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#j'ai baisé avec ton frère
lolochaponnay · 3 months
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Dans une maison, il y a un couple qui sont dans leur chambre, et l'épouse va bientôt mourir. Elle est allongée sur le lit, et avant qu'elle meure, elle dit à son mari : -J'ai besoin de te confesser quelque chose de sérieux... Le mari répond : -Il n'y a rien à confesser, tout va bien... La femme : -Non ! J'ai besoin de mourir en paix ! Je dois vraiment te confesser quelque chose de sérieux ! Voila, j'ai baisé avec ton frère, ton meilleur pote, le pote de ton meilleur pote et avec ton père ! -Oui je sais tout cela chérie... C'est pour cela que je t'ai empoisonné. Maintenant, ferme les yeux.
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payetoncouple · 4 years
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emprise malsaine
J'ai 18 ans. Cela fait environ 7 mois que je suis avec mon copain. 7 mois que je suis sous son emprise et dans une relation abusive qui me détruit. J'en suis consciente, mais incapable de le quitter. Enfin à long terme. J'ai des élans de lucidité, ou je veux sauver ma peau. Mais mr arrive toujours à me faire culpabiliser, à me faire croire que le problème vient de moi, et je finis toujours par revenir en rampant…
Il faut savoir que j'ai toujours eu des relations compliquées avec les hommes. À mes 11 ans, j'ai été violee à plusieurs reprises par un homme. Si naïve et fragile à ce jeune âge, j'ai été détruite par ce vol de Mon insouciance, par cet homme qui s'était approprié mon corps. J'ai fini par croire que, comme il me l'avait fait comprendre, je n'étais bonne qu'à ça, et d'ailleurs je n'existait que pour ça. Je suis passé par diverses tentatives pour mettre fin à mes jours, je suis tombé dans l'anorexie, la drogue, l'alcool etc etc… je n'arrivais plus à me regarde en face. Des photos qu'il m'avait forcer à faire ont été publiées sur Facebook. Bien sur personne ne connaissait l'histoire derrière, et vous laisse imaginer le harcèlement qu'il s'en est suivi, par absolument tout le monde. Je me suis mise à coucher avec n'importe qui. Je subissais tellement cette image de moi, imposée par les autres, les rumeurs etc que j'ai fini par agir comme ce qu'elles disaient de moi. Au cours de l'année de mes 12 ans, j'en ai parlé à mes parents, qui ont été dépassés, se sont sentis coupable. On ne s'est plus parlé avec mon père durant 4 ans. Ma mère m'a amenée porté plainte, je n'aurai jamais imaginé que même la police, sencé me protéger dans ma tête de petite fille, pourrait me pointer du doigt et prononcer ses mots “ tu le voulais avoue, maquillé comme t'es à ton âge ”. Je voudrais retrouver ces flics et leur expliquer qu'un maquillage n'excuse en rien, et que c'était une façon pour moi de camoufler ce visage et ce corps que je ne savais plus voir. Passons. J'ai rencontré des bonnes personnes. Des personnes qui ont réussis à me faire prendre conscience que j'avais réagis comme je le pouvais pour me protéger, pour m'en sortir, que je ne devais absolument pas me sentir sale mais surtout aller de l'avant et laisser tout ça derrière moi. J'ai réussi à changer, à arrêter de me détruire pour cet homme qui n'en valait absolument pas la peine, je me suis reconstruite et suis devenue une personne que je respecte enfin.
Tout allait enfin mieux pour moi, j'étais heureuse. Libre comme jamais, indépendante. Puis j'ai rencontré Mon copain. Je revenais d'un voyage humanitaire de 3 mois en Argentine. Au début il était vraiment l'homme que j'attendais. Protecteur, il s'intéressait à moi tout en me laissant vivre et en s'émerveillant pour chacunes des actions que je menais. Enfin je me projetais avec un homme. Puis son vrai visage à commencé à se montrer. Moi qui avait pour la quasi totalité des amis mecs ( je me suis forgé caractère je m'en foutiste qui collait en général mieux avec ce genre ), je me suis retrouvée à etre obligé de couper les ponts avec tous, sans exceptions. Ça n'a pas tardé avant que je doive faire la même chose avec les filles, qui lui rappelaient trop Mon “ passé de putain” soi disant, alors que je les ai connues après et qu'elles n'avaient aucun rapport avec tout ça. J'ai du quitter mon travail, après de trop nombreuses crises parce que “ il n'y a que moi que tu dois servir, et eux, ils vont tous te mater” ( j'étais serveuse en restaurant ). J'ai pris ça pour de la protection, il ne voulait que le meilleur pour moi. De la possessivité oui. Moi qui était une bonne vivante, toujours en train de faire la fête, avec plein d'amis, je me suis retrouvée seule chez moi. Lui a une situation très compliquée avec ses parents, et ne peut dormir chez lui. Je me suis alors arrangé pour que tout les soirs, TOUT les soirs, ils dorment chez moi, devant mentir à mes parents pour cela. Des qu'il se réveillait il partait, parce qu'il avait des potes à voir, alors que moi je devais l'attendre sans bouger à la maison. Puis attendre qu'il ait finit ses choses pour que je puisse lui ouvrir et enfin aller me coucher. À chaque désaccord , j'étais totalement rabaissée. “ sale pute t'es sale , jamais je pourrais avoir une femme comme toi” “ regarde toi, clocharde que t'es” dès que je n'allais pas dans son sens. J'acceptais tout ça, parce qu'il me disait que c'était ma faute et que je récoltais seulement ce que j'avais cherché, que si vraiment j'avais vécu tout ça au contraire jamais je n'aurai voulu retoucher un garçon. Puis de toute manière “ t'as de la chance que je sois la, regarde toi sale pute aucun homme ne voudrait de toi”. Quand j'allais dans son sens, tout allait bien. Il était vraiment attentionné, alors je pardonnais ces écarts, et me disait qu'avec le temps il n'y aurait plus que des bons moments. Faux. Il s'est mis à être jaloux de mes petits frères, et à vouloir m'en éloigner. Il m'a isolé sans même que je m'en rende réellement compte. En septembre, je dois reprendre des études. Assistante sociale. C'est véritablement une vocation d'aider les gens, à tel point que même dans ma vie Perso j'ai cette attirance vers les personnes avec des vies très compliquées, inconsciemment. Sa vision de tout ça? “ mêle toi de ton cul un peu, y'a plein d'autres métiers, pourquoi tu choisis à etre avec des mecs? T'aimes trop ça te faire baisé en fait”. Je passe des concours, j'arrive très bien classé, mais il n'y a pas d'école dans ma ville. Je dois partir, pour 2 ans. Il dis de lui même qu'il veut me suivre. On trouve un appart tout les deux, enfin je cherche de nombreux et nombreux apparts qui ne lui vont jamais, je m'en prends de nouveau plein la gueule. Jusqu'a un qui lui va. Pas du tout à moi, mais je cede, cest un bon compromis s'il me suit ( ce que je ne lui ai jamais demandé ). Mes parents s'engagent, se portent cautionnaire pour nous 2. À partir de ce moment, il me reproche de l'obliger à quitter sa vie, à tout lâcher pour une “ salope que je suis”. Je lui re explique qu'il est libre de ses choix, qu'il me suit s'il en a envie mais que je ne l'oblige à rien. On a du avoir cette discussion là une bonne cinquantaine de fois. À chaque fois que je ne voulais pas faire quelque chose pour lui “ supprime tout tes réseaux sociaux ” par exemple, sachant que j'ai déjà plus que les quelques filles qu'il a bien voulu me laisser, c'était son chantage. “ tu me demandes de me suivre et toi t'es même pas capable de faire ce petit truc pour moi?” Nos embrouilles devenaient de plus en plus fréquentes, de plus en plus violentes. Toujours des menaces, déguisées lorsqu'on était “ en bon terme” du chantage. Il a donné un nombre de coups incalculable dans ma voiture, qui peut en témoigner par tout les impacts, fais un grand nombre de trous dans les murs de chez moi, cassé toutes mes affaires les plus précieuses, déchirées mes photos etc… de nature grande gueule, je me suis retrouvée impuissante, sans être capable de rien, à le regarder faire ses crises et attendre en espérant que ça se termine vite et qu'il n'y aura pas trop de dégâts. Un matin, je me suis habillée vite fait et enfilé un jogging de foot que j'avais moi même acheté. Il est entré dans une colére monstre ( ah oui, parce que j'avais pas le droit de regarder le foot, ça me faisait sûrement rappeler mes ex). Il a déchiré chacun de mes ensemble de foot, a mis tout les habits de mon placard par terre, a craché dessus. J'étais incapable de dire quelque chose je pleurais. “ mais pq tu pleures ? Cest ta faute tout ça viens lève toi!!!” Il m'a attrapé par Le Bras et m'a déshabillé. Il m'a tenue nue en face du miroir et m'a dis “ regarde toi. T'es pas une femme, t'es une poubelle” puis à fini par me cracher dessus. Je ne mérite pas ça. J'ai fait des erreurs dans le passé, mais entendre ça de l'homme que j'aimais, ça a fini de me détruire. J'ai fini par appeler à l'aide et mon père est monté et l'a fait sortir. Et pourtant… j'ignore pourquoi mais j'y suis retournée. Jai pas pardonner j'y pense encore tout les jours, mais j'y suis retournée. Je ne sais même pas pourquoi j'écris tout ça. Mais j'ai peur de lui. Ce n'est absolument pas la vision que j'ai d'un couple, ni de l'amour. Je m'en suis pris des coups, des insultes, des mots plus durs les uns que les autres. Mais aussi des câlins, des cadeaux, des marques d'affections. Comment cela est il possible du même homme ?? Je sais qu'il souffre. J'ai l'impression qu'il est dans mon devoir de l'aider, bien que cela me détruise, et que je n'ai plus rien à voir avec la personne que je suis. Je n'arrive pas à partir, j'ai l'espoir de le libérer. Pourtant je n'y crois pas non plus, il a ce besoin de me contrôler, vraiment tout de moi. Je ne sais pas comment m'en sortir, des que j'essaye de le quitter c'est des mélanges de mots d'amour et de menaces, sur ma famille sur mes petits frères… j'ai peur, je n'ai plus l'envie de vivre, c'est pas la vie que je veux. Je me sens honteuse, coupable de nouveau, plus sale que jamais, alors que j'avais réussi à me sortir de tout ça….. il me manipule, je ne sais plus quoi faire… à chaque fois que j'essaye de me détacher il me retourne le crâne, me dis qu'il va se faire aider, je retourne dans ses bras seulement pour retomber d'encore plus haut… Ce n'est pas un couple!!! Fuyez mes dames, soyez plus fortes que moi, protégez vous….. Le couple est une relation bienveillante dans laquelle on doit se sentir en sécurité. Si tu trouves que ton partenaire te tient des propos blessants mais que tu as du mal à le quitter, n’hésite pas à lire l’article Pourquoi c'est dur de sortir d'une relation violente ?
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plumedepoete · 5 years
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JULOT      Ces situations je les ai vécues et parfois subies, mais avec le recul, je savoure pleinement la rare­té de ces instants où se mêlaient la cocasserie, la « comedia dell'art » et la dure réalité d'un monde méconnu.      Les personnes dites normales, ont en général des vies correspondant à leurs personnalités.      Les aventures qui colorent leur quotidien se résument à leur union avec une autre personne dite « normale », à devenir adeptes de la « Française des jeux » à « vivre » par procuration, en « fantasmant » au travers des exploits des autres, et même d'aller chercher la baguette chez « Dédé la boulange ».      J'ai connu ces vies insipides, mais très vite, j'ai mis le cap sur l'option « pas cap.... »      Pourquoi ? Peut être que, comme Jacques BREL,  je voulais devenir notaire parce que papa ne l'était pas....vous l'aviez compris c'est une image.      Puisque j'ai votre bénédiction, je continuerai donc à me remémorer des situations extraordinaires, vécues par des gens ordinaires.... Et puis, en cette période de confinement, « faut bien passer son temps comme on peut ! »      Ce qui m'a le plus enchanté, ce sont les rencontres avec les acteurs de ces instants magiques.
Une galerie de portraits me revient en mémoire.      Ces gens, qui, durant quelque temps, ont été les vedettes de ces courtes scènettes, que sont-ils devenus ?      Il est dit que l'enfer est pavé de bonnes intentions ….certes,  mais aussi, l'enfer c'est les autres ! 
 
      Certains auraient pu obtenir le César du meilleur filou, ou à défaut, un oscar pour leur rôle dans «le passage de l'exa­men du permis de conduire», cette femme serait la lauréate du prix de la plus mauvaise assurée de la caisse d'allocations familiales, celui-là aurait obtenu le prix de la création, pour sa composition lors d'un contrôle de po­lice.... Que des gens comme vous et moi.      lls se sont empêtrés dans la grande aventure de la vie de tous les jours, sauf qu'ils n'avaient pas de promp­teurs pour pouvoir s'exprimer dans la langue de Molière, pas de maquillage pour masquer ces gueules « d'In­diens-Roumain » ni de Donald Cardwell pour habiller ces va-nu-pieds. (Référence au théâtre ce soir... Pour les plus anciens).     Julot faisait partie de ces acteurs involontaires, le casting du diable était tombé sur sa pauvre personne ce jour de juillet, trop chaud pour ce pauvre homme qui n'en demandait pas autant.

jJ'avais installé  un chantier de démolition automobile et recevais à lon­gueur de journée des vendeurs de n'importe quoi : ferraille, cuivre, divers métaux, vieux meubles et tout ce qui pouvait améliorer les fins de mois déjà difficiles.      Le nez plongé dans le capot d'une bagnole qui acceptait de finir sa vie en petits morceaux, j'ai entendu cette petite phrase, annonciatrice d'emmerdements futurs : « je viens de la part de... ».      Dans ce milieu, les amis de mes amis étaient forcément des auto-stoppeurs profiteurs, qui essayaient de te faire prendre, selon la formule consacrée, des vessies pour des lanternes... Et à chaque fois que je faisais pipi, je me brûlais les doigts.      Me dégageant de mes occupations d'introspection mécaniques, je me trouvais face à face avec un grand es­cogriffe, sorte de sloughi, de milord l'andouille.
Grand, maigre, mal rasé, le nez aquilin, il portait tous les stigmates d'une vie de margoulin à la petite se­maine ; cette grande andouille sentait l'embrouille.
Dans le milieu on appelle ça '' « un cave, un micheton. »      Mon premier réflexe, salutaire, aurait été de décla­rer avec l'aplomb d'un chat qui a bouffé une souris et dont la queux dépasserait de la bouche : « moi ? connais pas».
Il faisait très chaud, la sueur coulait de ses tempes, il se dandinait sur place.. Envie de pisser ?. Où sensa­tion d'avoir rater son entrée devant le jury de The Voice ?
.'' Les cons ça osent tout, et c'est à ça qu'on les reconnaît. ''...Si j'osais je deviendrais un peu lour­dingue..      Mais si tu sais,  c'est le gars qui....       « Non, j 'te dis que je ne connais pas. »

«     " Pas grave, j'ai de la marchandise à vendre, je peux te la montrer ? "      Je me suis entendu dire : non pas la peine, j'achèterais un âne dans un sac.
      Bon, je reconnais que parfois, je suis un peu léger dans ma communication, mais l'entourage, qui me donnait à réflexion, s'apparentait plus tôt aux blagues de l'almanach Vermot, qu'au précis grammatical de monsieur BLED. 

   Il ne me regardait pas dans les yeux, je n'aime pas ça.. Mais bon je n'ai pas l'air non plus d'un Saint ; sur mon visage, mes rides dessinaient une carte d'identité façon relevé anthropométrique. Un Canonge en quelques sortes.. Pour les anciens qui ont fréquenté les salles de Police.
« ... Ouais, t'as qu'à me faire voir... Un des ces jours... » Hop, renvoi dans les 22 mètres, et botté en touche...
...Faux rebond.. « j' ai la marchandise dans mon camion.»...
      Sans attendre ma réponse, Julot a grimpé dans son fourgon et revoilà mon bon prince.
Les coups d'œil qu'il donnait sans cesse dans tous les horizons, confirmaient bien son inquiétude.
Dans le véhicule, une dizaine de sacs de cuivre attendaient bien sagement, d'être délivrés de cette impasse.
J'avais l'habitude de négocier ce genre de matériaux, mais la grande bringue coupa court à mon savoir-faire. «Écoute, il n'y a pas loin de 3OO kilos de cuivre, je suis pressé, j'ai même oublié mon permis de conduire, je te laisse le tout pour la moitié de sa valeur ».      
Vite fait bien fait, l'argent dans la poche, mon vendeur est reparti en s'imaginant qu'il venait de ferrer un beau poisson-couillon.
Une semaine plus tard, la même grande bringue me fit le même cadeau de bienvenue au pays des «  les baisés comptez-vous. »       Une fois encore, je sentis venir l'arnaque, mais ces deux contributions à m'enrichir avaient rejoint un dépôt que je possédais dans un lieu secret et discret, car les vols de métaux étaient fréquents. Je ne vendais mes métaux non-ferreux que 2 fois par an.      Quelque temps plus tard, alors que nous étions en train de mettre à mal quelques poulets grillés au feu de bois en compagnie de clients habitués, le JULOT débarqua sans crier gare.      Pour mes convives,  c'était une «mal politesse» que seul un paysan était capable de commettre,  un peu comme une insulte irréparable ou un crime de «lèse manouche. ».      Le sourire franc d'un âne qui recule, trop «mmmm.... ma biche», il nous offrit un coup de vaseline pour que ça rentre mieux.
J'ai senti l'impair non ce n'est pas un doigt ) qui se pointait à l'horizon, comprenant et parlant de façon courante la langue romani, j'ai coupé court à l'invasion de ce fauteur de troubles.
« Dis l'ami, je suis en famille, reviens demain matin, je vais voir ce que je peux faire. »      Il n'a pas insisté, je constatais après son départ que certains de mes invités le connaissaient de façon défavo­rable, des mains s'étaient même crispées sur les manches des serpettes qui servaient à mes invités pour dé­couper toutes sortes de choses, même le corps humain.      La sentence tomba de suite « mon phral ( mon frère ) cet homme, il n'est pas comme nous.. c'est une porte-poisse.. Il a le mauvais œil.».      Le lendemain matin vers sept heures, son fourgon brinquebalait sur le chemin d'accès à mon terrain, suivi par une petite voiture de couleur rouille.
« Tiens, c'est ton jour de chance, j'ai un lot de cartons à te vendre y en a pour..X. Francs, je te le laisse à moitié prix... ce sont des cigarettes qui viennent direct d'Espagne ».     Un énorme gyrophare rouge, illuminé par des dizaines de feux clignotants rouges, s'allumèrent de suite... Pin-pon ... Pin-pon... Fais gaffe, il te prend pour un con.      « Merci , romanimais je ne fume pas... J'en veux pas»      Mais il insistait le goujat «j'ai que 10 cartons.. C'est du bon tabac... Tu n'en voudrais pas ».      Dehors, les romanos où je lâche les chiens...Vite, urgence à tous les étages.. Sortez d'ici « mal au trou » que vous êtes !
Le ton monta très vite ,et mon épouse en sortant de la caravane ,tenait un flingue à la main... Elle sentait ce genre de tracas et n'hésitait pas à donner son grain de sel ou de plomb... C'était selon, elle était de la race.      Pour faire plus court, je vous dirai que le fâcheux est reparti rapidement, accompagné de son chauffeur complice.      Dans la fin de la matinée, alors que j'étais allongé sous une voiture, mon attention fut détournée par la pré­sence de deux paires de souliers type rangers mais cirés proprement, qui dépassaient de deux pantalons à bandes       bleu- marine.
Ces souliers me dirent : « Gendarmerie nationale, brigade de recherche. Nous voudrions voir vos pièces d'identité. »
Des chaussures qui parlent... Miracle... Non...emmerdements en vue.      La maréchaussée qui se tenait devant moi, avait délégué deux de ses meilleurs représentants, les autres, une dizaine au total, moins beaux, encerclaient mon domicile et contrôlaient 3 clients qui faisaient leurs af­faires avec mon épouse      « Vous n'auriez pas eu la visite d'un individu qui vous a proposé des cartons de cigarettes provenant d'un   vol ?»
Mes battements de paupières ,façon Betty Boop ,ont convaincu les forces de l'ordre qui ,après avoir mis le bordel sur mon chantier et dans mes registres de Police, repartirent, convaincues que j'étais un gros men­teur... On ne se refait pas Monsieur l'Agent.      Quarante-huit heures plus tard, le nom de Julot s'étendait dans la rubrique des chiens écrasés.
Il avait cambriolé un dépôt de la compagnie des tabacs, et s'était fait prendre chez un receleur alors qu'il re­vendait son lot.     Le receleur, c'était le même qui, assis à ma table m'avait dit «mon frère, méfie-toi de ce gars, il a le mauvais œil».     "Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m'en charge !" .      ©Philippe X - 18/03/2020 .  
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vangoghs-other-ear · 5 years
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Au DD par PNL en anglais
Bats les couilles d'l'Himalaya 
I don’ give a shit about the Himalayas
Bats les couilles, j'vise plus l'sommet 
I don’t give a shit, I’m going for the top
Mon cœur fait "ouhlalala" 
My heart goes “Oh my god”
Crime passionnel que j'commets 
Passionate crimes I’m committing 
Sur ton cœur, j'fais trou d'boulette 
On your heart, I leave bullet holes
J'fais tache de sang sur le pull
leaving blood spots on your sweater
J'désire nullement vous connaître 
I don’t want to know y’all at all
Ni toi, ni ces fils de putes 
Not you or those sons of bitches
J'me tire d'ici si j'm'écoute 
I’m getting the hell out of here if I listen to myself
Sang corse mélangé bougnoule 
Mixed raced rag-head
La Lune, j'aime plus, j'vous la laisse 
I like going out at night more, but i’ll leave it to you
J'm'endors sous doré, sous gnôle 
I fall asleep covered with gold and booze
J'suis ni d'chez moi ni d'chez vous 
I’m not at my house or yours
Elle veut la bise, elle veut qu'j'la baise
  She wants to make out, she wants to fuck
J'connais la route, connais l'adresse
I know the street and the adress
J't'encule sur l'continent d'Hadès 
Suck my dick in hell
Sale comme ta neuch, mèche courte 
Dirty as your boring friend with a short fuse
Forte comme la ppe-f' qu'j'écoule 
Strong as drugs I let flow
J' tire la gueule , j'n'écoute
I look miserable, i’m not listening 
Que mon âme seule, mektoub 
I’m lonely, we know that
J'vis dans un rêve érotique 
I live in a wet dream
Où j'parle peu mais j'caresse le monde
Where I don’t talk much, just make love
J'meurs dans un cauchemar exotique 
I’m dying in an exotic nightmare
Où la Terre ressemble à ma tombe
Where the whole world looks like my tomb
Igo, pourquoi toi, tu parles en "igo" ? 
Man, why are you speaking like that?
Si ça s'tue, ouais, dis-moi qui signe 
If you kill yourself, tell me who’s fucking around
Pas d'honneur, toi, tu sens d'ici 
You don’t have honnor, you smell from here
WAllah, baba m'a dit : "Mon fils, nan, nan 
Great, Dad told me: “My boy, nah, nah
Toi, pas calculer ces pédales 
You’re moving too fast
Moi, j'ai donné pendant longtemps
Me, I take my time  
Puis, j'ai perdu mes pétales" 
Then I lose my petals”.
Au DD 
Pushing drugs
J'la passe, la détaille, la pé-cou, la vi-sser, des regrets d'vant ton bébé 
I'm moving on from the details, the places, the sex, my regrets about your baby
J'sors de chez toi, j'reprends ta voiture mal garée puis j'retire ton PV 
I leave your house, I repark your car and I take the ticket
J'recherche un billet, des affaires, des plans dans la planque, un peu trop peiné 
I’m looking a little too hard for a bank note, some business, plans in a stash
J'fais un bisou à mes cafards dans la cave du 6, les pectoraux gainés 
I kiss the cockroaches in the basement, working my pecs 
Les BACqueux té-ma parce que les ients-cli ne tomberont jamais sur messagerie 
The gang keep watch cause the clients never come across the messages
Eh, poto, démarre dans la jungle, j'y suis H24, j'y fais des singeries 
Hey, man, start in the jungle, I’m here at midnight fucking around
La rue, j'la dévale à toute allure avec du Gucci comme Mitch 
I’m flying down the street at top speed in Gucci like Mitch
J'me promène dans les beaux quartiers avec le seum qui fait peur aux riches 
I take a walk in the good neighborhoods angry enough to make the rich afraid
Que la famille, personne nous inquiète jusqu'au dernier gramme 
As for family, no one worries about us until the last gram
Toujours dans mon 9.1 parce que j'suis baisé par Paname 
Always in my neighborhood cause i’m fucked in the rest of the city 
Sans, sans, sans l'bénéf' de la rue, j'aurais jamais niqué le game (game, game, game) 
Without the good things on the street, I never would have ruined my game
Me sens pas trop humain, un peu comme mes igos habités, yah 
I think i’m too human, a little like my old friends, yeah
Y'a du sang à vider, yah 
There’s blood to spill, yeah
Au DD (DD, DD) deuxième degré , j'suis effacé, yah 
Pushing drugs to the second degree, i’m efficient, yeah
T'as reconnu le cri, igo t'es animal 
You recognized the cry, bro, you’re an animal
Mes rêves, j'connais le prix, le canon à ny-Ma
I know the price of my dreams  
Au DD 
Pushing drugs
Que la famille dans le bât', on te la push taille-dé 
Let the family in on it, we can get you the details
Pas mélangé, cœur d'étranger, rien n'a changé, yah 
not mixed, heart of a foreigner, nothing changes, yeah
C'qui doit arriver va arriver, yah 
What happens happens, yeah
C'est peut-être mon dernier album
This could be my last album  
P't-être ma dernière puta 
Could be my last fuck
P't-être mon dernier sourire de toi
Could be the last time I smile at you  
Dans mon unga, dans mon unga 
Pas plus de haine que d'amour, que j'largue entre mes tours 
In between my tricks I leave behind as much hate as love
Moins d'humains après minuit, je sors casser mon tour 
Less human after midnight I go out ditching my trick
Sur un nuage de l'Enfer 
On a cloud from hell
Viens, on s'casse, mon frère, avant qu'on s'perde 
Come on, man, before we psych ourselves out
Au DD 
Pushing drugs
J'la passe, la détaille, la pé-cou, la vi-sser, des regrets d'vant ton bébé 
I'm moving on from the details, the places, the sex, my regrets about your baby
J'sors de chez toi, j'reprends ta voiture mal garée puis j'retire ton PV 
I leave your house, I repark your car and I take the ticket
J'recherche un billet, des affaires, des plans dans la planque, un peu trop peiné 
I’m looking a little too hard for a bank note, some business, plans in a stash
J'fais un bisou à mes cafards dans la cave du 6, les pectoraux gainés 
I kiss the cockroaches in the basement, working my pecs 
Les BACqueux té-ma parce que les ients-cli ne tomberont jamais sur messagerie
The gang keep watch cause the clients never come across the messages
Eh, poto, démarre dans la jungle, j'y suis H24, j'y fais des singeries
Hey, man, start in the jungle, I’m here at midnight fucking around
La rue, j'la dévale à toute allure avec du Gucci comme Mitch
I’m flying down the street at top speed in Gucci like Mitch
J'me promène dans les beaux quartiers avec le seum qui fait peur aux riches
I take a walk in the good neighborhoods angry enough to make the rich afraid
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moon-girls-stories · 3 years
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SNK ○ Berthold Hoover x Reader :
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Synopsis :
Berthold et toi êtes ensemble depuis deux mois maintenant et tout le monde le sait dans la 104ème brigade d'entraînement. A vrai dire, vous ne vous cachez pas du regard des autres, aussi surprenant que cela puisse être. D'ailleurs, Shadis Keith, votre chef instructeur, se fait un malin plaisir à réduire votre temps en amoureux au néant le plus total. Cela fait que vous ne vous voyez que rarement si on ne compte pas les entraînements et donc peu de moment en amoureux sont partagés entre vous. Berthold fait part aux garçons que tu commences à lui manquer. De là se met en place un plan presque infaillible mis en place par Reiner lui même ! Le plan consiste à te faire passer une nuit avec Berthold dans le dortoir des garçons sans que Shadis ne s'en rende compte, sinon vous êtes tous dead. Un soir, Connie va t'intercepter dans un couloir proche de l'infirmerie dans laquelle tu avais été envoyé pour prendre des bandages et de la pommade de la part de Christa pour Ymir. Voilà comment tu te retrouves dans le dortoir des garçons !
○○○
Connie referme rapidement la porte derrière toi alors qu'il te tient toujours fermement la main dans la sienne. Il soupire alors de soulagement après avoir écouté quelques secondes contre le bois de la porte, à l'affut de n'importe quel bruit pouvant lui informer si quelqu'un les a vu. Tu le regardes sans vraiment comprendre mais tu ne dis rien, à vrai dire, Connie ne te fais absolument pas peur... Désolée Connie. Tu regardes finalement les autres garçons qui t'observent avec un grand sourire en voyant ta mine paumée.
-Mais qu'est-ce que... ? Commences-tu avant d'être coupé.
-Ne nous remercie surtout pas, p'tite tête. Te coupe Jean, ton meilleur ami et ton rival à la fois.
-La ferme tête de cheval. Claques-tu avec ta langue.
-Sale gamine. Râle-t-il.
-Tête de cul. Renchéris-tu.
-Fermez la vous deux, Keith va finir par venir à cause de vos chamaillerie ! Dit Eren avec un regard sévère, lui est aussi un bon ami mais aussi un grand rival, autant dire qu'entre toi, Jean et Eren la 104ème brigade ne pouvait s'ennuyer ! Sans compter Connie et Sasha...
-Qu'est-ce qu'il nous veut le suicidaire ?! Tonnez-vous avec Jean en chœur.
Marco vient poser une main sur l'épaule de Jean et la tienne, vous vous retournez d'un même mouvement vers lui alors qu'il vous offre un doux sourire. Tu te calmes instantanément en rougissant un peu, Marco est ton confident, l'un des seul a vraiment avoir le pouvoir de te calmer. Jean remarque tes rougissement et vient tirer tes joues à l'aide de ses doigts pour t'embêter, te faisant râler.
-T'es trop mignonne, p'tite naine. Rit-il.
-Jean ! Lâche mes joues... Tu me fais mal imbécile.. ! Te défends tu comme tu le peux sous les ricanements des autres qui vous regarde.
-Si tu souffres pour ça, tu vas pas faire long feu dit moi.. Heureusement que je suis là pour te sauver la mise. Se vante-t-il en te tapotant le dessus de la tête alors que tu lui jettes un regard noir.
-Dit celui qui c'est couché au sol après un coup de Keith. Dis-tu en le jugeant du regard de haut en bas, l'agaçant un peu.
-Tais toi, sale gosse. Finit-il par dire en détournant le regard.
Il la pousse sur le lit, tu lui lances un regard noir avant d'entendre des pas venant de l'extérieur du dortoir. Mes garçons semblent l'entendre quelques secondes plus tard. Jean, Marco et Connie te planque dans le coin de plus sombre du lit avant de se mettre debout devant le lit afin de te cacher. Tout le monde fait le salue militaire alors que tu te ratatines silencieusement dans le coin du lit, une main sur ta bouche pour t'empêcher d'éclater de rire. Tu devines alors que c'est Keith, l'entendant marcher entre les soldats masculins et le faire un débrief sur la journée de demain comme il l'avait fait une trois quart heure plus tôt dans le dortoir des filles. Une fois qu'il quitte définitivement la chambre tous se relâchent d'un seul coup, certains soupirant afin de faire disparaître la nervosité de leur corps. Tu n pus te retenir plus longtemps et explose de rire, attirant leur regard à tous. Jean essai de te coller une tape derrière la tête mais tu l'esquives et grimpe rapidement dans le lit de Reiner et Berthold se situant au dessus d'un autre lit. Tu t'allonges finalement de tout ton poids sur le brun et le blond avant de les regarder avec un grand sourire, qu'ils te rendent.
-Et bah.. Vous avez eu chaud dites moi ! Ris-tu.
-Tout ça pour que vous puissiez dormir ensemble... Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour notre couple fard... Dit Reiner avec un sourire en coin en roulant grossièrement les yeux au ciel.
Avec Reiner, le courant est tout de suite passé entre vous deux, il te surprotège un peu durant les entraînements mais tu sais quand le remettre à sa place, d'ailleurs Annie et Berthold te sont d'une grande aide lorsque tu n'arrives pas à résonner le grand blond, te servant de grand frère.
-Vous ne pouvez rien me refuser, vous m'adorez. Te vantes-tu comme à ton habitude.
-Ne pense pas être privilégière. Gronde Reiner, tentant de dégonfler ton égo, en vain.
-Ne le suis-je pas ? Demandes-tu avec des yeux doux en sa direction, lui faisant détourner le regard et fait sourire Berthold face à ton petit cinéma.
-Peut-être un peu. Avoue Marco en souriant dans votre direction, tu prends un sourire franchement fière d'être leur petite favorite. Tu allais parler mais Jean te coupe de nouveau.
-Berthold fait taire ta copine, elle braille trop. Se plaint-il sous ton regard dédaigneux.
-Va dans tes écuries, toi. Craches-tu toujours avec le même regard.
Jean te fait un doigt d'honneur alors que tu fais mine d'être choquée. Avant que tu puisses répondre, Berthold t'embrasse doucement les lèvres. Tu réponds au baisé et pose délicatement tes doigts sur la ligne de sa mâchoire. Tu demandes l'accès à sa bouche mais il coupe le baisé avec un fin sourire. Tu fronces les sourcils, frustrée qu'il ait coupé votre embrassade si tôt. Il montre d'un léger mouvement de tête les garçons qui faisaient soit des grimaces  soit des regards envieux. Qu'est-ce qu'ils donneraient pour avoir le droit à l'amour d'une femme eux aussi...
Tu rougis furieusement avant de cacher ton visage dans son cou, le faisant légèrement rire, un son rare et que tu aimes tout particulièrement entendre.
-Bon.. Je vous laisse, évitez de prendre tout e lit. Dit Reiner en se redressant.
-Mmh... Fredonnes-tu en signe d'accord.
-Pas de problème. Acquiesce Berthold.
Le grand blond s'apprête à descendre du lit mais tu le retiens par la manche de son t-shirt après t'être rapidement redressé. Tu viens lui embrassé doucement la joue, le surprenant un peu et le faisant rougir? Il te regarde sans comprendre ton geste, attendant surement des explications.
-Merci d'avoir organisé ça. Lui dis-tu finalement avec un sourire pleins de gratitude.
-Comment tu... Demande-t-il toujours plus surprit.
-Toi et Berthold êtes si prévisible... Je n'ai qu'à vous observer pour pouvoir comprendre vos intentions. Expliques-tu.
-Tout nos intentions ? Questionne-t-il avec un air bien trop sérieux qui te prend au dépourvu le temps d'une seconde.
-Il ne faut pas abuser non plus, je ne suis pas devin Reiner ! J'ai beau être merveilleuse et pleine de qualité je ne possède pas la clairvoyance ! Ris-tu alors en fermant les yeux, un grand sourire amusé aux lèvres.
Il te regarde peu amusé mais tout de même rassuré. Il dévit ses yeux sur Berthold quelques secondes, ce dernier a un regard dur posé sur lui, le défendant de faire quoique ce soit à la jeune femme qu'il aime. Reiner finit par te sourire et t'ébouriffe affectueusement tes cheveux [C/C].
-On a de la chance d'avoir rencontré quelqu'un comme toi. Conclut-il avec un sourire bienveillant, bien que tu puisses déceler un lueur ressemblant un une pointe de regret dans ses yeux ambré.
-Ah.. Bien sûr que vous avez de la chance ! Je suis la meilleure des meilleures ! Taquines-tu.
Il te fait une pichenette en plein milieu du front, te faisant geindre de douleur. Il sourit et descend afin de te laisser tranquillement avec ton amoureux. Ce dernier se redresse et attrape tes hanches avant de vous faire basculer en arrière. Il inverse vos positions et commence à t'embrasser amoureusement, te surprenant un peu mais tu réponds tout de même. Passant tes petites mains sur sa nuque avant de mêler tes fins doigts dans ses cheveux brun. Il demande alors l'accès à ta bouche mais tu coupes à ton tour le baisé. Il te regarde perdu et frustré.
-A charge de revanche, mon cher ! Ris-tu de sa mine déconfite.
-[T/P]... Soupire-t-il avec un air suppliant, ne voulant absolument pas jouer ce soir.
-Dit moi, tu as l'air très impatient ce soir, toi... Souris-tu, heureusement de lui avoir manqué autant qu'il t'est manqué à toi.
-Ne dit pas n'importe quoi... Répond-il en rougissant et en détournant le regard.
Tu remarques alors que quelque chose à l'air de le tracasser, mais tu ne trouves pas ce que cela pourrait être.
-He.. Est-ce que ça va ? Demandes-tu en gardant quand même le sourire.
-Est-ce que tu as réfléchi à quelles brigades tu veux faire partie ? Demande-t-il alors de but en blanc.
Tu soupires en fermant les yeux avant de les rouvrir et de voir son visage inquiet sur lequel tu poses tes mains. Tu caresses ses pommettes de tes pouces.
-Je ne serai sûrement pas dans les dix premiers donc oublie l'idée que je vienne avec toi aux brigades spéciales. Le bataillon d'exploration est tentant et dangereux, je ne suis pas sûre d'y faire long feu. Mais d'un autre côté dans la garnison, je risque fortement de me retrouver face au colossal ou au cuirassé, et bien qu'ils soient fascinant de loin, je préfère rester de loin. Ils ne feraient qu'une boucher de moi.... Soupires-tu, ne décrochant pad de son regard. Conclusion : Je ne sais pas, peu importe où je vais j'y mourrai sûrement dans d'atroce condition.
Berthold garde le silence quelques secondes avant de te regarder sérieusement.
-Choisi la garnison. Exige-t-il alors, te surprenant.
Tu ris un peu sous son regard plus que sérieux et inquiet.
-Hey... Qu'est-ce que tu me fais là ? Demandes-tu avec un sourire rassurant.
-Rien... Je.. Bafouille-t-il, ne sachant comment t'expliquer la situation réelle.
-Déstresse chéri, je suis là et je resterai là pour toujours. Le rassure tu alors que tu le voyais dans la détresse.
Il se calme alors avant de plonger ses yeux bleu-vert dans les tiens.
-Je t'aime [T/P] [T/N]. Avoue-t-il alors te faisant sourire.
-Je t'aime aussi Berthold Hoover, de tout mon cœur. L'embrasses-tu.
Vous vous embrassez de nouveau, plus intensément que vous n'en aviez l'habitude, vous transmettant tous les sentiments que vous portez à l'égard de l'autre.
Reiner vous observe avec une certaine tristesse, sachant que quand le moment de présentera ces deux là n'auront plus aucune chance d'être réunni... Cette idée ne le rend pas plus heureux que Berthold ou Annie. A vrai dire, il aimait beaucoup le [C/C], la considérant comme un véritable membre de sa famille, comme la sœur qu'il n'a jamais pu avoir. Il n'a ni envie de la trahir, ni envie de lui arracher Berthold mais il sait qu'elle souffrira un jour ou l'autre à cause d'eux.
-Je suis content pour [T/P] et Berthold. Déclare alors Eren en jetant un coup d'œil en leur direction.
-Oui, ils se sont bien trouvé ces deux là. Ajoute Armin avec un sourire.
-Mouais... Ronchonne Jean, se prenant un sourire moqueur de la part de Connie.
-Oh allez, Jean ! Tire pas cette tête tu trouveras la femme de ta vie toi aussi ! Le taquine le rasé.
-Si tu crois que je suis jaloux de Berthold, tu te trompes. Je me demande juste comment une p'tite chieuse comme elle a pu trouver quelqu'un... Avec son caractère de merde en plus... Continue-t-il à râler sous les sourires moqueurs de ses amis.
-Elle est juste plus méritante que nous. Dit alors Eren.
-Oui, elle n'est pas très forte mais elle fait toujours en sorte de venir en aide à ceux qui en ont le besoin. Elle maintient un lien fort entre chacun de nous, empêchant les tensions et favorisant notre esprit d'équipe ainsi que notre survie. Sans elle, je ne sais pas si on serait aussi soudé. Explique le petit blond aux yeux bleu, recevant des acquiescements de la part des autres.
-Nous le serions sûrement mais pas autant. La vérité est qu'on a tous un but commun : la protéger et lui assurer sa survie, c'est ce qui fait que l'on soit si soudé. Déclare Reiner.
-Tu as raison. Malgré son fort caractère, elle se montre aussi douce et fragile face à une force brute... Confirme Marco.
-Il faut la faire rentrer dans les brigades spéciales. Affirme Jean avec un air sérieux.
-Mais elle n'a pas le niveau. Et puis je doute qu'elle irait là bas même en ayant le choix. Coupe Armin avec un air soucieux.
-Pourquoi pas la Garnison ? Propose le jeune homme aux tâches de rousseur.
-C'est ce que Berthold et moi souhaitons qu'elle choisisse. Mais personne n'aura un œil sur elle. Je n'aime pas ça. Avoue Reiner.
-Alors je l'a forcerai à entrer dans les brigades spéciales avec Marco et moi. On pourra surveiller et prendre soin de cette chieuse. S'exclame Jean avant de reprendre. Et puis, Berthold veut aussi intégrer les brigades spéciales n'est-ce pas ?
-Oui, c'est ce qu'il dit. Acquiesce Marco. Dans ce cas, il faut l'entraîner pour qu'elle puisse atteindre les dix premiers. Finit-il avec un sourire.
-Ouais, on a du boulot.. Soupire Reiner.
-Men parle pas, j'en ai déjà mal au crâne. Elle va être insupportable ! Se plaint déjà Jean alors qu'Eren acquiesce à ses dires.
Le petit groupe de garçon continu à parler tranquillement à l'autre bout du dortoir sans dérangé le couple qui se câline tendrement.
Tu caresses doucement le cuire chevelu du géant alors que celui-ci à la tête posé contre ta poitrine, ses grands bras enroulés autour de ton ventre. Il lutte contre le sommeil qui prend peu à peu possession de lui, les caresses ne l'aidant absolument pas dans sa bataille. Avec ses dernières forces, il se redresse pour t'embrasser amoureusement, mêlant sa langue à la tienne. Vous finissez par vous séparer à bout de souffle. Tu lui embrasses finalement tendrement le front alors qu'il ferme les yeux, profitant de l'instant. Lorsque tu détaches tes lèvres de lui, il plonge son visage dans ton cou, embrassant celui-ci de baisés plus ou moins appuyés. Il finit par trouver une zone plus sensible, te faisant murmurer son prénom. Un peu honteuse, tu pinces ta lèvre inférieur afin d'éviter de nouveau son incontrôlé. Le brun se met alors à sucer cette même parcelle de peau, faisant apparaître une marque allant du rouge au violet. Tu tires légèrement sur ses mèches de cheveux, le faisant grogner contre toi. Tu ne pus retenir quelques soupires d'aise franchir tes lèvres. Lorsqu'il s'éloigne pour observer son œuvre, tu reprends un semblant de souffle normal. Il te sourit avant de t'embrasser le front et de se reposer contre ta poitrine, soupirant de bonheur et ne pensant à rien d'autre qu'au moment présent, bercer par les battement de ton cœur. Tu lui embrasse une dernière fois le sommet de son crâne avant de reprendre tes cajoleries.
-Bonne nuit, fait de jolie rêve... Lui murmures-tu alors que tu le vois s'endormir.
○○○
Bonus :
Le lendemain matin au mess lors du petit déjeuner, tu rejoins la table des filles avec un sourire rayonnant. Christa et Sasha t'offrent un grand sourire alors qu'Ymir te fait un clin d'œil, Mikasa, elle, se contente de faire un sourire plus discret. Tu t'installes aux côtés d'Annie qui te regarde avec insistance.
-Hum.. Annie , Tout va bien ? Demandes-tu un peu mal à l'aise.
-Plus jamais je ne me déguise en toi pour te couvrir. Dit-elle froidement.
-Attend... Toi aussi tu étais dans le coup ?! C'est toi qui a prit ma place ?! T'exclames-tu avec une surprise non dissimulée.
-J'ai perdu à la courte paille. Explique brièvement.
Tu acquiesce avec un peu de surprise. C'est vrai que tu es proche de la blonde, d'ailleurs tu es bien la seule... Mais tu ne t'attendais pas à ce qu'elle fasse cela pour toi. Tu finis par la remercier avec un grand sourire. Alors que tu te mets à manger tout en discutant joyeusement avec Christa, Sasha et Ymir, tu ne vois pas Annie, Reiner et Berthold échanger un sourire avant de t'observer avec bienveillance.
Tu plaisais énormément aux trois guerriers, bien plus qu'ils ne l'auraient voulu.
Fin.
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yes-bernie-stuff · 4 years
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Livre d'Isaïe 7,10-14.8,10b.
En ces jours-là, le Seigneur parla ainsi au roi Acaz :« Demande pour toi un signe de la part du Seigneur ton Dieu, au fond du séjour des morts ou sur les sommets, là-haut. »Acaz répondit : « Non, je n’en demanderai pas, je ne mettrai pas le Seigneur à l’épreuve. »Isaïe dit alors : « Écoutez, maison de David ! Il ne vous suffit donc pas de fatiguer les hommes : il faut encore que vous fatiguiez mon Dieu !C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : Voici que la vierge est enceinte, elle enfantera un fils, qu’elle appellera Emmanuel,car Dieu est avec nous. »
Psaume 40(39),7-8a.8b-9.10.11. Tu ne voulais ni offrande ni sacrifice,tu as ouvert mes oreilles ;tu ne demandais ni holocauste ni victime,alors j'ai dit : « Voici, je viens. « Dans le livre, est écrit pour moice que tu veux que je fasse.Mon Dieu, voilà ce que j'aime :ta loi me tient aux entrailles. » J'annonce la justicedans la grande assemblée ;vois, je ne retiens pas mes lèvres,Seigneur, tu le sais. Je n'ai pas enfoui ta justice au fond de mon cœur,je n'ai pas caché ta fidélité, ton salut ;j'ai dit ton amour et ta véritéà la grande assemblée. Lettre aux Hébreux 10,4-10. Frères, il est impossible que du sang de taureaux et de boucs enlève les péchés.Aussi, en entrant dans le monde, le Christ dit : ‘Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m’as formé un corps.Tu n’as pas agréé les holocaustes ni les sacrifices pour le péché ;alors, j’ai dit : Me voici, je suis venu, mon Dieu, pour faire ta volonté, ainsi qu’il est écrit de moi dans le Livre.’Le Christ commence donc par dire : ‘Tu n’as pas voulu ni agréé les sacrifices et les offrandes, les holocaustes et les sacrifices pour le péché’, ceux que la Loi prescrit d’offrir.Puis il déclare : ‘Me voici, je suis venu pour faire ta volonté.’ Ainsi, il supprime le premier état de choses pour établir le second.Et c’est grâce à cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande que Jésus Christ a faite de son corps, une fois pour toutes.
Luc 1,26-38. En ce temps-là, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth,à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie.L’ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. »À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation.L’ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu.Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus.Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ;il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n’aura pas de fin. »Marie dit à l’ange : « Comment cela va-t-il se faire puisque je ne connais pas d’homme ? »L’ange lui répondit : « L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu.Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu’on l’appelait la femme stérile.Car rien n’est impossible à Dieu. »Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m’advienne selon ta parole. » Alors l’ange la quitta. © AELF, Paris Ton Créateur lui-même s’est fait ton Époux Réjouis-toi et sois dans l’allégresse, ô Marie, car tu concevras d’un souffle. Réjouis-toi, car tu seras trouvée enceinte de l’Esprit Saint. Tu étais bien l’épouse de Joseph, mais l’Esprit Saint te saisit le premier. Celui qui t’a créée, t’a marquée et t’a réservée pour lui. Ton Créateur lui-même s’est fait ton Époux ; il est devenu amoureux de ta beauté. Et c’est ce Créateur lui-même qui t’appelle en disant : « Viens, mon amie, ma belle, ma colombe, car déjà l’hiver est passé et s’en allé. Viens. » (cf. Ct 2,11.14) Il a convoité ta beauté, il désire s’unir à toi ; il ne souffre pas de retard, il a hâte de venir à toi.Lève-toi donc, revêts-toi des vêtements de ta gloire, orne-toi de tes bijoux les plus précieux, car le Seigneur s’est complu en toi. Lève-toi à la rencontre de ton Époux et de ton Dieu, et dis-lui : « Voici la servante du Seigneur. » (Lc 1,38) Hâte-toi, ne tarde pas, car lui ne tardera pas, mais il sautera comme un géant pour fournir sa course. Toi aussi, hâte-toi ; oublie ton peuple et la maison de ton père ; accours à sa rencontre pour être baisée d’un baiser de la bouche de Dieu, et pour être plongée dans ses bienheureux embrassements.« L’Esprit Saint surviendra en toi » (cf. Lc 1,35), pour qu’à son contact tes entrailles frémissent, pour que ton sein se gonfle, que se réjouisse ton cœur et que s’épanouissent tes flancs. Sois glorifiée, c’est-à-dire grandie davantage, toi qui seras comblée d’une telle douceur, qui seras digne d’un baiser si céleste, qui seras unie à un Époux si grand, qui seras fécondée par un tel mari !
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nightmareiscoming · 7 years
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PETITS CULS ET AUTRES ANECDOTES.
Le mois de septembre, la fin des vacances, le retour au rythme plus soutenu du travail... Mes petits chéris, je vois que vous n'avez pas perdu l'habitude, et que vous êtes toujours aussi enclins à me donner de quoi me régaler. Je ris d'avance. De retour sur le droit chemin, et évidemment vous excellez toujours dans les mêmes domaines : le sexe, la violence gratuite, et le sexe. Et vous savez quoi, pour commencer en beauté cette fois-ci, j'ai envie de parler de cul ! De parler de tous les culs, toutes sortes de culs, dans tous les sens et toutes les positions, le cul à peu près doux et le cul bestial. Bref. Le cul. Le cul de Brooke qui a été si tendrement malaxé par Colton. Je ne compte pas perde de temps à blablater sur les histoires du couple McCarthy, on est tous d'accord pour dire que ça devient chiant. Mais Brooke chérie, j'espère que ton petit cœur ne va pas trop mal, après t'être offert la partie de jambes en l'air de ta vie, avoir découvert la sensualité, et avoir développé de drôles d'émotions vis-à-vis de ce cher Colton. N'oublie pas, il est marié, et il a l'air de tenir fort à sa femme malgré tout. Ton petit cœur va-t-il s'en remettre ?
Le deuxième petit cul dont je vais traiter... c'est le tien, Bryan. De belles fesses musclées qui méritent bien d'être exposées, pas vrai ? Heureusement, on va pouvoir admirer cette œuvre d'art dans le club au sous-sol du Carlson, une fois par semaine, dans un petit string si possible beau gosse. Parce que oui, tu as réussi à te faire embaucher pour quelques heures d'effeuillage. On se demande bien si tu es y parvenu de façon traditionnelle... ou si tu as du offrir quelques extra à Mlle Anteynara Carlson pour qu'elle veuille bien de toi. En tous cas, j'ose imaginer que tu es un bon investissement, vu le succès de tes fesses en ville. Jordan, par exemple... Chris, avec qui tu t'es lancé dans une expérience sado-masochiste mémorable... Parce que là, le petit cul de Chris, il mérite aussi son paragraphe. On dirait que ces temps-ci, ta sexualité est le centre d'une polémique assez énorme qui touche ton entourage tout entier. Est-il gay ? Bi ? Se fait-il des films... ? A croire que tes proches se sont lancés dans une chasse au trésor pour tenter de découvrir ta vraie sexualité. Perso, ça me ferait chier. Alors oui, c'est sûr qu'on a été, ces derniers temps, en mesure de te trouver dans divers lits, avec toutes sortes de compagnies... C'est un peu comme au centre commercial, tu me diras, il faut bien essayer avant d'acheter ! Après Mike, Bryan, tes visites régulières dans une maison close... Ton pote Lukas a l'air tellement confus qu'il a rejoint une association LGBT, peut-être en pensant y trouver la solution, ou une connerie du genre ? Ou y ramasser quelqu'un d'à peu près stable à te présenter ? Il y a aussi Zoey, qui a l'air d'avoir un sérieux problème avec tes nouvelles habitudes. Tu vois Chris, je crois que Zoey est vraiment gênée par le fait que tu puisses avoir envie de te faire remplir le cul. Ca se voit, ça se sent, et elle serait prête à beaucoup pour te prouver que tu aimes toujours les femmes. Tu devrais lui demander si tu peux te vider les couilles en elle, la pauvre risque encore de dire oui. Mais fais attention quand même, ce serait bien le genre à ne pas accepter un verdict qu'elle serait incapable de comprendre. Elle risque bien de te jeter si tu ne te conforme pas aux règles de son petit univers à elle. Amie de confiance, ou garce bornée et conservatrice ?
Le dernier petit cul auquel je vais rendre hommage, c'est celui de Sawyer « Lapinou » Regan ! Tu vois, moi je me ferais une joie de t'appeler ainsi en ayant ta queue entre mes cuisses... faut croire qu'Emma n'a pas été aussi joueuse. Ou toi pas assez convaincant. J'ai beaucoup entendu parler de toi, mais je suis extrêmement déçue, tout comme mon cher et tendre XIII. Mais ce n'est pas très grave, je sais des choses sur toi qui sont plutôt intéressantes et assez drôles aussi. Je sais par exemple que ton rêve, c'est de baiser un cadavre. La chair puante, ça t'excite, pas vrai ? Je crois que ce n'est pas très flatteur pour l'hygiène intime d'Emma ça, d'ailleurs... Mais passons. Tu croyais être dans ton intimité, la nuit, une main autour de ta queue à t'imaginer t'enfoncer dans un corps froid et rigide ? Tu lui chuchoterais quoi à ton cadavre ? « Appelle-moi Lapinou » ? Ah, on rit.
Mais assez parlé de fesses. Parlons de Geane. Ou plutôt de son entourage en cours de ramollissement. Ce n'est pas la joie pour les hommes de sa vie, ces derniers temps, et il semblerait qu'ils soient tous en train de... dépérir, faner. Devenir des sortes de mollusques chiants à mourir. Sebastian, par exemple, qui depuis une tentative pitoyablement drôle de demande en mariage, s'est retranché loin du monde pour préserver le peu de fierté qui lui restait. Pauvre petit, tu as bien essayé d'attirer l'attention en vendant des cachets à Joe, histoire de lui faire passer son bobo à l'épaule, en espérant peut-être trouver en elle l'habitat parfait pour faire hiberner ta queue pendant quelques temps ? Quant à l'autre homme inséparable de Geane, j'ai nommé Noah, disons que le pauvre petit vit une période difficile. Après t'être fait jeter par ta meuf, voilà que ton toutou est à l'article de la mort. Pas de chance, triste vie. En tous cas, tu as largement perdu en saveur, t'étant transformé en loveur, mec sensible, artiste incompris et mélancolique. On sait pas trop, mais un truc du genre. Assis au piano avec un air triste sur le visage, pour soigner tes petites peines de cœur, après t'être fait larguer comme une merde, après avoir appris que ton chien allait crever. T'as pensé à lui composer un requiem ? Ce serait vraiment pas mal, et ça donnerait de la crédibilité à ton rôle d'artiste souffrant. Pense-y babe. Et pour finir, procure-toi une corde et finis-toi avec, ça fera un loser de moins dans cette ville !
En parlant de loser, il faut quand même évoquer James. James et son choix en matière d'entourage féminin. C'est assez drôle pour le père de l'année d'être entouré de femmes qui n'éprouvent pas le moindre sentiment positif envers son gamin. Comme sa nouvelle sœur, Anteynara. Il paraît ma belle que tu as initié Logan à l'art du meurtre et à la conservation de cadavres dans un congélateur ? Tout ça parce que ton frère n'est pas capable d'assumer son rôle de père, et s'est vu forcé de te confier son gamin. Mais bon, visiblement, s'en débarrasser est un de ses besoins primaires et il a l'air de te faire confiance, c'est plutôt flatteur... Tu es loin d'être la pire, de toute façon. Il y a aussi toi, Elisha. Tu n'as jamais caché à ton petit ami adoré que les enfants, ce n'était pas ton truc. Non, tu as été honnête là-dessus. Ce sur quoi tu ne l'as pas été par contre, c'est la raison. Tu as bien gardé pour toi cette histoire : enceinte à 22 ans, devenue mère, et forcée par ta propre mère et le père du bébé de te débarrasser du gamin. Est-ce que tu as cherché à retrouver ton gosse ? Jamais. Tu te demandes parfois peut-être ce qu'il est devenu, s'il vit toujours, s'il est heureux ou s'il a fini dans une famille monstrueuse, battu et baisé par son père ? Est-ce que tu te sentirais coupable ? Que de questions intéressantes. Dommage que tu ais décidé de disparaître de la surface de la Terre. Au bon moment, il faut dire. Quel timing.
Mais bon... une fois de plus, mes petits culs à la crème, vous n'avez pas été foutus de jouer le jeu. Pourtant, je ne pensais pas être très exigeante. Mais je prends note, et la prochaine fois, ce sera bien pire. Je pense qu'il est temps d'arrêter d'être gentille et de passer aux choses sérieuses. En attendant, profitez de la vie, des petites joies, et essayez de ne pas trop vivre dans la crainte. Je vous retrouve très prochainement mes amours.
N.
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Memories 2
Alors c'était fait. Nous avions été présentés. Alors je traquais sur Facebook les events auxquels je serais susceptible de te voir, et j'ai découvertune private party de ton groupe au Lexington. Je suis arrivée avec Marie et Cookie, à et la porte, à l'étage il y avait un vigile qui demandait un mot de passe.
Merde... J'ai regardé Marie, j'ai regardé Cookie, j'ai regardé le vigile, et j'ai dit:
-Euuuuuh... Atchoum Chochol?
Il nous a laissé passer. Ouf! J'étais déjà assez pompette, et malheureusement je ne me rappelle pas grand chose de la soirée, à part que je suis montée sur un vélo qui était appuyé contre le mur.
Du temps à passé.
J'avais une nouvelle collocataire, Kimmy. On s'ennuyait un samedi. J'ai posté un statut sur Facebook (encore mais qu'est ce que vous voulez, c'est la nouvelle technologie) en demandant ce que les londoniens faisaient ce soir là. Je plaisantais avecKimy, lui disant que tu allais peut-être dire quelque chose.
Bingo! Je n'en croyais pas mes yeux! -Kimmyyyyyy il a commenté!!!
-noooon
-si!!! Tu avais juste dit “party at ours” mais alors. Est-ce que ça voulait dire que tu m'invitais ou que simplement c'est ce que tu faisais ce soir???
J'ai répondu “Sounds good”, pour avair l'air cool et pas trop hystérique, cool cat. Je t'ai envoyéun message en demandant ton adresse, tu as répondu
-Really? :)
-Yeah!
Tu as donné ton adresse (pardon je ne m'en rappelle plus), et avec Kimmy, on s'est Pomponnées. J'ai mis ma robe noire Américan Apparel en velours, la courte avec le dos nu,et j'ai bien mis du volume dans mes cheveux. Une vraie lionne.
Bon alors, on devait amener de l'alcool, par politesse. Nous sommes donc allées au Off Licence d'à côté, et on s'est un peu cassé la tête. Finalement, comme on s'est rappelé qu'on était chez les anglais, on a pris de la piquette, Echo Falls rouge qui pique. Il me semble qu'on a pris du Coca aussi. Je sais plus.
On a pris le métro, c'était en Novembre, on se les gelait, forcément on a pas pris un racourci, et puis on est arrivé.
Aïe
Le trac
Je sonne. La porte s'ouvre, c'est toi! Tout fringuant
-You made it!
-eeerrrrhhh yeah, got some wine here
Tu me rendras toujours timide dude! Tu nous as fait rentré, je sais plus pour Kimmy, mais tu m'as fait un hug que je n'oublierai jamais.
On a dit Hi à tout le monde, et alors là... Quel hôte! Tu nous as fait un super tour guidé de la maison! Jusqu'au grenier! En finissant par ta chambre. Pour être honnête, ta chambre c'était un peu le shithole. C'était le bordel, t'avais un matelas une personne par terre, et c'était minuscule. Un placard. Direct, tu m'as tout montré sur ton bureau: MDMA, cocaïne, weed, whisky, et il fallait que j'y aille tout de suite. Je je prenais pas de drogue avant. J'ai fait semblant. Laura Palmer style! J'ai dit
-Euuuh coke!
Il m'a tracé une ligne, ça m'a fait bizarre. J'ai un peu menti, c'était pas ma première ligne. J'ai sniffé de l'héroine des années avant ça. Mais c'est tout.
-thanks, I'll have some whisky as well!
J'ai fait la connaissance de tes flatmates, Bill, ton frère Willy et sa copine Sweetie, et puis tes amis Edward, sympa, et puis Poppy, qui avait l'air super froide de soir là... Je me suis dit ben merde alors, elle ne se souvient as de moi? Ha well, whatever... Je suis montée, déja bien éméchée, et j'ai un peu parlé à Sweetie, qui a hurlé
-OMG look at that sweetheart, she is so awesome, I love her!!!
J'étais flattée, mais un peu gênée d'attirer l'attention comme ça... Je suis allée dans ta chambre, et j'ai eu le droit à la ligne de MDMA cette fois. Je me suis servie un autre whisky et me suis assise avec les autres, par terre. Je discutais avec Edward. Edward, il devait avoir 45 ans, un truc comme ça. C'est un prof. Bref, j'étais super high et je lui ai dit en te pointant du doigt “I really like your friend there”
-Ho he's single!
-reallyyyy?
Et puis il t'a regardé en ne pointant du doigt “her! She like you!
-no no noooo shhhhh”
Après, tu m'as montré ton vinyl de la Bo de Blue velvet. J'ai dit
-yeaaah everyone says I look like Laura Dern
-well, everyone says I look like Kyle MacLachlan
-naaaaah
I can be a real bich sometimes. J'ai regardé l'heure et j'ai dit:
-OMG we missed the last train!
-ha you can crash here
-thanks mate, yeah!
Ça a continué, la drogue, l'alcool, les anglais super fun, et puis j'ai vu un tableau sur le palier. Omg. Un portrait de chienchien, j'ai explosé de rire! Tu m'as dit: “ya like it? My bother painted it!
-ha yeah, it looks amazing”
On est retourné dans ta chambre, j'ai parlé avec tes potes. J'étais gentille avec tout le monde, mais ton pote black ne m'aimait pas, et ça me rendait triste, MDMA, why are you playing with my feelings?
J'ai pris plus de coke. Et puis j'ai vu que Kimmy a grimpé sur tes genoux, et ça m'a rendu furieuse. J'ai dit à Edward “heeeyyy I don't like that!
-Hey F! She doesn't like it come on!”
Merci Edward! Tu as viré Kimmy de tes genoux.
Tu as dit “your glass is empty!
-oh yeah, fuck!”
je t'ai présentémon verre et tu l'as REMPLI de whisky
-héééé hééé oh laaa you wanna make me drunk???
-yeah!
-fair enough!
J'ai quitté ta chambre comme une biatch avec ma pinte plaine de whisky, j'ai déambulé dans ta maison, et puis je sais pas pourquoi, je me suis appuyée contre le mur du hall d'entrée, et j'ai chécké mon téléphone, sans vraiment le regarder, tellement j'étais high. Je t'ai vu descendre les escaliers et venir vers moi. Moi j'étais dans mon truc. Tu m'as dit: “what are you doing? You're leaving???
-no, I'm checking my emails from uni and...”
Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase, tu m'as attrappé la tête pour m'embrasser, longuement. J'étais choquée, j'ai écarquillé les yeux. Puis tu m'as regardé l'air content de toi, j'ai ouvert grand la bouche de surprise, et j'ai souri. Tu étais plein de rouge à lèvres, on aurait dit un clown. J'ai essayé de l'effacer, tu as dit “No, leave it, come with us now” tu m'a trainé par le bras dans sa chambre, avec... son pote black qui m'aime pas...
Coke
Je suis descendue, presque tout le monde s'en allait. Je suis remontée, de nouveau seule avec toi, sur le palier. Tu m'as regardé avec ton regard cochon irrésistible, et on s'est roulé une pelle. De nouveau plein de rouge à lèvre et moi messy. Les gens commencent à nous regarder et à dire omg wtf haha!
Après, on s'est réuni dans ton salon. Coke, MDMA, weed, music tapes. Je me suis assise avec Kimmy sur le canapé. Bill ton colloc était là. Je suis désolée, mas j'ai aussi roulé une pelle à Bill en fumant un pétard dehors.
Bref.
Tout le monde est soit rentré chez soi/en train de dormir partout. Kimmy était avec moi, je voulais être seule avec toi. “Kimmy, je crois que Bill il te kiffe
-naaaan
-siii dépèche-toi, il est parti dans sa chambre!”
Et elle est partie. Je t'ai cherché, tu descendais les escaliers... En débardeur, trop la fête. Tu m'as fait signe de te suivre et on est arrivé dans ta cuisine. Je t'ai attrapé par les cheveux et t'ai embrassé. Nous nous sommes serré l'un contre l'autre, ça devenait torride. Et puis tu m's dit, en regardant par terre: “my friend is sleeping in my bed... People are sleeping in the living room”
Je ne pouvais pas supporter cette frustration. Je t'ai regardé et t'ai entrainé vers le sol. “Let's do it here”
Tu n'as pas refusé. Ça faisait longtemps que je n'avis pas baisé... Tu t'es allongé sur moi, et quand je t'ai senti me pénétrer, j'ai eu des frissons... ça a duré super longtemps. Si on nous voyait, je m'en fichais.
On a dormi tous les deux sur un canapé... Enfin avec toutes les drogues j'ai pas réussi à dormir. J'ai refusé de prendre le petit dej dehors avec eux, parce que j'avais une tête de déterrée et je n'étais pas chaude pour l'English breakfast là, comme ça. Mais quelle nuit!
Laura
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