#grand écart
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LE POSITIONNEMENT EST L’AFFIRMATION DE SOI
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Nous sommes dans une phase énergétique où chacun doit se positionner, s’affirmer en s’appuyant sur son authenticité. Les énergies actuelles sont sans appel, elles remettent à leur place tous ceux qui hésitent, marquent le pas, pleurnichent sans arrêt sur le sort du monde, se plaignent que ça ne va pas assez vite, tous ceux…
#Celle du Nouveau Monde et celle de l’ancien monde.#Cette réalité qui nous entoure est une pièce à deux faces.#chacun doit se positionner#L’individu ne peut pas faire le grand écart entre deux mondes.
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très haut amour - qui passez la mémoire - je reste tant affamée de vous ! - je reste agenouillée, entre vos bras courbée - fleurs impromptues - éclosions de paresse - et vos désirs ignés ! pour moi, tout offrande - de vos dents à ma bouche, de vos mains à mes seins, de l'aurore au grand jour... je suis ! je suis voulue - tordue - émancipée, visée - vos rêves sont plus forts, vos rêves sont plus fous... et j'ai le corps solide pour accueillir vos fièvres et encenser ma peau de toutes vos effluves de toutes vos zébrures - au ciel élancés ! tant d'éclairs entre nous que je reste incomprise... de nos écarts - de tant vouloir vos pensées mûres qui ont passé mon âge - pourtant ! vous êtes l'accord - de mes désirs et mes rivages - intelligible amour que vos bras dans mes bras - et que font donc les fleuves jetés dans les mers oublieuses - sinon se plaire d'être l'un avec l'autre - comme vous avec moi - de n'être point perdus entre deux solitudes - que vos regards ! ont flatté mes bordures et déjeté la nue - toutes mes prédictions ont perdu leurs ramures et vous êtes l'Indicible - entre tout homme, c'est vous ! à l'étoile courroucée j'ai rendu mes faiblesses et décliné mon sort car vous avez tout lu dans les veines sur mon corps - et mon destin, c'est vous ! et ma nuit qui s'achève n'est qu'un don répété à votre adoration - imprimée sur mes doigts à l'aide de vos lèvres - et vous m'avez marquée - libérée, révélée...
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Je connais une meuf elle est en 5e année de médecine (donc elle est active à l'hôpital en plus des cours), elle est danseuse pro, elle a un mec, et elle est dans une association le WE. Quand je regarde ses stories, jsuis impressionnée de son niveau d'énergie. Comment c'est possible ? Moi jme lève je mets 2h à m'en remettre. Jvais juste en cours je rentre je mets 2j à m'en remettre. Jvais au ciné jmendors. Ya des gens pour de vrai ils me fascinent. Qu'est ce qui la fait tenir et s'impliquer autant ? J'étais au collège avec elle et elle voulait déjà fait neurochirurgien et elle était en mode "jsuis pas inquiète ça va le faire" on avait 12 ans. Je mangeais encore de la terre et jme mutilais à cet âge mdrr. Quel écart. Quelle grande dame.
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Jean Cocteau, “Le Grand Écart,” Paris, 1923
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Flufftober 2024 : "Comment t'es habillé ?", "C'est le jour de la lessive !"
15 octobre
« Comment t'es habillé ? », « C'est le jour de la lessive ! » ("What are you wearing ?", "It's laundry day !")
Ophélie & Octavio (La passe-miroir)
Ophélie demeura déconcertée sur le pas de la porte d'Octavio lorsqu'elle vit ce que Seconde portait. C'était une sorte de tunique courte à fleurs, avec en plus un short de lointaine station balnéaire et enfin, un collant noir en-dessous. Ça n'avait aucun sens.
L'adolescente, bien sûr, n'en avait cure. Elle fonça joyeusement à travers la maison, salua la nouvelle venue d'un mouvement de main, sa chaîne en or se balançant entre son sourcil et son nez. Après quoi, elle écarta la moustiquaire et sortit dans le jardin, effrayant du même coup une volée de perroquets.
«Seconde ! l'appela la voix d'Octavio depuis la cuisine. Quand je t'ai dit que tu pourrais m'aider à ranger tout ce qui traîne, ce n'est pas exactly ce que j'avais en tête ! »
Il s'interrompit net en découvrant son amie, dont l'écharpe était en train de balayer les plumes d'aras qui avaient pénétré dans le hall d'entrée. Ophélie haussa davantage les sourcils d'étonnement, sans pouvoir s'en empêcher. Les vêtements d'Octavio avaient encore moins de logique que ceux de sa sœur : une blouse boutonnée jusqu'en haut, une veste par-dessus et le pantalon qu'il portait au conservatoire de la Bonne Famille. Celui qui, normalement, n'était assorti qu'à une redingote bleu nuit et des bottes ornées d'ailes d'avant-coureur. Spontanément, l'Animiste lança un :
« Comment t'es habillé ?
-C'est le jour de la lessive ! se défendit Octavio en rangeant sa bouteille de produit pour les vitres dans la poche de sa blouse. »
Comme ils s'étaient jamais dit au revoir du temps où leurs vies étaient incertaines et compliquées, ils ne se souhaitaient jamais le bonjour non plus. Cet écart à la politesse était également dû, cette fois, dans le cas d'Ophélie, à la mine totalement déboussolée de son ami. Octavio n'avait certes pas l'habitude de devoir choisir ses propres vêtements et ceux de sa sœur : autrefois, Babel possédait un code extrêmement stricte en ce qui concernait les accoutrements de chacun. Comme il n'était plus question de faire de distinction entre les différentes nationalités de l'ancienne arche, les Babéliens ne se vêtaient plus systématiquement de toges colorées selon leur rang dans la société. Ophélie voulait bien croire que toutes celles de Seconde et d'Octavio étaient au sale, mais était-ce une raison pour paniquer et s'affubler de choses n'ayant même pas de rapport avec la météo ?
« Même moi qui ait tendance à porter la première robe me tombant sous la main, je n'aurais jamais combiné autant de pièces différentes, admit-elle en se laissant tomber sur le canapé de son ami. Tu veux de l'aide pour ta lessive ?
-Well, si je me souviens bien, tu n'es pas la meilleure en ce qui concerne les tâches ménagères, fit valoir Octavio en venant s'installer à côté d'elle. Mais peut-être as-tu une ou deux robes à prêter à Seconde.
-J'ai bien peur que non. Mon petit frère et mes petites sœurs me dépassent déjà d'une bonne tête et je suis toujours plus grande que Seconde. Mais, en ce qui te concerne…
-… Oui. Je crois que je vois perfectly où tu veux en venir. »
Octavio et elle avaient exactement la même taille et pratiquement la même silhouette. Les redingotes de la Bonne Famille ne laissaient pas beaucoup de place aux rondeurs de toute façon, il n'aurait aucun mal à porter la sienne.
« Merci, soupira le Visionnaire en se passant la main dans les cheveux. J'avoue que ça me dépannerait énormément. Du côté de l'habillement, je préférais clearly comme c'était avant !
-Ne t'inquiète pas, sourit Ophélie tandis que l'écharpe se posait sur son épaule. Je demanderai aussi à Thorn de te montrer comme on entretient une maison. Le recours aux automates pour les tâches de haute nécessité uniquement a dû vous porter préjudice. »
Octavio réussit, sans qu'elle sache trop comment, à lui retourner un regard déconfit et en même temps un petit sourire.
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"Trio, grand écart"
Dany ERDOCIO
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Grand écart…
#photography#original photography#original photography on tumblr#corsedusud#architecture#fenêtre#facade#immeuble#pantalons
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En revanche, j’ai dévoré Le rêve du jaguar du fringant Miguel Bonnefoy. Il est jeune et a déjà écrit plein de trucs, mais c’est maintenant que je le découvre, et je me suis régalée avec sa fresque historique et fantaisiste. Un portrait du Vénézuéla au XXe siècle à travers une famille (apparemment fortement inspirée de sa propre famille) qui est complètement incroyable. Antonio, le bébé abandonné trouvé sur les marches d’une église et recueilli par une muette qui vit dans les bidonvilles de Maracabio deviendra médecin et fondateur d’une université de médecine du Vénézuéla… entre temps, il connaîtra de multiples aventures (celles de son enfance sont particulièrement géniales) ; pauvre, il devra s’endurcir et devenir malin… un côté Oliver Twist dans cette partition, faire divers métiers, dont celui d’homme à tout faire dans un bordel avant d’accéder à d’autres sphères et d’autres horizons…. Laure Adler compare l’auteur à Victor Hugo ! Il y a de ça en effet dans la virtuosité de passer d’un milieu à l’autre, dans la peinture crue et émouvante des gens miséreux… un Victor Hugo juvénile d’Amérique du Sud, comme on se l’imagine, colorée et tapageuse, aux prises avec une histoire mouvementée et violente. (Encore que l’auteur soit Franco-vénézuélien, son livre fait d’ailleurs le grand écart entre les deux continents, et fantasme Paris.)
Mais malgré la violence des faits, la plume de Miguel Bonnefoy est légère, il virevolte et nous embarque dans les moments tragiques et les plus doux avec cadence et rythme, sans s’appesantir. Il a cette grâce et cette fantaisie, qui surprend sans cesse. Il mêle récits imaginaires, contes, légendes, mythologies locales et histoire avec malice.
C’est un vrai moment joyeux de lecture.
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flickr
80' dance outdit dance studio par benson flexifan Via Flickr : split pose in black leotard blue tights white leg warmers
#flexibility#front split#grand écart#legwarmers#male dancer#men in tights#souplesse#spagat#split#splits#stretching#tights#yoga#étirement#flickr
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9 jours ensemble. Jouer, rire, s'embrasser, discuter, se câliner, se promener, aller à la plage, jouer au frisbee ou aux fléchettes, se caresser, se coucher et se réveiller à ses côtés, faire l'amour, se dire des mots doux, cuisiner, se regarder...
Puis finalement rentrer chez moi, partir en vacances, loin. Bah même si c'est les vacances le grand écart est rude. Il me manque. Énormément.
Je suis si heureuse de l'avoir dans ma vie si vous saviez. C'est une pépite, un trésor ❤️ Et j'ai déjà hâte de le retrouver.
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Myopie ou mensonge ? Les deux, mon général...
Cela fait bien longtemps que nous n'avons pas parlé de l'Ukraine --sur le fond, j'entends. Et pourtant, on ne devrait guère se passionner pour autre chose : le sort du monde à très court terme --et notre vitrification, dont la probabilité se rapproche à une vitesse ''très grand V'' !-- dépendent de ce plat pays, des élucubrations de gnomes qu'un destin farceur à mis en position de régner sur le monde... et des différentes mauvaises idées que leur soufflent leurs ''egos'' surdimentionnés. Résultat : une guerre de ''fake news'' où le plus actif n'est que rarement celui qu'on accuse !
Pour la plupart des européens, pratiquement seuls au monde à penser de cette manière, la cause est entendue, et les ''généraux-de-plateau'' enrôlés en masse par LFI ont vraiment tout fait pour... généraliser ce mode d'évaluation d'un système totalement dévoré par... le Système : Poutine est un salaud, enfant de salaud lui-même, et donc seul responsable de tout ce qui est arrivé ou pourrait arriver (sauf ''de bon'' : là, ce n'est plus lui qui est responsable, mais tous les autres). Sans doute, d'ailleurs, est-ce pour cette seule raison déraisonnable que tout va si mal et qu'il n'arrive jamais (je dis bien : jamais. Vous pouvez vérifier !) rien qui aille dans leur bon sens : comme il est intrinsèquement mauvais, ce ''bon sens'', il écarte toute possibilité de bonne nouvelle.
Le fait d'avoir ouvert les hostilités est un poids énorme en contre, pour Poutine. Mais la suite est partagée, et le plus souvent en la défaveur de ceux qui osent se dire ''l'Occident'' (que défendent-ils qui appartienne vraiment à la Civilisation occidentale ?). Ce qui ne fait pas de doute, c'est que les médias ''dans la ligne du Parti'' mentent sans cesse et, logiquement, plus fort que ceux qui ont moins de moyens... C'est simple : à part l'attaque initiale --qui est une faute énorme-- trouvez-moi une seule ''provocation verbale'' ou autre, récente, de Poutine qui soit de son propre chef et qui n'ait pas été induite par un ''coup fourré'' préalable de l'Occident... sous prétexte qu'il se croyait le plus fort sur le terrain ?
Avec un entêtement à pousser en avant un point de vue que je reconnais original et assez peu partagé, ce Blog dénonce, depuis le tout début de ce conflit, une inversion volontaire et ''par système'' de toute information. J'écrivais, dès le 24 février 2022 : ''Le grand perdant sera l’Ukraine, dépecée, mutilée, démembrée, et ravagée pour rien puisqu’au final elle perdra bien davantage que ce à quoi les accords de Minsk l’auraient contrainte si elle les avait appliqués au lieu de les mépriser. Le président Zelenski portera une lourde responsabilité au regard de l’histoire puisqu’il aura préféré la ruine de son pays et la mort de sa jeunesse à un compromis quand il était encore temps.
Les autres grands perdants sont ou seront les européens. Dans l’immédiat certes, ils peuvent se gargariser d'une unité retrouvée, d'un réarmement accéléré, de leur farouche volonté de défendre la démocratie et la liberté jusqu’au dernier jeune ukrainien, de leur générosité à l’égard des réfugiés, d'une possible indépendance énergétique vis-à-vis de la Russie, etc. Tout cela est vrai, mais le prix à payer sera extrêmement lourd : ils ne pèsent plus rien, face aux américains''. Je ne vois rien à modifier.
L'Histoire, petite ou grande, conservera de cette catastrophe des récits qui dépendront du ''credo'' de celui qui l'écrira. Mais un Blog n'a pas vocation à prédire --sauf exception : il n'a comme utilité (s'il en a une !) que d'attirer l'attention de ses ''followers'' sur tel ou tel aspect de la vérité qui aurait pu leur échapper. Or je suis frappé --''choqué'' serait plus vrai-- par la lecture des horreurs qui se passent devant nos yeux qui ne veulent pas voir... cette myopie volontaire étant soulignée par un besoin inexplicable de tous les organes dits ''main-stream'', presse, télé et les autres, de promouvoir un roman inventé de toutes pièces qui répond à un seul but (idiot) : faire que, en cas de déraillement du ''Système'' vers une guerre nucléaire, tout le monde pense que c'est Poutine le seul coupable. Question : en cas de troisième guerre mondiale, qui restera-t-il, pour juger qui a tort et qui, raison ? Réponse : personne ! On sera tous vitrifiés, et les quelques survivants, très irradiés, auront d'autres soucis que de se demander si l'OTAN et la Maison Blanche n'auraient quelques petites maladresses à se reprocher ! Soyons sérieux !
En dernier ressort, qu'il me soit permis de raconter ce que je vois, de ma fenêtre (petite, mais sans barreaux !) : dans son désir sénile de tout faire pour que Trump ne puisse pas tenir sa promesse d'estrade de ''liquider le conflit ukrainien en 24 heures'' (sans doute une rodomontade, mais ce n'est pas le sujet !), Biden multiplie ''les prises de risque'', chaque jour en révélant une nouvelle... à laquelle l'Ours russe, qui ne veut pas être en reste, répond du tac au tac : ''à chaque provocation, nous répondrons'', répète Poutine... Las ! L'Occident ne veut entendre que les réponses, pas les avertissements qui les précèdent... comme toujours, depuis la chute du mur de Berlin...
Le grand tripotage médiatique de la semaine tient au déploiement par Poutine d'un nouveau vecteur multi-ogives qui pourraient devenir autant d'ogives nucléaires. Le seul ennui, c'est qu'il n'a fait ça que en réponse à une décision inattendue de Biden --bientôt suivi par le toutou qu'est devenue la France macronienne, aussi provocatrice qu'irresponsable-- qui a autorisé... exactement la même chose, avec des missiles de croisière américains tout aussi performants (ou peu s'en faut !) que les ''Orechniks'' russes. Devant cette folie de la Maison Blanche, le Figaro (pourtant pas un des plus vicelards, dans les propagateurs de fake-news) titrait ce matin : ''Poutine élève d'un cran la menace nucléaire contre les occidentaux''. : ce titre est un mensonge... et ''ils'' le savent pertinemment. C'est d'ailleurs ce qui m'a ''mis en boule'' et a déclenché cet éditorial non-prévu. On est en droit de se demander quelles obscures motivations peuvent justifier des fake news aussi potentiellement graves dans leurs conséquences ?
Voulez-vous un autre exemple du lavage de cerveau auquel nous sommes soumis (sur lequel nous passerons sans nous appesantir : ce n'est pas le sujet d'aujourd'hui) ? L'autre ''scoop'' du jour est ce sondage portant sur l'antisémitisme, selon lequel, toujours d'après le Figaro, ''pour 12% des Français, le départ définitif des juifs serait ''plutôt'' une bonne chose pour la France''. C'est peut-être vrai... à la seule condition de passer volontairement sous silence le fait que ces ''12 %'' équivalent, arithmétiquement, au total de ces musulmans frais naturalisés mais pas intégrés ou des "français administratifs'' qui n'ont de français qu'un morceau de papier et ne sont représentatifs que du rejet ancestral (et systémique, lui aussi ! ) de l'islam extrémiste pour tout ce qui touche à Isra'el et aux juifs,... plus, la rituelle pincée d'islamo-gauchistes confits dans leur haine mais qui font du bruit comme cent ou mille..... En vérité, le nombre des ''français de souche'' (ou, si vous préférez, ''de culture'') qui sont antisémites reste proche de... zéro pour cent, quoi qu'on fasse dire à des sondages aux questions biaisées. Vrai mensonge ici, fausse vérité là... et fake news partout !
Répétons-le : la fausse vérité dégagée par ce sondage est un vrai mensonge par omission. Mais ces deux exemples pourraient nous aider à nous rendre compte de la monstruosité de la désinformation... multi-ogives, à laquelle nous sommes soumis ''H 24'' par des médias dont on se demande à quels impératifs ils obéissent... autres que ''le malheur du monde'' de mal nommer les choses. Je n'ai jamais pu leur trouver le début d'une excuse. En revanche, ce que j'ai appris de la vie, c'est que, comme le répétait, dans mes années militaires, un vieil adjudant-chef remarquable meneur d'hommes blanchi sous le harnais : ''A force de jouer au c.., on finit toujours par tomber sur une b... !''. On y va tout droit, à force d'aller de traviole !
H-Cl.
PS : a l'heure où est diffusé cet éditorial, on est toujours sans nouvelles de Bouallem Sansal. Et la diplomatie française est aux abonnés absents... comme on aurait pu s'y attendre !
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" J’sais pas comment sauver l’monde et, si j’savais, j’suis pas sûr qu’j’le ferais J’ai pas grand-chose à t’offrir, à part te dire qui j’suis et c’que j’sais J’ferai jamais c’qu’on m’dit en premier, les mensonges circulent plus vite qu’le vrai J’ai couru après l’bonheur sans prendre le temps d’savoir c’que c’est J’essaie d’avoir un enfant, j’essaie d’avoir autre chose que des regrets Quand il verra 2022, j’comprendrai qu’il s’mette à pleurer Ils disent que tout va s’effondrer, qu’on va y passer dans 3 degrés J’pensais qu’la science allait nous sauver mais j’ai d’moins en moins confiance au progrès J’sais même pas pourquoi j’pense à ça, j’y connais rien, qu’est-c’que j’y connais ? Que d’la data pour les GAFA, bâtard, t’es rien d’autre qu’une donnée J’ai quelques éclairs de génie mais, la plupart du temps, j’suis teu-bé J’connais qu’les mauvais alcools qui donnent l’alcool mauvais J’avais peur d’avoir rien compris, maintenant, j’ai peur qu’il y ait rien à comprendre Piégé dans notre propre système, prisonnier dans une sauvegarde bloquante J’viens d’là où les darons ressemblent à Coluche, j’viens d’la campagne normande Ils aiment juste les bonnes affaires, tout c’qu’ils veulent, c’est voir l’émission d’la brocante Maman m’a dit : “S’il y a des pauvres, c’est qu’ils ont mal travaillé à l’école” C’est pas d’sa faute, sa mère racontait l’même genre de merde à ses gosses C’est pas d’sa faute, sa mère… bref, faut qu’on brise ce putain d’cercle Il est vicieux, c’putain d’cercle, j’peux pas l’faire tout seul, faut qu’tu m’aides
Aide-moi Marche Marche avec moi, apprends-moi Méga, méga, méga, méga
J’peux pas l’faire tout seul, faut qu’tu m’aides, soyons d’accord de pas toujours l’être Traite-moi comme tu voudrais qu’j’te traite, réussir sans faire le bien, c’est perdre Apprends-moi la franchise, me juge pas, j’aurai moins envie d’mentir On m’a dit : “Sois fort, faut devenir un homme”, rappelle-moi qu’ma force c’est d’être sensible Quand la vie n’a pas d’sens, aide-moi à lui en donner un, écarte- moi des mauvais chemins Rappelle-moi qu’on peut croire qu’on est personne à trop vouloir devenir quelqu’un Aide-moi à trouver l’équilibre, grandir n’est jamais fini Je sais mieux donner les conseils que les suivre, un jour, on va mourir, tous les autres, on va vivre Oublie l’futur, c’était avant, oublie l’futur d’avant C’est pas sûr qu’on soit d’dans, apprends-moi l’pardon, la patience Faut qu’on soit meilleurs qu’nos parents, faut qu’on apprenne à désapprendre J’veux pas croire qu’le temps est à vendre, qu’on soit juste une valeur marchande Avant, j’rêvais d’quitter la France, j’vais rester, j’préfère qu’on la change Mélange vieilles et nouvelles croyances, mélange humanisme à la science Evidemment, c’est plus comme avant, faut t’faire une raison, c’est l’concept du temps Le monde est en mouvement, porte-moi dans l’courant, prends mon pouvoir, la tentation est trop grande Prends mon ignorance, j’dois mettre un nom sur les choses pour les comprendre J’essaie d’avoir un enfant, j’essaie d’avoir une civilisation, j’peux pas l’faire tout seul, va falloir qu’on l’fasse ensemble
Tout s’transforme, rien n’se perd J’ai pas fait qu’des choses dont j’suis fier, j’peux devenir meilleur, j’peux pas revenir en arrière J’étais tout seul, on est des milliers, bientôt, vous allez tous m’oublier Désolé mais j’vais devoir vous quitter, dis-toi seulement qu’on a kiffé Hier, c’était hier, aujourd’hui, j’efface les dettes, hein J’échangerai pas c’que j’ai contre la jeunesse éternelle, hein On a fait c’qu’on a fait comme on l’a fait mais on l’a fait, hein Tout s’transforme rien n’se perd, ombre et lumière"
Orelsan "Civilisation"
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Encore une nuit pareille. Et cette impossibilité d'entrer dans le corps. Je le sens, mais je suis contraint de l'observer du dehors, comme tenu à l'extérieur par une barrière invisible. Il y a les douleurs un peu partout, les incisives du bas poussées contre celles du haut, la nuque peut-être bien tendue, opaque, sourde.
J'essaye. J'essaye longtemps. 30 minutes quand j'abandonne. J'oublie toujours ça : au lieu de vouloir entrer, habiter ce dehors. Je réalise à l'instant. Je cherche un autrement, et je me rate où je suis. Faire de la place à ce vécu. Mon corps qui me tient à l'écart. Interdit d'accès.
Et j'ai pu remarquer de justesse en me levant que j'étais effectivement à côté. J'ai pu me remettre sous la couette avec le livre de Claire Berest, « Rien n'est noir », mais j'allais trop vite. Ma tête dirigeait, sans même que ce soit si évident. Mes mouvements étaient dus à des décisions, tissées d'injonctions nébuleuses, cachées en sous-cale, pas franches, acoquinées avec des peurs guère mieux déclarées. Quelque chose me pousse à bouger, à me mettre en mouvement, à ne pas rester immobile, léthargique, inutile, sans vie. Peur que ça dure, que ça s'éternise, qu'il ne reste que ça de moi. Ce corps douloureux endormi empâté avachi. Que ça ne se réveille jamais.
Il y a sous la douche une tenue du corps qui n'est pas celle de mon tonus. Un empressement. J'aurais goût à m'accroupir sous l'eau tiède et à me dorloter là. Mais je me tiens debout, je me passe le fil dentaire, j'éteins l'eau pour me savonner, une fois rincé, je glisse la température vers le frais sans en avoir envie cette fois. Ça fait quand même du bien, ça déclenche des choses dans le corps, qui s'étire, se contorsionne, demande de l'eau plus froide, ma tête sous l'eau fraîche pourrait avoir envie d'une eau glacée, je n'ai pas le courage ce matin.
Mais les tensions de mes nuits sont toutes là aussi, dans cet écart, cet à côté. Que demande-t-il vraiment ? Pas de cette écoute à moitié, je dirais même : pas d'une écoute – mais d'un abandon. Comme ça m'arrive parfois, d'une totale reddition. Certes, je n'ai toujours pas touché aux films de Paris et de Lyon, certes je ne fais pas grand-chose, je chante plus que d'habitude, je lis, mais quelque chose se retient, s'inquiète, essaye quand même de jouer l'autre jeu. Et puis j'aimerais me débarrasser de ces films : j'ai le fantasme que je pourrais alors m'abandonner complètement, que je pourrais clore le chapitre. C'est oublier que le suivant s'écrira sans tarder. Le désir de créer, la peur de ne plus créer, le désir d'autres expériences, rien de tout ça ne va s'arrêter.
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