#henry à la pensée
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Dorian Leigh wears this sumptuous pastel Saga mink coat with harmonious lines and the elegance of her style is made of nobility and distinction. A large collar flares out on the shoulders. By Jacques Rober. Renel jewelry. Henry Bag at Thought. Photo Guy Arsac December 1957.
Dorian Leigh porte ce somptueux manteau de vison pastel Saga présente d'harmonieuses lignes et l'élégance de son style est fait de noblesse et de distinction. Un grand col s'évase sur les épaules. Par Jacques Rober. Bijoux de Renel. Sac Henry à la Pensée. Photo Guy Arsac décembre 1957.
#jacques rober#fashion 50s#1957-58#fall/winter#automne/hiver#guy arsac#renel#henry à la pensée#mink coat#saga#manteau de vison#dorian leigh
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saga: Soumission & Domination 316
Ludovic, Ernesto et Emma (suite)
Nous trainons encore une heure affalés dans les fauteuils du salon télé avant de nous séparer pour le reste de la nuit.
J'attrape Ludovic et lui dit qu'il va se faire une grande première. Il se demande bien quoi. Quand je lui dis que nous allons tous les 4 faire l'amour à Emma, il retombe dans le fauteuil qu'il était en train de quitter.
Il balbutie qu'il n'a jamais touché une fille et encore moins une femme et en plus c'est ta mère ! PH le rassure et lui dit que ce n'est pas " une " femme mais EMMA, que ce n'était que ma mère sur le papier et que lui non plus avant elle, il était comme lui. Ernesto dit que par contre ce n'était pas son cas et que c'était même l'inverse, avant de me connaitre, il n'avait jamais connu de mec.
Je vois que Ludovic est en train de perdre pied. Je le prends dans mes bras. Il me serre fort contre lui. D'une petite voix il me demande comment j'arrive à gérer tout ça. Par là je comprends bien ce qu'il veut dire, mon homosexualité, mon hétérosexualité avec Emma, mes agences, mes études et mon statut d'héritier et surtout mes relations amoureuses avec eux tous !
Ok je crois que j'ai été un peu vite pour lui. Je m'excuse après d'Emma et lui dis que nous allons passer la nuit tous les deux dans une de ses chambres d'ami. Elle comprend et embarquant PµH et Ernesto, nous souhaite une bonne nuit.
Seuls, je sers à Ludovic un whisky bien tassé. Ile le boit sans se rendre compte de ce que c'est. Comme il n'avait pas hésité sur la gorgée, il s'étouffe et tousse. Je prends le verre avant qu'il ne tombe et nous partons tous les deux. Il est muet et je le laisse organiser ses pensées. Les chambres d'amis sont dans une aile de la maison assez loin de la chambre d'Emma. Dans la chambre à coté Henri et Kev vont passer la nuit.
Une fois la porte fermée, je le prends dans mes bras et le serre contre moi. J'imprime alors un léger mouvement de rotation. Le but recherché : le faire réagir. Il me repousse et me dit qu'il n'est plus un bébé qu'on console en le berçant. Je lui dis que ça tombe bien car je préfère les garçons un peu plus grands. Il se fâche à moitié et me demande si je peux être sérieux un moment. Je lui dis que je l'écoute mais qu'on peut quand même se préparer pour la nuit en même temps. Je me déshabille et comme il ne bouge pas, le déshabille aussi. Pendant ce temps-là, il me redemande effectivement comment je fais pour gérer tout. Comme nous passons sous la douche, cela me fait revenir en tête ma première expérience homosexuelle, avec Marc. Je décide alors de ne rien lui cacher. Je lui raconte donc ma première fois hétérosexuelle, puis ma première fois homosexuelle, avec Marc, puis les expériences que j'ai faites, les mecs que j'ai rencontrés. Comment notre relation à Marc et moi a évoluée en fonction des trips et des rencontres. Comment il avait accepté PH puis Ernesto alors qu'on s'aime vraiment tous les deux et comment on en était venus à s'aimer tous les 4 plus le satellite Hervé. Que s'il fallait se séparer nous en serions tous plus que malheureux. Je lui ai dit aussi le décès de mes parents et mon adoption par Emma. Aussi le recrutement de mon équipe d'Escort et de mes clients où j'ai donné de ma personne. Il m'écoute religieusement pendant plus d'une heure (j'ai fait un condensé !). Quand j'en termine avec son arrivée, comment il m'avait ébloui, lui, il me traite de grand malade. Qu'un cas comme le mien relève du pathologique plus encore que du psychologique. Comme nous sommes couchés l'un à côté de l'autre, il se presse contre moi et me dit que j'ai de la chance, que je ne le savais pas encore mais que j'avais auprès de moi un véritable amateur de fou. Que j'étais le Norman Bates de l'amour.
Il me roule un gros patin et nous nous endormons.
Le dimanche matin, PH et Ernesto nous ont retrouvés et réveillés en sautant sur notre lit. Ernesto nous dit qu'ils avaient dû être deux fois plus efficaces que d'habitude puisqu'ils n'étaient que deux mais qu'ils avaient été tellement bons qu'Emma ne s'en était même pas aperçue. En attendant ils nous câlinent, embrassent, nous disent gentiment qu'on leur a manqué et qu'ils avaient mal dormis sans nous. Ludovic leur répond que nous par contre nous avions divinement bien dormis. Il se fait sauter dessus par nos deux amis et bourrer les cotes de coups de poing amortis par l'épaisseur de la couette. Comme il se défend, il se retrouve immobilisé par Ernesto avec PH qui se couche sur lui, le prenant en sandwich. Je leur dis d'arrêter les enfantillages qu'il serait temps de rejoindre la civilisation.
On enfile vite des peignoirs et déboulons pour le petit déjeuner. Il est tard mais nous ne sommes pas les seuls. Henri tout habillé, précède un Kev la tête dans le cul, en peignoir lui aussi !
Pablo nous a préparé un petit déjeuner américain. Café, muffins, omelettes aux patates, bacon et pas de saucisses et haricots orange comme les anglais.
Quand Emma nous rejoint, aussi belle que s'il n'y avait pas eu de soirée et qu'elle s'était couchée à 20h, Ludovic la prie de l'excuser pour la veille. Emma le fait se rassoir lui claque un bisou sur la joue et lui dit qu'il y aura d'autres occasion.
A Henri et Kev, je demande des nouvelles de Paris. Henri me dit qu'ils ont reçu la sculpture qu'ils avaient commandée à Alban et qu'elle a déjà fait des envieux parmi leurs connaissances. Je précise à Ludovic que c'est le sculpteur qui m'a fait le " baiser " sur la terrasse et les deux cariatides calquées sur Ric.
Avant d'aller s'habiller, je propose un petit tour dans la piscine. Ok nous venons de manger mais avec une eau à 28°, il n'y pas de risque d'hydrocution. Les " adultes " nous suivent. Cela ne nous empêche pas de tomber les peignoirs et de plonger nus dans l'eau. 1/4 d'heure suffit pour nous tonifier. Nous investissons tous (sauf Kev) la chambre d'Emma où j'ai une garde-robe de secours. En effet je nous vois mal réenfiler nos sous-vêtements d'hier et nos smokings ! Ça chahute un peu mais nous arrivons à être présentables en moins d'une demi-heure !!
Nous retrouvons les autres. Henri ne veux pas rentrer trop tard sur Paris et nous quitte avec Kev après un dernier café. Il nous invite à résider chez lui quand le nous souhaiterons. Il ajoute " plutôt chez Kev " en se tournant vers lui pour avoir son approbation. KEv lui dit que j'étais un invité permanent et ajoute que mes amis étaient compris bien sûr. En disant ça la main qu'il avait " égarée " sur le fessier de Ludovic souligna, par la réaction de ce dernier, toute l'envie qu'il avait de nous loger.
Une fois partis et entre nous, Emma est venue se coller dans mes bras. On se roule une longue pelle, symptomatique de nos manques de l'un et de l'autre. Et bien sûr, ça me fait bander. Quand on se décolle, je vois que je ne suis pas le seul dans cet état. Je propose un retour à la piscine qui est unanimement accepté. On se déshabille sur le bord, laissant nos vêtements en tas. Ludovic à un moment de recul alors que nous ôtons nos sous-vêtements. Il se tourne vers moi et me dit " et Emma ? ". Je lui prends la tête, la fais pivoter jusqu'à ce que cette dernière entre dans son champ de vision. Là, il peut voir qu'elle aussi se mettait nue. PH passe dernière lui, attrape son boxer et le lui descend sur les chevilles. Il bandait déjà le cochon !
Plongeons, éclaboussures, poursuites et chatouillis, branlages furtifs, pelles beaucoup moins (furtives). Emma est partie prenante du jeu et Ludovic se surprend à lui rouler un patin. Il recule brusquement et me percute puisque je m'étais glissé derrière lui. Coincé entre nus deux, il ne peut que se coller aux seins d'Emma comme je le pousse en avant. Je l'embrasse dans le cou. Il tend la tête en arrière pour me donner ses lèvres. Je m'en empare, passe ma langue dessus avant de les laisser et de prendre celles d'Emma par-dessus son épaule. Sa tête se trouve au niveau des nôtres, je passe une main derrière la sienne et l'approche jusqu'à ce qu'on s'embrasse à trois. Il cède et me laisse gérer. Je passe d'une bouche à l'autre ? Donnant de la langue à chaque jusqu'à ce que nos trois langues se touchent, se cherchent et bataillent. J'arrive même à m'extraire du jeu, laissant Ludovic en prise directe avec ma " mère ".
Mes mains s'égarent sur son corps. De ses épaules musclées, elles descendent sur ses flancs, le faisant frissonner malgré la température de l'eau. J'attire ses hanches contre les miennes pour qu'il sente bien à quel point (cm) je l'aime. Nous sommes dans la partie de la piscine où nous avons tous pied. Je bascule le bassin pour placer mon gland juste sur sa rondelle. Il le sent et sans se décoller d'Emma, il roule du bassin jusqu'à réussir à le faire pénétrer dans son anus. C'est trop bon ! il m'emprisonne le gland seulement et j'adore la sensation. Comme il bande comme un malade, Emma en profite et se plante dessus. Le recul opéré par Ludovic, de surprise plus que de dégout, le fait se planter totalement sur ma queue. Surprise inverse et l'avancée de tout son corps le fait s'enfoncer dans la chaude moiteur du vagin d'Emma. Elle a l'intelligence de contracter ses muscles et j'entends un " trop serré " s'échapper de la bouche de Ludovic. Contrairement à la mère de Jean dont la chatte est un garage à bite et qu'à moins d'y être à 2, on n'en sent pas les bords, je sais, d'expérience, que celui d'Emma est musclé et que quand elle se contracte, on y serait presque comme dans un cul. Ludovic tourne la tête vers moi pour me le dire probablement. Je lui cloud le bec en plongeant ma langue dans sa bouche et lui glisse que oui, je sais comment Emma peut être " bonne ".
Les deux autres (PH et Ernesto) sont jaloux. Mon PH se colle à mon dos et m'encule d'un coup sec. Ernesto s'est glissé dans celui d'Emma et lui enfile sa bite dans le cul. Ludovic apprécie les sensations que cela lui donne. Il laisse échapper un " c'est trop bon " qui fait rire tout le monde. Ernesto nous dit qu'il sent bien le gland de Ludo tout au fond d'Emma. Nous profitons de cet enchevêtrement encore quelques instants mais l'eau de la piscine n'est pas le meilleur lubrifiant et avant que cela ne deviennent désagréable, nous sortons pour continuer nos " petites affaires " au sec. Nous étalons les matelas sur le carrelage et reprenons nos ébats. Un peu de gel ou beaucoup, et les emboitements se refont. J'ai cédé ma place à PH et pris la sienne. Ludovic, lui, a changé de face et encule Emma pour le plus grand plaisir d'Ernesto. Après lui avoir bouffé le cul et lubrifié abondamment la rondelle en lui enfonçant profondément sa langue chargée de salive, il lui met ses 24cm entiers. Long feulement de Ludovic pendant l'opération. Il apprécie c'est sûr. Emma ne s'en plaint pas car elle bénéficie d'un effet collatéral, le durcissement extrême de la bite de Ludo. Emma m'embrasse tout comme PH, Ludo et Ernesto (ces derniers en tordant le cou). Plus nous faisons l'amour et plus Ludovic s'enhardit. Je vois ses mains remonter des hanches aux seins d'Emma. Dans un premier temps il les pose simplement dessus avant de se mettre à les pétrir. Il fait comme avec les pecs d'un mec, il s'occupe plus des tétons que de leurs masses. Emma qui aime quand on titille et pince ses tétons, prend son pied. Je sais qu'elle réagit à leur stimulation par la contraction de ses muscles vaginaux et anaux. PH et Ludovic le ressentent bien et échangent sur le plaisir que cela leur procure. Leurs corps réagissent aussi et Ernesto comme moi nous faisons emprisonner nos queues par leurs contractions anales. Les pénétrations sont plus hard et demandent plus de force pour progresser. Nous sommes secoués et ça fait monter le plaisir plus vite.
Emma décolle en premier. Un long cri de plaisir s'échappe de sa bouche. Elle se contracte de partout comme son corps spasme. PH à son tour rugi qu'il jute et je suis piégé dans son cul, la bite bloquée en position " pénétration totale ". Au premier relâchement (successif à sa première éjaculation) j'explose à mon tour, lui tapissant l'intérieur de mon sperme. Mes éjaculations succéderont à chacune des siennes au moins 5 à 6 fois. De l'autre côté d'Emma, Ludovic et Ernesto sont dans le même état que nous. Pendant 5 minutes c'est à qui exprimera le plus son plaisir.
Quand nous nous déboitons les uns des autres, nous restons au moins 20mn à comater le temps de reprendre nos esprits.
Sous la douche, prise tous ensemble, Ludovic remercie Emma et nous dit qu'effectivement, comme ça, les relations hétéros sont envisageables. Il s'excuse auprès d'Emma avant d'ajouter que sans nous autres (PH, Ernesto et moi), il n'y serait probablement pas arrivé. Je le prends dans mes bras, lui roule une pelle et lui dis que de toutes les façons, je n'envisageais pas qu'il en soit autrement. Je lui tire l'oreille et ajoute " que je ne te prenne pas dans les bras d'une meuf, ou ce sera ta fête ".
Il mime le petit garçon battu : " non, pas la tête, pas la tête ". Eclats de rire général !! Nous finissons notre douche et passons autant de temps à nous sécher réciproquement. L'heure du thé est dépassée depuis longtemps quand nous retournons à la maison. Mais comme nous sommes décalés, gros petits déjeuners tardifs et pas de déjeuner, nous attaquons quand même ce que nous avait préparé Pablo. Y'a pas à dire l'amour ça flingue les batteries !!
Le temps passe et nous avons juste le temps de passer au Blockhaus récupérer le sac et les papiers d'Ernesto avant de l'emmener à son avion. C'est limite s'il ne se fait pas engueuler pour son retard. Les aux-revoir sont brefs.
Retour au blockhaus. L'excitation retombe et je vois mon Ludovic gamberger à nouveau.
Il n'en revient pas d'avoir fait l'amour avec une femme. Il me dit que je l'avais piégé puis ajoute après un moment de silence que c'était pas mauvais quand même !
Avec regret, il nous quitte, devant retourner chez papa-maman. J'enrage de ne pouvoir le garder tout le temps avec nous. Mais rentrer au minimum le dimanche soir est un impératif familial.
Je tourne et je vire au point que PH me met une droite histoire de me remettre les idées en place. Ça le fait. Je suis tellement surpris. C'est la première fois qu'il le fait en dehors des entrainements. Comme je ne m'y attendais pas, il me cueille et j'ai le souffle coupé. Je fais semblant d'avoir pris gros et quand il se penche sur moi, s'inquiétant d'avoir tapé trop fort, je l'étale ! C'est son tour d'être pris à froid. Il se trouve face au sol, mon pied sur son omoplate droite et le bras qui va avec en extension. Pas de résistance s'il ne veut pas que je lui démonte l'épaule. Je le relâche et nous nous tombons dans les bras. Notre pelle est virile. Quand nous nous décollons, nous avons tous les deux le souffle coupé. Il s'étonne quand je le remercie. Je l'aime et je sais que son geste n'était pas méchant, tout comme ma réaction d'ailleurs ! Nous passons la soirée collés l'un à l'autre même s'il n'y aura pas de sexe ce soir-là.
Jardinier
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Henri Camille Danger - Aimez-vous les uns les autres (1892)
"Nous sommes tous, en effet, tellement aveuglés et pleins d’amour-propre que personne ne doute qu’il a de bonnes raisons de s’élever au-dessus des autres et de les déprécier par rapport à lui-même. Si Dieu nous a donné quelques qualités appréciables, dès que nous en prenons la mesure non seulement notre cœur se gonfle, mais il éclate presque d’orgueil ! Nous sommes pleins de défauts que nous cachons soigneusement aux autres, alors que nous prétendons qu’ils sont petits et légers ; il arrive même que nous les considérions comme s’ils étaient des qualités ! Quant à nos points forts, nous les apprécions tellement qu’ils nous remplissent d’admiration. Si les autres possèdent les mêmes qualités et en plus grande mesure que nous, et que nous devions le reconnaître, nous les ignorons ou les déprécions tant que nous pouvons. En revanche, nous ne nous contentons pas de juger avec sévérité les défauts de nos prochains, nous les amplifions odieusement. De là vient l’impertinence avec laquelle chacun de nous, comme s’il échappait à la condition commune, cherche à avoir la prééminence sur les autres et, sans exception, les méprise comme s’ils nous étaient inférieurs. Les pauvres cèdent aux riches, les vilains aux nobles, les serviteurs à leurs maîtres, les ignorants aux savants ; mais chacun a dans son cœur le sentiment qu’il est digne d’être considéré meilleur que les autres. Chacun, de son point de vue, règne en souverain dans son cœur. En s’attribuant les qualités qui lui plaisent, il censure les pensées et les mœurs des autres. Si un conflit éclate, le venin sort et se manifeste. Certes, plusieurs ont l’apparence de la générosité et de la réserve tant que tout leur sourit ; mais combien y en a-t-il qui conservent leur douceur et leur modestie si on les attaque ou les irrite ? Il ne peut, en effet, en être autrement tant que cette peste mortelle que sont l’amour-propre et l’autosatisfaction n’est pas arrachée du plus profond de notre cœur."
Jean Calvin. Institution de la religion chrétienne
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La Mode nationale, no. 42, 19 octobre 1895, Paris. No. 1. — Corsage de visite. Chapeau de la Maison Moderne, 4, rue Halévy. — Corsage de Mme de Momigny, 17, boulevard Rochechouart. Bibliothèque nationale de France
No. 1. — Corsage de toilette en satin noir pékiné blanc. Corsage-blouse en velours noir, flottant sur la jupe, sous corsage boléro en satin blanc, brodé de perles et garni, à l'encolure décolletée, par une bande de plumes. Manches ballon à hauts poignets, relevées par une patte de satin blanc brodé avec bouton de strass. Tour de cou de plumes.
Chapeau Henri II en feutre blanc relevé par une touffe de pensées et orné en dessus par des plumes d'autruche noire, avec aigrette au milieu et large boucle à la base.
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No. 1. — Ensemble bodice in black satin with white pekin. Black velvet blouse-bodice, floating over the skirt, under white satin bolero bodice, embroidered with pearls and trimmed, at the low-cut neckline, with a band of feathers. Balloon sleeves with high cuffs, raised by an embroidered white satin tab with rhinestone button. Feather choker.
Henri II hat in white felt raised by a tuft of pansies and decorated above with black ostrich feathers, with egret in the middle and large buckle at the base.
#La Mode nationale#19th century#1890s#1895#on this day#October 19#periodical#fashion#fashion plate#description#cover#bibliothèque nationale de france#dress#gigot#Modèles de chez#Maison Moderne#Madame de Momigny
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"C’est à ce point de vue que les grandes calamités, telles que la guerre, la peste ou le krack, me paraissent désirables ; ce sont des vans et des cribles pour une nation qui va se pourrissant chaque jour davantage et qui est depuis longtemps à court de statistiques pour le dénombrement de ses lâches. Ils sortent alors d’eux-mêmes et s’étalent aux yeux les moins discernant comme les éruptions purulentes du corps social ioduré par la peur […] Il y a quinze jours, je n’aurais pu écrire ces simples réflexions. Les lamentateurs de l’information rassurante auraient dépavé l’enfer pour me lapider. Mais aujourd’hui que "le bourreau masqué [le choléra], - ainsi le nomme Henri Heine, - qui marchait dans Paris escorté d’une invisible guillotine ambulante", a transporté ailleurs ses nomades épouvantements, je suppose qu’il me sera permis, au nom du grand Art et en considération des plus immenses intérêts de la pensée et du sentiment humain, de déplorer que ce purgatif providentiel, d’une nécessité si évidente, ait été si monstrueusement inefficace que nous sommes encore en possession de tous nos idiots, de tous nos cabotins, de tous nos gens de lettres, de tous nos Richards cœur-de-porc de la politique ou de la haute banque, de tous nos amphytrions de Danaé cynocéphale et de tout le reste de notre vermine sociale. Pourquoi ne l’avouerais-je pas ? J’avais fait un rêve au début de cette panique. La ville déserte et quasi-morte, pleine de silence, pleine de ténèbres, pleine de cadavres, une industrie unique, celle d’enfouisseurs, des émeutes d’agonisants dans les carrefours, la détresse du riche en promiscuité immédiate avec la misère du pauvre, le Dieu immonde, le sale argent convaincu d’impuissance, Paris, enfin, étonnant le monde de ses tortures, de sa peur infinie et de l’héroïsme de quelques-uns."
Léon Bloy, « L’Epidémie de la peur » Novembre 1884.
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je repense à renard en docteur et genre........ les implications sur les compagnons.................
raph il a trop une vibe rose (à peine adulte, un peu paumé dans une routine de prolo précaire, il a sa vie sociale un peu restrainte mais présente, plaque tout du jour au lendemain sans prévenir, un sentiment de devoir faire la chose juste) (le seul truc qui lui manque c'est la relation d'égal avec le visiteur)
mattéo c'était le mec qu'il pensait pas embarquer avec lui à la base mais il faisait partie d'un package deal, et au final c'est assez la rigolade quand même, jusqu'au moment où.......
judith : la compagne tragique. rose, donna, amy, clara, bill....... need i say more? bref, trauma supplémentaire gratuit pour le docteur. d'autant plus qu'elle était l'une des seules à le call out on his bullshit, à lui tenir tête. l'une des seules, mais pas la seule, parce que...
henry
j'ai énormément de pensées à propos d'henry compagnon. évidemment que le docteur sait que c'est un robot. évidemment qu'il le trouve magnifique, brillant, fantastique, super stylé. mais que dites-vous là ? un compagnon........ basically immortel ??????? dont il n'a pas à craindre la mort lors d'une aventure ???????? dont il n'a pas à craindre la vieillesse ???????????? someone he... wouldn't leave behind?????????????? évidemment qu'il y a un attachement émotionnel aussi intense que malsain (imo). est-ce que cette version du docteur essaie de battre le record de longévité de genre. 11 et 12? rester des milliards d'années en vie dans cette régénération, juste pour profiter au maximum du compagnon infaillible ?
mais aussi, le compagnon puzzle ? qui est ce robot parfait qui est capable lui-même de voyager dans le temps ? d'où vient-il vraiment, qui est-il vraiment... comment comprend-il aussi facilement comment fonctionne le tardis... et c'est quoi, cette machine bizarre... cet "introspecteur" ? attendez... vous voulez dire qu'il aurait sous la main la possibilité d'explorer son propre passé... sans interférence ?? peut-être même... (spoiler pour 13 et 14. celleux qui savent, savent)
henry, c'est donna et river song, le maître et jack harkness, c'est rose et clara... c'est le compagnon ultime.
(also je suis enfin débarrassé de l'angst "immortal being left behind" donc moi content)
#vdf#le visiteur du futur#docteur renard#(mister renaud??)#évidemment que je tourne ça en ode et hymne henrisiteur#léo talks shit
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 12 : Ce n’est qu’un au revoir
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Le doux parfum du café fraîchement préparé flottait dans l'air lorsque Ivana et Agatha entrèrent chez Granny, suivies de près par Regina et Henry. L'ambiance était animée, les conversations des habitués remplissant la pièce d'un brouhaha chaleureux.
Ivana, toujours aussi élégante, se dirigea vers le comptoir pour passer leur commande. Alors qu'elle discutait avec Ruby, un léger sourire sur ses lèvres, Agatha s'approcha silencieusement.
Dans un mouvement fluide, elle se pencha près d'Ivana, déposant un baiser délicat juste sous son oreille, là où la peau était la plus sensible.
Ivana sursauta légèrement, un frisson évident parcourant son corps. Elle tourna la tête, ses joues légèrement rosées, et croisa le regard espiègle d'Agatha.
« Je n'aurais jamais pensé que tu serais aussi sensible, » murmura Agatha d'une voix douce mais taquine, un sourire en coin. « Mais j'adore ça. »
Elle recula lentement, laissant Ivana cligner des yeux, visiblement prise de court. Agatha se contenta de lui lancer un dernier regard malicieux avant de se diriger vers la table où Regina et Henry les attendaient.
Ivana, encore troublée, passa une main nerveuse dans ses cheveux, essayant de reprendre contenance. Ruby, qui avait assisté à la scène, haussa un sourcil amusé, mais se contenta de lui tendre les boissons avec un sourire.
En rejoignant finalement la table, Ivana s'assit à côté d'Agatha, ses joues toujours légèrement rougies. Regina, qui n'était jamais dupe, arqua un sourcil en les observant, mais choisit de ne pas commenter pour le moment.
Henry, lui, se contenta de lever les yeux au ciel.
« Vous savez que c'est censé être un petit déjeuner tranquille, pas une scène de flirt, non ? » lança-t-il, faussement exaspéré.
Agatha éclata de rire, tandis qu'Ivana, prise au dépourvu, se contenta de cacher son sourire derrière sa tasse de café, Regina, toujours pragmatique et attentive, brisa le silence en regardant Agatha.
« Est-ce que Rio est apparu ? » demanda-t-elle d'une voix posée, mais avec une pointe de gravité.
Agatha secoua lentement la tête, ses yeux s'assombrissant légèrement à la mention du nom.
« Non... pas encore, » murmura-t-elle, sa voix teintée d'inquiétude.
Instinctivement, sa main chercha celle d'Ivana, trouvant un réconfort silencieux dans ce simple contact. Ses doigts se refermèrent sur ceux d'Ivana, et elle refusa de la lâcher, comme si ce lien pouvait éloigner ses peurs.
Ivana, resserra doucement sa prise, offrant un sourire réconfortant à Agatha.Henry, toujours optimiste, posa son regard bienveillant sur le duo.
« Tout va bien se passer, » déclara-t-il avec assurance. « Je le sais. On a traversé des choses bien pires, et on a toujours trouvé un moyen. »
Regina hocha lentement la tête, bien que son expression restât soucieuse. « Peut-être, mais Rio n'est pas une menace ordinaire. Elle est imprévisible... et dangereux. Nous devons être prêts. »
Agatha serra un peu plus fort la main d'Ivana, cherchant à se raccrocher à cette chaleur et à cette présence. « Tant que je l'ai elle, » murmura-t-elle presque imperceptiblement, son regard glissant brièvement vers Ivana, « je peux tout affronter. »
Ivana tourna la tête vers Agatha, ses yeux pétillant d'une émotion qu'elle essayait de dissimuler. Elle serra encore plus fort sa main, comme pour lui répondre silencieusement : Moi aussi.
Henry, observant cette interaction, échangea un regard complice avec Regina, qui leva les yeux au ciel mais laissa un petit sourire adoucir ses traits. Malgré les nuages qui planaient sur eux, il y avait toujours ces petits moments de lumière.
Le petit déjeuner se poursuivait dans une ambiance à la fois tendue et pleine d'échanges silencieux. Regina, les bras croisés et un sourire en coin, ne pouvait s'empêcher de remarquer le changement d'attitude chez Agatha.
« Je dois dire, » commença Regina avec son ton habituel de taquinerie, « que depuis qu'Ivana et toi êtes... eh bien, ensemble, tu es devenue un véritable agneau, Agatha. Qui aurait cru que tu avais ce côté doux en toi ? »
Agatha releva la tête, arquant un sourcil, mais un sourire narquois se forma rapidement sur ses lèvres. « Et toi, Regina, qui aurait cru que tu avais un côté drôle ? Oh, attends... tu ne l'as pas. »
Regina éclata d'un rire moqueur, secouant légèrement la tête. « Touché, » admit-elle, bien que son sourire persiste.
Henry, qui observait l'échange avec amusement, leva les yeux de son assiette et fixa sa mère. « Tu vois, maman ? Si Agatha a pu avoir sa fin heureuse, toi aussi tu l'auras un jour. »
Le sourire de Regina vacilla légèrement, remplacé par une expression plus sérieuse. Elle jeta un bref regard vers Henry, puis détourna les yeux en soupirant légèrement.
« Peut-être, » murmura-t-elle, comme pour elle-même, avant de reprendre une gorgée de café.
Ivana, toujours à côté d'Agatha, glissa un regard complice vers cette dernière, puis se tourna vers Regina.
« Tu sais, il n'est jamais trop tard pour trouver le bonheur, Regina. »
Regina leva un sourcil, mais son sourire s'adoucit. « Vous êtes tous devenus des philosophes ce matin, apparemment. Mais merci pour vos... encouragements. »
Henry hocha la tête avec un sourire rassurant, tandis qu'Agatha échangeait un regard amusé avec Ivana. Même dans l'incertitude qui pesait sur eux, ces moments de légèreté leur rappelaient qu'ils avaient encore de l'espoir, et surtout, les uns les autres.
☆○o。 。o○☆
Dans l'arrière-boutique de son magasin, un lieu empli d'objets mystérieux et de reliques magiques, Gold s'affairait avec une concentration intense. Devant lui, un chaudron dégageait une légère fumée violette, et sur la table à côté, il avait posé une vieille couverture usée par le temps. Elle était douce et portait encore des traces de broderie, des initiales presque effacées : celles de sa fille perdue.
Gold tenait une mèche de cheveux de Lucillia entre ses doigts tremblants. Il n'avait jamais pensé que cette quête l'amènerait si près de la vérité. Pourtant, les indices s'étaient accumulés. Il devait en avoir le cœur net.
Il ferma les yeux un instant, murmurant une incantation ancienne. La mèche de cheveux et la couverture commencèrent à s'élever lentement dans les airs, entourées d'une lueur dorée. Le chaudron bouillonna davantage, projetant des étincelles magiques.
« Montre-moi la vérité, » murmura Gold, sa voix empreinte d'une émotion qu'il ne laissait que rarement transparaître.
La lumière dorée devint plus vive, et dans un éclair, elle se condensa en une image claire : un bébé emmailloté dans cette même couverture, ses yeux brillants et son sourire innocent. Puis, la vision évolua, montrant Lucillia telle qu'elle était aujourd'hui. Les deux images fusionnèrent, confirmant ce qu'il redoutait et espérait tout à la fois.
Gold recula d'un pas, une main se posant sur son cœur, submergé par l'émotion. « C'est... elle, » murmura-t-il, sa voix à peine audible.
Il fixait le vide, ses pensées tourbillonnant. Des souvenirs enfouis, des regrets anciens, et un amour qu'il avait cru perdu à jamais remontaient à la surface. Lucillia, cette femme forte et intrépide, était sa fille. Il serra les poings, mêlant joie et angoisse. Comment lui dire ? Comment lui avouer cette vérité après toutes ces années ?
Mais une chose était sûre : il ne pouvait plus ignorer la réalité. Lucillia était sa fille, et il ferait tout pour la protéger, peu importe ce que cela impliquerait.
Le poids de la révélation pesait lourd sur les épaules de Gold alors qu'il quittait son magasin. Chaque pas qu'il faisait en direction de la bibliothèque était imprégné d'un mélange de peur, de doute et d'espoir. Les rues de Storybrooke semblaient floues autour de lui, son esprit étant entièrement concentré sur la conversation qu'il s'apprêtait à avoir.
Lorsqu'il arriva à la bibliothèque, il resta un moment immobile devant la porte, rassemblant son courage. Il ouvrit finalement la porte et entra, ses yeux cherchant instinctivement Belle parmi les étagères remplies de livres.
Elle était là, comme toujours, une lueur paisible sur son visage, absorbée dans un livre. Cette vision fit monter une vague d'émotion en lui. Belle avait toujours été son ancre, la lumière dans son obscurité.
« Belle, » murmura-t-il doucement, mais avec une intensité qui attira immédiatement son attention.
Elle leva les yeux, surprise de le voir. Son visage s'adoucit instantanément en le voyant, mais son expression se changea en inquiétude en remarquant l'agitation dans ses yeux.
« Gold ? Qu'est-ce qui ne va pas ? » demanda-t-elle en refermant doucement son livre et en s'approchant de lui.
Il baissa les yeux un instant, cherchant les mots. Mais comment expliquer l'inexplicable ?
« J'ai découvert quelque chose... quelque chose que je n'aurais jamais cru possible, » commença-t-il, sa voix tremblante. Il releva enfin son regard pour croiser celui de Belle.
« C'est à propos de Lucillia. »
Belle fronça les sourcils, intriguée. « Lucillia ? »
Il hocha la tête, la gorge serrée. « Elle est... » Il s'arrêta, prenant une profonde inspiration pour contenir l'émotion qui menaçait de l'envahir. « Elle est ma fille, Belle. »
Les mots laissèrent Belle sans voix. Elle ouvrit la bouche pour parler, mais aucun son ne sortit.
Gold poursuivit, sa voix cassée par l'émotion. « J'ai utilisé une mèche de ses cheveux et cette couverture... celle que ma fille portait quand je l'ai perdue. La magie a confirmé ce que je refusais de croire : Lucillia est ma fille. »
Belle posa une main sur son bras, comme pour le stabiliser. « Mais... Gold, comment est-ce possible ? Tu m'avais dit qu'Héla t'avait assuré que ta fille était morte. »
Il hocha la tête, le regard hanté. « C'est ce que je ne comprends pas. Héla a juré qu'elle était morte, que je ne la reverrais jamais. Mais elle a menti. Ou peut-être qu'elle... » Il secoua la tête, submergé par les hypothèses.
Sa voix se brisa alors qu'il ajouta : « Tout ce que je sais, c'est que ma fille est vivante, Belle. Et c'est Lucillia. »
Belle le regarda, voyant à quel point cette révélation le bouleversait. Elle posa ses mains sur ses joues, le forçant à la regarder. « Gold... c'est une bénédiction. Une seconde chance. Peu importe ce qu'Héla a dit ou fait, ta fille est là, vivante. Et maintenant, tu as l'opportunité de faire ce que tu n'as jamais pu faire avant. D'être son père. »
Ses mots firent briller les yeux de Gold de larmes qu'il ne put retenir. Il posa une main sur celle de Belle, cherchant un soutien qu'elle lui offrit sans hésitation.
« Et si elle me rejette ? » murmura-t-il, exprimant sa peur la plus profonde.
Belle sourit doucement. « Alors, tu trouveras un moyen. Tu es peut-être Rumpelstiltskin, mais tu es aussi un homme qui aime profondément. Elle verra ça. »
Il hocha la tête, la gratitude et l'amour pour Belle rayonnant dans son regard. « Merci, Belle. Pour toujours me voir... pour toujours croire en moi. »
Elle hocha la tête en retour. « Va lui parler, Gold. Elle mérite de savoir. Et toi, tu mérites d'avoir ta fille. »
Lucillia se tenait là, dans l'ombre des étagères, derrière une pile de livres qu'elle avait fait tomber sans le vouloir. Le bruit du livre frappant le sol résonna dans la bibliothèque silencieuse, un bruit qui brisa l'instant fragile entre Gold et Belle.
Gold tourna la tête, ses yeux s'ouvrant en grand en voyant Lucillia debout, figée, l'expression marquée par la confusion, la douleur et la surprise. Elle avait entendu.
Le silence se fit lourd, et Lucillia se contenta de regarder Gold avec un mélange d'incrédulité et de colère. Elle n'eut pas besoin de mots pour comprendre. Tout était clair.
« Quoi ? » sa voix trembla légèrement, son regard se durcissant alors qu'elle chercha des réponses, cherchant à comprendre ce qu'elle venait d'entendre.
Gold, encore sous le choc d'avoir été découvert, s'approcha lentement d'elle, une main tendue, comme pour apaiser la situation. « Lucillia, écoute... je suis désolé, je ne voulais pas que tu l'apprennes de cette manière. »
Lucillia secoua la tête, reculant de quelques pas, son regard s'assombrissant. « Non. »
Elle s'interrompit un instant, fermant les yeux avant de les rouvrir, pleins de douleur. Elle tourna brusquement les talons, se dirigeant vers la porte.
Gold sentit son cœur se serrer en la voyant partir, un sentiment de perte s'emparant de lui. « Lucillia, attends ! » cria-t-il, mais elle était déjà loin, la porte se fermant violemment derrière elle.
Il resta là, immobile, les mots coincés dans sa gorge. Belle s'approcha lentement, posant une main réconfortante sur son épaule.
« Elle a besoin de temps, Gold, » murmura-t-elle doucement. « Tu ne peux pas la forcer à accepter tout ça d'un coup. Mais il est important que tu sois là pour elle, quand elle sera prête. »
Gold regarda la porte fermée, un poids lourd sur son cœur.
☆○o。 。o○☆
Dans le bureau de la mairie, David se tenait debout, le visage grave. Son ton était urgent alors qu'il s'adressait à Regina, Emma et Mary-Margarette, décrivant ce qu'il avait vu près de la limite de la ville.
« C'était une créature... ou une ombre, je ne sais pas
vraiment, » expliqua-t-il, croisant les bras comme pour contenir l'inquiétude qui le rongeait. « Elle était étrange, presque irréelle. Comme si elle absorbait la lumière autour d'elle. Elle se tenait là, à la frontière, et elle me regardait. »
Regina, assise derrière son bureau, fronça les sourcils. « Une ombre ? Tu es sûr que ce n'était pas simplement un effet de lumière ou un sortillage résiduel ? » demanda-t-elle, sceptique mais intriguée.
David secoua la tête avec conviction. « Non, c'était réel. Et ça n'avait rien de naturel. J'ai senti... quelque chose. Un froid. Comme si cette chose n'avait pas seulement une présence, mais une intention. »
Emma, qui écoutait attentivement, croisa les bras à son tour. « Et elle n'a pas essayé de te faire quoi que ce soit ? Elle est restée à la limite ? »
« Oui, » confirma David, « mais elle m'a observé. Je suis certain qu'elle savait que je la voyais. C'était comme si elle attendait... quelque chose. »
Mary-Margarette posa une main réconfortante sur le bras de David, bien qu'elle-même soit troublée. « Si elle est restée à la limite, peut-être qu'elle ne peut pas entrer dans la ville. Peut-être qu'elle est bloquée par quelque chose. »
Regina se leva, ajustant son manteau d'un geste rapide. « Ou peut-être qu'elle ne veut pas entrer. Peut-être qu'elle essaie de nous pousser à venir vers elle. »
Emma acquiesça, son instinct de shérif s'activant. « On ne peut pas ignorer ça. Si cette chose est liée à tout ce qu'on a traversé récemment, il faut en apprendre plus avant qu'elle ne devienne une menace. »
Regina hocha la tête. « Très bien. Je vais vérifier mes grimoires pour voir si quelque chose correspond à cette description. David, tu devrais montrer l'endroit exact où tu l'as vue. Peut-être qu'il y a des traces ou des résidus magiques. »
David approuva. « D'accord. Mais on ne peut pas y aller seuls. On ne sait pas ce dont elle est capable. »
Mary-Margarette serra les mains, une lueur de détermination dans les yeux. « Alors on ira ensemble. Si cette créature représente un danger, on doit être prêts. »
Emma ajouta : « Et on doit prévenir les autres. Gold pourrait savoir quelque chose, et si cette chose est magique, il faudra qu'il aide. »
Regina plissa les yeux en réfléchissant. « Très bien. Prévenons Gold. Mais restons prudents. Si cette ombre attend quelque chose... elle pourrait aussi chercher à nous manipuler. »
David acquiesça, se sentant légèrement soulagé d'avoir partagé ce qu'il avait vu. Mais au fond de lui, il ne pouvait s'empêcher de ressentir une inquiétude grandissante. Quoi que cette chose soit, il savait qu'elle n'était pas venue par hasard.
« C'est sûrement à cause de Rio, » déclara- Regina froidement, son regard perçant balayant la pièce.
Mary-Margarette détourna immédiatement les yeux, son malaise palpable. Emma, qui observait sa mère, fronça les sourcils.
« Maman ? » dit-elle d'un ton prudent. « Qu'est-ce qui se passe ? Tu es bizarre depuis qu'on parle de Rio. »
Mary-Margarette hésita, ses mains tremblantes, avant de finalement lever les yeux. Elle inspira profondément, sa voix cassée par la culpabilité.
« C'est moi... C'est moi qui ai fait venir Rio. »
Le silence qui suivit fut assourdissant. Tous la fixaient, incrédules.
David fut le premier à réagir. « Quoi ? » demanda-t-il, abasourdi. « Mary-Margarette, dis-moi que tu plaisantes. »
Emma, choquée, recula légèrement. « Attends, attends... Tu veux dire que tout ça, les cauchemars, les ombres, tout ce qu'on traverse, c'est à cause de toi ? Pourquoi tu aurais fait une chose pareille ? »
Les larmes commencèrent à monter aux yeux de Mary-Margarette. Elle baissa la tête, murmurant : « Je ne voulais pas... Je voulais juste me débarrasser d'Ivana. »
Regina, jusqu'alors silencieuse, explosa. « Te débarrasser d'Ivana ?! » Sa voix résonna comme un coup de tonnerre. « Tu as invoqué une entité comme Rio, la mort incarnée, juste parce que tu étais jalouse ?! »
David secoua la tête, le visage marqué par la déception. « Mary-Margarette, c'est horrible. Qu'est-ce qui t'a pris ? »
Mary-Margarette serra les poings, les larmes coulant sur ses joues. « Je sais que c'est terrible, mais je n'ai jamais voulu que ça aille si loin ! » cria-t-elle. « David, tu ne comprends pas ce que c'est... La jalousie. Voir quelqu'un que tu aimes, tomber pour quelqu'un d'autre... »
Emma leva une main pour l'interrompre. « Non, maman. On peut comprendre la jalousie, mais ce que tu as fait va au-delà. Tu savais à quel point Rio est dangereux. Tu savais ce que ça pourrait coûter. Et tu l'as fait quand même ?! »
Regina, de plus en plus en colère, sentit les ténèbres qu'elle avait tant essayé de contenir s'agiter en elle. Ses mains tremblaient légèrement, une lueur sombre s'allumant dans ses yeux.
« Tu n'as aucune idée du danger que tu as libéré ! » hurla-t-elle, sa magie crépitant autour d'elle. « Tu n'as pas seulement mis Ivana en danger, tu as mis toute la ville en péril ! »
Mary-Margarette recula, effrayée par l'intensité de la rage de Regina.
« Regina, calme-toi, » tenta d'intervenir David, mais Regina fit un pas en avant, son regard brûlant de colère.
« Calme-toi ?! » gronda-t-elle. « Tu veux que je reste calme alors qu'elle a littéralement ouvert les portes des enfers ?! » Sa voix se brisa légèrement, sa magie commençant à s'échapper de son contrôle.
Les ténèbres autour d'elle devinrent palpables, l'air s'épaississant dans la pièce. Emma, voyant l'état de Regina, fit un pas vers elle.
« Regina, regarde-moi, » dit-elle d'une voix ferme mais calme. « Ce n'est pas le moment. Tu ne veux pas redevenir celle que tu étais, n'est-ce pas ? »
La pièce sembla s'assombrir alors que la colère de Regina atteignait son paroxysme. Ses poings tremblaient, et une aura noire ondulait autour d'elle. La haine qu'elle avait toujours enfouie refaisait surface, incontrôlable.
« Après Daniel... ma mère... maintenant toi, Mary-Margarette ! Tu veux tuer Ivana ? » hurla-t-elle, sa voix empreinte de douleur et de rage.
Mary-Margarette tenta de reculer, le souffle court. « Regina... je suis désolée... » murmura-t-elle, mais ses mots furent coupés par le grondement de Regina.
« Des excuses ?! » s'écria Regina, son regard noir brûlant de rancune. « Tu as détruit ma vie, volé tout ce que j'aimais. Et maintenant, tu oses jouer avec la vie des autres ?! Tu es pire que ma mère ! »
Emma s'interposa, levant les mains dans un geste de paix. « Regina, écoute-moi ! Ce n'est pas toi. Ce n'est pas celle que tu es maintenant. Ne fais pas ça, je t'en supplie. »
Mais les paroles d'Emma étaient comme des murmures dans une tempête. Regina avança d'un pas, et d'un geste vif, sa main s'enfonça dans la poitrine de Mary-Margarette.
Mary-Margarette poussa un cri de douleur tandis que Regina tirait son cœur, brillant d'une lumière vacillante, hors de sa poitrine. La femme était encore en vie, les yeux écarquillés de terreur.
« Tu ne mérites pas de vivre après tout ce que tu as fait, » murmura Regina, ses doigts se resserrant autour du cœur battant.
David cria, se précipitant en avant, mais un mur de magie noire l'envoya valser contre un mur. Emma, horrifiée, se tourna vers Regina.
« Regina, non ! Si tu fais ça, il n'y aura pas de retour en arrière ! » hurla-t-elle, désespérée.
Mais Regina n'entendait rien. Les ténèbres avaient pris le dessus, et avec un cri de rage, elle écrasa le cœur entre ses doigts.
Mary-Margarette s'effondra, son corps s'écroulant au sol sans vie.Un silence de mort s'installa dans la pièce.
Regina resta immobile, le souffle haletant, ses mains tremblantes couvertes de cendres noires. Les ténèbres autour d'elle semblaient la dévorer.
Emma avança lentement, ses yeux remplis de tristesse et de peur. « Regina... qu'est-ce que tu as fait ? »
Regina releva les yeux, des larmes mêlées à la colère brillant sur son visage. « Ce que j'aurais dû faire depuis longtemps... » murmura-t-elle.
David, effondré, se traîna jusqu'au corps de Mary-Margarette, le secouant désespérément. « Mary-Margarette ! Non, non... » sanglota-t-il, mais il était déjà trop tard.
Regina tourna les talons, sa magie noire tourbillonnant autour d'elle alors qu'elle quittait la pièce. Sa voix résonna dans un murmure glacé avant qu'elle ne disparaisse :
« Vous devriez me remercier. Elle n'a que ce qu'elle mérite. »
Emma resta figée, regardant la silhouette de Regina disparaître. Elle savait que quelque chose venait de se briser, quelque chose qui ne pourrait peut-être jamais être réparé.
☆○o。 。o○☆
Lilia traversait le couloir, son intuition lui disant que quelque chose n'allait pas. Elle s'arrêta devant la porte de Lucillia et frappa doucement.
« Lucillia ? C'est moi, Lilia. Je peux entrer ? »
Aucune réponse, mais Lilia sentit une agitation derrière la porte. Sans attendre davantage, elle ouvrit la porte et trouva Lucillia assise au bord de son lit, la respiration saccadée, les mains tremblantes.
« Lucillia ?! » Lilia se précipita vers elle, s'agenouillant pour être à sa hauteur. « Qu'est-ce qui se passe ? Parle-moi. »
Lucillia releva les yeux vers Lilia, ses pupilles dilatées par la panique. « Je... je ne peux pas... » murmura-t-elle, la voix brisée. « C'est trop. »
Lilia posa ses mains sur celles de Lucillia, essayant de calmer ses tremblements. « Hé, respire. Je suis là. Qu'est-ce qui est trop ? »
Lucillia ferma les yeux, ses larmes coulant librement. « Gold... Il est mon père, Lilia. Mon père ! »
Lilia resta un instant immobile, le choc passant dans ses yeux, mais elle se reprit rapidement. « Lucillia... je suis là. Respire avec moi. Inspire, expire. Doucement, d'accord ? »
Lucillia secoua la tête. « Non, je ne peux pas ! Je ne peux pas gérer ça ! Pourquoi maintenant ? Pourquoi lui ? Et pourquoi je ne savais rien ?! »
Lilia serra doucement ses mains et s'assit à côté d'elle, passant un bras autour de ses épaules. « C'est beaucoup, je sais. Mais tu n'es pas seule. Regarde-moi. »
Lucillia ouvrit les yeux, croisant le regard de Lilia.
« Tu n'es pas seule, » répéta Lilia doucement. « Je suis là. Toujours. On va gérer ça ensemble, une étape à la fois. »
Lucillia hoqueta, sa respiration se calmant légèrement. Lilia posa une main sur sa joue, essuyant une larme du pouce.
« Tu n'es pas obligée d'affronter ça tout de suite, » dit Lilia d'une voix douce mais ferme. « Tu as le droit d'être bouleversée. Mais je veux que tu te souviennes de quelque chose : tu es forte. Tu as survécu à tellement de choses. Et maintenant que je suis là, je ne te laisserai jamais tomber. »
Lucillia éclata en sanglots, se blottissant contre Lilia. « Je ne sais pas quoi faire... » murmura-t-elle.
Lilia passa ses doigts dans les cheveux de Lucillia, la berçant doucement. « Pour l'instant, tu n'as rien à faire. Laisse-toi respirer. »
Lucillia resta contre Lilia, sentant la chaleur rassurante de ses bras et sa présence solide. Les battements de son cœur ralentirent peu à peu, et pour la première fois depuis des heures, elle se sentit en sécurité.
Lilia releva doucement la tête, son sourire tendre illuminant son visage alors qu'elle regardait Lucillia.
« Te voir sourire... » murmura Lucillia, ses yeux encore brillants de larmes, « ...me donne de l'espoir. »
Lilia sentit son cœur se serrer. Ces mots, si simples mais si profonds, la touchèrent au plus profond de son être. Elle tendit une main, hésitante, avant de la passer doucement dans les cheveux de Lucillia. Ses doigts glissèrent avec douceur, apaisant chaque fibre de tension qui restait en elle.
« Lucillia... » murmura-t-elle, son ton chargé de douceur et de sincérité. « Je serai toujours là pour toi, peu importe ce qui arrive. Tu n'as pas à tout porter seule. »
Lucillia ferma les yeux un instant, se laissant emporter par la sensation rassurante des doigts de Lilia dans ses cheveux. Elle inspira profondément, cherchant un ancrage dans la proximité de celle qui l'apaisait tant.
Lilia hésita, mais le regard vulnérable de Lucillia l'encouragea. Elle ouvrit ses bras, et Lucillia, sans réfléchir, s'y glissa.
Leurs corps se trouvèrent dans une étreinte douce, naturelle. Lilia resserra doucement ses bras autour de Lucillia, la maintenant contre elle avec une chaleur protectrice.
« Je suis là, Lucillia, » murmura Lilia, son souffle effleurant les cheveux de la jeune femme. « Et je ne vais nulle part. »
Lucillia s'accrocha un peu plus à Lilia, nichant son visage contre son épaule. Les battements réguliers du cœur de Lilia semblaient une mélodie rassurante, apaisant chaque panique qui l'avait envahie plus tôt.
« Tu sais... » commença Lucillia, sa voix tremblante mais empreinte d'une douce sincérité, « ...je ne sais pas comment je ferais sans toi. »
Lilia sourit, posant son menton sur le sommet de la tête de Lucillia. « Eh bien, heureusement, tu n'as pas besoin de le découvrir. Je suis là. Toujours. »
Lucillia releva légèrement la tête, leurs visages si proches que Lilia pouvait sentir le souffle de Lucillia contre sa peau. Un instant suspendu passa entre elles, rempli d'une émotion palpable.
Lucillia murmura, presque pour elle-même : « Avec toi, je me sens en sécurité. »
Lilia baissa les yeux vers elle, un doux éclat dans son regard. « Et c'est exactement ce que je veux. Que tu sois en sécurité. Que tu sois heureuse. »
Elles restèrent là, dans cette étreinte pleine de tendresse, les ténèbres du monde semblant loin, juste pour un moment. Pour Lucillia, c'était plus qu'un réconfort. C'était une promesse silencieuse que, peu importe ce qui arriverait, elle ne serait jamais seule.
☆○o。 。o○☆
La grande bataille finale éclata dans les rues de Storybrooke, les tensions palpables entre les deux forces opposées. Rio Vidal, la figure sinistre de la mort, s'avançait lentement vers Ivana, ses yeux remplis de rage. Les éclats de lumière et d'ombre s'entremêlaient dans l'air alors que Rio activait ses pouvoirs, créant une aura d'énergie sombre autour d'elle.
Ivana se tenait prête, ses pouvoirs à leur apogée, et sa détermination évidente sur son visage. Un vent glacé soufflait autour d'elles, tandis que les deux femmes se faisaient face, prêtes à s'affronter pour la vie ou la mort. Les éclats de lumière frappaient le sol avec une violence aveugle, les éclats d'énergie magique se heurtant avec fracas.
Rio, dans un cri de rage, lança une vague d'énergie noire en direction d'Ivana. Mais Ivana, concentrée, contre-attaqua avec une décharge d'énergie dorée, créant une explosion de lumière qui fit vaciller Rio quelques instants. La lutte entre elles se poursuivit, aussi intense que le vent qui soufflait dans les rues de Storybrooke.
Mais tout à coup, Rio dégaina son couteau. L'acier brillant scintillait sous la lumière du soleil qui se frayait un chemin à travers les nuages. Elle s'avança vers Ivana avec une lenteur menaçante. Le silence tomba, alors qu'un frisson d'horreur parcourait la rue. Rio, dans sa folie, était prête à tuer Ivana.
C'est alors qu'une voix pleine d'urgence éclata dans l'air.
« NON ! » hurla Agatha, son visage déformé par la peur et la colère. Elle courut vers la scène, son regard fixé sur Rio. « Il est hors de question que tu la tue, Rio ! »
Rio s'arrêta, son regard se braquant sur Agatha, un sourire cruel se formant sur ses lèvres. La jalousie, aussi noire que ses pouvoirs, se lisait dans ses yeux.
« Et pourquoi ça, Agatha ? » Rio siffla, sa voix remplie d'un mélange de rage et de frustration. « Qu'est-ce qu'Ivana a de plus que moi , hein ? Pourquoi la protéger à ce point ? »
Le silence s'étira alors que tous les regards se tournèrent vers Agatha. Elle n'hésita pas, son regard se durcissant, son cœur battant plus fort dans sa poitrine.
« Ce qu'Ivana a de plus, c'est son amour pour moi, Rio, » répondit Agatha, sa voix ferme et pleine de conviction. « Ce n'est pas juste une question de pouvoirs ou de forces. C'est l'amour, la loyauté, la connexion. Elle est là pour moi, tout comme je suis là pour elle. Et toi, Rio, tu as sacrifié ça tout en poursuivant cette jalousie aveugle. »
Les mots d'Agatha semblaient percuter Rio de plein fouet. Elle vacilla légèrement, une ombre de doute passant dans ses yeux, mais elle resta figée, prête à tout pour obtenir ce qu'elle voulait.
Mais Agatha, les yeux pleins de détermination, s'avança, prête à tout sacrifier pour Ivana. Elle savait qu'elle ne pouvait pas laisser Rio détruire ce qu'elle avait construit.
« Tu n'as aucune idée de ce qu'est l'amour, Rio. » Agatha plongea son regard dans celui de l'ombre incarnée. « Mais sache une chose : rien ni personne ne te permettra de détruire ce que nous avons. »
Le vent soufflait fort, emportant avec lui les dernières traces d'ombres. Le combat entre l'amour et la haine, la lumière et les ténèbres, atteignait son apogée.
La bataille faisait rage dans les rues de Storybrooke, l'air chargé de tension, d'énergie magique et de haine. Rio Vidal, furieuse et déchaînée, attaquait tout ce qui se trouvait sur son chemin, concentrant ses attaques sur Ivana, mais aussi sur les autres membres du groupe. Lucillia et Lilia étaient en première ligne, prêtes à défendre ceux qu'elles aimaient, mais la situation devenait de plus en plus désespérée.
Alors que Lucillia se battait avec une énergie féroce, protégeant ceux qu'elle pouvait, Rio, avec un sourire cruel, lança un coup brutal en direction de Lilia. Elle n'avait pas prévu de l'atteindre, mais dans le chaos, son attaque heurta Lilia de plein fouet.
Lilia s'effondra sur le sol, un cri de douleur échappant de ses lèvres, tandis que Lucillia se tournait brusquement, horrifiée par la scène.
« Lilia ! » cria Lucillia, son cœur battant à tout rompre.
Elle se précipita vers elle, mais il était trop tard. Lilia était déjà gravement blessée, son souffle s'affaiblissant à mesure que le sang s'écoulait de ses blessures.
L'émotion de Lucillia la submergea. Elle n'avait jamais imaginé vivre un tel moment, perdre celle qui avait été sa lumière dans l'obscurité.
Mais Rio, implacable et immonde, souriait de plus en plus alors que la douleur et la panique envahissaient Lucillia. « Tu vois, Lucillia, l'amour n'est rien face à la mort. »
Le désespoir s'empara de Lucillia, mais dans ce moment de terreur, quelque chose de profond et de puissant s'éveilla en elle. Elle ferma les yeux un instant, la douleur de la perte de Lilia pesant lourdement sur son cœur. C'était comme si tout son être se brisait.
Et alors, dans un éclat de lumière pure, Lucillia sentit une énergie sacrée se diffuser en elle. Elle cria, une lumière intense jaillissant de son corps comme une explosion d'énergie divine. Un cri d'agonie, de rage, mais aussi de sacrifice. Lucillia se tourna une dernière fois vers Lilia, son cœur brisé.
La lumière qui émanait d'elle se concentra sur son propre être. Dans ce moment d'extrême douleur, Lucillia fit un choix ultime : échanger sa propre vie contre celle de Lilia.
La lumière de Lucillia enveloppa son corps, et, dans un instant suspendu dans le temps, elle sentit sa propre vie s'échapper, laissant place à la résurrection de Lilia.
Lilia, sur le point de rendre son dernier souffle, fut soudainement remplie d'une chaleur étrange. Elle inspira profondément, comme si elle retrouvait la vie elle-même. Son corps se régénérait, et l'obscurité qui l'avait engloutie se dissipait, laissant place à la lumière éclatante de l'amour.
Lilia ouvrit lentement les yeux, un souffle de vie nouveau l'envahissant. Elle regarda autour d'elle, ne comprenant pas d'abord ce qui venait de se passer. Puis, son regard se posa sur Lucillia, allongée sur le sol, les yeux fermés, comme si elle avait sombré dans un profond sommeil.
Mais Lilia sentit immédiatement une connexion. Elle comprit ce qui venait de se passer, et son cœur se serra.
« Non... » murmura-t-elle, s'approchant de Lucillia, les mains tremblantes.
Rio, maintenant témoin de ce sacrifice, se figea, ses yeux remplis de confusion et de frustration. Elle n'avait pas anticipé cette issue. La vie de Lucillia avait été échangée pour la sienne, un acte d'amour incommensurable.
Lilia, les yeux remplis de larmes, prit Lucillia dans ses bras, son souffle court et lourd. Elle la secoua doucement, espérant qu'elle reviendrait à la vie, qu'il était encore possible de sauver l'âme qui venait de s'éteindre.
Mais Lucillia ne répondit pas. Le prix avait été payé, et c'était le sacrifice ultime.
Dans un cri déchirant, Lilia hurla la douleur de la perte, mais aussi celle d'avoir vu l'amour triompher dans les ténèbres. Elle savait que, même dans la mort, Lucillia vivrait à jamais dans son cœur.
Et la bataille faisait rage autour d'elles, mais pour Lilia, la guerre était déjà perdue.
Le vent soufflait fort, emportant avec lui la tension palpable dans les rues de Storybrooke. Rio, ses yeux remplis de haine, se tourna lentement vers Ivana. Elle brandit son couteau, un sourire cruel sur les lèvres.
« À ton tour, Ivana », dit-elle d'une voix glaciale, prête à mettre fin à la vie de celle qu'elle haïssait.
Ivana, bloquée, ne savait pas quoi faire, le sentiment d'impuissance envahissant son cœur. Elle savait qu'elle ne pourrait pas esquiver la lame, mais avant qu'elle puisse réagir, une silhouette se dressa devant elle.
C'était Agatha. Son regard déterminé, empli d'une violence intérieure, fixait Rio. Sans hésitation, elle se saisit du couteau de Rio, le regardant une dernière fois avant de le planter dans le cœur de Rio avec une force impitoyable. La créature d'ombre laissa échapper un cri de douleur avant de s'effondrer au sol, morte.
Le silence envahit la scène, et tous les regards se tournèrent vers Agatha. Elle se tenait là, le couteau dans la main, son visage marqué par la décision qu'elle venait de prendre. Mais, comme un dernier souffle de vengeance, les ténèbres s'échappèrent du corps de Rio. Elles s'élancèrent, noirs et enragés, directement vers Agatha. La puissance des ténèbres semblait vouloir l'engloutir, l'aspirer dans un abîme sans fin.
Agatha tomba à genoux sous la pression, son corps tremblant sous la force des ténèbres qui envahissaient son âme. « Non... non, je ne... » murmura-t-elle faiblement, se sentant submergée. Elle savait qu'elle ne pourrait pas lutter contre cette obscurité qui voulait la détruire.
Mais avant qu'elle ne puisse sombrer dans les ténèbres, un rayon de lumière, une magie pure, déchira l'air. Ivana, les yeux remplis de détermination, tendit les mains vers Agatha. Une explosion d'énergie magique jaillit de son corps, ses pouvoirs se concentrant sur Agatha, comme un bouclier protecteur.
Les ténèbres, voyant la lumière d'Ivana, se mirent à s'agiter frénétiquement, mais Ivana ne fléchit pas. Elle repoussa la malédiction de Rio avec toute la force de son amour pour Agatha. Les ténèbres, qui tentaient d'envahir Agatha, commencèrent à se dissiper lentement, se dissolvant dans l'air comme de la brume sous un soleil éclatant.
Finalement, après ce qui sembla être une éternité, les ténèbres se dissipèrent entièrement. Agatha se sentit soudainement libérée, son corps se détendant dans un souffle de soulagement. Les ténèbres n'étaient plus en elle.
Elle se tourna vers Ivana, son regard rempli de gratitude. Ivana la soutint, prenant ses mains dans les siennes. « Tu es en sécurité maintenant », lui dit-elle doucement, le cœur battant.
Agatha, les yeux embués de larmes, murmura : « Tu m'as sauvée... »
Ivana hocha la tête, un faible sourire sur ses lèvres. « Je ne laisserai rien ni personne te prendre, Agatha. Pas même les ténèbres. »
Le monde autour d'elles semblait s'être calmé. Le combat était terminé, mais la bataille intérieure que chacune d'elles avait menée restait gravée dans leur cœur. Elles s'étaient retrouvées, et ensemble, elles avaient surmonté l'impensable.
Le vent soufflait violemment autour de la scène où le chaos avait laissé ses marques. Lilia était accroupie près de Lucillia, le visage baigné de larmes. Elle caressait doucement les cheveux de la jeune femme, son cœur brisé par la perte de l'être qu'elle aimait. Les pleurs de Lilia résonnaient dans l'air lourd de tristesse, tandis que Gold, son père, se tenait derrière elle, les mains tendues vers Lucillia, essayant désespérément de sauver sa fille, d'inverser ce qui était irréversible. Mais rien ne fonctionnait. Ses pouvoirs, qui d'habitude faisaient des miracles, semblaient impuissants face à la tragédie qui frappait sa famille. Lucillia ne réagissait plus. Elle était froide et silencieuse, un vide total.
Agatha, à l'autre bout, serrait Ivana contre elle, son corps secoué par des sanglots. Elle avait vu la lumière quitter Lucillia, et avec elle, une partie d'elle-même. La douleur de la perte s'ajoutait à la terreur qu'elle avait ressentie en voyant son amie et bien-aimée se sacrifier ainsi. Elle ne voulait pas lâcher Ivana, de peur de perdre aussi cette partie de son âme. Ivana, les bras autour d'Agatha, tremblait mais se montrait aussi ferme, ne voulant pas voir l'angoisse envahir Agatha davantage. Ensemble, elles se tenaient, s'ancrant l'une à l'autre comme si leur union pouvait empêcher le monde de s'effondrer autour d'elles.
Puis, dans un souffle froid, l'air se troubla. Une lumière verte apparut, intense et vibrante, semblant jaillir des ténèbres elles-mêmes. Héla fit son entrée
sa silhouette s'imposant avec une autorité glaciale. Ses yeux brillaient d'une lueur menaçante alors qu'elle observait la scène, son regard se fixant d'abord sur Gold, puis sur le corps sans vie de sa fille.
« Éloignez-vous de ma fille », ordonna Héla d'une voix glaciale, pleine de menace.
Gold, dont la douleur était encore plus vive que la rage qui bouillonnait en lui, se tourna vers Héla, les poings serrés. Il ne pouvait pas la laisser emporter Lucillia ainsi, ne pas laisser partir la seule famille qu'il avait retrouvée après tant d'années de souffrance.
« Tu n'as pas le droit de la prendre ! » cria-t-il, sa voix brisée par l'émotion.
Il fit un pas en avant, mais sa magie semblait être impuissante contre la force de la mère.
Héla le regarda avec une froideur implacable. « Si je ne te l'avais pas laissée, c'est que je savais que tu causerais sa mort. »
D'un geste rapide et sinistre, Héla tendit sa main. Une lumière verte émanait d'elle, envahissant l'air autour d'eux, et dans un éclat de magie, elle s'empara du corps de Lucillia, l'élevant lentement dans les airs.
« Laisse-la partir ! » hurla Gold, mais Héla ne l'entendait plus
. Dans un souffle, elle s'éteignit dans un tourbillon magique, disparaissant avec le corps de sa fille. Laissant derrière elle un silence de mort.
Lilia, accroupie au sol, regarda en silence l'endroit où Lucillia avait disparu. Un vide immense se créa en elle. Le corps de la jeune femme n'était plus là. Il ne restait que la douleur, l'angoisse, et l'incompréhension. Ses larmes coulaient à flots, son cœur se brisant sous le poids de la perte.
Agatha serra Ivana encore plus fort, sentant son cœur se briser un peu plus avec chaque seconde qui passait. Elles ne pouvaient pas comprendre. Elles ne pouvaient pas accepter ce qui venait de se passer. Mais la réalité était là, froide et cruelle. Lucillia, leur amie, leur sœur, avait donné sa vie pour sauver Lilia. Et tout cela semblait maintenant être effacé par la magie d'Héla.
Mais dans l'ombre, une promesse se faisait silencieuse : cette guerre n'était pas finie.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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Le mépris fait partie de l’estime. On peut le mépris dans la mesure où on peut l’estime. […] Qui ne méprise pas le mal, ou le bas, pactise avec lui. Et que vaut l’estime de qui ne sait pas mépriser? J’avais toujours pensé qu’on pouvait fonder quelque chose sur le mépris; maintenant je sais quoi : la moralité. Ce n’est pas l’orgueil qui méprise; c’est la vertu. Aussi sera-t-il beaucoup pardonné à celui qui aura beaucoup méprisé. Et encore j’ajoute ceci : qu’il n’y a pas besoin de n’être pas méprisable, pour mépriser.
Henry de Montherlant - Lettre d’un père à son fils
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Commentaire de La Confiance et la Clé à molette @halebop-s-art
Disclaimer : Tout d'abord, nous tenions à préciser que cette analyse a pour but de prouver qu'un chapitre de fanfiction peut être considéré comme un objet littéraire à part entière. Ainsi, les personnages présents dans notre extrait n'appartiennent ni à l'auteur, ni à moi-même, mais bien à leur créateur : François Descraques.
Ensuite, notre étude se concentrant sur un extrait de La Confiance et la Clé à molette, je vous conseille fortement d'aller lire l'histoire avant d'entreprendre celle de ce commentaire. Enfin, nous tenions à remercier @halebop-s-art de nous avoir autorisé à travailler sur sa matière littéraire. Bonne lecture !
Le Visiteur du Futur est, à l'origine, une websérie comique mettant en scène des personnages plus burlesques les uns que les autres dans des décors apocalyptiques. Si le protagoniste, Renard, a parfois le droit à des moments de gloire lorsqu'il parvient à sauver le monde, la plupart du temps, il reste l'objet de blagues loufoques. Dans notre extrait de La Confiance et la Clé à molette, le Visiteur nous est présenté d'une manière inédite qui contraste avec ce que nous avons l'habitude de voir ou de lire à propos de ce personnage. De cette tension est apparue une question : En quoi l'utilisation du point de vue du "faux" Henry Castafolte permet-il de montrer la descente aux enfers de Renard ? Tout d'abord, nous verrons que l'utilisation de ce point de vue permet un portrait ambivalent du Visiteur. Ensuite, nous parlerons du véritable professeur Castafolte et de son influence. Enfin, nous nous concentrerons sur la tension qui grimpe dans l'extrait et sur les façons de la faire redescendre.
Tout le temps que l'imposteur Henry passe auprès du Visiteur du Futur, lors de son infiltration dans le laboratoire, lui permet de se fabriquer une image de sa personnalité. Le lecteur découvre ainsi un être "hyperactif, énervé, soûlé, crevé, ennuyé, amusé" à travers une accumulation d'adjectifs qualificatifs. Tous ces éléments, formant ce portrait, sont récoltés avec minutie par l'imposteur, qui malgré les dires de "ses employeurs [qui] l'avaient décrit comme un homme prêt à éliminer tous les obstacles sur son chemin", semble souhaiter se faire son propre avis via ses observations scientifiques. Le verbe voir est conjugué au plus-que-parfait à plusieurs reprises : "avait vu", dans le but de mettre en valeur cette démarche scientifique du faux Henry. Et pour le moment, le portrait est plutôt positif.
Cependant, comme l'indique cette négation répétée à deux reprises : "Henry ne l'avait jamais vu calme". Le contraste entre le comportement jovial décrit plus tôt et ce calme inquiétant désormais observé par Henry, est marqué par la conjonction de coordination à valeur d'opposition "mais" qui introduit la négation la seconde fois. En plus de cette anomalie comportementale, le portrait physique de Renard transmet une sensation de danger. Un jeu sur les sonorités avec l'allitération en [s] : "Dans la courbe des sourcils, dans son sourire sans chaleur." évoque une sournoiserie du Visiteur. Tandis qu'un rythme binaire omniprésent lors de la description de Renard crée visuellement un piège oppressant autour du faux Henry : "ce sourire mauvais et froid" ; "ses yeux trop noirs et trop brillants" ; "un rire bref et sans joie".
Ce changement soudain du comportement de Renard perturbe beaucoup l'imposteur. Si ce trouble est exprimé très clairement dans la proposition "Ce changement de caractère faisait perdre ses repères à Henry.", il est également présent tout au long du récit sous la forme d'aposiopèses. Cela crée une sorte de bégaiement de sa pensée : "au lieu de… de garder" ; "il n'était pas… inquiet" ; "C'était… Il y avait quelque chose".
Henry Castafolte est un personnage multiple de par sa nature robotique même, il en existe alors beaucoup de version. Notre extrait nous en présente deux modèles : celui dont on connaît les pensées, l'imposteur, et un autre qui, s'il n'est pas présent dans la scène, n'en reste pas moins très important dans l'histoire. Comme nous l'indique la présence de l'adjectif possessif "mon" placé juste devant le prénom Henry lors d'une prise de parole au discours direct de Renard, ce second Castafolte est le vrai, ou en tout cas, le compagnon de route du Visiteur. Ce dernier possède une grande influence positive sur Renard notamment en ce qui concerne sa morale. Dans un discours élogieux, le Visiteur utilise jusqu'au verbe pronominal "m'inspire" ainsi que le lexème mélioratif "idéal".
Mais le faux Henry peine à comprendre ce discours, car une amitié avec un robot lui paraît futile. Le terme "machine" est inscrit en italique, ainsi que le terme "ami" entre guillemets, ces spécificités de mise en page témoigne de son animosité vis à vis de cette relation. Il trouve que la "situation [est] absurde".
Malheureusement, sans la présence de sa "boussole morale", métaphore qui compare le Henry du Visiteur à un objet capable de diriger et de canaliser les pulsions de son ami, une "aura de haine, de colère" émane de Renard. Notre extrait est, en effet, d'une extrême violence, puisqu'il s'agit d'une scène de torture, nous retrouvons notamment le champ lexical de la douleur ou du corps : "pommette" ; "grimace" ; "frappe"...
Le texte est donc rempli de violence et de tension. Dans la réplique "Bah BARRE-TOI !" l'utilisation d'une ponctuation exclamative, d'un langage familier ainsi que la surutilisation des majuscules trahissent la violence de Renard. Le même effet est recherché dans l'autre réplique très sèche "Non. Non, pas du tout.", cette fois à l'aide de deux phrases courtes et non verbal.
Heureusement, certains éléments permettent aux lecteurs de souffler un peu. Le personnage de Raph fait redescendre la tension, et fait rire malgré la dureté de la situation, grâce à sa maladresse et son côté enfantin. Ces caractéristiques sont énumérés en rythme ternaire : "un peu timide, un peu pataud, et incapable de le blesser". Chaque fois que l'on se reconcentre sur ce personnage, celui-ci semble éprouver de l'empathie pour le faux Henry malmené. Il est en désaccord avec Renard, et cela passe par des phrases courtes dans lesquelles se trouvent un verbe au passé simple décrivant les réactions du personnages : "Raph sursauta." ; "Raph détourna le regard" ; "Raph ferma les yeux" ; "Raph grimaça"... Le faux Henry est persuadé d'être "l'unique et l'humain". C'est la raison pour laquelle il se considère comme supérieur aux autres Castafolte. Or, le lecteur sait que c'est faux, et son insistance sur ce fait provoque le rire : c'est de l'ironie dramatique. On la retrouve notamment dans l'épanorthose "Henry, le vrai Henry". S'il a peur, il refuse de l'admettre, sa mauvaise foi permet de s'échapper de la scène de torture. Bien sûr qu'il "n'était pas inquiet... ou... quoi que ce soit..."
Pour conclure, nous pouvons dire que le point de vue du professeur Castafolte imposteur permet non seulement de présenter un portrait ambivalent de Renard, mais aussi de faire comprendre l'importance du vrai Henry pour le Visiteur. C'est un véritable cauchemar que notre extrait, dont la tension est parfois relâchée par des procédés tels que l'ironie dramatique ou la présence de personnage amusant.
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(Charlemagne) Be brave, Sire, your first speech is live and cannot be postponed. We are all counting on you. (Napoléon V) Must I really stick to the text? (Charlemagne) I fear so, Your Imperial Majesty
(Charlemagne) I know your views on the order of succession to the imperial throne, Your Majesty, but every battle must have its favourable conditions to be fought. You will soon learn that being Emperor is not about doing what you want, when you want (Napoléon V) But it's a fact: I'm the Emperor! And your discourse insuppresses me!
(Charlemagne) I am not your enemy, Sire, and this is not "my discourse". I will help you in all your choices, but for that you must learn the monarch's trade. Your sister, His Imperial Highness, has no place in the succession, for the moment. (Napoléon V) But… (Charlemagne) All your words and thoughts must turn to His Majesty Napoléon IV your father, and the continuity of the institutions according to the imperial laws. We will talk about Madame later. (Napoléon V) Very well.
The official speech starts at 7pm, on all French TV channels.
(Napoléon V) Ladies and gentlemen, dear French people, I must thank each and every one of you who, for the past few days, have been paying tribute to my beloved father. The Emperor was devoted body and soul to his mission, to serve the French, at the price of many sacrifices…
(Napoléon V) … Today, I do not conceal all the fearsome aspects of accepting to put Napoléon's crown on my head …
(Napoléon V) … But these apprehensions are diminished by the thought that, like my dear father before me, your love and trust pervades me, and therefore I declare before you all that I will henceforth devote my whole life to your service with loyalty and devotion. And that this service will last as long as I deserve the approval of the Great Nation…
(Napoléon V) … My heart is at peace knowing that the spirit of my beloved father is with me, that his thought will guide me every day, that his shadow protects me. With the help of my uncle and heir, Imperial Prince Henri, I know that we will meet the challenges that await Francesim. My constant preoccupation will be, for ever and with all my heart, God helping, the greatness and prosperity of Francesim. Thank you for your support.
��� Le Cabinet Noir | Palais des Tuileries, 31 Germinal An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
(Charlemagne) Soyez brave, Sire, votre première allocution est en direct et ne peut être repoussée ultérieurement. Nous comptons tous sur vous. (Napoléon V) Dois-je réellement m'en tenir au texte ? (Charlemagne) Je le crains Votre Majesté
(Charlemagne) Je connais vos opinions concernant l'ordre de succession au trône impérial, Votre Majesté, mais chaque combat doit avoir ses conditions favorables pour être mené. Vous apprendrez vite qu'être Empereur ce n'est pas faire ce que l'on veut, quand on veut (Napoléon V) Mais c'est un fait : je suis l'Empereur ! Et votre discours m'insupporte !
(Charlemagne) Je ne suis pas votre ennemi, Sire, et ce n'est pas "mon discours". Je vous aiderai dans tous vos choix, mais pour cela vous devez apprendre le métier. Votre soeur, Son Altesse Impériale, n'a pas sa place dans la succession, pour le moment. (Napoléon V) Mais... (Charlemagne) Tous vos mots et pensées doivent se tourner vers feu Sa Majesté Napoléon IV votre père, et la continuité des institutions selon les lois impériales. Nous reparlerons de Madame plus tard. (Napoléon V) Très bien.
L'allocution officielle débute à 19 heures, sur toutes les chaînes de télévision françaises.
(Napoléon V) Messieurs dames, chers français, je dois remercier chacun d'entre vous qui, depuis ces derniers jours, rendent hommage à mon père adoré. L'Empereur était dévoué corps et âme à sa mission, servir les français, au prix de nombreux sacrifices...
(Napoléon V) ... Aujourd'hui, je ne dissimule pas tout ce qu'il y a de redoutable à accepter de mettre sur ma tête la couronne de Napoléon...
(Napoléon V) ... Mais ces appréhensions diminuent par la pensée que tout comme mon cher père avant moi, votre amour et votre confiance me pénètre, et c'est pourquoi je déclare devant vous tous je consacrerai désormais ma vie entière à votre service avec loyauté et dévouement. Et que ce service durera tant que je mérite l'approbation de la Grande Nation...
(Napoléon V) ... Mon coeur est en paix en sachant que l'esprit de mon père bien-aimé est avec moi, que sa pensée me guidera chaque jour, que son ombre me protège. Avec l'aide de mon oncle et héritier, le prince impérial Henri, je sais que nous saurons relever les défis qui attendent la Francesim. Ma préoccupation constante sera, pour toujours et de tout mon coeur, Dieu aidant, la grandeur et la prospérité de la Francesim. Merci pour votre support.
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Je Tiens Réellement À Vous - Anthony Bridgerton
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Résumé : Quand Anthony te voit dans les bras d'un autre homme, il se rappelle la facon dont il a ruiné votre relation à cause de ses sentiments.
Warnings : se passe en 1807 donc Anthony a 23 ans, angst, fin triste, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.8k
Version Wattpad
Version anglaise sur Tumblr
Chanson mentionnée : Piano Concerto No.20, K66 par Mozart
Chansons qui m'ont inspiré : When I Was Your Man par Bruno Mars et Decode par Sabrina Carpenter
Appuyé contre un mur, Anthony Bridgerton te regarde au loin. Te voyant danser, un sourire sur le visage, il ne peut s'empêcher de faire pareil. Il sait à quel point tu aimes les bals, à quel point tu aimes danser au rythme des cordes. Quand ton partenaire de danse, Lord Henry Egerton, te fait tourner, Anthony sent un souvenir revenir.
C'était il y a deux ans. Anthony avait commencé à te faire la cour quelques mois auparavant. Tu le connaissais seulement de nom, mais tu avais toujours été intrigué par lui. Au début, il n'osait pas s'ouvrir, te donnant peu de son temps, mais au fur et à mesure, vous aviez commencé à vous rapprocher. En apprenant à le connaître, tu avais découvert une autre facette de l'homme sérieux croulant sous les responsabilités. Même si tu sentais qu'il ne t'avait pas encore montré sa personne dans son entièreté, tu étais déjà ravie de voir qu'il avait un peu brisé sa coquille avec toi. Par conséquent, tu avais laissé tes sentiments prendre le dessus, t'autorisant à tomber amoureuse d’Anthony Bridgerton. En plus d'être un bon parti, comme le souhaitait ton père, tu sentais au fond de toi que tu serais bien avec lui. Il n'y avait pas de doute. Tu te voyais finir ta vie avec Anthony.
Alors à chaque bal, tu dansais autant que tu pouvais avec lui. Bien sûr, tu dansais avec d'autres hommes. Après tout, tu adorais danser avec n'importe qui, même si le Vicomte était ton partenaire préféré.
Ce soir-là, Anthony t'avait invité pour la première danse de la soirée. Quand les premières notes de Piano Concerto No.20, K466 de Mozart se firent entendre, vous aviez commencé votre danse, ton regard plongé dans le sien comme le sien dans le tien. Si un inconnu avait pu vous voir, il aurait pensé que vous étiez des jeunes mariés tellement vos regards transmettaient de l'amour. Anthony ne cessait d'admirer ta beauté. A chaque fois il pensait que tu ne pouvais pas être plus belle que le jour d'avant et tu lui prouvais le contraire. Un peu plus sous ton charme, il ne put s'empêcher de te partager ses pensées :
- Vous êtes radieuse, Mlle Y/L/N*.
- Merci, Lord Bridgerton. Vous êtes beau également.
- Pas autant que vous. Votre robe est magnifique. Vous êtes réellement à couper le souffle.
- Attention, Monsieur Bridgerton, on pourrait se méprendre et penser que vous voulez demander ma main, rigolas-tu, voulant cacher ton trouble.
- Diriez-vous "oui"? te demanda-t-il, sérieusement.
- Parlez-en d'abord avec mon père, je vous donnerai ma réponse après, répondis-tu avec un sourire.
- Après notre danse, j'irai discuter avec lui.
- Je tiens vraiment à vous, Milord, avouas-tu.
- Tout comme moi, Milady.
A ce moment précis, vous n'aviez qu'une envie, vous embrasser, mais la présence de la bonne société londonienne vous en empêcha. Tu pus seulement sentir ses lèvres sur ta main droite vêtue d'un gant blanc quand la danse fut finie. Il ne quitta pas tes yeux quand il embrassa délicatement ta main.
Mais maintenant, c'est Lord Egerton qui embrasse ta main avec autant de tendresse que lui il y a deux ans. Anthony détourne le regard quand il voit ton visage encore plus rayonnant à ce touché. Anthony est tellement perdu dans ses pensées qu'il ne fait pas attention au groupe de gentlemen se rapprochant de lui, Lord Egerton en fait partie. Il réalise leur présence seulement quand il entend ton partenaire de danse faire une annonce avec un sourire fier :
- Lady Y/L/N* a accepté ma demande en mariage hier.
- Félicitations !
- Vous avez l'air heureux ensemble, déclarent les hommes du cercle.
- Nous allons nous marier dans quelques mois et j'ai hâte. Je n'ai jamais ressenti ça auparavant.
Anthony dit une politesse rapidement avant de reposer ses yeux sur toi. Il te voit au loin parler à d'autres jeunes femmes, un gant en moins pour montrer ta bague de fiançailles. Tu es plongée dans la description de ta demande en mariage, mais tu sens un regard sur toi. Rapidement, tu jettes un regard au loin et trouves Anthony. Tu le vois t'observer avec un regard tristesse. Pendant une seconde, tu as ton cœur qui se serre, mais tu te ressaisis vite et retournes ton attention sur tes amies. Tu essayes de sortir Anthony de ta tête, te rappelant que cette situation est seulement sa faute. Il n'a pas le droit, avec un regard, de te faire te sentir coupable pour avancer quand c'est lui qui a tout ruiné.
Vous étiez fiancés depuis trois mois et toujours aussi amoureux. Votre mariage était prévu dans six mois. Ton esprit était toujours concentré sur les préparatifs. Il y avait seulement quelques courts moments dans la semaine où tu te permettais de faire autres choses. Ce jour-là, tu continuais la broderie que tu avais laissée de côté depuis la demande en mariage d'Anthony. Plantant une nouvelle fois ton aiguille dans le tissu, tu fus interrompue par un des serviteurs, t'annonçant l'arrivée d'Anthony. Tu l'autorisas à le laisser entrer. Ta broderie posée sur la table à côté de toi, tu te levas pour accueillir ton fiancé. Quand il arriva, ton sourire s'agrandit, comme toujours en sa présence.
- Lord Bridgerton, je ne vous attendais pas aujourd'hui.
- Je sais, veuillez m'en excuser, mais j'ai besoin de vous parler, informa-t-il, une expression sérieuse sur le visage, faisant partir ton sourire.
- Bien sûr, quelque chose ne va pas ?
- Pouvons-nous nous asseoir ?
- Je vous en prie, indiquas-tu en montrant le sofa et t'asseyant. Milord, vous m'inquiétez, vous allez bien ? questionnas-tu quand il fut assis à côté de toi.
- Ce que j'ai à vous dire n'est pas facile, Lady Y/L/N*. Je... Je souhaite rompre nos fiançailles.
Suite à son annonce, tu restas silencieuse pendant une seconde, voulant t'assurer d'avoir bien compris. Quand tu réalisas que tu ne t'étais pas trompée, tu ouvris la bouche plusieurs fois, hésitante avant de réussir à articuler :
- Comment ?
- Je ne désire plus me marier. Je voudrais attendre encore quelques années. J'en suis désolé.
- Je ne comprends pas, Monsieur Bridgerton. Ai-je fait quelque chose de mal ? Si c'est le cas, je m'en excuse.
- Vous n'avez rien fait, t'assura Anthony rapidement, te faisant froncer les sourcils.
- Alors pourquoi avez-vous changé d'avis ? Je suis sûre que nous pouvons trouver une solution. Lord Bridgerton, je tiens à vous, je peux très bien attendre quelques années, si c'est vraiment ce que vous souhaitez.
- Je ne peux pas vous demander ceci. Je ne changerai pas d'avis, affirma-t-il en évitant ton regard.
- Pouvez-vous au moins me donner une explication ? imploras-tu les larmes aux yeux.
- Je me suis fait une promesse et si je vous épouse, je sais que je vais la trahir.
- Quelle promesse ?
- De ne pas faire un mariage d'amour, déclara Anthony, te perdant un peu plus.
- Je ne vous comprends pas.
- Je suis le Vicomte Bridgerton donc je dois trouver une femme pouvant faire une parfaite Vicomtesse, comme vous, mais je ne veux pas qu'il y ait de sentiments. Mais, ces dernières semaines… j'ai réalisé que je vous aimais. Je suis navré de vous blesser ainsi.
Il te fallut une seconde avant d'assimiler ses mots. En comprenant ce qu'il disait, tu te levas du sofa, abasourdie. Tu te plaças devant lui, ton trouble visible sur ton visage.
- Êtes-vous réellement en train de me dire que vous m'aimez tellement que vous ne voulez pas vous marier avec moi ? Qu'avez-vous contre les mariages d'amour ? Ne trouvez-vous pas préférable de partager votre vie avec quelqu'un que vous aimez ?
- Je ne souhaite pas cela.
Tu arrêtas de parler, réfléchissant à ce que cette nouvelle information signifierait pour toi. Quand ça te frappa enfin, tu te levas, ta respiration s’accélérant.
- Avez-vous la moindre idée à quel point c'est humiliant ? questionnas-tu, rhétoriquement, une larme coulant sur ta joue. Tout le monde s'attend à notre mariage et personne ne va comprendre, car je ne comprends pas moi-même.
- Je m'occuperai des rumeurs, si c'est votre peur.
- Peu importe ce que vous direz, les personnes penseront toujours que quelque chose ne va pas avec moi, car vous avez décidé de rompre notre engagement, t'exclamas-tu en insistant sur le pronom "vous".
- Je suis terriblement désolé, Lady Y/L/N*.
- Je ne veux pas de vos excuses. Je veux une explication claire, Lord Bridgerton, rétorquas-tu, la frustration de plus en plus forte. Je n'aurais jamais pensé que nos sentiments seraient une raison valide pour arrêter notre relation. Enfin, nos sentiments, je devrais dire mes sentiments. Si vous m’aimiez réellement, vous ne feriez pas cela.
- Je vous assure que je tiens réellement à vous.
- Comment voulez-vous que je vous croie ? Vous vous êtes seulement intéressé à moi, car vous aviez vu en moi cette jeune femme de bonne famille, correspondant à tous ces critères qu'on attend de moi, en tant qu'épouse. On m'a toujours dit que si j'étais polie, attentionnée et à l'écoute, je n'aurais pas de problèmes à trouver un mari et même quand je corresponds à cette norme vide de sens, je ne suis pas assez bien. Qu'ai-je fait pour mériter cela ? pleuras-tu en regardant en l’air.
- Même si vous ne le voulez pas, croyez-moi quand je vous dis que ce n'est pas votre faute. Vous êtes assez bien. Plus que bien, même. La vraie raison pour laquelle je refuse un mariage d'amour, c'est parce que je ne veux pas être la cause de souffrance, précisa-t-il.
- Plus vous vous expliquez, plus je suis perdue.
- A la mort de mon père, ma mère était dévastée, commença-t-il à expliquant en se levant face à toi. Elle était à peine présente pour moi, mes frères et mes sœurs. J'ai dû m'occuper de tout à sa place. Je ne veux pas que la femme que j'épouse vive une situation similaire. Je ne veux pas être la raison d'un futur chagrin.
- Vous ne pouvez pas laisser la mort de votre père vous empêcher d'aimer, dis-tu, perdant un peu plus l'espoir. Même si je ne pourrais jamais le comprendre, je sais que son décès vous a affecté, mais vous ne pouvez pas fermer votre cœur. Anthony Bridgerton, je vous conjure de repenser à votre promesse.
- Je ne le ferai pas, répéta-t-il, sûr de lui.
- Très bien, explosas-tu en lui redonnant sa bague.
- Je suis sincèrement désolé.
- C'en est assez, l'interrompis-tu, en colère. Je ne veux plus rien entendre. Veuillez partir, Lord Bridgerton. S'il vous plaît, raccompagnez-le à la porte, ordonnas-tu au serviteur proche de l'entrée du salon.
Tu ne t'assuras pas qu'il ait entendu ton ordre, trop bouleversée par l'échange. Tu quittas la pièce, te retenant de pleurer encore plus. Tu montas les marches, voulant t'enfermer dans ta chambre. Quand tu arrivas à l'étage, tu entendis Anthony passer le pas de la porte. Quand tu passas celle de ta chambre, tu t'effondras au sol, le cœur brisé. Tu n'arrivais pas à croire que c'était réel. Tu ne t'étais pas préparée à cette discussion en le voyant arriver. Tu repensas à tes mots et à ce que tu aurais pu dire pour le faire changer d'avis. Peut-être que tu aurais pu éviter cette situation si tu avais trouvé les mots justes.
Voulant te reposer de ta danse, tu bois une coupe de champagne en discutant avec ton fiancé. Tu avais rencontré Henry Egerton l'année suivant ta rupture avec Anthony. Vous aviez dansé quelques fois et échangé quelques discussions, mais tu ne sentais pas encore prête à passer à autre chose. Tu étais encore trop occupée à analyser ta relation avec Anthony, cherchant une faille pour le ramener vers toi, mais c'était peine perdue. En comprenant ceci, tu avais accepté de faire ton deuil du futur que tu n'aurais jamais avant de te rapprocher de Lord Egerton à la saison sociale de cette année.
En parlant avec ton fiancé, tu te dis que tu as de la chance de l'avoir trouvé. Ce n'est pas et ne sera jamais Anthony, mais tu sais que tu pourras être heureuse avec lui. Il a réussi à te prouver que tu mérites d'être aimée et tu lui en es éternellement reconnaissant. Rigolant à une de ses blagues dont lui seul a le secret, tu tournes le regard sur ta gauche, sentant quelqu'un se rapprocher. Anthony est devant toi, un visage neutre.
- Lady Y/L/N*, puis-je avoir cette danse, s'il vous plaît ? demande-t-il.
- Je m'excuse, Milord, mais je suis en pleine conversation avec...
- Il n'y a pas de souci, te coupe Henry, avec un sourire, je dois parler avec Lord Featherington, de toute façon. Allez danser, très chère, affirme-t-il en s'éloignant.
- Très bien, je ne vois pas d'autres raisons de refuser votre invitation, Lord Bridgerton, déclares-tu en posant ton verre sur la table derrière toi.
Anthony te présente son bras et tu y places ta main, comme autrefois. Le contact familier te ramène presque deux ans en arrière, mais tu essayes de garder ta concentration. Vous faites la révérence avant de prendre vos places, attendant le son des violons et du piano. Quand le Piano Concerto No.20, K466 commence, tu maudis intérieurement tous les musiciens. Ils ne pouvaient vraiment pas choisir une autre musique ? Mais pour Anthony, cette chanson sonne comme un signe. Même si elle rappelle un moment où vous étiez heureux et ensemble, elle vous appartient encore, malgré la distance.
Anthony et toi commencez à danser, d'abord en silence. Tu oses à peine le regarder, cherchant ton fiancé du regard. Tu le vois parler au patriarche des Featherington, comme il l'avait indiqué. En tournant, tu cherches une autre distraction, alors qu'Anthony garde ses yeux sur toi, appréciant la proximité de ton corps contre le sien. Sûrement la dernière fois avant que tu sois officiellement mariée. Cependant, Anthony ne veut pas que ce dernier échange soit silencieux.
- C'est la chanson sur laquelle nous avions dansé quand je vous ai dit que je voulais vous épouser, te rappelle Anthony.
- Que voulez-vous, Lord Bridgerton ? demandes-tu, sèchement.
- J'ai appris pour vos fiançailles. Je suis heureux pour vous, félicitations. Il a l'air d'être quelqu'un de bien, dit-il, sincère.
- Il l'est, je peux vous l'affirmer. Nous avons longuement parlé et nous sommes sûrs de vouloir les mêmes choses dans la vie.
- Je m'excuse d'avoir rompu notre engagement. Parfois, je me dis que je n'aurais pas dû le faire.
- Arrêtez, s'il vous plaît, le supplies-tu, ne voulant pas en entendre plus. Vous ne pouvez pas me dire ceci, surtout pas maintenant. J'ai passé les deux dernières années de ma vie à chercher une solution pour arranger notre relation. J'ai passé mes journées à l'analyser encore et encore, espérant trouver les signes qui auraient pu me prévenir que vous n’aviez jamais voulu un mariage d’amour, j’ai également cherché par tous les moyens une solution pour vous faire changer d'avis. J'ai passé mes nuits éveillée à essayer de comprendre votre changement de comportement soudain. Maintenant je me demande pourquoi j'ai laissé votre confusion me troubler autant. J'en suis fatiguée, Lord Bridgerton. Tout est fait, il n'y a plus rien à déchiffrer. Il n'y a rien à changer. Il n'y a rien qui aurait pu changer ce qui s'est passé. J'ai réussi à l'accepter et à abandonner, chose que j'ai appris de vous. Au moins, notre relation n’a pas été totalement vaine. Alors, s'il vous plaît, ne me dites pas que vous regrettez votre choix. C'est trop tard, affirmes-tu, le regardant dans les yeux.
- Vous avez raison. C'était inapproprié de ma part. Je suis désolé, déclare-t-il et tu pousses un soupir de soulagement. Cependant, laissez-moi dire que je n'aurais pas dû agir de cette façon. Ce n'était pas honnête de ma part. Je n'aurais pas dû vous laisser espérer. Même si, je l'avoue, je me suis d'abord intéressé à vous, car je savais que vous seriez être une parfaite Vicomtesse, mes sentiments pour vous étaient honnêtes. Je ne l'ai pas montré comme il faut pendant notre relation, mais je tenais vraiment à vous. J'aurais été chanceux de vous avoir à mes côtés. Et je sais que Lord Egerton le sera. Mais, j'espère surtout qu'il saura, lui, reconnaître sa chance. J'espère qu'il saura mieux vous traiter que moi. J'espère qu'il sera toujours proche de vous, qu'il dansera toujours avec vous, j'espère qu'il saura vous donner tout son temps. Tout ce que je n'ai pas pu faire, mais que j'aurais dû. Je vous souhaite le bonheur, Y/N, dit-il, un léger sourire sur le visage.
Tu continues à le regarder, assimilant ses mots. Il te faut quelques secondes avant de pouvoir prendre la parole avec un regard tendre :
- Malgré tout ce qu'on a vécu, sachez que je vous souhaite la même chose. Mais, j'espère surtout que vous saurez trouver la femme qui vous fera vous remettre en question. Celle qui vous fera réaliser que vous méritez une vie d'amour, peu importe votre peur de souffrir. Je n'ai, malheureusement, pas pu être cette femme, mais je sais qu'elle existe. J'espère juste que vous la trouverez avant qu'il ne soit trop tard.
Les musiciens faisant résonner la dernière note, vous arrêtez vos mouvements. Vous continuez à vous regarder, vos regrets et vos remords visibles dans vos yeux. Vous vous saluez, ne brisant pas le contact visuel, enregistrant ce dernier moment dans votre esprit.
- Au revoir, Anthony, murmures-tu avant de t'éloigner totalement de sa vie.
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{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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1962-63
From left to right : Pierre Cardin. Very elegant and very new, this plum moire anorak breaks with all the habits of skiers. Yet it is irresistibly elegant. It has a green lining. Revillon. How amusing this chick yellow Mongolian anorak which covers the bust with its fleece! The cuffs are knitted. It is cut out against a set of black woolen spindles from Moreau. Henry at Thought. Anorak printed in brown and white poplin accompanied by a matching hood with pompom. Cuts out nicely on plastic spindles in a flame red color. Amaryllis. Magnificent and comfortable, this anorak in white leather, with a chunky black knitted collar. A slide tightens it at the bottom. Wool cap. Tunmer accessories. Carlin wool spindles.
De gauche à droite : Pierre Cardin. Très élégant et très nouveau, cet anorak de moire prune rompt avec toutes les habitudes des skieuses. ll est pourtant d'une élégance irrésistible. Il possède une doublure verte. Revillon. Combien amusant cet anorak en mongolie jaune poussin qui recouvre le buste de sa toison! Les poignets sont en tricot. Il se découpe sur un ensemble à fuseaux noirs en lainage de Moreau. Henry à la Pensée. Anorak imprimé en popeline brune et blanche accompagné d'un capuchon assorti à pompon. se découpe joliment sur des fuseaux en matière plastique d'une couleur rouge flamme. Amaryllis. Magnifique et confortable, cet anorak en cuir blanc, à col de gros tricot noir. Une coulisse le resserre dans le bas. Bonnet de laine. Accessoires Tunmer. Fuseaux en lainage de Carlin.
Photo Philippe Pottier
#fashion 60s#1962-63#automne/hiver#fall/winter#pierre cardin#revillon#henry à la pensée#amaryllis#philippe pottier#winter sports#sports d'hiver
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saga: Soumission & Domination 332
Nouvel an 2015
Depuis deux jours, Samir et Ammed ne quittent pas la cuisine ; ils font les plats que nous consommerons pendant le " WE " qui arrive. Ce matin, sont arrivés les plats préparés de Julien (des terrines de poisson, de gibier, du saumon fumé maison et autres pains surprises) il nous laisse sa voiture frigo. Le pâtissier est passé livrer notre commande. La chambre froide est pleine à craquer mais dimanche soir ce ne sera plus le cas !
Depuis ce matin, les invités arrivent. Kevin est dans les premiers, Henri est invité au réveillon d'Emma et ils ont des affaires à voir avant. Il me remercie pour Sosthène et me demande si exceptionnellement je ne l'aurais pas invité. Il avait bien kiffé sa nuit avec lui. Je lui dis qu'il est invité comme tous mes autres escorts ce qui le surprend car il pensait encore que j'avais gardé bien séparés mes deux mondes. Je lui annonce la mauvaise nouvelle qu'il sera avec son mec, un canon de mécano ! Il me demande si je blague, que lui un lettré soit avec un manuel, très manuel, il n'en revient pas. Je lui dis que j'avais exagéré car c'est aussi le fils de mon concessionnaire Peugeot.
Ric arrive sur ses talons. Il m'annonce qu'Alban descend avec Bo-gosse et moitié. Mais ils ne seront pas là de bonne heure. Je lui passe les clés de la 300C pour qu'il l'a sorte et que ça fasse de la place pour les motos des invités. Je préfère ne pas les laisser dehors durant plusieurs jours. C'est moins grave pour les caisses (hormis nos deux Mercédès). Les aquitains arrivent en groupe les internes me disent qu'ils avaient dû échanger leur garde du 31 par 3 WE complets mais ils étaient sûr de ne pas le regretter. Les 3 " étalons " du club hippique suivent. Jules, lui, a préféré faire le voyage sur la selle d'un de mes deux Motards. Ils sont chauds bien que rafraichis par le climat hivernal.
A midi nous sommes déjà plus de 20. Pour ne pas entamer les préparations de Samir et Ammed, nous sortons en ville. Un " steak house " nous apporte notre content de protéines. Evidemment nous ne sommes pas à la même table mais quand certains veulent régler, je prends le tout sur ma carte. Nous trainons en peu en ville et squattons la quasi-totalité du bar où nous prenons notre café. A notre retour, nous trouvons quelques invités supplémentaires déjà dispersé entre les différents points de sport. Je fais le tour du blockhaus, les sacs et valises commencent à s'entasser dans les chambres. Bientôt il ne nous manque plus que nos commerçants, Julien, Daniel et les parisiens. Mes escorts qui apparaissent pour la première fois pour beaucoup de mes amis (sauf les plus proches qui les ont croisés à mon chevet lors de mon accident) font leur petit effet ! Kev est ravi de revoir Sosthène et je sais que ce n'est pas la présence de Justin qui va l'empêcher de conclure à nouveau avec lui. Ce dernier, Justin, se demande un peu quand même dans quel monde de fou il était tombé. En tant qu'hôte, je le prends en charge et lui explique un peu comment marche la maison et les êtres qui actuellement l'occupent. Il sait que Sosthène travaille pour moi et connait tous mes escorts puisqu'il est chargé depuis le départ de l'entretien de ma flotte de RCZ. Du coup, il est surpris des autres mecs qui sont là. Façon idiote (dixit lui), de généraliser à partir de l'échantillon de mes relations qu'il connaissait. Il me demande qui est le mec qui colle aux basques de son Sosthène. Je lui dis que c'est un ami et lui demande si Sosthène lui avait expliqué la fête du nouvel an chez moi. Le " en gros " qu'il me répond me fait penser que mon escort à du édulcorer !
Je lui explique que nous serons 80 en tout et que des hommes chauds/bouillants avec des hormones en surdosages. Tous homo ou bi, ça va rapidement déraper en partouze où tous et chacun vont papillonner de l'un à l'autre en fonction des affinités et envies du moment. Il me regarde un peu effrayé et me dit qu'il avait pensé que Sosthène blaguait quand il le lui avait dit.
Je le laisse réfléchir et attend qu'il me dise quelque chose. Comme il reste coi, je lui dis qu'il peut, s'il le désire, nous quitter mais que je crois bien que Sosthène avait envie de rester. Je glisse que d'après le peu que ce dernier m'avait confié, lui-même ne déparerai pas parmi mes autres amis. Il me confie qu'il n'a que peu d'expérience et que Sosthène n'est que son 3ème mec. Je ris et lui dis qu'il va vite combler son retard ce WE. Il continue ses confidences et me dit craindre pour sa virginité anale lui qui n'est qu'actif. Je l'assure qu'il ne la perdra que volontairement. Personne ne se fait forcer chez moi sauf dans des scénarii mutuellement consentis. De plus il sera toujours libre de partir quand il veut.
Comme je lui fais visiter les différents niveaux, il kiffe la serre où maintenant une salle de muscu entoure la piscine de 25m. Après avoir vu le second étage, il me demande pourquoi j'ai autant d'installations. Entre mes 25 escorts et la maison plus quelques amis qui passent de temps à autre, il faut bien tout ça pour ne pas refroidir entre 2 séries. Quand Sosthène lui en avait parlé, il n'avait pas imaginé que nous nous retrouvions quasiment tous ensemble pour le sport.
Les Parisiens arrivent enfin avec une glacière. Interrogation : réponse " caviar " ! Ils avaient eu Samir au téléphone et me disent que les blinis doivent nous attendre.
Nous sommes tous réunis au 4ème pour l'apéritif. Le champagne est à bonne température et tout le monde apprécie la cuvée Cristal 2002 de Roederer. Tous aussi nous dégustons le caviar de nos Parisiens. Je profite de ce moment-là pour distribuer mes petits cadeaux. Avec l'aide d'Ernesto, PH et Ludovic, nous donnons à chacun son petit paquet. Je me suis gardé la distribution de celui de Côme et Justin entre autre. Le premier parce que c'est mon " beau-frère " et le second parce qu'il est nouveau dans mon monde. J'ai bien fait parce que Justin veut refuser dans un premier temps. Il argumente qu'il n'est là que par Sosthène. Je lui dis que si Sosthène et lui sont ensemble, c'est qu'il a surement des qualités cachées, je laisse un blanc, enfin pour quelques minutes encore. Eclat de rire général. Côme est venu à ma demande et celle de Ludovic. Il n'est pas très chaud d'être entouré de gays en chaleur puisqu'il ne kiffe que Jona et François. Mais, entre mon désir qu'il soit avec nous, celui de Ludovic et les arguments de ses deux Pd préféré, il a accepté de venir.
A mon top tout le monde ouvre. Marc et Hervé, tenus dans l'ignorance, sont surpris en bien. Connaissant l'oiseau, il s'étaient attendu à quelque chose de plus voyant. Merci pour la confiance !!
Ils sont tous content. Même mes deux gendarmes. Les anneaux sont suffisamment discrets pour être portés en service et l'inscription suffisamment absconse pour ne pas révéler une homosexualité non affichée. Ils sont suffisamment précieux pour les pétasses Parisiennes (que j'adore au demeurant). Seul le choix de l'or rose en surprend certains mais une fois mis aux doigts, le ton reste discret. Alors qu'on lève nos flutes pour l'occasion, c'est Ludovic qui me donne à son tour un petit paquet. Comme je m'interroge, il me dit que c'est de la part des 79 participants à cette soirée du nouvel an. Je les traite d'imbéciles ce qui les fait rire une nouvelle fois. J'ouvre. Ils savent tous ce que c'est et ça m'énerve, j'aime bien être celui qui sait tout !! Je découvre une tête de tigre en diamants avec les bandes en saphirs noirs réalisé par Van Cleef & Arpel, en pendentif pour mon oreille. Elle reprend le dessin de la tête que j'ai utilisée pour mon piercing, l'ensemble est raccord. Pour une fois je reste muet. Ils ont beau être nombreux, ça quand même du leur coûter un max à chacun. Je les remercie tous pour ce geste. Franck me dit que son grand père a participé aussi. PH me rassure aussi pour ceux qui n'ont pas nos moyens, chacun y a été selon ses possibilités. Tous voulaient participer. Je remplace le diamant d'Emma par cette nouvelle " breloque ". Et c'est le signal de départ. Il n'est que 22h30 et à 22h35 tout le monde est à poil ! A part Samir et Ammed passant dans les différents étages pour nous signifier le passage à 2015, je n'ai pas vu grand-chose de la soirée. Je me souviens m'être fait baiser par les étalons du club hippique mais pas que. J'ai aussi enculé pas mal de mecs. Un des moments mémorables a été le dépucelage de Justin, à sa demande, pour connaitre ce que ressentait Sosthène. Après s'être fait bien préparé la rondelle par son petit copain, il était venu vers moi pour que je sois le premier à l'enculer. Je ne demande qu'une fois " pourquoi pas Sosthène ? ". Réponse : " avant lui c'est toi qui me faisait bander ". Ça le mérite d'être clair. Sosthène est d'accord donc je m'enfonce en lui. Ça faisait longtemps que je ne m'étais fait un puceau et c'est vraiment trop bon. Je prends mon temps pour bien apprécier et qu'il prenne son pied lui aussi. Tout pendant que je l'encule, Sosthène lui tient la tête et alterne encouragements et roulage de pelle. Justin est courageux et tient à faire plaisir à Sosthène. Passés les trois/quatre premiers va et vient, il se détend brusquement et commence à apprécier ma présence. Il a un dos bien large et j'ai de quoi m'accrocher à ses épaules. Son petit cul commence à bien réagir à l'envahissement de sa pastille centrale il en vient à reculer tout seul sur ma bite quand je mets un peu trop de temps à le réenfiler. Il avoue à Sosthène que c'est finalement très bon de se faire enculer aussi. J'entends ce dernier lui répondre qu'avec lui, il aurait eu beaucoup de mal à se retenir. Il avait préféré que ça se passe mal avec moi ! Je le remercie en riant. Il s'excuse que ce n'était pas ce qu'il avait voulu dire. Je me retire avant d'avoir jouit et lui passe le relais. Maintenant que le chemin est fait, il pouvait y aller. Alors que Sosthène s'enfonce délicatement, sa bite est quand même la taille au-dessus de la mienne, Justin m'appelle. J'approche ma tête de la sienne. Il m'attrape par le cou et me roule une pelle avec un grand merci de les avoir aid��s.
Un autre moment de pur plaisir : me faire prendre en sandwich, ma queue dans le petit Théo (le frère d'Ed) gentiment prêté par Tic et Tac qui vient de fêter ses 18ans et le cul défoncé par les 24x5.5 de Bo-gosse. La première fois de la soirée où je me suis laissé aller à jouir totalement. Son gros gland et sa façon particulière de donner une petite rotation à sa queue lors des pénétrations sont diablement efficaces ! Ça plus la rondelle de Théo qui pulsait autour de ma propre bite m'a fait craquer.
J'ai fait une pause après cela. J'avais un peu faim. Je m'aperçois que je ne suis pas le seul. Un bon tiers des participants est autour du buffet à se raconter les premiers plans. Ric me dit que mes deux Lads avaient fait merveille pour satisfaire son appétit. Mes deux motards de la gendarmerie nous rejoignent. Ils m'encadrent et je me retrouve avec un bras de chaque autour de mon cou. Ils sont ravis de leur 31. Ils trouvent ça encore plus démentiel qu'à leur dernier passage. Je leur dis que j'espère qu'ils n'avaient pas fait de folie pour leur participation à ça (en secouant la tête pour faire briller les diamants et saphirs noirs de mon oreille). En rigolant le plus balaise me dit qu'ils avaient rackettés quelques grands excès de vitesses en liquide (Joke bien sûr). Ils me disent que j'ai une équipe d'escorts qui tient la route. Ils se sont fait en parallèle mes deux vietnamiens. C'était leurs premiers et ils avaient kiffé leur douceur même au milieu de l'ambiance hyper chaude (pour rester corrects) qui régnait dans la serre. Ils rappellent à ceux qui sont autour de moi la surprise qu'ils avaient eu à nous contrôler sur l'autoroute, entre nos physiques moulés dans nos combis en cuir qui auraient fait bander un eunuque et l'arrivée d'Ernesto dans la Mercédès. Ils s'étaient demandé un moment sur quel monde ils étaient tombés.
Marc qui nous rejoint à la fin de leur récit, nous dit que c'est pas étonnant. Ce n'était pas la première fois que j'allumais la maréchaussée ! Et, à son tour, il raconte les deux fois où je suis passé à la " casserole " pour éviter le retrait de permis (cf. épisodes D-mot6 et D-mot7). Autour de nous ceux qui ne savaient pas me traitent de véritable obsédé. Je me défends que je n'avais pas eu le choix. Je venais d'avoir mon permis et à 18ans sur une X11 débridée, c'était le retrait de permis définitif au bas mot pour m'être fait contrôler à 210 !
Petit à petit on se retrouve tous au 4ème à reprendre des forces. Ça discute dans tous les coins. Mes escorts sont interrogés sur leur cursus...d'études pas de performances sexuelles !! Bande d'obsédés ! Alban tient dans ses bras Ric. Comme ils sont contre le bar/séparation de la cuisine, les quelques qui avaient encore des doutes quant au modèle qui lui avait servi pour les cariatides, sont confortés dans leur idée. Pour rire, il prend la pose et là c'est une évidence.
Il est 2h30, nous fêtons enfin le passage de l'année quand Xavier nous rejoint. Il ne pouvait pas abandonner sa femme un tel soir mais avait négocié pour pouvoir nous rejoindre au retour de la fête qu'ils avaient fait avec des amis. Depuis que j'ai "arrangé " leur petit problème de couple (elle n'arrivait pas à se faire pénétrer par les 26x6.5 de son mari), elle est très compréhensive et comme c'est chez moi, elle accepte qu'il vienne se défouler. Il ne reste pas habillé très longtemps. Les quelques escorts (c'est le seul client que j'invite à mes touzes) qui le connaissent le mettent à poil. Et ses 26cm déployés font envie à plus d'un. C'est d'ailleurs ce qui la relance !
Moitié (le mec de Bo-gosse) se jette le premier dessus. Habitué aux 24cm de son mec et un peu entrainé par les queues qu'il s'était mangé depuis le début de la soirée, nous l'avons vu se les prendre en entier, menton sur les couilles et nez contre le pubis. Les participants se trouvent à nouveau, ils s'écartent par 2, 3 ou même 4 et s'égaillent entre la terrasse, et les autres niveaux. Je monte avec Alban et Ric. Le sculpteur voulait voir le vieillissement de son " baiser ". La patine est brillante à certains endroits, ceux qui attirent le plus les caresses. Dans quelques années, la patine noire sera usée laissant paraitre le doré du bronze. Des gémissements nous attire de l'autre côté. Les mains accrochées aux hanches d'un des protagonistes de l'oeuvre, les jambes écartées, nous trouvons louis, le petit mec de Franck, en train de se faire littéralement défoncer par le Lad motard et ses 24x7. Les yeux fermé, il savoure le moment. Je lui caresse la tête, il ouvre les yeux. Je lui demande si Franck sait qu'il se fait emmancher par un tel engin. Il me sourit déjà bien parti entre le poppers et la saillie qu'il subit. Il me répond de descendre, je le trouverais sûrement en train d'enculer un de mes escorts et probablement Max (le petit mec à qui je donne des cours de français) ou Kamal.
Je descends au 3ème. Je vérifie que notre chambre est bien fermée et parcours avec Alban et Ric les autres chambres. Ça baise partout ! Au second chaque banc de muscu supporte un mec en train de se faire sodomiser. Ric nous abandonne et je pousse vers le fond. Sous les douches 4 mecs se font du bien et pas en se savonnant ! Dans la piscine les deux mecs qui y sont se roulent des pelles. Je leur rappelle que je ne veux pas de sperme dans l'eau. Ils secouent la tête pour me signifier qu'ils ont entendu mais ne se décollent pas pour autant. Au premier mon bureau sert aussi de support à un couple qui fait l'amour. Je descends directement au sous-sol. Le donjon est plein, au moins 15 mecs y baisent. Jimmy se faite enculer par la bite d'un des gendarmes accolée à un gode de bonne dimension. Arnaud se fait préparer par Léopold en vue d'une profonde saillie. Je le vois faire plusieurs allers et retours de la douche où il se plante un embout à lavement dans le cul et les WC à côté.
Dans le Jardin qui n'est plus que la moitié de lui-même depuis l'implantation de la seconde salle de sport, je vois Anthony faire des longueurs. Je l'arrête et il me dit se détendre un peu avant de retourner dans l'arène. Dans les palmiers, Viktor et Nicolaï en 69 se font ramoner par Marc et Pablo.
Plus loin je tombe sur Ludovic et Côme en recherche de partenaire, enfin en ce qui concerne Ludovic. Côme, lui, s'est contenté jusque-là de faire l'amour à ses deux amis Jona et François. Je les prends par les bras et m'enfonce entre les arbres. Contre le mur du fond, la luminosité est faible. J'attire leurs têtes vers la mienne et je leur roule des pelles alternativement pour commencer puis tous les trois ensembles. Dans l'euphorie du moment, ils ne se reculent pas et leurs langues se trouvent et se touchent pour se battent avec la mienne. Mes mains caressent leurs deux corps musclés, je sens les leurs sur moi. Nos bites raidissent et nous les écrasons contre les hanches des autres. Côme est très excité. Ludovic me semble bien chaud lui aussi. De fil en aiguille, je me retrouve en train d'enculer mon Ludovic tout en me faisant moi-même sauter par son grand frère. J'adore ! A l'occasion d'un changement de position, je provoque la sodomie de Ludovic par son frère. Au départ je suis sûr que chacun pense que son frère s'est éclipsé et qu'ils font l'amour avec moi. Je les regarde. Ils sont superbes ! A part la barbe de 3 jours et ses épaules plus larges, on pourrait croire à des jumeaux. C'est d'ailleurs c'est elle (la barbe) qui trahi l'accouplement. Quand Ludovic sent les poils raides piquer son cou, il comprend que ce n'est pas moi qui lui lime le cul mais son frère. Avant qu'il ne le repousse, je prends sa tête entre mes mains, lui roule une pelle et lui dit de laisser faire et de prendre son pied. Je me redresse et fait de même avec Côme. Comme je suis en roulage de pelle avec lui, je sens mon Ludovic pomper ma bite qui, tout naturellement, était venue de placer devant sa bouche.
Alors qu'on reprend nos souffles Côme et moi, ce dernier, sans pour autant cesser d'enculer son frère, me traite de salaud. Je me recule et leur demande à tous les deux s'ils n'étaient pas en train de prendre un pied géant. Pour preuve Côme ne cessait de pilonner son frère et celui-ci, tout bandant, ne se sauvait pas à toutes jambes mais était plutôt enclin à reculer sur la bite qui le défonçait.
Ludovic se retourne sur le dos pour voir la tête de son frère en train de jouir de son corps. Je suis ravi quand Côme se penche et qu'ils se roulent un patin tout sauf fraternel ! Je rentre alors dans le jeu. Je me colle au dos de Côme et lui met mes 20cm. Ludovic m'aide en ouvrant les fesses de son frère avec ses mains. Nous nous éclatons dans cet échange à en partie incestueux. Côme est le premier à partir. Il accentue en violence ses coups de rein et s'immobilise, son gland au plus loin dans son frère, qui pulse au rythme de ses éjaculations. Il m'entraine avec lui. Ma bite a toujours du mal à résister aux compressions spasmodiques d'une jouissance extrême et je rempli ma kpote. Ludovic est le dernier à juter et se répand entres leurs abdos collés. Break, on se décolle et, avant que les deux frères se séparent et se retrouvent sur le dos côte à côte, je les entends se dire qu'ils s'aiment ! Avant que le sperme soit trop froid, je lèche leurs abdos. Et nous nous roulons de nouveau une méga pelle. C'est Côme qui me dira merci le premier pour ce plan qui a dégénéré. Ludovic me demande si cela ne me gêne pas qu'il aime son frère aussi. Je leur souris et leur dis qu'il n'était pas question pour moi de le séparer de ses frères ni même de ses parents. Et ce n'est pas moi qui vais avoir du mal à comprendre qu'on puisse aimer plus d'une personne !!
Nous nous endormons dans notre coin, isolé de la furie ambiante.
Jardinier
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Un havre de tranquillité au cœur de l'agitation
Intimité familiale 5
GIOVANNI ARSENE KUATE TAKAM 22007100
Juste en face de l'arrêt de tram Lochère, sur l'avenue Paul Valéry, se cache un petit coin de paradis insoupçonné. Un espace vert ouvert, entouré d'arbres majestueux et d'une végétation généreuse, offre un répit bienvenu au milieu de l'effervescence urbaine.
C'est dans ce havre de paix que mon ami Henri a trouvé refuge, installé confortablement sur une balançoire accrochée à l'un des grands arbres. Ses pieds se balancent doucement au gré du vent, tandis que son regard semble perdu dans la contemplation de ce décor apaisant.
Autour de lui, quelques voitures sont sagement garées, témoins silencieux de ce moment de quiétude. Mais c'est le passage furtif d'un tram, filant en direction du marché de Saint-Denis, qui vient briser l'illusion d'un monde à l'arrêt. Un rappel subtil que la vie trépidante poursuit son cours, à quelques mètres seulement de ce cocon de verdure.
Pourtant, Henri semble imperméable à l'agitation alentour. Son visage détendu trahit un état de plénitude, comme s'il avait trouvé ici un refuge contre le tumulte de la ville. Les bruits assourdissants se muent en une douce symphonie naturelle, berçant ses pensées dans une quiétude bienvenue.
C'est un petit trésor caché, un sanctuaire où l'on peut s'évader l'espace d'un instant, retrouver son souffle et se ressourcer. Un rappel que même dans les environnements les plus urbains, il existe encore des oasis de sérénité à portée de main.
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Penser de manière intuitive, c'est penser dans la durée. L'intelligence part généralement de l'immobile et reconstruit le mouvement comme elle peut avec des immobilités juxtaposées. L'intuition part du mouvement, le pose, ou plutôt le perçoit comme la réalité elle-même, et voit dans l'immobilité seulement un moment abstrait, un instantané pris par notre esprit, d'une mobilité.
L'intelligence se préoccupe ordinairement des choses, entendues comme statiques, et considère le changement comme un accident qui serait supposément surajouté. Pour l'intuition, l'essentiel est le changement : quant à la chose, telle que l'intelligence la comprend, elle est une découpe qui a été faite hors du devenir et établie par notre esprit comme substitut du tout.
La pensée se représente ordinairement le nouveau comme un nouvel arrangement d'éléments préexistants ; rien n'est jamais perdu, rien n'est jamais créé. L'intuition, liée à une durée qui est croissance, perçoit en elle une continuité ininterrompue de nouveauté imprévisible ; elle voit, elle sait que l'esprit tire de lui-même plus qu'il n'en a, que la spiritualité consiste précisément en cela, et que la réalité, imprégnée d'esprit, est création.
Henri Bergson
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Pensées
Penser, vivre, mer peu distincte ; Moi — ça — tremble, Infini incessamment qui tressaille.
Ombres de mondes infimes, ombres d’ombres, cendres d’ailes.
Pensées à la nage merveilleuse, qui glissez en nous, entre nous, loin de nous, loin de nous éclairer, loin de rien pénétrer ;
étrangères en nos maisons, toujours à colporter, poussières pour nous distraire et nous éparpiller la vie.
Henri Michaux
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