Tumgik
#j'en mourais
superiorkenshi · 2 years
Note
Song of the year
A memorable meal this year
Favorite actor of the year
Song of the Year
Déjà répondu 2 fois mais on aime la musique ici donc on y répond une troisième fois!
Autre son sortie en 2022 QUE J'AI PONCER!! j'adore Barns Courtney et j'ai extrêmement hâte de son prochain album si on reste dans la même vibe que cette musique!
A memorable meal this year
Le gâteau à la noix de coco que j'ai degommer samedi pour fêter mon anniversaire comment il était vla bon j'adore la noix de coco!!
favorite actor of this year
Y EN À TROP!! Si on parle de ce que j'ai découvert cette année ce serais:
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Et sinon en genral mon top 1 ce serait:
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marie-swriting · 3 months
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Être Avec Toi - Kate Bishop
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Marvel Masterlist
Résumé : Après avoir fait un cauchemar dans lequel tu mourais, Kate a peur que tu ne sois pas en sécurité avec elle, mais elle ne sait pas comment t'en parler.
Warnings : mort de personnage en rêve, mention de la mort de Natasha, anxiété, angst, hurt/comfort, fin heureuse, dites-moi si j'en ai oubliés d'autres.
Nombre de mots : 2.7k
Version anglaise
Channson qui m'a inspiré : Talk Too Much par Reneé Rapp
La peur se lisant sur son visage, Kate a les yeux grands ouverts posés sur toi. Son arc armée d’une flèche, elle ne sait pas si elle doit tirer ou trouver une autre solution pour te sauver. Au bord du toit d’un immeuble, Wilson Fisk a son bras autour de ton cou alors que son autre main tient un pistolet contre ta tempe. Ton corps tremble et tes yeux sont remplis de larmes alors que tu regardes Kate, complètement apeurée. 
-Tu devrais m’écouter, Kate, et me donner ce que je veux ou tu peux dire adieu à ta copine, menace Fisk d’une voix dure. Si tu l’aimais vraiment, tu l’aurais déjà sauvée.
-Je ne vais rien vous donner.
-Tu en es sûre ? dit-il avant de te tirer dans la jambe pour prouver à Kate qu’il est sérieux.
-Lâchez-la ! s’écrie Kate suite à ton cri de douleur. 
-Tu sais ce que tu as à faire pour que je la laisse en vie. 
-Je vais vous le donner, laissez-la partir.
-Kate, non ! cries-tu alors que Fisk resserre son emprise autour de ton cou.
À contrecoeur, Kate détend son arc avant de le poser délicatement au sol tout en te regardant comme pour essayer de te rassurer. Kate enlève le sac à dos qu’elle porte et le balance vers Fisk. Un sourire machiavélique sur le visage, Fisk relâche sa prise, mais il ne laisse pas partir pour autant. Tu arrives à respirer un peu plus facilement quand Fisk te balance d’un coup sur le côté et se saisit du sac. Tu hurles en te sentant partir vers le vide. Ton corps passe de l’autre côté quand une main saisit la tienne. En relevant la tête, tu vois Kate te tenant de toutes ses forces. 
-Ça va aller, je te tiens ! Je vais te remonter. Tiens bon, te rassure-t-elle en essayant de te remonter alors que Fisk fuit les lieux.
-Kate, j’ai plus de force. 
Une larme coule sur ta joue en disant ta phrase. Tu es physiquement épuisée. Fisk t’a enlevé une journée entière pour tendre un piège à Kate et il n’a pas été tendre avec toi. Il est reconnu pour sa cruauté et tu en as fait les frais. Toutefois, tu mets toutes tes forces pour aider Kate à te hisser, en vain.
-Je vais trouver une solution. Je vais te remonter. Je vais y arriver, répète Kate autant pour se réconforter elle que toi. 
En plus de la peur, l’acceptation prend possession de ton corps. Tu sais qu’elle n’y arrivera pas, Kate a beau être forte, tu sens tes mains lentement glisser des siennes alors, tu la regardes tendrement avec un sourire qui se veut rassurant.
-Ça va aller, Kate. Je t’aime.
La panique de Kate se stoppe en entendant ta phrase, c’est la première fois que tu dis “je t’aime”. Vous n’êtes ensemble que depuis trois mois et jusqu’à cet instant, vous n’aviez pas osé dire ces trois mots.
-Je vais réussir à te remonter, je t’ai dit ! Ne me dis pas ça comme si…
-Kate, c’est pas grave, dis-tu doucement. 
-Non, arrête. Je…
Kate n’a pas le temps de finir sa phrase que tes mains lui échappent et tu tombes de l’immeuble. Elle hurle ton prénom à s’en déchirer les poumons, la vision de ta chute se gravant dans sa mémoire. Le bruit de ton corps percutant le sol retentit et Kate n’arrive pas à détourner les yeux de toi.   
Kate prend une grande inspiration en s’asseyant sur son lit, la respiration haletante. Une main posée sur sa poitrine, elle essaye de se remettre de ce cauchemar. Le réveil brutal de ta petite amie t’a sorti de ton sommeil. Tu te retournes et vois Kate agitée. Tu t’assois et pose une main sur épaule, la faisant se tourner vers toi brusquement, la peur quittant ses yeux pour être remplacée par le soulagement. Tu as à peine le temps de voir une larme couler sur sa joue que Kate se jette dans tes bras. 
-Qu’est-ce qui ne va pas ? demandes-tu, inquiète. 
-Tout va bien, tu es là.
-Tu n’as pas l’air bien. 
-Je vais bien, ne t’inquiète pas. J’ai juste fait un rêve, ment-elle en reculant légèrement et avec un faux sourire.
-Tu veux qu’on en parle ? Il a l'air de t’avoir secoué.
-Pas besoin. Ce n’était rien. C’était un rêve débile, il ne représentait rien. Je vais bien, dit Kate rapidement avant de se lever du lit. Je dois partir, j’ai entraînement dans peu de temps. Tu peux rester là, si tu veux ou tu peux faire autre chose, comme tu veux, mais je vais sûrement rentrer tard. Fais attention à toi et appelle-moi s’il y a quoique ce soit de bizarre. 
Kate finit sa tirade en t’embrassant chastement avant de fuir sa chambre comme s’il y avait le feu. Tu regardes par où elle est sortie, complètement perdue. Malgré ce qu’elle a dit, tu as vu clair dans son jeu et tu sais que ce cauchemar l’a perturbée. Tu te dis que tu essayeras de lui en reparler plus tard quand elle sera calmée. 
Les jours suivants, le cauchemar de Kate continue à la hanter et elle n’ose toujours pas t’en parler. Son rêve l’a fait se remettre en question, surtout sur votre relation. Bien qu’elle ne l’ait jamais dit à voix haute, elle t’aime et elle ne veut pas te perdre. Cependant depuis qu’elle est devenue une justicière après sa rencontre avec Clint Barton, elle doit prendre en compte les nouveaux dangers. Clint lui a déjà un peu parlé de Natasha et même si Natasha n’est pas décédée dans les mêmes circonstances que toi dans son cauchemar, le fait est que les Avengers sont en danger perpétuels et par extension leur proches. Et puis, depuis que la mère de Kate est partie en prison, elle a de plus en plus peur de perdre ceux qu’elle aime.  
Kate a pris conscience de tout ce que ça représente d’être avec elle et elle n’est pas sûre que tu le saches. Kate a peur de causer ta perte à cause de ses choix de vie donc elle veut t’éloigner, mais elle veut également te garder auprès d’elle, même si elle sait que ça serait égoïste de sa part. Elle devrait t’en parler, cependant si elle le fait, elle partira dans une spirale en disant trop et probablement en rompant avec toi, car ses peurs grandissent de jour en jour donc elle préfère rester silencieuse. 
Bien évidemment, ce changement de comportement n’est pas passé inaperçu. À de nombreuses reprises, tu as tenté de la mettre à l’aise sans être trop directe, de peur de la braquer, mais elle a toujours évité le sujet.
Elle ne mentionne pas son cauchemar même une semaine plus tard et elle reste perdue dans ses propres pensées. Ça la tue de prendre ses distances avec toi. Tu essayes de parler avec Kate autant que tu le peux, mais c’est comme parler dans le vide et pourtant, tu continues à lui parler, même si Kate ne semble pas y prêter attention. 
Un jour, pendant que vous marchez dans la rue, tu racontes à Kate comment s’est passé ton dernier examen. Comme à ton habitude, quand tu discutes, tu ne regardes pas où tu vas, te focalisant sur ton interlocutrice. Alors que tu parles de ton ressenti général sur le partiel, tu sens juste Kate te tirer violemment en arrière puis tu vois une voiture bleue rouler vite et klaxonner. 
-Ça va ? Tu n’as rien ? questionne Kate, inquiète, en cherchant une potentielle blessure. 
-Grâce à toi, je vais bien. 
-Tu dois vraiment apprendre à regarder devant toi quand tu parles, surtout dans la rue ! rétorque-t-elle, agacée. Si je n’avais pas été là, tu aurais pu avoir un accident ! Il roulait hyper vite, il aurait pu te renverser, tu t’en rends compte ? Comment tu peux être aussi insouciante ! Tu m’as fait peur ! Imagine si je n’avais pas vu la voiture, tu serais morte devant moi ! 
-Mais tu l’as vu à temps et tu m’as tiré avant qu’elle me percute. Je vais bien, Kate, il y a eu plus de peur que de mal, affirmes-tu calmement, espérant faire redescendre la pression.
-Parce que tu as eu de la chance ! Tu n’en auras pas toujours, il peut t’arriver quelque chose à n’importe quel moment.
La respiration de Kate se fait de plus en plus haletante et tu comprends que ça va plus loin qu’un chauffard qui aurait pu te renverser. Tu forces Kate à te regarder avant de dire sur un ton rassurant : 
-Kate, respire. Je vais bien, tu vas bien, on va bien toutes les deux. 
-J’ai eu peur. 
-Je sais. Viens, on va chez moi, l’invites-tu en commençant à l’amener dans la direction opposée.
-Mais tu voulais t’acheter ton nouveau livre, proteste Kate, perdue.
-J’irai un autre jour. On devrait rentrer, loin des voitures, dis-tu avec un petit sourire, mais Kate n’est pas d’humeur à rigoler. Trop tôt ?
-Oui, deux minutes après ton presque accident, c’est trop tôt. 
-Désolée. Allez, viens, dis-tu en prenant la main de Kate.
Vous faites le chemin inverse jusqu’à chez toi tandis que tu caresses sa main avec ton pouce pour la réconforter. La réaction de Kate te confirme que tu dois la faire parler, même si tu dois la forcer. Quelque chose ne va pas, elle est angoissée, surtout par rapport à toi et tu ignores la raison.
Quand vous arrivez dans ton appartement étudiant, tu la laisses s’installer sur ton canapé pendant que tu prépares des chocolats chauds ; peu importe la saison, Kate adore les boire. Tu espères que la boisson chaude la mettra plus à l’aise pour parler. Une fois les chocolats chauds prêts, tu la rejoins sur le canapé. Tu la laisses boire quelques gorgées avant de prendre la parole : 
-Kate, on doit en parler. 
-Je ne veux pas en parler, déclare-t-elle en évitant ton regard.
-Tu es clairement stressée par rapport à quelque chose, tu ne peux pas rester dans ta peur seule. Parle-moi. 
-Je…, commence Kate avec hésitation, je me demande si tu sais vraiment de quoi tu t’es engagée en sortant avec moi et si ce n’est pas le cas alors je me demande si tu voudras encore de moi quand tu le réaliseras.
-Pourquoi tu dis ça ? 
-Tu es morte, annonce-t-elle de but en blanc.
-Kate, la voiture ne m’a pas renversé.
-Dans mon rêve. 
-Celui de la semaine dernière ? Pourquoi tu m’en as pas parlé ? demandes-tu, commençant à comprendre la situation.
-Tu es morte et c’était de ma faute.
-Je suis sûre que ce n’est pas vrai.
-Si, ça l’est, insiste Kate, les larmes aux yeux. Fisk m’avait retrouvé et il voulait mon sac, j’ignore ce qu’il y avait de si précieux dedans, mais il ne lâchait pas l’affaire et pour me forcer à le lui donner, il t’a enlevé. Il t’a tiré dans la jambe et quand je lui ai enfin donné le sac, il t’a balancé du haut de l'immeuble - parce que oui, on était sur le toit d’un immeuble - et j’ai essayé de te retenir, mais je n’avais pas assez de force pour te remonter et… et tu es tombée, raconte-t-elle, la voix se brisant à sa dernière phrase. Tu es morte et c’était de ma faute. Si j’avais écouté Fisk plus tôt, si j’avais eu plus de force…
-Kate, ce n’était qu’un rêve, l’interromps-tu en prenant sa main dans la tienne.
-On aurait pas dit un rêve, ça avait l’air réel et ce rêve m’a fait réfléchir, rétorque Kate en posant sa tasse sur la table basse. À n’importe quel moment, il peut être réel. Maintenant que j’ai travaillé avec Hawkeye et avec ma mère qui était dans les affaires de Fisk, je peux être une cible à tout moment et je ne veux pas que tu sois blessée par ma faute. Je tiens trop à toi pour te perdre, surtout si c’est de ma faute. Et même si je ne suis pas Spider-man ou Captain America, avec le temps, je pourrai avoir des ennemis encore plus redoutables que Fisk et Fisk est déjà assez horrible. Ce rêve a été comme un déclic, je peux pas être avec toi, car ça veut dire que tu es en danger et tu te mets déjà assez en danger quand tu parles dans la rue sans regarder où tu vas. Qui marche sans regarder où il va sérieusement ? divague-t-elle avant de reprendre son cheminement de pensées. Le fait est qu’en sortant avec moi, tu te mets en danger et c’est quelque chose qu’il faut que tu gardes en tête, ajoute Kate avant de prendre une grande inspiration. Bref, maintenant que je t’ai dit tout ça, est-ce que tu veux encore être avec moi ? Parce que moi, je veux être avec toi, peut-être même pour toujours, merde, peut-être pas pour toujours. Ce que je veux dire ce n’est pas “pas pour toujours”, ajoute Kate en te laissant pas une seconde pour répondre. En fait, je ne sais même pas ce que je veux dire. Tu m’en veux parce que je te pousse à rompre avec moi à cause d’un stupide cauchemar ? Tu m’en veux, c’est sûre et je comprends si c’est le cas, je m’en fiche. C’est juste qu’avec ce rêve, j’arrête pas de me demander si ce n’est pas un signe, comme un rêve prémonitoire, tu vois et si c’est le cas, je m’en voudrais de ne pas t’avoir protégé en te donnant une porte de sortie quand il était encore temps. Et, oh mon Dieu, je crois que je parle trop, se dit Kate à elle-même. Je parle trop, hein ? C’est sûr, je devrais te laisser parler. Comme t’as dit, on devrait parler et… Ah! Ferme-la, putain ! crie-t-elle, frustrée.
-J’ai rien dit ! réponds-tu en levant les mains en l’air innocemment. 
-Pas toi, désolée, je voulais dire moi, se corrige Kate, un air coupable sur le visage. Je voulais dire que je devrais me la fermer et te laisser parler.
-Je peux y aller ? demandes-tu après l’avoir laissée respirer tranquillement, quand elle hoche la tête, tu reprends la parole : Kate, je comprends que ton cauchemar t’a secoué, mais ça ne veut pas dire qu’il se produira. Et puis, je savais dans quoi je m’engageais en sortant avec toi - tu t’es vantée d’avoir travaillé avec Hawkeye pendant notre premier rendez-vous donc, je savais pour le côté justicier, potentiels ennemis et j’ai quand même accepté de faire un deuxième rendez-vous avec toi. J’ai conscience de tout ça et malgré tout, je ne veux pas qu’on se sépare, surtout pas à cause d’un rêve, ajoutes-tu d’un ton doux, mais ferme. Et puis, je ne voudrais pas te laisser seule. Être une justicière est déjà assez compliqué, tu ne peux pas t’isoler. Tu dois me parler quand ça ne va pas, surtout quand c’est au point où ça te rend malade. Je veux rester avec toi. Je ne sais peut-être pas tirer à l’arc ou me battre, mais je peux être là pour toi. Je veux être là pour toi. T’auras beau essayer de me donner toutes les portes de sortie du monde, je veux encore être avec toi. Je t’aime Kate, confesses-tu en la regardant dans les yeux. 
-Tu m’aimes ? questionne Kate, étonnée. 
-Bien sûr.
-Wow, je pensais pas qu’on avait atteint ce stade dans notre relation et je pensais surtout pas que tu le dirais pendant qu’on a ce genre de conversation. Enfin, techniquement dans mon cauchemar, tu me l’as dit avant de mourir, mais on devrait oublier ce cauchemar. Enfin bref, j’imaginais que tu le dirais pendant qu’on ferait quelque chose de plus romantique. Mon Dieu, je divague encore, n’est-ce pas ? 
Tu rigoles légèrement en posant tes mains de part et d’autre du visage de Kate avant de l’embrasser. En sentant tes lèvres sur les siennes, les peurs de Kate se calment enfin. Le baiser dure seulement quelques secondes afin de permettre à Kate de se concentrer sur autre chose, mais il n’en est pas moins rempli d’amour et de tendresse. Quand tu brises le baiser, Kate te fait un sourire que tu trouves mignon.
-Je t’aime aussi, dit-elle en caressant ta main droite encore posée sur sa joue. 
-Je t’aime et je veux être avec toi, Kate Bishop, peu importe ce que tu peux dire pour m’en dissuader. 
À tes mots, le sourire de Kate s'agrandit, contente d’avoir pu trouver quelqu’un d’aussi compréhensive et gentille que toi. Elle n’aurait pas pu rêver une petite amie plus adorable dans ce monde de brute.
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romain8959-blog · 11 months
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mon premier pipi au lit par plaisir
½ début : Mon premier pipi au lit exprès, la découverte du plaisir J'aime bien me mouiller pour jouer et ça depuis que je suis enfant ou dans la cour de l'immeuble y avait le meilleur copain avec qui on jouait à ça ne se regardant... bon pas tous les jours, on se serait fait tabasser ! 
Plus tard, j'avais eu la chance de partir avec un copain dont la famille m'avait invité à partager leurs vacances à la neige... merveilleux ! on avait alors 12 ans. Les vacances se passaient super bien, sauf qu'un matin, contrairement à fougue habituelle, il ne se levait pas, et pour cause je n’ai pas mis longtemps à comprendre quand il m'a dit tout con… "j'ai pissé..." moi je n’y croyais pas, je ne pensais même pas qu'on puisse pisser au lit à 12 ans. Mais si c'était vrai, je l'ai vu quand il a descendu la couette. Il avait sous les fesses un beau rond mouillé et le bas du pantalon de pyjama ainsi que le bas de la veste étaient encore tout mouillé aussi... j'étais médusé et terriblement attiré...
Il avait fait quelque chose, bien malgré lui surement, que je rêvais de faire sans jamais avoir osé, à cause de mon Age... je n’y croyais pas... Par contre il était terriblement vexé que je le voie dans ce type d'intimité ! pour rester copain avec lui et qu'il s'en remette, je lui ai dit que ça m'arrivait aussi des fois de pas s'inquiéter ! Et pour le rassurer, je me suis même inventer un pipi au lit quelques semaines avant, lié à un rêve à con que je lui avais raconté, et dont la finalité était aussi un pipi au lit... j'ai dû être convainquant !
Je lui ai même dit que le matin, en me réveillant, j'avais toujours l'angoisse d'avoir fait pipi !!! j'avais eu raison d'agir comme ça, on est resté les meilleurs copains du monde, il avait oublié son accident au lit, et il n'y en eu plus d'autre. 
N'empêche, j'avais vu qu'à 12 ans on peut des fois encore faire pipi au lit, et dans mon fort intérieur j'aurais rêve d'être à sa place, surtout qu'au niveau de ses parents, ça n'avait même pas été un scandale ! le soir là on avait juste été au lavomatique plutôt que de s’amuser dans la neige comme les autres soirs. Quelques semaines après, j'allais passer quelques jours chez une vieille grand-mère, comme ça arrivait des fois pendant les petites vacances scolaires.
 Je dormais au 2éme étage, là ou mamie allait rarement.... et, j'en mourais d'envie depuis que j'avais vu mon copain, mouiller son lit je voulais le faire aussi pour voir... à la maison j'osais pas trop ! là peut  être ? 
J'y pensais sans oser depuis déjà un petit paquet de temps, et puis j’ai décidé de  "ne plus prendre mes précautions». avant de me coucher.
 2/2  suite
y a fort longtemps que j'étais propre la nuit donc une nuit ça m'a réveillé, un mal connu, envie de pipi .... mais j'ai décidé de pas me lever et d'attendre... surtout que les wc étaient 2 étages plus bas... et cette maison, qui, je l'avoue maintenant, me foutait la trouille, surtout la nuit, d'autant plus que j'étais pas du style aventurier....
 d'un coté je voulais le faire, faire pipi au lit…, de l'autre côté tout me pousser à ne pas le faire ! En fait ce n’est pas moi qui ai décidé, à un moment j'en pouvais plus et au lieu de courir au wc, j'ai attendu encore un peu pour voir...je me suis même un peu rendormi. Mais je me suis vite reréveillé…  je savais que le point de non-retour allait être franchi et que j'allais finir par faire pipi dans les draps si je me levais pas et......l'instant d'après c'était parti.j’en pouvais plus de me retenir ça me faisait mal...et.. j’ai senti mon pyjama qui commençait à se mouiller... ça y est putain...je faisais pipi au lit !!!!! j’étais en train de faire pipi au lit…. Vous me croirez si vous voulez, contrairement à l'horreur que ça aurait dû m'inspirer, j'adorais ça!!!! d’un coup je me suis senti léger, léger et bien comme on a pas idée, la douleur que j’avais ressentie de me retenir si longtemps s était immédiatement transformé  en une énorme onde de plaisir,  après m'être retenu si longtemps. et de sentir le pipi qui coulait dans la culotte et dans le pyjama hmmmm je réaliser mon fantasme. J’arrétais pas de me répéter « je fais pipi … je fais pipi au lit…. » je sentais que ça coulait entre mes jambes et je sentais un petit filet glisser entre mes cuisses... et là je savais que je mouillais tout, y compris le matelas qui n'étais meme pas protéger ! mais à ce moment précis je m'en foutais j'étais simplement heureux d’un bien être tellement fort. et puis trop vite ça s'est arrêté. sur le coup j'y croyais à peine, c'était un peu comme dans un rêve, une chose est sûre ,ça me faisait tout chaud... doucement j'ai mis nez sous la couverture... ça sentais le pipi tout chaud... c'en était limite enivrant j'ai du me résoudre à la vérité, je l'avais fait ! j'avais osé pisser au lit comme ça exprès.. avec mes mains j'ai touché le mouillé pour vérifier ! c'était bien trempé et ça m'a terriblement excité tellement que d'un coup j'ai bandé comme jamais. je n'avais pas encore découvert la jouissance à cette époque... je me suis retourné et je me suis frotté dans le mouillé pour me calmer... je me frottais dans mon pipi… j’ai senti un plaisir nouveau monter dans mon corps… et j’ai senti quelque chose monter …. Quelque chose de fort…. d'un coup j'ai senti la plus formidable onde de bonheur et de plaisir de ma vie… comme un feu d’artifice dans mon corps.. tous mes sens venaient de se vriller d’un coup,  je venais de jouir pour la première fois de ma vie. 
dans mon pipi , j'avais même pas honte.... après ça je me suis endormi comme une masse, ce n'est que le lendemain que j'ai eu la surprise de me réveiller mouillé, surprise de courte durée ! bon le lendemain tout ça à séché discrètement...... de cette expérience j'ai gardé le plaisir de faire de temps en temps pipi au lit, même encore maintenant, jamais de plan crade !, toujours pipi au lit dans des draps propres ! Pour les couches, j'ai découvert ça plus tard, c'était plus pratique et ça permettait de jouer plus souvent ! mais bof c est pas pareil
voila ça c est passé comme ça la première fois je sais c est contre nature on m’a dit mais c est comme ça
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christophe76460 · 7 months
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Toi qui traverses la maladie (encouragement)
Il y a quelque temps, le diable venait constamment m’attaquer en pensée, et j'ai commencé vraiment à croire que la maladie dont je souffre me tuait à petit feu. À force de croire en cette idée, j'en suis venu à penser que je mourais progressivement, que je me sentais faible et que tous mes organes étaient touchés peu à peu. Cette attaque persistante a duré longtemps, me laissant croire que ma fin était proche.
Mais gloire à Dieu, le Seigneur m'a conduit à lire l'Évangile de Jean et une fois de plus, la Bible s'est révélée incroyable dans la façon dont Dieu me parlait. J'avais lu ce passage à plusieurs reprises, mais c'est à ce moment-là qu'il m'a parlé de manière plus profonde :
"Cette maladie ne mènera pas à la mort, mais elle servira à manifester la gloire de Dieu. Ainsi, le Fils de Dieu en recevra de la gloire." (Jean 11:4)
Gloire à Dieu, cette parole est devenue une vérité dans mon cœur et je la proclame dans ma vie. Pour ceux qui ne le savent pas, je souffre d'une insuffisance rénale, avec un taux de fonction rénale à 27%, ce qui est anormal pour mon âge selon les médecins.
Prends courage, mon ami, cette maladie que tu traverses ne te mènera pas à la mort.
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Pauvre bibi!! J'en mourai ... peut être, Plate 7 from "Inconvénient", Auguste-Xavier Leprince, ca. 1825, Smithsonian: Cooper Hewitt, Smithsonian Design Museum
Size: 25.3 × 33.3 cm (9 15/16 × 13 1/8 in.) Medium: Lithograph, brush and watercolor on paper
https://collection.cooperhewitt.org/view/objects/asitem/id/131206
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toncoeurbat · 4 years
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tu m'as tant abimé à l'intérieur, et j'avais si peur.
je n'ai jamais trouvé la force de m'en aller, je t’ai laissé m’achever.
je garde en mémoire tous ces actes, tous ces mots qui m’ont si tristement déchiré, je suis incapable d'oublier.
je t'aimais tu sais, et peu m'importait si j'en mourais.
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myinsanitysoul · 4 years
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Adieu mon aimé, mon bel Abhorré.
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Adieu mon aimé, mon bel abhorré. Aspirant à plus, elle coulait la lame le long de son bras, appréciant la douleur aigu qui se dégageait de sa peau sanguinolente. Retirant l'ustensile métallisé de sa chair, elle soupirait de soulagement. Ses joues étaient rougies par l'effort. Étant profondément blessée, elle préférait subir une autre douleur pour oublier celle qu'il lui avait construit. 
Elle était trop fière, beaucoup trop fière pour pleurer en public. Elle avait donc attendu d'être seule dans sa chambre pour exploser en sanglots, pour que personne ne l'a voit vulnérable. Elle s'était aussi munis de plusieurs outils qui seraient susceptibles de la tailler. 
C'était la dernière erreur de sa part. Il ne saurait plus la revoir que dans l'au delà.
*** A quel point peux-tu être égoïste ? Je t'ai offert ma confiance et mon affection. Tu me rends désormais ta reconnaissance en m'enfermant. Me séquestre ici, dans ta piaule. 
Tu me dis me détester mais pourtant, tu t'obstine à me garder prisonnière enchaînée. 
A quel point veux-tu me briser ? Tu passe ton temps à me frapper, me torturer physiquement et moralement. 
Pourtant, pourquoi mon cœur bat-il la chamade lorsque tes yeux verts croisent mon regard ? Pourquoi lorsque ton sourire sadique est tourné vers moi, je me sens vivante ? 
Je te déteste de toute mon âme, mais pourtant je ne peux que t'aimais en retour aussi. Chaque soir, tu me prends et me mords comme bon te semble.Me laissant inerte au sol, tremblant de douleur avec les larmes dévalant mes joues exsangues. 
Pourquoi ne vois-tu qu'en moi de la nourriture et banquet de sang de premier prix. Pourquoi ne t'en prends-tu pas aux autres ? Pourquoi me rabaisses-tu sur mon physique ? Sur ma poitrine et ma taille ridicule ? Je fais de mon mieux pour être dans ton estime. 
Pour que tu me considère comme une femme et non pour jouet. Mais tu préfère jouer avec moi. Me prendre puis me laisser brisée sur le sol carrelet de ta chambre, seule, vulnérable et nue aux yeux de tous.Tu leurs montre à tous, je suis ta possession mais je ne serais rien à ton égard si jamais mon sang ne t'intéressait guère. 
D'ailleurs, je ne suis pas grand-chose. Je ne suis rien. 
Je suis reine, mais pourtant je vois que tu porte plus d'importance aux courtisanes du château et celles extérieures. Que ferais-tu, si je mourais ? Si je disparaissais comme si ma naissance n'avait jamais eu lieu ? Serais-tu triste ? J'en doute énormément. 
Mais pourtant, je ne peux m'empêcher de te désirer et te haïr aussi bien. Il paraît que tuer pour un être comme nous est un gage d'amour. Me tuerais-tu, toi ? Pour me montrer que tu m'aimes ? Pour m'éviter toute cette violence et ce sadisme quotidien ?Je n'ai jamais su, jamais, au grand pourquoi tu me méprisais tant. Alors que je donnais tout de moi pour te satisfaire. Mais tu n'as pas daigné un regard fier sur moi. 
Seulement lorsqu'on te complimentais de m'avoir pour épouse. Oh mon roi, pourquoi tant de méprise ? De haine envers mon égard ? Qu'ai-je pu bien faire pour vous offenser à ce point ? A quel moment ai-je pu pécher pour ne pas avoir votre miséricorde ? Avant de laisser mon dernier souffle m'éclairer vers les abysses flamboyantes des enfers. 
Je vous écrivais cette lettre, mon amour, mon bel abhorré. Si ce n'est que la passion qui étincelait entre nous, alors je préfère mourir. En gage de fidélité pure et sincère. Je viens te quitter de la manière la plus tragique qu'il soit. 
A jamais, je serais à toi.
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traitor-for-hire · 3 years
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Les Quatre Filles March - Chapitre 31
De notre correspondante à l'étranger
LONDRES
« CHER TOUT LE MONDE
« Je suis bel et bien assise à une fenêtre de l'Hôtel Bath, à Picadilly. Ce n'est pas un endroit chic, mais Oncle est descendu ici il y a des années et ne veut aller nulle part ailleurs ; mais ce n'est pas très important, nous n'avons pas l'intention de rester longtemps. Oh, je ne saurais vous exprimer à quel point je profite de tout ! Je n'y arriverai jamais, aussi je vais juste vous confier des extraits de mes notes, car je n'ai rien fait d'autre que gribouiller et écrire depuis que je suis partie.
« Je vous ai envoyé quelques mots depuis Halifax quand je me suis sentie vraiment très mal, mais après ça le voyage a été délicieux, je n'ai été qu'à peine malade et j'ai passé tout mon temps sur le pont, avec quantité de gens agréables pour me divertir. Tout le monde a été très gentil avec moi, surtout les officiers. Ne ris pas, Jo, les gentlemen sont vraiment indispensables à bord du bateau, pour s'appuyer dessus ou pour se faire servir ; et comme ils n'ont rien à faire, il est charitable de les rendre utiles, autrement ils fumeraient comme des pompiers, jusqu'à en mourir, j'en ai peur.
«  Tante et Flo se sont senties mal durant tout le voyage, et voulaient être laissées seules, aussi quand j'avais fait ce que je pouvais pour elles, j'allais m'amuser. Tant de promenades sur le pont, de couchers de soleil, ce bon air et ces vagues ! C'était presque aussi grisant qu'être sur un cheval au galop, quand nous avancions à si vive allure. J'aimerais que Beth ait pu venir, cela lui aurait fait beaucoup de bien ; quant à Jo, elle aurait grimpé pour s'asseoir sur le foc ou allez savoir comment on appelle ce mât le plus haut, elle se serait liée d'amitié avec les mécaniciens, et aurait trompeté dans le mégaphone du Capitaine, elle aurait été dans tous ses états.
« Tout était merveilleux, mais j'ai été contente de voir la côte irlandaise, que j'ai trouvée vraiment charmante, si verte et ensoleillée, avec des cabanes brunes ça et là, des ruines sur les collines, et des gentilhommières dans les vallées, avec des cerfs dans les parcs. Il était tôt le matin, mais je n'ai pas regretté de m'être levée pour voir, car la baie était couverte de petits bateaux, le rivage si pittoresque, et le ciel rose au-dessus de ma tête ; je ne l'oublierai jamais.
« À Queenstown, une de mes nouvelles connaissances nous a quittés, - Mr. Lennox, - et quand j'ai dit quelque chose au sujet des lacs de Killarney, il a soupiré, et a chanté tout en me regardant,
"Oh, avez-vous entendu parler de Kate Kearney,
Qui vit sur les rives de Killarney ;
Devant son regard,
Fuyez le danger,
Car fatal est le regard de Kate Kearney."
N'était-ce pas absurde ?
« Nous n'avons stoppé que quelques heures à Liverpool. C'est un endroit bruyant et sale, et j'étais heureuse d'en partir. Oncle s'est précipité pour acheter une paire de gants, de vilaines chaussures épaisses, et un parapluie, et pour se faire raser et tailler les favoris. Puis il s'est flatté d'avoir l'air d'un vrai Britannique ; mais dès la première fois qu'il s'est fait brosser les chaussures, le petit cireur a bien su que c'était un Américain qui les portait, et il lui a dit avec un grand sourire, "Et v'là pour vous, sir, passées au cirage Yankee dernier cri". Cela a énormément amusé Oncle. Oh, il faut que je vous dise ce que cet absurde Lennox a fait ! Il s'est arrangé pour que son ami Ward, qui est venu avec nous, commande un bouquet pour moi, et la première chose que j'ai vue dans ma chambre était ces charmantes fleurs avec une carte disant "avec les compliments de Robert Lennox". N'était-ce pas amusant, les filles ? J'adore voyager.
« Je ne vous parlerai jamais de Londres si je ne me dépêche pas. Le trajet était comme un voyage à travers une longue galerie d'art, pleine de ravissants paysages. Les fermes m'ont ravie ; avec leurs toits de chaume, leurs murs couverts de lierre, leurs fenêtres à croisillons, et les femmes robustes avec leurs enfants aux joues roses sur le seuil. Le bétail même paraissait plus paisible que le nôtre, paissant au milieu du trèfle, et les poules caquetaient avec satisfaction, comme si elles n'étaient jamais nerveuses, au contraire des poules de chez nous. Des couleurs si parfaites, comme je n'en avais jamais vues - l'herbe si verte, le ciel si bleu, le grain si doré, les bois si sombres - j'étais envoûtée tout le long, de même que Flo, et nous n'arrêtions pas de bondir d'un côté à l'autre en essayant de tout voir, alors que nous faisions route à quatre-vingt-dix kilomètres à l'heure. Tante était fatiguée, et s'endormit, mais Oncle lisait son guide, et ne voulait s'étonner de rien. Je vous décris la scène : Amy qui se lève - "Oh, ça doit être Kenilworth, cette forme grise entre les arbres !" Flo qui se précipite à ma fenêtre, "Comme c'est ravissant, il nous faudra y aller un de ces jours, n'est-ce pas, Pa ?" Oncle admirant calmement ses chaussures, - "Non ma chérie, à moins que vous ne vouliez de la bière ; c'est une brasserie."
Une pause, puis Flo qui s'écrie, "Seigneur, voici un gibet, et un homme qui y monte" "Où ça, où ça !" s'exclame Amy, en regardant deux grands poteaux avec une barre transversale, et quelques chaînes pendues. "C'est une houillère", fait remarquer Oncle, avec une lueur dans l'œil. "Voici un charmant groupe d'agneaux, tous allongés dans l'herbe", dit Amy. "Vois, Pa, est-ce qu'ils ne sont pas mignons !" ajoute Flo, sentimentale. "Des oies, jeunes filles", répond Oncle, sur un ton qui nous a fait taire jusqu'à ce que Flo se plonge dans Les badinages du Capitaine Cavendish, et que je profite seule du paysage.
« Bien sûr il pleuvait quand nous sommes arrivés à Londres, et il n'y avait rien d'autre à voir que du brouillard et des parapluies. Nous nous sommes reposés, avons défait nos bagages, et fait quelques emplettes entre deux averses. Tante Mary m'a acheté quelques nouveautés, car je suis venue en si grande hâte que je n'étais pas à moitié préparée. Un charmant chapeau blanc avec une plume bleue, une robe de mousseline assortie, et la plus jolie cape que vous ayez jamais vue. Faire des achats dans Regent Street est absolument splendide ; tout semble si peu cher - de jolis rubans à seulement six pence le mètre. J'en ai fait provision, mais j'achèterai mes gants à Paris. Est-ce que ça ne semble pas élégant et riche ?
« Pour nous amuser, Flo et moi avons fait venir un fiacre, alors qu'Oncle et Tante étaient sortis, et nous sommes allées nous promener, mais nous n'avons appris qu'après qu'il n'était pas convenable pour deux jeunes filles d'en prendre un toutes seules. C'était si drôle ! car quand nous fûmes enfermées derrière le tablier en bois, l'homme conduisit si vite que Flo s'en effraya et me demanda de l'arrêter. Mais il était en haut à l'extérieur derrière je ne sais quoi, et je ne pouvais pas l'atteindre. Il ne m'entendait pas appeler, et ne me voyait pas agiter mon parapluie à l'avant, et nous étions là, impuissantes, à bringuebaler à toute allure, au risque de nous briser le cou. Enfin, dans mon désespoir, je vis une petite trappe sur le toit, et l'ayant ouverte, un œil rouge apparut, et une voix à l'odeur de bière me dit,
"Maintenant quoi, m'dame ?"
« Je donnais mon ordre aussi gravement que je le pus, et refermant violemment la trappe avec un "Aye, aye, m'dame", ce vieux bonhomme mit son cheval au pas, comme pour aller à un enterrement. Je tapai à nouveau, et demandai, "Un petit peu plus vite", et il repartit en trombe comme auparavant, tandis que nous nous résignions à notre sort.
« Aujourd'hui nous avons eu beau temps, et nous sommes allés à Hyde Park, non loin, car nous sommes plus aristocratiques que nous n'en avons l'air. Le Duc de Devonshire vit près d'ici. Je vois souvent ses valets s'attarder près de la porte arrière, et la maison du Duc de Wellington n'est pas loin. J'ai vu tant de choses, oh la la ! Cela valait bien les gravures du Punch, car il y avait là de grosses douairières, dans leurs voitures jaune et rouge, avec de magnifiques valets en livrée debout à l'arrière, en bas de soie et vestes de velours, et un cocher poudré à l'avant. Des bonnes élégantes, avec les enfants les plus roses que j'aie jamais vus ; de belles jeunes filles à l'air alangui ; des dandies en train de flâner, avec leurs chapeaux anglais extravagants et leurs gants lavande, et de grands soldats, en courte veste rouge, le béret plaqué d'un côté de la tête, l'air si drôle, que je mourais d'envie de les croquer.
« Rotten Row signifie "Route de Roi"*, mais maintenant c'est plus une école d'équitation qu'autre chose. Les chevaux sont splendides, et les hommes, en particulier les jeunes, montent bien, mais les femmes sont guindées et sautillent, ce qui est contraire à nos règles. Je mourais d'envie de leur montrer un trépidant galop à l'américaine, car elles allaient et venaient au petit trot, engoncées dans leurs vêtements, sous leurs hauts chapeaux, comme les femmes dans une arche de Noé miniature. Tout le monde monte - les vieux messieurs, les grosses dames, les petits enfants, et les jeunes gens flirtent beaucoup ici ; j'ai vu un couple échanger des boutons de rose, car il est à la mode d'en porter à la boutonnière, et je trouve que c'était une charmante idée.
« Dans l'après-midi nous sommes allés à l'abbaye de Westminster, mais n'attendez pas de moi que je vous la décrive, c'est impossible - aussi je dirai simplement que c'était sublime ! Ce soir nous allons voir Fetcher sur scène, ce qui sera une fin appropriée au jour le plus heureux de ma vie.
« Minuit .
« Il est très tard, mais je ne peux pas laisser ma lettre partir au matin sans vous dire ce qu'il s'est passé hier soir. Qui est venu alors que nous prenions le thé, selon vous ? Les amis anglais de Laurie, Fred et Frank Vaughn ! J'ai été si surprise, je ne les aurais jamais reconnus sans leurs cartes. Tous les deux sont grands et portent des favoris ; Fred est bel homme dans le genre anglais, et Frank se porte bien mieux, car il ne boite que légèrement, et n'utilise pas de béquilles. Ils avaient entendu dire par Laurie où nous serions, et sont venus nous demander de leur rendre visite chez eux, mais Oncle ne veut pas y aller, alors nous devrons reporter la visite et les voir comme nous le pouvons. Ils sont venus au théâtre avec nous, et nous avons passé un si bon moment, car Frank s'est dévoué à Flo, et Fred et moi avons parlé du passé, du présent et du futur comme si nous nous étions connus toute notre vie. Dites à Beth que Frank a demandé de ses nouvelles, et qu'il était désolé d'apprendre ses ennuis de santé. Fred a ri quand j'ai parlé de Jo, et envoie "ses compliments respectueux au grand chapeau". Aucun des deux n'avait oublié Camp Laurence, ou à quel point nous nous y étions amusés. Cela semble si loin, n'est-ce pas ?
« Tante tape à la cloison pour la troisième fois, aussi il faut que je m'arrête là. Je me sens vraiment comme une jeune fille londonienne dissipée, à écrire si tard, dans ma chambre pleine de jolies objets, et dans ma tête un mélange de parcs, de théâtres, de nouvelles robes et de galants hommes qui disent "Ah" et tortillent leurs moustaches blondes, avec toute la noblesse anglaise. Vous me manquez tous, et en dépit de mes sottises, je reste à jamais, votre aimante AMY. »
PARIS
« CHÈRES FILLES :
«  Dans ma dernière lettre je vous parlais de notre visite de Londres, - combien les Vaughn ont été gentils, et quelles charmantes fêtes ils ont données pour nous. J'ai apprécié le voyage jusqu'à Hampton Court, et le musée de Kensington, plus que tout le reste, - car à Hampton j'ai vu les croquis de Raphaël, et au musée, des pièces entière remplies de toiles par Turner, Lawrence, Reynolds, Hogarth, et autres grands noms. La journée à Richmond Park était charmante, - car nous avons fait un vrai pique-nique anglais, - et j'ai vu plus de splendides chênes et de hardes de cerfs que je n'ai pu en dessiner ; j'ai également entendu un rossignol, et vu des alouettes. Nous avons "profité" de Londres tout notre soûl, - grâce à Fred et Frank, - et étions désolés d'en partir ; car, même si les Anglais mettent du temps à briser la glace, à mon avis, une fois qu'ils vous ont adoptés, on ne peut rivaliser avec eux en matière d'hospitalité. Les Vaughn espèrent nous retrouver à Rome l'hiver prochain, et je serai terriblement désappointée si ce n'est pas le cas, car Grace et moi sommes très bonnes amies, et les garçons sont très gentils, - tout particulièrement Fred.
« Eh bien, nous étions à peine installés ici quand il est apparu à nouveau, disant qu'il était venu pour des vacances, et qu'il se rendait en Suisse. Tante était froide au début, mais il s'est montré si serein à ce sujet qu'elle n'a rien pu dire ; et maintenant tout se passe pour le mieux, et nous sommes très contents qu'il soit venu, car il parle Français comme un natif, et je ne sais pas ce que nous ferions sans lui. Oncle ne connaît pas dix mots, et insiste pour parler Anglais très fort, comme si cela pouvait aider à ce qu'on le comprenne. La prononciation de Tante est vieillotte, quant à Flo et moi, qui nous flattions d'en savoir assez, nous nous sommes rendu compte que ce n'est pas le cas, et nous sommes très reconnaissantes que Fred soit là pour "parley-vouer", comme le dit Oncle.
« Que de moments délicieux nous passons ! Faire du tourisme du matin au soir ! S'arrêter pour prendre de bons repas dans de joyeux cafés*, et rencontrer toutes sortes d'aventures amusantes. Je passe les jours de pluie au Louvre, à me délecter des peintures. Jo dédaignerait certaines des plus belles, parce qu'elle n'a pas l'âme d'une artiste ; mais moi si, et je cultive mon regard et mon goût aussi vite que je le peux. Elle préfèrerait les reliques des personnes célèbres, car j'ai vu le chapeau et le manteau gris de son Napoléon, son berceau et sa vieille brosse à dents, mais également la petite chaussure de Marie Antoinette, l'anneau de Saint Denis, l'épée de Charlemagne et plein d'autres choses intéressantes. J'en parlerai pendant des heures quand je rentrerai, mais je n'ai pas le temps de tout écrire.
« Le Palais Royal est un endroit paradisiaque, - si plein de bijouterie* et d'objets ravissants que j'en serais distraite, parce que je ne peux pas les acheter. Fred voulait m'en offrir, mais je ne l'ai pas permis, évidemment. Le Bois et les Champs Élysées sont très magnifique.* J'ai vu la famille impériale à plusieurs reprises, - l'Empereur, un homme laid à l'air dur, l'Impératrice, jolie et pâle, mais vêtue avec un goût horrible, à mon avis, - robe violette, chapeau vert et gants jaunes. Le petit Nap. est un joli garçonnet, qui discute avec son tuteur, et envoie des baisers aux gens quand il passe dans sa calèche à quatre chevaux, avec des postillons en livrée de satin rouge, et un garde à cheval devant et derrière.
« Nous nous promenons souvent dans les jardins des Tuileries, car ils sont charmants, même si je préfère les anciens jardins du Luxembourg. Le cimetière du Père la Chaise est très curieux, - car bien des tombes sont comme des petites chambres, et, quand on regarde à l'intérieur, on peut voir une table, avec des images du défunt, et des chaises pour les visiteurs endeuillés qui viennent se recueillir. C'est tellement français - n'est-ce pas* ?
« Nos chambres sont rue de Rivoli, et, assis au balcon, nous contemplons la longue rue illuminée. C'est si plaisant que nous y passons nos soirées à discuter, - quand nous sommes trop fatigués pour sortir après notre journée. Fred est très divertissant, et somme toute le jeune homme le plus agréable que j'aie jamais connu - à l'exception de Laurie, qui a des manières plus charmantes. J'aimerais que Fred soit brun, car les hommes blonds ne me plaisent guère ; toutefois, les Vaughn sont très riches, et d'une excellente famille, aussi ne vais-je pas leur reprocher leurs cheveux jaunes, quand les miens sont plus jaunes encore.
« La semaine prochaine nous partons pour l'Allemagne et la Suisse ; et, comme nous devrons voyager vite, je ne pourrai vous envoyer que des lettres hâtives. Je tiens mon journal, et j'essaie de "me rappeler correctement, et de décrire clairement tout ce que je vois et admire", comme me l'a conseillé Père. C'est un bon exercice pour moi, et, avec mon carnet de dessins, cela vous donnera une meilleure idée de mon voyage que ces gribouillis.
« Adieu* ; je vous embrasse tendrement.
«  Votre Amie.* »
HEIDELBERG.
« MA CHÈRE MAMAN :
« Ayant une heure de calme avant que nous ne partions pour Berne, je vais essayer de vous raconter ce qu'il s'est passé, car comme vous le verrez, certaines choses très importantes sont arrivées.
« Notre voyage sur le Rhin était parfait, et je suis juste restée assise à en profiter de toutes mes forces. Prenez les vieux guides de voyage de Père, et lisez ce qu'ils en disent ; je n'ai pas de mots assez beaux pour le décrire. À Coblence, nous avons passé un moment fort agréable, car quelques étudiants de Bonn - avec qui Fred s'était lié d'amitié sur le bateau - nous ont chanté la sérénade. C'était une nuit éclairée par la lune, et, vers une heure, Flo et moi avons été réveillées par la plus délicieuse des musiques sous notre fenêtre. Nous nous y sommes précipitées, et nous nous sommes cachées derrière les rideaux, mais de petits coups d'œil nous ont permis de voir Fred et les étudiants en train de chanter en contrebas. C'était la chose la plus romantique que j'aie jamais vue ; la rivière, les bateaux, la grande forteresse en face, le clair de lune sur tout ça, et une musique à fendre un cœur de pierre.
« Quand ils eurent fini, nous leur avons lancé quelques fleurs, et nous les avons vus se précipiter pour les ramasser, envoyer des baisers aux dames invisibles, et s'en aller en riant - pour fumer et boire de la bière, je présume. Le matin suivant Fred m'a montré une des fleurs froissées dans la poche de sa veste, l'air très sentimental. Je me suis moquée de lui, et lui ai dit que c'était Flo qui l'avait lancée - cela a semblé le dégoûter, car il l'a jetée par la fenêtre, et a retrouvé la raison. J'ai bien peur que ce garçon n'aille me causer des problèmes, cela commence à y ressembler.
« Les bains à Nassau étaient très amusants, tout comme Baden-Baden, où Fred a perdu quelque argent, et où je l'ai réprimandé. Il a besoin de quelqu'un pour veiller sur lui quand Frank n'est pas avec lui. Kate a dit une fois qu'elle espérait qu'il se marierait bientôt, et je suis assez d'accord avec elle. Francfort était délicieuse ; j'ai vu la maison de Goethe, la statue de Schiller, et la fameuse Ariane de Dannecker. C'était très beau, mais je l'aurais plus appréciée si j'avais mieux connu l'histoire. Je n'ai pas voulu demander, parce que tout le monde la connaissait, ou prétendait la connaître. J'aimerais que Jo puisse tout me dire là-dessus, j'aurais dû lire plus, car je m'aperçois que je ne sais rien, et c'est mortifiant.
« Maintenant vient la partie sérieuse, car cela vient juste d'arriver, et Fred vient de partir. Il a été si gentil et joyeux que nous nous sommes tous attachés à lui ; je n'ai jamais pensé à plus qu'une amitié de voyage, jusqu'à la nuit de la sérénade. Depuis ce jour, j'ai commencé à ressentir que les promenades au clair de lune, les discussions au balcon, et les aventures quotidiennes étaient plus pour lui que de l'amusement. Je n'ai pas flirté, Mère, je vous l'assure, mais je me suis rappelée ce que vous m'avez dit, et me suis conduite du mieux que je le peux. Je n'y peux rien si les gens m'aiment bien ; je n'essaie pas de leur plaire, et je m'inquiète de ne pas les aimer, bien que Jo dise que je n'ai pas de cœur. Je sais bien que Mère va secouer la tête, et les filles dire, "Oh, la misérable mercenaire !", mais j'ai pris ma décision, et si Fred me fait sa demande, je l'accepterai, même si je ne suis pas follement amoureuse. Je l'aime beaucoup, et nous nous entendons bien. Il est bel homme, jeune, bien assez intelligent, et très riche - plus riche même que les Laurence. Je ne crois pas que sa famille s'y opposerait, et je serai très heureuse, car ils sont tous gentils, bien élevés et généreux, et ils m'apprécient. Je suppose que Fred, en tant qu'aîné des jumeaux, héritera de la fortune familiale - et quelle splendide fortune ! Une maison en ville, dans une rue chic, pas aussi tape-à-l'œil que nos grandes maisons, mais deux fois plus confortable, et luxueusement meublée, comme aiment les Anglais. Je l'aime bien, car elle est authentique ; j'ai vu l'argenterie, les bijoux de famille, les vieux domestiques, et les peintures du domaine à la campagne avec son parc, sa grande maison, son jardin ravissant et ses beaux chevaux. Oh, ce serait tout ce que je demande ! et je préfère obtenir cette fortune plutôt qu'un titre qui tournerait la tête à d'autres filles mais ne couvrirait rien. Je suis peut-être intéressée, mais je déteste la pauvreté, et je n'entends pas la supporter une minute de plus que je ne le dois. Il faut que l'une de nous fasse un beau mariage ; Meg ne l'a pas fait, Jo ne le fera pas, Beth ne peut pas pour le moment - aussi ce sera moi, et j'arrangerai tout autour de moi. Je n'épouserais pas un homme que je déteste ou que je méprise. Vous pouvez en être sûre ; et, bien que Fred ne soit pas mon genre de héros, il fait très bien l'affaire, et, avec le temps, je devrais suffisamment l'aimer s'il m'aime beaucoup et me laisse faire comme je l'entends. J'ai donc retourné cette question dans mon esprit toute la semaine dernière, car il était impossible de ne pas voir que Fred m'aime. Il n'en dit rien, mais de petites choses le montrent : il ne va jamais avec Flo, et se met toujours de mon côté de la calèche, de la table ou du chemin, il prend l'air sentimental quand nous sommes seuls, et regarde d'un œil noir quiconque ose venir me parler. Hier, au dîner, quand un officier autrichien nous a dévisagés, et dit ensuite quelque chose à son ami - un baron à l'air canaille - quelque chose au sujet d'une wonderschönes Blöndchen, Fred a pris l'air féroce d'un lion, et il coupait sa viande si sauvagement, qu'elle a presque volé hors de son assiette. Il n'est pas l'un de ces Anglais flegmatiques et guindés, mais il est au contraire assez emporté, car il a du sang écossais, comme on pourrait s'en douter en voyant ses beaux yeux bleus.
« Puis, hier soir nous sommes montés jusqu'au château au coucher du soleil - sans Fred, qui devait nous rejoindre après être passé prendre des lettres à la Poste Restante.* Nous avons passé un moment charmant à nous promener dans les ruines, les caves où se trouve le tonneau gigantesque, et les beaux jardins créés par l'Électeur pour sa femme anglaise. C'est la grande terrasse qui m'a le plus plu, car la vue y était divine ; aussi, pendant que les autres étaient allés visiter l'intérieur, je suis restée pour essayer de reproduire la tête de lion en pierre grise sur le mur, entourée de rameaux de chèvrefeuille écarlate. J'avais l'impression d'être entrée dans un livre, assise là, à regarder le Neckar au fond de la vallée, tout en écoutant l'orchestre autrichien en contrebas, et en attendant mon bien-aimé - comme une vraie héroïne de roman. J'avais le sentiment que quelque chose allait se produire, et j'y étais préparée. Je ne me sentais pas rougissante ou frémissante, mais plutôt calme, et juste un peu excitée.
« Enfin j'entendis la voix de Fred, et il traversa la grande arche en toute hâte pour me trouver. Il avait l'air si troublé que j'en ai oublié tout ce qui me concernait, et lui ai demandé quel était le problème. Il a dit qu'il venait de recevoir une lettre qui le suppliait de rentrer, car Frank était très malade ; aussi il partait sur le champ, par le train de nuit, et n'avait que le temps de dire "au revoir". J'étais vraiment navrée pour lui, et déçue pour moi-même - mais pour une minute seulement - car il dit, en faisant ses adieux - et il le dit d'une façon à laquelle je ne pouvais me méprendre - "Je reviendrai bientôt, vous ne m'oublierez pas, Amy ?"
« Je n'ai rien promis mais je l'ai regardé et il a semblé satisfait - et il n'y avait pas de temps pour autre chose que des messages et des adieux, car il partait dans l'heure, et il nous manque beaucoup, à tous. Je sais qu'il voulait me parler, mais je pense, à cause d'une allusion qu'il a faite une fois, qu'il a promis à son père de ne rien faire de la sorte avant un moment - car il est un garçon irréfléchi, et le vieux gentleman redoute d'avoir une belle-fille étrangère. Nous nous retrouverons bientôt à Rome, et alors, si je n'ai pas changé d'avis, je dirai, "Oui, merci" quand il me demandera, "Voulez-vous, s'il vous plaît ?"
« Bien sûr, tout ceci est absolument privé, mais je souhaitais que vous sachiez ce qu'il se passe. Ne craignez rien pour moi ; souvenez-vous que je suis votre "Amy la prudente", et soyez sûre que je ne ferai rien d'inconsidéré. Envoyez-moi autant de conseils qu'il vous plaira ; je m'en servirai si je le peux. J'aimerais pouvoir vous voir pour une bonne discussion, Marmee. Aimez-moi et faites-moi confiance.
« Toujours vôtre AMY »
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libertesauvage · 5 years
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Si je meurs demain, est-ce que je ferais les gros titres Au final, j'en ai rien à foutre, moi, j'voulais juste donner de l'espoir à la foule J'ferais du bruit après ma lumière comme quand viendra la foudre J'irais chanter mon mal-être, j'verrais des séraphins sans reflet s'érafler sur les remparts de la ville J'ferais mes adieux dans ma lettre puisque la mort n'est qu'une autre part de la vie Et je sais qu'c'est hyper dur, mais oublie tes regrets Tes paradis perdus, avant d'être enterré Ne crois pas en tes rêves, réalise les J'ai mis mon cœur dans cet album Le monde tient dans mes deux mains Et toi que ferais-tu si tu mourais demain ?
Lord Esperanza
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dnver · 5 years
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Tout ce que je dis c'est toujours de travers. Tout ce que je fais c'est jamais suffisant. Tout ce qu'on me dit c'est toujours mal interprété. Alors oui je déçois les gens, non je suis pas à la hauteur. Et c'est comme ça. J'ai l'impression qu'a chaque fois que je fais quelque chose qui faut pas, on me le remet dans la gueule. Mais c'est pas nouveau tout ça. Je suis pas nouvelle pour les gens, pour personne. Tout ce que je dis, tout ce que je fais, n'importe qui peut le savoir. J'ai pas changé, j'ai jamais changé. J'ai jamais aimé vivre. J'ai jamais voulu vivre longtemps. Parfois je me réveille. J'ai rêvé que je mourais. Et chaque soir c'est une nouvelle mort ou la même mort qui revient. Et c'est comme ça, y a rien à y faire. C'est comme ça depuis des années. Je rêve de passer sous un train, de m'etouffer, de crever d'un cancer incurable, de me faire fusiller dans un attentat. Évidemment y a des nuits ou je rêve d'autre chose. Parfois je me réveille le matin et j'ai envie de faire plein de trucs. Mais c'est pas quelque matin de bonheur qui vont faire que je veux vivre.
Alors oui je suis comme ça, je prend tout comme ça, je réagis comme ça, je suis comme je suis. Mais j'en peux plus. Moi même je me supporte plus. Mais je suis de loin d'être égoïste parce que si je pensais qu'à ma gueule ça serait longtemps que je serai plus là.
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brevesdenatlyn · 8 years
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ARE YOU GONNA LOVE ME?
Tome : 1.
Nombre de chapitres: 21 / 21.
Pairings: Nick Jonas & Katlyn Itachi.
Synopsis: "Dans les deux cas, ça revient au même : On ne peut plus rien faire pour moi. Mes propos t'étonneront certainement mais tes questions ne resteront pas sans réponses."
EPILOGUE
Nick,
  Si tu lis cette lettre aujourd'hui, c'est qu'il m'est arrivé quelque chose. J'ignore si je suis décédée ou dans le coma. Dans les deux cas, ça revient au même : On ne peut plus rien faire pour moi. Mes propos t'étonneront certainement mais tes questions ne resteront pas sans réponses. J'ai demandé à Kevin de te donner cette lettre si jamais il m'arrivait quelque chose. Il y a des tas de choses que tu ne sais pas et je regrette de ne pas te les avoir dites plus tôt. Toi qui m'as toujours cru si courageuse, je te prouve le contraire en écrivant cette lettre. Elle contient toutes les réponses que tu cherches et que je n'ai pas eu le courage de t'avouer.
Je n'ose même pas imaginer l'état dans lequel tu te trouves actuellement. Je pense que tu es sûrement très malheureux. J'en suis désolée. Tous les mots du monde ne pourront pas te dire à quel point je me sens coupable de t'infliger une telle torture. Je n'aime pas te voir malheureux. C'est un fait. Durant tout ce temps que nous avons passé ensemble, j'ai toujours fait en sorte de faire passer ton bonheur avant le mien tout comme toi, tu as su le faire avec moi au moment où on s'est rencontrés ; notre deuxième rencontre, j'entends. Tu ne te souviens pas de la première fois où l'on s'est croisés et c'est peut-être mieux ainsi. Je n'aime pas l'idée que tu aies pu voir à quoi je ressemblais avant de devenir cette fille que tu admirais tant. Je ne suis pas si courageuse que ça, Nicholas. Cette lettre en est une preuve. Cependant, je n'oublierais pas que tu étais là ce jour où j'ai repris conscience pour mieux plonger en Enfer.
J'ai toujours cru que notre rencontre était due au destin, que nous avions fait ce même rêve en même temps pour que nous nous rencontrions. En me tendant une main, tu m'as offert une chance de sortir de ce cercle vicieux dans lequel j'étais enfoncée. Si je ne t'avais pas rencontré, je crois qu'il y a bien longtemps que j'aurais abandonné le change. Tu ne l'as jamais su mais, chaque fois que je me retrouvais en fâcheuse posture, c'est à toi que je pensais. C'était toi que j'appelais au secours. À l'époque, je ne savais pas pourquoi c'était toujours vers toi que je me tournais quand j'avais des problèmes. Aujourd'hui, j'ai la réponse à cette question. Je t'aime et ce, depuis que je t'ai rencontré la seconde fois. C'était si évident que je ne comprenais pas pourquoi je me sentais aussi bien en ta présence, pourquoi je ressentais toujours ce besoin de te voir et de te sentir près de moi. Il m'a fallu du temps avant de comprendre mais tu as su m'ouvrir les yeux. Tu te souviens de notre premier baiser ? C'est-ce jour là que j'ai compris mes sentiments. Je n'étais sortie avec Tony que pour tenter de m'��loigner de toi et de ce que tu me faisais ressentir. J'ai honte mais j'avais peur des sentiments nouveaux auxquels je faisais face.
Puis, à son tour, il m'a abandonnée comme l'ont fait bien d'autres avant lui. Je ne devrais pas dire qu'il m'a abandonnée, vraiment pas. Il a seulement donné sa vie pour sauver la mienne. Il était encore vivant après avoir reçu cette balle et, malgré tous mes efforts, il est mort, juste à côté de moi. Chaque jour, alors que je souffrais un peu plus sous les coups de Lucas, je me demandais comment j'allais m'en sortir. Au moment où j'allais lâcher prise, au moment où j'allais le supplier de me tuer, les mots que Tony avait prononcé peu avant sa mort me sont revenus en tête : « Que dirait Nick s'il te voyait ?! » Je me souviens avoir culpabilisé de t'avoir entrainé dans cette affaire avant d'avoir essayé de me relever. Tu étais mon seul espoir dans la sombre souffrance dans laquelle je reposais. Je priais chaque jour pour que tu ouvres cette maudite porte derrière laquelle je mourais un peu plus chaque jour. Tu es venu et je me suis rapprochée de toi pour ressentir cette sensation de sécurité que tu étais le seul à me procurer. J'ai fini par te repousser, encore une fois.
Je ne te l'ai jamais avoué mais, au début, je te repoussais car je rejetais la faute sur toi. Tu étais - et est toujours - mondialement connu et ça me posait un problème. Toutes ces unes de magazines que nous avons faites ont permis aux monstres de mon passé de ressurgir dans mon présent. J'avais mal. J'avais peur. Malgré tout ça, tu étais là. Tu m'as toujours soutenue quoiqu'il t'en coûte. Tu voulais m'aider et tu peux être fier d'avoir réussi. Tu m'as rendue heureuse, Nick. Peu de gens peuvent se féliciter d'avoir réussi ce pari. Toi, tu l'as fait et je t'en serais à jamais redevable.
J'ai commencé cette lettre il y a plus d'une heure et je n'ai toujours pas trouvé les mots qui pourraient te dire pourquoi tout ça est arrivé. Je ne veux pas te voir souffrir par ma faute. Je ne le supporterais pas. Je sais aussi que si toi, tu me voyais souffrir, tu te sentirais mal de ne rien pouvoir faire pour m'aider. C'est peut-être pour ça que je n'ai jamais trouvé le courage de te le dire. Nous ne pouvons rien faire face à ce qui se passe actuellement à part attendre. Je n'ai pas le temps d'attendre et je vais enfin te dire pourquoi. Ce n'est pas facile à avouer pour moi. Ça ne sera pas facile pour toi de l'apprendre de cette façon, j'en suis tout à fait consciente mais je n'ose pas te regarder dans les yeux pour t'annoncer cette nouvelle qui me fait tant de mal.
Je vais mourir, Nick. Dans très peu de temps. Un mois pour être exacte. Tu te souviens que je ne me sentais pas bien depuis l'anniversaire de Théo ? Ta mère m'a bien accompagnée chez le médecin quand tu as pris le rendez-vous. Elle est au courant et je lui ai demandé de garder le silence car c'est à moi de t'annoncer le diagnostic. Il a fallu que je parle à Kevin avant de trouver le courage d'entamer cette lettre. Ça fait plusieurs heures que je connais le diagnostic et, chaque fois que je me décide à te le dire, je vois la douleur et la tristesse se peindre sur ton visage. Je me ravise donc. J'ai peur de te faire du mal. Pourtant, tu dois le savoir. J'espère que tu ne m'en voudras pas.
Les médecins ont découvert que j'avais une tumeur au cerveau qui se développe depuis mon accident de voiture. Il est maligne et inopérable. Elle va me tuer un peu plus chaque jour qui va passer dans une douleur qui sera non négligeable. Tu remarqueras sûrement des changements de personnalité chez moi. C'est la tumeur qui fait ça. Crois-moi, je suis désolée de ce que je pourrais dire ou faire sous son contrôle. J'espère que tu comprendras que ce n'est pas contre toi. Mes souvenirs vont s'effacer un à un. Je ne te reconnaitrais probablement plus. Je ne saurais plus qui tu es, ni qui je suis. Mes derniers jours seront très douloureux et je refuse que tu y assistes. Crois-moi que si tu contournes ce refus, tu le paieras cher, Nicholas ! Je ne veux pas que tu me voies dans un état pareil. Ça te ferait bien trop de mal. Je te connais, tu es trop sensible. Bien sûr, j'aurais préféré ne pas mourir seule dans un hôpital mais je préfère que tu ne sois pas là, pour ton bien et pour le mien. Je m'en voudrais que tu souffres par ma faute.
Il y a une dernière chose que je veux que tu saches avant que je ne conclue cette lettre que j'ai eu tant de mal à écrire. Quoiqu'il advienne, je me battrais jusqu'au bout. Je vais profiter de chaque instant que je passerais en ta compagnie. Si jamais je craque et te demande d'abréger mes souffrances, n'accepte surtout pas ! C'est un ordre ou une dernière volonté, prends-le comme tu veux.
Je me rends compte que c'est vraiment ridicule d'avoir couché ce dernier paragraphe sur papier alors que je ne suis sûrement plus là au moment où tu lis ces quelques lignes. Quand bien même, je voulais que tu saches et que tu comprennes ce qui m'arrivait. Je suis sincèrement désolée, Nick. Avant que toute ma mémoire ne s'efface, je veux que tu saches que je t'ai aimé, que je t'aime et que je t'aimerais toujours. Ça ne changera pas quoiqu'il arrive.
Je vais aller voir un avocat et faire mon testament. Je te lègue tout ce que je possède. Bien peu de choses, je te l'accorde. L'avocat en question, c'est Nicholas Fallin que tu connais déjà. Il te remettra la clé d'un coffre-fort de ma banque. Vas-y. Tu y trouveras tous mes biens les plus précieux ainsi que deux lettres pour James et Théodore. Donne-leur quand ils seront en âge de comprendre.
  Je t'en prie, pardonne-moi.
  Katlyn.
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