#franck darcel
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La soirée-hommage à Frank Darcel s'est déroulée vendredi soir 4 octobre, à l’ubu à Rennes , pleine comme un œuf pour l'occasion avec 400 spectateurs. Tout le répertoire de Frank Darcel, depuis Marquis de Sade jusqu'à Marquis, en passant par Octobre ou encore Senso a été mis à l'honneur. Mais les musiciens ont aussi repris des titres d'artistes chers à Frank Darcel, comme les Talking Heads, ou encore le Velvet Underground. Ici, Christian Dargelos, Mona Soyoc et Simon Mahieu, chanteur de Marquis ,reprennent "White Light White Heat . Le groupe Marquis de Sade avait l'habitude de reprendre ce titre emblématique du groupe de Lou Reed et John Cale.
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Rennes, France
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🖤MARQUIS DE SADE (AUSSI) EN UNE DU NOUVEAU MOOK🖤
Il y a une semaine nous vous présentions la Une de notre trimestriel du printemps. Baignée de lumière dorée, auréolée du retour miraculeux de Beth Gibbons avec "Lives Outgrown», la couv’ du Magic n°231 annonce un dossier de 16 pages qui raconte, commente, et chronique « l’art de l’esquive » de la voix de Portishead, présence aussi discrète qu’inoubliable dans la pop de ces trente dernières années.
Mais ce n’est pas tout...
En retournant votre nouveau mook (désormais en route vers la boîte aux lettres de nos abonnés), surprise : Magic s’habille aussi de noir avec une deuxième Une qui rend hommage à l’un des piliers du panthéon rock de chez nous : Marquis de Sade.
Avec son très beau portrait signé de notre photographe Julien Bourgeois, la quatrième de couverture de ce numéro loue "la race des seigneur » du quatuor rennais. Si Philippe Pascal, son chanteur disparu en 2019 quelques mois après la reformation du groupe, en était l’incarnation torturée, alors Frank Darcel, son guitariste et confondateur, en était le moteur qui s’emballe. Il nous a quittés à son tour le 14 mars dernier et Magic ne se voyait pas composer un sommaire qui n’aurait pas fait une place à "ce menhir en mouvement perpétuel".
Pour l’occasion, notre cahier Rembobinages renferme un dossier spécial de 34 pages qui raconte l’histoire collective, la réunion de 2017 débattue à l’oral, le temps des projets d’avenir (à travers un entretien posthume inédit) et la trajectoire singulière (entre New York, la Bretagne et le Portugal) de Frank Darcel.
Ce dossier exceptionnel, nos abonnés auront la chance de le découvrir dans une poignée de jours (arrivée prévue autour du vendredi 7 juin dans leur boîte aux lettres). Si vous n’en faites pas (encore) partie, pas de panique, vous pouvez commander ce numéro dès maintenant en suivant le lien en bio 🔗
À très bientôt pour le sommaire complet du numéro !
Photo © @julienbpics pour Magic | Design © David Guibaud
#marquisdesade #frankdarcel @marquis_rennes
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Mon cher Frank, mon ami, toi sans qui…..des milliers de souvenirs affluent et les mots ne me viennent pas pour exprimer ce vide.
Merci d’avoir été dans ma vie et de l’avoir changée à jamais.
Photo: Xavier Lambours
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Étienne ce soir en invité surprise de Marquis au petit bain.
Vidéo : David Lefranc
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Etienne Daho en tournage à la tour des Horizons à Rennes
Le chanteur Etienne Daho tourne actuellement le clip du titre Je n’écrirai plus si souvent qu’il a écrit pour l’album de Marquis. Une journée de tournage a eu lieu tour des Horizons à Rennes
https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/etienne-daho-en-tournage-a-la-tour-des-horizons-a-rennes-77e77d52-96de-11eb-ba63-dd87e37c9e97
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ETIENNE ET MARQUIS
Etienne participe à « Aurora » l’album de Marquis (ex Marquis de Sade) qui sortira ce 5 février chez Caroline / Universal. La chanson dont le texte est un hommage à Philippe Pascal, le chanteur de Marquis de Sade brutalement décédé le 12 septembre 2019, s’intitule « Je n’écrirai plus si souvent ».« Frank Darcel et Thierry Alexandre sont venus me voir à Paris pour me proposer deux musiques différentes, très belles toutes les deux. Mais de suite j’ai eu plus d’affinités avec celle qui allait devenir Je n’écrirai plus si souvent. A ce moment là j’étais un peu hanté par la brutalité de la mort de Philippe. Comme nous tous. Et j’ai écrit ce texte clairement inspiré par lui, comme un hommage collectif et un témoignage de notre affection pour lui »
Les autres guests de l’album sont: Dargelos (Les Nus), Dominic Sonic, Sergeï Papail (Frakture) Ivan Julian (Voivoids, Richard Hell), Richard Lloyd (Television), Dirk Polak (Mecano), Marina Keltchevski et James Chance. https://marquis.lnk.to/Aurora
https://gonzomusic.fr/marquis-aurora.html
Marquis - le groupe
La presse:Rolling Stone
****Télérama ( 3 clés)
Photo: Richard Dumas
@pierre-jean35
#marquis#marquis de sade#aurora#etienne daho#daho#franck darcel#thierry alexandre#les nus#Philippe Pascal#Richard Dumas
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Hommage à Philippe Pascal dans les inrockptibles de cette semaine
#philippe pascal#marquis de sade#franck vergeade#les inrockuptibles#les inrocks#etienne daho#pascal obispo#franck darcel
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MARQUIS
Marquis a sorti son premier album Aurora en février 2021, et commence seulement à fouler les scènes du fait de la situation sanitaire.
Aujourd’hui Marquis (sans « de Sade ») est un tout nouveau groupe que contemplent 40 ans
d’histoire. Une diachronie digne de Borges que valide l’âge de ses membres : trois babyboomers et un millennial faisant corps et cause commune sur un premier album au goût d’adieu et de renouveau. Du Marquis, première époque, on retrouve Frank Darcel, guitariste principal auteur-compositeur et réalisateur. Thierry Alexandre et Éric Morinière,
respectivement bassiste et batteur, charpentent l’ensemble comme au temps de Rue de Siam. Quant à Simon Mahieu, jeune flamand au pédigrée en construction, il réussit à combler l’absence de Philippe Pascal, sans en effacer la trace. Ainsi, ni manière de résurrection, ni hommage à proprement parlé, Aurora achève un cycle et en inaugure un nouveau.
NICOLAS COMMENT
Photographe et auteur-compositeur, Nicolas Comment vit et travaille à Paris. En 2005, sa rencontre avec Rodolphe Burger, puis avec Jacques Higelin et Yves Simon (pour lesquels il travaille sur les albums « Amor doloroso » et « Rumeurs », 2006), le rapproche du monde de la musique,
En janvier 2021 paraît « Nouveau », chez Médiapop (physique) et Kwaidan / Idol (digital) album concept qui associe musique, photographie et littérature à l’occasion du centenaire de la disparition du mythique poète Germain Nouveau. Il sera sur scène en trio pour ce concert en première partie de MARQUIS.
En concert le 8 Juin au petit bain à Paris, la billetterie est ouverte :
https://billetterie.petitbain.org/evenement/08-06-2022-20-00-marquis-nicolas-comment?fbclid=IwAR3Zx8dQFZY-uSbxst07QU-83QrlxDIcm9oyhC9joY0A7TWjh8joPNa-FpA
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Le réalisateur Hervé Portanguen avec Éric Morinière, batteur, Frank Darcel, guitariste et Thierry Alexandre, bassiste. | OUEST-FRANCE
Rennes. Un documentaire sur l’épopée du groupe de rock Marquis
Dans Marquis, noblesse punk, le réalisateur Hervé Portanguen raconte le groupe rennais mythique dans ses tragédies et ses défis, avec ce nouvel album Aurora, qui a réuni la famille musicale rennaise des années 1980.
L’article complet sur le lien suivant :
https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/rennes-un-documentaire-sur-l-epopee-du-groupe-de-rock-marquis-4bb90e26-bc12-11ec-a45e-c7c889f915a9
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album de MARQUIS
Cet album pour lequel nous sollicitons votre soutien a commencé d’être enregistré à l’été 2018 et devait devenir le troisième album de Marquis de Sade. Quatorze musiques originales avaient été initialement gravées sur le disque dur du studio NDE à Saint-Jean-du-Doigt, plus la reprise de « Ocean ». Philippe Pascal a chanté deux de ces nouvelles chansons entre décembre 2018 et janvier 2019. Ces deux chansons, dont les textes ont été écrits en anglais par Philippe, ne seront pas sur cet album de Marquis, mais sortiront fin 2021 dans un coffret qui résumera l’intégralité de la carrière de Marquis de Sade.
https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/album-de-marquis?fbclid=IwAR00xvSaXT-2ZaPMI4z0ialC7mVBu_nURysC1VQTKvZr4t7KKYP0YFGaxa8
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Antoine de Caunes accompagné de Charline Roux, reçoit :
- Etienne Daho pour la sortie de son dernier album Blitz(Capitol). Il présente également une exposition Daho l'aime Popà la Philharmonie de Paris jusqu'au 29 avril 2018.
- Philippe Pascal et Frank Darcel de Marquis de Sade.
La Pop Liste d'Etienne Daho :
Son livre culte : Correspondance (1946-1959), Albert Camus et René Char, Gallimard Son film culte : 120 battements par minute, Robin Campillo, 2017 Sa chanson culte : Roller Skate, Nick Hakim, 2017 Sa série télévisée culte : La caravane de l’étrange (Carnivàle), Daniel Knauf pour HBO, 2003
« Qu’est-ce que le mot “pop” signifie ? Lorsque j’étais enfant et adolescent, je ne me suis jamais préoccupé des genres et passais allègrement de la chanson populaire à l’underground, avec un même plaisir non coupable. Lorsque je connus mes premiers succès, pour échapper aux modèles dominants et à la rigidité sectaire du rock et de la variété, je m’autodéfinis comme chanteur pop. Le swing de Trenet, le rock de Boris Vian ou la pop anglaise sophistiquée de Françoise Hardy permirent aux générations suivantes de se retrouver en zone libre. Aujourd’hui, la pop a des contours fluctuants et se moque des définitions. Elle dresse des ponts entre les différents univers musicaux. Elle décloisonne, brasse, métisse, réconcilie les genres et arrache les étiquettes. Délivrée de la rigidité des codes, toute une nouvelle génération hisse très haut le drapeau d’une pop décomplexée, vive, variée, foisonnante et libre. » Etienne Daho
#pop culture#popopop#france inter#marquis de sade#Philippe Pascal#franck darcel#etienne daho#antoine de caunes#blitz#blitz tour 2018
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Marquis de Sade @ Le Liberté (Rennes) // 16.ix.17
Lorsque j’apprends en août que Marquis de Sade se reforme pour une soirée unique mi-septembre à Rennes, c’est comme si on m’avait annoncé qu’Ian Curtis était ressuscité et que Joy Division faisait une nouvelle tournée. Je m’empresse d’acheter un billet, sachant pertinemment que le concert sera complet. « Culte », « légendaire », « précurseur », « mythique » sont autant d’adjectifs éculés que l’on a utilisés à tort et à travers pour des groupes de la France alternative (et d’ailleurs) du début des années 1980. Mais pour moi comme pour nombre de Français de ma génération, Marquis de Sade est sans conteste la référence phare de nos jeunes années passées à écouter de la musique post-punk. C’est le groupe français qui a lancé, dès la fin des années 1970, la transition entre punk et mouvance coldwave. Avec un son unique, un talent indéniable et un charisme sans limites.
C’est une exposition artistique organisée par le graphiste Patrice Poch pour les 40 ans de la création de Marquis de Sade qui a été l’occasion de reformer le groupe le temps d’une soirée (unique ou non, nul ne sait encore). Les membres d’origine sont bien là : le chanteur-parolier Philippe Pascal, le guitariste-compositeur Franck Darcel, Thierry Alexandre à la basse, Eric Morinière à la batterie et Daniel Pabeuf aux saxophones. Ils sont accompagnés pour l’occasion du guitariste Xavier « Tox » Géronimi qui avait joué avec Pabeuf au sein d’Ubik et du jeune Paul Dechaume aux claviers. Mon seul étonnement est de ne pas voir à leurs côtés Anzia, guitariste de la première heure. Parmi les spectateurs, quelques noms de la scène bretonne : Etienne Daho, Pascal Obispo, Bertrand Belin, Yann Tiersen, ou encore Dominique A.
Le concert de ce soir se donne à guichets fermés devant quelque 3 000 privilégiés dont la plupart n’avaient à l’époque pas eu l’occasion ou tout simplement pas l’âge de voir le groupe sur scène avant qu’il ne donne son dernier concert à Maubeuge en juin 1981. Pascal et Darcel avaient alors décidé de mettre fin à l’aventure de quatre ans pour poursuivre différentes voies musicales. Le premier avait fondé Marc Seberg qui avait sorti un excellent premier album à l’intensité brute et froide en 1983 avant de se perdre dans un néoromantisme surproduit par la suite. Les trois autres membres avaient formé le groupe Octobre qui fit ses débuts en 1982 avec le superbe maxi « Next Year in Asia » avant de sortir un ultime album et d’assurer la première partie des deux concerts de David Bowie à l’Hippodrome d’Auteuil en juin 1983.
On sent bien que personne ce soir n’est là par nostalgie, que ce soit sur scène ou dans le public : il ne s’agit pas de revivre le passé mais, pour un soir, de réparer les occasions ratées, de reprendre le fil de ce qui aurait pu être. L’émotion est palpable dès les premières notes ; sur scène, Philippe Pascal a du mal à cacher son bonheur d’être là, tout en exhibant la même fragilité et la même maladresse qui faisaient déjà le charme histrionique de son personnage de pantin désarticulé il y a près de 40 ans. En plus du répertoire quasi-intégral de leurs deux albums, une reprise de « White Light, White Heat » du Velvet Underground a servi de prétexte pour faire monter sur scène les anciens membres du groupe Christian Dargelos (par la suite chanteur des Nus), Pierre Thomas (batteur de Marc Seberg) et Sergeï Papail (bassiste de Frakture). En revanche, la reprise de « Hero » du groupe Neu! qui clôtura la soirée était sans doute de trop, mais ne ternit pas pour autant le sentiment d’avoir vécu un moment sans égal.
#Marquis de Sade#Philippe Pascal#Franck Darcel#Eric Morinière#Thierry Alexandre#Daniel Paboeuf#Marc Seberg#Octobre#Xavier Géronimi#Paul Dechaume
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Le Loudéacien Frank Darcel a été le premier producteur d’Étienne Daho.© Ouest-France
Le musicien et producteur loudéacien a réussi à regrouper affiches, documents, instruments… et retrace à travers son exposition Rok, le mouvement breton, à la médiathèque.
Rien qu’à son allure, on ne peut se tromper. Frank Darcel est un rockeur, un vrai. La voix grave, on l’imagine sur scène, guitare entre les mains, emporter leur public. Et pour lui, « tout a commencé ici ». Ce n’est pas d’hier. Frank Darcel est né en 1958. Un enfant de Loudéac qui a grandi à Plessala.
« Ma scolarité, dans le secondaire, je l’ai faite ici. J’ai démarré avec l’orchestre de jazz à l’école », se souvient cet homme robuste. Pour autant, il n’est pas jazzman pour un sou. « J’ai essayé, mais je n’étais pas bon », sourit-il. Cependant, la musique le fascinait. Alors en classe de terminale, il décide « avec des potes », de monter un groupe de rock. « Le jazz, c’était trop fatigant… »
« Pourquoi pas un musée ? »
Mais arrive le temps des études supérieures. Frank part à Rennes, pour des études de médecine. « Au bout de deux ans, je n’ai pas résisté à l’arrivée du punk, j’ai tout arrêté pour rejoindre la musique », se rappelle le musicien.Son groupe, Marquis de Sade, devient l’un des pontes du rock en France. Jusqu’à leur dernier concert, dans les années 80. « Le dernier des billets est ici », montre-t-il dans une vitrine de la médiathèque de Loudéac, où il expose jusqu’au 1er mars.
Ces souvenirs, il les garde. « Je ne suis pourtant pas collectionneur… Mais aujourd’hui, je fais plus attention, quand je vois la valeur de certaines choses ! » Comme cette affiche de la toute première tournée d’Étienne Daho, également présente à la médiathèque. « Étienne Daho, pas breton ? Tu parles ! Il était dans la même équipe que nous ! Et puis, je suis son tout premier producteur… »
Depuis plusieurs années, Frank Darcel s’intéresse particulièrement à la musique en Bretagne. Deux épais livres, Rok, sont parus, retraçant son histoire. « C’était le challenge après Marquis de Sade. Comprendre pourquoi la Bretagne est la région de France la plus rock. » Un travail collégial. Mais les explications sont arrivées. « C’est sociologique en fait ! » Les radios libres anglaises captaient bien en Bretagne, permettant d’écouter toutes ces influences. La naissance de la ligne de la Brittany Ferries Saint-Malo - Portsmouth, « qui permettait d’aller passer des week-ends à Londres pour écouter des groupes. On chopait la culture anglaise plus facilement que les Marseillais ! »
Grâce à ses nombreux contacts dans le monde de la musique, Frank Darcel a pu récupérer pour l’exposition des affiches de collection, mais aussi des objets, comme la harpe d’Alan Stivell. Le rêve du Loudéacien, maintenant, serait de pouvoir ouvrir un musée, « pourquoi pas à Loudéac d’ailleurs, c’est le carrefour de la Bretagne », sur le thème des musiques actuelles bretonnes.
Jusqu’au 1er mars, exposition Rok, à la médiathèque de Loudéac. Entrée libre.
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