#issue de secours
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Français
[ANNONCE – MOMENTS PROJECT, LANCEMENT] (English below)
Aujourd’hui, et après un long moment d’absence, je suis fière de vous annoncer le lancement de mon plus gros projet de fanfiction à ce jour >w<
Quatre issues, deux camps, une histoire ; la vôtre.
Deux mois. C’est le temps qui s’est écoulé depuis ce terrible soir où le Q.G. militaire de Central s’est effondré, emportant Roy et Alphonse, qui y avaient foncé tête baissée au secours d’Edward, kidnappé par les homonculi. Depuis lors, Riza n’a plus revu aucun d’entre eux. On les dit « portés disparus » ; « supposés morts », même. Mais la soldate, elle, est convaincue du contraire : elle en est sûre, elle l’a aperçu au milieu de ce paysage désolé, Edward est bel et bien vivant… et toujours aux mains de l’ennemi.
Pour le sauver et espérer retrouver les deux disparus, Riza va devoir se retrousser les manches et remonter la piste des miettes de pain que l’alchimiste a laissées dans son sillage. Mais la chose n’est pas pour plaire à tout le monde : dans l’ombre, des forces qui la dépassent sont à l’œuvre et n’entendent pas de cette oreille que la jeune femme cherche à leur arracher la pièce maîtresse de leur plan…
Embarquez pour une aventure épique de plus de 360 000 mots ! Basée sur le Pride!Ed ending du jeu BlueBird’s Illusion, cette fanfiction, dont vous serez le héros, vous placera tour à tour dans la peau des personnages de l’un et l’autre des camps, avec à la clef, quatre fins possibles. Tous vos choix auront une incidence sur la fin de l’histoire et conduiront à des scènes inédites !
Réussirez-vous à sauver Edward ? Retrouverez-vous les disparus ? Arrêterez-vous les homonculi, ou bien servirez-vous leurs plans et condamnerez-vous Amestris et ses habitants à une fin tragique ? Toutes ces questions ont leurs réponses ; celles-ci sont entre vos mains.
Découvrez Moments dès le 3 octobre prochain !!!
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English
Today, after a long absence, I’m proud to announce the launch of my biggest fanfiction project to date >w<
Four endings, two factions, one story; yours.
Two months. That’s how long it’s been since that dreadful night when Central’s military headquarters collapsed, taking Roy and Alphonse with it after they rushed headlong to rescue Edward, who had been kidnapped by the homunculi. Since that terrible day, Riza hasn’t seen any of them. They are said to be ‘missing’; even ‘presumed dead.’ But Riza is convinced otherwise: she’s certain she saw the boy amidst that desolate landscape. Edward is very much alive… and still in the hands of the enemy.
To save him and hopefully find the two missing men, Riza will have to roll up her sleeves and follow the breadcrumbs the alchemist has left in his wake. But it won't be easy: in the shadows, dark forces are at work and won’t allow the young woman to snatch the key piece of their plan from them…
Embark on an epic adventure of over 360,000 words! Based on the Pride!Ed ending of the BlueBird’s Illusion game, this choose-your-own-adventure fanfiction allows you to experience the story from the perspectives of characters in both factions, leading to four possible endings. All your choices will impact the story’s outcome and lead to unique scenes!
Will you manage to save Edward? Will you find Roy and/or Al? Will you stop the homunculi, or will you serve their plans and doom Amestris and its inhabitants to a tragic end? The answers to all these questions are in your hands!
Discover “Moments”, starting on October 3rd!!!
#edward elric#envy#izumi curtis#fmab#fma#fullmetal alchemist#homonculus#fma brotherhood#fanfiction#pride!ed#fullmetal alchemist brotherhood#illustration#csp#clip paint studio#鋼の錬金術師#エンヴィー#イズミ#エドワード
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L’impuissance face au départ des uns condamne le coeur des autres à une gare vide.
“Ecrire une fin heureuse, c'est creuser un tunnel vers la lumière, peu importe la colère, la tragédie et la violence dans lesquelles nous sommes embourbés. Une fin heureuse, c'est une issue de secours.”
- Coline Pierré, Eloge des fins heureuses
📸 Vincent et le chat (Vincent and the cat),1955. Willy Ronis. Silver gelatin print
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Madre mía...
Cette interjection espagnole décrit parfaitement notre situation incompréhensible : au delà d'un certain point, il ne reste plus qu'une mère, pour apporter du secours (NDLR : le même ''SOS'', dit en arabe et en onomatopées, n'est pas mal non plus : ''Taï taï taï... Ya ouili, ouili, ouili...''). En français, on dispose de la magnifique ''Une fois qu'on a passé les bornes, y'a plus de limites'' d'Alphonse Allais. Mais aujourd'hui, on a besoin de toute la richesse de toutes les langues pour tenter de décrire le méga bordel (Si vous avez un mot aussi précis, je suis preneur !) qu'est la France, en ce lendemain des ''Européennes''..
Il y a 3 ou 4 jours, je vous avais timidement prévenus (cf. ''Les dangereuses Européennes''), mais qui aurait pu prévoir que, seule parmi les nations du monde civilisé –dont la plupart votent, ces temps-ci-- la France n'était même plus capable de résister au choc (?) indirect d'une élection totalement indépendante de ses règles de fonctionnement. Son chef, qui passe le plus clair de son temps à donner des leçons –sans queue ni tête, mais très coûteuses et très risquées-- au monde entier, qui s'en fout, et à dépenser en Ukraine l'argent qu'il s'est arrangé pour que... nous ne l'ayons plus... n'est même pas capable de résister 24 h à la poussée démocratique et parfaitement légale d'un parti politique parfaitement légitime... et classé premier dans son pays ! A titre purement personnel, j'ai espéré, contre toute raison, que l'intelligence ''Marion-Eric'' ferait une percée. Je savais mon pari perdu, il l'a été. Dommage pour tout le monde. Il nous reste à digérer une super gueule de bois.
Mais les lecteurs réguliers de ce blog savent ma confiance profonde dans l'existence, invisible mais efficace in fine, d'une ''justice immanente'' qui finit par rattraper ceux qui ont échappé à la soi-disant ''justice'' des hommes, des Etats et, le cas échéant, de Dupont-Moretti (je dis ça pour rigoler !). Les anciens disaient ''Il est puni par où il a péché'', et la sagesse des nations a effectivement remis les choses en place : après sept trop longues années durant lesquelles il a passé son temps à vomir sur un quart, devenant pas sa faute un bon un tiers, des français (càd. ceux qui refusaient ses visions changeantes d'un avenir qui ne pouvait conduire qu'à la catastrophe collective et au malheur individuel), notre président-ado se retrouve seul devant le méchant destin qu'il nous avait concocté à grands coups de mauvaises décisions, d'analyses foireuses, de croyances progressistes et (donc) de solutions perverses, pires que le mal...
Et maintenant ? La révolte des braves gens a, une fois de plus, écarté la menace immédiate d'un macronisme pervers... Mais –ce qui n'était pas prévu, et même jugé et juré impossible par les ''ceux-qui-savaient''-- toutes les digues ont lâché, d'un coup, en cinq minutes-chrono ! Il ne voulait pas d'une victoire même minoritaire du Rassemblement national ? Il a réussi à fabriquer un tsunami-RN qui risque de tout emporter... Car si –comme beaucoup le supposent-- le triomphe européen du tandem Le Pen-Bardella se confirme aux législatives annoncées et bricolées à la hâte, quelle autre issue lui restera-t-il que de (se) démissionner lui-même, après avoir démissionné la bande de nullissimes qu'il traînait derrière lui et dont il nous imposait, contre notre gré mille fois répété, les effroyables idées, l'arrogance méprisante, les références mortifères et la bêtise inculte... encore que, entend-on dire, ici ou là, ''n'est pas De Gaulle qui veut''.
Ce scrutin européen et ses conséquences totalement imprévues nous ont tout de même apporté quelques bonnes nouvelles : la joie, en premier, de savoir que la bande de cuistres gauchisants qui avaient été élus dans le sillage de Macron –et à qui nous devons tant de décisions aux conséquences souvent mortelles pour la Nation-- va disparaître en grande partie. Un nombre grandissant de français n'en pouvaient plus, de les voir se pavaner à nos frais en mettant aux voix les pires idées possibles. Une autre bonne nouvelle, c'est le ratatinement des ''écologistes punitifs'' qui ont fait tant de mal à notre jeunesse (combien d'enfants ont grandi dans un univers de terreur, par leur faute ? Il ne faut jamais le leur pardonner), comme aussi à notre industrie, à nos agriculteurs, à notre économie, à nos choix politiques, etc... Mais ils nous ont tant fait de mal, à nous et à la France, qu'il est presque normal qu'on leur en veuille..
Essayons de rester dans les sujets fondamentaux : Emmanuel Macron nous a ''baladés'' pendant son quinquennat et demi dans les horreurs de sa pensée narcissique et erratico-progressiste : pas de programme, pas de buts, pas de direction générale –autres que cette Europe anthropophage, invivable et dystopique, qu'il a prétendu nous imposer aux dépens de notre France, dont nous sommes si nombreux à vouloir la pérennité. Nous lui devons l'effondrement de notre diplomatie et de notre poids dans le monde, une déroute absolument dramatique en Afrique de l'Ouest, notre humiliation permanente devant l'Algérie confite dans la haine pathologique qui reste la seule raison d'être d'un personnel politique corrompu et, plus récemment, ses prises de risque illimitées devant un adversaire qui nous surclasse sur tous les chapitres, en multipliant sans raison objective (Poutine n'a pas la possibilité de nuire à d'autres pays : il ne parvient pas à prendre plus de 10 ou 20 km² en Ukraine. On agite devant nous un épouvantail...) des engagements intenables auprès d'un pays croupion avec lequel nous n'avons jamais eu de relations autres que mercantiles et à court terme...
Son bilan –le jour où il faudra le faire-- se résumera sans doute à son affirmation péremptoire de ramener le RN à trois fois rien... Bravo, l'artiste ! Que croyez-vous qu'il en tire comme leçon ? Le fait d'être écrabouillé à plates coutures est pour lui une raison suffisante pour –surtout-- ne pas changer de stratégie... et en remettre une couche, en confiant aux chaînes d'un ''Sévice Public'' à sa botte (argent illimité oblige !) ses ''conseils pour le vote à venir''... que tout le monde attend, pour rigoler d'abord, puis les transgresser ensuite. Il refuse de voir à quel point il est rejeté –presque trop, même, d'après moi. Mais allez percer la logique d'un ado trop gâté par la vie...
Le futur immédiat est clair : on peut supposer que, quelles que soient les paroles jetées en pâture aux gogos, la Gauche va reprendre ses habituelles magouilles sans foi ni loi : la seule chose qui compte, c'est de garder les sinécures et de nuire autant que possible à la France, au profit (?) d'idéologies plus perverses les unes que les autres... et la Droite va continuer à ''déconner un max'' en refusant toute démarche de rapprochement qui pourrait tout remettre sur pied et dans le bon sens. Et Macron risque fort de se retrouver avec une Assemblée encore plus ingouvernable que l'actuelle, sans aucun bricolage possible en vue d'une majorité... Ou alors (aujourd'hui, c'est le plus probable), une majorité pour le RN qui ne laisse qu'un seul ''choix'' : ''Jordan à Matignon'' (et Fabius, qui s'autorise à paralyser le choix du peuple français, au nom de sa démocratie partisane.).
Et là... la haine anti-Droite de Macron + la haine pathologique de l'extrême Gauche pour tout ce qui n'est pas elle... risquent d'ouvrir la porte aux pires excès, aux mouvements les plus destructeurs, à la phraséologie la plus génératrice de haines-à-venir qui soient. Une fois encore... notre ultime chance reste de demander à Dieu de sauver la France. On peut espérer un résultat, mais il n'est pas certain que ça marche en 2024 aussi bien qu'en 1428 avec Jehanne d'Arc ! On va donc attendre. Mais quoi ?
H-Cl.
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Les médecins ne traînent généralement qu'avec des médecins ou des gens du milieux médical. En partie parce que pendant les 10 ans d'études un mec sur un mirador était près à lâcher les chiens si tu sortais de la bibliothèque universitaire avant les 3h du mat (pour y revenir à 5h,oui ça faisait des grosses journées, non je n'exagère jamais). Et en bossant à l'hôpital ça ne change pas non plus grand chose.
Resultats lorsque vous avez un médecin qui invite ses potes (au mieux médical, pharmacien si on est tolérant) ça ne parle surtout que de médecine et du boulot de manière général.
Et bref, lors d'un apéro ou d'un dîner il peut arriver qu'un moldu soit présent (genre vous saviez que dans la vrai vie 'il y a des gens qui sont comptables ou pompiers pour de vrai ?? Et qui ne travaillent pas à l' hôpital ??) et ils sont en général assez facile à repérer. Ce sont les seuls à ne pas parler, les yeux remplis d'horreur et cherchant du regard les issus de secours lorsque quelqu'un dit quelque chose du genre "ouai le pancréas c'est vraiment chiant à trouver, c'est spongieux et c'est complètement fondue dans la graisse".
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[ 😵💫🔄❓❔
En fin de printemps dernier j’ai participé à un jury de Beaux-Arts pour les diplôme de master (oui c’est complètement nptk je réalise tjrs pas moi même. Shout-out to l’espèce de mec anticonformiste de leur école qui s’est dit que c’était une bonne idée) et BREF parmi le reste du jury y’avait quand même une grosse majorité de profs eux même fils de profs etc, bref c’était marrant pck on avait pas du tout le même âge et la même expérience du système scolaire et de la vie lol.
L’expérience en entier était à la fois intimidante/enrichissante/curieuse/terrifiante/incroyable/a aidé dans le processus d’apprendre à me défendre et défendre les autres en même temps, etc, etc BREF. Et parmi le jury y’avait une drôle de nerd prof que j’ai plutôt vraiment bien aimé au final, elle avait lu des livres sur à peu près tout sur terre ce qui était complètement l’opposé de mon cas lol donc elle avait une référence par minute à balancer sur à peu près tout (de la céramique tunisienne en passant par littéralement c’que tu veux)
Et bref dans pas mal de diplômes elle s’est retrouvée à demander aux élèves de justifier (je sais pas si c’est le mot exact) la violence dans leur travail ou du moins d’en parler (pas en mode culpabilisateur mais genre … let’s talk about it pck c’est là quoi…) . Chose que les gens ont plus ou moins réussi à faire (ce que je trouve grave normal).
Et bref y’a certains des mots de cette go qui sont trop restés gravés dans ma tête depuis et je me pose tout les temps les questions qu’elle posait aux élèves et j’ai juste vraiment pas les réponses 😂… Genre à un moment elle a sorti « processus de RE-traumatisation » et juste le terme slapped my face et après J’etais comme ça : « 😳😵💫😳😵💫😳🫢🫢🫢���🔄🔄🔄🔄🧠😶🌫️🧠😶🌫️🧠😶🌫️ ».
Depuis quelques temps, genre 2 ans, y’a de plus en plus de violence dans mon travail et je suis vraiment pas sur que je saurai en parler ou la justifier à quelqu’un PTDR. Genre déjà quand j’ai commencé à dessiner et peindre sérieusement j’étais en mode « AHHH VITE C L’URGENCE FAUT FAIRE ÇA SINON ON DEVIENT ZINZIN ET TOUT LE MONDE DISPARAÎT ! OSKOUR ! 🙀🙀🙀🙀🙀 » PTDRRRRRRRR, et juste le temps que genre mes sentiments se décantent, que je comprenne ce qui m’arrive etc, il m’a vraiment fallu un moment pour réaliser pourquoi je faisais ce que je faisais, PUIS que je « « « « « « réussisse » » » » » » à en parler (car l’école oblige Lolz). Et AUJOURD’HUI je peux parler bien plus confortablement de ce que je faisais y’a des années tout simplement parce que je le comprends mieux.
Bref tout ça pour dire que à l’heure actuelle je pense vraiment pas encore avoir le recul nécessaire pour pouvoir/vouloir/savoir parler de ça, et en même temps bah j’ai quand même envie de le partager (Because maybe someone will feel me 🥲🤝???) est ce que c’est valide ??? Mais les gens sont en mode 👁️👁️ JUSTIFICATION THÉORIE THÉORIE !!! Et je comprends ….!
Mais du coup bref je me demande toujours genre est ce que je serai en train de « re-traumatiser » les gens pour citer la dame, si je fais une expo ou aucun de mes travaux sont paisibles lol et que la mort est vraiment présente.
Genre à un moment la go du jury parlait aussi d’un truc que je vais essayer de retranscrire sans ses mots et 9 mois, plus tard mais en gros elle était en mode « ou est la possibilité de s’échapper » en mode, tu nous laisses quoi comme moyen de s’en sortir et que ça soit pas juste un guet-apens quoi ???
Et je repense à cette question et je suis en mode JE SAIS PAS 🫢😵😳🫥😶…. The…. The door ..?????? 😳
Genre est ce que j’ai le droit de faire une expo prise d’otage parce que j’ai pas de dessins sympas à présenter ou est-ce que c’est grave ? genre est ce que c’est grave de vouloir partager quelque chose sur laquelle on a même pas encore mit de mots ? Est-ce que y’a des issues de secours dans mon travail que moi même je ne vois pas ou bien pas du tout ? Ou est ce que tout ça c’est juste des fausses questions ?
(Pck vraiment y’a des choses que j’ai envie de partager et je sais qu’elles seront pas prises pareil par tout le monde. mais maintenant je me demande est-ce que les gens se sentiront juste triste et effrayé en sortant, qu’est ce que je peux leur offrir comme échappatoire lol and do I have to ? Etc etc etc 🔄)
Encore une fois c’est un super long monologue sur ce blog, sorry. Mais si jamais vous avez déjà réfléchi à cette question je serai vraiment ravi et curieuxse/reconnaissante de vous entendre. ]
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Alix Payen, née le 18 mai 1842, a marqué l'histoire comme ambulancière et épistolière durant la Commune de Paris en 1871. Son engagement dans l'un des épisodes les plus tumultueux de l'histoire française marque une rupture avec les conventions sociales de son époque.
Issue d'une famille bourgeoise et socialiste, elle passe son enfance en Savoie, région alors indépendante du régime de Napoléon III. Dès son plus jeune âge, Alix se distingue par son esprit indépendant et son intérêt pour les questions sociales et politiques, influencée en partie par les idéaux révolutionnaires qui circulent dans la France du XIXe siècle.
Cependant, c'est la Commune de Paris qui devient le catalyseur de son engagement actif. En 1871, lors de l'insurrection populaire qui prend le contrôle de Paris, Alix se joint aux communards, montrant un courage et une détermination exceptionnels. Durant le siège de Paris par les Prussiens en 1870-1871, puis lors de la Commune de Paris, elle s'implique activement comme ambulancière, accompagnant le bataillon de son époux et portant secours tant aux combattants de la Commune qu'aux soldats versaillais. Elle partage ainsi les conditions éprouvantes des communards, intervenant en première ligne dans les tranchées à l'ouest de Paris dès avril 1871. Sa détermination ne s'arrête pas là : elle endosse également le rôle de combattante, se battant aux côtés des hommes pour défendre les idéaux de la Commune. Son engagement va à l'encontre des normes de genre de son temps, où les rôles de combat sont presque exclusivement réservés aux hommes. Cependant, elle doit mettre un terme à son engagement sur le front à la suite de la grave blessure de son mari en mai 1871.
Après la défaite de la Commune, Alix Payen est arrêtée et fait face à la répression brutale qui s'abat sur les communards. Malgré les risques et les menaces, elle ne renonce pas à ses convictions et continue de défendre les principes pour lesquels elle a combattu.
Sa participation à la Commune est principalement documentée grâce à la correspondance qu'elle envoie à sa famille, dans laquelle elle détaille la vie quotidienne des communards et souligne le rôle des femmes dans ce mouvement insurrectionnel.
Veuve et sans ressources après la chute de la Commune, Alix se tourne vers l'art pour subvenir à ses besoins, notamment en peignant et en coloriant des photographies. Dans les années 1880, elle rejoint sa famille dans une communauté fouriériste, connue sous le nom de « La Colonie », établie dans un phalanstère à Condé-sur-Vesgre (Yvelines). Ce phalanstère, inspiré des théories socialistes utopiques de Charles Fourier, fonctionne sur le principe de coopération et de vie communautaire.
Alix continue à écrire des lettres sur sa vie au sein de cette communauté, témoignant de son parcours et de ses convictions. Sa correspondance fut ultérieurement incluse dans une biographie familiale publiée par son frère cadet dans une revue de l'époque.
Alix Payen s'éteint en 1903 à l'âge de 61 ans, laissant derrière elle un héritage important en tant que témoin et actrice de l'un des événements majeurs de l'histoire de France. Elle demeure non seulement un symbole de la participation des femmes dans les mouvements révolutionnaires, mais aussi un témoignage de la lutte pour l'égalité et la justice sociale. Sa vie, marquée par le courage, la résilience et la fidélité à ses convictions, inspire encore aujourd'hui ceux et celles qui luttent pour le changement social et l'égalité des sexes.
Portrait d'Alix Payen par son frère Paul Milliet.
#Alix Payen#Commune de Paris#Femme combattante#Histoire française#Egalite des sexes#Revolution#Biographie
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Over rose
Flamant rose qui prenait la pause, une rivière pleurait des larmes de crocodile, j’halluciné en me faisant des films, et pour moi pas d’idylle? Mon shoot genre rien à foutre gisait sur le sol, à part ça de chagrin qui me console ? Je crevais d’envie, je perdais la vie, fichue over rose qui s’arrachait la dose. Je titubais vers la fenêtre, est-ce que l’on peut renaître ? La baie vitreuse se reflétait dans mon verre de Chartreuse, Cheers ! Et puis quoi ? Sparadrap, blessures, t’as la douleur qui assure. La vie en doses c’était tout de même quelque chose. Over rose, enchanté, je fais mes contes, c’était Wonderland sans effets, des métaphores qui décrivaient ma honte. Une over rose, barbituriques, Barbie tu raques, la connerie humaine dessinait le quotidien, ce n’était pas une vie de chien, juste une vie pour rien. La race absolue souveraine, tuait le temps dans la haine, il s’agissait d’aimer son prochain, une balle en pleine tête, magicien. Une over rose, je vois la vie en rose, tu déconnes à plein tube, mets dans ton bain de glace des cubes. J’étais sous hypnose, j’en perdais les saisons même pluviôse, ma période bleue dérivait sur la mélancolie des aveux, pourtant il fallait que j’ose, le temps c’était toujours la cause. Un cocktail à l’eau de rose, foule sentimentale, si j’étais un Alpha mâle, j’aurais fait feu de tout bois rose. Ici flamme en rose, le bonheur et ses quantités de chose, finalement juste une malle de sensations moroses. Intuition dans la cour, même sans issue de secours, mon over rose en impression sur les murs, j’avançais doucement à trépas sans être sûr, que sur un lit de roses j’allais avoir mon ultime over rose.
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Kuroshitsuji : Quelques réflexions 2
Ce post fait suite au premier (avec le même titre) car les limites de caractère par post sont une chose scandaleuse que j'aimerais voir disparaître de ce monde. Malheureusement, ce n'est pas possible. Donc je pense que je vais faire une grande réorganisation dans un moment.
Dans Book of Murder, je ne sais pas pour vous, mais il m'a toujours par��t évident que Sebastian n'était pas mort (en dehors de l'évident ''il est un démon'') et j'ai été déçue d'a quel point cela a t-il été peu relever. Après, je n'en veux pas à Conan Doyle qui est opticien, pas légiste, mais l'absence de pâleur cadavérique de deux des ''victimes'' aurait dû mettre la puce à l'oreille. Surtout après une telle hémorragie dans leur cas respectif. Sans compter que Grey a empalé l'Allemand à travers sa chemise... et personne n'a remarquer le trou qui est mystérieusement apparût ?! Ou est-ce moi qui suis trop tatillonne ?
Dans l'arc du Campania, je noterais quand même que, non seulement Druitt n'est pas surpris de la nature d'Undertaker mais également de celle des autres comme Grell et Ronald. Peut-être même se doute t-il de quelque chose concernant Sebastian s'il était toujours là (Ryan Stocker l'était pendant le combat même s'il ne fût plus représenter après un moment) pendant qu'ils en parlaient tous. De plus, même s'il aurait peut-être pu se sauver de Campania seul en ayant préparé une issue de secours face à la présence des poupées (quoique... je lui donne peut-être trop de crédit mais il est vrai que je ne l'apprécie pas du tout et le voir comme 16ème personnage le plus populaire m'a sidérée), je ne vois pas comment il aurait pu s'attacher tout seul comme il y fût retrouver comme ''survivant miraculeux''. Et puis, j'aime l'idée d'Undertaker sauvant son mécène seulement pour l'abandonner sur un radeau, attaché, au beau milieu de l'océan. Je pense que c'est le genre de mauvais tour (je respecte ma parole mais pas comme tu l'aurais penser/voulu) dont il est tout à fait capable.
Sebastian est vraiment un salaud. Là maintenant, c'est la première pensée qui me vient à l'esprit. Jusqu'ici, j'avais toujours trouver sa ressemblance avec Vincent anecdotique mais ce n'est qu'en relisant le chapitre 134 que je me rend compte que, quand Ciel découvre le corps de ses parents et que celui de son père se retourne, la ressemblance avec la ''mort'' de Sebastian de Book of Murder est flagrante. Sachant que Sebastian n'a pas été abattu mais c'est réinstallé ainsi par la suite, en sachant que Ciel serait forcément amené dans la pièce pour voir son ''cadavre'', prendre la posture et le visage de son père assassiné était d'un niveau de cruauté que je ne peux qu'a peine envisager. Avant, je pensais la réaction de Ciel abusive. Maintenant ? Je l'encourage. Je dois revoir s'il a utiliser sa main baguée pour lui flanquer toutes ces gifles. J'espère qu'il l'a fait, cela améliorerait certainement mon humeur.
Dans le flashback de ''Ciel'' de son 10ème anniversaire, juste après avoir compris la mort de ses parents et s'être effondré dans le hall censé accueillir sa fête et celle de son frère, il entend des bruits de combats. En s'y dirigeant, il tombe sur Tanaka qui regarde, figé, une scène qui ne nous est pas montrer. Mais quand ''Ciel'' se dirige vers lui en pleurant, dans ma traduction, il lui dit ''Ne venez pas ! Maître Ciel est... cette scène est bien trop dure pour vous !''. C'est une chose étrange à dire à ''Ciel''. Pourquoi ne pas juste lui dire qu'il y avait un danger quelconque et de s'enfuir ? Que l'Assaillant était là ? Si, à ce moment-là, Tanaka parle de Ciel, il y a deux possibilités que je peux entrevoir. Soit le vieil homme a confondu les jumeaux dans la panique... soit Ciel se trouvait dans ce couloir à l'endroit de l'attaquant. Cela pourrait-il signifier que Ciel a vu le.s coupable.s ? Quand on y pense, il est curieux (et suspect) que Ciel ait eu la bague en sa possession depuis le bureau et ce soit possiblement rendu dans ce couloir. Qui sont, comme par hasard, deux des endroits où nous sommes absolument certains que l'attaquant s'est retrouvé et sans doute assez peu de temps avant l'arrivée de ''Ciel'' puisque Sebastian semble l'attaquer à peine une ou deux minutes avant l'arrivée du cadet. D'ailleurs, Undertaker, qui a vu la lanterne, saurait-il le fin mot de l'histoire ?
Quoiqu'il se soit passer dans ce couloir, c'était assez traumatisant pour que même Tanaka se fige et hésite à se lancer au combat. Et, pour rappel, on parle de l'épéiste expert qui n'a pas ciller avant de se lancer face à une soldate entraîné et coupé en deux une balle envoyée par une arme de pointe. Servir de garde du corps dans Book of Murder face au magnat qui a voulut gifler ''Ciel'' est une chose. Trancher une balle projeter à grande vitesse par un pistolet militaire amélioré est d'un tout autre niveau. Toute cette scène ne fait que conforter mes soupçons comme quoi le manoir fût assaillit par une créature surnaturelle. Rien d'autre ne pourrait éliminer les serviteurs et maîtres de maison sans qu'aucunes alertes et/ou tentative d'évacuation ne soit menée. Rien d'autre n'aurait pu dépasser les réflexes de Tanaka et le poignarder dans le dos alors que celui-ci peut réagir à une balle de fusil.
Pour alléger un peu l'ambiance, suis-je la seule a trouver ironique que la relation entre Ciel et Sebastian que certains fans (et auteur de fanfictions) attribue à la relation entre le compte et son majordome correspond davantage à la relation entre ''Ciel'' l'enfant et Sebastian le chien ? Le ''je t'aime, moi non plus'' ou encore le ''je t'embête pour ton bien'' sont des comportements que nous avons vu le chien des Phantomhives adoptés, à la fois quand ''Ciel'' ne pouvait pas sortir mais aussi durant l'attaque. Contrairement à Sebastian qui, bien qu'il finisse toujours par sauver ''Ciel'', est celui qui le met constamment en danger, le force à gérer une pression qu'il ne mérite pas et se moque constamment de lui. Et tout cela pour quoi ? Pour, égoïstement, façonner ''Ciel'' pour ses besoins personnels. Soyons clair, Sebastian me met en colère mais je ne le déteste pas. Cependant, que quelqu'un dise qu'il cherche à faire au mieux avec Ciel me fait lever les deux sourcils car ce n'est vraiment pas le cas. Et quand un fichu chien se débrouille mieux que vous en la matière, je crois que le temps d'une sérieuse remise en question a largement été dépassé !
Si les shinigamis naissent quand les humains se suicident, alors je ne veux pas imaginer la taille du département japonais qui a une culture orientée sur les ''suicides honorables'' préférés aux ''morts honteuses''...
#Kuroshitsuji#Black Butler#Ciel Phantomhive#Undertaker#Sebastian Michaelis#Phantomhive#Campania Arc#Book of Murder Arc#The Emerald Witch Arc#Arc de la Sorcière d'Emeraude
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Les jours sont devenu si ennuyeux.
Secondes après secondes je me sens de plus en plus seule.
Si il y avait une issue de secours à ce chemin douteux je pense que je ne la prendrais pas.
Peut-être que c'est l'objectif de ma vie, la solitude, l'incompréhension et le malsaint.
Chaque chose malsaine me font me sentir normal.
Mon esprit est morbide. Les scènes de violence et de meurtre explicite. Le sexe. La drogue. L'alcool. La soif incontrôlable de voir du sang et de le toucher voir même de le goûter.
L'envie de toucher à la drogue dur. Juste pour pouvoir me sentir mieux. Je veux des seringues plantés partout dans mon corps. Exctasy. Kétamine. Héroïne. Cocaïne. Opium.
Je sais que ça gâcherait un avenir potentiel. Donc j'y refoule. Malgré l'envie irrésistible de le faire. Le nombre de fois où j'ai rêvé de faire le coup de la savate. Le nombre de fois où j'ai rêvé de sentir un crâne se brisé sous mes mains. De brûler mes empruntes digital. De fusillé une dizaine d'humain. Sans le moindre remord, sans la moindre culpabilité.
Je me sens vraiment comme une merde.
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Chapitre 131 : Pourchassée
Elle accéléra légèrement, espérant que ce n’était qu’une coïncidence. Mais la voiture accéléra également. Son cœur se mit à battre plus fort. Elle prit un virage brusque, changeant de direction, mais la voiture noire resta sur ses traces. Parker savait qu’elle devait agir rapidement. Elle tourna dans une petite rue, puis une autre, essayant de semer son poursuivant. Mais la voiture noire était toujours là, implacable. Elle décida de se diriger vers une zone plus fréquentée, espérant que la circulation dense lui donnerait une chance de s’échapper.
Mais alors qu’elle approchait d’un carrefour, deux autres voitures surgirent de nulle part, bloquant sa route. Elle était prise dans une embuscade. Parker freina brusquement, son esprit cherchant frénétiquement une solution.
Les portes des voitures s’ouvrirent et plusieurs hommes en sortirent, armés et déterminés. Parker savait qu’elle n’avait pas beaucoup de temps. Elle attrapa son téléphone et tenta de joindre rapidement Skinner, sans trop y croire. Aussi, elle s’aperçut avec horreur qu'elle n'était pas armée. La jeune femme se maudit intérieurement d'avoir pu commettre une telle erreur. Prenant une profonde inspiration, elle sortit de la voiture, les mains en l’air. Les hommes s’approchèrent, leurs armes pointées sur elle.
Vous avez quelque chose qui nous appartient. Dit l’un d’eux, un sourire cruel sur les lèvres.
Parker ne répondit pas, ses yeux cherchant une échappatoire. Soudain, elle aperçut une ruelle étroite à sa droite. Sans réfléchir, elle se jeta dans la ruelle, courant aussi vite que possible.
Les hommes crièrent et se lancèrent à sa poursuite. Parker courait, son souffle court, ses muscles en feu. Elle devait les semer, trouver un endroit sûr. Elle tourna brusquement, se retrouvant face à une clôture. Sans hésiter, elle grimpa, ses mains glissant sur le métal. Elle sauta de l’autre côté, atterrissant lourdement, mais se relevant immédiatement. Les hommes étaient toujours derrière elle, mais elle avait gagné un peu de temps.
Elle se précipita dans une autre ruelle, cherchant désespérément une issue. Ses yeux balayèrent les environs, cherchant un endroit où se cacher. Elle aperçut une porte entrouverte sur le côté d’un bâtiment. Sans réfléchir, elle s’y engouffra, refermant la porte derrière elle. Parker se retrouva dans un entrepôt sombre, rempli de caisses et de machines abandonnées. La jeune femme se cacha derrière une pile de caisses, essayant de reprendre son souffle et de calmer les battements de son cœur. Les hommes entrèrent dans l’entrepôt, leurs pas résonnant sur le sol en béton. Parker retenu son souffle, espérant qu’ils ne la trouveraient pas. Elle entendit leurs voix, basses et menaçantes, alors qu’ils fouillaient l’endroit.
Elle doit être ici quelque part. Dit l’un d’eux.
Cherchez partout.
Parker savait qu’elle ne pouvait pas rester cachée longtemps. Elle devait trouver un moyen de sortir de là. Elle jeta un coup d’œil autour d’elle, cherchant une issue. Elle aperçut une fenêtre en hauteur, légèrement ouverte. C’était sa chance. Parker se glissa discrètement hors de sa cachette, se dirigeant vers la fenêtre. Elle grimpa sur une caisse, puis sur une autre, atteignant enfin la fenêtre. Elle l’ouvrit doucement, essayant de ne pas faire de bruit.
Mais alors qu’elle passait à travers la fenêtre, l’un des hommes la repéra.
Là ! Elle est là ! Cria-t-il.
Parker se précipita à travers la fenêtre, atterrissant sur le toit d’un bâtiment adjacent. Elle courut, ses pieds glissant sur les tuiles. Les hommes la suivaient, mais elle avait une avance. Elle sauta d’un toit à l’autre, son cœur battant à tout rompre. N'ayant pas d'autres issus, Parker devait les semer, trouver un endroit sûr. Elle aperçut une échelle de secours et s’y précipita, descendant rapidement. La jeune femme finit par atterrir dans une ruelle sombre, ses jambes tremblantes. Elle se cacha derrière une benne à ordures, essayant de reprendre son souffle. Les hommes passèrent devant la ruelle, ne la voyant pas. Parker attendit quelques minutes, s’assurant qu’ils étaient partis. Puis elle sortit de sa cachette, se dirigeant rapidement vers un endroit sûr. Elle devait contacter Skinner et lui dire ce qui s’était passé.
La jeune femme, encore secouée par cette embuscade, partit retrouver Skinner le lendemain après l'avoir contacté au téléphone pour lui expliquer la situation. Parker et Skinner se réunirent dans un café isolé, loin des regards indiscrets. Parker, les mains tremblantes, raconta en détail la poursuite et l’embuscade.
Skinner parut atterré de l'apprendre, il se massa nerveusement le haut du crâne, ses yeux s’élargissant de stupeur, puis déclara, d’une voix tremblante d’émotion :
Bon sang, la situation est encore pire que ce que je croyais. Je suis sincèrement navré de ce qu'il vous ai arrivé Andréa. Nous devons être plus prudents. Mais cela prouve que nous sommes sur la bonne voie.
Il soupira profondément, ses épaules s’affaissant sous le poids de l’inquiétude.
Écoutez, je ne doute pas de votre détermination à révéler au grand jour la vérité seulement, au vu de ce qu'il s'est passé, j'ai peur que… Commença-t-il, sa voix se brisant légèrement avant que Parker ne l’interrompe.
Je sais ce que vous allez dire. Je n'ai pas besoin de votre sollicitude. Ce dont j'ai besoin, c'est de votre soutien. Bien que j'ai été frappée par ce qu'il s'est passé, je ne m'arrêterais pas pour autant. Bien au contraire, cela me pousse encore plus à me battre. Il le faut. Ses yeux brillaient de détermination, malgré la fatigue visible sur son visage.
S'il vous plaît, dite quelque chose. Lui implora-t-elle, tendue par les nerfs, ses mains se crispant autour de sa tasse de café.
Skinner la regardait, touché par sa détermination. Il prit une profonde inspiration, essayant de calmer ses propres émotions.
Très bien, comptez sur moi. Faites-moi une description détaillée sur ces hommes afin que nous puissions les identifier. Contactez-moi dès que ce sera fait. Je vous indiquerais un autre lieu de rendez-vous.
Je dois vous laisser. Faite bien attention à vous Andréa. Ne vous en faite pas, on retrouvera ces pourritures. Sa voix se raffermissant alors qu’il posait une main réconfortante sur son épaule.
Parker hocha la tête, reconnaissante.
Après ces événements, la jeune femme prit le temps de faire calmement le point sur la situation. Elle avait passé le reste de la journée à rassembler ses souvenirs, espérant identifier ses ravisseurs pour les retrouver et les interroger. En début de soirée, en fouinant sur son téléphone, Parker remarqua que ses anciens coéquipiers avaient tenté de la joindre à plusieurs reprises, mais elle ne semblait pas décidée à parler à qui que ce soit pour l'instant. Épuisée, Parker s’endormit quelques minutes plus tard sur le canapé du salon, son téléphone encore dans les mains.
De leur côté, Mulder et Scully n’eurent toujours pas de nouvelles de leur amie depuis plusieurs jours. Bien qu’ils étaient habitués à ce genre de silence, une inquiétude sourde les rongeait. Mulder, en particulier, ne pouvait s’empêcher de penser que quelque chose de grave était arrivé. Par précaution, ils décidèrent de ne pas se rendre chez elle, craignant d'être suivi. Après avoir longuement discuté des risques, Mulder tenta une dernière fois de la joindre par téléphone. Par miracle, elle décrocha enfin, et le jeune homme sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine :
Si tu savais comme je suis soulagé de t’entendre ! S’exclama-t-il, la voix tremblante d’émotion.
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3% s3e6: Alçapão/issue de secours/Escape Hatch, Only to Return...
The bully and the new girl with the bully taking over the Concha, at least for the day until their acknowledged superiors from Maralta arrive, is trying to manipulate the doctor. Michele, now, has to persuade Joanna to help her retake the Concha, while Joanna does her the favor of saving her life, first. And of course the little food that is left is being used by our two bullys as a prize: the…
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LES COMPASSIONS DE L'ETERNEL SE RENOUVELLENT CHAQUE MATIN
LAMENTATIONS 3:1-45 & 53-57
Je suis l'homme qui a vu l'affliction sous la verge de sa fureur. Il m'a conduit et m'a fait marcher dans les ténèbres et non dans la lumière; Contre moi seul il tourne et retourne sa main tout le jour. Il a usé ma chair et ma peau, il a brisé mes os; Il a bâti contre moi; il m'a environné de fiel et d'ennui; Il m'a fait habiter dans les ténèbres, comme ceux qui sont morts depuis longtemps. Il m'a entouré d'un mur pour que je ne puisse sortir, il m'a chargé de lourdes chaînes.
Lors même que je crie et que j'implore du secours, il ferme tout accès à ma prière. Il m'a barré les chemins avec des pierres de taille, il a bouleversé mes sentiers. Il a été pour moi comme un ours aux aguets, comme un lion dans son embuscade; Il m'a ôté toute issue et m'a mis en pièces; il m'a réduit à la dévastation; Il a bandé son arc et m'a placé comme but à ses flèches. Il a fait pénétrer dans mes reins les fils de son carquois;
Je suis la risée de tout mon peuple, leur chanson tout le jour; Il m'a rassasié d'amertume, il m'a abreuvé d'absinthe. Il a fait broyer du gravier à mes dents, il m'a enfoncé dans la cendre
Mon âme est dégoûtée, parce qu'elle n'a plus de paix; j'ai oublié le bonheur; Et je disais: Ma force est perdue, je n'ai plus d'espérance en Jéhovah! Souviens-toi de mon affliction et de ma souffrance, de l'absinthe et du fiel! Mon âme s'en souvient sans cesse, et elle est abattue en moi.
Voilà ce que je veux me rappeler en mon cœur; c'est pourquoi j'espérerai. C'est une grâce de Jéhovah que nous ne soyons pas anéantis, car tes miséricordes ne sont pas épuisées; Elles se renouvellent chaque matin; grande est ta fidélité!
Jéhovah est mon partage, a dit mon âme; c'est pourquoi j'espérerai en lui. Jéhovah est bon pour qui espère en lui, pour l'âme qui le cherche. Il est bon d'attendre en silence la délivrance de Jéhovah; Il est bon à l'homme de porter le joug dès sa jeunesse. Quand Dieu le lui impose, qu'il s'asseye à l'écart, en silence! Qu'il mette sa bouche dans la poussière; peut-être y va-t-il de l'espérance! Qu'il tende la joue à celui qui le frappe; qu'il se rassasie d'opprobres! Car le Seigneur ne rejette pas à toujours; Mais, quand il afflige, il a compassion selon sa grande miséricorde; Car ce n'est pas de bon cœur qu'il humilie et qu'il afflige les enfants des hommes.
Quand on foule aux pieds tous les captifs du pays, Quand on fait fléchir le droit d'un homme à la face du Très-Haut, Quand on fait tort à quelqu'un dans sa cause, est-ce que le Seigneur ne le voit pas? Qui a parlé, et la chose s'est faite, sans que le Seigneur l'ait commandé? N'est-ce pas de la bouche du Très-Haut que viennent les maux et les biens? Pourquoi l'homme vivant se plaindrait-il? Que chacun se plaigne de son péché. Examinons nos voies et scrutons-les, et retournons à Jéhovah. Elevons nos cœurs, avec nos mains, vers Dieu qui est au ciel. Nous, nous avons péché, nous avons été rebelles; toi, tu n'as pas, pardonné. Tu t'es enveloppé dans ta colère, et tu nous as poursuivis; tu as tué sans épargner; Tu t'es couvert d'une nuée, afin que la prière ne passe point; Tu as fait de nous des balayures et un rebut au milieu des peuples.
Ils ont voulu anéantir ma vie dans la fosse, et ils ont jeté une pierre sur moi. Les eaux montaient au-dessus de ma tête; je disais: "Je suis perdu!"
J'ai invoqué ton nom, Jéhovah, de la fosse profonde; Tu as entendu ma voix: " Ne ferme point l'oreille à mes soupirs, à mes cris de détresse!"
Au jour où je t'ai invoqué, tu t'es approché et tu as dit: " Ne crains point!"
SOYEZ REMPLIS DU SAINT ESPRIT ET ALLEZ DANS LA PAIX 🌿 DU CHRIST! ✝️ ALLEZ POUR LA PAIX, 📖 ALLEZ FAIRE LA PAIX 🤝
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La Parachah « Devariym » (Paroles)
Pensée Le rappel de la Torah, et du parcours chaotique du peuple d’Israël sont déterminants de l’espérance promise à Israël. Le chemin qui reste à parcourir sera-t-il sans problème ? Certes non, mais voici ce que laissera Moshéh au terme du livre de Dévariym, Deutéronome :
« Heureux es-tu Israël ! Qui est comme toi, un peuple sauvé par YHWH, le bouclier de ton secours et l’épée de ta majesté ? Tes ennemis défailliront devant toi, et tu fouleras leurs hauts lieux » (Deutéronome 33:29)
Voici ce qu’en dira le psalmiste :
“Qui habite le secret d’Elyon passe la nuit à l’ombre de Shaddaï, disant à YHWH : Mon abri, ma forteresse, mon Élohaï sur qui je compte ! C’est lui qui t’arrache au piège des chasseurs qui s’affaire à détruire ; Il te couvre de ses ailes, tu t’abrites sous ses ailes. Armure et bouclier, sa vérité. Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, de la flèche qui vole de jour, de la peste qui marche dans l’obscurité, ni le fléau qui dévaste à midi. Qu’il en tombe mille à tes côtés et dix mille à ta droite, toi, tu restes hors d’atteinte. Il suffit que tes yeux regardent, tu verras la rétribution des criminels, toi qui dis : YHWH mon abri ! et qui fais d’Elyon ton refuge. Le malheur ne peut fondre sur toi, ni la plaie approcher de ta tente : Il a pour toi donné ordre à ses anges de te garder en toutes tes routes. Sur leurs mains ils te porteront pour que ton pied ne heurte pas la pierre ; sur le fauve et la vipère tu marcheras, tu fouleras le lionceau et le dragon. Puisqu’il est épris de Moi, Je le délivre. Je l’exalte puisqu’il connaît mon Nom. Il crie vers Moi et Je lui réponds : « Moi-même Je suis avec lui dans la détresse, Je le délivre et Je le glorifie, à longueur de jours Je veux le rassasier et Je ferai qu’il voie mon Salut. »” (Psaume 91)
Que YHWH guide Israël par le bras puissant de sa droite, Yéshoua.
Lectures Parachah : Dévariym / Deutéronome 1:1 à 3:22 Haftarah : Yéshayahou / Isaïe 1:1-27 Bérith Hadachah : Hizzayon / Apocalypse 2:18-29
Rappel Les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yéshoua.
Résumé de la Parachah Après la conquête des territoires situés à l’Est du Jourdain, et avant l’entrée d’Israël dans le territoire de Kénaan, Moshéh, à qui il ne fut pas permis de pénétrer en Eréts Israël, engage le long exposé de « Dévariym » ou « Deutéronome ».
Dans la présente parachah, il rappelle au peuple son errance depuis quarante années dans le désert et comment, malgré leurs révoltes, YHWH les a conduits.
Il rappelle, alors que la génération de ceux qui sont sortis d’Égypte est disparue, que YHWH leur donnait l’ordre de monter vers le Nord par la rive Est du Jourdain, en épargnant les populations issues de Essav (Esaü) et de Loth, mais en livrant la guerre aux midiyanites et aux Amoréens qu’ils dépossédèrent de territoires situés à l’Est du fleuve : à partir de l’Arnon, vers le milieu de la « mer salée » jusqu’au « Mont Hérmon » au Nord.
Compte rendu de retour d’expérience, points clé, et vision d’avenir
Assurément Moshéh n’a rien à envier aux meilleurs « managers » du XXIème siècle ; nous pourrions même penser que ces derniers n’ont fait qu’emprunter la méthode du premier !
C’est un véritable dossier « bouclé » de fin de projet ou de fin de mission que Moshéh confira de la part d’Élohim à ses successeurs : le livre « Dévariym ». Ce n’est pas un traité hermétique, ni de théologie, ni de philo, ni de bilan comptable, accessible aux seuls « initiés », mais un recueil de vécu, de spiritualité, d’humanité, de sens, d’espérance du Royaume, sans complaisance ni illusion : le résultat du cheminement réel des hommes sous le regard d’Élohim.
Un Élohim de grâce et de justice qui ne cesse de corriger et de réajuster les écarts de ses enfants. En somme ce n’est pas un ouvrage d’intellectuel, ni d’illuminé, ni de mystique, ni de tradition de religieux, ni de rêveur. C’est du concret, car notre Élohim est VIE !
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Tout ce qui n’est pas transférable en acte de vie n’est que du verbiage. La Parole d’Élohim n’est pas du verbiage, car elle ne LUI revient jamais sans avoir accompli ce pourquoi elle est envoyée !
Yéshoua est la Parole d’Élohim ! Yéshoua est la Torah Vivante.
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Fort de ce principe, méfions-nous de toute « doctrine » qui ne contient en elle-même que de l’abstraction, du mysticisme, car dans ces formules se profilent aisément les « expressions idolâtres » sans aucun but pratique d’évolution, donc de vie.
Le veau d’or en est une illustration au même titre que « la sainte trinité orthodoxe » et autres panthéons issus de la matrice babylonienne.
Bien qu’après sa mort Moshéh savait que le peuple allait honteusement se corrompre (Deutéronome 31:29), il écrivait néanmoins cette réplique « essentielle » de la Torah qui se placerait à côté de l’arche d’Alliance pour servir de témoignage.
L’écrit n’est toutefois pas sans certaines subtilités de type pédagogique, de références, d’évaluation d’expériences, bonnes ou mauvaises, de directions, de conseils, d’ordres, pour orienter et favoriser le devenir relationnel du peuple avec son Élohim.
Car le texte fut écrit pour être mis en œuvre, pour être mis en vie, et non pour être transformé en objet de contemplation, à l’exemple des idoles !
En effet, la Torah devait s’écrire dans les cœurs.
Le parcours terrestre de Moshéh s’achève, YHWH l’en a informé. Cet homme, ex prince d’Egypte, immergé dans une relation d’exception avec YHWH, de qui il recevait les instructions « Péh lé-Péh » : bouche à bouche, a conduit le peuple d’Israël à travers le désert pendant une quarantaine d’années. Quarante années à « gérer ou gouverner » un peuple vous apprend beaucoup sur ce peuple, surtout si vous êtes humble, patient et observateur comme Moshéh.
Alors avec finesse et douceur pour ne pas heurter davantage les consciences blessées, Moshéh relate le parcours tumultueux du peuple depuis Horév jusqu’à la guerre contre Og et Sihon.
Quarante années clairsemées de révoltes et de murmures. Moshéh en fait mention, non pour condamner mais pour mémoriser, non pour écraser le peuple sous la culpabilité mais pour lui rappeler la miséricorde mais aussi la justice de YHWH à son égard. Moshéh n’a pas besoin d’insister lourdement sur les erreurs, leur simple évocation suffira auprès d’une nouvelle génération qui n’a pas connu l’Egypte, mais qui vécut certaines péripéties.
En effet, ceux à qui Moshéh s’adresse reviennent victorieux des Amoréens, sans aucune perte ! Ces mêmes Amoréens qui effrayèrent leurs pères qui dirent :
« C’est parce que YHWH a de la haine pour nous, qu’Il nous a fait sortir du pays de Mitsraïm, afin de nous livrer entre les mains des Amoréens et de nous détruire » (Deutéronome 1:27)
Toutefois, malgré sa haute valeur morale, Moshéh ne se désolidarise pas de son peuple, il s’inscrit pour lui-même dans les initiatives malheureuses d’Israël, en laissant comprendre que :
l’organisation hiérarchique « pyramidale » venait de lui (1:14),
l’envoi des espions aurait été une concession faite au peuple (1:22),
il ne pouvait entrer en Kénaan à cause du peuple (1:37)
C’est une façon de dire humblement et par des preuves concrètes : je ne suis pas meilleur que vous !
Ce comportement de Moshéh s’identifie à celui de Daniel, qui reste un modèle pour tous les vrais intercesseurs en faveur d’Israël :
« Et maintenant, Seigneur, notre Élohim, Toi qui as fait sortir ton peuple du pays d'Egypte par ta main puissante, et qui t'es fait un Nom comme il l'est aujourd'hui, nous avons péché, nous avons commis l'iniquité. » (Daniel 9:15)
En écrivant cette Torah, Moshéh l’inspiré agit en bon pédagogue qui sait que le disciple apprend davantage de ses échecs que de ses réussites !
Cela peut paraître étonnant, mais lorsque nous réussissons à atteindre un objectif du premier coup et sans problème nous disons : j’ai réussi ! Mais nous avons de la difficulté à expliquer pourquoi et comment nous avons réussi !
Nous pouvons seulement dire : Béni soit le Seigneur qui m’a conduit et a octroyé de la réussite à mon projet !
A l’inverse lorsque nous échouons, nous cherchons pourquoi ça ne marche pas et tentons de rectifier l’erreur pour ne plus la recommencer.
Et nous disons : j’ai compris pourquoi ça n’a pas marché !
Si toutefois nous observons pour apprendre et ne pas oublier. Dans ce cas, nous pouvons dire : Merci Seigneur de m’avoir instruit et ouvert les yeux !
Paradoxe militaire
« Lorsque tous les hommes de guerre eurent disparu par la mort du milieu du peuple. » (Deutéronome 2:16)
Quel général en chef de cette planète, qui sait que des guerres contre de puissants ennemis se préparent, attendrait-il que tous ses soldats aguerris et vétérans aient disparus ? Puis projetterait-il de partir en campagne avec des hommes non formés aux techniques de combat, n’ayant jamais observé une quelconque bataille, n’ayant aucune connaissance d’une quelconque tactique ou stratégie militaire ?
Cela tient de l’inconscience, dirions-nous.
« Ne les craignez point ; car YHWH, votre Élohim, combattra lui-même pour vous. » (Deutéronome 3:22)
« Mon Royaume n’est pas de ce monde ! »
Cela signifie que le Royaume d’Élohim ne s’identifie en rien au mode de pensée et de fonctionnement de ce monde.
La victoire d’une armée, et notamment celle d’Israël, ne réside pas dans sa puissance apparente aux yeux des hommes, ni dans la supériorité de stratège de ses généraux, mais dans son état de sanctification, de pureté, car dans ce cas, YHWH Tsévaoth EST au milieu de l’armée.
L’armée d’Israël était constituée de « Qédochiym » des saints, accompagnés du sacrificateur Piynéhas avec les trompettes d’argent et des instruments sacrés.
Cette génération d’hommes née dans le désert, élevée et éduquée sous le signe de la Torah, faisait dorénavant d’Israël un peuple à part dont toutes les références différaient de celles des nations.
Même le grand Bilam ne put rien faire contre l’Israël d’Élohim, car il était saint.
** Prions pour que ce qui fut une réalité de sainteté sous Moshéh et Yéhoshoua redevienne la réalité d’un jour proche. **
Mais réfléchissons un instant aux présents et futurs « Balaq-Bilam » face aux saints gardant « les ordres de YHWH et le témoignage de Yéshoua » !
Rien ne change sous le soleil ! Soyons sur nos gardes.
Pensée
« Notre libération, la sortie de notre Egypte, la Torah vivante écrite dans le cœur, le Mashiah en nous, l’espérance de la gloire ».
Quelle belle phrase ! Quelle douce musique, pleine de félicité, de merveilleux, mais qu’est-ce que ça implique, de quoi s’agit-il ? Car passé le moment de l’émerveillement, « la liberté », il faut bien se mettre à l’œuvre et appréhender la réalité pratique du merveilleux, « le désert » !
C’est à ce moment-là que les difficultés, les incompréhensions, les insatisfactions apparaissent.
Lorsqu’une réponse à nos questions se précise, par une lecture de la Parole ou par une explication pertinente ou par un vécu, mais que cette réponse diffère de ce que nous en pensions ou en souhaitions, nous disons facilement :
“ Ah ! Je ne vois pas cela de cette manière, cette réponse ne me satisfait pas, et nous refusons l’évidence. “
Illustrons notre pensée par un exemple issu du texte de Matthieu :
« Et voici un (quidam) s’approche de lui dit : Rabbi quoi de bon je ferai afin d’obtenir la vie éternelle, Il lui dit donc pourquoi me questionnes-tu au sujet de la bonne (chose) une est la bonne (chose ; ou il n’y a qu’une bonne chose/qu’un bon remède) car si tu veux entrer dans la vie observe les mitsvoth (commandements) il Lui dit lesquels ? Yéshoua dit : les, tu ne tueras pas, tu n’adultéreras pas, tu ne déroberas pas, tu ne témoigneras pas faussement, honore le père et la mère, et tu aimeras ton proche comme toi même… » (Matthieu 19:16-30)
Un jeune homme visiblement observateur de la Torah consulte le « Rabbi Yéshoua ». Nous comprenons que ce jeune homme est un fervent croyant. Le Seigneur n’avait pas même besoin de lui citer quelques mitsvoth (commandements) parmi les dix paroles du décalogue que ce jeune homme devait certainement connaitre par cœur depuis longtemps.
Sa question était : que dois-je faire de « bon » (grec : agaton = bon remède) avec l’idée sous-jacente de « faire en plus » ?
Pourquoi ? Parce que ce jeune homme soupçonnait que le fait de respecter toute la Torah, comme il le faisait (j’ai observé toutes ces choses que me manque-t-il encore ?), ce n’était pas suffisant pour obtenir la vie éternelle. Ce jeune avait perçu quelque chose de grand et de fort, donc il questionne ce Rabbi extraordinaire.
Yéshoua semble répondre par une banalité : « il n’y a de bon qu’une seule chose : respecte les mitsvoth ! ».
Mais le jeune homme insiste car il ne comprend pas bien, il pense peut-être confusément qu’il y a des « choses » qu’il ne fait pas. Le Seigneur lui précise donc la nature de ce qu’il faut respecter et il cite quelques paroles (5) du décalogue en résumant la pensée de la relation à autrui : aime ton proche comme toi-même (ce qui n’élude pas pour autant les 5 autres paroles relatives à la convoitise et à l’adoration du seul vrai Élohim).
La consigne était donc : observe les commandements (tous). Mais le jeune homme qui observe tous les commandements voulait savoir ce qu’il devait faire de plus pour obtenir la vie éternelle, comme si une « bonne action en soi » pouvait procurer la vie éternelle. Il comprenait de manière confuse que la vie éternelle demande « davantage d’engagement ».
Le Seigneur lui dit alors, en plus de tout cela si tu veux être parfait, cette chose que tu veux faire absolument, je vais t’en proposer une : donne tout ce que tu possèdes puis suis-moi. Le jeune homme riche ne s’attendait pas à cette réponse ; il s’en retourne tout triste.
Car obtenir la vie consistait, sur la base de la foi et de l’obéissance à la Torah, à suivre dorénavant l’Agneau partout où IL va ! Gardez les commandements, voilà bien le genre de réponse qui ne plait guère. Et comme le fit le jeune homme, qui ne mettait pas en cause les commandements déjà reçus, la majorité des « chrétiens » d’aujourd’hui répondra : oui, mais lesquels, sous-entendant une distinction entre la nouvelle et la première alliance ?
Tous et de façon beaucoup plus profonde, comme Moi je les ai observés, répondra le Seigneur « car si votre justice ne dépasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez pas dans le Royaume ».
Et nous savons que ces derniers étaient religieusement très scrupuleux.
Le jeune homme juif voulait « ajouter » à la Torah, comme si elle ne suffisait pas. Il pensait réaliser déjà toute la Torah (!).
La chrétienté « enlève» à la Torah en pensant que ces choses sont inutiles, et que sa richesse « spirituelle » supposée l’en dispense et parce qu’en 2000 ans les « choses » de la Parole auraient évolué !
La réponse de l’Adon Yéshoua est claire et pourrait s’énoncer ainsi : « Je vous ai parlé par Moshéh, Je ne suis pas venu réduire à rien les écrits de Moshéh, au contraire Je suis venu les accomplir, les confirmer en leur redonnant leur sens originel, leur puissance, c’est-à-dire vous attester qu’ils sont de Moi, Moi qui suis venu du Père. »
« Et il leur dit, c’est pertinemment que vous tenez pour nul le commandement d’Élohim, si c’est votre tradition que vous imposez. » (Marc 7:9)
Cette phrase ne s’adresse pas qu’aux religieux du judaïsme de l’époque apostolique.
Aujourd’hui même, considérons objectivement les impositions d’habitudes dogmatiques, comme le remplacement du Shabbat par le dimanche par exemple, et tout le reste sans rien omettre.
Et demandons-nous si nous sommes en accord avec le bon souhait de notre Père ou si nous appliquons notre propre « raisonnement » en nous persuadant par une autojustification certainement irrecevable au regard du Seigneur.
« En gardant Mes commandements qui sont les commandements de Mon Père, vous entrez dans le processus de la vie, car alors mes Paroles deviennent actes, puissance de vie qui agit en vous ! Mes Paroles vous transforment, vous sanctifient, vous purifient et dirigent vos œuvres. Vous n’êtes pas sauvés par vos œuvres, mais par elles vous témoignez de votre appartenance, vous glorifiez mon Père comme Moi Je L’ai glorifié : soyez mes imitateurs. »
« J’ai vaincu la mort, Je suis désormais le passage ouvert vers le Père : alors quiconque VIT et croit en Moi aura la vie éternelle. »
Et vivre : c’est être en action dans l’obéissance, et non en état passif réduit aux intentions et aux sentiments, comme aux demi-mesures (voir Matthieu 7:21, Apocalypse 3:16)
« Car si vous croyiez Moshéh, vous me croiriez aussi, parce qu'il a écrit à mon sujet. Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles ? » (Jean 5:46-47)
Shabbat Shalom véshavoua tov.
Source : Juda & Ephraïm
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Dans le cadre du Prix des Lecteurs du Var, en partenariat avec la Médiathèque Départementale du Var, la bibliothèque accueille la compagnie Terre-Anga pour une lecture immersive : jeudi 29 août à 18h à la Maison des Associations.
« Mesdames et messieurs bonjour, je suis votre commandant de bord aujourd'hui.
Bienvenue à cette lecture augmentée, installez-vous confortablement pour cette traversée à destination du roman Un monde à refaire de Claire Deya, notre arrivée est prévue dans 45 minutes, la température extérieure est de 30c°, c'est l'été sur les plages du sud est à déminer. Quelques turbulences et éclaircies à travers les morceaux choisis du récit sont à prévoir, vous assurant une traversée singulière et mémorable.
Nos deux stewards vont vous présenter les consignes de sécurité pour ce voyage sensoriel où le toucher, l'odorat, l'ouïe, le goût seront à l'honneur. Les issus de secours se trouvent à cour et à jardin, un doux masque occultant est à votre disposition pour vous offrir une immersion complète dans l'univers de cette fresque romanesque puissante tout en fragilités et meurtrissures de la France de l'immédiat après-guerre...Je vous souhaite un bon voyage ! »
ENTRÉE LIBRE et gratuite
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La radicalité ne se marchande pas, ne se prostitue pas !
DiRIGer…
C’est qu’il y a une réelle menace de PAIX et sommes-nous prêts pour cela ?
Loin des sentiers de la prostitution langagière débridée en ces temps obscurs… Quel beau mot que celui de ROI ! Un mot précieux, un mot près-des-cieux.
L’étymologie d’origine indo-européenne du mot ROI, ne laisse pourtant aucun doute. Encore faut-il ne pas le confondre avec le mot tyran !
À la racine REG. En latin REX, le védique RAJ ainsi que les termes gaulois RIG et RIX. On retrouve ces racines dans mahâRÂJah en Inde, “grand roi”, ou chez le gaulois VercingétoRIX, “le grand roi des guerriers”.
Le sens de la racine REG- : “ celui qui trace la ligne, qui incarne en même temps ce qui est droit”. Signification qui se retrouve également dans le mot latin REX, “celui qui dirige”.
Le verbe diriger provient aussi de la même racine indo-européenne et latine REG-. DI-RIG-ERE signifie “tracer des lignes dans différents directions, mener par différentes voies”. Il y a également l’idée de mouvement en ligne droite, verticale, ou horizontale et extensive.
De cette même racine indo-européenne REG- : En ancien irlandais recht, “droit, loi”, en anglais right, “droit”, en allemand recht qui possède le même sens, ainsi que les mots français rectitude, régulier, règle. De DI-RIG-ERE sont notamment issus les mots direction, direct.
Voilà un ensemble de significations convergentes qui traduit incontestablement le rôle du roi. Droiture, rectitude. Le roi incarne le bon exemple, indique la bonne voie. La congruence est son maître-mot, ce qu’il dit, ce qu’il fait, son attitude, son comportement, toute sa vie est exemplaire !
Le 7 juin 1654, lors du sacre de Louix XIV à la remise du sceptre et de la main de justice, voilà en terme précis ce qui fut dit à celui qui s’apprêter à devenir ROI : “ Recevez ce sceptre qui est la marque de la puissance royale, appelé sceptre de droiture et règle de la vertu, pour bien conduire, et vous-mêmes, et la sainte Église, et le peuple chrétien qui vous est confié, pour le défendre des méchants par leur autorité royale, pour corriger les pervers, protéger les bons et les aider à marcher dans les sentiers de la justice, afin que par le secours de celui dont le règne et la gloire s’étendent dans les siècles, vous passiez d’un royaume temporel à un royaume spirituel”. Quoi de plus éloquent et véritable abrégé de la mission royale.
C’est ainsi que les fautes commises par un souverain sont funestes et terriblement lourdes de conséquences pour l’ensemble de la communauté, puisque si celui qui sert de guide et de modèle dévie, alors l’ensemble de la communauté se fourvoie, se perd, et à terme disparaît. En effet se perdre dans ses errances est une chose. Y perdre les autres ?
D’ailleurs, bien des textes traditionnels mettent souvent en garde les souverains contre les égarements dus notamment à l’orgueil, puis au mensonge. Que le roi se détourne du Ciel et il sombre, lui et le peuple, dans les plus sombres tourments.
Mais il existe dans d’autres langues indo-européennes, des termes différents pour désigner le souverain. Certains servent également à désigner les dieux. Le mycénien wanak, wanaka, wanax, puis ANAX. Ces termes furent rapidement remplacés par le terme grec basileus, désignant aussi le roi et l’empereur mais qui demeure seulement dans la sphère humaine. Est-ce à dire que le mot BASILIQUE, ne contient même pas l’idée de Dieu ? Dieu, THÉOS en grec signifie d’abord l’odeur du thym ! Bien impalpable donc.
L’étymologie de ce terme ANAX est tout simplement fabuleuse et celle ou celui qui se réclame de près ou de loin de l’ANARCHIE devrait écouter chanter et danser chacune de ses cellules.
Ça vient du sanscrit kshatra signifiant “être maître, disposer de”. Pas dans le sens maître des autres et/ou disposer des autres à sa guise, mais bien celui qui a ACCOMPLI et réalisé le chemin de la connaissance et peut donc ENSEIGNER à des disciples à devenir Maître à leur tour, à s’ÉLEVER, chaque-un dans sa HAUTE-DEMEURE…Ce maître-là est LE garant d’un ordre, d’une LIGNÉE, sans pouvoir, sans la coercition et la violence qui en sont les mamelles.
C’est le terme sanscrit kshatra qui a donné en Inde le kshatriya, le guerrier, tout comme le mot Shah en persan moderne qui vient du persan ancien khshayathiya. La lignée des moines guerriers shaolin en est totalement l’héritage, tout comme les chefferies amérindiennes.
LIGNÉE ? Ce mot provient de la racine gen, “naître”. Il est à l’origine du grec genos, du latin gens, “la lignée”, et donc à la racine de nombreux mots en français : de genèse à génétique, généalogie, mais aussi de génie et surtout et avant tout peut-être de GÉNÉREUX.
C’est également la racine GEN, par l’intermédiaire du proto-germanique kuningaz qui a donné le mot ROI, KÖNING en Allemand et KING en anglais.
A l’origine, c’est donc bien TOUT le Vivant qui est de LIGNÉE ROYALE !
Que chaque-un s’occupe donc simplement d’être Roi de lui-même, seulement de lui-même, et on pourra enfin se ROYAUMER les uns les autres…
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