victoire, non ? Même si il avait été un peu.. sévère sur la punition, ce n’était que par punition et non pas une preuve de sadisme de sa part. Jamais il ne s’amuserait à faire du mal à quelqu’un, il n’était ni comme son père, ni comme son frère. Et c’était pécher.
Sauf qu'en rentrant, ses plans s'effondrèrent : Léandre, son frère, l’attendait dans le hall.
- J’ai entendu de vilaines histoires venant du bahut, lui lança-t-il.
Il déglutit, il savait que c’était une menace et il savait qu’il allait prendre cher. Son frère s’approcha de lui, le saisissant par le col.
- Tu sais que tu t’es attaqué au petit frère de l’un de mes amis ?
Il ne chercha pas à éviter son regard, il était habitué à ses yeux cruels. Il ne savait pas quoi faire. Il en avait plus qu’assez de subir mais il avait peur d’empirer la situation si il se défendait. Cependant ça faisait des années que ça durait.. Il respira un coup, repensa au fait qu’il avait mis trois garçons à terre plus âgés que lui.
- Et toi, pourquoi tu ne me défends pas ? Je suis ton petit frère aussi, lui répondit il, tremblant.
Léandre le regarda, puis éclata de rire. Soudainement, il le souleva et l’explosa contre le mur, maintenant de tout sa force son crâne écrasé à la paroi.
- Parce que tu es une honte. J’ai honte qu’une chose comme toi, même pas un vrai homme me serve de frère. Tu sais que ta naissance m’a gâché la vie, hein ? Tu sais qu’à cause de toi j’ai un frère bizarre plus fragile qu’un pédé qui ne sert qu’à raconter à tout va sa réussite scolaire. Tu es une grosse tête mais tu sers à rien! Les parents vont pas plus t’aimer maintenant que tu brilles au lycée. Tu es et resteras toujours la même petite merde à qui j’ai mis la tête dans les chiottes quand t’avais 10 ans et que tu pleurais plus qu’une gonzesse!
C’était fini pour lui. Il le savait. Il voulait agir mais son corps refusait de coopérer. Il voulait que son frère subisse sa colère et sa vengeance mais chaque mouvement pour se défendre était contré et il se prenait un coup. Léandre frappait fort, il connaissait sa façon de le taper par cœur. Il s’arrêta rapidement de réagir, il ne savait même plus où il était et si il était toujours en vie. Tout était si vide dans sa tête.
Il sortit d’un coup de cette sensation de transe lorsqu’il entendit la porte d’entrée s’ouvrir. Les deux jeunes hommes se figèrent. Leur père était rentré. Et il ne fallait absolument qu’il voit ça où ils allaient tous les deux se prendre des coups de ceinture. Léandre le lâcha rapidement, et s’enfuit dans sa chambre. Il l’avait planté là face à la menace. Le jeune homme savait que ça serait pire si il n’affrontait pas son père. Il se reprit en main et alla le saluer, jouant pratiquement sa vie à l'instant même.
2 notes
·
View notes
Text
5 mars
aujourd’hui j’ai fait une banana cream pie pour l’anniversaire de manon et en remuant ma crème pâtissière à la noix de coco, comme depuis a., à chaque fois que je fais une crème pâtissière maintenant dans ma tête je la fais pour une fille, plus ou moins inaccessible, je pensais à laura a. je fais de la crème pâtissière pour mes amantes imaginaires. ça rime. je vais le mettre dans ma chanson. celle qui n’existe pas encore mais qui dit aussi les filles existent et moi je pleure. j’ai brièvement imaginé ma vie de couple avec laura dans son appart de jette, moi derrière les fourneaux en train de remuer ma crème pâtissière, elle qui rentre du studio où elle vient de répéter toute la journée, elle travaille trop, elle a pas le temps de cuisiner alors c’est moi qui lui cuisine des bons petits plats. dans mes fantasmes je suis la femme au foyer d’une danseuse de 46 ans. je sais pas si c’est normal. elle me donne tellement envie de savoir danser, c’est tragique que je sois pas gracieuse ni coordonnée, ça me tue, la danse est la plus belle chose du monde (avec la musique) et je suis tellement triste de pas pouvoir en faire partie. de devoir me contenter de regarder.
à part ça ce weekend j’ai découvert les mochis et à chaque fois que j’en mange je suis morte de rire, je sais pas pourquoi. j’ai regardé un doc sur l’univers et ils parlaient des naines blanches qui risquent en permanence de s’autodétruire à cause de la force gravitationnelle qui émane de leur centre et ça m’a fait penser à mon rêve de la mort avec la ferraille et les coulisses du temps, et puis j’ai commencé à lire le texte de r. sur lequel elle veut travailler pour la performance, elle y parle du taoïsme et d’une maison qui représente l’univers et le cosmos, devant et derrière la maison c’est le futur et le passé et y a une rivière qui coule qui représente le temps et les souvenirs, je crois. aussi: j’ai vraiment envie de me replonger dans l’écriture de mon livre là. c’est cette histoire avec laura qui m’a redonné envie. cette histoire de littérature mêlée à la vie. mais pour qu’il y ait littérature, il faut écrire.
8 mars
j’écris dans le train parce que j’ai peur de pas avoir le temps à genève. j’adore dire que je vais à genève pour travailler. travailler sur un projet. travailler avec mon collectif. je vais faire une résidence. je vais “bosser sur une créa” comme cybille. “do some research” comme magdalena dans le studio de danse de molenbeek. je fais des trucs d’artiste. j’ai trouvé une conversation de deux heures entre laura a. et son ami bruno que j’avais rencontré au studio et que j’avais trouvé incroyablement chaleureux, je crois qu’il est brésilien. j’en ai regardé la moitié lundi soir alors que je voulais regarder recherche maison ou appartement spécial bord de mer, mais stéphane plaza ne tenait pas le cap face à laura a. j’ai appris plein de de choses sur la danse, c’était trop bien, ok j’arrive plus à me concentrer deux femmes écoutent du métal mongol à côté de moi.
je suis chez r. et je dors seule, quel soulagement. s. est pas encore arrivée à cause des grèves. j’étais brièvement de retour dans l’appart de f. à zurich cet après-midi, enveloppée dans une grande couverture jaune sur le canapé à lui poser des questions sur sa vie et à écouter ses réponses sans qu’elle m’en pose en retour donc je lui ai pas pipé mot de laura ni du workshop à bruxelles ni de rien du tout. laura ça reste une affaire entre moi et mon journal. je regardais la grande armoire en bois encastrée dans le mur avec la grande plante verte devant et ça me donnait terriblement envie d’avoir un appartement à moi, avec une grande armoire en bois pour mettre ma petite collection de vaisselle dépareillée et pouvoir y inviter mes ami.es et mon amoureuse pour faire des dîners et mettre la table et préparer des playlists et leur faire des gâteaux avec de la CRÈME PÂTISSIÈRE. j’ai décidé de dédier un chapitre de mon livre à la crème pâtissière. elle mesure pas sa chance f. je lui ai dit que je voulais déménager à bruxelles parce que j’étais amoureuse, et puis j’ai ajouté de bruxelles, parce que bon je suis pas amoureuse de laura a. à ce point non plus, et elle a dit qu’elle trouvait que c’était un peu crade à son goût et que ça craignait trop. moi aussi je trouve que c’est crade bruxelles mais je veux être plus comme laura a. et trouver ça excitant. même si j’adore secrètement me sentir safe dans les rues cossues de genève.
4 notes
·
View notes