#gratté
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Edmond se tournait et se retournait sur la pauvre paille qui lui servait de lit depuis les longues années qu’il habitait le cachot. Il avait perdu le compte des jours quelques temps après sa captivité, mais cela devait faire plusieurs années, n’est-ce-pas ?
Une nouvelle crampe lui crispa le dos, et il changea encore de position dans le vain espoir de dénouer le nœud qui s’y était formé. La douleur ne partait pas, et le sommeil ne vint pas, alors, abandonnant l’idée de dormir, Edmond se leva et se mit à marcher en cercle.
Depuis quelques jours, une sensation de brûlure pulsait entre ses omoplates. Au départ, le dérangement n’était que très faible, la sensation à peine plus perturbante qu’une piqûre de moustique. Mais la situation avait petit à petit empiré, et désormais sa peau le démangeait terriblement. Edmond se serait bien gratté d'avantage, mais il en avait déjà irrité la zone douloureuse jusqu’au sang, et la moindre touche aggravait le sentiment de brûlure qui grouillait sous sa peau.
Il se résolut d’en parler au porte clé qui venait lui apporter sa soupe.
Ce dernier, mis au courant de l’étrange maladie qui frappait le prisonnier et soucieux de ne pas voir sa mort prélevée à sa paye, s'empressa de signaler à Edmond de se déshabiller.
“Je ne vois rien,” dit le geôlier une fois qu’Edmond eut enlevé sa chemise pour révéler son dos nu.
“Regardez encore !” demanda Edmond, désespéré de trouver la source du mal qui le tourmentait tant.
Le geôlier se pencha, lorgnant le dos du prisonnier. Les repas frugales de la prison d’If avaient rendu le prisonnier maigre, les os saillants, mais l’on pouvait encore apercevoir la silhouette des solides muscles qu’on les marins.
“Non, vraiment. Je ne vois rien.”
“Merci.” soupira le prisonnier en s’écartant tristement.
Le geôlier n’avait aucune raison de se moquer de lui. Après tout, les portes-clés n’avaient que peu d’intérêt à le voir mort, emprisonné comme il était. C’était donc que l’homme disait la vérité, et que le mal qui déchirait le dos d’Edmond demeurait invisible.
Une fois son geôlier parti, promettant qu’il appellerait le docteur si les choses s’aggravaient, Edmond écarta sa soupe. Il n’avait pas faim. La douleur qui vrillait juste sous ses omoplates s'étendait maintenant sur toute la longueur de son torse, comme pour se moquer de sa faiblesse. Pis encore, une nausée montante rendait ses mains tremblantes et sa vue trouble. Même si son estomac avait été d’humeur, Edmond doutait qu’il eut pu porter la nourriture à sa bouche.
Le reste de la journée s'échappa dans un flou nauséeux. Edmond était trop fatigué pour bouger, mais trop agité pour rester allongé. Il alternait donc entre les deux, plongé dans une vague brume cauchemardesque. Son cœur battait la chamade et son corps était secoué de frisson, sans que cela n’empêche la brûlure annexant son échine de le tourmenter. La fraîcheur de la nuit, loin de le soulager, empira encore son malheur.
Des vagues de crampes successives mettaient son dos à l'agonie, le laissant pantelant sur le sol froid et humide. Le moindre frottement était décuplé. Bientôt, Edmond ne supporta plus le tissu rêche de ses haillons, et avec un de ces regains d’énergies que la fièvre donne parfois, il s’empressa de les jeter au sol.
Edmond ne savais combien de temps il passa dans cet état intemporel que donne la maladie. Quelque chose de froid et gluant s’était mis à lui couler sur le dos, mais il n’avait plus la force de vérifier si ce n’était que de la sueur, ou bien du sang. Une sensation de douleur bien plus pénétrante que les autres le traversa, et Edmond ne put réprimer un hurlement.
Puis un second.
Puis un troisième.
C’était comme si une valve fermée s’était soudainement ouverte, libérant l'expression de toute la souffrance qui le secouait et lui coupait le souffle. Edmond se recroquevilla sur le sol, front a terre, tirant désespérément sur ses cheveux pour échapper à la torture qui le dechirait de l’intérieur. Des pas accoururent, mais perdu dans la fièvre et la douleur, Edmond ne les entendit pas.
“Mais bon sang, que se passe t-il ?!”
On le secoua, sans pouvoir provoquer plus que des gémissements. Puis, les doigts charnus qui l'avaient malmené le quittèrent. Il y eut une pause, puis d’autres cris; qui cette fois ne venaient pas de lui; puis une main contre son épaule alors qu’il tentait de se retourner pour frotter la zone brûlante au sol délicieusement froid.
“Ne bougez pas.”
Edmond s’accorda très bien de cet ordre. Maintenant que la personne le disait, se retourner semblait en effet une bien mauvaise idée. Et puis, le sol était trop froid. Il préférait bien plus la main chaude qui était restée posée près de son cou. Une seconde vint se poser sur son front. Elle s’en éloigna presque aussitôt, et Edmond regretta la fraîcheur qui l’avait brièvement envahi à son contact.
“Mais c’est qu’il a de la fièvre, ce pauvre garçon.” Le geôlier leva la voix. “Appelez un médecin !”
Le cri, trop fort pour les sens surmené d’Edmond, lui fit l’impression d’un ballon qui éclatait dans son crâne. Ses gémissements reprirent de plus belle.
“Que se passe-t-il?” Une nouvelle voix lui transperça les tympans.
“Le prisonnier est souffrant.”
“Ça, je l’entend bien qu’il est souffrant. Cela fait une demi-heure qu’il nous casse les oreilles. Mais avez-vous une idée du mal?”
“Non. Ce matin, il parlait encore.”
Le flot de parole fut bientôt enseveli sous la vague de fièvre qui l'envahit comme un nouvel accès de crampe, tel une cruelle lance brûlante qui le perça de toute part. Sa gorge était rauque à force de crier, et le son ne sortait que par accoups étranglés.
“Allons, allons.”
Les porte-clés, bien embêtés, tentèrent tant bien que mal d’aider lorsque ce dernier se releva sur ses coudes pour tousser. Ils ne réussissent qu'à le perturber davantage.
Edmond voulait fuir toutes ces mains inconnues, bien trop moites, bien trop épaisses pour être celles qu’il cherchait. Il se languissait de la douceur du toucher de Mercedes contre sa peau. De lointains souvenirs remontaient le long de ses pensées confuses, prenant le pas sur les voix bien réelles qui l'entouraient.’
“C’est le milieu de la nuit. Ne peut-il pas tenir jusqu’au matin ?” l’une d’entre elle grommela. “C’est la prison, ici, pas l’hôpital.”
Une douleur, au moins dix fois plus terrible que toutes les autres, foudroya Edmond. Un cri final s’échappa de sa gorge desséchée. Il lui sembla, l’espace d’un instant, que sa peau se déchirait, mettant à nu la structure osseuse de ses omoplates et de sa colonne vertébrale. Que tout le sang de son corps se déversait le long de cette plaie sanglante, le laissant vide, sans vie.
Aussi vite qu’elle était apparue, la tortueuse agonie s’en alla, ne laissant derrière elle que les traces lancinantes d’un écho. Edmond était trop faible pour remarquer le silence qui pesa soudain entre les deux geôliers.
Le premier se tourna vers le second.
“Dites au médecin que c’est pour un ange. Il viendra.”
Le monde semblait bien lourd à présent, sans l’aiguille de la misère pour le garder éveillé. Les paupières d'Edmond se fermèrent au rythme des pas qui s’éloignent. Exténué, à bout de souffle, il ne réfléchit pas deux fois au répit qui s’offrait à lui et se laissa tomber dans le clément oubli de l’inconscience.
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Je suis un peu inquiète de la tournure que prend ma dermatillomanie. Non parce qu'on parle peu de ce problème car la plupart des gens qui en souffre n'est même pas au courant qu'elle en souffre mais ça a des impacts délétères sur moi et sur ma peau notamment. Je n'arrive pas à avoir un rapport sain avec mon épiderme et mes cellules épithéliales, c'est grave. Chaque aspérité est scrutée et grattée. Pourtant, je sais quelles sont les répercussions en plus de les constater depuis au moins 10 ans (5 ans de manière très active). J'ai le visage farci de cicatrices toutes plus en creux les unes que les autres. Mes jambes aussi, et alors mon décolleté n'en parlons pas. J'ai pris conscience de la gravité au moment où je m'interdisais de porter certaines choses par peur de laisser apparaître les dégâts, c'est à dire, une peau boursouflée, rouge, inflammée. Et c'est pas normal que j'ai recours à ça. J'hésite à consulter, ça me ruine un peu la vie. Il n'y a pas un jour depuis des années où j'ai pu passer une journée sans triturer ma peau mais jusqu'à saigner par moment ou créer de réelles importantes infections. Par exemple, je me souviens que quand j'étais petite et que je me faisais piquer par un moustique, je grattais au sang et ça durait des mois vraiment. Jme faisais piquer en août, j'avais le bobo encore en novembre quoi.. Pour moi, ça relève vraiment du surhumain de ne pas toucher. Je suis obligée de me prendre mes douches dans le noir et calculer quand est ce que je vois mon mec pour que ça puisse "guérir" (s'atténuer plutôt qu'on de le dise). C'est vraiment quelque chose qui, mentalement, me fait mal. Je saccage mon corps. C'est pas impossible que ce soit le seul substitut que j'ai trouvé pour éviter la mutilation mais quand même. Je suis fréquemment déçue de voir que je ne peux pas m'en empêcher. Je me sens rarement autant comme une merde que quand je sors de la salle de bain, la gueule rougie et gonflée et que je dois vite maquiller ça parce que je vais côtoyer du monde. C'est affreux cette sensation de d'auto saboter et de me dire qu'il n'y a que moi qui fait ca. J'espère un jour en sortir et vivre en paix avec ma peau, en acceptant sa texture et le fait qu'une peau parfaite c'est rare et pas dans l'ordre du possible. C'est peut-être une question de deuil ou de combler le temps. Si je faisais moins de rien dans mes journées, je ne trouverai pas le temps de saboter mon corps et le potentiel regard doux que je pourrais y mettre.
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Ces orages-là se cachent loin, profondément, tonnent et grondent et s'évanouissent et fondent et remuent l'être entier. Ils comblent le vide puis creusent plus loin dans les décombres.
Là où la lumière ne passe plus parce qu'elle aurait trop peur de n'en pas revenir, parce que c'est si tentant de n'en pas revenir.
Cet orage-là se tord et se démène, boule brûlante au fond du ventre, cri silencieux absorbé par ce manque d'air et d'espace et recouvert de couches et de couches et de couches de poussières.
Et de cendres. Lourdes. Visqueuses. Gémissantes, bruyantes et entêtantes cendres qui se meuvent doucement, s'agglutinent et étouffent encore un peu plus l'être qui les protège.
Hurlements silencieux dans un vide immense.
Un espace tant infini qu'il en devient restreint, repères perdus et chute en avant.
Quand le silence revient cet orage-là ne s'apaise pas, il attend rageux que la croûte soit grattée. Il attend, il en crève - mais qu'il crève ! - que les interstices soient des failles.
Il ne sait pas que les failles n'en sont plus. Il ne sait pas que la vie a repris, que les couleurs ont cessé de brûler et n'en sont que plus vives.
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Mon livre de la nature
Aujourd'hui, j'ai décidé d'ouvrir une nouvelle page de mon livre de la nature et de vous en offrir quelques lignes. Enfant, je passais des heures en forêt, à jouer à cache-cache, à construire des cabanes avec mes amis, entouré par la magie des arbres et du chant du vent. Aujourd'hui, ce lien profond avec la nature me rappelle à elle. Je me suis promis de rouvrir cet ouvrage ancien et d'en partager les secrets avec vous.
Le jour s’annonce radieux, baigné par une douce lumière dorée. Mon affût est installé à quelques centaines de mètres d'un point d’eau où les animaux sauvages viennent souvent se désaltérer. Depuis plusieurs semaines, je parcours cette forêt avec une curiosité presque enfantine, tentant de décrypter les traces laissées par ses habitants : empreintes furtives, souilles humides, écorces grattées... Je ne suis qu'un humble observateur, un apprenti face aux mystères de ce royaume, mais peu à peu, je me fonds dans leur monde, apprenant à respecter leurs lois silencieuses.
Le vent souffle dans la bonne direction, me protégeant de leur flair redoutable. Une biche ou un cerf pourraient me percevoir à plus de 300 mètres si je ne fais pas attention. Pas de parfum, pas de faux pas, juste la discrétion absolue. Les minutes passent, puis soudain, le silence se brise : le brame majestueux du cerf résonne dans l'air. Ils sont deux, quelque part entre les arbres. Je perçois le craquement des branches sous leurs sabots, mais aucun d'eux ne se montre.
La pluie, douce et imprévisible, fait son apparition, devançant l’ami qui devait me rejoindre. Deux heures que je guette, immobile. Mon compagnon finit par arriver, et ensemble, nous partageons ce moment sous les larmes du ciel. Le brame s'estompe, laissant place à une inquiétude silencieuse. Malgré nos vêtements trempés, notre patience nous habite encore, car la forêt enseigne à attendre.
Nous décidons de changer d’endroit avant que la nuit ne vienne tout effacer. Et puis, dans un souffle, l’espoir renaît : un chevreuil et un brocard surgissent, espiègles et gracieux, jouant dans l'ombre des arbres. Mais toujours pas de roi en vue. Derrière nous, des biches profitent des jeunes pousses, reprenant des forces pour les jours à venir.
Je ne veux pas refermer cette page du 8 septembre sans avoir vu le roi de la forêt. Notre détermination finit par être récompensée. Une biche apparaît enfin, et dans son sillage, il est là... majestueux, fier, guidé par l'instinct qui le pousse à suivre sa future reine. Nos cœurs battent à l’unisson, comme ceux d'enfants fascinés par ce spectacle offert par la nature.
Nous les observons s’enfoncer dans le bois, préservant leur mystère, leur liberté. Ce royaume n'est pas le nôtre, et nous respectons le rythme de la forêt, son souffle, ses sonorités, ses joutes et ses jeux. Nous quittons les lieux en silence, reconnaissants pour cette parenthèse d’émerveillement qui, dans quelques mois, portera de nouveaux fruits.
Merci, à toi, nature et Tony Tranel
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"Sac de Golf" ayant appartenu à Jacques Doucet en cuirs pleine fleur (circa 1910) et "Collet pour le Golf" en drap de laine, laine grattée et boutons en métal doré émaillé (circa 1898) à l'exposition “La Mode en Mouvement (II)” du Palais Galliera, juin 2024.
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pour qu’il y ait du gratté, n’importe quoi ! - - - pourvu de salopage assez qu’on s’y croirait en vrai
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Flan pâtissier : la recette
Difficulté: Facile
Préparation: 5 mn
Cuisson: 40 mn
Temps total: 45 mn
INGRÉDIENTS POUR 8 PERSONNES
- 1 Pâte feuilletée
- 1 litre Lait demi écrémé
- 3 Oeuf
- 160 g Sucre
- 100 g Maïzena
- 2 sachets Sucre vanillé où 1 gousse de vanille
- 3 c à c Extrait de vanille
- ½ c à c Vanille en poudre
PRÉPARATION
Foncer le moule préalablement beurré et fariné avec la pâte, piquer le fond et les bords avec les dents d'une fourchette. Réfrigérer le temps de préparer la garniture. Préchauffer le four à 180°c.
Au fouet électrique, battre les oeufs avec la maïzena, l'extrait de vanille et 125 ml de lait. Verser le lait restant dans une casserole, avec le sucre vanillé, le sucre, la vanille en poudre (ou la gousse de vanille fendue en deux dans le sens de la longueur et grattée). Porter à ébullition. Verser le lait sucré vanillé bouillant sur la préparation aux oeufs tout en battant au fouet électrique. Tout reverser dans la casserole, remettre sur feu très doux sans cesser de remuer à la spatule en bois. Laisser frémir quelques secondes, pas plus, il faut que la préparation soit légèrement épaissie.
Pour finir
Verser la préparation sur la pâte (en retirant la gousse de vanille si vous en avez mis une) piquée dans le moule et enfourner pour 40 minutes à 180°c. Couvrir d'aluminium si nécessaire les 5 dernières minutes. Laisser complètement refroidir avant de démouler, de découper et de déguster. Conserver au réfrigérateur.
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US Vogue August 15, 1961
Babouche in burgundy calfskin, with a tapered end and shiny knots; Charles Jourdan.
Ombre green lacquered lizard with thin toe; Margaret Jerold.
Opera pump in brown-pink patent leather, square toe; Herbert Levine. 4. Square toe shiny black lizard slingback pump; Millerkins.
Burnt red lizard shoe, square toe; Delman.
Cedar brown calf leather shoe with. instep strap: Saks Fifth Avenue.
Country shoe in black calfskin, square toe; Entrance.
Walking shoe in cedar brown grained calfskin, flat toe: Andrew Geller.
Walking shoe in cedar brown grained calfskin, flat toe: Andrew Geller.
Simone d'Aillencourt in a green brushed wool terry coat (Stroock fabric) lined with natural red fox. By Matline. Shoes by Papagallo, Bottoms by Archer, makeup by Estée Lauder.
Babouche en cuir de veau bordeaux, à bout effilé et nœuds brillants ; Charles Jourdan.
Lézard laqué vert ombre avec bout fin; Margaret Jerold.
Escarpin opéra en cuir verni marron-rose, bout carré ; Herbert Levine.
Escarpin à brides en lézard noir brillant à bout carré ; Millerkins.
Chaussure en lézard rouge brûlé, bout carré; Delman.
Chaussure en cuir de veau brun cèdre avec. sangle de cou-de-pied : Saks Fifth Avenue.
Chaussure country en cuir de veau noir, bout carré; Entrée.
Chaussure de marche en cuir de veau grainé brun cèdre, bout plat : Andrew Geller.
Simone d'Aillencourt dans un manteau de ratine de laine grattée vert (tissu Stroock) doublé de renard roux naturel. Par Matline. Chaussures par Papagallo, Bas par Archer, maquillage par Estée Lauder.
Photo Tom Palumbo vogue archive
#us vogue#august 1961#fashion 60s#1961#fall/winter#automne/hiver#charles jourdan#margaret jerold#herbert levine#millerkins#delman#andrew geller#papagallo#archer#estée lauder#simone d'aillencourt#tom palumbo
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J'ai failli passer mon dernier jour de vacances aux urgences :(
On était au marché de la ville acheter des souvenirs, aka fromages, pains d'épices, charcuteries et plus encore.
On arrive au stand de nougats artisanal, je demande (et on me confirme) qu'il n'y a pas de cacahuètes dans les nougats, sauf dans les sachets de chouchous et la marmite où ils en caramelisent (et utilisent d'autres spatules/changent de gants). Et bah ça a pas loupé, juste la fumée de la casserole m'a immédiatement gratté la langue et la gorge et commencer à gonfler ma langue. Je me suis éloignée 15min histoire de changer d'air, gober mes 2 anti-inflammatoires/histaminiques et c'est passé.
Les 2 marchands étaient extrêmement désolés et inquiets, puis rassurés que tout aille mieux.
J'ai juste la langue qui a gardé quelques irrégularités les heures suivantes et mes médocs m'ont couché (en plus des spms)
Donc pas de rando cette après midi vu que je me suis écroulée après déjeuner. Déjeuner consistant en une part d'Aligot grandement méritée avant rupture de stock proche >:))
#jezatalks#je vais mieux#un peu fatiguée#mais triste de pas avoir pu faire grand chose de l'après-midi#à un moment j'étais deter#mais à peine je me lève que je me rend compte que je tremble comme une feuille#donc on va éviter un malaise au milieu des bois seule et sans réseau
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Vous pouvez être sûr qu'une ligne grattée dans un matériau qui résiste possède un caractère plus définitif que la ligne d'un dessin.
((Georg Baselitz), A la pointe du trait Gravures)
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Creepy pasta | Together When | FR/EN
FR | Voici une creepy pasta basée sur une chanson nommée "Together When" de Ayumi Hamasaki.
EN | here's a creepy pasta based on a song called "Together When" by Ayumi Hamasaki
French version :
Il y a quelques années, une mystérieuse chanson intitulée "Together When" a fait son apparition sur internet. Personne ne savait d'où elle venait ou qui en était l'auteur, mais il était difficile de résister à l'envie de l'écouter malgré les avertissements étranges qui circulaient déjà.
La pochette du single était étrange et dérangeante. Elle représentait une photo de Ayumi Hamasaki, mais son visage semblait flou et déformé, comme si quelqu'un avait gratté sa peau avec une lame.
La chanson elle-même était d'une beauté envoûtante, mais à mesure que les auditeurs l'écoutaient, une sensation de malaise grandissait. Certains prétendaient entendre des murmures inquiétants en arrière-plan, tandis que d'autres disaient ressentir une présence froide et sinistre dans la pièce.
Cependant, ce qui rendait la chanson vraiment terrifiante, c'étaient les paroles. Elles semblaient raconter l'histoire d'un amour obsessionnel et destructeur, avec des références à des événements tragiques et macabres.
Les rumeurs sur la chanson se multiplièrent rapidement. Certains affirmaient que ceux qui l'avaient écoutée étaient hantés par des cauchemars récurrents, d'autres disaient qu'ils avaient commencé à voir des ombres sombres se faufiler dans leur champ de vision, même en plein jour.
Un internaute anonyme prétendit avoir retracé l'origine de la chanson jusqu'à un ancien studio d'enregistrement abandonné où Ayumi Hamasaki avait supposément enregistré la chanson en secret, mais qu'elle avait décidé de ne jamais la sortir en raison de son contenu trop sombre.
Un jour, cet internaute publia un lien vers la chanson complète sur un forum d'horreur en ligne, avertissant les autres de ne pas l'écouter. Malgré les avertissements, la curiosité l'emporta et de nombreux utilisateurs se mirent à télécharger la chanson.
C'est alors que les choses devinrent vraiment étranges. Ceux qui avaient téléchargé la chanson affirmèrent que leur ordinateur devenait instable, que des fichiers disparaissaient mystérieusement et que des messages étranges apparaissaient sur leur écran.
Certains racontèrent avoir reçu des appels téléphoniques étranges où une voix chuchotante récitait les paroles de "Together When". D'autres disaient avoir vu des ombres s'évanouir dans les coins de leur vision alors qu'ils écoutaient la chanson, même si personne n'était là.
Peu de temps après, les témoignages cessèrent brusquement. Plus personne ne parlait de "Together When". Certains prétendirent que ceux qui avaient téléchargé la chanson avaient été retrouvés morts chez eux, leurs visages figés dans une expression de terreur pure.
Quoi qu'il en soit, la chanson semblait avoir disparu d'internet. Les liens vers son téléchargement étaient rompus, les forums où elle était mentionnée étaient fermés. Mais certains prétendent que si vous cherchez assez longtemps, vous pourrez peut-être encore la trouver, attendant silencieusement de déchaîner son pouvoir maléfique sur ceux qui osent l'écouter.
Sachez que ceci est une creepy pasta fictive basée sur une chanson qui existe réellement, mais qui n’a pas d’effet néfaste. Je me suis inspirée du côté sombre du MV pour rédiger cette petite creepy pasta. Prenez-la comme une histoire d'horreur pour divertissement.
English version :
A few years ago, a mysterious song entitled "Together When" appeared on the Internet. No one knew where it came from or who wrote it, but it was hard to resist listening to it despite the strange warnings already circulating.
The single's cover was strange and disturbing. It featured a photo of Ayumi Hamasaki, but her face looked blurred and distorted, as if someone had scraped her skin with a blade.
The song itself was hauntingly beautiful, but as listeners listened to it, a feeling of unease grew. Some claimed to hear eerie whispers in the background, while others said they felt a cold, sinister presence in the room.
What made the song truly terrifying, however, were the lyrics. They seemed to tell the story of an obsessive and destructive love, with references to tragic and macabre events.
Rumors about the song quickly multiplied. Some claimed that those who listened to it were haunted by recurring nightmares, while others said they began to see dark shadows creeping into their field of vision, even in broad daylight.
An anonymous Internet user claimed to have traced the song's origin back to an old abandoned recording studio where Ayumi Hamasaki had supposedly secretly recorded the song, but decided never to release it due to its too dark content.
One day, this Internet user posted a link to the complete song on an online horror forum, warning others not to listen to it. Despite the warnings, curiosity won out and many users began downloading the song.
Then things got really strange. Those who had downloaded the song reported that their computers became unstable, files mysteriously disappeared and strange messages appeared on their screens.
Some reported receiving strange phone calls in which a whispering voice recited the lyrics of "Together When". Others said they had seen shadows fade into the corners of their vision as they listened to the song, even though no one was there.
Shortly afterwards, the testimonies abruptly stopped. No one spoke of "Together When" anymore. Some claimed that those who had downloaded the song had been found dead in their homes, their faces frozen in an expression of pure terror.
In any case, the song seemed to have disappeared from the Internet. Links to its download were broken, forums where it was mentioned were closed. But some claim that if you search long enough, you might still be able to find it, silently waiting to unleash its evil power on those who dare to listen.
Please be aware that this is a fictional creepy pasta based on a song that actually exists, but has no nefarious effect. I was inspired by the dark side of MV to write this little creepy pasta. Think of it as a horror story for entertainment.
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C'est morose ce qui se passe dans ma tête. Un mélange de perdition, de doutes, de dégoût, de solitude et de démotivation. Il est 14h44, j'ai séché l'entièreté de cette journée, je ne suis pas habillée, je fume les fenêtres fermées ça fait un aqua, j'ai déjà mille choses à faire mais je ne sais pas par où commencer puis j'ai pas envie de commencer, je me suis grattée toute la matinée j'ai la peau en sang presque, j'ai mangé de la merde, j'ai pas pu me regarder dans le miroir, j'ai envoyé chier tout le monde, ça fait 8 appels de mes parents que je fais exprès d'ignorer. On en est là. Un jour après l'autre, ouais, parce que de toute manière j'ai pas envie de penser ni à demain, ni à dans deux semaines. Ni à rien. Je suis juste fatiguée. Et quand je dis ça à mes parents ils me disent de prendre un Lexomil pour dormir. Si c'était que les insomnies le problème. Si c'était que mon corps qui était fatigué. Si c'était qu'un banal coup de mou. Mais c'est pas ça. Ils comprennent pas. Je suis contente d'avoir fait ce deuil là, d'avoir travaillé sur le fait que je perdais trop de temps à vouloir que les gens comprennent la détresse. Ils ne se comprennent pas eux même, pourquoi leur infliger de me comprendre. Je les laisse tous penser que c'est parce que j'ai pas bu mes 2L d'eau quotidien, que c'est parce que le soleil n'a pas pointé le bout de son nez et que c'est normal. C'est pas normal tout ça mais c'est pas grave. J'aurais bien voulu attendre que les gens m'écoutent vraiment mais la seule choses qu'ils savent faire c'est entendre. Et répondre par automatisme que ça va aller. Si vous voulez. Après tout c'est pas moi qui, un jour, vais recevoir mon avis de décès.
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J'ai pu comprendre en ce mois d'Août et ce plus qu'avant par expérience, pourquoi Nietzsche se voyait nécessairement déplacer son corps dans une géographie différente au nom de sa propre santé, pour LA santé.
Nietzsche de part l'exemple de sa propre vie nous a montré que changer de géographie était parfois primordial pour le bien de notre vitalité, notre corps, notre santé ainsi que notre créativité.
En ayant changé d'atmosphère, j'ai pu vivre en partie les raisons que Nietzsche avait à promouvoir le déplacement du corps et de la vie vers un endroit qui augmente sa vitalité et permet de déployer les ailes de son âme créatrice afin de ne pas laisser son potentiel se rétracter comme une araignée mourante entrain de stagner en dessous de nuages sombres où l'air semble être saturé de poison. Pour ce qui est de la terre promise du corps, il s'agissait des vertus d'une place solaire et revivifiante. Lui qui incarnait le génie vivant dans le corps hypersensible et réceptif à la totalité du réel savait que pour se sauver il fallait fuire vers de nouvelles terres pleines de promesses pour notre vitalité. Pour Nietzsche c'était l'air balayant des montagnes sans nuages et au soleil absolu, pour moi ce fut le vent purificateur et iodé de la mer dont les différents souffles étaient accordés par les montagnes nous encerclant.
Ainsi, mon corps se sentait revivifié, porté par les vagues, se baignant dans les bombardements solaires. En cet endroit les pensées naissaient sans effort. L'inspiration était toujours au coin de la rue sous les pins grattés par les écureuils, temoins des histoires qui se comptent parmis les touristes imbibés d'alcool toute la nuit. Craignant de finir en cendre dans les feux titanesques, la verdure sèche se fait discrète bien que les épines tournant au marron finissent par millier sur les routes bitumées.
Parfois il est nécessaire de faire honneur à son corps et de changer de paysage. Il en va littéralement de notre vitalité.
Cet endroit, ce Sud méditerranéen me manque. Mais il n'est jamais bien loin. Mon âme sent encore sa chaleur caresser ma peau salée.
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Je suis allergique au Soleil ☀️
C'est à dire ?
Je vous vois venir de loin : "Ah mais t'es un vampire alors ?!" ... M'oui, depuis plus de 15 ans ! Plus sérieusement, l'allergie solaire ou lucite, c'est une réaction de la peau ... au soleil mais pas seulement. C'est le combo UV + sable sur la peau + transpiration qui va déclencher la chose.
Et du coup, ça fait quoi ?
En vrai, il existe plusieurs types de lucites mais on va parler de celle que je connais que trop bien, la lucite estivale bénigne :
Environ 24h après une "grosse exposition" (même sous un parasol !) au soleil, des plaques rouges apparaissent sur la peau au niveau des pieds, demi-jambes, du décolleté ou le pli des coudes et se résorbent d'elles-mêmes au bout d'une semaine environ. Étrangement, ça touche principalement les femmes vers l'adolescence et ça revient d'année en année si exposition ...
Ces plaques, elles démangent et il ne faut absolument pas les gratter ! Jamais ! Sous aucun prétexte ! Pour avoir testé la première fois, les plaques ont pris de l'ampleur. Ça ne grattait plus, ça brûlait carrément !
Quelques conseils pour gérer ?
Ne jamais gratter les plaques ! Jamais vous m'entendez ? ...JA-MAIS !!!
Investir dans une crème solaire indice 50 pour allergies solaires ou à défaut pour peau sensible (j'ai noté que certaines marques arrêtaient leur gamme "allergie solaire" et renvoient vers "peau sensible" ... c'est vague, trop vague. J'aime pas du tout l'appelation mais pas d'autre solution ...) ... et la mettre sur les zones concernées par les lucites.
À la plage, comme les douches de plage disparaissent, garder dans son sac un flacon spray d'eau claire pour pouvoir l'utiliser pour se rafraîchir ou rincer le sable sur la peau.
Rester à l'ombre pendant la période d'apparition des lucites et prévoir une serviette, un vêtement ou n'importe quoi pour couvrir une zone au soleil si besoin.
Penser à bien hydrater sa peau pour éviter qu'elle tiraille.
Si vous avez gratté et que ça brûle. Passez la zone concernée sous l'eau froide et tartinez de gel d'aloe vera.
Attention aux vêtements qui pourraient irriter les zones concernées à cause des coutures ou élastiques !
Pendant la période d'apparition des plaques, on ne fait pas de gommage et on évite l'épilation !
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"Costume de Bain" en toile de coton, ruban en tissu façonné satin de coton et boutons en matière plastique (1908) et "Maillot de Bain pour Homme" en maille de coton, toile de coton grattée et boutons en os (circa 1900) à l'exposition “La Mode en Mouvement (II)” du Palais Galliera, juin 2024.
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