Tumgik
#goûtu
skip-chiantos · 7 months
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Enfin en week-end ! Et quel joie d'être en week-end en milieu de semaine, quand perso n'est dispo pour faire une petite soirée... Ça en viendrait presque à me frustrer alors que j'adore mon nouveau taff de vendeuse de whisky...
Même si ma boîte c'est du gros caca, et que ma supérieure fait plus office de plante verte qui essaye de développer son sens de l'organisation, mais qui à chaque fois se fait sauvé le cul par les vendeurs indépendants et autonomes. (dont je fais partie,mais bon trahzillet45/50h semaine, pour un contrat 39h, ça me donne doucement des envies de meurtre, ou plus sagement, de quitter cette entreprise).
Comme j'étais seule cette nuit et que je faisais une méga insomnie (j'en fait plus(pad) quand je travaille, juste quand je suis en repos, histoire de rester bien pénible à vivre, en plus des migraines), j'en ai profité pour réfléchir sur le sujet, et en vrai, je sur kiff vendre de l'alcool, trouvé LE truc qui plaît au client, même les plus difficiles .
Mais d'un autre côté, n'avoir qu'une seule marque à proposer, qui en plus ne propose que deux style de whisky (irlandais fruité et irlandais fumé) et des Liqueurs et eau de vie qui se ressemblent toute(même si Elles sont pas degeu, voir bonne pour certaines) bah c'est super frustrant pour moi qui préfère les écossais Tourbé avec une note atypique en fond (Laphroig Lore si un.e conaisseu. .se connaît), les eau de vie atypique (gentiane, Alisier, thym etc) et les liqueurs pas trop sucrés mais quand même goûtu. Et plus le temps passe dans ce job, plus je suis franche, à dire "non ça c'est degeu, essayé plutôt ça", "non, prenez pas ce produit super cher qui va me rapporter un bonus parce que c'est de la merde malgré l'étiquette médaille d'or, prenez plutôt celui-là qui paye pas de mine mais qui est meilleur". Ok, la plupart, pour pas dire la majorité des clients adorent ma franchise, mais pour la marque que je suis censé représenter, ça le fait moyen...
J'hésite à aller postuler auprès de "caviste" ayant des séléctions de spiritueux, au culot, en expliquant que c'est une passion mais que je suis encore relativement néophyte, sans aucun diplôme dans le domaine, et même dans la vente mais qu'à côté je suis extrêmement curieuse, que j'ai une mémoire vraiment pas degeu, mais que je VEUX poursuivre dans ce domaine et monté en compétence...
Et d'un autre côté, servir de l'alcool ça me fait kiffer et je dirais pas non à un poste de barman, si j'ai pas tout le temps des coupures : non parce que d'un côté, en week-end, avoir une coupure au milieu du rush, je suis ok si c'est dans ma ville : je sors mon chien, je vais dormir et je renquille sans problème. Mais en semaine, quand y'a pas des Masses de clients, une coupure c'est relou parce que j'ai à peine le temps de m'occuper de mon chien et de faire les choses de la vie (courses, linge, ménage, tout ces trucs energivores que tu fait déjà au boulot et que tu dois refaire chez toi, parce que sinon t'a pas de quoi t'habiller "normalement" au taff, et qu'un appart en bordel, ça donne pas envie de vivre dedans on va pas se mentir)
Voilà je vous lâche ce que j'ai sur le cœur parce que ça pèse de plus en plus lourd, et que si par hasard quelqu'un peut me conseiller, où à juste envie de parler je suis dispo, et même je le demande !
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omagazineparis · 2 months
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N’ayez crainte Juliette, il nous reste du bon champagne
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C’est de ma sélection de champagnes 2020 dont il est ici question. Comme tous les ans, je vous ai sélectionnées plusieurs découvertes, que je vous invite à réitérer en votre demeure pour boire, boire et boire encore. Parce qu’il n’y a plus que ça à faire. C’est le dernier bonheur qu’il nous reste. La seule chose qu’on ne nous a pas retirée : se faire livrer du champagne et le boire à satiété et au-delà, seule, en couple, confinés, enfermés. Perte de goût à la vie Oh mon Dieu ! Que faire ! Mais que faire à part travailler ? Quelle vie qui n’est en plus une. Attendre, travailler, attendre, dormir, manger aussi, un peu... Et dernière coquetterie, comme une cerise en plastique sur un gâteau avarié, je lave tous les soirs mes masques de la journée.  Pour commencer, je ne me maquille plus, je ne me coiffe plus, je ne change plus de vêtements, ni de chaussure, ni de blouson. En un mot, je n’ai plus envie de vivre. Plus rien n’a d’importance, plus rien n’a de valeur depuis que le monde s’est arrêté, depuis qu’il redémarre par l’intermittence d’un moteur à explosion trop vieux. Ça n’avance pas, ça n’avance plus. Je n’ai même plus peur, même plus mare. Je vis mon confinement.  Et je ne peux voir personne. Pas même mes vieux, car ils sont vieux. Pas mes amis, parce qu’ils sont des étrangers. Je ne sais plus qui y croit, qui s’en moque, vers qui parler, vers qui échanger. Alors je me terre dans le fond de l’ascenseur. Pendant qu'il monte ou descends, je ne regarde plus que mes pieds et en regrettant ma lâcheté face à l’escalier. Je sors seule. Toujours les mains dans les poches, et toujours regardant mes pieds chaussés de sneaker tout terrain... mais mon courage de courir s’arrêter très vite. Alors je marche, puis je rentre et je m’allume une clope, que j’écrase aussitôt pour me faire un thé que je laisserai refroidir. Si nous n’étions pas tous dans la même galère, eh bien le suicide serait pour moi comme un sorbet mangue au bord de Costa Brava un 15 août. Découvrez aussi : UnCadeau : le meilleur site pour acheter des cadeaux de Noël Heureusement pour la vie, le champagne est là Heureusement, l’humanité peut être sauvée. Ouf, il reste encore un moindre espoir, pour sauver la galaxie de ses méchants et des perfides. C'est bien, vraiment bien : il reste le champ'. Alors j'ai fait ma sélection des petits vignerons de 2020. D'ailleurs, ils vous livreront très vite, et vous pourrez vous enivrer de plein de bonheurs instantanés répétés à l’infini, jusqu’à la sortie de tunnel. Vallée de la Marne Champagne Charpentier, Millésime 2010D'abord nez complexe. Ensuite équilibré, frais et goûtu en entrant en bouche. Les parfums s’étendent si l’on mange en le buvant, particulièrement une nourriture grasse (essayez le saucisson avec le champagne, vous serez étonnées). Prix : 32 € Champagne Trudon, Magnificence, BrutLe premier nez laisse agir le travail de l’élevage en fut de chêne. Seconde bouche très longue et onctueuse, voire superbe. Prix : 32 € Champagne Veuve Olivier & Fils, Secret boisé, 2008, Blanc de BlancsAlors là, c'est très, très, très gourmand en arrivant entre les lèvres, et laissant un fruit blanc ou prune. Prix : 26 € Montagne de Reims Champagne Alfred Tritant, Mes racines, BrutIci c'est la qualité d’un grand cru, validée, malgré un dosage en sucre à mon goût élevé. Avec toutefois un accord très bien harmonisé avec les repas légers et légèrement crémeux. Prix : 24 € Champagne Pâques et Fils, Origine 2012, MillésimeIl s’apprécie surtout par sa fin très fruitée. Et l’accord avec les fruits de mer révèle son caractère. Prix : 27 € Champagne Said Malot, Socrate, Blanc de BlancsRésultat d’une soldera démarrée en 1982 avec du 1er cru. Un parfum fort, une première bouche sympa et une seconde bouche longue, longue, longue et de plus en plus riche. Prix : 30 € Côte des Blancs Champagne J. Vignier, Silexus Sezannensis, Blanc de BlancsIl serait seulement un grand cru (et c’est déjà ça) s’il n’avait pas cette surprise d’une longueur en bouche qui ne s’arrête pas. J’y ai été contrainte de manger lentement pour apprécier cette continuité. Prix : 37 € Champagne Pierre Legras, Black Jackets, Milesime 2014C'est une oeuvre rebelle par sa complexité, qui garde sa tenue en mangeant. Et toutefois, assez gourmand. Prix : 69 € Champagne Sanger, Générosité noire, Blanc de NoirsIl envoie un parfums forts d’un Blanc de Noirs, pleins d’arômes tout en gardant sa fraîcheur. Avec cela, le nez ne trompe pas la bouche, elle aussi très aromatique, avec ici une faible longueur. On se dit qu'il est bien accordé aux plats exotiques mais non épicésPrix : 22 € Côté des Bar Champagne Marie Tassin, Émotion blanche, Blanc de BlancsIl arrive avec un parfum correct et, soudain, il révèle une complexité de bonbons, qui se transforme en agrumes et reste en fruits blancs.Prix : 30 € Champagne Pierre Brigandat, Blanc de Noirs Millésime 2015D'abord un vin clair, cordial et apparemment attendu. Ensuite, il se réveille en réalité très typé, subtil et libre de mariages avec des mets forts. Prix : 36 € Bénédicte, seule et saoule Read the full article
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paulinealaferme · 10 months
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Voilà un petit aperçu des récoltes de l’été. Il y a eu beaucoup beaucoup de courgettes et de haricots verts ! J’ai pu en mettre pas mal au congélateur et j’ai donné pas mal de courgettes. Les concombres ont beaucoup donné jusqu’à ce que les températures baissent trop pour qu’ils survivent. Les melons aussi ont mal vécu ces baisses de températures. Ils ont produit mais je n’ai pas eu un seul melon goûtu ! Ils sentaient merveilleusement bon mais n’avaient aucun goût … ce sont des variétés anciennes, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. A part ça, tout est très très bon 😋
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unpsytoulousain · 1 year
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COVID et hamburger
Depuis maintenant presque un an, le COVID nous met à l'épreuve. Confinement, couvre-feu, fermeture des lieux de culture, des complexes sportifs, des bars et restaurants... Bref, des pans entiers de notre vie quotidienne ne nous sont plus accessibles. Notre équilibre est menacé. Nos vies ne tournent plus qu'autour du travail, de la marche à pieds, du yoga, de Netflix... Rajoutons la difficile gestion des enfants à la maison quand l'école ferme ou manque.
Quelles sont les conséquences ? Frustration, dépression, colère, peur, perte d'espoir, angoisse... Chacun d'entre nous réagit à sa manière et doit négocier avec soi-même pour gérer les privations, l'incertitude, les baisses de moral, les pertes d'espoir, la désorientation, les manques... Cela fait bientôt un an que cette négociation est plus ou moins constante et importante. C'est long !
Il y a quelque mois, j'ai eu l'image du hamburger pour représenter la diversité dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne.
Comme le montre la photo précédente, un hamburger 🍔 est un mets composé d'une succession de couches d'aliments différents : aux extrémités  le pain et à l'intérieur la salade, la rondelle de tomate, la viande (ou le steak de lentilles !), les oignons, le fromage, les cornichons... Un hamburger est bon parce qu'il propose plusieurs saveurs et textures et parce que l'ensemble est plutôt goûtu.
Je pense que notre vie quotidienne ressemble à un hamburger : du sommeil, de l'alimentation, du travail, de l'amour, de l'amitié, du divertissement, du sport, du repos, de la sexualité, de la nature, des vacances... Chacun d'entre nous compose son propre burger selon ses désirs et ses besoins.
Quelle tête ont nos burgers aujourd'hui ? Quelle tête ont nos vies ? Je retrouve en consultation beaucoup de personnes qui me parlent de leurs difficultés à diversifier leur vie. "Le yoga et Netflix ça va cinq minutes" me disait un patient. Oui, je trouve aussi. Nous voilà privés d'un certain nombre d'aliments essentiels au bon goût et au bon équilibre de nos burgers. Certes, ils sont mangeables, mais ils sont fades et peu variés. Nous vivons des frustrations (désirs) et des manques (besoins).
Chacun gère comme il peut ce qu'il n'a pas ou plus. Mais après ? Que nous reste-t-il ?  Depuis le premier confinement, n'avons-nous pas déjà tout fait pour compenser ? Tout le monde n'a-t-il pas déjà fait son pain, tenté de cultiver ses propres légumes pour les plus chanceux qui ont un jardin, appris à faire du yoga, regardé le contenu de Netflix deux fois, fait des apéros zoom entre copains ? Le malaise qui règne encore ne montre-t-il pas que ce dont nous sommes toujours privés est irremplaçable ?
C'est pas fun, je sais ma chanson n'est pas fun
Mais parce que le monde n'est pas fun
Désolé si je te fous le seum, ah
Suzane - Le monde d'après
Merci Suzane pour ton optimisme !
Malgré tout, face à tout ce qui nous manque, essayons de prendre soin de ce qui nous reste.
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olys-soul · 6 years
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Riz végétal , avocat et betterave. Une bombe de couleurs. Je sais qu'on est absolument pas obligé de faire une belle assiette pour prendre son repas. Mais soyez honnête, ça ne donne pas plus envie comme ça ? En plus j'avoue m'être laissée prendre au jeu. Je mange d'avantage de légumes et j'adore le processus de "mise en scène". Imaginer les couleurs, quels fruits/légumes pour avoir cette gamme de couleurs, découvrir les épices et leur association pour donner plus de goût etc. Mais le gros de l'expérience c'est la détente et l'enthousiasme que ça me procure. Dégustation en story 🎥🎥🎥 🍑🍓🍍🍋🍉🍏🍲🌿🌱🍊🍑 #cookingloversgram #cooking #colorfull #vegetable #faitmaison #Haïtian #Haïtianfood #légumes #belleassiette ##process #goûtu #madehome https://www.instagram.com/p/BpVLWKCnvUP/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=19htfv4u0nsv3
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frenchtwistagain · 2 years
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Bilan 2021
2021 fut une année meh, pour des cause évidentes. CINEMA Je suis un peu retournée au cinéma. J’ai vu Kaamelot, Dune (adoré l’esthétique) et West Side Story. MUSIQUE  Les concerts on repris tardivement. Je n’ai vu que Les Vulves Assassines, mais c’était LE concert à voir :)
CULTURE Je suis allée aux expos Chanel et Vivian Maier. J’ai vu Laurent Sciamma et Guillaume Meurice en spectacle. Je suis aussi allée voir le Cabaret de Poussières. GASTRONOMIE Je suis allée prendre le tea-time au Riz, j’ai découvert une délicate nourriture très goûtue chez Mosuké, et dégusté un bon repas gastronomique en me baladant dans Paris à bord du Bistronome. J’ai découvert le café Contresort, continué d’aller chez Furaha, Burger Theory etc...
VOYAGES Nada cette année. J’avais des plans qui sont tombés à l’eau à cause du Covid. J’ai donc seulement passé une semaine dans le Loir et Cher et passé l’Ascenscion à Berck. ça fait quand même du bien de souffler ! SPORTS Je marche, et je continue le pôle ! On a repris les cours en studio dès juin. AUTRES J’ai entrepris une thérapie, j’ai pu compter sur des ami.e.s, j’ai évolué dans le cadre de mon emploi, j’ai deux piercings et un tattoo de plus... R.I.P. Hubert Auriol, Jean-Pierre Bacri, Larry King, Dustin Diamond, Larry Flint, Tonton David, Patrick Dupond, Bertrand Tavernier, Patrick Juvet, Prince Philip, DMX, Alber Elbaz, Minette, Jean-Yves Lafesse, Joey Jordison, Jean-François Stévenin, Lee Scratch Perry, Sarah Harding, Jean-Paul Belmondo, Juju, James Michael Tyler, Virgil Abloh, Yolande Menon, et Lili-Rose.
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elfiqueangel · 3 years
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🌺Elfiquement notre🌺
🌿Laisses moi, par ton regard,
Apprendre à voir, au-delà du visible,
Sois mes yeux, dans cette vie sans rempart,
Aides moi à garder l'équilibre,face au nuisible.
Laisses moi, par ta bouche si émue,
Apprendre à découvrir, les saveurs de la vie,
A goûter pleinement, aux douceurs goûtues,
A garder les papilles ouvertes aux envies.
Laisses moi par ton cœur,aimer éperdument,
Apprendre à fremir sous ta voix,tes caresses,
A faire de nos jours, l'écrin de doux amants,
Sois le sang dans mes veines, aimes moi sans promesses🌿
ElfiqueAngel ✨🌹🌿
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omagazineparis · 2 months
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N’ayez crainte Juliette, il nous reste du bon champagne
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C’est de ma sélection de champagnes 2020 dont il est ici question. Comme tous les ans, je vous ai sélectionnées plusieurs découvertes, que je vous invite à réitérer en votre demeure pour boire, boire et boire encore. Parce qu’il n’y a plus que ça à faire. C’est le dernier bonheur qu’il nous reste. La seule chose qu’on ne nous a pas retirée : se faire livrer du champagne et le boire à satiété et au-delà, seule, en couple, confinés, enfermés. Perte de goût à la vie Oh mon Dieu ! Que faire ! Mais que faire à part travailler ? Quelle vie qui n’est en plus une. Attendre, travailler, attendre, dormir, manger aussi, un peu... Et dernière coquetterie, comme une cerise en plastique sur un gâteau avarié, je lave tous les soirs mes masques de la journée.  Pour commencer, je ne me maquille plus, je ne me coiffe plus, je ne change plus de vêtements, ni de chaussure, ni de blouson. En un mot, je n’ai plus envie de vivre. Plus rien n’a d’importance, plus rien n’a de valeur depuis que le monde s’est arrêté, depuis qu’il redémarre par l’intermittence d’un moteur à explosion trop vieux. Ça n’avance pas, ça n’avance plus. Je n’ai même plus peur, même plus mare. Je vis mon confinement.  Et je ne peux voir personne. Pas même mes vieux, car ils sont vieux. Pas mes amis, parce qu’ils sont des étrangers. Je ne sais plus qui y croit, qui s’en moque, vers qui parler, vers qui échanger. Alors je me terre dans le fond de l’ascenseur. Pendant qu'il monte ou descends, je ne regarde plus que mes pieds et en regrettant ma lâcheté face à l’escalier. Je sors seule. Toujours les mains dans les poches, et toujours regardant mes pieds chaussés de sneaker tout terrain... mais mon courage de courir s’arrêter très vite. Alors je marche, puis je rentre et je m’allume une clope, que j’écrase aussitôt pour me faire un thé que je laisserai refroidir. Si nous n’étions pas tous dans la même galère, eh bien le suicide serait pour moi comme un sorbet mangue au bord de Costa Brava un 15 août. Découvrez aussi : UnCadeau : le meilleur site pour acheter des cadeaux de Noël Heureusement pour la vie, le champagne est là Heureusement, l’humanité peut être sauvée. Ouf, il reste encore un moindre espoir, pour sauver la galaxie de ses méchants et des perfides. C'est bien, vraiment bien : il reste le champ'. Alors j'ai fait ma sélection des petits vignerons de 2020. D'ailleurs, ils vous livreront très vite, et vous pourrez vous enivrer de plein de bonheurs instantanés répétés à l’infini, jusqu’à la sortie de tunnel. Vallée de la Marne Champagne Charpentier, Millésime 2010D'abord nez complexe. Ensuite équilibré, frais et goûtu en entrant en bouche. Les parfums s’étendent si l’on mange en le buvant, particulièrement une nourriture grasse (essayez le saucisson avec le champagne, vous serez étonnées). Prix : 32 € Champagne Trudon, Magnificence, BrutLe premier nez laisse agir le travail de l’élevage en fut de chêne. Seconde bouche très longue et onctueuse, voire superbe. Prix : 32 € Champagne Veuve Olivier & Fils, Secret boisé, 2008, Blanc de BlancsAlors là, c'est très, très, très gourmand en arrivant entre les lèvres, et laissant un fruit blanc ou prune. Prix : 26 € Montagne de Reims Champagne Alfred Tritant, Mes racines, BrutIci c'est la qualité d’un grand cru, validée, malgré un dosage en sucre à mon goût élevé. Avec toutefois un accord très bien harmonisé avec les repas légers et légèrement crémeux. Prix : 24 € Champagne Pâques et Fils, Origine 2012, MillésimeIl s’apprécie surtout par sa fin très fruitée. Et l’accord avec les fruits de mer révèle son caractère. Prix : 27 € Champagne Said Malot, Socrate, Blanc de BlancsRésultat d’une soldera démarrée en 1982 avec du 1er cru. Un parfum fort, une première bouche sympa et une seconde bouche longue, longue, longue et de plus en plus riche. Prix : 30 € Côte des Blancs Champagne J. Vignier, Silexus Sezannensis, Blanc de BlancsIl serait seulement un grand cru (et c’est déjà ça) s’il n’avait pas cette surprise d’une longueur en bouche qui ne s’arrête pas. J’y ai été contrainte de manger lentement pour apprécier cette continuité. Prix : 37 € Champagne Pierre Legras, Black Jackets, Milesime 2014C'est une oeuvre rebelle par sa complexité, qui garde sa tenue en mangeant. Et toutefois, assez gourmand. Prix : 69 € Champagne Sanger, Générosité noire, Blanc de NoirsIl envoie un parfums forts d’un Blanc de Noirs, pleins d’arômes tout en gardant sa fraîcheur. Avec cela, le nez ne trompe pas la bouche, elle aussi très aromatique, avec ici une faible longueur. On se dit qu'il est bien accordé aux plats exotiques mais non épicésPrix : 22 € Côté des Bar Champagne Marie Tassin, Émotion blanche, Blanc de BlancsIl arrive avec un parfum correct et, soudain, il révèle une complexité de bonbons, qui se transforme en agrumes et reste en fruits blancs.Prix : 30 € Champagne Pierre Brigandat, Blanc de Noirs Millésime 2015D'abord un vin clair, cordial et apparemment attendu. Ensuite, il se réveille en réalité très typé, subtil et libre de mariages avec des mets forts. Prix : 36 € Bénédicte, seule et saoule Read the full article
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Contrepèteries (source https://lapoulequimue.fr)
Cette petite puce me convie à sa fête
Sabine a piloté toute la nuit
Cette petite bouille a rempli toute sa couche
La maîtresse nettoie la classe des grands
Mon flan est bien goûtu !
L'hirondelle ne craint pas la traque
Le fermier piste la foule
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antonomase · 4 years
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"Oh ! C'est bon, l'eau ! C'est goûtu !"
Highlights du Barbecue de la Débauche.
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willsonic-blog · 4 years
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Chronique.Anarchist Republic Of Bzzz “United Diktatürs of Europe” (25 novembre 2016, Atypeek Music/Bzzz Records)
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Si tu veux de l’atypique de chez Atypeek, si tu as envie de te cogner un combo où se télescopent jazz, hip-hop, noise et spoken word (et encore, je résume!), où se côtoient et délirent génialement  Arto Lindsay, Archie Shepp, Mike Ladd, Juice Aleem, Rojda Şenses, eRikM, Luc Ex, Onur Secki, Ismail Altunbas, Mehmet Boyacı, Timba Harris, Murat Ertel (tout ce beau monde réuni à l’initiative de Seb El Zin), alors Anarchist Republic of Bzzz est pour toi. Son United Diktatürs of Europe tchatcheur, fusionnant et relevé, dopé à au débit rap ou encore ragga, est un concentré de génie. Outre le fait de rassembler des pointures, il part à la conquête d’un territoire nouveau et, comble de la joie, y parvient en livrant au passage une étourdissante mixture. 
Mais entrons donc dans le vif du sujet, avec en amuse-gueule bien goûtu ce Respect the eye dans lequel des bribes issues de tous genres empruntent le même chemin avec bonheur, tandis que chant rap sombre et incrustes féminines colorent le bazar. Il y a dans ce début un peu de Senser, un peu d’Asian Dub Foundation, du Transglobal Underground mais l’expérimentation, ici, est poussée plus loin encore. Ca fonctionne à plein, les soubresauts funky et incartades free-jazz, le chant de The 3rd extremist s’unissent pour, à nouveau, enfanter un morceau fatal .Je pense aussi, à l’écoute, aux excellents Soul Coughing. On poursuit l’investigation avec délectation, avec, aussi, la certitude de tenir là un clan précieux et entièrement à part. Dark mirrors lâche des bruits inquiétants, louche côté tribal et allie le grave et le suave. Uzis on perimeter s’échappe, direction l’orient. Grondeur et racé, il ne dit pas non plus, le bougre, de quelle étoffe musicale il est constitué. 
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Peu importe: tout, pour le coup, est truffé de génie. Tropic on interzone crépite, bastonne en mode free, laisse des cuivres classe l’orner. C’est du jazz hagard, de l’expérimentation à la fois pantelante et aboutie. J’adore.Définitivement. All one, à son tour, se barre. Pas en couilles, quoique...on dira plutôt que son investigation, bigarrée, l’emmène dans des recoins jamais fouillés. C’est un trip destiné aux tripes, unique, que nous sert ce collectif enivrant. Jamais rien entendu de tel, Estelle. Des embardées à la Kusturica (si si) surviennent, les voix se donnent l’accolade et à l’arrivée, nous voilà groggy. D’aucuns se décourageront, il faut suivre! Ils auront gravement tort, ils manqueraient Jello pudding pops et ses élans à la Disposable Heroes of Hipoprisy. Entre autres perles exigeantes et passionnantes troussées par la clique, bien entendu.
Il est dur à décrire, ce disque. Il se vit, s’écoute fort et souvent. Il vibre, il groove, il entraîne les gambettes. A son terme, Scream passerait presque pour abordable, mais il ne peut s’empêcher de dévier et nous régale de grattes à la Hendrix de nature à déclencher une rixe. A aucun moment, sur l’opus, on ne concède quoique ce soit à la norme. On fait drôlement bien, le rendu est à des années lumière de toute autre sortie dite “autre”et appelle de façon incoercible à l’addiction sonique. “Tout juste” génial et imparable.
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completementalest · 5 years
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སྔ་དྲོ་བདེ་ལེགས བོད (Bonjour le Tibet)
On voulait aller au Tibet (surtout Simon), mais le supposé vrai Tibet (celui avec Lhassa, le mont Kailash et un bout de l’Everest - celui aussi où on doit payer un permis ultra cher et être accompagné H24 par une agence chinoise), n’était pas dans notre budget. La perspective de nous faire balader dans un minibus par un guide qui nous explique ce qu’on a le droit de prendre en photo ne nous enchantait pas des masses non plus... Or on a eu la bonne surprise de découvrir qu’à l’ouest du Sichuan, ben en fait c’est le Tibet (c’est-à-dire qu’il y a plus de tibétains que de hans qui y vivent et qu’il y a un peu moins de drapeaux chinois... Quoique ?).
On a donc passé une quinzaine de jours à gonfler notre taux de globules rouges dans la région. Ça a commencé par un parc national (Siguniang) avec un village désert rempli d’hôtels, quelques monastères avec plein de drapeaux chinois dessus et des chemins de randonnées de type pontons de bois agrémentés de poubelles (manifestement pas assez visibles pour certain.e.s) et de toilettes tous les 200 mètres, qui remontent des vallées sur des dizaines de kilomètres. Il y avait même des messieurs-dames chargés de déneiger ledit “chemin”, c’est dire le niveau d’aventure ! En allant plus vers l’ouest sur le plateau tibétain, on s’est retrouvés à Tagong puis Litang, des villes vraiment tibétaines : peuplées par (presque que) des tibétains, avec une architecture tibétaine (de type blanche, noire et bordeaux), des visages tibétains (de type émaciés et brûlés par le soleil), des habits tibétains (de type chauds et beaux), de la bouffe tibétaine (de type momo à la pomme de terre), et des montagnes qui correspondaient à l’image qu’on se faisait du Tibet. C’était un peu la surprise parce qu’on s’était habitués à un style plus Disneylandisé avec les vrais-faux quartiers anciens en ville ou les montagnes sacrées où tu peux acheter des brochettes de saucisse dès que ça te chante.
Près de Tagong, on a passé une journée plutôt folle dans un village traditionnel où vivent de nombreux.ses moines et nonnes. Déjà c’était beau (on l’a dit ça déjà ?), en fond sonore il y avait un haut-parleur qui diffusait non-stop des mantras, ensuite on a été invités à manger à la cantine des nonnes où on a goûté au tsampa (sorte de pain non cuit au beurre de yak et à la farine de seigle, un régal... hum) et on a assisté un peu par hasard à un “sky burial”. En gros ce sont des funérailles traditionnelles dans lesquelles on n’enterre pas la personne décédée puisqu’on la coupe en morceaux, puis on l’écrase à grands coups de masse puis on la donne à manger aux vautours attroupés en masse autour de la scène. C’était mi-fascinant, mi-terrifiant (surtout les bruits de masse sur le corps inerte). Mais en fait comme l’âme est déjà partie c’est pas grave (qu’ils disent...). Finalement on a eu qu’une seule déconvenue dans tout ça : l’échec cuisant de notre visite du parc de Yading pour lequel on a payé une fortune pour dormir tous seuls dans un hôtel miteux, manger des nouilles instantanées peu goûtues et attendre 2h un bus pour nous amener au début d’une randonnée qu’on ne pouvait pas faire car les sentiers étaient fermés. Heureusement qu’il y avait des touristes thaïlandais alternant selfies et inhalation d’oxygène pour nous divertir. On voudrait aussi préciser qu’on a eu froid mais on remercie la personne formidable qui a inventé le matelas chauffant (dont les hôtels chinois sont tous dotés), c’est vraiment chic de sa part.
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Les premiers drapeaux à prière.
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Crânes de yaks décédés décorés de foulards.
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Mont Siguniang, avant les nuages.
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Rivière et “chemin” de randonnée (à gauche).
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Le beau volatile.
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Un veau qui s’ennuie.
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Une personne qui pointe au loin pour se donner une contenance.
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Bébé-yak-nounours.
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Est-ce que ces animaux ont froid la nuit (nous oui) ?
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La for��t et la lumière.
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Des yaks en goguette.
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Village, terrasses.
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Du bon mangement.
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Monastère de Tagong, beau.
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Des drapeaux et des drapeaux.
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Monastère massif, montagnes massives.
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La fraîcheur, et montagnes massives.
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Drapeaux à prière massifs.
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Ils ont des cool fenêtres.
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Classe portail.
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Village de nonnes.
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Des cool fenêtres encore.
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Une nonne qui révise.
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Le graveur le plus rapide du monde.
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Moulins à prière.
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Petite sauterie au temple.
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Des drapeaux et des yaks.
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Encore la froidure.
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Un savant mariage de blanc et de bordeaux.
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Le matin, en attendant le bus qui n’arrive pas dans le parc le plus cher du monde.
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Oiseau-punk.
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Yangmaiyong le pointu.
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D’après nos observations, les chinois sont des personnes prudentes.
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Déco chargée.
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Les moines qui chillent.
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Méga monastère de Zhongdian. La beauté.
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Drôle d’église à Dali.
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manieresdedire · 5 years
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Une enfance heureuse II/II
... suite.
Souvenirs d'une enfance que je n'échangerais pour rien au monde avec quoique ce soit. C'est mon trésor à moi. Merci papa-maman, merci pépé-bonne maman, merci mémé, merci les taties-tontons ! Ils savaient, eux, trouver les petites joies simples de la vie ! La soupe au fromage familiale et traditionnelle, le café au lait du matin dans lequel trempaient les cubes de pain beurrés, les grosses tartines d'écume de confiture encore chaude, les petits pains spéciaux, chacun le sien, au bord de son assiette, cuits par le tonton boulanger, mais pétris et mis en forme par nous-mêmes qui arrivions au-dessus du pétrin grâce aux petits tabourets paillés fabriqués pour nous par le grand-père. Et puis la récolte des fameuses pommes qui ne ressemblent à rien, mais tellement goûtues à nos papilles de propriétaires ! et hop ... trois pommes ramassées, une de mangée.
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et hop ... trois pommes lavées, une de mangée.
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et hop ... trois pommes dans la gueule de la machine, une de mangée
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et hop ... un litre mis en bouteille, un verre bu à même la sortie du pressoir
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et hop... une journée bien remplie.
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Retour au bercail, sales, fatigués, souvent frigorifiés l'hiver, rouge-écarlate et en sueur l'été, mais tellement heureux, impatients du dimanche suivant pour de nouvelles aventures en plein air, par n'importe quel temps ! Jouer à Paly, le fermier voisin, au milieu de son troupeau de vaches ; apprendre à faire du vélo sans frein, sur les chemins pentus et caillouteux ; faire de la luge dans le pré de la porcherie où nous allions nous réchauffer entre deux glissades et piétiner allègrement le fumier qui sera rapatrié dans le jardin de la ville afin de fortifier les légumes au printemps. Macarel ! Qué pudis !  mais habitués que nous étions à la fréquentation des cochons, de leur naissance à leur 300 kilos, nous ne le sentions plus, les voisins si. Voler les œufs à gober dans le nid des poules ; farfouiller dans les granges alentours ou le grenier familial et découvrir de véritables trésors à nos yeux d'enfants émerveillés, nous permettant d'inventer les histoires les plus folles. Quelle imagination féconde nous avions ! Une simple corbeille en osier devenait la caravelle de Christophe Colomb et nous voilà embarqués à sillonner mers et océans au milieu des prairies ou sous les tuiles de notre paradis perdu en pleine montagne ! Bref, comme dans la chanson “♫♪ je fais rien que des bêtises quand t'es pas là ♪♫”. Bêtises ? quelles bêtises ? qui a parlé de bêtises ? Pourquoi bêtises ? Puis rentrer avec bosses et bleus, recevoir l'engueulade maternelle pour avoir salopé, voire, déchiré nos vêtements : "voilà !!elle est foutue maintenant ta robe ! Ces drôles alors ! Mais qu'est-ce-qu'on va bien pouvoir faire de vous ?! ". Quelle idée aussi de s'obstiner à nous attifer de la fameuse sempiternelle tenue du dimanche, de préférence blanche du col aux chaussures, pour courir les bois et les champs et se frotter aux étables et à leurs occupants !
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Floflo
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bouffar3000 · 5 years
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Ein sehr deutscher McDonald's
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C’est pas un beau plateau ça ?
J'ai l'habitude de me sentir lésé par les McDo de province quand je vais à Paris, alors à l'étranger, vous imaginez. Je fais encore de doux rêves du menu maxi best of à moitié prix en Slovaquie et de ses Porky burgers.
C'est donc après des errances esseulées dans les rues pluvieuses de Stuttgart que je me rendis dans mon premier McDo teuton. Immédiatement, je sus que j'avais fait le bon choix. On était en pleine édition limitée estivale, avec, oui je vous le donne en mille, un burger à l'ananas. Et à côté, trônant fièrement, le mythique McRib, encore inédit en France (l'Allemagne est d'ailleurs le seul pays à l'accueillir en dehors de l'Amérique du Nord).
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Au moins on peut pas dire qu’ils y sont allés à moitié sur l’ananas.
Réservant le McRib pour le clou du spectacle, je me jetai d'abord sur le Hawaii Burger. Il s'agit grosso modo d'un cheeseburger avec une bonne rondelle d'ananas, et de mayonaise à la place du ketchup. Ce choix de sauce n'aide pas vraiment à relever l'ensemble, on aurait peut-être préféré une sauce barbecue ou une sauce un peu sucrée au goût plus prononcé, mais bon. L'ananas est bien présent, mais il est cru, ce qui là encore rend l'ensemble un peu fade, là où l'ananas d'une pizza hawaïenne est plus goûtu et sucré après son passage au four. Bref, c'est une curiosité sympathique qui peut se révéler utile quand on hésite entre un burger supplémentaire et un dessert.
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Ce burger ne demande qu’à être mangé devant un épisode de Bob l’Éponge en sirotant un Coca vanille.
Avant de passer au McRib, je me dois de louer le menu allemand qui permet de choisir un milk-shake parmi les boissons classiques, ce qui si je ne m'abuse n'est pas possible en France, et nous rapproche encore plus de l'expérience du fast-food américain.
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La répartition des oignons est un peu trop aléatoire pour faire honneur au fameux sens de l’organisation teuton, mais on va faire comme si de rien n’était...
Le McRib, donc. Symbole du danger sanitaire que représente le McDo et de ses techniques culinaires industrielles. Utilisant un procédé de reconstruction de viande développé par l'armée pour obtenir un fac-similé de ribs (côtes de porc) sans os (alors que la viande vient plutôt de l'épaule du porc). Ladite viande est badigeonnée de sauce barbecue et agrémentée d'oignons et de pickles, le tout sur un pain allongé caractéristique. Le burger n'est pas bien massif, mais dès qu'on mord dedans on est assailli par toute la décadence carnivore promise. On retrouve bien le goût et la texture caractéristiques des ribs, mais sans ces os pour tout gâcher, tandis qu'aucune garniture superflue (fromage, crudités) ne vient prendre le pas sur la viande. En tant que tel, ce n'est pas un burger qui vous remplira le bide comme peut le faire un Triple Whopper de chez Burger King, mais tout esthète bouffar se doit un jour de l'essayer.
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Couvrez ce cornichon que je ne saurais voir.
Enfin, terminons par une madeleine de Proust pour beaucoup de trentenaires : le fameux chausson aux pommes désormais introuvable chez nous, mais bien présent chez nos voisins germaniques. Je n'ai pas vraiment de souvenirs de cet item à l'époque, n'allant guère au McDo quand j'étais encore en culottes courtes, mais ma soeur m'en parle encore la larme à l'oeil. Et en effet, faut avouer qu'il bute, ce dessert. Alors par contre, sa légendaire réputation de température de supernova n'est pas exagérée, il vaut mieux l'éventrer et le laisser refroidir cinq bonnes minutes avant de s'y aventurer. Mais la texture du beignet est franchement divine, et l'espèce de compotée de pommes à la cannelle à l'intérieur plus que délectable. Parfait pour se réchauffer le bide sous le morne ciel badois-wurtembergeois.
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No comment sur les sandales.
Rédigé par Jumbo
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idlewoodarian-blog · 5 years
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Ein sehr deutscher McDonald's
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C’est pas un beau plateau ça ?
J'ai l'habitude de me sentir lésé par les McDo de province quand je vais à Paris, alors à l'étranger, vous imaginez. Je fais encore de doux rêves du menu maxi best of à moitié prix en Slovaquie et de ses Porky burgers.
C'est donc après des errances esseulées dans les rues pluvieuses de Stuttgart que je me rendis dans mon premier McDo teuton. Immédiatement, je sus que j'avais fait le bon choix. On était en pleine édition limitée estivale, avec, oui je vous le donne en mille, un burger à l'ananas. Et à côté, trônant fièrement, le mythique McRib, encore inédit en France (l'Allemagne est d'ailleurs le seul pays à l'accueillir en dehors de l'Amérique du Nord).
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Au moins on peut pas dire qu’ils y sont allés à moitié sur l’ananas.
Réservant le McRib pour le clou du spectacle, je me jetai d'abord sur le Hawaii Burger. Il s'agit grosso modo d'un cheeseburger avec une bonne rondelle d'ananas, et de mayonaise à la place du ketchup. Ce choix de sauce n'aide pas vraiment à relever l'ensemble, on aurait peut-être préféré une sauce barbecue ou une sauce un peu sucrée au goût plus prononcé, mais bon. L'ananas est bien présent, mais il est cru, ce qui là encore rend l'ensemble un peu fade, là où l'ananas d'une pizza hawaïenne est plus goûtu et sucré après son passage au four. Bref, c'est une curiosité sympathique qui peut se révéler utile quand on hésite entre un burger supplémentaire et un dessert.
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Ce burger ne demande qu’à être mangé devant un épisode de Bob l’Éponge en sirotant un Coca vanille.
Avant de passer au McRib, je me dois de louer le menu allemand qui permet de choisir un milk-shake parmi les boissons classiques, ce qui si je ne m'abuse n'est pas possible en France, et nous rapproche encore plus de l'expérience du fast-food américain.
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La disposition des oignons est un peu trop aléatoire pour faire honneur au fameux sens de l’organisation teuton, mais on va faire comme si de rien n’était...
Le McRib, donc. Symbole du danger sanitaire que représente le McDo et de ses techniques culinaires industrielles. Utilisant un procédé de reconstruction de viande développé par l'armée pour obtenir un fac-similé de ribs (côtes de porc) sans os (alors que la viande vient plutôt de l'épaule du porc). Ladite viande est badigeonnée de sauce barbecue et agrémentée d'oignons et de pickles, le tout sur un pain allongé caractéristique. Le burger n'est pas bien massif, mais dès qu'on mord dedans on est assailli par toute la décadence carnivore promise. On retrouve bien le goût et la texture caractéristiques des ribs, mais sans ces os pour tout gâcher, tandis qu'aucune garniture superflue (fromage, crudités) ne vient prendre le pas sur la viande. En tant que tel, ce n'est pas un burger qui vous remplira le bide comme peut le faire un Triple Whopper de chez Burger King, mais tout esthète bouffar se doit un jour de l'essayer.
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Couvrez ce cornichon que je ne saurais voir.
Enfin, terminons par une madeleine de Proust pour beaucoup de trentenaires : le fameux chausson aux pommes désormais introuvable chez nous, mais bien présent chez nos voisins germaniques. Je n'ai pas vraiment de souvenirs de cet item à l'époque, n'allant guère au McDo quand j'étais encore en culottes courtes, mais ma soeur m'en parle encore la larme à l'oeil. Et en effet, faut avouer qu'il bute, ce dessert. Alors par contre, sa légendaire réputation de température de supernova n'est pas exagérée, il vaut mieux l'éventrer et le laisser refroidir cinq bonnes minutes avant de s'y aventurer. Mais la texture du beignet est franchement divine, et l'espèce de compotée de pommes à la cannelle à l'intérieur plus que délectable. Parfait pour se réchauffer le bide sous le morne ciel badois-wurtembergeois.
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No comment sur les sandales.
Rédigé par Jumbo
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ecrisettaistoi · 5 years
Text
Du beau délai
.
.
.
J’ai décidé
pour une durée non
déterminée
de laisser le monde
tourner sans moi.
Ni avenir ni passé,
juste un long flot
inquantifiable d’eaux mouvantes
entre la réalité et le
quotidien.
Je sais bien
que ça n’est
que temporaire,
illusoire,
éphémère
sans espoir
autre que d’en
profiter à pleins iris
artères et poumons.
Et ce sera bon comme une part de tarte
volée à la dérobée sous le regard
complice d’un ancien qui sourit
au souvenir du jeune effronté
qu’il fut il y a
des siècles
et dont il avait perdu la trace
jusqu’à ce rappel triangulaire
goûtu et inattendu.
.
.
.
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