#gloutonnerie
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S@L¡G!@ & Peccadilles
Qui aurait pu m'expliquer alors qu'une pareille fringale de sucreries a été le levier de la sombre histoire de notre civilisation, que c'est elle qui a poussé à l'usure, à la création des manufactures, à la conquête de l'Amérique, à l'asservissement des paysans en Pologne, elle qui a donné aux pieux bourgeois d'Amsterdam l'idée de génie d'utiliser leurs bateaux pour le commerce des esclaves.
1. Pycha, la vanité, pour superbia. Vent, venteux, vain ? Un vaniteux joufflu ? On s’enfle plus que de raison ? C’est quelqu’un d’autre, un seigneur, certainement pas moi – impossible, donc, d’appliquer ce défaut à sa propre personne. La vanité, par sa sonorité même, est immédiatement classée ; en revanche, superbia, caractéristique de Lucifer, comporte en outre des traits graves, de même que…
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#acédie#art#atavisme#avarice#âme#éducation#éthique#besoin#bon sens#bonheur#caractère#colère#commun#comportement#conduite#culture#cupidité#Czeslaw Milosz#décadence#discipline#envie#excès#fierté#gloire#gloutonnerie#gourmandise#haine#irritation#jalousie#jugement
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la très simplifiée la poule soie blanche le pied au tour l'effroyable gloutonnerie le bel effort de révélation le cœur gros le la pointe l'ours le poids de l'arrêt le mouch'toi don.
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(C'est plus facile en Anglais sans les accords ><; )
Pour les filles :
Hmmmm... Un ventre adorable, ma petite laie~ C'est clair que t'es molle et a un couche de graisse, mais tu es encore si proche de la minceur... Nourris toi de bouffe grasse et calorique. Gaves toi de nourriture sucrée et engraissante. Remplis ton corps de tout ce qui est mauvais pour ta ligne mais bon pour faire de toi une grosse masse obèse, une grosse laie heureuse d'être si grasse et de plaire à sa feeder qui admire à quel point ses encouragements font de toi une hédoniste engraissée et soumise. Et dire que tu es venue toi-même me demander de t'encourager... Tu vas finir bien plus qu'obèse, car je sais qu'il y a en toi cette volonté et ce bonheur d'être grasse, grosse, large, molle, flasque, gavée, engraissée, d'être une truie d'une taille massive, et surtout de savoir qu'au moins une nana trouve cette gloutonnerie et futur corps obèse tellement sexy~
Pour les mecs :
Hmmmm... Un ventre adorable, mon petit porc~ C'est clair que t'es mou et a un couche de graisse, mais tu es encore si proche de la minceur... Nourris toi de bouffe grasse et calorique. Gaves toi de nourriture sucrée et engraissante. Remplis ton corps de tout ce qui est mauvais pour ta ligne mais bon pour faire de toi un gros tas obèse, un gros porc heureux d'être si gras et de plaire à sa feeder qui admire à quel point ses encouragements font de toi un hédoniste engraissé et soumis. Et dire que tu es venu toi-même me demander de t'encourager... Tu vas finir bien plus qu'obèse, car je sais qu'il y a en toi cette volonté et ce bonheur d'être gras, gros, large, mou, flasque, gavé, engraissé, d'être un porc d'une taille massive, et surtout de savoir qu'au moins une nana trouve cette gloutonnerie et futur corps obèse tellement sexy~
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La Parachah « Qedochiym » (Saints, vous serez !)
Pensée Qédochiym… saints vous serez ! Quelle sublime finalité ! Sainteté soit, mais si c’est pour nous congratuler, sans propager la sainteté… Alors, comment ceux qui n’ont pas connu Celui qui est « La Parole » pourraient-ils rechercher Celui qui est « Qadosh » ?
“Comment donc invoqueront-ils Celui en qui ils n’ont pas cru ? Et comment croiront-ils en Celui dont ils n’ont pas entendu parler ? Et comment en entendront-ils parler, s’il n’y a personne qui déclare ? Et comment y aura-t-il des messagers, s’ils ne sont pas envoyés ? Selon qu’il est écrit : Qu’ils sont beaux les pieds de ceux qui annoncent la paix, de ceux qui annoncent de bonnes nouvelles !” (Romains 10:14-15)
Lectures Parachah : Vayyiqra / Lévitique 19 et 20 Haftarah : Yéhézqél / Ezéchiel 20:1-20 Bérith Hadachah : MatthithYahou / Matthieu 3:1-12
Rappel Les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yahshua.
Résumé de la parachah Notre lecture de la semaine est très courte : 2 petits chapitres qui exposent pourtant 49 mitsvoth (recensées du 212 au 262) sur les 613 retenues par la tradition.
En voici quelques unes :
le respect dû à la mère et au père (Vayyiqra 19:3),
le respect du Shabbat,
l'interdiction de constructions et de pensées idolâtres,
l'interdiction de récolter sur le dernier angle du champ, de la vigne (19:9-10),
le devoir de veiller au pauvre (19:10),
l'interdiction de fausser les mesures, de manquer à la parole, de ne pas payer à temps, de voler, de prononcer des verdicts injustes, de porter tort à autrui, de donner de mauvais conseils, de maudire, de ne pas porter aide aux victimes ni aux frères dans le besoin,
le devoir d'exhorter autrui (19:17), d'aimer son prochain comme soi-même (19:18),
l'interdiction de se venger (19:18),
de manger des fruits avant plusieurs années de croissance, de boire et manger avec gloutonnerie (19:18-24),
de pratiquer la divination (19:26), de se coiffer comme les adeptes d'autres cultes, d'imiter leurs pratiques et leurs usages (20:23),
le devoir d'honorer les vieillards (19:32),
le devoir de respecter l’étranger,
le devoir d'avoir des balances justes (19:36) et le devoir d’exécuter les décisions de justice qui concernent toutes ces fautes,
les interdictions nombreuses relatives à une conduite sexuelle déviante et inconséquente.
Ces lois de sainteté peuvent donc revêtir un aspect juridique légaliste réservé aux seuls initiés.
Or, l’invitation formelle – l’ordre divin non négociable – de devenir « saint / Qadoch » revêt un caractère universel qui ne peut souffrir le désintérêt, a priori, d’une parachah peu relevée et de lecture rébarbative.
Car au-delà de l’absence d’une histoire qui ravirait petits et grands, ces mots de Vayyiqra révèlent l’Histoire avec un grand H : celle du rapprochement de YHWH avec Son peuple.
La consigne de vie individuelle et collective d’Élohim, qui s’apprête « à descendre du mont ‘Horev et à prendre place » au sein du camp d’Israël, se résume en deux axes :
- soyez saints - ne vivez pas selon les règles et usages des autres peuples (conséquence du premier point). Or, la Haftarah [Ezéchiel 20:1-20] et les livres de la Nouvelle Alliance sont associés à notre Parachah pour nous rappeler que le mauvais penchant est plus fort et que ce n’est pas notre Élohim qui a quitté le camp et abandonné Son peuple.
C’est nous qui – quotidiennement – ne permettons pas à notre Élohim de s’installer dans notre camp et de faire Sa demeure chez nous.
« Saint, vous serez… » : un futur en forme de promesse et d’encouragement. Attention, cet ordre divin révèle également une évidente non-bénédiction en cas de non-respect. Telle est la logique qui réunit cette semaine nos 3 textes en un seul.
« Il tient en sa main la pelle à vanner et séparera le grain de la paille. Il amassera son grain dans le grenier, mais il brûlera la paille dans un feu qui ne s’éteint jamais. » (Matthieu 3:12).
« Saints, vous serez… »
« Et YHWH parla à Moshéh, disant : parle à toute l’assemblée des fils d’Israël, et dis-leur… » (19:2)
L’introduction originale de cette parachah commence par l'indication d'un rassemblement de tous les bnéi Israël : c’est la seule dans toute la Torah.
Les autres mettent en scène Moshéh, seul face à Élohim, qui ensuite restitue à Aharon et aux sacrificateurs, qui ensuite restituent à leur tour à l’ensemble du peuple. Le moment est donc solennel et voulu comme tel par le Créateur.
Pourquoi ?
1/ Alors que de nombreuses mitsvoth (commandements) s'adressent uniquement à certains individus ou à certaines catégories de la communauté (sacrificateurs), la sainteté s'adresse à la nation tout entière.
Elle est accessible et concerne chacun sans distinction aucune. C'est pourquoi le verset dit : Parle à toute l’assemblée.
2/ Parce que cette parachah va résumer toute la Loi, les dix Paroles et toute la Torah.
La parachah commence par une injonction particulière au futur* qui lui donne son nom :
« qédochiym tiyou : saints, vous serez ».
Par contre, elle se termine (20:26) par la même injonction à l’impératif :
« soyez pour Moi saints : vihéyitém li Qédochiym ».
*Certains commentateurs ont vu dans cette forme de futur une assurance qu’Israël serait Saint dans les temps messianiques.
Entre le début et la fin de ce discours, toute une série de mitsvoth s’impose. Nous apprenons par là que, pour passer d’un futur à une réalité effective, le croyant va devoir respecter commandements et limites.
La sainteté n’est pas un concept philosophique et spirituel, une qualité morale vague, mais elle est liée à une limite posée et clairement identifiée.
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La sainteté est un état de séparation : elle sépare de ce qui est impur et qualifie, en l’identifiant, ce qui est pur. Dès lors, il ne s’agit pas simplement de ne pas faire le mal - critère vague qui resterait soumis aux définitions aléatoires dans le temps, l’espace, les cultures - mais de pratiquer le bien, lequel est défini précisément et non soumis aux appréciations humaines.
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Cette définition de la sainteté donnée à tout Israël rassemblé, en un moment unique et solennel, n'est pas qu’un privilège. C’est une exigence, dont il est dit qu’aucun autre peuple n’avait souhaité en hériter ; une exigence terrible qui a sa source dans les lieux célestes.
Voilà pourquoi il n’est pas dit « vous êtes saints et les meilleurs parmi les hommes alors Je vous choisis comme peuple et résiderai au milieu de vous » mais :
« c'est parce que Je suis saint que vous devez l'être. Vous le serez ou vous mourrez ! »
Si nous voulons que YHWH soit notre Élohim, si nous le choisissons entre tous les autres (faux) dieux pour qu’Il soit le nôtre, nous devons croire en cette parole.
Ajoutons-nous à la Parole en paraphrasant de la sorte ? Au contraire, toute la suite de la Torah, l’histoire des prophètes d’Israël et les annonces de jugements sur la maison du Père et du Fils nous y invitent et nous confortent dans cette lecture.
Ainsi, en Ezéchiel 20, Haftarah de la semaine :
« Je leur enseignai les règles et les lois que j’ai établies pour que tous ceux qui les pratiquent puissent vivre. J’instituai le jour du shabbat pour manifester la relation qui les unit à moi et leur rappeler que moi, le Seigneur, je les consacre à mon service. Mais les Israélites se sont révoltés contre moi dans le désert. Ils ont négligé mes règles et méprisé mes lois, qui permettent de vivre à ceux qui les pratiquent. Ils ont gravement violé le jour du shabbat. J’ai donné ces recommandations à leurs enfants dans le désert : Ne vous conduisez pas selon les règles et les lois que vos pères se sont fabriquées, ne vous rendez pas impurs en adorant leurs sales idoles. C’est moi qui suis le Seigneur votre Élohim ! Conduisez-vous selon mes règles et acceptez d’obéir à mes lois. Consacrez-moi le jour du shabbat pour manifester la relation qui vous unit à moi et vous rappeler que je suis le Seigneur, votre Élohim. Mais eux aussi se sont révoltés contre moi. Ils n’ont pas observé mes règles et ils ont refusé de se conformer à mes lois, qui permettent de vivre à ceux qui les pratiquent. Ils ont violé le jour du shabbat. J’envisageai alors de ne plus contenir ma colère… »
Et de même, en Matthieu 3:7 le plus grand des prophètes d’Israël est obligé de démasquer publiquement la duplicité des pharisiens et des saducéens qui viennent à lui pour se faire immerger dans le Jourdain, conscients de leur état de non-sainteté, mais se satisfaisant de leur état génétique et de leur appartenance communautaire pour échapper au jugement :
« Yohanan vit que beaucoup de Pharisiens et de Sadducéens venaient à lui pour être baptisés ; il leur dit alors : Bande de serpents ! Qui vous a enseigné à vouloir échapper au jugement d’Élohim, qui est proche ? Montrez par des actes que vous avez changé de mentalité et ne pensez pas qu’il suffit de dire en vous-mêmes : Abraham est notre ancêtre.»
L’histoire d’Israël et l’histoire des premières communautés de croyants sont aussi NOTRE histoire.
Et la question de Yohanan se pose aujourd’hui à nous dans les mêmes termes : « Qui nous a enseigné à vouloir échapper au jugement d’Élohim qui est proche ? »
Sommes-nous devant les eaux du baptême comme une bande de serpents, ou respectons-nous les termes de l’Alliance d’Élohim que nous prétendons avoir fait nôtre ?
« La hache est déjà prête à couper les arbres à la racine : tout arbre qui ne produit pas de bons fruits va être coupé et jeté au feu. Moi, je vous baptise avec de l’eau pour montrer que vous changez de comportement… » (3:10)
Quand le verset nous ordonne « Vous serez saints », nous ne devons pas penser que nous pouvons être aussi saints qu’Élohim Lui-même car la suite du verset précise « car Moi, YHWH votre Élohim, Je suis saint » : ce qui signifie que la sainteté d’Élohim est au-dessus et plus grande que celle des justes les plus illustres.
Ce verset nous demande alors de travailler à imiter la sainteté d’Élohim en sanctifiant notre vie.
« Vous serez saints » signifie donc que nous atteindrons la sainteté d’Élohim :
« car Moi, YHWH votre Élohim, Je suis saint », et « J’ai le pouvoir de communiquer Ma sainteté à ceux qui gardent mes commandements » (ceci est un commentaire-midrash en forme de paraphrase pour faciliter la compréhension !).
N’oublions pas qu’Élohim a créé l’être humain « à Son image » comme un « partenaire et un fils pour la création ».
Avons-nous donc le pouvoir et la vocation d’être comme Élohim, d’être Son image dans son attribut de sainteté ? Oui, car en nous conférant Sa sainteté, Il nous a doté de la capacité de devenir Ses enfants, conçus de Sa nature supérieure, des bnéi Élohim.
Qédochiym nous parle donc de ce potentiel infini.
Un commentateur explique qu’être saint consiste avant tout à s'écarter de la débauche et des pêchés en général car, dit-il, partout où tu trouveras une barrière devant la débauche, tu trouveras mention de la sainteté.
Ainsi, dans la cérémonie du mariage, lorsque l'homme passe la bague au doigt de sa future épouse, il lui dit : te voilà sanctifiée pour moi selon la loi de Moshéh et d'Israël, ce qui n'est pas sans rappeler la demande faite aux bnéi Israël par YHWH : « Soyez saints ».
Car finalement le mariage est un rempart contre la débauche : lorsqu'un homme épouse une femme, celle-ci n’est consacrée désormais qu’à lui, elle est interdite aux autres hommes. L'acte du mariage consiste dès lors à se séparer de la débauche.
Respecter le Shabbat, respecter ses parents, respecter le Shabbat de ses parents, respecter le Shabbat de YHWH.
Qédochiym ne traite pas simplement de la sainteté du corps et des croyants, car il s’agit également de sanctifier l’espace et le temps dans lesquels nous nous plaçons.
Ainsi, la sanctification du temps est-elle acquise par le respect du Shabbat, qui ne doit pas être seulement le dernier jour de la semaine. En effet, dans la Parole écrite, les jours de la semaine n'ont pas un nom de planètes ou de dieux comme dans les calendriers occidentaux usuels mais chaque jour biblique a un chiffre qui le nomme “premier jour dans le Shabbat”, etc.
Ainsi, chaque jour en sa nature est coparticipant de la sainteté du Shabbat et doit être vécu en conséquence.
Il faut noter la primauté donnée par Élohim au respect des parents. En fait, juste après l’annonce solennelle d’appel à la sainteté, deux piliers indissociables constituent le premier commandement : respect…
1/ …des parents, et pour le judaïsme, de la mère d'abord, instigatrice et propagatrice de la morale et de l'éducation,
2/ …du Shabbat.
La Torah a élevé l'honneur, le respect et la vénération dus aux parents au niveau des sentiments que nous devons éprouver pour notre Père des cieux.
Nous devons obéir à nos parents, accepter leur autorité et leur témoigner notre gratitude. Depuis le berceau jusqu'à la tombe, le respect du Shabbat et des parents sont des facteurs éducatifs qui forment l'homme à la sainteté.
Mais le premier pas vers la Qedouchah, la sainteté, est le respect des parents.
Malheureusement le sens de notre époque est à la déstructuration de la famille, à la séparation des parents qui n’offrent plus alors la protection spirituelle et sociale nécessaire aux enfants, bientôt livrés à eux-mêmes. La Torah intégrait bien ces notions pour y pallier.
Un être humain, à partir de sa naissance, est conçu de telle sorte, que plus il grandit, plus il coupe le lien qui le rattachait originellement à ses parents. Le “non” du bébé, qui devient enfant, ainsi que des remises en cause de l'adolescent sont inscrits dans le développement normal de chaque être.
La Torah ordonne de mettre une limite à cet éloignement naturel. Cette limite est l'expression d'un comportement saint.
Voici un commentaire célèbre sur ce commandement : « Révérez chacun votre mère et votre père, et observez mes jours de Shabbat ».
Cela veut dire : toi et tes parents devez obéissance, collectivement, de génération et génération. Mais si tes parents te demandent de transgresser l'un des commandements, notamment le Shabbat, c'est à Élohim qu’il faut obéir.
Le respect dû aux parents est donc subordonné à l'obéissance aux autres lois éternelles de notre Créateur. Ce sont Mes Shabbat que vous devez observer. Toi et ton père vous me devez obéissance. C'est pourquoi ne l'écoute pas pour abolir Mes paroles. Ainsi, si les parents veulent être respectés, ils s’efforceront de montrer qu’ils gardent la Torah. Et ainsi, de générations en générations… jusqu’à l’avènement du Mashiah.
Respect des parents et observance du Shabbat : tant que ces deux piliers subsistent nos rapports avec Élohim se maintiennent sur un terrain solide, mais l'expérience nous apprend que si l'un des deux piliers vacille, le second est entraîné dans sa chute.
L'idéal de sainteté commence à prendre forme quand l'homme respecte ses parents non point par piété filiale, mais par obéissance au commandement et quand il observe le repos shabbatique, non point au nom du progrès social mais en tant que journée consacrée et bénie par le Seigneur et prophétique du royaume à venir.
La retenue qui sied aux Qédochiym
Le qualificatif « saint » implique la retenue personnelle. Confronté à de nombreuses tentations, l’homme est invité à contrôler ses impulsions immédiates.
La parachah nous commande également de ne pas se venger ni de garder rancune. Cela nécessite très certainement la maîtrise de soi, dans nos actions, nos paroles et même dans nos pensées.
Mais une personne qui parvient à ce contrôle existe-t-elle ?
Nous pouvons imaginer qu’une telle personne serait un individu simple, naïf ou inspiré, qui ne voit jamais de mal en quiconque. Or, il s’agit plus vraisemblablement d’un homme puissant qui a atteint un véritable contrôle de sa personne.
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Dès lors, qu’est-ce que la puissance selon la parachah Qédochiym ? Pendant longtemps, les gens ont pensé qu’il s’agissait d’acquérir la domination sur les autres. Désormais nous réalisons qu’il s’agit en fait de la maîtrise de soi-même.
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« Et pour cette raison même, concentrant tous vos efforts, joignez à votre foi la vertu, à la vertu la connaissance, à la connaissance la maîtrise de soi, à la maîtrise de soi la ténacité, à la ténacité la piété, à la piété l’amitié fraternelle, à l’amitié fraternelle l’amour. » (2 Pierre 1:5-7)
La Parole nous met dès lors en garde contre la tendance opposée : ne pas agir à l'image des bêtes qui vivent sur terre et éviter de devenir esclave de nos sens en recherchant les plaisirs qu'une curiosité croissante et malsaine prétend épuiser sans jamais pour autant y parvenir.
C'est pourquoi la Torah proclame ici l'ordre général de la retenue dans le domaine des actes licites après avoir auparavant spécifié les actes rigoureusement interdits.
La sainteté implique la tempérance qui consiste à modérer les désirs et les passions. Elle comporte la sobriété dans la satisfaction de nos appétits, la fuite devant toutes les espèces d'impureté, la modération dans le langage. Elle transcende ainsi le niveau de la morale ordinaire.
Vue sous cet angle, la sainteté ne constitue pas un commandement biblique faisant partie des 613 mitsvoth mais représente un ordre général qui caractérise toute la Parole. Une grande partie de la parachah est consacrée à des directives aidant à atteindre ce contrôle de soi, dans des domaines divers de la vie sociale et donc dans les relations humaines. Le point d’orgue sera le célèbre enseignement :
« Aime ton prochain comme toi-même » (Lévitique 19:18)
« Aime ton prochain comme toi-même »
« C’est là toute la Torah, le reste en est le commentaire : aime ton prochain comme toi-même ».
L’idée que toute la Torah se concentre autour du thème des relations avec autrui est intrigante. Très souvent, on divise les lois de la Torah en deux groupes :
celles qui concernent les relations de l’homme avec Élohim, comme l’observance du Shabbat et,
celles qui relèvent des relations avec autrui, comme l’interdiction de voler ou de porter un faux témoignage dans une affaire de justice.
Nous devons comprendre que si nous observons convenablement ce commandement, nous ferons de même pour les autres commandements telle l’interdiction de voler ou de porter un faux témoignage.
Toutes les lois régissant les relations avec le prochain sont en effet incluses dans l’injonction « Aime ton prochain ». C’est un grand principe parce qu’il inclut quasiment la moitié de la Torah : toutes les lois concernant les relations humaines.
La perle de notre parachah : preuve de Sa grande connaissance et de Sa maitrise de la Torah, Yahshua cite ce commandement en faisant explicitement référence à Qédochiym :
« respecte ton père et ta mère ; aime ton prochain comme toi-même. » (Matthieu 19:19)
La juxtaposition de ces deux commandements dans un même verset ne peut être le fruit du hasard mais témoigne que ce commentaire est le fruit d’un grand commentateur de la Torah, et pour cause : ce commentateur en est aussi l’auteur !
« A ce moment-là, un docteur de la Loi intervint et posa à Yahshua une question pour l’embarrasser. - Maître, lui dit-il, qu’est-ce que je dois faire pour être sûr d’obtenir la vie éternelle ? Yahshua lui répondit : - Qu’est-ce qui est écrit dans notre Loi ? Que dit-elle à ce sujet ? Comment la comprends-tu ? Aime le Seigneur ton Élohim, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, lui répondit-il, et aime ton prochain comme toi-même. Excellente réponse, lui dit Yahshua, fais cela et tu auras la vie. » (Luc 10:25)
Confirmation que cette parachah révèle le secret de la Sainteté et donc de la vie.
Alors que ce docteur de la Loi interpelle Yahshua en Sa qualité de Maître, il tente néanmoins de Le provoquer et de Le mettre en difficulté.
Pour répondre à cette question essentielle de la vie éternelle, Yahshua n’invente pas de nouveaux commandements mais renvoie son contemporain à la Torah de Moshéh.
« Que dit-elle ? ». En sommant le docteur de la Loi de faire ce qu’il vient opportunément de dire en résumant la Loi, Yahshua le renvoie à ses propres contradictions et faiblesses : car en tentant de déstabiliser Yahshua, il n’a pas appliqué ce commandement.
D’où la réponse du Maître : « fais cela… sous-entendu, tu le l’as pas fait… et moi que tu croyais surprendre, je te surprends dans tes mauvaises pensées. »
Nous sommes tous des « docteurs de la Loi » qui répondons parfois correctement à la question du Maître. Oui, nous avons bien compris, mais il nous reste encore à faire !
« En effet, des commandements comme : Tu ne commettras pas d’adultère, tu ne commettras pas de meurtre, tu ne voleras pas, tu ne convoiteras pas, et tous les autres, se trouvent récapitulés en cette seule parole : Aime ton prochain comme toi-même. » (Romains 13:9)
« Car la Loi se trouve accomplie tout entière par l’obéissance à cette seule parole : Aime ton prochain comme toi-même. » (Galates 5:14)
Ce commandement tiré de Qédochiym a clairement été valorisé par Yahshua. De fait, ce commandement devenu central pour la « chrétienté » renvoie à notre parachah Qédochiym « soyez saints… ».
Loin d’être rébarbative et réservée aux initiés, Yahshua nous dit combien cette parachah résume tout ce qu’Il fut et que nous devons, à sa suite, nous efforcer d’être.
A tous nos amis chrétiens encore prisonniers du paganisme de Nicée, nous devons maintenant dire avec force :
“ Notre Sauveur nous renvoie tous, collectivement, à cette parachah Qédochiym qui stipule solennellement : respectez vos parents, gardez mes shabbat, aimez votre prochain comme vous-même. “
Shabbat shalom vé shavoua tov.
Source : Juda & Ephraïm
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Mardi 30 avril 2024 Comprendre la tentation
“Dieu ne tente personne…” Jc 1. 13
L’épreuve et la tentation sont deux choses différentes. L’épreuve est un test voulu par Dieu afin de développer et d’affermir notre caractère. Par contre la tentation est l’œuvre de Satan qui veut par tous les moyens nous faire chuter. Si vous êtes tenté de commettre un péché d’ordre sexuel, ne prétendez pas être mis à l’épreuve par Dieu. Il ne teste jamais notre foi en nous poussant à pécher. Jacques a écrit : “Que personne, lorsqu’il est tenté, ne dise : c’est Dieu qui me tente… Chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise” (Jc 1. 13- 14). Le mot “attiré” nous fait penser à l’appât que le pêcheur accroche à son hameçon afin d’attirer le poisson. Ce dernier cherche à manger, pas à se faire manger par le pêcheur ! De même aucune souris ne cherche une souricière pour y terminer sa vie ! Ce que cherche la souris, c’est plutôt un morceau de fromage ! Seulement, sa faim de fromage, tout à fait normale pour une souris, lui fait croire à tort que le morceau au fond de la souricière est là précisément pour satisfaire son envie. La nourriture prise avec modération sert à nourrir votre corps, l’excès débouche sur la gloutonnerie puis sur la maladie. Bien utiliser son argent peut être une source de bénédiction pour vous tandis que son mauvais usage peut vous rendre esclave de lourdes dettes. Nourriture, sexe, argent, pouvoir, quand le désir d’en profiter devient un feu dévorant au fond de votre cœur, une alarme devrait se mettre à résonner dans votre tête ! La bonne nouvelle, c’est que vous n’êtes pas seul dans votre lutte contre la tentation. Pierre a écrit : “Le Seigneur sait délivrer les hommes pieux de la tentation…” (2 P 2. 9). La victoire est à portée de votre main, si vous vous rapprochez de Celui qui a déjà vaincu le tentateur dans Sa vie et dans Sa mort. Alors appelez-Le et confiez-vous en Lui. Il est prêt à vous aider.
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“Dieu ne tente personne...” Jc 1. 13
L’épreuve et la tentation sont deux choses différentes. L’épreuve est un test voulu par Dieu afin de développer et d’affermir notre caractère. Par contre la tentation est l’œuvre de Satan qui veut par tous les moyens nous faire chuter. Si vous êtes tenté de commettre un péché d’ordre sexuel, ne prétendez pas être mis à l’épreuve par Dieu. Il ne teste jamais notre foi en nous poussant à pécher. Jacques a écrit : “Que personne, lorsqu’il est tenté, ne dise : c’est Dieu qui me tente... Chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise” (Jc 1. 13- 14). Le mot “attiré” nous fait penser à l’appât que le pêcheur accroche à son hameçon afin d’attirer le poisson. Ce dernier cherche à manger, pas à se faire manger par le pêcheur ! De même aucune souris ne cherche une souricière pour y terminer sa vie ! Ce que cherche la souris, c’est plutôt un morceau de fromage ! Seulement, sa faim de fromage, tout à fait normale pour une souris, lui fait croire à tort que le morceau au fond de la souricière est là précisément pour satisfaire son envie. La nourriture prise avec modération sert à nourrir votre corps, l’excès débouche sur la gloutonnerie puis sur la maladie. Bien utiliser son argent peut être une source de bénédiction pour vous tandis que son mauvais usage peut vous rendre esclave de lourdes dettes. Nourriture, sexe, argent, pouvoir, quand le désir d’en profiter devient un feu dévorant au fond de votre cœur, une alarme devrait se mettre à résonner dans votre tête ! La bonne nouvelle, c’est que vous n’êtes pas seul dans votre lutte contre la tentation. Pierre a écrit : “Le Seigneur sait délivrer les hommes pieux de la tentation...” (2 P 2. 9). La victoire est à portée de votre main, si vous vous rapprochez de Celui qui a déjà vaincu le tentateur dans Sa vie et dans Sa mort. Alors appelez-Le et confiez-vous en Lui. Il est prêt à vous aider.
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Décalogue reformulé, fidèle au modèle d'origine :
01. Tu n'adoreras qu'un seul Dieu.
02. Tu fuiras le blasphème.
03. Le dimanche, tu ne feras preuve d'Acédie.
04. Tu honoreras tes supérieurs en âge et en puissance.
05. Tu ne tueras pas.
06. Tu ne seras point luxurieux.
07. Tu ne voleras point.
08. Tu ne mentiras pas.
09. Tu n'useras nullement d'Envie.
10. Tu ne seras point jaloux.
* * *
Les Dix Commandements, formulés au futur, ont ceci de prophétique et universel que chacun finira bel et bien par les observer le plus rigoureusement possible, et ce, beaucoup moins en se montrant vertueux qu'en devenant un cadavre, la mort de l'individu coïncidant avec une possibilité de salut et une stricte impossibilité de faute.
Il convient de noter que ces Commandements, en complétant de notions d'égoïsme, de vol, de meurtre et de mensonge la liste des sept Péchés Capitaux (traditionnellement au nombre de huit, si l'on tient compte du péché de Vaine Gloire, que l'on peut rapprocher de l'esprit dévastateur de Conquête), constituent un catalogue des plus instructifs quant aux comportements répugnants auxquels l'espèce humaine s'adonne éhontément depuis son existence : assassinat, hypocrisie, inceste, tromperie, paresse, goinfrerie et gloutonnerie, calomnie, viol, grossièreté, etc, etc.
Interprétation personnelle / appropriation :
Le premier Commandement condamne fermement tant l'animisme que le polythéisme, la vénération d'idoles et celle d'individus.
Le deuxième Commandement invite à prendre garde au sens de ses paroles (reniements, jurons, verbiage irréfléchi) et à considérer le danger que représente toute utilisation insensée du langage oral. (Par exemple, la Colère peut aveugler le croyant jusqu'à l'amener à maudire le Christ ou la Vierge Marie.)
Le troisième Commandement oblige à consacrer chaque semaine une journée entière au culte de Dieu, sans aucun esprit de paresse, de calcul ou de procrastination : prière, dévotion et rituels sont à l'ordre de ce jour - dominical ou non.
Le quatrième Commandement est une incitation au respect de nos aînés, et des personnes à la foi plus profonde que la nôtre. (L'enfant encore proche de l'état de bête, d'animal inconséquent, se doit ainsi d'écouter les adultes raisonnables et sensés, qui peuvent le guider.)
Le cinquième Commandement renvoie explicitement au Premier Meurtre (Caïn assassinant son frère Abel) et peut être entendu de diverses manières : si l'on ne doit bien évidemment pas tuer physiquement son prochain, il est également interdit de le tuer métaphoriquement. Le harcèlement (qui est une forme de meurtre insidieuse pouvant engendrer un péché de suicide est donc condamné par l’Église).
Le sixième Commandement qui, dans sa formulation initiale inclut le terme "adultère" est un avertissement : la bestiole humaine, méprisable dans ses passions et ses désirs, bafoue allègrement les règles morales, ne respectant pas même les liens sacrés du mariage, association physique et morale de deux êtres qui, dès lors, sont censés ne faire qu'un, non pour copuler mais pour servir Dieu. Fort heureusement, les maladies vénériennes sont des punitions infaillibles pour les transgressions de ce Commandement révélateur d'une nature humaine profondément déplorable.
Le septième Commandement concerne le vol, qui est un acte primitif égoïste, observable chez les animaux. Concernant la bête humaine, vile et idiote, il s'agit aussi bien de vol matériel que de vol spirituel. Ce commandement s'oppose ainsi aux moqueries, qui dépouillent un être de sa dignité, aux menaces ou aux lamentations, qui prennent à l'entourage de la personne qui inquiète ou se plaint sa tranquillité d'esprit, sa paix intérieure, etc.
Le huitième Commandement révèle que l'Humanité est menteuse, péchant naturellement en ne tenant pas ses promesses, en proférant volontiers des calomnies, en dissimulant, en déformant ou en exagérant des faits avec des mots ou des pensées, en se fardant d'hypocrisie, par orgueil ou malveillance.
Le neuvième Commandement concerne la tendance fâcheuse qu'a l'être humain à imposer sa volonté en formulant plus ou moins consciemment des souhaits, des vœux allant à l'encontre de la volonté divine. C'est le péché d'Envie qui est pris pour cible par ce Commandement. (Rappel : "Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos".)
Le Dixième Commandement, quant à lui, invite moins à ne pas être jaloux des biens spirituels ou matériels d'autrui, qu'à savoir se satisfaire de ce que l'on possède, qui est toujours beaucoup plus abondant qu'on ne le mérite réellement, en toutes circonstances.
* * *
Réflexion personnelle : celui ou celle qui bien agit rencontrera meilleure personne qu'elle ou lui ; et quiconque désobéit aux Commandements, se trouvera confronté à des gens bien pires et plus méchants. En somme, quiconque me nuit le paye de sa vie, en proportion du mal commis.
Quentin Cavellier, misanthrope autodidacte.
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La Gloutonnerie, an authentic French restaurant in Miami - https://storelatina.com/?p=13626
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Fakemon Mangouste
Zigouste
Pokemon Mangouste
Type: Normal/Sol
Taille: 0,8 m
Poids: 32,0 kg
Talents: Gloutonnerie/Griffe Dure Talent caché: Fouille
Groupe d'œuf: Terrestre
Ils vivent en groupe dans des galeries souterrains qu'ils ont tous creuser. Ses griffes sont si pointues et épaisses qu'aucun prédateur n'ose le déranger.
PV: 55
Attaque: 125
Défense: 85
Attaque Spéciale: 55
Défense Spéciale: 55
Vitesse: 55
Total: 430
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The novelist, who was now quite restored, but still in flowery négligé, had just finished reading her new story in its first fair copy (to be typed on the morrow) to Tokay-sipping Marina, who had le vin triste and was much affected by the suicide of the gentleman “au cou rouge et puissant de veuf encore plein de sève” who, frightened by his victim’s fright, so to speak, had compressed too hard the throat of the little girl he had raped in a moment of «gloutonnerie impardonnable.»
— Vladimir Nabokov, Ada
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S@L¡G!@ & Peccadilles
Les idylliques banquets (events) témoignent de l'incapacité à porter le monde tel qu'il est, de la nostalgie d'un monde adouci ; sources principales de mépris envers soi-même, mais également par l'incapacité collective – on transfère l'aversion envers sa propre personne sur « eux », quels qu'ils soient, qui sont coupables de tout.
Gula Il est pénible de penser à tous les aieux qui s’adonnaient à la gloutonnerie et à l’ivrognerie ; et d’une manière générale, il est désagréable de penser aux gènes dont on est porteur. La conscience que l’on possède des gènes slaves est accablante dans la mesure où le « goût pour les cornichons au sel et le tapage » semble peser tel un karma irréversible et que le penchant pour les banquets…
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https://africanews.auspicioustheater.in/la-republique-iiie-congres-eucharistique-national-haro-sur-la-gloutonnerie-des-hommes-au-pouvoir/
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A la Lueur des Contes : programme de mai 2023
Voici le programme de mai 2023 de "A la Lueur des Contes" : En mai la Lueur a grand appétit ! Au menu : balade contée, visio conférence sur les loups, dernières séances de la saison des Minuscules, sortie de chantier à la Maison des Contes en Est, deux stages à Valentigney, sans oublier les traditionnels rendez-vous des 1er et 29 mai. Assurément ce mois-ci il y en aura pour tous les goûts. Jeudi 11 mai 2023, 20h00, en visio-conférence depuis son chez soi LES FIGURES DU LOUP DANS LES CONTES par Mapie CABURET Gloutonnerie, sauvagerie, débauche, bestialité, cruauté, férocité, bêtise, crédulité, solitude, puissance, beauté, liberté… Tant d’images contradictoires sont accrochées à ce vieux loup ; il a quasiment disparu de nos vies réelles mais il est toujours aussi présent dans les contes et les histoires, indissociable de la forêt, du sauvage… Une conférence pour explorer les images du loup véhiculées dans les contes de tradition et leur portée symbolique. En audition libre, inscription préalable jusqu'à midi le jour J par mail : [email protected] Un lien sera envoyé aux personnes inscrites leur permettant d'assister à la visio conférence en direct et replay d'un mois. Participation libre et consciente via Helloasso.com. Mercredi 24 mai 2023, 16h00, Valentigney AU FOND DES BOIS par Léa PELLARIN, contes & comptines Un saut au-dessus du ruisseau et voici l'entrée du bois. D'histoire en histoire, partons à la rencontre d'une mouche curieuse, de M. Deleau sur son bateau, d'un oiseau chanteur, du crapaud crieur qui fait son solo, tous les soirs au bord de la mare, sur son nénuphar... Très jeune public de 6 mois à 3 ans Valentigney, Maison des Contes en Est, 5 rue des Écoles. Entrée libre, sortie à la lanterne, places limitées, merci d'être à l'heure. Pour chaque spectacle, une séance réservée aux structures Petite Enfance aura lieu à 10h00. Attention : toutes les séances sont complètes Vendredi 26 mai 2023, 20h15, Valentigney LA MÈRE DE LA MAISON - Sortie de chantier par Carole JOFFRIN contes, chants et récits de vie tissés Au cœur de l'histoire il y a Jeanine, ma longue grand-mère, femme oiseau qui a dû se battre pour la vie, pour son nid. Je m'assois avec elle à la table de la cuisine, elle a sa perruque de travers et j'ai 5 ans j'ai 10 ans j'ai 15 ans j'ai 35 ans maintenant et j'apprends à filer, mamie, tu sais. Sur la toile cirée, je joue à tracer des motifs intimes sur une toile d'araignée du début du monde. Une formule magique qui brouille le réel et l'imaginaire pour y voir plus clair. Et l'histoire se déroule comme un long fil... C'est une sortie de chantier pour ce spectacle en cours de création qui a bénéficié d'un accueil en résidence à la Maison des Contes en Est. Tout public dès 10 ans. Valentigney, Maison des Contes en Est, 5 rue des Écoles. Gratuit, pas de réservation. Lundi 29 mai 2023, 20h15, Étupes COULEURS D'ÎLE... MARTINIQUE par Valer'EGOUY, contes & SOLEHYA, flûtes & Lucie ANCEAU, danse Quand Konpè Chiyen ek Konpè Lapen pourraient nous faire savoir comment préparer la farine de manioc... ou entrer dans la forêt tropicale... Une série de contes interactifs aux saveurs de la Martinique. Tout public dès 7 ans? Étupes, salle des fêtes J. Baker, allée du 19 mars 1962. Entrée libre, pas de réservation. Samedi 3 juin 2023, 15h00, PMA (lieu à préciser) DE SI BELLES OMBELLES... par Emmanuelle FILIPPI HAHN & un guide conférencier de PMA Les contes nous incitent à découvrir autrement les jardins, à renouer avec la féérie des fleurs et des papillons, à apprécier comme il se doit la bonhomie des braves légumes... Les contes nous incitent à découvrir autrement les jardins, à renouer avec la féerie des fleurs et des papillons, à apprécier comme il se doit la bonhomie des braves légumes… Tout public dès 6 ans Proche de Montbéliard, le lieu du rendez-vous sera communiqué lors de la réservation. Réservation obligatoire auprès du service animation du patrimoine de PMA au 03 81 31 87 80 infos > [email protected] ou www.alalueurdescontes.fr Read the full article
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Comme la mode ranime le regard. Dans la salle bondée à l'heure de midi de vieilles élégantes voisinent avec deux jeunes en basket et jeans . La serveuse en corsage blanc et ensemble pantalon noir prends ma commande ; mais non à cet instant précis je n ai aucune arrière pensée d introspection ! Je retiens seulement citation d Henry James qui tourne dans ma mémoire « observez perpétuellement ". La serveuse promène ses cernes et un regard de lassitude appuyé . Observer la venue de l'âge, observer la gloutonnerie de quelques clients bavant allègrement mais discrètement sur leurs serviettes blanche de papier ! Observer enfin mon propre abattement, celui d 'un report de dates , une date ou une autre , et qu'importe le temps passe , le sablier , lui s’ écoule toujours inexorablement ! . Je tenais à saisir des instants , des tableaux , des scènes parfois imaginaires ou tantôt réelles ! Et je ne sombrerais qu’avec tous mes étendards déployés ! Ceci confine peut-être et aussi je n'en doute pas à l ‘introspection , mais j'y échapperait de justesse . Supposons que je prenne des abonnements qui confèrent à quelques personnalités et au delà , sur Instagram ou ailleurs . Supposons que je choisisse dans chaque époque une de ces personnalité dominante sur laquelle et autour de laquelle j écrirai !Il est essentiel en ces temps d avoir une occupation ! Et maintenant je m’aperçois non sans plaisir qu'il est vingt heures passées et que je n ai même pas préparé le dîner . Fondue bourguignonne et lit de poireaux en vinaigrette ! Il est vrai je crois qu'on acquiert une certaine maîtrise de la fondue bourguignonne et du lit de poireaux vinaigrette , en les couchant par écrit !
De moi-même revu et corrigé et de mon auteure préférée Madame Virginia Woolf .
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Nouveautés 3 MarsPasser une très belle fin de semaines :EXP Artisan Brasseur - HÉRONous avons donc profité de cette nouvelle série de bières pour vous faire découvrir le houblon Enigma soutenu par son fidèle acolyte, le Citra. - SUPERDOMINANCE NECTARONHazy IPA Mono Houblon Nectaron - SPECTACLE SUR TERREMûre, Cerise, Goyave, Vanille, Citra, Mosaic - SOUR DIPA Brasserie Sir John Brewing co. - PerditionUn mouthfeel sucré et crémeux grâce à l'ajout de lactose révèle les arômes du cacao, de la vanille de Madagascar, du sirop d'érable et des noisettes grillées avant de vous submerger par tout le coconut qui amène cette bière directement dans la pure gloutonnerie. - Floppy NZHoublonnée uniquement avec des houblons océaniens (Riwaka, nelson sauvin, wai-iti & motueka), cette bière dissimule sous sa grande pintabilité des arômes légèrement épicés qui se marient au côté zeste de lime et raisins blanc. Microbrasserie Pit Caribou - Brett IPAIPA 100% levure sauvage, houblonnee à froid aux houblons Sabro et El Dorado. Belle amertume et côté fermier et finale fruits tropicaux. Collective Arts Brewing - hey NelsonNEIPA aux houblons citra, Mosaic et Nelson Mons Regius - SlainteRousse à l'irlandaise Vilains Brasseurs - TokyoIPA de riz
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Plus on possède de biens, plus se multiplient les profiteurs. Et quel avantage en tire leur possesseur si ce n’est le spectacle qu’ils lui offrent ? (Ecclésiaste 5:11).
L’avidité — accaparer juste pour posséder — est un acte criminel. Jésus a dit :
Ne vous amassez pas des richesses sur la terre où elles sont à la merci de la rouille, des mites qui rongent, ou des cambrioleurs qui percent les murs pour voler (Matthieu 6:19).
Les riches n’ont pas à tirer le diable par la queue comme beaucoup d’entre nous ; ils possèdent peut-être un yacht dans la baie de Monte-Carlo, quelques villas ici et là, mais aussi des tracasseries à la pelle. D’abord, il y a le service des impôts qui veut son pourcentage, puis les parasites de tous bords qui défilent pour obtenir une part du gâteau et enfin les voleurs qui essaient par tous les moyens de s’approprier cette fortune, et plus tard les héritiers se disputeront le magot.
Qu’y a-t-il de positif dans cette situation ? La fierté, l’orgueil de posséder et le pouvoir de l’argent, mais ces vanités sont coûteuses.
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Doux est le sommeil du travailleur, qu’il ait peu ou beaucoup à manger, mais l’abondance du riche l’empêche de dormir (Ecclésiaste 5:12).
Le simple ouvrier ne s’offre pas du caviar tous les jours, mais ça le préserve aussi de la gloutonnerie et il n’en dort que mieux. L’homme fortuné mange des mets fins que lui prépare son cuisinier, mais il s’en lasse et ils perdent leur goût à cause des soucis que lui donnent ses richesses et la peur de les perdre. Il faut qu’il soit toujours méfiant, vigilant à l’affût de ceux qui cherchent à croquer ses biens. Il doit passer beaucoup de temps avec son banquier et le comptable pour trouver des moyens de réduire ses impôts, et veiller sur sa propriété jour et nuit. Et s’il gare sa grosse berline dans un lieu public, il se la fait rayer ; ce n’est pas une vie, ça !
Je n’ai pas ce souci. Quand nous descendons dans un hôtel, une fois tous les cinq ans en moyenne, nous n’avons aucun objet de valeur à déposer dans le coffre-fort. En fait, nous ne fermons même pas la bagnole à clé parce qu’aucun voleur qui se respecte n’y jetterait un second coup d’œil. Les loubards qui voudraient nous dévaliser seraient furieux parce que notre télé a 12 ans, nous n’avons pas de chaîne Hi-fi, l’appareil photo est un vieux modèle, notre portable est le moins cher du marché et l’ordinateur est complètement démodé. Nous avons quelques beaux meubles anciens, mais il faudrait un camion pour les emmener.
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