#gueule de contact
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J'ai fais un peu de ménage. Pas chez moi, mais parmi les deux ex qui m'ont écrit la semaine passé. Amar a dégagé de mes contacts. La raison ? J'aime pas qu'on ignore mes messages ! Le contexte ? Monsieur écrit pendant 3 jours, plusieurs fois par jour, puis dimanche, rien. Pas de réponse à mon dernier message. C'est pas comme si on s'était dit "A plus" en concluant la conversation. Non, c'est un dialogue laissé en suspens, comme ça, parce qu'il n'a plus envie de répondre. Pourquoi plus envie et pas simplement pas le temps ? Parce qu'il est connecté le reste du temps. Donc, dimanche après midi, j'envoi un message assez léger mais un peu cynique, concernant le temps qu'il va lui falloir avant de se rendre compte que je lui ai répondu. Une heure plus tard, il répond : "MDR, ça dépend de mon humeur. " Puis il me pose une question sur ma stories. J'étais passablement agacée par sa réponse, donc je répond en 3 mots , qu'il ne lit pas ! Hier, pas de message. Avant de me coucher, voyant qu'il n'avait toujours pas lu mon message alors que 36 mn avant il était en ligne, je l'ai supprimé de mon compte et j'ai également arrêté de le suivre. Ce matin, réponse à ma question de dimanche. Du moins d'après les premiers mots vu dans la notif sur mon téléphone car j'ai effacé le message sans le lire. Tout comme j'ai effacé le suivant quelques heures plus tard ou il semblait me demander si je faisais la gueule. Faire la gueule, ce serait lui accorder trop d'importance. L'ignorer, c'est tout ce qu'il mérite. Parce que ce n'est pas la première fois qu'il agit de cette façon et je sais bien que si je lui répond, si je lui explique pourquoi j'en ai marre, il va retourner la situation contre moi en espérant que je vais me poser des questions et me sentir coupable. Mais maintenant, y en a marre! Marre de ce mec qui revient dans ma vie alors que je n'ai rien demandé, qui me traite comme s'il avait envie qu'on renoue un contact puis rapidement comme si je n'existais pas. Ce mec de toute façon, c'est le plus égoïste que j'ai jamais croisé ! A part lui, personne n'existe ! Une dinguerie. Même sa femme et son fils ne comptent pas quand il a décidé de faire quelque chose. Et bien qu'il aille au diable ! J'ai assez perdu de temps à être sympa avec quelqu'un qui ne mérite que mon mépris.
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Oh les frérots, c’est quoi votre souci ? Y’a pas marqué sur mon front que c’est open-bar, c’est pas parce que je te souris et que je te demande ton prénom que je vais te sucer la queue.
J’aime pas les contacts physique avec des inconnus, encore moins avec des fils de pute. Et mon poing dans ta gueule peut si vite arriver.
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J’ai divorcé d’avec les Français au moment du confinement. Quand je les ai vus accepter sans broncher d’être parqués comme du bétail. C’est donc qu’ils sont, factuellement, du bétail. En plus, ils sont aussi leurs propres matons, s’accordant scrupuleusement des dérogations de sortie motivées et conformes. Fascinant. À cette époque, je m’amusais à leur faire part de mes nombreuses et longues escapades, moments magnifiques dans un quartier offert au silence, sur les sentiers d’une forêt désertée où toute la faune, usuellement contenue par le passage des ploucs péri-urbains et autres retraités queshuaïsés, sortait de son contenant convenu et débordait sur les chemins, les parkings, les bords d’autoroute. Il fallait voir leurs gueules interdites. Comme si j’avais avoué la préparation d’un attentat ou l’élaboration d’un assassinat. Et pourtant... Il suffisait d’ouvrir sa porte, de marcher, de gagner les bois puis de s’arrêter et d’attendre quelques minutes à écouter tous les oiseaux – c’est à dire ceux que la rumeur humaine laisse habituellement inaudibles – pour apecevoir, loin des ombres forestières, renards et biches, et noter le comportement étonnamment entreprenant des corvidés, bien moins craintifs que d’habitude, employés à réinvestir les lieux à grands renforts de cris perçants et de disputes renouvelées. Pendant ce temps-là, claquemurés chez eux, les Français regardaient les chaînes infos avec leur compteur rouge sang indiquant le nombre de morts en cours. Extraordinaire ! Une mise en scène totalitaire, une pression visuelle constante, un univers sonore saturé de mises en garde, de menaces et d’invectives. Et le masque. Le masque ! Muselière de tissu bleu destinée à faire taire tous et chacun. Distanciation sociale aussi : pas de contact, pas même de frôlement ! Un mètre réglementaire, avec les marques au sol comme dans les dépôts ou les usines ! Et dans la queue aux caisses des magasins, les regards suspicieux à la première toux, au premier reniflement... Je pensais que les gens étaient devenus fous ; ils étaient juste livrés à leurs névroses. On voyait le conditionnement à l’œuvre. On mesurait le champ infini de leurs renoncements. Et je me suis mis à les détester, accrochés à leur bulle existentielle, tétanisés par l’idée de mourir, prêts à tout trahir, tout balancer, dans l’espoir de s’entendre dire “allez, c’est bon, vous allez vivre à nouveau, et tout sera comme avant”. Voix de l’État qui sait tout mieux que vous, qui a barre sur votre volonté, vos divergences, vos doutes raisonnables. La France, et son assourdissant récit révolutionnaire, les combattants de la Liberté, la patrie des Droits de l’Homme, tout ce folklore clinquant montrait avec éclat sa vacuité, son inutilité, son imposture pour tout dire. Les Français se tenaient depuis longtemps éloignés du sacré, à l’abri - pensaient-ils – de toute tentation de transcendance, sans aucune morale autre que républicaine, sans éthique mais avec l’état de droit. Ils voulaient, pour toujours, jouir sans entraves. Ils découvrent maintenant ce que signifie souffrir sans répit. J.-M. M.
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bon. alors. j’ai donc vu ce spectacle en vrai. ci-dessous les notes prises en live qui n’auront sûrement aucun sens pour vous mais nique sa mère comme on dit
- quel homme ! 🙌🏻☝️👆🏻
- alceste est moins gueulard mais plus fragile et violent dans ses éclats
- philinte est plus triste et prompt à la colère mais plus doux
- philinte s’est vraiment retenu de le gifler là
- « et que cette maladie !…. » la pause était, je sais pas trop comment dire, plus naturelle, plus réelle que l’autre version
- le petit geste pour poser sa main sur sa jambe était aussi plus court mais plus naturel
- ils sont beaucoup plus tactiles
- ils sont très très proches l’un de l’autre
- le doucement alceste calme toi de philinte lors du « monsieur ! l’amitié demande un peu plus de mystère »
- « nous verrons bien ! » et la petite mimique signée corbery
- l’eye contact avec serge bagdassarian. juste au moment où « on espère ! alors qu’on désespère ! » et au désespère il regarde directement dans mon âme, pile au moment où je me moque gentiment de ce moment comique. envie de m’enfoncer dans un trou
- leurs petits commentaires lors de la lecture. définitivement potes core
- « je ne dis pas cela » progressively more annoyed
- le petit « 3, 4 ! » donné par un claquement de doigts en rythme lors de la chanson. peak comedy
- « VOILÀ CE QUE PEUT DIRE UN COEUR VRAIMENT ÉPRIS » oh my god j’ai vraiment entendu ça en live
- les petits « non mais ne l’écoutez pas » ou « alors moi je ne connais que très peu ce mec » j’en sais rien je sais pas lire sur les lèvres, quand oronte se retourne vers philinte genre « is he for real ? »
- « il est bon à mettre au cabinet » et philinte qui sautille sur place en se facepalmant fort tellement il doit se retenir de gifler son pote dans l’instant
- le fou rire de génovèse. my mental illness has been cured
- d’ailleurs le capital comique de serge bagdassarian tout au long de la pièce
- c’est alain langlet qui joue le majordome
- alceste qui tente d’être romantique avec célimène (la choper par la taille et lui embrasser le cou) mais elle se dérobe mais LUI il a voulu la rattraper trop vite trop fort et il s’est à moitié pété la gueule contre une chaise et a fait tomber un petit fauteuil
- seigneur dieu quel boule (génovèse)
- seigneur dieu quelle femme (adeline d’hermy)
- quand ils se précipitent sur eux, philinte garde alceste dans un coin les mains levées et quand hervieu-léger revient, petit mouvement de tête sur le côté de philinte souriant genre « vas-y viens et je te démonte la colonne vertébrale façon lego »
- hervieu-léger pétasse queen qui se tient bien
- ils jouent aux petits chevaux
- ils sont tous beau
- les MAINS de tous ces gens
- ptn le piano c’est beau
- globalement cet homme, son rire et son sourire (génovèse)
- l’amour de philinte encore et toujours
- le baiser entre eux était looong
- j’ai cru qu’ils allaient se taper over éliante
- la violence vraiment relevée d’alceste
- wow ok donc il a vraiment l’air hyper perdu après avoir agressé célimène. mais pas comme la dernière fois. là il a pleinement réalisé ce qu’il venait de faire et il se DÉTESTE
- ptn il est vraiment chat mouillé core hein
- alors. voir corbery tomber à genoux devant des femmes quand c’est filmé c’est bien. voir corbery tomber à genoux devant adeline d’hermy en live c’est MIEUX
- ARGHRGRHGR il la fait tournoyer je veux être ELLE BORDEL
- le cri de on sait pas s’il chiale ou s’il rit en live c’est tellement plus drôle
- c’est christian gonon qui joue dubois
- le beef de dubois avec le grouillot
- je pensais pas pouvoir dire ça un jour. mais j’ai entendu loïc corbery gémir dans un baiser comme une salope devant les 900 personnes de la salle richelieu
- j’attendais le moment du câlin. je n’ai pas été déçue mais en plus j’ai envie de me défenestrer. pourquoi ? parce que bon déjà la sincérité, la force avec laquelle ils s’agrippent, la douceur venue d’une réelle inquiétude pour alceste mal cachée quand il le relève. mais surtout. alceste qui marmonne un truc. et ce truc. c’est quand philinte commence à remonter les escaliers, un premier « adieu. ». et quand il tombe, vraiment moins fainting que l’autre fois, là c’était vraiment un manque de force total, et que philinte se dépêche de redescendre, pendant les secondes où il le rejoint, « philinte ». quand il l’atteint, « adieu ». on a donc un « adieu. philinte, adieu » dit d’une voix qui évoque le suicide et moi aussi j’ai envie là alceste. CORBERY WHY
- monsieur génovèse je sais que vous pouvez chialer sur commande. mais je pensais pas être capable de voir les yeux brillants de larmes depuis mon petit strapontin. et la voix en vibrato constant et véritablement au bord des larmes. la douceur du tout petit moment où ils se rapprochent l’un de l’autre, philinte est vraiment à deux centimètres de poser sa tête sur l’épaule d’alceste. damn. un énorme talent et un joli petit cul.
- définitivement hervieu-léger la plus pétasse to have ever pétassed
- birane ba vous ne giflez pas adeline d’hermy svp
- j’ai pu voir presque au premier plan les mains tremblantes et le visage dévasté d’alceste quand célimène refuse de le suivre
- philinte qui a l’air beaucoup plus inquiet pour son pote (à raison) que l’autre fois
- NAAAAANN LE CHOIX ENTRE ALCESTE ET ÉLIANTE QUI EST MILLE FOIS PLUS VISIBLE STOOOP CLÉMENT HERVIEU-LÉGER ✊✊✊
- LA BEAUTÉ DE CET HOMME (génovèse)
- lui et serge bagdassarian qui se bousculent comme des gosses à l’une des sorties
#JE LES AI VUS#JE LES AI VUS EN VRAI#seigneur. AND I’LL DO IT AGAIN#comédie française#le misanthrope
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"Blablabla le Japon c'est le pays du futur et des nouvelles technologies !!! Ils sont trop en avance"
Juste. Non. Ta gueule.
Mon problème administratif pourrait être réglé en imprimant et remplissant un papier à renvoyer par mail. MAIS NON ILS EN SONT PAS CAPABLES
J'ai du appeler la mairie. Le service anglophone a pris en compte ma demande. Maintenant ils doivent envoyer le dossier au service correspondant. Pour qu'ensuite on me contacte par TÉLÉPHONE pour m'envoyer UN COURRIER PAPIER. Que je devrais remplir ET RENVOYER. Pour qu'ils puissent le tamponner pour ensuite ME LE RENVOYER TAMPONNÉ pour QU'EN FIN je le donne en main propre à la mairie pour valider ma demande (qui prendra minimum 2h car personne ne parle anglais sans google trad).
Ah. Et il faut que tout ça (à partir du 1er courrier papier envoyé) ne prenne que 15 jours maximums. Sinon je suis dans l'illégalité et je risque une amende. (Dans tous les cas je ne suis pas dans les temps donc croisons les doigts...)
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Super début de journée (non)
Je me lève, normal, comme tous les jours. Ma mère : "Bonjour, bonne fête !"
Moi je ne comprend pas, logique. C'est pas mon anniversaire ou tout autre truc du genre. Du coup je fais la tête je-comprend-pas-ce-que-tu-me-dis-la.
Donc ma mère continue : "Bah oui, c'est la fête des Emma aujourd'hui !"
J'adore la vie.
C'est le genre de truc, habituellement je m'en fous complètement. Mais malgré ma forte insensibilité et fort manque d'émotion, ah venant de ma mère ça fait bien mal quand même. C'est ce que j'appelle une "fissure dans ma glace". Il n'y a que deux personnes qui peuvent me faire mal, ce sont ma mère et ma sœur de cœur Rousil (pseudo hein).
Plus sérieusement, je devrais lui dire que je suis trans. Mais pour le moment j'en suis incapable. C'est pas sa faute si elle dit ce genre de trucs par rapport à mon deadname, mais c'est de sa faute que j'arrive pas à lui dire.
Elle s'est foutue de ma gueule une fois, pas deux.
Je ne sais plus quand, elle avait regardé le téléfilm "Il est elle" (du coup c'était quand il est passé à la télé). Moi c'est dans le sens inverse, mais je me suis dit "elle regarde un truc sur les trans sans rien dire de négatif, c'est bon signe !", rien de mieux pour mettre en confiance.
À ce moment-là, j'assumais ma transidentité seulement IVL et avec ma sœur. Je l'avais vaguement dit à mes amis au collège en 3e, sans demander un quelconque changement de comportement par rapport à moi (changement de prénom ou de pronom etc). Il n'y a qu'aujourd'hui que mes amis IRL sont au courant et s'adressent à moi avec mon nouveau nom. Je pensais que ce serait mieux si ma mère était la première personne à savoir (IVL c'était une sorte de "test", pour me rassurer, sans oublier que pendant longtemps j'étais un peu transphobe envers moi-même) et qu'elle pourrait donc choisir mon nom. Seulement quelques mois après le téléfilm (car je manque beaucoup de courage) j'ai fini par lui en parler. Sur le moment elle n'a rien dit, elle était juste gentille. Je me suis dit que c'était bon. Mais quelques jours plus tard, elle se met en colère contre moi et dit que si je lui avait dit que j'étais transgenre, c'était un mensonge pour lui faire pitié, pour pas qu'elle me punisse etc. Je n'ai pas trop compris la logique mais elle ne m'en a jamais reparlé après. Il n'y a que cette année, je ne sais plus quand exactement, je lui ai dit que ça m'avait blessé alors qu'elle disait que j'étais méchant avec elle (alors que je prend bien soin de ne rien lui dire de blessant, contrairement à elle). Elle a fait mine de pas s'en souvenir (je ne sais pas si c'est vrai ou non je ne suis pas dans sa tête) et s'est excusée. Elle m'a demandé l'air inquiète si j'avais encore des "doutes" (alors que quand je lui en avait parlé je lui ai jamais dit que j'avais des doutes, mais que j'étais bel et bien transgenre mais bon...). Je sais pas pourquoi j'ai bloqué, et je lui ai dit que j'étais cisgenre et qu'il n'y a aucun problème. Comme je lui avais avoué ça durant une dispute, j'avais peur qu'elle aie la même réflexion.
Depuis je suis complètement bloqué, je n'arrive pas à lui dire. Je sais même pas comment je devrais faire. Je ne sais pas comment ça va finir.
Mais bon pour avancer faut bien que je lui dise ? mais je sais que je vais pas le faire à moins qu'il arrive quelque chose de grave ou une "illumination".
Je vis seul avec ma mère, personne pour m'aider.
Ma petite sœur de cœur qui m'a beaucoup soutenu a déménagé, on ne se parle plus que par messagerie. Son soutien via messagerie est... beaucoup moins utile ? Elle fait de son mieux, mais j'aurais besoin d'elle à côté de moi.
Je ne connais personne de transgenre IRL, et IVL je n'ose pas embêter mon amie transgenre avec ça.
Mon père n'est pas méchant, mais il vit loin et n'a pas de téléphone portable. Pour le contacter je devrais appeler sur le fixe, et donc parler à mes grand parents avec lesquels j'ai coupé les ponts car toxiques (car mon père est un Tanguy XD). C'est dommage car c'est quelqu'un de compréhensif, même quand il a découvert via GTA (oui le jeu) que j'étais "lesbienne" (je raconterais ça plus tard c'était hilarant XD). du coup ça fait plusieurs années que je ne peux plus lui parler.
Mon ancien demi-grand frère nous a abandonnés il y a longtemps en nous piquant de l'argent. Je sais même pas s'il est vivant mdr.
En bref, je vis seul avec ma mère qui n'a confiance en moi que parce que "je suis une fille", et qui a peur dès que j'ai un comportement trop masculin. Comment je devrais faire moi, pour lui dire que je suis du même genre que tous ceux qui lui ont pourri sa vie ? Même moi je ne me comprend pas, alors elle...
#Je raconte ma vie#Ma vie#Mère#Relation familiale#Famille#Père#Coming out#Problème#Problèmes#Dispute#Disputes#Relation mère-fils#Relation mère-fille#Relation avec sa mère#Il est elle#Blocage#Blessure#Deadname#trans#transgenre#transgenre ftm#trans ftm#transidentité#ftm trans#ftm transgenre#transmasc#transmasculin#garçon trans#garçon transgenre#en français
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(Previously, on the HPI rewatch...)
I, uh... may have gotten a little bit unhinged down the line... Bref, cet épisode me TUE ! On le sent qu’ils sont à la croisée des chemins, ughhhh, si seulement ils étaient pas aussi bornés !!! 😭😭
Le fait qu'on commence direct avec une photo de Gilles et Karadec au milieu des images de Gilles et sa famille, je sais pas vous mais moi ça me met en joie... Gilles est la fangirl numéro 1 d’Adam, confirmed! 🤗
Céline est censée appeler Morgane pour lui dire qu’elle est suspendue... Sauf qu’à cause du timing c’est Adam qui le fait et ça contribue au fait qu’elle lui en veuille, je -- 😰
"Sérieux ?" Le tremblement dans la voix de Morgane, oh babyyyy
"J'ai lâché un CDI en or" LOL mais oui c’est ça
"Ah toi ta gueule sale Judas, tu crois que je vois pas clair dans ton jeu ?" -> elle l'a tUToYé 😱 et je m’en fous que ça soit dans le cadre d’une insulte, lalalalalala je n’entends rien 🙉
Adam qui redescend pas en pression et qui gueule des "ouais !" à Daphné... Le pauvre, il s'en prend plein la gueule alors qu'il a menti à l'IGPN pour la couvrir, hgn, retenez-moi !
La parodie de western... vous le voyez, le nuage de fumée dans la writing room ? 🚬🚬🚬
"Elle a également planté une fléchette dans la fesse de son supérieur hiérarchique" "Le commandant Karadec était sur le point de se faire tuer par une grenouille venimeuse" -> échange le plus lunaire de tout ce show, d'ailleurs ça se voit que Céline peut pas s'empêcher de rire
"C’est une mère célibataire, le père est aux abonnés absents" merci pour Ludo 🤧
"Je sais à quel point ça peut être difficile de perdre une collègue" -> mon bébé Adam est tellement pining qu’il en perd toute subtilité. Good for him
"Il a quand-même l'air vachement affecté" -> OMG Gilles qui VOIT un truc pour une fois, mais qui pousse pas plus loin... *se frappe la tête contre le mur*
"Il est né un 4 octobre, son signe astrologique c'est balance" -> honnêtement c’est une des meilleures répliques de Daphné
Askjfkdjkfjkj, le malaise général quand Gilles commence à causer dégât des eaux et ouragans hypothétiques à Roxane est une de mes scènes préférées... Something something schadenfreude
"Karadec c'est la plus gande poucave que la terre ait jamais portée" -> if only she knew the truth... 😩
Gilles a littéralement des plaques rouges pendant son entretien avec Roxane, je meurs, que quelqu’un fasse un câlin à cet homme
Daphné en mode première de la classe qui veut ABSOLUMENT être interrogée par Roxane, mais 😂😂
"Pourquoi pas moi ?" "J'ai soif" Voilà, je crois que ça résume assez bien la situation 🤣
Karadec vs. le mari violent est ma scène d’interrogatoire préférée je crois. Il y a tellement de mépris et de dureté dans le regard d’Adam, c'est juste... ugh! 🤯 We love a feminist Karadec
J'adore. Ils ont tous interdiction d'entrer en contact avec elle, et entre Gilles qui l'héberge et Adam qui vient carrément l'attendre à la porte... On en parle, du fait que c'est quand-même une grosse violation des règles aux yeux de notre commandant national, ça aussi ? Il se fait tellement de souci pour elle et moi je décède sur mon canap’ 😭
Et Morgane qui lui en veut encore et qui le traite de tous les noms alors qu'il fait TOUT pour la sortir de là, non mais ça me tue, ça... Et elle qui peut pas résister à balancer un indice parce qu'elle est prise au jeu de l'enquête... Et lui qui lui gueule "bonne soirée !" Be still my beating heart 🥹
L'apparition fantôme de Morgane qui fait peur à Gilles me fait toujours autant rire.. Dame du lac vibes, un peu. Et notez bien comment ce show a un truc avec le brossage de dents, quand-même 🪥 😏
"Qui prend le risque de se faire gauler pour excès de vitesse avec deux kilos de came dans sa bagnole ? Personne." Heu, c'est pas l'entièreté du concept des go fast, en fait ?
"Si Karadec est pas trop con, ce qui lui arrive quand-même de temps en temps," mais ce tacle gratuit, non mais le manque de respect... 🤦
Le petit ricanement d'Adam quand il choppe Gilles aux toilettes et constate qu'il appelait Morgane. Toute la scène en fait. Le destin de Gilles est de se faire plaquer contre un mur par des collègues au bord de la crise de nerf 😅
"Je jardine !" Iconique
Dans le baril on voit trop que l'acteur souffle des petites bulles par le nez, ça m'amuse autant que voir un cadavre cligner des yeux
Adam qui engueule Morgane (à raison) ça me fend le cœur... Il est furieux parce qu'il a peur de la perdre... "Continuez à croire que c'est moi qui vous ai balancée si ça vous fait plaisir", mais DIS-LUI 😢
Morgane qui se fait engueuler par Adam dans le 2.02 et qui se tourne vers Gilles en mode "rho, l'autre" mais Gilles la suit pas sur ce coup-là et s'en va aussi vs. Morgane qui se fait engueuler par Céline dans le 2.06 et qui se tourne vers Daphné qui a la même réaction... The parallels!!!!
C'est trop mims comment à chaque fois qu'elle se fait engueuler par quelqu’un qu’au fond elle estime, Morgane a un sursaut de responsabilité et tente d'arranger les problèmes qu'elle cause...
Ludo lui propose de franchir un cap d’engagement dans leur relation et elle en dort pas de la nuit ? Mhhhh... 🤔
Gilles en surchauffe nocturne est AUSSI une de mes scènes préférées tbh
C'est moi où y'a un faux-raccord, "on s'assied et on pose cette tasse", on voit Morgane de dos faire un geste sur le côté pour poser la tasse, et sur le plan juste après, elle refait exactement la même chose ?
Commissaire tourmenté dont j’ai déjà oublié le nom : "Ça faisait longtemps que c'était ambigu entre nous" Adam : *can relate*
Moi je le trouvais très bien le bobard de Théa sur le paradis du pistou 😆
Alors il faudrait quand-même qu'on m'explique le timing parce qu'entre le moment où Roxane raccroche, va s'engueuler avec Céline, et se fait interrompre par Daphné à cause du SOS de Morgane, il s'écoule approximativement cinq minutes, qui suffisent apparemment à Morgane pour avoir son éclair de génie sur les jumelles, aller chez la tueuse, papoter tranquillou avec elle, et se faire courser. Pareil pour le délai entre le SOS de Morgane et le moment où Karadec arrive, ça dure grand max deux minutes, et c'est manifestement suffisant pour que la brigade parte en intervention et arrive au domicile de la tueuse. Conclusion, l'appart de la tueuse, celui de Gilles, et la PJ sont dans le même immeuble, sinon c'est pas possible #friends
Le monologue d'Adam... Je... Je le connais par cœur... "Elle me rend DINGUE"... La menace de démission... My baby’s all in for her, he's so in love oh my goooooooooood 😭
"JE VAIS PAS HÉSITER UNE SEULE SECONDE" Ça fait presque un an et je crois que je m’en suis toujours pas remise 😰
"J'suis contente de vous voir" 😱 Crying, panting, shaking, etc
Le cALiN !!! Sa façon de la regarder juste avant !!! The SOFTNESS!!!!
"On n'est pas non plus obligé de tout tout dire dans la vie" Céline mais je l'aime d'amour 🥰
Vous l’sentez que c’est un de mes épisodes préférés, ou pas ?
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28 décembre :
Balade dans Mendoza et au parc San Martin pour y découvrir le peu qu'a la ville à offrir. A 18h30 bus de nuit pour Neuquén, aux portes de la Patagonie.
29 décembre :
Objectif, atteindre San Martin de los Andes dans la région de Bariloche et ses magnifiques lacs. Malheureusement les bus sont complets et je fais une escale de nuit à San Carlos de Bariloche (ou plus communément Bariloche). La ville n'est pas exceptionnelle et son centre n'est bizarrement pas au bord du Lac Nahuel Huapi mais le nombre de brasseries artisanales est impressionnant. Une 2e escale sera donc à prévoir à mon retour de San Martin.
30 décembre :
Mon bus étant à 13h15, j'ai le temps de faire une mini rando au Cerro Otto. Le sommet est atteignable par télécabine mais strictement réservé aux fragiles. Je ne désespère pas et je suis le chemin de maintenance des remontés (ligne droite) et j'atteins le sommet en 30min (530m d+). La vue sur le lac Nahuel Huapi et les forêts s'étendant sur les montagnes est sublime. Je ne connais pas mais j'ai envie de comparer Bariloche à la région des lacs dans les Alpes italiennes. Retour au hostel par un sentier à travers la montagne, douche et 5h de bus pour San Martín. A l'arrivée je ne perds pas de temps; j'ai trouvé une ballade de 4 jours autour du Lac Lácar au parque Nacional Lanín et je compte bien l'initier dès maintenant. Je fais des courses puis je pose ma tente au début du parc à 5km de la ville et au bord du lac. Paysages toujours aussi beaux; je m'y baigne d'ailleurs.
Bilan: 17km, 700m d+
31 décembre :
Grosse journée au programme; ascension du Cerro Colorado (1800m, une colline...), puis du Cerro Sábana, puis d'un 3e sans nom. Sur le chemin j'admire de beaux panoramas sur le Lac Lácar d'un côté, et sur le volcan Lanín de l'autre. Mis à part le volcan qui est une excroissance blanche dominant la région, j'avoue m'être tellement habitué à des vues grandioses depuis avril 2023, que celle-ci ne me fait pas tellement d'effet. Même si les énormes lacs donnent une impression que les Alpes ont déménagé dans le Péloponnèse. A ce stade j'en suis à 16km et 1600m d+, donc content d'entamer la descente vers mon prochain bivouac. Sauf que la descente ne se passe pas du tout comme prévue. Seuls les sommets sont dépourvues de végétations et le reste de la rando se passe dans la forêt; et le sentier est très très mal entretenu, voir pas du tout, et je me retrouve par conséquent souvent hors piste. Le hors piste en moyenne/haute montagne avec ses passages casse gueule je connais, mais le hors piste dans une forêt primitive, ça, c'est un enfers qui ne m'avait pas manqué (depuis la Guyane... ou j'y ai littéralement laissé ma peau). Je galère (évidemment sans machette) à travers roseaux, pins, toute sortes d'obstacle qui à leur contact me hurtique les bras pour essayer à chaque fois de retrouver le sentier. En bonus, des moucherons qui me volent constamment autour de la tête. A un moment je dois faire mes lacets; 30 moucherons me volent autour, je transpire comme Niagara, mon corps me gratte, et je pète un câble et insultant tout ce qui m'entoure. Au passage j'éclate quelque 100aine (sans exagérer) de moucherons m'enduisant de leur jus la peau. Je rêve d'un super pouvoir qui puisse tout brûler autour de moi. Bref! J'y arrive au bout de 2h, et après seulement 2km. Là je me retrouve dans une vallée barricadée par des barbelés. L'Argentine est aussi un pays de cow-boy et des estancias occupent la majorité du territoire. J'enjambe donc les barrières, dis bonjour aux vaches, me fais discrets quand j'aperçois des rancheros (je suis chez eux illegallement), et poursuis mon chemin. A un moment je pénètre une clairière où deux chevaux broutent tranquillement l'herbe. A 10m d'eux, l'un me fixe du regard et se met à taper du sabot. 2 secondes plus tard je suis à 100m de lui, un arc et 10 fléches en bois confectionnées aves les moyens du bord. Puis je le contourne en suivant un rayon de sécurité. J'arrive enfin au bivouac prévu! Un lac sans vue dégagée... mais je m'enfou, je suis exténué et je meurs de faim. Je monte la tente, me fais des pattes, et m'enfonce dans les bras de Morphé. Il me souhaitera la bonne année à 00h00 et je l'ignorerais complètement.
Bilan: 30km, 1900m d+ (et 19kg sur le dos)
1 janvier:
Après une nuit réparatrice je poursuis ma descente jusqu'au lac Lácar où je retrouve la route (non revetue). Je comptais sur du stop pour faire les 13km qui me séparent du prochain sentier mais j'avais oublié qu'en ce jour et à 7 heure les gens normaux dorment. Du coup je marche en faisant du pouce aux peu de voitures qui passent. Toutes me refusent alors qu'elles ont de la place et qu'il n'y a qu'une seule destination... encore une fois j'essaie de faire preuve de tolérance plutôt que de haine. A mi-chemin pourtant une voiture s'arrête pour me prendre. Elle est chargée et le conducteur fait un effort pour me trouver une place. Comme quoi... ce n'est qu'une question de volonté. C'est un immigré anglais donc qui me fera faire les 5km restants. Puis je continue ma marche qui n'a pas trop d'intérêt puisque le sentier et partagé avec des voitures. Après avoir fait un detout pour observer une belle cascade et au bout de 8km, le sentier devient uniquement piéton. C'est beaucoup plus agréable et 8km plus loin j'atteins mon bivouac sur une plage paradisiaque. 2 groupes venus en bateau sont déjà présents mais ils me laissent le terrain libre en fin d'après-midi. Encore une fois j'ai l'impression d'être sur une plage dans les cyclades mais dans les Alpes. Et seul. Le bonheur. Sieste, plouf, miam, zen, dodo.
Bilan: 27km, 800m d+
2 janvier:
Je quitte ce paradis et effectue le 3e tiers de ma boucle. Je longe la côte qui donne d'autres possibilités de bivouacs sur plage paradisiaques puis contourne un sommet qui bloque le chemin de la côte. Petit détour vers la Laguna Escondida, un gros miroir reflétant des sommets enneigées au loin. L'eau est limpide comme le lac d'Annecy. Je finis la ballade à travers un chemin pour 4x4 qui m'expose au soleil et me fatigue. Je me permets donc une sieste à l'ombre d'un arbre dans un clairière et je me réveil à côté de 3 veaux qui me fixe du regard. C'est très mignon et ça me rappel que j'ai faim. Arrivé à l'embarcadère sur le lac Lacar je prends direct un bateau qui me ramène à San Martín. Je pose la tente au camping et je cours me rafraîchir avec une excellente pils. J'ai très faim et je commande une pyramide de frite puis un Burger. Chacun de ses plats étant destiné à rassasier une personne affamée. Précision : 3 paramètres influent sur la quantité de nourriture que je peux avaler.
1: Le circuit de randonnée que je viens d'effectuer. J'ai fait presque 90km et 3600m d+ en jours, un record. J'ai donc rarement eu aussi faim
2: la qualité de l'apéro : les bières sont excellentes et pas chère du tout.
3: la qualité de la nourriture : très bonne et prix correct.
Toutes les conditions sont réunies pour que je m'explose le bide. Je mettrai 5h avant de pouvoir m'allonger sans avoir mal au ventre. Sachant que je suis exténué de ma journée, j'alterne, entre 21h30 et 02h30, marche autour du camping, position allongée, position assise, WC, en boucle...
Bilan: 28km, 900m d+
3 janvier:
Repos et logistique pour gravir le volcan Lanín. Après moultes réflexions et échanges avec guides de montagnes, je décide de faire l'impasse sur ce sommet. Trop chère et prochaine fenêtre d'ascension dans 3 jours. J'organise donc mon prochain trek à partir de Bariloche que je rejoins le lendemain.
4 janvier:
Transfert à Bariloche avec le bus de 15h00 qui me gâche bien la journée puisque j'arrive à 19h00.
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Haine et extrémisme sur Twitter : rester c'est cautionner ?
Au moment où j'écris ces lignes, je suis en pause de Twitter. Je me fais une sorte de "Dry January" de l'Oiseau Bleu.
Je viens de voir que Twitter a banni à nouveau une sorte de nazi américain dont le compte venait d'être rétabli 24 heures plus tôt. J'en parlais dans ce billet.
Donc, on a 1 histoire qui fait les gros titres...
...pendant que des douzaines d'autres fachos, antisémites et extrémistes divers réinvestissent l'Oiseau Bleu pour y semer des hoax et des discours haineux.
Mais il n'y a pas que les outrances de ces extrémistes les plus voyants. Avez-vous songé au pouvoir que Twitter peut donner à l'extrême-droite ? Songez à la récolte de données de toutes sortes, aux influences plus ou moins subtiles que pourront avoir l'usage habile des algorithmes, etc.
Et, surtout, si vous considérez que vous ne pouvez pas vous passer de Twitter, il faudrait songer au pouvoir que peut exercer sur vous celui qui en est le propriétaire.
Je suis un anonyme. Je n'ai pas de carrière universitaire. Je ne suis spécialiste en rien. Je n'ai pas de chaîne YouTube. Je ne suis ni un artiste, ni une vedette, ni un dirigeant politique, ni un businessman prospère. Je n'ai ni notoriété, ni prestige. Et avec des débunks, un peu de fact-checking, quelqus trouvailles, quelques anecdotes, j'ai rassemblé plus de 5'500 abonnés sur Twitter. C'est beaucoup pour moi. Ça me monte un peu à la tête, je l'avoue. Et j'aurais bien envie de les garder tous ces abonnés. Voire d'en avoir plus.
C'est bon pour mon égo, ça, des milliers d'abonnés.
Je me sens important avec des milliers d'abonnés.
Mais je ne vais pas pouvoir fermer les yeux sur ce qu'il se passe sur Twitter et encore moins sur ce qu'il pourrait s'y passer.
Faire comme si de rien n'était, continuer comme avant, ce serait cautionner, être complice. Générer du trafic et des revenus publicitaires. Contribuer à entretenir le cercle vicieux qui fait que les uns restent parce que les autres y sont, mais les autres y sont parce que les uns restent.
Et il me paraîtrait dérisoire, pour ne pas dire complètement con, de réagir en allant passer un maximum de temps sur Twitter pour y multiplier les signalements et les messages d'indignations, et y générer du trafic et des revenus publicitaires, tout en m'imaginant combattre ainsi la haine en ligne...
Je ne vais pas fermer mon compte tout de suite. Mais après mon break du mois de janvier, mon activité sur Twitter va se limiter à 2 choses :
Garder le contact en échangeant en DM avec quelques personnes.
Partager du contenu que j'aurais publié hors de l'Oiseau Bleu, comme ce billet-ci sur Tumblr. Ce sera peut-être des billets de blog publiés sur d'autres plateformes, sur Post par exemple. Je réfléchis aussi à un blog sur WordPress. Ou à des débats sur Reddit. Et il y a mon compte Mastodon.
Et je pense qu'il y aura un moment où j'arrêterai. Je garderai mon compte inactif, sans le fermer, pour conserver le contenu. Et puis à terme, il faudra réfléchir... ben... à mettre un terme, justement.
Et je vous invite chacun et chacune à réfléchir à ce que vous voulez faire de votre temps, à comment est-ce que vous pouvez établir des contacts, échanger, débattre, faire passer vos infos, suivre l'actualité, partager vos coups de cœur et coups de gueule, sans contribuer à cette machine à diffuser la haine et le mensonges qu'est en train de devenir l'Oiseau Bleu.
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17 septembre
je fais des infidélités à r., je viens d'envoyer ma nouvelle chanson, ou plutôt le prototype de ma nouvelle chanson à c., il m'a dit qu'il était à la rue, enfin je sais pas s'il l'est toujours, j'espère pas. pendant que j'étais en train de prendre de ses nouvelles j'ai eu une notif de r. qui me demandait si j'étais en train de faire caca sur le selfie avec un flacon de v.i.poo saveur citron que je lui ai envoyé dans les toilettes de h. vendredi soir et j'ai pas pu m'empêcher d'éclater d'un rire sale. pourtant apparemment vendredi soir chez h. je faisais la gueule, parce que hier soir quand elles disaient qu'elles avaient trouvé k. plus avenante que d'habitude, j'ai fait remarquer que ne pas être avenante n'était pas toujours un choix, ce à quoi m. a répondu sèchement que c'était pas compliqué de faire un effort, ne serait-ce que par respect pour les autres, et d'un coup j'ai senti les larmes derrière mes yeux et j'ai commencé à tourbillonner vers les ténèbres en passant par des endroits archi sombres (pas envie d'en parler ici) et au fond la mort me faisait des grands signes. c'est la seule qui peut tout arrêter. je l'ai pas dit ça à c. quand il m'a demandé comment je me portais. et je le dirai pas à f. demain non plus, mais elle de toute façon elle me demandera pas comment je vais.
à part ça j'ai passé une plutôt bonne première journée toute seule, je me suis réveillée avec une hallucination auditive de la voisine qui ouvrait la baie vitrée en appelant mon nom puis j'ai allumé mon téléphone et vu la vidéo que m'envoyait s. où on les voit toutes autour d'une table dans un bar à prague en train de chanter le refrain de ma chanson de la perf de minibang et j'ai explosé de rire et de joie. après avoir déjeuné je suis partie me promener sur la plage grise j'ai marché pendant deux heures et demi en marmonnant des paroles inspirées par la surface marbrée des grandes flaques au bord de l'eau qui ressemblaient à la surface de saturne et aussi à la table basse du salon chez r. et j. quand j'étais petite. hier je marchais dans les vagues entre les digues et mes pieds se prenaient dans les algues et je levais les jambes bien haut pour m'en dépêtrer et je trouvais que c'était une excellente métaphore pour sortir de la mélancolie, je faisais comme si c'était les algues qui me tirent vers l'abysse, celles de kirsten dunst dans melancholia, et que j'avais enfin trouvé un moyen de m'en dépêtrer. délivrer. délivrée libérée. mais bof, pas trop non.
dans tous les cas j'adore me faire pousser par les vagues, qu'elles soient brutales avec moi, qu'elles me plaquent me broient et m'avalent, la mer est mon amante préférée. mais c'est aussi la seule que j'aie jamais eue. the sea is the only lover i've ever had. ce matin elle était verte et elle faisait du bruit pendant que moi je vivais ma petite histoire avec saturne. j'ai passé l'après-midi à travailler sur le texte pour point de chute et ce soir j'ai fait une ratatouille et j'ai regardé un truc sur les camping cars sur m6 et la météo parce que ça y est je suis devenue maman.
18 septembre
finalement en attendant que r. se libère c'est avec c. que je vais collaborer, le temps d'une soirée, il m'a proposé de faire une performance poétique avec lui pour l'expo de tina gillen et j'ai dit oui mais j'ai pas osé demander si c'était rémunéré. il m'a envoyé un million de liens vers des appels à projets/maisons d'édition/revues littéraires/le contact de son ami poète qui ressemble à linus de lost qui pourrait être intéressé par la publication de mon éventuel recueil de poésie dans sa maison d'édition/etc. on est restés au téléphone pendant une éternité et je voulais que tout le monde m'entende parler de ma vie professionnelle d'artiste avec mon accent de la ville sur la terrasse.
j'ai pas continué ma chanson sur saturne ce matin parce que les flaques avaient disparu et j'avais pas d'inspiration, y avait de la brume et le soleil pointait derrière et j'étais trop occupée à essayer d'arriver au cap avant que la brume se lève pour faire des photos d'aqualand dans le brouillard, mais le ciel bleu m'a rattrapée. j'ai fait des jolies photos quand même. y avait des pêcheurs qui pêchaient dans le bassin qui entoure l'île d'aqualand avec les toboggans en fond et ça faisait une atmosphère très paisible. sur le chemin du retour j'ai vu deux femmes rentrer dans l'eau seins nus, une jeune et une plus âgée, peut être que c'était sa mère. la jeune portait un short et je me suis demandé si c'était la même fille que j'avais vue faire la roue seins nus en boxer un matin en haut de la plage. quelle vision.
19 septembre
je me suis levée tard ce matin alors au lieu d'aller au cap d'agde je suis allée nager parce qu'il faisait chaud, j'ai mis mon bonnet et j'ai fait des longueurs de crawl entre les digues, oh c'était bien. j'essaie de trouver une autre manière de le décrire qu'en disant que je me battais avec la mer parce que je me battais pas avec elle, j'adore l'énergie qu'elle me fait dépenser pour pouvoir lui répondre, rester à niveau, j'adore l'intensité que ça génère, j'adore comme ça devient même un peu dramatique. je voulais plus sortir de l'eau. je me suis laissée flotter sur le dos en essayant de m'abandonner complètement à la mer en écartant les jambes face à l'horizon et je pensais à la femme que j'avais entendue sur france inter en déjeunant qui disait que quand on avait fait l'expérience de violences dans l'enfance, souvent après on avait du mal à s'abandonner pendant le sexe et donc à avoir des orgasmes. hier soir en regardant l'amour est dans le pré à un moment y avait un type qui me faisait tellement de peine que j'ai du changer de chaîne parce que ça me rendait trop triste et je me suis demandé si moi je passais dans ce genre d'émission, combien de gens changeraient de chaîne devant l'insoutenable nullité de ma vie?
quand je suis sortie de l'eau j'ai posé mon haut de maillot et je me suis allongée sur ma serviette et c'est mon nouveau truc préféré. c'est très bien pour la confiance en mon corps. je me suis mise d'abord sur le ventre, puis sur le dos, la tête tournée vers la mer, je regardais les gens passer au bord de l'eau en scrutant leur regard pour voir s'ils me mataient mais non, personne me matait, personne n'en avait rien à foutre de mes seins. moi j’en ai toujours quelque chose à foutre des seins. je les regarde du coin de l’oeil, derrière mes lunettes de soleil, sous ma casquette, je mate les femmes seins nus sur la plage et j’ai l’impression d’être une voyeuse perverse. je me suis baignée seins nus avec f. quand elle m'a rejoint, il était temps que la mer voie mes seins. en même temps avec toutes les fois où elle les a fait sortir de mon maillot c'est pas comme si elle les avait jamais vus, petite coquine.
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L.
Je travaille dans l'informatique, pour une grosse boîte. Mon boulot consiste à gérer un gros parc informatique et à aider les utilisateurs en cas de problème.
Il y a un an je fais la connaissance de L. Petite blonde joviale pleine de charme. Elle m'appelle pour un souci informatique. Je me rends dans son bureau et je la dépanne. Elle est intelligente, drôle et elle rougit vite. Passer du temps en sa compagnie est agréable. Le lendemain elle me fait revenir pour un autre problème. Et ainsi de suite tous les jours. Quand elle n'a plus de problème elle invente des projets qui nécessitent ma présence et mon expertise.
Cela dure pendant des mois !
Quand je suis en vacances, elle n'a plus de demande. Plus de problèmes. Mes collègues ne connaissent même pas son existence. Quand je reviens, le rythme reprend. J'y suis tous les jours.
C'est une collègue et elle est plus jeune que moi, deux bonnes raisons qui me font rester un peu en retrait. Mais son charme m'attire et il est évident que je lui plais.
Cependant quelque chose cloche sans que je sache dire quoi.
A chaque fois que je tente un rapprochement, pas physique mais ne serait-ce que dans la conversation, elle semble se rétracter. Signe contradictoire par exemple avec sa propension à me contacter sur mes jours de congés pour me dire qu'elle m'expliquerait volontiers en quoi consiste son travail de façon plus précise (je lui avais posé la question et sa réponse avait paru quelque peu lapidaire). Bref je ne comprends pas tout.
Entre temps je rencontre P avec qui j'ai une courte histoire mais qui me chamboule pas mal. J'essaie de me détacher un peu de L. et de son comportement yoyo à mon égard. Et puis il y a A qui voudrait bien qu'on se voit pour "baiser" et qui annule toujours au dernier moment me plongeant à chaque fois dans un état cafardeux.
Bref le contact avec L s'estompe peu à peu.
Jusqu'au jour où L me recontacte soi-disant pour un problème assez urgent. Je me rends dans son bureau et règle en fait un problème mineur.
- J'ai de bonnes nouvelles ! me dit-elle enjouée. - Ah oui ? Raconte ! - Je suis enceinte et mon copain et moi nous allons acheter une maison !
Je tombe quasiment littéralement de ma chaise.
A ce moment là je me demande si je suis un gros affabulateur qui a vu des signes là où il n'y en avait pas ou bien... ou bien quoi ?
J'en discute quelques temps plus tard avec un couple d'amis. Elle, toujours dans l'analyse, me dit que L a voulu se tester avant d'entrer de plein pied dans sa vie d'adulte. Lui conclut l'affaire par : "C'est une connasse !" Puis il s'explique : "Elle savait que tu sortais d'un divorce, que tu n'étais pas forcément dans une période facile de ta vie et elle s'est foutu de ta gueule délibérément. C'est une connasse !!"
Quand j'y repense, je me souviens de toutes ces fois où j'ai tenté d'en savoir plus sur elle et où elle aurait aisément pu simplement me dire qu'elle avait qqn.
Or elle ne l'a JAMAIS fait.
Elle a tout du long gardé cette information jusqu'à l'annonce de sa grossesse. J'ai compris plus tard (génie que je suis) que toute la période où elle s'était rapprochée de moi coïncidait avec la période durant laquelle elle essayait d'avoir un enfant.
Aujourd'hui cette histoire m'amuse plus qu'elle ne m'attriste mais elle me laisse tout de même perplexe.
Je reste malgré tout en bons termes avec L.
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Happy April Fool's Wes! How is our favorite clown doing?
He takes in a deep breath.
"Qu’est-ce que tu viens juste de dire sur moi petite salope ? je te ferais savoir que je suis sorti premier de ma classe dans la légion étrangère, et j’ai participé à de nombreuses attaques surprises contre Al-Quaeda, j’ai plus de 300 victimes confirmées. Je suis entrainé aux tactiques de gorilla et je suis le meilleur sniper de toutes les forces armées françaises. Tu n’es rien de plus qu’une autre cible. Je te ferais disparaitre de cette putain de planète avec une précision jamais-vue auparavant, souviens-toi de mes putains de paroles. Tu peux pense que tu peux t’en sortir après avoir dit de la merde sur moi sur Intemet? Réfléchis-bien, enculé. Au moment où nous parlons je contacte mon réseau d’espions à travers le globe et ton IP se fait tracer en ce moment même alors prépare toi à la tempête, vermine. La tempête qui va balayer cette pathétique petite chose que tu appelles ta vie. T’es putain de mort gamin. Je peux être n’importe où, n’importe quand, et je peux te tuer de plus de sept-cent manières, et cela juste à mains nues. Je suis non seulement très entrainé au combat à main nue, mais j’ai aussi accès à l’arsenal entier de l’Armée de Terre de la République et je l’utiliserai à son maximum pour rayer ton petit cul du continent, espèce de petite merde. Si seulement tu avais su la vengeance impie qui t’attendait grâce à ton petit commentaire “malin”, peut être tu aurais fermé ta gueule. Mais tu ne l’a pas fait, non tu ne l’a pas fait, et maintenant tu en paye le prix, putain d’abruti. Je vais te chier dessus jusqu’à ce que tu te noies dedans. T’es putain de mort, gamin."
#ic#aprils fool#wes is only allowed to speak this once#and yes this is the navy seals copypasta#i dont know how accurate the translation is tho
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donc alors oui william meyer. bon déjà il ressemble à ça :
(matez moi cet HOMME premièrement. à la base moi je regardais la série que pour ses beaux yeux hein)
donc oui. william meyer. on va faire saison par saison si vous le voulez bien
saison 1 :
milliardaire suisse, il a investi 24 milliards d’euros dans une mission spatiale pour être le premier sur mars avec son équipe de scientifiques. sauf qu’ils sont pas les premiers. il lâche cette ligne de texte absolument incroyable « je pourrais vous dire que c’est un demi-échec, que ça fait partie du jeu, mais je préfère la franchise, et franchement on s’est fait baisés » i am in love with you. parce qu’en fait il a cette sorte d’arch nemesis en la personne d’un autre milliardaire américain, ivan goldstein, ils se tirent la bourre tout le temps. et c’est la mission envoyée par goldstein (bloqué sur terre par une maladie mortelle) qui arrive en premier. des gens viennent de mourir, plus de carburant, ils sont morts dans 24h si ils font rien, et ce CONNARD avec son petit sourire là « bienvenue sur mars ! » PTN TA GUEULE WILLIAM. ils trouvent un pelo russe qui date de 1963 et qui a pas vieilli et qui en fait a des super pouvoirs. c’est la merde tout le monde pète un câble l’informaticien essaye désespérément de faire remarcher l’AI et lui il est à faire du bruit en sirotant son café en lâchant « c’est toi le meilleur tkt poto ! par contre bouge ton cul mais genre vraiment ». c’est la grosse merde avec le russe qui révèle des trucs, on se rend compte que william est une petite salope qui ment à tout le monde. le truc à savoir vraiment en fait avec william c’est qu’il a de grosses control issues, ce qui est à la fois son pire défaut et son meilleur atout. il m’énerve avec son t shirt rolling stones de merde là si il consent à fermer sa grande gueule je pourrais l’aimer tranquille mais NON faut que ce soit un mec qui n’a aucune race. donc la psy qu’ils avaient emmené en gros c’est le jésus martien. il tente un move bien dans sa vie, il se prend une balle dans la jambe et j’ai en tête cette très belle scène où il a son t shirt à moitié ouvert trempé des pieds à la tête de sueur et whimpers. un grand moment de cinéma. il s’est pris un coup dans le bide, une balle dans la jambe et il a enfin avoué qu’il était un connard fini. donc bref tout ce petit monde repart sur terre mais sans jeanne la psy/jésus martien. pour conclure je l’adore il me fait trop rire c’est tellement un bâtard j’ai envie de le gifler. moi @ william dès qu’il parle : ferme ta gueule mon amour 🥰🥰🥰 s’il te plaît.
saison 2 :
donc bref tout ce petit monde repart sur terre mais sans jeanne la psy/jésus martien, ils décident de tous repartir sur mars aller chercher jeanne parce que depuis leur adn même à muté et eux aussi ils commencent à développer des sortes de connexions/super pouvoirs chelous. sauf que. et il est primordial ce sauf que. william a carrément merdé entre temps. il a eu une aventure y’a 21 ans avec une meuf a singapour, la meuf a eu une fille, il a jamais voulu la rencontrer, il a décidé de prendre contact avec elle devant sa porte d’appart le jour de l’enterrement de sa mère (bravo william le tact c’est vraiment ton fort). « alice je suis ton père » et il lui file une copie de l’odyssée d’homère parce que c’est hyper important pour lui parce que son propre daron lui avait donné après la mort de sa grand-mère donc c’est hyper symbolique pour lui. ils passent un contrat père-fille sur un an renouvelable je déconne même pas ET ILS NÉGOCIENT ENSEMBLE CAR ILS SONT TOUT AUSSI TARÉS L’UN QUE L’AUTRE. finalement ils finissent par s’entendre, sauf que. alice était malade d’une maladie orpheline qui l’a tuée pas si longtemps que ça après les retrouvailles avec son papa. on pensait que goldstein était crevé, oui et non. son vrai corps est crevé, mais il a réussi à transmettre sa conscience dans un corps « artificiel » qui n’en est pas vraiment un, c’est compliqué, car « personne ne devrait enterrer son enfant ». william « ah ouais j’suis pas PDG de la firme de mon ancien ennemi? dans trente minutes je le suis officiellement fdp » meyer. il fait la plus grosse connerie de sa vie, il tente de refaire ce que goldstein a fait pour sa gamine, sauf que comme elle est morte avant qu’il puisse transférer sa conscience, eh bah il s’est dit je garde le corps par contre j’implante l’IA super intelligente.
alexandra : vous êtes humain, finalement.
william, avec la voix qui craque : j’ai pas pu passer beaucoup de temps avec elle. la vie me l’a reprise. une maladie orpheline. elle m’a rien dit pour qu’on profite de notre temps ensemble. à chaque fois que je la regarde [alice IA], elle me rappelle que ma fille est morte.
WILLIAM STOOOOP AVEC LES PARALLÈLES AVEC TES PROPRES TRAUMAS. sauf que du coup alice IA devient hyper puissante et hyper méchante et elle bute la meuf qu’ils étaient venus chercher (c’était pas vraiment elle en fait) sur mars devant eux lui il détourne le regard en mode « putain… » BRO C’EST LES CONSÉQUENCES DE TES PROPRES ACTIONS. ils sauvent jeanne jésus martien, sauf qu’il tente de tuer alice IA pour la stopper, elle tente la carte le prendre par les sentiments dans une scène absolument déchirante, il tire, ça loupe, elle le FUCKING POIGNARDE. jeanne utilise ses super pouvoirs pour remonter dans le temps, comme elle sait qu’elle pourra pas empêcher william de faire ce qu’il a fait elle lui dit juste de leur donner un moyen d’arrêter alice IA, d’une façon ou d’une autre. il écrit une ligne de code qui basically la tue si on lui dit dans l’IA qu’il lui implantera, jeanne le dit, alice IA meurt, WILLIAM AUSSI. IL EST MORT EN MÊME TEMPS QUE SA FILLE JE VAIS M’EXPLOSER LE CRÂNE CONTRE UN MUR. ils. ils meurent côte à côte. leurs mains se touchent presque. i’m gonna go fucking insane. je l’ai tellement bien diagnostiqué depuis le début en fait il a tellement de control issues parce qu’il veut être le seul à blâmer pour tout sauf que quand ça sort de son contrôle il panique il fait de la merde et ça éclabousse tout le monde he has crippling depression and he’s the kind of man ready to burn the world for someone he truly loves (they are not many) i’m gonna fucking kill myself he’s just a silly little guy. i need a moment.
saison 3 :
saison 3 le seul qui a décollé de mars se retrouve dans une réalité alternative où personne n’est jamais allé sur mars, où tous nos protagonistes n’ont pas les mêmes vies. la vraie alice n’est jamais morte et a toujours connue son père, son père n’est pas fasciné par l’espace, ils n’arrivent plus à se parler, PEU IMPORTE L’UNIVERS LEUR RELATION N’EST PAS BONNE. et cette fois c’est william qui est mortellement malade. et il est pote avec l’arch nemesis. à partir de l’épisode 3 environ on comprend qu’il est complètement tarjmoule, mais en fait c’est pas trop sa faute. 2e jeanne dans cet univers alternatif, que j’appellerais evil jeanne, a merdé sévère parce que quand l’autre jeanne de la saison 2 a voyagé dans le temps pour demander à william d’aider à arrêter alice IA ça a créé cet univers alternatif. ce qui fait que william n2, que j’appelerais williain’t, a les souvenirs du vrai william. ce qui lui a filé une dépression depuis la plus tendre enfance, un don de prémonition + une tumeur au cerveau. il vrille assez fort en prenant en otage sa propre fille, son mec et evil jeanne pour qu’ils l’aident à faire disparaître la tumeur et qu’il arrête de souffrir deux minutes. evil jeanne a un flashback bonus de williain’t jeune qui a essayé de la tuer quand elle était gamine, elle veut se venger, elle apprend par le deus ex machina providentiel qu’elle doit accomplir son Destin™️ donc williain’t ne crève pas de suite. evil jeanne s’énerve sur des mecs et les tue violemment, williain’t prévient que ça va merder (et pour une fois dans sa vie il a raison). ils partent en mission spéciale avec evil jeanne, williain’t est bien engagé sur le chemin du décès. elle utilise ses pouvoirs pour buter les mecs qui sont après eux, sauf qu’en faisant ça elle influe directement sur le lien télépathique/super pouvoir entre elle et williain’t, et ÇA LE BUTE. DANS TOUS LES UNIVERS IL CRÈVE OU QUOI. on le laisse sur le bord de la route comme une vieille merde. evil jeanne ouvre un super portail, rencontre jeanne de la saison 2, elles « fusionnent », evil jeanne devient dieu, elle crée un trou noir qui détruit le monde voire même cet univers tout entier. fin de la série.
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Madame Dragon
Le premier moment où j’ai posé les yeux sur elle, j’ai su qu’elle allait être mon model, mon mentor, mon inspiration. Elle avait le physique japonais, petite et menue mais dégageait quelque chose de vibrant, de rayonnant, de joyeux. Elle avait un carré court et décoloré en blond et toujours des vêtements sophistiquement à la mode. Ces ongles étaient longs et recouverts de petits brillants. Elle parlait toujours avec excitation, ce qui lui donnait une voix un peu aigue. Elle se plaignait d’avoir un prénom en une seule syllabe, elle trouvait que ça faisait trop japonais et pas assez cool.
Madame Dragon devait avoir environs mon âge et était dans l’entreprise depuis plus de 2 ans. Elle avait beaucoup de projets et était toujours prête pour de nouveau.
Le lundi elle aimait bien nous raconter les choses qu’elle avait faites pendant le week-end et les accessoires mignons qu’elle avait acheté. C’était ce qu’on pourrait appeler une personne pétillante.
C'était celle qui lancait les discussions dans l'open space et adorait parler d'histoire d'amour. Elle était une membre active dans le groupe avec elle, Madame Yakyu et Monsieur No. A eux trois, ils ne s'arretaient jamais de parler, et crachaient ou adoraient les gens au grés des discussions.
Un jour, Monsieur Kame lui a proposé des places pour un spectacle de danse car il savait qu’elle aimait ça. Elle les a pris avec plaisir et avait hâte. Le lendemain de la représentation, elle remercia Monsieur Kame chaleureusement et commença à s’extasier sur la beauté du spectacle pour accompagner ses remerciements. Monsieur Kame, accepta ses remerciements et une fois cela fait, alors que Madame Dragon commença son laïus sur la beauté du spectacle, repris son travail. Par respect, tout le monde lui posait des questions et faisait la discussion.
Puis tout d’un coup, Monsieur Kame lança un « Usurai ! » dans l’open-space et le calme se fit. Je cru à une plaisanterie mais le silence de plomb qui se posa sur la pièce me fit comprendre de mon erreur. Il lui avait vraiment demandé de fermer sa gueule. J’étais très choqué et ne savait plus quoi faire.
C’est à partir de ce moment que je commençais à comprendre des choses. Je commençais à entendre le mot "Morahara" (harcelement) dans les discussions entre Monsieur No, Madame Yakyu et Madame Dragon. Monsieur Kame et Madame Dragon mangeaient souvent ensemble mais je sentais Madame Dragon de plus en plus réticente envers ces têtes à tête.
Puis la saison des moussons arriva et Madame Dragon commençait à sombrer. Elle était éteinte et elle disait à qui voulait bien l’entendre que c’était à cause du temps.
Je remarquais qu’elle faisait de plus en plus de pause et de plus en plus longues.
Puis elle commença à demander des jours de télétravail en plus pour aller voir un médecin et faire des examens. De plus en plus. Et toujours, elle revenait le lendemain en nous disant que les résultats n’avaient rien montré de particulier.
Puis un jour, alors de Madame Dragon était partie du bureau depuis 10 minutes, une dame du bureau d’à côté toqua à notre porte et demanda Madame Yakyu. Madame Dragon s’était effondrée dans le couloir et n’arrivait pas à bouger. La dame, qui sortait d’un autre bureau, l’avais vu et Madame Dragon avait demandé, d’une toute petite voix qu’elle aille la chercher.
Elles sont restées longtemps dans les couloirs et le boss m’a demandé d’aller voir si elle allait bien. Je me suis fait dégager par Madame Yakyu, évidement, qui m’a dit d’un ton sec que ce n’était pas un spectacle.
Puis Madame Dragon est revenue à son bureau en disant que tout allait bien et qu’elle n’avait juste pas bien dormis.
Elle n’est jamais revenue au travail. Ni le lendemain, ni les jours d’après. Elle envoyait des messages sur le groupe de l’entreprise en disant qu’elle allait bien et qu’elle allait revenir, mais elle ne revenait pas. Puis les contacts se sont faits de plus en plus rares, pour disparaitre totalement.
Je ne saurais certainement jamais la vérité ou ce qu’il s’est vraiment passé. Je sais que Madame Yakyu est toujours en contact avec elle, mais elle ne dit rien de plus quand on lui pose des questions.
Je dis cela peut- être parce que je n’ai jamais vraiment travaillé avec elle et que nous n’avons partagé le même bureau que quelques mois mais Madame Dragon restera dans mon cœur, la collègue la plus cool.
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