#généreuse
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Crépuscule de l’aube
Immensément généreuse Au creux de mon empreinte Je frotte les traces calcinées d’un passé mal compris
Aube-volcan impossible L’astre encore endormi et invisible zèbre le ciel clair de quelques voiles rougeoyant
Dans le bureau-cabine enfumé c’est palabres et conquêtes Alors, au crépuscule de l’aube lentement je descends, sereine en moi
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Je suis constamment en train de me sécher les cheveux au bureau, pour remettre en place ma frange, parce qu'il pleut, parce que je les veux plus lisse,....
Au point où mes collègues entendent tellement souvent ce bruit qu'un de mes collègues (gars) a suggéré à notre office manager qu'il aimerait bien que leurs toilettes aient aussi un sèche-main parce que ça serait meilleur pour l'environnement et il ne comprenait pas pourquoi c'était réservée aux femmes
Eh non !Je suis juste littéralement Gina:
Confusion complète, j'espère qu'il a des trust issues à cause de mon obsession capillaire
#Je suis généreuse et mon sèche-cheveux est en libre accès#Aussi qu'est-ce qu'on s'en fout#Question conne réponse conne#Pourquoi est-ce qu'il est obsédé par ce qu'on a dans nos toilettes
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BONJOUR...
Que chaque pas que vous ferez aujourd’hui vous rapproche un peu plus de vos rêves, et que chaque instant soit rempli de moments magiques, de rencontres inoubliables et d’une dose généreuse de bonheur.
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Pique-nique d'automne...
Il est toujours agréable en cette saison d'automne de s'installer en pleine nature pour un goûter qui fera la joie des petits et des grands. Dame nature étant généreuse, nous offrira ses délicates senteurs et ses bruits enchanteurs.
Nous rentrerons assurément, les coeurs souriants et les joues bien rosies de cette escapade en plein air.
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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How about a huge 3bd. barge on the Rhône River in the town of Beaucaire, France for €310,000 / $334,133?
Enjoy the large deck.
The interior has been completely redone. Look at how roomy it is.
The sunny boat has heat and air conditioning, so it's a year round home.
Long galley kitchen lined with windows.
Covered deck with the window wall overlooking the kitchen.
Nice bedroom with portholes.
You can also navigate it down the canal and go for a little cruise.
Bedroom #2.
Spacious primary bedroom.
Very nice alternative home.
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La cloche se signale
et m'amène vers le profond, ombre sur ombre,
cette impression de sous-bois extraite au jardin.
Devant le palais pâle et blanc, comme immobilisé par la brume,
les gestes peu à peu se souviennent de la lumière généreuse.
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(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(mercredi 5 octobre 2005)
#poésie#poème#poètes français#french poetry#poésie contemporaine#poètes français#dans la portée des ombres#jardin#parc#jardin du luxembourg#palais du luxembourg#paris#promenade#tintement#cloche#profondeur#ombre
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Volupté et Violence
Spencer Reid x lecteur
Avertissements : attouchements sexu*les, langages déplacé &vulgaires, aucune scène de s*xe.
Résumé : Vous et l'équipe êtes sur une affaire en Géorgie avec une chaleur insoutenable mais lors d'un briefing de Hotch Spencer remarque que vous êtes mal à l'aise et entend les remarque déplacer des policiers.
Quarante degrés. Comment était-il possible de travailler sous une telle chaleur ?
L'équipe avait été appelée en urgence pour un poseur de bombes en Géorgie. Franchement, tu te demandais bien où ce type trouvait le courage de poser des explosifs par un temps pareil.
Tout le commissariat était en nage, et tout le monde avait troqué sa tenue habituelle pour quelque chose de plus léger.
Même Spencer avait abandonné ses cardigans pour un t-shirt à manches courtes, et Hotch ainsi que Rossi avaient entrouvert le col de leurs chemises, ce qui relevait de l'inédit.
L'équipe savait deux choses à ton sujet : d’abord, tu détestais la chaleur. Ensuite, ton style vestimentaire était… disons, peu conventionnel pour une agente fédérale.
Ce n’était pas rare qu’on te prenne pour une civile, ou pire, une prostituée. Tu avais une garde-robe composée de débardeurs, de pantalons larges, de bandeau, et, à l’occasion, de jupes ou shorts en cuir.
Aujourd’hui ne faisait pas exception.Tu avais opté pour un débardeur gris avec un généreux décolleté – une contrainte imposée par la chaleur et ta poitrine naturellement généreuse, qui compliquait souvent les choses. Avec ça, tu portais un pantalon large et un chignon négligemment noué sur la nuque. Pas forcément la tenue idéale pour être prise au sérieux dans ton milieu, mais au moins, tu ne risquais pas de mourir de chaud.
Alors que tu fouillais dans des dossiers liés aux achats de dynamite des six derniers mois, tu remarquas Spencer, ton compagnon depuis 3 mois, de l’autre côté de la pièce. Il était plongé dans son travail, mais lorsqu’il leva les yeux et croisa ton regard, il t’offrit l’un de ses sourires si tendres et pleins d’amour. Tu ressentis une chaleur monter à tes joues et baissas les yeux, émue par ce geste plein de douceur.
Cependant, l’atmosphère du commissariat était loin d’être agréable. Depuis ton arrivée, plusieurs officiers t’observaient d’un peu trop près. Et pas tes yeux ou ton travail, non, leur regard était rivé sur ta poitrine.
-Tu crois qu’elle sait seulement tirer, ou elle a d’autres talents ?
-Avec un corps pareil, elle ferait mieux de bosser dans un club de strip-tease.
-Tu crois qu’elle enquête ou qu’elle cherche juste à se faire sauter ?
Ces remarques te faisaient bouillir. D’habitude, tu aurais mis un pull pour cacher ta poitrine et stopper leurs réflexions, mais la chaleur était insupportable.Pendant deux longues heures, tu dus supporter leurs regards insidieux et leurs sous-entendus, comme :
-Ça se voit qu’elle est habituée à être à quatre pattes plus qu’à un bureau.
-C’est le genre de fille qui ouvre plus ses jambes que ses dossiers
-Si elle me fait un sourire, je la prends direct sur ce bureau.
Avec le temps, leurs commentaires devenaient de plus en plus explicites, ponctués de gestes dégoûtants. Tu avais envisagé de te confier à Spencer, mais il avait déjà assez de travail. Tu refusais qu’il devienne une cible à cause de vous.
Tu n'avais jamais été aussi soulagée que lorsqu'Hotch annonça un briefing. Enfin, tu allais pouvoir t'éloigner de ces regards lourds.
Une fois dans la salle de briefing, tu t’appuyas contre un mur, légèrement à l’écart, tout en observant l’équipe s’installer. Spencer te lança un regard, et tu lui souris, bien que tes nerfs soient à vif.
Mais cette pause fut de courte durée. Alors que tu te concentrais sur Spencer, un officier se glissa discrètement derrière toi. Au début, tu pensais qu’il cherchait simplement à passer, mais son attitude te fit rapidement comprendre le contraire.Il se colla un peu trop près, si bien que tu pouvais sentir la chaleur désagréable de son corps contre le tien.
Puis tu sentis sa main s’attarder sur ta cuisse, effleurant d’abord le tissu de ton pantalon avant de devenir plus insistante.Ton souffle se coupa un instant, une vague de dégoût te parcourant.
Tu bougeas légèrement pour te dégager, mais il ne recula pas.Tu relevas les yeux vers Spencer, espérant qu’il n’ait rien remarqué. Mais c’était peine perdue.
Il te regardait toujours, son expression cette fois marquée par une inquiétude évidente.Malgré tes efforts pour feindre l’indifférence, il avait compris que quelque chose n’allait pas.
La tension monta encore d’un cran lorsque l’officier se pencha vers toi, son souffle chaud contre ton oreille :— Ta seule compétence utile ici, c’est de savoir écarter les cuisses, pas de fouiller dans des dossiers. Ton corps se raidit immédiatement, la colère bouillonnant en toi.
Tes poings se serrèrent si fort que tes ongles marquèrent la peau de tes paumes. Tu aurais pu le remettre à sa place, mais l'atmosphère étouffante et la crainte de créer un incident dans un contexte professionnel t’empêchèrent d’agir sur le moment.
Cette fois, c'est lorsque l'officier fit glisser sa jambe entre tes cuisses que tu réagis instinctivement, te retournant brusquement pour le repousser violemment contre le mur. Le bruit du choc résonna dans la pièce, et un silence glacial s'installa aussitôt.
Toutes les voix, dont celle de Hotch, s'éteignirent d'un coup, laissant place à une tension palpable. Tu baissas immédiatement les bras, le regard fuyant, t'excusant précipitamment, cherchant à minimiser l'incident. Ton cœur battait à toute vitesse alors que tu tentais de cacher ton embarras, t'efforçant de faire oublier ce moment gênant au reste du groupe.
L'officier, toujours avachi contre le mur, esquissa un sourire carnassier, ses yeux glissant lentement sur toi avec une arrogance calculée. Il prit un ton traînant, amplifiant délibérément l'humiliation qu'il cherchait à infliger.— Les filles comme toi aiment ça, non ? Être prises sans résistance, juste pour qu’on s’en débarrasse. lança-t-il, ses mots dégoulinant de mépris.
Il marqua une pause, savourant l'effet de sa provocation, avant d’ajouter d’un ton encore plus acerbe :— Faut dire qu’avec une poitrine comme la tienne, tu dois avoir déjà pas mal d’expérience. Ça doit te servir souvent, non ?La pièce sembla s’immobiliser, le poids de ses paroles suspendu dans l’air comme une explosion qui résonnait encore.
Quelques rires étouffés s’élevèrent dans le fond, témoignant d’une complicité toxique entre certains agents, mais la plupart des regards étaient fixés sur toi, oscillant entre incrédulité et malaise.
Chaque mot qu’il venait de prononcer résonnait dans ta tête comme un écho douloureux. Ta respiration s’accéléra, ton cœur battait à tout rompre, et tu serrais les poings si fort que tes ongles s’enfoncèrent dans ta paume.
Une vague de chaleur, mélange de honte et de colère, envahit tout ton être.
Mais avant que tu ne puisses réagir, une chaise racla bruyamment le sol derrière toi.
— Qu’est-ce que vous venez de dire ?
La voix appartenait à Spencer.
Froide, tranchante, et étrangement calme, elle coupa à travers la tension de la pièce comme un coup de scalpel.
Lorsque tu te tournas, tu vis qu’il s’était levé, ses yeux rivés sur l’officier avec une intensité que tu ne lui connaissais pas.L’officier haussa un sourcil, essayant de jouer la désinvolture, mais l’assurance dans son regard vacilla légèrement face au jeune homme.
— Détends-toi, Doc, répondit-il avec un rire nerveux, cherchant à cacher son agacement. Pas besoin de jouer les chevaliers blancs. C’était juste une blague, tu sais. Puis, tu vas vraiment t’agiter pour une fille qui se met à quatre pattes pour n’importe qui ? Ça en dit long, non ?
Spencer fit un pas en avant, sa silhouette mince mais imposante dans cette posture de défi qu’il prenait rarement. Ses yeux étaient glacials, et sa mâchoire serrée trahissait une rage contenue. L’officier roula des yeux et rajoute une phrase :
- Si tu veux te la faire, suffit de se servir dit il en fesant un regard déplacé vers ta pointrine.
Mais avant que Spencer ne puisse répondre, une autre voix, plus grave et autoritaire, s’éleva dans la pièce :— Je vous demande pardon ?
Hotch se tenait à quelques centimètres de l'officier, les bras croisés et le regard glacé. En un instant, le silence s'imposa.
Spencer ne détournait pas les yeux de l’officier. Hotch le fixa intensément, et tu espérais silencieusement que la situation prenne fin."Dans le bureau, tous les deux."La voix de Hotch était ferme et autoritaire.
En sortant, un sentiment de honte t’envahit, tandis que l’officier semblait plus fier que jamais de ses actions.
Dans le bureau, Hotch s’avança lentement vers l'officier, dont l'assurance s'était nettement effondrée."Si je vous reprends à faire de telles choses ou à tenir de tels propos," dit Hotch d'une voix calme mais lourde de menace.
L’officier bredouilla des excuses, tentant de minimiser ses actes, mais Hotch ne lui laissa aucune échappatoire."Vous avez deux options," poursuivit-il froidement. "Soit vous quittez cet endroit immédiatement, et je m'assure que votre comportement est signalé aux plus hauts niveaux. Soit vous continuez, et je vous traîne devant le comité disciplinaire du Bureau. Vous voulez tester ?" Sous l'autorité de Hotch, l’officier baissa les yeux et quitta la pièce sans un mot.
Une fois seul, Hotch se tourna vers toi. Son expression restait sévère, mais il y avait une douceur dans son regard. "Tu vas bien ?" demanda-t-il simplement.Tu hochas la tête, mais ta gorge était trop serrée pour répondre.
En retournant dans la salle, Spencer, d'un geste rassurant, posa sa main sur ton bras, son regard trahissant toute son inquiétude. Tu sentais son regard, mais tu faisais tout pour l’éviter, trop honteuse pour le soutenir.
Le briefing se termina sans autre incident, mais l’atmosphère dans la salle restait lourde, presque étouffante.
Dès que Hotch donna le signal de fin, tu te précipitas vers la sortie, aspirant à échapper à cette tension oppressante. Ton cœur battait encore violemment, et tes pensées tournaient en boucle, alimentées par la colère et l’humiliation refoulées.
En franchissant les portes du commissariat, tu tombas nez à nez avec le fameux officier. Il était là, nonchalamment appuyé contre une voiture mais son sourire mauvais intact.
— Alors, t’as trouvé un autre type à te laisser baiser, ou tu te contentes de jouer les salopes en attendant qu’on t’offre un peu de plaisir ? lâcha-t-il d’un ton méprisant, un éclat provocateur dans les yeux.
Cette fois, c’était la goutte de trop. Avant même que tu ne réfléchisses à tes actions, ton poing s’était déjà fermé sous l’impulsion de toute la rage accumulée. En un éclair, tu lui décochas un coup puissant directement dans son visage.
L’impact fut brutal. Il vacilla en arrière, sa tête cognant légèrement la carrosserie de la voiture avant qu’il ne s’écroule au sol, le nez en sang.
— Sale garce ! cracha-t-il en essayant de se redresser, mais sa voix était étouffée par la douleur et la surprise.
Spencer, qui avait vu toute la scène depuis l’intérieur, accourut à toute allure vers toi, les yeux écarquillés. Mais avant qu’il n’ait le temps de te rejoindre, tu avais déjà attrapé ton sac et tourné les talons avec une détermination froide.
- La salope elle fait de la boxe, il y a d'autres volontaires ? lançais-tu d’une voix forte, balayant du regard les policiers présents, dont certains avaient assisté à la scène, visiblement choqués.
Le silence s’abattit sur le parking. Personne n’osa bouger ou répondre, tous les regards fixés sur toi, stupéfaits.
Même Rossi, qui venait d’arriver derrière Spencer, semblait figé, son expression oscillant entre incrédulité et admiration face à ta réaction.
Spencer, quant à lui, resta un instant pétrifié, la bouche entrouverte, avant de jeter un coup d’œil rapide à l’officier qui gémissait toujours au sol. Mais il n’essaya pas de te retenir.
Peut-être avait-il compris que tu avais besoin de ce moment, de cette action pour expulser la tension accumulée.Tu t’éloignas à grands pas, le bruit de tes talons résonnant sur le bitume.
Dans la voiture pour allez à l'hôtel personne ne dis rien à propos de l'incident.
Lorsque tu te réfugias dans ta chambre d'hôtel, à l'abri des regards, tu t'effondras près du lit, tentant de reprendre ton souffle.
Enroulant tes bras autour de tes genoux repliés contre ta poitrine, tu cherchas à te cacher, à effacer l'intensité de ce moment.
Tu entendis la porte s'ouvrir derrière toi, et Spencer entra, fermant doucement à clé. Il s'approcha de toi sans un mot, mais tu sentais la chaleur et la douceur de sa présence.
Il s'agenouilla à tes côtés et, d'un geste délicat, déplia tes jambes. Doucement, il prit ton menton entre ses doigts, levant ton regard vers lui.
Ses yeux étaient pleins de compassion et d’amour, et il attendit que tu sois prête à le regarder, tout en te maintenant dans cette tranquillité. Les larmes que tu avais essayé de retenir commencèrent à dévaler tes joues.
"Je suis désolé que tu aies à supporter ça," murmura-t-il. "Mais ton coup de poing était magnifique."
Un petit rire nerveux s'échappa de tes lèvres, entrecoupé de sanglots.
"Le pire, c'est qu'il n'a pas tort," murmuras-tu. "Il suffit de regarder mon palmarès de relations pour savoir quel genre de fille je suis."
Spencer s'approcha, rapprochant son visage du tien, ses lèvres n'étant plus qu'à quelques centimètres des tiennes.
"Tu n'es pas comme ça. Tu as vécu des choses traumatisantes. Les relations que tu as eues, je ne m'en suis jamais soucié, parce que tu es une personne incroyable. Belle. Et tu mérites tout l'amour que l'on peut te donner.
Tu es une collègue, une petite amie, et…" Il marqua une pause avant de sourire légèrement. "…une amante incroyable."
Cette dernière remarque te fit rire, et tu le frappas doucement à l’épaule. "
Et tout ça… pour te dire que je t'aime," ajouta-t-il, son regard d’une sincérité dévorante.Tu t'arrêtas net, ton souffle coupé, cherchant à déceler la moindre trace de mensonge dans ses yeux. Mais il n'y en avait pas. Rien que de la vérité. Un frisson te parcourut.
"Moi aussi, je t'aime," murmuras-tu, presque inaudible, ton cœur battant plus fort dans ta poitrine.
À l'instant où il entendit ces mots, Spencer se jeta sur tes lèvres, ses mains se posant fermement sur ta taille, te guidant pour t’installer sur ses cuisses.
Vous vous laissâtes emporter dans ce baiser, essoufflés mais happés par l’intensité de l'instant.
Il s'arrêta un instant, essuyant une mèche de cheveux de ton visage, son souffle encore lourd.
Vous vous arrêtâtes tous les deux, haletants, le souffle court.
"Et une dernière chose," dit-il en souriant. "Ta poitrine, il n'y a que moi qui ai le droit d'y toucher."
Un frisson parcourut ta peau alors qu'il déposait un baiser tendre, mais possessif, sur ta poitrine.
Tu ris de plus belle, ta poitrine se serrant dans un mélange d'émotions. Spencer te faisait sentir en sécurité, aimée et désirée, et tu savais, sans l'ombre d’un doute, qu’il était un ange tombé du ciel.
Tu reprenais les baisers, plus passionnés, plus intenses, tandis que l’idée de tout ce que vous pouviez partager ensemble te semblait enfin à portée de main.
#Spencer doux#Dom Spencer Reid#5 posts#spencer reid xy/n#spencer reid x toi#fanfiction de Spencer Reid#spencer reid x lecteur obscène#Dr Spencer Reid#spencer reid esprits criminels#fandom des esprits criminels#fanfiction esprits criminels#mg#fanfic de Spencer Reid#bibliothèquedesriders#spencer reid x lecteur#criminal minds#spencer reid#et d'un geste doux#Spencer protecteur
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Les dernières pommes rejoignent le panier. La récolte touche à sa fin, et cette année, elle a été généreuse. Les plus belles dormiront dans la fraîcheur de la cave, protégées de la lumière, tandis que les autres, sous mes mains inspirées, se métamorphoseront en compotes dorées, en tartes fondantes ou en gâteaux parfumés.
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Soudain, elle trouve la vie trop compliquée. C'est toujours comme ça avec elle, la vie est trop belle ou trop compliquée, trop triste ou trop gaie. Si je devais dresser une liste de mes qualités et de mes défauts, songe t-elle, j'aurais en face de chaque qualité son contraire : audacieuse et peureuse, généreuse et radine, humble et orgueilleuse, peste et délicieuse. Elle ne connait pas le juste milieu. Elle est la reine des montagnes russes.
- Katherine Pancol
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Harper's Bazaar October 1990
Irene Pfeiffer wears a generously sized Swingy red and black plaid 3/4 coat with a button-down collar. By Yves Saint Laurent Haute Couture. Gold nugget drop earrings, also by Saint Laurent. Hair, Madeleine Cofano for Bruno Dessange; makeup, Rob Van Dorssen.
Irene Pfeiffer porte un manteau 3/4 à carreaux rouges et noirs Swingy de taille généreuse avec un col boutonné. Par Yves Saint Laurent Haute Couture. Boucles d'oreilles pendantes en pépites d'or, également de Saint Laurent. Coiffure, Madeleine Cofano pour Bruno Dessange ; maquillage, Rob Van Dorssen.
Photo Torkil Gudnason
#harper's bazaar#ocotber 1990#fashion 90s#fall/winter#automne/hiver#haute couture#yves saint laurent#irene pfeiffer#torkil gudnason#bruno dessange#madeleine cofano#rob van dorssen#vintage fashion#vintage magazine
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La nature est éternellement jeune, belle et généreuse. Elle possède le secret du bonheur, et nul n'a su le lui ravir.
George Sand
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Après le repas offrez-vous le luxe de déguster un AFFOGATO. ce dessert italien classique combine le meilleur des deux mondes: une glace crémeuse et un expresso riche. regarder la "barista" préparer habilement notre affogato était un regal en soi. une généreuse boule de leur glace veloutée à la vanille a été placée dans une tasse à cappuccino et une dose d'espresso chaud a été versé dessus créant une harmonie parfaite de chaud et froid, d'amer et sucré... Un regal !!
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L'Amarillys, plante majestueuse, qui réchauffe les Cœurs en Hiver par ses fleurs généreuses à l'occasion des fêtes de fin d'année.
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Comme le toucher sur la pierre aride grave le silence,
comment ne pas veiller sur tes mots
nobles et chauds, chevalier de ce jour ?
Comment ne pas lire dans cette attente qui ne fléchit pas
les inflexions généreuses de ta main qui transcrit ?
Ton armure me renvoie le soleil et dévoile l'illusion de tes armes.
Et dans ce désert qui appelle le vaste et le juste possible
tout un cercle de douceur te couronne, la danse acclamée des anges.
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(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(jeudi 6 octobre 2005)
youtube
#poésie#poème#poètes français#french poetry#poésie contemporaine#poètes français#dans la portée des ombres#anges#douceur#attente#rêve#vie#Bach#glenn gould#Concerto#piano#johann sebastian bach#Youtube
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Entre Tes Cuisses, Mon Amour
Résumé : Brisée par les jugements de vos anciens amants, tu découvres auprès de Spencer un amour sincère qui t'aides à retrouver confiance en toi et à embrasser la beauté de ton corps.
Avertissements : manque de confiance en soi, MINEURS DE 18 ANS ET PLUS DNI, mentions de relation passé douleureuse, exhibitionnisme, dynamique dom/sub, doigté, sexe oral (f recevoir), éjaculation féminine, orgasmes, surstimulation . Dom ! Spencer.
Dans la salle de bain de ton appartement, enroulée dans une simple serviette, les cheveux encore humides, tu te regardais dans le miroir.
Tes yeux glissèrent sur tes cuisses, ces cuisses qui se touchaient, et une vague de dégoût monta en toi. À tes yeux, elles n’étaient qu’un amas de graisse indésirable.
Pourtant, elles n’avaient pas toujours été un problème. Avant, elles faisaient simplement partie de toi.
Mais ce "avant" semblait si lointain. Tout avait changé ce jour où un ex, sans la moindre délicatesse, avait refusé de te faire une fellation. Son excuse ? Tes cuisses étaient "trop grosses". Ces mots, glacials, s’étaient inscrits en toi comme une marque au fer rouge : — Même quand on baisse, je les sens et ça me dégoûte. Tu devrais perdre un peu de poids. Ce fut le début d’un long défilé de critiques.
D’autres partenaires avaient été moins directs, mais leurs regards ou les remarques de leurs amis parlaient pour eux. Avec le temps, tu avais appris à dissimuler ce que tu considérais comme une honte, allant jusqu’à enrouler du scotch autour de tes cuisses pour en comprimer le volume.
Ce soir, cependant, tout était différent. Spencer, ton collègue devenu ton petit ami, t’avait invitée à regarder un film chez lui. Vous aviez commencé à vous rapprocher après une mission où tu l'avais aidé à préparer ses tests physiques.
Trois mois s’étaient écoulés depuis, et malgré tes doutes constants, Spencer ne semblait voir en toi qu’une personne magnifique. Pourtant, l’angoisse était toujours là.
Ce soir, tu avais opté pour un pantalon ample qui tombait élégamment sur tes hanches, accompagné d’un t-shirt ajusté qui mettait en valeur ta poitrine généreuse.
Ce choix vestimentaire n’avait pas été facile. Pendant de longues minutes, tu avais hésité devant le miroir, tiraillée entre l’envie de te sentir belle et la peur des jugements. Les souvenirs des remarques acerbes et des critiques passées résonnaient encore dans ton esprit, te rappelant les commentaires déplacés sur ta poitrine, trop "voyante" aux yeux de certains.
Mais quand tu es arrivée chez lui, il t’accueillit avec son sourire chaleureux et une phrase qui te fit vaciller :
— Tu es magnifique.
Tu baissas les yeux, murmurant un merci à peine audible. Il fit comme s’il n’avait pas remarqué ta gêne et te guida jusqu’au canapé.
Dans son salon, Spencer avait préparé un film romantique, une de ces histoires qui ne t'intéressaient pas d'habitude.
Pourtant, il avait insisté, et tu avais fini par céder. Alors que le film avançait, tu te retrouvais étrangement captivée par l’histoire de deux âmes tourmentées par leurs insécurités.
L’un, persuadé d’être trop laid pour mériter l’amour, et l’autre, convaincu que sa beauté était une malédiction.
Peu à peu, il se rapprocha. Sa main glissa doucement sur ton genou, un geste qui aurait pu passer inaperçu pour quelqu’un d’autre, mais qui, pour toi, était une onde de choc. Tu te tendis, ton corps se raidissant automatiquement.
— Hé, c’est juste moi, murmura-t-il.
Tu sentis la chaleur monta en vous et le désir s'installait alors qu'l déposait des baisers dans votre cou.
Mais l’anxiété en toi monta d’un cran quand sa main glissa sur ta cuisse. Tu savais que le scotch était là, et tu ne voulais pas qu’il le découvre. Tu repoussas sa main brusquement.
— Arrête, murmuras-tu, la voix tremblante.
Le reste de la soirée passa dans un silence tendu. Quand le film se termina, tu pris rapidement tes affaires, évitant tout contact visuel avec Spencer.
Tu refusas qu’il te raccompagne et rentras chez toi, la gorge serrée, tes pensées envahies par un mélange de honte et de douleur.
De retour chez toi, tu te laissas tomber sur ton lit, les pensées tournant en boucle. Tu ne pouvais pas continuer comme ça, mais comment expliquer ce poids que tu portais ? Comment lui dire ce que tu cachais depuis si longtemps ?
Il était tard quand on frappa à ta porte. D’abord, tu hésitas à ouvrir, mais la persistance du coup frappé te força à te lever.
En ouvrant, tu découvris Spencer, debout dans l’encadrement de la porte, les bras croisés et une expression inquiète sur le visage.
— Spencer ? Qu’est-ce que tu fais là ?
— Je ne pouvais pas te laisser comme ça, répondit-il simplement.
Tu voulus protester, mais il entra avant que tu ne puisses dire quoi que ce soit.
— Écoute, je ne sais pas ce qui se passe, mais je sais que tu souffres, et je refuse de te laisser affronter ça toute seule.
Ces mots te frappèrent en plein cœur. Tu voulus lui répondre, mais ta voix se brisa avant que tu ne puisses formuler une phrase cohérente. Il s’approcha, posant une main rassurante sur ton bras.
— Parle-moi, s’il te plaît. Tu détournas les yeux, cherchant les mots. Finalement, dans un souffle, tu lâchas :
— Tu ne comprendrais pas.
— Alors explique-moi, insista-t-il doucement.
Tu pris une profonde inspiration avant de murmurer :
— Ce sont mes cuisses. Elles sont…difformes, trop grosses. J’ai… J’ai toujours fait en sorte de les cacher.
Il fronça légèrement les sourcils, mais pas de jugement dans son regard, seulement de la curiosité et une profonde tristesse pour ce que tu semblais endurer.
— Montre-moi, dit-il simplement.
Tu hésitas longuement puis finalement tu le conduis dans ta chambre et tu baissas ton pantalon, révélant le scotch enroulé autour de tes cuisses.
Tes mains tremblaient, et ton cœur battait si fort que tu étais sûre qu’il pouvait l’entendre.
Spencer s’agenouilla devant toi, ses yeux scrutant chaque détail sans jamais montrer autre chose que de la compassion.
Avec une infinie douceur, il commença à retirer le scotch, morceau par morceau, prenant soin de ne pas te faire mal.
Ses gestes étaient lents, presque rituels, comme s’il voulait te montrer que chaque partie de toi méritait d’être vue et acceptée.Quand il eut terminé, il leva les yeux vers toi, un léger sourire aux lèvres.
— Tes cuisses ne sont pas trop grosses. Elles sont parfaites.
Tu laissas échapper un rire nerveux, une larme roulant sur ta joue.
— C’est ce que tu dis maintenant. Mais si tu savais ce que les autres ont dit…
Il posa une main sur ta cuisse, ferme mais rassurante.
— Je m’en fiche de ce que les autres ont dit. Ce que je vois, c’est toi. Et tu es sublime.
Avant que tu ne puisses répondre, il se pencha et déposa un baiser doux sur ta cuisse, puis un autre, comme pour effacer chaque mot cruel qui t’avait blessée par le passé.
Les larmes coulèrent librement, mais cette fois, elles n’étaient pas seulement de douleur. C’était comme si une partie de toi commençait enfin à guérir.
Spencer continua de te tenir dans ses bras, sa chaleur enveloppant ton corps encore tremblant d’émotion. Ses mains caressaient doucement ton dos, des gestes qui semblaient vouloir apaiser les plaies invisibles que tu portais depuis si longtemps.
Tu te sentais vulnérable, mais pas exposée. Avec lui, cette vulnérabilité ressemblait davantage à une libération qu’à un poids.
Il releva doucement ton visage pour croiser ton regard, essuyant une larme du bout des doigts.
— Je veux que tu te sentes belle. Pas pour moi, pas pour quelqu’un d’autre. Juste pour toi, murmura-t-il.
Tu déglutis, incapable de répondre, mais tes mains agrippèrent son pull, comme si tu avais peur qu’il disparaisse. Il comprit ton geste sans que tu aies besoin de parler.
Lentement, il posa ses lèvres sur les tiennes, un baiser doux, sans précipitation. C’était comme s’il te donnait tout le temps du monde pour répondre, pour te sentir prête.
Ton corps finit par réagir presque instinctivement. Tes mains glissèrent sous son pull, explorant timidement la chaleur de sa peau.
Il frissonna légèrement sous ton toucher mais ne rompit pas le contact, approfondissant le baiser, son souffle se mêlant au tien.
Spencer te guida doucement vers le lit, ses mouvements toujours empreints de tendresse. Il t’allongea avec précaution, se penchant au-dessus de toi tout en continuant à t’embrasser.
Ses lèvres quittèrent les tiennes pour explorer ton cou, puis tes épaules, tandis que ses mains caressaient doucement tes hanches. Chaque geste semblait calculé pour te faire comprendre qu’il n’y avait aucune urgence, aucune attente. Il prit le temps de te regarder, son regard captivé par chaque centimètre de ton corps.
Quand il murmura « Tu es magnifique », tu ne pus t’empêcher de sourire timidement, même si tu ne le croyais pas encore complètement.
— Laisse-moi te montrer combien tu es précieuse, dit-il, sa voix grave et pleine d’émotion.
Il glissa ses mains sous ton pull que tu avais enfilé après être rentré, le retirant lentement pour révéler ta peau. Il s’arrêta plusieurs fois, ses yeux scrutant les tiens pour s’assurer que tu étais à l’aise. Quand tu hochas légèrement la tête, il continua, jusqu’à ce que tu sois en sous-vêtements devant lui.
Son regard s’arrêta sur tes cuisses, mais il n’y avait aucune trace de dégoût ou de jugement. Au contraire, il semblait émerveillé, ses doigts traçant des lignes invisibles sur ta peau. Il se pencha et déposa un baiser sur l’une de tes cuisses, puis l’autre, prenant son temps, comme pour te faire comprendre que cette partie de toi qu’on t’avait appris à haïr était, pour lui, une source de fascination.
Ses lèvres continuèrent leur chemin, descendant doucement, tandis que ses mains exploraient ton corps avec une douceur infinie. Tu sentais ton corps s’éveiller sous ses caresses, une chaleur familière montant en toi, mais cette fois, elle n’était pas entachée de honte.
— Dis-moi si je vais trop vite, si quelque chose te met mal à l’aise, murmura-t-il en déposant un dernier baiser sur ton ventre.
Tu secouas la tête, tes mains venant se poser sur ses épaules pour le rapprocher encore de toi.
— Continue, soufflas-tu, ta voix tremblante, mais emplie de désir.
Spencer obéit, mais toujours à son rythme, toujours attentif à tes réactions. Quand il fit glisser tes sous-vêtements, il s’arrêta un instant, te laissant respirer, te laissant choisir de continuer.
Et quand tu ouvris légèrement les jambes, lui donnant la permission silencieuse d’aller plus loin, il te donna tout.
Ses lèvres parcoururent ton corps avec une lenteur calculée, comme s’il voulait imprimer chaque sensation dans ta mémoire. Il alternait entre douceur et intensité, laissant ses baisers et sa langue tisser une toile de plaisir sur ta peau.
Chaque frisson qu’il éveillait en toi semblait être une réponse silencieuse, une preuve de l’effet qu’il avait sur toi.
Ses mains, chaudes et fermes, s’attardèrent sur tes hanches, caressant chaque courbe avec une attention presque révérencieuse.
Ses doigts effleuraient la ligne de ton ventre, puis remontaient pour explorer les contours de ta poitrine, avant de redescendre pour s’attarder sur l’intérieur de tes cuisses.
Là, ses gestes devinrent plus insistants, plus précis, comme s’il cherchait à découvrir chaque nuance de ton plaisir. Ton souffle devint irrégulier, se mélangeant à de légers gémissements que tu ne pouvais plus retenir.
Ton corps réagissait instinctivement, se cambrant légèrement sous ses caresses, comme pour l’inviter à continuer, à aller plus loin.
Spencer semblait le comprendre sans que tu aies à dire un mot. Ses mouvements s’intensifièrent, et lorsqu’il glissa ses lèvres entre tes jambes, un feu sembla se propager à travers tout ton être.
Il prenait son temps, explorant chaque recoin de ton intimité avec une maîtrise qui te laissa sans voix. Sa langue traçait des cercles lents, puis rapides, alternant les rythmes pour te garder en haleine.
Chaque geste semblait conçu pour te faire monter plus haut, te rapprocher du point de non-retour.
Tes mains quittèrent les draps pour trouver refuge dans ses cheveux, s’y agrippant légèrement comme pour ancrer cette réalité.
— Spencer... lâchas-tu dans un souffle, ta voix tremblante de plaisir et d’émotion.
Il releva légèrement les yeux vers toi, et son regard, intense et brûlant, te transperça.
Il te regardait comme si rien d’autre n’existait, comme si son seul but était de te voir t’abandonner complètement à lui. Cela te fit chavirer, et tu sentis ton cœur s’accélérer encore plus.
Ses doigts vinrent s’ajouter à ses caresses, s’insinuant doucement en toi avec une précision qui t’arracha un gémissement plus fort.
Ses mouvements étaient parfaitement synchronisés avec ceux de sa langue, te conduisant doucement mais sûrement vers un plaisir que tu n’avais jamais connu auparavant.
Ton corps tout entier se tendit alors qu’une vague de chaleur te submergeait, te laissant à bout de souffle.
Ton orgasme déferla sur toi comme une tempête, t’arrachant des cris que tu ne cherchais même plus à contenir.
Spencer ralentit ses gestes, prolongeant ton plaisir jusqu’à ce que tu ne sois plus qu’une masse tremblante, incapable de bouger ou de penser à autre chose qu’à lui.
Il remonta lentement le long de ton corps, ses lèvres déposant de doux baisers sur ton ventre, ta poitrine, ton cou, jusqu’à ce qu’il atteigne enfin tes lèvres.
Le baiser qu’il t’offrit alors était tendre, presque chaste, en contraste avec l’intensité de ce qui venait de se passer.
— Tu es incroyable, murmura-t-il, sa voix rauque et empreinte d’une sincérité désarmante.
Tu ouvris les yeux pour croiser son regard, et ce que tu y vis te coupa le souffle.
Il n’y avait ni jugement, ni doute, seulement de l’amour, pur et simple. Tu passas une main tremblante sur sa joue, un sourire hésitant se formant sur tes lèvres.
— Je ne sais pas quoi dire, soufflas-tu, encore ébranlée par ce qu’il venait de te faire ressentir.
— Ne dis rien, répondit-il en pressant un doux baiser sur ton front. Laisse-moi juste te montrer combien tu es parfaite à mes yeux.
Il ressera ses bras autour de toi et posa sa tête sur ta poitrine.
Alors que le sommeil s'apprêtait à vous envelopper, une pensée soudaine vous ramena à la surface. Vous vous redressâtes brusquement, le cœur battant.
— Je ne t’ai rien fait… soufflas-tu, une pointe d’inquiétude dans la voix.
Avant qu’il ne puisse répondre, vous vous penchâtes sur lui, déterminée. Vos mains glissèrent sur son torse, prêtes à descendre vers sa ceinture.
Pourtant, à peine aviez-vous atteint sa taille que Spencer attrapa doucement vos poignets, ses doigts entourant vos bras avec une tendresse désarmante.
— Hé, doucement, murmura-t-il, son ton doux mais ferme. Son regard chercha le vôtre, une étincelle de compréhension mêlée à une infinie patience dans ses yeux.
— Ce n’est pas nécessaire, continua-t-il, une main venant se poser délicatement sur votre joue. Je ne sais pas ce que tes anciens partenaires ont pu te dire ou te faire croire, mais écoute-moi bien. Le sexe n’est pas une transaction, ni une dette. Je t’ai donné du plaisir parce que je voulais que tu te sentes aimée, désirée, pas parce que j’attends quelque chose en retour. Nous avons tout le temps du monde.
Sa voix, empreinte d’une sincérité apaisante, sembla éteindre l’urgence qui battait dans votre poitrine. Vous restâtes un moment figée, ses mots résonnant en vous avec une clarté presque douloureuse.
Puis, doucement, il vous guida pour vous rallonger sur le lit, ajustant la couverture sur vos épaules. Il s’installa à vos côtés, ramenant votre corps contre le sien.
Sa tête se posa sur votre poitrine, là où il pouvait entendre le battement de votre cœur encore affolé.
Ses lèvres effleurèrent votre peau avec une ferveur douce, un baiser qui semblait vouloir effacer toutes les insécurités et les doutes qui vous rongeaient.
— Tu n’as rien à prouver, rien à compenser, souffla-t-il contre votre peau. Ce moment est à nous, rien qu’à nous.
Vos bras se refermèrent autour de lui, un soupir échappant de vos lèvres alors que la tension dans vos muscles se dissipait lentement.
Chaque geste, chaque mot, était une promesse silencieuse qu’il serait là, qu’il ne vous jugerait jamais, et que vous méritiez cet amour inconditionnel qu’il vous offrait.
Tandis que vos paupières se faisaient lourdes, une vague de sérénité vous enveloppa. Les battements de son cœur, réguliers et apaisants, devinrent votre berceuse.
Vous laissâtes un dernier sourire éclairer votre visage avant de sombrer dans un sommeil paisible, vos corps étroitement enlacés, comme si, en cet instant, rien d’autre n’existait que vous deux.
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8 juin 1876 : mort de la romancière et journaliste George Sand ➽ http://bit.ly/George-Sand-Romanciere « Chacun se sentait aussitôt en présence d’une nature infiniment généreuse et bienveillante, chez qui tout égoïsme avait été complètement et depuis longtemps brûlé à la flamme inextinguible de l’enthousiasme poétique, de la foi à l’idéal », confiera une de ses amies au lendemain de sa mort
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