#hôtel du nord
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jeanfrancoisrey · 10 months ago
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L’atmosphère de l’hôtel du nord…
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rapturousrot · 2 years ago
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Hôtel du Nord (1938) dir. Marcel Carné
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mnetn · 2 years ago
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monsieur edmond 💣
trop handsome ma puce, toujours plus aigri...
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byneddiedingo · 2 years ago
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Bernard Blier and Arletty in Hõtel du Nord (Marcel Carné, 1938) Cast: Arletty, Louis Jouvet, Annabella, Jean-Pierre Aumont, Jane Marken, André Brunot. René Bergeron, Paulette Dubost, François Périer, Andrex, Henri Bosc, Marcel André, Bernard Blier, Jacques Louvigny, Armand Lurville, Génia Vaury. Screenplay: Henri Jeanson, Jean Aurenche, based on a novel by Eugène Dabit. Cinematography: Louis Née, Armand Thirard. Production design: Alexandre Trauner. Film editing: Marthe Gottié, René Le Hénaff. Music: Maurice Jaubert.  Arletty's performance as the raucous streetwalker Raymonde in Hôtel du Nord is quite unlike her most famous role, the fascinating, enigmatic Garance in Marcel Carné's  Children of Paradise (1945). Raymonde shares a room in the hotel with Edmond (Louis Jouvet), a photographer who is hiding out from his old cronies in the Parisian underworld. The film begins with a traveling shot along the canal that flanks the hotel, where we first see a young pair of lovers, Pierre (Jean-Pierre Aumont) and Renée (Annabella), walking arm in arm. Inside the hotel, the residents are celebrating the first communion of the daughter of Maltaverne (René Bergeron), a policeman who lives at the hotel. (It's a diverse household.) Pierre and Renée enter and request a room for the night, but instead of making love, they have decided on a suicide pact: He will shoot her, then kill himself. He holds up the first part of the bargain, but then chickens out. Edmond, who has been in his darkroom, hears the shot and breaks down the door, finding Renée apparently dead and Pierre cowering indecisively. Taking the gun from Pierre, Edmond urges him to flee. (The gun becomes a Chekhov's gun when Edmond first tosses it away and then recovers it and stashes it in a drawer.) Renée recovers from the gunshot, and Pierre, torn with guilt, turns himself in to the police as an attempted murderer and is sent to prison. After she recuperates, Renée returns to the hotel to collect her things, and is offered a job there by Madame Lecouvreur (Jane Marken), the wife of the proprietor (André Brunot). And so the story of the suicidal lovers begins to intertwine with that of Edmond and Raymonde. It's all neatly done, with a great deal of atmosphere (a word that Raymonde will give a particular spin to), much of it created by Alexandre Trauner's set, a re-creation in the studios at Billancourt of the actual hotel and the Canal St. Martin.  The film's melodrama is alleviated by the ensemble work and the performances of Jouvet, who can switch from menacing to vulnerable in an instant, and Arletty, who makes the tough, worldly wise Raymonde often very funny. The film concludes with Carné's skillful staging of an elaborate Bastille Day sequence that anticipates the crowd scenes in Children of Paradise.
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vuesparisiennes · 2 years ago
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Hôtel du Nord, (from Paris de mes Amours)
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the-cricket-chirps · 6 months ago
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Joseph Cornell, Hotel du Nord (Little Durer), 1972
Joseph Cornell, Untitled (Hotel du Nord, for Chère Orsino), 1959
Joseph Cornell, Untitled (Hôtel du Nord), с. 1950
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fridaycanbesadsometimes · 4 months ago
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Random IB HCs LESGOOOOO
- the reasons "inglourious basterds" is spelt like that, is because Aldo's southern ass didn't learn actual grammar and just carved it into his rifle based on the mouthfeel. (#iconic)
[ "Yep. That'll sure do"
"Sir that spells out basterds, are you sure th-"
"Utivich, get off my ass, will ya?" ]
- Hans likes blue cheese, and has one-time-or-another tricked Dieter (who fucking hates cheese) into eating it at a random German dinner event (Hellstrom's reaction is priceless, in Landa's words)
- Shoshanna's favorite movie is either L'Age D'or or Hôtel du Nord. Both were practically the first movies she ever watched. Ada showed them, and she used said films to practice projecting.
- Hirschberg can make a killer omelette.
- Aldo brews his own moonshine, for both the basterds to enjoy, AND to use as sterilizer for wounds and bodily damages.
- Wicki knows how to yodel. Did it once during a game of truth or date the basterds played while setting camp. Had a drink or two too much and just belted it out. The others have jokingly teased him for it ever since
- Frederick should fucKING KILL HIMSE-
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plaidetchocolatchaud · 7 months ago
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Je suis en train de regarder Pierrot Le Fou, et entre le "Allons-y Alonzo" et "Qu'est ce que je peux faire ? Jsais pas quoi faire !" C'est deux références que j'avais entendu pleins de fois et je ne savais pas d'où ça venait, j'adore, c'est comme quand j'avais regardé Hôtel du Nord avec la réplique "Atmosphère, atmosphère ! C'est bien la première fois que l'on me traite d'atmosphère !" que j' entends depuis l'enfance alors qu'il n'y a aucun cinéphile dans ma famille, quelques fois j'ai l'impression que contrairement à ce que l'on dit les vieux films/les films de la nouvelle vague/films d'auteurs sont plus présents dans la culture populaire que ce que l'on raconte.
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thebarroomortheboy · 2 years ago
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No. That's wrong. I was there when the truth happened. We're not victim and culprit. We're accomplices.
Hôtel du Nord (1938) dir. Marcel Carné
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davidhudson · 1 year ago
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On the set of Hôtel du Nord (1938), directed by Marcel Carné (August 18, 1906 - October 31, 1996) with production design by Alexandre Trauner.
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christian-dubuis-santini · 2 months ago
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À la fin des années 1990, après s’être exclusivement consacrés au bronzage sur les plages, ils commencèrent à penser – ou plus probablement quelqu’un pensa pour eux – qu’il serait bon de diversifier leurs activités, de se rapprocher de la nature et de s’intéresser aux cultures indigènes et ils décidèrent de partir en quête de l’authenticité que nous étions bien sûr tout disposés à leur vendre. Ils se mirent donc à arpenter en masse les chemins de randonnée, troquant avantageusement leurs coups de soleil, piqûres d’oursins et hydrocutions pour des ampoules, des morsures de punaises de lit, des entorses et des chutes mortelles au fond de ravins oubliés.
Ils exigèrent de manger local. D’écouter de la musique locale. Ils tenaient absolument à ce que leurs vacances aient du sens.
Nos avant et arrière-saisons, jusqu’ici épargnées, virent débarquer des troupes de retraités lubriques, de sportifs de l’extrême et de jeunes actifs que ne contraignait pas encore le calendrier scolaire.
J’ai peine à croire que nous nous en soyons réjouis. Eussions-nous été plus perspicaces, nous les aurions soigneusement cantonnés en masse sur le littoral, du 1er juillet au 31 août exclusivement, dans des campings ou des hôtels cinq étoiles selon leurs revenus, en leur interdisant de s’éloigner de la mer et d’entretenir avec nous d’autres relations que commerciales ou sexuelles, ce qui, pour peu qu’ils disposent de supermarchés, de restaurants et de boîtes de nuit à proximité, ne leur serait de toute façon jamais venu à l’esprit. Mais nous ne savions pas alors qu’il n’existe rien de tel qu’un tourisme intelligent ou durable et qu’il ne fallait pas craindre d’en tirer toutes les conséquences.
(Jérôme Ferrari, Nord sentinelle)
Très beau texte aigü et nuancé qui régalera le lecteur curieux d’en apprendre un bout sur ce qu’on appelle, un peu pompeusement, "l’âme Corse", (en y incluant donc les Corses eux-mêmes puisqu’ils sont les premiers concernés…) J’y ai reconnu mon île natale, celle de mon adolescence, rude, sauvage et sophistiquée, sang pour sens pur prisuttu, j’y ai perçu la Corse d’aujourd’hui, enfin ce qu’il en reste… (je ne me remets toujours pas d’avoir vu la majorité de la population bastiaise affublée d’une guenille faciale, je n’aurais jamais cru cela possible…)
Bref, Jerôme Ferrari écrit bien, il écrit juste, il essaie de coller au plus près de la vérité qui, nul ne peut l’ignorer désormais, a la structure d’une fiction…
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mmepastel · 1 year ago
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Ça se confirme. Elisa Shua Dusapin est une autrice très intéressante.
J’ai encore plus aimé ce livre-ci, qui est son premier.
J’ai aimé l’atmosphère fantomatique de cette ville coréenne en plein hiver. Comme bien d’autres villes, c’est une station balnéaire en Corée très prisée en été, mais désertée à la basse saison. Cette ville a aussi la particularité d’être au nord de la Corée du Sud, c’est à dire la dernière à l’ouest avant le noman’s land et la frontière et ses barbelés. L’héroïne se traîne une drôle d’existence ennuyeuse, avec un boyfriend imbu de lui-même et inintéressant, une mère un peu intrusive et un emploi morose : elle travaille dans un hôtel décrépit, assure l’accueil, le ménage et la cuisine. Arrive un français, un normand, un peu taiseux, dessinateur de BD. Entre eux se noue une drôle de relation. Ils sont curieux l’un de l’autre, leurs cultures si différentes les intriguent réciproquement, mais ils peinent à communiquer. Ils s’agacent parfois même, ce qui est aussi un signe d’une forme de rapprochement imperceptible.
Un livre dans lequel il ne se passe pas grand chose au niveau de l’action, mais qui m’a fascinée précisément pour cette raison, car on est entièrement plongé dans l’étrangeté du lieu et dans les minis évolutions de leur mini relation. Comme un conte sur l’incompréhension, l’incommunicabilité, l’ennui, le presque rien. Le dessinateur dessine, la jeune fille cuisine et se vexe que le français ne goûte pas ses plats. Pourtant, ils se côtoient, vont explorer la côte vers la frontière, ils vivent et dorment à très peu de distance. Ils sont comme à la lisière de leurs vies, de leurs sentiments, de se connaître. Au bord de quelque chose que le lecteur attend. Mais la frontière est pleine de barbelés, on l’a déjà dit…
C’est délicieusement frustrant, subtil et poétique, même dans les détails terre à terre voire sales (la cuisine du poulpe n’est pas particulièrement appétissante) ; il y a un côté cru qui détonne avec la délicatesse de la psychologie des personnages.
Livre qui n’hésite pas à être atypique, à ne pas être joli. D’une originalité sincère.
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nixariel · 2 years ago
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More trivia! (this time with Extra Maps™)
For interest's sake I was trying to figure out where in Poitiers Cleo’s hôtel particulier might be, plus identify the train stations featured during Carmen's trip to Paris—and I think I’ve figured (most of) it out.
First of all, Carmen is supposed to be fifty yards from the townhouse in this shot.
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That puts the building somewhere on the east side of the River Clain, slightly north of the Cathédrale Saint-Pierre de Poitiers, but not too far from what looks like the Pont Joubert (the little bridge in the lower right corner). The Caserne d’Aboville (barracks for the 9e Brigade d'Infanterie de Marine) would be a reasonable stand-in for location, and even looks a little similar in terms of architectural style.
The station Carmen flies in to also bears a more-than-passing resemblance to the real Gare de Poitiers
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but the pattern of terrain she passes over doesn’t quite fit with what appears to be a southerly approach.
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However! This particular background gets rotated and recycled about ten seconds after initial use (left being its first appearance, rotated for comparison; right is unaltered but from ten seconds later), and if we go by the second version,
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the curve of the river is a close-enough fit for having taken a path like so
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with the little arrow being her upcoming destination, the Gare de Poitiers. Unfortunately I could not match the station Carmen’s train briefly stops at to a real location en route to Paris
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so if anyone recognizes it, please let me know! Which leads me to the other ‘???’ moment I had while working on this because
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...yeah. Yeah, I’ve got NO idea what’s going on with Player’s map here. He's got France oriented in the usual 'up is north' way, but that just makes it weirder? Because by that compass, Carmen is moving south—even though Paris is east and NORTH of Poitiers.
Though this show does get a little fuzzy with its geography at times*cough*Interpol's HQ is in LYON*coughcough*and Devineaux’s conspiracy map has the Canary Islands on the WRONG side of Africa*cough*
Anyway, after Player regains Carmen’s signal, her GPS marker is heading in approximately the right direction
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answering exactly zero questions about where it was going earlier, but all’s well that still ends (somehow) in Paris, I guess? The Gare du Nord then looks to be the best match for where Carmen makes her exit
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even if all direct trains from Poitiers to Paris seem to go to Gare Montparnasse instead.
Update: this seems to have turned into a bit of a series, so check the reblogs to get an episode-by-episode for the rest of S1! A full-show overview is here. Also, the street Chase and Julia are driving down at the very beginning of the episode looks to be none other than the Rue de la Cathédrale, as the structure behind them is consistent with the Cathédrale Saint-Pierre’s south tower. From a cartographic standpoint, it does place them on the wrong side of the Clain as well as moving in the opposite direction of Cleo’s residence, but that’s where the artistic licence comes in, I guess. ;)
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claudehenrion · 1 year ago
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''Terre Sainte'', vraiment ?
Après les lignes écrites hier, il ne m'est pas possible de passer à côté du 'énième' chapitre de la version moderne de la Guerre de Cent ans qui, le progrès technologique aidant, se déroule dans nos salons et nos chambres à coucher. Tant de fausses analyses ont été déversées depuis une semaine sur les victimes (consentantes, souvent, hélas !) des chaînes dites ''main stream'' qu'Il ne va pas être facile d'échapper aux lieux communs, aux clichés et aux fausses évidences (sans oublier les bobards auxquels nos politiques et nos organes de presse nous soumettent... Mais je vais essayer de me libérer de cette fausse impression d'honnêteté qu'on appelle ''le direct''...
1 - Il est inutile de rappeler les faits : depuis samedi dernier, les chaînes tournent en boucle sur des images épouvantables et, comme toujours, sur les explications biaisées de nos grands hommes si petits, sur des commentaires d'images qui s'en passeraient bien, tant elles sont terribles... et aussi sur l'engagement physique digne d'admiration de quelques jeunes femmes (pour la plupart ravissantes, ajoute le macho qui sommeille en moi), qui se révèlent comme de vraies journalistes, elles, et de superbes informatrices (NB : pourquoi ne vont-elles pas plus souvent en Ukraine ou en Arménie? On saurait, enfin, ce qui s'y passe, au lieu d'être soumis au tir à répétition en forme de psittacose de Pujadas et des experts en désinformation qui rendent LFI in-regardable !). Et inutile, aussi, de revenir sur le bilan, atroce déjà et qui risque de devenir cauchemardesque dans les jours qui viennent, des deux côtés, cette fois : nous sommes dans le royaume des grands chiffres !
2 - Devant les images et les récits, il m'est impossible de ne pas penser à un ouvrage –dire un ''brûlot'' serait plus précis-- dont je vous ai souvent parlé dans ce Blog : ''La Gestion de la barbarie'', qui est le livre de chevet des djihadistes, des terroristes et des islamistes lorsqu'ils deviennent fous : leur haine féroce pour tout ce qui n'est pas ''eux'' s'appuie sur une lecture officielle du Coran qui précise clairement que n'a droit au qualificatif d'Homme qu'un ''croyant''. Les autres, tous les autres humains à qui on nie ce titre, qu'ils soient chrétiens, juifs, athées, animistes, shintoïstes..., ne sont bons qu'à (ou doivent être) tués, ''juste parce que'' ... ou réduits en esclavage pour les deux premiers, en tant qu'appartenant à une ''religion du Livre''.
3 - Il faut bien comprendre qu'un esprit simple, endoctriné, façonné ''de traviole'' pendant toute sa courte existence dans ce qui est la plus grande prison à ciel ouvert du monde, conçue et imaginée par le Hamas mais maintenue en l'état par Israël (trop content !) finit par se sentir libre d'enlever, torturer et (pardon) tuer avant de pisser dessus... des ''choses'' qui ne sont pas des humains (des insectes ? des animaux ? des ''machins'' ?) puisque le Livre sacré le dit, mais qui sont des ennemis , puisque l'émir du jour l'affirme. Des ''cadres'' bien à l'abri dans leurs beaux hôtels de Téhéran ou de Qatar calculent des plans de Comm' qui vont forcer le monde à demander à Israël d'arrêter –après un ''baroud d'honneur'', le même depuis 40 ans : spectaculaire mais court, pour ne pas faire de ''dégâts collatéraux'' qui pourraient émouvoir certains de nos fournisseurs d'hydrocarbures...Déjà, au nom des otages ''bi-nationaux'', les Chancelleries tricotent, fantasment, et supplient.
4 - Un autre sujet d'étonnement concerne l'occurrence-même de cet événement, mais il relève d'une forme de ''complotisme'' : Israël dispose, de très loin, de la meilleure couverture en matière de Services Secrets, maillage très fin entre les services de la sécurité intérieure, appelés le Shin Beth, la branche du renseignement militaire, dite l'Aman, le renseignement extérieur (le célèbre Mossad), et les forces dites ''spéciales'' de Tsahal, le Sayerot, qui s'appuient sur une communauté séfarade originaire d'Afrique du nord qui parle l'arabe bien mieux que l'hébreu et dont chaque membre trompe facilement n'importe qui quant à son appartenance et son origine...
5 - Qui peut croire une seconde qu'une opération d'une telle importance ait pu être montée, lancée et réalisée sans que le moindre signal ait pu être perceptible par ces armadas de professionnels aguerris ? Il s'agit de plus de mille hommes lourdement armés, de pick-ups par dizaines, de motos plus nombreuses encore, de matériel lourd de destruction du ''Mur''... donc d'une logistique très importante et bien huilée (car elle a parfaitement soutenu les objectifs guerriers). Il va bien se trouver quelqu'un pour s'en étonner et remarquer que cette crise a transformé une dangereuse partition potentielle du peuple d'Israël en un peuple soudé devant l'horreur... la taille de la menace ayant, elle, été sous-évaluée. Il n'est pas interdit de se poser cette question, d'autant que l'Egypte vient de faire savoir qu'elle avait prévenu Israël de la proximité ''d'une action de grande ampleur''.
6 - Reste une question-choc : ''Et maintenant'' ? Des bombes, même en nombre effrayant, n'ont jamais arrêté un mouvement d'idées. Une opération terrestre lourde pose le drame des otages (cent cinquante? plus ? dont combien de multi-nationaux ?), tout comme un nettoyage par le vide --rejeter à la mer (car l'Egypte en crise économique ne va pas vouloir ni pouvoir les accueillir) dans les 2 millions d'arabes, pour la plupart très pauvres (dont un pourcentage conséquent de tueurs prêts à tout)-- ne va pas de soi, et la ''communauté internationale, prompte à déconner, va s'en donner à cœur-joie, dans le genre ''faux bons sentiments''. Décidément, entre l'horreur inracontable vécue samedi, les non-solutions réellement disponibles et la menace du Hezbollah sur le front nord, je n'aimerais pas être un dirigeant israélien, ce soir moins encore que d'habitude !
H-Cl.
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toilou-norvetaxique2023 · 1 year ago
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Puis nous avons pris la direction de Natchez, toujours dans le Mississippi vu que la ville longe le fleuve.
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De l'autre côté du pont, c'est la Louisiane ! Malheureusement nous n'avons pas beaucoup de temps pour visiter alors petit tour rapide et on repart (avec une pause logistique au Walmart).
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Comme chaque soir depuis une semaine, nous roulons lorsque la nuit est tombée ; aucune pollution lumineuse aux alentours, on admire les étoiles. Ce soir, alors que c'était légèrement couver, j'ai regardé le ciel et vu une étoile filante 💫 🥰
Nous avons d'ailleurs vu un joli coucher de soleil 🌅
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Nous dormons dans un petit hôtel au nord de Bâton Rouge (Louisiane) pour y passer rapidement demain avant de rendre la voiture à la Nouvelle-Orléans.
Des bisous de Louisiane et à demain ❤️
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philoursmars · 9 months ago
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L'année du Dragon arrive !
Une longue série de dragons arrive... Ici des dragons plus XIXe, néogothiques, etc.
Turckheim (Alsace)
Douai (Nord), Hôtel de Ville
Pau (Béarn), le Château
Château de Pierrefonds (Picardie)
Douai
idem
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