#grand goule
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philoursmars · 1 year ago
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Il y a une petite quinzaine, je suis allé avec Julien et Katie, au Louvre-Lens pour une expo temporaire : "Animaux Fantastiques". Une très belle expo !
Ici des dragons.
Jean Gargot - "La Grand Goule" - Abbaye Ste-Croix de Poitiers, 1677...sauf le dernier :
Jean Thiriot - "L'effigie du Graoully de la Cathédrale de Metz"
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chimeride · 3 months ago
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WHAT IN THE ???!!
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Dragons & Folklore de France
Translation below
The Tarasque dwells in the waters of the Rhone river near the town of Tarascon, where it devours travelers and destroys dikes and dams to flood the Camargue. Saint Martha chained it, and the people of Tarascon killed it.
The ruins of the amphitheaters of Metz were infested by hundreds of snakes. The largest of them, the Graoully, had a venomous breath, a mouth bigger than its body and devoured men. Saint Clement chased it away into the Seille River.
King of serpents, the Basilisk takes many forms throughout history and appears in many tales. One of them takes place at the Gate of Saint-Eloi in Bordeaux, known today for its Big Bell, where a well was occupied by a Basilisk. It petrified with its gaze anyone who went there to fetch water. It was defeated by a man returning from the Egyptian crusade, who petrified the beast with its own gaze using a mirail (mirror).
The Cocatrix is born from a rooster's egg incubated by a toad. The egg has magical properties but must not be broken. People who cross its gaze die immediatly.
Made of wicker and covered in flowers, the Grand Bailla wanders the streets of Reims three days a year and feeds on gold and sweets. It was banished by Archbishop Charles Maurice le Tellier.
The Grand'Goule haunts the marshes of Poitou, the waters of the Clain and the flooded cellars of the abbey of Sainte Croix. It feeds on nuns and casse-museaux (snout-breakers, cakes). Saint Radegonde chased it away with holy water.
In the rivers of the Jura and the Alps there is a group of diverse dragons, the Vouivres. They are generally flying serpents covered in fire and guardians of treasures. Many have for a single eye a gigantic carbuncle with extraordinary powers, desired by those in search of wealth and power.
Hidden in the caves and cliffs of la Pointe du Roux near La Rochelle, the Rô Beast traps and devours travelers in the coastal marshes. It was impaled by seven heroic pagans from the seas.
Mythical dragon of the Basque Country, Herensuge gave birth to the Sun and the Moon, swallowed all of Creation in ten days then regurgitated it in flames. Now asleep in the mountains, it sucks up flocks and shepherds in his sleep. When it wakes up, it will destroy the world in flames and blood. (illustration)
Durandal is the mythical sword that Charlemagne gave to the knight Roland. Some claim that it was inherited from Hector, the warrior of the Trojan War. At war with the Saracens in the Pyrenées, Roland wanted to break the sword so that it would not fall into the hands of the enemy but Durandal split the mountain. So he threw the sword, which went to stick miles away, in the rock of the town of Rocamadour.
The belief in the Tooth Fairy is widespread in several countries in Europe, and is sometimes amalgamated with La Petite Souris (little mouse). It exchanges baby teeth for money. No one knows what it does with all these teeth.
The Camecruse is a bogeyman that haunts the moors and marshes of Gascony. It is agile, can jump and hide in the night to better devour lost children. No one knows exactly how it feeds.
The caves under the hill of the town of Hastingues are home to Lou Carcolh, a monstrous snail, long, slimy and hairy. Its shell is as big as a house. With the help of its tentacles, it grips people to devour them.
The Questing Beast is hunted by kings and heroes in Arthurian legends. It symbolizes evil, incest, violence and chaos, and takes it name from the loud noises that come out of its stomach, similar to the barking of dozens of dogs.
The fairy Mélusine, cursed princess of Albania, was condemned to change into a snake below the waist every Saturday. She married Raymondin de Lusignan with whom they had 10 prodigious children. But Raymondin broke his promise never to see Mélusine on Saturday : he surprised her in her monstrous form, and she left her family forever.
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weirdlookindog · 2 months ago
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Les Goules - Grand Guignol de Paris, c. 1900
poster art by Jean Charles
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tigerthekitty17 · 4 months ago
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Me: I wanna go see wicked
My parents: we have wicked at home
Wicked at home:
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aljeitfael · 1 month ago
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(big up à @aozijiuh pour le logo sur le tshirt)
BONJOUR !
Je suis Elliott, et je suis une personne parfaitement normale et saine d’esprit !
Il y a quelques années, j’avais retranscrit sur une carte de Gwendalavir les différents voyages au cours de La Quête d’Ewilan, Les Mondes d’Ewilan et Le Pacte des Marchombres. C’était assez approximatif, mais je m’étais amusée.
Entre temps, Andarta Pictures, le studio qui produit l’adaptation animée de La Quête, a réalisé une incroyable carte de Gwendalavir super détaillée, style Google Earth. A côté de ça, @hel-is-lurking-in-the-shadows, une bonne amie de mon serveur Discord sur Bottero, a commencé à me donner des détails sur la chronologie de La Quête durant une relecture.
Du coup j’ai décidé de remettre le couvert.
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(Je vous invite à ouvrir l’image dans un nouvel onglet et zoomer pour l’explorer, ou à télécharger la version HD, car j'ai du compresser les images pour Tumblr)
Cartes tome par tome et explications sous le cut !
Un grand merci à Andarta Pictures qui m’a autorisé à utiliser et publier leur carte, à Helwin (@hel-is-lurking-in-the-shadows) qui m’a donné un grand nombre de détails chronologiques, et à l’ensemble du serveur de Gwendalavir qui débat avec moi des durées de voyage à cheval entre l’Arche et Al-Jeit et de l’âge d’Edwin Til’Illan, avec tableurs Excels à l’appuie.
J’ai pris la liberté de modifier légèrement la carte d’Andarta, et déplacer certains points pour qu’ils correspondent mieux à ma compréhension du canon :
Al-Poll
Le port de Morillan
Le port d’Arfagh
Fériane
La ferme de Milia Jundo
La maison d’Ellana
La maison de Sayanel
Je précise que dans l’ensemble j’ai présumé que les personnages voyageaient en lignes à peu près droites. Je suis bien consciente que dans la vraie vie ça se passe pas comme ça, mais comme on n’a pas de carte des réseaux routiers de Gwendalavir, je suis obligée de présumer que la Team Ewilan se déplace comme des oiseaux migrateurs. Vous remarquerez que je me plains beaucoup dans ce texte. C’est normal, c’est un passe-temps, un de mes préférés derrière le décorticage de détails dans les romans et l’arrachage de cheveux. Promis, je me suis amusée !
LEZGO !
Tome 1 - D'un monde à l'autre
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Pas grand chose à dire sur cette carte-ci, mis à part que les distances parcourues sont assez gigantesques comparées à… bah, tout le reste. Vous allez voir, c’est un thème récurrent.
J3 : J’ai placé le point d’arrivée du Grand Pas le plus proche possible d’Al-Vor tout en restant dans la Forêt de Baraïl. Ça fait quand même une trotte de presque 50 kilomètres en une journée. Bon.
J4 et J5 : J’ai tracé une ligne (à peu près) droite entre Al-Vor et la Passe de la Goule, supposant qu’une piste rejoignant ces deux points stratégiques serait à peu près droite, et j’ai appliqué la mêmes distances de voyage que sur J3. Fin J5 Ellana se fait poignarder par le mercenaire, et la troupe revient en arrière pour faire un crochet vers Ondiane.
Suite à quoi Ewilan et Salim repartent sur Terre. Oui, mais où ??
Je n’avais pas prévu qu’une étude cartographique de Gwendalavir allait finalement me mener à Sherlock-Holmser (si si, c’est un verbe) la ville où ont grandi Ewilan et Salim à coup de cartes du réseau ferroviaire de la SNCF. Parfois la vie prend un tour étrange.
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On a un nombre très limité d’informations sur leur ville :
Il y a des ruines romaines ou une architecture d’inspiration romaine (mention d’une « tour romaine » au début du T1). Ça n’aide pas des masses car il y en a partout en France.
Elle est assez grande pour avoir à la fois des barres de HLM et un quartier huppé. Pas un village paumé dans la Creuse, donc.
Elle n’est pas en bord de mer ou à proximité des côtes, car Salim déclare n’avoir jamais vu la mer, lorsqu’il découvre le Grand Océan du Sud (dans le T3). Ça permet d’éliminer certaines régions.
Pour se rendre à Paris, Ewilan et Salim on prit un train direct (attention c’est important) à 5h du matin, depuis une gare Grandes Lignes qu’iels ont atteinte probablement à pied (n’ayant pas d’argent pour un taxi ou un bus), et qui les a fait arrivé à Paris Gare de Lyon à « une heure encore matinale ». CA, ça m’intéresse.
Du coup, j’ai fait ce que toute personne sensée ferait dans cette situation, j’ai pris une carte du réseau SNCF et j’ai surligné les lignes de TGV partant de Paris Gare de Lyon, en notant les durées de trajet depuis chaque gare du parcours.
J’ai éliminé les villes en dessous de Valence, car elles sont trop proches de la mer, et le temps de trajet jusqu’à Paris les aurait fait arriver trop tard (j’estime leur arrivée entre 6h et 8h, c’est un jour de semaine et il y a encore des gens en train de prendre des cafés dans des bistros avant d’aller au travail).
Au final ça réduit à 21 villes possibles (et leur banlieue immédiate), ce qui est franchement pas mal comme résultat, à l’échelle de la France.
(J’admets que j’ai pris le réseau ferroviaire de 2025 et pas celui de l’époque de l’écriture de la Quête, mais au moins la zone géographique reste la même.)
Bref ! Retournons en Gwendalavir.
Tome 2 - Les Frontières de Glace
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C’est là que je commence à avoir des problèmes.
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J11-J14 : Nos chers zigotos atteignent la Passe de la Goule en 4 jours depuis Ondiane. Soit. C’est vachement plus lent que sur J3 à J6, mais iels se sont fait attaquer plusieurs fois, forcément ça ralenti la progression.
J-15 : Une journée entière de pause à la Passe de la Goule. Ou alors il faut une journée pour la traverser, je sais pas comment ça marche les passes dans la montagne mais je pense que Bottero ne le savait pas non plus. En tout cas iels font bien une sacrée pause picnic le temps qu’Ellana aille se fritter avec les Faëls, que Salim faillisse se casser le cou, et tout ce qui s’ensuit. C’est pas comme si iels avaient un Empire à sauver et des Ts’lichs et des Mercenaires au cul.
J16 : Energisé-es par leur picnic, nos ami-es piquent un sprint et parcourent en une journée ce qu’iels avaient précédemment fait en trois jours. J’aurais pu placer la halte du soir de J16 plus à l’Est, mais il est dit dans le texte que l’Arche est visible depuis leur campement. Et je suis désolée, l’Arche ça a beau être un sacré gros pont, on ne la voit pas à 40km de distance.
J17 : La troupe traverse l’Arche… et met cinq jours à arriver à Al-Jeit. Cinq journées, à partir du matin du J17 où iels traversent l’Arche, jusqu’à l’arrivée à Al-Jeit le midi du J21. IELS ONT MIS QUATRE JOURS A PARCOURIR UNE DISTANCE QU’IELS VENAIENT DE TRACER EN UNE JOURNÉE. Et ne venez pas me dire que c’était du terrain difficile, c’est le trajet entre le Gros Pont Sur Le Gros Fleuve et la Capitale de l’Empire. La route est probablement pavée de diamants.
J-21 à 25 : Al-Jeit. J’ai rien à dire sur le sujet à part que les excuses d’Edwin devraient rentrer dans les annales de Gwendalavir.
J26-J27-J28 : Ici c’était un peu tricky. Nos ami-es mettent trois jours à atteindre le port de Morillan (je présume par une piste et pas dans la cambrousse). Andarta avait placé Morillan plus au Sud ; j’ai pris le parti de le déplacer, pour que les distances par jour coïncident avec celles entre l’Arche et Al-Jeit. Avec Morillan plus au Sud, on se retrouverait avec trois jours de marche/cheval où la troupe avance à vitesse de limace.
J29 à J-38 : On a dix jours de voyage par bateau, avec Oh Joie, le détail de quelle partie prend combien de temps : deux jours sur la section Sud du Pollimage, cinq jours sur le lac Chen, trois jours sur la section Nord du Pollimage. J’ai déplacé le port d’Arfagh où la troupe débarque, pour que les distances en bateau soient à peu près cohérentes, mais surtout pour que les distances à pied jusqu’aux Plateaux d’Astariul et sur le plateau aient du sens.
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J39 à J45 : Honnêtement je ne ne saurais plus vous dire exactement comment je m’y suis prise pour placer les points, parce que j’ai du le refaire quinze fois. Vu le temps que l’équipe a passé à longer le Pollimage, et le fait qu’iels étaient à la hauteur des champs de bataille lorsqu’iels ont bifurqué vers l’Ouest, logiquement iels n’auraient même pas du traverser les plateaux d’Astariul, juste les plaines du Shaal. Mais bon les plateaux ne sont pas ultra bien délimités sur la carte.
J46 à 49 : Les Plateaux d’Astariul. J’ai vraiment écrabouillé les distances parcourues par jour pour que ça ai du sens, ce qui quand on y pense est logique parce que c’est une région accidentée et sans piste, et apparemment les zigotos se sont paumés un certain nombre de fois.
J50 : Al-Poll ! Sur la carte d’Andarta, Al-Poll était plus au Nord que sur la carte des livres. Avec les distances que j’avais déjà établies, pour moi ça marchait mieux de le redescendre plus au Sud. La Team y arrive en moins d’une journée à pied après avoir campé au pied de la chaîne du Poll, donc ça pouvait pas être bien loin. (sincèrement je pense que Bottero avait jamais vu de montagnes de sa vie et ne savait pas comment ça marchait)
(En vrai j’adorerais discuter avec la/les personne(s) de chez Andarta qui ont réalisé la carte, iels ont fait un travail de malade et il y a un certain nombre de choix qui me posent question, j’aimerais beaucoup connaître leur raisonnement)
Sinon, on en parle du fait que la quête « principale » (libération des Figées) a pris très exactement 50 jours top chrono depuis le premier Grand Pas d’Ewilan ? Elle fait pas les choses à moitié la miss XD
Edwin Til’Illan, héritier des Marches du Nord, général des armées de l’Empire Alavirien, commandant de la Légion Noir, maître d’arme de l’Empereur, vainqueur des Dix Tournois d’Al-Jeit : Oh non, les Sentinelles ont disparu et le verrou Ts’lich bloque nos Dessinateurices depuis sept ans, nous n’avons aucune idée de quoi faire pour les libérer ! Ewilan, 13 ans : Hold my sphère graphe
Bref!
Tome 3 - L'Ile du Destin
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J51 à 55 : Revigoré-es par la libération des Figées, nos ami-es tracent comme des flèches shootées au crack à travers les Marches du Nord (vous savez, la chaîne montagneuse infranchissable et couverte de neiges éternelles) à raison d’environ 50 km par jour, là où iels avaient parcouru les Plateau d’Astariul (une région qui, comme son nom l’indique de manière particulièrement éloquente, est plate) à raison de 20 km par jour. Cherchez pas, moi j’ai cessé d’essayer de comprendre. Faut croire qu’Edwin avait très envie de rentrer chez lui.
(Andarta place la Citadelle un peu plus au Nord que la carte des romans, mais ça ne change pas grand-chose au schmilblick, dans tous les cas l’équipe trace comme des fous furieux, du coup j’ai laissé la Citadelle là où Andarta l’a mise.)
J55 à 58 : Les sauveur-euses de Gwendalavir passent des vacances bien méritées à la montagne. Ewilan failli se faire découper en rondelle, elle légumifie une des Sentinelles qu’elle vient juste de libérer, Salim fait une des plus belles déclarations d’amour de la literature française (je dis « une des » parce qu’il en a d’autres en stock), Ewilan et Salim rencontre un type qui est censé être mort depuis un demi-millénaire, et iels repartent sur Terre chercher Mathieu.
La Quête d’Ewilan du point de vue de la famille Boulanger : T1 : Ewilan : Bonjour, j’ai besoin de Mathieu car il est le seul qui peut libérer l’Empire Alavirien, qui est dans la mouise depuis sept ans. Il est leur dernier espoir et j’ai bravé la mort plusieurs fois pour venir le chercher. Les Boulangers : Il est pas là déso:/ T3 : Ewilan, revenant un mois et demi plus tard : C’est bon c’est réglé ! :D Finalement on n’avait pas besoin de lui Les Boulangers : 0_0
J58 à 67 : Voyage par voie de terre jusqu’aux berges du Gour. J’ai fait vaguement une ligne droite avec une longueur qui permettait des journées de voyage pas aberrantes, mais c’est approximatif.
D’après le texte, iels traversent les champs de bataille à J61, finalement sur la carte c’est plutôt J59, ou alors les champs de bataille sont bien plus au Sud (d’ailleurs ça expliquerait aussi J45 lorsqu'iels bifurquent vers Astariul dans le T2), mais du coup ils seraient quasiment sur la forêt d’Ervengue. D’ailleurs je réalise un peu tard que j’aurais du dessiner un détour pour contourner la forêt. Zut.
J67 : Virage vers l’Ouest pour rejoindre le Pont de Chen. Je suis dubitative, mais bon peut-être que c’est le seul endroit où on peut traverser le Gour dans la région.
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J68 : -profond soupir- Les gens. Les gens vous allez à AL-JEIT. C’est au SUD. C’est PAS DANS CETTE DIRECTION. Pourquoi vous allez à Al-Chen ???? C’est un énorme détour ??? (et me dites pas que c’est mieux parce qu’il y a une piste, depuis le début iels se baladent dans la cambrousse et ça les empêche pas de tracer comme des fous furieux.) En plus c’est pas comme si Duom avait fait explicitement remarquer que ça serait galère de se balader dans Al-Chen avec un putain de loup ?? On est bien d’accord, ça serait compliqué, mais il y a une solution très simple a ce problème : NE PAS ALLER A AL-CHEN !!!!
...
Jour 68, la troupe va à Al-Chen.
J69 à J75 : Voyage par voie de terre vers Al-Jeit. A priori sur une piste pavée et bien entretenue qui relie ces deux grandes villes principales de l’Empire. Ce qui ne les empêche pas d’avancer à la même vitesse que dans la région complètement sauvage des grandes plaines du Nord. -jette son compas et son équerre par la fenêtre-
J76 à J78 : Voyage par voie de terre vers le port de Faranji. On ne sait pas précisément où est le port dans le texte, j’ai fait confiance à Andarta, cet emplacement paraît assez logique.
J79 et J80 : Voyage par bateau, arrivée à la grand île Aline. L’emplacement de la capitale proposé par Andarta me rend un peu perplexe, on sait que la Team Ewilan l’atteint à pied en à peine une heure, ce qui implique qu’iels aient débarqué à un endroit pas super logique, mais pas complètement déconnant non plus, donc soit. Puis une trentaine de kilomètres de marche en pleine cambrousse dans la nuit noir, avant de taper un somme à peu près au pied du Pic du Destin.
J81 : FIN DU VOYAGE !! Altan et Elicia sont libéré-es, Siam fait du sashimi de Sentinelle, et Ellana se fait poignarder (encore). Nos ami-es rejoignent la côte Sud de Gwendalavir par Pas sur le Côté interposé et organisent un festin digne d’un village d’irréductible gaulois.
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Dans l’ensemble, je pense qu’on peut s’accorder sur le fait que les durées de voyage sont franchement pas logiques, qu’on prenne en compte les pistes VS la cambrousse ou non. Mais bon, Pierre Bottero était instit’ et pas prof de maths pour une raison. Loin de moi l’idée de le critiquer, ce genre de détail est loin d’être important dans une œuvre littéraire, d’autant plus une œuvre aussi riche et belle que la sienne. C’est juste mon kiffe perso de décortiquer ces trucs ^^ Dans tout les cas, ça m’a beaucoup amusée d’explorer la géographie de Gwendalavir et d’essayer de retracer le voyage, et je trouve chouette le fait que les romans donnent assez d’indications pour permettre cet exercice.
Et j’en profite pour adresser un gigantesque bravo à l’équipe d’Andarta Pictures, qui a fait à peu près le même travail mais pour produire cette carte, donc sans la carte. Contrairement à moi qui ai fait ce travail avec la carte qu’iels ont produite en faisant ce travail sans la carte. Vous suivez ? Bref, bravo à elleux pour ce travail de dingues!
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PS : Vous pensiez quand même pas que j'allais vous lâcher aussi tôt! -regarde ses 6 pages Word de texte- je disais donc, si tôt.
Je fais un petit aparté sur la maison d’Ellana/Sayanel (et par extension Fériane et l’auberge du Monde), même si c’est pas dans la chrono : c’est un détail sur lequel j’ai vraiment pas compris le choix d’Andarta (si jamais quelqu’un du studio me lit, ceci n’est pas une critique, c’est une invitation à venir m’expliquer, je vous en prie venez parler cartographie de l’imaginaire avec moi!!).
Déjà parce que j’avais toujours compris que la maison d’Ellana (dans laquelle elle emménage après le voyage avec les Haïnouks, et dans laquelle elle se trouve au début de La Prophétie), et la maison de Sayanel (dans laquelle Ellana et Nillem passent plusieurs semaines après leur Ahn-Ju et avant leur départ pour le Rentaï) sont une seule et même maison. Je ne me rappelle plus si c’était dit explicitement, je sais qu’Ellana dit que c’est une maison que lui a donné un ami parce qu’il ne s’en sert pas, et je crois que Salim fait une remarque comme quoi l’ami est de toute façon un ermite chelou, et Ellana l’engueule en mode « d’où tu parles de Sayanel comme ça petit morveux ».
Bref, on sait que la maison de Sayanel se trouve à 10 km de Fériane, que la maison d’Ellana se trouve au pied des montagnes de l’Est, et que l’auberge du Monde est assez proche de cette maison pour qu’on puisse y aller pour le dîner (genre moins d’une heure à cheval grand max). Et que Fériane se trouve à une soixantaine de kilomètres au Nord-Est d’Al-Jeit. (Je précise que tout ça vient du texte, et pas de la carte des romans.)
Sauf qu’Andarta a mis Fériane à 100km d’Al-Jeit (enfin, iels ont plutôt déplacé Al-Jeit vers le Sud, je viens de m’en rendre compte), et la maison de Sayanel à plus de 100km de Fériane. Sans compter l’Auberge du Monde qui est, heu… loin (j’ai pas compté).
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(en rouge les points placés par Andarta, en bleu les miens)
Du coup, Andarta, si jamais vous passez par là, je serais ravie de connaître votre raisonnement (qui est sûrement parfaitement logique et a de très bonnes raisons, et qui du coup ça me rend curieuse).
Voilà, c’est tout pour moi ^^
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goodbysunball · 3 months ago
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The hard blues
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Perfect timing, right in the midst of list season. There's a lot waiting in the queue, though these records seem to have made the most impact. More in the line soon, a bunch of 7"s and cassettes and maybe a few more LPs, and eventually the obligatory look back. Mounds of plastic await:::
Anadol & Marie Klock, La Grande Accumulation LP (Pingipung)
Debut collaboration between Turkey's Anadol and France's Marie Klock, and it's an inspired one. I was familiar with Anadol's work from two prior LPs, but Marie Klock's intentionally absurd, voluble electronic music I've only recently discovered. On La Grande Accumulation, Anadol's kosmische-jazz comfortably sidles alongside Marie Klock's mostly spoken, sometimes sung stream of consciousness vocals, and the effect is deliciously intoxicating. Sometimes MK swims against the current of the music, as on the opening title track, and sometimes the pattering drums and synths pull her in, resulting in the bangin' disco-lite of "Sirop Amer (La Goule)" or the chanson-meets-giallo soundtrack on "Sonate Au Jambon." The first five tracks glide almost frictionlessly despite the sometimes frantic sing-speaking, but the final track throws a wrench into the proceedings, something that happens on every Anadol album (check out "Adieu" on Uzun Havalar, for example) and almost undoubtedly welcomed by Marie Klock. "La Reine Des Bordels" begins innocently enough in washes of synthesizer, but shifts into a double-timed square dance, then blaring ominous church organ music, and finally a demented waltz, Marie Klock breathlessly covering the proceedings throughout. It's sort of a fitting end to the record, something jarring to tie together a record which at points can feel like an ASMR exercise and even meditative. Gotten a whole lot of mileage out of La Grande Accumulation, a record greater than the sum of its parts, immediately satisfying without sacrificing the avantgarde leanings of its makers.
Bilders, Dustbin of Empathy LP (Grapefruit/Sophomore Lounge)
Patois Counselors, Limited Sphere LP (ever/never)
Rarely bundle reviews together but these two seem of a piece. Both are loquacious, expansive, lyrics-first records, and both artists have graduated from biting, angular post-punk to a more relaxed sound. 
Bill Direen's long-running Bilders dropped an LP and cassette this year, and he seems to have found the sweet spot between the songs and the poetry presented in recent live performances. The band backing up Bill on Dustbin of Empathy mirrors, catches and gets out of the way of his vocals, their music consisting mostly of brushed drums, softly strummed guitars and the occasional keyboard or organ. At first blush it's almost definitely too slight to appeal to a broader crowd, but Bill Direen is nothing if not a captivating showman and engrossing storyteller. His lyrics cast a wide net, spanning the globe and touching on war, age and morality with the light, deft touch enabled by his 60-some odd years of life experience. His delivery is usually muted, but he occasionally breaks out a caricature or odd pronunciation, as on "Scaribus" or "Caprice and Nemesis," and "Obedience" is as worked up as he allows himself to get. Direen's lyrics feel wise and matter-of-fact, and are unobtrusively slipped in, like the lines "Some voices I will never hear again/Did not live, as long as I do" leading off "Comrades." As a good documentarian, the facts are presented but the margins are, inevitably, colored in with his own feelings. Repeat listens turn up more lyrical gems, and in the end Dustbin emerges as a quiet triumph against the attention economy.
Patois Counselors' Bo White possesses a similarly keen, sharp eye for detail, and if anything Limited Sphere seems to partially claw back any notion of "skewering" detected on previous PC records. There's a sense that White is equally charmed, intrigued and bewitched by the ecosystem of any given local underground arts scene, including the outsized forces restricting and suffocating them. The band plays things with a softer touch and wider palette, ending up somewhere like The Art of Walking-era Pere Ubu crossed with the National's quieter moments across Alligator and Boxer (see: "Fountains of UHF" or "Wrong Department"). The drumming across Limited Sphere is the engine, crisp and busy, deftly navigating and directing sheets of guitar, synths, woodwinds and piano throughout. White's low, nasally delivery make the lyrics tough to make out at first, but the utterance of "Is this what we like?" on "Accoutrement" feels apropos to a world ever more excited by Spotify Wrapped. More natural and less tense than The Optimal Seat, Limited Sphere feels like a collection of short stories, the complex-yet-smooth music a Trojan horse for Bo White's lyrics to be fed inside your skull, lingering and rattling for weeks. Sounds like homework to some, but I'll happily be revisiting, untangling and piecing together Limited Sphere for months.
The Body, The Crying Out of Things LP (Thrill Jockey)
A new LP by the Body, sans official collaborators, is generally a shoo-in for mention as one of the best records of the year around these parts. But, to be fair, the last few "solo" records on Thrill Jockey feel somewhat uneven with age. The most recent, the torrential grey-out of I've Seen All I Need to See, felt like the serpent eating its own tail, a powerful but defeatingly cynical record that seemed to serve as an endpoint. After a number of collaborations, the band returns and sounds refreshed, even bright amidst its shockwave-emitting cymbal crashes and tortured howls. There is a clarity across The Crying Out of Things not heard since I Shall Die Here, resulting in a lean 36 minutes that flies by, dexterously shifting between hard, distorted beats, mantle-cracking chords and samples caked in static. While it's hard to improve upon a track like "End of Line," the Body's contributors more than leave their mark: Ben Eberle's searing vocal contributions feel especially caustic on "Removal," and the back half of "The Building" bursts through Felicia Chen's quietly powerful turn in a way the trio didn't really allow themselves on Orchards of a Futile Heaven. Things still feel dark and cavernous, at times even bleak, but the overall effect is that of the band blasting down walls and letting some light slip in. As usual, the duo turns in one of the best records of the year, but this time it feels invigorating, a call to arms or at the very least a shot in one. If you're unfamiliar, here's your entry point.
Dead Door Unit, Abandon CD (Tribe Tapes)
I last checked in with Philly's Dead Door Unit (one K. Geiger) back in 2022 with Laugh at the Devil, a more than compelling suite of creaking, looping noise in the vein of Modern Jester as I recall, but this year's Abandon is on a whole 'nother level. On Abandon, Geiger's not necessarily shedding the influence of Dilloway, Hanson Records and any number of Midwestern noiseniks, but using it instead as a jumping off point to create these lingering, unsettling long-form tracks. Some in-track transitions, especially on "Clutter (Until the Flies Gather)," can unintentionally jar the listener from a trance, and the relative dearth of blistering noise across most of the CD may leave some looking elsewhere. But if you strap in for the duration, the album becomes increasingly engaging from start to finish. Somewhere between the last few minutes of "Christmas Alley" and the beginning of “Windmill Hypnosis” is where the immersion begins, and the looping, chattering, scratching noise begins to induce either a fight-or-flight response or a sort of fever dream, the listener wrapped up in isolation by sweltering noise. Occasionally the music startles and sears, like the first third of "She Knows How to Reach Us," but Geiger uses the remainder of the track to masterfully pull apart that noxious cloud of static and slowly put it back together again. The one-two of "She Knows" followed by the lonesome piano loops on "Melrose (Street of Dreams)" is one of the high points for my listening this year, a real trip within 26 minutes that's surprisingly affecting by its end. Abandon is a towering, lengthy statement, but one that signals Dead Door Unit's arrival as a potentially generational talent.
Die Verlierer, Notausgang LP (Bretford/Mangel)
Leather jacket garage rock is usually something that I avoid, unless, apparently, it's delivered in a different language. Those Pierre & Bastien LPs still hold up, and now Germany's Die Verlierer deliver another strong take on their second LP, Notausgang. The record, completely sung-shouted in German, also sports a perfect crunchy-warm vintage production, yet still raw enough to generate friction. Tracks like "Das Gift," "Attentat" and "Adrenalin" capably rip, but the production makes the songs feel like some recently unearthed singles from the late '70s/early '80s. Better yet is when the band keeps the intensity but practices restraint with the guitars: the motor-mouthed vocals carry "Allesfresser," which already sounds like a future classic, and the raw "Made / D.M.A.IP" oughta kill live. Notausgang delves even further, slowing things down and drawing in the listener on the tense title track, and even throwing a day-dreamy guitar line into the languid "Stacheldraht," one of the best songs here. The track sequencing is a bit jarring, especially across the first three tracks, but that's a criticism that doesn't hold a lot of water for music best experienced in person. Works in the recorded setting, too, and I'm still a little surprised how much Notausgang was and continues to be played this year. Die Verlierer's open-ended approach to scuzzy rock 'n roll very much transcends the notion of a Crime cosplay act, resulting in a more restrained, durable record that appears primed to reward for years to come. Killer cover art, too.
Septage, Septic Worship (Intolerant Spree of Infesting Forms) LP (Me Saco Un Ojo)
Denmark's gore-obsessed death metal trio Septage returns after two solid EPs to drop a full-length, one that's completely mowed down expectations. A lot of death metal fixated on gore, or merging with goregrind, can safely be dismissed. Too often the bands are trying too hard to be the sonic equivalent of a shocking B-movie horror film, or often even worse. Septic Worship nimbly sidesteps that trap, and delivers 20 minutes of blistering and crushing takes on goregrind without taking itself too seriously. The respective barrages that open up each side of the record are hair-raising, teeth-clenching moments, and from there the record's sides glide from full-on grind to lumbering death metal drops with ease. "Emetic Rites," which opens up the second side, packs everything Septage does so well in just over two minutes, though almost 2/3 of the tracks are left smoldering within 90 seconds, which makes differentiating songs a real challenge. It's not like you put on something like Septage to analyze the nine seconds of "Septic Septic," though; it's there to blast the cobwebs out, chip a tooth or two, and help you come out on the other side reinvigorated, if a bit raw. This is easily my favorite metal or metal-adjacent record of the year, an uncompromising yet ridiculously fun record. Clearly the lyrics out this as something not necessarily apropos to the moment, but Septic Worship is powerful enough to drown out the constant buzzing, grandstanding and distracting faux-outrage that makes up 90% of modern existence. Consider it a bit of self-preservation in an absolutely mad world, or just strap in and let it knock you around - either way, it's a strong antidote to endless doom scrolling and pointless anger.
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wubblesred · 10 months ago
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Ghoulcy Week 2024 Day 4 NSFW French
Bonjour mes chers habitants d'abri, j'espère que vous allez bien. Nous revoilà parti avec la semaine ghoulcy pour ce jour 4. Cette fois ci avec le thème NSFW Tendre Touché. Donc personnes mineures ne pas interagir merci. Bonne lecture et bon voyage dans les terres désolées.
Cooper et elle étaient mariés, c'était complètement dingue. Cela l'a rendait même euphorique. Bon rien n'était vraiment légal et cela avait été une union entre eux seulement mais y a-t-il encore des unions légaux dans ce monde hors dans des abris Vault-Tec. Et honnêtement elle voyait mal Cooper accepté un mariage officié par cette maudite entreprise. Même si c'était cette dernière qui les avait réunis.
Sa petite tueuse lui appartenait enfin, elle était tout à lui. La goule ne pensait pas ressentir une telle joie à nouveau depuis l'apocalypse pourtant Lucy avait cette tendance à rendre meilleure sa vie depuis qu'ils voyageaient ensemble. Jamais il n'aurait imaginé retrouvé l'amour dans ce monde pourri cependant Lucy MacLean lui prouvait le contraire.
Les deux époux marchaient côte à côte, à la recherche d'un endroit bien précis. L'homme connaissait une ville dans les environs qui proposait des chambres assez décentes pour un nombre de capsules assez raisonnables. Une sorte de lune de miel en soi pour eux deux. Ils auraient du calme et de l'intimité sans Canigou pour une nuit. Ils aimaient beaucoup le chien mais l'avoir juste à côté d'eux pendant qu'ils couchaient ensemble c'était un peu désagréable. Et puis leurs dos les remercieront de le faire dans un lit pour une fois. Camille, une vieille connaissance de Cooper travaillait là-bas et le chien serait donc bien traité pendant qu'ils seraient occupés.
Cooper lui avait assurer que la ville allait l'accueillir malgré que seule des goules y résidaient mais une angoisse gagna tout de même la jeune femme. Cependant un regard vers son mari qui lui fit un magnifique sourire suffit à la rassurer à l'approche de leur destination. Tant que la goule était à ses côtés, l'habitante d'abri se sentait capable de tout. On les laissa entrer sans problème à son grand étonnement, les gens semblait se classer en deux catégories ceux qui respectait son homme et ceux qui fuyaient à peine approchait-il. Cooper la guidait par la main jusqu'à une énorme bâtisse sur laquelle on pouvait lire une pancarte « auberge » accrochée au dessus de la porte. Cela ne faisait pas de doute, l'homme connaissait cette ville comme sa poche. Néanmoins quelque chose avait nettement changé depuis son dernier passage, l'électricité était omniprésente dans la cité, sûrement grâce à l'invention de Moldaver. Lucy quant à elle, fut agréablement surprise de reconnaître la personne présente au comptoir.
« Alors le vieux enfin de retour en ville. Et avec ta petite peau douce. » Dit Camille en les voyant approcher. « Vous restez combien de temps ? »
« Juste une nuit. Y a moyen que tu surveilles le chien pendant qu'on est en haut ? » Rétorqua Cooper tout en pointant du doigt le dit chien.
« Pourquoi t'as un truc à fêter ? Parce que ça avait pas l'air de vous déranger qu'on vous voit la dernière fois. »
« On s'est mariés. » Sautilla Lucy en s'intégrant à la conversation. La jeune femme avait dit cela avec un tel enthousiasme que même son mari fut surpris. Il n'avait pas imaginé que son épouse soit si heureuse de proclamer leur union ainsi.
La goule aux cheveux roses se mis à éclater de rire, jamais depuis les années passées à côtoyer l'autre goule aurait-elle penser que ce dernier déciderait de se marier et encore moins à une peau douce aussi joyeuse que Lucy. Et pourtant en les voyant se regarder ainsi, leur yeux brillants et arborant un sourire aussi radieux, il n'y avait aucune doute que ces deux là s'aimaient. Elle balança un jeu de clés à l'homme tout en contournant le comptoir afin d'aller près du chien pour le caresser et l'amener à ses côtés.
La chambre était assez banale, un lit double, des draps simples, une couverture rouge légère, les murs, eux, étaient nus laissant apparaître le bois en dessous. Il y avait tout de même une salle de bain juste à côté et franchement malgré sa simplicité, c'était du grand luxe pour ce monde.
« Et bien, même pas vingt-quatre heures mariés et déjà mon époux me gâte énormément. Je suis chanceuse. » Lucy ne put s'empêcher de rigoler, un discours qu'elle voulait taquin dans l'espoir d'attirer son compagnon près d'elle.
« Faut bien sortir le grand jeu, poupée. J'ai pas envie que tu fuis avec le premier venu. »
Même si Cooper avait usé un ton semblable au sien, la brune comprit que ce dernier avait une crainte qu'elle choisisse un autre que lui. Elle s'avança vers lui et remonta sa main le long de son torse pour atterrir sur sa joue.
« Ça ne risque pas d'arriver, à moins qu'on m'arrache à toi de force et te connaissant tu ne laisseras jamais ça arriver. C'est peut-être fou à dire vu le nombre de jours qu'on se connaît mais je m'en fous, je t'aime Coop. »
« Je... Je t'aime aussi Lucy, plus que je n'aurai imaginé. »
Les deux amants se rejoignirent pour un baiser, un qu'ils savaient allait lancer le début de leur étreinte passionné. Cooper la porta jusqu'au lit avant de la déposer délicatement dessus, ce soir il allait savourer chaque instant, il ferait en sorte que sa femme ne ressente que du plaisir et de la douceur. Leurs vêtements chutèrent l'un après l'autre sur le sol afin que les deux amants puissent se découvrir sans entraves à nouveau comme si c'était la première fois. Cette fois-ci pas de pillards, pas de précipitation ou de distraction. Seulement eux deux dans cette pièce, rien d'autre n'avait d'importance en ce moment, pas de Vault-Tec ni même Henry, juste eux, leurs corps et leurs amours.
La peau de Lucy était vraiment une des choses les plus douces que la goule avait touché de toute sa vie. Il n'osait que l'effleurer du bout des doigts, la peur de la ruiner d'une manière ou d'une autre était omniprésente. Poupée était vraiment le surnom parfait pour elle, ce fut ses grands yeux qui lui avait donné l'idée du surnom, ils lui rappelait une des poupées dont sa fille faisait la collection. Il savait que ses longs mouvements de ses doigts rendait la jeune femme dingue mais il désirait savourer chaque seconde de leur échange cette nuit. Enfin il pouvait voir clairement chacune de ses réactions, quelles caresses lui procuraient le plus de sensations, ce qui lui plaisait ou non, tout ça lui était complètement visible et c'était grisant.
Lucy n'avait jamais été aussi mouillée et pourtant Cooper ne lui avait fait que de minimes caresses tandis qu'elle se préparait à le recevoir. Mais son regard était tellement intense tandis que son touché, lui, était d'une douceur que son corps ne pu qu'être émoustillé. Néanmoins son désir était trop grand et malgré qu'elle comprenait l'envie de la goule de faire durer le plaisir, la jeune femme désirait avoir son mari en elle, sentir sa virilité emplir son être tandis que leurs âmes se touchent et s'unissent dans une explosion intense de plaisir et d'amour. L'homme semblait être le seul à lui procurer une jouissance aussi immense et profonde. Et en cet instant ce n'était plus un désir mais un besoin de ressentir cela qui la poussa à attirer l'attention de son amant à elle pour lui susurrer à l'oreille « Fais moi tienne pour l'éternité. Je t'en prie Coop, prends moi. » Cette phrase eut le mérite d'enflammer son mari qui n'attendit plus et retirer ses doigts avant d'entrer en elle d'un coup.
Cooper ne se lassera jamais de l'expression que Lucy avait quand il entrait en elle, sa bouche qui s'ouvrait pour laisser échapper un hoquet de plaisir tandis que son regard se brouillait et ses joues qui prenait cette jolie couleur rosée. Tandis que la goule commençait des mouvements de hanches lents mais précis, ses mains continuèrent de se promener doucement sur le corps de sa femme ne sachant pas que cet acte tendre procuraient tout autant de plaisir que ces vas-et-viens les plus brusques. Peu importe ce que l'homme faisait, Lucy y trouvait de la satisfaction. Justement parce que c'était son homme qui l'a touchait et lui faisait l'amour. La tendresse dont il faisait preuve aujourd'hui était tout aussi intense que si il l'avait prise sauvagement, Cooper savait parfaitement quoi faire pour l'amener au septième ciel et Lucy espérait lui donné autant de plaisir. Au dire de l'homme et à sa façon de réagir face à elle, c'était le cas.
Les amants n'allaient pas tarder à atteindre l'orgasme ensemble, leur première fois en tant que mariés allait finir mais la nuit, elle, ne faisait que commencer. La sauvagerie ou bien la rapidité prendrait la relève sur la douceur dont les amants avaient fait preuve. Ils avaient ce qu'ils leur semblaient l'éternité face à eux et ils en profiteraient un maximum ensemble. Les deux amants improbables. Les tourtereaux invraisemblables qui s'aimaient et se vouaient l'un à l'autre malgré tout. Cooper et Lucy Howard, liés ce soir et à jamais.
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lepartidelamort · 1 year ago
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Les goules blanches font ajouter une ligne dans la constitution pour tuer leurs enfants
La lesbienne Mélanie Vogel était très heureuse de constitutionnaliser le meurtre d’enfants hier. Il faut noter qu’elle a pu le faire avec l’aide des vieux mâles beta majoritaires au sénat.
La constitution est tellement irréversible, que Macron la change.
Je me suis engagé à rendre irréversible la liberté des femmes de recourir à l’IVG en l’inscrivant dans la Constitution. Après l’Assemblée nationale, le Sénat fait un pas décisif dont je me félicite. Pour le vote final, je convoquerai le Parlement en Congrès le 4 mars. — Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) February 28, 2024
Cette ligne ajoutée à un bout de papier est surtout le dernier clou dans le cercueil de cette démocratie finissante.
Les lois des cycles karmiques sont d’acier.
L’avortement en France, c’est à peu près 240,000 avortements en 2023. Sur une décennie, c’est plus de 2 millions d’enfants à naître éradiqués, soit le nombre de migrants du tiers-monde, principalement musulmans, qui submergent le pays sur la même période.
Ce dépeuplement dicté par les femmes blanches entraîne un vieillissement massif et rapide de la population. La moyenne d’âge en France est désormais de 43 ans, en augmentation constante.
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La moyenne d’âge en Algérie est de 27 ans au Congo de 18 ans dans un continent dont les bassins de peuplement sont déjà saturés.
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Ce vieillissement entraîne une compression généralisée du nombre de travailleurs en mesure de payer des impôts et des taxes, avec une masse de vieux dépendants des subsides de l’État, donc de l’impôt, en expansion constante.
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Pour faire face à ces dépenses de retraite et de santé colossales, l’État s’endette toujours plus massivement.
À charge pour les actifs de payer le poids de cette dette, donc de voir leur revenu disponible se réduire toujours plus.
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Faute de revenus adéquats, la pression sur les jeunes couples est toujours plus forte, ce qui décourage une natalité déjà faible.
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Les conséquences du diktat vaginal sont claires : la destruction pure et simple de l’ordre social qui découle de la pression intense sur la reproduction des populations blanches.
Paradoxalement, les femmes sont les grandes demandeuses d’un large système sociale pour les protéger des conséquences de leur hypergamie. Sans ce vaste système social, elles se retrouvent livrées à elles-mêmes et doivent s’assurer de trouver un parti masculin matériellement à l’aise et ne surtout pas s’en séparer.
Sans ce filet de sécurité pour les traînées, impossible de jouer aux putes jusqu’à 40 ans, voire plus.
Au delà de ça, si les quelques 16 millions d’allogènes qui vivent en France n’ont pas encore créé de véritables narco-émirats, c’est parce que l’État paye un tribut énorme sous forme d’aides sociales.
Le système se trouve face à une contradiction insoluble : d’une part organiser la dénatalité pour satisfaire les femmes blanches, d’autre part tenter de compenser le déficit fiscal par l’immigration en important des masses inassimilables qui, par ailleurs, sont résolument patriarcales et dont la natalité est boostée par les aides sociales.
Le résultat final, d’ici 30 ans, au maximum, ce n’est pas l’utopie féministe, c’est Tombouctou.
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Mais oui, en effet, une ligne sur l’avortement va bien être ajoutée dans le texte rédigé par le juif Debré en 1958.
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Les lois de la nature se moquent de la démocratie ou des crises d’hystérie des catins. Elles organisent le monde depuis des milliards d’années et continueront de le faire pour des milliards d’années.
Cette république juive sénile peut faire de la paperasse pour plaire à quelques bourgeoises qui s’ennuient, la loi brutale de vie s’imposera. Si un peuple dégénère en laissant ses femmes dicter la conduite de l’État, par définition le domaine réservé de l’homme, alors cet état et ce peuple se condamnent à un châtiment racial impitoyable.
Quand cet état fera faillite, devenu incapable d’entretenir 25 millions de vieillards, assiégé par autant de fanatiques musulmans et de noirs assoiffés de vengeance raciale, ce n’est pas le mince cordon des Blanches névrosées qui endiguera la désintégration du système social.
Il suffira d’un séisme pour que tout soit emporté en quelques semaines et, si l’on en juge par la situation, c’est la guerre de trop que les juifs veulent mener contre la Russie qui sera ce séisme.
Les lois des cycles font faire leur office et la grande épuration aura lieu, quoi qu’il arrive.
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whencyclopedfr · 3 months ago
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Mythologie de Chitral
La mythologie de Chitral se développa dans la région de Chitral, la partie la plus haute des montagnes de l'Hindou Kouch, où le peuple chitralien, à la jonction de l'Asie du Sud, de l'Asie centrale, de l'Asie de l'Ouest et de l'Asie de l'Est, fut exposé à de nombreuses influences culturelles extérieures. Cette mythologie se développa au cours de plusieurs millénaires pendant lesquels les changements survenus dans la région conduisirent à l'adoption de nouveaux ensembles de croyances culturelles à Chitral. Bien que l'on ne sache pas grand-chose de l'ancien système de croyances des habitants de Chitral, les traditions ont préservé les récits de nombreuses créatures et entités de la mythologie archaïque, qui témoignent d'une forte synthèse entre les influences extérieures et les cultures locales. Les principales créatures sont les fées et les phénix, les cyclopes et les géants de feu, les chevaux-goules et les loups célestes, les lutins et les géants, entre autres. Chaque créature est unique dans ses liens avec les créatures d'autres anciennes mythologies voisines.
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philoursmars · 1 year ago
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L'année du Dragon arrive !
Une longue série de dragons arrive... Ici, des dragons baroques, classiques et apparentés...
Versailles, le Bassin du Dragon
Rome, Piazza del Popolo
Marseille, MuCEM - limonaire - Paris, 1909
Tarascon - la Tarasque
Arras, musée des Beaux-Arts- expo Versailles - le Dragon du Labyrinthe
Louvre-Lens, expo "Les Tables du Pouvoir" - aiguière - Brésil, 17ème s.
idem, expo "Animaux fantastiques" - Jean Gargot - "La Grand Goule" - Abbaye Sainte-Croix de Poitiers, 1677
idem - Hendrick Goltzius, gravure d'après Cornelis Cornelisz - "Le Dragon dévorant les compagnons de Cadmos" - Haarlem, 1588
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poumtchak · 4 months ago
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REQUIEM DE LA RUINE I LA MUSIQUE REND-ELLE PLUS APTE À SURVIVRE ?
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« Les pianos, c’est comme les chèques : ça ne fait plaisir qu’à ceux qui les touchent. »   – Erik Satie  –
Dans une vision strictement pragmatique du monde, l’empathie serait un truc de faible et la musique n’aurait plus de raison d’être. Sans faire le type qui aurait un bout de quatre-quarts séché à la place du coeur ou un poulpe mort en guise de sensibilité, force est d’admettre que la musique, objectivement, ça ne sert à rien. Sans eau, vous mourez. Sans les nutriments et vitamines nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme, vous mourez. Sans musique, en revanche, vous pouvez survivre. Déjà parce qu’un showcase de La Fouine à la Fnac ou un concert de Rihanna, c’est dangereux. Rappelez-vous dans Walking Dead, le bruit, ça attire les zombies et les goules en tout genre.
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Et puis, en cas de retour à l’âge de pierre, en mode loi de la jungle (le genre de truc sympa entre Resident Evil et le camping des Vieilles Charrues un lendemain de concert de Vitalic), dans ce genre de situation extrême, où s’unir et s’organiser seront déterminants pour assurer sa survie, franchement,  si on en arrivait là, vous prendriez qui dans votre équipe ? Un luthier et un gratteux de plage? Un beatboxer et un chanteur de R’n’B ? Entre Jason Statham et Bénabar, vous choisiriez qui sincèrement? Le soldat rompu à l’art de la guerre ou la tête à gifles galbée comme une chips? Ou entre Michonne et ses katanas et Nabilla et son poum-poum short ras la salle de jeux ? Vous opteriez pour qui ? Les deux ?
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J’avoue que Nabilla représenterait un apport non négligeable de protéines pour le reste du groupe et qu’un bobo brushingué, à défaut de chanter de la soupe ferait un formidable appât pour  la chasse, ou la pêche, le type ayant déjà des prédispositions à faire le lombric à l’avant des barques. Bien sûr, il ne s’agit pas de commencer à survivre au-dessus de ses moyens mais comme disait Confucius, à moins que ce ne soit un cocaïnomane de chez Publicis, « la vie est une question de priorité » et en situation de survie, « Nécessité fait loi. »
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Dans la jungle terrible jungle, y’aura pas les Pow Wow pour nous accompagner, y’aura pas non plus d’Ipod ou de MPC dans le kit de survie, désolé les mecs. D’abord, ce sera la guerre, la lutte permanente de tous contre tous. Puis, au bout d’un certain temps, quand il ne restera plus grand monde pour s’entretuer, viendra l’union. Une sorte de sélection naturelle qui s’opèrera pour former un clan composé de membres ayant chacun des compétences individuelles propres à optimiser la survie du groupe dans son ensemble. Il y aura les guerriers, tantôt soldats tantôt chasseurs, les maçons, les menuisiers, les forgerons, les médecins et puis les agriculteurs. Avec tout ça, on reconstruira un semblant de société, structurée, organisée. Qu’on le veuille ou non, tout ça ressemblera à un grand opéra, la longue litanie du cours des choses. Et puis, quand on aura sécuriser tout ça et que la ville nouvelle sera enfin fortifiée, protégée, pour se détendre, se soulager enfin de tant de fatigue, on retournera éventrer des chats et péter des arbres pour se fabriquer des guitares, dépecer des chèvres et des taureaux pour se faire des djembés, et 3, et 4, et en avant la musique !
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Seulement, nous vivons en temps de paix, à l’ère de la tolérance et du hit music only. Certes, la musique ne tue pas. Mais contrairement au dicton, elle ne rend pas plus fort. Comme on dit en Auvergne, « on n’attrape pas de lièvre avec un tambour » ; un FAMAS ayant plus fait ses preuves qu’une gratte sèche ou des maracas sur un champ de bataille. Alors en attendant un hypothétique retour au néolithique, et puisqu’au bout du rouleau il y a la mort, continuons d’humer les pots d’échappement en écoutant Gloria Gaynor à contresens sur le périph’ et chantons la vie parce que finalement, comme le dit Björk, « chanter, c’est comme honorer l’oxygène.«
I will survive !
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mysteresurterre · 10 months ago
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Le savoir mène à la folie - épisode 1
Résumé d'une partie de Spire avec quatre personnages :
Hadnel Illath, un Lajhan qui vit entre les docks et le bazar bleu. Il a recueilli récemment Mausel, une victime d'une explosion étrange dans Dérélictus.
Jesk, un Brandon qui travaille comme assistant dans la bibliothèque infinie de l'université de magie divine de Spire (UMDS pour les intimes).
Hallabeth, une Prêtresse-charognard vivant à Dérélictus qui s'occupe de sa communauté là-bas. Depuis peu une personne se débarrasse de cadavres que même sa hyène n'ose pas manger dans sa rue (et son "jardin").
Calder, un Chevalier de l'ordre des Belettes Tapageuses qui est l'heureux propriétaire d'un petit navire qu'il utilise pour pêcher. Il a entendu dire que les Salamandres Espiègles causaient des soucis en se baladant en dehors de leur territoire.
___
C'est dans un petit bouiboui du bas-perchoir que commence cette histoire. Quatre fidèles de notre Souveraine Cachée se retrouvent et attendent leur magistère. Elle se fait attendre un peu, débarque depuis la porte de service et s'invite à la table. Devant la cellule du culte, elle leur annonce que la cité de Spire est en proie aux changements. Des changements dans sa structure même, la forme physique de la ville. D'après elle, chaque membre de la cellule aurait pu en apercevoir des signes, directs ou indirects. Les murs qui disparaissent, bougent... mais même des évènements en apparence sans lien : des disparitions, des évènements occultes... Spire a tendance à s'exprimer de manières étranges.
Après le départ de leur magistère, les membres de la cellule partagent les évènements étranges qui ont eu lieu autour d'eux. Finalement, le groupe descend vers Dérélictus en entendant les témoignages de Hallabeth et Hadnel. D'après le Lajhan, un de ses patients aurait été victime d'une explosion dans les rues sous la cité, tandis que Hadnel et sa hyène ont retrouvé de nombreux corps abandonnés dans leur territoire, corps que la hyène n'ose même pas toucher.
Arrivés tous les quatre rue de la Paix, les cultistes de Lombre rencontrent une étrange créature humanoïde pâle qui tire vers elle un cadavre. Calder essaye de l'effrayer sans grand succès, mais la créature repart sans son repas en se faufilant entre deux murets.
Un vieux drow de la rue, Ronald, sort une fois la créature écartée pour remercier les quatre braves qui l'ont sauvé. D'après lui, plusieurs de ces "goules" se sont emparées des corps. Il demande à sa femme Lydia - un fantôme qui reste à ses côtés - de confirmer ses dires. Le fantôme de Lydia n'est retenu dans ce monde que par un fil ténu, cela est rendu évident par ses contours flous et ses phrases inarticulées. Autant la gratitude exprimée par le couple est bienvenue, autant les indices qu'il est capable de donner sont faibles ou sans importance. Il ne reste donc plus qu'à étudier le cadavre, et c'est là qu'un Jesk sûr de lui entre en scène.
Après un premier examen visuel, Jesk décide de découper une boursouflure pour voir ce qui a pu la causer. Il est surpris de retrouver dans la blessure des éclats blanchâtres et brillants qu'il identifie comme de la spireblanche - une poudre rare et dangereuse provenant des Usines. Cependant, cette spireblanche est anormalement brillante et un examen plus poussé montre qu'elle est chargée d'énergie lunaire.
Pendant cet examen, Calder est allé se reposer dans la hutte de Hallabeth, en grande partie pour s'éloigner du fantôme de Lydia qui le met mal à l'aise. Assis dans le fauteuil du taudis, il boit une outre de bière pour se détendre... sauf que son épée se met à trembler contre le mur, et les murs eux-mêmes tremblent. L'inquiétude le gagne et il quitte la hutte pour rejoindre ses trois compagnons qui ont décidé de suivre le passage par lequel s'est enfoncé la goule. Il leur faut peu de temps pour déboucher devant un trou donnant sur un fosse commune deux à trois mètres en contrebas.
Hadnel et Calder s'y aventurent en premier et les cadavres les accueillent avec une odeur pestilentielle et une consistance moelleuse tout autant que collante sous les semelles. D'ailleurs, les bottes s'enfoncent de quelques centimètres dans ce qui paraît être un amas de chairs qui n'ont plus rien de cadavres. La grotte gigantesque est éclairée par quelques braseros étranges et une drow hirsute collecte des organes à côté de l'un d'eux. Calder entame la conversation avec elle et apprend que les petits vers blancs qui grouillent dans cette fosse se nourissent des cerveaux et, d'après la légende, pourrait restituer les souvenirs des défunts à celles et ceux prêt à les avaler. Aussitôt cette information sue, Calder récupère quelques larves au hasard.
Jesk, qui a rejoint les autres au fond de la fosse, choisit une larve sur un drow à peu près bien conservé portant l'uniforme de l'université de magie divine de Spire.
De retour à la surface, dans une atmosphère bien plus saine (quoique tout de même polluée) entre les Docks et le Bazar bleu, la cellule de Notre Souveraine Cachée reprend les informations obtenues tout en profitant de la vue depuis le balcon de l'appartement d'Hadnel. Dans la pièce à côté d'eux, Mausel, la victime de l'explosion qui a eu lieu à Dérélictus. Une étude rapide des résidus de l'explosion confirme qu'il y a dedans un mélange de spirenoire (élément attendu dans un explosif qui se respecte) et de spireblanche (élément plus inhabituel dans ce cas). Juste avant de s'endormir après les soins apportés par Hadnel, Mausel précise qu'il a senti une odeur de fauve avant l'explosion. Une odeur de hyène...
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entomoblog · 1 year ago
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Le zombie, monstre préféré du XXIᵉ siècle ?
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
Le zombie est une métaphore polyvalente, qui incarne diverses anxiétés de son époque.
  Célia Mugnier
ATER en études culturelles, Université de Lorraine
  [...]
  Zombies et crise écologique
"Si le zombie consacre l’échec des frontières à contenir les migrants, il renvoie aussi à l’échec de l’être humain à contenir la crise climatique. Dans le livre World War Z, signé Max Brooks, les réfugiés remontent du Sud vers le Nord, car les zombies gèlent dans le grand Nord ; difficile de ne pas songer aux mouvements migratoires causés par le réchauffement planétaire. L’auteur donne également la voix à un militant écologique :
« Vous voulez savoir qui a perdu la Guerre des Zombies ? Qui l’a vraiment perdue, je veux dire ? Les baleines. »
Image de la sixième extinction massive, la guerre des zombies métaphorise nos préoccupations environnementales. De même, les cendres qui recouvrent la surface de la Terre, visibles depuis l’espace, sont dues aux corps des zombies que l’on fait brûler partout dans le monde ; mais une telle fumée ne peut qu’évoquer la pollution. Dans Zone One, les cendres des zombies retombent sur le corps des héros comme des résidus d’une marée noire (Whitehead, 90). Enfin, le zombie en tant que corps carnassier renvoie également à notre consommation de viande, souvent pointée du doigt aussi bien pour des raisons d’exploitation animale, que pour les émissions de CO₂ qu’elle implique."
  Vegans, Zombies, and Eco-Apocalypse: McCarthy's The Road and Atwood's Year of the Flood | ISLE: Interdisciplinary Studies in Literature and Environment | Oxford Academic https://academic.oup.com/isle/article-abstract/22/3/507/2357462
  [Image] Zombies de dessins animés. Memo Angeles/Shutterstock
via James : « Est-ce que les zombies existent pour de vrai ? » https://theconversation.com/james-est-ce-que-les-zombies-existent-pour-de-vrai-181551
  Bernadette Cassel's insight:
  "Corps et dents, les morts-vivants sont des métaphores polysémiques, qu’ils renvoient aux flux migratoires, au réchauffement climatique, à la spéculation financière, ou encore au lavage de cerveau. De plus en plus, les zombies intègrent le vocabulaire courant dans le monde anglo-américain : ainsi nos homologues parlent de « zombie forest », « zombie energy », ou encore « zombie enterprises. » À n’en pas douter, la langue française devrait être rapidement infectée par les goules."
Célia Mugnier
    Chez les insectes, les zombies existent - De ici.radio-canada.ca - 6 novembre 2015, 19:38
  'zombie' in EntomoNews | 43  scoops https://www.scoop.it/topic/entomonews/?&tag=zombie
  ... sans parler des Zombiptères !
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willtheweaver · 1 year ago
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The day after-Saturday the 14th
Daniel hated his job. If he had his way, he would have quit a long time ago. But the rent, utilities, and student loans weren’t going to pay themselves. They pay was overly generous, but that was not the problem. It was the actual work.
The job in question was simple housekeeping duties at Blackburn hill house. It was only for one day out of the year, but that single day was the absolute worst.
It was early morning when Daniel arrived. The house looked the same as ever: monumental, weathered, and forlorn on top of that bare and ominous hill. The front door creaked as rusted hinges moaned. It fully opened and Daniel was hit by a ballast of warm, musty air.
Thin, quivering shafts of light poured through the gaps in the shutters and curtains. In the gloom were the outlines and shapes of upturned tables and broken chairs. Shards of glass glimmered like diamonds, and everywhere were dark stains mingled with bits and pieces of goodness knows what.
“ What went on here?” Daniel sighed with much annoyance. “The place is absolutely trashed. Much worse than the last time.” He grumbled quietly to himself as he gingerly avoided stepping in the mess. If the entrance hall looked like this, what was the state of the rest of the house?
He made his way to the side of the grand staircase. There, there was a cupboard of cavernous proportions filled with brooms, mops, buckets, dustpans, soap, black bags, bleach, and almost every cleaning product imaginable. Daniel found a handcart nearby which he then loaded with as much stuff as it could carry. Then he went to the kitchens to fill one of the buckets with water before he began his work.
Slowly and methodically, he worked his way through the house. Into the bags went dust, broken furniture, spider webs, glass,and the odd bone and bit of mangled flesh. All the dark puddles were mopped up, and any place that was stained or smelled was bleached. And of course all the blood splatters and messages were meticulously scrubbed off the walls. Any clothing was to be put on the dumbwaiter and sent to the basement. Loose cutlery was to be returned to the kitchen, and all the axes, scythes and shears were to be put back in the garden shed.
The morning gave way to midday,which slowly faded into afternoon. It was an hour before dusk when Daniel finished his work. The house was cleaned,the skeletons were back in their respected closets,and the gouls were pacified. Everything was back to as normal as it could be. He let out a cry of relief then made his way to the front door.
He had made it as far as the foot of the stairs when he heard heavy footsteps on the creaky floorboards mixed with the plod of a cane. They went from distant to close as the old beams sang.
“Ah, Mr. Bradshaw. You’ve returned.” Daniel’s voice was flat and expressionless.
Stepping into the light was a gentleman who was neither old nor young in appearance. Only a few wrinkles crossed his face, and his hair was chestnut brown with no sign of grey. It was hard to ascertain the build as his body was almost entirely concealed in an old fashioned coat of high quality. All his other accessories, from his cane ,to his high boots, to his top hat and watch on a silver chain were all exquisite, albeit two centuries out of date, fashion wise. He usually wasn’t around on cleaning day, having to attend to ‘business’ that needed the entire day.
“My business concluded early, so I thought it prudent to return and check in on your work.” Mr. Bradshaw said. Even his voice and mannerisms were old fashioned.
“I have to say, I am impressed at what you have managed to accomplish. It is impeccable really, how you manage to clean up this place. Even after all these years, I am impressed.”
“I know that this year was a lot for you to take in.” He added apologetically. “My guests this year had been particularly rowdy and excitable. They really do not mean to cause you extra work.
“Listen, I know you do not think too highly of this job, and you have not since the first year, but I appreciate it greatly.” From inside a coat pocket, Mr. Bradshaw produced an envelope.
“Inside is your wages for the work that you put in. I’ve included a raise and a bonus for putting up with everything I ask of you.” He smiled as he extended his hand.
Daniel took the envelope gingerly. It was closed but unsealed. Without thinking he opened it and looked over its contents. Inside was a check for half a million dollars. There were also some antique silver coins, and a green diamond on a fine gold chain.
He couldn’t believe it. The money in the check alone would be enough to erase his debts. The coins and jewelry would fetch as least twice as much money, if not more.
Daniel felt overjoyed, and grateful. He wanted to say something to Mr. Bradshaw. But when he raised his head, he found that his employer had vanished.
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Serait-il possible de prétendre et rabâcher en permanence "toute douleur est anormale 🤡" quand une personne parle d'une douleur anormale ?
OUI on SAIT qu'en théorie, pour une personne valide, une douleur est anormale, étant donné que c'est un signe que quelque chose ne va pas.
Cependant, dans le cas des douleurs chroniques, d'une maladie, d'une opération récente, d'un handicap ... bah on a mal "tout le temps", du moins la douleur est normale.
Désolé de vous l'apprendre mais si on viens de vous retirer un organe, par ex, c'est NORMAL d'avoir un peu mal quand même. Cependant il y a des douleurs qui sont normalement liées à l'opération et d'autres qui le sont pas et présagent d'un mauvais truc.
Prenons un autre exemple : une personne avec des migraines et qui expérimente globalement toujours le même genre de douleurs, mais qui en aurait une totalement différente ... ce serait entièrement logique de la considérer comme anormale et de s'inquiéter plus que pour les autres douleurs, qui sont habituelles.
Encore un autre exemple : une personne qui aurait un SED. Cette personne a souvent mal, pour plein de raisons, c'est normal *dans le cadre du SED* mais si demain, cette personne a une douleur totalement inconnue, et jamais expérimentée, il serait également logique de considérer cette douleur comme anormale.
Donc par pitié, pour l'amour du ciel, fermez vos grandes goules quand une personne parle de "douleur anormale". Merci. 💚
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jimmawww · 2 years ago
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Rip In Pizza, Florida Femanon
As she strolled down by the water she wore a low cut top paired with a shit-eating grin, her cadence an element of royal refinement and arrogant pronviciality. She flaunted her soft white forearms, supple and sinful in a coy seductivity. She’d laugh at the silliest things and chastise you for innocent interests [as was her modus for extracting your ire and establishing her fake power] like a playful executioner. Indignation and incredulity were her tastes and the more she could excavate from your living corpse, the more the sun shone with her laughter, leading to an infectious and insidious cycle of positivity. Of course you had to be very smart and very naive, that was her favorite dish, she could always put on airs of disheartened interest and incursive judgement to suit her appetite.
The dappled mossy sunlight opened up to the earth, reflective creek, and her stride as she walked through but seemed as a floating Athena of the swamp. She’d let her hair and indifferences down to capture what she wanted and languish what she hated, but was always genuine in her passions. And of course she had the magic that always worked because she believed it worked (sufficient in itself). Nobody stupid crossed her, all smart feared and admired her, and her worst enemy was herself.
She could mix up the swamp water and cursed wormwood in a small pot to make an image of a man, and a world made from that man, that she wanted. Of course it usually failed in her intentions but its effects were as grand so she usually tempered those scopes to understandable, explainable, rational reasons for the phenomena. Ghosts and gouls adorned her glory, never dragging her down and she never fully acquainting with them, only a mutual co-workership. She’d cast a spell on you with flare and fury only to go home and do the mechanical incantation in boredom. Equal parts mystery and deception. That’s all she was until she up and disappeared in that afternoon twilight, smirking as always.
But we’ll see her again.
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