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Jean-François Létourneau, Le territoire sauvage de l’âme, éditions de l’aube ( 17,90€- 165 pages), janvier 2023
Une chronique de Nadine Doyen Jean-François Létourneau, Le territoire sauvage de l’âme, éditions de l’aube ( 17,90€- 165 pages), janvier 2023 Clément Bénech dans son roman Un vrai dépaysement convie son lecteur à l’installation d’un jeune professeur qui débarque en Auvergne alors qu’il avait pensé enseigner en Guyane, cette fois ce sont les tribulations de l’enseignant Guillaume, parachuté au…
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Série Entourage
Série Entourage est une série télévisée canadienne française diffusée sur Radio-Canada de 2002 à 2004. L'émission suit la vie de quatre amis vivant à Montréal, au Québec. La série a été créée par François Létourneau et Fabrice Létourneau, et met en vedette Patrice Robitaille, Stéphane Rousseau, Patrick Huard et Pierre-François Legendre.
Comment le casting d'Entourage a changé au fil des années
Le casting d'Entourage a connu quelques changements au fil des années. Certains des membres originaux du casting ont quitté la série, tandis que de nouveaux l'ont rejoint. Voici un aperçu du casting d'Entourage et de la façon dont il a changé au fil des ans. Le premier changement dans la distribution d'Entourage a pris la forme d'un départ. L'un des membres du casting original, Debi Mazar, a quitté la série après la quatrième saison. Son personnage, Shauna, a été retiré de la série. Le deuxième changement au sein du casting a pris la forme d'un ajout. Dans la cinquième saison, Perrey Reeves a rejoint le casting dans le rôle de Dana Gordon. Dana est une productrice de films qui devient l'amoureuse du personnage d'Eric Murphy (joué par Kevin Connolly). Le troisième changement au sein du casting a pris la forme d'un autre départ. Après la sixième saison, Rex Lee a quitté la série. Son personnage, Lloyd, a également été retiré de la série. Le quatrième et dernier changement dans la distribution a pris la forme d'une nouvelle addition. Dans la septième saison, Bas Rutten a rejoint le casting en tant que nouvel assistant d'Ari Gold (joué par Jeremy Piven). Ainsi, au fil des ans, le casting d'Entourage a connu quelques changements. Certains membres du casting d'origine ont quitté la série, tandis que de nouveaux l'ont rejointe.
Les meilleurs épisodes d'Entourage de tous les temps
1. L'épisode où le film de Vince est un flop. 2. L'épisode où Ari démissionne de son travail 3. L'épisode où Drama se voit offrir un rôle dans un feuilleton. 4. L'épisode où Turtle essaie de vendre sa société de tequila. 5. L'épisode où Eric et Sloan se séparent
Pourquoi Entourage est la meilleure série de tous les temps
Entourage est la meilleure série de tous les temps car elle dépeint de manière réaliste le style de vie hollywoodien. La série est drôle, relatable, et vous laisse toujours deviner. Section du blog : Les personnages d'Entourage Les personnages d'Entourage font partie des personnages les mieux développés et les plus intéressants de la télévision. Chaque personnage a sa propre personnalité et son histoire, ce qui les rend fascinants à regarder. Section du blog : Les intrigues d'Entourage Les intrigues d'Entourage sont toujours intéressantes et captivantes. Les scénaristes font un excellent travail pour créer des intrigues qui sont à la fois réalistes et divertissantes.
Comment Entourage a changé le jeu pour les émissions de télévision
Comment Entourage a changé la donne pour les séries télévisées. Entourage a été l'une des premières émissions à montrer réellement ce qui se passe dans les coulisses d'Hollywood. Elle nous a donné un aperçu des hauts et des bas d'être une célébrité, et de la difficulté de maintenir des amitiés et des relations lorsque vous êtes toujours sous les projecteurs. La série a également été révolutionnaire dans sa représentation de l'amitié masculine. Elle a montré que les hommes pouvaient être proches sans être homosexuels, et qu'ils pouvaient avoir des conversations profondes sur leurs sentiments sans être émasculés. Entourage a changé la donne pour les émissions de télévision, et c'est toujours l'une des meilleures émissions jamais réalisées.
L'héritage d'Entourage
Lorsque Entourage s'est terminée en 2011, elle a laissé derrière elle l'héritage d'être l'une des émissions de télévision les plus populaires et les plus réussies de son époque. L'émission était un précurseur à bien des égards, et son influence est encore visible aujourd'hui à la fois à la télévision et dans la culture populaire. Voici quelques-unes des façons dont Entourage a laissé sa marque : 1. Elle nous a donné un aperçu de la vie des gens riches et célèbres. Pendant huit saisons, Entourage nous a permis d'être aux premières loges de la vie glamour de la star de cinéma Vincent Chase et de son entourage. Nous avons pu voir tout le faste et le glamour d'une vedette hollywoodienne, ainsi que les drames qui se déroulent en coulisses. 2. Elle nous a montré le pouvoir de l'amitié L'un des thèmes les plus durables d'Entourage était le pouvoir de l'amitié. Peu importe ce que Vincent et ses amis ont traversé, ils se sont toujours soutenus les uns les autres. C'était un changement de rythme rafraîchissant par rapport au monde habituel d'Hollywood, où l'on s'empiffre de chiens, et c'est une chose à laquelle nous pouvons tous aspirer dans nos propres vies. 3. Cela nous a fait rire... beaucoup. Bien qu'Entourage soit un drame, c'est aussi l'une des émissions les plus drôles de la télévision. Qu'il s'agisse des pitreries de Turtle, des répliques d'Ari Gold ou du jeu excessif de Drama, il y avait toujours quelque chose pour nous faire rire. 4. La série n'avait pas peur de s'attaquer à des sujets controversés Entourage n'a pas eu peur d'aborder des sujets controversés, comme le mouvement #MeToo, d'une manière à la fois provocante et divertissante. La série n'avait pas non plus peur de se moquer d'elle-même, et cette conscience de soi n'a fait que renforcer notre amour pour elle. 5. Une galerie de personnages inoubliable Enfin, Entourage nous a offert une galerie de personnages que nous ne sommes pas prêts d'oublier. De Vincent Chase à Ari Gold en passant par Johnny Drama, chaque personnage était unique et inoubliable à sa manière. Nous serons à jamais reconnaissants à Entourage de nous avoir offert huit saisons de télévision inoubliable. La finale de la série Entourage a été un moment doux-amer pour les fans. S'il était triste de voir l'émission se terminer, c'était aussi une fin appropriée à l'histoire de ces personnages. Le final de la série a donné aux fans une chance de voir les personnages grandir et changer, et c'était une fin appropriée à la série. Read the full article
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TOC: Language and Dialogue Vol.13, No. 2 (2023)
ICYMI: 2023. v, 153 pp. Table of Contents Introduction Practices of Dialogue, Dialogues in Practice: With their problems Alain Létourneau, Geneviève Boivin & Nicolas Bencherki pp. 147–154 Articles A critique of the adjacency pair dogma: The organization of interaction and the emergence of organized forms from basic organizing units François Cooren, Frédéric Dion & Matthieu Balay pp. 155–180 Constituting climate change in dialogic practice: The moral universe of climate actors Leanna Smithberger p http://dlvr.it/SvXT5T
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Jean-François Létourneau : Sur les traces du territoire Jean-François Létourneau : Sur les traces du territoire https://www.gatineau.ca/portail/default.aspx?p=nouvelles_annonces/infospectacles/infospectacle&id=471126746
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Start of filming for the third season of C'est comme que je t'aime
The actors of the popular series That’s how I love you are back in front of the cameras these days as filming begins for the third and final season which will be shown on ICI TOU. TV EXTRA at the end of the year. Posted at 2:27 p.m. The main characters played by François Létourneau, Marilyn Castonguay, Patrice Robitaille, Karine Gonthier-Hyndman and Sophie Desmarais are all back, but we are…
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Paul à Québec [Paul in Quebec City] (François Bouvier - 2015)
#Paul à Québec#Paul in Quebec City#François Bouvier#1990s#François Létourneau#drama film#Julie Le Breton#Gilbert Sicotte#Louise Portal#Michel Rabagliati#drama movie#Canadian drama film#Canadian cinema#Canadian movies#2010s cinema#2010s movies#Canadian society#internet#misoneism#misoneismo#neophobia
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#christmas#christmas tree#xmas#christmas lights#serie noire#serienoireedit#denis rondeau#françois létourneau#canadian#canadian tv series
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Will forever be mad that Matthew Macfadyen won't ever be cast in a François Létourneau show.
#the way he'd fit right in 😭😭😭😭#this post is by me for me#matthew mcfadyen#70s mattmac in C'est comme ça que je t'aime??? it'd be 🤯🤯🤯🤯
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Seul ou avec d'autres from donna picker on Vimeo.
La rentrée à l'Université de Montréal en 1961. Aujourd'hui, ce film produit un effet similaire au travail photographique, à savoir, faire sortir du néant les ombres de la réalité. Seul ou avec d'autres éclaire le fantôme de ce que fut cette université au début de la Révolution tranquille. Nonobstant les méandres scénaristiques des amours d'automne sur le campus, ce long métrage fait défiler la topographie exacte d'un ensemble alors beaucoup plus petit, où apparaissent le sociologue Guy Rocher et deux des Cyniques, Marcel Saint-Germain et Marc Laurendeau. (R. La Rochelle)
Réalisation
Denys Arcand Denis Héroux Stéphane Venne
Scénario
Denys Arcand Stéphane Venne
Images
Michel Brault Claude Héroux : assistant Jean-Pierre Payette : assistant André Saint-Denis : assistant
Producteur
Denis Héroux
Interprétation
Michelle Boulizon : Michelle Nicole Braün : 1 ; Nicole André Dubois Serge Grenier Marc Laurendeau : monologue des Cyniques Pierre Létourneau : 2 ; Pierre Carl Mailhot Marie-José Raymond : 3 ; Marie-José Guy Rocher Marcel Saint-Germain : 4 ; l'homme du Devoir
Musique
Stéphane Venne
Interprète musique
François Cousineau : et son ensemble
Scripte
Josiane Guillemin
Prise de son
Marcel Carrière
Montage images
Bernard Gosselin : assistant Gilles Groulx
Photographe de plateau
Michel Brault
Producteur délégué
Georges Lefebvre
Société de production
Association générale des étudiants de l'Université de Montréal (Québec)
Laboratoire
Mount-Royal Films
Générique additionnel
Michel Brault : assistance technique Serge Grenier : (texte du cours de morale) Gilles Groulx : assistance technique
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Renée Claude en noir et blanc
Renée Claude et Pauline Julien sont deux idoles qui ont marqué notre jeunesse, je parle des baby-boomers il va sans dire. Ces deux chanteuses, différentes par leurs styles, symbolisaient le nouveau Québec en devenir. Les gars de ma génération, nous étions tous en pâmoison devant l’une et l’autre. André Ducharme ne dit-il pas, en préface, qu’il a « voulu l’épouser [Renée Claude] aux premières notes entendues à la télévision, au début des années 1960 » ?
Le journaliste Mario Girard nous dévoile, dans cette biographie consacrée à Renée Claude, un pan de notre histoire culturelle récente. Car raconter cette grande interprète de la chanson, c’est évoquer les noms de Clémence Desrochers à Luc Plamondon, en passant par Mouffe, Michel Tremblay, Michel Robidoux, Stéphane Venne et plusieurs autres qui ont marqué notre patrimoine culturel.
En février 2019, on apprenait que Renée Claude souffrait de la terrible maladie d’Alzheimer. Aussitôt a germé, dans la tête de quelques artistes, dont le producteur Nicolas Lemieux et l’animatrice radio Monique Giroux, l’idée d’un spectacle-hommage à cette grande dame de la chanson. Ce spectacle aura lieu à la Maison symphonique, avec la participation, entre autres, de Clémence Desrochers, Marie Denise Pelletier, Ariane Moffatt, Isabelle Boulay, Luce Dufault, Marie-Élaine Thibert, Kathleen Fortin.
Renée Claude (de son vrai nom de famille Bélanger), née dans le quartier ouvrier du Plateau-Mont-Royal en 1939, un peu avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, est l’aînée d’une famille de six enfants. Sa mère, Cécile, plutôt extravertie, a toujours rêvé de devenir une artiste de la scène et sa fille Renée réalisera ce vœu à sa place. Sa mère l’inscrit, très jeune, à des cours de piano. Elle tient mordicus à ce que ses enfants aient une bonne éducation. Tous suivront des cours de diction et d’art dramatique au Conservatoire Lassalle, où Cécile a étudié vingt-cinq ans auparavant. Renée fréquentera cet établissement jusqu’à l’âge adulte.
À seize ans, Renée rêve de devenir artiste. Elle a assisté, à sept reprises, au spectacle que Gilbert Bécaud donne au Théâtre Saint-Denis, au printemps 1955. Aussi participe-t-elle à différents concours d’amateurs. À deux reprises, elle remporte la palme. Sa mère « se laisse alors convaincre que sa fille a peut-être du talent », raconte son frère Michel. Elle commencera ainsi à chanter dans des cabarets, en matinée, toujours accompagnée de son père.
Renée Claude est ambitieuse et elle n’abandonne jamais en cours de route un projet qui lui tient à cœur. Elle sait qu’elle ne peut que compter que sur ses propres moyens. Elle a décidé de devenir chanteuse et elle va donc se constituer un répertoire de chansons à la mesure de ses goûts : Ferré, Brassens, Béart, Aznavour…
Raison de vivre
Sa carrière professionnelle débutera après sa première audition à la télé de Radio-Canada. Dans la jeune vingtaine, elle chantera à quelques reprises à l’émission Chez Clémence, puis elle deviendra une habituée des studios de télévision et multipliera les entrevues dans des magazines culturels. Le public en redemande et son répertoire s’ouvre à d’autres créateurs. « La chanson populaire ne l’intéresse pas », nous dit son biographe. Pour Monique Giroux, elle fait partie de la « Sainte Trinité » des interprètes de l’époque, aux côtés de Pauline Julien et Monique Leyrac. Pour Michel Tremblay, ces trois artistes « avaient une intelligence du texte ». Pour François Dompierre, « ce sont elles qui ont le plus véhiculé la chanson québécoise à cette époque ».
Si on la voit presque toujours vêtue de cette petite robe noire, c’est, explique la chanteuse, « pour forcer les gens à écouter mes chansons ». Elle a fait sienne la phrase de Cocteau : « L’élégance cesse si on la remarque. » Au début des années 1960, elle est sur la scène de toutes les boîtes à chansons, aux côtés des Leclerc, Vigneault, Clémence, Gauthier, Lévesque, Ferland, Brousseau, Lelièvre, Létourneau et autres Tex Lecor.
Percer le mystère de cette fabuleuse interprète n’est pas chose facile. Mario Girard y réussit merveilleusement. On découvre une Renée Claude timide, fébrile, doutant toujours d’elle-même, mais décidée, parce que la chanson était sa raison de vivre.
Un magnifique voyage dans le temps et un hommage nécessaire à cette interprète qui nous a tant chantés et enchantés.
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La jasette du Barbu #303
La jasette du Barbu #303
Spectacle de Simon Gouache Sous écoute Avec François Létourneau Kent Hughes est impressionnant UFC de samedi passé One-TimeMonthlyYearly Faire un don ponctuelFaire un don mensuelFaire un don annuel Choose an amount C$5.00C$15.00C$100.00C$5.00C$15.00C$100.00C$5.00C$15.00C$100.00 Or enter a custom amount C$ Votre contribution est appréciée.Votre contribution est appréciée.Votre contribution…
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Trop 2 Evelyne Brochu 談新同事 Louis Saint-Amand (好友 François Létourneau ) Trop 2 Evelyne Brochu talks about Louis Saint-Amand by François Létourneau https://www.facebook.com/Troplaserie/videos/488237148239501/ EBro pups DECIPHER GANG FR-EN @Paddy34621221 w adherantnerdhi Revision @darkbluecaro Sync adherantnerdhi
Trop 2 Virginie Fortin 談叔叔 Jean-Marc (Marc Béland) 的出現 Trop 2 Virginie Fortin on uncle Jean-Marc (Marc Béland)'s arrival
EBro pups DECIPHER GANG FR-EN @Paddy34621221 w adherantnerdhi Revision @darkbluecaro Sync adherantnerdhi
트롭2: 에블린 브로슈가 배우 Jean-Philippe Perras님의 ‘Charles’이라는 캐릭터에 대해 이야기합니다. L'arrivée de Charles Charles' arrival
FR-EN Charlotte Burelle @Paddy34621221 KR @niehousbrochu Sync adherantnerdhi
#evelyne brochu#isabelle desbiens#ebro pups decipher gang#trop 2#ebro in chinese#Ebro en français#Ebro in Korean
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TOC: Language and Dialogue Vol.13, No. 2 (2023)
2023. v, 153 pp. Table of Contents Introduction Practices of Dialogue, Dialogues in Practice: With their problems Alain Létourneau, Geneviève Boivin & Nicolas Bencherki pp. 147–154 Articles A critique of the adjacency pair dogma: The organization of interaction and the emergence of organized forms from basic organizing units François Cooren, Frédéric Dion & Matthieu Balay pp. 155–180 Constituting climate change in dialogic practice: The moral universe of climate actors Leanna Smithberger p http://dlvr.it/SvVR3Z
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Flash-back 2011: FUNKYTOWN de Daniel Roby
Photo : Valérie Jodoin-Keaton
Cette semaine marque le 10e anniversaire de la une du Voir consacrée à Funkytown, publiée une semaine avant sa sortie en salle le 28 janvier 2011. J’avais eu la chance d’interviewer Patrick Huard, Daniel Roby et Steve Galluccio à cette occasion.
Note : si vous souhaitez voir ou revoir Funkytown, il est disponible en location sur iTunes et il sera diffusé à Cinépop le vendredi 29 janvier à 11h30.
Sexe, drogues et boules en miroir
Écrit par Steve Galluccio, réalisé par Daniel Roby et mettant en vedette Patrick Huard, Funkytown nous fait revivre la fièvre du disco dans le Montréal des années 1970.
En cette ère où l’on aime que nos vedettes soient humbles, près des gens et irréprochables, on imaginerait mal une de nos stars, Patrick Huard par exemple, s’arrêter devant le club le plus couru en ville au volant d’une grosse décapotable rouge, passer devant tout le monde qui attend en file, puis courir les jupons et faire de la poudre toute la nuit avec une attitude du type: "Fuck you! Je suis le king du disco, je peux faire ce que je veux!"
Dans les années 1970, par contre, la démesure et l’arrogance semblaient de mise, du moins pour les personnages comme Bastien Lavallée, le populaire animateur de radio et de télé qu’interprète Huard dans Funkytown. "C’était le début du stardom à l’américaine au Québec, avec tout le côté tacky de la bébelle, estime le comédien. Et les gars comme Alain Montpetit [ndlr: dont le personnage de Bastien est librement inspiré] ont été les premiers à l’assumer, à avoir des gros chars et des lunettes fumées et à jouer la game."
"Oui, poursuit Huard, il y avait quelque chose de défoulant à jouer ça, mais en même temps, fallait pas trop en mettre, fallait que ça ait l’air naturel. Le type d’animation que ces gars-là faisaient, par exemple, il n’y a plus personne qui anime comme ça aujourd’hui. J’arrivais à imiter Alain Montpetit pas mal proche, mais le problème qu’on avait, c’est que c’est tellement loin de ce qu’on fait aujourd’hui que ça avait l’air d’un sketch de RBO! Fallait donc que je diminue ça, tout en gardant quand même un feeling de ces années-là."
D’abord un euphorique party quasi ininterrompu, l’existence de Bastien glisse tôt ou tard vers le tragique, alors que sa vie familiale s’effondre et que sa consommation de drogues devient incontrôlable. "D’habitude, quand un personnage dérape comme ça dans un film, on va essayer de le justifier par son enfance, par quelque chose qui lui est arrivé, etc. Dans le cas de Bastien, ce n’est pas ça pantoute. Il a pris le mauvais virage, c’est aussi simple que ça; il a essayé de piloter un bolide bien trop rapide pour ses capacités. Il n’y a pas d’autre raison fondamentale à sa chute que son ego qui n’était pas "focussé" sur les bonnes affaires. Il était concentré sur le fait d’être une star, de faire du cash… Mais pendant que tu penses à ça, tu n’es pas le père, le mari et l’artiste que tu devrais être."
Oeuvrant comme réalisateur depuis quelques années (Les 3 p’tits cochons, Filière 13, la série Taxi 0-22), Huard a par ailleurs apprécié de redevenir simple acteur pour ce film: "C’est fou comme je me laisse diriger plus facilement depuis que je réalise, parce que je le sais que le réal’, il a une vision dans sa tête, puis ton job comme acteur, c’est d’essayer de la livrer. Tout le monde pense que j’aurais peut-être tendance à vouloir en mener large sur le plateau, mais c’est le contraire: depuis que je réalise, je me mêle plus de mes affaires qu’avant!"
Les derniers jours du disco
C’est à la suite d’une discussion avec le vétéran animateur Guy Aubry, en 2003, que le producteur exécutif Simon Trottier a eu l’idée de faire un film sur la période disco à Montréal. Après trois années à éplucher les journaux et magazines de l’époque, à consulter des documents d’archives et à interviewer divers intervenants, dont Yvon Lafrance, propriétaire du mythique Limelight (une discothèque montréalaise qui a ouvert ses portes en 1973, soit quatre ans avant le Studio 54!), Trottier a convaincu Maxime Rémillard de Remstar d’embarquer dans le projet, suggérant au passage que Steve Galluccio (Mambo Italiano, Surviving My Mother) et Daniel Roby (La peau blanche) seraient les candidats idéaux pour respectivement scénariser et réaliser Funkytown.
"De prime abord, un film sur le disco, ça ne me disait pas grand-chose, admet Roby. Mais en consultant le dossier de recherche de Simon, j’ai découvert tout un univers qui a existé pendant quatre, cinq ans à Montréal, ainsi que des drames que je ne soupçonnais pas. Il y a eu une espèce de bulle d’effervescence à Montréal dans les années 1970, puis une espèce de crash monumental au début des années 1980, et je me suis dit qu’il y avait forcément des histoires à raconter là-dedans."
S’inspirant de films choraux tels que Boogie Nights et Magnolia de Paul Thomas Anderson, Galluccio a voulu raconter une foule de ces histoires parallèlement dans son scénario: "Dans mes autres scénarios, il y avait aussi beaucoup de personnages, mais il n’y avait qu’une seule trame dramatique, alors que dans Funkytown, il y en a vraiment plusieurs. Ça a été un grand défi pour moi, tout comme le fait que ce ne soit pas une comédie. J’ai écrit beaucoup de comédies pour le cinéma, la télé et le théâtre, et je voulais prouver que je pouvais écrire autre chose."
Mêlant réalité et fiction, le scénario de Galluccio aspire avant tout à capter la frénésie de l’époque, qu’a vécue l’auteur alors qu’il était adolescent. "Dans tous les partys où on allait, c’était le disco qui trônait, se rappelle-t-il. Et ce qui m’a toujours fasciné, c’est qu’un jour, le disco n’était soudainement plus à la mode, c’était: "disco sucks", il ne fallait même plus prononcer ce mot-là!"
Ayant à leur disposition un budget de 8 millions $, ce qui n’est pas négligeable au Québec, les artisans du film ont tout de même dû faire des miracles pour transposer à l’écran le récit imaginé par Galluccio, comme l’explique Roby: "Funkytown, c’est ambitieux sur plusieurs fronts: la reconstitution d’époque, les costumes, les décors, la musique dont il fallait acheter les droits, le grand nombre de comédiens et de figurants nécessaire… Alors c’est sûr qu’au final, il a quand même fallu faire des compromis et resserrer le scénario de Steve."
Casting bilingue
Pour le casting du film, le cinéaste s’est tourné vers des valeurs sûres pour certains rôles, mais a dû chercher plus loin pour d’autres. "On a fait beaucoup d’auditions à Montréal, puis à Toronto et à Vancouver, et finalement à Los Angeles", résume Roby, qui a ainsi déniché Justin Chatwin et Sarah Mutch, deux acteurs canadiens-anglais faisant carrière aux États-Unis. "Pour le personnage de Jonathan, qui est fortement inspiré de Douglas Leopold, un jet-setter anglophone qui travaillait dans les médias francophones, trouver un acteur capable de faire ça n’était pas évident. Mais Paul Doucet est arrivé en audition et c’était déjà exceptionnel, il n’arrêtait pas d’improviser, il prenait toute la place, le côté excentrique du personnage lui venait naturellement et c’était drôle, touchant, attachant… C’était une révélation, surtout qu’on est habitué de voir Paul dans des rôles bien straight!"
La distribution inclut aussi Raymond Bouchard, Geneviève Brouillette, François Létourneau, Sophie Cadieux et, bien sûr, Patrick Huard. "Il s’imposait pour le rôle de Bastien, un gars de 40 ans, charismatique, bilingue… Puis il fait des choses dans le film qui ne sont pas nécessairement faciles à accepter pour le spectateur, alors ça prenait un acteur qui a un capital de sympathie assez fort pour qu’on ne juge pas trop le personnage", conclut Roby.
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Les pompiers ont été appelés à intervenir sur l’Avenue Létourneau à Amos peu après 10h40 alors qu’un incendie faisait rage dans une voiture. La réaction rapide de bons samaritain qui ont accroché le véhicule derrière une camionnette pour l’éloigner de la résidence a limité les dégâts à la voiture. Les pompiers sont ensuite rapidement intervenus pour éteindre le brasier.
Selon Guy Béchard, Directeur du Service des incendies d’Amos, le brasier serait possiblement d’origine mécanique. Il n’y aurait donc aucun élément criminel dans celui-ci.
Personne n’a été blessé.
Photo : François Munger – MédiAT
Photo : François Munger – MédiAT
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Un véhicule en flammes à Amos Les pompiers ont été appelés à intervenir sur l'Avenue Létourneau à Amos peu après 10h40 alors qu'un incendie faisait rage dans une voiture.
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