#je ne suis pas un adulte professionnel
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Ce matin je devais appeler mon banquier. Et en tant qu'adulte responsable qui assume ses responsabilités administratives, je suis en train de nettoyer mes plinthes pour éviter ce coup de téléphone
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Quelques trucs bien. Octobre 2024
Ces “Quelques trucs bien” s'inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, ou des "Notes de chevet" de Seï Shonagon.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d'optimisme.
Aller au musée des femmes artistes avec mon amie Béa. Profiter du soleil d’automne en terrasse et prendre soin de notre amitié
Avoir la visite d’une bergeronnette printanière
Jouer à cache-cache avec mon petit Mateo. Rire ensemble
M’inscrire sur un groupe de rencontres
Être honorée d’être sélectionnée sur la liste des jurés titulaires pour l’année prochaine
Jouer aux cartes avec mon fils. Gagner à être perdante
Prévoir un week-end d’escapade chez mon amie Monique
Me rappeler que ma sœur et moi avions souhaité élever et faire grandir nos enfants ensemble. Suppléer son absence quand elle est en vacances, c’est à dire faire le taxi pour mes nièces
Me faire draguer par un charmant sportif de plus de 10 ans de moins que moi lors du rdv pour test d’effort en cardiologie. Remercier en moi-même ma fille de m’avoir prêté un legging. Épreuve réussie à 100%
M’essayer au caviardage en poésie. Tenter de relancer la créativité
Chanter l’hymne à l’amour dans ma voiture... et pleurer
Faire la sieste pour récupérer le manque de sommeil
Partager une pizza duo avec mon collègue de travail
Réfléchir encore et en équipe à une bonne pratique professionnelle. Entre intuition et philosophie
Avaler des kilomètres pour essayer de laisser derrière moi le quotidien. Faire une halte chez mon amie Lauriane
Recevoir un cadeau de ma nièce de retour de son voyage scolaire à Venise
Profiter de l’alerte météo pour laisser libre cours à la créativité
Avoir une pensée émue pour mon ami Vincent qui manque toujours, même après de 14 ans de deuil
Féliciter Mateo qui s’enhardit à se lâcher pour avancer debout vers un autre appui
Tenir la petite main de Mateo pour l’accompagner dans ses premiers pas debout. Verbaliser pour lui que son regard sur le monde est désormais différent
Porter du jaune quand j’ai besoin de soleil
Participer à une réunion d’équipe de scolarisation. Sentir que je suis un vrai soutien pour ma collègue, la maîtresse et la maman
Avoir la surprise d’un arc en ciel après l’alerte météo pour pluies et inondations
Aller au cinéma pour voir un film érotique. Regretter l’absence de désir
Saluer le retour du berger et de son troupeau sur le terrain. L’automne est lui aussi de retour
Sentir venir le fou rire en entendant maman évoquer l’idée d’héberger tatie Lulu, 88 ans pour ne pas qu’elle soit seule
Aller au Festival du livre où ma nièce tient le stand de l’atelier d’écriture de son lycée. Me faire dédicacer le bouquin par une troupe d’ados. Savoir que la relève est assurée
Lire Mona Chollet et me sentir « sorcière » moi aussi
Rencontrer un jeune adulte venu donner de ses nouvelles à l’équipe qui l’a accompagné. L’entendre raconter son parcours avec gratitude et maturité puis dire que son handicap (TDAH) est aujourd’hui une force. Comprendre ce ressenti et avoir de l’espoir pour les enfants que j’accompagne aujourd’hui
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 2 : A la croisé des chemins
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Lucillia est une jeune femme qui incarne la détermination et le sérieux. En tant qu'étudiante en criminologie, elle montre un grand engagement envers ses études, ce qui suggère qu'elle est passionnée par son domaine et désireuse d'apprendre tout ce qu'elle peut sur la criminalité et la justice.
Son comportement, qui consiste à ne jamais sortir les soirs de semaine, renforce l'image d'une personne disciplinée et concentrée sur ses objectifs académiques. Cela pourrait aussi indiquer qu'elle privilégie ses responsabilités sur les loisirs, ce qui peut être interprété comme une volonté de réussir dans un domaine exigeant.
Lucillia pourrait également avoir des traits de personnalité tels que la rigueur, la responsabilité et peut-être une certaine introversion, car elle semble préférer le temps passé à étudier plutôt que de socialiser. Cela pourrait aussi suggérer qu'elle a des ambitions élevées et qu'elle est prête à faire des sacrifices pour atteindre ses objectifs professionnels.
Aujourd'hui, c'était vendredi, et l'excitation flottait dans l'air. Lucillia se tenait devant son miroir, un sourire sur le visage alors qu'elle se coiffait pour l'anniversaire de sa meilleure amie, Maria. Elle avait choisi une robe élégante, avec des couleurs vives qui faisaient ressortir ses yeux. Les lumières de sa chambre brillaient doucement, créant une ambiance chaleureuse.
Soudain, la porte s'ouvrit et son père adoptif entra, un regard curieux sur le visage.
"Alors, où comptes-tu aller habillée comme ça ?" demanda-t-il, avec une pointe de préoccupation dans la voix.
Lucillia se retourna, les mains dans les cheveux, et répondit avec assurance : "Je vais à la fête d'anniversaire de Maria. C'est important pour moi."
Son père fronça légèrement les sourcils, visiblement inquiet. "Tu sais que je préfère quand tu restes à la maison le vendredi soir."
Lucillia, sentant une vague de frustration monter en elle, répliqua fermement : "Je suis adulte maintenant. Je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi. Je peux prendre mes propres décisions."
Un silence s'installa dans la pièce, et son père, réalisant qu'elle avait raison, soupira. "Je sais, Lucillia. Je veux juste que tu sois en sécurité. Mais amuse-toi bien, d'accord ?"
Lucillia acquiesça, un sourire apaisé sur le visage. "Merci. Je ferai attention."
Elle se retourna vers le miroir, terminant sa coiffure, tandis que son père quittait la chambre, laissant derrière lui une atmosphère de compréhension et de respect mutuel.
☆○o。 。o○☆
Le soir était tombé rapidement, enveloppant la salle des fêtes d'une douce obscurité parsemée de lumières étincelantes. Les guirlandes lumineuses accroché aux murs projetaient des ombres dansantes, créant une atmosphère festive et chaleureuse. Lucillia, en entrant, fut immédiatement frappée par l'énergie qui régnait dans la pièce. Les rires et les voix s'entremêlaient, formant une mélodie joyeuse qui résonnait dans l'air.
La salle, décorée avec soin, était remplie de ballons aux couleurs vives flottant au plafond, tandis que des tables garnies de gâteaux, de bonbons et de boissons pétillantes attiraient les convives. Des amis de tous âges se mêlaient, certains dansaient déjà sur le rythme entraînant de la musique, d'autres discutaient avec animation, leurs visages illuminés par la joie de célébrer.
Lucillia, bien que ravie de voir tant de monde, se sentait étrangement à l'écart. Elle observait la scène, ses yeux parcourant les visages familiers et inconnus, se demandant ce qui avait bien pu inciter Maria à organiser une fête si grandiose pour un simple anniversaire. La foule semblait écrasante, chaque éclat de rire lui paraissant à la fois accueillant et intimidant.
Alors qu'elle commençait à se sentir submergée par le tumulte, une main douce et familière se posa sur son épaule. Elle se retourna brusquement et rencontra le regard pétillant de Maria. Sa présence était comme une bouffée d'air frais dans cette mer de visages.
"Lucillia ! Je suis si contente que tu sois là !" s'écria-t-elle, sa voix chaleureuse se détachant du brouhaha ambiant.
Le sourire de Maria était contagieux, et Lucillia sentit une vague de soulagement l'envahir. La tension qui l'étreignait se dissipa lentement, remplacée par une chaleur réconfortante. Elle savait que, tant que Maria était à ses côtés, elle pouvait affronter cette soirée animée. Les deux amies se mirent à rire, partageant des anecdotes et des souvenirs, tandis que la fête continuait de vibrer autour d'elles, transformant peu à peu l'appréhension de Lucillia en une anticipation joyeuse.
La soirée battait son plein, et Lucillia se laissait emporter par les rythmes entraînants de la musique. Les lumières clignotaient au rythme des basses, créant une ambiance électrisante. Elle dansait avec entrain, ses mouvements fluides et joyeux, riant avec ses amis autour d'elle.Après quelques heures de fête, Maria, les yeux pétillants d'excitation, s'approcha de Lucillia.
"Hé, tu veux qu'on s'échappe un moment ? J'aimerais passer un peu de temps rien que toutes les deux," proposa-t-elle, un sourire complice aux lèvres.
Lucillia, surprise mais ravie, hocha la tête. "Oui, bien sûr ! J'adore cette idée. Ça fait longtemps qu'on n'a pas eu un moment juste pour nous," répondit-elle, sa voix pleine d'enthousiasme.
Les deux amies se dirigèrent vers la sortie, laissant derrière elles le tumulte de la fête. Une fois à l'extérieur, l'air frais de la nuit les enveloppa, apportant un contraste agréable après la chaleur de la salle. Elles se trouvèrent dans la rue avec les lumière de la ville.
"Regarde comme c'est beau ! Ça me rappelle nos soirées d'été," dit Maria, les yeux rivés sur le paysage illuminé.
Lucillia sourit en se remémorant ces moments. "Oui, et toutes nos discussions jusqu'à l'aube. On devrait vraiment en faire plus souvent," ajouta-t-elle, un brin nostalgique.
Maria tourna son regard vers Lucillia, son expression devenant plus sérieuse. "Tu sais, je suis vraiment contente que tu sois là ce soir. Parfois, j'ai l'impression que tout va si vite avec les cours , et j'ai besoin de ces moments avec toi pour me recentrer," confia-t-elle.
Lucillia, touchée par ses mots, lui prit la main. "Moi aussi, Maria. On doit toujours trouver du temps l'une pour l'autre, peu importe à quel point nos vies sont chargées," répondit-elle avec sincérité.
Les deux amies restèrent là, à discuter et à rire, profitant de cette parenthèse enchantée dans la soirée, renforçant leur lien précieux.
Les deux amies marchaient tranquillement, profitant de la fraîcheur de la nuit. Alors qu'elles passaient devant un magasin encore illuminé, une enseigne colorée attira leur attention. C'était là que se trouvait Lilia Calderu, la fameuse femme qui lisait les lignes de la main. Les lumières scintillantes du magasin créaient une atmosphère intrigante, presque mystique.
Maria, les yeux brillants d'excitation, s'arrêta brusquement.
"Regarde, Lucillia ! C'est là ! On devrait vraiment y aller. Ça serait super intéressant de voir ce que Lilia a à dire," proposa-t-elle, le ton enjoué.
Lucillia, cependant, ne partageait pas l'enthousiasme de son amie. Elle haussait les épaules, l'air perplexe. "Je ne sais pas, Maria. Je pense que c'est juste du commerce. Ces choses-là, ça ne me parle pas vraiment," répondit-elle, un soupçon de scepticisme dans sa voix.
Maria insista, un sourire charmeur aux lèvres. "Mais non ! Lilia est une vraie devineresse. Tout le monde dit qu'elle a des dons incroyables. Tu pourrais découvrir des choses sur toi-même que tu ne soupçonnes même pas," argumenta-t-elle, tentant de convaincre Lucillia.
Lucillia plissa les lèvres, hésitant. "Tu sais que je ne crois pas trop à ces trucs. Ça me semble un peu... farfelu," dit-elle, en regardant le magasin avec une certaine méfiance.
Maria, ne se laissant pas décourager, s'approcha d'elle et lui prit le bras. "Allez, fais-le pour moi ! Juste un petit tour, et si tu n'aimes pas, on s'en va. Promis, ça ne prendra pas longtemps," proposa-t-elle, avec un regard suppliant.
Lucillia soupira, mais un sourire commençait à se dessiner sur son visage. "D'accord, d'accord. Mais si je me sens ridicule, c'est sur ta conscience !" finit-elle par céder, amusée par l'insistance de sa meilleure amie.
Maria éclata de rire, ravie. "Merci, Lucillia ! Tu ne le regretteras pas, je te le promets !" s'exclama-t-elle, entraînant son amie vers la porte du magasin, impatiente de découvrir ce que Lilia avait à leur révéler.
En entrant dans le magasin de Lilia , Maria et Lucillia furent enveloppées par une douce odeur d'encens et un éclairage tamisé qui donnait à l'endroit une atmosphère presque magique.
Soudain, une porte s'ouvrit à l'arrière-boutique, et Lilia apparut. Ses cheveux longs et bouclés tombaient en cascade sur ses épaules, et son sourire chaleureux illuminait la pièce. Elle fixa les deux jeunes femmes avec des yeux pétillants de curiosité.
"Bienvenue, mes chères," dit-elle d'une voix douce et accueillante. "Que puis-je faire pour vous aujourd'hui ?"
Maria, pleine d'enthousiasme, se tourna vers Lucillia, un léger sourire sur le visage. Elle poussa doucement son amie, lui murmurant : "Allez, Lucillia, c'est à toi. Je vais te laisser."
"Alors, qu'est-ce qui t'amène ici ?" demanda Lilia, s'approchant de Lucillia avec une bienveillance palpable.
Lucillia se tenait dans le magasin de Lilia, entourée de l'odeur apaisante des bougies parfumées et des fleurs fraîches. Pourtant, malgré cette atmosphère réconfortante, elle se sentait piégée, comme si une partie d'elle voulait fuir cette situation, tandis qu'une autre partie désirait ardemment rester et profiter de ce moment.
Elle plongea son regard dans celui de Lilia, cherchant du soutien dans ses yeux pétillants. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres, et elle murmura,
"C'est surtout ma meilleure amie qui m'a convaincue de venir ici." Sa voix tremblait légèrement, trahissant son hésitation.
Lilia, avec son sourire délicat et réconfortant, répondit, "Je suis ravie que tu sois là. C'est toujours bien d'avoir quelqu'un pour nous encourager à sortir de notre zone de confort." Elle désigna une petite table en bois, ornée de bougies allumées qui dansaient doucement dans la lumière tamisée. "Viens, installe-toi à cette table," invita-t-elle avec une gestuelle accueillante.
Lucillia, se sentant un peu plus à l'aise, acquiesça et se dirigea vers la table. Elle s'assit, ses doigts caressant la nappe en lin, un peu froissée mais propre, tandis que Lilia s'asseyait en face d'elle, créant une ambiance intime entre elles.
Dans le petit magasin de Lilia, l'air était chargé d'une douce chaleur, et le parfum des herbes séchées flottait autour d'elles. Les rayons de lumière filtraient doucement à travers les fenêtres, illuminant les coins sombres du magasin.
Lilia, avec une grâce presque féerique, s'approcha de Lucillia. Ses doigts, délicats et agiles, se déplacèrent lentement vers la main de Lucillia. Lorsqu'elle prit délicatement sa main, un frisson parcourut la colonne vertébrale de Lucillia, une sensation douce et réconfortante qui la fit sourire.
"Personne n'a jamais vraiment su lire mes lignes de mains," murmura Lucillia, sa voix teintée d'une légère hésitation mais aussi d'un amusement palpable.
Ses yeux brillaient d'une curiosité nouvelle, tandis qu'elle regardait Lilia avec une tendresse palpable.Lilia, intriguée et amusée, leva les yeux vers Lucillia, un sourire espiègle se dessinant sur ses lèvres.
"Est-ce que tu me mets à l'épreuve ?" demanda-t-elle, son ton à la fois sérieux et taquin, comme si elle était prête à plonger dans l'inconnu des mystères que recelaient les lignes de la main de son amie.
Lucillia, surprise par cette réponse, sentit son cœur battre plus vite. Elle hocha la tête, un sourire timide illuminant son visage.
"Non je ne me permettrai pas.Peut-être que vous serez la première à pouvoir le faire," répondit-elle, sa voix douce et pleine d'espoir.
Les deux amies restèrent là, leurs mains entrelacées, créant un moment suspendu dans le temps, où le monde extérieur semblait disparaître, laissant place à leur connexion profonde et authentique.
L'atmosphère dans le magasin était devenue tendue, presque électrique. Lilia, avec une grande délicatesse, commença à passer ses doigts sur les lignes de la main de Lucillia, espérant déchiffrer les secrets inscrits dans sa paume. Mais à sa grande surprise, quelque chose d'étrange se produisit. Les lignes semblaient floues, comme si elles se dérobaient à son toucher.
Lilia fronça les sourcils, perplexe. "C'est bizarre," murmura-t-elle, ses doigts s'arrêtant brusquement. Elle tenta de se concentrer, mais plus elle forçait ses pouvoirs à fonctionner, plus le magasin semblait réagir. Les lumières vacillaient, et un léger bourdonnement se faisait entendre, comme si l'électricité elle-même était perturbée.
Lucillia, observant le visage de Lilia, sentit une vague d'inquiétude l'envahir. "Est-ce que ça va ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une légère anxiété. Elle pouvait voir que Lilia était troublée, comme si elle luttait contre une force invisible.
Lilia, toujours plongée dans ses pensées, finit par poser son regard dans celui de Lucillia. Il y avait une intensité dans ses yeux, un mélange de confusion et de curiosité.
"C'est vraiment étrange," dit-elle enfin, sa voix presque un murmure. "Je n'ai jamais rencontré une main qui refuse de se laisser lire.Peut-être devrions-nous essayer de comprendre ce qui se passe avant de continuer," proposa-t-elle, une lueur de détermination dans ses yeux.
Lucillia regarda alors Lilia dans les yeux, une lueur d'interrogation dans son regard. Leurs mains étaient toujours liées, comme si un fil invisible les reliait, et pour une raison étrange, cela ne dérangeait pas les deux femmes. Au contraire, un sentiment de sécurité émanait de ce contact. Leurs mains se serrèrent un peu plus, comme si elles cherchaient à capter une énergie. Puis, après un moment de silence, Lilia relâcha doucement la prise.
« Tu devrais y aller. Fais attention à toi, d'accord ? »
Lucillia acquiesça, un mélange de gratitude et d'appréhension sur le visage. «Oui.. »
Lilia la regarda partir, son cœur battant un peu plus vite. Lucillia se dirigea vers sa meilleure amie, le cœur encore palpitant de cette rencontre inattendue.
« Tu ne devineras jamais ce qui vient de se passer, » commença-t-elle, les yeux brillants d'excitation.
Sa meilleure amie, intriguée, l'écouta attentivement. « Qu'est-ce qui s'est passé exactement ? Raconte-moi tout ! »
Lucillia prit une profonde inspiration, prête à partager chaque détail de cette expérience qui pourrait changer leur vie.
☆○o。 。o○☆
Le lendemain matin, Lucillia était debout dès l'aube, le ciel encore teinté de nuances orangées. En réalité, elle n'avait pas dormi du tout, son esprit tourbillonnant de questions. Pourquoi personne ne voulait lire les lignes de ses mains ? Pourquoi tout ce mystère autour de son destin ?
Elle se leva lentement, ses pensées encore embrumées par la nuit blanche. Dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir. Son reflet lui renvoyait une image fatiguée, mais déterminée. Elle prit une grande inspiration, essayant de rassembler ses pensées.
Ses yeux se posèrent sur son collier, une simple pierre noire suspendue à une chaîne. Elle l'avait toujours porté, ne l'ayant jamais enlevé depuis son enfance. Sa surface lisse et froide semblait lui murmurer des secrets oubliés.
« Qu'est-ce que tu es censée représenter ? » se demanda-t-elle.
Lucillia sentit une vague de curiosité l'envahir. Elle avait besoin de comprendre ce lien, ce symbole qui l'accompagnait depuis si longtemps. Elle se promit de chercher des réponses, de percer ce mystère qui l'entourait.
Avec une nouvelle détermination, elle se prépara pour la journée, prête à affronter ce qui l'attendait.
Lucillia avait donc décidé d'aller voir la seule personne qui pourrait l'aider : Lilia. Avec une détermination nouvelle, elle se dirigea vers la boutique de cette dernière, un petit endroit chaleureux rempli de senteurs envoûtantes et de couleurs vives. L'air était frais, et chaque pas la rapprochait de la réponse qu'elle cherchait.
Une fois arrivée, elle poussa la porte en bois, et un petit carillon retentit, annonçant son arrivée. Lucillia jeta un coup d'œil autour d'elle, ses yeux se posant sur Lilia, qui était en train de préparer du thé. La lumière douce du matin filtrait à travers les fenêtres, illuminant le visage de Lilia, qui semblait radieuse.
« Bonjour, Lucillia ! » s'exclama Lilia en levant les yeux, un sourire chaleureux illuminant son visage. Elle la trouva très belle, avec une aura de mystère. « Que puis-je faire pour toi aujourd'hui ? »
Lucillia, un peu nerveuse, s'approcha de la table où Lilia avait disposé des tasses délicates. « Bonjour, Lilia. Je… j'ai besoin de ton aide. »
Lilia, toujours en train de verser le thé dans une tasse, l'invita à s'asseoir. « Prends une tasse de thé d'abord. Ça te fera du bien. »
« Merci, » répondit Lucillia, s'installant sur une chaise en bois.
Elle observa Lilia, qui lui tendit une tasse fumante. L'odeur du thé était apaisante, mais son esprit était encore agité.
« Alors, qu'est-ce qui te tracasse ? » demanda Lilia, s'asseyant en face d'elle, ses yeux pleins d'attention.
Lucillia hésita un instant, puis expliqua : « J'ai ce collier avec une pierre noire, et je sens qu'il cache quelque chose d'important. Personne ne veut lire les lignes de ma main, et je me demande pourquoi. »
Lilia l'écouta avec soin, son regard sérieux. « Les lignes de la main peuvent révéler beaucoup de choses, mais parfois, il faut aussi écouter les objets qui nous entourent. Dis-moi en plus sur ce collier. »
Lucillia prit une gorgée de thé, se sentant un peu plus à l'aise, prête à partager le mystère qui l'intriguait tant.
Lucillia, les mains tremblantes, tourna son regard vers Lilia, le cœur battant. « Je… je ne sais rien de ce collier, » avoua-t-elle, sa voix à peine un murmure. « Je l'ai depuis que je suis bébé. Mes parents adoptifs m'ont dit qu'il était déjà là dans mon berceau. »
Elle leva doucement la main, montrant le collier à Lilia sans l'enlever de son cou. La pierre noire brillait d'un éclat mystérieux, comme si elle contenait des secrets inavoués.
Lilia, fascinée, s'approcha lentement, son regard fixé sur la pierre. « Puis-je ? » demanda-t-elle, tendant la main avec précaution.
Lucillia hocha la tête, son souffle se faisant plus court alors que Lilia touchait la pierre.Lorsque Lilia prit la pierre entre ses doigts, une chaleur douce se répandit dans l'air. Les deux femmes se retrouvèrent extrêmement proches, leurs souffles s’entremêlant. Lilia pouvait sentir l'énergie émanant du collier, et elle murmura, presque à elle-même :
« C'est un collier de protection. »
Lucillia, surprise, écarquilla les yeux. « Protection ? Qu'est-ce que cela veut dire ? »
Mais en réalisant à quel point elles étaient proches, Lilia se sentit soudainement étrange. Elle recula légèrement, ses joues teintées d'une légère rougeur. « Avec ce collier personne ne peux t'atteindre. La personne qui te la donné tenez beaucoup à toi.»
Lucillia se mit alors à sourire, une lueur de bonheur illuminant son visage. Elle leva délicatement sa tasse de thé, la chaleur de la boisson réconfortante se diffusant dans ses mains. En prenant une gorgée, elle savoura le goût épicé qui dansait sur sa langue, puis se lécha les lèvres avec satisfaction, un geste à la fois innocent et séduisant.
Soudain, un bruit de cloche retentit, signalant l’ouverture de la porte du magasin. Lucillia tourna la tête vers l'entrée, son sourire s'élargissant à la vue de Lilia, Agatha et Ivana qui firent leur apparition.
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Jessica Biel pour Eclat Magazine, Canada - Printemps 2003
FRENCH
AUX COTES DE Jessica Biel
Ex-vedette de 7th Heaven, Jessica est comblée : études supérieures, carrière en pleine ascension et un petit ami qui la dorlote.
Origines: Jessica est née au Minnesota le 3 mars 1982 et a grandi au Colorado. Elle vient tout juste de quitter l'Université Tufts de Boston pour poursuivre ses études en Californie où elle a acheté un condo.
Surnoms: Jess ou Jessie. Personne dans mon entourage ne m'appelle Jessica. C'est trop long et trop formel
Révélation: Le rôle de Mary Camden dans 7th Heaven décroché en 1996. (Désormais hors de l'équipe régulière. elle y fait quelques apparitions en tant qu'invitée.)
Où l'a-t-on vue? En adolescente rebelle dans Ulee's gold; la conquête de Freddie Prinze Jr. dans L'Amour à coup sûr; en étudiante sexuellement aventureuse dans Les lois de l'attraction.
Bientôt à l'affiche: En octobre, dans une reprise du classique Massacre à la tronçonneuse (1975). « Je suis fana de films d'horreur. Ç'a été génial de travailler sur ce projet. Le rôle et le tournage ont été les plus exigeants de ma carrière.
La proposition rêvée : jouer dans une comédie musicale à Broadway, comme Rent. (L'année dernière, elle figurait dans une production universitaire de Tommy.) *La musique a toujours occupé une place énorme dans ma vie depuis mon enfance. C'est ma plus grande passion.
Études: Aller à l'université n'est pas une question de diplôme mais, avant tout, une expérience. J'y apprends des choses que je n'aurais pas pu apprendre autrement. Enrichir mon esprit me rend plus forte..
"Quand mes cheveux m'ennuient, je change de couleur. Mais, je les teins aussi suivant les rôles. Pour l'instant, ils sont brun foncé et, dans quelques jours, je passe au blond."
Une peau superbe en cadeau : À l'âge de 12 ans, j'ai reçu de ma mère, à Noël, un ensemble de soins pour la peau. Je me souviens avoir pensé : "Me voilà une femme maintenant!". Je ne pourrai jamais la remercier assez de m'avoir montré comment prendre soin de ma peau. Aujourd'hui, je suis une vraie maniaque: nettoyant, tonifiant, hydratant, plus une crème pour le contour des yeux. Et j'applique tou- jours-toujours - une crème solaire pour la journée. »
Confidences : Mon petit ami (Chris Evans, la vedette de Pas encore un film d'ados!) a horreur du rouge à lèvres, alors j'ai adopté le baume.
Plein d'énergie : « L'exercice est un excellent antistress. J'ai l'impression de pou- voir me débarrasser de tous mes tracas si je me dépense à fond. Je fais du ballet tous les soirs-c'est épatant pour renforcer et étirer les muscles. Le jour, je cours dans Santa Monica, je-vais au gymnase ou je fais une séance de yoga bikram; j'adore ça!»
"Si vous êtes aussi fervente de la coloration que moi, il est important de revitaliser vos cheveux en profondeur. Une fois par semaine, je me couvre la tête de revitalisant que je laisse agir sous un bonnet. Parfois, je me fais donner un traitement professionnel."
Sport à gogo : J'aime presque tous les sports. Si quelqu'un joue à quelque chose, je le rejoins. J'ai joué au soccer pendant toutes mes études; j'aimerais bien faire partie d'une ligue adulte. »
Musique : « Je connais un tas de musiciens avec qui j'aimerais former un groupe. Je me fous de faire un tube vendu à un million d'exemplaires. Je veux simplement jouer de la bonne musique qui fait du bien.
Linge fétiche: Les maillots de corps pour hommes, blancs et très grands. Ça va avec tout.
ENGLISH
By the side of Jessica Biel
Former star of 7th Heaven, Jessica is fulfilled: higher education, thriving career, and a doting boyfriend.
Origins: Jessica was born on March 3, 1982, in Minnesota and grew up in Colorado. She has just left Tufts University in Boston to pursue her studies in California, where she bought a condo.
Nicknames: Jess or Jessie. Nobody in my circle calls me Jessica. It's too long and too formal.
Breakthrough: Landing the role of Mary Camden in 7th Heaven in 1996. (No longer a regular cast member, she made guest appearances on the show.)
Where has she been seen? As a rebellious teenager in Ulee's Gold; Freddie Prinze Jr.'s love interest in Summer Catch; and a sexually adventurous student in The Rules of Attraction.
Upcoming projects: In October, she will star in a remake of the classic The Texas Chainsaw Massacre (1975). "I'm a horror movie fan. It was great to work on this project. The role and the filming were the most demanding of my career."
Dream proposal: To perform in a Broadway musical, like Rent. (Last year, she appeared in a university production of Tommy.) "Music has always played a huge role in my life since childhood. It's my greatest passion."
Education: Going to university is not just about getting a degree, but primarily an experience. I learn things there that I wouldn't have learned otherwise. Enriching my mind makes me stronger.
"When I get bored with my hair, I change its color. But I also dye it according to the roles I play. Right now, it's dark brown, and in a few days, I'll go blonde."
A beautiful skin gift: At the age of 12, my mother gave me a skincare set for Christmas. I remember thinking, "Now I'm a woman!" I can never thank her enough for showing me how to take care of my skin. Today, I'm a true fanatic: cleanser, toner, moisturizer, plus an eye cream. And I always, always apply sunscreen during the day."
Confession: My boyfriend (Chris Evans, the star of Not Another Teen Movie!) hates lipstick, so I've switched to using lip balm.
Full of energy: "Exercise is an excellent stress reliever. I feel like I can get rid of all my worries if I exert myself. I do ballet every night—it's great for strengthening and stretching muscles. During the day, I go running in Santa Monica, go to the gym, or have a Bikram yoga session; I love it!"
"If you're as passionate about hair coloring as I am, it's important to deeply revitalize your hair. Once a week, I cover my head with conditioner and let it work under a cap. Sometimes, I get a professional treatment."
Sports galore: I love almost all sports. If someone is playing something, I'll join in. I played soccer throughout my studies; I would love to be part of an adult league."
Music: "I know a bunch of musicians with whom I'd like to form a band. I don't care about creating a million-selling hit. I just want to play good music that feels good."
Favorite clothing: Men's white undershirts, oversized. They go with everything.
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NSBC • Chapitre 9
« Ma puce, je ne sais pas ce que tu en penses, mais je trouve que Gabriel grandit très vite… il faudrait peut-être penser à agrandir la maison… non ?
— J’y ai pensé aussi… Ou alors on peut peut-être déménager ?
— Comme tu veux, c’est ta maison, à la base.
— Je vais réfléchir. »
Eh oui, les bébés, ça grandit extrêmement vite ! Donc pour l’instant, il peut être dans notre chambre, mais bientôt il faudra penser à lui en donner une à lui…
Bon, les mois qui ont suivi la naissance de Gabriel nous ont appris qu’il n’était pas si silencieux que ça, mais j’imagine qu’on ne pouvait pas y couper. Nous sommes devenus des pros en changement de couches au milieu de la nuit, même si on ne s’habitue jamais à l’odeur.
De notre côté, nous nous en sortons bien.
Personnellement, tout baigne entre nous, et professionnellement, j’ai été de nouveau promue, et le boulot d’Edward lui plaît tellement qu’il se croit dans un bar même à la maison. Je ne vais pas m’en plaindre, ça donne des visions assez plaisantes, parfois…
Victoria est venue plusieurs fois depuis la naissance de Gabriel, mais je dois avouer que je ne sais pas vraiment si elle est heureuse de cette naissance ou pas…
Ah, au fait, je vous ai parlé de ma dernière invention ? Je l’ai appelée : « pistolet à éléctroparticules » ! Ça claque, non ? Je peux faire faire ce que je veux aux gens ! Et c’est souvent sur Nina Caliente que ça tombe, j’admets…
Je peux les glacer aussi, mais j’ai pas testé, pour l’instant, ça le fait pas trop de geler les collègues… Victoria serait bien capable de me tomber dessus, belle-sœur ou pas belle-sœur…
Entre deux blagues à Nina, j’ai bossé un peu sur la fusée du site, et même si la fuséologie c’est pas trop trop mon truc, ça a un côté passionnant… on se rapproche des extra-terrestres, c’est moi qui vous le dit !
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Et finalement, comme la vie avance à toute allure, le premier anniversaire de Gabriel est là. Pour l’occasion, nous avons bien sûr convié sa tante. Edward a l’air ravi de voir sa sœur, ça me fait plaisir.
Sans plus tarder, nous avons assisté à une poussée de croissance extraordinairement rapide, Gabriel se retrouvant soudainement avec des cheveux aussi roux que ceux de son papa. Ce n’est pas moi qui m’en plaindrais !
« Et voilà mon bonhomme ! Hop ! »
Après un rapide petit tour à la salle de bain, Gabriel était tout propre et tout beau. Debout sur ses deux jambes, il s’est avancé vers Victoria qui avait vite fuit vers le salon, mais elle ne semblait pas réellement apprécier cette initiative…
Mais Gabriel ne s’est pas laissé démonter par son air peu avenant naturel, et il a réclamé un câlin. Quel amour…
« ‘atie ! »
Victoria a eu l’air un peu prise au dépourvue, mais sous notre regard à la fois surpris et comblé, elle s’est penchée pour enlacer le petit bout.
Je le savais. Elle l’aime, son neveu.
Au même moment, j’ai aperçu une lumière étrange dans la rue. Intriguée, je suis sortie, et…
« Qu’est-ce que… ! »
J’ai senti mes pieds se détacher du sol. C’est quoi ce bazar ?! J’ai levé les yeux au ciel et là j’ai compris. Quand je vous disais qu’on se rapprochait d’eux… c’était pas une blague, mais un vrai calcul de scientifique !
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Ça me fait plaisir de voir Victoria aussi proche (physiquement, j’entends) d’un autre être humain, même si c’est un enfant. J’ai bien compris que l’affection physique d’un adulte ne l’intéressait pas, et ne l’intéresserait probablement jamais, mais l’affection filiale est quelque chose d’extraordinaire, et je suis content qu’elle puisse l’expérimenter d’une certaine façon.
Elle est ensuite venue s’asseoir sur le fauteuil, et je l’ai rejointe, mon plat à la main. J’étais allé me chercher un petit truc, n’ayant rien avalé de la journée, et j’ai également donné une assiette à Gabriel, parce que le pauvre devait aussi avoir faim.
« Tu te rends compte que ton fils est ton portrait craché ou pas ? »
« Ah bon ? »
Elle lève les yeux au ciel. Oui, bon, c’est pas si facile que ça à voir, hein ! Si… ? Tiens, d’ailleurs, où est Solange ?
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Je vais te faire mal...
« Je vais te faire mal tu sais ? »
Comment j’en suis arrivé à prononcer cette phrase ?
Cela fait 6 mois que S et moi sommes ensemble, quoi que cela veuille dire. Nous nous voyons régulièrement, le plus souvent que nos emplois du temps nous le permettent, nous faisons l’amour toutes les nuits que nous avons en commun et c’est incroyablement bon.
S est ouverte, et nous avons rapidement trouvé l’un et l’autre ce qui nous procure du plaisir. Pour autant, je sens que la communication est difficile pour elle. Mais pas tout le temps. Elle parle aisément de sa faculté à éjaculer par exemple (j’ai pour ma part assez rapidement identifié ce qui pouvait l’amener à cette effusion). Mais quelque chose n’est pas dit et je sens qu’elle aimerait aborder le sujet. Cependant cela ne viendra pas d’elle.
Un jour elle me dit qu’elle a lu quelques jours auparavant une nouvelle érotique. J’essaie de la questionner mais elle ne m’en dit pour le moment pas plus.
Quelques semaines plus tard je reviens à la charge et lui demande de quoi parlait cette nouvelle. Elle tourne un peu autour du pot, et ne me répond pas vraiment.
« C’était sur un blog. Il y en avait beaucoup. Si je la retrouve, je te l’enverrai. »
Et de fait elle finit par me l’envoyer.
La nouvelle parle d’une femme qui participe à un jeu entre adultes. Plusieurs hommes sont assis à une table. La femme est sous la table. Une cloche retentit et à chaque tintement, la femme doit sucer un homme de son choix et si possible le faire jouir. Les hommes de leur côté ne doivent pas laisser transparaître leur trouble éventuel.
La femme n’a pas le droit de s’occuper de plus d’un homme à la fois sous peine d’être punie. Evidemment, elle fera ce qu’il faut pour être punie.
Ce que je relève, et que S me confirme d’ailleurs, c‘est l’aspect domination/soumission. « C’est quelque chose qui m’excite beaucoup. »
Je creuse un peu la question pour connaître son expérience dans le domaine. Elle me parle de contrainte, de cravache…
De mon côté je pratique volontiers la fessée et l’idée lui plait. J’émets l’idée de nous procurer une cravache et elle valide avec enthousiasme.
Il y a donc eu une nuit de découverte. De fessées d’abord qui m’ont permis de déterminer ce qu’elle était capable de supporter. Le fait est que mes mains ne semblent pas atteindre sa limite de douleur.
Nous passons donc à la cravache. Je demande à S de s’agenouiller face au mur, le cul vers moi. Elle tend les fesses. Elle est excitée.
L’expérience est nouvelle pour moi et pourtant je me glisse aisément dans mon nouveau rôle. Je teste un peu l’élasticité de l’outil et très rapidement je suis prêt. Je maîtrise le claquement efficacement. S gémit bruyamment à chaque coup qui vient lui brûler l’épiderme. Son corps ondule comme pour mieux appréhender la douleur mais jamais elle ne demande d’arrêter ni ne cherche à se soustraire à mes coups que j’intensifie pourtant avec une excitation non dissimulée.
Après cette séance, ses fesses garderont des stries qu’elle m’enverra en photo.
J’en garde un trouble que je n’aurais pas imaginé.
Quelques jours plus tard S doit se rendre dans une autre ville pour un voyage professionnel. Elle me propose de la rejoindre à l’hôtel. Je lui explique que je ne vais pas pouvoir prendre le train avec la cravache qui dépasse de mon sac. Cependant, j’ai l’idée d’un outil de remplacement. Elle me demande lequel mais je préfère le lui montrer le moment venu.
Le soir, nous sommes dans le lit de l’hôtel, je l’embrasse. Le moment est d’une tendresse rare. Nous sommes excités.
« - Je vais te faire mal tu sais ?
- Oui je sais.
- Tu en as envie ?
- Oui j’en ai envie. »
Je lui demande alors de reprendre la position de la dernière fois, à genoux, face au mur. J’ai déroulé ma ceinture en cuir, j’en ai fait une boucle dont je règle la longueur pour qu’elle ne soit ni trop longue, ni trop courte. Rapidement, je lui assène le premier coup. J’observe sa réaction. Elle gémit et tortille des fesses comme pour appeler un nouveau coup. Je m’exécute à cette injonction tacite.
Je multiplie les coups, je ne mesure pas vraiment la force que j’y mets. Elle gémit, elle crie. Parfois, je fais une pause et empoigne son sexe trempé pour y enfoncer mes doigts brusquement comme je sais qu’elle aime. Puis je reprends mes coups.
Quand j’estime que continuer pourrait la faire basculer dans une douleur prédominante qui l’empêcherait de penser l’acte, de l’intellectualiser et donc d’y prendre du plaisir, je m’arrête. Je lui demande alors de s’allonger. Je lâche ma ceinture et je m’applique désormais à lui donner du plaisir, comme pour la récompenser de sa résistance à la brûlure du cuir.
En très peu de temps elle enchaîne trois orgasmes. Elle éjacule abondamment à chaque fois et nous finissons la nuit dans une flaque.
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Généalogie
Je réalise des arbres généalogiques croisés entre plusieurs foyers pour avoir une vue plus large que celle que propose l'arbre généalogique inclus dans le jeu.
Je ne suis pas expert en généalogie mais j’ai essayé à la fois d’utiliser au mieux les codes des généalogistes professionnels et de ne pas trop complexifier le processus d’élaboration de mes arbres généalogiques.
Voici donc ci-dessous l’arbre actuel des Simili, Bellisim et Tennessim, trois familles ramifiées en deux foyers dans le jeu. Puis, plus bas, la légende des signes utilisés pour construire l’arbre généalogique.
Ces arbres généalogiques viennent, dans mon jeu, ajouter de la cohérence et des repères. Ils me permettent également d’incarner mes personnages plus en détail, d’imaginer leurs origines familiales et d'anticiper leurs répercussions sur les dernières générations.
L’élaboration d’un arbre généalogique est très amusante et nourrit l’imagination pour étoffer les histoires des foyers qui composent la Saga Simili. Au début, j’ai imaginé Yamm Simili adulte dans les Sims 3. Ensuite, dans les Sims 4, je lui ai créé des parents et un frère cadet. De sa mère, j’ai imaginé un nom de jeune fille et de ce nom j’ai créé son frère qui a épousé une sim qui avait déjà un fils d’une première noce. Peut-être, un jour, je me pencherai sur les grands-parents Bellisim qu’il serait intéressant de créer dans le jeu. Mais voici déjà une grande famille suffisamment complexe pour l’instant !
Vous l’aurez compris, l’arbre généalogique est pour moi, un élément essentiel du jeu et indispensable à la narration d’histoires sims.
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7 Really Toxic Traits Of High-Masking Autistic Women
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En français :
7 Really Toxic Traits Of High-Masking Autistic Women
These 7 Simple Characteristics Cause Us More Harm Than Good
Les femmes autistes essaient activement de déguiser et de compenser leurs caractéristiques d'autisme dans des contextes sociaux pour mieux se fondre dans la société. Les femmes vont généralement davantage socialiser, suivre des normes et prendre en considération les besoins des autres avant les leurs. Tout cela pour être acceptées par leurs parents, professeurs, pairs.
Voici 7 traits de femmes autistes masquant :
1) Chronic people pleaser
Vous avez plus de chances d’être acceptées si vous mettez sans cesse les besoins des autres avant les votres. Avant la thérapie, j’étais un people pleaser et disais oui à tout, même si ça m’épuisait et me mettait mal à l’aise ; j’en ai fait un burn-out autiste et étais profondément malheureuse.
Quand tu acceptes ton autisme et honores tes besoins (autistes), alors seulement tu peux arrêter d’être un people pleaser.
2) Répéter (s’entraîner) aux conversations
Sache que s’entraîner à avoir des conversations et à réagir n’est pas normal. Toute forme de socialisation me donnait de l’anxiété sociale. J’ai des traumatismes d’enfance, on m’a engueulé parce que j’avais les mauvaises réactions, on m’appelait mal élevé, on disait que je ne parlais pas assez. En tant que personne autiste, j’ai appris à répéter les conversations et réactions pour satisfaire les attentes des autres.
3) Cacher ses intérêts particuliers
Beaucoup de personnes autistes cachent leurs intérêts particuliers pour avoir l’air moins autiste. À l’âge adulte, je me suis convaincu que je trouverais de la joie dans le fait de socialiser ou étudier et que je n’avais pas besoin de hobbies. C’est quand je suis devenue le plus malheureuse de ma vie. Supprimer mes intérêts particuliers n’a été bénéfique qu’à mon entourage qui me trouvait alors plus normale.
Dans le fait de dé-masquer, ne plus se soucier de l’opinion des autres est une étape cruciale dans la quête de l’authenticité. Nos intérêts spécifiques nous ancrent, et les minimiser n’est jamais la réponse pour être accepté par les autres.
4) Forcer le contact visuel
Les femmes autistes vont davantage forcer le contact visuel et se sont accoutumées à l'inconfort en socialisant. Forcer le contact visuel est épuisant et nous met dans un état d'épuisement chronique parce que camoufler ses traits autistes prend énormément d'énergie.
5) Supprimer les stims
Les femmes autistes qui ont plus de chance de supprimer leurs stim pour paraître normales et moins autistes. Ou elles vont choisir des stims plus acceptables socialement : mettre du baume à lèvres, jouer ou arranger leurs cheveux, frotter leurs mains, etc. Les femmes autistes choisissent de se régulent discrètement.
6) Être mal diagnostiqué-e par le passé
Avant d'être diagnostiquée autiste et TDA H, j'étais diagnostiquée dépressive et anxieuse. Les antidépresseurs me mettaient dans un état de dissociation constant. Il y a quelques temps j'avais énormément énormément de mal à contrôler mes émotions, je ressentais beaucoup de haut et énormément de bas. Je suis allé voir un psy psychiatre qui m'a dit que mes symptômes étaient similaires à de la personnalité borderline. J'étais confuse car même si je partageais des symptômes BPD, cela n'appliquait jamais complètement pourquoi je me sentais comme je sentais. Avec du recul c'est un outrage que tellement de professionnels de santé ne soit pas éduqué sur l'autisme particulièrement l'autiste chez les femmes et chez les personnes de minorités ethniques, surtout quand nos symptômes sont si clairement autistes et tdah.
7) épuisement chronique
Le tout premier signe qu'une personne soit une femme autiste masquant et l'épuisement chronique il n'y a pas d'explication explication. C'est épuisant de masquer et de camoufler notre autiste chaque jour car cela prend toute notre énergie et nos cuillères ce qui signifie que nous avons peu d'énergie quoi que ce soit d'autre.
Autistic women are more likely than autistic men to mask their autistic traits, and this is one of the reasons why many of us are late-diagnosed with autism or misdiagnosed with other conditions. Social camouflaging was first shown to be a characteristic of autistic persons, especially autistic women, who actively try to disguise and compensate for their autism features in social contexts to blend in better socially.
Women generally have a greater expectation to socialise, follow norms, make eye contact and consider the needs of those around them to make others comfortable before themselves. As a late-diagnosed autistic woman, due to this expectation, I began camouflaging my autistic traits to portray myself as neurotypical so that I would be loved and accepted by my parents, teachers, peers and potential romantic interests.
Like myself, many high-masking autistic women go unnoticed and have become experts at camouflaging their autism and have successfully ‘blended in with the crowd’. However, masking and camouflaging come at a heavy cost and can damage our well-being and health.
Here are seven traits of high-masking autistic women that you may identify with:
Chronic People Pleaser
Many autistic women, particularly those who are late or undiagnosed, can tend to be chronic people pleasers. From my experience, you are more likely to be accepted by those around you if you consistently put the needs of others before your own. Before I started therapy, I was a chronic people pleaser, and I would often say ‘yes’ to things that would overwhelm me or make me feel uncomfortable. This left me in a state of autistic burnout, with frequent meltdowns, and I was deeply unhappy with my life.
2. Rehearsing Conversations
If you find yourself rehearsing social situations, conversations, and reactions, then know this isn’t normal. In the past, when I didn’t know I was autistic, I would rehearse my reactions to receiving a present the night before, practice conversations that I might have with someone at a social event and even write talking pointers on my notes app on my phone.
Any form of socialising would give me social anxiety, and I had autistic trauma from when I was a child, for being told off for having the wrong reactions, for being rude or inconsiderate, or for not talking enough. And so, as an autistic woman, I learned to cope with social situations by rehearsing conversations and reactions so that I could meet everyone’s expectations.
3. Hiding Special Interests
Many high-masking autistic women tend to hide or minimise their special interests so that they can seem less autistic. I used to be obsessed with reading and always had a book in my hands, but I started to minimise it and stopped talking about my special interests so that people wouldn’t get annoyed with me.
As a young adult, I convinced myself I didn’t need special interests or hobbies because my joy should come from socialising or studying. It became a time when I was my unhappiest, and having no special interests didn’t benefit me but made everyone around me feel that I was more normal.
4. Forcing Eye Contact
High-masking autistic women are more likely to force eye contact and may have become accustomed to feeling uncomfortable when socialising with others. Furthermore, they may instead have become experts in mimicking eye contact on their own or other parts of their face to create an illusion of eye contact.
5. Suppresses Stims
High-masking autistic women are considerably more likely to suppress their stims so that they can seem more ‘normal’ and less autistic. They are also more likely to stim behind closed doors or stim in more ‘acceptable ways’. This can look like applying lipstick or lip balm, twirling or fixing their hair, rubbing their hands together and touching their face. Many of these stims are seen as traditionally feminine movements, and autistic women may choose to do this to regulate themselves discreetly.
6. May have been Misdiagnosed in the past
Before I was diagnosed with autism and ADHD, I was diagnosed with depression and anxiety. When I was given anti-depressants, they made me feel considerably worse and made me think I was in a constant state of dissociation, so I realised that anti-depressants weren’t the right choice for me. A long time ago, I was having intense trouble controlling my emotions, feeling many highs and lows. I went to see a psychiatrist, and they told me that my symptoms were similar to borderline personality disorder. I was so confused because although I shared some of the symptoms of borderline personality disorder, these conditions could never fully explain why I was feeling the way I was or why I am the way I am.
7. Chronic Exhaustion
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Samedi 13 JUILLET 2024 RÉFLEXION DU JOUR
L' ADORATION D'ABORD
Ils commencèrent à offrir des holocaustes à l’Éternel, alors même que les fondations du temple de l’Éternel n’étaient pas encore posées. Esdras 3.6
Je n’avais jamais envisagé de lancer une organisation sans but lucratif ayant pour thème l’amitié entre adultes, et quand je m’y suis senti appelé, j’avais beaucoup de questions. Comment allais-je la financer et qui devait m’aider à la bâtir ? En définitive, j’ai obtenu ma plus grande aide sur le sujet non pas dans un livre de marketing, mais dans un livre biblique.
Toute personne que Dieu appelle à bâtir quelque chose doit absolument lire le livre d’Esdras. Rapportant la façon dont les Juifs ont rebâti Jérusalem après l’exil, il montre comment Dieu a pourvu aux fonds nécessaires au moyen de dons publics et de subventions gouvernementales (ESD 1.4-11 ; 6.8-10), et comment bénévoles et entrepreneurs ont travaillé (1.5 ; 3.7). Il montre l’importance d’une période de préparation, durant laquelle on ne commencera pas la reconstruction avant la deuxième année après le retour des Juifs (3.8). Il montre comment l’opposition peut se présenter (ch. 4). Mais une chose en particulier m’a sauté aux yeux : une bonne année avant le début des travaux, les Juifs ont érigé l’autel (3.1-6) et ont adoré Dieu « alors même que les fondations du temple de l’Éternel n’étaient pas encore posées » (V. 6). Ils ont accordé la priorité à l’adoration.
Dieu vous appelle-t-il à démarrer quelque chose ? Que vous lanciez une œuvre de bienfaisance, une étude biblique ou un projet professionnel, concentrez-vous d’abord sur Dieu et adorez-le.
RÉFLEXION
Comment l’adoration pourrait-elle s’insérer dans votre emploi du temps aujourd’hui ?
PRIÈRE
Père céleste, je t’adore comme le Seigneur de tout, y compris des tâches que tu me donnes à accomplir aujourd’hui.
LECTURE
PSAUMES 10 - 12
Actes 19 : 1 - 20
BON SAMEDI & BON WEEK-END
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NOUS AVONS INTERVIEWÉ L'ARTISTE PLASTICIEN ARASH LAHIJI QUI A SES NFTS SUR LE RÉSEAU CARDANO.
Dans le cadre d'un cycle d'entretiens et d'interviews que nous avons prévu au Token Mithrandir, nous avons commencé à interviewer nos générateurs de contenu NFTs, y compris les différents artistes qui font partie de notre Département de NFts, dans ce cas nous présentons Arash Lahiji, un grand art de la culture persane, qui a déjà 50 pièces créées au sein de l'écosystème CARDANO, et qui se sont toutes vendues en quelques heures seulement, depuis qu'elles ont été mises en vente sur le site www.jpg.store.
Selon Dominique Gromez, l'un des responsables de l'espace NFts du Token Mithrandir, « nous allons mettre en ligne d'autres œuvres de l'artiste Arash dans les prochains jours, nous estimons à 50 autres pièces, étant donné que toutes les précédentes ont été vendues, et que nous sommes constamment sollicités par Aras, les investisseurs de notre communauté, pour d'autres œuvres ». On voit donc que cet artiste visuel persan, qui vit dans l'actuel État d'Iran, a un large public en Occident. Mais apprenons à le connaître un peu mieux et regardons cette brève interview que nous avons réalisée avec lui depuis l'équipe de Token mithrandir pledge :
1- Cher Arash Lahiji, quelle est votre date de naissance et dans quelle ville êtes-vous né ?
Je suis né le 14 janvier 1979, dans le nord de l'Iran, dans la ville de Lahijan, une petite ville verte près de la mer et des plantations de thé. Mon père était enseignant et ma mère avait un grand intérêt pour l'art.
2- Aimiez-vous peindre dès l'enfance ou est-ce une compétence que vous avez développée à l'âge adulte ?
Mon père jouait du violon et du tambour, et ma mère avait une grande collection de livres. À l'âge de 10 ans, on m'a offert un appareil photo professionnel, ce qui m'a permis d'obtenir un diplôme en photographie. Depuis l'enfance, la peinture, la musique et la poésie font partie de ma vie. Plus tard, j'ai étudié la réalisation de films, et cela fait 25 ans que je produis des films d'animation et que j'enseigne l'animation. Je peins aussi professionnellement depuis 20 ans.
3- Vous souvenez-vous d'anecdotes sur vos premières années en tant qu'artiste visuel ?
A l'âge de 17 ans, j'ai voulu organiser une exposition de photographies, mais à l'époque je n'avais pas d'appareil photo. J'ai donc dû prendre des photos sans appareil ni négatifs et organiser l'exposition. La même année, un livre a été publié avec les photos de mon exposition. Nous nous sommes rendu compte que cela ne s'était jamais produit jusqu'à ce jour. Photographier sans appareil photo ni négatif à l'ère de l'analogique. Les photos ont été présentées dans plusieurs expositions internationales et vendues. Ce fut le début de ma carrière artistique professionnelle.
4- Avez-vous une estimation du nombre de peintures à l'acrylique et à l'huile que vous avez déjà réalisées ?
Mes peintures à l'huile, réalisées à l'acrylique et à l'or sur toile, sont uniques et de grande taille. Chaque tableau prend un mois à être réalisé. Par conséquent, dans les meilleures conditions, je réalise 10 peintures par an. Toutes mes peintures sont certifiées et leur quantité est spécifiée et limitée. Cependant, il y a beaucoup de tableaux que je peins pour des livres. Je conçois plusieurs livres par an, qui comprennent de nombreuses œuvres.
5- Vous souvenez-vous du moment où vous avez commencé à réaliser des œuvres d'art au format NFT ?
J'ai rencontré la NBA il y a trois ans. Cependant, c'est le 8 juin de l'année dernière que j'ai rejoint la NFT. Je fais partie du NFT depuis presque un an maintenant.
6- Nous savons que vous êtes un artiste international et que l'art numérique moderne va de l'avant. Comment voyez-vous l'avenir des NFT par rapport aux ventes d'œuvres d'art dans le monde ?
Je suis d'une génération qui a appris le cinéma et la photographie analogique. Nous étions au début lorsque la technologie numérique a été inventée et est arrivée sur le marché. Ceux qui ne se sont pas adaptés à cette technologie ont été éliminés. Cette expérience m'a appris que nous devons accepter les vagues de changement et en tirer des leçons. Avec de la créativité, de l'étude et de la persévérance, tous ces outils peuvent être utilisés au profit de l'art. Pour moi, l'essence de l'art est cruciale. L'art contemporain est très important pour moi. La différence entre le numérique et le physique réside uniquement dans la manière dont les outils sont utilisés. L'art est lié à la sociologie, à la psychologie, à la philosophie et à l'économie. Tout le reste n'est qu'outils.
7- Pourquoi pensez-vous que la culture persane est si bien acceptée dans le monde occidental ? Parce que de plus en plus d'œuvres d'art d'artistes persans sont vendues.
L'Iran est un pays civilisé et très ancien. On peut dire qu'il s'agit de l'un des premiers établissements humains. Les Iraniens ont été les premiers à découvrir le métal et à l'utiliser pour créer des outils agricoles plutôt que des armes de guerre. L'influence de l'Iran sur la civilisation humaine est indéniable. La poésie, l'architecture, les vêtements, les tapis, les textiles, les livres, les traductions et bien d'autres choses encore ont été transmis au monde par le Moyen-Orient. À l'ère moderne, nous avons pris du retard à certains égards. Cependant, les artistes sont les ambassadeurs culturels de n'importe quel pays. Le monde des communications nous a permis de nous redécouvrir. Naturellement, les experts internationaux ont commencé à reconnaître la valeur du travail de nos artistes. En ce moment, nous nous rapprochons d'une expression artistique florissante.
8- La communauté CARDANO adore les NFT, et est actuellement l'écosystème qui vend le plus de NFT d'artistes visuels. Qu'est-ce qui vous plaît le plus dans l'écosystème CARDANO ?
Je me suis familiarisé avec la communauté Cardano grâce au site kreate.art et j'ai remarqué que les œuvres téléchargées et vendues sur la communauté Cardano sont plus artistiques que sur d'autres plateformes. C'est pour cette raison que je me suis impliqué dans cet écosystème. Je me concentre d'abord sur cette communauté, puis sur d'autres plateformes. La culture des traders et des gestionnaires des sites et des plateformes Cardano semble être supérieure à celle des autres communautés. Ils répondent aux questions, ils sont actifs. L'art a une plus grande portée ici.
9- Êtes-vous passionné par la communauté CARDANO qui se développe sur le Token mithrandir ?
Je m'intéresse aux nouveaux événements. Pour moi, quelqu'un qui s'engage dans un nouveau travail est respectable. J'aimerais participer à de nouvelles expériences. Même en Iran, je suis classé dans le groupe des artistes d'avant-garde. Mithrandir est un projet nouveau et actif qui s'est impliqué dans la communauté Cardano. Je suis également intéressé par ce nouveau projet et par Cardano. J'espère briller ensemble.
10- Comment envisagez-vous l'avenir du Token Mithrandir et de son marché NFT, sachant que plus de 5800 pièces ont déjà été créées ? Et que chaque mois il y a de nouvelles commandes d'artistes qui veulent publier leurs œuvres dans les galeries d'art de Token Mithrandir ?
Je n'ai pas d'expérience dans la gestion de collections, mais j'ai une vision claire. La sélection des artistes se fait en fonction de leurs compétences artistiques et de leur impact réel. Le marketing et l'interaction avec les collectionneurs sont essentiels au succès de la collection. J'ai hâte de voir ce jour arriver.
De cette façon, la communauté CARDANO Token Mithrandir peut apprendre à mieux connaître l'artiste que nous avons dans notre collection, ce qui ajoute de la valeur à l'ensemble de l'écosystème CARDANO NFT.
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"On se sent seul", Romain, diagnostiqué personnalité borderline, témoigne
"On se sent seul, triste et incompris alors qu'il n'y a parfois aucune raison de penser de cette façon". Découvrez le quotidien de Romain Giraud, diagnostiqué borderline. Le trouble de la personnalité borderline fait partie des cinq maladies mentales retenues par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) dans le classement des dix pathologies majeures du XXIème siècle. "Une peur de la solitude, un côté impulsif, des sauts d'humeur, une colère inappropriée", Romain Giraud, 41 ans s'est livré. Ô Magazine : À quoi reconnaît-on une personnalité borderline ? Romain Giraud : La caractéristique principale est l'instabilité des relations personnelles. Dans mon cas, lors de mon adolescence et de mon passage à l'âge adulte, j'avais besoin d'approbation en permanence. Mon estime de moi-même était tellement basse qu'il fallait impérativement me construire une identité. J'ai toujours été très sûr de mes choix professionnels mais lorsqu'il s'agit de prendre une décision dans le cadre d'une situation amoureuse, c'est très compliqué. À cela s'ajoute une peur de la solitude, un côté impulsif, des sautes d'humeur, une colère inappropriée... Clairement, on se sent seul, triste et incompris alors qu'il n'y a parfois aucune raison de penser de cette façon. À quel âge sont apparus les premiers signes d'une personnalité différente ? R.G : Je pense que j'avais une vingtaine d'années lorsque j'ai compris que quelque chose n'allait pas chez moi. Dans mon cas, l'apparition de ma personnalité a été influencée par l'environnement toxique dans lequel j'ai grandi. Ma sphère familiale était très instable. J'ai tenté plusieurs thérapies, sans grand succès. Puis le temps a été mon plus bel allié pour mieux me comprendre, cerner mes problèmes et travailler dessus. Je me suis beaucoup renseigné, et j'ai rapidement mis des mots sur mes ressentis. Comprendre que l'on est "borderline" , c'est se dire que l'on est pas seul et qu'il existe des solutions. Malheureusement, toutes les personnes atteintes de ce trouble n'ont pas l'opportunité de s'en rendre compte. Cela demande beaucoup de volonté de se remettre en question et d'accepter les critiques. Aujourd'hui, j'ai 41 ans et je me connais enfin. Dans quelles mesures cette maladie atteint-elle votre quotidien ? R.G : Il est très difficile de trouver un équilibre entre ses désirs personnels et le besoin d'être approuvé et aimé par les autres. La période la plus complexe est l'adolescence et les quelques années qui suivent. C'est la transition entre l'enfance et l'adoption de notre future personnalité. À ce moment là, j'étais quelqu'un de plutôt timide lorsque je sortais de ma zone de confort et rencontrais de nouvelles personnes. Concernant ma vie professionnelle et amicale, je n'ai jamais eu de soucis. Les relations amoureuses étaient, pour moi, le véritable enjeu sur lequel m'améliorer. Pendant longtemps, ma partenaire devait représenter, à mes yeux, la perfection telle que je me l'imaginais. Elle devait sans cesse me montrer de l'affection, sans quoi les doutes et les remises en question faisaient de nouveau leurs apparitions. J'avais beaucoup d'exigence et d'importantes sautes d'humeur lorsque ça n'allait pas dans mon sens. Lorsque je me retrouvais seul trop longtemps, je broyais souvent du noir car j'avais besoin d'une présence pour me sentir bien. https://www.youtube.com/watch?v=MqGlKdkawvE&pp=ygUYcGVyc29ubmFsaXTDqSBib3JkZXJsaW5l Pensez-vous pouvoir guérir complètement ? R.G : Je vais déjà beaucoup mieux. Aujourd'hui, j'essaye de me retrouver au maximum dans des situations qui me font plaisir. J'arrive à contrôler mes émotions, et mes relations amoureuses sont beaucoup plus stables et équilibrées. Se connaître, se comprendre, se faire confiance, et arriver à s'aimer, c'est la clef du bonheur. Le bonheur conjugal dépend du bien-être personnel. Ma personnalité est toujours fragile mais je pense avoir trouvé une certaine plénitude qui ne m'empêche plus d'agir normalement. Je vis ma vie beaucoup plus sereinement, et j'ai dû faire un énorme travail sur moi-même pour être épanoui. Si vous deviez donner un conseil à des personnes dans le même cas que vous ? R.G : Je citerai Marcel Proust, auteur d'un livre intitulé À la recherche du temps perdu : "Notre personnalité sociale est une création de la pensée des autres." Autrement dit, ne perdez pas de temps à chercher l'approbation des autres. Il est temps de s'accepter et d'apprendre à s'aimer. Après avoir dompté sa personnalité atypique, Romain a enfin trouvé les clefs du bonheur. Une bonne connaissance de soi, un travail acharné, et beaucoup d'amour ! Read the full article
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Message destiné aux adultes professionnels de Tumblr : offrir un cadeau de naissance à une femme enceinte (environ 6-7 mois) dont on est plutôt proche, c'est ok ou il est préférable d'attendre le terme ? Merci bisous
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En France, les préjugés autour du syndrome de Diogène persistent toujours
L’association nationale Survivre à l’insécurité œuvre depuis une dizaine d’années aux côtés des personnes atteintes du syndrome de Diogène. Petit rappel des points clés qui entourent ce trouble du comportement.
Si le syndrome de Diogène est de plus en plus médiatisé, les préjugés lui collent toujours à la peau. Explications de ce trouble du comportement par Pierre Ludosky, professionnel de ce syndrome et président de l’association Survivre à l’insécurité.
Qui est touché par le syndrome de Diogène ?
Il n’y a pas de profil type. Ce trouble du comportement peut très bien toucher les hommes et les femmes, les personnes issues de milieux favorisés ou de milieux défavorisés. Les personnes très jeunes, les adultes et les personnes plus âgées. Tout le monde peut être atteint de Diogène.
Comment se déclenche ce trouble ?
Tout commence par un choc psychologique brutal : un divorce, la perte d’un être cher, un licenciement, un souci au travail, une grosse déception… C’est ce que j’appelle le “bouleversement”. Mais, cela peut aussi venir d’un traumatisme passé, un événement survenu dans l’enfance. Les humains ont une très bonne capacité pour occulter les choses traumatiques. Mais, un jour, ça peut remonter à la surface et déclencher ce trouble du comportement.
Quels sont les comportements caractéristiques des personnes atteintes de Diogène ?
Il y a une accumulation compulsive. Ce sont des personnes en souffrance qui ont un profond besoin d’affection. Alors, ils entassent. C’est pour cette raison qu’il n’y a pas d’objet type. Pour moi, c’est presque une personnification de l’objet. C’est comme cela que la souffrance s’exprime. Il est aussi probable que des personnes atteintes de Diogène négligent leur hygiène corporelle. Enfin, ces personnes ne demandent généralement pas d’aide.
Quelles sont les solutions ?
Tout d’abord, il faut comprendre comment la personne en est arrivée là, cibler le bouleversement. Briser le cercle de honte. Une vraie thérapie est nécessaire : il est indispensable de se faire accompagner par des professionnels, des psychologues ou des psychiatres. En complément, le désencombrement du domicile est important pour permettre un retour à la vie normale.
Y a-t-il assez d’informations autour de ce syndrome ?
Non, ce n’est pas suffisant. C’est un syndrome difficile à comprendre car chaque situation est différente. Malheureusement, ce trouble du comportement reste un champ encore assez mal défini de la psychologie ou bien de la psychiatrie. Puis, beaucoup de stéréotypes entourent encore Diogène : ce ne sont pas des gens sales mais des personnes en souffrance.
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Suite à un choc émotionnel, Georges (*) est tombé dans la dépression, puis Diogène. Après trois ans de calvaire, il raconte sa descente aux enfers.
"Tout est parti d’une rupture amoureuse", lâche Georges, victime du syndrome de Diogène. S’ensuit une dépression qu’il "ne veut pas reconnaître" et c’est la dégringolade. Les déchets s’entassent sans même qu’il s’en rende compte. Le moral broyé, il s’enferme dans une spirale infernale. "Je me levais seulement pour donner des croquettes et de l'eau à mon chat", avoue l’homme.
Rapidement, des amis tentent de lui rendre visite. Jamais il ne leur ouvrira la porte. "Je baissais le son de la télévision pour donner l’impression que je n’étais pas là", soupire-t-il. La honte fait partie de son quotidien. Il refuse que ses proches voient son logement.
"Je ne voulais pas accueillir qui que ce soit dans un dépotoir", murmure l’homme. Physiquement, ça ne va pas non plus. Georges ne se nourrit presque plus. À bout de force, il peine à se déplacer : "Je ne pouvais plus aller à l’étage, les escaliers c’était insurmontable." Après trois ans d’enfer, ses voisins réagissent : "Ils ont alerté la commune et les services sociaux. Les pompiers sont intervenus". Au début, l’homme ne veut pas les suivre. Électrochoc. Il finit par se faire hospitaliser quelques jours.
Après le passage des nettoyeurs dans son logement, Georges est autorisé à rentrer. Lorsqu’il remet les pieds chez lui, "le choc". Puis, la joie. "J’ai enfin retrouvé ma vie d’avant", souffle-t-il, le sourire dans la voix.
Mais, pour véritablement soigner ses maux, ce dernier devra suivre une thérapie psychologique de plusieurs mois.
(*) Le prénom a été modifié.
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Marine Roque : kinésithérapie pédiatrique et respiratoire
Bienvenue à notre cabinet de kinésithérapie pédiatrique !
Je suis une kinésithérapeute spécialisée dans la prise en charge des nourrissons et des enfants de tous les âges.
J'ai une approche globale avec les nourrissons et les enfants et travaille en étroite collaboration avec les parents pour garantir la meilleure prise en charge possible de leur enfant. Je suis passionnée par la santé des enfants et je suis constamment à la recherche des dernières techniques de traitement pour améliorer la qualité de vie de mes patients.
Mon expertise en kinésithérapie pédiatrique comprend : la kinésithérapie respiratoire : méthode efficace pour aider les bébés à évacuer les sécrétions qui les empêchent de respirer. Elle peut être très utile pour les nourrissons souffrant de bronchiolite et d'asthme. Le médecin doit vous délivrer obligatoirement une ordonnance pour des séances de kinésithérapie respiratoire. Je tiens à préciser que les manipulations sont impressionnantes pour les nouveaux parents mais sans danger pour le bébé, et surtout très bénéfique pour son bien-être et le vôtre. Find more info children's physiotherapist
la rééducation neuromotrice : torticolis, plagiocéphalie du nourrisson, retard du développement moteur, pathologie neurologique et génétique, la rééducation orthopédique : les malpositions et les malformations du pied, Le suivi des nourrissons prématurés, la prévention et le traitement des troubles musculo-squelettiques chez l'enfant, l'amélioration de la motricité fine, la rééducation chez les enfants atteints d'un trouble du spectre de l'autisme, etc.
Si vous avez besoin de soins de kinésithérapie pour votre enfant, n'hésitez pas à contacter notre cabinet de kinésithérapie pédiatrique dès aujourd'hui. Je ne propose pas de consultations pour les adultes.
Horaires d'ouverture : 9h-19h du lundi au vendredi, fermé le samedi et dimanche ainsi que les jours fériés
Adresse : 18 Rue des Tilleuls, 31650 Saint-Orens-de-Gameville, France
URL de réservation : https://www.maiia.com/masseur-kinesitherapeute/31650-saint-orens-de-gameville/roque-marine
Numéro de téléphone professionnel : 0033659767835 ou +33659767835
E-mail de l'entreprise : [email protected]
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🟢🇫🇷 POURQUOI PERDRE DU TEMPS ?
J'ai toujours blâmé le destin, le hasard, le sort.
J'ai perdu 30 ans avant de plonger dans le monde de l'hypnose car j'avais peur, méfiante, dubitative envers ceux qui pratiquaient l'hypnose !
J'étais plein de préjugés sur l'hypnose, provoqués par la télévision, les films, les émissions et les reportages qui, de bonne ou de mauvaise foi, semaient des préjugés qui m'éloignaient de l'hypnose !
Une fois, je pensais que tout était arrivé par hasard !
Aujourd’hui je pense que rien n’arrive par hasard !
Alors, un beau jour de 2006, on m'a offert un livre de poche sur des sujets mentaux et à partir de ce moment-là, ma vie a changé !
Au cours de mon voyage vers le saumon, j'ai tout essayé et j'ai compris ce qui fonctionnait et ce qui ne fonctionnait pas !
Cela a fonctionné, mais il me manquait quelque chose !
En 2008, j'ai rencontré le Dr Rina Brunini, à plus de 11 500 km, sur Skype, en ligne, et je me suis exclamée wow !
Depuis ce jour, je m'hypnotise 24 heures sur 24, toutes les 84 600 secondes de chaque jour, je me sens au mieux de ma forme, les maux de tête chroniques, l'anxiété, les douleurs et le poids dans la poitrine, l'habitude de fumer, le négativisme, la dépression ont disparu à 100% .le stress, la colère, la culpabilité du passé négatif !
J'ai aidé des centaines et des centaines de personnes, enfants, adultes et personnes âgées, partout dans le monde en ligne avec l'hypnose DCS avec des résultats tout simplement incroyables !
Je te comprends mon ami mais à un moment donné il faut s'y plonger avant que cette vie passe sans en profiter !
Le choix n'appartient qu'à vous !
si vous les avez vraiment tous essayés et n'avez aucun fait, combien cela vous coûte-t-il d'essayer DCS Hypnose véritable et professionnelle à Los Angeles Beverly Hills
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Lire l’horoscope de son ex pour savoir ce qu’il devient
Les vidéos de coachs en amour, auxquelles je consacrerai un autre billet, m’ont appris une chose essentielle : quand on se sépare, rien de mieux qu’un bon silence radio. Ça aide à avancer et à passer à autre chose et ça aide à devenir « la meilleure version de soi-même », au cas où on se recroise et qu’on ait envie de remettre le couvert (ou tout simplement envie de créer un peu de frustration, voire de regret chez l’autre). Mais voilà, quand on veut respecter le silence radio et qu’on a envie de prendre des nouvelles de l’ex, savoir ce qu’il/elle vit, ce qu’il/elle ressent, sans avoir forcément envie de demander à nos amis communs pour s’entendre dire qu’il/elle « pète la forme », « a enfin quitté son boulot pour équilibrer sa vie », que « bon … il/elle a rencontré quelqu’un mais je savais pas si je devais te le dire », il existe une technique.
Je n’ai jamais été une grande adepte de l’astrologie jusqu’il y a quatre ans environ. Je me contentais de lire les trois lignes proposées quotidiennement par Métro ou 20minutes en espérant secrètement que les bonnes nouvelles s’appliquent à mon cas personnel. Ça c’était jusqu’à ce que je tombe sur un taiseux.
Fin 2019, les aléas de la vie m’ont conduite dans les bras d'un garçon fort doux et prévenant, mais qui parlait très peu. Je n’étais pas adepte de l’astrologie mais bien adepte des pipelettes, des hommes qui parlent beaucoup (trop), qui se livrent et partagent leurs névroses et leurs maux de ventre jusqu’à ne plus me laisser en placer une. Et voici que tout à coup je passe mes journées avec quelqu’un qui n’use de mots que pour dire l’essentiel. De quoi prendre peur et me demander rapidement : « Mais qui est cette personne ? ». De lui je ne sais au final pas grand-chose : nom, prénom, ville où il a grandi. Et sa date de naissance. Alors, prise dans mes longues phases de doute habituelles, je finis par atterrir sur les pages astro de Elle et Marie-Claire.
Le taiseux est balance. La balance, ça me connaît ! J’ai passé presque sept ans de ma vie de pseudo-adulte avec un homme balance, j’en compte énormément parmi mes amis, ce qui me vaut une banqueroute à la cagnotte leetchi et une avalanche de groupes whatsapp de soirées d’anniversaire à chaque mois d’octobre. Je les aime beaucoup les balances, curieuses et intéressées par tout, pleines de doutes comme moi, comprenant parfaitement la profondeur des choses mais capables de flotter au-dessus avec légèreté. Un peu princesses aussi, je les embrasse au passage.
Pour autant, les descriptions que je lis à ce moment ne m’éclairent pas sur mon taiseux, ni sur notre compatibilité. Et lui continue de se taire. La relation prend fin mais j’en pars avec ce nouvel intérêt pour les astres et les constellations.
Le premier confinement arrive très vite après, avec ses tornades d’incertitudes. Cette fois-ci c’est mon amie Betty qui m’oriente vers une source plus sûre et plus professionnelle : l’horoscopo negro. L’occasion de travailler mon espagnol et d’interpréter des messages mystiques. De me rassurer comme je peux aussi.
Au même moment, Vincent, un ami, ou plutôt pote, qui me regarde avec des yeux de merlan frit depuis quatre ans, m’annonce qu’il part vivre à Marseille. Nous sommes en pleine diaspora parisienne vers le Sud. Vincent, depuis le début, je dis non. Je n’arrive pas bien à l’expliquer. Je me suis toujours demandée si je ne passais pas à côté de quelque chose mais une petite voix à l’intérieur me murmure « Si ça doit se faire, ça se fera ». Cette assurance, cette indépendance, que dis-je, cet ascétisme, affûtés au fil des années, de l’expérience et de la sagesse, sont pulvérisés à l’instant où Vincent m’annonce son départ.
Obéissant au vieil adage « Fuis-moi, je te suis », je laisse d’un coup s’ouvrir mon cœur, couler ma bave et mon regard se vider. Vincent devient l’homme de ma vie. Une évidence. Et quelle n’est pas ma joie lorsque, au gré des confidences nocturnes de nos premiers instants partagés – j’ai fait un move juste avant son départ et Vincent n’a pas résisté, le saligot – il m’apprend qu’il connaît et consulte l’horoscopo negro. Ce genre d’information a une valeur inestimable dans ces moments où l’on s’accroche au moindre point commun : un goût partagé pour le chocolat, une référence musicale commune ou un « Tiens, lui aussi enfile la housse de couette en la mettant d’abord à l’envers ». Autant de signes que l’avenir sera radieux, que l’histoire n’aura pas de fin. Dans ce cas, l’info m’a été d’une autre utilité. Parce qu’à mon grand regret, Vincent et moi ça n’a pas duré.
Il est verseau, je suis taureau, l’horoscopo negro nous prédisait 5% de réussite. Puis de très bavard, il est devenu taiseux. Un drame. Il m’a fallu un temps fou pour m’en remettre et je me suis astreinte pendant cette période à ne prendre aucune nouvelle. Pour l’oublier ou mieux se recroiser quelques mois plus tard, tous neufs et tous frais, prêts à rempoter forts de notre maturité récemment acquise.
Bref, le seul moyen de « communiquer » avec lui a été de me tourner vers son horoscopo negro en espérant qu’il le consulte aussi et s’en inspire pour prendre une décision. J’ai aussi regardé des photos de petits chiens sur Instagram pour m’apaiser (ce conseil, je le partage les yeux fermés parce qu’il fonctionne très bien). Et voici des extraits de ce que j’ai eu le loisir de décoder (avec la traduction Google, please) :
« Cette semaine, il y a des moments très intenses dans votre vie Aquarius, de ceux qui vont tout enlever à l’intérieur ».
« Vous vous êtes séparés de nombreuses personnes importantes pour vous dans votre vie (surtout d’une personne un peu spéciale). Parfois vous continuez à vous demande si tout aurait dû être géré différemment ». VERIDIQUE !!! Même le « R » manquant à « demande ».
Vincent va revenir, Vincent va parler.
D’autres messages sont plus obscurs « Vous êtes dans une période de croissance personnelle assez lourde. Rien ni personne ne vous arrivera. Et il est clair que vos racines ne rentrent plus dans un certain pot. » Qui est ce pot ?
« En amour, ce mois-ci, vous avez besoin d’une pause avec les personnes toxiques. Il semble que personne au monde ne soit capable de comprendre que vous êtes un signe libre et que vous avez besoin de votre indépendance pour être heureux. » Popopo, qu’est-ce que c’est que ces conneries ! Pitié, faites qu’il ne lise pas cet horoscope à la con.
L’histoire aurait pu s’arrêter là et j’aurais pu conclure sur le relatif bien-être que m’a apporté cette pratique un peu honteuse, même si elle ne répondait vraiment à mes questions.
Mais Vincent et moi n’avons pas totalement respecté le silence radio. Il nous est arrivé de nous recontacter avant de décider de ne plus se parler, puis de se rappeler avant de re-couper. Le décompte dépasse la douzaine de fois (mais je suis sûre que je ne suis pas la personne toxique dont parle l’horoscopo negro, et puis quoi encore ?). Et lors de notre dernier échange, alors que nous prenions des nouvelles poliment, Vincent m’a écrit :
« J’ai lu ton horoscopo negro de la semaine et il semblait parler d’une rentrée chargée, mais je suis sûr que tout se passe bien ».
VERIDIQUE 2, le retour !!!
Oui, ce texte raconte l’histoire vraie de deux zinzins qui ont chacun lu l’horoscope de l’autre pour savoir ce qu’il/elle devenait.
Maintenant que cette méthode a été éprouvée par deux personnes, c’est à vous de jouer.
#horoscope#tarots#blogging#coaching#esoterisme#energies#histoiresdusoir#univers#laperditudedeschoses#lesensdelavie
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