#gerbant
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Il y a les anciens votes de Barnier qui commencent à sortir, c'est gerbant ptn
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je viens de croiser un vieux à l’arrêt de bus il a vu que j’avais un gros carton donc il m’a demandé si c’était un cadeau pour lui tout en m’appelant ma chérie je lui ai dit d’arrêter il comprenait pas pourquoi puis avant ça il m’avait demandé mon âge, pour une raison obscure je lui avais répondu car il avait pas l’air si gerbant puis il m’a dit heureusement que tu es grande car maintenant le détournement de mineur ça coûte cher mdr puis il m’a dit je pleure comme t���es méchante et je te paye pas du coup??????? payer quoi monsieur mdr je veux mourir
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Holy shit.
Quel drôle de lecture. Je suis passée par divers états tout au long des quelques 600 pages de ce pavé qui est définitivement lourd. J’ai mis environ 200 pages à comprendre qui était qui, puis 200 de plus à être happée par le suspense, puis les 200 dernières à être complètement piégée. A la fin, un peu contrariée car une incertitude m’embêtait, mais je ne pouvais pas relire le roman pour être sûre ! Donc bref. Un peu d’énervement, de l’ennui parfois, de la perplexité, puis un vrai engouement.
Dans ce village fictif au bord de la frontière austro-hongroise, il y a tout de même pas mal de monde, et en plus l’autrice navigue des années 30 à la fin des années 80 (89, très exactement, en lien avec la destruction du mur de Berlin).
Bref, c’est une lecture exigeante, et le sujet n’est pas léger. Le roman évoque ce que la Seconde Guerre Mondiale a fait à l’Autriche, qui s’est en plus complexifié à l’Est du pays, notamment à la frontière austro-hongroise, avec l’invasion des Soviétiques juste après. Certains ont changé de rôles et d’idéologies comme on change de costume. Un nazillon peut se retrouver chef de la police nommé par les communistes. Cocasse ? Oui. Mais aussi terriblement gerbant.
Ce qui intéresse particulièrement l’autrice, c’est la couche de silence qui a recouvert les esprits. Chacun, rudement éprouvé, et encore on parle de ceux qui ont survécu, a vite cherché à retrouver une tranquillité, à tout prix. Peu importe les mensonges, les demis vérités, les rumeurs, on s’est mis progressivement à tout étouffer, tout refouler. Mais quand un squelette est déterré, un jour d’été de 1989, c’est tout un passé qui resurgit, dans lequel il n’est pas aisé de démêler le vrai du faux, le rôle de chacun à tel ou tel moment. Mensonge par omission, par réflexe de survie, par lâcheté, par honte, sans doute un peu tout ça. Et avec la volonté de quelques jeunes, du village ou d’ailleurs, désirant réparer par exemple le cimetière juif, le puzzle se reforme, péniblement.
Il y a quelque chose de laborieux dans ce livre. Il y a de l’humour, de l’ironie principalement, mais le style est parfois lourd, ou alors c’est un problème de traduction, mais je me suis parfois retrouvée à relire certaines phrases, les trouvant étranges, bancales, confuses. Le travail de recherches de ceux qui veulent la vérité est tout autant laborieux, parfois avec un brin de malice de l’autrice qui laisse le lecteur en savoir davantage que certains de ses personnages… mais ce lecteur doit être drôlement concentré… j’ai un peu peiné.
Pourtant, mon impression est positive et je me retrouve franchement admirative du travail de construction de la romancière. J’imagine sa difficulté pour rendre compte de ces temps troubles et complexes, ces consciences torturées, rendre compte aussi du processus énigmatique de la mémoire, qui oublie pour parfois pour survivre, parfois pour prospérer.
A un moment, il y a d’ailleurs un magnifique et terrifiant « retour du refoulé »… un masque au moins tombe à grand fracas, mais même dans ce cas là, les résistances autour continuent de se dresser… c’est dur de regarder les choses, surtout les plus immondes, en face, on est envahi alors d’une odeur fantôme de putréfaction insoutenable, mais les odeurs du souvenir, on ne peut pas les réduire au silence…
Un livre impressionnant, que je n’oublierai pas de sitôt.
#littérature#livres#litterature#roman#livre#Eva Menasse#Les silences de Dunkelblum#éditions stock#Autriche#histoire#ww2#seconde guerre mondiale
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Classe Criminelle 1 Et 2
youtube
Classe Criminelle, Ultra-violence, la France
À feu, à sang, violence
Classe Criminelle, les moins d'20 ans, la France
À feu, à sang
Armée de déments, armée d'inconscients
Armée de proscrits, unissez vos vies
Violence
Classe Criminelle, le pays tremble, violence
Devant l'enfant, violence
Classe sans cervelle ultra-sanglante, démence
Buté au pas
Armée de déments, armée d'inconscients
Armée de proscrits, unissez vos vies
Violence
La vie si belle devient gerbante, violence
Théâtre sanglant, la France
N'est qu'une plaie sanguinolente, violence
En France
Violence, violence (oh, oh-oh, oh)
Violence, violence (oh, oh-oh, oh)
Violence, violence, violence, violence (oh, oh-oh, oh)
En France
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Et puis pardon mais ces querelles de boutiquiers ça me dégoûte.
La Marine Tondelier qui vient nous les jouer pleureuses à la radio alors que le Canard a révélé que c’est EELV qui a été déterminant dans la trahison du PS en soutenant LFI à fond pour avoir des sièges.Et ensuite ça vient parler d’honneur? Les Obono et Caron dans des circonscriptions imperdables alors qu’on envoie Ruffin et Roussel au casse-pipe… Ils sont absolument tous gerbants, y compris dans leur morgue à traiter les français de tous les noms.
Impression de gueule de bois post électorale non ?
On pourra dire qu'il y a 12 millions de racistes en France, c'est peut-être vrai mais n'oublions pas aussi que nos dirigeants portent une immense responsabilité dans le résultat de ce premier tour.
Voilà le résultat de la politique de casse sociale menée par Macron depuis son premier mandat. Voilà le résultat d'une politique qui prétend s'adresser aux citoyens et qui ne sert qu'à tenter de relancer la machine de la croissance en France. Voilà le résultat d'une politique qui s'adresse d'abord aux agences de notation et aux créanciers de la France. Voilà le résultat d'une politique qui sacrifie progressivement de plus en plus de gens au sacro-saint marché.
Voilà aussi le résultat du discours d'incrimination de la gauche que Macron et ses sbires cherchent à nous faire avaler depuis des mois (s'il faut reconnaître et lutter contre les problèmes de la gauche, c'est bien à *nous* électeurs et militants de gauche de le faire, pas à cette bande d'hypocrites de droite). Voilà le résultat des ambiguïtés de Macron, qui se pose en rempart contre l'extrême-droite mais fait le pique-assiette quand il s'agit d'appeler à voter contre le RN.
Il n'y a rien d'anodin à dire que LFI est un parti antirépublicain aujourd'hui, alors même que le RN a clairement affiché et défendu des propositions discriminatoires toute cette campagne. RIP notre devise, j'imagine.
Ce n'est pas à Macron et ses pauvres 20 % de faire la police entre qui est un bon allié et qui ne l'est pas. Les macronistes ont prouvé qu'ils ne l'étaient pas en continuant à soutenir le Président qui nous a foutu dans cette situation dégueulasse, indirectement par sa politique et directement par cette dissolution dont on ne sait plus si elle relève du calcul politique ou de la pure bêtise.
Bon allez, j'arrête, j'ai une thèse à écrire...
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Une bête au Paradis, Cécile Coulon
Un roman rempli de noirceur, où l'atmosphère lourde et pesante nous prend à la gorge, où la terre fait sa loi et où les femmes se consument pour elle.
Une bête au Paradis commence avec Blanche, qui se rappelle son passé : la mort de ses parents lorsqu’elle était toute petite ; sa grand-mère Emilienne, une force de la nature, qui les a adoptés elle et son frère Gabriel ; Louis, le commis, un peu trop proche à son goût ; et Alexandre, son premier amour, qui l’a abandonnée et trahie. Et surtout, le Paradis. Cette ferme isolée, dans sa famille depuis plusieurs générations. Ce terrain, ces bêtes, ces granges, pour lesquels Blanche a donné sa vie. Dans sa famille, les femmes sont fortes, elle maîtrisent le domaine, elles se consument pour lui.
Troisième roman que je lis de Cécile Coulon, après Seule en sa demeure et La langue des choses cachées ! Une bête au Paradis, avec lequel elle s’est vraiment fait connaître en 2019, est très différent, et en même temps très similaire : le décor nous prend à la gorge, on est très vite immergé dans ce domaine, avec cette vieille maison, ce petit village, ces habitants comme figés dans le temps. J’ai beaucoup aimé suivre Blanche, suivre le chaos de sa vie, entre son investissement pour le Paradis et la douleur causée par les hommes. Son père parti trop tôt, son frère effacé, l’autre qu’elle apprivoise et avec lequel elle ne veut rien vivre, celui qui lui a brisé le cœur. Ils ne sont pas tous violents, mais certains le sont et chacun à leur façon. Par contre, j’ai vraiment eu du mal avec Louis : il a une dizaine d’années de plus que Blanche, il l’a connue depuis sa plus tendre enfance, et il ressent très vite du désir pour elle, persuadé qu’il est le meilleur parti possible pour elle… mais ça commence pendant son adolescence, alors qu’elle a 13 ans ! À partir de là, désolée mais je n’arrive pas du tout à ressentir une quelconque empathie pour lui. Et en plus, il est jaloux d’Alexandre, jaloux de ne pas être la première fois de Blanche, de ne pas avoir son amour. C’est un peu gerbant. Entre lui et Alexandre, il n’y en a pas un pour rattraper l’autre… Côté personnages, justement, j’ai plutôt bien accroché, j’ai bien aimé leur construction et le fait qu’ils essayent tous, juste, de s’en sortir. L’atmosphère est sombre, lourde et tendue, et tout le long de la lecture on se demande qui est cette bête du titre, et surtout, jusqu’où la folie des uns et des autres va bien pouvoir les mener…
09/03/2024 - 10/03/2024
#livres#books#livre#book#littérature#littérature francophone#littérature française#cécile coulon#une bête au paradis#livre de poche éditions#éditions l’iconoclaste
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J'ai aucune compassion pour Palmade mais les médias en mode vautour à essayer d'interroger ses proches, à attendre une réaction de Muriel Robin, de Michèle Laroque........ gerbant
club de soutien pour les gens qui n'en peuvent PLUS de tous les articles sur Pierre Palmade, qu'est-ce qu'on s'en FOUT de l'avis de Julien Lepers
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Après le portrait de Sonia Mabrouk dans Libé dans le même genre y a ça aussi: twitter(.)com/Regards_fr/status/1387451545109684228 🤢🤢🤮🤮
Gerbant. La réponse copiée ci-dessous résume tout.
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Ça y est j'ai fait descendre Griezmann de son pied d'estale, mon frère arrête de le staner vu la vidéo gerbante hehehe. Par contre j'aimerais que les médias parlent plus des violences sexuelles, ça craint vraiment cette affaire 😬
heureuse de voir de la propagande fraternelle, moi aussi je cherche à imposer à ma soeur les sportifs qu'elle doit ou ne doit pas aimer (elle a des goûts terribles)
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De l’air, de l’air,
Au fond de mon verre.
On se terre, pour ne pas avoir à se taire. A cause de cet air qui nous manque là, qui nous laisse pâlir comme une bête photo punaisée au mur.
Je balade mon regard là-autour. Pour éviter les écrans. Pour ne pas oublier l’air, le temps, le terreau, les tasses, les tresses, les caresses.
Là, on tourne en rond. Dans un carré trop petit.
Continue à courir. Surtout n’y pense pas. Tu respireras demain.
De l’air, de l’air, au fond de mon verre.
Du silence éteint. Des ragots dans nos têtes.
Et demain, dos contre dos, les papilles en grève, on gravera nos pierres tombales en gerbant du coltan.
Sale temps pour les rêveurs.
De l’air, de l’air, tapi au fond de mon verre,
De l’air bleu pétrole, bon comme une gifle, à l’affut, venu droit du fond des bois
De l’air qui grince, serpent camphré au creux des reins
De l’air mouillé, matin, salé, de l’air qui bouffe la tiédeur
Qui casse des briques
De l’air tourbé
Velours à flamber
De l’air, de l’air, de l’air.
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J’ai revu HP3 et vraiment c’est le meilleur Harry Potter en films celon moi. Il est fourmillant de détails (bon y’a le souce des têtes réduites qui une espèce de caricature raciste gerbante), et introduit vraiment bien ses nouveaux persos et des nouvelles pistes de relations. Y’a un choix musical assez chouette et graphiquement, il est vraiment plaisant.
Et Sirius Black est Bg. Je le pensais à 9 ans et c’est toujours le cas.
(nan et puis le fait que lui et Lupin étaient ensembles durant Poudlard semble vraiment ultra lisible dans ce film je trouve. Un bon ship, really)
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Je viens de monologuer un (trop) long moment auprès de mes camarades, pour leur dire à quel point je trouve la philosophie de Nietzsche gerbante. Et le truc qui ressort de cette discussion (à sens unique), c’est : sentez vous libre de lire de philo !
Vous n’êtes pas trop bête ou pas assez cultivé ou pas assez calé en philo ou je ne sais quoi pour comprendre les auteurs que vous allez lire. Et surtout, ne vous découragez pas si quelqu’un vous explique que telle pensée de tel auteur est trop complexe, trop profonde, trop subtile (comme certains profs aiment faire, pour se vanter d’être plus intellectuels que leurs doctorants par exemple).
Certes, une lecture de philo, ça peut être ardu mais une lecture de philo, ça s’approfondit et ça se complète : il y a tellement de travaux qui peuvent venir éclairer vos lectures et votre compréhension d’un auteur ! Ce n’est pas nécessairement facile, mais avec de la volonté et du travail (oui oui), il n’y a pas de raison pour que la pensée d’un auteur vous échappe complètement !
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...Acto Uno...Final...Cartagena-Manaus...
Voici bientôt quatre mois que j’ai quitté Cartagena en Colombie. La première séquence de l’escapade sud-américaine s’achève à Manaus au Brésil. Quelques temps forts, le trek de la Ciudad Perdida, la traversée de la cordillère andine à cheval, la croisière dans l’archipel des Galápagos, l’exploration de la réserve Pacaya-Samiria en pirogue, la descente du fleuve Amazone en Lancha.
De belles rencontres, de bons moments, de belles images qui restent gravées sur mon disque dur cérébral. Le voyage ce sont les bus sur les routes chaotiques ou asphaltées, la cuisine de rue savoureuse comme surprenante, les auberges où règnent une ambiance conviviale ou aseptique.
Le voyage c’est la stimulation des sens. L’environnement sonore, le chant des insectes et batraciens, la nuit, tout comme la musique au rythme latino, omniprésente; olfactif, les douces odeurs des marchés ou parfois moins douces, les parfums des fleurs tout comme celui de l’humus des forêts; visuel, les couleurs étincelantes des murales, les paysages aux multiples formes ou le mouvement, l’expression des passants ; tactile, toucher un arbre, une roche, ressentir l’eau ruisseler sur le corp ou le vent caresser la peau; gustatif, l’amertume d’une orange, l’acidité d’un citron, le sucré-salé des plats ou la chaleur des épices. Mais ça peut être assourdissant, puant, pas beau, répugnant, gerbant, tout dépend comment les sens sont stimulés.
Je pense que ce blog se visite comme on feuillette un magazine, c’est s’arrêter sur un billet ou pas, ils sont plus ou moins bons, tout dépend du moment. Il se visite un verre à la main, une clope au bec ou pas, avec un fond musical ou pas. Il y a parfois des paradoxes, ils sont écrits avec le ressenti du moment. A la relecture je constate des fautes de syntaxes, de grammaires ou d’orthographes. L’écriture intuitive et mes lacunes y sont pour quelques choses, alors je me dis que je re dessine l’écriture. Les photos quant à elles, sont celles que j’aime, alors je mets certaines en évidence, d’autres pour illustrer le propos, je les organise, désorganise et naît un billet que je commente. Ce blog est en quelque sorte mon carnet de bord, ma mémoire...
À présent s’en vient l’acte deux, la Patagonie, je vais m’essayer à un exercice en y incorporant une enquête fiction en m’inspirant du livre de Bruce Chatwin, « Patagonie » et ainsi accompagner les billets différemment, c’est pas gagné...à suivre...
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Préambule au bilan musical
En 2018/2019, on a eu :
- du grime moite => Future, Pusha T
- des filles qui en ont => M.I.A., Kehlani, Yaeji, Kaitlyn Aurelia Smith, Kelly Lee Owens, Joanna Newsome, Jay Som, Fatou
- de l’électro déstructuré comme une robe Issey Miyaké => Jacques Gaspard Biberkopf, Holly Herndon – que je suis très fière d’avoir découverte bien avant que Pitchfork ne l’épingle dans son Best Of 2019
- du easy listening innocent en apéritif => Bonobo, Limousine
- du post-post-post-punk => Mount Kimbie, The Swans
- beaucoup de synthwave / drone / dark ambient => OPN mon amour, SHXCXCHCXSH, Emeralds, Le Révélateur
- du old school par cure (cure Little Dragon / cure Frank Zappa / cure Siouxsie / cure XTC / cure Gil Scott-Heron / cure Killing Joke… )
- du beatmaker
- du grand n’importe quoi aussi, moitié foutage de gueule, moitié prise de risques couillue => Sophie, Arca
Globalement, en 2018/2019, encore plus que d’habitude, on a eu :
-- côté jour, des choses très speed avec les basses bien en avant, ou des choses plus lentes avec les basses bien en avant ;
-- et, coté nuit, des choses synthétiques avec beaucoup de mélancolie dedans ; des choses qui me donnent l’impression d’être de nouveau dans la voiture avec mon père, quand on traversait de vastes plaines désertes, de nuit, quelque part au milieu des années 80 - une période dont je ne me suis jamais remise.
En gros, on n’a pas cessé d’osciller entre pulsation et harmonie.
C’est peut-être pour çà, d’ailleurs, que j’ai laissé tomber le rock depuis un moment – je parle du binaire à la Rolling Stones et sa cohorte de suiveurs, qui fait frétiller tous les métrosexuels mous de la tige : harmoniquement c’est nul, rythmiquement on regarde passer les wagons de double-croches, et puis alors, la voix de Mick Jagger par-dessus - perso, rien que d’en parler, j’ai envie de tuer quelqu’un. Les types n'arrêtent pas de parler des voix de femmes qui leur tapent sur le système, alors puisqu’on sort les dossiers fâcheux : la voix nasillarde de Mick Jagger, sur n'importe quel titre, me dessèche le vagin
(Pour ne rien dire de son personnage public qui doit concentrer tout ce que je trouve super gerbant dans la masculinité telle qu'on nous la survend depuis des lustres, et qui ne cesse de suinter de nouvelles déclinaisons chaque année, type Orelsan ou Booba ; un peu comme un blob increvable. Vous voulez m'impressionner ? Montrez-moi les Lunachicks. Elles font la même chose que les clowns sus-cités, mais avec cent fois moins de budget et une paire de couilles en plus)
Mais même sans focaliser sur les momies du rock, même en prenant des groupes récents comme PUP, même le son du rock m’ennuie : on a une tranche de guitares saturées sur une cadence morne comme un défilé militaire - et vous reprendrez bien un peu de distorsion de guitares, pour finir ? Je ne sais pas comment font les mecs pour ne pas mourir d’ennui dans leur garage. Je ne vois pas comment on peut se rassasier d’une nourriture globalement aussi fade, aussi uniforme. J’adore la guitare, c’est pas la question ; beaucoup de mes meilleures amies sont des guitares, Loveless est un de mes disques préférés – je tiens Only Shallow pour l’une des ouvertures d’album les plus bluffantes de toute l’histoire de la musique moderne, l’équivalent musical du chaos émotionnel d’être une fille et d’être pénétrée pour la première fois – et puis j’ai grandi avec Mike Oldfield en permanence dans mon univers, le son de sa guitare constitue probablement le pétrole de ma culture musicale depuis cinquante ans. Mais peut-être MBV et Mike Oldfield sont des musiciens qui font un peu autre chose ; ils ne se contentent pas de répéter ces mêmes trois pauvres accords qui suffiraient déjà à peine à remplir un disque, alors je ne parle même pas de construire toute une carrière dessus.
Fermons la parenthèse.
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Ils veulent tous faire leur intéressant, produit du moi-moi-moi, cela devient gerbant.
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