#graffiteur
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aupaysdesalligators · 2 years ago
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Mardi 20 décembre
Seul à Miami pour toute la journée ! J’en ai profité pour explorer la ville à pied, me promenant un peu au hasard d’un lieu d’intérêt à un autre, pour précisément 35km de marche (ce n’est pas un record, mais c’est mon troisième meilleur score à vie). J’ai vu beaucoup de choses, mais je garde quelques photos pour demain, car je risque de repasser par certains endroits avec mes parents en après-midi. Pour aujourd’hui, j’ai longé la Miami River, bordée de nombreux gratte-ciels et enjambée par des ponts-levis, sinon des ponts en hauteur, permettant le passage des bateaux (photo 1). J’ai traversé le parc Maurice A. Ferré, où l’on a de beaux points de vue sur les gratte-ciels (photo 2). Je suis aussi allé sur le Venetian Causeway, une série de ponts reliant 11 îles artificielles situées dans la Baie de Biscayne ; on y a une vue d’ensemble de Miami, tant vers le nord (photo 3) que vers le sud (photo 4). Je suis passé devant la Liberty Tower, l’un de immeubles emblématiques de la ville, inspirée des châteaux d’Espagne (photo 5). En après-midi, j’ai visité Wynwood Walls, un musée en plein air consacré aux œuvres de graffiteurs réputés. J’y ai vu plusieurs belles œuvres très colorées (photos 6 à 8). Enfin, deux photos nocturnes : Miami Avenue depuis le Brickell City Center (photo 9), et le panorama de la ville offert au sommet de mon hôtel du quartier Brickell (photo 10).
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laissezlesmurspropres · 7 years ago
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LE GRAFFITEUR
Merci Jerem
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Restaurant Spectacle Au Mareyeur. Au programme : « Un max de foutre ». Ces graffiteurs dont l'imagination reste désespérément coincée sous la ceinture... 🙄
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rochusstordeur · 5 years ago
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ZEITGEIST
Nr. 361
Von manchen wird der Zeitgeist so beschimpft und bekämpft wie der Kapitalismus oder die Plastiktüte. Aber das sind alles keine Feinde, die eindringen könnten oder eindringen wollen oder bereits eingedrungen sind. Es sind unsere Instrumente. Der Kapitalismus zum Beispiel ist die immer perfektere und perfidere Wirtschaftsform des Marktes. Man kann ihn abschaffen, aber dazu müsste man…
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reseau-actu · 6 years ago
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Pour Gilles-William Goldnadel, le mouvement des Gilets jaunes charrie le meilleur comme le pire. Cependant, vouloir tenir l'ensemble des Gilets jaunes pour seuls responsables de la montée de l'antisémitisme relève, selon lui, d'une forme d'hypocrisie et de déni face à la «principale menace islamiste».
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Gilles-William Goldnadel est avocat et essayiste. Toutes les semaines, il décrypte l'actualité pour FigaroVox. Son dernier ouvrage, Névroses Médiatiques. Le monde est devenu une foule déchaînée, est paru chez Plon.
Il y a bien longtemps que l'auteur de ces lignes a renoncé à voir éradiqué l'antisémitisme.
Il y voit, par temps clair, un précipité parfait de bêtises et de méchanceté humaine fondé principalement sur la jalousie et la médiocrité. Par temps mauvais, il lui arrive d'apercevoir dans le brouillard la griffe du malin.
Et à dire tristement le vrai, il s'y fait, dès lors que la violence ne fait pas trop d'efforts.
Pour parler à présent à la première personne sur ce sujet très personnel, je me suis toujours voulu un juif du réel et non du virtuel. Et les choses que je vais à présent écrire ne sont pas suffisamment dites. La première, c'est que j'ai toujours refusé de voir la question juive instrumentalisée à l'excès, par toutes sortes de gens, ce qu'elle est tout d'abord par un phénomène médiatique névrotique.
Je soutiens donc, assez seul, qu'il ne me paraît pas de très saine pratique de focaliser sur des faits minuscules pour les rendre, par effet grossissant, Incident Majuscule. Telle a toujours été ma doctrine, qu'il s'agisse d'un graffiti sur une mosquée, une église ou une synagogue, je ne veux pas combler d'aise le graffiteur, ou le twitteur, crétin et inconnu, dont l'œuvre passe ainsi providentiellement à la postérité.
Je soutiens donc, assez seul, qu'il ne me paraît pas de très saine pratique de focaliser sur des faits minuscules pour les rendre, par effet grossissant, Incident Majuscule.
Qu'attendons sinon pour investiguer les toilettes publiques aux fins de traquer l'imprécation homophobe ou sexiste? Autrement dit, pour détestable et punissable qu'il soit, il ne me semble pas que le «Juden» de chez Baggelstein aurait dû être immortalisé, d'autant plus qu'il recèle un envoûtant parfum de fascination shoatique et somatique dont l'être médiatique n'est décidément pas repu.
Ayant écrit cela avec une fermeté désespérément résignée, je m'empresse d'ajouter que ces graffitis urbains ne sauraient être confondus avec les profanations immondes de la stèle en hommage à Ilan Halimi justement publiquement condamnés mais encore d'églises dessus lesquelles tant de médias ont décidé de mettre une croix.
L'autre instrumentalisation dont l'antisémitisme est le sujet comblé est politique.
Et toute aussi malsaine. Dans la période, ce sont les gilets jaunes qui en auront fait les excessifs frais. Les gilets jaunes ne sauraient en effet être antisémites, puisqu'ils sont tout et rien à la fois.
J'ai écrit dès le premier jour dans ces colonnes que ce faux mouvement monocolore mais polymorphe et polyphonique, qui n'emportait certainement pas mon adhésion entière, faute de pouvoir l'appréhender entièrement, pouvait charrier le meilleur et le pire, tant rien n'est plus commode que de mettre un gilet.
» LIRE AUSSI - Robert Redeker: «L'agression contre Finkielkraut illustre le nouvel antisémitisme, islamo-gauchiste»
On aura pu voir le pire samedi à Paris, lorsque des antisionistes de banlieue, de jaune vêtus, s'en sont pris violemment à Alain Finkielkraut en lui disant qu'il n'était pas la France mais qu'il devait rendre la Palestine. Caractéristique typique de l'état d'esprit rustique de cette barbarie à visage peu urbain, le plus haineux de tous traitait haineusement le philosophe de «haineux», la bave aux lèvres déformées par la haine. Manifestement, ces antisémites-là, même jaunies, ne correspondent toujours pas au portrait-robot de l'antisémite rêvé par la macronie et la gauche antifascistes réunies.
Manifestement, ces antisémites-là, même jaunies, ne correspondent toujours pas au portrait-robot de l'antisémite rêvé par la macronie et la gauche antifascistes réunies.
Au-delà de la médiocre manœuvre du pouvoir de vouloir faire porter le chapeau et la rouelle à l'ensemble des gilets pour les faire passer de mode, la mauvaise manière est aussi faite aux juifs désemparés. Rien n'est plus vide d'effets et creux de sens que d'incriminer le Mal sans dire qui le commet. À ce petit jeu de dupes, on se fait plaisir pour pas cher. Pour redire ce que j'ai écrit dans le Nouveau Bréviaire de la Haine: lorsque le juif est vécu comme faible mais riche et apatride, c'est l'ultra droite qui le méprise ; lorsqu'il est peint en nationaliste fort, c'est la gauche extrême qui lui prend le relais de la main.
Ainsi donc, c'est l'antisémite mutant qui dit au Juif: «Dis-moi comment tu es, je te dirai comment je te hais»
Quant à l'islam radical, il déteste le Juif dans tous ses états…
Le juif du réel affirmera donc, qu'en France, ici et maintenant, les yeux braqués sur le bilan sanglant, c'est l'islam radical- et lui seul - (sous l'indulgent regard d'un islamo-gauchisme redoutablement puissant des deux côtés de la Manche et de la jubilation d'une ultra-droite résiduelle toute aussi antisioniste), qui est l'unique auteur de la totalité des attentats et assassinats meurtriers commis contre les juifs depuis la libération. Un tag d'origine inconnue et deux poivrots dans le métro n'y pourront rien changer. Noyer le poisson, c'est tolérer le poison. Tourner autour du pot, ne pas le crier haut et fort, c'est accepter qu'il se propage. Toute condamnation générale est donc pure hypocrisie instrumentale.
Dans ce triste contexte, l'instrumentalisation politique dernière est de facture classique, pour ne pas dire ringarde. Elle émane sans surprendre de ce parti socialiste moribond qui, dans un dernier spasme, voudrait encore se persuader qu'il respire. Dans ce cadre médical désespéré, il arrive encore à être désespérant. Il a donc formé le funèbre projet de faire défiler contre l'antisémitisme en discriminant arbitrairement les partis politiques sous l'angle antifasciste fantasmatique dont il porte inconsolablement le deuil. Ayant donc exclu les partis bien à droite, il s'expose à faire examiner ceux qu'il a sélectionnés.
Au-delà de la médiocre manœuvre du pouvoir de vouloir faire porter le chapeau et la rouelle à l'ensemble des gilets pour les faire passer de mode, la mauvaise manière est aussi faite aux juifs désemparés.
Ainsi donc, le parti communiste français aura sans doute été retenu, dans le cadre du combat contre l'antisémitisme, pour avoir célébré dans ses mairies les terroristes assassins de juifs en Israël, à moins que ce ne soit pour cajoler dans les banlieues françaises les islamistes antisémites. Sous ce strict critère, le parti de Monsieur Faure aurait dû inviter son parti frère dirigé à Londres par Jérémy Corbyn, qui vient de confesser que son Labour avait un problème d'antisémitisme, de venir honorer de ses pieds le macadam parisien.
Dernière imposture testamentaire d'un parti crépusculaire.
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yugnolip-blog · 6 years ago
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12,3 méga pixels
Un long coteau tord le flanc de la ville et court d’est en ouest au pied de la montagne. Sur ce long plateau, au fil du temps,  se sont établis des quartiers petits bourgeois ou franchement cossus. Ceux-là même où les décisions étaient prises. Au bas de cereplis de terrain, comme refoulés par les crues successives du fleuve, des quartiers populaires ont été érigés, entremêlant habitations modestes et manufactures. Là où la poussière et les fumées collaient à la sueur.
                                                          **
Je vis dans ce qui reste d’un faubourg. J’observe cette ville qui me plaît malgré ses défauts propres à toute cité. J’aime y déambuler au hasard des rues et des ruelles. J’en capture des images numérisées. Elles sont généralement vides d’humains. Je préfère plutôt les compositions qui révèlent leurs traces. Ce qu’ils ont construit, usé, défait, transformé, abandonné, détruit. Cela n’est pas toujours « beau », je sais. Parfois émouvant par contre.
                                                          **
Ce matin là, l'intersection d’une rue me proposait à main gauche une pente abrupte plongeant vers le tumulte de la ville, l’éventualité de s’y engager suppose que l'on accepte d’être ni plus ni moins qu’avalé par un encaissement creusé dans la pente. Par temps sec l'impression d'être déglutit n'est pas désagréable, il suffit de se laisser aller. Je ne fais pas exception, j'aime bien cet effet de l'attraction terrestre. Mais en ce matin de novembre j'étais plutôt méfiant tout de même au moment d'aborder des plaques de glace noire et hésitais à me laisser entraîner. Prémonition? J’acceptai néanmoins l’invitation.
À mi pente ma déambulation prudente, toute en retenue, fut contrariée par un son curieux et inhabituel qui attira mon attention. Mêlé au bruit ambiant de la circulation un crachotement ténu me fit chercher du regard la source de cette curieuse partition. À peine brouillée par les buissons désormais nus qui tentent dérisoirement de dissimuler l'affreuse clôture métallique, la masse de couleur entrevue du coin de l'oeil me fit l'effet d'un choc électrique.
Sur ma lancée je fi encore quelques pas, le temps de réduire ma vitesse de croisière jusqu'à l'immobilité, sans dérapage. Devant moi le mur gris qui se patinait patiemment du lent travail des suies de la ville et des habituels gribouillis des tagueurs s'était métamorphosé.
Le morne béton, carcan de tant de terrains vagues et de pâturages de chevaux vapeur, affichait  les prémisses d'une étonnante chirurgie plastique. Un entrelacs de lignes et de formes, une invasion massive de couleurs vives et contrastées avaient fait éclater cette cage laide et insipide.
Des effluves acides, indéfinissables et prenantes accompagnant les chuintements me parvenaient par courtes bouffées. Une silhouette animée d’un lent mouvement circulaire libérait un fin nuage d'un rouge vibrant. En surimpression de formes abstraites, complexes se révélaient touche après touche les traits reconnaissables d'un visage.
Ganté, masqué, couvert du capuchon propre à son ordre, le graffiteur ne sembla pas noter ma présence. Son attention était toute à ses gestes souple et précis qui donnaient au jet la faculté de révéler la troisième dimension des formes esquissées.
Un homme arrivait à ma rencontre du bas de la côte et je me déplaçais pour lui laisser le passage. Il ne parut pas s'apercevoir du changement survenu.
Moi, j'étais admiratif devant l'ampleur de la fresque entreprise. Cette maîtrise dans l'exécution, l'équilibre et l'harmonie des formes, le jeu parfait des couleurs et le doigté nécessaire des touches démontraient l'accord réussi de l'expérience et de l'inspiration.
De secondes en minute médusé, fasciné par ce qui prenait vie dans cet endroit quelconque et anonyme, j'aurais voulu assister davantage à cette extravagante naissance, suivre encore les gestes de l'inconnu confiant à la surface ingrate une émotion quasi palpable. Mais je ne pouvais m'y attarder. J'avais un rendez-vous et je me résignai à poursuivre mon chemin avec alors à l'esprit cette interrogation; pourquoi tout ce travail, cet acharnement pour une oeuvre si éphémère et si fragile?
Cette fresque anonyme peu visible et perdue au bout d’un stationnement ne risquait elle pas d'être souillée le jour même ou lors de lendemains par quelques gribouillis informes ou pire, simplement rayée de cette surface, anéantie par une équipe de nettoyage ?
Cette énergie dédiée à l'éphémère bien que difficilement compréhensible me fascinait. La précarité intrinsèque de ce geste me semblait quelque peu absurde, contraire certainement à ma nature. Pourtant cette action que je jugeais de prime abord futile bousculait inexorablement mes certitudes. La beauté renaissait sur les murs de la ville. Je devais revenir au plus tôt pour capter sur 12,3 méga pixels cette métamorphose fantastique.
Quelques pas de plus et je pris conscience qu’une quête urbaine avait commencée pour moi ce matin là.
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consultationmarketing · 5 years ago
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Le civisme et l’engagement citoyen à l’ère numérique
Le civisme et l’engagement citoyen à l’ère numérique
Il ne se passe pas une seule journée où notre Nouveau Monde « branché » nous prouve à quel point nous sommes déconnectés. Peut-être l’avons-nous toujours été? Mais à une époque où les médias avaient la parole aux côtés des politiciens, des syndicats, des artistes et des graffiteurs, le peuple s’exprimait seulement aux urnes ou dans le courrier du lecteur bien trié et délavé pour appuyer les…
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roimaudit · 7 years ago
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On peut regarder cette exposition su CCBB, superficiellement et apprécier la magie des signes que Jean Michel jette sur la toile. Les mots lancés de manière acrobatique, les couleurs qui se heurtent l'une avec l'autre. On peut passer sans comprendre et prendre un simple plaisir visuel. L'autre solution consiste à scruter le vocabulaire qu'il met en place. Il était une fois un graffiteur promis à devenir une vedette internationale. Il était une fois Jean-Michel Basquiat, un Américain d'origine haïtienne et portoricaine. Le peintre Jean-Michel Basquiat est mort à vingt-huit ans des suites d'une overdose. On dit que sa carrière a véritablement commencé en 1981. Basquiat recycle une multitude d'images, d'écritures et de signes. « On ne peut pas toujours expliquer ce qu'il écrit. Il fait des emprunts à différents univers, des "comic books" aux manuels d'anatomie. Il travaille sur différents niveaux de couleurs. Il remplit et repeint. » Et il peut assembler des panneaux faits de récits différents. C'est dire si un tableau n'est pas une histoire rectiligne. Basquiat confiait : « Quand je suis arrivé, l'art c'était essentiellement le minimalisme, ce qui me perturbait un peu. Il me semblait que ce type d'art se coupait un peu des gens. Qu'il éloignait l'art de la plupart des gens. ». La comète Jean-Michel Basquiat a réussi la prouesse de ramener par ses tableaux tous les types de spectateurs à la peinture. Samo je te manque ! (à CCBB São Paulo)
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musee-peac-blog · 7 years ago
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Les animaux en voie d’extinction au Brésil
Lycée Molière, Rio de Janeiro, Brésil
Le projet « L’art urbain », mené de septembre à décembre 2017, eu pour but de faire réfléchir les élèves à la notion de biodiversité et aux interventions artistiques alternatives liées au mouvement “street art”.
Au cours du dernier trimestre de CE1, les élèves ont eu un aperçu de l’histoire du mouvement street art et du hip-hop, et ils ont préparé une chorégraphie collective de breakdance. Ils ont également écrit leurs propres paroles de RAP afin de partager avec leurs parents leurs découvertes. Cette initiative a donné lieu à une série de présentations. 
Pendant l'année, nous avons partagé et discuté des interventions artistiques dans l’espace urbain en partant de photos prises par les élèves dans Rio de Janeiro. Plusieurs artistes issus de différents pays et techniques ont été présentés aux élèves. Afin de mettre en pratique les apprentissages en mathématiques et autour du vivre ensemble, nos classes ont choisi et mesuré un mur dans la cours de récréation de primaire, à côté du bureau du directeur. C’est là que les élèves ont réalisé leur oeuvre.
Nous avons pu discuter et appréhender ensemble l’objectif de l’art urbain. Les élèves ont ensuite décidé de peindre les animaux en voie d’extinction au Brésil. Ce thème a été retenu en raison des articles lus et écrits à ce sujet pendant la période précédente. Nos élèves ont voulu interagir avec l’espace scolaire en faisant passer un message fort sur la disparition de certaines espèces de la faune brésilienne. 
L’intervenant Tiago Carva, artiste graffiteur et circacien très présent dans l'univers artistique et urbain carioca, a enseigné aux élèves les techniques de peinture sur mur avec des bombes. Il a insisté sur la composition des peintures, tout en faisant attention à la santé des élèves qui ont porté des gants et des masques pendant toute la durée de l’intervention.
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revuetraversees · 7 years ago
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Chronique de Marc Wetzel 
                 Une nouvelle aventure d’Eloi Derôme : l’Archéospace. 
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« Je fais, je défais, puis c’est fait » , et on ne voit pas comment résumer son geste mieux que ne le fait l’artiste lui-même. 
  Car comment procède-t-il ? Il recouvre des aplats de couleurs les uns par les autres, puis il « coupe » dans la matière obtenue. Il creuse à même l’amas des teintes. Il redescend dans sa propre substance ensevelie. Il redonne éclat, ici ou là, aux marches d’un escalier de couleurs en retraversant leur chevauchement endormi. Sa matière picturale est donc inédite comme une pâte à démodeler ! 
  Sa nouvelle série se nomme : pigment sculpté sur toile. Et, certes, tout semble là abracadabrantesque et vain. Toile et sculpture : pourquoi prétendre sculpter en deux dimensions ? Sculpture et pigment : pourquoi feindre de carotter une poudre comme on échantillonne une lave précieuse ? Pigment et toile : pourquoi offrir un support au geste d’en retirer et démettre des couches ? Mais tout aussi fortement c’est un véritable enquêteur métaphysique qui se trahit : ses somptueuses images ont l’évidence d’une mer de pigments qui se retire, et la belle énigme d’une marée basse de Déluge. Le grouillement chromatique de ce sous-sol domestique est comme le transcendantal foisonnant, l’insaisissable résurgence de conditions de possibilité échouées de l’imaginaire.   
  Reprenons : 
  Eloi Derôme est un peintre, puisqu’il nous en fait voir de toutes les couleurs. Mais c’est un drôle de peintre, car son pays de couleurs s’obtient exclusivement par extraction. C’est un découvreur par décapage. Une espèce de colporteur (pour nous) de sous-jacence extorquée (par lui).   
  Il est donc aussi sculpteur : il taille ou entaille dans de la présence brute de quoi révéler des teintes intéressantes (plus exactement, il martèle des sédiments volontaires, il fouille dans des mini-couches par lui délibérées, il procède par enlèvement de nappes). Mais c’est un drôle de sculpteur ; un sculpteur sur toile. 
  Il est donc à la fois sculpteur et peintre, puisque, dans cette nouvelle série, il entaille ou incise dans un empilement (préalable) de couleurs de quoi nous offrir la suggestive occasion de les revoir. 
  Il autopsie voluptueusement ses propres badigeons. C’est son ambivalence : rien de plus inoffensif qu’un décalcomane de nuances ; rien de plus dangereux qu’un dépeceur de strates. En résumé : un miniaturiste du métamorphisme. 
  Son œuvre est comme une matière qui se battrait les flancs pour dire « Je », et qui n’est pas commode ! 
  Mais son auteur est comme un infatigable scarificateur qui chercherait la peau de Dieu partout pour y scander et noter directement les âges du monde. 
  On lui dira alors : à quoi bon ensevelir des couleurs ? Mais un cheval de corbillard  s’étonne à meilleur titre qu’on ensevelisse nos morts ! 
  On lui dira aussi : à quoi bon rogner sur la profondeur ? Mais les entailles d’un cancre sur son pupitre ne signifient-elles pas davantage que le savoir qu’il esquive ? 
  On lui dira : quel plus grand planqué qu’un auto-graffiteur ? Mais y a-t-il colère plus décisive et mystérieuse qu’aller taper du poing dans une table ? 
  On lui dira : quoi de plus vain qu’aller solennellement redécouvrir ce qu’on aura soi-même caché ? Mais un burin sur un divan, quoi de moins pleutre ni anodin ? 
  On lui dira : à quoi bon sculpter si infime épaisseur et si locale pulvérulence ? Mais le relief travaillé est ici temporel, et seule la grâce reste à négocier dans la quasi-apesanteur de ces poussières accolées. Et c’est comme une sculpture éclairée de l’intérieur, par la seule résurgence de ses coloris. 
  C’est surtout une sculpture d’une rare richesse ou complétude spéculative. Au contraire d’une architecture, une sculpture (disait Focillon) est normalement sans envers ; elle n’enveloppe aucun lieu complémentaire où pénétrer. Mais ici, il y a un envers où promener l’esprit, il y a l’instantané d’une double histoire d’agglomération et de déblaiement de couleurs. Cette sorte de défondation pédagogique et radieuse est un vrai monument. C’est donc une sculpture qui montre étonnamment l’architecture de son passé, ou son passé d’architecture. Et, de la même manière, elle montre la peinture de son avenir ; car dans la sculpture normale, sa surface n’est au mieux qu’une limite, non, comme dans la peinture, la chair unique et exemplaire, irradiant hors d’elle et vers nous son volume. Au contraire d’une peinture, une sculpture est normalement sans dévers, elle se termine en son endroit, elle n’a pas de bord représentationnel par où se relever vers nous. Ici, pourtant, si : la sculpture de pigment offre l’équivalent d’un dénivelé, par lequel une image induit un ailleurs et s’envole littéralement pour nous sur le tremplin de son support. Elle est donc exactement comme une peinture constamment à venir. C’est pourquoi, malgré l’humour et l’humilité de notre artiste, l’inventivité mentale et la puissance spirituelle de son œuvre en cours semblent particulièrement remarquables. C’est une aventure hors du commun. 
  Eloi Derôme, c’est Lazare en Sherlock Holmes, loupe braquée sur sa récente putrescence. Il faut alors imaginer le Christ lui-même en arrêt, prenant, devant lui, la mesure d’un possible salut esthétique. 
                                                                             ©Marc Wetzel
  Une nouvelle aventure d’Eloi Derôme : l’Archéospace. Chronique de Marc Wetzel                   Une nouvelle aventure d'Eloi Derôme : l'Archéospace.     ∼ « Je fais, je défais, puis c'est fait » , et on ne voit pas comment résumer son geste mieux que ne le fait l'artiste lui-même. 
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watchmeglow-world-blog · 7 years ago
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http://bit.ly/2wZONsx
Robert Gonsalves, peintre surréalisme
1959-2017
Il est très inspiré des célèbres peintres surréalismes comme Salvador Dali ou bien René Magritte.  Dans ses œuvres, il aborde particulièrement les rêves. De plus, il démontre régulièrement la vie banale et enfantine dans ses peintures. Il utilise la perspective et les techniques de trompe l’œil dans ses œuvres. Celui-ci, étant peintre, peint ses œuvres sur des toiles, utilise de l’encre, de la peinture à l’huile, des pinceaux, etc. Dans ses œuvres, il veut nous faire voir toutes les possibilités en dehors de notre zone de confort et des habitudes de la vie. Il veut nous faire comprendre que la vie n’est pas juste basée sur la réalité mais aussi sur la fantaisie de croire et de rêver.
http://bit.ly/2fAnlHd
http://bit.ly/2xmQNK0
http://bit.ly/2xe9Ua8
http://bit.ly/2xmTBa5
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http://bit.ly/2yir0Aw
Ce qui a attiré mon attention de première vue était la splendeur en général de l’oeuvre. L’infinité des possibilités dans cette oeuvre m’a rendu bouche-bée. Ce qui m’attire également est la superposition de plusieurs éléments différents en une oeuvre. Les couleurs sont froides, dont les différents tons de bleus et le noir en abondance. Il y a également du vert foncé, du brun et du gris. Les textures dans l’œuvre sont représentées puisque ceux-ci imitent tous des éléments réels mais de façon visuelle seulement. Pour moi, cette œuvre signifie beaucoup l’innocence des jeunes dans notre monde et la possibilité de rêver aussi loin que l’Univers pourrait se rendre et que les moments de joie peuvent être aussi banale que de ce balancer sur une balançoire. Le point fort de l’image est la lune qui brille sur un plan noir. Celle-ci prend la moitié de l’œuvre. Il y a également la plus petite lune dans la grosse lune qui semble scintiller et rayonne limage. On remarque également une fille se balancer à un arbre qui est quasiment dans le vide sous le clair de lune. Lorsque j’ai vus cette œuvre pour la première fois, je me suis sentie complètement libre et perdue dans l’Univers. J’ai ressenti ses moments de plénitude où tu es juste contente et que tu ne penses plus à tes problèmes. C’était comme si je ressortais d’un cours de yoga sans y avoir été. 
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http://bit.ly/2ys2kWe
INSA, artiste de rue
Ce qui inspire l’artiste de rue londonien sont les problèmes sociaux, comprenant la politique et la société. Dans ses œuvres, comme je l’ai mentionné auparavant, il va beaucoup faire ressortir les problèmes sociaux. INSA pratique du «GIF-iti» art. C’est un mélange de graffitis et de «Gifts», des montages d’images afin que ça devienne une vidéo. Il veut faire réaliser que notre société à ses problèmes et ses enjeux à travers ses arts. En effet, comme ses arts sont sur des murs où des milliers de citoyens passent à chaque jour, il est plus facile de faire passer un message à travers ses arts. De plus, ses messages sont diffusés plus facilement puisque sa forme d’art comprend aussi l’Internet puisqu’il les transforment en «Gift». C’est une révolution dans l’art, puisqu’il est plus facile de les partager. Étant un graffiteur mural urbain, il utilise des bombes aérosols, de la peinture, des pinceaux et des rouleaux.
http://bit.ly/2ffUlnr
https://adobe.ly/2xWvccQ
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http://bit.ly/2hwx8lu
Ce qui m’a attiré dans l’œuvre était la simplicité de l’œuvre qui rend celle-ci extraordinaire. Ce qui m’attire également est aussi le fait que l’œuvre est en mouvement et que ça rend plus intriguant et excitant. Elle est constitué en générale de couleur claire, dont le rose, mauve et bleu pastel. Il y a également de la couleur froide, dont le vert foncé et le noir, et de la couleur chaude, dont l’orange, le jaune et le rouge. La texture de l’œuvre est représentée puisqu’elle peut être vue, mais pas touché. Elle représente le coucher du soleil dans un cadre. Selon moi, cette œuvre signifie simplement les doux couchers de soleil en été. Les souvenirs qu’on peut se faire juste en passant des moments banales, comme en regardant le coucher du soleil. L’œuvre est cadrée par une fenêtre et des feuilles qui me semblent être des feuilles de palmier. Elle nous laisse voir un cadre où une photo du coucher du soleil est encadré sur un fond d’écran rose et bleu pastel. Il est également marqué «PARADISE», ce qui veut dire paradis, qui, selon moi, l’artiste a voulu démontrer ce qu’est le paradis pour lui. Lorsque je regarde l’œuvre, le soleil et les feuilles de palmier me font ressentir la vague de chaleur de l’été, même si au Québec, l’été ne ressemble pas aux hivers de Punta cana. Je ressens aussi la nostalgie, car les encadrements me font rappeler aux souvenirs qu’on veut gardé du passé et ça me refais penser à mon enfance.
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olivierdemangeon · 7 years ago
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  Synopsis : Steve Ford, vieux détective privé et légende de L.A, est engagé par un promoteur pour arrêter un graffiteur qui fait des dessins obscènes sur son immeuble. Menant son enquête, Steve voit sa vie prendre une autre dimension, lorsque son chien Buddy se retrouve aux mains de Spyder, un chef de gang lié aux cartels de la drogue. Face à cette situation, Steve est forcé d’utiliser la manière forte…
Origine du film : États-Unis Réalisateur : Mark Cullen Scénaristes : Mark Cullen, Robb Cullen Acteurs : Bruce Willis, Jason Momoa, John Goodman, Thomas Middleditch, Famke Janssen, Adam Goldberg Musique : Jeff Cardoni Genre : Action, Comédie, Thriller Durée : 1 heure et 34 minutes Date de sortie : 16 juin 2017 (États-Unis) Année de production : 2017 Sociétés de production : Voltage Pictures Distribué par : RLJ Entertainment Titre original : Once Upon a Time in Venice Notre note : ★★☆☆☆
Notre commentaire : “Once Upon a Time in Venice” ou “L.A. Rush” pour la distribution française, est une comédie d’action datant de 2017, co-écrite et réalisée par Mark Cullen, à qui l’on  doit également le scénario de “Cop Out” (2010). Les acteurs principaux sont Bruce Willis, qu’on a pu voir dans “Pulp Fiction” (1994), Jason Momoa, qu’on devrait prochainement retrouver dans “The Bad Batch” (2017), John Goodman, qu’on a pu voir dans “Kong: Skull Island” (2017), Thomas Middleditch, qu’on a pu voir dans “Scream Girl” (2015), Famke Janssen, qu’on a pu voir dans “Wolverine: Le Combat de l’Immortel” (2013) et Adam Goldberg, qu’on a pu voir dans “Déjà Vu” (2006).
Le 16 mai 2015, on apprenait que Bruce Willis allait jouer dans une comédie, interprétant un détective privé de Los Angeles, dont le chien sera volé par un gang. Mark Cullen et Robb Cullen faisaient là leurs débuts en tant que réalisateur sur un film, basé sur leur propre script. Ils ont également produit le métrage avec Nicolas Chartier, Zev Foreman et Laura Ford, tandis que la société Voltage Pictures est venue financer, puis vendre le film. En juin 2015, Jason Momoa, Thomas Middleditch et Famke Janssen ont rejoint le casting du film. Jason Momoa est choisi pour jouer le chef du gang qui oblige le personnage campé par Bruce Willis à récupérer une mallette pleine de drogue, ceci afin qu’il puisse récupérer son chien, Thomas Middleditch, pour jouer l’assistant de Bruce Willis dans son travail de détective privé, tandis que Famke Janssen incarne la belle-sœur de Bruce Willis. Plus tard, le 30 juin 2015, John Goodman, Stephanie Sigman, Adrian Martinez, Kal Penn et Emily Robinson complétèrent le casting du film.
Le tournage principal de “L.A. Rush” a débuté le 29 juin 2015 à Venise, un quartier résidentiel, commercial et récréatif en front de mer de la ville de Los Angeles. En avril 2017, RLJ Entertainment a acquis les droits de distribution sur le film. Il a ensuite été diffusé en salles de manière limitée, puis disponible en vidéo à la demande à partir de 16 juin 2017. 
Autant le dire tout de suite, l’histoire proposée par “L.A. Rush” n’a pas beaucoup de sens et se veut parfaitement abracadabrantesque. En d’autres termes, c’est du grand n’importe quoi. Le pire, c’est que c’est vendu comme une comédie, et ce n’est même pas drôle. Le script se limitant à nous décrocher quelques sourires de ci, de là. Tout ceci n’est pas très sérieux, et surtout, cela ne risque pas de redorer le blason de Bruce Willis, qui depuis quelque temps, nous propose navet sur navet. 
La vraie question serait peut-être de se demander si Bruce Willis peut être drôle. Personnellement quand je pense à Bruce Willis, je ne pense pas à la comédie. Il peut être amusant à travers des punch-lines sarcastiques répartis uniformément tout au long d’un métrage, comme dans Die Hard, mais certainement pas pour porter l’humour tout au long d’un film. D’autres acteurs hollywoodiens auraient peut-être pu tirer avantage d’un tel script, mais apparemment pas Bruce Willis. 
Un autre souci, c’est que “L.A. Rush” ne se présente jamais vraiment comme un film. On croirait plutôt suivre le pilote d’une nouvelle série télévisée. D’ailleurs, la plupart des travaux antérieurs de Mark Cullen se concentrent sur la télévision, en dehors de “Cop Out” (déjà avec Bruce Willis). L’intrigue présentée est proposée en plusieurs volets qui viennent s’emboîter. À croire qu’on n’avait pas les idées pour écrire une seule histoire et qu’on en fusionne donc cinq petites et finalement médiocres. 
C’est d’autant plus rageant que la distribution est loin d’être merdique, mais malheureusement aucun des acteurs du casting ne dispose d’un personnage décent pour exprimer son plein potentiel. Certains apparaissent quelques instants à l’écran, vomissent leur texte pour faire avancer un peu l’histoire, puis disparaissent. C’est presque comme si le réalisateur avait découvert le matin l’acteur qu’il avait sous le coude et n’avait pas le temps de préparer quelque chose de correct pour lui/elle. C’est très décevant. Le seul qui sort finalement son épingle du jeu, c’est John Goodman. Pour le reste …
“L.A. Rush” a fait l’objet d’une édition en DVD ainsi qu’en Blu-ray, paru le 5 juillet 2017 chez Warner Home Vidéo France. Pour de plus amples renseignements, n’hésitez pas à consulter la fiche du film sur le site DVD.Fr.
En conclusion, “L.A. Rush” est une comédie d’action très décevante. L’histoire n’a aucun sens, et l’intrigue se résume à savoir si le personnage central va récupérer ou non son chien. Et c’est bien parce que nous adorons les chiens que nous avons fait l’effort de regarder ce métrage jusqu’à la fin. Les scènes d’action n’en sont pas et la distribution se noie dans un script sans saveur et sans intérêt. Bruce Willis a l’air d’être au bout du rouleau. Il semble avoir perdu son amour pour l’industrie cinématographique. Pourquoi donc poursuivre ? Un film qu’on ne peut décemment pas recommander à qui que ce soit au risque de retrouver sa voiture incendiée le lendemain matin…
  Bande-annonce :
L.A. RUSH (2017) ★★☆☆☆ Synopsis : Steve Ford, vieux détective privé et légende de L.A, est engagé par un promoteur pour arrêter un graffiteur qui fait des dessins obscènes sur son immeuble.
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internalworldfr-blog · 8 years ago
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Contre Donald Trump, un drone graffiteur programmable
L’artiste new-yorkais KATSU a mis au point un quadricoptère conçu pour inscrire des slogans contre le président américain.
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monsieuryao · 8 years ago
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annesofylacoiffeuse · 9 years ago
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knowthingmade · 10 years ago
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