#froissé
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La tasse froissée déjeuner en porcelaine Revol
La tasse froissée déjeuner en porcelaine Revol
La tasse froissée déjeuner en porcelaine Revol Matériau: Céramique de haute qualité, réputée pour sa résistance et sa durabilité, typique des produits Revol. Couleur: Noir mat, une couleur intemporelle et élégante qui s’adapte à de nombreux styles de décoration. Forme: Cylindrique, mais avec une déformation caractéristique au centre, rappelant une canette ayant subi une pression. Cette forme…
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Deux chiffres sont en train de se clasher: 0 et 6. 6 commence: - je suis plus grand que toi, 0! Alors 0 attache sa ceinture et devient 8, puis dit à 6: -De quoi tu parlais déjà? 6 se renverse et devient 9: - Je disais que je demeure plus grand que toi, 8! 8 se sentait humilié, froissé, diminué...puis ils eut la brillante idée de de tomber sur le côté et devient l'infini: - Alors monsieur 9, on se sent tout petit?
#Deux chiffres sont en train de se clasher: 0 et 6. 6 commence:#- je suis plus grand que toi#0!#Alors 0 attache sa ceinture et devient 8#puis dit à 6:#-De quoi tu parlais déjà?#6 se renverse et devient 9:#- Je disais que je demeure plus grand que toi#8!#8 se sentait humilié#froissé#- Alors monsieur 9#on se sent tout petit?
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Un enfant dans l'âme fait ce qu'il peut, ce qu'il ressent. Kids or not ? Where are you going to #kids #goingto #collage #art #shakedadiv #beauxartsdeparis #galeriedart #galerie #artnumerique #nft #nftart #finart #poryrait #shoah #memorialdelashoah #froissé #lignes (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/CpHUeR-Ic7d/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#kids#goingto#collage#art#shakedadiv#beauxartsdeparis#galeriedart#galerie#artnumerique#nft#nftart#finart#poryrait#shoah#memorialdelashoah#froissé#lignes
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'BMW Tôles Froissées' by Natale
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Library Paris Living room library idea with a large industrial light wood floor, blue walls, no fireplace, and no television
#applique murale noire industrielle#lin froissé#canapé beige#table basse industriel bois métal#buffet industriel métal
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L'Art et la mode, no. 43, vol. 17, 24 octobre 1896, Paris. Toilettes de soirée. Dessin de Nada. (Parfum " Fleurs de France”, de Jones). Bibliothèque nationale de France
Robe en crêpe de Chine brodé gris argent. Choux froissés en taffetas rose de trois tons dégradés, formant garniture sur le côté gauche. Chaîne de diamant sur l'épaule droite.
Dress in silver grey embroidered crepe de chine. Crumpled choux in three shades of pink taffeta, forming trim on the left side. Diamond chain on the right shoulder.
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Sortie de bal très nouvelle, en satin blanc et hauts volants de Chantilly posés sur un premier volant en mousseline de soie blanche. Collerette en mousseline de soie blanche.
Very new ball cape, in white satin and high Chantilly ruffles placed on a first ruffle in white silk muslin. Collar in white chiffon.
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Toilette d'Opéra en velours "capucine". Revers et manches longues en guipure d'art. Epaulettes de velours bordées de zibeline comme les revers.
Opera ensemble in "capucine" velvet. Lapels and long sleeves in art guipure. Velvet epaulettes edged with sable like the lapels.
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Toilette de jeune fille en taffetas "azur". Entre-deux d'Irlande et volant plissé en mousseline de soie assortie. Epaulettes faites de pétales de roses roses.
Young girl's ensemble in "azure" taffeta. Irish entre-deux and pleated flounce in matching chiffon. Epaulettes made of pink rose petals.
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Toilette en tulle noir constellé de paillettes. Manches papillon et ceinture à longs pans en tulle "glaieul".
Black tulle dress studded with sequins. Butterfly sleeves and long-tailed belt in "gladiolus" tulle.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1896#on this day#October 24#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#cape#collar#ball#gown#evening#opera#Modèles de chez#Nada
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Effet froissé…
Ciste (Cistus albidus)
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⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°24 | Francesim, Paris, 1 Fructidor An 230
As Hortense prepares to leave Francesim to join her beloved in Scotland for their royal wedding, Napoleon V seizes the final moments with her, weighed down by the impending separation. The thought of parting with his twin sister, so dear to him, deeply saddens the Emperor. Ever the protector, he can't help but worry for the one he has always considered more fragile than himself. Hortense, while grateful for her brother's love, eagerly anticipates reuniting with her fiancé, Oliver. These recent months have been challenging for her, as she has keenly felt the tensions within the imperial family. Her fiancé’s recent missteps have upset the Simparte dynasty, and Hortense can't help but wonder if she is still welcomed with the same warmth as before.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Hortense's fiancé, Oliver, is a character from @officalroyalsofpierreland
⚜ Traduction française
Alors qu'Hortense se prépare à quitter la Francesim pour rejoindre son bien-aimé en Écosse, où un mariage royal l'attend, Napoléon V profite des derniers instants à ses côtés, le cœur lourd. La perspective de cette séparation avec sa sœur jumelle, si précieuse à ses yeux, l'attriste profondément. Toujours protecteur, l'empereur ne peut s'empêcher de s'inquiéter pour celle qu'il a toujours vue comme plus vulnérable que lui. De son côté, Hortense, bien que reconnaissante de cet amour fraternel, n'a qu'une hâte : retrouver son fiancé Oliver. Ces derniers mois ont été éprouvants pour elle, car elle ressent avec acuité les tensions au sein de la famille impériale. Les récents écarts de conduite de son fiancé ont froissé les Simparte, et Hortense ne peut s'empêcher de se demander si elle est encore accueillie avec la même chaleur qu'auparavant.
#simparte#ts4#ts4 royal#royal simblr#sims 4 royal#sim : louis#sims 4 fr#sims 4#ts4 royalty#sims 4 royalty#sim : hortense#le cabinet noir#episode iii#sim : oliver#tuileries#paris#sims 4 royal family#sims 4 royal simblr#ts4 royal simblr#ts4 royal family#ts4 royals#royal sims#royalty#sims 4 royal legacy
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Le soleil bat furieux dans tes veines offertes
À mes baisers soyeux et mes tendres morsures,
Faisant sourdre le sang à mes lèvres ouvertes
Enduites de nos miels, nos soleils, nos brûlures
Qu’exhalent nos luxures.
Nos baisers recherchés et nos langues avides
Goûtent la volupté à s’étreindre pâmées,
À s’unir, se quitter en salive semées.
Je suis émerveillée de nos unions sapides,
De tes mains tant aimées.
Si savoureusement, j’ai mâché nos délices,
Nos rires, nos gaietés et frissons extatiques
Ardemment partagés entre nos corps complices.
Dans ma bouche élogieuse mes paroles magiques
Célèbre nos musiques.
Je veux chanter en plain nos plaisirs et nos joies,
Crier à pleine voix moduler nos ivresses,
Que l’amour avec toi s’épanouisse en liesses
Et miauler d’allégresse au froissé de mes soies
Dérangées de caresses.
Pour dire nos bonheurs, chasser les amours tristes
Violents et torturés – car nos peaux sensuelles
Et nos cœurs excités en nos âmes hédonistes
Connaissent des plaisirs aux saveurs éternelles
Et aux douceurs charnelles.
Ah oui, j'ai tant senti nos chairs épanouies
Sous nos accords puissants, nos extases brûlantes
Expirant dans nos nuits, à jamais renaissantes…
Au faîte du désir, nos nudités fleuries
Sont des flammes amantes.
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Transcript of the French dialogue in IWTV S2 Ep4 - "I Want You More Than Anything in the World"
Aftershow discussion:
Eglee: Qu’est-ce que tu penses faire ?... Remets tes miches dans ton bloomer, salope !
Claudia invites Madeleine to the show (I kept in the English here, for more fluidity):
Claudia: You sold me a dress. Dans ta boutique. Une soie lavande. Très chic.
Madeleine: Ouais, tu m’avais trop payée. Avec des billets froissés, des boucles d’oreille pleines de sang… Comme si elles avaient été arrachées des lobes.
Claudia: Pas le souvenir que ça t’ait gênée.
Madeleine: Ton corps était pas encore formé mais ton esprit déjà sophistiqué. Et puis tu souriais pas.
Claudia: Funny, you made no impression on me at all.
Madeleine: I liked you. What, you moved on from pickpocket? You’re clowning now?
Claudia: I’m an actress now.
Madeleine: Ah, okay. Théâtre des Vampires ? I’ve seen this show. A divertissement.
Claudia: Still dressing your windows for your German tourists?
Madeleine: Your French is still ugly, like your doll outfit.
Claudia: I agree. I just wouldn’t say it cause it’s rude and obvious.
Madeleine: … Merci !
"Je n’aime pas fenêtres quand fermées" song:
[Side note: in French this should in fact be "Je n’aime pas les fenêtres quand elles sont fermées", but let’s let this one slide… poetic licence or something]
Je n’aime pas fenêtres quand fermées
Le vent sauvage (est doux ?? – not sure about that one, the French accent is horrendous... Sorry...), je veux voler
Arcs-en-ciel, arbres et abeilles
Non, je n’aime pas fenêtres quand fermées
Elle n’aime pas fenêtres quand fermées
At the museum:
Guard: Monsieur, vous ne pouvez pas être…
Armand: Rest… Merci.
Guard: Qui êtes-vous ? Qui vous a autorisé… ?
[Side note for one of the terms in Claudia and Madeleine’s discussion, which was erroneously transcribed as "flag it out" in the subtitles:
At one point Madeleine says : Go bang, or go flagada, or go cold.
This is a French informal term that means "shattered, knackered, beat".]
[Side note number 2, because I’m a stickler for linguistics. During Louis and Lestat’s conversation on the bench, Louis asks Lestat to say "apple" in French. Lestat answers "la pomme", which is, in fact, not exactly the way a French speaker would answer. We’d just say "pomme", the way an English speaker would simply answer "apple" rather than "the apple".]
That's it for this fabulous episode! I doubt there'll be much French in the next one, but who knows! See ya next week, maybe!
Episode 2 here
Episode 3 here
#interview with the vampire#iwtv#iwtv season 2#french dialogue#amc iwtv#amc interview with the vampire#iwtv s2 spoilers
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FLAMENCO
"Fureur d’un peuple fier aux talons rugissants, adoube sa conquête, volute d’une danse, piétinant son passé de douleurs et d’errance dans le Rouge de braise et des cris lancinants.
Danseuse ouvrant ses bras pour tutoyer le vent, tournoyante cantate en poussière ténue, en ruades solaires longuement dévêtues, elle embrase la foule sur l’arc bouté du Temps.
Claquements de tes pieds, nostalgie suave, montent dans l’air froissé des costumes de lave ourlés de notes claires en ton cœur caraco.
Abreuvée de beau, et la rumeur acclame, ta vie griffée dans le baiser des flammes, dessinés sur sa peau les soupirs Flamenco"
Marie Guzman
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Ô vert ! Je t'adore dans les forêts profondes où ton ombre protectrice accueille mes secrets et mes rêves.
J'aime ton parfum de fougère et de menthe froissée sous les doigts, ton regard bienveillant qui tapisse les sentiers des sous-bois.
Ô vert ! Tu es le rire des prairies qui dansent et le chant qui berce mes espoirs brisés et vaincus.
J'aime ta force tranquille quand l'orage éclate, j'aime ta façon de sourire aux affronter du temps.
Je t'aime dans les jardins secrets, où ta présence est mon refuge...
#L.J-D-O
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Destinée ensorcelée
Résumé : Ivana, la fille aînée de Wanda, perd mystérieusement ses pouvoirs, ce qui la plonge dans une grande détresse. Ne sachant pas comment récupérer ses capacités, elle se tourne vers Agatha, une sorcière expérimentée, pour obtenir de l'aide. Ensemble, elles élaborent un plan pour ouvrir la route des sorcières, espérant que cela les mènera à une solution.
Pour renforcer leur magie, elles décident de réunir un sabbat, une cérémonie qui pourrait leur donner accès à des forces occultes puissantes. Cependant, alors qu'elles se préparent, des complications surviennent. Des forces obscures semblent contrecarrer leurs efforts, et des tensions émergent entre les participantes. Ivana et Agatha doivent naviguer à travers ces obstacles tout en découvrant des vérités cachées sur leurs propres pouvoirs et sur la nature de la magie. Cette quête les amène à remettre en question leurs croyances et à affronter des dangers inattendus, transformant leur aventure en un véritable test de courage et de détermination et d'amour.
Chapitre 1 : L’éveil d’une sorcière
Ivana Maximoff se trouvait au cœur d'une forêt dense, enveloppée par une brume légère qui flottait au ras du sol. Les arbres, aux troncs massifs et tortueux, semblaient murmurer des secrets anciens, leurs feuilles bruissant doucement dans le vent. La lumière de la lune filtrait à travers les branches, projetant des ombres dansantes qui ajoutaient une atmosphère mystérieuse à cet endroit.
Ivana sentait une présence, quelque chose de sombre et de malveillant qui rôdait autour d'elle. Les démons, aux traits grotesques et aux yeux luisants, émergeaient des ombres, leurs rires résonnant comme des échos sinistres. Ils se déplaçaient avec agilité, leurs corps se contorsionnant de manière surnaturelle, créant un spectacle à la fois fascinant et terrifiant.
Ivana, bien que pétrifiée, ressentait également une étrange curiosité. Elle pouvait entendre leurs chuchotements, des promesses de pouvoir et de connaissance, mais aussi des avertissements de danger. Chaque pas qu'elle faisait dans cette forêt semblait l'attirer plus profondément dans un monde où la réalité et le cauchemar se mêlaient.
Les couleurs autour d'elle étaient saturées, presque irréelles, avec des teintes de violet et de vert qui illuminaient la scène, créant une ambiance à la fois envoûtante et inquiétante. Ivana se tenait là, au milieu de ce chaos, son cœur battant à tout rompre, se demandant si elle pourrait échapper à cette danse macabre.
Ces silhouettes indistinctes semblent se rapprocher, glissant silencieusement sur le sol, créant une atmosphère de tension palpable.
Ivana, ressentant une présence menaçante, se réveille en sursaut. Son cœur bat la chamade dans sa poitrine, et un cri perçant échappe de ses lèvres, brisant le silence de la nuit. Elle se redresse, les yeux écarquillés, cherchant désespérément à comprendre ce qui se passe. La lumière de la lune filtre à travers la fenêtre, projetant des ombres inquiétantes sur les murs, mais il n'y a personne d'autre dans la pièce.
En reprenant lentement ses esprits, Ivana réalise qu'elle vient de faire un cauchemar. Elle se frotte les yeux, essayant de chasser les images terrifiantes de son esprit. Elle se demande ce qui lui est arrivé durant cette nuit désastreuse. Pourquoi ces ombres l’ont-elles hantée ? Quel message caché se cache derrière ce rêve troublant ? Elle se sent perdue, comme si une partie d'elle-même avait été touchée par une peur inexplicable.
Les questions tourbillonnent dans son esprit, et elle se demande si ce cauchemar est le reflet de ses angoisses profondes ou d'une menace qui rôde dans sa vie éveillée. La nuit, autrefois paisible, semble désormais pleine de mystères et d'inquiétudes, laissant Ivana dans un état de confusion et de vulnérabilité.
☆○o。 。o○☆.☆○o。 。o○☆
Ivana était assise sur son lit, les draps froissés autour d'elle, témoins de son agitation nocturne. Son cœur battait encore la chamade, résonnant dans sa poitrine comme un tambour de guerre. Elle fixait le mur en face d'elle, mais son esprit était perdu dans un tourbillon de pensées confuses. Les images de ce qu'elle venait de vivre se bousculaient dans sa tête, si réelles qu'elle avait du mal à croire qu'il ne s'agissait que d'un rêve.
Elle passa une main dans ses cheveux en désordre, soupirant profondément. Les souvenirs de cette expérience troublante l'assaillaient, la laissant dans un état de confusion totale. Elle se leva lentement, ses jambes encore un peu faibles, et se dirigea vers la salle de bain.
Le carrelage frais sous ses pieds la ramena à la réalité, mais l'angoisse persistait. Elle ouvrit la porte de la douche, ajusta la température de l'eau jusqu'à ce qu'elle soit chaude, presque brûlante, espérant que la chaleur apaiserait son esprit tourmenté. Alors qu'elle se tenait sous le jet d'eau, elle ferma les yeux, laissant les gouttes glisser sur son visage.
L'eau s'écoulait, emportant avec elle les résidus de ses pensées sombres. Elle se frotta les bras, comme si elle pouvait laver ses angoisses. Mais même sous le doux murmure de l'eau, les échos de son expérience la suivaient, la rendant incapable de se libérer de ce poids qui l'oppressait.
Ivana sortit de la douche, l'eau encore gouttant le long de sa peau. Elle avait enveloppé son corps dans une serviette moelleuse, l'odeur de son gel douche préféré flottant autour d'elle. Les gouttes d'eau glissaient sur ses bras, et elle se sentait rafraîchie, prête à affronter la journée. En entrant dans la cuisine, la lumière du matin filtrait à travers les volets, illuminant les surfaces en bois et créant une ambiance chaleureuse.
Elle se dirigea vers le réfrigérateur, son esprit encore embrumé par la chaleur de la douche. Elle ouvrit la porte, cherchant quelque chose à manger, quand soudain, un frisson d'inquiétude la traversa. Elle tenta de faire léviter une pomme, comme elle le faisait si souvent, mais rien ne se produisit. Ses mains, qui d'habitude émettaient une douce lueur, restaient désespérément normales.
Ivana plissa les yeux, se concentrant, mais aucun éclat magique ne se manifesta. Elle se mit à trembler, la serviette glissant légèrement sur ses épaules. "Non, pas maintenant," pensa-t-elle, sa voix intérieure teintée d'angoisse. Elle ferma les yeux, cherchant à ressentir cette énergie familière, mais elle était introuvable, comme un rêve qui s'estompe au réveil.
Les souvenirs de ses pouvoirs affluèrent dans son esprit : les moments où elle avait manipulé les objets avec aisance, où elle avait ressenti la magie pulser en elle. Tout cela semblait désormais hors de portée. Elle se retourna brusquement, ses yeux se posant sur le miroir de la cuisine. Elle y vit son reflet, une expression de confusion et de peur marquant son visage.
Ivana se mit à marcher nerveusement dans la pièce, le bruit de ses pieds nus sur le carrelage résonnant dans le silence. "Pourquoi cela m'arrive-t-il ? Qu'est-ce qui a changé ?" se demanda-t-elle, la panique commençant à s'installer dans son ventre. Elle se rappela des avertissements qu'elle avait reçus, des signes qu'elle avait ignorés.
Avec un soupir lourd, elle s'appuya contre le plan de travail, le cœur battant. "Il doit y avoir une explication," murmura-t-elle, la détermination commençant à remplacer la peur. Elle savait qu'elle devait trouver un moyen de comprendre ce qui lui arrivait, même si cela signifiait affronter des vérités difficiles.
Ivana se redressa, prenant une profonde inspiration, prête à se battre pour retrouver ce qu'elle avait perdu, même dans cette cuisine qui lui semblait désormais si ordinaire.
Ivana savait que la seule personne qui pourrait l’aider à retrouver ses pouvoirs était Agatha Harkness, mais demander de l’aide à cette femme était du suicide. Pourtant, la détermination brûlait en elle, et elle avait décidé d’y aller quand même.
Elle se dirigea vers sa voiture, une berline noire qui semblait presque impatiente de partir. Les phares s’allumèrent dans un vrombissement familier alors qu’elle s’installait au volant. "Allez, un dernier coup," murmura-t-elle pour se donner du courage, avant de démarrer en trombe en direction de Westview.
La route défilait à toute vitesse, le paysage flou derrière elle. Ivana se sentait à la fois excitée et nerveuse. Cependant, la vitesse était trop élevée, et bientôt, elle aperçut les girophare de police dans son rétroviseur. Son cœur s’emballa. "Non, pas maintenant," se dit-elle, mais il était trop tard. Elle se gara sur le bas-côté, la peur nouant son ventre.
Alors qu'elle attendait, Ivana pouvait sentir l'adrénaline pulser dans ses veines. La silhouette d'Agatha se dessina dans le rétroviseur. Elle s'approcha, un sourire mystérieux sur le visage.
Ivana, choquée, n'arrivait pas à croire qu'Agatha était là, en uniforme. "Agatha ? Qu'est-ce que tu fais ici ?" demanda-t-elle, la surprise se mêlant à l'inquiétude.
Agatha se pencha légèrement, son expression sérieuse. "C'est détective O'Connor. Je ne connais pas d’Agatha désolé.," annonça-t-elle d'une voix suave, ses yeux pétillant de malice.
Après un rapide contrôle, Ivana continua son chemin en voiture, les pneus crissant sur l'asphalte. Le paysage défilait à toute vitesse, les arbres se transformant en flous vert et marron, tandis que son esprit était envahi par des souvenirs de son enfance. Elle savait qu’Agatha était touchée par le sort de la sorcière rouge, et cette pensée la hantait, mais elle était déterminée à retrouver une solution.
En arrivant devant son ancienne maison, Ivana ressentit un mélange de nostalgie et d'appréhension. La maison, bien que familière, semblait avoir perdu de sa splendeur. La peinture s'écaillait, et des herbes folles poussaient entre les dalles du chemin. Elle se gara rapidement et sortit de la voiture, le cœur battant à tout rompre.
En entrant, l'odeur de poussière et de vieux souvenirs l'accueillit. Les murs étaient ornés de photos jaunies, capturant des moments heureux d'une époque révolue. Ivana ferma les yeux un instant, se remémorant les rires et les jeux d'enfance. Mais elle n'avait pas le temps de s'attarder. Elle devait fouiller de fond en comble pour retrouver une solution afin de rompre le sort de sa mère.
Elle commença par la cuisine, ouvrant les tiroirs avec frénésie. Des ustensiles oubliés et des recettes jaunies l'entouraient. Rien d'utile. Elle se dirigea ensuite vers le salon, où le vieux canapé était recouvert d'une couche de poussière. Ivana souleva les coussins, espérant y trouver quelque chose de précieux. Elle trouva seulement des pièces de monnaie et des bonbons durs, oubliés depuis longtemps.
Frustrée, elle monta à l'étage, où se trouvait sa chambre d'enfance. La porte grinça en s'ouvrant, et elle entra dans la pièce. Tout semblait figé dans le temps. Les murs étaient recouverts de posters de ses idoles, et son bureau était encore chargée de livres et de cahiers. Elle fouilla chaque tiroir, chaque recoin, sa détermination grandissant avec chaque minute qui passait.
Finalement, dans un vieux livre de contes qu'elle avait laissé là, Ivana découvrit une page pliée. En l'ouvrant, elle tomba sur une formule ancienne, une incantation oubliée qui pourrait peut-être l'aider à rompre le sort. Son cœur s'emballa d'espoir. C'était peut-être la clé pour sauver sa mère et briser l'emprise d'Agatha.
Avec cette découverte, Ivana savait qu'elle avait fait un pas décisif. Elle devait maintenant retourner à Westview, prête à affronter Agatha et à utiliser tout ce qu'elle avait appris pour défendre ceux qu'elle aimait.
Ivana se tenait devant la porte d'Agatha, le cœur battant la chamade. Elle avait enfin trouvé ce qu'elle cherchait, et maintenant, il était temps d'agir. Elle leva la main et sonna à la porte, le son résonnant dans le silence du quartier. Après quelques instants, la porte s'ouvrit lentement, révélant Agatha, les yeux écarquillés par la surprise.
« Qu'est-ce que tu fais ici ? » demanda Agatha, fronçant les sourcils, visiblement perplexe. Sa voix trahissait une inquiétude mêlée de curiosité.
Ivana, sans perdre une seconde, poussa doucement Agatha sur le côté pour entrer dans la maison. L'air était chargé d'une tension palpable. Elle se retourna alors pour faire face à Agatha, ses yeux brillants d'une détermination ardente.
« Écoute, j'ai pas le temps pour tout expliquer, » déclara Ivana d'une voix ferme, presque impatiente. « Il faut que tu m'écoutes et que tu me crois. »
Agatha, encore sous le choc, ne savait pas quoi répondre. Elle croisa les bras, la méfiance se lisant sur son visage. « Attends une minute, je ne te connais . Tu ne peux pas juste entrer chez moi comme ça et... »
« Oh c’est pas vrais j’avais oublier comment Agnes était pipelette» coupa Ivana, sa voix s'élevant légèrement.
Ivana, les yeux fixés sur Agatha, ressentait une vague d'émotions l'envahir. Elle savait que même si ses pouvoirs avaient disparu, la magie analogique pouvait encore opérer des miracles. Elle inspira profondément et murmura le sort, sa voix à peine audible, comme un souffle porté par le vent.
« Libère-toi, Agatha... » chuchota-t-elle, chaque mot chargé d'intention.
À cet instant, Agatha sentit une chaleur douce l'envelopper, comme si une lumière intérieure s'éveillait en elle. Elle plongea son regard dans celui d'Ivana, et un flot de souvenirs afflua. Chaque moment partagé lui revenait en mémoire, vibrant d'une tendresse oubliée.
Agatha, touchée par cette connexion, réalisa à quel point Ivana avait changé. La petite fille qu'elle avait connue était devenue une sublime jeune femme, pleine de force et de détermination. Ses traits étaient marqués par la maturité, mais une lueur d'innocence persistait dans son regard.
« Mini Maximoff, » murmura Agatha, penchant la tête sur le côté, un sourire ému se dessinant sur ses lèvres. « Je suis surprise de te voir ici. »
Ivana, un léger sourire aux lèvres, sentit une chaleur envahir son cœur. « Je sais que c'est inattendu, mais j'avais besoin de toi, Agatha. »
Agatha hocha la tête, la surprise laissant place à une compréhension profonde. « Je vois. Tu as beaucoup grandi, ma chère. Mais dis-moi, que veux tu ? »
Ivana, le regard déterminé, se tourna vers Agatha, son cœur battant avec une impatience palpable. « Je veux rejoindre la route des sorcières, » annonça-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Agatha plissa les yeux, un sourire ironique aux lèvres. « La route n'existe pas, Ivana. C'est une légende, une illusion. »
Ivana, frustrée, secoua la tête. « Ne sois pas une menteuse, Agatha ! Je sais que ça existe. »
Agatha s'approcha d'elle, son regard perçant comme une flèche. Avec douceur, elle déplaça une mèche de cheveux d'Ivana derrière son oreille, créant un moment d'intimité.
« Écoute-moi, » murmura-t-elle. « La route va te tuer. »
Ivana, choquée, observa Agatha s'éloigner, se sentant à la fois trahie et confuse. « Mais tu ne t'es pas fait tuer, toi ! » lança-t-elle, tentant de garder sa voix ferme.
Agatha se retourna, un air de défi dans ses yeux. « Moi, je suis exceptionnelle. » Elle laissa échapper un léger rire, comme si la question ne méritait même pas d'être débattue.
Ivana, ne se laissant pas abattre, croisa les bras, son regard défiant. « Je vais aller sur la route, avec ou sans toi. »
Agatha éclata de rire, amusée par la détermination d'Ivana. « Et qu'est-ce que tu veux vraiment de cette route ? »
« Retrouver mes pouvoirs, » répondit Ivana, sa voix empreinte de passion.
Agatha, sérieuse à présent, hocha la tête. « Pour ça, il te faudra un sabbat. »
Ivana, intriguée, se pencha en avant, désireuse d'en savoir plus.
« Un sabbat ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ? »
Agatha, avec un air mystérieux, se contenta de sourire. « Tu as encore beaucoup à apprendre, ma chère. »
Agatha se leva, déterminée, et se dirigea vers le porte-manteau. Elle attrapa sa veste en cuir noir, la passant rapidement sur ses épaules, avant de chausser ses bottines à talons. Le bruit des fermetures éclair et le claquement des semelles résonnaient dans l'air, créant une ambiance de tension palpable.
Elle se retourna alors vers Ivana, qui était toujours figée, son regard perdu dans le vide. Agatha plissa les yeux, un sourire amusé sur le visage. « Aller, c’est pas en restant figée comme ça qu’on va trouver un sabbat, » lança-t-elle avec une pointe d'ironie dans la voix.
Ivana, surprise par l'énergie d'Agatha, sentit son cœur s'accélérer. Elle voulu répondre, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Agatha, ne laissant pas le temps à Ivana de réagir, tourna les talons et s'apprêta à quitter la pièce.
« Je regrette immédiatement cette décision, » murmura Ivana, presque inaudible, alors qu'une vague de doute l'envahissait.
Elle soupira, se sentant tiraillée entre son envie de rester et celle de suivre Agatha.Après un moment d'hésitation, elle prit une profonde inspiration et se décida à la suivre. « Comment les choses vont-elles se passer ? » se demanda-t-elle, angoissée mais excitée à l'idée de l'inconnu qui l'attendait. Elle rattrapa Agatha, se préparant à plonger dans cette aventure qui pourrait changer leur destin à toutes les deux.
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La petite journée en amoureux à Ostende
Le petit dej dans les locaux de l'ancienne grote post, la vieille imprimerie, la balade sur la digue et la jetée, le luna park 🤍
Dans l'ancienne poste, il y a des personnages particuliers, on s'est demandé si ce n'était pas des figurants, volontairement vintage pour coller à l'époque du bâtiment des années 50. La vieille dame qui lit son journal en attendant au guichet d'informations est clairement là en train de faire son job (mais wtf la chaussette ?) mais pendant qu'on mangeait, plusieurs personnes avaient un style vestimentaire totalement vintage et étaient assises ça et là, aussi occupés à lire des journaux froissés. Il y avait aussi peut-être, parmi les personnes âgées, des gens qui avaient travaillé là lorsque la poste était encore d'activité. J'ai eu l'impression d'être dans deux époques en même temps.
Même sensation bizarre sur la route du retour en passant par Poperinge, qui est une ville traversée par la frontière française. Le flamand/français est partout, dans les noms de rues à moitié l'un à moitié l'autre, dans les devantures des maisons, dans les pierres utilisées, dans les panneaux... Je suis frontalière, je suis habituée aux passages de frontière, à l'esthétique et aux panneaux qui changent en quelques mètres mais là l'endroit est rempli d'un mélange, c'était étrange.
Petit bond particulier dans l'espace et dans le temps aujourd'hui.
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US Vogue September 15, 1950
Balenciaga Haute Couture Collection Fall/Winter 1950-51. Lisa Fonssagrives wears a "cacao" dress in tortoiseshell chiffon by G.Pétillault. The wide skirt is composed of small gathered and rolled flounces that make up a surprising ensemble. Hat in the same chiffon veiling the face; the coat, a puff of crumpled black taffeta.
Balenciaga Collection Haute Couture Automne/Hiver 1950-51. Lisa Fonssagrives porte une robe "cacao" en mousseline écaille de G.Pétillault. La jupe large est composée de petits volants froncés et enroulés qui composent un surprenant ensemble. Chapeau de même mousseline voilant le visage; le manteau, une bouffée de taffetas noir froissé.
Photo Irving Penn
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Lundi
Un quart d'heure plus tard, la lune disparaissait définitivement derrière les nuages. Fin d'une journée de sable et de papier, froissée d'instants forts. J'écoute Catherine Cusset : "Si tu aimes tant Proust, c'est pour son intuition fondamentale : la vie véritable est dans les fragments de temps qui échappent au temps." (L'autre qu'on adorait).
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