#gueule de contact
Explore tagged Tumblr posts
Text

17 notes
·
View notes
Text
saga: Soumission & Domination 360
Espagne 2015-2
Première fois sur la plage.
Au téléphone j'avais donné rendez-vous à Gaz et Baz. On les retrouve sur le coup des 15h. Ils sont là depuis quelques jours et se sont déjà fait des amis. Quand on arrive, ils jouent au volley avec d'autres mecs. On leur fait signe, ils quittent le terrain pour venir nous rouler des pelles. Gaz mate les gamins et mes escorts alors qu'il embrasse Ludovic. Ils se font engueuler par les joueurs jusqu'à ce que PH et Ernesto les remplacent.
Le reste du groupe les suit pour poser nos affaires avec les leurs. Ça papote et je me fais assaillir de question pour savoir qui est qui. De mon côté je les interroge sur leur disponibilités et la liberté que leurs parents leurs laissent.
Comme Baz a brillamment passé sa première année de prépa, et que Gaz passe aussi en année supérieure ils leur lâchent la bride. Ils pourront découcher alors ? Réponse oui mais pas tous les soirs ! Bon c'est toujours mieux que rien d'autant plus que leurs après-midi sont libres miammmm.
Nous regardons le match. Mes amours se débrouillent bien et leur équipe gagne. Je regarde les autres mecs. Du même âge que nos amis, ils sont tout bronzés et musculeux. Je fixe sur leurs maillots mon regard caché par mes lunettes de soleil. Des Speedo et Aréna. Un Addicted sort du lot. Le mec aussi ! Ce n'est pas le plus vieux mais c'est le mieux balancé avec une belle gueule en plus. Quand la partie est terminée, on se joint à eux pour plonger dans l'eau.
Reflexe amusant, quand mon petit groupe touche l'eau, tous nous nous éloignons de la plage dans un crawl synchro. A 250/300m on fait demi-tour, nos amis et les nouvelles connaissances sont resté plus près du sable sauf l'Addicted ! Au retour je le rattrape et le tire par le pied. Il ne s'y attendait pas et boit la tasse. Je l'aide à rester à la surface le temps qu'il crache l'eau salée et reprenne sa respiration. J'en profite pour présenter mes excuses. Les autres tracent et sont presque rendu à la plage quand nous nous remettons à nager. Une brasse lente qui nous permet de discuter.
Il s'appelle Jaime il a 18ans et va rentrer en fac à la fin de l'été. Il fait du volley et un peu de natation. Il est là pour tout le mois car il va travailler en août (serveur) pour aider ses parents à payer ses études.
Quand nous sortons de l'eau, je m'aperçois qu'il est aussi grand que moi, un peu moins large d'épaule mais joliment balancé quand même. Bien que très noir de cheveux pas très courts en pétard, il est quasiment imberbe et j'ai l'impression qu'il rase le reste puisque ses aisselles sont glabres elles aussi. Son maillot Addicted met bien en avant un paquet qui me semble tout sauf mini.
Alors que le groupe est en train de s'essuyer, je l'embarque à marcher le long du rivage, les pieds dans l'eau. Il hésite et, en tendant le bras vers le groupe, me dit qu'il est avec ses amis. Je balaye l'argument en lui disant que les miens sont avec les siens.
Je lui dis que je suis là pour 3 semaines et que nous avons loué une grande villa sur les hauteurs. Je lui donne le quartier, il voit par où c'est. On se dévoile un peu chacun son tour. A un moment je lui demande carrément s'il est gay lui aussi.
Je le vois hésiter, il s'arrête et me dit " plutôt bi". Ok je veux bien le croire après tout. De mon côté je lui avoue que je suis homo mais que je sais faire aussi avec les meufs. Ça le fait rire là façon que j'ai eu de formuler ça. Il est encore plus beau quand ses lèvres s'ouvrent sur deux rangées de dents blanches !!
Je craque et sans lui laisser le temps de réagir, je pose mes lèvres sur les siennes et plante ma langue entre ses dents. Je le sens hésiter puis la sienne vient au contact. Timide, elle tâtonne, explore ma bouche avant que nous nous roulions un vrai patin. Ouaou chaud le mec !! Quand on se décolle, nos maillots sont distendus par nos sexes en érection. Ça me va, on joue dans la même cour.
Je précise que je suis Actif/Passif. Lui aussi ce qui est parfait. J'ajoute qu'il me plait vraiment. Nouveaux rires, il baisse les yeux et me dit qu'il s'en était aperçu.
Je lui demande si son petit copain fait partie de la bande avec qui il traine. Réponse " non, je viens de rompre ". Ça me va encore mieux ! Sans s'en apercevoir nous sommes revenus à notre point de départ et nous nous faisons héler par les autres.
On les rejoint. Les serviettes étalées collées délimitent une bonne surface sur laquelle ils sont tous plus ou moins étalés. Ludovic se lève et me roule un patin. Du coup je présente tout mon groupe à Jaime en précisant les liens et leurs " élasticités ". Comme il va pour s'écarter de moi, je l'attrape par la taille et le recolle contre moi. Le reste de son groupe n'a pas l'air gêné et les miens me disent qu'eux aussi sont tous gay ou minimum Bi. C'est PH qui me les présente. 5 jeunes mecs internationaux. 3 sont quand même espagnols (Jesus, Rubén plus Jaime), ils sont amis, 2 hollandais (Lars et Sven) par encore très bronzés venus ensemble et 1 suédois (Arvid) blond mais doré de peau. Ils sont tous en vacances et ne se connaissent pas depuis très longtemps (sauf les 3 ibères). Le suédois est en échange universitaire à Barcelone et habite là-bas et vient en bus, les 2 hollandais ont trouvé une chambre à pas cher chez l'habitant alors que les trois locaux sont au camping. Sans que Jaime ne cherche à partir, je mate le reste de nos nouveaux amis. Ils ne sont pas indifférents aux mecs de mon groupe.
João me semble même courtisé par les hollandais alors que Romain explique qu'il fait de la gymnastique et réalise une petite démonstration malgré le sable qui n'est pas très stable sous ses mains. Il finit par tomber sur Rubén, le cul juste sur sa bite, étrange non ?
PH passe derrière Jaime et lui tourne la tête et vient à son tour gouter les lèvres de ma conquête (enfin j'espère). Jaime se laisse faire et je le sens plutôt content de ce qui lui arrive. Ses potes le charrient un peu. Je comprends qu'ils lui disent qu'il n'aura pas mis de temps à remplacer un certain Pedro. Réponse de l'intéressé " ça rien à voir, c'est les vacances ". J'ai vu qu'Ernesto s'intéresse aux locaux. Il me fait un clin d'oeil, je comprends qu'il pense à ma filiale Espagnole.
Ma triplette assiège littéralement le plus petit des espagnols, Jesus, mais pas le moins musclé. Je ne sais pas ce qu'ils se disent mais je les suspecte de recruter pour Paco.
On se refait une partie de volley. A 5 contre 5, nous échangeons nos places sans compter les points, juste le fun.
Nouvelle immersion dans la méditerranée pour se rafraîchir ou tout le moins ôter notre couche de sueur mêlée de sable. Dans l'eau les petits viennent me demander d'inviter nos nouveaux amis à la villa. Ils sont sûrs de leur coup avec Jesus pour Paco entre autre. João encadré de ses deux Bataves me fait les yeux du chat de " Shrek ".
Quand on retourne à la plage pour s'étaler en vrac sur les serviettes, je déterre le vieux portable basique qu'on ne craint pas de se faire voler pour appeler la villa. Avant je fais par de notre envie à tous les 9 de les voir finir la soirée et plus avec nous. Bien sûr Gaz et Baz sont compris dans l'invitation.
Hésitation en face de moi. C'est vrai que c'est rapide, puisque ça ne fait que quelques heures que l'on se connait. Pour ne pas les prendre en traitre, je précise que deux " vieux " mais néanmoins grands baiseurs seront de la partie et que notre cuisinier ne sera probablement pas en reste. Nouveau temps de réflexion, discussion en petit groupe sauf pour Arvid qui me demande si on pourra le loger la nuit car il n'aura plus de transport en commun pour rentrer à Barcelone.
Je précise donc que chacun étant libre, ceux qui voudront partir le pourront tout comme ceux qui voudront rester. J'ai dû être convainquant car ils décident tous de venir avec nous.
J'appelle la villa. C'est Paco qui décroche et je lui annonce que nous serons 6 de plus. Evidemment ça ne pose pas de problème. Je le charge de prévenir Marc et Hervé probablement allongés sur la terrasse.
Tous nous renfilons nos shorts sport ou surf selon, les marcels sont glissés à la ceinture et la troupe s'ébranle. Il nous faut une petite demi-heure pour arriver au portail.
Dès ce dernier franchi, les jeunes partent en courant et en se dépoilant vers l'arrière de la maison d'où nous parvient des ploufs et les engueulades gentilles des arrosés.
Quand nous arrivons à notre tour, Marc et Hervé sont debout et nous accueillent. Je ressens chez nos invités un relâchement. Je pense qu'ils appréhendaient nos deux " vieux ". J'avais confiance, s'ils ont plus de 45ans tous les deux, ils en font pas 35 physiquement surtout depuis mon accident ils se sont remis sérieusement au sport et à la muscu.
On fait comme les premiers arrivés et en maillots nous sautons dans l'eau pour ôter le sel séché sur nos peaux.
Quand Paco arrive avec un immense plateau chargé de verre et de boissons fraîches, il est pris d'assaut. Le plateau, pour le mec ça viendra plus tard !
Ce sont les gamins qui déclenchent la touze. Excités par les nouveaux, ils ne se retiennent plus et comme ils sont tous les trois à poil, ça se remarque tout de suite. Ernesto à juste le temps de les prévenir que nous baisons sans kpote entre nous mais avec, avec tous les autres et c'est parti.
Je me réserve Jaime. Je veux être le premier du groupe à planter ma bite entre ses lèvre et ses fesses, être le premier à le sucer et à recevoir sa bite, je veux être le premier c'est tout ! Il n'a pas l'air contre. On s'étale sur un matelas pour découvrir nos corps respectifs. Je dénoue le lacet de son maillot et même comme ça j'ai du mal à le faire glisser sur ses cuisses. Je dois dégager sa queue qui le retenait encore. J'avais cru le voir, maintenant c'est sûr, il est circoncis. Ça dégage son gland et amplifie légèrement le diamètre de sa hampe dans la partie dégagée du prépuce. Il fait de même avec mon Aussiebum, sauf que ce dernier tombe tout seul sur mes chevilles. Petite rotation et passage en 69. Il enfile direct mon gland dans sa gorge ! Je fais de même, pas question d'être en reste. J'aime la différence de couleur de sa peau protégée par son maillot. Sans être aussi blanc que mes propres fesses, ça tranche et m'excite bien. C'est lui qui se retourne à nouveau. Il installe ma bite sous ses couilles et son périnée avant de venir me rouler un patin.
Sa langue est fraîche et vive. Ses lèvres sont douces, encore couverte d'un reste de gel hydratant. Il serre les cuisses pour bien emprisonner ma bite et exécute de petits mouvement pour me " branler ". Je penche sa tête et vient embrasser son cou et manger son oreille. Point très sensible chez lui, sa bite tressaute contre mes abdos !
Pour faire descendre la pression, je le repousse un peu. Mes doigts glissent sur son visage et je lui dis que je le trouve beau. Il rit et me dit qu'il l'est moins que Ludovic ou même PH. Pour Ludo je suis d'accord et le lui dit. Il me demande ce que sont les piercings que nous arborons, Ernesto, João, Romain et moi. Je lui dis, plus tard et plonge à nouveau sur ses lèvres.
Notre soupe de langue fait remonter notre degré d'excitation. Mon gland glisse depuis 5 mn sur sa rondelle et ça le fait gémir. J'attrape une kpote et un flacon de poppers. J'enfile l'une et propose l'autre aux narines de Jaime. Il se positionne en levrette et s'occupe de se gazer lui-même. À genoux entre ses jambes, je pose mon gland sur son oignon et pousse doucement. Ça résiste (tant mieux) puis fini par céder alors qu'il sature sa deuxième narine de poppers. Doucement, délicatement je m'enfonce dans ses profondeurs, gémissements de part et d'autre. J'aime ça et lui aussi !
Je lui travaille la rondelle, il me travaille la bite par ses compressions spasmodiques, nous montons gentiment vers une extase commune.
Ludovic nous rejoint. Il profite de notre position pour, sur le dos, couler sous Jaime en 69. Quand il embouche mon enculé, j'ai droit à un blocage complet de mon va et vient. Ludovic alterne pompage en règle et léchage de mes couilles quand elles passent à sa portée. Jaime lui porte la réciproque et je le vois s'appliquer à alterner gorge profonde et travail du gland à la langue.
Bientôt je sens ses couilles remonter et coller sa hampe. J'accélère et pousse bien à fond mes pénétrations. Il est le premier à juter, couvrant le torse de Ludovic de sa crème blanche. Celle de Ludovic lui passe par-dessus l'épaule. Son jus marbre ses dorsaux mais quelques gouttes atteignent mes lèvres. Ma langue sort les récupérer avant que la pesanteur les fasse rejoindre la mare qui se forme au-dessus de sa colonne vertébrale. J'attrape une serviette, essuie mon nouvel ami avant de la faire tomber sur Ludovic. Jaime se couche sur le dos au côté de Ludovic et je viens me coucher sur eux deux, chacune de mes jambes entre les leurs, mes bras enserrant leurs deux torses et ma tête alternant la droite et la gauche pour leur rouler des pelles.
On éclate de rire tous les trois quand Ludovic et Jaime sortent en même temps " c'était trop bon ".
A nos côtés, les baises se terminent aussi. Pas mal vue ma triplette, Jesus explose alors qu'il fait l'ascenseur empalé sur le mat de Paco. Bien que ce ne soit pas son " format " habituel, Marc termine de saillir Arvid pour un plaisir réciproque. Je sais ce qui l'a attiré dans notre grand suédois. Son visage de jeune homme poussé trop vite.
Je préviens que ceux qui ont reçu du sperme sur eux doivent passer à l douche avant de retourner à la piscine. C'est compris et une file d'attente se crée devant la douche extérieure.
Plongeons, détente dans l'eau puis apéro. Alors qu'on déguste un cocktail maison, Ernesto s'empare de Jaime pour en savoir plus sur le jeune homme. Je reste avec eux et acquiesce ou précise certains points du discours de mon représentant catalan.
Jardinier
~~
selling on the net the gifts his parents gave him for christmas
~~
27 notes
·
View notes
Text
J'ai fais un peu de ménage. Pas chez moi, mais parmi les deux ex qui m'ont écrit la semaine passé. Amar a dégagé de mes contacts. La raison ? J'aime pas qu'on ignore mes messages ! Le contexte ? Monsieur écrit pendant 3 jours, plusieurs fois par jour, puis dimanche, rien. Pas de réponse à mon dernier message. C'est pas comme si on s'était dit "A plus" en concluant la conversation. Non, c'est un dialogue laissé en suspens, comme ça, parce qu'il n'a plus envie de répondre. Pourquoi plus envie et pas simplement pas le temps ? Parce qu'il est connecté le reste du temps. Donc, dimanche après midi, j'envoi un message assez léger mais un peu cynique, concernant le temps qu'il va lui falloir avant de se rendre compte que je lui ai répondu. Une heure plus tard, il répond : "MDR, ça dépend de mon humeur. " Puis il me pose une question sur ma stories. J'étais passablement agacée par sa réponse, donc je répond en 3 mots , qu'il ne lit pas ! Hier, pas de message. Avant de me coucher, voyant qu'il n'avait toujours pas lu mon message alors que 36 mn avant il était en ligne, je l'ai supprimé de mon compte et j'ai également arrêté de le suivre. Ce matin, réponse à ma question de dimanche. Du moins d'après les premiers mots vu dans la notif sur mon téléphone car j'ai effacé le message sans le lire. Tout comme j'ai effacé le suivant quelques heures plus tard ou il semblait me demander si je faisais la gueule. Faire la gueule, ce serait lui accorder trop d'importance. L'ignorer, c'est tout ce qu'il mérite. Parce que ce n'est pas la première fois qu'il agit de cette façon et je sais bien que si je lui répond, si je lui explique pourquoi j'en ai marre, il va retourner la situation contre moi en espérant que je vais me poser des questions et me sentir coupable. Mais maintenant, y en a marre! Marre de ce mec qui revient dans ma vie alors que je n'ai rien demandé, qui me traite comme s'il avait envie qu'on renoue un contact puis rapidement comme si je n'existais pas. Ce mec de toute façon, c'est le plus égoïste que j'ai jamais croisé ! A part lui, personne n'existe ! Une dinguerie. Même sa femme et son fils ne comptent pas quand il a décidé de faire quelque chose. Et bien qu'il aille au diable ! J'ai assez perdu de temps à être sympa avec quelqu'un qui ne mérite que mon mépris.
7 notes
·
View notes
Text
Oh les frérots, c’est quoi votre souci ? Y’a pas marqué sur mon front que c’est open-bar, c’est pas parce que je te souris et que je te demande ton prénom que je vais te sucer la queue.
J’aime pas les contacts physique avec des inconnus, encore moins avec des fils de pute. Et mon poing dans ta gueule peut si vite arriver.
11 notes
·
View notes
Text
Pepperoni, l’extraterrestre végétarien
J’étais en train de fumer une clope sur ma terrasse, peinard, quand le ciel s’est ouvert en deux comme un vieux rideau de théâtre et qu’une putain de soucoupe volante s’est posée dans mon jardin.
Pas un petit drone furtif du Pentagone, non.
Une vraie soucoupe, avec des néons violets qui clignotaient et un bruit de mixeur en fin de vie.
Sur le flanc du vaisseau, un mot était gravé en lettres de feu : PEPPERONI.
Je me suis dit que ça sentait déjà la connerie.
Le sas s’est ouvert dans un pschiiiiiiit de CO2, et là, je te jure, j’ai failli me pisser dessus.
Une créature en est sortie. Deux mètres de haut, fine comme une frite, la peau vert fluo, avec trois yeux qui clignaient en décalé, genre ampoule mal vissée.
Elle portait une espèce de peignoir métallique et, dans sa main boudinée, un vieux catalogue de pizzas surgelées Picard.
“Humain ! Je suis le capitaine Zorglax, émissaire de la planète Mozzarellus IV.
Nous avons traversé vingt galaxies pour trouver la légendaire Pizza 4 Fromages.”
J’ai jeté ma clope.
“La quoi ?”
“La Pizza quatre Fromages ! Sans champignons ! Sans olives ! Sans artichauts mutants ni rondelles d’ananas maudites ! UNE PIZZA AVEC JUSTE DU FROMAGE.”
Je l’ai regardé comme on regarde un mec bourré qui te demande si tu veux voir son tatouage de Johnny sur la fesse gauche.
“T’as fait tout ce chemin pour ça ?”
“Nos ancêtres ont reçu une transmission millénaire de votre monde.”
Il a sorti un petit écran holographique.
Dessus, un spot publicitaire d’une chaîne de pizzas pourraves : “La quatre fromages de chez Paulo, une orgie laitière pour tes papilles !”
“Nous avons cru que c’était un message divin !
Nous devons goûter cette merveille céleste !”
Alors là, j’ai repensé au paradoxe de Fermi, tu sais, ce vieux casse-tête existentiel : “S’il y a autant de civilisations dans l’univers, pourquoi on n’a jamais eu de contact ?”
Eh bien, maintenant, j’avais ma réponse. Ils étaient bien là, les extraterrestres. Ils nous observaient depuis des millénaires.
Et ils s’étaient bien marrés.
Parce que, soyons honnêtes, on était trop cons pour mériter une visite.
Entre les guerres pour du pétrole, les types qui croient que la Terre est plate et ceux qui pensent que mettre des rondelles d’ananas sur une pizza, c’est acceptable, les aliens avaient dû se dire qu’on valait pas le détour.
Sauf que là, apparemment, la pizza leur avait fait changer d’avis.
“Écoute, Zorglax, j’ai une fromagère dans mon frigo. Ça ira ?”
Ses trois yeux se sont illuminés comme des phares de bagnole.
“C’EST VRAI ? TU LA DÉTIENS ?”
“Ouais. Mais c’est du surgelé.”
“Qu’importe ! L’Univers nous a menés jusqu’à toi !”
Je suis allé chercher la pizza, j’ai allumé le four, et j’ai attendu en regardant Zorglax léviter au-dessus de ma table de jardin en murmurant des incantations sacrées à base de “Gruyère sacré, fondu béni, bénis ce repas cosmique”.
Quand la pizza a été prête, il a pris une première bouchée… et s’est figé. Pendant une seconde, j’ai cru qu’il allait me balancer un laser dans la gueule.
Mais non. Il pleurait.
“C’est… la plus belle chose que j’ai jamais mangée.”
Il a gobé la pizza entière en trente secondes, a roté un grand coup, puis a tapé sur sa combinaison.
“Commandant, mission accomplie. Nous pouvons rentrer chez nous.”
Le vaisseau a redémarré, il m’a fait un salut militaire et a disparu dans l’espace en laissant derrière lui une odeur de fromage fondu.
Et moi, je suis resté là, sur ma terrasse, en me disant que si l’humanité disparaissait demain, ce serait peut-être pas la guerre, ni le climat, ni les IA.
Juste une bande d’aliens qui viendraient chercher la dernière quatre fromages surgelée et nous rayeraient de l’histoire pour avoir mis de l’ananas sur la Margherita.
3 notes
·
View notes
Text

En 1980, le Mont Saint Helens s'est éclaté la gueule comme pas possible. De loin, un gauphre à poche daltonien aussi atteint d'oculohypertrophie était aux aguets. S'étant déjà introduit par mégarde au Seattle Art Museum avant d'être relocalisé dans le comté de Skamania, le contact avec Sea Change de Jackson Pollock eu un impact inexpliqué sur son lobe occipital. L'image ci-dessous est la dernière qu'il mira.
2 notes
·
View notes
Text
La Mythe
Dans le prés coupé court aux herbes vertes piquantes et coupantes du fond de la maison, il écoutait the downward spiral au Walkman à cassette. A warm place. Il avait fumé. Mais nique. Il ne fumait plus pour être populaire. Ni pour être défoncé. C’était comme une expérience. Et pas comme un truc de hippie. Un truc de survie. On s’en sort de ce qui va arriver? Pour ne pas avoir peur, il ne pensait qu’à demain.
Le matin, au collège, à l’entrée, à droite, une forêt de bambous. Ca pousse partout ces conneries, même en Dordogne. Ils en avaient coupés deux trois aux gros troncs. Ils les avaient percés. Ils positionnaient leurs douilles et l’eau de pluie accumulée refroidissait la fumée. Huit heure du matin, défoncés à la moelle. Latin, S.V.T., français… L’immense majorité des profs étaient des fils de pute. En sixième, le prof d’histoire géo avait poussé la table contre le bide de Julien, comme pour l’étouffer, en gueulant: « t’es gros et t’es idiot! ». Ils l’avaient enfermé dehors. En cinquième, un autre prof d’histoire géo avait obligé Julie à monter sur une table et lui avait fait répéter ces mots: « je suis belle mais je ne sais rien. ». Les cours de sport, pour la plupart, étaient non mixtes. Avec les garçons, le prof de sport shootait au pied dans les ballons de handball en visant leurs gueules quand il ne marquait pas. Un autre leur vidait un filet de ballons, basket, hand, foot, volley, tout mélangé, et allait se gratter les couilles en lisant l’équipe. Comment ne pas détester apprendre? Le prof de techno leur jetait des craies à la gueule. La prof de français leur faisait lire Molière en sixième, sans autre introduction à l'oeuvre que celle du bouquin en série du CDI qui datait de Mathusalem, La Mythe avait des copains qui parlaient surement mieux l’occitan que le français du XVIème siècle. Putain… Quelle escroquerie! Il fallait être bon et performant.
Dans ce face à face hypocrite, les profs ne réagissaient en retour que peu quand l’outrance des élèves était décuplée: ils fumaient en cours sous les tables, on leur demandait d’où venait la brume. Ils quittaient la salle de physique-chimie par la fenêtre coulissante du deuxième étage, devant la gueule de l’enseignant, et allaient jouer à la belote dans le cours d’allemand où tout le monde se faisait encore plus chier que dans tous les autres cours et où le prof ne s’adressait à ses enlève toujours qu’en français…
En classe de troisième, il eut un prof d’histoire-géographie qui leur dit qu’ils allaient bosser, tous. Sans un mot plus haut que l’autre pour personne. Sans un: « je connais ton frère, ta soeur, ton père, ta mère… ». Qu’ils allaient bosser et qu’à la fin, s’ils suivaient les règles, qu’ils rendaient les travaux… ils auraient leur brevet. Le mec! Petit, très petit, sec et maigrelet, roux, à la barbe jaunie de fumée de tabac, tout de velours vêtu. Premier cours et premières insolences. Obligatoire dans la prise de contact. Rigoulet, c’était son nom, voulut les garder pour les emmener chez la principale. Personne, jamais personne ne les avait menacé de les emmener face à la principale qui était une grosse conne incapable. Mais ce n’était pas cela. C’était le ton, froid. Le regard porté dans les yeux, tout au fond, sans les détourner. A la fin du cours, avec ses potes, ils s’échappèrent. Ils savaient bien qu’ils se reverraient.
Rigoulet faisait l’entrée de la classe. Un à un nous passâmes le lendemain devant lui. Et là, vous savez que La Mythe c’est moi. Je ne peux plus dire « il ». Il nous dit: « vous me devez quelque chose, j’ai laissé couler, on en reparlera. ». Jamais on ne toucha le manuel d’histoire géographie de l’année. Il préparait ses cours. Il nous dit que le traitement de l’histoire de l’URSS dans le livre était très partial. Qu’est ce qu’on pouvait y comprendre? Ben en fait on comprit tout! Nous l’entendîmes toute cette année de troisième nous dire: « je n’ai pas envie que vous reveniez me faire vos excuses dans 10 ans quand vous ne serez que des ouvriers esclaves du capitalisme. ».
Un samedi matin que nous vendions des mauvaises pâtisseries dans la traverse, la rue commerçante de notre ville, pour financer un voyage en Espagne, nous le croisâmes et nous le hélâmes, bravaches comme d’habitude. Il allait au bar, il nous invita sans salamalecs, sourire au lèvres recouvertes par ses poils jaune-roux, nous les quatre insupportables. Dix heures du matin. Des demis pour tout le monde. C’était une autre époque, la question de l’alcool pour les mineurs ne se posait pas, encore moins en campagne je pense. Il nous regarda, comme à son habitude, bien droit dans les yeux. Il n’en avait que deux pour en fixer quatre paires, mais nous nous taisions. Ses premiers mots après la silencieuse gorgée de partage traditionnelle furent: « vous vous comportez comme une fin de race de bourgeoisie paysanne. ».
J’imagine que nous qui nous attendions à des paroles démagogiques ou, au pire, gentiment dévaluatrices, celles de nos professeurs, nous fûmes décontenancés, mais je ne peux pas parler pour mes camarades… Moi en tout cas, j’ai pris cette phrase frontale. Et l’autre en face souriait tranquille. Il n’enchaîna pas. Il ne baissa pas les yeux. Genre, il était là comme le prophète clodo du film en sortie de messe qui dit que le prêtre nous brosse le cul lâchement et que, lui, voit ce que nous sommes. Je ne sais plus comment la discussion s’enchaîna, mais sans nous raconter « sa vie », il nous dit qu’il avait vécu en Haïti, qu’il savait ce que c’était que la pauvreté, crever dans la rue et n’être rien. Il avait vu tout ça de près et de loin en même temps. Il savait qu’il avait été le bourgeois des autres, le nanti. Mais Ici, en Périgord, il nous répéta à quel point il nous méprisait, nous qui ne connaissions rien, qui ne voulions rien, qui paraissions à peine et qui croyions être. Sans un mot plus haut que l’autre. Sans insulte. Une leçon. Un cours. Nous bûmes une autre bière. Je crois qu’il nous aimait bien. Nous, nous l’aimâmes toute une année. Je me plais à croire que nous eûmes tous la moyenne, au moins, à l’épreuve d’histoire du brevet, mais là, j’invente.
je l’ai recroisé quelques années plus tard, lors de ma première de prépa-lettres. Au bar, dans lequel il était tous les week-end dès dix heures. Je pensai me vanter en allant le saluer et en lui disant que j’étais en hypokhâgne. Il me répondit: « vous avez toujours fait preuve d’un travail fantaisiste. Vous êtes un dilettante».
Lui est mort depuis. Cirrhose ou cancer. De nous quatre, mes potes, avec qui nous bûmes de la bière un samedi matin avec monsieur Rigoulet, deux sont morts aussi. Accidents sur les routes de Dordogne. Comme il se doit. Moi, je ne suis pas devenu ouvrier. Esclave du capitalisme, c’est une autre histoire. Que dire. Pourquoi raconter?
2 notes
·
View notes
Photo

J’ai divorcé d’avec les Français au moment du confinement. Quand je les ai vus accepter sans broncher d’être parqués comme du bétail. C’est donc qu’ils sont, factuellement, du bétail. En plus, ils sont aussi leurs propres matons, s’accordant scrupuleusement des dérogations de sortie motivées et conformes. Fascinant. À cette époque, je m’amusais à leur faire part de mes nombreuses et longues escapades, moments magnifiques dans un quartier offert au silence, sur les sentiers d’une forêt désertée où toute la faune, usuellement contenue par le passage des ploucs péri-urbains et autres retraités queshuaïsés, sortait de son contenant convenu et débordait sur les chemins, les parkings, les bords d’autoroute. Il fallait voir leurs gueules interdites. Comme si j’avais avoué la préparation d’un attentat ou l’élaboration d’un assassinat. Et pourtant... Il suffisait d’ouvrir sa porte, de marcher, de gagner les bois puis de s’arrêter et d’attendre quelques minutes à écouter tous les oiseaux – c’est à dire ceux que la rumeur humaine laisse habituellement inaudibles – pour apecevoir, loin des ombres forestières, renards et biches, et noter le comportement étonnamment entreprenant des corvidés, bien moins craintifs que d’habitude, employés à réinvestir les lieux à grands renforts de cris perçants et de disputes renouvelées. Pendant ce temps-là, claquemurés chez eux, les Français regardaient les chaînes infos avec leur compteur rouge sang indiquant le nombre de morts en cours. Extraordinaire ! Une mise en scène totalitaire, une pression visuelle constante, un univers sonore saturé de mises en garde, de menaces et d’invectives. Et le masque. Le masque ! Muselière de tissu bleu destinée à faire taire tous et chacun. Distanciation sociale aussi : pas de contact, pas même de frôlement ! Un mètre réglementaire, avec les marques au sol comme dans les dépôts ou les usines ! Et dans la queue aux caisses des magasins, les regards suspicieux à la première toux, au premier reniflement... Je pensais que les gens étaient devenus fous ; ils étaient juste livrés à leurs névroses. On voyait le conditionnement à l’œuvre. On mesurait le champ infini de leurs renoncements. Et je me suis mis à les détester, accrochés à leur bulle existentielle, tétanisés par l’idée de mourir, prêts à tout trahir, tout balancer, dans l’espoir de s’entendre dire “allez, c’est bon, vous allez vivre à nouveau, et tout sera comme avant”. Voix de l’État qui sait tout mieux que vous, qui a barre sur votre volonté, vos divergences, vos doutes raisonnables. La France, et son assourdissant récit révolutionnaire, les combattants de la Liberté, la patrie des Droits de l’Homme, tout ce folklore clinquant montrait avec éclat sa vacuité, son inutilité, son imposture pour tout dire. Les Français se tenaient depuis longtemps éloignés du sacré, à l’abri - pensaient-ils – de toute tentation de transcendance, sans aucune morale autre que républicaine, sans éthique mais avec l’état de droit. Ils voulaient, pour toujours, jouir sans entraves. Ils découvrent maintenant ce que signifie souffrir sans répit. J.-M. M.
29 notes
·
View notes
Text
bon. alors. j’ai donc vu ce spectacle en vrai. ci-dessous les notes prises en live qui n’auront sûrement aucun sens pour vous mais nique sa mère comme on dit
- quel homme ! 🙌🏻☝️👆🏻
- alceste est moins gueulard mais plus fragile et violent dans ses éclats
- philinte est plus triste et prompt à la colère mais plus doux
- philinte s’est vraiment retenu de le gifler là
- « et que cette maladie !…. » la pause était, je sais pas trop comment dire, plus naturelle, plus réelle que l’autre version
- le petit geste pour poser sa main sur sa jambe était aussi plus court mais plus naturel
- ils sont beaucoup plus tactiles
- ils sont très très proches l’un de l’autre
- le doucement alceste calme toi de philinte lors du « monsieur ! l’amitié demande un peu plus de mystère »
- « nous verrons bien ! » et la petite mimique signée corbery
- l’eye contact avec serge bagdassarian. juste au moment où « on espère ! alors qu’on désespère ! » et au désespère il regarde directement dans mon âme, pile au moment où je me moque gentiment de ce moment comique. envie de m’enfoncer dans un trou
- leurs petits commentaires lors de la lecture. définitivement potes core
- « je ne dis pas cela » progressively more annoyed
- le petit « 3, 4 ! » donné par un claquement de doigts en rythme lors de la chanson. peak comedy
- « VOILÀ CE QUE PEUT DIRE UN COEUR VRAIMENT ÉPRIS » oh my god j’ai vraiment entendu ça en live
- les petits « non mais ne l’écoutez pas » ou « alors moi je ne connais que très peu ce mec » j’en sais rien je sais pas lire sur les lèvres, quand oronte se retourne vers philinte genre « is he for real ? »
- « il est bon à mettre au cabinet » et philinte qui sautille sur place en se facepalmant fort tellement il doit se retenir de gifler son pote dans l’instant
- le fou rire de génovèse. my mental illness has been cured
- d’ailleurs le capital comique de serge bagdassarian tout au long de la pièce
- c’est alain langlet qui joue le majordome
- alceste qui tente d’être romantique avec célimène (la choper par la taille et lui embrasser le cou) mais elle se dérobe mais LUI il a voulu la rattraper trop vite trop fort et il s’est à moitié pété la gueule contre une chaise et a fait tomber un petit fauteuil
- seigneur dieu quel boule (génovèse)
- seigneur dieu quelle femme (adeline d’hermy)
- quand ils se précipitent sur eux, philinte garde alceste dans un coin les mains levées et quand hervieu-léger revient, petit mouvement de tête sur le côté de philinte souriant genre « vas-y viens et je te démonte la colonne vertébrale façon lego »
- hervieu-léger pétasse queen qui se tient bien
- ils jouent aux petits chevaux
- ils sont tous beau
- les MAINS de tous ces gens
- ptn le piano c’est beau
- globalement cet homme, son rire et son sourire (génovèse)
- l’amour de philinte encore et toujours
- le baiser entre eux était looong
- j’ai cru qu’ils allaient se taper over éliante
- la violence vraiment relevée d’alceste
- wow ok donc il a vraiment l’air hyper perdu après avoir agressé célimène. mais pas comme la dernière fois. là il a pleinement réalisé ce qu’il venait de faire et il se DÉTESTE
- ptn il est vraiment chat mouillé core hein
- alors. voir corbery tomber à genoux devant des femmes quand c’est filmé c’est bien. voir corbery tomber à genoux devant adeline d’hermy en live c’est MIEUX
- ARGHRGRHGR il la fait tournoyer je veux être ELLE BORDEL
- le cri de on sait pas s’il chiale ou s’il rit en live c’est tellement plus drôle
- c’est christian gonon qui joue dubois
- le beef de dubois avec le grouillot
- je pensais pas pouvoir dire ça un jour. mais j’ai entendu loïc corbery gémir dans un baiser comme une salope devant les 900 personnes de la salle richelieu
- j’attendais le moment du câlin. je n’ai pas été déçue mais en plus j’ai envie de me défenestrer. pourquoi ? parce que bon déjà la sincérité, la force avec laquelle ils s’agrippent, la douceur venue d’une réelle inquiétude pour alceste mal cachée quand il le relève. mais surtout. alceste qui marmonne un truc. et ce truc. c’est quand philinte commence à remonter les escaliers, un premier « adieu. ». et quand il tombe, vraiment moins fainting que l’autre fois, là c’était vraiment un manque de force total, et que philinte se dépêche de redescendre, pendant les secondes où il le rejoint, « philinte ». quand il l’atteint, « adieu ». on a donc un « adieu. philinte, adieu » dit d’une voix qui évoque le suicide et moi aussi j’ai envie là alceste. CORBERY WHY
- monsieur génovèse je sais que vous pouvez chialer sur commande. mais je pensais pas être capable de voir les yeux brillants de larmes depuis mon petit strapontin. et la voix en vibrato constant et véritablement au bord des larmes. la douceur du tout petit moment où ils se rapprochent l’un de l’autre, philinte est vraiment à deux centimètres de poser sa tête sur l’épaule d’alceste. damn. un énorme talent et un joli petit cul.
- définitivement hervieu-léger la plus pétasse to have ever pétassed
- birane ba vous ne giflez pas adeline d’hermy svp
- j’ai pu voir presque au premier plan les mains tremblantes et le visage dévasté d’alceste quand célimène refuse de le suivre
- philinte qui a l’air beaucoup plus inquiet pour son pote (à raison) que l’autre fois
- NAAAAANN LE CHOIX ENTRE ALCESTE ET ÉLIANTE QUI EST MILLE FOIS PLUS VISIBLE STOOOP CLÉMENT HERVIEU-LÉGER ✊✊✊
- LA BEAUTÉ DE CET HOMME (génovèse)
- lui et serge bagdassarian qui se bousculent comme des gosses à l’une des sorties
#JE LES AI VUS#JE LES AI VUS EN VRAI#seigneur. AND I’LL DO IT AGAIN#comédie française#le misanthrope
5 notes
·
View notes
Text
"Blablabla le Japon c'est le pays du futur et des nouvelles technologies !!! Ils sont trop en avance"
Juste. Non. Ta gueule.
Mon problème administratif pourrait être réglé en imprimant et remplissant un papier à renvoyer par mail. MAIS NON ILS EN SONT PAS CAPABLES
J'ai du appeler la mairie. Le service anglophone a pris en compte ma demande. Maintenant ils doivent envoyer le dossier au service correspondant. Pour qu'ensuite on me contacte par TÉLÉPHONE pour m'envoyer UN COURRIER PAPIER. Que je devrais remplir ET RENVOYER. Pour qu'ils puissent le tamponner pour ensuite ME LE RENVOYER TAMPONNÉ pour QU'EN FIN je le donne en main propre à la mairie pour valider ma demande (qui prendra minimum 2h car personne ne parle anglais sans google trad).
Ah. Et il faut que tout ça (à partir du 1er courrier papier envoyé) ne prenne que 15 jours maximums. Sinon je suis dans l'illégalité et je risque une amende. (Dans tous les cas je ne suis pas dans les temps donc croisons les doigts...)
5 notes
·
View notes
Text
Super début de journée (non)
Je me lève, normal, comme tous les jours. Ma mère : "Bonjour, bonne fête !"
Moi je ne comprend pas, logique. C'est pas mon anniversaire ou tout autre truc du genre. Du coup je fais la tête je-comprend-pas-ce-que-tu-me-dis-la.
Donc ma mère continue : "Bah oui, c'est la fête des Emma aujourd'hui !"
J'adore la vie.
C'est le genre de truc, habituellement je m'en fous complètement. Mais malgré ma forte insensibilité et fort manque d'émotion, ah venant de ma mère ça fait bien mal quand même. C'est ce que j'appelle une "fissure dans ma glace". Il n'y a que deux personnes qui peuvent me faire mal, ce sont ma mère et ma sœur de cœur Rousil (pseudo hein).
Plus sérieusement, je devrais lui dire que je suis trans. Mais pour le moment j'en suis incapable. C'est pas sa faute si elle dit ce genre de trucs par rapport à mon deadname, mais c'est de sa faute que j'arrive pas à lui dire.
Elle s'est foutue de ma gueule une fois, pas deux.
Je ne sais plus quand, elle avait regardé le téléfilm "Il est elle" (du coup c'était quand il est passé à la télé). Moi c'est dans le sens inverse, mais je me suis dit "elle regarde un truc sur les trans sans rien dire de négatif, c'est bon signe !", rien de mieux pour mettre en confiance.
À ce moment-là, j'assumais ma transidentité seulement IVL et avec ma sœur. Je l'avais vaguement dit à mes amis au collège en 3e, sans demander un quelconque changement de comportement par rapport à moi (changement de prénom ou de pronom etc). Il n'y a qu'aujourd'hui que mes amis IRL sont au courant et s'adressent à moi avec mon nouveau nom. Je pensais que ce serait mieux si ma mère était la première personne à savoir (IVL c'était une sorte de "test", pour me rassurer, sans oublier que pendant longtemps j'étais un peu transphobe envers moi-même) et qu'elle pourrait donc choisir mon nom. Seulement quelques mois après le téléfilm (car je manque beaucoup de courage) j'ai fini par lui en parler. Sur le moment elle n'a rien dit, elle était juste gentille. Je me suis dit que c'était bon. Mais quelques jours plus tard, elle se met en colère contre moi et dit que si je lui avait dit que j'étais transgenre, c'était un mensonge pour lui faire pitié, pour pas qu'elle me punisse etc. Je n'ai pas trop compris la logique mais elle ne m'en a jamais reparlé après. Il n'y a que cette année, je ne sais plus quand exactement, je lui ai dit que ça m'avait blessé alors qu'elle disait que j'étais méchant avec elle (alors que je prend bien soin de ne rien lui dire de blessant, contrairement à elle). Elle a fait mine de pas s'en souvenir (je ne sais pas si c'est vrai ou non je ne suis pas dans sa tête) et s'est excusée. Elle m'a demandé l'air inquiète si j'avais encore des "doutes" (alors que quand je lui en avait parlé je lui ai jamais dit que j'avais des doutes, mais que j'étais bel et bien transgenre mais bon...). Je sais pas pourquoi j'ai bloqué, et je lui ai dit que j'étais cisgenre et qu'il n'y a aucun problème. Comme je lui avais avoué ça durant une dispute, j'avais peur qu'elle aie la même réflexion.
Depuis je suis complètement bloqué, je n'arrive pas à lui dire. Je sais même pas comment je devrais faire. Je ne sais pas comment ça va finir.
Mais bon pour avancer faut bien que je lui dise ? mais je sais que je vais pas le faire à moins qu'il arrive quelque chose de grave ou une "illumination".
Je vis seul avec ma mère, personne pour m'aider.
Ma petite sœur de cœur qui m'a beaucoup soutenu a déménagé, on ne se parle plus que par messagerie. Son soutien via messagerie est... beaucoup moins utile ? Elle fait de son mieux, mais j'aurais besoin d'elle à côté de moi.
Je ne connais personne de transgenre IRL, et IVL je n'ose pas embêter mon amie transgenre avec ça.
Mon père n'est pas méchant, mais il vit loin et n'a pas de téléphone portable. Pour le contacter je devrais appeler sur le fixe, et donc parler à mes grand parents avec lesquels j'ai coupé les ponts car toxiques (car mon père est un Tanguy XD). C'est dommage car c'est quelqu'un de compréhensif, même quand il a découvert via GTA (oui le jeu) que j'étais "lesbienne" (je raconterais ça plus tard c'était hilarant XD). du coup ça fait plusieurs années que je ne peux plus lui parler.
Mon ancien demi-grand frère nous a abandonnés il y a longtemps en nous piquant de l'argent. Je sais même pas s'il est vivant mdr.
En bref, je vis seul avec ma mère qui n'a confiance en moi que parce que "je suis une fille", et qui a peur dès que j'ai un comportement trop masculin. Comment je devrais faire moi, pour lui dire que je suis du même genre que tous ceux qui lui ont pourri sa vie ? Même moi je ne me comprend pas, alors elle...
#Je raconte ma vie#Ma vie#Mère#Relation familiale#Famille#Père#Coming out#Problème#Problèmes#Dispute#Disputes#Relation mère-fils#Relation mère-fille#Relation avec sa mère#Il est elle#Blocage#Blessure#Deadname#trans#transgenre#transgenre ftm#trans ftm#transidentité#ftm trans#ftm transgenre#transmasc#transmasculin#garçon trans#garçon transgenre#en français
2 notes
·
View notes
Text
28 décembre :
Balade dans Mendoza et au parc San Martin pour y découvrir le peu qu'a la ville à offrir. A 18h30 bus de nuit pour Neuquén, aux portes de la Patagonie.
29 décembre :
Objectif, atteindre San Martin de los Andes dans la région de Bariloche et ses magnifiques lacs. Malheureusement les bus sont complets et je fais une escale de nuit à San Carlos de Bariloche (ou plus communément Bariloche). La ville n'est pas exceptionnelle et son centre n'est bizarrement pas au bord du Lac Nahuel Huapi mais le nombre de brasseries artisanales est impressionnant. Une 2e escale sera donc à prévoir à mon retour de San Martin.
30 décembre :
Mon bus étant à 13h15, j'ai le temps de faire une mini rando au Cerro Otto. Le sommet est atteignable par télécabine mais strictement réservé aux fragiles. Je ne désespère pas et je suis le chemin de maintenance des remontés (ligne droite) et j'atteins le sommet en 30min (530m d+). La vue sur le lac Nahuel Huapi et les forêts s'étendant sur les montagnes est sublime. Je ne connais pas mais j'ai envie de comparer Bariloche à la région des lacs dans les Alpes italiennes. Retour au hostel par un sentier à travers la montagne, douche et 5h de bus pour San Martín. A l'arrivée je ne perds pas de temps; j'ai trouvé une ballade de 4 jours autour du Lac Lácar au parque Nacional Lanín et je compte bien l'initier dès maintenant. Je fais des courses puis je pose ma tente au début du parc à 5km de la ville et au bord du lac. Paysages toujours aussi beaux; je m'y baigne d'ailleurs.
Bilan: 17km, 700m d+
31 décembre :
Grosse journée au programme; ascension du Cerro Colorado (1800m, une colline...), puis du Cerro Sábana, puis d'un 3e sans nom. Sur le chemin j'admire de beaux panoramas sur le Lac Lácar d'un côté, et sur le volcan Lanín de l'autre. Mis à part le volcan qui est une excroissance blanche dominant la région, j'avoue m'être tellement habitué à des vues grandioses depuis avril 2023, que celle-ci ne me fait pas tellement d'effet. Même si les énormes lacs donnent une impression que les Alpes ont déménagé dans le Péloponnèse. A ce stade j'en suis à 16km et 1600m d+, donc content d'entamer la descente vers mon prochain bivouac. Sauf que la descente ne se passe pas du tout comme prévue. Seuls les sommets sont dépourvues de végétations et le reste de la rando se passe dans la forêt; et le sentier est très très mal entretenu, voir pas du tout, et je me retrouve par conséquent souvent hors piste. Le hors piste en moyenne/haute montagne avec ses passages casse gueule je connais, mais le hors piste dans une forêt primitive, ça, c'est un enfers qui ne m'avait pas manqué (depuis la Guyane... ou j'y ai littéralement laissé ma peau). Je galère (évidemment sans machette) à travers roseaux, pins, toute sortes d'obstacle qui à leur contact me hurtique les bras pour essayer à chaque fois de retrouver le sentier. En bonus, des moucherons qui me volent constamment autour de la tête. A un moment je dois faire mes lacets; 30 moucherons me volent autour, je transpire comme Niagara, mon corps me gratte, et je pète un câble et insultant tout ce qui m'entoure. Au passage j'éclate quelque 100aine (sans exagérer) de moucherons m'enduisant de leur jus la peau. Je rêve d'un super pouvoir qui puisse tout brûler autour de moi. Bref! J'y arrive au bout de 2h, et après seulement 2km. Là je me retrouve dans une vallée barricadée par des barbelés. L'Argentine est aussi un pays de cow-boy et des estancias occupent la majorité du territoire. J'enjambe donc les barrières, dis bonjour aux vaches, me fais discrets quand j'aperçois des rancheros (je suis chez eux illegallement), et poursuis mon chemin. A un moment je pénètre une clairière où deux chevaux broutent tranquillement l'herbe. A 10m d'eux, l'un me fixe du regard et se met à taper du sabot. 2 secondes plus tard je suis à 100m de lui, un arc et 10 fléches en bois confectionnées aves les moyens du bord. Puis je le contourne en suivant un rayon de s��curité. J'arrive enfin au bivouac prévu! Un lac sans vue dégagée... mais je m'enfou, je suis exténué et je meurs de faim. Je monte la tente, me fais des pattes, et m'enfonce dans les bras de Morphé. Il me souhaitera la bonne année à 00h00 et je l'ignorerais complètement.
Bilan: 30km, 1900m d+ (et 19kg sur le dos)
1 janvier:
Après une nuit réparatrice je poursuis ma descente jusqu'au lac Lácar où je retrouve la route (non revetue). Je comptais sur du stop pour faire les 13km qui me séparent du prochain sentier mais j'avais oublié qu'en ce jour et à 7 heure les gens normaux dorment. Du coup je marche en faisant du pouce aux peu de voitures qui passent. Toutes me refusent alors qu'elles ont de la place et qu'il n'y a qu'une seule destination... encore une fois j'essaie de faire preuve de tolérance plutôt que de haine. A mi-chemin pourtant une voiture s'arrête pour me prendre. Elle est chargée et le conducteur fait un effort pour me trouver une place. Comme quoi... ce n'est qu'une question de volonté. C'est un immigré anglais donc qui me fera faire les 5km restants. Puis je continue ma marche qui n'a pas trop d'intérêt puisque le sentier et partagé avec des voitures. Après avoir fait un detout pour observer une belle cascade et au bout de 8km, le sentier devient uniquement piéton. C'est beaucoup plus agréable et 8km plus loin j'atteins mon bivouac sur une plage paradisiaque. 2 groupes venus en bateau sont déjà présents mais ils me laissent le terrain libre en fin d'après-midi. Encore une fois j'ai l'impression d'être sur une plage dans les cyclades mais dans les Alpes. Et seul. Le bonheur. Sieste, plouf, miam, zen, dodo.
Bilan: 27km, 800m d+
2 janvier:
Je quitte ce paradis et effectue le 3e tiers de ma boucle. Je longe la côte qui donne d'autres possibilités de bivouacs sur plage paradisiaques puis contourne un sommet qui bloque le chemin de la côte. Petit détour vers la Laguna Escondida, un gros miroir reflétant des sommets enneigées au loin. L'eau est limpide comme le lac d'Annecy. Je finis la ballade à travers un chemin pour 4x4 qui m'expose au soleil et me fatigue. Je me permets donc une sieste à l'ombre d'un arbre dans un clairière et je me réveil à côté de 3 veaux qui me fixe du regard. C'est très mignon et ça me rappel que j'ai faim. Arrivé à l'embarcadère sur le lac Lacar je prends direct un bateau qui me ramène à San Martín. Je pose la tente au camping et je cours me rafraîchir avec une excellente pils. J'ai très faim et je commande une pyramide de frite puis un Burger. Chacun de ses plats étant destiné à rassasier une personne affamée. Précision : 3 paramètres influent sur la quantité de nourriture que je peux avaler.
1: Le circuit de randonnée que je viens d'effectuer. J'ai fait presque 90km et 3600m d+ en jours, un record. J'ai donc rarement eu aussi faim
2: la qualité de l'apéro : les bières sont excellentes et pas chère du tout.
3: la qualité de la nourriture : très bonne et prix correct.
Toutes les conditions sont réunies pour que je m'explose le bide. Je mettrai 5h avant de pouvoir m'allonger sans avoir mal au ventre. Sachant que je suis exténué de ma journée, j'alterne, entre 21h30 et 02h30, marche autour du camping, position allongée, position assise, WC, en boucle...
Bilan: 28km, 900m d+
3 janvier:
Repos et logistique pour gravir le volcan Lanín. Après moultes réflexions et échanges avec guides de montagnes, je décide de faire l'impasse sur ce sommet. Trop chère et prochaine fenêtre d'ascension dans 3 jours. J'organise donc mon prochain trek à partir de Bariloche que je rejoins le lendemain.
4 janvier:
Transfert à Bariloche avec le bus de 15h00 qui me gâche bien la journée puisque j'arrive à 19h00.
2 notes
·
View notes
Text
17 septembre
je fais des infidélités à r., je viens d'envoyer ma nouvelle chanson, ou plutôt le prototype de ma nouvelle chanson à c., il m'a dit qu'il était à la rue, enfin je sais pas s'il l'est toujours, j'espère pas. pendant que j'étais en train de prendre de ses nouvelles j'ai eu une notif de r. qui me demandait si j'étais en train de faire caca sur le selfie avec un flacon de v.i.poo saveur citron que je lui ai envoyé dans les toilettes de h. vendredi soir et j'ai pas pu m'empêcher d'éclater d'un rire sale. pourtant apparemment vendredi soir chez h. je faisais la gueule, parce que hier soir quand elles disaient qu'elles avaient trouvé k. plus avenante que d'habitude, j'ai fait remarquer que ne pas être avenante n'était pas toujours un choix, ce à quoi m. a répondu sèchement que c'était pas compliqué de faire un effort, ne serait-ce que par respect pour les autres, et d'un coup j'ai senti les larmes derrière mes yeux et j'ai commencé à tourbillonner vers les ténèbres en passant par des endroits archi sombres (pas envie d'en parler ici) et au fond la mort me faisait des grands signes. c'est la seule qui peut tout arrêter. je l'ai pas dit ça à c. quand il m'a demandé comment je me portais. et je le dirai pas à f. demain non plus, mais elle de toute façon elle me demandera pas comment je vais.
à part ça j'ai passé une plutôt bonne première journée toute seule, je me suis réveillée avec une hallucination auditive de la voisine qui ouvrait la baie vitrée en appelant mon nom puis j'ai allumé mon téléphone et vu la vidéo que m'envoyait s. où on les voit toutes autour d'une table dans un bar à prague en train de chanter le refrain de ma chanson de la perf de minibang et j'ai explosé de rire et de joie. après avoir déjeuné je suis partie me promener sur la plage grise j'ai marché pendant deux heures et demi en marmonnant des paroles inspirées par la surface marbrée des grandes flaques au bord de l'eau qui ressemblaient à la surface de saturne et aussi à la table basse du salon chez r. et j. quand j'étais petite. hier je marchais dans les vagues entre les digues et mes pieds se prenaient dans les algues et je levais les jambes bien haut pour m'en dépêtrer et je trouvais que c'était une excellente métaphore pour sortir de la mélancolie, je faisais comme si c'était les algues qui me tirent vers l'abysse, celles de kirsten dunst dans melancholia, et que j'avais enfin trouvé un moyen de m'en dépêtrer. délivrer. délivrée libérée. mais bof, pas trop non.
dans tous les cas j'adore me faire pousser par les vagues, qu'elles soient brutales avec moi, qu'elles me plaquent me broient et m'avalent, la mer est mon amante préférée. mais c'est aussi la seule que j'aie jamais eue. the sea is the only lover i've ever had. ce matin elle était verte et elle faisait du bruit pendant que moi je vivais ma petite histoire avec saturne. j'ai passé l'après-midi à travailler sur le texte pour point de chute et ce soir j'ai fait une ratatouille et j'ai regardé un truc sur les camping cars sur m6 et la météo parce que ça y est je suis devenue maman.
18 septembre
finalement en attendant que r. se libère c'est avec c. que je vais collaborer, le temps d'une soirée, il m'a proposé de faire une performance poétique avec lui pour l'expo de tina gillen et j'ai dit oui mais j'ai pas osé demander si c'était rémunéré. il m'a envoyé un million de liens vers des appels à projets/maisons d'édition/revues littéraires/le contact de son ami poète qui ressemble à linus de lost qui pourrait être intéressé par la publication de mon éventuel recueil de poésie dans sa maison d'édition/etc. on est restés au téléphone pendant une éternité et je voulais que tout le monde m'entende parler de ma vie professionnelle d'artiste avec mon accent de la ville sur la terrasse.
j'ai pas continué ma chanson sur saturne ce matin parce que les flaques avaient disparu et j'avais pas d'inspiration, y avait de la brume et le soleil pointait derrière et j'étais trop occupée à essayer d'arriver au cap avant que la brume se lève pour faire des photos d'aqualand dans le brouillard, mais le ciel bleu m'a rattrapée. j'ai fait des jolies photos quand même. y avait des pêcheurs qui pêchaient dans le bassin qui entoure l'île d'aqualand avec les toboggans en fond et ça faisait une atmosphère très paisible. sur le chemin du retour j'ai vu deux femmes rentrer dans l'eau seins nus, une jeune et une plus âgée, peut être que c'était sa mère. la jeune portait un short et je me suis demandé si c'était la même fille que j'avais vue faire la roue seins nus en boxer un matin en haut de la plage. quelle vision.
19 septembre
je me suis levée tard ce matin alors au lieu d'aller au cap d'agde je suis allée nager parce qu'il faisait chaud, j'ai mis mon bonnet et j'ai fait des longueurs de crawl entre les digues, oh c'était bien. j'essaie de trouver une autre manière de le décrire qu'en disant que je me battais avec la mer parce que je me battais pas avec elle, j'adore l'énergie qu'elle me fait dépenser pour pouvoir lui répondre, rester à niveau, j'adore l'intensité que ça génère, j'adore comme ça devient même un peu dramatique. je voulais plus sortir de l'eau. je me suis laissée flotter sur le dos en essayant de m'abandonner complètement à la mer en écartant les jambes face à l'horizon et je pensais à la femme que j'avais entendue sur france inter en déjeunant qui disait que quand on avait fait l'expérience de violences dans l'enfance, souvent après on avait du mal à s'abandonner pendant le sexe et donc à avoir des orgasmes. hier soir en regardant l'amour est dans le pré à un moment y avait un type qui me faisait tellement de peine que j'ai du changer de chaîne parce que ça me rendait trop triste et je me suis demandé si moi je passais dans ce genre d'émission, combien de gens changeraient de chaîne devant l'insoutenable nullité de ma vie?
quand je suis sortie de l'eau j'ai posé mon haut de maillot et je me suis allongée sur ma serviette et c'est mon nouveau truc préféré. c'est très bien pour la confiance en mon corps. je me suis mise d'abord sur le ventre, puis sur le dos, la tête tournée vers la mer, je regardais les gens passer au bord de l'eau en scrutant leur regard pour voir s'ils me mataient mais non, personne me matait, personne n'en avait rien à foutre de mes seins. moi j’en ai toujours quelque chose à foutre des seins. je les regarde du coin de l’oeil, derrière mes lunettes de soleil, sous ma casquette, je mate les femmes seins nus sur la plage et j’ai l’impression d’être une voyeuse perverse. je me suis baignée seins nus avec f. quand elle m'a rejoint, il était temps que la mer voie mes seins. en même temps avec toutes les fois où elle les a fait sortir de mon maillot c'est pas comme si elle les avait jamais vus, petite coquine.
3 notes
·
View notes
Text
L.
Je travaille dans l'informatique, pour une grosse boîte. Mon boulot consiste à gérer un gros parc informatique et à aider les utilisateurs en cas de problème.
Il y a un an je fais la connaissance de L. Petite blonde joviale pleine de charme. Elle m'appelle pour un souci informatique. Je me rends dans son bureau et je la dépanne. Elle est intelligente, drôle et elle rougit vite. Passer du temps en sa compagnie est agréable. Le lendemain elle me fait revenir pour un autre problème. Et ainsi de suite tous les jours. Quand elle n'a plus de problème elle invente des projets qui nécessitent ma présence et mon expertise.
Cela dure pendant des mois !
Quand je suis en vacances, elle n'a plus de demande. Plus de problèmes. Mes collègues ne connaissent même pas son existence. Quand je reviens, le rythme reprend. J'y suis tous les jours.
C'est une collègue et elle est plus jeune que moi, deux bonnes raisons qui me font rester un peu en retrait. Mais son charme m'attire et il est évident que je lui plais.
Cependant quelque chose cloche sans que je sache dire quoi.
A chaque fois que je tente un rapprochement, pas physique mais ne serait-ce que dans la conversation, elle semble se rétracter. Signe contradictoire par exemple avec sa propension à me contacter sur mes jours de congés pour me dire qu'elle m'expliquerait volontiers en quoi consiste son travail de façon plus précise (je lui avais posé la question et sa réponse avait paru quelque peu lapidaire). Bref je ne comprends pas tout.
Entre temps je rencontre P avec qui j'ai une courte histoire mais qui me chamboule pas mal. J'essaie de me détacher un peu de L. et de son comportement yoyo à mon égard. Et puis il y a A qui voudrait bien qu'on se voit pour "baiser" et qui annule toujours au dernier moment me plongeant à chaque fois dans un état cafardeux.
Bref le contact avec L s'estompe peu à peu.
Jusqu'au jour où L me recontacte soi-disant pour un problème assez urgent. Je me rends dans son bureau et règle en fait un problème mineur.
- J'ai de bonnes nouvelles ! me dit-elle enjouée. - Ah oui ? Raconte ! - Je suis enceinte et mon copain et moi nous allons acheter une maison !
Je tombe quasiment littéralement de ma chaise.
A ce moment là je me demande si je suis un gros affabulateur qui a vu des signes là où il n'y en avait pas ou bien... ou bien quoi ?
J'en discute quelques temps plus tard avec un couple d'amis. Elle, toujours dans l'analyse, me dit que L a voulu se tester avant d'entrer de plein pied dans sa vie d'adulte. Lui conclut l'affaire par : "C'est une connasse !" Puis il s'explique : "Elle savait que tu sortais d'un divorce, que tu n'étais pas forcément dans une période facile de ta vie et elle s'est foutu de ta gueule délibérément. C'est une connasse !!"
Quand j'y repense, je me souviens de toutes ces fois où j'ai tenté d'en savoir plus sur elle et où elle aurait aisément pu simplement me dire qu'elle avait qqn.
Or elle ne l'a JAMAIS fait.
Elle a tout du long gardé cette information jusqu'à l'annonce de sa grossesse. J'ai compris plus tard (génie que je suis) que toute la période où elle s'était rapprochée de moi coïncidait avec la période durant laquelle elle essayait d'avoir un enfant.
Aujourd'hui cette histoire m'amuse plus qu'elle ne m'attriste mais elle me laisse tout de même perplexe.
Je reste malgré tout en bons termes avec L.
4 notes
·
View notes
Text
DL - Résumé foireux S01.ÉP01
J'ai décidé de faire un résumé foireux pour chaque épisode de l'anime Diabolik Lovers. Vu le peu d'épisode qu'il y a et qu'il n'y aura probablement pas de saison trois, pourquoi pas ? Vous savez qu'il y aura des spoils ainsi que des moments choquants. Je vais sûrement paraître vulgaire sur les épisodes. Et je tiens aussi à préciser que je ne crache pas totalement sur le personnage de Yui Komori... enfin seulement sur celle dans l'anime. Je vous souhaite une bonne lecture !
L'épisode commence par une doooouce musique (il faut bien commencer par quelque chose de doux avant de devenir le plat de résistance d'une fratrie de vampires). La fille qui vient d'arriver prend bien son temps d'observer les alentours avant de se faire surprendre par l'orage. Tout va bien, Yui. Moi ça me relaxe les orages ! Bref, elle frappe contre une épaisse porte avant que celle-ci ne s'ouvre SEULE. Yui, n'entre pas, n'entre p... ah bah non, trop tard ! Cette dernière demande s'il y a quelqu'un mais pas de réponse... quand un mec sauvage apparaît dans son radar ! En fait, il était couché sur un canapé. Elle va donc le rejoindre pour le réveiller, mais constate que sa peau est froide, qu’il est blanc comme un cul et que son cœur a visiblement lâché. Yui, tu viens d'arriver et tu trouves un cadavre ! Barre-toi ou ce sera toi qui finira à l'état de cadavre ! En tentant d'appeler l'ambulance, le gars se réveille en lui disant de fermer sa gueule et lui prend son cellulaire au passage... Yui, si tu vois un cadavre animé, fous le camp ! Mais non, il faut rester pour poser des questions à la con et le gars a largement le temps de la culbuter la plaquer au canapé en disant vouloir la prendre avant de lui lécher le cou. Le tout en se laissant faire avant que Claude Faustus qu'un binoclard se présente pour lui rappeler que ce ne sont pas des manières envers une invitée. La fille se redresse et se présente avant que le pervers décide de la baptiser Planche-à-pain. Évidemment, elle ne comprend même pas qu'il parle d'elle. Dans la joie et la bonne humeur, ils se rendent donc dans un splendide salon (qui a sans doute été le théâtre de plusieurs meurtres) pour tirer la situation au clair. Alors qu'elle tente de nouveau d'expliquer sa présence ici, un gars se téléporte sur le canapé pour la lécher, suivi d'un autre mec. Parce que c'est comme ça qu'on accueille une invitée chez les Sakamaki ! Le mec aux cheveux bordeaux décide de s'approprier la fille en disant qu'il passerait sur elle en premier (hum, ça vaut sans doute pour chaque sens du terme). C'est alors que Tsundere Simulator se présente avant de péter un mur sous prétexte que son odeur l'a tiré de son sommeil. Bientôt, toute la fratrie est présente et la Belle au Bois Dormant leur explique que la blondasse est la nouvelle mariée sacrificielle, mais qu'ils doivent bien se comporter avec elle et qu'ils n'ont pas le droit de la buter (mais ça n'empêchera pas certains de la goûter). Les gars se présentent: Shuu (Belle au Bois Dormant), Reiji (Claude Faustus ou le Butler), Ayato (Oréo-sama), Kanato (hystérique, p'tit con, gamin, Yandere King), Laito (Fedora-chan, pervers) et Subaru (Tsundere Simulator). Apeurée, elle veut contacter son père... et a OUBLIÉ que son téléphone est en possession d'Oréo-sama. Mais Tsundere Simulator le prend et le brise car Yui a pas voulu acheter un putain de Nokia ! Elle tente de se barrer et trébuche dans le vide. Bien joué, Yui ! Bien évidemment, elle s'est écorché le genou en tombant et en voyant que ce sont des vampires, décide de sortir son rosaire pour essayer de les repousser... ça ne marche pas, bien sûr. Presque à un cheveu de se chier dessus, elle quitte la pièce et zigzague un peu partout dans le manoir (car elle ne se souvient visiblement plus du chemin qu'ils ont emprunté pour aller au salon... elle aurait dû laisser des petits cailloux, voyons !) jusqu'à tomber sur un vieux téléphone (vive l'ancienne époque) dont le fil est coupé. Après que le pervers lui ai fait peur, elle tente d'ouvrir la porte avant qu'Ayato lui ordonne d'hurler de désespoir. La blonde se barre de nouveau... mais à l'étage. Ah, bravo ! Et tu comptes sortir du manoir comment si tu es coincée à cet étage ? T'as prévu un jetpack ou c'est comment ? Elle entre doooonc dans une pièce donc la chaîne et le cadenas ont été brisés (quel hasaaaaard...). En voyant Casper aux cheveux mauves, elle recule contre une bibliothèque en se tenant la poitrine et fait tomber des livres, puis tombe sur le journal de son papounet. Énorme cliffhanger: Dark Vador son papa n'est PAS son père. Et comme si ça ne suffisait pas, la fratrie de sangsues est apparue dans la pièce et Tsundere Simulator dit qu'ils la tueront si elle tente la fuite. S'ensuit alors une tentative de viol une mise en bouche par le pervers et Oréo-sama avant que le second ne la prenne par la gorge pour vouloir la mordre. L'épisode se termine face à un bon plan sur ses crocs et par la demoiselle qui appelle Dieu.
#diabolik lovers#diabolik lovers anime#yui komori#ayato sakamaki#shuu sakamaki#kanato sakamaki#subaru sakamaki#reiji sakamaki#laito sakamaki#résumé foireux#sakamaki brothers#my art
2 notes
·
View notes