#j’ai les yeux tout mouillés
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pingou7 · 16 days ago
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Rah j’ai ADORÉ mon cadeau Aquitain de la part de Secret Santa Kaamelott cette année.
Te plaît révèle toi à moi qui que tu sois ! 🥰
(Je considère ce cadeau comme Canon, spécialement le prénom Eudes ! Je doute que notre Roi en ajoute un, et même s’il le fait, j’oublie la moitié de ceux de Kv1 sauf Horsa et Wulfstan parce que déjà… Sting! Je répète, STING et ensuite Jehnny Beth a un charisme incroyable malgré leurs rôles sous-développés).
Merci à @gerceval sans qui pas d’échange du tout. Paix et amour sur tout le fandom!
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lovingshine · 7 months ago
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Je recommence, je recommence à bouger de gauche à droite sur mon lit, l’esprit plein le cœur à 100 milles et les yeux mouillés. Pendant un temps je n’ai plus rien ressenti, j’étais trop occupée, mais peut être qu’elle a trouvé la faille. Pitié je n’veux plus être celle-ci. J’ai trop souffert, je n’veux plus de médocs, plus de médecin, plus de dépendance, j’veux juste être occupée, épuisée, fatiguée. Elle va me pomper tout le peu qu’il me reste, j’ai peur. J’ai peur de moi.
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 24
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
Vous pouvez également naviguer entre les différents posts de chapitres à l'aide de ce sommaire
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
I’m back in the fUCKING BUILDING AGAIN
Coucouuu ! Chapitre 24, yay !
Dans le chapitre précédent, un concert commençait sur Tadix, et suite à un malentendu, déclenchait une soi-disante hécatombe.
Comptons ensemble les 20 figurants que ce combat va tuer, dans ce chapitre qui s’intitule « La faction cachée, ou comment réaliser que ce n’est pas parce qu’on est un démon qu’on n’a pas de problèmes. »
« Archange, qui s’était mis les mains sur les oreilles avec une grimace stupéfaite lorsque l’orchestre avait entamé le morceau, hurla. L’aragne, touchée par plusieurs rayons s’écroula, s’emmêlant les pattes et s’écrasant sur un quart de l’orchestre (nooooooon, pas l’aragne, elle était si douée :( je dis ça premier degré, je l’aimais bien). Heureusement, contrairement aux camhboums, leurs cousins, les tazboums, qui ressemblaient aux yeux de Tara à de grosses mottes de beurre coniques à tentacules et pupilles rouges, n’explosaient pas sous la pression d’émotions extrêmes, sinon les trois quarts de l’orchestre seraient morts de saisissement. Cependant, ils n’en demeuraient pas moins fragiles, parce qu’ils se déplaçaient lentement et constituaient des cibles faciles à abattre.
Ce dont les démons ne se privèrent pas.
Les corps tombèrent dans l’eau, dans la fosse, un peu partout.
Le service de sécurité, voyant qu’on décimait les musiciens et les chanteurs qui couraient dans tous les sens afin d’essayer d’échapper aux tirs destructeurs, répondit soudain aux tireurs. Des rayons partirent dans tous les sens et les spectateurs hurlèrent lorsqu’ils furent touchés à leur tour par les tirs de riposte. »
La trêve aura bien duré une demi-journée aha. Cela dit, j’aime bien que ce malentendu ait des conséquences, j’espère que ça durera un peu plus qu’une scène et un timeskip pour s’engueuler légèrement.
Archange intervient pour empêcher ses démons d’attaquer, c’est déjà la deuxième fois qu’il sauve tout le monde d’une bourde. Lisbeth l’accuse pour ceux qui sont morts, mais il riposte que personne ne l’est. Et en effet, tous ceux que la magie a touché sont seulement endormis, pas morts.
Grmmlrgh. Le bait and switch des fins de chapitre-débuts de chapitre commence un peu à me taper sur le système. Au bout d’un moment, on les sent venir, les scènes de tension qui donnent l’illusion de créer un enjeu monstre et catastrophique, tout ça pour complètement se désamorcer dans les pages suivantes. Je crois que Patricklemorse en parlait déjà dans sa critique du tome 10, je dois confirmer que c’est très lourdingue. Sans ça, la saga pourrait avoir de vrais enjeux profonds, mais il y a un effet très « série américaine » avec suspense en fin d’épisode et absence totale de danger au début du suivant.
C’est pour ça que je n’arrive pas du tout à croire à la mort de Selenba, ni au danger qui plane sur les personnages avec cette histoire d’assassinat commandité. D’autant moins que monsieur X s’avère être dans le camp des gentils. Je n’ai aucun doute que Robin s’en sortira sans problème, et à ce rythme, la sphère négation même s’annonce comme un gigantesque pétard mouillé. Tout est trop lisse pour que le moindre risque soit réel, dans cette saga. Comme si on voulait garder une composition de personnages intacte afin de leur faire vivre les mêmes aventures en boucle pour toujours.
J’ai tellement lu de séries ados, voire même pour enfants, qui posaient réellement un danger. Même quand il y avait des histoires de personnages qui ne mouraient pas réapparaissaient plus tard, on observait du changement et de l’évolution. Je pense notamment à la série Tobie Lolness, qui fait deux tomes, est accessible aux enfants dès 8 ans mais qui met certains personnages dans des situations compliquées et psychologiquement heurtantes et crée de vrais changements chez certains, tout en abordant des thèmes comme l’écologie, le deuil, le mensonge, la famille… Il y a aussi Time Riders, pas mal dans le genre, plus tournée vers un public ado (ma lecture remonte mais je me souviens que ces bouquins m’avaient beaucoup marquée). Je m’arrête là avant de faire trop de recos de bibliothécaire, mais vous voyez l’idée.
Bref, Archange pointe du doigt que trois de ses démons ont été tués, ce à quoi Lisbeth réplique que non, car ses gardes avaient eu la consigne de seulement lancer des Paralysus plutôt que de tuer. Comme c’est pratique. Ç’aurait pu être intéressant que Lisbeth fasse une erreur, qui puisse sembler bénigne et justifiée par la teneur des attaques lancées par les démons, mais qui relance la tension… tant pis.
« Archange se mordit la lèvre, désolé de ne pas pouvoir utiliser ce levier d’une éventuelle culpabilité afin de faire pression sur Lisbeth. De nouveau, il avait sous-estimé la prudence des humains, qu’il considérait pourtant comme suffisamment belliqueux pour tomber dans ses pièges. Il fit contre mauvaise fortune bon cœur. Tant pis. Ceci n’était que les premiers tests. Il aurait l’occasion de piéger l’Impératrice, il en était sûr. »
… mais… spoilers, non… ? On ne devrait pas connaître les intentions profondes d’Archange à ce stade de l’intrigue, si ? Je veux dire, ça nous signifie que les menaces à venir seront sans doute du côté d’autres gens, puisque les siennes nous sont désormais claires… mais quand même, Archange aurait pu être un facteur de conflit et de mystère intéressant, si le lecteur ne venait pas gratuitement d’être plongé dans sa tête et de bénéficier de ses intentions.
Après ça, Tara propose à Archange d’aller marcher un peu seuls tous les deux. Tara lui parle de l’assassin qui en a après elle chez les démons, et Archange déplore qu’elle ne l’ait pas invité pour un rendez-vous romantique. Il prétexte qu’il ne veut que la paix, mais ce discours n’a aucune chance de convaincre Tara, puisque cette dernière est trop maligne (dixit la narration de l’ensemble des bouquins). Il n’a également aucune chance de convaincre les lecteurs puisque ceux-ci viennent d’avoir un gros plan sur ses intentions réelles.
Tara lui parle de sa théorie concernant la Faction bleue, mais il la repousse, arguant qu’ils n’ont pas les ressources ou les contacts pour commanditer une telle mission. Et puis ensuite, Tara fait une grosse erreur.
« — Archange, la politique, les relations avec ton peuple, tout cela nous pousse à mentir. Nous voulons commercer avec vous, parce que nous aimons l’idée d’échanger avec six nouvelles planètes. Nous ne voulons pas faire la guerre, pourtant nous gardons à l’esprit que c’est peut-être ce que vous, vous voulez, parce que c’est inscrit dans votre histoire. Et je n’ai que dix-sept ans et demi, Archange, je ne veux épouser personne. Je veux juste vivre ma vie, ce que je suis, découvrir pour quoi je suis faite, et non pas obéir et me couler dans le moule qui a été préparé pour moi. Je ne sais pas si tu peux comprendre cela, toi qui es le roi des démons à présent et as la responsabilité de milliers de peuples. Tu dois sans doute me trouver naïve de me confier ainsi à quelqu’un qui est peut-être mon pire ennemi, mais c’est ce que je suis. Alors si tu as des renseignements qui pourraient nous permettre de vivre en paix et de nous entendre, je pense que c’est vraiment le moment de me les donner.
Archange avait les yeux écarquillés. Effectivement, il ne s’attendait pas du tout à une telle franchise.
— Tu ne veux pas m’épouser ?
— Non. »
Voilà, donc Tara, qui nous est amplement décrite comme changée par la politique, en plein dans son rôle d’Héritière, forcée à la stratégie, et qui a jusque-là joué le jeu d’hésiter entre les prétendants, Tara décide sans consulter personne de parler cash à son ennemi de son refus de l’épouser. Les enjeux diplomatiques vont en prendre un coup… La narration explique un peu avant qu’elle se confie par lassitude, mais franchement, après la scène de tension qui vient de passer, elle croit vraiment que jouer cartes sur table va le faire ? Elle est dépeinte pour son habileté dans la plupart des chapitres qui précèdent, mais ça, c’est un abandon total et sans élément déclencheur ! Qu’est-ce qui a pu seulement la déstabiliser assez pour opter pour une stratégie aussi nulle ? Rien ! Ça sort de nulle part !
J’espère franchement que ça va avoir des conséquences (dit-elle, emplie de naïveté)
« — Mais alors pourquoi as-tu accepté ce rendez-vous ? Et celui du dragon ? Ou des autres prétendants ?
— Parce que ma tante l’a ordonné. Et que je suis censée obéir à ma tante qui est aussi mon Impératrice. Et parce que, comme je te l’ai dit, nous voulons commercer avec vous. J’ai dit non à tous les prétendants, y compris Maître Chem. (mais oui, vas-y, explique tous les rapports de force du côté d’Omois ! Explique que tu as repoussé Chem alors que les dragons et les démons se détestent et qu’Archange pourrait utiliser l’information pour mettre Chem en colère et inciter les dragons à l’erreur ! Vas-y ! Purain, si je ne savais pas déjà qu’il n’y a aucune conséquence dans cette série, je serais persuadée que c’est ça, l’élément déclencheur de l’affrontement éponyme !)
Archange avait l’air tourmenté.
— Tu n’es pas la seule, murmura-t-il. Moi aussi. (oh mais pitié, on est rentrés dans Les Feux de l’amour... Eh oh, vous êtes des autorités importantes sur vos planètes respectives ?? Les petites confidences de ce genre ça se fait pas, même à dix-sept ans!)
— Toi aussi quoi ?
Archange la dévisagea, puis soudain se détendit. Il allongea ses longues jambes gainées d’un impeccable smoking noir devant lui.
— Moi aussi ou plutôt moi non plus. Moi non plus je ne suis pas libre et moi aussi je dois obéir. Vous avez, je crois, une expression sur AutreMonde… « se rouler dans la bouse de traduc » ?
Tara ne put s’empêcher de rire.
— Être dans la bouse de traduc plutôt, ce qui signifie qu’on est dans les ennuis et bien profond.
— C’est ça. Je t’aime vraiment, Tara. Tout en toi me fascine. Mais je n’avais pas spécialement envie de t’épouser, moi non plus. Je suis jeune. Je commence tout juste ma vie, j’ai envie d’avoir plein de petites copines, de découvrir comment les choses fonctionnent, aussi bien dans ton univers que dans le mien. Le problème, c’est que j’ai gagné le pari contre mon père. Qui, en fait, ne voulait pas gagner. Il m’a très astucieusement manipulé afin que je devienne le roi des démons, ce qui correspond, plus ou moins, à l’équivalent d’une sorte de chef de guerre.
Tara se raidit.
— Guerre ? (« keu-wah ? Tu es l’autorité des démons, nous sommes en pleine négociation en tant que deux factions ennemies et tu me parles de guerre ?? j’en suis toute tourneboulée ! »)
— Puisque tu as été franche, Tara, je vais être franc moi aussi. (ça marche pas comme ça ça marche pas comme ça ça marche pas comme ça. Ptn, faut arrêter d’apprendre aux gamins que le pouvoir de l’amitié et de l’honnêteté fonctionne en politique, va y avoir des déçus) Il n’y a pas que les Factions bleue et jaune. Il existe aussi une faction, qui s’appelle Faction O. O comme Origine. Ce sont tous des vieux militaires, un groupe qui reste dans l’ombre et a œuvré afin d’endurcir notre race, de la préparer pour la reprise des conquêtes. Ils ont aussi travaillé afin que ce fameux programme d’eugénisme soit mis au point. Ils sont derrière notre terraformation, bien plus que mon père, qui aimait bien le statu quo dans lequel nous étions. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle mon père a volontairement perdu son pari avec moi et a tout fait pour que je prenne sa place. Afin d’avoir plus de liberté de manœuvre et de forcer ceux qui poussent à la guerre à se démasquer. Pour l’instant, cela a l’air de fonctionner, puisque tu viens de m’apprendre qu’ils ont décidé d’agir, enfin. Ils me craignent moins qu’ils ne craignaient mon père ; ils méprisent les humains, tout comme ils nous méprisent.
Son visage se durcit.
— Ils ont tort. »
C’est affreux à quel point Tara et Archange sont pathétiques, c’est affreux à quel point la Faction O a du potentiel d’antagonisme stylé et c’est affreux à quel point ledit potentiel va se retrouver jeté par la fenêtre. Après 23 chapitres, et malgré ma mémoire filante sur les tomes précédents, je peux annoncer que c’est ce qui va se passer. La fin de ce tome va être d’un ennui mortel.
Bref, Archange explique que la Faction O est derrière la mort des Très Hauts Mages, a secrètement aidé Tara à la destruction des objets démoniaques, et a même pu influencer Magister. C’est la première fois qu’on entend parler d’une entité qui réussit partiellement à contrôler Tara et Magister, les deux personnages cheatés de l’autrice. Comme il s’agit d’une faction et non pas d’une seule personne, il y a même moyen que cette manipulation ait du sens et soit moins agaçante à vivre. Mais je crains très fort qu’il s’agisse d’un ordre Gary Stuesque dont l’inclusion narrative ne fonctionne pas.
Comme la Faction O est celle ayant poussé Archange à se proposer comme prétendant envers Tara, cette dernière souligne qu’il est plutôt incohérent que la faction soit également commanditaire de son assassinat. Archange comprend soudain que l’assassin envoyé aux trousses de Tara est peut-être synonyme d’un coup d’État, « encore ». En effet, le père d’Archange avait lui-même été victime de ce genre de trahison, qui a fini par l’inciter à se retirer du pouvoir.
Archange suggère qu’ils annoncent leur mariage afin de voir ce qu’il va se passer, mais Tara décide d’en délibérer avec Lisbeth avant ça. Le démon va jusqu’à la remercier pour sa franchise salvatrice, ça me désespère, mais bon, c’est pas la première fois que ce tome me désespère.
Tara retrouve le magicgang, ils rentrent vers leur suite tout en évitant un passage bloqué vers une porte de Transfert. Je pose l’info là parce que ça aura probablement un impact sur la suite.
Cal est jaloux, mais dit également que Tara a le droit d’agir selon ses obligations diplomatiques. C’est bien, il n’est pas entièrement stupide.
« — Nous sommes des imbéciles, murmura Lisbeth.
— Oui, alors là, je pense qu’elle parle juste pour elle, grogna Cal en aparté, encore ulcéré de ne pas avoir Tara pour lui tout seul. (oh mais décide-toi, toi ! Un coup tu comprends les besoins diplomatiques et un coup tu es ulcéré...)
— Nous n’avons pas pensé qu’il pouvait y avoir plusieurs factions, exactement comme sur AutreMonde. Chez les dragons aussi, il y a eu des luttes de pouvoir, qui ont failli déclencher une guerre avec nous, pourquoi pas chez les démons ? Comme chez nous, ils peuvent avoir aussi l’équivalent d’un Magister ! (… oui, effectivement, vous êtes des imbéciles. Six planètes chez les démons et vous n’avez jamais envisagé l’existence chez eux de faction ou de conflit ? Vous êtes de profonds crétins. Et ça renforce mon idée qu’il est complètement absurde qu’Omois ne sache rien des démons alors même qu’ils sont alliés avec les dragons et que ceux-ci ont probablement des informations au sujet de leurs grands ennemis)
L’ombre du maître des sangraves plana un instant au-dessus d’eux.
— Mais s’il n’y avait pas de Magister démon ? fit Cal en se levant nerveusement, inquiet pour son ami Robin. (bon, ça j’apprécie, par contre. Je commençais à croire que Cal ne voyait Robin que sous le prisme d’un rival amoureux) Archange a déjà fait croire à Tara qu’il était de son côté, en pariant avec son père qu’il la convaincrait de voir en lui un humain et non pas un démon. Il l’a trompée une fois. Comment croire une seconde qu’il est sincère en avouant qu’il y a des dissensions dans son peuple ? »
C’est très dommage, car cet argument est symptomatique d’un potentiel loupé de Cal dans ce tome. Cal est un personnage fiable, intelligent, qui trouve souvent les solutions aux problèmes. CEPENDANT, Tara et d’autres ont de bonnes raisons de douter de lui dans ce tome : étant amoureux de Tara, et étant généralement retors, il n’est pas illogique qu’il emploie tous les arguments qu’il puisse trouver pour empêcher sa copine d’épouser quelqu’un d’autre que lui. Ce fait pourrait créer des divisions entre eux, et donner raison à Lisbeth de vouloir éloigner Tara de lui ! Mais malheureusement, aucune ambiguïté du genre ne se présente, et tout le monde lui fait aussi confiance qu’à l’habitude. Comme si ses sentiments pour Tara ne créaient aucun biais.
« — En fait, argumenta Tara en s’asseyant sur un siège robot perché sur une fragile tige d’acier brillant, il ne l’aurait pas avoué si je ne lui avais pas parlé de l’assassin.
Lisbeth lui jeta un regard intéressé.
— Ah, je me demandais comment tu l’avais amené à cette confession. Tu réalises que si c’est lui le coupable ou si simplement il est au courant et approuve, tu viens de lui remettre la vie de ton assassin entre les mains ? Et par conséquent la vie de Robin ? (MERCI, Lisbeth. Tu réfléchis un chapitre sur deux, mais quand tu le fais, tu envoies directement aux autres personnages ce que je voudrais leur dire)
Tara hésita. Comment pouvait-elle décrire une intuition ? C’était toujours très compliqué à expliquer. Elle sentait qu’Archange était parfaitement sincère lorsqu’il disait qu’il voulait l’aider et qu’il avait des problèmes avec des membres de son peuple. »
Oui, ou alors il te mène par le bout du nez en te faisant entendre ce que tu veux. Les intuitions c’est gentil, mais avec des preuves derrière c’est mieux. De toute façon, il va s’avérer que Tara a raison, et si elle a tort, ce ne sera pas grave. C’est du réchauffé huit fois.
Lisbeth approuve la décision d’annoncer le mariage, et tout le monde laisse Tara seule.
« Annoncer officiellement qu’elle allait épouser Archange ? La jeune fille blonde fit la grimace dès que la porte se referma en chuintant.
Elle ferait des cauchemars toute la nuit, c’était sûr. Elle se sentait piégée.
Parce que, tout au fond, elle se demandait si cela n’était pas qu’une façon pour Archange de les manipuler tous et de les amener à faire exactement ce qu’il voulait…
Il était plus puissant qu’elle avec sa magie démoniaque, elle avait bien fait de s’allier avec les objets démoniaques, afin de devenir aussi puissante que lui, en espérant que comme Moineau qui se transformait en Bête sous la pression, Tara n’allait pas, encore, se transformer en Reine Noire.
Soudain, alors qu’elle pensait à Moineau et à ses transformations, elle comprit quelque chose au sujet de la jeune princesse du Lancovit. Ce qui la plongea soudain dans un abîme de perplexité et de réflexion »
Mais pourquoooooi tu nous expliques qu’Archange fait exprès de provoquer Lisbeth, mais tu ne nous dis pas ce que Tara découvre ? Purain, c’est qui les protagonistes dans ce livre, à la fin ?!
Cinquième occurrence du trope « Les personnages évoquent très clairement un plan qui sera réutilisé plus tard dans l’intrigue, en termes qui sont non seulement giga vagues, pas agréables à lire mais qui sont en plus savamment calculés pour qu’on les ai oublié au moment où ce qu’ils concernent surgit ». Bon, ce n’est pas un plan, dans le cas présent, plutôt une conclusion à laquelle est parvenue Tara, mais quand même ?? Dis-nous tout de suite de quoi ça parle ???
Bref, Tara dort. Le lendemain, Fafnir lui rend visite pour lui demander, dans le cas où elle meurt, de compter ses tresses et les ramener à sa mère. La naine lui en parle sans émotion, tandis que Tara est touchée. J’aime bien ce passage, au moins on y sent que les personnages secondaires pensent aux enjeux qui les entourent, faute que la narration suive. Malheureusement…
« Leurs amis arrivèrent petit à petit, et Tara rendit son chaton démoniaque à son amie naine. Lorsque Cal, surpris de voir que Fafnir était arrivée si tôt avant eux, lui demanda pourquoi, elle lui expliqua ce qu’elle avait demandé à Tara. Cal hocha la tête, ému lui aussi. S’il mourait, sa famille n’aurait plus rien de lui.
Cela frappa les deux autres également. Du coup, quelques secondes plus tard, Tara, effarée, se retrouvait en train de jurer que oui, elle scalperait tout le monde pour rapporter leurs cheveux sur AutreMonde…
Tara n’osa pas faire remarquer qu’elle trouvait tout cela parfaitement ridicule.
Et surtout, qu’ils étaient bien optimistes de penser que l’un d’entre eux survivrait si Lisbeth déclenchait les bombes. »
Okayyy, super les émotions, hein. Dommage, j’ai failli avoir de la compassion pour Tara, Fafnir et les autres, ça aura duré un paragraphe. Heureusement que madame S.A.M. a calé sa blague très drôle, sinon on aurait pu sentir la pesanteur du danger, dis donc.
Une réunion de négociation commence. Je ne vous copie-colle pas le contenu ici car il n’y a pas grand-chose à commenter, mais je crois que jusque-là, l’ambiance « réunion diplomatique entre dragons, démons et AutreMonde » est l’une de mes choses préférées de ce tome. Tant mieux, me direz-vous, c’en est en partie le thème.
« Dans l’entourage d’Archange, il y avait un autre jeune homme, tout aussi beau qu’Archange (répétition d’« Archange »), aux superbes cheveux blanc et violet. Celui qui parlait la veille avec Angelica. Tara ne le remarqua pas tout de suite, car il était aussi intelligent qu’habile, mais il était la petite note discordante dans le concert. Celui qui mettait le poil à gratter là où il fallait afin que les choses n’avancent pas aussi vite et bien qu’elles le devraient. Il n’intervenait pas sur chaque proposition, afin d’éviter d’apparaître comme un contradicteur trop évident, mais Tara se mit à le surveiller de près et finit par comprendre comment il opérait. Oh, c’était vraiment subtil. Il fallait être extérieur pour se rendre compte de la façon dont il agissait. Mais c’était efficace. »
Le chapitre est déjà long, donc je comprends que madame S.A.M. parle de ce personnage seulement en narration, mais c’est un nouveau point au compteur des occasions loupées. Cet échange de négociation est entièrement déroulé en narration plutôt qu’en dialogue ; or, le format dialogue aurait été préférable pour que le lecteur ait l’occasion de déduire ce que la narration nous sert sur un plateau d’argent, aka la particularité de ce personnage. La liste des suspects aurait pu s’agrandir, et le dialogue aurait donné l’occasion de découvrir les caractères des personnages, leur positionnement et quelques bouts de lore. Ce genre de raccourci n’est malheureusement pas très profitable pour se sentir investi.
Bref, monsieur poil à gratter s’appelle Gabriel.
Après une journée de négociations, la mauvaise troupe est invitée à se divertir au casino ! Enfin, ils utilisent ce gimmick ! Tara surnomme mentalement Gabriel « FDM », pour fouteur de merde, elle gagne des points parce que c’est un peu drôle. Bref, Gabriel a l’air d’aimer le jeu. Il gagne beaucoup, et Tara le soupçonne de tricher, malgré les détecteurs de magie placés partout.
« La jeune fille n’aimait pas le jeu, elle risquait déjà bien assez sa vie comme ça. Mais, en se baladant dans la salle, près d’Archange qui ne la quittait plus, elle fut amusée de voir avec quelle ardeur Mourmur dépensait ses jetons. (Mourmur !! <3 C’est fou à quel point il ne sert à rien dans ce tome. Mais je suis contente quand je croise son nom dans la narration, c’est déjà ça)
Le vieux savant avait passé sa journée à mesurer l’activité démoniaque des démons. Elle était assez contente qu’il ne braque pas ses instruments sur elle, parce qu’il aurait sans doute eu un choc en la découvrant recouverte de magie démoniaque. Les objets démoniaques aussi s’étaient intéressés à ce qui s’était passé pendant la journée. Un tentacule léger avait posé des questions à Tara. La Lance, comme l’Armure, étaient surprises de voir à quel point les démons avaient changé. À leur époque, ils auraient débarqué comme des gros sauvages, tout dévasté sur leur passage et dévoré le reste. »
Tara s’absente vers les toilettes car la Lance ne réagit pas bien à l’usage machinal que font les démons de leur magie. Là-bas, Cal vient lui rouler un giga patin avant de se rendre invisible quand quelqu’un arrive. Le quelqu’un en question est Angelica.
Quand Tara l’interroge concernant son lien avec Gabriel, Angelica riposte qu’ils ont des intérêts communs.
« Angelica passa une pointe de langue rouge sur ses lèvres pour les humidifier, montrant ainsi quels étaient leurs intérêts communs.
— Mais bien sûr, toi, tu ne peux pas comprendre cela, Mademoiselle la Vierge de Glace. (okay Irène Adler)
Tara écarquilla les yeux. Angelica ne rata pas sa réaction.
— Oh, tu ne savais pas ? C’est ton surnom. Tout le monde sait que tu n’as pas franchi le pas, ni avec le demi-elfe, qui s’en est plaint dans toutes les tavernes d’Autre-Monde, ni avec personne d’autre. Alors il y a de très gros paris pour savoir qui, le premier, va entrer dans ton lit… (alors pardon, ça veut passer tranquille en coin de paragraphe, mais Robin ??? Ta gueule, en fait ??? C’est quoi ce personnage qui se plaint à la ronde que sa petite copine n’a jamais ken avec lui ? Sa petite copine l’Héritière impériale dont le crédit est très important ??? Franchement Robin, crève dans ta prison)
D’accord. Elle n’aimait déjà pas beaucoup Angelica, mais là, Tara était absolument sûre de la détester. Surtout en sachant que Cal était juste à côté d’elle, n’en perdant pas une miette. La jeune fille blonde inspira pour se calmer. »
Après ça, Cal réconforte Tara, qui a tout de même la bonne grâce de vouloir carboniser Robin pour n’avoir pas su tenir sa langue. Le lendemain, les négociations se poursuivent sur le même rythme, et Tara soupçonne qu’ils en auront encore pour une dizaine de jours. Mais alors que la journée se conclut, Gabriel propose joyeusement de disputer une partie de polo céleste !
… okay…
Ce tome va dans tous les sens, c’est fascinant.
Mais bref, c’est sur cette réplique que s’achève le vingt-quatrième chapitre. Il était long mais il n’y avait pas tant de choses à dire que ça, donc il s’est fait plutôt vite. La prochaine fois, nous suivrons Tara, probablement pour le match de polo céleste en question.
D’ici là, portez-vous bien, et à la prochaine !
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doucehaine · 2 years ago
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et je t’imagine là sur le quai de la gare, moi te percevant au loin, nos bras qui n’attendent que ceux de l’autre. mes bras qui t’enlacent et mon sourire qui ne me quitte plus. nos regards qui se croisent et l’électricité qui parcoure nos cœurs entiers
puis j’imagine aussi, toi dans la cuisine, maudissants les choses qui ne fonctionnent pas, et moi qui rit, mon regard espiègle posé sur toi, un brin déstabilisant, un brin moqueur, un brin fou de toi. et moi qui enlace tes hanches, mon nez dans tes cheveux
ou encore mon corps contre le tien, blotti, bien au chaud, entre tes bras, et mes doigts qui se baladent dans tes cheveux mouillés devant un film. et moi insupportable, qui commente toutes les actions des personnages, toi qui souffle un peu mais qui en rit
j’imagine la suite, les nuits partagées, les baisers échangés, combien de temps ? les questions qui se posent, et celles qu’on ne pose pas, surtout moi, parce que j’ai peur, peur des réponses que tu pourrais donner
et ton départ, c’était trop court, c’était trop beau, trop bon, pas assez long. nos bras qui s’enlacent une dernière fois sur le quai, nos yeux remplis de nouveaux souvenirs, rien qu’à nous cette fois. et mon regard un brin triste, un brin fou de toi.
qu’en est-il du tien ?
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sarahaubel · 1 year ago
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Les tares.
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De retour chez Jaeger (avez-vous bien retenu la leçon de la dernière fois ?). Je dois vous avouer qu'à bientôt 35 ans j'ai besoin de réfléchir pour lire l'heure sur un cadran. Les montres me sont donc d'une utilité limitée. Puisque nous sommes à l'heure des confessions (12h34 visiblement, comme indiqué sur mon ordinateur et non pas sur ma montre, pas besoin de vous faire un dessin) je vais tout de suite et maintenant devant vos yeux ébahis vous lâcher quelques petites tares personnelles pour soulager ma conscience une bonne fois pour toutes. Je confonds toujours ma gauche et ma droite. Je le regrette car il n’en tenait qu’à ça pour que je fasse carrière dans la F1 (ma dextérité de tous les diables, ma vue perçante d’aigle royal et mon attrait pour les sensations fortes en sont bien la preuve). A défaut, je roule actuellement dans une Fiat Punto 3 portes cabossée (Non maman j’ai toujours pas fait réparer les clignos, oui je sais ça fait 6 mois c’est dangereux). Chienne de vie. Je préfèrerai me couper les pieds avec les dents plutôt que d'enlever une paire de baskets avec des lacets mouillés, ce qui n'est recommandé ni pour les dents ni pour les pieds. Je ne sais pas calculer de tête. Je préfère supposer une réponse approximative. Souvent 21 d'ailleurs allez savoir pourquoi. J’ai une chance toute relative de répondre juste mais comme le dit l’adage “Dans les situations désespérées, la seule sagesse est l'optimisme aveugle”. Je mange mes mozzarella avec du Maggi. Héritage culinaire d’une colocation aussi merveilleuse qu’apocalyptique à Villeneuve-la-Garenne, dans laquelle visiblement personne n'était italien. Que cette maison tienne encore debout relèverait du miracle. Je viens de vérifier. Elle est encore debout. C’est un miracle. J’ai la phobie des boutons de chemises depuis que je suis en âge de le manifester. Les individus vêtus d’un t-shirt col en V avec des boutons INUTILES sur le-dit col sont sur mon échelle du dégoût au même niveau que le frigo de Jeffrey Dahmer (encore lui), sans parler des sous-pulls avec des boutons décoratifs le long des manches (donnez-moi une bassine, vite). Habillez moi, admettons…. au hasard comme ça, Josh Hartnett dans une combi lycra recouverte de boutons en plastique, je ne le toucherai pas avec un bâton. C’est un sujet en soi que je vous garde sous le coude pour plus tard. Et je vais donc m’arrêter là dessus avant que vous me trouviez trop étrange pour que l’on reste amis.
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fuckuuufuckingfuck · 1 year ago
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Aventure, tome 2 : jour 30
La personne mimi a acheté plein de choses que j’aime bien manger. (C’EST ADORABLE WSH, CETTE PERSONNE N’A AUCUNE LIMITE)
On est allé à un vide grenier, puis on s’est dit que ça serait chouette d’aller à la mer. Alors on est passé chez moi pour que je prenne un maillot, chez lui pour faire de même. On est aussi passé à bk pcq j’avais super faim… bref on est arrivé à 17h à la plage. On a mangé, on s’est battu dans l’eau, on a nourrit les crabes dans les rochers (ils étaient énormes, et je suis presque sûr qu’il y en a un qui rêvait de croquer mon orteil). On s’est allongé et elle m’a parlé de la forme de mes yeux et de leurs couleurs pendant que je la dessinais.
Puis le coucher de soleil sur la mer, et lui dans mes bras.
On est retourné chez lui et naïvement on est allé prendre une douche. 20min plus tard on s’est rendu compte qu’on avait inondé (je pèse mes mots) son appartement. Tout était trempé. Sauf que as he said « c’est un problème pour plus tard ». Bref c’était vraiment vraiment cool* et funfact je n’ai jamais gémi aussi fort ptdr. RIP le monde autour.
*en dehors du fait que j’ai failli casser un toilettes, que même le hall du bâtiment était mouillé, que sa cuisine était intégralement dans l’évier, qu’on a mouillé son lit, qu’il n’a pas pu bosser, et qu’au final : on était même pas laver. (Pour vous dire à quel point c’était bien, on en avait rien à faire).
Il s’est endormi dans mes bras.
Odeur de vanille dans mes narines.
Slay
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fantasy-mask · 2 years ago
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Il y a des relations fugaces qui changent une vie.
Nous nous sommes rencontrés alors que nous avions besoin l’un de l’autre. Mon cœur d’artichaut venait encore une fois de sévèrement morfler. Le sien également. Nous avons fait connaissance banalement, via un site de rencontre, car parfois on pense que c’est un moyen comme un autre de panser les plaies. La rencontre autour d’un café a été très rapide et tout a été immédiatement fluide. Les sourires se succédaient, nous savions que nous allions nous revoir et que nous allions rapidement devenir amants.
Chacune de nos rencontres étaient à chaque fois plus intense. La différence d’âge de dix ans a rapidement été balayée d’un revers de main. On parlait. On riait. On se découvrait. Toujours avec le même bonheur. Jusqu’à se rendre compte que nous avions le même anniversaire. Tout collait parfaitement. Elle me susurra alors à l’oreille : «Tu me ressembles, j’ai l’impression de me voir à ton ��ge».
Nous marchions ensuite lentement jusque chez elle. J’adorais ces moments. Nous formions un couple atypique. J’avais l’impression que les gens nous observaient et j’adorais ça. Elle en jouait et adorais cette situation. Une splendide femme fatale s’agrippait à mon bras. Le jeune homme que j’étais avait l’impression de sortir avec Pam Grier.
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La tension montait petit à petit. Je savais que notre entente parfaite allait bientôt s’exprimer différemment, que nos corps allaient se déchaîner. Nous rentrions toujours sagement chez elle. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui se faisait autant désirer. Pourtant mon énorme bosse au pantalon se devinait aisément et elle se contentait de me sourire avant de s’excuser poliment pour aller se préparer. J’attendais. Parfois longtemps. Je sais qu’elle prenait un malin plaisir à me faire languir. Et puis une apparition. Sensuelle. Voluptueuse. Flamboyante. Tout était enivrant, son parfum, ses formes magnifiquement mises en valeur dans une tenue qui s’avérait parfaite pour la suite des événements.
Elle venait alors m’embrasser tendrement en me caressant l’entre-jambe. Puis elle me regardait intensément dans les yeux. L’attente était terminée. Elle avait tout prévu, l’excitation était à son comble, je sais qu’elle n’attendait plus qu’une seule chose : que je libère cette fougue en moi qu’elle avait créé. Elle allait avoir ce qu’elle voulait. L’envie de posséder ses fesses désirables était irrésistible. Je libérais enfin ma queue turgescente et mouillée de désir. Rapidement sa robe était soulevée, sa culotte arrachée et le feu qui irradiait mes reins allait être assouvit par une baise sauvage. Ayant toujours été attiré par les femmes en rondeurs, je venais de trouver ma reine. Chaque coups de queue qui rebondissait sur ses fesses proéminentes m’excitait toujours davantage. Chaque position était un nouvel Eden. Pour me récompenser de ma fougue, elle me faisait une fellation experte. Ses grands yeux noirs et les traits fins de son visage conjugués à sa gourmandise me procuraient une jouissance divine. Épuisés, nous nous endormions dans les bras l’un de l’autre. La douceur de sa peau ébène est toujours présente dans mon esprit. Sa sensualité débordante me possédait et me faisait perdre la raison. Elle me réveillait toujours en plein milieu de la nuit pour assouvir son péché mignon : Elle adorait s’empaler sur ma queue qui renaissait plus dure que jamais. La vision de ses énormes seins qui se balançaient sur moi allait m'envahir et générer bon nombre d’excitations pendant des années.
Nous ne nous sommes jamais revus. Nos chemins se sont séparés. Douze années se sont écoulées et pourtant nous sommes toujours en contact. Parfois il m’arrive de repenser à elle et je lui fait savoir. Et de temps en temps je lis avec plaisir un tendre message de sa part. Je me dis qu’un jour nous allons forcément nous recroiser. Peut-être que nos vies en seront à nouveau bouleversées.
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steff-02 · 1 year ago
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Le post arrive avec un jour de retard à cause du réseau pas top top 😅
Ce matin réveil à 7h00, mais pas de petit déjeuner royal. Nous nous contenterons de petit snack acheter au shop du campement. Mais au moins nous avons une belle vue, notre camp est situé sur une petite colline avec une vue imprenable sur la savane. En contrebas, il y a une rivière et beaucoup d’animaux viennent y prendre du bon temps. Ce matin, ce sont les hippopotames qui font trempettes sous nos yeux 🥰.
Nous avons fait notre plan de route pour la journée et nous nous mettons en route sur le coup des 8h00. Les animaux sont timides ce matin. Mais doucement ils se montrent à nous. Vers 10h, nous assistons à une migration de buffles. C’est impressionnant. Mais combien sont-ils ils ? Une centaine ? 200 ? Je ne sais pas mais beaucoup. Puis une partie du groupe a décidé de camper de looooongues minutes au milieu de la route. Nous avons bien patienté 40 minutes avant de pouvoir poursuivre notre périple. Ils étaient tous en ligne, à nous fixer du regard, ils me font penser à des écolo-activistes avec les sabots collés au sol pour ne pas nous laissé passer 😂🤦🏽
Plus loins sur le chemin, un agglutinement de plusieurs voiture se forme. Il doit y avoir quelque chose d’intéressant! Nos cœurs palpites ! Serait-ce eux ? Serait-ce le roi des animaux ? Ne nous faisons pas trop d’espoir non plus. Nous nous trouvons une petite place et…ouiii ce sont des lions ! Ils sont 4 à se reposer au pieds d’un arbuste. Ils sont magnifiques, j’ai envie d’aller leur faire un câlin 🥰
A midi nous arrivons à notre aire de pic-nic. Nous espérons, comme hier, qu’il y aurait une petite buvette. Mais non, cette fois-ci c’est vraiment une aire de pic-nic pure. Alors on se contentera de notre paquet de chips 🤷🏽 quelques photos de la vue et on reprend la route. Nous décidons de rentrer à l’hôtel pour faire une sieste. Ce soir nous avons réservé une expédition de nuit, on veut être en forme. On décide de faire une petit détour par une route sympa et on a pas été déçu. Ce chemin de terre qui ne paie pas de mine nous a conduit directement vers un troupeau de girafes 🦒 plus tard, nous cédons le passage à un grand troupeau d’éléphant d’au moins 15 bêtes ! Ils étaient encore tout mouillé de leur bain dans la rivière 🥰
Après la sieste, nous soupons au restaurant du camp, tous ça devant le coucher de soleil et sous la parade des chauves-souris 🦇.
19h45 nous nous rendons au point de rendez-vous pour partir en exploration nocturne. Nous nous sommes bien habillé, les températures chutes vite la nuit. Notre guide nous dis que nous partons à la recherche de lions qui ont été observé non loin d’ici. Sur la route, beaucoup d’animaux dorment. A notre arrivée sur le lieu fatidique, les lions sont aux abonnés absent…mais soudais, au détours d’un chemin, la surprise de cette soirée ! Un léopard est en train de faire sa toilette 🐆 On est super content ! Et malgré les réglages de l’appareil poto de dernière minutes, on a réussis à en avoir un petit souvenir 🥰 nous prenons ensuite la route du retour.
Il est maintenant 23h et c’est le moment de clore cette journée 🌙
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swedesinstockholm · 1 year ago
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25 juillet
je viens de terminer la dernière saison de the marvelous mrs maisel recroquevillée sur le canapé avec les larmes aux yeux tellement je vivais le triomphe de midge avec elle, sa révélation sur le plateau du gordon ford show, son rêve de gloire, quand elle dit qu’elle fait ça because i love it, when you’re up there and people are listening to you, et puis l’histoire d'amour entre susie et hedy, quand elle raconte à midge que c’est la seule fois qu'elle a aimé quelqu’un, il y a vingt ans, ou je sais pas combien, et que ça s’est mal terminé, et midge lui dit qu’un jour elle aimera à nouveau, et susie la regarde avec les yeux mouillés et suppliants, je me suis dit OUI, la fiction est d’une nécessité absolue dans le monde, la fiction aide à vivre, la fiction sauve des vies, et en écrivant je peux avoir ce pouvoir-là. être là pour les gens comme susie myerson et midge maisel étaient là pour moi ce soir, avec leurs rêves de gloire et leur coeur brisé. oui oui oui oui oui oui. vive les histoires vive les personnages vive la fiction et vive les artistes.
à part ça j’ai regardé the souvenir (bof) et bergman island (mieux). dans une scène de bergman island, mia wasikowska attend l’acteur norvégien qui joue dans les films de joachim trier jusqu’au l’aube dans sa chambre, et quand elle comprend qu’il viendra pas, la voix narratrice de vicky krieps dit: her restlessness gave way to a heavy sadness, ou un truc comme ça, et je l’ai senti jusque dans mes os. ils m'ont rappelé le dimanche de la mort dans l’appartement de m., quand j’ai compris que ça servait à rien d’attendre et que mon corps est devenu lourd comme si je portais une montagne. juste avant qu’elle passe la nuit à l’attendre, elle dansait sur the winner takes it all avec ses amies dans un bar tout en se sachant regardée par lui, ça lui donne confiance en elle, elle commence à se lâcher, elle devient un peu séductrice, et puis à la seconde où elle se rend compte qu’il est plus là, sa joie s’écroule d’un coup et elle sort du bar en courant pour partir à sa recherche, complètement paniquée. et de nouveau, mes os l’ont senti.
27 juillet
ce mois de juillet est une fraude. je suis allée voir barbie au cinéma avec m. et f. j’avais mis une robe bustier rose et mes converses à paillettes alors qu'elles étaient habillées normalement mais j’ai été un peu déçue par le film. j’ai rien raconté à f. de mes histoires, je savais pas comment commencer, alors j’ai rien dit. maintenant elle est repartie et parfois je me dis que j’aimerais lui faire lire mon tumblr, pour qu’elle sache ce qui se passe dans ma vie un peu. mais je peux pas, évidemment, personne que je connais ne peut lire ce journal. elle a mentionné son adhs add adhd je sais jamais lequel c’est ni l’ordre des lettres, j’oublie tout le temps qu’elle a ça maintenant. je me suis dit que ç'avait peut être un lien avec le fait qu’elle me pose jamais aucune question et qu’elle rapporte toujours tout à elle. peut être que c’est juste son dysfonctionnement neurologique, comme moi le mien c’est de plonger dans l’abysse. elle arrive pas à s’intéresser aux autres et moi je me mure dans le silence, comment on est sensées avoir une relation fonctionnelle? j’aurais bien aimé lui raconter mes mésaventures dans le royaume de la bisexualité et mes embrouilles avec r. pour que ça sorte des confins de mon journal un peu. mais c’est tellement plus simple d’en parler à internet. elle me montrait son vernis aux couleurs du drapeau bi et ça aurait été une occasion d’évoquer le sujet, mais après c’est parti sur une discussion sur le vernis et ses avantages et ses inconvénients et je savais plus comment introduire r. là dedans.
en lisant le livre orange fluo d’émilie notéris j’ai appris que même monique wittig avait eu des relations amoureuses avec des hommes. j’ai du relire la page pour vérifier que j’avais bien compris, oui elle est bien sortie avec un homme dont elle était follement amoureuse. ils se sont rencontrés quand elle avait 32 ans et lui 29 et mon incorrigible cerveau a noté: comme moi et r. début janvier. il disait qu’il devait admirer une femme pour pouvoir tomber amoureux d’elle, mais qu’il avait d’abord été séduit par monique en tant que personne, avant de découvrir monique l’écrivaine, et c’est là que nos chemins divergent. r. m’a dit que mon texte sur monique wittig lui avait donné envie de lire donna haraway, il m’a demandé des recommendations de livres pour prendre à sa retraite dans un monastère, je lui ai conseillé vinciane despret, plus facile à lire, et il est parti à la librairie acheter habiter en oiseau dans la seconde.
29 juillet
au centre commercial ce matin une femme un peu paumée s’est approchée de moi en tendant la main pour me demander si je pensais que c’était mieux qu’elle porte sa bague au pouce ou à l’index. je lui ai dit au pouce c’est bien mais son doute persistait et elle m’a reposé quinze fois la question avant de s’en aller. est-ce que, à force de solitude, je vais me retrouver à hanter les centres commerciaux pour demander des conseils vestimentaires aux gens moi aussi, rongée par le doute?
parfois je me dis que je suis tout près, vraiment tout près d’arriver à me détacher de mes sentiments pour les gens, tout près de voir sous le voile humain qui recouvre les choses, tout près d’être détachée de l’importance donnée aux choses, de l’importance donnée à r., de l’importance donnée à c. qui a passé tout le concert de francis of delirium à embrasser sa copine à côté de moi hier soir. j’ai accompagné m. aux rotondes avec ses ami.es mannequins pour me sortir de la maison et en même temps me sortir de r. et voilà que ma crush numéro deux vient me briser le coeur juste sous mon nez. partout où je vais quelqu’un me brise le coeur, je ne suis à l’abri nulle part. je comprends pas pourquoi l’univers s’acharne sur moi comme ça. j’ai passé la soirée à regarder les filles dans la foule pour me comparer à elles et essayer de déterminer si j’étais vraiment le dernier des laiderons, si c’était vraiment ça le problème. jusqu’à maintenant j’étais toujours partie du principe que j’avais, malgré tout, un charme un peu singulier. que j’étais un peu mignonne. pas super hot, mais charmante. mais depuis r. je commence à me dire que peut être que ça aussi c’était une illusion, j’ai jamais été mignonne, je suis un laideron depuis le début. un laideron difforme, bougonne et sans tenue. molle et repoussante. et pourtant hier soir en regardant les filles autour de moi, y en avait que je trouvais plus moches que moi. je regardais les mecs aussi, pour voir si j’arrivais à attirer leur regard, mais quand ils me regardaient j’arrivais pas à déterminer s'ils me regardaient parce que je les regardais aussi, parce qu’ils étaient intrigués par mon oeil, ou parce qu’ils se disaient que j’étais mal coiffée. j’étais à deux doigts d’aller leur demander s’ils me trouvaient jolie. DO YOU THINK I’M HOT? QUELQU’UN ICI VEUT BIEN SORTIR AVEC MOI? heureusement que francis of delirium est un groupe de rock emo et que donc je pouvais me complaire dans mon chagrin bien accompagnée et de manière esthétiquement satisfaisante. c’était triste et beau.
j’attendais que le concert soit fini pour dire bonjour à c., pour qu’on puisse discuter et qu’elle me présente à sa copine, mais elle a disparu à mi-concert. j’avais oublié qu’elle était la personne la plus occupée du monde. c. le coup de vent. j’ai passé le reste de la soirée à la chercher des yeux mais elle avait disparu, il restait que sa copine, moins hot que ce que je m’étais imaginé. zéro frisson d’action lesbienne se produisant sous mes yeux de nouveau, juste du chagrin ainsi qu'une grosse envie de crever les yeux de tout le monde puis les miens. de colère. colère que tout le monde ait décidé de me briser le coeur au même moment, fille ou garçon, c’est la même chose, je vais arrêter de me casser la tête là-dessus une bonne fois pour toutes, c’est tous et toutes les mêmes, des briseurs et des briseuses de coeur. mon coeur en particulier. c’est comme avec les moustiques, je le attire. je sais pas si c'est mon sang. j’ai raconté mes histoires à m. mais je sais pas si c’est la bonne personne à qui en parler parce qu’elle faisait que me dire ehh je sais pas je relate pas je sais pas quoi te dire, mais je m’en fous que tu relates pas m. je te RACONTE c’est tout. voilà pourquoi je raconte jamais rien à personne, parce que personne n’en a rien à foutre. je suis la seule à trouver mes histoires passionnantes.
mais pour en revenir à cette histoire de détachement, ce que je voulais dire c’est que, dans un élan de lucidité, je les ai vus tous les deux, r. et c., comme arbitraires, ou plutôt, j’ai vu l’arbitraire de mes sentiments pour eux. c’est tombé sur eux, mais ça peut tomber sur n’importe qui. r. peut bien faire la grasse matinée au lit avec une fille fine et longue aux longs cheveux bruns et bien coiffés qui n'existe que dans ma tête et c. peut bien embrasser à pleine bouche sa copine prof d’allemand critique musicale motarde et dj ultra sportive avec un collier de lesbienne en chaîne autour du cou, who cares! who cares! quelqu’un d’autre de tout aussi arbitraire va très probablement bientôt me tomber dessus de nouveau, et peut être bien qu’il ou elle me brisera le coeur à son tour, mais, peut être pas! au diable la destinée et les âmes soeurs et le coup de foudre et toutes ces absurdités. a., c., r., aucune importance. arbitraire arbitraire arbitraire.
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christophe76460 · 2 months ago
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Israël servit pour une femme, Et pour une femme il garda les troupeaux. {Osée 12:12}
Lorsque Laban fait des reproches à Jacob, ce dernier décrit ainsi le travail qu’il a accompli : « Voilà vingt ans que j’ai passés chez toi ; je ne t’ai point rapporté de bêtes déchirées ; j’en ai payé le dommage ; tu me redemandais ce qu’on me volait de jour et ce qu’on me volait de nuit. La chaleur me dévorait pendant le jour, et le froid pendant la nuit, et le sommeil fuyait de mes yeux ». Encore plus pénible que cela était la vie de notre Sauveur ici-bas. Il a veillé sur toutes ses brebis jusqu’à ce qu’il ait rendu son dernier compte : « De tous ceux que tu m’as donnés je n’en ai perdu aucun ». Ses cheveux ont été mouillés par la rosée, et ses pieds par les gouttes de la nuit. Le sommeil est parti de ses yeux, car toute la nuit il était en prière pour son peuple.
Une nuit Pierre a eu besoin que sa cause soit défendue ; tout à l’heure, un autre demandera en pleurant son intercession. Nul berger, se tenant assis sous les cieux d’une nuit froide, levant les yeux vers les astres, ne pourrait exprimer de complaintes sur la dureté de son labeur telles que Jésus-Christ aurait pu en apporter, s’il avait choisi de le faire, à cause de l’austérité de son service pour obtenir son épouse. Les montagnes froides et l’air de la nuit ont été les témoins de la ferveur de sa prière ; Le désert connaissait ses tentations, ainsi que son conflit et sa victoire.
Il est doux de demeurer sur le parallèle spirituel de Laban qui a exigé toutes les brebis de la main de Jacob. Si elles ont été déchirées par des bêtes, Jacob doit les soigner : si l’une d’elles est morte, il doit garantir la sécurité du reste du troupeau. Est-ce que le labeur de Jésus pour son Église ne fut pas le labeur de quelqu’un qui avait l’obligation d’apporter chaque brebis saine et sauve à celui qui lui en avait donné la charge ? Regardez au dur travail de Jacob, et vous pouvez voir une image de celui dont nous lisons : « Il nourrira son troupeau comme un berger ».
Romains 11:1-13:14 * Lecture Quotidienne de la Bible
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offerteolivia · 5 months ago
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Mon boss est arrivé un peu tard ce matin.
Quand il est passé dans mon service en allant à mon bureau il m’a regardée avec un œil coquin
Une petite demie heure plus tard je recevais sur notre tchat professionnel un message m’invitant à le rejoindre dans son bureau.
Quand je suis arrivée il m’a dit qu’il était frustré ce matin car il avait eu envie de manger sa chérie au réveil mais qu’elle lui avait refusé ce plaisir à cause des anglais qui avaient débarqué.
Je lui ai aussitôt proposé de remplacer sa chérie si son envie était toujours en lui.
Il me répondit avec un léger sourire en m’invitant à m’assoir sur son canapé.
Je me suis assise sur le canapé et ai commencé à écarter mes jambes afin de lui permettre de constater que je ne portais rien sous ma robe.
Il s’est rapidement retrouvé devant ma petite chatte qui savait ce qui lui attendait.
Il a commencé à me lécher par des petits et doux coups de langues.
Je me suis ouverte assez rapidement et sa langue est ensuite allée s’engouffrer dans le creux de mon minou.
De temps en temps il arrêtait de lécher pour prendre en bouche mon petit clito et pour l’aspirer
J’était rapidement trempée. Je me suis surprise à avoir envie en même temps de deux choses.
Qu’une belle grosse bite me prenne bien profond et qu’une autre se présente à moi pour que je la suce.
Comme aurait pu le dire une vraie salope, j’ai dit à mon boss de me donner sa bite pour que je la suce et qu’il puisse me baiser sauvagement.
Aussitôt dit, je me suis retrouvée avec sa queue devant mes yeux. Dure, raide et le gland tout luisant.
Il s’est branlé quelques secondes comme ça juste devant moi avant de m’ordonner « ouvre ta bouche salope » et de s’y enfoncer et de ma baiser la bouche
En me tenant la tête, il était littéralement en train de me baiser la bouche.
Après quelques vas et viens il se retira, se recula tout en se branlant pour me regarder les jambes écartées et la bouche encore entr’ouverte.
Il s’est mis à genoux devant moi, m’a prise à fond dès son entrée en moi et m’a embrassée à pleine bouche pendant qu’il me pilonnait la chatte.
A un moment, il a arrêté de m’embrasser pour me regarder tout en me baisant.
Je lui ai timidement demandé « monsieur le Directeur, seriez vous d’accord pour me donner votre nectar au fond de ma gorge ? ».
Ma question l’a bien excité et après quelques vas et vient il s’est relevé, ma présenté sa queue toute mouillée pour l’enfoncer au fond de ma bouche.
A peine entrée tout au fond, j’ai senti son jus tout chaud envahir ma gorge et ma bouche.
Il s’est ensuite assis à coté de moi. Je me suis mise à genoux entre ses jambes et l’ai repris en bouche pour lui nettoyer la queue.
J’adore finir un homme ainsi. Eux aussi aiment bien cela.
Après avoir remis correctement ma robe, je me suis penchée sur lui pour l’embrasser à pleine bouche et je suis repartie.
J’aime quand les anglais débarquent chez la femme du boss.
#secretary
#pussy
#boss
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janelher · 10 months ago
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Chêne
Je vois
Notre histoire qui court autour d’un brasier bleu-té
Je vois
Des chansons au pied d’un grand chêne
Je vois
Des cheveux blonds mouillés dans la mer, et
Je vois
Des avions pliés qui s’envolent
Mais j’ai les yeux un peu lâches et vitreux
Je voudrais les couvrir de lunettes, mais je ne verrais mieux
Que si c’est ton regard que j’aperçois
Alors tout s’éclaire
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sarahaubel · 2 years ago
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Il est mort pour elle, à ses yeux précisons. C’est ce qu’elle s’est dit après deux semaines sans réponses. Elle a bien vérifié dans le fichier des personnes disparues mais y avait rien. Elle est bien allée à la morgue pour voir de ses yeux vus mais ne l’a pas reconnu. Alors elle l’a imaginé mort quelque part au fond d’elle. AVC entre son cœur et sa trachée, par là dans la poitrine. Elle se dit que ce truc qui pèse un âne mort et qui l’étouffe ça ne peut être que son petit cadavre à lui. Il s’est éteint à coup de silences. Ce qu’elle souffre et comme elle pleure. Tellement elle pleure qu’elle se déshydrate. Alors elle se demande. Un deuil sans défunt, ça se fait comment ? On les dépose où les fleurs en plastique ? Peut-on pleurer sur la tombe de personne ? Ici ne repose pas Matthieu, un peu mort quand même de l’avoir trop négligée. Peut-on prier pour que quelqu’un jamais parti puisse revenir ? Le signe de croix c’est dans quel sens ? Elle ne connaît ni cantiques ni kaddish, se dit que son athéisme manque cruellement d’espoir et de magie. Au fait, combien de temps les veuves du Sud portent-elles le noir ? Au boulot on lui dit que ça lui va bien au teint… Pour la partie dramatique elle a la falaise mais pas les cendres qui vont avec, tant mieux un coup sur deux ça vous revient dans les yeux. Y a plus qu’à s’y jeter elle pense. Elle a pas non plus de mère endeuillée à serrer fort dans ses bras. “Je suis désolée pour votre perte. Votre fils était un homme bon avec une bite formidable.”. Et elle le récite à qui ce discours tout appris qui loue sa beauté en taisant tout le reste. Pour le crématorium elle avait choisi Véronique Sanson (Vous n'êtes qu'un petit voyageur que l'amour m'a envoyé pour que batte mon cœur et qu'il arrive à l'heure) mais pas sûr que sa femme soit d’accord. 150€ la plaque funéraire hors TVA. “Tes mains manquent à mes seins”. Ça fait cher les lamentations. Elle se demande si de crever de désamour ça donne des jours d’ITT. C’est vrai, elle se sent morte de l'intérieur. C’est peut-être elle qu’il faudrait enterrer après tout mais à faire soi-même c’est pénible. Creuser son trou à la limite mais pour ce qui est de reboucher ça devient le bordel, elle oublie l’idée. Au bout du compte son corps fatigué d'avoir trop supporté s'endort lourdement sur un linceul de kleenex mouillés. “Coucou chou, dsl j’ai bossé comme un dingue. Dispo la semaine pro ?”
Photo : Mon amie Clara. Qui n'a rien à voir avec Matthieu, la morgue et les falaises d'Etretat.
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blackhorseii · 1 year ago
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Le vague à l’âme (Brouillard)
Il est minuit et je vois trouble, les yeux mouillés par une introspection douloureuse… Je ne sais pas où je vogue, mon regard essayant de fixer un point de repère, une lumière à l’horizon… je ne vois rien venir et pourtant j’ai l’impression que le naufrage s’étend tout autour de moi. Seule la danse des vagues de mes pensées s’immiscent au sommet de mon crâne, en avant puis en arrière, elles balayent tant bien que mal la morosité d’une soirée que j’ai réussi (encore une fois) à gâcher ! Avant, j’avais des solutions… Aujourd’hui j’ai l’impression de n’être que le problème. Par égoïsme, par perte de repère, par naïveté, les raisons sont diverses mais le constat reste le même, je m’éloigne du bord, je crois qu’à cette profondeur, je n’ai plus pied. Je n’ai jamais su très bien nager. Il faudra traverser coûte que coûte, sans chavirer…
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Il faut écrire pour chasser les cauchemars. Alors je t’écris en jetant l’encre à la mer par espoir de les voir s’envoler. J’ai gardé la bouteille par peur de les mener jusqu’à toi. Et, cela, je ne voulais pas. On se réveille souvent avec des certitudes qui finissent par s’enfuir le jour suivant. Alors, on condamne les promesses car elles n’avaient pas à être énoncées sans être vraies. Il ne faut plus les appeler des promesses ces mauvais termes entremêlés. Après, cela fait mal pour rien et on déteste le mot juste pour celui qui a été transfiguré. Je ne sais plus si je peux t’écrire l’amour car tu ne l’aimes pas vraiment ou pas assez. Je vais te parler de la majuscule et tu vas me dire que je joue avec les mots. C’est un peu vrai mais tu aimais, avant. Peut-être encore maintenant ? Encore une fois je parle d’Aimer. Je n’arrive pas à m’en passer. C’est sûrement parce que tu es là, c’est difficile à ignorer. C’est partout où je regarde.
Et c’est aussi là où tu n’es pas. Car je t’invente partout par peur de te voir disparaître si je ne parle plus de toi comme les fées lorsqu’on n’y croit plus. C’est sûrement de cette façon que tu es un Miracle. Et pour toutes les autres. J’ai la gorge qui brûle ce matin. Il semblerait que cela soit le résultat des larmes qu’on retient. C’est sûrement l’âme, moi je n’y suis pour rien. Alors j’écris pour ne pas parler. Et j’écris beaucoup car je n’ai jamais assez parlé. Cela s’écoule du cœur en vagues et le naturel me semble effrayant. J’ai toujours dû réfléchir pour écrire ce que je pensais être amoureux, avant. Mais pas ici, pas avec toi. Jamais. C’est là et cela le sera toujours. Est-ce encore une promesse que tu ne veux pas entendre ? C’est un fait. Le temps montrera les choses mais j’espère qu’il ne te gardera pas de trop en mer, loin de moi. Même si, je serai là, derrière la porte. Lorsque tu auras les vêtements mouillés et des algues dans les cheveux.
Je veux que tu sois heureux. C’est pour le meilleur et pour le pire. Mais, je ne veux pas te laisser effleurer le pire. C’est cela que je veux énoncer, que je vais dire, la prochaine fois. En moins brusque. Je vais l’habiller un peu mieux, remettre sa cravate, son col de chemise. Je vais faire du mieux que je le peux. En cela le tout sera loin d’être parfait. Mais ça sera là. Tu me manques et je t’écris aussi pour cela. Alors que, je t’ai parlé hier mais je ne t’ai pas vu depuis un temps. Mais je t’ai parlé hier et tu me manques quand même. Cela sonne ridicule. On s’en fiche ? Moi oui. Car je ne pense pas que tu me trouveras ridicule. Peut-être aveugle parce que tu penses que c’est ainsi et qu’un jour il y a aura une pluie trop forte qui effacera la Lune. Mais c’est parce qu’elle n’est plus dehors ! Mais derrière la porte. Avec une serviette dans les mains, un repas sur la table et un sourire dans les yeux.
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swedesinstockholm · 2 years ago
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23 février
ça y est j’arrête pas de penser à laura a. et puis je me dis mais dans quel monde tu vis lara, je suis trop loin derrière, même pas derrière, je suis ailleurs, là où ça fait des bruits d’explosion dès que quelque chose bouge, dès que deux choses se touchent: explosion, c’est trop dangereux pour les non initiés, je peux embarquer personne avec moi, je crois que je suis trop hardcore. on s’est parlé aujourd’hui, elle était en train de fumer une cigarette dans la cour et je suis allée me mettre près d’elle pour regarder les tableaux par la fenêtre de la galerie. elle m’a expliqué qui les peignait et puis je lui ai demandé si elle enseignait à p.a.r.t.s. l’été dernier. elle a dit yes but you weren’t in my workshop, i would’ve remembered you. je sais toujours pas si elle flirtait avec moi ou si elle le disait juste parce que j’ai une présence singulière ou un truc comme ça mais j’ai décidé qu’elle flirtait parce que rien que d’y penser j’ai la culotte mouillée.
ce soir j’arrivais pas à me concentrer sur la perf du prof (de toute façon c’était nul) parce que j’étais beaucoup trop près de la nuque dégagée de laura, de son oreille droite sans boucle d’oreille, de l’encolure de son pull qui avait l’air chaud et de bonne qualité, je brûlais d’envie d’enfouir mon visage dans le creux de son épaule. à un moment pendant le cours j’avais envie de me mettre par terre et de prendre ses genoux dans mes bras et dans un éclair de lucidité j’ai vu mes mommy issues à l’oeuvre. j’ai terriblement envie qu’elle se colle contre moi et qu’elle me lâche plus. mon désir ignore totalement la réalité. quand je lui ai dit que j’avais mon cours de yoga à côté de la salle où elle donnait ses cours l’été dernier elle a dit ah j’espère que je vous dérangeais pas trop avec mes cris et j’ai dit oh no i LOVED it.
c’était son anniversaire aujourd’hui, elle a 46 ans, elle est de 77, c’est quoi toutes ces femmes nées à la fin des années 70 qui me font perdre la tête? elle porte deux bagues à la main droite dont une au pouce. pourquoi j’ai pas tourné la tête quand miguel a demandé qui était gay. dans sa performance ce soir le prof a fait un sketch qui commençait par i’m straight comme si c’était une tare et je trouve ça tellement pathétique les hétéros qui se sentent exclus parce qu’ils ont l’impression que tout le monde est queer sauf eux et qui font des blagues dessus. get over it, je m’en fous de ta sexualité. j’arrêtais pas de me dire que si je faisais un show moi ce serait mille fois mieux que ça, même si je sais pas faire du stand-up et que je sais pas danser et que j’ai pas beaucoup d’expressions du visage et que j’ai un balai dans le cul, je ferais quand même un meilleur show.
24 février
bon j’ai pris la mort comme thème. LA MORT SUR LE DANCEFLOOR. non juste la mort. j’ai un milliard de choses à dire sur la mort. hier j’ai parlé du temps fourchu quand je traverse la route et que je sais pas si je suis morte ou vivante, mais je savais plus comment on disait fourchu en anglais. j’ai essayé de le faire façon stand-up en tenant le micro à la main en commençant par do you ever cross the street and... mais je me suis un peu emmêlée les pinceaux dans ce que je disais et j’avais l’impression d’avoir fait un gros flop mais deux danseuses m’ont dit qu’elles avaient adoré ma perf et mes allers-retours sans fin d’un côté à l’autre de la salle. elles m’ont dit qu’elles trouvaient que tout ce que je faisais était très poétique et très beau, même si je suis pas une danseuse, parce que je suis entièrement dévouée à ma tache. j’aimerais pouvoir me voir à travers les yeux des gens qui me font des compliments.
la fille grecque disait qu’elle voulait venir s’installer à bruxelles et je lui ai dit que je lui apprendrais le français et on a dit DEAL et j’ai l’impression d’avoir perdu tellement d’années loin des gens et loin de la vie. au début de la semaine une fille a dit i lost four years of my life pendant une impro sans expliquer pourquoi et j’avais envie de lui dire que moi j’en avais perdu sept mais peut être que c’était même pas vrai, tout le monde n’est pas autobiographique premier degré comme moi. j’ai dit first degree hier au type qui s’appelle brieuc et il a dit ah mais you speak french! on parlait de la perf du prof et que moi évidemment je l’avais pris au pied de la lettre, je pensais qu’il parlait de sa vie, alors qu’en fait c’était pas vrai, il nous l’a dit plus tard dehors, il disait isn’t this great? it’s all made up! il avait l’air tellement content de lui. je sais pas pourquoi ça m’a autant énervée.
esta m’a énuméré toutes les possibilités qui s’offraient à moi pour faire de la performance et je les notais frénétiquement sur mon téléphone pour pas oublier une fois que je serais de retour à la maison éloignée de tout. just chose a city you would like to live in and apply for a master. la vie a l’air tellement simple chez les autres. elle m’a dit qu’elle avait fait trop de masters et qu’elle finissait jamais rien pour pouvoir faire un million de choses.
le soir dans l’appart vide de m. j’ai mangé un bol de boulgour en regardant un épisode de curb your enthusiasm et j’avais l’impression d’être de retour en 2013 à paris. en rentrant j’avais envie 1. de hurler 2. de danser 3. de me défouler 4. de hurler 5. de secouer quelqu’un 6. de me secouer moi-même 7. de hurler. j’ai fait pleurer le prof en chantant love me tender au mur pendant notre perf finale, pas à la façon de rebeka w mais à la mienne parce que je suis pas rebeka w. mais j'étais trop concentrée sur laura pour apprécier mon exploit. à la fin du cours il a mis toxic de britney spears mais j’avais pas la tête à danser cette fois et elle est venue me voir pour me dire que je devais continuer là dedans parce que j’avais un truc et que j’étais drôle et qu’elle aimait ce que je faisais tout en me touchant les mains et puis elle m’a serrée dans ses bras. je lui ai dit que j’aimerais la voir danser et elle m’a dit qu’elle dansait moins maintenant, i’m getting old.
j’ai pris une bière au bar en me disant que ça me ferait pas de mal mais la bière étant toujours aussi infecte j’en ai pas bu assez pour que ça me fasse un effet. je me suis rendu compte en discutant avec les gens que j’étais la seule à pas être danseuse ni performeuse pro et you go girl. laura s’est assise sur une chaise au bar à côté de moi et j’étais pratiquement collée à elle, je lui ai demandé ce qu’elle me conseillait de faire ce weekend pour lui donner une porte ouverte, elle m’a montré des forêts sur google maps mais j’ai envie d’y aller que si elle vient avec moi. peut être que je dégageais plus un truc de fan/groupie qu’autre chose, peut être que mon manque d’expérience est trop flagrant pour me rendre crédible, je suis encore une ado de quinze ans qui rougit et qui prend pas trop d’initiatives. à un moment elle était devant moi et on se regardait en se souriant sans rien dire et elle s’est approchée de moi pour toucher mes lunettes en disant i love your glasses et j’ai dit que c’était mes lunettes miel et on a rigolé et puis notre petit moment a été interrompu par quelqu’un qui partait et qui venait nous dire au revoir. je lui ai dit au revoir dans la cour, elle m’a dit have a good weekend et je suis partie la mort dans l’âme. je l’ai vue passer sur son vélo une rue plus loin et j’avais envie de crier BYE LAURA pour qu’elle se retourne. quand elle a tourné au bout de la rue je m’attendais presque à la voir faire demi-tour pour venir me chercher et m’emmener avec elle sur son vélo dans son appart de jette. j’aurais tant aimé découvrir le sexe lesbien avec une danseuse espagnole de 46 ans.
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