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LES INROCKUPTIBLES
Etienne fait la couverture du numéro de mai Spécial Cannes.
Il est interviewé par: Françoise Hardy, Lola Lafon, Xavier Veilhan, Jean-Louis Brossard, Jehnny Beth, Miossec, La Femme, Tristan Garcia, Malik Djoudi, Elli Medeiros, Sandrine Kiberlain, Christophe Honoré, Lionel Liminana, Juliette Armanet, Alex Kapranos (Franz Ferdinand), Olivier Assayas, Vanessa Seward, Flavien Berger, Benjamin Biolay, Isabelle Adjani, Dominique Gonzalez-Foerster, Vincent Lacoste.
+ les films de sa vie.
Par Franck Vergeade
Photo: L’Etiquette
Les Inrockuptibles Studio L'Étiquette #franckvergeade #francoisehardy #lolalafon #xavierveilhan #jeanlouisbrossard #jehnnybeth #Miossec #lafemme #tristangarcia #malikdjoudi ELLI MEDEIROS #sandrinekimberlain #christophehonore #lionelliminana #juliettearmanet #alexkrapanos #franzferdinand #OlivierAssayas #vanessaseward #flavierberger #benjaminbiolay #isabelleadjani #DominiqueGonzalezFoerster #VincentLacoste
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Étienne Daho au sommet de son art avec « Tirer la nuit sur les étoiles »
Pour son nouveau chapitre discographique, le douzième depuis l’inaugural “Mythomane” en 1981, le Rennais d’adoption signe un album plus immédiat que “Blitz”, aussi orchestral qu’“Eden” et mélodique que “Corps et Ârmes”, tout en replongeant dans l’inspiration malouine de “La Notte, La Notte”. Du Daho à la fois neuf et historique, imparable et profond. Écrit par Franck Vergeade “Je serai ton ami…
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Quand Andrea Laszlo de Simone chante l'amour paternel
Révélation de l'année avec son renversant Immensità, le chanteur et compositeur turinois publie un splendide nouveau single, Dal Giorno In Cui Sei Nato Tu, inspiré par sa paternité. Un peu de dolce vita dans un monde d'après sous couvre-feu.
Dans un vendredi morose d'avant couvre-feu pour 20 millions de Français, quoi de plus beau qu'un peu de musique comme baume au cœur ? Sept mois après la sortie d'Immensità, l'Italien Andrea Laszlo de Simone revient enchanter l'automne avec une chanson enregistrée il y a deux ans, peaufinée après le déconfinement et inspirée par sa paternité.
“Il y a deux ans, j’ai écrit cette chanson à mon fils. Aujourd’hui, il a tourné cette vidéo pour moi. Merci Martino. Bienvenue Lucia, notre chère fille, notre chère sœur. Etre père est la plus belle expérience de ma vie”, résume le Turinois moustachu, nouvelle coqueluche de la pop européenne que l'on pourra enfin applaudir aux Trans Musicales de Rennes les 2 et 3 décembre prochains au Théâtre national de Bretagne.
De quoi oublier (un peu) le monde d'après sous cloche
En attendant donc, on va pouvoir écouter en boucle Dal Giorno In Cui Sei Nato Tu (Depuis que tu es né) et regarder le clip tourné par le fils d'Andrea, Martino, pendant les vacances estivales de la famille de Simone où le chanteur tout sourire s'en donne à cœur joie, façon Journal intime de Nanni Moretti. De quoi oublier (un peu) le monde d'après sous cloche.
#andrea laszlo de simone#immensità#Dal Giorno In Cui Sei Nato Tu#pop#pop italienne#affairesasuivre#affaires a suivre#les inrockuptibles#franck vergeade
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Hommage à Philippe Pascal dans les inrockptibles de cette semaine
#philippe pascal#marquis de sade#franck vergeade#les inrockuptibles#les inrocks#etienne daho#pascal obispo#franck darcel
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Quarante ans après son tout premier passage au festival rennais, le chanteur donnera deux concerts immanquables dans le cadre de son "Eden Daho Tour" les 4 et 5 décembre.
La nouvelle était attendue, elle est désormais officielle. Les Trans Musicales, dont la 41ème édition aura lieu du 4 au 8 décembre dans la capitale bretonne, accueilleront Etienne Daho, quarante ans exactement après être monté pour la première fois sur scène dans sa ville d'adoption aux côtés du collectif Entre les Deux Fils Dénudés de la Dynamo. Le chanteur s'est ensuite produit aux Trans Musicales en 1980 sous le sobriquet d'Étienne Daho Jr. dans la mythique Salle de la Cité et en 1986 pour une soirée labellisée “Daho et ses amis” en pleine Dahomania, et il a coutume d'achever ses tournées hexagonales à Rennes, comme lors du Blitz Tour 2018.
A l'occasion de la réédition ô combien attendue d'Eden (1996), prévue pour le 25 octobre, Etienne Daho avait annoncé une tournée automnale pour interpréter les titres de son album fétiche et visionnaire, réalisé à Londres avec la complicité d'Arnold Turboust et collaborant avec un prestigieux casting (l'arrangeur David Whitaker, la diva bossa Astrud Gilberto, Elli Medeiros, Sarah Cracknell de Saint Etienne). Si la tournée annoncée débutera le 25 octobre à Créteil pour s'achever le 23 décembre à Pleyel pour un Noël avant l'heure, les deux concerts du 4 et du 5 décembre au Théâtre national de Bretagne promettent quelques grands frissons. Comme l'air d'Au Commencement.
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Daho l'aime pop ! Les années 80 sélectionnées par Etienne Daho, l'intégrale | Archive INA
Abonnez-vous http://bit.ly/InaDahoLaimePop Etienne Daho s'est plongé dans les archives de l'Ina afin de prolonger l'exposition "Daho l'aime pop !" à la Philharmonie de Paris. Découvrez des titres des années 80 sélectionnés par Etienne Daho. Alain Bashung " Vertige de l'amour " Pauline Lafont « M’oublie pas » Alain Chamfort » Paradis » La souris déglinguée « Partie de la jeunesse » Less fils de joie » Adieu Paris » Gamine « Voilà les anges » Niagara « Quand la ville dort » Mikado « Fille du soleil » Daniel Darc « La ville » Commissariat de l’exposition – Etienne Daho Tristan Béra Textes : Franck Vergeade Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel http://www.ina.fr
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Daho l'aime pop ! Les années 70 sélectionnées par Etienne Daho, l'intégrale | Archive INA
Abonnez-vous http://bit.ly/InaDahoLaimePop Etienne Daho s'est plongé dans les archives de l'Ina afin de prolonger l'exposition "Daho l'aime pop !" à la Philharmonie de Paris. Découvrez des titres des années 70 sélectionnés par Etienne Daho. Véronique Sanson « Besoin de personne » Françoise Hardy « Message personnel » France Gall « Comment lui dire » Gerard Manset « Animal on est mal » Christophe « Les Paradis perdus » Brigitte Fontaine et Jacques Higelin «Cet enfant que je t’avais fait » Patrick Juvet « Où sont les femmes » Sheila « Spacer » Amanda Lear "Follow me" Cerrone « Supernature » Stinky Toys « Birthday Party» Taxi Girl « Mannequin » Marquis de Sade « Japanese Spy » Commissariat de l’exposition – Etienne Daho Tristan Béra Textes : Franck Vergeade Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel http://www.ina.fr
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C'est parti pour le direct du bonheur au @midifestival, et tout de suite c'est Etienne Daho au micro http://j.mp/ecoutenova
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Daho l'aime pop ! Les années 60 sélectionnées par Etienne Daho, l'intégrale | Archive INA
Abonnez-vous http://bit.ly/InaDahoLaimePop Etienne Daho a sélectionné des chansons dans les archives de l'INA pour prolonger l'exposition "Daho l'aime pop !" à la Philharmonie de Paris. Sylvie Vartan « Quand tu es là » France Gall «Teenie Weenie Boppie » Dani «La machine» Anna Karina « Sous le soleil exactement » Petula Clark « La Gadoue » Marie Laforet « Manchester et Liverpool » Marianne Faithfull « Hier ou demain » Françoise Hardy « Voilà » Serge Gainsbourg « En relisant ta lettre » Serge Gainsbourg Jane Birkin "Ballade de Melody Nelson" Commissariat de l’exposition – Etienne Daho Tristan Béra Textes : Franck Vergeade Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel http://www.ina.fr
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Etienne Daho a photographie la nouvelle scene musicale au MIDI Festival
Du 22 au 24 juillet se tenait, dans le superbe cadre de la Villa Noailles à Hyères, le MIDI festival 2016, imaginé par Frédéric Landini et présidé par Franck Vergeade. Pour cette douzième édition, le festival avait la chance d’avoir à ses côtés Etienne Daho, qui a accepté d’en être le président d’honneur. Un rôle qu’il a pris à cœur.
Pendant trois jours, dans un studio photo situé non loin des loges, il a immortalisé les autres artistes avant leur montée sur scène. Entre deux shootings, on a pu parler de cette initiative et du festival avec les organisateurs et un président d’honneur un peu particulier. Une introduction idéale pour découvrir ce portfolio signé Etienne Daho.
C’est la première fois que le MIDI Festival a un président d’honneur : comment est venue cette idée, et pourquoi avoir confié cette mission à Etienne Daho ?
Frédéric Landini : C’est une conversation qui a débuté en 2009. A cette époque, j’avais l’envie d’apporter à la programmation du festival une référence pop, puisque c’est la vision musicale qui est exploitée ici, au MIDI. C’est vrai que je rêvais aussi d’avoir un lien avec un artiste-icône qui représentait à la fois l’histoire de la musique et l’idée que j’avais du MIDI festival : quelqu’un de quasi-international, mais français. Je trouve qu’Etienne Daho a montré à la pop la possibilité de chanter en français. Aujourd’hui, on en a un héritage beaucoup plus démonstratif qu’avant. Les jeunes artistes sont de plus en plus libérés face à cette langue, ce n’est plus un obstacle, elle est vraiment intégrée.
En 2009, la situation n’était pas la même, mais j’avais envie qu’on se rapproche de quelqu’un qui pourrait incarner tout cela. On a proposé à Etienne par l’intermédiaire de Franck Vergeade (le président du MIDI Festival – ndlr), sans réelle idée précise, comme une déclaration d’amour. De mois en mois, les discussions venaient avec l’agenda et cette année, tout s’est rassemblé.
Etienne, qu’est-ce qui vous a donné envie de dire oui à ce projet ?
Etienne Daho : Ça a été long pour une question d’emploi du temps : il y avait toujours une tournée, toujours un album qui faisait que ce n’était pas possible. Pour ce genre de projet, si on dit oui, il faut aller jusqu’au bout. Je pourrais me contenter de voir les concerts, ça me va tout à fait, mais j’avais envie d’aller plus loin, de ne pas être qu’une simple présence. Le projet m’a séduit, je connais bien Franck qui m’a beaucoup accompagné ; c’est un luxe d’avoir quelqu’un qui a compris aussi bien mon travail et qui m’a défendu, et pour moi ça compte.
Quand j’ai rencontré Frédéric qui m’a proposé cette présidence d’honneur, j’ai dit oui tout de suite. Après il fallait juste trouver le moment pour le faire à fond. C’est toujours resté dans un coin de ma tête, et cette année, je les ai appelé au printemps, en leur demandant si c’était possible d’organiser cela pour cette édition. J’ai repris mon appareil photo il y a quelques années pour photographier des artistes de la nouvelle scène pour le projet Tombés pour la France à la Salle Pleyel : je voulais renouveler l’expérience ici, pouvoir documenter cette édition et faire ces photos. Au-delà du plaisir que j’ai à les faire, ce sont des rencontres, et passer de l’autre côté de l’objectif est aussi pour moi une petite vengeance (rires).
Ce rôle de parrain ou de passeur, qui avait été amorcé par votre Carte Blanche à la Salle Pleyel, ce ne sont pas des rôles ou des appellations qui vous dérangent ?
Etienne Daho : Il y a pire. C’est juste très difficile, soi-même, de se rendre compte de ce genre de choses. Tout artiste rêve de cela, et si c’est le cas, c’est génial. Mais j’ai du mal à l‘intégrer. Je n’ai pas assez de recul.
Cette année, un tiers de la programmation du MIDI Festival est française : était-ce un hasard ou une envie ?
Frédéric Landini : C’est un peu un hasard de la programmation et de l’agenda. Le MIDI n’a jamais été un festival qui choisissait un groupe parce qu’il était anglo-saxon, nous n’avions pas ce besoin. Ce qui nous intéresse, c’est la vision du monde des artistes. Je crois que pour nous, cela s’explique par le fait qu’il y ait davantage de groupes français actifs dans la veine de ce que nous faisons. C’est peut-être aussi un cap pour nous et pour la scène française : on s’accorde enfin pleinement.
Etienne, vous qui la photographiez depuis trois jours, à quoi ressemble cette nouvelle scène pop ?
Etienne Daho : La photographie permet de se mettre tellement à nu… J’arrive à capturer quelque chose, et je le retrouve ensuite sur scène : tout ce qui se passe dans le studio photo devient flagrant une fois que les artistes se produisent. C’est très intéressant de passer de l’autre côté : je connais la difficulté d’être photographié, j’ai horreur de ça. Pour la plupart, ils sont très jeunes et n’ont pas conscience de leur image. C’est aussi joli : il y a des découvertes qui se font, des gens qui se découvrent sur les clichés.
Y-a-t il un artiste avec qui il s’est passé quelque chose de spécial ?
Etienne Daho : Pour le moment (l’interview a eu lieu dimanche 24 – ndlr), c’est toujours très intense, quel que soit le niveau de tension, parce qu’il faut répéter, faire les balances, parce que les séances photo sont toujours une corvée…Et puis je suis aussi musicien, je suis dans une situation particulière par rapport à eux, c’est une gêne qu’il faut dissiper, il faut qu’ils soient rassurés. Il n’y a aucune séance que je n’ai pas aimé, mais j’ai beaucoup apprécié celle avec Flavien Berger. Il est très charismatique, il dégage quelque chose de très fort. Globalement, c’est très agréable à faire. J’ai adoré Liss aussi, c’est très frais. Ils sont très jeunes, très pros, c’est assez étonnant. J’ai beaucoup apprécié aussi Lion Lime, que j’ai trouvé assez extraordinaire. La séance avait été vraiment forte, et je trouve ça très couillu et très beau de faire un guitare/batterie comme ça, ce n’est pas évident et ça m’a vraiment captivé, cette pureté.
Vous avez eu un retour des groupes qui ont posé ?
Franck Vergeade : Tout le monde est content. C’est un hasard que le festival ait une touche aussi française cette année. Pour eux c’est l’icône pop par excellence. Ce qui est drôle pour les étrangers, les Américains par exemple, comme Lion Lime, ignoraient complètement qui il est. Par l’écart générationnel, certes, mais aussi parce qu’Etienne est surtout populaire dans les pays francophones. Ce qui est le plus troublant pour eux, c’est de se retrouver devant l’objectif d’un chanteur, qui est dans sa lignée le plus populaire qui soit. Tout le monde ressort avec le sourire, il y a un échange ensuite qui se fait, dans la sélection de photos…
Ces photos ont-elles vocation à être exposées prochainement ?
Franck Vergeade : On réfléchit à les faire vivre de manière éditoriale. C’est une telle richesse pour nous, et pour le festival. Elles vont forcément déclencher d’autres choses.
Au MIDI, il y a aussi une vraie rencontre des genres : L’impératrice tend vers le disco, Liss vers le r’n’b, etc. Peut-on encore cataloguer les artistes sous l’étiquette pop en 2016 ?
Etienne Daho : La pop, c’est justement cet espace de liberté qui permet toutes les tentatives. Quand vous dites que vous faites du rock, les gens s’attendent à vous voir 20 ans après en cuir noir. Quand on fait de la pop, on peut utiliser toutes les couleurs différentes de la musique pour en faire quelque chose. Au départ, quand j’ai dit que je faisais de la pop, c’était une manière de me différencier : à l’époque, il n’y avait que, d’un côté, la grosse variété assez lourde et, de l’autre, le rock très traditionnel – c’était insoutenable. Je ne me sentais appartenir à rien et j’ai donc décrété bêtement que je faisais de la pop, parce qu’il fallait que je trouve mon espace.
Ce rêve de pop que vous aviez en lançant le MIDI festival, est-il le même que vous retrouvez aujourd’hui sur la scène de la Villa Noailles ?
Frédéric Landini : C’est la même démarche, trouver tous ces groupes, qu’ils soient dans cette vision. Après, nous avons fait des choses plus larges, comme un peu d’expérimental… mais c’est toujours pop. Il y a cette intention qui va vers les gens. Dans certains groupes venus au MIDI, il y avait ceux qui avaient cette vision, mais n’avaient pas cette rencontre avec le public. C’est une définition un peu étonnante, sur le fil du rasoir. Pour les anglo-saxons, la pop, c’est ce qui marche, ce qui est mainstream, et ici on est en train de définir un style qui va à la fois vers les gens, qui veut leur montrer quelque chose, mais qui n’a pas réellement de tenants et d’aboutissants très construits. Ça reste un fantasme, quelque chose d’un peu idéal.
Dans une époque assez dure, n’a t-on pas ce besoin de pop ?
Frédéric Landini : Je trouve que la musique a toujours un répondant exceptionnel à n’importe quelle situation. Qu’elle soit tendue, désespérée ou critique, la musique est toujours créative. Je pense que les gens ont envie de passer à autre chose dans beaucoup de domaines, mais que les artistes agissent en réaction et présentent leurs sentiments comme cela. Après, c’est un sentiment personnel, mais nous avons besoin des artistes et de la musique. Je pense que les artistes amènent quelque chose avec lequel ils ne peuvent pas faire autrement.
Etienne Daho : La musique hédoniste est toujours une réponse à un climat un peu tendu. Justement, j’ai constaté, lors des deux soirées que nous avons passé au MIDI, qu’il y a quelque chose qui vient du lâcher-prise, de l’abandon, avec cette musique qui fait du bien, qui fait plaisir. On sent qu’il y a beaucoup de tension à l’extérieur, et dans le cadre du MIDI c’est très doux, c’est très beau. J’ai photographié aussi le public : tous les gens sourient, c’est sublime. Il y a cet espace et cette vibration.
Vous avez évoqué, cette année, un tournant pour le MIDI festival : comment est-il amené à évoluer dans les prochaines années ?
Frédéric Landini : Le festival a besoin de trouver son format idéal, sa pérennité, sa promesse. C’est vrai que revenir à une programmation nocturne, électronique, mais aussi assez large en terme de représentation musicale, ce n’est pas toujours possible dans le type de lieu dans lequel on est aujourd’hui. Le festival doit imaginer son futur. C’est la douzième édition, on rentre dans la deuxième décennie du festival. Cela fera peut-être l’objet d’un nouveau site, d’une nouvelle collaboration ou de partenaires différents. Le festival est prêt à faire nouveau saut.
Vous pensez réitérer l’exercice de la présidence d’honneur ?
Frédéric Landini : Oui je pense. Aujourd’hui, on est dans une histoire tellement forte avec Etienne qu’on a du mal à l’imaginer avec quelqu’un d’autre. Mais je pense que cette démarche pourrait être intéressante pour nous et pour d’autres invités. On aurait pu l’imaginer tout le temps avec lui, mais je pense qu’il faut varier les plaisirs. J’aimerais bien avoir un président d’honneur avec un studio d’enregistrement, qui ferait la même chose qu’Etienne, mais avec la musique. A suivre…
source :http://www.lesinrocks.com/2016/07/27/musique/etienne-daho-a-photographie-la-nouvelle-scene-musicale-au-midi-festival-11855857/
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MAGIC : LA BELLE AVENTURE POP MODERNE S’ARRËTE
http://www.magicrpm.com/apres-vingt-et-un-ans-en-kiosque-l…/
Depuis 21 ans, le journal Magic a traqué les moindres bruissements de la pop française et internationale, mettant courageusement en lumière et en couverture, des artistes confirmés mais très souvent émergeant. Au fil des années, Magic était devenu une bible et une alternative solide face au mainstream, à l’inculture ambiante et au mercantilisme. C’est avec une grande tristesse que j’apprends sa disparition.
Merci à Franck Vergeade, Christophe Basterra et tous leurs collaborateurs, d’avoir inlassablement défendu les couleurs de la pop. Gratitude. Etienne
ps: Vous pouvez laisser vos messages pour le journal.
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