#fragments du japon
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ondessiderales · 2 months ago
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La vie est un roman
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Shukufuku no Library (À la bibliothèque des plaisirs)
God Bless ! (Dieu nous bénisse !) Life is Novel (La vie est une nouvelle)
Les lettres et caractères que j'ai éparpillés sur ce monde Sont tels des fragments d'étoiles Recueillis par les hommes Pour écrire leur histoire (leur conte)…
Au creux du temps changeant Couchée sur le papier L'existence est révélée
La joie La compassion La tristesse La colère
Laide et belle à la fois Ma mélodie (mon serviteur) Est Ici
Ma non-nommée, ma renommée longue nouvelle Telle un poème d'une seule ligne N'est autre que l’œuvre de Dieu
Ah, bien rangés sur mes étagères Arrangées en spirales D'innombrables livres me révèlent leur dos À la bibliothèque des plaisirs
Au fur et à mesure que je tourne les pages Comme une gamme qui monte et qui descend Le vent s'engouffre dans la bibliothèque Je l'espère - pour l'éternité
Le Bien et le Mal sont les deux faces d'une même pièce Est-ce une comédie ? Est-ce une tragédie ? L'amour et le péché découlent de la même encre Fabricant des ouvrages (des rêves) remplis d'idéaux
Que réclames-tu de moi ? Qu'espères-tu de moi ? Ô soliloque, fantôme de ma parole (de mon histoire) insollicitée
L'éphémère chaleur La force et la fragilité
Bulles de paroles (bulles de son) Nobles et sans pareil Laissez-moi vous chevaucher
Montrons-leur notre façon de vivre !
Pleuvant depuis les cieux Crois-tu que mon agapè (ma compassion) n'illumine Que mes réussites ?
Impossible ! Les aventures incomplètes Tels des mémoires inachevés Brillent d'une lumière particulière
Allons, récitons (jouons) encore Les charmants poèmes de nos vies Et recueillons-les délicatement Dans notre bibliothèque des plaisirs…
En provision de l'avenir…
« Professeur Layton vs. Phoenix Wright: Ace Attorney est un jeu vidéo crossover entre deux séries vidéoludiques sorties auparavant sur Nintendo DS, Professeur Layton et Ace Attorney. Il est sorti sur Nintendo 3DS le 29 novembre 2012 au Japon, et le 28 mars 2014 en Europe. »
« La brume s'étale sur la ville de Londres, plongée dans la nuit. Deux phares de voiture émergent de la brume. À son bord, un homme confie une lettre à une jeune fille aux cheveux blonds et vêtue d'un chaperon rouge, assise à côté de lui, comme s'il craignait quelque chose. Cette chose, ce sont des êtres volants qui les poursuivent : des sorcières toutes de plumes noires recouvertes, à l’unique œil énorme et luisant. L'une d'elles, munies de gants d'or, attaque la voiture d'une gerbe de flammes. Alors que le véhicule fait une embardée, sortant du chemin qu'il suivait, il se retrouve face à deux statues que la sorcière anime soudainement. À cause de ces colosses de pierre, la voiture se retrouve balayée, et ses occupants, éjectés. Faible, le conducteur reste à terre, demandant à la jeune fille de s'enfuir. Arrivé quelques instants plus tard sur les lieux, l'inspecteur Chelmey ne retrouve qu'une voiture cabossée perchée en haut d'un arbre…
Alors que le ciel de Londres se couvre de nuages de pluie et d'orage, Luke demande au professeur Layton si celui-ci pense que les sorcières existent. Au même moment, dans un avion au-dessus de Londres, Phoenix Wright et Maya Fey sont en train de se chamailler… à leur manière. De son côté, le professeur propose à son jeune assistant une énigme pour le rassurer. Peu après, leur discussion est interrompue par l'arrivée d'une jeune demoiselle blonde trempée, serrant un livre dans ses mains. La jeune fille remet alors au professeur une lettre écrite par le conducteur de la voiture, qui s'avère être un ancien étudiant de ce dernier, du nom de Giovanni Accidenti. Ce dernier, devenu détective privé, lui fait part d'une étrange affaire concernant Labyrinthia et la jeune fille : Aria Novella. Alors que Layton et Luke discutent avec elle, les lumières s'éteignent brusquement et font place à la sorcière, qui kidnappe Aria.
Se lançant à sa poursuite, Layton et Luke arrivent au pont de Londres. Après avoir fait la rencontre de l'inspecteur Chelmey et Barton, qui leur apprennent l'existence de la voiture perchée, ils se dirigent au pied du pont de Londres, où ils découvrent, par terre, la cape rouge d'Aria. Un passage secret inconnu plus tard, ils libèrent la jeune fille et lui permettent d'échapper aux sorcières. Mais juste après cela, le mystérieux ouvrage d'Aria s'ouvre comme par magie et fait subir à Layton et Luke une espèce de voyage temporel !
Quelque temps plus tard, Phoenix Wright se retrouve chargé de défendre une jeune fille accusée et conduite en justice… cette même Aria ! Elle est accusée d'avoir agressé, sur un bateau, une jeune femme avec un tuyau en fer. Mais Aria, accompagnée par une mystérieuse femme, Aurora, semble avoir le regard bien vide… D'abord confronté à un vigile puis à la victime, Phoenix parvient à venir à bout de ce procès et faire innocenter sa cliente. Au terme de cette affaire, Maya trouve un livre qu'Aria semble avoir laissé derrière elle. En l'ouvrant, Phoenix et Maya semblent eux aussi aspirés à l'intérieur du livre !
Tous les quatre sont emportés à Labyrinthia, une cité médiévale se trouvant visiblement coupée de tout autre monde. Dans cette ville, la chasse aux sorcières est encore de mise. Le simple fait d'être jugée comme étant l'une d'entre elles conduit à une sentence immédiate et irrévocable : le bûcher. Accusée d'un tel crime, Aria doit compter sur Phoenix, assisté dans cette tâche par le Professeur Layton, pour la défendre. Par ailleurs, un mystérieux personnage appelé « le Narrateur » réside dans cette ville en tant que souverain : on raconte qu'il écrit dans un livre toute l'histoire de Labyrinthia, et que les événements qui y figurent se révèlent vrais par la suite…mais comment cela est-il possible ?! »
(Minutage : 10:57)
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antigonegone · 7 months ago
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Klaus Mäkelä, jeune chef d’orchestre finlandais, est né dans une famille de musiciens. Il a appris le violoncelle, sans être un virtuose. Dès l’age de 7 ans, il sait que la maestria le guidera vers un répertoire plus large. Il rentrera au conservatoire de musique d’Helsinki dans les classes d’orchestre à 11 ans. Depuis, il conquiert les musiciens et les amoureux de la musique pour des motifs évidents. Il aime la musique et les musiciens, car il est d’abord un musicien, et bien sûr et surtout c’est un être humain, qui aime l’humain, la vie. Il ne parle pas pour ne rien dire au cours des répétitions, il écoute les musiciens, il prend leurs propositions quand elles dépassent ce qu’il avait dans la tête, il tisse des liens avec chacun. Il est un chef économe du temps des répétitions, des mots, mais il est un grand pédagogue. Sa gestuelle est précise, il ne marque pas le tempo quand la musique ne le demande pas. Le début du documentaire le montre les yeux fermés, Immobile, au début du Boléro de Ravel, il écoute ses musiciens, c’est merveilleux. Directeur artistique des Orchestres d’Oslo et de Paris, et bientôt du Concertgebouw d’Amsterdam car il va quitter l’́Orchestre de Paris en 2027, il est chef invité, demandé ailleurs en Europe, en Amérique et au Japon. Comme violoncelliste, nous le voyons jouer quelques mesures, avec le Quatuor Arod, le Quintette en ut majeur de Schubert. Il est alors dirigé par le 1er violon. Les 5 musiciens ne passent pas la barre des 30 ans. Bruno Monsaingeon lui-même musicien, violoniste, a réalisé un autre documentaire sur ce jeune Quatuor passé au théâtre des Bouffes du Nord en octobre 2023. L’envie, la passion, l’échange, Klaus Mäkelä c’est sa came, et je peux vous dire que même si ce documentaire se rapproche d’un panégyrique sans accroc, il reste un grand chef plein énergie communicative pour l’amatrice habituée de la Philharmonie de Paris que je suis. En particulier, j’ai été remuée, comme mes chaussettes orange dans mes Doc Marteens, lors de la soirée Ravel et des 2 concertos de piano, donnés le même soir par Yuja Wang, sous sa baguette, cet hiver. La soirée était énergisante, dingue, folle, elle est également disponible en replay sur Arte comme ce documentaire. J’ai beaucoup aimé, dans le film, le moment où nous le voyons lire chez lui une partition, s’imprégner, fragmenter l’œuvre, avant de retrouver l’orchestre pour les répétitions et la défragmenter autrement avec les musiciens. Dans le même ordre idée, la post synchronisation qui est aussi montrée, c’est aussi ça, chercher la flamme, la quintessence, la meilleure prise de son sur le tempo le plus juste. La musique, c’est comme la vie, il y a des moments de construction et de dé-construction, et petit à petit, l’essentiel prend forme, constitué de fragments et d’épices rares, rapportés de ses rencontres des voyages de l’interaction avec les mondes … Arriver à se concentrer 100 min et à faire se concentrer ses musiciens Y aller, donner, échanger, savoir Jouir, Être là, pleinement avec ses musiciens et le public
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nnjzz · 10 months ago
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TONGUE DEPRESSOR + TURNER WILLIAMS JR. + JULIE ROUSSE + PAUL MICHEL
JEUDI LE 25.01
TONGUE DEPRESSOR / us TURNER WILLIAMS JR. / us JULIE ROUSSE / fr PAUL MICHEL / fr
à Les Nautes
1 Quai des Célestins 75004 M° Sully-Morland
20:00 portes
20:45 action!
P.A.F. 6€
TONGUE DEPRESSOR / us new heaven ct Duo duo composé de Zach Rowden ( que Le Non_Jazz reçut déjà  pour un set atypique à base de K7s)  et Henry Birdsey, tous les deux multi-instrumentistes, compositeurs-improvisateurs. Ils écrivent, improvisent et interprètent de la musique basée sur des drones ( 
impliquant généralement des accordages microtonaux et des fragments réarrangés/ ré-accordés de musique d'église américaine ) avec violons, de la Pedal Steel, de la Lap Steel, de la contrebasse, de l'orgue et des cloches, et pourquoi pas une cornemuse... Collaborations diverses et régulières avec d'autres musicien.ne.s versé(e)s dans le même genre de recherche et hantise sonores ( Leila Bordreuil, Max Eilbacher, Paul Flaherty, Weston Olencki, Jakob Battick, John McCowen... ). 
"empyrean chimes and subterranean drones from out-musick duo Tongue Depressor -- an in-depth exploration of tuned percussion and just intoned drone that comes highly recommended if you're into the work of Tony Conrad, C.C. Hennix, John Cage, Philip Corner and Michael Ranta -- or if you're into church bells, gamelan, or Popol Vuh's earliest meditations." --Boomkat
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https://tonguedepressor.bandcamp.com/
TURNER WILLIAMS JR. / us alabama marseille
Musicien et dessinateur prolifique : on retrouve le même genre d'énergie débordante et de style foisonnant aussi bien dans sa pratique graphique que sonore.
Il compose / improvise avec un shahi baaja : instrument à cordes pincées indien de la famille des cithares, ( ressemblant à une épinette des Vosges ou à un dulcimer) :  il s’agit d’une version électrifiée et légèrement modifiée du bulbul tarang indien. Il est doté d'un clavier de 2 octaves et demie chromatiques, avec toutes les altérations, soit 30 notes au total.  
Shahi baaja  ( littéralement :(« instrument royal » ) est composé de deux cordes mélodiques ( " chanterelles " )  accordées en la (l’une grave, l’autre aigüe), de trois cordes bourdons (mi, la, mi aigu), montées sur un chevalet de type "jivari" (comme sur le Sitar indien) mais aussi de 10 cordes sympathiques (  qui vibrent en résonance ) .
Il se caractérise par l’absence de caisse de résonance ( c'est un " solid body " donc), l’ajout de micros ( et d’une sortie jack ) ainsi que des touches de machine à écrire faisant office de clavier sur les deux chanterelles.
Répandu dans les avatars contemporains des musiques traditionnelles asiatiques - on en rencontre une version au Pakistan ou en Afghanistan (sous le nom Benju) ou encore
au Japon (sous le nom Taisho Koto).- on le retrouve occasionnellement ailleurs ( rock prog, electro, fusion... ) :  ainsi on a pu l'entendre ponctuellement chez Beck p.ex. ou Rapoon,ou plus amplement, joué par Michael Flower de Vibracathedral Orchestra dans son duo avec Chris Corsano.
 Turner Williams Jr. en propose une approche et une maîtrise tout à fait personnelles.
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JULIE ROUSSE / fr marseille
Artiste sonore, improvisatrice et compositrice électroacoustique, constamment à la recherche de matières sonores, explorant avec des systèmes traditionnels et expérimentaux de capture du son, dans des contextes choisis et particuliers, urbains, naturels ou industriels. Son travail est fait de performances live, installations sonores, musiques de films, collaborations avec des chorégraphes, performers et vidéastes
Dans sa pratique de l’improvisation libre, elle utilise sa collection sonore à l’aide d’une plateforme numérique de traitement du son en temps réel, fouillant la matière brute – intrusion dans le détail sonore – à la recherche de textures et de rythmes afin de créer des univers poétiques ( " à la recherche d’une relation entre l’Auditeur, l’Espace et le Rêve " ), créant des univers fourmillants et immersifs, avec des pièces à partir de field recordings capturés dans un lieu spécifique, à un moment spécifique afin d'être déployés pour un projet déterminé.
PAUL MICHEL / fr montreuil
"  Recherche sonore à partir d’un synthétiseur modulaire et d’effets. Bourdons, instabilités, court-circuit. "
PM est un peu le joker / dark horse de la soirée. C'est un de ces " jeunes talents " - repérages BROKEN IMPRO " notre  série préférée ( qu'on ne présente plus ? ) se déroulant régulièrement au Chair de Poule. https://soundcloud.com/urlurlurlurlurlurlurl https://www.youtube.com/watch?v=pxcfK1b4qW4
Fly - Jo L'Indien 
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spiritgamer26 · 1 year ago
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Persona 5 Tactica
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Persona 5 Tactica :Suite à un incident étrange, les Voleurs fantômes errent dans un royaume bizarre où les habitants subissent une oppression tyrannique. Encerclés par un groupe militaire appelé les Légionnaires, ils courent un grave danger jusqu'à ce qu'une mystérieuse révolutionnaire nommée Erina les sauve et leur propose une offre alléchante en échange de leur aide. Quelle vérité peut bien se cacher derrière Erina et le marché qu'elle propose aux Voleurs Fantômes ?Persona 5 Tactica propose une toute nouvelle histoire, le retour de personnages appréciés des fans et de nouveaux alliés et ennemis. Rejoignez le groupe et prenez part à une révolution émotionnelle dans ce jeu palpitant mêlant aventure et combat.https://www.youtube.com/watch?v=qFwLbhI0XAg
Persona 5 Tactica : Exploration Stratégique dans l'Univers des Phantom Thieves
Pour appréhender Persona 5 Tactica, une connaissance de Persona 5 est recommandée. Alors que le jeu intègre des éléments de Persona 5 Royal via DLC, il semble que cette extension ne soit pas considérée comme canon, comme cela a été le cas pour Persona 5 Strikers.L'histoire de Persona 5 Tactica n'est pas clairement définie dans le temps, mais pour bien saisir les relations entre les personnages, une vue d'ensemble de l'univers est utile. Le jeu privilégie un style narratif, similaire au roman visuel, avec des dialogues étendus et des interactions statiques, bien que certaines cinématiques en 3D ou en dessin animé ponctuent l'expérience.La traduction en français, les choix de doublage anglais ou japonais, ainsi que les options de lecture automatique et de navigation facilitent la compréhension du contenu textuel. Toutefois, la quantité abondante de dialogues, bien que caractéristique de la série, peut parfois sembler excessive, obligeant le récit à s'appuyer sur une densité de contenu élevée.Les dialogues longs, parfois utilisés pour développer les personnages et les situations, offrent parfois des moments humoristiques et des récompenses pour débloquer des compétences. Cependant, les choix d'interaction avec les personnages n'influent que légèrement sur les réactions, sans impact majeur sur le scénario ou les relations entre les personnages.L'histoire commence avec Morgana et le nouveau personnage, Erina, sauvant les Phantom Thieves piégés dans une étrange partie du Metaverse. Erina dirige une rébellion contre Marie, une figure autoritaire dans un Metaverse qui évoque la France révolutionnaire. Progressivement, le joueur reconstruit l'équipe des Phantom Thieves à travers des missions tutorielles, explorant ce Metaverse où même le futur Premier ministre du Japon, Toshiro Kasukabe, a perdu la mémoire.Cette situation dans le Metaverse forme la base d'une intrigue centrée sur de nouveaux personnages, bien que moins mémorable que celle de Persona 5 original. Malgré sa prévisibilité, l'histoire attire l'attention et pousse le joueur à poursuivre, même si certains dialogues peuvent sembler excessivement verbeux.
Changements dans le Système de Combat
Le système de combat dans Persona 5 Tactica se distingue radicalement de son prédécesseur, offrant une structure linéaire qui morcelle la campagne en une suite de missions principales. Cette fragmentation est entrecoupée de narrations, dialogues et de cinématiques, suivie par une phase de gestion où le joueur, à travers les écrans de réunion, façonne les Phantom Thieves.Bien que l'équipement se limite au remplacement des armes à feu, procurables ou fabriquées dans les stades avancés de l'aventure, la structure des compétences actives et passives se complexifie. Elle repose sur les arbres de compétences individuels des personnages, avec des spécificités propres à chacun. Par exemple, Joker peut affiner les sorts Désespoir de la branche Eiha, choisissant entre améliorer les sorts à cible unique, à effet de zone ou les deux, et débloquer une capacité spéciale à l'extrémité de l'arbre. D'autre part, Yusuke explore les sorts de type glace de la branche Eiha. Chaque Phantom Thief est spécialisé dans un type de magie particulier, mais peut élargir son répertoire avec des Sub-Personae.L'arbre de compétences offre une marge de personnalisation significative, surtout aux débuts du jeu où les points de croissance sont limités. Il est possible de réinitialiser chaque compétence achetée pour réaffecter les points selon les besoins. Les choix stratégiques sont essentiels, notamment dans les premières heures de jeu.Chaque personnage octroie un bonus passif à l'équipe, soulignant leur spécificité. Par exemple, Makoto amplifie les dégâts en mêlée, Ryuji accroît les HP du trio et Ann renforce le SP. La mécanique du Relais permet de remplacer un Phantom Thief inactif par un autre sur le banc, limité par la difficulté choisie parmi cinq niveaux disponibles.La diversité des Phantom Thieves pousse à les déployer tous, notamment pour les bonus temporaires accordés aux personnages sur le banc. Les altérations de statut et les capacités spéciales deviennent déterminantes, manipulant le positionnement des ennemis ou exploitant l'indicateur de tension étoilé pour inverser le cours des batailles.
Le gameplay
Le gameplay repose sur un système de couverture et de positionnement, exigent une stratégie minutieuse, surtout dans les missions secondaires qui se transforment en énigmes logiques. Les attaques et les déplacements sont basés sur un triangle d'interactions, révélant un aspect stratégique dans la verticalité des cartes où les enchaînements d'attaques jouent un rôle clé.Les missions secondaires et les combats de boss exigent un examen attentif du champ de bataille. Cependant, certains défis peuvent sembler déroutants sans possibilité de rembobinage, pouvant aboutir à des Game Over frustrants.Chaque mission propose des défis optionnels récompensant avec des Personae, nécessaires pour les Fusions. La nouveauté réside dans la possibilité pour chaque Phantom Thief d'équiper une Sous-Personne, modifiant leurs capacités.Persona 5 Tactica offre une approche intuitive malgré son augmentation de difficulté, ciblant un public peu expérimenté. Son style artistique caricatural confère un dynamisme visuel aux combats, renforcé par des animations vives et une bande sonore énergique.Bien que le jeu se comporte bien sur Nintendo Switch, une plus grande variété de cartes et d'ennemis aurait été appréciée pour éviter une certaine répétitivité. Malgré cela, Persona 5 Tactica parvient à maintenir un équilibre entre difficulté et engagement du joueur, démontrant le travail accompli par P-Studio dans ce domaine.
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mysteriis-moon666 · 1 year ago
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PARASITARIO - Everything Belongs to Deat
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Parasitario est un duo de death metal basé à Osaka, Japon, son premier album « Everything Belongs to Death » est du thé vert, il ne craint pas ses influences, il embrase le vieil art mort du death metal classique construit à partir de l'apogée de la fin des années 80. Après le revival thrash depuis quelques lunes c’est le death oldschool.
Parasitario s'est formé en 2018 par le biais du chanteur/guitariste Yuto Kotani, obsédé au début par le death metal influencée par le goregrind, sortant deux E.P avant de se concentrer sur la vieille école du death metal de Pestilence et à divers autres guitaristes influencés par « Scream Bloody Gore » vers 1988-1991 ( Mercyless , Gorguts, etc.).
Les japonais sont très actifs font dans le tas de gore fraîchement suppurant de sang à la puanteur moisie qui accompagne la dissolution de la chair morte, et avec « Everything Belongs to Death » ils ont utilisé le papier carbone pour le « Leprosy », « Consuming Impulse », « The Rack » de Death. Son parfum suinte l’obscurité, et il advient terrible d'aimer quelque chose que la mort peut toucher avec autant de passion. Le groupe ronge son nonos avec la marotte des atrocités passées et il plante bien ses crocs dans des riffs nauséabonds et le gémissement de bombes à fragmentation. Les mâchoires riffiques arrachent, déchiquètent des bourdonnements et d’une basse au niveau du caveau, la brutalité est très satisfaisante avec des éraflures de guitare frappés vers le bas du surréalisme Swedeath. Déterrant du corps sonique un napalm deathalique de 38 minutes, avec lequel tu as bien le temps de secouer la tête et de péter tes cervicales.
Un opus chaudement recommandé spécifiquement réservée aux nostalgiques/fanatiques du death metal "old school".
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machijapon · 2 years ago
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日本に着いた時から、もう2ヶ月になった。 Ça fait déjà deux mois que je suis au Japon.
今は東京は熱いです。ここで散歩するのが好きですが、緑の中でハイキングをすることを楽しみにしてる! Il fait chaud ici, à Tokyo. J'adore m'y promener, mais j'ai hâte d'aller randonner en montagne. 新しいものをたくさん食べて、毎日新しい言葉を覚えて、日本語と論文のため勉強して、常に新しい場所を発見している。日常になったね! Je mange beaucoup de nouvelles choses, apprends tous les jours de nouveaux mots, travaille mon japonais et mon mémoire, découvre toujours de nouveaux endroits.
広島から帰った時から、強い花粉症に悩んでいて、副鼻腔炎になった… Depuis que je suis rentrée d'Hiroshima, j'ai commencé à souffrir de fortes allergies au pollen qui se sont transformées en une forme de sinusite allergique... 初めてだった! C'est bien la première fois !
そして、4月上旬。 「医者に診てもらっても顔と頭は痛くて、これは大病かな」と思って、ストレスが上がってきて、パニック発作を起こった。 Malgré mes nombreuses visites chez le médecin, mon état ne s'améliorait pas. Un soir, alors que j'étais allongée dans mon lit, j'ai commencé à stresser sur le fait que ce que j'avais pouvait en fait être une maladie grave... et j'ai fini par faire une crise de panique. それも初めてだった!! C'était ma toute première crise !! 心臓発作だと思って、ルームメイトは救急車を呼んだ。 たくさんの検査を受けたが、「大丈夫だ」 「ストレスだけだ」と言われた。 Pensant que c'était une crise cardiaque, mes colocataires ont appelé les ambulances qui sont venues me chercher et m'ont fait un test complet à l'hôpital. Les médecins m'ont rassurée en disant que ce n'était « que du stress ».
多分、死んでしまうと思った私と私の体にショックだった。最近、頑張りすぎたのか… Mais ça a été un vrai choc pour mon corps qui pensait mourir.
東京に住み始めた時から、私の生き方によく考えています。私は何年間も、あることに集中して、あることを避けるようにして生きました。大局的な目を持たなかった。実は、熱心に勉強した私は心の中にたくさんの果実の種がある。 夢、思い出、インスピレーション、世界観、感情を持っている。 Depuis que je vis à Tokyo, je réfléchis beaucoup au sens de ma vie. Pendant des années, je me suis concentrée sur certaines choses tout en évitant d'en aborder d'autres. J'avais du mal à voir large. La vérité, c'est qu'il existe une multitude de particules en moi, qui peuvent être des rêves, des souvenirs, des inspirations, une philosophie, des émotions.
イデアリストとエンパスの私は存在できるはずだ。 Peut-être que ce je, idéaliste et empathique, peut finalement exister.
自分の断片を全て大切にして生きたい。世界の欠片も、キメラと怪物も、大切にしたい。 J'aimerais embrasser tous les fragments de ce que je suis. J'aimerais aussi embrasser tous les fragments du monde, y compris ses monstres et ses chimères.
ホワイトシップのチームとの出会いはきっと、「運命の出会い」だろう。 92さんの世界について考えている。作品をとても身近に感じて、毎日学んでいる。 本当に成長する感じがある。 J'ai vraiment le sentiment de grandir au sein de l'équipe. Je me sens très proche des travaux de Kuni-san, et j'en apprends tous les jours un peu plus. これからも、私に与えられた人生と運命を守りながら、生きて行きたい。
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african-gate · 2 years ago
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Les fabricants de produits de psoriasis en Egypte transmettre artisanat génération après génération
Les fabricants de produits de psoriasis en Egypte transmettre artisanat génération après générationL’industrie de la mosaïque du psoriasis est restée vivante dans le village de Sagia al-Makandi dans le gouvernorat égyptien de Menoufia, transmis par les artisans génération après génération. Avec environ 40 ateliers dans le village, des chefs-d’œuvre sont produits, vendus dans les bazars du Caire et les marchés internationaux tels que l’Arabie saoudite, Dubaï, l’Allemagne et la France. Dans l’un des ateliers du barman de Magendi, de petits fragments de coquillages sont transformés en œuvres d’art, remplissant les boutiques de Khan al-Khalili dans la capitale égyptienne. Cet artisanat traditionnel égyptien est un travail délicat et complexe. De petits morceaux de coquillage soigneusement polis sont placés sur une planche de bois, cristallisant progressivement certains motifs géométriques. L’artisan Karim Saeed dit : "Vous devez être patient pour créer le design, qui peut prendre une heure à compléter, tandis qu’un autre design peut exiger une journée complète et peut-être un mois complet." Les compétences de coupe, de conception et de fabrication de ces produits sont transmises de génération en génération, et Karim Said explique : "On peut dire que je suis né ici, où j’ai grandi dans l’atelier de mon père, et ici j’ai appris les origines de l’artisanat à partir de zéro." L’autre artisan, Ahmed Ali, réduit les coquilles aux pièces appropriées selon les souhaits du concepteur, en utilisant sa machine : "Je suis un expert utilisant cette machine, coupant les coquilles en morceaux de différentes tailles et formes nécessaires aux travailleurs." Meubles, tables, échiquiers et boîtes cadeaux sont quelques-uns des produits fabriqués par les artisans ici. Des coquillages sont apportés de partout dans le monde, y compris l’Australie, Oman et parfois le Japon, et le bois est local, apporté de Damietta. Les outils utilisés pour créer ces merveilleuses antiquités coûtent cher, et c’est devenu plus difficile depuis la pandémie de COVID-19 et la stagnation du secteur touristique. L’artisan Saeed Ammar, qui a pratiqué l’artisanat depuis 1976 avec une plus grande reconnaissance de l’artisanat, dit que cette belle industrie traditionnelle est un métier unique en Egypte et Kenza dans le gouvernorat de Menoufia, en espérant que les autorités en Egypte s’occupera de plus en plus.#moon #news#tumblr#trend#reels#newpost#goth#malayalam#sports#twitch Read the full article
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occitaniejapon · 3 years ago
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Du japon à Toulouse en juillet : Fête de Tanabata, dégustations de sakés, les escales de l'été
Du japon à Toulouse en juillet : Fête de Tanabata, dégustations de sakés, les escales de l’été
On aurait pu croire qu’avec le début des vacances d’été, les événements culturels japonais à Toulouse et Occitanie auraient eux aussi pris un peu de repos mais il n’en ait rien ! Le Japon va continuer de vivre durant la saison estivale sur Toulouse et ses environs. Nous avons recensé pour vous l’ensemble des événements dont nous avons eu la connaissance. Si un événement manque à cette liste,…
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levraiweebdepoche · 3 years ago
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INU YASHA (romance/historique/action/fantasy) 2000-2004 – 164 épisodes
Rumiko Takahashi
Note : 10/10
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Inu yasha est ce genre d’anime qui réunira toute la famille devant la télé. Anime d’aventures qui suit un demi-démon, Inuyasha, et de son demi-frère, le Yokaï (démon) Sesshomaru, rejoints par une lycéenne, kagome, qui découvrit une porte vers leur monde dans le puit du jardin de sa maison, Inu yasha vous portera vers des contrées fantastiques, emplies de démons tout droit sorti du folklore japonais. Si l’intrigue tourne autour d’une histoire d’amour malheureuse entre Inu Yasha et la prétresse Kikyo, le genre premier de cet animé reste avant l’action et la fantaisie. Le groupe d’ami se lance en effet à la recherche des fragments de la perle de Shikon, brisée au début du premier épisode et qui a comme pouvoir d’exaucer un souhait. Anime facile à regarder pour une tranche d’âge très large, méfiez-vous des émotions intenses qu’il vous réserve. Les contrevenues sont nombreuses et les épreuves semblent sans fin. Au-delà de leurs voyages à travers le mythique japon de l’époque sengoku, les personnages voyageront également au travers de leurs émotions, souvent de manière peu apaisée. Questionnant ainsi le sentiment amoureux, sa persistance et son épuisement, sa volatilité et son expression par différentes personnes, Inu Yasha est autant un voyage émotionnel que fantastique.
Inu Yasha peut ainsi être décrit comme une introduction un peu froide et brutale à ce que l’on pourrait appeler la dure réalité de la vie. Et pourtant, c’est là toute la force d’Inu Yasha de vous faire vibrer avec les émotions de ses personnages comme peu d’anime savent le faire. Aussi je recommande ce tumultueux voyage émotionnel à tous les amateurs de sensations fortes, et à ceux qui veulent transmettre une belle histoire pleine de sens à leurs enfants (+10 ans).
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nebuleuse-mirobolante · 4 years ago
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Comme la serviette hygiénique pourrie et puante d'une clodo
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Pour elle je réclame justice !
Comme la tête sanglante et amnésique du taureau
Pour lui je clame leur vices !
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Comme une chatte crucifiée car elle ose être libre de saigner ,comme un crâne de taré qu'on à éclaté contre un mur car trop éveillé 
Ça saigne dans mes poèmes crus qui crient la crue cruelle du déchirement des veines 
Rouge comme l'Amour et le drapeau diapré de Sang ,des femmes martyr qui ont la haine 
De la cire brûlante aux flammes brûlantes de désir 
Du viol de ces dames qui hante leur soupir 
Comme la douceur écarlate ,comme la douleur et la joie de ma prose qui t'éclate et t'explose 
Les flow ne sont pas contrôlés,c'est trash comme de la mort aux rois pour l'aurore des rats
Rouge comme la vérité qui effraie l'enclume de la société 
J'aboli le bitume ,à travers le cri de folie de ma plume  
Là où les nébuleuses se baisent à l'aise entre elles ,là ou les gueux merveilleux mettent mal à l'aise 
Le Rouge de la vie combat le Vert du dollar aux odeurs de cadavres plus violentes qu'un cocard 
Écoute le Rouge ! Rouge des comas volcaniques et des transes cosmiques se débattant dans nos corps 
Entre le bien et mal ,le malin et l'abyssal souffle Divin qui cri au fin fond de la mort
Justice pour les timbrés bancals à qui ont veux mettre des codes barres car trop barrés 
Justice pour les êtres qui refusent leur fenêtres d'âme enfermés dans une lettre 
Osons être sapé comme des clowns ,des dissidentes sorties de cartoon transcendant !
Comme un bouton sur la foufoune qui ose devenir fleur de printemps 
Justice pour les femmes assaillies,violées ,battues,tuées dont même le nom à été pendue
Rouge comme l'Amour d'une rose trop excentrique qui ose vouloir épouser le ciel
Rouge comme les détours hors de toute  autoroute affirmant ne pas être grises mais vermeilles 
Rouge comme le premier baiser d'un Arc en ciel
Rouge comme l'érable du Japon et le sable trop brûlant des passions
Rouge comme la table qui accueille toutes les danses même celles qui tournent pas rond 
Rouge comme une main tendue à celle 
d'un autre humain 
Une main qui oublie sa différence,sa puanteur ,sa folie 
Une main qui est pas jolie ,pleine de souffrance et pas très polie 
Rouge comme ce qui nous unis,détraqués ,baltringues mais bilingues de poésie,hérétiques cosmiques ,religieux psychédéliques non fanatiques ,noir,blanc ,chinois,homosexuel,transgenres ,putes charnelles,êtres décadents,insolents ou trop timide 
Femmes battantes , génies sordides ,incompris sans prix 
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Mon cri était Rouge comme le cri mortuaire et splendide de la Vie 
Nébuleuse
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Les Nebuleuses de la Vie
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Les cœurs saignaient des lames et des épines en silex de souffrance .
Le Viol des femmes criait dans la matrice d'une pierre écorchée et fendue 
On avait volé mon corps pour le pendre dans le feu des enfer .
Ma peau tremblait.
MonDieu ! Je vie ,crie et renait !
Elle battait son plein quand soudain un feu d'artifice de Sang et de Soleil s'accoucha dans la lumière chaude  !
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La joie naissait du cri des nébuleuses orgasmiques .
MonDieu ! Je vis ,cris et renait .
La fête sanglante de la joie étripa la tristesse et mes veines hurlaient l'amour dans le bazar des étoiles décorés d'arc en ciel que les roses osaient embrasser. 
Apocalypse ! Renaissance !Transe débridé et merveilleusement désaccordé !
Tel est le cycle de la vie !
Le Rouge !Le Rouge!Le Rouge du Viol!
De la Force ! Du Cosmos!
J'enfante l'Esprit du Rouge hors de mon sexe et de mon ventre divins .
Il est Pudeur Christique qui nous fait rougir  !Exhibition Cosmique !Damnation sordide !Cri qui combat le Vide à travers le chant des tripes qui se crachent dans l'Extase .Nous sommes la Vie ,les chemins véritables des Écorchés qui se ramassent la tronche sur un parbrise de seringue puis s'inventent des nouveaux yeux en remplaçant leur phares crevés,pour voir un nouveau monde et pratiquer la sexualité Spirituelle des Voyages Intérieurs.
Mon corps provoque ainsi l'orgasme du vagin qu'est notre cosmos immense.
Mon ventre hurle la danse de l'antre ,le feu qui vocifère l'exaltation et la rage de courir contre ce qui est inconnu et absurde. 
Les nébuleuses s'accouplent et enfantent la plus belle des tortures qu'est la vie .
MonDieu !Je vis ! Je naît !
Mon cœur est le reflet de ma Pulsion Poétesse.
Il s'ecorche,se trépasse et apprend à renaître de travers dans cette Mère qu'est un simple fragment poussiéreux et grandiose d'Univers. 
Vive les Gueux !Les Fous et Folles puantes , prophètes et déesses de Dieu!
Vive le cri des femmes démolies sexuellement qui assaillissent ensuite le mâle dominant ,écrasé comme un domino dans le do mi do de la musique salvatrice de l'âme. Vive les clochardes qui puent dans la rue et osent encore se battre avec splendeur et transcendance anarchique .
Vive ces gens qu'on regarde de travers !
Vive les marginaux inopinés dont la symbiose acclame une des milles trilliards de vérités et bien plus car il y à un nombre infinie de vérités et pas une !
Elles forment le chaos ,la fusion en magma du champ des cœurs poètes aux mélodies de clarinette .
Je ne déclarais jamais " vive la France" ! Ni de " Vive la Terre " uniquement 
Vive l'Univers ,La Terre et le Sang de ses Veines !
Vive le tout sans frontière ni patrie  !
Vive le Souffle des Tripes de la Poésie !
Vive les Croyants Psychédéliques aux Révoltes Humanistes et les Génies psychotiques et Utopiques dont la Folie est enfaîte le cadavre des codes sociaux et l'Abolission des camisoles .
Car nos Corps puent après la Mort mais La Mort est dans la Vie .
Il n'y a pas de Mort.
La Mort n'existe pas car la Poésie et Dieu le Clown Révolutionnaire l'ont abolie .
Il n'y a qu'une brochette de Pleurs ,de Rires ,de Renaissances ,de Voyages Intersidéraux et d'Éternité Mère de l'Art et Matrice d'une de ces Infinies Vérités. 
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Nébuleuse Mirobolante 
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Nébuleuse 
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delfiris · 3 years ago
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Le Japon n’est pas seulement la toile de fond de l’opéra. Il irrigue profondément le langage et l’expression artistique surgis sur les décombres des guerres mondiales du XXe siècle, et apporte la preuve que la fascination et la curiosité pour l’étranger sont à la source des plus grands courants de l’art. Car les deux pièces de nô qui composent Only the Sound Remains, Always Strong (Tsunemasa) et Feather Mantle (Hagoromo), ne sont pas des originaux, restitués avec précision. Tout au contraire, ils sont le résultat de notes prises sur le vif au XIXe siècle par Ernest Fenollosa, un Américain orientaliste qui vécut au Japon. A cette époque, nous a confié Peter Sellars, le Japon s’ouvrait à l’Occident et dédaignait sa culture :
“Installé au Japon, Ernest Fenollosa disait : ‘Mais ce que vous faites ici est passionnant !’ Et on lui répondait : ‘Non, pas du tout. Mais si ça vous intéresse, on vous fait ministre de la Culture japonais.’ Ce qu’il est devenu. Bien sûr, il ne comprenait rien, mais il s’intéressait à tout ! Il allait voir des spectacles de nô avec quelqu’un qui lui chuchotait à l’oreille la traduction des pièces. Il prenait des notes, mais évidemment, il ne pouvait pas tout noter (rires). Il a dû attraper la moitié de ces œuvres. Après son décès, sa veuve a confié toutes ses notes à Ezra Pound à Londres en 1910, avant la Première Guerre mondiale. Pound vivait dans la maison du poète William Butler Yeats, dont il était le secrétaire particulier. Il ne comprenait pas le japonais et il se trouvait devant ces notes étranges, des fragments.
C’était comme une ruine, quelque chose de détruit qu’il fallait ré-imaginer. Il a donc inventé les choses qu’il ne comprenait pas (éclat de rires). Ces textes ont beaucoup marqué Bertolt Brecht. Ce n’est pas par hasard si ça coïncide avec les débuts du cubisme. Dans ces fragments rassemblés, la moitié relève de l’abstraction, l’autre moitié, de l’imaginaire. Et tout l’art du XXe siècle s’est construit sur des ruines, des fragments qu’on réassemble en créant une nouvelle relation entre eux. Les épisodes du passé sont présentés dans une forme qui les rend modernes. Quand Beckett, après Auschwitz, a eu besoin de réinventer le théâtre, il s’est référé à ces textes d’Ezra Pound. Nous avons la même situation dans le théâtre du nô : rien ne se passe. Ce sont des fantômes, on les attend, ils arrivent peut-être ou peut-être pas, ils disparaissent et on est toujours là. C’est En attendant Godot ! Et quand Heiner Müller voulait aller plus loin dans la destruction et la réinvention du théâtre occidental, il se référait à Beckett, Bertolt Brecht, Ezra Pound et ces textes de nô. C’est la source du théâtre du XXe siècle.”
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estellehanania · 4 years ago
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“It’s Alive!” my solo show at Maison Européenne de la Photographie
 My show at la MEP just opened and will be on view until the end of october. Thanks for all the people who came to the opening last week.
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“Dans le cadre de la programmation du Studio, consacré aux artistes émergents, la MEP présente It’s Alive!, une exposition de la photographe française Estelle Hanania, consacrée au travail de la metteuse en scène et chorégraphe Gisèle Vienne, notamment autour des marionnettes et de la ventriloquie.
Estelle Hanania s’est déjà intéressée au folklore, se focalisant sur les pratiques liées aux rites, costumes et masques vernaculaires, qu’elle utilise pour aborder la problématique plus large des mécanismes qui forgent l’identité. À travers sa pratique, elle s’intéresse à ce qui rend le corps humain unique, aux nombreuses transformations qu’il peut subir, par le costume ou le déguisement notamment. Ses séries de photographies sont le fruit de projets et de recherches menés sur de longues périodes, au cours desquelles se noue une relation étroite avec les gens ou les communautés qu’elle immortalise. Son goût pour les traditions ancestrales et les pratiques culturelles l’ont conduite en Indonésie, au Japon et dans les régions montagneuses d’Europe. Son approche artistique n’est en revanche ni documentaire ni anthropologique : elle ne cherche pas à prouver ni à illustrer une théorie. Ses sujets, au contraire, restent nimbés de mystère.
Le point de départ de cette exposition, It’s Alive! est le dernier livre éponyme d’Estelle Hanania, publié par Shelter Press, qui revient sur les dix années de collaboration entre la photographe et l’artiste et metteuse en scène Gisèle Vienne.
À partir des spectacles chorégraphiés par Gisèle Vienne, qui a souvent recours aux marionnettes ou à la ventriloquie, Estelle Hanania a créé des séries qui sont à mi-chemin entre réalité et fiction, entre le perceptible et l’invisible. Ses photos, loin d’un compte-rendu documentaire, mettent en lumière ce qui est moins tangible pour le spectateur. Ce ne sont pas de simples photos prises au cours des spectacles ou des répétitions : l’artiste ne fournit au spectateur aucune information claire et lisible. Prenant ses distances avec les représentations traditionnelles du théâtre, elle s’intéresse aux détails qui interviennent loin du plateau, hors cadre. Ici, ce sont les fragments, les indices qui permettent au spectateur de reconstituer une histoire. La figure humaine occupe une place essentielle dans le travail d’Estelle Hanania comme dans celui de Gisèle Vienne, elles jouent toutes deux sur la confusion entre animé et inanimé afin de laisser planer une forme d’incertitude dans l’esprit du spectateur.”
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ssssssssyyyyyyy · 5 years ago
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A propos de Réminiscences
(définition du CNRTL)
Souvenir d'une connaissance acquise dans une vie antérieure, quand l'âme, qui vivait dans le monde supra-sensible des essences, contemplait les Idées.
Retour à la conscience d'une image, d'une impression si faibles ou si effacées qu'à peine est-il possible d'en reconnaître les traces.
Mémoire profonde, lointaine, comme venue du fond des âges.
Une page dédiée à la mémoire lointaine, aux souvenirs les plus flous, difficile à atteindre. Parfois, on essaye d’approcher tous ses souvenirs, mais la mémoire est sélective, même protectrice. Elle ne nous laisse pas vraiment le choix. 
Les réminiscences de l’enfance, des expériences, ou encore de la pensée. Figurent ici des fragments de sentiments, des bribes d’émotions d’une enfant qui cherche et recherchera toujours qui elle est, où elle appartient. Quelle identité pour cette enfant ? Comment se représentera-t-elle à travers le monde ? 
Une enfance partagée entre deux mondes, deux vies, l’une en France, une autre au Japon. 
“Où est ce que tu te sens le plus chez toi ? En France ou au Japon ?”
La réponse n’existe pas.
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editions-nous · 5 years ago
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Tridents, de Jacques Roubaud, par Jacques Demarcq
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L’écriture au trident
Il est rare qu’un poète invente une forme fixe, aux règles suffisamment claires pour être transgressées. L’Oulipo n’a pas cherché à créer des formes poétiques ou romanesques ; il a expérimenté des techniques de (ré)écriture, ce qui est d’un autre ordre. Les œuvres limites que sont Cent mille milliards de poèmes de Queneau ou La Disparition de Pérec sont d’ailleurs restées sans suite notable. Pour qu’une forme s’impose en tant que telle, il faut que le laboratoire débouche sur une production. Le sonnet est un bon exemple : initié vers 1235 par des rimeurs de la cour de Frédéric II en Sicile, il ne s’est répandu qu’après avoir été repris par Dante dans Vita Nova, puis Pétrarque dans le Canzoniere, tous deux magnifiant la forme en lui attachant un sujet idéalisé : Béatrice, puis Laure. On connaît la suite : la Pléiade, Shakespeare, etc. Jacques Roubaud a de la chance : curieux de tout, il a beaucoup lu et traduit. Il a des savoirs, de l’imagination, des doutes, de la profondeur, de l’humour, de la persévérance dans ses projets et de l’expérience comme expérimentateur. En 2000, « sortie de millénaire », à 69 ans, il imagine « le premier trident », qui s’autodéfinit : « vers un : cinq syllabes / vers deux : trois / vers trois : cinq syllabes » (p. 7, n°1 ; les références suivantes à l’identique). Tout de suite, s’impose un thème : le temps qui érode le corps et l’esprit. Poème 2, « eau » est le titre en gras, et les vers : « sable sable sa / ble sous / sable sape sable ». Le vers 2 est bientôt défini « le pivot / sur lequel tournera le trident » (22, 66), qui peut se lire à l’envers : « sable sape sable / ble sous / sable sable sa » en un bégaiement inachevé qui est celui de la mémoire. Les mots se cherchent parfois jusque dans la contemplation qu’ils rendent dynamique : « peurpillent, parpillent / s’éparpillent / s’ébarbillent nuages » (74, 265). Les e muets, certes : « mais je compte comme / si j’étais / sous Hugo encore (112, 420). Autre définition, celle du sujet qu’inspire la forme : « l’instant parenthèse / qui s’entr’ouvre / déployant le mètre (11, 18). Illustration : « ce poème // aurai-je eu le temps / de le dire / avant de le taire ? » (64, 226). Le trident est dérivé de la tradition poétique japonaise qui a déjà beaucoup inspiré Roubaud ; du tanka plus précisément, composé d’un hokku de 5 + 7 + 5 syllabes, parfois détaché en haïku, et d’un distique de 7 + 7 : « par condensation / un trident / confine un tanka » (85, 312) ; « renverse un tanka / et de trente / et un livre treize » (179, 686). C’est l’occasion de méditer à nouveau sur des classiques : Bashô, qui a joué de son nom signifiant « bananier » et continue d’étonner : « feuilles trempées d’encre / fruit étrange / pour un bananier » (256, 989) ; ou un célèbre haïku de Ryokan, qui dit à peu près « le rossignol, son chant m’a sorti d’un rêve, le riz du matin », et griffe plus vif traduit en trident : « ougouissou no / grains, issues / hérissant harasse » (111, 415) ; ou Sanekata Shû : « je ne connais pas / ton chant, ô / toi, coucou, passons » (168, 643). Roubaud aussi est attentif aux zozios, observant leur disparition : « la fenêtre ouverte / dix fois moins / d’oiseaux qu’autrefois » (236, 908), ou se souvenant de Queneau : « zairs, zeaux, zondes, zherbes / et zétés, / zautomnes, zOiseaux » (513, 2035) – ce bref zézaiement, la probable amorce d’une kyrielle en z parue récemment dans la revue Po&sie. La forme restreinte, que Mallarmé nommait action, n’est pas un carcan. Paradoxalement, « la difficulté / du bref : c’est / si dur de l’emplir » (320, 1246). La restriction coupe court aux complaisances du discours : « qui sait trop bien dire / ne sait plus / comment ne plus dire » (169, 647) ; « poésie // s’opposer au monde / bavard d’un / arrêt de volée » (48, 163). Le Japon est également présent par des notes de voyages, où la trivialité peut croiser la tradition : « vieil ainu gelé / ice cream cone ! / rêve fuji-forme » (237, 912 ; les Ainu, un peuple du nord du Japon). S’y rencontre aussi l’inscape de Hopkins, cette singularité de chaque chose-être que saisit l’instress poétique : « la Fumée-Fuji / à la fois / inscape et instress » (248, 957). Nombre de poèmes se réfèrent à la littérature anglaise, comme ce vers final de Milton dans sa pastoraleLycidas : « to morrow to fresh / woods and past / ures new. voilà. dit. » (57, 198), où la coupe du vers pointe le passé, « past », dans le lendemain verdoyant annoncé. Une série « Shaking Zuk » taquine Zukofsky, dont Roubaud traduit en 2003 un poème fait de notes numérotées (inTraduire, journal, Nous, 2018) et lit la traduction de 80 Flowers par Abigail Lang (80 Fleurs, Nous, 2018). Zuk est confronté à Lewis Carroll : « ‘no smiling mouth with / out a face’ / except in Cheshire » (353, 1377), ou à Edgar Poe : « corbeau ‘exquisite’ / beau-noirceur / braillant‘nevermore’ » (355, 1384). Reviennent en mémoire des poèmes brefs de William Carlos Williams : ses bruants fouillant les feuilles sèches (46, 156) ou sa brouette rouge (138, 522). Le trident apprécie moins certains poèmes trop longs : « Olson, pompous ass / projecting / Maximal ennui » (416, 1631). Aux lectures, se mêlent là aussi des souvenirs de séjours en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Un troisième domaine non-étranger à Roubaud est la langue du « trobar// chante, rossinhol / chante, toi / qu’on ne ‘trouve’ plus » (60, 212). Les souvenirs retrouvés du sud de la France, où il a passé son enfance, sont parmi les plus nombreux avec les choses vues à Paris. Une fois vérifiée, la forme fixe peut bouger. Le nombre des syllabes n’est pas plus rigide que pour le haïku, le tanka, voire le sonnet pétrarquien. Le titre donne en général le contexte ou la référence du poème, mais il peut s’ajouter au poème qu’il commence : « ce dont on se souvient // dépendra des modes / de narra / tion dont on dispose » (581, 2298). Il peut être plus long que le texte, comme les 22 (ou 24) syllabes de « “Et dieu créa la femme” Athènes, juillet 1959, cinéma en plein air » préparant « oh ! – frémissement / de la toile / et des spectateurs » (593, 2341). Il existe des tridents doubles, triples, en miroir, avec coda, et même un centuple, « L’Approximatum » (pp. 643-660). Forme dérivée, le pentacle rejoint le tanka, ajoutant deux vers de 6 et 5 syllabes, ou 4 et 5, au tercet. Exemple, extrait d’une série « en train» : « de st raphaël / à paris / seul arrêt Les Arcs- / Draguignan. Le bar dans / la voiture 4 » (38, 121). Au compte des syllabes peut se substituer celui des lettres, générant des mantras rivalisant de vitesse avec Ungaretti : « CIEL D / OUB / LÉ D’OR » (114, 426) ; ou jouant d’une anagramme : « AMÈRE / MER / RAMÉE » (528, 2093). Assoupli ou pas, le trident peut frôler, égratigner, embrocher tous les sujets : citer Tino Rossi (242, 934) au même titre que Mallarmé (963, 232), vibrer d’une enseigne de bar (666, 20-22) ou d’une « lllibellullle » (540, 2136), se moquer d’Apollinaire, « entre sublime an / cien et mir / liton patriote » (429, 1721) comme du slam où « le besoin de rime / a produit / sa caricature » (841, 663). Le trident n’est qu’un instantané sans autre prétention que de retenir l’instant, face au tempus fugit : « je me veux restanque / retenant / les terrains passés » (124, 466 ; restanque : le muret d’une terrasse cultivée dans le Midi), car « composer un poème / n’est rien d’autre / que du jardinage » (259, 1002 ; trident : une bêche à trois pointes). En 2014, atteint d’ostéoporose, Roubaud se venge par le rire de ses souffrances : « dos en porcelaine // pas besoin d’un é / léphant, juste / un pied qui trébuche » (679, 31) ; « je m’éveille // moins de 5 secondes / après je / sais que j’ai eu tort » (683, 49). Approchant de la fin d’un troisième mille et, craint-il, d’« une vie », il avoue, « j’aurais voulu que / les tridents / m’autobiographisent » (900, 992). Autobiographie peut-être pas, mais assurément l’autoportrait du poète en action, délibérément restreinte par sa forme, d’écrire. Il en ressort une esthétique nourrie d’incertitude, de questionnements qui invitent à poursuivre : « composer un po / ème c’est / s’avouer perplexe » (484, 1926). Les tridents sont des cailloux de pensée semés par qui sait qu’il n’y a pas de retour : « être vivant je / suis, ici, / encore, mais / [coda] en ‘fin de droits’ » (560, 2213). Qu’espérer alors sinon qu’un ou plusieurs autres trouvent ces tridents sur leur chemin ? Inventer une forme, c’est l’offrir, dès le début : « don du poème // vous voulez écrire / un poème / en voilà un » (48, 161). Parvenu au 1 800e trident : « beaucoup, dirait-on / mais Issa : / 20 000 haïkus » (458, 1800). À la fin, le doute subsiste : « je ne sais pas si / cette forme / après moi vivra » (802, 511). Il est trop tôt pour répondre à cela. Mais le livre, 1 000 pages, quelque 4 000 poèmes, résiste à une vingtaine d’heures de lectures. Ce ne sont pas de beaux fragments de pensée gravés dans le marbre. Ce sont des poèmes, en équilibre instable sur le papier, des choses-mots qui éveillent la curiosité par leur vitesse, leur vacillement, leur mobilité. Si le lecteur, leur partenaire, remue avec eux, il ouvrira des milliers de boîtes à surprises d’où jailliront une plage de sable, un nuage, des tankas, un bananier, un rossignol, un coucou, une fenêtre, des cônes glacés, des pâtures, un chat du Cheshire, des bruants, une brouette, un cul pompeux, B. B, le TGV, le ciel et la mer, des bars tokyoïtes, une libellule, des restanques, un éléphant et j’en passe, il reste quantité de tridents à saisir et lancer. Jacques Demarcq
Source : Poezibao
https://poezibao.typepad.com/poezibao/2019/12/note-de-lecture-tridents-de-jacques-roubaud-par-jacques-demarcq.html
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shanomiko · 5 years ago
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2月23日2020年 10:40
Presque une année s’est écoulée depuis mon dernier article ! Le temps a filé à une vitesse hallucinante. Il m’a fallu du temps mais... C’est tout bon, le dernier sceau que j’avais mis sur mon cœur s’est brisé il y a quelques jours. En fait, cela faisait depuis mon retour du Japon que j’étais comme... Cristallisée, gelée, figée dans le temps. Je me contentais de souffrir, être là et avancer malgré tout. Piégée dans des mondes illusoires que je m’étais créée (Une surdose de rôle play.) J’ai fini par en sortir.
Cela fait depuis octobre que j’ai déménagé en montagne, chez mon frère de cœur. Au début ça allait mais, le fait est qu’il s’agit d’un studio avec 0% d’intimité. Ma seule chambre se résume à un lit mezzanine au dessus du canapé, un royaume de 160/220 cm et de moins d’un mètre de haut. Par ce manque d’intimité j’étais obligée de tout faire selon lui, vivre selon lui. Il se couche, je me couche. Il se lève, je me lève. Si on rajoute à cela le fait qu’il n’y a que 5 bus par jour en semaine, 3 le samedi et 2 le dimanche... Et bien ça fait un peu Alcatraz (J’aime mon frère tout plein allez pas vous faire des idées hein.) J’ai aussi eu des frais forcément donc ça n’a pas été facile tous les jours... Mais bonne nouvelle, je déménage début mars en bas de la montagne pas loin d’une gare dans un village très très calme. Cela devrait faciliter les choses pour chercher un emploi, me déplacer, etc. Je sais qu’au début je ne voulais pas trouver un appartement seule à cause des frais et autres mais au final... C’est pour le mieux, ce sera ma base, mon QG.
Mais à tout mes amis je vous demande pardon de ne pas avoir donné beaucoup de nouvelles. Quand on vit dans une telle condition de manque d’intimité, impossible de se ressourcer, de se recentrer. J’étais vidée constamment. Et se déplacer, sortir de la maison, descendre de la montagne et devoir attendre 4 heures de temps pour remonter, c’était au dessus de mes forces. Même aller me promener me demandait de gros efforts.
Et puis le sceau s’est brisé, j’ai senti les flux circuler à nouveau dans tout mon être. Comme si... Je respirais à nouveau. Comme si... Le temps avait repris son cours après un gel de un an et demie...
Hier, j’ai enfin décidé de répondre à l’appel du Kami de la montagne non loin d’où je vis. Je sentais une grande puissance, écrasante, stable et brute à la fois : La force d’une montagne. Ho j’ai déjà fait une connexion avec un Kami dont le sanctuaire se trouve en aval de la rivière, beaucoup plus bas. Mais en ce qui concerne le mont en question, voyez plutôt les photos et regardez cette montagne à la forme singulière et blanche au loin à travers plusieurs saisons.
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À chaque fois que nous remontions en voiture en sortant du tunnel, c’est comme si on arrivait dans un autre monde. Ce mont et le kami que je sentais m’appelaient vraiment très fort. Je ressentais cela depuis des mois mais je me suis enfin sentie prête. Après tout, il fallait que je libère mon cœur de sa prison cristalline au préalable ! 
Je n’avais pas beaucoup mangé, juste une soupe en tasse mais je n’avais pas très faim. J’ai mis deux pommes dans mon sac et une bouteille d’eau et je suis partie. Le soleil était au rendez-vous et le climat très doux. Une légère brise soufflait.
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L’ambiance était vraiment mystique, au début, des oiseaux chantaient et l’odeur de la forêt, des conifères et de la terre brut venaient me bercer et apaiser mon âme en me débarrassant d’énergies négatives et impuretés qui étaient en moi. Puis, plus j’avançais, plus je pouvais entendre des cours d’eaux comme des rivières et cascades alimentés pour la plupart par la fonte des neige. Le chemin était vraiment plat, idéal pour un début de promenade calme mais une première petite épreuve eut tôt fait de se présenter.
Un éboulis de neige solidifiée, rempli d’ardoise tranchante me barrait la route, impossible de faire le tour sans risquer une chute vertigineuse et pour le moins douloureuse. Je l’ai donc gravi et suis passée de l’autre côté en faisant attention de ne pas glisser mais l’ardoise offrait une bonne adhérence.
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Une fois cet obstacle franchi, j’ai continué à marcher. La neige devenait de plus en plus présente, par plaques dures sur le chemin. J’ai même vu l’entrée d’un espèce de tunnel métallique créé par l’homme. Je me suis approchée mais ne m’y suis pas aventurée car beaucoup d’eau coulait à l’intérieur. Je me demande à quoi cela pouvait servir...
Je m’approchais de plus en plus du barrage qui faisait office de virage permettant de passer de la montagne sur laquelle j’étais à celle située de l’autre côté de la gorge. Le mont où réside le Kami qui m’appelait se trouvait en amont de cette rivière et au delà du barrage. 
J’ai même pris une photo de la montagne qui se trouve loin en face de l’autre côté de la vallée, la vue depuis la gorge offrait cette vue époustouflante.
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Puis en me retournant pour voir le mont en question, j’ai détecté le sanctuaire au loin : Un rocher à la forme particulière. L’appel est devenu plus fort et une épreuve a été donnée car pour l’atteindre j’allais devoir faire du hors piste et remonter la rivière et les rochers (Plus un ruisseau dans l’état.) On le vois bien ce sanctuaire sur les photos suivantes, c’est l’élément central.
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Des remontées de rivières j’en ai déjà fait beaucoup, depuis petite même mais jamais une telle épreuve. La neige était épaisse environ 2 mètres mais solide et compacte. Seulement par endroit le pied s’enfonçait d’un coup et certains rochers de la rivière étaient recouverts de glace. Le sanctuaire semblait si près, mais en même temps si loin ! L’irrégularité du chemin, le vent glacial qui soufflait, tout me mettait à l’épreuve. J’ai dû marquer une ou deux pause également car je me retrouvais vite essoufflée. De plus il fallait faire attention de ne pas se couper sur l’ardoise...
Ce qui m’a beaucoup aidé c’est la piste d’un petit renard, comme par hasard. Des petites empreintes de pattes dans la neige qui formaient un chemin que j’ai suivit durant cette vertigineuse ascension. Une fois la rivière et les rochers passés (En réalité elle était encore là mais sous des mètres de neige.) Je suis arrivée dans un mini désert glacé, il y avait de grosses dunes blanches. Je pouvais sentir le cœur de la montagne et le vent fouetter mon visage. De la roche dégringolait des pentes à gauche et à droite à cause du vent. C’était effrayant car je me disais que si un morceau plus gros se détachait... Bon d’accord j’étais bien au centre mais quand même. J’ai failli abandonner à un moment, je me suis dit “Hey et si tu croisais un animal sauvage affamé ? Ou si tu tombais dans une crevasse ?” Mais j’ai fait preuve de détermination et j’ai continué à avancer, je n’avais pas parcouru tout ce chemin pour abandonner si près du but et mon cœur était puissamment appelé par le kami.
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Une véritable épreuve d’endurance et de détermination mais j’y suis arrivée et le fait de boire l’eau pure de la rivière aussi a pas mal aidé. Une fois devant le sanctuaire, tout s’est calmé, le vent a arrêté de souffler car j’étais à l’abri. Je n’entendais que le son de la roche qui dévalait les pentes, j’avais l’impression d’être à l’intérieur de l’estomac d’une gigantesque créature qui aurait pu me broyer, m’écraser à n’importe quel moment. Mais le sanctuaire était doux, apaisant et vivifiant. La roche était vraiment magnifique et gorgée d’énergie. J’ai déposé une de mes pommes en guise d’offrande et j’ai fait ma prière rituelle habituelle en échangeant un fragment de mon énergie contre celle du Kami, je me suis connectée et ai demandé du soutien pour les épreuves à venir, trouver un emploi, ne jamais lâcher.
J’ai senti une énergie colossale m’envahir comme celle d’une bête mais pas exactement non-plus, la force et la robustesse d’une montagne. Cela contrastait avec mon énergie vacillante lors de l’ascension où j’ai même eu parfois la tête qui tourne. Je me suis ensuite retournée, prête à partir. Il faut dire que se faire surprendre par la nuit qui commençait à montrer le bout de son nez aurait été très fâcheux dans de telles circonstances !
De la roche tombait de plus en plus sur les côtés, il était grand temps de lever les voiles ! Autant dire que la descente était plus facile même si glissante par moment. J’étais envahie par cette puissante énergie, un peu comme au mont Fuji mais en plus brute. J’ai dévalé la rivière comme une bête affamée et malgré une ou deux glissades, j’ai fini par atteindre le barrage à nouveau.
Je me suis autorisée à manger ma pomme car je commençais sincèrement à avoir faim. J’ai regardé à droite en arrivant au barrage. La prochaine fois, j’explorerai l’autre montagne qui semble vraiment encore plus forestière.
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Je suis rentrée en refaisant le chemin inverse, j’étais surprise qu’une telle connexion et épreuve me laisse avec une énergie aussi forte. Souvenez-vous à quel point mes premières connexions me laissaient vidée de toute énergie à chaque fois !
Sans trop me poser de question je suis donc arrivée à l’éboulis et j’ai filmé l’eau qui s’y engouffrait car je trouvais cela splendide. J’y ai jeté le trognon de pomme. Qui sait ? Peut-être qu’un pommier poussera quelque part.
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J’ai fini par rentrer, bilan : environ 02:30 d’expédition, vous pouvez voir le bilan sur l’image ci-dessous (J’ai dû changer la position de la carte pour tout voir donc le nord n’est pas en haut.) Le point bleu c’est Mex le village où j’habite actuellement. Ensuite on voit clairement le chemin serpenter jusqu’au drapeau vert. Il s’agit du barrage qui fait le virage pour aller sur l’autre montagne et on peut effectivement constater qu’elle est très forestière ! L’épreuve a commencé là, je pense que la difficulté aurait été autre si j’avais fait cette épreuve en été car la rivière aurait peut-être été plus large et dangereuse. Et vous pouvez constater selon mes marquages habituels que le sanctuaire se trouve à l’étoile dorée. La distance semble plus courte, c’est vrai, mais ce serait sans prendre en considération la neige et l’irrégularité extrême du terrain.
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À la maison j’ai eu le contrecoup de la marche, l’épreuve et surtout la connexion. Je me suis retrouvée vide, sans force ni rien. J’arrivais à peine à bouger et me suis donc allongée très tôt mais non sans manger d’abord car j’étais vraiment affamée. J’ai étonnamment mal dormi cette nuit là car je mourrais de chaud et cette nouvelle énergie en moi est vraiment intense !
Ce matin je me suis réveillée encore un peu vaseuse et chamboulée énergétiquement mais je me sens mieux et gorgée d’une force nouvelle. Bien qu’un peu courbaturée ha ha. Plus qu’à déménager, chercher un emploi, mettre de côté et rentrer là où je me sens chez moi et bien : Au Japon ! 
Sachez bien et je le répète, je suis née en Suisse mais je ne me suis jamais sentie suissesse ni même à ma place ici. De même que je me sens éventuellement plus japonaise mais... N’ayant pas grandi là-bas je ne peux décemment pas dire aux gens hey je suis japonaise ! Non... Je me sens... Intemporelle, sans origine précise car le Japon n’est pas le seul endroit où j’ai des souvenirs. Tout ce que je peux dire c’est que je me sens bien là-bas et que je désire y retourner, du plus profond de mon être .
Je pense rédiger à nouveau des articles maintenant que je me sens mieux. Je vous parlerai de mes expéditions, des nouvelles connexions ou tout simplement donner des nouvelles sur l’évolution du projet. Je pourrai mettre de simples pensées personnelles, spirituelles ou philosophiques éventuellement.
Portez-vous bien mes amis et merci pour votre temps si précieux !
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oviri7 · 6 years ago
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« L'Ukiyo-e, mouvement artistique japonais courant du XVIIème au crépuscule du XIXe siècle, nous est essentiellement connu pour ses estampes sur bois. Le terme signifie littéralement "image du monde flottant". Si d'autres sensibilités, dans d'autres régions, trouvèrent dans les arts visuels un champ d'action des plus vaste pour tenter de résumer le sentiment de l'éphémère, c'est au Japon que l'impermanence et la fragilité de toute chose se sont élevées aux cimes de l'esthétique, sur les ailes d'esprits qui surent ici mieux que nulle part ailleurs capter la légèreté de l'instant. Qu'on s'évade, ainsi, avec cette jeune femme qui rêve en faisant glisser son peigne comme une barque sur l'encre de sa chevelure, et dont la figure de porcelaine mêle son éclat ivoirin aux brumes laiteuses jusqu'à ce que se confondent dans une même douceur l'air et la chair. Qu'on se fige devant la grande vague de Kanagawa qui fond sur quelques vies misérables secouées par la tempête, sous le regard d'un mont Fuji distant comme un dieu impassible et étranger au sort de créatures dont il n'a après tout nul besoin pour régner. Qu'on s'oublie, en contemplant une lune en gésine troquant pour quelques nuits ses tâches obscures contre la constellation florale d'un prunier, et qu'infuse en nous sa clarté parfumée au plus profond des heures silencieuses. Qu'on ouvre grand les yeux, et plus encore son esprit. L’on verra, éclose sur ce monde flottant, une poésie perpétuelle, et l'on comprendra que chacune de ces estampes est un fragment de monde figé par quelque magie en un espace où se prolonge dans l'œil du spectateur le songe de l'artiste, là où se cristallisent les deux émotions. L’on verra comme le dessin est délicat, d'une légèreté telle qu'on croirait qu'et la forme et la couleur peuvent à tout moment s'évaporer pour rejoindre les sphères secrètes où elles flottaient avant que le peintre n'y vienne tremper sa vision. Rien ne dure ici-bas, l’artiste japonais met tout son art à nous le confesser dans ses œuvres qui semblent, en définitive, des murmures déposés à fleur de bois. Tout passe, certes. Nous avons saisi l'esprit du "mono no aware", nous avons nous aussi cette « sensibilité pour l’éphémère » qui nous fait acquiescer lorsque Baudelaire écrit que « l’air est plein du frisson des choses qui s'enfuient ». Mais de ces estampes qui connaissent la richesse des nuances sans jamais tomber dans la nausée versicolore, de leurs blancs éclatants, de leurs atmosphères vaporeuses et de leurs lignes qui caressent l'œil comme la planche, ne suinte aucun spleen, aucune angoisse. S’en exhale au contraire un calme immense qui réconcilie avec la vie et demeure bien après que nous ayons détourné notre regard. Ne nous agitons pas trop pour quelques illusions terrestres; telle semble être la vérité profonde de ces estampes qui stylisent de leurs tracés éthérés les profondeurs spirituelles jaillies de l'illumination bouddhique plus de deux mille ans auparavant. C'est d’ailleurs, peut-être là tout l'art de ces impressions du pays du Soleil-Levant; nous réapprendre la tendresse pour l'infime en chantant l'infinie évanescence des choses. »
Ariya S.
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