#j’irai dormir chez vous
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Hello,
I just saw an article talking about how Antoine de Maximy (j'irai dormir chez vous) has been closely monitored by the algerian police during his broadcast in Algeria. I read many people comparing Algeria to North Korea since (and they take great care not to talk about the one who hosted him, Mr Daoud, and his great hospitality and the kindness of those he interacted with, but anyway)
I wonder why he was monitored though? Was it because it's a French show?
I haven’t read about it, but if it did happen it’s most likely because French journalists have been known to go to Algeria and stage fake bullshit in order to give a bad image of the country. (They do the same now in the French “ghetto” they stage fake crap in there to give a bad image of Black and Brown people.)
So now in Algeria it’s harder for French shows to get everything to be allowed to filmed. Cause they either don’t allow French shows to film in Algeria at all or for they accept but have the people monitored by the authorities.
Individuals who go there are not monitored there’s tons of videos of people (fellow Africans but also white French people and other tourists) who say that while they did see cops like they would in any other country if they spend an extended period of time there they are not restricted or followed. Even YouTubers (including French ones) who came with the explicit intention to film for travel blogs and all were not closely monitored.
So if he was indeed monitored by the police it’s about having bad experiences in the past with French shows.
In 2020 the network M6 sent people there without proper paperworks and they faked tons of stuff with hidden cameras and all. France is known to try and destabilize Algeria whenever the country is doing good/changing positively. So now Algeria is careful.
Also given Algeria’s past with France I personally think that being allowed to set foot there to film is already a huge concession from Algeria. Individuals being allowed to freely film and all is one thing I’m totally okay with same with local journalists and networks. Journalists and networks from friendly countries too. But from a country who is still teaching people that killing, torturing, raping, starving and stealing everything from Algerians wasn’t that bad? Yeah nope.
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"J’irai dormir chez vous" en Espagne sur RMC Story dimanche 11 août 2024 avec Antoine de Maximy
http://dlvr.it/TBhy7c
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L’ile de l’amour
Chapitre 9
Résumé : Qu’est ce qui se passe avec la santé de Rosie.
Avertissement : 18 ans et plus, Smut doux et amoureux (enfin!)
James était parti depuis longtemps quand Rosie revint à l’intérieur de la maison. Cette toute petite promenade et leur engueulade l’avait vider de ses maigres forces.
Elle s’installa sur le sofa du salon, pas question de rester encore dans cette chambre triste. Elle alluma la télé et s’endormit en un instant.
Elle se réveilla beaucoup plus tard, elle avait dû dormir tout l’après-midi. Il faisait sombre dans le salon, Marshall l’avait bordé avec sa couverture préférée. Sur la table basse devant elle reposait ses clés de voiture et une petite boîte. Rosie s’assit en baillant. Elle prit la boîte, c’était un téléphone tout neuf, le même modèle que le sien.
-Tu n’es pas prisonnière ici, tu es en sécurité. Si tu veux vraiment partir tu peux, lui dit Marshall en sortant de l’ombre du corridor. Il entra dans le salon, torse nu en survêtement. Il sortait de la douche, ses cheveux étaient encore humide.
Elle triture la boîte dans ses mains un instant. Marshall s’assit dans son fauteuil fétiche au bout du sofa de Rosie.
-Veux-tu que je parte? Dit-elle d’une petite voix.
Elle n’osa pas le regarder même s’il était à moins d’un mètre d’elle.
-Bien sur que non mais si c’est ce que tu veux, je vais comprendre.
Elle soupira.
-Je veux que mon homme me revienne, je veux que tout redevienne comme avant. C’est tout ce que je veux.
Marshall ne dit rien et soupira tristement. Il changea de poste de télé pendant qu’elle découvrait son nouveau téléphone. Pour une fois, il n’avait pas l’air pressé de sortir.
-Tu reste ici ce soir?
-Oui. Tu as faim? Dit-il en se levant. On a pas grand-chose à manger, constata-t-il en regardant dans les placards. Tu veux qu’on sorte manger? En ville?
Rosie était totalement sidérée. Il lui avait à peine parler aujourd’hui, James avait dû se fâcher contre lui pour qu’il passe du temps avec elle et maintenant il voulait l’emmener manger au restaurant? Elle se redressa plus dans les coussins.
-Qu’est ce qui se passe? Je ne comprends pas… Tu voulais à peine me parler ce midi… et maintenant tu me propose de manger au restau?
Marshall descendit les deux petites marches de la cuisine et la rejoignit. Il s’assit sur la petite table de salon devant elle, il regarda directement dans ses yeux.
-Est-ce qu’on peut juste prendre une pause ce soir et oublier tous ce qui se passe? J’ai faim et j’ai envie de manger avec toi. S’il te plaît.
Rosie n’en croyait pas ses oreilles.
-Quoi? Une pause?
Marshall hocha la tête.
-Une soirée comme avant… S’il te plaît… J’en ai besoin.
Ses yeux bleus triste l’imploraient.
-D’accord. Prenons une pause. J’ai besoin de me changer, j’ai l’air d’une sans-abri.
Marshall sourit pour la première fois depuis longtemps.
Elle enfila un haut simple mais plus mignon que son vieux pull trop grand. Elle dû se résoudre à garder ses leggings c’était trop douloureux d’essayer de porter autre chose.
Marshall ressortit de sa chambre en jeans et en chemise. Il avait prit le temps de se coiffer et se parfumer. Rosie le trouvait tellement beau. Elle le regarda comme si c’était leur premier rendez-vous. Il avait du s’entrainer beaucoup dernièrement, il lui semblait encore plus large et massif.
Rosie ne pu qu’attacher ses cheveux fade et mettre un peu de baume à lèvre. Le reste de ses affaires étaient dans son appartement.
-J’aimerais bien récupérer quelques affaires chez moi, dit-elle pendant qu’il mettait son blouson de jeans sur ses frêles épaules. Marshall lui ouvrit la porte d’entrée.
-Fais moi une liste, j’irais chercher ce que tu as besoin.
-Ce serait plus simple si j’y allais.
-Non pas question, tu ne remonte pas là-bas. Il la regarda dans les yeux, il ne pouvait être plus sérieux.
-D’accord je vais te faire une liste.
Elle descendait lentement les marches quand il la prit dans ses bras comme une mariée. Rosie émit un petit cri de surprise mais passa rapidement ses bras autour de son cou puissant. Pendant quelques petites secondes elle se lova le nez dans son cou. Il sentait tellement bon. Du coin de l’œil elle vit sa petite voiture garer derrière la Volvo noire de Molly.
-Tu l’as sortit! Dit-elle en souriant d’une oreille à l’autre.
-Tu veux qu’on la prenne? Lui demanda Marshall content de la voir sourire.
-Non ça va. Mes béquilles n’entre pas dedans.
Il la déposa doucement dans sa camionnette, Dieu qu’il sentait bon!
-Alors qu’est ce qui te ferait envie?
Marshall prit la route de Saint-Hélier.
-Beaucoup de chose, le problème est de savoir si tout vas rester à l’intérieur… Elle regarda dehors, Marshall grogna.
-Ça m’inquiète que tu sois toujours malade…
Rosie le regarda et posa la main sur sa cuisse tout naturellement.
-Mon amour, on a prit une pause des soucis pour ce soir, on en discutera demain.
Il lui jeta un coup d’œil puis regarda sa main et mit la sienne par-dessus.
-D’accord ma chérie. Il prit sa main et lui donna un baiser. Rosie frissonna au contact de ses lèvres sur sa peau. Italien ça te dit?
Elle hocha la tête en souriant.
-C’est parfait.
Ils passèrent une très agréable soirée à discuter de tout et de rien dans un petit restaurant Italien. Pour une fois la nausée semblait être disparue.
Sur le chemin du retour, c’est le jeune homme qui posa la main sur la cuisse de sa compagne. Rosie posa la main sur la sienne et la serra aussi fort qu’elle pu.
Dans la pénombre de la voiture, elle murmura :
-Je t’aime Marshall. Je t’aime de tout mon cœur…
Il pressa la cuisse doucement.
-Je t’aime aussi ma chérie ma toute petite Rosie.
Au moment de se coucher, Rosie hésita. Elle mourrait d’envie de se retrouver dans ses bras mais elle n’osait pas lui demander.
Dix minutes après s’être coucher, elle entendit cogner à sa porte.
-Oui?
Marshall passa la tête dans la porte.
-Ça te dérange si… je dors avec toi?
Le cœur de Rosie bondit de joie.
-Viens! Elle ouvrit les couvertures de son côté. Par contre, c’est bien possible que je t’empêche de dormir. Je dors très mal. Ma jambe me fait chier la nuit.
Il s’étendit près d’elle, avec pour tout vêtement son boxer.
-Je sais. Je t’écoute toute les nuits, j’entends chacun de tes gémissements, chacun de tes pleurs en espérant que tu finisse par me demander de venir te trouver.
Rosie soupira , l’orgueil l’en empêchait. Marshall était étendu comme elle sur le dos. D’habitude, ils dormaient en cuillère mais c’était impossible avec sa grosse atèle.
Rosie avait les yeux grand ouvert dans le noir, la chaleur de Marshall irradiait dans le lit. Elle avait le cœur qui battait la chamade comme une adolescente lors de sa première fois.
-J’aurais aimé que tu vienne me trouver mais…
-Je sais… Je suis un connard…
Rosie poussa un petit gémissement entre le rire et le sanglot.
Il se retourna vers elle en s’appuyant sur son coude et mit la main sur sa joue. Il l’embrassa doucement. Ses lèvres caressèrent les siennes en parfaite harmonie. Rosie darda le bout de sa langue contre la sienne. Elle soupira de bonheur. Marshall lui donna des baisers fiévreux dans le cou.
-Est-ce qu’on peux, je veux dire avec ta jambe.
Elle l’attira à elle le plus qu’elle pu et se lova dans ses bras puissant.
-Fais moi l’amour …
Il passa les mains sous son pyjama.
-Bon sang tu es toute petite…
Elle passa la main sur son caleçon.
-Et toi tu es immense!
Avec beaucoup de tendresse et de la patience, ils firent l’amour lentement, s’appréciant l’un l’autre, se caressant pour faire monter le plaisir tranquillement.
Marshall finit par lui retirer son attèle et embrassa sa cuisse blessée.
-Je vais prendre soin de toi maintenant, je vais t’aimer tellement fort que tu vas guérir très vite, dit-il en remontant le long de sa vulve.
Cette nuit là, Rosie dormit comme un bébé dans les bras de Marshall.
Au petit matin, Rosie se réveilla encore pelotonner contre son torse. Aussitôt qu’elle remua un peu, la nausée refit surface violemment.
-Ha non pas encore, dit-elle en se précipitant dans la salle de bain. Évidemment, cette course effrénée réveilla Marshall.
-Est-ce que ça va ma chérie? Dit-il au travers de la porte close. Un son de vomissement lui répondit. Elle ressortit de la salle de bain 20 minutes plus tard, toute pâle. Marshall était au téléphone.
-… Ça n’a aucun sens James, elle se vomit le corps tous les matins… Il doit bien y avoir une explication… Il n’est pas question que je perde une autre femme.
Il était en colère, Rosie l’entendait dans sa voix même si elle était dans sa chambre. Elle remit son attèle et le retrouva dans la cuisine.
-James s’en vient. Comment tu te sens?
-Mieux, dit-elle un peu amortie. James n’est pas médecin. Qu’est ce que tu veux qu’il fasse de plus.
Elle s’assit à la table.
-Il peut te faire une prise de sang sans que tu ai besoin de bouger d’ici. Tu veux un café.
Rosie hocha la tête, elle bu quelques gorgées sans dire un mot. Marshall s’assit avec elle.
-Ça va tu es encore toute pâle.
Une larme roula sur sa joue.
-La pause est fini…
-Quoi mais de quoi tu parles?
Rosie essuya ses yeux.
-Hier, on a prit une pause c’était merveilleux et maintenant c’est fini…
Elle cacha son visage dans ses mains.
Marshall quitta sa chaise et s’agenouilla devant elle.
-Rosie, ma chérie, s’il te plaît, arrête de pleurer. On va trouver ce qui se passe avec ta santé, le reste peut attendre mon amour…
On cogna en même temps à la porte d’entrée.
-Bonjour! Oups, j’arrive au mauvais moment?
James entrait avec sa mallette.
Rosie partie à la salle de bain en clopinant.
-Non ça va. Entre.
Elle passa de l’eau froide sur son visage. Elle revint dans la cuisine un peu plus sereine.
-Alors Madame Gagné, comment ça va ce matin? Tu as encore été malade?
Elle hocha la tête. Il sortit son matériel et prit sa pression. Il l’examina sous toute les coutures.
-Ta pression est un peu basse mais rien de grave. Il lui fit une prise de sang. En rangeant son matériel, il demanda à Marshall. Tu peux nous laisser un instant?
Le grand brun croisa ses bras musculeux sur son impressionnante poitrine.
-Non! Si quelques choses cloches avec ma femme je veux le savoir!
-Ta femme? S’exclama Rosie. Marshall avait l’air buté. Ça va, il peut rester.
-Très bien. James s’installa à la table de la cuisine. Tes dernières règles datent de quand?
Rosie fronça les sourcils.
-Je prends la pilule je ne peux pas être enceinte…. Marshall s’avança vers eux.
-Tu crois qu’elle est enceinte?
James hocha la tête. Rosie paniqua.
-Non je ne peux pas être enceinte non! Non pas question!
-À quand remonte tes dernières règles te souviens tu? Lui demanda Marshall à son tour. Au moins deux semaines avant que je parte à Londres non?
Rosie se leva et essaya de faire les cents pas avec ses béquilles.
-Je ne sais plus… Oui je crois que oui. Je ne peux pas être enceinte j’ai toujours pris la pilule et tout allait bien… Sauf peut-être quand on s’est chicaner là-dessus justement…
La jeune femme tremblait, Marshall avait pâlit appuyer sur le comptoir de la cuisine. James était toujours assis à la table de la cuisine, il sortit un test de grossesse de sa mallette.
-Est-ce que tu les prends encore depuis ton accident. Rosie secoua la tête. Marshall prit le test sur la table et le tendit à Rosie.
-Passe se test qu’on ai le cœur net.
La jeune femme secoua la tête et repoussa le test de la main.
-Non je ne suis pas enceinte!
Elle était au bord de la crise d’hystérie. Elle respirait rapidement, ses yeux étaient complètement affolés.
Les deux frères se regardèrent un instant.
-Oublions ça pour tout de suite. Je crois que prendre l’air, ça te ferait beaucoup de bien. Je t’ai emmené des vitamines à prendre tous les matins. Les prises de sang vont nous dire de toute façon ce qui se passe. Est-ce que ça te convient?
Rosie hocha la tête et sortit sur le patio.Elle regarda la mer au loin sans vraiment la voir. Elle revivait dans sa mémoire chaque fois qu’elle avait passé ces foutus test de grossesse. Elle se revoyait euphorique avec Jeff quand les petites lignes roses apparaissaient. Puis, trois fois, le petit être dans son ventre s’Était décroché à peine quelques semaines plus tard, sans explication. À bout de force, Rosie avait demandé à Jeff d’arrêter d’essayer. Rosie ne se sentait pas prête à faire face à de nouvelles déceptions, elle n’en avait pas parler à Marshall non plus. S’il fallait qu’elle perde cet enfant, il ne lui pardonnerait jamais. Elle descendit l’escalier et s’assit tant bien que mal dans l’herbes verte et contempla longtemps le lointain. Marshall vint s’asseoir près d’elle mais ne dit rien.
-J’ai déjà perdu 3 bébés, dit-elle sans préavis. J’avais à peine quelques semaines de fait.
Marshall accusa le coup en silence pendant quelques minutes.
-Tu ne me l’a jamais dis, lui dit-il d’une voix peinée. Tu m’as seulement dit que tu avais de la difficulté à tomber enceinte.
Elle s’étendit sur le dos dans l’herbe et regardait les nuages.
-Tu ne m’avais pas parlé de Louise non plus… C’est la même chose, je n’aime pas en parler.
Marshall lui jeta un coup d’œil noir.
-Ce n’est pas pareil.
-De toute façon, on n’en avait même pas discuté sérieusement d’avoir des enfants…
-On en à parler plein de fois! Pourquoi tu ne m’as pas dis que tu avais fait des fausses couches, ce n’est pas si grave…
Rosie s’assit brusquement.
-Pas si grave? Tout dépend de qui le vit, je n’ai pas pu prendre mes enfants dans mes bras et leur dire adieu…
Les larmes brûlaient ses paupières, Marshall se releva à son tour et posa la main sur la sienne.
-Je suis désolé, je ne voyais pas ça comme ça… Il y a peut-être une solution, une explication?
Rosie soupira.
-Non pas d’explications. J’ai passé une batterie de test. Selon le médecin ce sont des choses qui arrivent régulièrement.
Du pouce, il caressa doucement ses jointures.
-Je connais d’excellents médecins, si tu veux, je pourrais leur parler. Il faudrait peut-être commencer par faire ce test…
Rosie soupira et murmura.
-Je ne suis pas prête à être maman maintenant. J’avais prévu faire tellement de choses avant d’avoir des enfants. Je voulais visiter tout l’Europe, l’Italie, l’Espagne et même l’Allemagne. Je voulais me retrouver un travail dans une banque…
Marshall prit sa main dans les siennes et embrassa doucement ses doigts.
-On pourra faire toutes ses choses ensembles ma chérie…
-S’il y a encore un ensemble!
Marshall passa le bras autour de sa taille et mit la main sur son ventre plat.
-S’il y a vraiment mon petit là-dedans, je me fiche bien de savoir ce qui a pu se passer avec ce gars.
-Moi je veux savoir. Je veux savoir ce qui s’est passer avec Adam.
Elle sortit son téléphone et composa un numéro. Marshall gronda et s’étendit sur la pelouse les mains derrière la tête. Elle mit le haut parleur.
-Allo? Rosie! Comment ça va ? Je voulais t’appeler mais ta ligne était coupée.
Rosie roula des yeux vers Marshall.
-Oui, j’ai eu des ennuis de téléphones… Ça va plutôt bien. Elle résuma rapidement ce qui s’était passé avec sa jambe. Adam je me demandais … l’autre soir… J’ai comme un gros blanc… Je pense que j’ai trop bu.
-T’était complètement torchée oui!
Marshall passa une main sur ses yeux.
-Oui je crois bien que oui. Tu peux me dire ce qu’on a fait chez moi? Je me souviens qu’on est arrivé à mon appart et c’est le néant total ensuite.
-On a manger un morceau, on a bu encore et puis tu t’es effondrée dans le sofa.
Rosie haussa les sourcils vers Marshall.
-Et tu es resté dormir chez moi?
Adam se mit à rire.
-Évidemment, j’avais beaucoup trop peur que tu te lève au milieu de la nuit et que tu te blesse ou que tu sois malade couchée sur le dos. Tu était tellement finie. J’ai dormi sur ton fauteuil épouvantable.
Rosie rougit, Marshall riait doucement.
-On n’a pas… tu sais…
-Non seigneur Non! On n’a rien fait de mal! Tu as passée la soirée à me dire à quel point tu aimais ton gros gorille de copain, je n’aurais jamais osé te toucher. S’il m’avait crut tu ne serais pas tombé… Je lui ai dit mais il m’a quand même foutu son poing sur la gueule.
-Quoi? Elle fit les gros yeux à Marshall qui détourna le regard en souriant.
-Oui quand tu es partie en ambulance, il m’a mit son poing dans la tronche. Je dois te laisser, ravi que tu aille bien à la prochaine.
-Merci Adam.
Elle raccrocha.
-Tu l’a frappé ?!
Marshall haussa les épaules.
-J’étais furieux et tu étais inconsciente, j’avais peur pour ta vie… J’ai fais la première chose qui m’est passé par la tête… Je suis désolé, dit-il s’en en penser un traitre mot. Son immense sourire trahissait sa fierté mâle.
-Alors tu me crois maintenant?
Marshall prit son visage dans ses mains et l’embrassa doucement.
-Oui, je te crois. Je t’aime ma chérie. Maintenant j’aimerais que tu passe ce test s’il te plaît.
Rosie soupira profondément.
-D’accord.
Il l’aida à se relever. Rosie avait le cœur qui battait la chamade en attendant le résultat mais au fond de son cœur, elle se doutait bien de la réponse. Marshall faisait les cents pas dans la cuisine en attendant qu’elle ressorte de la salle de bain. Elle avait perdue toute ses couleurs quand clopina dans de la cuisine.
-Alors ?! Lui dit-il en lui arrachant presque le test des mains. Deux petites barres foncées s’affichaient dans la fenêtre de résultats.
-C’est positif, non?
Marshall riait et exultait de bonheur. Il prit Rosie dans ses bras et la souleva de terre en l’embrassant partout dans le visage. La jeune femme ne réagissait même pas, elle avait les yeux pleins d’eau. Marshall la reposa délicatement.
-Rosie ma petite femme… Qu’est ce qui se passe? Tu n’es pas contente?
Elle hocha la tête en essuyant des yeux.
-Oui… mais j’ai tellement peur! Je ne veux pas perdre ce bébé là…
Elle fondit en larmes dans ses bras. Il la serra très fort contre lui.
-Ne t’inquiète pas ma Rosie, tout va bien aller. Je t’aime mon amour, je vais vous protéger tous les deux.
Quelques Mois Plus tard…………………
-S’il te plaît… On peut rentrer à la maison! Ça fait des heures qu’on fait des courses. J’ai super mal au pieds.
-Oui ma belle femme d’amour, juste une dernière boutique et on retourne à la maison, dit-il en la prenant par la main. Il la regarda comme toujours avec des paillettes pleins les yeux. Elle arrêta devant la boutique de robe de mariée et s’extasia encore une fois sur la magnifique robe celtique.
-Tu serais magnifique dans cette robe… Il entoura son ventre rond de ses mains. Qu’est ce que tu en pense bébé? Maman serait jolie là-dedans non?
Leur bébé donna un coup dans la main de son père. Rosie s’appuya sur lui.
-J’ai une dernière petite course à faire tu veux bien aller chercher les steaks à la boucherie, on se rejoint à la voiture?
-Oui.
Il relâcha son étreinte et partie dans la direction opposée. Elle était épuisée, la chaleur de l’été la fatiguait vraiment beaucoup, elle avait l’impression d’être une baleine échouée et il lui restait encore 12 semaines de grossesse. Heureusement la boucherie du village était climatisée.
-Bonjour Rosie, comment allez vous? Lui demanda le boucher.
-Bien, ça va bien, dit-elle avec un sourire fatigué. Elle choisit 2 steaks.
-Vous avec l’air fatiguée, ma petite reposez-vous avant que ce petit ange arrive.
-Oui je suis épuisée! Marshall a décidé de me faire faire le tour des boutiques je crois bien. Heureusement on a terminé!
La Volvo était stationnée à l’ombre et Rosie eut amplement le temps de faire la sieste avant le retour de Marshall. Elle fut réveillée en sursaut par un Marshall paniqué penché au dessus d’elle.
-Rosie, Rosie mon amour ! Tu vas bien? Marshall la secouait par l’épaule doucement. Elle papillonnait des yeux un instant.
-Oui ça va ! Je dormais ! Je suis épuisée Marsh’ c’est tout. Tout va bien. Marshall se calma doucement, ses deux grosses mains posées sur son ventre. Bébé va bien.
Il soupira et lui donna un baiser sur les lèvres et un sur son ventre. Depuis le début de sa grossesse il était plus que protecteur. Rosie le trouvait parfois ridicule avec ses inquiétudes excessives mais il avait ses raisons et Rosie le comprenait. Elle le trouvait souvent adorable à veiller sur elle à outrance.
-On retourne à la maison? Dit elle en baillant.
-Oui. Repose-toi moi mon amour, tu en a besoin.
Rosie se rendormit bercé par le ronronnement de la Volvo.
-Mon amour on est arrivé.
Rosie ouvrit lentement les yeux, Marshall souriait comme un gamin. Il entrait dans la cour de leur maison. La porte de l’entrée ouvrit et une envolée de ballon rose et bleu sortit de la maison.Tous les amis et la famille du jeune couple sortirent de la maison en criant :
-Surprise!
Rosie crut qu’elle allait défaillir de bonheur. Elle se mit à pleurer avant même qu’il n’arrête la voiture. Sa mère et son frère avait même fait le voyage depuis la canada. Ils l’attendaient dans le salon.
-Maman, Luke! Vous êtes ici? Elle pleura à chaude larmes dans les bras de sa mère.
-Ne pleure pas ma chérie.
Durant leur absence, ses belles sœurs avaient dressé de longues tables et un immense buffet les attendaient sur la pelouse. Une autre table chargée de cadeau de bébé était disposée non loin. La moitié du village devait être présente tellement il y avait des gens.
Rosie avait le tournis de voir tout ce monde. Elle se réfugia momentanément dans leur chambre et en profita pour se changer. On cogna à la porte.
-Mon amour? Tout va bien?
Marshall s’inquiétait comme toujours.
-Oui, je me change.
Marshall entra.
-Ho… tu es… tellement belle, dit-il en la découvrant en dessous de dentelle noire. Ses seins ronds avaient doublé de taille. Tous son corps s’était arrondi magnifié par la grossesse, au grand plaisir de Marshall.
-Merci, elle rougit sous le compliment.
-Est-ce que je peux mettre mon pénis entre ses deux seins fabuleux? Il s’approcha en se lécha les lèvres. Il l’embrassa dans le cou et enfouie son visage dans son décolleté.
-La maison est pleine de monde! Dit-elle en riant. Il grogna contre son cou et posa délicatement les mains sur son ventre ronds à la peau sensible.
-Tu as raison mais ce soir j’ai bien l’intention de profiter de tes charmes. Il lui donna un dernier baiser sur sa belle poitrine. Rosie ébouriffa ses boucles brunes.
-Bien sûr mon chéri.
Elle revêtit une jolie robe à fleur parfaite pour les journées chaudes. Une grosse tresse nouait son épaisse chevelure blonde. Tous le monde dans la maison s’accordèrent pour dire qu’elle était une magnifique femme enceinte. Les cadeaux furent déballés, la nourriture, appréciée. Juste au moment où Rosie allait couper le gâteau qui allait révéler le sexe du bébé encore inconnu, Marshall l’arrêta et lui dit :
-Attends. Il tremblait en repêchant une petite feuille pliée dans la poche de son jeans. J’ai quelque chose à dire.
Un murmure parcouru l’assemblé et tous le monde se turent. Marshall s’éclaircit la gorge noyée par l’émotion.
-Ma belle Rosie, j’ai eu dans ma vie beaucoup de douleur et de jours sombres comme tu le sais. Puis je t’ai rencontré et le soleil est revenu dans ma vie. Je croyais être mort mais tu m’as rendu la vie. Tu me rends tellement heureux… L’émotion le gagna et il s’essuya les yeux comme beaucoup de gens donc Rosie. Je sais que ça n’a pas toujours été facile pour nous mais je t’aime plus que tout.
Il mit la main dans sa poche et s’agenouilla devant elle. Rosie comprit tout à coup où il voulait en venir et mit les mains sur la bouche des larmes coulaient librement sur ses joues. Il lui présenta la plus belle et la plus parfaite bague en argent finement ciselé de petites feuilles et de petites fleurs avec de minuscules diamants tout le tour. C’était une bague magnifique et peut conventionnelle comme bague de fiançailles mais elle était parfaite pour Rosie.
-Veux-tu faire de moi l’homme le plus heureux du monde et devenir ma femme?
La jeune femme était totalement incapable de parler mais elle hocha frénétiquement la tête. Quand il passa la bague à son doigt, tout le monde applaudit. Il la prit dans ses bras en pleurant de joie. Après beaucoup de félicitation le moment de couper le gâteau revint.
-Je peux y aller maintenant? Dit-elle en riant.
-Oui vas-y.
Rosie coupa la première tranche de gâteau, l’intérieur était rose fuchsia.
-Une fille! Marshall caressa son ventre et lui donna un baiser. Une fille! Ma fille!
Après tellement de souffrance et de peine il allait enfin être le papa d’une petite fille. Les larmes ruisselaient sur ses joues sans retenues.
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🎶 new dawn 🙏le soleil se lève,
new day 🙃 de facto,
new life 🤔 hmmm oui et non personne ne peut quitter sa vie, on passe à autre chose ... quand à 🎶 l’m feeling good , on verra plus tard ... là ça fait juste un mal de chien ...
🎶 je me lève , tu ne te réveilles pas , comme d’habitude 🎶
🎶Tu m'avais promis mais un jour
Un jour comme un autre je t'ai attendue
Jusqu'au petit matin mais tu n'es pas venue
Les mois ont passé malgré moi j'attends
Je t'attends encore, et pourtant🎶
La nuit s’est refermée sur toi .
🎶 Si des roses dans le ciel s'envolaient chaque soir
Quand nos paroles s'éteignent dans le noir,
Si nos bouches silencieuses s'ouvraient comme un feu,
Peut-être que nous serions heureux...🎶
mais il faut croire que 🎶Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux🎶
Je sais bien que 🎶 Moi je vis la vie d’à côté🎶
mais 🎶 Vous aviez mon cœur moi j’avais le votre , un cœur pour un cœur , bonheur pour bonheur , le votre est rendu je n’en ai plus d’autre le mien est perdu 🎶
Nous aurions pu 🎶 Isolés dans l'amour ainsi qu'en un bois noir,
Nos deux coeurs, exhalant leur tendresse paisible,
Seront deux rossignols qui chantent dans le soir.🎶 Ce dont je me sou-viens
C'est qu'on é-tait heu-reux
Les yeux au fond des yeux
Et c'é-tait bien
Et c'é-tait bien.🎶
🎶 Dis quand reviendras-tu
Quand cesseras-tu d'être un souvenir
Pour moi qui t’ai connu autrefois?
Je suis dans cette ville
Le coeur frigorifié
Le froid m'y est hostile
J'aime bien y flâner
J'y marche pendant des heures
Et suis obnubilé
Par l'éventuelle erreur
Qui m’a amputé
De ton amour 🎶
Ce petit bonheur qui 🎶 un matin joli
Que j'sifflais ce refrain,
Mon bonheur est parti
Sans me donner la main.🎶
🎶 tout en douceur sans cris sans pleurs on va s’aimer comme frère et sœur 🎶
J’irai seul à Galway 🎶 J'flâne le long des bateaux,
Leurs couleurs en lambeaux,
Et le ciel, sur Galway, aujourd'hui est plein d'eau.
J'flâne le long des bateaux,
Leurs couleurs en lambeaux,
Et le ciel, sur Galway, aujourd'hui est plein d'eau.🎶
J’irai demander aux cygnes 🦢🎶 parlez-moi d’elle 🎶
Pourquoi ne nous as-tu pas donné un peu de ce temps ou nous aurions pu chantonner 🎶 nous prendrons le temps de vivre 🎶
Tu m’as juste laissé 🎶 le goût du trop peu🎶
Je t’ai ramené 🎶 pour la dernière fois🎶 chez toi ...
🎶 Et maintenant
Que vais-je faire?
De tout ce temps
Que sera ma vie
De tous ces gens
Qui m'indiffèrent
Maintenant
Que tu es partie🎶
Tu étais 🎶 mon amante de la Saint Jean 🎶 Je suis emporté au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
La femme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé 🎶
Je sais au fond de moi que jamais je ne retrouverais 🎶quelqu’un comme toi🎶
🎶Tu es venue me dire que tu t’en vas🎶
🎶 voilà c’est fini 🎶 nous fûmes comme 🎶 un poète et une inconnue qui s’aimèrent l’espace d’un instant 🎶
Je me serais contenté 🎶d’une vie de rien 🎶 et de jeux interdits 🎶 tu étais juste trop sauvage comme cet immense rivage que tu aimes telle cette chanson Karentez Vro 🎶
Tu es devenue une chanson , celle que tu aimais 🎶 Lay of Nimrodel 🎶
Mais bon puisqu’🎶on ne vivra pas tous les deux ... 🎶
Ma folie m’amène à m’imaginer que 🎶tu es passé dans les pays de l’autre côté
Car quand le soir est doux ici
Je sens ton sourire qui revient
Et la caresse de ta main
Je sens que tu es tout contre moi
Que ta fraîcheur pénètre en moi
Que tu me dis dedans l'oreille
Des mots d'amour doux comme le miel🎶
Tu étais 🎶 ma môme 🎶
Maintenant 🎶 je sais 🎶 qu’avec le temp ...🎶
Tu ne m’auras laissé 🎶sous ma plume,
Des mots amères des mots perdus,
Des mots d'une tristesse absolue,🎶
Tu m’avais dit 🎶 trois petits mots qui voulaient dire toute la vie 🎶
Trois petits mots qui sont devenus 🎶 Trois petites notes de musique
Ont plié boutique
Au creux du souv'nir
C'en est fini d'leur tapage
Ell's tournent la page
Et s'en vont dormir
Mais un jour sans crier gare
Ell's vous revienn'nt en mémoire🎶
Et je me souviendrais quand j’étais 🎶 entre tes bras 🎶
L’automne arrive doucement et 🎶je me souviendrais de ces chansons, les feuilles mortes te rappèleront à mon souvenir ... au vent mauvais 🎶
Il faut croire que 🎶 ma p’tite chanson ne te plaît plus 🎶
Je me souviendrais de 🎶tes baisers 🎶 mon héroïne 🎶 au revoir mon amour 🎶 tu étais si jolie que je n’ai pas osé t’aimer ... 🎶
Je sais que j’étais 🎶 un étranger 🎶pour toi ... et pourtant 🎶 Au fond ma musique était pleine d'espoir...🎶
🎶 je ne pourrais plus dire je t’... 🎶
A qui pourrais je le dire , tout est brisé en moi ... je n’en ai plus même l’envie ... 🎶 j’ai su trop tard que rien ne sert de forcer la bouche et le cœur ,
les sentiments naissent et meurent, sans raison le sang s’indiffère 🎶
ta flamme un jour s’est embrasée, ma braise une nuit s’est éteinte
j’ai dû faner dans mes étreintes la fleur brisée de tes baisers 🎶
Je n’oublierais jamais ton visage ...
🎶 je voyagerai en solitaire 🎶
🎶 J'ai bien pensé mourir
De chagrin et d'ennui,
J'avais cessé de rire
C'était toujours la nuit.
Il me restait l'oubli,
Il me restait l'mépris,
Enfin que j'me suis dit:
"Il me reste la vie".
J'ai repris mon bâton, mes deuils, mes peines et mes guenilles,
Et je bats la semelle dans des pays de malheureux.
Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille,
Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux...🎶
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Lettre à mon meilleur ami
Salut,
C’est plutôt drôle de t’écrire une lettre. Lettre que tu ne liras jamais. Mais il fallait que je m’exprime à un moment donné, que je dégage toute cette tempête qu’il y a en moi. Que tu as sûrement créée, d’ailleurs. J’ai juste décidé de la nommer par ton prénom quelque temps.
Tu sais, je pense qu’on a tous des tempêtes dans notre vie ; elles arrivent par période, et chaque fois, elles sont nommées différemment. Et je pensais pas qu’un jour, la mienne aurait porté ton prénom.
Je pensais que tu serais resté le soleil qui éclairait mon ciel la journée, ou la lune qui me guidait la nuit. Je pensais. Mais je me suis trompée.
Ce soir-là, j’ai senti mon coeur qui battait fort, qui battait de plus en plus fort. Ma poitrine se resserrait, mon ventre était contracté. Je te voyais dans mes environs, je te voyais t’approcher. “C’est fini”. Ça y est. Je t’ai dit au revoir avec ces quelques mots. Je n’avais pas anticipé ce moment, je ne savais même pas comment il allait se passer. Malgré les tonnes de questions que je me suis posées avant. Je n’avais pas prévu ce moment douloureux et délicat.
Je suis partie, en laissant une partie de moi. Une partie très importante. Sans me retourner, alors que tout mon être ne faisait qu’ hurler ton prénom.
Je vais pas te mentir, je pensais que notre amitié connaîtrait qu’un début, et jamais de fin.
Je crois que c’est encore difficile de devoir répondre aux autres, quand ils me demandent comment tu vas, que nous deux c’est terminé. Je pense même que ça le sera encore longtemps. Je pourrais même te décrire leur regard à chaque fois que je leur dis “je ne sais pas, je ne lui parle plus”, leurs yeux qui deviennent globuleux, leur teint qui rougit, leur bouche qui s’entrouvre.
On était un duo inséparable, et tout le monde pensait nous voir amis jusqu’à la fin, même moi j’y croyais
Je te voyais dans mon avenir, à mes côtés ; je te voyais à ma remise de diplôme, je nous voyais à danser sur toutes les musiques qu’on aurait pu entendre en voiture, je nous voyais faire des kms en voiture sans s'arrêter, sans savoir où aller, je nous voyais dormir en voiture trop éméchés, je nous voyais en festival pendant des années et des années, je nous voyais encore à la cabane, ou à l’ancien camping pour se rappeler du vieux temps, je nous voyais au mariage de l’autre à faire les pires diapos, je nous voyais heureux, je nous voyais encore sur les plages, je nous voyais faire tout ce que l’on faisait plus jeune pour se rappeler du bon vieux temps, je te voyais surtout parrain de mes enfants. Je te voyais toujours là, jusqu’à la fin.
“Une vraie amitié ça connait des virgules, pas des points. Mais tu vois, c’est ça le problème. Je te connaissais depuis la primaire. Je saurais visualiser sans réfléchir la lumière que font tes yeux quand tu souris, l’intonation de ta voix quand tu es en colère ou le son de ton rire. Tes propres peines m’affectaient plus que les miennes. Je pouvais sauter devant une voiture pour te sauver la vie, et pourtant tu sais combien j’y tiens. Tu vois, c’est ça le problème. Je t’aimais tellement mais j’ai dû te repousser de ma vie pour que j’aille mieux car tu me blessais trop dernièrement.
Je t’aimerais toujours, malgré tout.
J’irai quand même encrer ta trace en moi, parce que tu m’as marqué, parce que tu as changé ma vie, et que tu as fait un bout de chemin avec moi.
S’il te plait, mon loulou, sois heureux et prends soin de toi.
Rappelle toi que ta mère t’aime, et que même si elle te crie dessus, c’est parce que justement qu’elle a peur pour toi et ton avenir, elle aimerait, tout comme moi, ta reussite, elle aimerait que plus tard, tu ne rentres pas chez toi et que tu demandes “putain comment je vais finir le mois?”. Elle t’aime plus que tout, et malgré ta taille de géant vert, malgré tes conneries, tu resteras toujours son fils préféré. Rends la fiere, comme tu aurais aimé rendre fière ta grand-mère.
Ta grand mère, sache le, elle repose en paix, c’était une femme exceptionnelle. Et quoi que tu fasses, elle sera toujours là pour toi, touche ton coeur, tu verras. Elle te suit, peu importe ce que tu fais. Elle est toujours là.
Ton père, malgré sa non présence durant ton enfance/adolescence... t’aime. Essaie de réparer le peu de lien que tu as avec lui. Parce que tous les deux, vous êtes quand même fusionnels.
Ta sœur, prends soin d’elle, parce que ses talents de couture l'emmèneront loin. Et faut qu’elle gagne confiance en elle ; pousse la le plus possible à se surpasser.
Ton beau père est un Homme merveilleux, qui t’a élevé comme son propre fils, et qui a tant donné pour toi, remercie le. Et aime passer du moment qu’avec lui
Souviens-toi qu’on a qu’une seule vie.
Et, malheureusement, prends soin de ton cœur, ne tombe pas amoureux de mecs qui n’en valent pas la peine, qui ne te font pas élevé au-dessus de ta vraie valeur. Ne te laisse plus marcher sur les pieds. Tombe amoureux, s’il te plait, de quelqu’un qui saura t’aimer comme il le faut, qui te respectera, qui n’abusera pas de ton propre amour.
Je serai plus là. Je serai plus là pour te conseiller, t’écouter. Mais je crois en toi, toujours. Je sais que si tu te donnes les moyens tu pourras aller loin. T’en as les capacités, il faut seulement que tu ouvres les yeux, et que tu ne baisses pas les bras.
Je t’oublierai pas, sache le. Je penserai longtemps à toi. Je repenserai à nous, à l’amitié qu’on avait. A nos festivals, à nos heures d’appels, à nos chutes en scooter, à nos après midis bouffes, spa, à nos sorties plages, à l’ancienne école, à la cabane. Je me souviendrai de tout, je me souviendrai de toi. Ce sera comme une douce mélodie, triste, mais que je ne veux pas oublier.
Je ne pouvais pas rester. Je suis désolée. Tu me faisais trop de mal. Et je te le disais à chaque fois. Mais t’as préféré foncer dans le mur, t’as préféré t’en foutre.
Je pensais que rien, ni personne pouvait se mettre en nous, que notre amitié était plus fort que tout ; mais même ça je me suis trompée
Mais tu sais, j’ai perdu mon bagage, celui que j’emmenais toujours avec moi ; toi.
Je t’aimerai toujours, jusqu'à la lune et retour.
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Travelling tv shows
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Rendez-vous en terre inconnue (the animator and a celebrity go to a new place)
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J’irai dormir chez vous (”I’ll go sleep at your place”) : the animator visits foreign countries and stays at a resident’s place to experience the culture first hand
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Ushuaia : discovering a new place (photography on point)
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L’histoire de Vincent (Partie 28)
Classe de mer, l'arrivée au centre
Une fois la visite effectuée, tous se retrouvèrent près du car. Chaque enfant récupéra sa valise.
- Elle est où ta valise ? demande Mathieu à Vincent.
- Je l’ai déjà emmenée dans ma chambre, d’ailleurs nous sommes ensemble.
Tout en ayant parlé à Vincent, Mathieu avait observé Vincent.
- Tu es allé enlever ta couche, c’est ça ? demanda tout bas Mathieu.
- Oui, ma couche a eu une fuite et Sam s’est est aperçue. Elle m’a emmené me changer.
- D’accord, je comprends mieux.
- Elle est super gentille en tout cas et elle m’a dit que sa chambre était juste à côté de la notre.
A ce moment là, un animateur du centre commença à appeler tous les enfants afin de leur indiquer leur chambre. Vincent et Mathieu étaient dans la chambre A02. Eric était avec Stéphane et Antoine, dans la chambre A4, Noémie se retrouvait avec Agathe dans la chambre B02.
De ce que constatait Vincent, les filles étaient dans le couloir B, tandis que les garçons étaient dans le A.
2 groupes se formèrent ensuite. Une accompagnatrice emmenait les filles et c’est Sam qui s’occupait des garçons.
Comme Vincent n’avait pas de valise à porter, il aida Mathieu qui lui en avait 2 car ses parents n’en avaient pas de grosse.
- Bonjour les garçons, je m’appelle Samantha, mais c’est Sam si vous préférez, les 2 me vont. Je vais vous emmener dans vos chambres ou vous pourrez poser vos valises. Il est un peu tard alors nous les déballerons après le dîner.
Vincent était vraiment heureux d’être avec Sam et il s’était mis juste à côté d’elle alors qu’elle marchait.
- Suivez moi s’il vous plaît, dit Sam tout en faisant un sourire à Vincent.
Une fois arrivé dans le couloir A, Sam redonna le numéro de chambre aux garçons qui ne s’en souvenaient plus.
Mathieu et Vincent rentrèrent dans leur chambre et commençaient à ouvrir leur valise quand Sam appela tout le monde dans le couloir.
- Dès que vous avez posé votre valise dans votre chambre, je vous demande de bien vouloir venir me voir que l’on aille manger. Le repas est prêt, on doit se tous se retrouver au réfectoire.
Rapidement tous les enfants se retrouvèrent au réfectoire. Eric vint s’asseoir à côté de Vincent et de Mathieu.
- J’ai toujours ma couche, dit Eric doucement, je n’ai pas eu le temps de l’enlever et en plus je suis avec Stéphane, je n’ai pas envie de lui dire que j’en porte une.
Tout en mangeant, Vincent lui expliqua ce qu’il s’était passé.
- Tu devrais aller voir Sam, dit Vincent à Eric, je suis sûr qu’elle va trouver une solution.
- Tu as raison, j’irai la voir dès que nous aurons terminé de manger.
Le repas terminé, Vincent constata effectivement qu’Eric se dirigeait vers Sam et lui parla à l’oreille. Elle lui répondit de la même manière.
- Nous allons maintenant aller nous laver les mains et nous retournerons ensuite dans les chambres pour que l’on puisse vider vos valises, dit Sam aux garçons. Je vous demanderai de sortir votre trousse de toilettes ainsi qu’un pyjama pour ce soir. Tout le reste vous pourrez le mettre dans les armoires. Chacun d’entre vous à une armoire à côté de son lit. Évitez d’ailleurs de mélanger vos affaires. Il serait dommage que l’un d’entre vous se retrouve tout nu à la fin de la semaine non ?
Tout le monde éclata de rire en train d’imaginer son colocataire tout nu.
Les enfants firent donc ce que leur avait demandé Sam. Vincent, tout en sortant et rangeant ses affaires, il vit passer Sam dans le couloir et quelques secondes ensuite, elle repassa dans l’autre sens accompagné cette fois-ci d’Eric.
Nul doute qu’elle l’emmenait dans sa chambre pour enlever sa couche à Eric. 2 minutes plus tard, Eric rentrait dans la chambre de Vincent et de Mathieu.
- C’est vrai qu’elle est très gentille, tu avais raison, dit Eric à Vincent avant de repartir dans sa propre chambre.
Après avoir rangé leurs affaires, Eric et Vincent choisirent un pyjama et préparèrent leur trousse de toilettes.
- Tu crois que ça va se passer comment ce soir ? demanda Mathieu. On va porter une couche pour dormir ?
- Je ne sais pas, mais je suis sûr que cela va bien se passer, lui répondit Vincent qui n’avait aucune inquiétude à ce sujet.
- Les garçons, vous m’écoutez ? Si vous avez terminé, tant mieux, sinon vous terminerez après, leur dit Sam depuis le couloir en s’adressant à tous les enfants. Mettez-vous en pyjama maintenant, et dans 5 minutes, on ira se laver les dents.
- Tu mets un slip sous ton pyjama toi Mathieu ? demanda Vincent. Moi à la maison je mets un body sur ma couche, mais je n’en ai pas amené ici.
- Ça dépend. Des fois j’en mets, et d’autres non. Je vais garder celui que j’ai sur moi pour ce soir.
- Je vais faire comme toi et on verra avec Sam.
Vincent et Mathieu enfilèrent leur pyjama et prirent leur trousse de toilettes avant de sortir dans le couloir. Le pyjama de Vincent est un pyjashort vert, quant à celui de Mathieu, c’était un pyjama classique mais de couleur bleue foncé.
Petit à petite, tous les garçons se retrouvèrent dans le couloir.
- C’est bizarre de voir les autres en pyjama, dit Mathieu à Vincent, je n’ai pas l’habitude. Regarde le pyjama de Joaquim, il fait quand même un peu bébé, il y a un pokémon dessus.
Vincent trouvait son pyjama plutôt sympa, même si effectivement Joaquim était peut-être un peu grand pour en porter un comme ça. Vincent n’aimait pas se moquer des autres, et ne répondit pas à Mathieu.
- Allez, tout le monde est là apparemment. Suivez moi sans faire trop de bruit s’il vous plaît.
Au bout du couloir se trouvait une salle où il y avait de nombreux lavabos. Sur le côté droit se trouvaient des douches individuelles. Sur le côté gauche se trouvaient des toilettes/
- Vous l’aurez compris, on se douchera demain matin, là on se lave les dents. Dès que vous avez terminé, vous retournez dans votre chambre. Il est 20h15, à 20h30 je veux que tout le monde soit dans son lit, dit Sam. Si vous avez envie de faire pipi, allez y maintenant. Si vous avez envie cette nuit, vous pourrez venir ici, il y a une veilleuse dans le couloir et ici même, ça vous permettra de ne pas vous perdre et évitera que vous allumiez la grande lumière.
Tous les garçons se mirent à se laver les dents. Certains avaient des brosses à dents électriques et d’autres des manuelles. Il y avait beaucoup de bruit, et cela résonnait dans cette pièce. Tout en se brossant les dents, les enfants s’observaient et notamment les pyjama. Celui qui remporta la palme était celui de Stéphane, c’était une grenouillère ! Tous les enfants le regardait et lui disait qu’ils auraient aimé en avoir une comme lui.
- Si j’avais sut, dit Vincent à Mathieu, j’aurais amené la mienne. Je pensais que l’on se moquerait de moi alors je ne n’ai pas prise.
Quand ils eurent tous les deux terminé, ils retournèrent vers leur chambre. En arrivant devant le couloir qui menait à leur chambre, Sam était là en train de surveiller que tout se passait bien.
- Vous allez dans votre chambre. Ne vous couchez pas de suite, je viendrai vous voir vers 20h30 quand tout le monde sera couché.
Ils continuèrent à marcher jusqu’à leur chambre et se mirent dans leur lit. Une fois qu’ils furent dans leur chambre et que la porte fût fermer, ils s’essayèrent sur leur lit.
- Je crois qu’il y a une alaise en plastique sur mon matelas, dit Vincent, ça fait un bruit de plastique.
- Pareil sur le mien.
Vincent et Mathieu se mirent à discuter en attendant Sam. Il l’entendait dans le couloir à travers la porte. Elle demandait à tous les garçons de bien vouloir se mettre dans leur lit. Petit à petit, les claquements de portes se firent entendre et Sam arriva dans leur chambre.
- Comment ça va Vincent depuis tout à l’heure ?
- Super, lui répondit-il.
- Toi, tu dois être Mathieu c’est bien ça ? lui demanda-t-elle.
- Oui, oui, c’est moi.
- Contente de faire ta connaissance. Je crois que tu es un ami de Vincent à ce qu’il m’a dit. Il vous arrive de dormir l’un chez l’autre ?
Vincent avait compris où voulait en venir Sam. Elle voulait savoir si Mathieu savait qu’il portait une couche.
- Oui ça nous arrive de temps en temps, dit Vincent. Et il sait que je porte une couche la nuit parce que je fais pipi.
- Parfait, lui répondit Sam, c’est ce que je voulais être sûre. Tu es perspicace en tout cas Vincent.
- Et moi j’en porte aussi, dit Mathieu un peu gêné, et Vincent le sait aussi.
- Alors comme ça, aucun secret entre vous, c’est génial. Ça sera beaucoup plus simple à gérer. Si l’un de vous deux n’avait pas été au courant, j’aurais vous aurai emmené l’un après l’autre à l’infirmerie. Mais que je commence par le début, excusez moi. On est donc ici dans un centre de vacances et il n’est pas facile de laver les draps tous les jours, du coup on propose aux enfants qui font pipi au lit de mettre une protection pour la nuit, mais sachez que ce n’est pas obligatoire. Nous respectons les choix des enfants et nous faisons tout pour que les autres ne soient pas au courant. Comme vous vous en portez à la maison, je pense que vous allez en mettre une ici aussi ?
- Oui moi je préfère, dit Vincent, je n’aime pas me réveiller dans un lit mouillé.
- Pareil pour moi, dit Mathieu.
- Vous êtes de supers grands garçons, dites donc, merci à vous ! Je m’occupe régulièrement d’enfants qui viennent en classe de mer, et cela arrive que certains ne veuillent pas mettre de protections pour dormir. Je vous avoue que c’est moins facile à gérer et aussi moins discret vis à vis des autres. Bon allez, on a assez parlé, on ne traîne pas alors et on va vite fait jusqu’à l’infirmerie. ensuite vite au lit, vous avez eu une grosse journée.
Tous les trois partirent donc en direction de la pharmacie. Il n’y avait presque plus de bruit dans le couloir et cela constatait fortement avec tout à l’heure.
Ils arrivèrent à l’infirmerie et Sam ferma la porte. Il y avait plusieurs armoires métalliques, un bureau et une table d’examen comme chez le médecin.
- Je commence par qui ? Par toi Vincent, ça te va ? Mathieu tu peux t’asseoir ici en attendant, il y a une chaise près de la porte. Vincent tu peux t’allonger sur la table, je prépare ce qu’il faut et j’arrive.
Vincent fit ce qu’il lui était demandé. Sam ouvrit une des armoires et saisit plusieurs couches qu’elle posa sur un chariot sur lequel il y avait déjà une couche de posée ainsi qu’un tube de crème, du coton et un flacon bleu un peu transparent. Vincent et Mathieu l’observaient faire.
- Voilà, je crois que j’ai tout ce qu’il faut, finit par dire Sam qui s’approchait de Vincent en poussant le chariot. Dis moi Vincent, à la maison, c’est toi qui te met ta protection la nuit ou c’est ta maman ?
- C’est souvent maman et quelques fois papa, mais jamais moi.
- D’accord, et quelle sorte de protections tu mets ? Est-ce qu’elles s’enfilent comme un slip ou il y a des scratchs sur les côtés ?
Et en parlant un peu moins fort de manière à ce que seul Vincent entende, Sam continua :
- Ou alors c’est les mêmes que celle que tu avais tout à l’heure quand tu es arrivé au centre ?
- Mathieu est au courant que j’en avais mis une pour le trajet, lui répondit Vincent. Et non celle que j’avais tout à l’heure c’est des échantillons que l’on a donné à maman pour que je les essaye. Ce sont des changes complets que l’on achète en magasin de matériel médical que je mets le soir, répondit Vincent.
- D’accord, alors je te propose de te mettre la même chose. Cela sera certainement une marque différente de celle que tu as l’habitude mais c’est le même principe, il y a une attache de chaque côté.
Vincent regardait le chariot tout en étant allongé et s’aperçut qu’effectivement les couches qui étaient présentes dessus n’étaient pas celles que sa maman achetait.
- Vu ta taille et ton poids, je vais choisir celle-ci, dit Sam après avoir hésité entre 2 protections. Je la déplie, pendant ce temps là, tu peux lever les fesses pour pouvoir baisser ton pyjama. Si tu as un slip, baisse le également.
Vincent fit ce que Sam demandait tout en continuant de l’observer.
- Mais dites moi tous les 2, vous êtes bien aller faire pipi tout à l’heure après vous être lavé les dents.
Les 2 garçons répondirent par l’affirmative.
- Parfait, cela serait bête que vous me disiez avoir envie de faire pipi juste après que je me sois occupé de vous.
Alors que Sam allait glisser la couche sous les fesses de Vincent, ce dernier leva automatiquement son postérieur sans que Sam n’ait eu besoin de demander.
- Je vois qu’effectivement tu as l’habitude, dit-elle avec un sourire. Je vais te nettoyer un coup avec ce coton et cette eau nettoyante. Je te mettrai ensuite un peu de crème, d’accord ?
- Oui, se contenta de répondre Vincent.
Et Sam fit le nécessaire pour le nettoyer et lui mettre de la crème. Elle rabattit ensuite l’avant de la couche entre les jambes et lui plaqua sur le ventre.
- Cette protection est peut-être un tout petit peu trop petite pour toi, dit Sam en attachant les attaches. Elle ne te sert pas trop ?
- Non ça va, dit Vincent.
Il remarqua que ces couches n’avaient qu’une seule attache de chaque côté contrairement à celles que sa maman lui mettait tous les soirs et effectivement elles avaient des dessins dessus. Il avait un peu levé la tête pour voir à quoi ressemblait sa couche et entreprit de la toucher.
- Elles ne sont pas non plus en plastique, lui dit Vincent.
- Effectivement. Celles que tu mets chez toi le sont ?
- Oui répondit Vincent.
- C’est presque terminé. Dis moi, est-ce que tu veux remettre ton slip par dessus la protection ou tu préfères être juste en pyjama ?
- Je préfère remettre mon slip, dit Vincent.
- D’accord, alors lève les fesses, je vais t’aider pour aller plus vite.
Sam lui remonta donc son slip et enfin son pyjama.
- Voilà, tu es prêt, tu peux descendre et aller sur la chaise à la place de Mathieu.
Vincent descendit donc de la table et remarqua que sa couche n’était pas aussi épaisse que celles de chez lui. Il la trouva plus agréable et cela ne le gênait pas tout pour marcher.
Mathieu avait observé toute la scène et lui aussi avait trouvé que Sam était vraiment très gentille et très douce.
- A toi Mathieu, viens t’installer s’il te plaît.
Mathieu se leva donc de sa chaise et s’allongea sur la table d’examen tout comme l’avait fait Vincent.
- Je vais faire pareil qu’à Vincent. Je vais te nettoyer un peu et te mettre de la crème.
Sam, toujours aussi gentiment, s’occupa de Mathieu.
- Et toi, à la maison, tu mets une protection avec des attaches sur le côté, comme Vincent ?
- Oui, répondit Mathieu.
- Alors je vais te mettre la même que lui, vous avez à peu près la même taille.
Elle procéda donc de même et lui demanda à lui aussi s’il préférait garder son slip ou l’enlever.
- Moi je préfère l’enlever.
- Pas de problème, je t’enlève ton bas de pyjama pour qu’on puisse le retirer alors. On le laissera ici pour que tu puisses le remettre demain matin.
Sam aida donc Mathieu à enlever son slip, et lui remonta ensuite son bas de pyjama.
- Bon, vous voilà prêts pour la nuit. Je vous explique comment ça va se passer demain matin. Je viendrai vous réveiller 15 minutes avant les autres et on viendra ici pour enlever votre protection de la nuit. Je vous passerai un coup de lingette histoire qu’il n’y ait pas d’odeur et vous pourrez retourner dans votre lit. Quand j’irai réveiller les autres, vous serez ainsi comme eux, et ils ne verront pas que vous avez ce petit problème. Ça vous va ?
- Merci Sam, dit Vincent.
- Oui merci, dit à son tour Mathieu.
- Mais il n’y a pas de quoi.
Sam prit alors le slip de Mathieu et alla le poser sur le chariot qu’elle remit là où elle l’avait prit.
Vincent ne l’avait pas remarqué tout à l’heure, mais à côté du slip de Vincent, il y avait déjà un vêtement rose qui ressemblait à une culotte.
Sam ouvrit la porte et les laissa passer devant elle avant de la refermer. Les 2 garçons prirent la direction de leur chambre tandis que Sam les suivait.
Une fois devant leur chambres, les 2 garçons entrèrent et allèrent s’allonger dans leur lit.
- J’arrive, leur dit Sam qui s’en alla dans le couloir.
Les garçons l’entendirent parler et refermer une porte. Elle revint dans le chambre juste après.
- Certains avaient rallumer leur lumière de chambre, leur dit-elle. Ne faiites pas de même, il est l’heure de dormir. Si vous avez le moindre problème cette nuit, vous pouvez venir me voir, vous avez vu où était ma chambre.
Sam leur fit un bisou sur le front à chacun et leur souhaita bonne nuit avant de fermer la porte.
A peine le porte fut-elle fermée que Vincent chuchota à Mathieu.
- Tu as vu comme est elle gentille ? et je t’avais dit que tout se passerait bien.
- Oui, c’est vrai, elle est super super gentille.
- Et au fait, tu as vu que sur le chariot il y avait une culotte ? Je pense qu’au moins une des filles de notre classe porte une couche.
- Ah non je n’ai pas vu. Je me demande bien qui c’est.
- Moi j’espère que ce n’est pas Noémie.
Et Vincent lui expliqua pourquoi il pensait que cela puisse être elle.
- Bonne nuit Vincent, je suis fatigué.
- Oui moi aussi je le suis, bonne nuit, à demain.
Et c’est ainsi que se passa l’arrivée au centre de Vincent et de Mathieu.
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That french show "j'irai dormir chez vous- Algérie" received so much (negative) attention, when they posted the teaser it was already the most number of views the show had gotten, but a lot of people expressed their deception after watching the whole thing and many speculated the episode was made specifically to tarnish Dzayer's image.
Antoine had been to Kabylie and Ghardaïa , hadn't met police there, when he went to our Sahara close to the borders he was asked to have a local guide, he refused so instead of kicking him out, the police proposed that a civil followed him from afar to ensure his safety , he did not refuse, he then wanted to get a permission to adventure outside of the city that was refused.
The security agents had all been dressed in civil and calmly talked to him, they shouldn't have been filmed yet he filmed them, they explained that they weren't worried about the city or its lovely people, that it was safe but they wanted to be extra safe, the country is just opening up to tourism and receiving so much hate, it also has troubled borders, so while it is safe tourists (even Algerian) need to be accompagnied with a guide in the Sahara, a lost or dead journalist would not do good to the country's image.
With all that in mind, Antoine really said: oh i get it now you want to keep me safe to give Algeria a good image, no problem i'll give you a completely different reason to worry. And it become a subject of trends between all those journalists outside who has a job to criticize everything relateed to the country, they need to earn money after all.
All of this doesn't bother me, French ppl who come here have the tendency to bring out the worst in us, we are used to it, the police should have been more subtle or told him off right off the bat, altho you do imagine that they'd still be criticied no matter what (if they didn't care and something bad happened , if they were more stern, or laid back) But the realiy is that this whole fuss is made because a white man ws stopped in a third world country.
It's easy to reverse the situation, if i, an Algerian had been to France to film an emission and the police stopped me from going to a certain place alone, worried about my safety, and filmed it, i would be the one criticized for being irresponsible for not cooperating. But when a white man does it, he he is denouncing corruption and toxic behavior , while he sounds objectively completely insane (not to mention offensive with his offhanded comments on M'zab women and the Kabylie status) Even though we all know how are people can be treated aboard, it is always assumed it is our fault, but never the fault of the more responsible white man on backwarded countries.
Also just one thing, the security wasn't aware he was a jornalist at first and Algerians are also stopped when they want to wonder alone in the desert, it doesn't have to do with nationality, although yes french channels are usually kept abay, it doesn't have to do with colonialism as much as their more recent behavior . Also there has been a case of a european tourist dying in the desert last year, i assume security was blamed then.
(sorry for info dumping ;-; the previous anon made me think, i didn't know where to put this)
The first time I wandered alone in the Sahara with my grandparents we wanted to cross the border with Mali, we had the paperwork and all but the border agents said no. They said only my grandpa could cross the border but not my grandma or me. The feminist inside me got angry and then the border agent was like ���My sister, the Malian authorities told us there was potential terrorists near the border and that it wasn’t safe for women right now that you could get kidnapped. So sit down I’m not letting you cross the border.” The feminist inside me immediately calmed down 😂
But yeah all of that to say that if he was in the Sahara it 100% makes sense that the authorities were watching over him. Some places are protected too and only Kel Tamasheq/Touareg can go there. There’s also the area around Tindouf and the border with Western Sahara…
Anyway thank you for all the informations!!
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J'irai dormir chez vous : Antoine de Maximy dévoile ses ruses saugrenues pour s'infiltrer chez les stars d'Hollywood
J’irai dormir chez vous : Antoine de Maximy dévoile ses ruses saugrenues pour s’infiltrer chez les stars d’Hollywood
Invité de Touche pas à mon poste le 1er juin dernier, Antoine de Maximy a livré de savoureuses anecdotes sur ses tentatives d’infiltration dans les propriétés de plusieurs stars pour J’irai dormir chez vous. Les téléspectateurs de J’irai dormir chez vous en raffolent. Les anecdotes d’Antoine de Maximy sur son incroyable parcours de globe-trotter ne manque jamais de saveur. Depuis 2005, le…
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"J’irai dormir chez vous" en Australie, vendredi 9 août 2024 sur RMC Découverte avec Antoine de Maximy
http://dlvr.it/TBc7LC
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Ça continue!
En référence à mon premier titre du 18 septembre (nous sommes le 18 novembre, je vous laisse faire le calcul) :-)
Je n’ai pas grand chose à raconter, mais chose promise, chose due: Voici mon article bilan post 2 mois #expérience #nostalgie (en vrai comme je viens de le dire au Pulcino, alias ma belle-soeur wesh, j’ai un peu le temps long hihi)!
Au niveau de l’espagnol: compréhension, de mieux en mieux :) Je comprends énormément (sauf quand ça crie dans les bars, et encore, je m’habitue), donc ça c’est top! Pour parler c’est plus facile aussi (j’espère bien!), c’est toujours la grammaire qui me fait défaut. Mais j’ai acheté une grammaire et je m’y tiens, et je sens que quelques formes verbales rentrent tout de même dans ma cabeza. Je vais essayer d’avancer là-dedans (dans la grammaire, pas dans ma cabeza) d’ici le 23 décembre, date à laquelle je rentre en Belgique (vol à 6h du matin, et oui je n’ai pas réfléchi en prenant mon billet. Coïncidence? Je ne pense pas. --> Ceci n’a rien à voir avec ce qui précède, même si tout es lié dans l’univers, n’est-ce pas G? --> Je ne parle pas du point). Ce serait chouettos, chouette objectif :)
Au niveau du chinois: toujours pas de progrès, je ne comprends pas. (Pas contre au niveau des blagues de mieux en mieux, n’est-ce pas?)
Au niveau de la fatigue: il y a un mieux! Et oui mes amis, scoop de scoop: j’ai réussi à me reposer ce week-end! J’ai passé trois jours à lire, écrire et méditer (<3 Petit Bambou).. et dormir! Et cuisiner mes bons légumes au four :) (On dirait une petite vieille haha, mais j’en avais besoin). Et à faire mon sport également, beaucoup de marche, salle de sport.. ça aide pour le sommeil (non sans blague, disons que la théorie on la connaît tous, c’est mettre les choses en pratique qui s’avère parfois compliqué. Bref on s’en fout) Du coup je suis appaisée, c’est sympa :) Je compte bien continuer sur cette lancée :)
Au niveau des cours (que je donne): je m’habitue :) On a trouvé notre rythme avec Mercedes, et ça se passe bien. J’adore l’école, c’est un petit bonheur d’arriver le matin. Je m’attache aux élèves (qui sont juste trop mignons), les collègues sont super sympas.. Le 6 décembre on retourne au théâtre :) Franchement j’aime bien l’atmosphère, je me sens bien en classe.. Que demander de plus?
Au niveau de mon rythme: la règle “je prends le dernier métro grand max” a porté ses fruits :) je me sens plus reposée (la fatigue est toujours là, elle va pas partir du jour au lendemain, mais je peux faire les choses plus à mon rythme, c’est cool). Je ne sors plus jusqu’aux petites heures - hier j’étais au lit à 3h, oups, en tout cas beaucoup moins. Je m’adapte, je m’adapte. J’adapte mes repas aussi, je prends mes petits tupperwares à l’école pour ne pas revenir affamée comme jamais à l’appart’ vers 16h (diner à 16h c’est bofi). #adaptation
Au niveau de mes amis: Pri, Elise (qui s’en retourne en France cette semaine :(), et je commence à voir les gens du théâtre en dehors des cours :) J’ai passé la soirée de vendredi avec Blanca (une madrilène pure souche), on a parlé toute la soirée en espagnol (bien gossipé ouais!) et c’était ma foi bien cool, Jacob of course (<3), Elsa :), Josué (que je n’ai plus vu depuis 1000 ans, j’ai hésité à le mentionner). Disons que c’est mon cocon. Les autres personnes, je les croise de temps à autre à la danse (même si je n’y vais plus beaucoup), à l’école (j’adore Stephanie, l’auxiliaire de conversation d’anglais qui vient de New-York) et Sarah et Sandra, deux autres collègues de langue (espagnoles), trop trop sympas. Je n’ai pas vraiment fait de “grosse” rencontre ce mois-ci (la fatigue n’a pas aidé, c’est fatigant de rencontrer de nouvelles personnes mine de rien), même si je suis allée à l’anniversaire d’Alessandra il y a une ou deux semaines d’ici, une nana italienne de la danse ultra sympa.
Au niveau du moral: des hauts (très hauts) et des bas (qui sont tombés un peu bas dernièrement, mais tout va bien no worries), comme le commun des mortels :) Le sentiment général que j’ai en ce moment même? Je vais bien, mais ma famille et mes amis me manquent. Mon cocon belge <3 Mais je ne suis pas démoralisée pour la cause héhé, surtout avec mon adaptation rythmique (j’ai un rythme plus sain qui me correspond mieux --> Je suis plus reposée --> ça va mieux).
Au niveau du théâtre (et des mes hobbys en général): full love as usual. Hier j’ai rencontré une espagnole qui avait étudié pour être actrice et qui fait maintenant la psycho car c’est trop galère de vivre du théâtre. Elle a étudié 4 ans dans une école très connue (et très chère) de Madrid (Cristina Rota je pense), elle a même eu un agent qui lui proposait les castings.. tous pour des publicités. Et elle a même suivi des cours d’interprétation devant caméra. J’adore les artistes <3
- Je vais à la salle plus régulièrement, j’adore ça :) Ça m’aide à dormir et je m’y sens bien (mais qu’est-ce qu’on s’en fout Carlota - version espagnole - Carlotta - version italienne.. C’EST MON BLOG JE FAIS CE QUE JE VEUX, OK?! - beaucoup trop violent les majuscules). Par contre la danse, beaucoup moins. J’y retournerai à l’occasion (comme l’anniversaire d’Alessandra par exemple), mais ce n’est plus mon dada (pas le cheval, vous m’avez compris).
- Et je vais voir des expos, des pièces de théâtre.. et je lis énormément aussi. Ma culture va exploser ici! J’ai les musées Prado et Reina Sofia à 15 minutes de chez moi (je suis passée devant comme une reine seulement hier, après deux mois haha!) J’irai y faire un tour un de ces 4 :)
Au niveau de mon ouverture d’esprit: émancipation X2000. Tous les gens que j’ai rencontré jusqu’à présent m’ont ouvert l’esprit, avec leur vision du monde complètement différente de la mienne. C’est extrêmement enrichissant, du coup je me pose pas mal de questions sur pas mal de sujets. Je suis également de plus en plus sensibilisée aux problèmes du plastique, notamment grâce à Elise, Pri et Elsa. Le bio j’adhérais déjà, mais il y a un énorme travail à faire au niveau du plastique, j’en ai encore parlé avec Elise hier en me promenant à Casa de Campo.
Allez maintenant je blablate un peu sur ce que j’ai fait vendredi, samedi et aujourd’hui (si je compte bien) :-) J’ai même quelques photos, vous avez de la chance!
Mais j’ai déjà raconté jeudi et une partie de vendredi, non? Vendredi soir du coup, j’ai passé la soirée à Lavapies avec Blanca :) Trop trop chouette <3 On avait proposé (j’avais proposé) à tout le groupe de théâtre mais il n’y a qu’elle qui a répondu à l’appel haha, ça nous a bien fait rire!
Samediiiii qu’ai-je fait? C’était hier ça. Le matin j’avais envie de marcher, du coup je suis allée chez Veritas (supermarché bio) à pied, en passant devant tous les fameux musées, grand soleil.. Le pied :) J’adore Madrid <3 J’ai fait quelques photos sur le chemin, mira:
Le musée du Prado si je ne m’abuse :)
Une inconnue (je vous mets tout, comme dans mon billet précédent il n’y avait quasi aucune photo - COMPENSATION)
Un monument dédiés aux morts du 2 mai pienso.
Je ne sais pas ce que c’est, mais c’était joli (même pas honte, mais je vais tout de même me renseigner)
Juste avant d’arriver au magasin bio :) Je trouvais la ruelle jolie (oui, vous aurez tout)
Alors là.. Il y a une histoire trop drôle à raconter, il y a même eu un rebondissement à l’instant même où je vous parle (où je vous écris serait plus correct).. Ce magasin se trouve juste à côté du supermarché où je suis allée. Je l’avais déjà repéré (je vous laisse deviner pourquoi) et j’avais promis une photo à la copine de mon fratello (coucou Pulcino). Du coup cette fois-ci, ni une, ni deux, je prends la petite photo. Et petite comique que je suis, je la poste sur Facebook avec en légende “Ça y est, je me suis lancée à Madrid! Wish me luck!”
Croyez-le ou non, mais il y a des gens qui pensent vraiment que c’est vrai (au risque de répéter le mot “vrai”), ça me fait trop rire! C’est trop gentil en même temps, ils commentent cette fameuse photo (qui, à l’heure d’écrire ce billet, compte 57 “j’aime”) “Félicitations”, ce à quoi je réponds “Merci!”. Quelle marade, j’en ai encore parlé avec la famiglia il y a quelques minutes (skype familial oblige, coucou Pulcino), qu’est-ce qu’on a ri. Et voilà ti pas que je raccroche mon skype et qu’une amie m’envoie la photo suivante avec le message suivant “Fallait que je te partage ça”:
Le coup du siècle je vous dis! Qu’est-ce que je me marre! :D J’adore les gens <3
Alooors, après cette petite escapade, je suis retournée à l’appart’ tranquille faire une sieste je pense (et sans doute un peu méditer aussi, je vous mets une photo du logo de PetitBambou:)
Promis, j’ai pas d’actions là bas.. Je devrais peut-être haha :-) Ah oui et j’ai appelé mon ancien colloc aussi (Coucou Gab!) :)
Ensuite j’ai rejoins Elise à Casa de Campo à 17h45 pour une promenade nocturne dans la forêt:
J’ai enlacé longuement cet arbre.. C’était puissant, il s’est vraiment passé un truc :) (et NON JE NE SUIS PAS CINGLEE #PetitBambou #faitesdescalinsauxarbres #abasleplastique) Je suis sûre que les échanges d’énergie et autres existent, qu’il y a plein de choses dont on ne connait pas la force et la portée (bon allez, je me tais.)
Après cette jolie promenade, je suis allée boire un verre avec l’ami Jacob, Amel (une des ses amies françaises rencontrée a Tenerife), Aurore et une espagnole (dont j’ai oublié le nom) qui a étudié pour faire actrice (j’ai l’impression que j’en ai déjà parlé plus haut, je me trompe?). On s’est retrouvés dans une boite de hip hop (totalement mon style de musique!) avec les deux françaises (trop sympas), Jacob (américain donc) et les deux collocs espagnols de Jacob, petit mélange cosmopolite des familles comme on aime :-) A las tres, estaba en mi cama.
Today, réveil à 10h30 pour aller au yoga de la risa, dont je vous ai déjà parlé ultérieurement (si je ne m’abuse encore, même si j’aime bien m’abuser. J’arrête.) Pri est venue avec, c’était chouette! Le thème était “Abrazo”, (pas sûre que ça s’écrive comme ça, mais soit, les câlins quoi!). Et bien mazette, c’est puissant ce truc! Un peu comme avec l’arbre hihi :-)
J’ai fait une petite photo d’une affiche de la Tabacalera avant de partir:
Elle me faisait un peu penser à Cuba, je trouvais ça joli :)
Allez les petits lous, je vous laisse, que d’émotions que d’émotions tout ça! Et surtout, je dois appeler les fournisseurs de vin pour la commande de demain (mais quelle rigolade, je m’en remettrai jamais :P Les gens sont trop chou <3)
Grosses bètches!
Charloute!
PS: Je me rends compte, 30 minutes environ après avoir bouclé ce billet, que j’ai oublié un point essentiel: l’écriture. Au fil de mes lectures (dernièrement, “La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert” qui m’a fait pas mal réfléchir sur le sujet) et de mes billets ici même, je me rends compte qu’écrire peut devenir une passion. J’adore blablater par ici, et je pense que ça me plairait énormément d’écrire des choses plus sérieuses, plus structurées. Une piste à creuser? :) A ver! En tout cas, ça me fait un bien fou et ça m’éclate (comme disent les petits jeunes, dont je fais toujours partie oui oui!) (-:
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Photo
Pancake ira dormir chez vous
( inspiré de la série “J’irai Dormir Chez Vous” de Antoine de Maximy )
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Un bonjour
Je prends du retard dans les photos, en effet à force d’en prendre j’ai du mal à les classer, mais ça va venir.
Ici à Irkoutz, j’ai rencontré Viktor et sa femme Alla, des personnes charmantes à tel point que je demeure chez eux ! J ai une chambre et ils me portent beaucoup d’attention, j’ai même vu le match France / Pérou.
Hier, Viktor m’a emmené au lac Baïkal, avec une halte dans un musée de l’habitat historique sibérien puis le musée du lac Baïkal. Ensuite nous sommes allés dans sa datcha pour le lunch et boire du thé avant de rentrer. Demain dès six heures du matin il me conduit à la gare pour prendre mon train.
Eh oui, j’en avais rêvè et ça existe. . .
“ J’irai dormir chez vous” c est pas toujours du cinéma, la preuve.
Donc dans un avenir très très proche, les photos vont suivre.
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🎶 new dawn 🙏le soleil se lève,
new day 🙃 de facto,
new life 🤔 hmmm oui et non personne ne peut quitter sa vie, on passe à autre chose ... quand à 🎶 l’m feeling good , on verra plus tard ... là ça fait juste un mal de chien ...
🎶 je me lève , tu ne te réveilles pas , comme d’habitude 🎶
🎶Tu m'avais promis mais un jour
Un jour comme un autre je t'ai attendue
Jusqu'au petit matin mais tu n'es pas venue
Les mois ont passé malgré moi j'attends
Je t'attends encore, et pourtant🎶
La nuit s’est refermée sur toi .
🎶 Si des roses dans le ciel s'envolaient chaque soir
Quand nos paroles s'éteignent dans le noir,
Si nos bouches silencieuses s'ouvraient comme un feu,
Peut-être que nous serions heureux...🎶
mais il faut croire que 🎶Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux🎶
Je sais bien que 🎶 Moi je vis la vie d’à côté🎶
mais 🎶 Vous aviez mon cœur moi j’avais le votre , un cœur pour un cœur , bonheur pour bonheur , le votre est rendu je n’en ai plus d’autre le mien est perdu 🎶
Nous aurions pu 🎶 Isolés dans l'amour ainsi qu'en un bois noir,
Nos deux coeurs, exhalant leur tendresse paisible,
Seront deux rossignols qui chantent dans le soir.🎶 Ce dont je me sou-viens
C'est qu'on é-tait heu-reux
Les yeux au fond des yeux
Et c'é-tait bien
Et c'é-tait bien.🎶
🎶 Dis quand reviendras-tu
Quand cesseras-tu d'être un souvenir
Pour moi qui t’ai connu autrefois?
Je suis dans cette ville
Le coeur frigorifié
Le froid m'y est hostile
J'aime bien y flâner
J'y marche pendant des heures
Et suis obnubilé
Par l'éventuelle erreur
Qui m’a amputé
De ton amour 🎶
Ce petit bonheur qui 🎶 un matin joli
Que j'sifflais ce refrain,
Mon bonheur est parti
Sans me donner la main.🎶
🎶 tout en douceur sans cris sans pleurs on va s’aimer comme frère et sœur 🎶
J’irai seul à Galway 🎶 J'flâne le long des bateaux,
Leurs couleurs en lambeaux,
Et le ciel, sur Galway, aujourd'hui est plein d'eau.
J'flâne le long des bateaux,
Leurs couleurs en lambeaux,
Et le ciel, sur Galway, aujourd'hui est plein d'eau.🎶
J’irai demander aux cygnes 🦢🎶 parlez-moi d’elle 🎶
Pourquoi ne nous as-tu pas donné un peu de ce temps ou nous aurions pu chantonner 🎶 nous prendrons le temps de vivre 🎶
Tu m’as juste laissé 🎶 le goût du trop peu🎶
Je t’ai ramené 🎶 pour la dernière fois🎶 chez toi ...
🎶 Et maintenant
Que vais-je faire?
De tout ce temps
Que sera ma vie
De tous ces gens
Qui m'indiffèrent
Maintenant
Que tu es partie🎶
Tu étais 🎶 mon amante de la Saint Jean 🎶 Je suis emporté au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
La femme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé 🎶
Je sais au fond de moi que jamais je ne retrouverais 🎶quelqu’un comme toi🎶
🎶Tu es venue me dire que tu t’en vas🎶
🎶 voilà c’est fini 🎶 nous fûmes comme 🎶 un poète et une inconnue qui s’aimèrent l’espace d’un instant 🎶
Je me serais contenté 🎶d’une vie de rien 🎶 et de jeux interdits 🎶 tu étais juste trop sauvage comme cet immense rivage que tu aimes telle cette chanson Karentez Vro 🎶
Tu es devenue une chanson , celle que tu aimais 🎶 Lay of Nimrodel 🎶
Mais bon puisqu’🎶on ne vivra pas tous les deux ... 🎶
Ma folie m’amène à m’imaginer que 🎶tu es passé dans les pays de l’autre côté
Car quand le soir est doux ici
Je sens ton sourire qui revient
Et la caresse de ta main
Je sens que tu es tout contre moi
Que ta fraîcheur pénètre en moi
Que tu me dis dedans l'oreille
Des mots d'amour doux comme le miel🎶
Tu étais 🎶 ma môme 🎶
Maintenant 🎶 je sais 🎶 qu’avec le temp ...🎶
Tu ne m’auras laissé 🎶sous ma plume,
Des mots amères des mots perdus,
Des mots d'une tristesse absolue,🎶
Tu m’avais dit 🎶 trois petits mots qui voulaient dire toute la vie 🎶
Trois petits mots qui sont devenus 🎶 Trois petites notes de musique
Ont plié boutique
Au creux du souv'nir
C'en est fini d'leur tapage
Ell's tournent la page
Et s'en vont dormir
Mais un jour sans crier gare
Ell's vous revienn'nt en mémoire🎶
Et je me souviendrais quand j’étais 🎶 entre tes bras 🎶
L’automne arrive doucement et 🎶je me souviendrais de ces chansons, les feuilles mortes te rappèleront à mon souvenir ... au vent mauvais 🎶
Il faut croire que 🎶 ma p’tite chanson ne te plaît plus 🎶
Je me souviendrais de 🎶tes baisers 🎶 mon héroïne 🎶 au revoir mon amour 🎶 tu étais si jolie que je n’ai pas osé t’aimer ... 🎶
Je sais que j’étais 🎶 un étranger 🎶pour toi ... et pourtant 🎶 Au fond ma musique était pleine d'espoir...🎶
🎶 je ne pourrais plus dire je t’... 🎶
A qui pourrais je le dire , tout est brisé en moi ... je n’en ai plus même l’envie ... 🎶 j’ai su trop tard que rien ne sert de forcer la bouche et le cœur ,
les sentiments naissent et meurent, sans raison le sang s’indiffère 🎶
ta flamme un jour s’est embrasée, ma braise une nuit s’est éteinte
j’ai dû faner dans mes étreintes la fleur brisée de tes baisers 🎶
Je n’oublierais jamais ton visage ...
🎶 je voyagerai en solitaire 🎶
🎶 J'ai bien pensé mourir
De chagrin et d'ennui,
J'avais cessé de rire
C'était toujours la nuit.
Il me restait l'oubli,
Il me restait l'mépris,
Enfin que j'me suis dit:
"Il me reste la vie".
J'ai repris mon bâton, mes deuils, mes peines et mes guenilles,
Et je bats la semelle dans des pays de malheureux.
Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille,
Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux...🎶
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