#françois lecointre
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FRENCH GENERAL: EUROPE MUST INTERVENE IN AFRICA In the face of an anti-imperialist revolution unfolding across France’s former colonies of the Sahel region, French army general François Gérard Marie Lecointre speaks in this @lefigaro clip about the need for greater European unity to re-engage in military action across Africa. He makes clear that European action in Africa would be a matter of protecting European interests. Lecointre suggested hardship and population growth in Africa would spill into Europe and that only Europe could solve Africa’s problems. His emphasis on European unity also sheds light on Europe’s shared supranational foreign policy. Meanwhile, after successful military coups in recent years in the Sahel, the unity and shared foreign policy of Mali, Burkina Faso and Niger—together known as the Alliance of Sahel States (AES)—have been able to combat terrorist paramilitary groups without French intervention. It seems as though European military leaders are clear on the need for a Pan-European policy and actions. Are Africans ready to adopt Pan-Africanism?
Message to the General- SVCK U MUDDAH
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Hélène Rajcak et Damien Laverdunt : À la rencontre du vivant. Le grand livre de la biodiversité - Ouvrage
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
Un album jeunesse immersif sous la forme d’une exploration, menée par Hélène Rajcak et Damien Laverdunt, sous la supervision scientifique de Guillaume Lecointre.
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via Fil d’actualité | LinkedIn, Gwénaëlle Arons Guervenou https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7253044767532466176/
Il y a 6 jours
📚De nouvelles parutions à découvrir à la Une de ma revue de presse et du net hashtag#biodiversité https://lnkd.in/etGwjxmJ 📘 Facettes fascinantes de belles bêtes François Lasserre 🐝💤 Ill. Maud JUNGUENÉ 📘 Mobiliser la société à travers le prisme de l'imaginaire Jules Colé ADEME 📘 J'explore la France et ses merveilles Mélody Denturck Justine de Lagausie Alex Viougeas Fédération des Parcs naturels régionaux de France 📘 À la rencontre du vivant. Le grand livre de la biodiversité Hélène Rajcak Damien Laverdunt Muséum national d'Histoire naturelle
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Η Γαλλία διέψευσε ότι ζήτησε να χρησιμοποιήσει τον εναέριο χώρα της Αλγερίας για να επιτεθεί στο Νίγηρα
Ο αρχηγός του επιτελείου άμυνας της Γαλλίας, αντιστράτηγος Φρανσουά Λεκοιντρ/ François Lecointre, διέψευσε την Τρίτη δημοσιεύματα ότι το Παρίσι ζήτησε από την Αλγερία να χρησιμοποιήσει τον εναέριο χώρο της για να πραγματοποιήσει στρατιωτική επιχείρηση στον Νίγηρα, γράφει αραβικό δημοσίευμα. Το αλγερινό ραδιόφωνο είχε αναφέρει νωρίτερα ότι η Αλγερία απέρριψε γαλλικό αίτημα για άνοιγμα του εναέριου…
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Η Γαλλία διέψευσε ότι ζήτησε να χρησιμοποιήσει τον εναέριο χώρα της Αλγερίας για να επιτεθεί στο Νίγηρα
Ο αρχηγός του επιτελείου άμυνας της Γαλλίας, αντιστράτηγος Φρανσουά Λεκοιντρ/ François Lecointre, διέψευσε την Τρίτη δημοσιεύματα ότι το Παρίσι ζήτησε από την Αλγερία να χρησιμοποιήσει τον εναέριο χώρο της για να πραγματοποιήσει στρατιωτική επιχείρηση στον Νίγηρα, γράφει αραβικό δημοσίευμα. Το αλγερινό ραδιόφωνο είχε αναφέρει νωρίτερα ότι η Αλγερία απέρριψε γαλλικό αίτημα για άνοιγμα του εναέριου…
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Η Γαλλία διέψευσε ότι ζήτησε να χρησιμοποιήσει τον εναέριο χώρα της Αλγερίας για να επιτεθεί στο Νίγηρα
Ο αρχηγός του επιτελείου άμυνας της Γαλλίας, αντιστράτηγος Φρανσουά Λεκοιντρ/ François Lecointre, διέψευσε την Τρίτη δημοσιεύματα ότι το Παρίσι ζήτησε από την Αλγερία να χρησιμοποιήσει τον εναέριο χώρο της για να πραγματοποιήσει στρατιωτική επιχείρηση στον Νίγηρα, γράφει αραβικό δημοσίευμα. Το αλγερινό ραδιόφωνο είχε αναφέρει νωρίτερα ότι η Αλγερία απέρριψε γαλλικό αίτημα για άνοιγμα του εναέριου…
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Η Γαλλία διέψευσε ότι ζήτησε να χρησιμοποιήσει τον εναέριο χώρα της Αλγερίας για να επιτεθεί στο Νίγηρα
Ο αρχηγός του επιτελείου άμυνας της Γαλλίας, αντιστράτηγος Φρανσουά Λεκοιντρ/ François Lecointre, διέψευσε την Τρίτη δημοσιεύματα ότι το Παρίσι ζήτησε από την Αλγερία να χρησιμοποιήσει τον εναέριο χώρο της για να πραγματοποιήσει στρατιωτική επιχείρηση στον Νίγηρα, γράφει αραβικό δημοσίευμα. Το αλγερινό ραδιόφωνο είχε αναφέρει νωρίτερα ότι η Αλγερία απέρριψε γαλλικό αίτημα για άνοιγμα του εναέριου…
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Nos soldats ne sont pas des psychopathes et il leur est toujours difficile de déchaîner la violence. Nous leur expliquons que tuer de manière délibérée n’est pas un acte individuel. Ce n’est pas de leur unique responsabilité. C’est la responsabilité de tous les Français de par une mission dont la légitimité n’est pas discutable. Cela dépasse la simple légalité. Être héroïque, c’est être capable de donner la mort en mettant sa propre vie en danger. Cette symétrie est une manière de rétablir les choses car je suis prêt moi aussi à offrir ma vie. = Nasi żołnierze nie są psychopatami i im jest zawsze trudno zastosować przemoc. My im tłumaczymy, że zabijanie w sposób celowy/postanowiony/, ni de jest aktem indywidualnym. To nie jest ich jednostkowa odpowiedzialność. To jest odpowiedzialność, wszystkich Francuzów, poprzez misję, a więc legitymizacja, nie /może/ być /poddana/ dyskusji. To wykracza, poza prostą legalność. Bycie bohaterem, to być zdolnym zadać śmierć, narażając swoje własne życie na niebezpieczeństwo. Ta symetria, jest sposobem ustalenia tych rzeczy/moralnych/, ponieważ ja gotowy również, jestem zaoferować moje życie
Général François Lecointre
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Nommé il y a un an à la tête des armées françaises après la démission de Pierre de Villiers, cet officier d'infanterie de marine met son expérience de l'action au profit d'une réflexion constante.
Avec ce physique-là, François Lecointre aurait pu faire du cinéma. Grand, svelte, une carrure d'athlète, une «belle gueule» soulignée par des yeux bleu acier: un Burt Lancaster français. Pourtant, il n'aurait pas trouvé sa place dans le septième art: le chef d'état-major des armées, le «Cema» dans le jargon militaire, est trop discret et pudique pour les sunlights, les interviews et les premières.
La gloire, François Lecointre l'a connue en bravant le danger les armes à la main, en tant que capitaine au 3e régiment d'infanterie de marine (RIMa) dans le cadre des forces onusiennes. C'était lors de la reprise du pont de Vrbanja, à Sarajevo, le 27 mai 1995. Des Casques bleus français y avaient été pris en otage par les Bosno-Serbes. Hors de lui, Jacques Chirac avait ordonné qu'on les libère par la force. Une section menée par le lieutenant Heluin, subordonné du capitaine Lecointre, avait donné l'assaut. Lorsque le jeune officier fut blessé, François Lecointre prit lui-même la tête des soldats jusqu'à la victoire. Deux marsouins du 3e RIMa perdirent la vie dans ce qui est considéré comme le dernier combat «baïonnette au canon» de l'armée française. Pour cet acte de bravoure, le capitaine Lecointre, 33 ans à l'époque, avait été fait chevalier de la légion d'honneur deux semaines plus tard.
» LIRE AUSSI - Les grands travaux du général François Lecointre à la tête des armées
Éviter le pire
À 56 ans, celui qui arbore désormais cinq étoiles sur sa vareuse contemple sa carrière comme la chronique des conflits auxquels la France a pris part, soit comme belligérante, soit comme force d'interposition. Le général Lecointre les a tous connus, sur le terrain ou depuis l'état-major: Irak, Somalie, Djibouti, Rwanda, Bosnie, Côte d'Ivoire, Afghanistan, Mali, Syrie. Quand son interlocuteur tente de l'amener sur le terrain d'une armée française qui incarna l'humanitaire des années 1980-1990, François Lecointre réagit vivement: «Quelle que soit l'opération, nous sommes restés des soldats. Les Français n'ont jamais été en posture de paix. Notre mission consistait au maintien de la paix et nous n'avons pas hésité à utiliser la force si nécessaire, comme ce fut le cas à Sarajevo.» Pour lui, les mandats que la France a reçus de l'ONU consistaient à éviter le pire, à empêcher que des situations de guerre dégénèrent. «Nous avons contribué au retour du droit et d'une vie civile normale», insiste-t-il. Et d'illustrer son propos par une comparaison éclatante: «Aujourd'hui, mieux vaut habiter Sarajevo que Grozny.»
François Lecointre est un soldat. Par vocation, par patriotisme et par éthique
François Lecointre est un soldat. Par vocation, par patriotisme et par éthique. Très tôt, il a choisi le métier des armes. Comme l'homme parle difficilement de lui-même, il ébauche quelques pistes. La plus évidente est celle de la famille. Né d'un père officier de marine - l'amiral Yves Lecointre, qui commanda le Redoutable, premier sous-marin nucléaire lanceur d'engins français -, le Cema compte d'autres militaires dans sa famille. Un oncle paternel, amiral lui aussi. Et surtout un grand-père officier qui connut l'étrange défaite de 1940, la captivité en Allemagne et les combats de la Libération. Et enfin, douloureuse mémoire familiale, un oncle maternel saint-cyrien mort à 23 ans brûlé vif en Algérie après avoir fait passer ses hommes devant lui pour leur sauver la vie. Cette généalogie constellée de galons et d'étoiles a certainement constitué une sorte de «destinée», comme il l'appelle lui-même.
Questionnement constant
Tout naturellement, ses études secondaires au Prytanée militaire de La Flèche l'ont conduit droit à Saint-Cyr-Coëtquidan. Mais le général Lecointre insiste sur l'étape précédente, le collège Saint-François Xavier de Vannes. «Le passage chez les jésuites m'a beaucoup aidé, dit-il. Leur enseignement passe par le questionnement.» Une pédagogie qui l'a tellement marqué que ses quatre filles ont fréquenté le collège et lycée Madeleine-Daniélou de Rueil-Malmaison, un des établissements les mieux côtés en France.
Le questionnement à la manière des jésuites semble ne l'avoir jamais quitté. Car celui qu'Emmanuel Macron a présenté comme un «héros» quand il l'a nommé Cema en remplacement du général de Villiers (qui avait démissionné avec fracas en juillet 2017parce que le budget des armées avait subi une coupe soudaine) est aussi un intellectuel en réflexion constante sur son métier, la mission des armées et leur devenir dans une société en rapide transformation. Ceux qui ont étudié, servi ou servent encore à ses côtés sont unanimes: François Lecointre est brillant. Il brille, certes, mais sans morgue et sans distance. Quand il explique sa pensée à son interlocuteur, il est pédagogue. Il n'hésite pas à dessiner un croquis sur un carnet pour clarifier son propos et cite les meilleurs auteurs pour appuyer son argument.
« C'est un chef comme il en existe peu »
«C'est un chef comme il en existe peu», dit le colonel Patrik Steiger, aujourd'hui porte-parole des armées après avoir été son chef d'opérations dans le dispositif Licorne en Côte d'Ivoire (2006-2007). Un de ses condisciples à «Coët» se souvient d'un élève officier sympathique et intellectuellement impressionnant mais «rarement prêt à la déconne». Un jeune officier, un de ses actuels subordonnés, explique combien le général Lecointre pousse son entourage à lire, à se cultiver, à réfléchir. On retrouve ce trait de caractère dans la revue de l'armée de terre Inflexions qu'il a contribué à fonder, qu'il a dirigée et dont il est resté très proche. «Nous voulions créer un espace de réflexion et de dialogue, associant à parité civils et militaires, dit-il. Et encourager les officiers à écrire.» Le général Lecointre salue au passage les évolutions du statut des militaires qui leur ont permis de grandes avancées en matière de liberté d'expression. Lui-même adore lire et écrire et dit admirer de grands anciens comme de Gaulle et Lyautey. Parmi ses livres de chevet, il cite Lucien Leuwen, de Stendhal, et Le Hussard sur le toit, de Giono. Puis il évoque dans le même souffle Vendredi ou les Limbes du Pacifique, de Tournier, avant d'avouer son intérêt pour les travaux philosophiques de Bachelard.
Proximité avec les soldats
En l'accompagnant au Burkina Faso et au Mali dans le cadre d'une visite à l'opération Barkhane, on découvre le Cema sous un autre visage, celui d'un homme de terrain proche de la troupe. Durant sa «tournée des popotes», aussi bien sur la gigantesque base de Gao qu'auprès des légionnaires de la 13e demi-brigade de Légion étrangère déployés dans un oued sous une chaleur brûlante, le général Lecointre fait montre de proximité avec les soldats. Il les interroge sur leurs conditions de vie, la fiabilité de leur matériel, la qualité des communications qu'ils utilisent. Il s'attarde également aux côtés de jeunes officiers maliens en détachement auprès des forces françaises. Il reconnaît l'un d'entre eux qu'il avait contribué à former lorsqu'il dirigeait la mission de formation de l'Union européenne au Mali en 2013.
Un an après sa nomination, est-il parvenu à dissiper le malaise des officiers français consécutif à la bruyante démission du général Pierre de Villiers et au mouvement de menton malvenu du président Macron(«Je suis votre chef!»)? Auprès des militaires, son autorité et sa légitimité sont incontestables. La loi de programmation qui vient d'être définitivement adoptée assure des dépenses en progression pour atteindre 2 % du PIB en 2025. En cela, il a ferraillé dans le sens de son prédécesseur qui en avait fait un de ses chevaux de bataille. François Lecointre se soucie également beaucoup des conditions de vie des officiers, souvent plus complexes et moins favorables que celles des sous-officiers. Il envisage leur amélioration comme une priorité.
Reste le chapitre des missions extérieures, dont la plus importante de toutes, Barkhane (4 500 hommes). La récente recrudescence d'attentats avant la visite d'Emmanuel Macron dans la région a semé le doute. Mais pas dans la tête du Cema. «Nous sommes dans les clous, explique-t-il. Les forces françaises sont déployées dans la durée, une dizaine d'années encore.» Avant d'ajouter: «Partir signifierait le retour du chaos. Et personne ne le veut.»
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Kanzlerin Merkel zum französischen Nationalfeiertag in Paris Präsident Macron will bei Parade militärische Stärke Europas demonstrieren Paris- haben die offiziellen Feierlichkeiten zum französischen Nationalfeiertag begonnen. Frankreichs Präsident Emmanuel Macron inspizierte am Sonntag an der Seite von Generalstabschef François Lecointre die Truppen an Bord eines offenen Militärjeeps.
#Aktuelle#Angela Merkel#Ausland#Außenpolitik#François Lecointre#Nachrichten#Nationalfeiertag#News#Paris#Presse
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Notre position est ici des plus allarmantes. notre Collègue Prieur [de la Marne] est parti vendredi soir [5 juillet 1793], pour aller vous exposer avec franchise la situation vraiment critique, où se trouve le Département de la Seine inférieure, par le défaut total de subsistances, et pour vous engager à prendre les mesures les promptes afin de faire cesser cette terrible pénurie ; sans quoi il etait impossible de se dissimuler que, sous peu de jours, les mouvements les plus effrayants seraient inévitables, tant à Rouen, que dans la plupart des Districts de la Seine inférieure. Lors du départ de notre Collègue Prieur, il nous promît d’être de retour Samedi ou dimanche, ou de nous donner des nouvelles sur l’objet de sa mission ; mais malgré sa promesse, et dans l’état de perplexité où nous nous trouvons ici, nous n’avons reçu aucunes nouvelles. Cependant, les environs de Rouen et les Districts du Département s’agitent. La faim présente, et de plus l’aspect d’une famine qui semble inévitable, joints à votre silence et à celui de notre collègue Prieur, que l’on nous annonce dans cet instant etre resté malade à Paris, nous font redouter pour la République un avenir tel que nous ne pouvons repondre de ce qui se passera ; et nous ne pouvons même vous dissimuler que si nous restons — jusqu’à demain soir ou mercredi matin sans reponses, et surtout sans secours et subsistances, ou + [[au-dessus :] sans+] ordres d’en fournir en nature, pris soit au havre, soit dans les magasins militaires, tant qu’il y en éxistera, il nous semble impossible de contenir un Peuple dévoué à la liberté et à l’unité de la république ; mais qui, ayant faim, se porterait à des excès qu’il ne Serait au pouvoir ni des Représentants, ni des autorités constituées d’arrêter. Quant à nous, nous resterons à notre poste, en attendant votre prompte reponse, bien disposés à faire tous les sacrifices qu’exige l’honneur de la république. N’allez pas croire, Citoyens Collègues, que notre exposé soit exagéré. Depuis que nous sommes ici, nous avons observé et suivi tout ce qui se passe, et nous avons usé de tous les moyens possibles pour arrêter les mouvements, et forcer, pour ainsi dire, le peuple à la patience ; mais enfin elle est aujourd’hui à bout. La faim parle, et on ne peut lui répondre qu’avec du pain. Voilà notre position. Jugez-la ; et agissez, sans quoi nous ne voyons que la certitude des plus grands malheurs. Nous vous laissons à examiner si la proximité de ces mouvements avec la rébellion de l’Eure et du Calvados, n’est pas de nature à tout perdre. Le Peuple est disposé à la tranquillité ; mais il lui faut des subsistances. La Constitution a été proclamée hier avec beaucoup de solemnité, et il [[au-dessus :] le Peuple] a paru l’adopter davance avec franchise et loyauté ; mais, encore une fois, cette Constitution ne lui met pas, sur le champ, le pain à la main. D’après ce tableau, il faut agir, et sur-le champ. Dans tous les cas, répondez-nous ; le salut du Peuple l’exige.
Lettre des représentants en mission Lecointre et Esnuë-Lavallée au CSP. Rouen, 8 juillet 1793 (AN AF II 148, pl. 1196, p. 2).
Je ne sais plus si j’ai mentionné ici que j’ai découvert trop tard qu’on mettait aux enchères une partie de la correspondance privée de Prieur de la Marne, qui reste désormais, de façon très frustrante, hors de portée pour les chercheurs. On peut toujours lire une partie très incomplète de cette correspondance en ligne, puisqu’on l’a prise en photo (mais pour donner une impression générale, pas pour être lisible, à l’instar de cette image des papiers de Robespierre acquis en 2011, si vous la connaissez), et donc, j’ai réussi à déchiffrer une partie d’une lettre, dont on ne voit pas la date sur la photo, mais qui date forcément de la même époque que la lettre de ses collègues restés à Rouen, ou plutôt, vraisemblablement s’il est réellement tombé malade, du 6 ou 7 juillet 1793 :
Il y a Bien longtems, mon ami, que Je ne vous ay donné et que Je n’ai reçu de vos nouvelles, J’arrive d’une mission que J’etais chargé de remplir dans le fonds de la Basse normandie et les papiers publics vous ont sans doute appris les dangers que J’y ay Courus, Je suis actuellement a Paris mais Je dois repartir Incessamment pour rouen, pour veiller a la marche des Calvadosiens et opposer des forces a leur Insurrection. revolte. [...] [J ?]’ai a la maison quelques [...]
Pour le site des enchères, le correspondant de Prieur est son neveu et filleul, Louis Joseph Fouet, mais si cela est peut-être le cas pour une partie des lettres plus tardives, je n’en sais rien, je pense en l’occurrence qu’il ne peut y avoir de doute qu’il écrivait plutôt à son beau-frère François Joseph Fouet, père de Louis Joseph... qui n’avait pas encore 7 ans à l’époque (il est né en décembre 1786).
On peut déduire de ce qu’on peut lire de cette lettre que Prieur avait bien l’intention de rejoindre ses collègues avant (on peut le présumer) de tomber malade. Il n’est finalement jamais revenu à Rouen. En revanche, il semblerait bien que Prieur n’a pas abandonné cette ville, car le CSP a arrêté le 9 juillet de faire son “rapport des demandes de la Ville de Rouen” (AN AF II* 46, p. 188) le lendemain et même si Prieur n’est pas cité, il me semble qu’il n’a pas dû être étranger à cette délibération.
De toute façon, Prieur finira par être élu au CSP dès le 10 juillet et lui et Lecointre seront remplacés dans la mission de réprimer la révolte fédéraliste normande par décret du 12 juillet.
#il y a 227 ans#sources inédites#Révolution française#Prieur de la Marne#8 juillet 1793#révoltes fédéralistes#Lecointre#Esnuë-Lavallée#François Joseph Fouet#Louis Joseph Fouet#représentants en mission#subsistances#révolte fédéraliste#Rouen#1793
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That one time Booker disrupted the celebrations for Napoléon’s 200th death day (May 5th, 2021) (also on ao3)
There were many things that Sébastien le Livre had planned for the 200th anniversary of Napoléon Bonaparte’s death. He’s had a lot of time to think about it: a whole half a century, as a matter of fact.
Last time had been in 1971, when he’d taken an especially keen liking to forging celebratory stamps. For the French postal service had released some special stamps celebrating the 150 years since Napoléon had died, and if there’s anything that Booker knows, it’s that stamp collectors will pay big time in order to get their collection complete.
It had taken him about three days to figure out the process, and over the course of the next years, he’d made enough stamps (but not too many) to keep in a locked and temperature regulated drawer, so that he could throw some onto the market every few years. (It’s a lot easier now with eBay, but he still likes the thrills of auctions, it makes him feel important).
This year, however, technology is in an entirely different place than it was in the beginning of the 1970s. And one thing that exists in 2021 that didn’t exist in 1971 is a specific song released by a Swedish band for the 19th edition of the annual Eurovision Song Contest.
He’d known then and there, while watching the show with the rest of the immortals, when the song had begun with the lyrics “My my, at Waterloo Napoleon did surrender.”
This is why Booker had taken up a job as a janitor at the Hôtel des Invalides at the beginning of the year, in order to disrupt the celebrations planned by the French government: the French president Emmanuel Macron will be present at the Hôtel to put down flowers by Napoléon’s tomb, accompanied by the Ministre des Armées Florence Parly, by the Chief of the Defence Staff François Lecointre and by none other than Jean-Christophe Napoléon Bonaparte, the current Imperial heir.
If, during the ceremony, a set of bluetooth speakers suddenly begin blasting the Abba song at 5:47 pm, it won’t be Booker’s fault at all.
After all, when posterity knows exactly which minute the Emperor drew his last breath, it’d be a waste to not use that opportunity to haunt and mock him one last time...
#booker#sebastien le livre#nevermindirah#ngl this was absolutely STUPID#but happy death day to bonaparte!!!!#the old guard
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Le lettere dei militari francesi contro Macron Nelle ultime settimane in Francia il dibattito politico è stato incentrato su due lettere inviate da generali e ufficiali dell’esercito in pensione (oltre che da alcuni ancora in servizio ma anonimi) al presidente Emmanuel Macron, in cui i militari sostengono che la società francese sia sull’orlo del collasso a causa dell’islamismo e di «un certo antirazzismo», preannunciano lo scoppio di una «guerra civile» e minacciano neanche tanto velatamente la possibilità di un colpo di stato militare. Le due lettere – la prima firmata da generali e ufficiali in pensione, alcuni già noti per essere vicini all’estrema destra, la seconda anonima – non sarebbero state prese tanto sul serio se Marine Le Pen, leader del partito di estrema destra Rassemblement National e una delle principali candidate alle elezioni presidenziali dell’anno prossimo, non avesse risposto all’appello dei militari dando loro ragione e incoraggiandoli a entrare nel suo movimento. La risposta di Le Pen ha provocato polemiche notevoli all’interno del mondo politico francese, concentrate più sulle aperture della leader di estrema destra a un gruppo di ex militari sovversivi che sul pericolo reale di un colpo di stato da parte dell’esercito, considerato improbabile da tutti gli osservatori. (...) La prima lettera è firmata da una ventina di generali in pensione e da alcune migliaia di altri ranghi dell’esercito, tutti in pensione, con l’eccezione di 18 militari ancora in servizio. È indirizzata a Macron e al suo governo ed esordisce dicendo che «l’ora è grave, la Francia è in pericolo, numerosi pericoli mortali la minacciano»: secondo i generali, in Francia sarebbe in corso una «guerra razziale […] contro il nostro paese, le sue tradizioni, la sua cultura» portata avanti con la scusa dell’antirazzismo e delle teorie decoloniali. L’islamismo e le «orde delle banlieue» starebbero cercando di appropriarsi del paese, mentre «la violenza aumenta di giorno in giorno». I generali esortano il governo a reagire, perché altrimenti «il lassismo continuerà a espandersi inesorabilmente nella nostra società, provocando alla fine un’esplosione e l’intervento dei nostri compagni in servizio» e perché se si continuerà a «tergiversare», «la guerra civile porrà fine a questo caos crescente». (...) Le polemiche principali sono sorte tuttavia un paio di giorni dopo, il 23 aprile, quando Marine Le Pen, sempre su Valeurs Actuelles, ha risposto ai generali con una lettera aperta in cui li lodava per il loro coraggio, sottoscriveva la loro analisi sulla situazione della Francia e li invitava a entrare nel suo partito, perché la soluzione ai problemi deve essere «politica». È intervenuto anche il capo di stato maggiore dell’esercito, il generale François Lecointre, che ha condannato duramente la lettera dei generali in pensione e ha annunciato che i (pochi) firmatari ancora in servizio saranno giudicati da tribunali militari, mentre tutti gli altri saranno espulsi dal corpo dei riservisti, in modo che non possano mai più militare nell’esercito. (...) Nelle scorse settimane, la maggioranza ha anche fatto approvare una legge sulla sicurezza che indurisce alcune misure di contrasto alla criminalità e che è stata molto contestata soprattutto da sinistra perché ridurrebbe la possibilità di documentare e denunciare gli abusi della polizia. Il Post
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2020 - Le général Pierre de Villiers, chef d'état-major des armées, a démissionné - Le Général François Lecointre nommé chef d'état-major des armées
2020 – Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, a démissionné – Le Général François Lecointre nommé chef d’état-major des armées
1- Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, a démissionné
2- Défense: l’alarme budgétaire du général en chef
3- Qui est François Lecointre, nouveau chef d’état-major des armées ?
1- Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, a démissionné
Par Alain Barluet – Mis à jour le 19/07/2017 à 12h48 | Publié le 19/07/2017 à 09h28
PORTRAIT – Tancé publiquement par…
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I’ve been keeping an eye on Europe lately, and on France in particular. As I’ve tried to articulate here previously, the era of general upheaval underway is hardly a phenomenon limited to the United States. Instead, propelled everywhere by the same fundamental forces, it appears to be playing out in a more or less similar fashion all across the Western world, and perhaps beyond. In this regard France serves as an especially instructive example, as recent events have served to highlight in striking fashion.
In short, recent national controversy over a pair of open letters directed to the government by a collection of retired and active-duty military officers has not only spawned a month of political controversy in France, but revealed deeper dynamics at work in the country that may help provide a clearer picture of what’s happening everywhere.
On April 21, twenty retired French generals published an open letter to President Emmanuel Macron and the French government in the right-wing magazine Valeurs Actuelles (Today’s Values) denouncing “the disintegration that is affecting our country,” and explaining they were speaking out because “the hour is late, France is in peril, and many mortal dangers threaten her.”
…
Initially, the letter was dismissed as mere “eccentric nationalist nostalgia by octogenarian retirees,” as the British Financial Times put it, and the government appeared content to ignore it. The then head of France’s General Directorate for Internal Security, Patrick Calvar, had already warned that France was “on the edge of a civil war” as early as 2016, so this kind of thing was old news. But that changed as soon as Marine Le Pen – the leader of the right-wing Rassemblement National (National Rally) party who polls show is likely to again be Macron’s top rival in presidential elections next year – endorsed the letter, saying “it was the duty of all French patriots, wherever they are from, to rise up to restore – and indeed save – the country.”
Public conversation in France turned to politicization of the armed forces and whether the letter’s final lines were a call for a military coup d'état (the fact that the letter was published on the 60th anniversary of a failed generals’ putsch against President Charles de Gaulle in 1961 providing evidence for this in the view of many). General François Lecointre, armed forces chief of staff, stated that while “at first I said to myself that it wasn’t very significant,” at least 18 active military personnel had been found to have been among the more than 1,500 people who also signed the letter. “That I cannot accept,” he said, because “the neutrality of the armed forces is essential.” They would all be punished, while any of the generals still in the reserves would be forced into full retirement as part of “an exceptional measure, that we will launch immediately at the request of the defense minister.” Still, the government’s ministers emphasized that the signatories were nothing more than an isolated and irrelevant minority in the military.
But soon enough, on May 10, a second letter appeared, again published in Valeurs Actuelles, this time by more than 2,000 serving soldiers writing in support of the first letter’s retired generals, accusing the government of having sullied their reputations when “their only fault is to love their country and to mourn its visible decline.”
…
The second letter, this time open to the public to sign, attracted (as of the end of last week) more than 287,000 signatures.
Again came exasperated reactions from many ministers and observers. But what is most remarkable, in my view, is how little enthusiasm most seemed to have for challenging the basic premises of the letters: that France is in a state of growing fracture and even dissolution. Instead, the focus of controversy was once again on the military taking a political position.
…
But perhaps my favorite example was that of (retired) General Jérôme Pellistrandi, chief editor at the magazine Revue Défense Nationale, who prefaced his otherwise sharp criticism of the outspoken soldiers with: “Everyone agrees that society is breaking up, it’s a known fact, but…”
What was going on here? Since when do government officials reflexively agree that their country is falling apart? Well, it turns out that a rather shockingly high proportion of the French public seems to agree with the sentiments the letters expressed. The following chart, created from the results of a Harris Interactive opinion poll taken April 29, after the first letter, is in my view one of the most striking statements about the political mood in a Western country that you’re likely to see for some time:
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So, to break this down, not only do 58% of the French public agree with the first letter’s sentiments about the country facing disintegration, but so do nearly half of Macron’s own governing party, the centrist En Marche. Awkward. Nor are those sentiments limited to any one part of the political spectrum, even if the right is more sympathetic overall. Far-left party leader Jean-Luc Mélenchon may have quickly declared that the “mutinous and cowardly” soldiers who signed the letter would all be purged from the army if he were elected, but 43% of his party seem to share their concerns.
But that’s not even the whole of it – an amazing 74% of poll respondents said they thought French society was collapsing, while no less than 45% agreed that France “will soon have a civil war.”
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And, in short, both countries are clearly facing at least one of the defining characteristics of the Upheaval: the collapse of any agreed upon and consistently accepted authority. It is notable that, in both countries (at least until recently) there is only one institution that still garners relatively widespread respect: the military. (And French generals aren’t the only ones trying to capitalize on this with controversial open letters.)
Second, there is the key detail – almost entirely skipped over in the English-language press in favor of focusing on the anti-immigration angle, as far as I’ve seen – of the “anti-racism,” “decolonialism,” and “communitarianism” decried in the two letters as contributing to national dissolution. This is rather unmistakably a reference to the amalgamated, zealously anti-traditional and anti-liberal ideology of the “New Faith” – alternately referred to as Anti-Racism, the Social Justice movement, Critical Theory, identity politics, neo-Marxism, or Wokeness, among other synonymous infamies – that I’ve previously identified as one of the key revolutionary dynamics of our present era.
Let me repeat this proposition again: no revolution has ever remained contained by national borders. The New Faith is a trans-national ideological movement, which can no more remain confined to the United States than it remained confined within the American academy where it matured (it was arguably born in, well… France). And it is more than capable of rapidly adapting itself to and flourishing within whatever national context it penetrates. But, wherever it goes, it’s just as disruptive to the foundations of social and political order.
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Finally, what’s striking about the situation in France is that every driving factor appears set to only get worse. The COVID-19 pandemic has only accelerated the divide between rich and poor; Europe’s economic recovery has been shaky; the ideology of the New Faith is likely to prove more difficult for the French to combat than they expect (the foundation of the established order having been hollowed out over a very long period of time); and the identitarian culture war is likely to only heat up, especially with elections approaching in which Le Pen appears to have a decent chance of actually winning (an outcome that could accelerate political and cultural fracturing, as Donald Trump’s election did in the United States).
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It is notable that every one of these trends, including climate-induced migration, is featured in the U.S. Intelligence Community’s rather ominous recent report evaluating where the world is headed over the next five years, which I’ve written on previously. (Several readers have written to me to criticize my lack of discussion of climate change as a factor in both that post and my essay introducing the Upheaval – well fair enough, though I am uncertain about how much the climate issue has actually driven the turmoil we’re already seeing so far today, as opposed to what we may see in the future.)
France thus seems set to function as an ahead-of-the-curve epicenter for the Upheaval in Europe. No wonder the French are so pessimistic…
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Mali : Sans Barkhane, les Etats du Sahel s’effondreraient « sur eux-mêmes » (général Lecointre) - Malicom - L'info sur le bout des doigts.
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Mali : Sans Barkhane, les Etats du Sahel s’effondreraient « sur eux-mêmes » (général Lecointre)
Le chef d’état-major des armées françaises, le général François Lecointre, a estimé jeudi que les pays du Sahel s’effondreraient « sur eux-mêmes » et que le « terrorisme » y deviendrait incontrôlable sans l’appui de la force française Barkhane. - Malicom - Actualités du Mali
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