#jambes nues
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reacherlegs · 1 year ago
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Emmanuelle Seigner by Jean Francois Jonvelle
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abdou-lorenzo · 10 months ago
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J'étale tes jambes nues, je les ouvre comme un livre où je lis ce qui me tue........💞✨✨
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G. Bataille
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orageusealizarine · 18 days ago
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J'ai pris de l'or au bout des doigts (de l'or bleu, de l'or des océans ou des ciels infinis, je ne sais) - un or hespéridé, tout de reflets d'agrumes, d'essences citronnées... du bout des doigts... et l'eau enjambait mon ventre - prestement.
Il a fondu à mes hanches, ennuagé mes cuisses, s'est mêlé à la nuit, s'est perdu dans mon propre ciel... personnel. Et j'expirais ma vie. Sous ton regard brûlant. Soleil pâle, reflux calmes...
J'ai flatté les mystères, sur ma peau traînée d'or, marbrée de liqueurs fortes.
De mon ventre à mes seins, à mes épaules, depuis mes reins.
Les marbrures ont coulé. 
Et les granulés d'or crissaient sous mes doigts qui étiraient la soie comme pour cacher mon corps - mais les parfums ne voilent rien - et j'étais nue. 
Sinon vêtue de mes mains passagères, de mes coulures premières que mes paumes étalaient. À mes aisselles - l'écume naissait - et tout au long de mes bras.
(Que mes joues rougissaient... puisque tu étais là !)
Mes mains flattaient mon corps - et j'allais jusqu'au bout.
Du bas de mon dos à mes épaules retorses - et ton regard livide, amoureux, clandestin, invité au festin par nos amours communs - je ranimais la mousse qui se voulait mourante égarée, tout à l'heure, à mes flancs, mes forêts... mes filets. Et mes fesses aussi ont été égayées - et ravies. 
Il me fallait des ciels - et j'y mettais les doigts - englués de parfum surnageant sur mes jambes et s'arrogeant mes cuisses, mes chevilles et mes pieds. 
Je me suis oubliée - penchée et encensée, ruisselante et lustrée - à mes orteils - intensité trouvée sous ton amour lâché - dans mes champs. (I-ma-gi-na-ti-on qui te cherche et t'atteins, sans cesse te prends la main, te mène à mes pensées, te baise les joues et puis t'étreins). 
Et l'eau coulée a disparu la mer et ses aurores - en allées sous mes talons - et j'ai souri, en dernière pluie, à notre amour partagé.
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oldsardens · 10 months ago
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Pierre Auguste Renoir - Femme nue debout, s'essuyant la jambe
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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Dans les rues surpeuplées de voitures qui klaxonnent, je roule tranquillement sur mon vieux vélo gris. Mes jambes aérées sous la robe de plumes, je pédale doucement. Zigzaguant entre les voitures folles, je tortille mon vélo pour m'insérer dans le flot. Il fait chaud malgré la légèreté du tissus. Dans leurs voitures à l'arrêt les chauffeurs klaxonnent. Je n'avais pas compris. Ce sont mes jambes nues qui les affolent ainsi....
Charlotte
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impossiblyholyparadise · 5 months ago
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Nouveau récit de mon chemin vers le Candaulisme...
Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
toujours sur la route de l’Espagne...
Avant même de vous narrer la suite et la fin de la soirée avec Bob et ses amies, je voudrais devancer une étape qui n’est pas directement « mon Candaulisme » mais plutôt je pense, vous pourrez me dire ce que vous en pensez, celui des autres...
Il existe aussi et quand on est comme moi sensible et amoureux de cette pratique, de cette philosophie, on peut le voir partout et il est tout aussi important de le faire vivre, de le remarquer et d’être capable de le voir...
Aussi, nous avions prévu avec Ana, après cette nuit de folie passée avec Bob et ses amies, de faire une halte sur la route de nos vacances qui devaient nous mener en destination finale à Grenade en Espagne.
Mon amie, professeure d’Espagnol voulait absolument visiter l’Alhambra et mieux cerner les impacts de la culture Arabe en Espagne ainsi que connaître la culture Andalouse.
Moi, je suivais..., intéressé et curieux d’à peu près tout...et surtout si amoureux d’elle et de tout ce qu’elle me permettait de découvrir, avec elle, sur moi, sur les autres, sur le monde, sur le sexe...
Bref autant de choses que dans un couple « classique » il n’est peut-être pas possible d’appréhender tout autant... ?
Depuis notre Normandie natale, le chemin était long et les étapes nécessaires.
Ainsi, Toulouse, Perpignan, maintenant Tarragone, Madrid et enfin Grenade...
Cinq étapes, 1700 kilomètres environ, me semblaient tout à fait correct surtout que nous étions en vacances...
Aussi, après Perpignan, ce fut Tarragone.
Ana avait aussi choisi cet endroit car en bord de mer, nous aimions la mer elle comme moi,  et avait-elle lu beaucoup d'articles intéressants concernant Tarragone. De nombreux vestiges Romains à voir, une culture de la fête (et même un Musée de la Fête) dont notamment la réalisation festive de ces pyramides humaines, plutôt des châteaux humains (tradition commune aussi avec l’Italie et essentiellement Catalane) nommé « Castelles ».
Elle voulait voir ce spectacle en réel et pourquoi pas tenter d’y participer... ?
La route fut tranquille et agréable même si la chaleur présente de ce milieu d’été nous rendait assez nonchalants l’un et l’autre et que les effets de la soirée de la veille dans cette cahute de la SNSM avec Bob et ses amies se faisaient manifestement sentir.
Ana, comme très souvent et presque toujours, surtout dès qu’il faisait plus de trente degrés, était vêtue d’une très légère et courte robe d’été qui lui allait à merveille et lui rendait moins pénible le voyage...
Nue en dessous ou plutôt sans dessous bien évidemment !
C’était notre code commun de l’été...Et , elle comme moi y veillions!!
Pieds nus et cheveux défaits, elle était superbe.
Souvent aussi, elle posait ses pieds sur le tableau de bord et je ne manquais pas d’admirer ces jambes oblongues et parfaites...
Quelques fois le tissu glissait aux confins de ses cuisses et c’était réellement un bonheur et un spectacle que de la voir ainsi...
La vitesse étant limitée à 120 kilomètres heures sur les autoroutes d’Espagne, je conduisais sans aucun stress tout en m’amusant du fait que lorsqu’Ana se positionnait comme cela et parfois même s’endormait, les camionneurs que je doublais, perchés dans leurs cabines, manquaient rarement de klaxonner, ravis de la vue que la situation pouvait leur offrir un instant en passant...
Cela réveillait immanquablement Ana, qui parfois râlait d’avoir été réveillée mais aussi me l’avoua-t-elle, parce qu’elle n’avait pas pu elle aussi profiter et jouer de l’instant et de ses incroyables et érotiques attraits.
Elle aimait réellement être le centre de l’attention et son côté exhibitionniste avéré et assumé la titillait souvent et ne me déplaisait nullement pour notre plus grand bonheur et notre complicité.
De la pointe de ses pieds au sommet de sa chevelure brune c’était une bombe sexuelle...
Un bouquet d’amour...
Une convocation perpétuelle aux agapes sensuelles et sexuelles...
Chaque parcelle de sa peau était une publicité érotique et une invitation aux pensées lubriques...Je n'avais jamais rencontré d'amis qui ne me l'ai avoué ou plus ou moins fait savoir: "Waaoooua , ta copine...!"
Pour les autres, leurs yeux et leurs comportements suffisaient à eux seuls...
À eux seuls, ses seins galbés et libres dans cette robe légère étaient une invitation à toutes les pensées diaboliques...
Alors, vous pensez, ses jambes bronzées et dénudées, sa chatte lisse juste surmontée d’un triangle soigneusement entretenu, sans parler de son cul rebondi à souhait qu’elle dévoilait parfois dans ces moments-là à ces camionneurs, stakhanovistes du bitume rarement bien considérés et rétribués, étaient un pur instant suspendu, un incroyable « butin », une chance impensable, un vrai ticket de loterie au regard des milliers d’autres personnes, femmes et hommes, que pouvaient croiser ces galériens de la route au quotidien si routinier et très certainement rengaine ...
Souvent quand je les doublais, elle faisait semblant de se pencher pour rechercher quelque chose sur la banquette arrière, assurant un flottement savant et pensé de sa robe jouant avec l’air des vitres ouvertes sur et dans sa raie marquée de son entre-fesses...
Cela n’en laissait, croyez-moi aucun indifférent!
Moi le premier... ! J'adorais tellement bander...Comme tout homme me direz-vous mais peut être encore plus depuis que je me savais Candauliste.
L’adresse de ses mains (parfois elle invitait également la mienne) titillant son écrin d’amour était réellement à voir et à admirer...
Bref , oui, elle savait jouer de ses charmes et de ses envies pour rendre fous les hommes (parfois les femmes...On venait réellement de le constater avec Clara et Laura , les amies de Bob le soir d’avant...Je vous raconterai...).
-«  Le prochain routier qu’on dépasse, tu me dis et tu me réveille avant...Je vais le faire bander crois-moi...Il va payer pour les autres qui m’ont réveillée...Je vais le rendre fou...Tu resteras à sa hauteur, tant pis si ça râle derrière, et je lui ferais un striptease et le coup de la femme exhib...T’inquiète...Tu te régaleras aussi mon chéri... ! »
Je ne pouvais en douter un instant d’autant qu’on avait déjà joué à ce jeu un jour en Bretagne et que le conducteur du camion avait réellement faillit avoir un accident tant il ne faisait plus assez attention à la route, ce con !
                -« Ok, promis , Bébé...! Promis dis-je en riant... »
Quelques hectomètres suffirent et j’avoue qu’elle sut y faire...
Le routier n’arrêta pas, une fois qu’on l’eut d��passé, lentement dépassé sur plusieurs kilomètres, de klaxonner, de faire des appels de phares, de mettre son clignotant pour nous indiquer qu’il voulait s’arrêter...
Mes doigts enserrés dans son con bien ouvert, humides et si délicieusement chaud, je ne pouvais de toutes manières pas m’arrêter...
Ce n’était d’ailleurs pas notre volonté ni celle d’Ana qui s’était doucement et tendrement repliée sur mes doigts encore enfouis en elle...J’étais au Anges...Elle se rendormit...
Il nous restait une centaine de kilomètres avant d’arriver à Tarragone...
Nous avions réservé un airbnb en centre-ville, il y avait un parking à proximité et c’est juste à côté de la Cathédrale, sur la place où avait lieu généralement les fêtes.
Notre hôtesse était une femme d’une soixantaine d’années magnifiquement conservée (elle devait réellement avoir été belle dans sa prime jeunesse).
Elle nous aida à nous installer, nous fit l’article des plus belles choses à voir, nous conseilla quelques restaurant situés juste à côté et d’aller regarder le spectacle de la lune sur les flots ou sur le port situé juste au bout des ramblas... :
                - « Ce soir c’est pleine lune, la lune bleue, nous indiqua-t-elle dans un français quasi parfait...Elle avait été par le passé pendant quelques années conseillère économique au sein de l’Ambassade d’Espagne à Paris, ville qui me manque parfois, nous avoua-t-elle... ».
Elle avait hérité et investit dans sa ville natale de Tarragone et était revenue y vivre avec son mari la retraite arrivée depuis trois ans maintenant.
Son mari était un ancien agriculteur des environs, vivait encore à la campagne voisine le jour et venait la rejoindre chaque soir au coucher.
Elle était réellement charmante et nous indiqua de ne pas hésiter à l’appeler si on avait un quelconque besoin.
« Même dans la nuit..., ici on ne se couche pas très tôt, on aime la fête et les gens...Dommage, la fête des Castells n’a lieu qu’en octobre cette année, il faudra revenir...et il n’y a pas de répétition sur la place...La nuit sera tranquille...Vous pourrez vraiment vous reposer si vous partez demain pour Madrid. Bonne nuit ! »
Nous étions installés dans un appartement situé au deuxième étage d’un vieil immeuble du début du siècle avec une avancée sur colonne constituant en dessous un passage sous voute.
L’appartement avait été refait à neuf à l’arrivée de Consuella, c’était son prénom, et était parfait.
En face du large espace constituant la place de la Cathédrale, un petit immeuble de même taille que le notre mais de style différent semblait inoccupé ou du moins très tranquille et sans vis à vis...
Ce serait parfait, il faisait encore chaud en cette longue soirée d’été et l’air de la mer voisine pourrait sans nul doute nous apporter un peu de fraîcheur dans la nuit. Nous pourrions sans problème dormir les fenêtres ouvertes...
Ana se précipita sous la douche en rigolant, me jetant un « Prem’s » hilare...
Elle était déjà entièrement nue.
Sa vitesse à se dénuder et à être aussi à l’aise m’avaient toujours sidéré...Il faut dire qu’elle était tellement belle et naturelle. Son éducation, contrairement à la mienne y avait sûrement beaucoup participé : ses parents professeurs étaient depuis toujours naturistes convaincus et passaient leurs étés sur les plages et les camps naturistes d’alors...J’appris par eux qu’il y avait même des campings et autres installations naturistes certifiées au-dessus géographique de Montauban..., ce qui pour moi était une impossibilité physiologique tant je craignais le froid... !
Pour autant Ana et ses frères avaient été bercés par ce mode de vie et ce rapport au corps qui je l’avoue m’avait interpellé puis plutôt convaincu...
Il n’en reste pas moins que Montauban fut et est toujours pour moi, même en nos nouvelles périodes de réchauffement climatique, une limite géographique , du coup peut-être psychologique,  infranchissable.
Je rangeais nos affaires et ouvrais la fenêtre de l’appartement.
J’avais également envie et besoin d’un bonne douche et je rejoignis rapidement Ana...
Quelques baisers humides plus tard, elle sortit et m’attendit assisse engoncée dans une grande serviette moelleuse sur le rebord de la fenêtre.
Elle me proposa de nous habiller rapidement et de descendre manger dans un des restaurants indiqués par Consuella :
                « Une bonne nuit de repos ne nous fera pas de mal mon amour me dit-elle, j’ai envie d’être cool ce soir...Pas toi ? « 
Ce qui en langage de Ana signifiait, on mange on se couche tôt, on se câline et on se repose...
Le programme m’allait bien, même si de la voir se préparer et s’habiller devant moi et me demander quelle robe lui allait le mieux après en avoir essayé quatre ou cinq, sans compter quelles chaussures, un bracelet de cheville ou pas, ... entrainait toujours pour moi et en moi un sentiment Candauliste émergent et irrépressible...
Je me serais bien jeté sur elle pour lui faire l’amour, là, maintenant, mais elle m’échappait déjà en se tournant et regagnant la salle de bain.
Elle opta pour une robe courte, droite et fendue sur le côté, style « Romaine » qui lui allait magnifiquement et ajouta ce coup-ci sans me demander, un bracelet manchette du plus bel effet sur sa beau bronzée et son bras si parfaitement dessiné.
Je pensais en l’admirant qu’elle aurait été parfaite pour une soirée Romaine et mon esprit plus que coquin se projeta même jusqu’à l’orgie...
Était-ce le passé de Tarragone, ancienne ville Romaine d’importance qui me jouait des tours ou était-ce seulement ma lubricité entretenue par notre après-midi routier et la chaleur de ce début de soirée qui emportait mon imagination ?
La conscience ou l’inconscience d’Ana de par ses jeux aussi imprévus que constants et mes propres tourments érotiques incessants devant son irradiante et sensuelle beauté me poussaient dans les retranchements du Candaulisme, je m’en apercevais de plus en plus : je l’admirais, j’étais fou d’elle, je voulais la partager, l’offrir, la montrer aux autres, à toutes et à tous combien elle était belle, désirée et désirable, ardente...
Secrètement et subitement je l’imaginais ici, jadis, Déesse ou Princesse dans son palais, offrant sa magnificence, sa présence et jusqu’à son corps à ses plus beaux serviteurs, soldats ou esclaves musclés et vainqueurs, choisis par elle et son Maître (moi ?) comme juste et inespérée récompense des exploits réalisés dans les Arènes, au quotidien à son service ou sur les champs héroïques des batailles...Peut-être même Candaule lui-même m'inspirait-il du lointain de son huitième siècle avant J-C...
Le tout serait de ne pas en mourir!
C’était aussi ma vision du Candaulisme et un bonheur que je ressentais que de la voir se préparer et s’habiller pour aller en soirée...
Plus tard, j’en fis même avec elle un rituel incontournable de nos pratiques Candaulistes, surtout et encore plus quand la soirée ou son rendez-vous devaient se tenir hors de ma présence...
J’avoue que ce sont des instants magiques permettant tellement la plongée vers l’imaginaire constituant la jouissance des protagonistes, en tout cas des Candaulistes avérés.
S’imaginer les émotions suscitées et ressenties par son élégance, sa beauté, sa prestance, ses vêtements, ses parfums, ses bijoux, ses onguents, sa lingerie... mais aussi l’instant où elle apparaîtrait aux yeux incrédules de son ou ses amants, se ferait désirer , admirer, défaire de ses parures choisies ou d’en être défaite par un ou des amants attentifs et rendus fous de désirs... ;
son retour près de moi, avec le pouvoir de me faire languir de ses récits et de son corps ; 
me jeter aux yeux, aux mains, à l’esprit, la ou les différences, les effets sur sa libido, sur sa magnificence, sur son charisme, entre son départ et son retour au plus près de moi...;
être attentif aux  « griffures », parfois aux "déchirures" sur ses habits ou en son âme de sa soirée.. ;
le bonheur de la voir belle et parfaite ; le plaisir de la voir revenir heureuse épanouie, comblée, confidente et partageuse dans l’attente et l’impatience de pouvoir tout aussi rapidement repartir... ;
être fier et si amoureux d’elle et de ce qu’elle m’ offre, a offert ou va offrir aux autres;
avoir ce délicieux pincement inarrêtable et si puissant dans le ventre en la voyant partir, exacerbé si puissamment tout au long de son absence avec cette impatience de la délivrance, cette inquiétude et cette douceur envahissant le corps et l’esprit quand elle vous revient...
Et pour elle la certitude d’être, si ce n’est la plus belle, la certitude de se sentir Reine et conquérante du monde...
Oui, tout cela me traversa en quelques secondes l’esprit et serait, maintenant je le savais depuis l’avoir rencontrée et parcouru ce chemin de quelques mois ensemble, à jamais en moi...
Le dîner en ville fut rapide et léger et visiblement Ana était impatiente de regagner notre gîte.
Je ne lui en tenais pas grief même si tout était propice en cette soirée à Tarragone à l’abandon sensuel des corps et des esprits, j'en étais à la fois convaincu et un peu "déçu"... Je le ressentais au plus profond de moi, comme si une « vie antérieur » me gagnait et énivrait mon esprit de souvenirs indéfinissables...
Etranges mais agréables instants même si j’aurais aimé en profiter plus longuement.
J’étais également fatigué et, rires, Ana savait toujours être convaincante...
Sa main dans la mienne quasi en permanence, ses baisers aussi soudains que fréquents, sa tendresse et ses sourires me faisaient toujours craquer ! Ils furent nombreux ce soir-là à me faire craquer...!
C’est néanmoins à la nuit que nous fûmes de retour à l’appartement de Consuela.
C’était un soir de pleine lune comme nous l'avait dit Consuela et même de lune exceptionnelle. L'éclairage de la cathédrale et des bâtiments l’entourant était magique...C’était réellement d’une beauté irréelle...Ce phénomène était appelé « lune bleue » et c’était magnifique.
Nous restâmes ainsi quelques instants à nous câliner avec Ana admirant ce phénomène et ses effets...
Ana était réellement fatiguée, m’embrassa longuement et langoureusement et parti se coucher dans le lit situé face à la fenêtre.
Je restais un peu, fasciné par le spectacle et les beautés de l’instant...
J’étais nu, nous nous étions déshabillés instinctivement comme nous aimions le faire aussi chez nous dès en rentrant.
Je pensais prendre une nouvelle douche et je croyais qu’Ana en ferait de même avant d’aller s’étendre de sa lascive beauté sur le grand lit de l’appartement loué pour la nuit.
Elle était réellement ivre de fatigue et s’était étendue en n’ayant pas la force d’aller jusqu’à la salle de bain pour me semblait-il, s’endormir rapidement...
Néanmoins, qu’elle ne fut pas ma surprise d’entendre sa douce voix quelques instants plus tard m’enjoignant à ne plus bouger d’où j’étais...
J’étais toujours devant la fenêtre, d’abord assis puis debout et légèrement de côté...
                -«  Waaaouaaou...Tu es trop beau chéri...Ne bouges plus , m’intima-t-elle...La lune derrière toi et en face de moi te dessines comme une ombre chinoise et rends ton corps incroyable...Hummm , j’aime tellement...Je peux voir les contours de ton corps et aussi ton sexe qui en devient incroyablement attirant...Tu sais que j’aime ton sexe chéri...Tu ne l’as jamais fait devant moi mais je pourrais te demander de te masturber...j’en ai souvent rêvé tu sais...mais trop souvent impatiente de te prendre en main et en bouche je n’en ai jamais eu l’occasion je crois...Non ?
Je l’ai fait avec quelques-uns de mes premiers amours de jeunesse, mais pas avec toi chéri...Tu pourrais le faire ? J’aimais trop les voir se toucher eux-mêmes et surtout quand ils partaient...Ce n’est pas toujours beau un homme qui se branle, rarement même, mais voir leur sexe quand il délivre sa puissance au travers sa jouissance est quelque chose d’assez unique...J’aime le ressentir dans ma main ou au fond de la gorge, mais j’aime aussi le voir...et là , toi, en ombre chinoise ...hummmm je me caresse en même temps si tu veux savoir...et tu m’excites tellement ! Chéri...S’il te plait...Fais-moi plaisir... »
Demandé comme ça, mes idées lubriques encore et toujours présentes, la situation particulière, ma libido, l’envie de faire plaisir à Ana...
Pourquoi lui refuser même si je préférais de loin le plaisir partagé au plaisir solitaire
Pour autant, le plaisir serait sans nul doute partagé ; même de loin et je connaissais les effets de sa propre masturbation dont elle m’avait, elle, offert maintes fois le si délicieux et sensuel spectacle ; chez Ana...
Ca la rendait généralement assez folle, humide et ouverte à bien d’autres aventures...
Aussi, commençais-je à me caresser...
Mon pieu se tendait rapidement comme assez souvent et j’abusais même en m’imprimant consciemment un rythme lent et appuyé...
Ma main restait ainsi assez longuement en bas de ma verge tendue à l’extrême accentuant généreusement sa dimension et son corps arqué...
Oui je bandais fort, très fort même de me "livrer" ainsi...!
C'est quelque part ce que je demandais à Ana , en tant que Candauliste, de s'offrir, de se livrer...Aussi le retour et le partage ne me semblaient anormal, loin de là...!
Ana visiblement m’accompagnait, je l’entendais au rythme de son souffle et ses commentaires m’encourageais réellement à lui donner un maximum bien qu’indirect plaisir....
Nous allions jouir ainsi...
Il en était certain... !
L’inarrêtable et inévitable arriva et nous partagions nos jouissances, tant cérébrales que physiques ...
Ce fut réellement agréable...
Je décidais d’aller enfin prendre ma douche.
Ana m’arrêta au passage pour me remercier tout en saisissant mon sexe encore durci par l’intensité de l’instant.
Je lui offris les derniers abandons de mes liqueurs...
C’était ça aussi le Candaulisme que ce partage, même à distance, du plaisir des demandes et des émotions...
Elle en imprégna délicatement ses doigts en m’assurant d’un : « Merci mon amour...Tu étais vraiment superbe...j’ai trop aimé...il faudra qu’on recommence un jour » ..., et portant ceux-ci à sa bouche pour en goûter toute la saveur qu’elle appréciait particulièrement puis me prit bouche, de sa bouche gourmande, chaude et sensuelle, venant ainsi me gratifier d’une incroyable et savante remise en condition...
Je durcis instantanément de nouveau... !
Oubliant la douche, je me jetais sur elle et en cuillère la pénétrais tout à la fois virilement et tendrement, m’installant au plus profond de son si douillet et accueillant cocon d’amour...
Nous nous endormîmes pleinement heureux et amoureux jusqu’au petit matin...
Elle fût la première à s’éveiller et se lova tendrement dans mes bras...
                - « Mon chéri...Il ne nous faut pas trop traîner tu sais ce matin...On doit régler la dame pour la nuit. Je lui ai dis vers 10 heures. Et nous avons encore pas mal de route pour aller à Madrid. »
J’étais si bien et j’émergeais si doucement de mes rêves et des douces caresses d’Ana...
                 « Ok... Prems à la douche !" me « vengeant ainsi de notre arrivée hier soir...
Ajoutant tout aussitôt que comme ça j’aurais le temps de descendre acheter quelques « dulces » pour accompagner notre petit déjeuner...
« Ok, fit-elle, c’est toujours toi qui diriges tout de toute façon, osa-t-elle me dire tout en riant aux éclats... »
A cet instant précis, je suis sûr qu’elle devait se remémorer la fin de soirée d’hier cette « chienne » que j’aimais à la folie...
Le petit déjeuner avalé, le ménage refait, las draps ôtés et mis en boule sur le palier, c’est tout ce que Consuela nous avait demandé, nous descendîmes la voir pour la régler de la nuit passée en son bel appartement.
Son immeuble était situé juste en face de celui où nous avions passé la nuit. La Cathédrale était toujours aussi belle et majestueuse et il faisait déjà chaud...
Ana s’était paré d’une combi short en Jeans et à bretelle du plus bel effet...
J’adorais apercevoir, voir les courbes de ses seins si peu retenus, parfois même sortant, par ces bretelles larges mais capricieuses.
Comme elle ne portait pas de sous-vêtements, c’était adorable et vraiment sexy...
Surtout quant à l’aulne de la sortie d’un de ses seins de cet écrin, elle le remettait alors innocemment en place tout en le « grondant » affectueusement ...
C’était si incroyablement et redoutablement sexy et sexe pour ceux qui pouvaient en être témoins...
Rires, cela arrivait souvent !
Ana frappait à la porte...
Consuela apparut élégamment, belle et digne comme elle nous était apparue la veille en nous accueillant.
                « Oh...mes amours...vous êtes déjà levés... ! Pas trop fatigués ? Pour moi aussi la nuit a été courte mais je n’ai pas la route comme vous à faire nous dit-elle. Tout s’est bien passé ? Merci beaucoup et infiniment ! »
Ana lui indiqua qu’on avait suivi ses consignes à la lettre et lui tendit l’argent qu’on lui devait.
                -« Non, non...C’est gratuit, pas besoin, repoussant doucement la main d’Ana qui lui tendait l’argent dû »
                -« Non fit Ana...Comment ça, on ne vous a pas payée en arrivant hier soir...On vous les doit... ! »
                -« Non lui répondit Consuela, je vous offre la nuit, c’est gratuit pour vous... »
Ce faisant, en repoussant le bras d’Ana, elle fit involontairement sortir un sein de dessous la bretelle du combi short de ma compagne ...
                -« Oh, pardon, je suis navrée...Quoique, vous êtes si beaux tous les deux...L’appartement est gratuit pour vous...Vous m’avez, vous nous avez tellement donné hier soir, mon mari vous embrasse et insiste pour ne pas vous faire payer la nuit...Oui, vous ne pouvez pas comprendre...Vous nous avez donné tellement sans réellement le savoir que le prix d’une nuit dans un appartement...Tellement plus, insista-t-elle ! »
                -« Comment ça dit Ana ? Je ne comprends pas...On ne vous a rien donné...On ne vous a pas vus...Hein Chéri, qu’est-ce qu’on a donné à Consuela...dit-elle tout en saisissant délicatement son sein et en le replaçant.
                -« Ca ? ça justement...Oui, ça, enfin pas tout à fait ça mais quelque chose de tout aussi beau et peut-être même plus encore que vous ne pouvez l’imaginer... »
J’avoue que le rouge commença à pourprer mon visage et que je commençais à comprendre
                -« Euh...Dis-je...Vous pensez ce à quoi je pense.... ? » ayant compris avec retard ce qui avait pu se passer...Oh, pardon...Désolé si on vous a choqué... »
                -«  Choquée?...Consuela partit dans un rire très sonore qui enjoua Ana bien qu’elle ne comprenait pas la situation ...Non, vraiment pas choquée, ni mon mari d’ailleurs...Cela nous a rappelé bien des souvenirs...Je vous ai dit que j’étais restée en poste longtemps à Paris et que la vie y était réellement fascinante et , comment dire, plus légère à l’époque qu’ici en Espagne... Nous adorions aller avec mon mari au Moulin Rouge, au Crazy Horse, au Lido et fit-elle en baissant la voix et regardant tout autour d’elle, nous adorions fréquenter les clubs libertins qui commençaient à ouvrir à Pigalle d’abord puis un peu partout et même en banlieue... Oui, nous avons eu une riche, très riche vie sexuelle avec José mon mari et depuis notre retour ici, on en avait presque oublié toute la saveur...
Elle agitait si délicieusement et adroitement son éventail pour ne pas elle aussi rougir que cela en était touchant...
Votre spectacle à vous, très cher « Daniel ? » était de toute beauté...Merci, mille merci. Surtout que mon mari s’inquiétant que je ne sois pas couchée alors que j’admirais ce que vous offriez à mes yeux et à la place de la Cathédrale est venu me rejoindre sur le balcon d’où je vous voyais admirablement bien avec toute l’intensité de cette lune bleue, vous et votre engin dressé à merveille. Brutalement, il m’a sauvagement honorée pendant toute la durée de votre show...Ce fut délicieux...Je m’étais caressée avant seule, comme je l’imagine votre dame a dû le faire en vous regardant j'en suis sûre et j’étais prête à tous les assauts et à toutes les folies...Il y a bien longtemps que nous n’avions ainsi joui tous les deux ensembles. Confidence, je vous ai même mentalement sucé et dégusté pendant que mon mari me labourait. Oui, merci, mille merci...Aussi, non vous ne nous devez rien... Croyez-moi... On aurait payé des fortunes pour s’offrir la vue d’un tel spectacle à Paris et José ne pensait même plus pouvoir me faire l’amour sans cette pilule couleur de lune qu’on nomme le viagra... Là en quelques instants il a bandé comme à ses quarante ans et m’a défoncée contre la rambarde qui en gémissait même bien plus que moi...Oh, Dieu (elle tourna ses yeux vers la Cathédrale...) Dieu que c’était beau et bon... ! Merci...
Allez, partez maintenant, vous avez de la route »
Ana venait de comprendre tandis que Consuela déposait un doux et tendre baiser sur son front et en prenant, la coquine, à pleine mains les magnifiques seins de ma compagne pour les masser délicatement et en faire rugir la pointe...
-« Tu as tellement de charme...J’étais bisexuelle et j’ai eu une aventure torride avec une danseuse du Crazy pendant de longue années...Il y a si longtemps et c'était si bon...José nous accompagnait et regardait ... Il aimait le bougre...J’aimerais avoir vingt ans aujourd’hui, je serais parie avec toi, avec vous en disant à José que j’allais revenir et que je lui raconterai tout comme à l’époque...Je partais deux ou trois jours, deux ou trois nuits surtout et revenais toujours vers José qui était comblé...Je vois qu’a quelques années de différences vous vivez les mêmes délire et la même philosophie de la vie...Soyez heureux mes amours...Soyez heureux...Nous l’avons été et aujourd’hui, cette nuit, vous nous avez fait revivre l’espace d’un si délicieux instant tout ce bonheur...Mille merci ! Longue et belle vie à vous » ;
Nous nous mîmes en route assez incrédules mais tellement satisfaits, fiers et incrédules.
Ça aussi c’était du pur Candaulisme et quand je repense à ces instants j’en comprends encore mieux l’intensité du partage.
Même et surtout sans contact, sans parler, défiant même le temps , de Candaule en passant par Consuela et José jusqu'à nous...
Sans presque nous voir, nous connaitre, nous avions su partager notre amour et nos pratiques pour aller jusqu’à les faire renaître chez un couple qui nous avait lui aussi indirectement ouvert les chemins vers les plaisirs et l’amour tendre, gratuit et sincère du partage...
Dieu que c’était beau ! J'en ai encore aujourd'hui des frissons et des pensées émues...
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lalutincy · 6 months ago
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La jambe légère et l'œil polisson
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Dans l'eau de la claire fontaine Elle se baignait toute nue Une saute de vent soudaine Jeta ses habits dans les nues
En détresse, elle me fit signe Pour la vêtir, d'aller chercher Des monceaux de feuilles de vigne Fleurs de lis et fleurs d'oranger
Avec des pétales de roses Un bout de corsage lui fis La belle n'était pas bien grosse Une seule rose a suffi
Avec le pampre de la vigne Un bout de cotillon lui fis Mais la belle était si petite Qu'une seule feuille a suffi
Elle me tendit ses bras, ses lèvres Comme pour me remercier Je les pris avec tant de fièvre Qu'elle fut toute déshabillée
Le jeu dut plaire à l'ingénue Car à la fontaine, souvent Elle s'alla baigner toute nue En priant Dieu qu'il fît du vent Qu'il fît du vent
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lilias42 · 2 months ago
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6 : dans une classe différente
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Pour ce nouveau jour, c'est la Brave du Corps, Metaheta, qui est à l'honneur, même si elle n'est pas bien contente de ce qu'elle récolte comme "armure" et des propos de sa descendante, Hilda (et on en profite pour mettre un taquet sur le gout... discutable des classes féminines de ce jeu !)
Normalement, Metaheta est une combattante au corps à corps qui n'utilise que ses poings et ses jambes pour se battre, elle n'a pas vraiment de coup à distance (comme des sorts classiques) pour attaquer à part quand elle décide de vous balancer la moitié de sa montagne sur la figure ou quand elle se fait grandir pour vous écraser. Elle est très résistance et grâce à sa très grande capacité de régénération, ses blessures se referment très vite quand ses ennemis arrivent à la toucher. Elle a également de très nombreux yeux sur tout le corps (notamment dans le dos) qui lui permettent de voir sous tous les angles. Sa sorcellerie est pensée pour la rendre plus ou moins imbattable étant donné qu'elle est la plus âgée de sorciers (1 200 ans en tout, dont deux cent ans à survivre aux agarthans qui ont chassé son peuple pour le fun car, ils les considéraient comme des animaux, elle est même devenue une des premières sorcières de l'histoire pour pouvoir protéger les siens).
Même si je ne met jamais mes sorciers dans une classe spécifique du jeu (leurs pouvoirs sont justes trop particuliers pour pouvoir être catégoriser, même si certains utilisent des armes blanches, notamment Siopélè, l'ancêtre de Marianne, qui utilise constamment une épée), je pense que pour Metaheta, elle serait surement un maitre de guerre, même si elle se débarrasserait de tout ce qui est inutile dessus pour être le plus libre de ses mouvements possible (la cape, l'énorme protection d'épaule qui lui bouche la vue... tout ça, ça dégage !), surtout qu'elle ne fait pas vraiment attention à ses affaires quand elle se bat. Elle se donne juste à fond sans penser à autre chose que de défoncer l'adversaire et de protéger sa cité donc, ses vêtements finissent souvent en lambeaux ou imprégner de sang alors, elle met quelque chose de facile à réparer ou pas trop cher (même si c'est la seule des Braves qui est riche) histoire de ne pas jeter du tissu à la poubelle (une de scènes les plus marquantes que j'ai en tête à son sujet, c'est quand les agarthans arrivent à l'attirer dans une embuscade en volant la peau de son frère et en se faisant passer pour lui. Quand elle se rend compte de la supercherie, elle devient ivre de rage et massacre toute la troupe à elle toute seule à mains nues, en particulier celui qui ose se faire passer pour son frère dont il a arraché la peau comme celle d'une vulgaire proie qui finit réduit en charpie à coup de poing, tellement que rien ne pourrait soupçonné que ce tas de chair a été un agarthan ou un humain alors qu'elle est intégralement couverte de sang rouge-brun d'agarthan, avec juste l'écarlate de l'oeil sur son front qui s'ouvre à ce moment-là alors qu'elle jure de les tuer tous jusqu'au dernier [même si contrairement aux agarthans - et aux responsables de la Tragédie de Duscur - elle ne tuera que les combattants et les décisionnaires, elle laisse toujours partir les civils qui n'ont rien demander ni fait à part naitre dans le mauvais peuple]). Alors, étant donné qu'elle est une sorcière et qu'elle manie la magie, je pense qu'elle pourrait finir grémorys si on la changeait de classe, même si ça ne corresponds presque pas à ses vrais capacités.
Cependant, elle DETESTERAIT avec ses tripes l'uniforme des grémorys !
Je ne suis surement pas la première à le dire mais, les tenues féminines de ce jeu ont beaucoup trop d'élément qui ne sont là que pour le plaisir des joueurs masculins et pas du tout pour la protection des combattantEs ! Un des meilleurs exemples de ça, la classe des enchanteurs :
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Si la tenue masculines ressemblent à ce qu'on attend d'un magicien relativement classiques dans la pop culture (grande robe, grand chapeau, beaucoup de tissu de partout...) l'habit féminin est très genré, avec la taille qui est souligné et cintré (là où elle est invisible pour les hommes) et surtout cet énorme fenêtre pour seins inutiles sur un champ de bataille, c'est juste se mettre une énorme cible en plein sur la partie la plus sensible du corps avec écrit dessus "tuez moi SVP !". C'est encore plus flagrant quand on se souvient que la plupart des utilisateurs de magie de Raison sont des femmes (Annette, Dorothéa, Lysithéa, voir Mercedes avec si on la développe sur le plan offensif et de la Raison), et la classe de grémory qui est également très genré et révélatrice pour rien est réservée aux femmes alors, le but des développeurs devient assez évident. Je ne demande pas à ce qu'une classe d'un jeu vidéo de fantasy soit ultra réaliste (même si je pense sincèrement que de vrais armures bien faites et documentées serait bien plus cool et agréable à regarder que... ça pour les batailleurs) mais, là, c'est évident que les développeurs voulaient juste transformer leurs personnages féminins en bonbon pour les yeux (eye candy pour les anglophones) pour le grand plaisir de leurs joueurs masculins hétéros, le grand désespoir du reste de la fanbase et surtout les femmes qui en ont marre d'être limité à une paire de sein et des fesses qui bougent pour décorer le champ de vision de hommes.
Alors, allez, autant profiter de cette invit' pour faire un petit braquage et montrer une combattante qui a une réaction censée face à un habit pareil ! Elle est donc dégoutée par cette tenue qui la serre, et pète juste un cable quand elle comprend que les hommes ne se l'inflige pas alors, c'est juste pour qu'ils se rincent l'oeil sur leurs camarades. Elle vient de l'époque mycénienne, les femmes avaient une place importante dans cette civilisation et elle-même a toujours eu une position d'autorité, notamment grâce à son rôle de sorcière, et elle a toujours été solidaire avec toutes les femmes, même quand celles des autres cités perdent de l'importance et de l'autonomie dans les autres cités. Elle ne supporte donc pas que l'on l'objectifie ainsi et préfère tout déchirer pour aller se battre en pagne, c'est toujours mieux que ce truc ! En plus, la civilisation de Metaheta étant inspirée de l'époque mycénienne, l'habit normal des femmes étaient une jupe, avec ou sans une sorte de boléro qui laissait souvent la poitrine découverte. C'est donc complètement normal pour elle de laisser sa poitrine à l'air libre (elle porte souvent juste une jupe pour garder un maximum de ses yeux découverts) et comme elle voie que Hilda porte une mini-jupe, elle se dit que c'est normal aussi alors, elle ne se gêne pas, histoire d'encore gagner en visibilité. En plus, j'aimais bien le contraste entre son corps couvert de fierté qui est très chargé, et le côté très uni du tissu qu'elle porte quand je la dessine.
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(différentes peintures et un sarcophages décoré mycéniens, c'est juste magnifique !)
Petit point anecdote de dessin : d'habitude, je ne met jamais autant en valeur les courbes d'un personnage en mettant le détail de la poitrine et des fesses comme ici, j'ai ajouté ses détails pour montrer à quel point la tenue la serrait et était moulante, ce qui la rend évidemment encore moins pratique. C'est aussi pour ça que j'ai enlevé les muscles ou le relief des yeux de Metaheta, pour renforcer encore plus l'aspect "on se fiche des particularités de ton corps, tout ce qu'on veut, c'est des fesses et des seins d'une femme au corps de mannequin qui ne peut pas nous défoncer la gueule si on la mate", alors que même si elle peut changer d'apparence et que ce n'est pas rare qu'elle cache ses muscles quand elle tente de tromper quelqu'un, elle est très fière de ses fiertés et de ses muscles alors, elle les laisse visible autant qu'elle peut.
(Et faut vraiment que je trouve le courage de faire une fiche de personnage pour Metaheta pour que ses fiertés restes régulières - -' )
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lesdamesmures · 10 months ago
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Scène 6 "Aunt Catherine"
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Catherine avait un air amusé en faisant glisser sa culotte sur ses fesses et ses cuisses. La lenteur de ses gestes provoquait en moi des frissons de plaisir, je sentais ma queue de plus en plus serrée dans mon boxer, réagissant par soubresauts. Mon pantalon se déformait nettement laissant apparaitre une bosse qui ne laissait plus aucun doute sur l'effet que me provoquait ma tatie en train de se dévoiler sous mes yeux. Elle ouvrait ses grands yeux en voyant l'effet qu'elle me procurait en lâchant par moments des "hum !!!" quand elle baissait son regard sur ma bosse. Elle devenait de plus en plus sensuelle, plus coquine et ses réactions rendait la situation encore plus excitante. Je savais maintenant que j'allais la découvrir nue pour la 1ère fois après avoir tant rêvé d'elle durant mes années d'adolescence.
On restait silencieux, pas un bruit dans l'appartement, je pouvais entendre le frottement de sa culotte sur le nylon de ses bas et par intermittence le déclic de mon appareil photo. Catherine rompait le silence
"C'est un vrai roman photo que tu nous fait dis-donc ?!"
"Oh oui tatie ! je serai heureux de te le donner, on sera les seuls à pouvoir le regarder" ajoutais-je en réalisant qu'elle aussi pourrait se caresser en se remémorant ce moment.
"Ah oui j'espère bien, je suis curieuse de voir ce que tu as pris"
"D'accord avec plaisir mais alors promets moi que personne d'autre ne les regardera" reprenais-je pour la taquiner
Elle se mit à rire en laissant sa culotte au niveau des cuisses. Je pouvais admirer le galbe de ses fesses. Elle prenait une posture presque provocante en cambrant sa croupe comme si elle voulait m'exciter encore plus.
"Oui c'est promis, tout ça restera entre nous, rien que nous"
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Elle posa ses mains sur les rebords de l'évier, sa culotte recouvrait sa cheville. Elle avait repris une expression sérieuse, la connivence était à son comble. Je restais intimidé devant cette femme mure excitée, offrant sa nudité. Les jambes gainées dans ses bas, chaussée sur ses talons, son ventre rond et grassouillet enveloppé par la ceinture de son porte-jaretelle, ses seins nus, tombants sur son ventre, ses tétons dressés par le désir. Son corps dénudé, orné de bijoux et cette mèche terriblement excitante qui tombait jusqu'au coin de ses lèvres.
Je m'étais imaginé son sexe depuis que j'avais 13 ans, dans mes scénario elle était poilu, un large triangle brun comme pouvaient être les femmes de sa génération. Mon regard ne quittait pas son intimité, en j'en oubliais d'immortaliser ce moment. Jamais elle n'aurait imaginé combien de fois je l'ai fantasmé, combien de fois j'ai rêvé de caresser sa chatte, l'embrasser, la lécher en l'imaginant jouir et combien de fois je l'ai pénétré. Son mont de vénus était charnu et rasé, légèrement plus foncé que la blancheur de sa peau, laissant deviner une pilosité naissante. Je devais un air ahuri en restant bloqué sur son intimité.
"Tu ne prends pas de photo ?" avait-elle dit d'un air amusé comme pour me sortir de ma torpeur
"Oh que si tatie ! peux-tu garder cette pose s'il te plait ?"
Je prenais mon temps pour le cadrage en m'approchant, faisant la mise au point. Elle ne bougeait pas, elle me regardait son sourire avait laissé place à une expression sérieuse, peine d'émotions. Son excitation était palpable quand j'appuyais sur le déclencheur.
A suivre ... (Scène 7 le 9 avril à 6h00)
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swedesinstockholm · 2 months ago
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26 août
hier j'allais pas très bien. après avoir fait un tour au vide-grenier du maybachufer (mon autre routine) où j'ai fermement négocié une chemise bleue ciel à trois euros je suis allée voir l'expo beth b à wedding. on y rentrait dans le noir complet par une espèce de grand tunnel qui descendait sous terre comme dans un parking souterrain avec des aigles projetés sur les murs. c'était grand et spectaculaire donc j'aimais bien. au fond du tunnel y avait une projection d'une fille qui flottait dans l'eau sans bouger vue d'en dessous. c'était que des projections de vidéos mais je sais plus trop ce que j'ai vu, à part une femme assise nue dans la neige avec du sang entre les jambes, des visages en train d'avoir un orgasme, une femme nue qui bouge au bord de l'eau et deux salles avec trop de lumières stroboscopiques. j'ai toujours peur de découvrir que je suis épileptique donc je suis ressortie et j'ai rien vu. y avait une atmosphère morbide un peu hardcore et j'avais pas envie de m'infliger ces images qui avaient toutes quelque chose de violent, j'avais juste envie de remonter à la surface pour aller m'allonger dans l'herbe au soleil dans le jardin du musée.
avant de sortir j'ai lu les textes écrits par des visiteurs de l'expo accrochés au mur. on était invité.e.s à raconter nos expériences de la mort, notre propre mort, évidemment ça m'intéressait. j'ai lu l'histoire d'une fille qui a été poussée dans une piscine lorsqu'elle était petite alors qu'elle savait pas nager, elle a attrapé une méningite et elle a passé trois mois à l'hôpital. on savait pas si elle allait survivre ou pas mais elle a fini par guérir et puis elle est tombée dans l'addiction à la drogue et à l'alcool, et quand elle en est sortie elle a développé une maladie autoimmune. je me rappelle plus si y avait une fin. je me suis dit quelle histoire tragique. quelqu'un d'autre racontait comment elle avait survécu à trois cancers. une femme racontait son premier épisode psychotique, elle pensait qu'elle allait mourir parce qu'elle comprenait pas ce qui lui arrivait jusqu'à ce que son mari l'emmène à l'hôpital. celle-là elle m'a donné envie de pleurer. je sais pas pourquoi. si c'est le fait qu'elle comprenait pas ce qui lui arrivait ou le fait que son mari l'emmène à l'hôpital. le fait d'avoir quelqu'un pour s'occuper d'elle. la détresse probable du mari. et puis j'ai lu ça: i was nearly dying of depression, every room i was in i felt like i was the same shape as the walls. un homme me bloquait l'accès alors je lui ai tourné autour jusqu'à ce qu'il bouge et j'ai lu et relu et rerelu la phrase écrite sur un petit papier jaune, horrifiée et hypnotisée par son acuité. plus tard j'ai lu dans le programme que le musée était un ancien crématorium et tout a pris sens.
de retour à la surface j'ai assisté à une performance d'un type qui a creusé un trou dans la pelouse devant le musée pour s'allonger dedans. il était accompagné par deux musiciens guitare/sons électroniques qui accompagnaient ses mouvements. le type portait un costume et y avait un parasol rouge à franges planté à côté. je trouve ça toujours un peu impressionnant, surtout dans le cadre de la performance, enfin pas toujours mais là ça m'a marquée, de voir ce que ça veut dire d'être artiste. ce que ça permet de faire. de porter un costume de se mettre à quatre pattes sur le pelouse et de creuser un trou dans la terre pour s'allonger dedans. je pensais à la famille et à ce qu'ils diraient. ils sont toujours là dans ma tête quand je vois des trucs comme ça, à se moquer sans vraiment chercher à comprendre.
quand il est ressorti du trou je l'ai pris comme un retour de la mort, pour rester dans le thème du crématorium. il était désespéré, il a creusé sa tombe pour s'enterrer, mais une fois mort il s'est rendu compte qu'il voulait vivre alors il est ressorti du trou et il l'a rebouché pour clore le chapitre, testé et pas approuvé. ça m'a émue. une fois le trou rebouché il s'est laissé tomber dessus et la musique qui était devenue plus intense et plus joyeuse avec le retour à la vie s'est brusquement arrêtée. les gens ont applaudi. plusieurs personnes s'étaient levées pour le prendre en photo pendant qu'il était dans le trou. en rentrant j'ai lu dans le programme qu'il s'y allongeait en position foetale et qu'il fermait les yeux, le temps de récupérer. il disait que parfois il avait des visions, des hallucinations, ou qu'il entendait des choses. quand il estime que le temps est venu, il se relève. parfois il le fait tout seul dans la forêt, sans public, sans caméras, juste pour lui. je trouvais ça rigolo tous les photographes qui lui tournaient autour pour documenter la performance, alors que ça avait l'air d'être un moment, une expérience tellement intime et personnelle justement.
je suis restée assise un moment dans l'herbe à regarder les gens autour de moi. le creuseur se faisait congratuler, il avait l'air épuisé. une femme en robe avec les cheveux gris attachés en queue de cheval lui papillonnait autour. elle est venue demander à son amie willst du introduced werden? (tu veux que je te présente?) son amie a répondu nö et la femme aux cheveux gris est repartie papillonner. dans le cercle de conversation des artistes y avait une femme accompagnée d'une jeune ado, comme à la soirée de court-métrages mercredi au kindl. l'ado du kindl devait avoir autour de treize ans, ses cheveux roux et frisés étaient retenus par deux baguettes chinoises et elle portait une combi rayée. l'adulte qui l'accompagnait la présentait aux gens assis au premier rang, les organisateurs de la soirée, la direction du musée, les artistes. elle serrait la main de tout le monde avec un grand sourire. je me demandais lequel c'était qui avait lu ma lettre de motivation et mon cv. je me demandais aussi ce que ça faisait de grandir là-dedans, entourée d'adultes au style funky qui l'emmènent à des soirées d'art qui ouvrent l'esprit et lui font rencontrer du monde. j'adore observer le style des gens plus âgés dans ce genre d'endroits. j'ai vu beaucoup de artsy fartsy début des années 2000 avec des petits détails quirky, même chez les vieux le y2k est de retour apparemment. une femme avait attaché ses cheveux blonds avec un truc en plastique vert fluo pour fermer les paquets entamés en guise de barrette. devant moi une dame âgée avec un poncho imperméable notait des trucs dans son carnet en attendant que ça commence, comme une possible version de moi dans quarante ans. moi j'enregistrais des sons avec mon téléphone.
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verver · 4 months ago
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Épisode 5
En fin d'après-midi Ray se retrouva dans une salle obscure en compagnie de Sophie. Elle lui lui avait donné rendez-vous devant le cinéma pour voir un film indien , elle l'avait incité fortement à venir voir ce film. C'est l'histoire d'une femme chanteuse qui n'a d'autres choix que de chanter dans des productions de Bombay pour rester libre.
Soit ces femmes enchainent tous les films et elles acceptent les rôles de danseuses tout le long des tournages, soit c'est le silence au sein de la famille car artiste ce n'est pas un métier honorable. Depuis l'indépendance de ce pays peu de choses avaient changé concernant les mœurs, l'actrice devait chanter des histoires d'amour toujours passionnées et éternellement impossibles.
Le film avait conquis la salle et laissé Ray pensif.
A la sortie du cinéma sur le trottoir une bande de jeunes supporters de foot équipés de maillots blanc à rayures verte s'engueulaient à la terrasse d'un café voisin.
Ray prit Sophie par les épaules pour se diriger tranquillement vers le restaurant où il avait retenu une table.
La grande salle avait une splendide et vieille cheminée placée au fond et entourée de décors de faïence montrant des paysages de chasse . La table rustique qu'il avait retenu était uniquement à deux places séparées d'un petit bouquet de fleurs, Ray embrassa tendrement Sophie.
Ils choisirent la choucroute , plat fait maison avec un vin blanc.
En fin de soirée profitant du temps clément ils s'arretèrent un bon moment serrés l'un contre l'autre sur une petite place où se trouve un ancien puit.
Ils rejoignirent l'appartement, assis sur le canapé, Ray posa son verre et ôta d'un doux mouvement la veste de Sophie qu'il suspendit dans le vestibule.
Ray avait mis un vieux disque en route , quelques notes de piano, un peu légères au début se dispersèrent dans le salon, puis la voix à capella, chaude mais nue chantait pourquoi marcher quand on peut voler ?...
Les instruments se joignirent à la voix. Ray observait Sophie ses lèvres semblaient esquisser les paroles de la chanson.
Sophie posa la main sur la cuisse de Ray puis elle lui caressa les cheveux en l'embrassant, Ray répondit par un baiser brûlant, ses genoux se pressaient contre elle , il plongea ses mains dans la chevelure de Sophie. Il avait fait pivoté une de ses jambe et maintenant Sophie était couchée sur lui.
Tout près de son visage Ray murmura :
- Viens dans la chambre...
Après les premiers moments d'excitation et de fébrilité pendant lesquels le couple se caressait et se déshabillait maladroitement pour passer à cette étape délicate ou deux personnes cherchent à s'emboiter l'un dans l'autre en gesticulant l'un sur l'autre dans une mêlée de bras, de jambes, de draps qui se retrouvaient souvent au sol.
En général cela se terminait allongés, essoufflés étourdis de tant d'efforts et de passions.
C'était ce que vivaient Sophie et Ray ensembles depuis peu de temps.
Ray écoutait respirer son amie sur un rythme lent, il pensa qu'elle s'était endormie profondément.
Au petit matin ils s'installèrent dans la cuisine pour boire un café. Sophie prit une douche rapidement; elle avait un rendez-vous professionnel, elle était en plein enregistrement d'un morceau de piano .
Ray devait se rendre au commissariat comme d'habitude.
* * *
Après avoir fait la liste de ce qu'il voulait acheter, Gabin se dirigea vers le centre commercial. Depuis quelques jours il avait pris la décision de disparaître, il avait pesé le pour et le contre pendant un bon bout de temps avant de se décider . Il devait donc impérativement changer d'air dans les prochains jours.
En prenant l'escalier mécanique, Gabin relisait sa liste en vérifiant qu'il ne manquait rien. Quittant l'escalator, il fit des achats pour l'équivalent de quelques smic. Gabin avait acheté pour s'habiller de la tête aux pieds, plus un sac de voyage, il avait décidé de se faire livrer le tout à domicile.
Gabin se dirigea vers le marché couvert pour acheter des champignons, des courgettes et des tomates. Il avait la ferme intention de reprendre une tranche de foie et de l'agrémenter avec ces légumes.
Il prit une religieuse au chocolat et une boule de pain de seigle chez le boulanger.
Il regagna doucement son domicile tout en flânant d'un pas léger, content de partir de ce quartier de cette ville aussi.
Quitter le pays, il y réfléchissait sérieusement.
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cellobis · 4 months ago
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Qu’est-ce qu’un corps nu est beau
Caresse des yeux qui le dévore
Qu’est-ce que des mains nues sont belles
Caresse de la peau tout entière
Qu’est-ce que des pieds nus sont beaux
Caresse des sens, des odeurs authentiques
Qu’est-ce que des corps nus sont beaux
Quand ils se cherchent et puis s’enlacent
Quand ils se mettent à danser
Tout juste avant la transe
Avec toute la peau du ventre
Qu’est-ce que les yeux nus sont beaux 
Nus alors dans le profond des regards
Quand eux savent déjà que les sexes avides
Vont enfin arriver loin et profonds
Qu’est-ce que les sexes sont beaux 
Quand tendus vers l’infini
Ils s’élèvent vers les cieux
Guidés par le jeu des jambes lisses
Qu’est-ce que les bouches sont belles
Lèvres pulpeuses qui lèchent
Et se délectent et s’enserrent
En orbitale sublime
Comme celle du ciel qui abrite nos vies
Peau, tu fais des mains et des pieds
Pour nous encercler nos cœurs battants
Pour préserver nos âmes d’enfants
Qu’est-ce que la peau 
Des corps nus des amants qui s’aiment
Est belle quand toute nue sans retenue.
Cell
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abdou-lorenzo · 2 years ago
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Elle, toute nue, parée de ses jambes protectrices mises devant elle, j'étais éperdu.
Là, mon esprit s'éprit d'un désir de caresse, à ses pieds tendus et offerts, qui déconcertent ceux qui n'y voient que paresse......✨💞🥀
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ochoislas · 6 months ago
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LAS JOYAS
Desnuda, y sabedora de mi gusto, sus sonoros joyeles se ha dejado, cuyo rico aparato una triunfante apostura le da de esclava mora.
Cuando esparce en el baile remoquetes, tan claro mundo de metal y piedra me arrebata, y rabiosamente adoro cuanta cosa al sonido une las luces.
Tendida, lacia está mientras la aman, y en el diván sonríe satisfecha de mi amor, dulce y, como el mar, profundo, que como en su cantil, bajo ella rompe.
Fijos en mí sus ojos —tigre manso—, muda de pose, soñadora, ausente, y tal candor unido a la lascivia da a sus metamorfosis fresco hechizo.
Brazos y piernas, muslos y costados, cual ondulante cisne o lucio aceite, cruzan mi vista lúcida y serena; y su vientre y sus pechos, gajos míos,
me encalabrinan como ángeles malos con el fin de turbar la paz de mi alma, y derribarla del riscal de cuarzo donde, sola y en calma, está sentada.
Cual son el bacinete y la cintura, unidas creo ver por nuevo intento ancas de ninfa al pecho de un imberbe. ¡Qué soberbio el afeite en la piel fosca!...
Resignada la lámpara a morir, sólo el hogar la cámara ilumina, y cada vez que exhala nueva llama el ámbar de esta piel anega en sangre.
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LES BIJOUX
La très-chère était nue, et, connaissant mon cœur, Elle n’avait gardé que ses bijoux sonores, Dont le riche attirail lui donnait l’air vainqueur Qu’ont dans leurs jours heureux les esclaves des Maures.
Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur, Ce monde rayonnant de métal et de pierre Me ravit en extase, et j’aime avec fureur Les choses où le son se mêle à la lumière.
Elle était donc couchée, et se laissait aimer, Et du haut du divan elle souriait d’aise À mon amour profond et doux comme la mer Qui vers elle montait comme vers sa falaise.
Les yeux fixés sur moi, comme un tigre dompté, D’un air vague et rêveur elle essayait des poses, Et la candeur unie à la lubricité Donnait un charme neuf à ses métamorphoses.
Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins, Polis comme de l’huile, onduleux comme un cygne, Passaient devant mes yeux clairvoyants et sereins ; Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne,
S’avançaient plus câlins que les anges du mal, Pour troubler le repos où mon âme était mise, Et pour la déranger du rocher de cristal, Où calme et solitaire elle s’était assise.
Je croyais voir unis par un nouveau dessin Les hanches de l’Antiope au buste d’un imberbe, Tant sa taille faisait ressortir son bassin. Sur ce teint fauve et brun le fard était superbe !
— Et la lampe s’étant résignée à mourir, Comme le foyer seul illuminait la chambre, Chaque fois qu’il poussait un flamboyant soupir, Il inondait de sang cette peau couleur d’ambre !
Charles Baudelaire
di-versión©ochoislas
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firebirdxvi · 1 year ago
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Fils du Feu 03 ~ Flamme progressive
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Joshua fit des progrès rapidement, mais n'exprimait aucun désir de sortir du Nid. Lui réapprendre à tenir sur ses longues jambes et à synchroniser ses mouvements se révéla compliqué. Il avait gardé de son corps la représentation mentale de son alter ego de dix ans, et il passait beaucoup trop de temps à se cogner partout. Il négociait mal les distances et attrapait les objets les plus basiques avec difficulté, comme s'il avait des problèmes de vision.
Jote faisait tout son possible pour lui faciliter la vie mais risquait chaque fois la réprimande ; l'Emissaire devait se débrouiller seul, lui avait-on dit. Elle lui montra quelques astuces pour faire des noeuds simples, ou passer facilement une tunique. Il avait refusé de porter le moindre vêtement pendant un bon moment, et se promenait alors dans la chambre dans le plus simple appareil, jusqu'à qu'il ait le malheur de croiser son reflet.
Il ne passait jamais près du mur du fond de la pièce car la surface en était polie et réfléchissait presque comme un miroir. Joshua détestait ça. Jote avait bien tenté de mettre quelque chose dessus, de suspendre des draps en guise de rideaux, mais cela ne tenait jamais. Et la soigneuse les avait retirés d'elle-même quand elle avait compris cette habitude.
- "L'Emissaire n'a pas à avoir honte de son apparence. Il doit apprendre à s'accepter tel qu'il est à présent, il doit oublier son corps d'enfant", expliquait-elle. "Cela fait partie de sa guérison. Tu dois l'y aider, Jote, pas l'encourager à fuir."
Jote apprit la leçon et cessa de trop materner le malade. Elle ne lui apportait plus tout ce qu'il voulait sur le champ et le laissait davantage trouver la solution lui-même à ses problèmes quotidiens. Un jour qu'il faisait un peu plus frais dans le Nid, Joshua se mit à frissonner et, se dégageant de ses draps, se dirigea vers les vêtements posés sur un bureau près du lit. Il les déplia, les observa, les tourna dans tous les sens pour en comprendre les coutures, et essaya de les enfiler. La première fois, il se retrouva coincé dans le col de chemise, ses grands bras battant le vide devant lui, et elle du bien venir l'aider, en retenant un rire discret.
- "Mais non, pas ainsi ! Je vous ai déjà montré comment faire !"
Elle s'approcha alors et tira le tissu sur la peau pâle et nue de l'Emissaire, ce qui fit courir un frémissement le long de son dos... Elle ignorait la cause de cette réaction, tout à fait nouvelle pour elle et ne s'en préoccupa pas plus longtemps. Une fois habillé, le malade apparaissait tout d'un coup plus... humain et réel, il quittait son état de fantôme errant dans le Nid pour remettre un pied dans la vie.
Mais il lui restait encore à enfiler un pantalon.
La soigneuse se déclara satisfaite de l'état de santé général de Joshua. Il avait repris du poids, son visage n'était plus creusé et avait retrouvé quelques courbes de l'enfance. Ses muscles s'étaient affermis grâce à des exercices quotidiens qu'ils effectuaient tous les trois ensemble. La nourriture du refuge était juste assez nutritive pour le remettre sur pied. Essentiellement des fruits et des légumes, juste un peu de viande achetée dans le village des environs ; les Immortels ne consommaient quasiment pas de chair animale ; ils croyaient que cela déplaisait au Phénix. Ce que leur Emissaire démentait chaque jour. Il détestait les légumes, mais dévorait sa viande à belles dents à chaque repas. Maître Cyril le tolérait à cause de sa convalescence et parce qu'il avait besoin de retrouver la forme au plus vite. Mais cette entorse aux principes de l'ordre, exprimée de plus par l'incarnation du dieu qu'il vénérait, le laissait perplexe.
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Il laissait constamment ses carottes dans son assiette, et la soigneuse jugea utile un jour de hausser le ton.
- "C'est très bon pour votre santé, et elles poussent merveilleusement ici. Cela vous rendra des couleurs, votre peau est si pâle ! Si vous sortez ainsi sous le soleil, vous ne le supporterez pas longtemps."
Mais Joshua n'indiquait aucun désir de sortir. On lui apportait de quoi lire et même des jouets pour enfants ou des casse-têtes à résoudre, pour entraîner sa réflexion. Il s'en sortait toujours avec facilité, ce qui permettait de juger de ses progrès en matière de cognition. Il se comportait de plus en plus comme un ado de son âge, peut-être même de façon plus mature encore, comme s'il s'était mis à grandir trop vite. Son expression se fit plus grave et pensive, comme s'il parvenait à prendre du recul sur lui-même et sa situation. Il semblait aussi se soucier des deux seules personnes qui venaient le voir tous les jours, en rangeant sa chambre tout seul ou en pliant ses vêtements avant de se coucher.
Un jour que Jote s'était fait réprimander, Joshua parut comprendre qu'elle se sentait mal et vint près d'elle la réconforter. Il la laissa posa sa tête contre sa poitrine et elle sentit une chaleur étonnante envahir tout son corps... Il la réchauffait de sa seule présence, comme sans y penser. Car de fait, elle ne l'avait pas encore vu faire de la magie de lui-même.
Quelque plumes flottaient encore parfois dans le Nid certains jours mais Joshua ne le faisait jamais exprès. Il s'en étonnait lui-même à chaque fois ; un étonnement silencieux car il ne parvenait toujours pas à parler. Plus d'un mois après son réveil, il ne réussissait pas à prononcer un seul mot articulé qui fut compréhensible ; comme si le silence était la dernière barrière que son traumatisme lui opposait encore... Il essayait parfois de produire des sons simples - des "aaaa" ou des "oooo" - mais cela semblait le faire souffrir... Cependant, il comprenait ce qu'on lui disait et avait vite réapprit à lire. Mais de son côté, pour communiquer, il utilisait encore les signes.
Un jour, la soigneuse lui demanda s'il se souvenait de ce qui s'était passé cinq ans plus tôt. Joshua avait finit par accepter qu'il avait "dormi" tout ce temps. Mais il affirmait ne plus se souvenir de grand chose : des images floues ou des scènes banales n'impliquant personne de sa famille. Il ne se souvenait même plus d'être Joshua Rosfield, le futur archiduc de Rosalia et l'Emissaire de Phénix. Par contre, il faisait des cauchemars ; et dans ces cauchemars, un démon aux longues cornes et aux dents pointues le poursuivait pour le dévorer. Chaque fois qu'il se réveillait, il avait l'impression de brûler...
- "Sa mémoire lui reviendra", conclut la soigneuse. "Pas trop brutalement j'espère, je ne veux pas qu'il retombe en dépression. Il est trop tôt pour lui révéler ce qui s'est passé..."
Et ce serait à Maître Cyril de le faire.
Celui-ci se présentait parfois à la porte du Nid pour prendre des nouvelles. Il était difficile de savoir s'il s'inquiétait vraiment pour Joshua ou si seul comptait le dieu des Immortels à ses yeux. Il demandait le plus souvent :
- "A-t-il manifesté ses pouvoirs de Primordial ? A-t-il toujours le Phénix ?"
- "Je le crois, Maître, mais l'expression de sa magie devra encore attendre, je voudrais qu'il réapprenne à parler avant."
- "Et bien, il faut vous y employer. Il est vraiment étonnant qu'il n'en soit pas encore capable, après presque deux mois..."
- "Son traumatisme est profond. Le mutisme en est souvent le symptôme. Laissez-lui du temps encore..."
- "Puis-je le voir ?"
- "Vous êtes le Maître...", répondit-elle en le laissait entrer.
Joshua se leva précipitamment de son lit en voyant cet étranger entrer dans son Nid. Il ne se souvenait déjà plus de l'avoir vu. Cyril détailla l'Emissaire de la tête aux pieds et sembla satisfait de l'examen. Il fit un geste d'apaisement.
- "Vous n'avez pas à vous lever pour moi, Votre Grâce. Je venais vous annoncer qu'en dehors de cette chambre, nombre de vos fidèles attendent de vous voir marcher parmi eux. Ils prient chaque jour pour votre rétablissement et espèrent de tout leur coeur voir le feu du Phénix éclairer le monde de nouveau."
Le ton plein d'emphase du Maître contrastait totalement avec sa manière de parler inhabituelle.
- "Vous êtes notre lumière à tous, aussi pardonnez mon empressement mais, il serait tant que votre protectrice vous rappelle de quels prodiges vous êtes capable, n'est-ce pas ?" Il regardait la concernée du coin de l'oeil en prononçant ces mots.
- "Je m'y emploierai au plus vite, Maître..."
Cyril s'inclina bien bas, se détourna et sortit de la chambre, les mains dans le dos.
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passiondelaine · 7 months ago
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C'est agréable de ressentir la caresse de cette peau de mouton entre mes jambes lorsque je chevauche totalement nue dans le but d'obtenir des orgasmes sauvages
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