#gouttelettes
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brilag · 6 months ago
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Perles du jardin par brigitte lagravaire Via Flickr : 2017-05-02-goutttes (8cn)
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selidor · 1 year ago
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teresabeadle5 · 1 year ago
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DSC_4733 by Cathy Grieco Via Flickr: Rose prisonnière d' une toile d' araignée.
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kvetchlandia · 6 months ago
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Man Ray Marcel Proust on His Deathbed, Paris 1922
Mais, quand d’un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du souvenir. Et dès que j’eus reconnu le goût du morceau de madeleine trempé dans le tilleul que me donnait ma tante (quoique je ne susse pas encore et dusse remettre à bien plus tard de découvrir pourquoi ce souvenir me rendait si heureux), aussitôt la vieille maison grise sur la rue, où était sa chambre, vint comme un décor de théâtre.
(When from a long-distant past nothing subsists, after the people are dead, after the things are broken and scattered, still, alone, more fragile, but with more vitality, more unsubstantial, more persistent, more faithful, the smell and taste of things remain poised a long time, like souls, ready to remind us, waiting and hoping for their moment, amid the ruins of all the rest; and bear unfaltering, in the tiny and almost impalpable drop of their essence, the vast structure of recollection. And once again I had recognized the taste of the crumb of madeleine soaked in her decoction of lime-flowers which my aunt used to give me (although I did not yet know and must long postpone the discovery of why this memory made me so happy), immediately the old gray house upon the street, where her room was, rose up like the scenery of a theater.)
-- Marcel Proust, "À la recherche du temps perdu - Du côté de chez Swann" (In Search of Lost Time or a A Remembrance of Things Past - Swann's Way), 1913
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les-portes-du-sud · 8 months ago
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Gouttelettes...
La nature a tellement pris soin de tout que partout on trouve quelque chose à apprendre.
Léonard de Vinci
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coovieilledentelle · 5 months ago
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Couleur lavande et soleil...
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« la légende de la lavande »
Il y a bien longtemps lorsque les fées peuplaient les grottes de la terre , une jolie petite fée aux grands yeux mauves qui aimait le soleil et la mer vint se promener en Provence .
Elle avait un carnet de voyage magique sur lequel s'imprimait tous les paysages qu'elle visitait.
Après avoir parcouru les montagnes des Alpes, du Massif central , des Cévennes, elle arriva dans une région désertique très chaude à quelques  lieues de la mer. Rien n'y poussait : cette terre rouge ressemblait à un enfer de solitude. Le soleil  brulait sans cesse sur ces rochers et ces pierres.
La petite fée qui portait le jolie nom de Lavandine en fut toute chagrinée et attristée lorsque ces paysages arides et secs s'imprimèrent sur son carnet. Elle versa de grosses larmes recouvrant ainsi les images des dentelles de Monmirail des abords du mont Ventoux des steppes de Ventesole de Sault de Nyons . De grosses gouttelettes mauves de la couleur de ses yeux s'éparpillèrent tachant le carnet. 
Lavandine essaya de les effacer mais ne fit que les étirer ajoutant le parfum suave de ses larmes  aux taches et au carnet.
Alors elle tenta de les dissimuler en dessinant un ciel bleu pour faire oublier ces tâches violet tes ! Le paysage se couvrit de petites fleurs mauves. 
On donna le nom de lavande à cette plante en souvenir de la fée « Lavandine ». On raconte que depuis ce jour-là, la lavande pousse allègrement sur les terres de Provence, s’entremêlant au ciel couleur bleu 
.On dit aussi que la fée vient à chaque floraison de la lavande à la fin juin pour cueillir des bouquets qu'elle offre à ses soeurs restées dans les nues.
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chicinsilk · 9 months ago
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US Vogue February 15, 1961
Pia Kazan wears a small checkered organza hat wrapped with white bouvardia and pink ribbon. Below, soft makeup, the result of Coverfluid, a new cosmetic that can be used as a foundation as well as a powder - the Tendre Beige shade; palest eyeshadow in French blue; on the lips, Shell Coral. Earrings, faux coral droplets, rhinestones and faux pearl; by Scaasi. Hat by Lilly Daché. Everything is made up by Helena Rubinstein.
Pia Kazan porte un petit chapeau en organdi à carreaux enroulé de bouvardia blanche et de ruban rose. En dessous, un maquillage doux, fruit de Coverfluid, un nouveau cosmétique qui peut aussi bien servir de fond de teint que de poudre - la teinte Beige Tendre ; fard à paupières le plus pâle du bleu français; sur les lèvres, Shell Coral. Boucles d'oreilles, fausses gouttelettes de corail, strass et fausse perle ; par Scaasi. Chapeau par Lilly Daché. Tout est maquillé par Helena Rubinstein.
Photo Bruce Davidson vogue archive
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Pétillant ! 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 Un petit papillon, des gouttelettes de rosée, une jolie lumière matinale, un arrière plan intéressant, mais que demander de plus ? Ah si, un rayon de soleil qui forme un flare arc en ciel en frappant la lentille de mon objectif 🌈😊 🇬🇧 A small butterfly, dew droplets, lovely morning light, an interesting background, but what more could you ask for? Ah yes, a ray of sunshine that forms a rainbow flare hitting the lens of my lense 🌈😊 https://ift.tt/WHtBq8S
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brilag · 2 years ago
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piques et gouttes par brigitte lagravaire Via Flickr : (2012-11-13 Montesquieu (17f)
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steff-02 · 14 days ago
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Ça fait plusieurs jours que nous n’avons rien posté, faute de connexion internet très très mauvaise. Mais rassurez-vous tout va bien ;) Voici les débuts de notre voyage :
Si nous avons fait le trajet jusqu’ici m, à Victoria Falls c’est pour aller voir…the Victoria Falls 😂
Les chutes Victoria sont des chutes d’eau situées sur le fleuve Zambèze faisant la frontière entre le Zimbabwé et la Zambie. Les chutes sont larges d’1,7km et hautes de 108m, ce qui les placent dans les chutes d’eau les plus grandes du monde. Le premier explorateur à découvrir ces chutes (David Livingstone) était écossais et a nommé ces chutes Victoria en l’honneur de la reine Victoria du Royaume-Uni. La ville zambienne voisine aux chutes porte le nom de l’explorateur : Livingstone.
Nous entrons dans le parc peu avant 10h. Il y a pas mal de sortie scolaire ce matin, mais le parc est grand alors on ne se marche pas dessus. Il y a 15 points de vue reparti sur environ 2km le long des chutes et du fleuve Zambèze. Le panorama est à couper le souffle ! Nous croisons sur notre chemin quelques singes, des petites biches et de très beaux oiseaux !
A l’entrée du parc il est écrit qu’il y a une “rainforest”, en français “forêt de pluie”. On ne comprenait pas vraiment ce que c’était, jusqu’à ce qu’on y arrive 😂 le débit de l’eau des chutes est tellement fort, que les gouttelettes d’eau peuvent remonter jusqu’à 400m. La végétation se trouvant pile en face des chutes d’eau principales se retrouvent arrosées en permanence. En plus d’être verdoyante, la forêt est tellement humide que des goutes d’eau tombent des arbres, exactement comme lorsqu’il pleut. La différence est flagrante entre la végétation séchée sous un soleil aride et la forêt verdoyante arrosée par les chutes 💦
Après avoir dîner au restaurant du parc, nous allons visiter un parc de crocodiles non loin de là. Un guide nous emmène faire la visite, il est super ! Il connaît les reptiles sur le bout des doigts et en plus il est drôle 💪🏼
On commence la visite par la “nurserie”. Il y a des bébés crocodiles d’un peu moins d’un an. Ils sont craquant 😍 on a pu en porter un pour le caresser. Leur dos est fait d’écailles dures pour les protéger mais le ventre est fait d’écailles toute “molles”, ça en est presque doux. La visite se poursuit par la maison des serpents. Une vingtaine d’espèce de serpent cohabitent ici. Majoritairement africain mais aussi américain et asiatique, du plus venimeux au constricteur. On a pu porter deux serpents constricteur (donc pas venimeux du tout), un grand et un petit. Ils sont trop chou, beaux, doux, et on sent tous leurs muscles lorsqu’ils bougent. J’ai adoré l’expérience mais j’avoue que je n’était pas rassuré sur leur morsure. Bien qu’ils ne soient pas venimeux, je pense que ça doit tout de même faire mal 😅 au moins j’ai bien fait rire le guide et Dan 😂 après les serpents, ce sont les lionnes (oui c’est un centre de crocos mais il y a des lionnes, je ne sais pas pourquoi). Elles sont belles, comme deux gros chats, mais une était en train de se remplir la pance et l’autre voulait faire la sieste. Autant vous dire que Dan et Stefano ne sont pas leur priorité numéro 1 😂 Les crocodiles suivants était, eux, plus intéressés ! Oke peut être qu’on avait de la viande à leur donner 😂 mais ça marche 🤷🏽‍♂️. Ceux-ci étaient adultes, ils ont environ 55 ans et pourrons vivre jusqu’à 120 ans 🫢nous sommes allés voir les bassins des plus jeunes individus. 4-5 ans puis 2-3 ans. Nous avons appris que les crocos âgés de 4-5 ans sont les meilleurs pour utiliser la peau en maroquinerie. Et pour ne rien perdre, la chair est revendue aux hôtels et restaurants pour les cuisiner ( d’ailleurs on en a goûté à Victoria Falls et c’était très bon 😋). Ça nous a un peu refroidi au premier abord puis on a remis les choses dans leur contexte. Chaque pays fait avec les animaux qu’ils ont chez eux. Ici il y a des crocos, ils les élèvent et ils les mangent…🤷🏽‍♂️
Nous ne pouvons pas partir avec d’aller voir la gare de Victoria Falls. J’aurais adoré venir jusqu’ici en train de nuit mais malheureusement depuis le Covid tous les trains voyageur sont annulé.
Une fois la visite terminée, nous reprenons la route en direction de notre campement, à 2h30 de route, aux portes du parc national Hwange. L’endroit est très chouette, les lodges sont assez moderne mais nous sommes seuls. Pourtant le complexe est assez grand, mais il n’y a personne d’autre que nous à séjourner là cette nuit 😂
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jeanchrisosme · 10 months ago
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La gouttelette qui renverse le vase est toujours incroyablement petite.
Serena Santorelli
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swedesinstockholm · 4 months ago
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2 juillet
dernier matin seule dans la maison, maman est en vacances demain. j'aurais du mettre me réveil à huit heures et profiter de chaque seconde. hier maman m'a dit que j'en avais assez profité non? oui, mais mes matins seule à la maison sont ce que j'ai eu de plus précieux, de plus sacré ces dix dernières années, et je les aime comme au premier jour, quand j'avais quatorze ans et que je séchais les cours pour rentrer. une vie entière ne suffirait pas pour profiter des matins tranquilles à la maison. cette nuit j'ai rêvé que je me réveillais dans la même chambre que n. et ses deux colocs, je dormais dans un lit superposé et un des deux colocs dormait au dessus de moi et quand il grimpait sur l'échelle tout le lit se mettait à trembler. on dormait à l'intérieur d'une espèce de grand sac de couchage relevé par dessus la tête pour protéger son intimité et je regardais par le trou du sac de couchage au dessus de ma tête et je me disais que malgré tout, il valait mieux ça que de rentrer à la maison. hier n. m'a écrit que si j'étais encore là dans un an on pourrait participer aux 48h neukölln et j'avais envie de lui répondre que oui je serais là parce que de toute façon je peux pas être ici. pas le choix. je lui ai dit i'm going batshit crazy here et elle m'a dit qu'elle était encore plus contente que je vienne alors. c'est la deuxième fois qu'elle me sauve la vie en un an. la première fois c'était de r. cette fois c'est de maman.
je suis retombée sur le post de l'article sur grey gardens et dans les commentaires tout le monde s'indignait de la lecture complètement erronée et romantisée du film par la journaliste et j'avais un peu honte de m'être laissée avoir par sa vision de l'histoire, parce que je l'ai vu ce film et il est terrifiant. la mère de little edie est un monstre qui veut pas que sa fille aille vivre sa vie à new york, little edie qui rêve d'amour et de devenir une star à broadway mais elle est prisonnière de sa mère dans leur manoir qui tombe en ruines, isolées du reste du monde. depuis que j'ai vu ce film mon pire cauchemar c'est de finir comme little edie et sa mère, même si on habite pas dans un manoir délabré et que maman n'est pas folle. parfois maman m'apparait comme un monstre auquel je dois échapper. le dimanche dans la forêt quand je l'entends derrière moi qui me rattrape parce qu'elle court et moi je marche, ça devient littéral. je suis remplie de colère contre elle. j'ai tellement de colère à l'intérieur de moi que ça me fait peur. je vois probablement que la pointe de l'iceberg en plus.
hier on a fait une séance de yoga à la maison avec a. et dès le début quand elle nous a fait faire des micro mouvements avec les pieds j'ai senti les larmes me monter aux yeux et je me suis dit oh putain le trauma, je l'avais oublié celui-là. enfin bof pas trop, mais ça faisait un moment qu'il s'était plus manifesté à travers le corps. j'ai pensé à la phrase your body is a library of pain, perfectly filed. j'ai senti que mon corps contenait un océan de douleur. je contiens un océan de douleur et de colère. c'est-à-dire une tempête. avec des vagues scélérates. mais c'est un océan intérieur comme dans voyage au centre de la terre, un océan souterrain dont rien ne parait à l'extérieur, sauf parfois des larmes, comme des gouttelettes d'eau de mer qui suinteraient à travers la croûte terrestre. à la fin a. a posé la paume de sa main chaude sur mon dos pour que je sente comment ma cage thoracique était plus grande d'un côté que de l'autre et j'ai de nouveau eu envie de pleurer. je lui ai dit que je voulais trouver un truc de thérapie par le mouvement à berlin mais j'ai trop peur d'exploser.
bon finalement c'est pas plus mal que ce soit la fin de mes journées seules à la maison parce que j'ai encore éclaté en sanglots au milieu de l'après-midi comme ça sans prévenir. je pleurais comme kate winslet, avec mes sanglots de désespérée. c'était théâtral et pathétique et j'ai du regarder un épisode de curb your enthusiasm en mangeant du chocolat pour me calmer parce que j'étais trop déprimée pour continuer à travailler. le TEMPS qu'il me vole depuis un an ce mec, c'est vertigineux, c'est criminel, je pourrais le poursuivre en justice, et ce serait même pas la première fois qu'il se retrouverait au tribunal. je me demande s'il a parlé de moi à son psy, par rapport à son complexe de connard, et si son psy lui a conseillé de me laisser tranquille pendant quelques temps, pour me laisser le temps de me sevrer et de guérir proprement. l'autre hypothèse, plus probable: il est trop occupé par la personne avec qui il discutait sur whatsapp l'autre jour pendant que je lui envoyais des passages de heart of a dog et je suis tout simplement passée au second plan.
hier a. m'a dit que je devais faire du core strengthening pour renforcer ma colonne vertébrale et développer mes abdos pour qu'ils aident à la soutenir. peut être que si je fais ça je me laisserai moins aplatir par les gens. j'ai toujours eu l'impression que mon maintien bancal était lié à mon estime de moi bancale. j'ai vu qu'il allait faire 33 degrés à berlin la semaine prochaine. j'ai peur de me retrouver clouée à l'appart étalée sur mon lit sans pouvoir bouger avec les jambes lourdes et la tête qui fourmille satané réchauffement climatique il va me foutre en l'air tous mes plans de réinvention de moi-même. peut être que dans un premier temps je pourrai me concentrer sur l'écriture. me concentrer dessus pleinement je veux dire. et puis je sortirai le soir. c'est bien aussi. c'est très bien même, vu que ça avance pas trop trop ces derniers temps.
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humanbra · 7 months ago
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Our Way Back
Chapitre 14 : Cinq Messages
Morgane est amenée aux urgences.
"Morgane, appelle-t-il.
Mais celle-ci ne répond pas. Depuis que les ambulanciers lui ont posé la perfusion, ses yeux se sont fermés et elle s'est assoupie.
Sur sa tempe, Karadec observe une tache de sang séché, celui qui a dû couler quand on l’a assommé pour l’enlever. Sur le reste de son front, sa pommette, sa joue, le coin de sa bouche, des gouttelettes de sang frais, celui d’Yves Grassant.
De loin, on pourrait croire que ce ne sont que d’autres taches de rousseurs, mais lorsqu’il y passe son doigt, elles s’étalent comme de l’encre."
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les-portes-du-sud · 1 year ago
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Un extrait : «Et il est des mots qui apaisent nos maux… Des mots magiques qu'on garderait dans un pot…Tel un bouquet de roses qui dit tellement de choses…En rimes riches d›émotion ou en simple prose…Des mots, je me désaltère, j'assouvie ma faim… Quand la plume et sa muse me tiennent la main… Je vaque au gré de la brise et du vent dans les cheveux… Sur ma plume, des senteurs d'un hier heureux… Et de petites gouttelettes d'encre aux couleurs du bonheur… Des mots couleur arc-en-ciel, bleus, jaunes, rouges et miel…Des points, des virgules, des roses et des fleurs…Que de beaux souvenirs cachés d'entre ces mots enchanteurs… Nés de fragments de frissons tissés en dentelle… Lorsque les mots caressent ma plume, des doigts je touche le bonheur».
Mohand Said Bensekhria
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verver · 1 year ago
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TUMEURS URBAINES
Épisode 2
L'appartement était vraiment petit , passé la belle et imposante porte d'entrée, un couloir étroit desservait à gauche une petite cuisine et de l'autre côté un bac à douche et les toilettes, ce couloir aboutissait sur une petite pièce à vivre, en tournant la tête vers sa gauche Michel aperçut la chambre.
- Tu vois c'est petit !
- c'est bien ! rétorqua Michel
Ava mit le café en route et sortit deux tasses . Il avait rencontré Ava dans un bus. Il l'avait abordé poliment et les deux s'étaient lancés dans une discussion passionnée sur l'art en général, depuis ce temps là ils se voyaient régulièrement , ils étaient devenus amis.
A quoi penses-tu lui demanda Ava voyant qu'il était silencieux.
- à notre rencontre
- ça fait environ deux mois.
dit-elle
-ouais c'est ça !
- wow ! ça fait longtemps pour moi s'exclama t-elle
- c'est un problème ?
- Non pas du tout ! d'habitude les mecs que je rencontre se sauvent très vite.
- Ils sont pas bien ces mecs ! Tu es sympathique et tu gagnes à être connue
- merci ! T'es gentil dit-elle en débouchant son eau gazeuse
- Tu bois toujours cette eau ?
- Oui ! ça pique la langue et j'aime beaucoup cette eau là.
Cela étonnait beaucoup Michel , il savait qu'elle accompagnait toutes les autres boissons de cette eau.
- ça me fascine dit-il
En buvant un deuxième café Michel reprit ses questions avec enthousiasme.
- Tu travailles toujours là-bas ?
- au peep show oui ! j'ai changer de crémerie, je bosse au Mandala maintenant , quatre heures par semaine.
- ça te plaît ?
- je suis tranquille !
- tant mieux !
Ava jouait avec une petite boîte depuis un bon moment elle la tournait et retournait dans sa main. Elle l'ouvrit et en sortit des acides.
- t'en veux un ?
- Oui ! je veux bien répondit Michel
Au bout d'une heure peut-être un peu moins , Michel sentit des fourmillements dans son corps, il se sentait bien, à l'aise, les choses autour de lui avaient tendance à se déformer, à se liquéfier aux sons d'une mélodie inconnue .
Il était allongé sur le lit, un corbeau perché au pied du lit croassait, à chaque son qu'il émettait le volatile annonçait l'arrivée de quelque chose ou de quelqu'un. Chaque croassement qui sortait de son bec se materialisait en un long ruban rouge qui finissait en pluie fine chargée de milliers de gouttelettes rougeâtres. L'atmosphère , maintenant était totalement rouge , les gouttelettes tombaient sur son visage.
Les bourgeois de Calais passaient devant le lit. L'oreille gauche de Michel s'agrandit tel un cornet pour essayer de distinguer les murmures. Son cœur s'accélèra en quelques secondes, il se rendit compte qu'Ava le chevauchait avec une énergie folle .
Elle ne le quittait pas des yeux, elle lui griffait le torse enfonçant ses ongles telle une tigresse. Michel s'entendit pousser un cri , puis plus rien.
En rouvrant les yeux il vit le plafond, il s'aperçut qu'il était allongé sur la moquette à côté de lui la chaîne hi-fi balançait de la musique Californienne. Il referma les yeux.
Il sentit la main d'Ava le caresser , il se rapprocha d'elle pour la pénétrer, il gardait les yeux fermés, la lumière du jour le gênait, Michel continuait à la besogner jusqu'à l'épuisement.
Ils baisèrent toute la journée sur la moquette, sur le lit.
Ava s'habituait à lui finalement, elle n'arrêtait de l'embrasser , de le caresser, de se frotter elle avait eu du plaisir, elle était heureuse.
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Articuler nettoyage et désinfection 👉 consensus actuel
✔️ De ce que j’ai pu lire des autorités sanitaires et des organismes publics de référence, en France, voici les éléments qui me semblent faire raisonnablement consensus aujourd’hui :
🎯 la maison n’a pas besoin d’être désinfectée en routine. 🏠 Sauf cas particulier, le nettoyage régulier, avec un produit détergent, 🧽suffit pour les situations classiques de la vie quotidienne ;
🎯 dans un contexte d’épidémie, ou si une personne malade 🤒est présente à la maison, désinfecter certaines surfaces permet de diminuer les risques de transmission.
Selon la SFSE par exemple, il s’agit des « surfaces [qui] sont fréquemment touchées et fraîchement contaminées par les gouttelettes oropharyngées ou par des mains souillées. »  Par exemple : poignées de porte, interrupteurs, téléphones portables, rampes d’escaliers, télécommandes, claviers et souris d’ordinateur. En complément, les surfaces des toilettes 🚽 et de la salle de bain 🛁pourront également être régulièrement désinfectées.
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