#formation en design sonore
Explore tagged Tumblr posts
Text
Inscrivez-vous au meilleur programme de formation en ingénierie sonore, conçu pour fournir aux professionnels de l'audio en devenir l'expertise nécessaire pour exceller dans l'industrie de l'audio. Ce programme complet couvre l'enregistrement sonore, le mixage, le mastering et les techniques audio avancées, en utilisant les dernières technologies et les outils standard de l'industrie. Apprenez auprès d'instructeurs expérimentés avec une formation pratique et une expérience réelle, vous garantissant d'acquérir des compétences pratiques tant en studio qu'en son en direct. Que vous souhaitiez travailler dans la production musicale, l'audio pour le cinéma ou l'ingénierie sonore en direct, ce programme de formation vous préparera au succès.
#meilleur programme de formation en ingénierie sonore#programme d'ingénierie audio#cours d'ingénierie sonore#formation en son professionnel#programme de production audio#mixage et mastering#formation en enregistrement sonore#programme technicien audio#formation en production musicale#ingénierie sonore en direct#compétences en ingénierie sonore#carrière en ingénierie audio#cours audio professionnel#formation en design sonore
0 notes
Text
Les visionnaires de la mode qui ont bouleversé le paysage sonore
Il est indéniable que les créateurs de mode et la musique sont deux domaines intimement liés. Dans cet article, nous allons explorer comment ces créateurs de mode audacieux ont marqué l'histoire de la musique, impactant à la fois l'industrie et le style personnel des icônes musicales. Préparez-vous à plonger dans un monde de glamour, d'innovation et de créativité. Quand les créateurs de mode rencontrent les stars de la musique Les collaborations mémorables Les créateurs de mode et la musique ont toujours fait bon ménage. Des collaborations légendaires, telles que celles entre Madonna et Jean-Paul Gaultier ou entre Lady Gaga et Alexander McQueen, ont marqué les esprits et contribué à créer des tendances durables. Ces associations artistiques ont permis aux musiciens d'affirmer leur identité et aux créateurs d'étendre leur influence. Des costumes de scène inoubliables Les créateurs de mode ont également joué un rôle crucial dans la conception de costumes de scène emblématiques. Pensons, par exemple, aux extravagantes tenues de scène d'Elton John, conçues par Bob Mackie, ou aux costumes spectaculaires de Freddie Mercury, imaginés par Zandra Rhodes. Ces créations ont non seulement renforcé l'image de ces artistes, mais ont également contribué à l'évolution de la mode et de la musique. Les moments iconiques où les créateurs de mode ont marqué l'histoire de la musique Les looks de tapis rouge qui ont fait sensation Les créateurs de mode et la musique se rencontrent souvent sur les tapis rouges des événements les plus prestigieux. Qui pourrait oublier la robe en viande de Lady Gaga, conçue par Franc Fernandez, lors des MTV Video Music Awards 2010 ? Ou encore la robe verte de Jennifer Lopez, signée Versace, qui a fait sensation lors des Grammy Awards 2000 ? Ces tenues audacieuses ont marqué l'histoire de la musique et de la mode, faisant le bonheur des photographes et des fans du monde entier. Les vidéoclips comme vitrines de la mode Les vidéoclips sont également un terrain de jeu idéal pour les créateurs de mode et les artistes musicaux. Les exemples sont nombreux : les tenues futuristes de Michael Jackson et Janet Jackson dans le clip de "Scream", créées par Thierry Mugler, ou encore les looks iconiques de Beyoncé dans "Formation", signés par plusieurs designers, dont Gucci, Zimmerman et Givenchy. Ces vidéoclips ont permis aux créateurs de mode d'exprimer leur talent et leur créativité, tout en influençant les tendances et les styles des fans de musique. Comment les créateurs de mode continuent d'inspirer la musique et la mode Des collaborations toujours plus innovantes Aujourd'hui, les créateurs de mode et la musique continuent de s'associer pour créer des looks époustouflants et inédits. Des collaborations comme celle entre Rihanna et le créateur de mode Adam Selman, ou entre Billie Eilish et Gucci, témoignent de cette synergie entre les deux univers et montrent à quel point ils sont interconnectés. A lire aussi : Astuces pour faire du shopping sans se ruiner Les tendances actuelles influencées par la musique Les tendances actuelles de la mode sont également influencées par la musique et les créateurs de mode qui ont marqué l'histoire. Les looks des années 70, 80 et 90 reviennent en force, avec des vêtements et des accessoires emblématiques de ces époques, témoignant de l'impact durable des créateurs de mode et de la musique sur la culture et la mode contemporaines. Alors, vous êtes maintenant prêtes à explorer encore plus loin la richesse des liens entre les créateurs de mode et la musique ? N'hésitez pas à partager cet article avec vos amies et à échanger sur vos moments préférés où la mode et la musique se sont unies pour créer des souvenirs impérissables. Ensemble, découvrons comment les créateurs de mode continueront de marquer l'histoire de la musique et d'influencer notre style. Read the full article
0 notes
Text
Humanités digitales - Zélia Zanone - Décembre 2023
L'avènement de la technologie numérique a radicalement transformé le monde artistique contemporain, élargissant les horizons de la créativité et redéfinissant la manière dont nous créons et consommons l'art. La démocratisation du processus créatif grâce aux outils numériques, auparavant accessible à une élite restreinte, a ouvert la voie à une diversité de voix et de perspectives.
Dans ce travail, je vais présenter trois projets artistiques en lien avec les technologies contemporaines, qui me semblent donner un aperçu représentatif.
REFIK ANADOL
Machine Hallucinations - Rêves de nature sculpture/peinture numérique - 2021
Artiste fasciné par la mémoire et le potentiel créatif des machines, Refik Anadol utilise la data comme matériau de prédilection et collabore étroitement avec l'intelligence artificielle. Ses installations, telles que celle-ci, résultent de recherches approfondies à l'intersection de l'architecture, des données environnementales, de l'esthétique de la probabilité, et des avancées de Google et de la NASA en intelligence artificielle. Cette œuvre, créée avec un logiciel développé par le studio Refik Anadol en collaboration avec des chercheurs de Google AI, est une sculpture de données qui exploite plus de deux cents millions d'images liées à la nature, projetées sur une toile numérique de 10m x 10m.
L'œuvre en 3D s'accompagne d'une expérience sonore basée sur des données générées par des bruits quantiques.
Je trouve cette œuvre particulièrement captivante et réussie, comme tout le travail de Refik Anadol en général. C’est une expérience multisensorielle qui invite le public réfléchir au potentiel des nouvelles technologies. Cette manière de représenter les souvenirs des hommes et de la nature de façon numérisée et esthétique est très remarquble. Toutefois, il est indéniable que la création de telles œuvres ne provient pas uniquement du simple hasard des machines. En effet, Refik Anadol est entouré dans son studio par une équipe composée de designers, d'architectes, des spécialistes de data et de chercheurs. Je pense que c’est de cette collaboration que provient la richesse de la création.
PHILIPPE CRAMER
Apotropaic Amulets, 2022
Philippe Cramer, designer suisse, dont le studio Cramer + Cramer est basé à Genève, est un artiste qui crée des pièces uniques ou en édition limitée. Tout en continuant à concevoir des objets tangibles en bois, marbre, métal, céramique, broderies, etc., il a récemment exploré l'art numérique.
Les "Amulettes Apotropaïques" représentent les premières œuvres d'art numériques de Philippe Cramer. À l'origine, ces amulettes ont été développées en 2020 sous forme de sculptures murales. En 2021, Philippe Cramer les a déclinées en or martelé à la main, puis en 2022 en œuvres d'art numériques, en NFT (Non-Fungible Token) ou jetons non fongibles. Il s'agit d'objets numériques authentifiables grâce à un identifiant numérique qui les rend uniques et non fongibles. À noter que les acquéreurs avaient la possibilité d'échanger leur NFT contre une version tangible pendant un an.
Les "Amulettes Apotropaïques" forment une série de 6 œuvres au format .gif, chacune émise sur le réseau Polygon en édition limitée à 28 exemplaires et numérotée. L'idée sous-jacente est d'offrir une présence protectrice, détourner le mauvais œil et diffuser des ondes positives sur leur propriétaire qui les conserve sur un ordinateur, un téléphone, ou les projette sur un mur de sa maison réelle ou dans le métavers.
La démarche du designer est intéressante, car elle marque le premier pas vers une expérience métaverse qu’il est en train de créer dans son « cramerverse », un méta-espace dans lequel il espère proposer des expériences artistiques et des œuvres d'art à vendre. Ces NFT sont conçus comme des clés digitales, permettant d’entrer dans certains espaces ou dans une pièce secrète.
J’apprécie beaucoup l’aspect ludique et coloré dans son travail de designer. J’ai trouvé sa démarche intéressante pour un designer dont la mission est de réaliser des objets tangibles et souvent fonctionnels tels que des luminaires, tables, bancs, etc. Basculer dans l’art numérique est un choix audacieux, mais il exprime avant tout le désir d'explorer de nouveaux horizons. Plus besoin de sélectionner des matériaux et des artisans !
Utiliser ces œuvres numériques comme porte d’entrée dans un metaverse est une démarche intéressante. Cependant cette forme d’art impose d’autres contraintes. En effet, Philippe Cramer a bien vendu ses NFT, mais la chute des crypto-monnaies a nettement ralenti la cadence. Depuis l’effondrement des NFT et la baisse de leur valeur sur le marché, les amateurs du designer Cramer préfèrent investir dans des valeurs tangibles.
RYOJI IKEDA
Data-verse 1/2/3 (2019-20)
L'œuvre "Data-verse" de l'artiste japonais Ryoji Ikeda est une installation audiovisuelle sous forme de trilogie monumentale qui explore les multiples dimensions de notre monde à travers des données scientifiques. En transcrivant et transformant des données provenant du CERN, la NASA et le Human Genom Project, Ikeda crée une expérience audiovisuelle immersive.
Les projections vidéo et la bande son électronique minimaliste et synchronisée, dépeignent trois mondes en mouvement : le microscopique (atomes, molécules, ADN), le monde humain (terre, cerveaux, villes, internet) et le macroscopique (système solaire, galaxies, univers observable).
Le titre "Data-verse" évoque le "métavers" et explore les frontières floues entre les espaces numériques et non numériques. Ikeda, en tant que compositeur électronique, considère le son comme une composante essentielle de son œuvre. La bande son électronique minimaliste accompagne harmonieusement les projections vidéo, créant une expérience sensorielle complète. Cette trilogie, illustre la synergie entre l'art visuel, la musique et la science, mettant en lumière la complexité de notre.
Ryoji Ikeda, data-verse 1/2/3 (2019-20). Commissioned by Audemars Piguet Contemporary. Installation view Yet, It Moves!, Copenhagen Contemporary (2023). Photo: David Stjernholm
vimeo
Dans cette œuvre, je trouve particulièrement intéressant l’apport du compositeur/musicien, comme il le dit lui-même : "Lorsque j'ai entrepris de réaliser cette œuvre, mon approche a toujours été, d'abord et avant tout, celle d'un compositeur. Plutôt que de créer une composition musicale traditionnelle, j'ai utilisé des données comme matériau de base, en appliquant un système et une structure comme pour n'importe quelle partition."
Cette trilogie, projetée dans une salle obscure est très hypnotisante et en observant ces écrans, un à un ou en vision d’ensemble, on se met à réfléchir au flux massif des données du monde dans lequel nous vivons. Cette œuvre permet de voir le monde différemment et de comprendre les nombreuses couches qui composent l'univers, jusqu’aux intersections entre les arts et les sciences.
1 note
·
View note
Text
Multiples regards
Bonjour à tous et à toutes, aujourd'hui je vous propose une immersion au salon Multiple Art Day de la fondation Fiminco à Romainville.
Suite à la lecture du communiqué de presse, mes attentes lors de la visite étaient les suivantes: découvrir une production d'objets d’éditions, des expérimentations, des livres ayant tous en commun le fait d’avoir une approche non conventionnelle de l’édition. J’imaginais que le lien unissant tous ces objets permettrait de mettre en avant la sensibilité des artistes, éditeurs, collectifs présents lors de l'événement en ayant une approche poétique amenant la création à faire passer des émotions et ou des messages aux spectateurs.
Lors de mon entrée dans le bâtiment j’ai pu découvrir que mes attentes étaient en lien avec le contenu du salon. J’ai été surprise par la diversité des productions qui allaient de la production d’objets éditoriaux à la création d’objets divers et variés ayant tous en commun un message poétique à faire passer ou une approche sensible de la création. J’ai notamment été intriguée par le “Void project”, un projet qui consiste à représenter formellement la matière entre les doigts avant de créer une boule. Ce qui m’a intéressé à travers ce projet est le fait d'analyser un geste fait par tous et de le représenter formellement afin d’en faire un objet ornemental qui se décline en une série de colliers, bagues...
Pendant ma déambulation dans le salon, j’ai également aimé voir des objets d’édition plus expérimentaux à la frontière entre le livre d’artiste plutôt décoratif et des éditions qui deviennent de véritables objets utilisables pour les lecteurs. C’est notamment le cas des Bloc notes des éditions Frivilles qui invitent un artiste à investir l’espace d’un bloc note qui peut ensuite être utilisé en tant que tel par la personne qui l'achète. J’aime l’idée de détourner un objet du quotidien pour le rendre plus intéressant et ajouter une dimension sensible et esthétique grâce au travail d’un artiste.
Un stand a fortement attiré mon attention durant ma visite. Il présentait de nombreuses œuvres en papier découpé, un médium auquel je suis particulièrement sensible pour sa finesse. Ce stand était celui de la Martiennerie une maison de design de papier découpé et d’impression graphique. Cette maison est tenue par deux acteurs principaux: une artiste plasticienne spécialisée dans le travail du papier découpé et un musicien ayant une formation d’imprimeur. Ensemble, ils réalisent des éditions et performances graphiques et musicales en collaboration avec des artistes. Les objets exposés prennent des formes assez variées allant du codex au leporello tout en revisitant ceux-ci pour les rendre plus intéressants à la manipulation. Ils questionnent également la notion de la série: comment créer une série facilement à partir d’une technique artisanale tout en gardant son aspect authentique ? Le projet qui m’a paru le plus intéressant et en lien avec le salon est un projet de partitions graphiques et sonores. Celui-ci prend la forme de plusieurs carnets assez grands présentant des pages qui alternent entre des images de paysage et des partitions graphiques suggestives créées à partir de trous dans le papier. Cette œuvre m’a paru intéressante car chacun l'interprète comme il le souhaite et que la musique qui sera créée à l’aide de cet objet éditorial ne sera jamais la même. Chacun peut faire son interprétation et s'inspirer des images ou des partitions pour composer une mélodie.
Je ressors du salon MAD nourrie et inspirée. Le livre d’artiste et le livre objet sont des outils que j’avais encore peu explorés et j’ai aimé découvrir les multiples façons de les concevoir.
Ce salon m’a permis de comprendre la notion de multiple d’artiste qui selon moi met dans un premier temps en avant la notion de série et de reproduction. Comment valoriser une œuvre par la série ou comment proposer plusieurs versions d’un même objet avec les questions de réédition? Je vois le multiple d’artiste comme multiples versions d'aborder un objet ou multiples versions de celui-ci.
1 note
·
View note
Photo
REVUE RESURGENCES
Un temps papier pour restituer, revisiter les haltes, ponctuations et atermoiements de travaux déployés sur un temps long. Les notes de travail de REVUE RESURGENCES accompagnent la proposition artistique RESURGENCES initiée en 2019 par Celine Pierre et souligne le désir d’en tenir la lecture et le processus ouverts. REVEUE RESURGENCES est éditée à l’occasion de RESURGENCES, une installation visuelle, sonore et textuelle programmée pour la dixième édition du Festival les Instants Fertiles du Centre National de Création Musicale de Saint Nazaire.
REVUE RESURGENCES N°0: Fougères et forêts.
REVUE RESURGENCES N°1: Racines et mangroves.
REVUE RESURGENCES N°2: Estuaire et delta.
REVUE RESURGENCES est une carte blanche à l’atelier de design graphique MAGABI / 8 à 12 pages / format / papier Gerstaecker Dessin 70gr / Impression sur les presse de COREP à Strasbourg en novembre 2022 / avec les textes de Celine Pierre / 50 exemplaires / publication réalisée avec le soutien de la DRAC Grand Est Arts Visuels, du dispositif TRAVERSEES et de l’association d’une rive à l’autre. Une édition LES SEPTANTES - des écritures multiples.
0 notes
Text
Semaine Inaugurale
Septembre 2019
- CV1 (Laurent Kuhni et Peggy Adam)
Durant cette semaine inaugurale, les étudiants ont effectué des recherches et regroupé une documentation variée de formes, dessins et compositions, selon leurs intérêts personnels. Ils devaient prendre en compte l'aspect formel et sémantique. Ils ont ensuite mené des expérimentations libres, de styles, de dessins et de traitements graphiques multiples, en utilisant des outils et des techniques différents (excepté la photographie). Ils ont classé et organisé les dessins réalisés à l'intérieur d'un dossier de présentation.
Cette première phase de travail a constitué le point de départ de projets développés au cours du semestre dans le cadre de l'atelier.
- CV2 et CV3 – option Image récit (Myriam Poiatti, Clément Paurd, Helge Reumann)
La semaine a débuté par un déplacement à Gruyère, pour visiter l’exposition de l’artiste David Gagnebin-de-Bons sous la conduite du conservateur Filipe dos Santos, le Musée Giger et enfin la Maison du fromage.
De retour à Genève, les étudiants ont été invités à réaliser un inventaire, un atlas, une cartographie mémorielle, de ces diverses rencontres et découvertes. Ce travail pouvait être autobiographique, biographique, topographique, fictif, documentaire… Il devait être conçu comme une base pour un futur récit.
Support : carnet du style moleskine, format libre.
20-30 pages de croquis /notes écrite.
- CV2, option Espace/média (Claudy Iannone et Mitch Paone)
Les étudiants ont travaillé à la réalisation d’animations expérimentales autour d'une bibliothèque de formes et de typographies. Le rythme à travers le son, les formes d’ondes, le mouvement du corps, le déplacement, la notion de répétitions et de décalage dans le temps étaient le point de départ pour la conception et l’élaboration des animations. Les séquences d’animation ont été effectuées à l’aide du logiciel After Effects de manière traditionnelle (clés d’animation) sans scripts.
Ladite approche a permis aux étudiants d’Espace/Média d’approfondir leurs connaissances en animation kinétique et ainsi de mieux appréhender ce type d’explorations visuelles.
-CV3, option Espace/média – 16 étudiant-e-s (Alban Thomas et Nicolas Field) : Sounds in my Head
Le but de cette semaine était de permettre aux étudiants d’explorer et de placer au coeur de leur projet un sens trop souvent sous-exploité dans le cursus de la communication visuelle : le son.
Les étudiants, accompagnés par Nicolas Field – musicien et performer réalisant des installations sonores – ont été invités à imaginer un dispositif sonore qui fasse écho au bâtiment, dans l’idée de recréer une image mentale de ce dernier ou de ses occupants.
- CV3, option Espace/média – 11 étudiant-e-s (Anette Lenz et Nicolas Tilly) : Kinetic Typography
Durant cette semaine qui a réuni des étudiants en Communication Visuelle (Bachelor) et des étudiants en Media Design (Master), ces derniers ont été invités à réaliser sur le type de support de leur choix (livre papier, pop-up, affiche, téléphone, tablette, écran…) la mise en scène de courts textes choisis à l’avance (poème, texte de chanson, extrait d’un roman, dialogue de cinéma…) grâce à l’utilisation de la typographie en mouvement. À partir de ce matériel, ils ont travaillé sur une mise en mouvement de la typographie, en utilisant au mieux le support choisi. Certains supports pouvaient utiliser l’interactivité à l’aide d’une application, d’autres des mécanismes de pliage, des encres spécifiques… Les étudiants pouvaient aussi jouer sur la complémentarité des supports, comme des expérimentations liant le papier et l’écran (réalité augmentée, objet hybride…).
1 note
·
View note
Text
Le Meilleur En 2019 ?
Si vous etes professionnel alors vous avez des cours et des tutoriels qui reprend toutes les principales fonctionnalités de Blender (desplus anciens aux plus récentes) en démystifiant ou en leur apportant Un éclairage particulier. Contrairement à Un simple mixeur, le blender a C'est un design moderne et Un colori adapté aux cuisines d'aujourd'hui. Si vous avez besoin de découvrir le meilleur blender chauffant, je vais vous aider à trouver celui qui vous convient le mieux. Il vaut en effet mieux que C'est maintenant la cuisson dure Un peu plus longtemps, mais que ce dont vous cuisinez soit de grande qualité. Itou, il sert à confectionner de Une pâtisserie de qualité. Fréquemment, les mixeurs plongeants sont fabriqués soit en inox ou en plastique. Si à contresens, vous n’avez pas de temps pour cela, alors on va pouvoir commencer ensemble avec Un sujet des plus intéressant: le comparatif des meilleurs mixeurs du moment ! Trois boutons et une molette vraiment pensée, il n'en faut pas plus au Blender de Magimix pour nous séduire. Néanmoins, si vous prévoyez de l’utiliser de manière quotidienne ou pour faire des plats plus variés, nous vous conseillons de ne pas prendre C'est un modèle avec une puissance inférieure à 1000 Watts.
Sa molette de sélection de La vitesse est précise et très simple à utiliser, voire en puissance maximale, le débit sonore reste plus que raisonnable. Dans il cas, misez concernant une puissance supérieure à 700 watts. C’est donc C'est un produit polyvalent, qui va vous aider dans enormement plus de orientation qu’on ne pourrait croire au premier abord. Blender est Un logiciel open source, quoi de plus naturel donc, de commencer votre apprentissage avec des tutoriels gratuits ! C'est un autre de ses avantages est sa grande capacité puisqu’il peut contenir jusqu’à 1,75 litres d’aliments. Pour Un usage quotidien ou une grande famille, préférez une cuve de 1,5 litres et plus. Si les modèles en aluminium anodisé ou en inox sont les plus esthétiques, il faut privilégier Un modèle capable de s’harmoniser facilement avec votre cuisine. Cet appareil est plus efficace qu'Un facile mixeur pour réduire en purée les aliments et obtenir des smoothies mousseux dans lesquels on peut ajouter du lait, des glaçons ou du miel. Son design est rudimentaire et épuré et La machine en elle-même est primaire d’utilisation.
Son fondateur original l'ayant visiblement abandonné au printemps 2007, il n'a pas pu être mis à jour pour les verison 2.45 et suivantes de Blender. Avec les blender kenwood vous pouvez être sûrs d’avoir Un appareil fiable mais qui soit également doté d’un excellent comparaison qualité-prix. Pour davantage de sécurité, il est doté d’un système de verrouillage automatique. Conception Spéciale avec Bouteille Portative de Sport: Le mug de voyage de 600ml est fourni avec couvercles hermétiques. Le mini blender smoothie est devenu le produit incontournable depuis quelques mois, car il s’inscrit parfaitement dans une démarche liée à une alimentation saine. La façon dont identifier Une meilleure promotion des blenders smoothie chez Leclerc ou ailleurs ? Le blender chauffant accorde de cuire vos aliments avant de les mixer. Qu’est-ce qu’un robot mixer plongeant ? 6 nervures du pied, qui cassent le tourbillon et ramènent La préparation concernant les lames. Le mixeur plongeant professionnel est C'est un mixeur qui vous permettra de venir directement plonger l'appareil pour le récipient qui contient La préparation dont vous voulez réduire pour en faire de La soupe ou alors une délicieuse purées.
La cuisine est votre métier ? L'installation des fichiers originaux est toujours nécessaire. Les fichiers exportés sont facilement utilisables et stockables puisqu'ils sont au format kzx (autrement dit du xml compacté). Elle varie En majorité entre 800 et 1000 watts. Une marque a cédé les matériels audiovisuels à une autre société internationale et elle se concentre désormais concernant les petits électroménagers pour La cuisine, l'entretien de Une maison et le enormement-être individuel. Il dispose de 2 programmes automatiques pour les soupes, une fonction Ice Crush pour faire de Une glace pilée, et Un mode manuel pour ceux qui veulent absolument tout contrôler en cuisine. Il dispose également d’une fonction qui vous accorde de piler de La glace en toute simplicité et sans efforts. Il maintient les aliments, automatiquement au chaud, à l’aide de sa fonction chauffante. Ensuite, il évite de salir plusieurs bols et casseroles puisqu'on n'a pas besoin d'autres ustensiles, le bol de mixage suffit ton tout seul. Pour faciliter le nettoyage, le bol et La lame sont facilement démontables.
Vous l’aurez compris, il s’agit là de quelques questions que je pense importantes, avant de vous lancer pour votre achat de mixeur plongeant. Et dans le cas où vous vous fiez à l'âme d'Un développeur, vous pouvez vous plonger pour les sources du logiciel, voir commenter ses arcanes internes ou détailler les algorithmes employés: c'est C'est maintenant la magie du monde Open Source. Un pied en inox amovible en standard concernant tous les modèles pour permettre les préparations à chaud par risque de décolorer le pied. Les blender Kitchenaid à entrainement magnétiques ont une technologie nouvelle de La part de La marque qui équipe quelques blenders, qui confère une facilité de mixage sans équivalent. Une durée de garantie de 2 ans. Aigostar Black Windmill 30IRY - Mixeur blender 0% BPA de 600 W. 2 vitesses, blender soupe glace pilée. Le mixeur multi-textures s’adapte à différents types de textures ce qui convient parfaitement à toutes les étapes du développement de votre bébé. C’est C'est un point fort à ne pas mettre latéralement essentiellement lorsque les récipients peuvent être transportés. Couteau 6 lames en acier inoxydable.
2 notes
·
View notes
Text
// Livres, mots et sons
A priori, on s’attendait à voir des livres. En se rendant, non sans peine, à la première sortie organisée dans le cadre du dsaa design éditorial, je m’imaginais déjà les différents formats d’édition qui nous attendaient bien sagement posés sur les stands de la fondation Fiminco. Et si je pense uniquement aux livres ou à l’imprimé, c’est parce que c’était la première fois que je me rendais à ce salon. Je n’avais pas réfléchi ou supposé la présence de quelconque autres objets.
Après avoir goûté aux intempéries du début d'après-midi, nous sommes finalement parvenues jusqu’au MAD (salon Multiple Art Days). L’accueil est enthousiaste et les lieux sont beaux. Des livres partout comme prévu. Jusqu'à ce qu’on atteigne le second niveau, pas de surprise majeure. Une sorte de calme règne sur les stands, on déambule doucement et les regards courent entre les livres, d’une couverture à l’autre. Quelques personnes nous présentent, le plus souvent avec passion et envie, la raison de leur venue, leur histoire et les objets éditoriaux qu’elles manipulent avec grand soin. On est loin de l’agitation à laquelle je m’attendais et c’est pour le mieux.
C’est en montant les escaliers que cette visite a pris, à mes yeux, une toute autre tournure. Tout d’abord parce que le deuxième étage de cette ancienne chaufferie de banlieue est immense. Il nous a suffi de pénétrer dans cette dernière salle pour rester stupéfaites devant la superficie et la lumière baignant l’espace des quatorze mètres sous plafond.
Par la suite, les formes des objets exposés à ce niveau m’ont également interpellée. Je me rappelle avoir croisé des sculptures, un tourne disque, deux ballons de football fusionnés dans un filet blanc, des boules à neige … mais surtout une drôle de machine. Il semblerait qu’un interrupteur y soit relié pour la mettre en marche. Je me contente de l’observer pour l’instant : deux pièces de bois se font face et sont attachées par une bande de papier bleue. Lorsque l’on s’approche suffisamment, on est alors en mesure de voir les petits trous qui constellent le support fragile et suspendu. Elles forment même de fins caractères. J’ose enfin actionner le mécanisme pour comprendre cette installation qui avait éveillé ma curiosité. Des notes s’en extirpent. « Connaissez vous les componium ? », nous demande alors un homme à petites lunettes rondes qui nous avait rejointes avec une discrétion étonnante. Cet instrument de musique mécanique est le modèle de cette expérimentation, et au lieu de lire une carte perforée, cette machine nous délivre des mots, des phrases ou onomatopées de manière sonore.
Ce que nous explique Adrien Chacon, cofondateur des éditions ppaf, c’est qu’il travaille depuis plusieurs années maintenant sur des formes d’outils générateurs d’écritures et explore ce champ par le biais de la typographie. Je pense que ce dispositif, un outil de création qui nous fait entendre des phrases au lieu de nous les présenter à lire, est celui qui m’a le plus intéressée de cet événement. Je ressors de cette journée nourrie car confortée dans l’idée ou peut-être l’idéal que je me fais du design graphique. Bien que très présent dans ce salon aujourd’hui, le domaine éditorial n’est qu’un pan d’une pratique bien plus vaste touchant à tous supports et toutes disciplines, s’efforçant d’explorer de nouvelles formes de lecture.
En ce qui concerne la question du multiple d’artiste, je pense en avoir saisi le sens en écoutant une conversation au détour du stand A5 iconomoteur. « Le livre pour nous n’est pas une finalité mais un moyen. Il nous sert simplement à transmettre la pensée de l’artiste, rien de plus ». Il me semble que la dimension d’objet est centrale dans cette idée. Quelque soit l’objet, affiche, livre, ou vinyle, comme on a pu en voir beaucoup, le support n’est qu’un moyen existant sous de multiples formes et visant à diffuser un travail artistique.
Lou Duvelleroy.
Publié le 11 septembre 2022, (3 900 caractères).
1 note
·
View note
Photo
Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/la-playlist-de-la-redaction-20/
La Playlist de la rédaction #20
Cette semaine, Rolling Stone vous propose une playlist à base de B-Side toute fraîche des Arctic Monkeys, d’indé automnal signé Julia Holter, Tiny Ruins et Golden Daze, sous oublier la touche pop incontournable à la Saint DX
Arctic Monkeys – Anyways
Cette année, les Arctic Monkeys nous ont gâté d’un nouvel album délicieusement vintage, à l’allure directement inspirée de la galaxie Bowie. Bref, on ne va pas revenir sur cette belle surprise qu’était Tranquility Base Hotel + Casino, qui continue encore de faire son petit bonhomme de chemin avec la sortie du single éponyme sous un jolie édition vinyle. En cadeau, Alex Turner et sa bande dévoilent l’inédite « Anyways », ballade neurasthénique à mi-chemin entre « Star Treatment » et le slow final « The Ultracheese ». En soit, ce morceau aurait très bien pu figurer sur l’opus mais anyway, il demeure un plaisir de découvrir, à posteriori, de jolis trésors jusqu’à aujourd’hui enterrés.
youtube
Tiny Ruins – School of Design
Mené de front par la musicienne néo-zélandaise Hollie Fullbrook, le projet Tiny Ruins est parfait pour vos prochaines soirées froides hivernales. Le prochain album, Olympic Girls, prévu au cours de l’année à l’horizon, s’illustre d’un nouvel extrait introspectif, « School of Design ». « Les paroles sont issues d’une expérience réelle où je me suis retrouvée errant dans une école de design vide, dans une ville étrangère pendant une tournée. C’est de là que m’est venue l’image de la peinture blanche fraîche sur les murs et les « archives », a déclaré Fullbrook. Un très beau moment suspendu dans le temps, qu’on s’accorde volontiers.
youtube
Julia Holter – Whelther
Son nouvel album, Aviary, nous a impressionné de sa candeur. La musicienne Julia Holter est fascinante : avec cinq albums à son effectif, elle ne cesse jamais de se dépasser. Épique, picturale, ses disques forment une fresque et provoquent le vertige. Si ce nouveau morceau fraîchement clipé, « Whelther », s’inscrit dans la lignée sonore de ce dernier opus, c’est aussi sûrement le segment le plus accessible. Il n’en est pas moins excellent et à écouter de toute urgence.
Golden Daze – Blue Bell
Avec sa folk lo-fi et ses chœurs façon Simon & Garfunkel, le duo Golden Daze s’apprête à sortir un deuxième disque, Simpatico, en février prochain. Pas sûr que l’hiver nous épargne de ses morsures, mais d’ici là, la musique de Jacob Loeb and Ben Schwab aura très certainement de quoi nous réchauffer, avec ses grosses couvertures pleines de mélancolie.
youtube
Shay Lia – The Cycle
R’n’B à l’aise dans ses baskets, la musique de Shay Lia, petite protégée du producteur KAYTRANADA, risque de retentir très fort en 2019.
youtube
Housewives – Speak to Me
En plus de proposer un des titres les plus angoissants de l’année, Housewives, formation math-rock originaire de Londres, allie le geste à la parole en proposant un clip, mise en scène d’un décor écrasé par le poids des pixels de Google Maps. Rappelant tour à tour la voix glaçante de Ian Curtis ou les expérimentations martiales de Death in June, « Speak to Me » est un des ovnis de cette fin d’année.
youtube
2 notes
·
View notes
Text
Cours d'Ingénierie Sonore à Montréal – Formation Audio Musitechnic
#Cours d'ingénierie sonore à Montréal#formations en ingénierie audio#cours d'enregistrement sonore#formation en production musicale à Montréal#cours de design sonore#Musitechnic#école de production audio à Montréal#ingénierie audio Montréal#formations en production musicale#formation en design sonore
0 notes
Text
Les visionnaires de la mode qui ont bouleversé le paysage sonore
Il est indéniable que les créateurs de mode et la musique sont deux domaines intimement liés. Dans cet article, nous allons explorer comment ces créateurs de mode audacieux ont marqué l'histoire de la musique, impactant à la fois l'industrie et le style personnel des icônes musicales. Préparez-vous à plonger dans un monde de glamour, d'innovation et de créativité. Quand les créateurs de mode rencontrent les stars de la musique Les collaborations mémorables Les créateurs de mode et la musique ont toujours fait bon ménage. Des collaborations légendaires, telles que celles entre Madonna et Jean-Paul Gaultier ou entre Lady Gaga et Alexander McQueen, ont marqué les esprits et contribué à créer des tendances durables. Ces associations artistiques ont permis aux musiciens d'affirmer leur identité et aux créateurs d'étendre leur influence. Des costumes de scène inoubliables Les créateurs de mode ont également joué un rôle crucial dans la conception de costumes de scène emblématiques. Pensons, par exemple, aux extravagantes tenues de scène d'Elton John, conçues par Bob Mackie, ou aux costumes spectaculaires de Freddie Mercury, imaginés par Zandra Rhodes. Ces créations ont non seulement renforcé l'image de ces artistes, mais ont également contribué à l'évolution de la mode et de la musique. Les moments iconiques où les créateurs de mode ont marqué l'histoire de la musique Les looks de tapis rouge qui ont fait sensation Les créateurs de mode et la musique se rencontrent souvent sur les tapis rouges des événements les plus prestigieux. Qui pourrait oublier la robe en viande de Lady Gaga, conçue par Franc Fernandez, lors des MTV Video Music Awards 2010 ? Ou encore la robe verte de Jennifer Lopez, signée Versace, qui a fait sensation lors des Grammy Awards 2000 ? Ces tenues audacieuses ont marqué l'histoire de la musique et de la mode, faisant le bonheur des photographes et des fans du monde entier. Les vidéoclips comme vitrines de la mode Les vidéoclips sont également un terrain de jeu idéal pour les créateurs de mode et les artistes musicaux. Les exemples sont nombreux : les tenues futuristes de Michael Jackson et Janet Jackson dans le clip de "Scream", créées par Thierry Mugler, ou encore les looks iconiques de Beyoncé dans "Formation", signés par plusieurs designers, dont Gucci, Zimmerman et Givenchy. Ces vidéoclips ont permis aux créateurs de mode d'exprimer leur talent et leur créativité, tout en influençant les tendances et les styles des fans de musique. Comment les créateurs de mode continuent d'inspirer la musique et la mode Des collaborations toujours plus innovantes Aujourd'hui, les créateurs de mode et la musique continuent de s'associer pour créer des looks époustouflants et inédits. Des collaborations comme celle entre Rihanna et le créateur de mode Adam Selman, ou entre Billie Eilish et Gucci, témoignent de cette synergie entre les deux univers et montrent à quel point ils sont interconnectés. A lire aussi : Astuces pour faire du shopping sans se ruiner Les tendances actuelles influencées par la musique Les tendances actuelles de la mode sont également influencées par la musique et les créateurs de mode qui ont marqué l'histoire. Les looks des années 70, 80 et 90 reviennent en force, avec des vêtements et des accessoires emblématiques de ces époques, témoignant de l'impact durable des créateurs de mode et de la musique sur la culture et la mode contemporaines. Alors, vous êtes maintenant prêtes à explorer encore plus loin la richesse des liens entre les créateurs de mode et la musique ? N'hésitez pas à partager cet article avec vos amies et à échanger sur vos moments préférés où la mode et la musique se sont unies pour créer des souvenirs impérissables. Ensemble, découvrons comment les créateurs de mode continueront de marquer l'histoire de la musique et d'influencer notre style. Read the full article
0 notes
Photo
LES CAHIERS SKÊNÊ
L’édition rétrospective Les Cahiers Skênê rassemble les traces d’un ensemble de projets de Celine Pierre et du collectif qu’elle forme avec lp-architecte, cp&lp.
Différents travaux menés autour de l’Œdipe à Colone sont présentés entre les pages des Cahiers Skênê, composés en quatre chapitres. L’" inventaire-process " de Skênê, ensemble de films et d’œuvres performatives dans des espaces très divers (Palais de Justice et Campus Universitaire, frontières et centres villes, ports d’embarquement et campements de réfugiés), les photographies de “ corps en trajectoire ”, augmenté pour la version limitée du texte "chronique de campement ”, et d’une “ carte mémoire ” comprenant un long métrage et quatre courts métrages. Le processus de cheminement de ces œuvres en perpétuel mouvement d’un site à l’autre, émerge au fil des pages de ce livre d’artiste.
Des scansions de la tragédie de Sophocle viennent ponctuer l’édition comme un fil conducteur. Les notions de déplacement et d’accueil de l’étranger·e parcourent les œuvres disséminées, fragmentées dans le temps et l’espace, et mettent en évidence les multiples dialogues qu’elles construisent avec nos démocraties.
Celine Pierre et Marie Plagnol s’associe à l’atelier de design graphique Magabi pour concevoir l’édition. Ils imaginent un objet inspiré du format du cahier.
Cette publication est conçue pour engager un nouveau processus : une série d’interventions, de présentations, d’expositions qui le fragmente, en arrache des pages, des images, des films ou des performances.
Les Cahiers Skênê, une édition LES SEPTANTES - des écritures multiples/ 112 pages / imprimé sur papier Munken Print White sur les presses de STIPA / dépot légal Aout 2022 70 gr / langues FR & EN / ISBN 978_2_9583534_0_7 / textes de Marie Plagnol, Celine Pierre et cp&lp / 2 versions: 400 exemplaires + 100 exemplaires signés par l’artiste avec reliure à la main et carte mémoire.
Le projet a déjà bénéficié des soutiens publics du CIPAC, de la FRAAP et du réseau DIAGONAL dans le cadre de la bourse TRAVERSEES portée par la Direction générale de la création artistique du Ministère de la Culture; des Aides aux projets, à la diffusion et à la publication en Arts Visuels de la Région Grand Est, ainsi que de mécénats privés individuels.
cp&lp
cp&lp est un collectif à dimension variable structur�� autour de Celine Pierre, et accompagné de lp. Architecte-poète, lp est architecte Diplômé par le Gouvernement et titulaire d’un Diplôme d’Etudes Approfondies en philosophie sous la direction d’Alain Badiou. Celine Pierre, diplômée du Conservatoire à Rayonnement Régional de Reims en Composition - Création et de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux - Arts de Paris en multimédia et performance avec Marina Abramovic, est réalisatrice artistique et compositrice visuelle et sonore. Le processus de travail de Celine Pierre s’origine donc dans les champs de la peinture et de la performance, du cinéma expérimental et des musiques de création. Planches témoins, boîtes archives, affichage monumental, projections multimédia avec chroniques textes et vidéos témoignent de ces installations performatives.
Les graphistes, Magabi
Magabi est un atelier de design graphique fondé en 2021 par Rémi Levaufre et Louis Colin diplômés d’un Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique à École Supérieur d'Art du Havre. Les deux graphistes s’associent, dans le cadre de leurs projets, à tous types d’interlocuteurs tels que des musiciens, des artistes, des entreprises ou des structures culturelles et évènementielles. Leur pratique est multiple et se déploie principalement sur des supports éditoriaux (livre, affiche), mais aussi à travers des réalisations d’identités visuelles et prend parfois même la forme de travaux plastiques et d’installations dans l’espace.
Marie Plagnol
Après des études pluridisciplinaires, entre philosophie, sciences sociales et politiques culturelles à Sciences Po, Sorbonne Université et Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Marie Plagnol se tourne vers la curation. Elle développe, au sein du collectif curatorial Champs magnétiques et en indépendante, une pratique curatoriale ancrée dans une réflexion sur les liens à tisser entre artistes, institutions et publics. Elle s’intéresse ainsi à la notion d’amitié dans sa dimension politique, comme outil pour repenser nos réseaux et manières de faire commun. Au fil de son parcours, elle a travaillé au MAC VAL, au centre d’art Para Site à Hong Kong, au sein de Council ou encore à la Collection Lambert en Avignon.
1 note
·
View note
Text
Tout ce qui est utile est laid! Théophile Gautier
Astie de pas fin!
J'ai une formation en design MOI!
Ici c'est mes débuts avec un ordi chez moi car au travail suis passé par Topaz puis Wavefront avec setup RGB tapé à la mitaine puis Softimage (le boss André me donne 3 livres de 3po d'épaisseur pis arranges toi avec ça!) pour en arriver avec du matériel lourd, gros écran, colonne et tout...chez moi.
André (ref: mon Wordpress) a eu du flair pour le 3D et moi aussi pis j'en ai pas eu pantoute quand il m'a montré le code web!
<br>Me suis rattrapé depuis quand même!<br>
Testé sur mon win 10...
Note: On dit que ce n'est pas sûr pour le téléchargement.
Si il y a une seule plainte fondée, je le retire. Faites conserver fichier pour contourner blocage.
Les méta datas indiquent: Screensaver by Animated Screen
La particularité de celui ci, c'est mes débuts avec cette perle de synthèse en paysages 3D soit ''Terragen''
Terragen facile à trouver et pour le screensaver...
Du plus élaboré est sur mon site perso pour Terragen.
Celui ci, c'est le bkg qui le caractérise et c'est une capture des output du logiciel ''Frenetic'' ( Un logiciel 256 couleurs alors sur XP ya parfois des crises de cœur! Idéalement sur Win 98 mais là, c'est festival du plantage ou Win3.5!) soit mes premiers contacts avec les logiciels random et pour la musique, je vais dire ''Keykit'' conception d'un ingénieur de chez IBM.
En pratique, extraire une seq random midi ... insérer dans Reaper pis tu changes les instruments ...motif de fond musicale ou lead pour esprit délirant naturel ou artificiel, c'est pas de mes d'affaires.
Si je fini par me retrouver un T42 Lenovo pour y insérer le cerveau du corps dead de l'autre, m'a vous dire l'autre logiciel sur XP.
Un dernier pis j'arrête!
Veux pas scraper l'ensemble avec ces primitifs grossiers!
Ici, c'est pour mes trames sonores de débutant en wave avec ''Goldwave'' pour les fabriquer. Du type sampling, pis on diminue la vitesse du son avec plein de parasites lents!
MG
0 notes
Text
Brasília Cerrado-city by Carlos M Teixeira
Brasília Cerrado, cidade e natureza, paisagismo urbano, cerrado, vazios e sólidos, ecologia urbana, Moisei Ginzburg, Architecture
Brasília, Cerrado-city
19 July 2021
Location: Brasília, Brasil, South America
Brasília, Cerrado-city by Carlos M Teixeira architect
Resume
E se Brasília fosse retomada pelo Cerrado que ela destruiu? Esse artigo descreve uma capital imaginária agora integrada neste bioma. Pois Brasília não tomou posse do Planalto Central: este é que está, sub-repticiamente, recuperando um território perdido.
What if Brasília was taken over by the Cerrado that it once destroyed? This article describes an imaginary capital now integrated into this biome. Because Brasilia did not take possession of the Central Plateau: in fact, the biome is trickily recovering an apparently lost territory.
¿Qué pasa si Brasilia fue tomada por el Cerrado que la destruyó? Este artículo describe una capital imaginaria ahora integrada en este bioma. Pues Brasilia no tomó posesión del Planalto Central: él está, subrepticiamente, recuperando un territorio aparentemente perdido.
Brasilia, Cerrado-city
Sinopse
Carlos M Teixeira é arquiteto pela Escola de Arquitetura da UFMG (Belo Horizonte), mestre em urbanismo pela Architectural Association (Londres) e doutorando pela FAUP (Porto). Publicou os livros “Em obras: história do vazio em BH” (Cosac Naify, 1999) e “Ode ao Vazio” (Romano Guerra / Nhamérica, 2017), e é sócio do escritório Vazio S/A.
Carlos M Teixeira is an architect at the School of Architecture / UFMG (Belo Horizonte), a master in urbanism at the Architectural Association (London) and a PhD student at FAUP (Porto). He published the books “Under construction: history of the void in BH” (Cosac Naify, 1999) and “Ode to the void” (Romano Guerra / Nhamérica, 2017), and is a partner at Vazio S/A.
Carlos M Teixeira es arquitecto por la Escuela de Arquitectura de la UFMG (Belo Horizonte), maestro en urbanismo por la Architectural Association (Londres) y estudiante de doctorado de la FAUP (Oporto). Publicó los libros “Em obras: história do vazio em BH” (Cosac Naify, 1999) y “Ode ao vazio” (Romano Guerra / Nhamérica, 2017), y es socio de Vazio S/A.
Brasília, cidade-Cerrado
Author: Carlos M Teixeira
Brasília, Cerrado-city
The natural landscape around Brasília is the Cerrado, the tropical savanna that covers much of the country’s midlands and harbors some typological similarities with the scruffy vacant lots, brakes and thickets of large cities. The Cerrado is the wild grasses of Brasília and its environs, mixed with creeping weeds, sedges and rushes that invade the sidewalks and plague kept lawns (in this strict sense, Cerrado = urban grass). And just like weeds are detested in the urban environment, the Cerrado is considered the runt of Brazil’s biomes, and is the one extended the fewest legal protections.
Range | The second-largest landscape formation in Brazil, the Cerrado is one of its seven biomes, covering an area of approximately 1.5 million km2 (22% of the national territory). Though concentrated on the Central Tableland, especially the states of Minas Gerais, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul and Tocantins, the Cerrado stretches north to Amapá and as far south as Paraná. The biome is home to a third of Brazil’s biodiversity, 5% of the world’s flora and fauna, and the headwaters that supply the country’s three major catchment basins (Araguaia/Tocantins, São Francisco and Paraná/Paraguai). It’s flora is unique, with well-dispersed trees and shrubs coexisting with dense grass and brush cover, producing a South-American version of the African savannah. As it transitions into all of Brazil’s other ecosystems, geopolitical regions and territories, the Cerrado is an agent of national integration. The balance of this ecosystem, surpassed only by the Amazon in terms of biodiversity, is of fundamental importance to the stability of all other Brazilian biomes.
Why Cerrado? | The appearance of the Cerrado’s characteristic plant formations is explained:[1]
By pedological theories: according to which the vegetation is seen as dependent on edaphic and geological aspects, such as mineral deficiencies, soil saturation by elements like aluminum, differences in drainage and soil depth;
By climate theories: according to which Cerrado vegetation is the result of climate, especially the seasonal water shortages during the dry period; and
By biotic theories: for which Cerrado vegetation is a response to human action, chiefly our frequent use of fire, and the impact of other elements in the biota, such as ants.
Flora | The Cerrado can display different sorts of vegetation depending on the amount of water available, the regime and degree of fire-use, and the prevailing soil type. As such, the biome can present itself under numerous guises: park savanna, wooded savanna, Cerrado proper, “Cerradão”, or wild grasslands, and even gallery forest. Park savanna is dominated by gramineous plants, while the woodier variants escalate into shrubs and bushes. Cerrado proper is sparsely wooded grassland, while Cerradão denotes thick brush. Gallery forest is found along the banks of streams and usually consists of evergreen species, some of which can be quite tall.
The Cerrada is home to a rich flora. The order that predominates on the woody stratum is the Fabaceae (Leguminosae), while the herbaceous stratum is dominated by the Poaceae (Gramineae) and Composites. There are thought to be 10 thousand different species in the Cerrado, many of which are used to produce cork, fibers and oils, as a material in arts and crafts, and in several foods and medicines. The trees have taproots that can burrow as deep as 12 meters underground to reach the water table—affording a constant water supply even during drought. Another characteristic is deciduousness, or leaf-loss, a strategy that enables plants to economize on water being lost through leaf transpiration during dry periods. The most robust specimens tend to be medium sized (3 to 6 meters tall), with gnarled and twisted trunk and branches, pre-historically thick bark and coriaceous leaves.
The twisted aspect of Cerrado tree branches is explained by the “burning of the apical meristem”. All Cerrado plants have an apical meristem (growth zone) and secondary meristems that remain inactive unless the apical meristem is shorn or irremediably damaged. When the apical meristem is burned, as often occurs in the region, secondary meristems are activated and growth resumes in another direction. The fire explanation is further strengthened by the fact that some seeds only germinate after being burned—a sort of vaccination against fire. Another strong indicator is the thickness of the tree bark, which functions as a species of fire-resistant cladding.[2]
Pyrolandscaping | If the Cerrado’s trees are gnarled by fire, then what we have is a flora defined by its capacity to adapt to fire and avoid destruction by it. A “pyrolandscape” formed by two different types of pyrovegetation: the passive pyrophytes, or species that adopt strategies to resist destruction by fire (twisted trees); and active pyrophytes, consisting of species that depend on fire to thrive and regenerate (the graminaceous plants).[3]
Scrubland | As a tropical savanna seen by most as a poor biome and convenient spillover for farmland, the Cerrado receives little legal protection. Unlike the Atlantic Forest, Amazon Rainforest, and Pantanal wetlands, the Cerrado is not listed as Natural Heritage in the Federal Constitution, despite being one of the 25 most biodiverse regions on the planet, and the most biodiverse savanna in existence. Only 1.7% of its total area enjoys strict-use protected area status. And, just as urban weeds and grasses are ignored, the Cerrado is seen as a wasteland ripe for new, territorial-scale undertakings. Back in the Seventies, the Midwest, most of which lies within the Cerrado, produced roughly 6% of Brazil’s soya. Today, it produces around half. Livestock farming in the Midwest has grown exponentially and currently accounts for a third of Brazil’s cattle herds and a fifth of its swine. This livestock expansion is one of the main pressures on the Cerrado today. Recent studies by Embrapa, the Brazilian Agricultural Research Corporation, found that under 5% of the Cerrado remains in viable fragments—swaths of over 2,000 hectares capable of sustaining the biome’s reproductive chains. If we add smaller pockets, the total amount of preserved Cerrado reaches no more than 20%.
Lúcio Costa | Inspired by the parks of England, where he spent his childhood, Lúcio Costa, author of Brasília’s Pilot Plan, considered lawns one of the most important ingredients in the capital’s urbanist concept. Essentially, Brasília is an axis of key public buildings and residential super blocks, joined by a road system capable of functioning without the need for intersections. And all of this is girded by gardens and parks designed according to “landscaping techniques”.
However, for Costa, Brasília was not a Cerrado-city, but a city consisting of an artificial/natural landscape blend: “Normally, urbanization means creating the conditions for a city to happen. But in Brasília it meant taking the place—in the manner of the Conquistadores or Louis XV—and imposing upon it an urban structure capable of receiving, over the short term, the installation of a new Capital. Unlike cities that conform and adjust to the landscape, in the desert Cerrado, spread beneath an immense open sky, as if built upon the high seas, it was the city that created the landscape.”[4]
And yet, what happened was the opposite: the landscape created the city, and that is why I can safely say that Brasília is, first and foremost, a Cerrado-city (or, to create an even more sonorous definition, a Scrubland-city). It is undoubtedly the highest praise a Cerrado-built city could receive—never mind the various differences between the exotic trees of Brasília and the untouched Cerrado of the rest of Federal District.
Cerrado-city? There is very likely a Brasília mythology that remains to be told. The blue sky and red land will someday birth a new prose, a new ecology: those of the unending grasses. No monument, no exuberances. And yet, what is it that makes the Cerrado so fascinating? It must be the power of its sheer territorial expanse. The murmuring of its endangered immensity. The end of the heroic distinction between nature and culture. The unplanned clash between Brazilian architecture and the Central Tableland. The succession of rigid functions of modern urbanism (hotel sector, commercial sector, banking sector, etc.) corrupted by the free succession of thick-barked trees (stryphnodendrons, kielmeyeras, Machaerium villosum, etc.). The organic writhing of twisted trunks muddying the geometric curves of the vaults and the arches. The modern capital as incontrovertible proof that Brazil is not a modern country, but a place where nature still reigns with crushing ease. The negation of the nation’s baroque and colonial heritage and an ode to the primary vitality of the earth, not to mention the perfect expression of our culpability: after all, why isn’t Brasília a Cerrado-city?
Revenge | The artificial predominance of bahiagrass on the Ministerial Esplanade has its days numbered. Contrary to dear Lúcio’s wishes, there are no English lawns in Brasília: molasses-grass seeds hibernate, lying in wait, biding their time to exact revenge for their expulsion. The future belongs to the local species, not the exotic blow-ins the city’s gardening corps struggles to maintain.
Brasília’s defenders will argue that there is still some autochthonous vegetation to be found in the city, but they have been deceived by appearances. For example: the buriti palms that adorn the capital’s palaces did not grow there naturally. They were uprooted and transplanted in bulk, with one particularly impressive specimen being replanted in Buritis Square. It stands 20 meters tall, weighs 25 tons and is around 200 years old (the age was estimated from the rings in the verge trunk). In 1967, 51 buriti palms were dispatched to Itamarati Palace. In 1971, 47 were sent to the Urban Military Sector. In 1977, buritis that once stood in a grove in Goiás were uprooted and packed off to Brasília’s Recreational Park.[5] (One of the reasons for transplanting trees was the slow growth rate of Cerrado plants. A canela-de-ema [Vellozia squamata], for example, reaches reproductive maturity at the ripe old age of 1,000, and a purple threeawn, at 600. It takes a buriti palm half a millennium to reach a height of 30 meters. As the geographer Altair Barbosa said, the veredas [6]—which existed in abundance until recently—were made up of young plants when Pedro Álvares Cabral “discovered” Brazil in 1500. The palm trees that were just sprouting then now stand 25 or 30 meters tall.)
But, getting back to the the revenge of the native grasses: it’s not just a local matter. Consider, for example, the negative effect of grass in the United States, a country where almost every house sits in a well-tended lawn. This tradition began with the castles of the French and British aristocracy in the late middle ages, when it was seen (and still is) as a symbol of power, prestige and wealth. Some time later, with the model of the American suburb followed by the invention of automatic irrigation systems and the lawnmower, lawns became accessible to millions of families, to such an extent that they are now a fundamental element of the suburban paradise cultivated by the petit-bourgeoisie. A NASA study recently revealed that there are 63,000 square miles of garden lawns in the US, an area larger than the state of Georgia. Keeping all those lawns nice and green can take up 50 to 75% of a residence’s annual water consumption. American lawnmowers guzzle 17 million gallons of fuel each year and belch the fumes back into the atmosphere.Then there are the fertilizers and pesticides: garden-owners spend US$ 36 billion on these agrochemicals per annum, a sum 4.5 times the annual budget of the US Environmental Protection Agency.
A lawn of native grasses, on the other hand, provides habitat for birds and insects. Gramineous spreads are a natural carbon sink, extracting carbon dioxide from the air and storing it in their roots deep underground. In dry places, like southern California, there is no reason for there to be conventional lawns: in the light of recent droughts, Californian city halls have started offering homeowners incentives to replace their lawns with native vegetation.[7]
Biological Invasions | It sounds like the title of a disaster movie, but it’s actually an academic journal published since 1999 by the Swiss group Springer International Publishing. Biological Invasions runs countless papers on alien invasive species. Biotic Homogenization of the South American Cerrado, for instance, speaks of the invasion of the Cerrado and discusses how it might be contributing toward biotic homogenization. The Cerrado is slowly being overtaken by non-native species, whether through crops or pasture, while the native species are becoming increasingly endangered through habitat loss and the alkalization of the Cerrado’s acidic soils.
Figure v Background | As many critics of the modern city have noted, in the traditional baroque city, the houses are the background and the streets themselves, the foreground. Façades are a solid constructed mass that serves as background to squares and streets, both essentially public spaces. In Ouro Preto, for example, the voids are not infinite: they are foreground, and they have form, drawn by the surrounding buildings. Tiradentes Square, the city’s main public space, is a rectangle with four clearly delineated sides: at one end stands the Minas School, with the Municipal Assembly and Jailhouse at the other, with terraces of two-story townhouses running between them on either side. It’s a convention of the traditional city that can be schematized as solid=background, void=foreground. The contiguous blocks (solids) hedge an environment (void); the everyday structures define the public spaces.
The modern city inverted this convention in a radical manner: each building was to be a highlight. Rather than compose a continuous, homogeneous background fabric, modern buildings are objectual, made for the importance of a monument. Where before, as in Ouro Preto, façades were continuous and the voids, discontinuous and hemmed, now the voids are continuous backdrop and the buildings themselves the delimited foreground figures. The buildings of today have four sides, each equally important, and are made to be viewed from multiple angles, while the anonymous buildings of Ouro Preto have only one main façade. Every modern building aspires to monumentality, as an island in a sea of greenery; each unit in the superblocks of Brasília, for example, is supposed to be seen against a neutral backdrop.[8]
But the city made of isolated objects in rambling voids, of disperse bodies that, in principle, translate a fair and enlightened, free and rational society is also the city of disorientations caused by repetition, the unbroken continuum without end or limit, the lack of references or urban landmarks that confuses even the longest-standing residents (and, obviously, it is also the city of inequality and injustice). Each block is sculptural, but this accumulation of objects generates what the anthropologist James Holsten called “sculptural anonymity” and “semantic impossibility”. Objects that say they define the space of the superblocks are actually only occupiers of space that delimit nothing at all. Perhaps that’s why the binomial is useless to Brasília, on one side, and to the Cerrado, on the other: we need to adopt a new foreground/background, nature/architecture strategy.
New Ecology | Are we standing before an opportunity to imagine a new urban ecology? A new way of seeing the city in which it and the territory blend indissociably into one-in-the-same landscape? Here, the background predominates and blurs the foreground; the air, the light, the vegetation, and the heat undo the architecture. The background to Brasília is a wild green that does not need to be tended behind fences, like the lawns of a conventional park. What we have is an unnameable middle ground: the vegetation here consists of those pesky grasses that grow unkempt in vacant urban lots, but it’s an urban extension of a natural domain that encompasses the nation’s second largest reserve of fauna and flora. A successful fusion of foreground/background that puts into practice what other modern cities pursue as their ultimate end—an end that is here attainable, because we’re smack in the middle of an inebriating asset: the Cerrado.
The greenery that lifts our spirits amidst all the dispiriting concrete blocks; the sea of space that battles back the arrogance of this urban undertaking; we have to speak of Brasília with innocence, waiting to trigger an as yet embryonic stratagem. A maneuver that calls for the coexistence of order and disorder, permanence and becoming, future and past, background/foreground and foreground/background.
However, discovering the torpor of the Cerrado should always be done with one caveat in mind: it is no longer virgin; its page is not entirely blank, but bears signs of prior use. The operation, the act of discovery, has to be contaminated, in advance, with the conflict between solids and voids, greens and magentas. Analogically, the iconoclastic work “Erased de Kooning Drawing” serves as a sort of parallel to the revelation of these voids. In 1953, the artist Robert Rauschenberg bought a drawing by fellow artist Willem de Kooning and, with the latter’s permission, erased the lines of the original drawing until only faint traces were left on the paper, thus “using the gesture to erase the gesture, the creative device employed anew to undo a set of meanings and replace it with another, devolving the aesthetic unity attained by a completed work to the primordial unity whence it came—the empty canvas or sheet of paper”.[9] Rauchenberg’s procedure erased De Kooning’s drawing, but left its indelible mark, as it were, on the paper.
The critic José Miguel Wisnik has said: “The backlands self-destruct, inviolable — because, for better or worse, something of it always remains, the irreducible and rebellious substrate of all its reboundings—, always growing back, because nothing is capable of scything it away (and its chopped trees are living proof).”[10]
The backlands are inviolable, but not everyone sees them that way. When he drew up the axes of his Pilot Plan, Lúcio Costa made a proclamation worthy of a conquistador: “The gesture of one who is staking claim: two axes crossed at right angles.” But no, Brasília staked no claim over the Central Tableland: it is what it is, where it is, cunningly, reclaiming a territory thought lost. There must lie a red and acidic soil underneath all that tarmac (sous les pavés, la terre!); there must be signs of the Cerrado’s persistence in Brasília and Brasília’s insistence in the Cerrado. Just like Brazil’s conservative modernity consists of two layers—the archaic and the new—always superposed and never peeled apart.
The other, the same : So have the backlands become the nation’s capital? Yes, if we opt for the persuasiveness of absurdity. “This constructive and destructive power, which takes over the space, blind to the biomass it clears away, is still and forever the backlands, the other and the same, its double”.[11] The same backlands of which the sociologist Gilberto Freyre said, back in 1968: “as a new city, Brasília should not be considered a pure architectural problem, nor even a problem of urbanism, but of ecology. Of tropical ecology in all its complexity.” He went further: “(…) I blame Juscelino Kubitschek, who should have invited ecologists and social scientists to provide some check and balance to the flights of fancy of his team of artists from other fields and practices.”[12]
Rio | Seen from inside the buildings of his Contemporary City, what are the gardens designed by Le Corbusier? Part of his plan to “free up the center” and spread the greenery citywide. But also an essential aspect of the modern city: endowing it with vast neutral lawns as the backdrop to an architecture that was always intended as foreground figure. A tamed and homogeneous product of landscaping. “Sun, space, verdure: essential joys. Through the four seasons stand the trees, friends of man. Great blocks of dwellings run through the town. What does that matter? They are behind the screen of trees. Nature is entered into the lease.”[13]
But now they are shaking off that neutrality in favor of a verdant virulence, encroaching on the courts and patios in an irrational shift that rebuffs the modern discourse. How can the city of Rio de Janeiro be conquered by an army of ornamental plants, as arrowheads, Swiss cheese plants, devil’s ivy and lacy trees unleash a sneaky ambush, creeping from their concrete window boxes to seize the sidewalks, clamber up the tree trunks and overrun the flower beds as a raiding plague. That’s the difference between Rio and other cities: here, the plan, like a Benign Tumor[14], is no environmentalist delirium, but just another element in a surreal reality. And even if it’s confined, for now, to the South Zone, it may be just biding its time before expanding into downtown and the North Zone too.
Moisei Ginzburg, or the conflictual clash of magenta and green | It was Moisei Ginzburg, architect and theorist of Soviet constructivism, who proposed an even more radical strategy for Moscow in his Green City project: the capital was to be gradually transformed, naturally and entropically dissolved.
According to the call for entries to an architecture competition organized by the government of the USSR in 1930, the Green City was initially to be a holiday resort with capacity for one hundred thousand vacationers at a time connected to Moscow by an existing railroad. But Ginzburg’s design was more ambitious than that, and went much further, transforming Moscow itself into one big park. To work this transformation, he proposed three strategic measures: relocate institutional buildings, relocate the Moscovite population to areas adjacent to highways out of the capital, and, most radical of all, ban all new constructions inside Moscow.
The idea was to let the buildings be overgrown by the grasses of the Russian steppe, allow the city to be transformed by entropy, erasing all trace of the counterrevolutionary presence. (Moscow would be an urban manifesto of the Second Law of Thermodynamics, after the description by the author Isaac Asimov: “We have to work hard to straighten a room, but left to itself, it becomes a mess again very quickly and very easily. Even if we never enter it, it becomes dusty and musty. How difficult to maintain houses, and machinery, and our own bodies in perfect working order; how easy to let them deteriorate. In fact, all we have to do is nothing, and everything deteriorates, collapses, breaks down, wears out, all by itself—and that is what the Second Law is all about.”[15]
But, getting back to Ginzburg, he proposed disurbanizing the traditional city, letting the capitalist city fall to rot while suburbanizing the entire Soviet Union. The buildings symbolic of Czarism would not be artificially preserved: from the very moment they were considered dispensable, all heritage protection would be lifted. There would be no heritage institute at all, and the state would be unburdened of the obligation to simulate life in dead buildings. These would be left to crumble and be swallowed up by returning nature. With time, Moscow would become a rambling park of overgrown lots, of palaces and old buildings in leafy ruin, with no pipes or pumps or prosthesis to keep them in shape. In other words, Moscow would become a mosaic of tones of green and magenta, where flurries of warm hues would meet islands of repose in verdant tracts. But this greenery would never be dull, thanks to violent eruptions—healthily disturbing infiltrations, if you will— of magenta. In the end, this vision of the “city turned inside out” would generate, not monotonous green, nor edgy magenta, but a blend of both: magenta + green = grey.
Ginsburg was under the influence of disurbanism, a doctrine that preached the end of the concept of the city as we know it. In 1930, the USSR was still a hotbed of extreme experiments, with various groups of artists and architects organizing themselves under competing revolutionary manifestos. The sociologist Mikhail Okhitovich was one of the intellectuals who proposed taking the socialist experiment down dangerously unprecedented roads. His disurbanism envisioned settlements scattered throughout the Soviet Union, with collective mess halls, recreational centers, and employment bureaus just off branches of highway, all vaguely reminiscent of Frank Lloyd Wright’s Broadacre City. Through a nationwide transport, energy and communications network, disurbanism would spread 42m2 single-family residences all across the country. The state would provide each individual with a light, pre-fabricated unit that could be coupled with other units as the person saw fit, and all interconnected by a mesh of roadways, railways and airports. Urban agglomerations in the form of cities would be eliminated in favor of low-density, self-sufficient settlements with 20, 50 or as few as 3 residents! And Moscow, relieved of its remit as a city, would be converted into a colossal park.[16]
A defender of the opposition of the exiled Leon Trotsky, Mikhail Okhitovich fell out with the Communist Party at the start of Stalin’s rise, and, having attacked the personality cult growing up around him, found himself rebuked by the Politburo for his intellectual and architectural output. His disurbanism was branded economically incapacitating, and he was arrested, sent to the Gulag and finally executed in 1937.[17]
Le Corbusier had once said that the modern city should be one big park, but his Contemporary City was not radical enough. He never cogitated a city-park the size of the world’s largest country or a Paris entirely left to the destructive forces of nature. And, for that, Ginsburg attacked his former idol, now scorned as a conformist and reactionary. Interested in designing projects in the USSR, the rising hope of a new society and new world, Corbusier responded to the threat posed by the disurbanists in a letter addressed to Ginzburg. The Russian replied as follows:
“My dear Le Corbusier,
(…) You, the best of surgeons of the contemporary city, you want to cure it by all means. This is why you elevate the city on poles wishing to solve the unsolvable problem of movement in a metropolis, a movement in the absence of space. You create magnificent gardens on the roofs of multi-story buildings wishing to give people an extra bit of greenery, you create charming villas, giving their inhabitants ideal conveniences, peace and comfort. But you create all that because you wish to cure the city, [you] attempt to essentially preserve it the way it was created by capitalism.
It happens that we, in the USSR, are in a more favorable position—we are not tied to the past. History confronts us with problems that require revolutionary solutions and, however insufficient our resources may be, we will solve them, come what may.
We diagnose the contemporary city. We say: yes, it is ill, mortally ill. But we do not want to cure it. We prefer to destroy it and want to start working on the creation of a new type of human settlement, which would be devoid of internal contradictions and which we could call socialist.”[18]
Identity | But we are not living in times anywhere as futurist as those that begot the modern city or even the Green City. On the contrary: ours is a time in which we are best advised to envision a future based on what we’ve already got and which considers the latent potential of the existing city, whatever that may be.
Since it was declared a UNESCO heritage site in 1987, everything in Brasília has conspired towards maintenance ipsis literis; towards a hands-tied rigidity and bureaucratization. Fossilized by nostalgia, its future is no longer contained in the Pilot Plan, but in the satellite towns founded by the demobbed construction workers who built it. So any chance of reinventing the Pilot Plan lies in its empty spaces: only there—in its greenery, not its concrete—can we imagine a potential landscape as a source of surprises and new identities. Or: the magenta as a sea of sameness formed by six-floor blocks; the green as freedom and future. Today, turning Brasília into a more diverse city means investing in what’s left to us to touch, the remaining pockets of potential for identification and differentiation: on one hand, landscape as expression in the superblocks; on the other, as a better future for the satellite cities. Out of the omnipresent Cerrado surges a new metropolitan region with more variations and fewer inequalities.
This proposal is not entirely contrary to Lúcio Costa’s ideas on urban landscape. In fact, it confirms some of them: the superblocks, for Costa, were to be “framed by a large, thick belt of trees, large trees, with different species dominating in each block, rising out of lawns behind an intermittent curtain of shrubbery and foliage, literally hedging the blocks from view at any angle, shunting them into a background buffered by landscape. There is a dual advantage to this, insofar as it guarantees a certain urbanist uniformity regardless of the density, category, standard or architectural quality of its buildings (…)”[19].
Heritage Protection In the end, what UNESCO listing did was freeze a city that is more scrubland than town and which has such vast voids that they might even be more interesting with a few more constructions in them. Ironically, urban ecologists, potential allies of a Green Pilot Plan, disapprove of it. Being declared a heritage protection site perpetuated Brasília as an economically inviable, socially unjust and ecologically unsustainable city: its mono-functional zones and the large distances between every this and that are the image of a city that is inhospitable to the pedestrian, to street life, to mixed uses, to the act of walking and to any viable public transport (not to mention the gaping inequalities between the Pilot Plan and the satellite towns). For the urban ecologists, the efficient cities are those that are dense and compact and manage to maximize public and private investments through their capacity to generate their own resources, essential to maintaining their ongoing and sustainable development. Brasília, the federal capital and symbol of the nation, is thus a benchmark of Brazilian inefficiency—a characteristic that has a positive side to it, all the same. So Brasília is an anti-modern city: if modernity means function, rationality and therapeutic quality. Brasília is all pomp, excess and waste; all caused by modern zoning and those intermittent sprawls of void.
But the city is not alone in this double-edged fiasco. It is trust in technique—in a technique of poetic dimensions—, created as if out of momentary spasms and convulsions that then relax back into their primitive state. As the art critic Ronaldo Brito said in Contra o Culto da Ignorância, “We desire a ‘natural order’—let thought return to it as fast as it possibly can—(…) To the problems of thought, [we, Brazilians] apply nature. To those of nature, we apply thought. All our trust in technique seems to rest, secretly, on our belief in nature—after all, she is Amazonian, prodigious and inexhaustible. Our symbolism responds to technique in a very simple way—it tries to mythologize it, turn it, one way or another, into magic.”
All we can do now is believe in this other capital, transforming it into a Cerrado-city before farming and livestock ranching can advance upon it and transform it in their image once and for all. As almost all of the Cerrado has been converted into soya plantations and pasture, the time has come for an absurd natural vengeance to strike environmentally and politically where it is least expected: in Brasília.
[1] “Guia do Cerrado”, Empresa das Artes: São Paulo, 2003
[2] “Ecossistemas: Cerrado”, in ONG VivaTerra, www.vivaterra.org.br, accessed on 03/2006
[3] According to a classification used by the landscaper Gilles Clément in “Paysages du feu”, https://www.botanique-jardins-paysages.com/102011-2/, accessed on 04/2019
[4] Lúcio Costa, “Registro de uma Vivência”, Rio de Janeiro, 1995
[5] Marta Adriana Bustos Romero, “A sustentabilidade do ambiente urbano da capital”. In: Brasília, controvérsias ambientais. Brasília: Editora Universidade de Brasília, 2003
[6] Veredas are “oases” of palm trees that grow among shrubs near headwaters or watercourses in the Cerrado.
[7] Eric Holthaus, “Get Rid of Your Lawn”, in Slate Magazine 06/05/2019, https://slate.com/technology/2019/05/lawns-are-bad-get-rid-of-them.html, acessado em 05/2019
[8] James Holston, “A Cidade Modernista”, Companhia das Letras: São Paulo, 1993, 126
[9] Paul Wood, “Arte Conceitual”, Cosac & Naify: São Paulo, 2002
[10] José Miguel Wisnik, “O famigerado”, Scripta, vol. 5/nº10: Belo Horizonte, 2002
[11] José Miguel Wisnik, “O famigerado”, Scripta, vol. 5/nº10: Belo Horizonte, 2002
[12] Gilberto Freyre, “Brasis, Brasil e Brasília”. Rio de Janeiro: Record, 1968
[13] Le Corbusier, “The Home of Man”, London, 1948. Cited in Collin Rowe, Fred Koetter, Collage city, MIT Press: Cambridge, 1984, p 51
[14] “If the history of Belo Horizonte is a film, it can be summarized as a transformation of a young town’s voids into the full spaces of a saturated city. This project is a scene from this film watched in fast-rewind, as on a VCR: it’s a regression through history that, paradoxically, reveals the city’s best futures.
We recapitulate the entire history of BH in a matter of minutes, just to make the absurd occupation of its voids all the clearer. If this city’s “progress” is identified with the gradual occupation of its lots, parks and greenery, the retrocession consists in emptying out the fullness and reinstating the emptiness and removed nature. Uncluttering the center, efficiently filling out and interconnecting the outskirts, imagining projects every bit as a delirious as was the densification of Belo Horizonte in the first place. Returning, that is, to the origins of the city, imagining once more the liberty and power of its voids. We watch the urban zone as it becomes a huge Municipal Park, in an act of ‘urbanist vengeance’.
Like an enormous Central Park—at once the negation and exaltation of the city—, the urban zone will be handed over to the nature that belongs to it: the nature of things that eschew the artificiality of architecture. The revenge: the inverse metastasizing of that which characterized the city’s growth. A benign tumor. A stain of voids contaminated by fullnesses. A regression: a return to the beginning of history as a way of envisioning a healthier future.” In Carlos M Teixeira, “História do vazio em Belo Horizonte. São Paulo: Cosac Naify, 1999.
[15] Isaac Asimov, “In the Game of Energy and Thermodynamics You Can’t Even Break Even”, Smithsonian Institution Journal (June 1970), p.6
[16] Fosco Lucarelli, “Mikhail Okhitovich and Disurbanism”, in http://socks-studio.com/2012/07/14/mikhail-okhitovich-and-the-disurbanism/, accessed on 02/2019
[17] Idem.
[18] Alla Vronskaya, “The utopia of personality: Moisei Ginsburg project for the Moscow’s park of culture and leisure”, in Problema voluminis 4.
[19] Lúcio Costa, “Plano Piloto de Brasília”, Módulo Arquitetura Ltda, s/data. Another reference on the importance of integration with the landscape in Costa’s work is the description of his preliminary design for the Monlevade Workers’ Villa (1934), which was structured along three main principles, the third of which was, “in the interests of the program itself, to cause as little damage as possible to the natural beauty of the place.”
Brasília Cerrado-city by Carlos M Teixeira images / information received 190721
Architect Carlos Teixeira works for Vazio Arquitetura in Brasil
Location: Brasília, DF, Brazil
Architecture in Brazil
Brazilian Architectural Projects
Brazilian Architecture Design – chronological list
Brazilian Architecture News
Brazil Architecture
Brasilia Architecture Tours
Brasilia Buildings
Casa Clara Architects: 1:1 arquitetura:design photograph : Edgard Cesar Casa Clara in Brasilia
Brasilia Stadium : World Cup Venue Design: gmp photograph : Marcus Bredt Brasilia Stadium Building
Osler House Design: Marcio Kogan Arquitetos photograph : Pedro Vannucchi Brasilia Property
Byte Building Brasilia Design: DOMO Arquitetos Associados Byte Building in Brasilia
Mané Garrincha Stadium Brasília, World Cup Venue
Temporary art gallery Design: DOMO Arquitetos Associados Patchwork Pavilion Brasilia Building
São Paulo Buildings
Brazilian Architect
Comments / photos for the Brasília Cerrado-city by Carlos M Teixeira page welcome
The post Brasília Cerrado-city by Carlos M Teixeira appeared first on e-architect.
0 notes
Text
[CP] LCD X95J et X85J de Sony disponibles en précommande
Les deux séries de téléviseurs 2021, les modèles 4K HDR Full Array LED BRAVIA XR X95J et 4K HDR LCD X85J, sont disponibles en précommande. Le premier est l'actuel téléviseur phare 4K HDR Full Array BRAVIA XR et le lauréat du prix de l'innovation CES 2021. Un palmarès somme toute logique puisqu’il exploite tout le potentiel du Cognitive Processor XR, ce nouveau processeur reposant sur une toute nouvelle méthode de traitement d’image et de son dépassant l'IA traditionnelle pour reproduire la vue et l'ouïe humaines. Lorsque nous voyons des objets, nous fixons inconsciemment certains points. Optimisé par l’intelligence cognitive, le processeur Cognitive Processor XR divise l’écran en différentes zones et détecte l’emplacement du « point focal » dans l’image. Alors que l’IA traditionnelle ne peut détecter et analyser que les éléments de l’image comme la couleur, le contraste et les détails individuellement, le nouveau Cognitive Processor XR peut croiser l’analyse d’un ensemble de paramètres simultanément, comme le fait notre cerveau. Cette technique permet d’ajuster tous les éléments de la scène les uns par rapport aux autres et de les synchroniser idéalement pour produire le meilleur résultat final et un réalisme parfait, inaccessibles à l’IA traditionnelle. Le Cognitive Processor XR peut également analyser la position du son dans le signal afin d’assurer une correspondance précise du son et de l’action à l’écran. En outre, il convertit tout signal audio de manière ascendante en son surround 3D pour parfaire le réalisme dans un paysage sonore immersif. Il apprend, analyse et comprend des quantités de données inégalées et optimise intelligemment chaque pixel, chaque image et chaque scène pour produire l’image et le son les plus réalistes de l’histoire de Sony. Les téléviseurs BRAVIA XR X95J 4K HDR LED bénéficient du service exclusif BRAVIA CORE. Préchargée sur tous les nouveaux modèles BRAVIA XR, une sélection des derniers titres premium et grands classiques de SPE (Sony Pictures Entertainment) et de la plus grande collection IMAX Enhanced est proposée aux utilisateurs. BRAVIA CORE est le premier service vidéo du secteur à intégrer la technologie Pure Stream pour offrir une qualité équivalente à celle des BD UHD presque sans perte avec un débit allant jusqu’à 80 Mo/s. Pour les joueurs, les téléviseurs X95J et X85J remportent également la partie grâce à sa prise en charge de plusieurs fonctions HDMI 2.1, comme le format 4K 120 i/s, le taux de rafraîchissement variable (VRR) et le mode de faible latence automatique (ALLM) permettant de profiter d’un jeu fluide et réactif lorsqu’il est connecté à une console de nouvelle génération.
Prix et disponibilité
Les téléviseurs LED 4K HDR Full Array BRAVIA XR X95J (85 et 75 pouces) et LCD X85J (85, 75, 65, 55, 50 et 43 pouces) sont en vente dès maintenant et les précommandes sont ouvertes en France. Le modèle X95J sera disponible en 65 pouces plus tard cette année. Téléviseur Taille d’écran Prix public conseillé XR-75X95J 75’’ 2 999 € XR-85X95J 85’’ 4 499 € KD-43X85J 43’’ 899 € KD-50X85J 50’’ 999 € KD-55X85J 55’’ 1 199 € KD-65X85J 65’’ 1 399 € KD-75X85J 75’’ 1 799 € KD-85X85J 85’’ 2 799 €
Fonctionnalités des téléviseurs LED 4K HDR Full Array X95J (modèles 85, 75 et 65 pouces) :
Le Cognitive Processor XR comprend comment les humains voient et entendent, et offre aux téléspectateurs une expérience révolutionnaire au travers d’une immersion totale dans leur contenu préféré ; La technologie X-Wide Angle reproduit des couleurs vives réalistes sous n'importe quel angle tout en conservant plus de couleur et de luminosité ; Combinés à la précision d’une dalle LED Full Array, les technologies XR Triluminos Pro et XR Contrast Booster offrent un réalisme extrême avec des noirs profonds et une luminosité intense ; La toute dernière technologie XR Motion Clarity croise l’analyse des données pour garantir la fluidité, la clarté et la netteté d’une action ; La technologie Acoustic Multi-Audio produit un son cinéma enveloppant où chaque source est positionnée avec précision pour assurer l'harmonie parfaite entre les images et le son ; La prise en charge du Dolby Vision HDR et du Dolby Atmos plonge l’utilisateur dans l’action avec une qualité d’image ultraréaliste et un son incroyablement dynamique ; X-Anti Reflection minimise les reflets pour profiter du spectacle sans distraction ; La technologie XR 4K Upscaling améliore les signaux 2K pour afficher des images incroyablement réelles et détaillées avec une qualité proche de la véritable 4K ; Compatibilité avec les fonctions HDMI 2.1, y compris 4K 120 ips, taux de rafraîchissement variable (VRR), mode de faible latence automatique (ALLM) et eARC ; Ambient Optimization optimise la qualité de l'image et du son quel que soit l'environnement ; Le design minimaliste à dalle unique intégrant un cadre Seamless Edge renferme l'écran dans un seul panneau de verre naturellement élégant et permet aux spectateurs de rester concentré sur l'image sans être distraits ; Pied trois positions : une position étroite pour un encombrement minimal, une position ultraplate pour n'avoir d'yeux que pour l'essentiel et une position spéciale barres de son permettant de les intégrer sous le téléviseur surélevé ; BRAVIA CORE : fruit d’une collaboration avec Sony Pictures Entertainment (SPE), BRAVIA CORE représente le point de convergence entre le divertissement et la technologie, avec pour mission de valoriser et présenter des expériences Sony uniques. Préchargée sur tous les nouveaux modèles BRAVIA XR, une sélection des derniers titres premium et grands classiques de SPE et de la plus grande collection IMAX Enhanced est proposée aux utilisateurs. BRAVIA CORE est le premier service vidéo du secteur à intégrer la technologie Pure Stream pour offrir une qualité équivalente à celle des BD UHD presque sans perte avec un débit allant jusqu’à 80 Mo/s. Pour en savoir plus sur cette collaboration, rendez-vous sur : - Accès rapide à un éventail de contenus et de services grâce à Google TV ; - Connectivité aisée avec la plupart des appareils, y compris Apple AirPlay 2 et HomeKit ; - Fonctionne avec Alexa et Google Assistant ; - La recherche vocale en mains libres fonctionne avec Google Assistant pour offrir une expérience visuelle plus intelligente ; Netflix Calibrated Mode offre un contenu Netflix de qualité studio et IMAX Enhanced diffuse une image IMAX remasterisée et un son immersif au format DTS ; Calman Ready intègre des capacités de calibrage avancées et de réglages précis, tout simplement impossibles avec les réglages d’image classiques.
Précédent Suivant
Fonctionnalités des téléviseurs 4K LED X85J (modèles 85, 75, 65, 55, 50 et 43 pouces) :
Processeur 4K HDR X1 reproduisant plus de profondeur, de textures et de couleurs naturelles grâce à la technologie Object-based HDR remaster ; La technologie de traitement d’image 4K X-Reality PRO convertit de manière ascendante chaque pixel pour produire une clarté incroyable. Des techniques avancées de réduction du bruit et une base de données de modèles spéciaux garantissent le réalisme de chaque scène jusqu’au moindre détail ; La prise en charge du son immersif Dolby Vision HDR et Dolby Atmos transformera le divertissement grâce à une qualité d’image ultraréaliste et un son incroyablement dynamique ; iii Dalle native 100Hz ; Compatibilité avec les fonctions HDMI 2.1, y compris 4K 120 ips, taux de rafraîchissement variable (VRR)iv, mode de faible latence automatique (ALLM) et eARC ; Les enceintes X-Balanced offrent un paysage sonore puissant et immersif ; La technologie Ambient Optimization dotée d’un capteur de lumière adapte automatiquement l’image et le son à l’environnement du spectateur ; Un design minimaliste avec une surface ultraplate qui maximise l’écran et minimise le cadre afin de permettre aux utilisateurs de rester concentrés sur l’essentiel : l’image. Le pied deux positions vous permet de choisir entre un réglage standard qui vous permet de vous concentrer sur l'image et un réglage plus étroit adapté aux étagères plus petites. Accès rapide à un éventail de contenus et de services grâce à Google TV ; ix Connectivité aisée avec la plupart des appareils, y compris Apple AirPlay 2 et HomeKit ; Fonctionne avec Alexa et Google Assistant ;
Récompense attribuée au modèle 85 pouces. Les consommateurs peuvent profiter de films et d'émissions de télévision en Dolby Vision et Dolby Atmos diffusés en streaming par des services compatibles tels que Netflix grâce aux applications de streaming natives du téléviseur ou via un lecteur multimédia de streaming compatible connecté au téléviseur via HDMI. Nécessite des câbles HDMI vendus séparément. La technologie X-Anti Reflection n'est pas disponible sur le modèle 65 pouces ; Le VRR nécessite une mise à jour micrologicielle. Le pied à trois positions n'est disponible que sur les modèles de 85 et 75 pouces (2 positions sur le modèle 65 pouces). Pays et disponibilités à confirmer. Le nombre et la sélection des titres dépendent du modèle et peuvent varier. BRAVIA CORE intègre Pure Stream qui diffuse en streaming à un débit compris entre 30 et 80 Mo/s. Pour accéder à Pure Stream à 30 Mo/s, vous devez avoir un débit Internet minimal de 43 Mo/s. Pour accéder à Pure Stream à 80 Mo/s, vous devez avoir un débit Internet minimal de 115 Mo/s. BRAVIA CORE n'est pas responsable des restrictions de réseau ou de la bande passante disponible. Des restrictions et des conditions du fournisseur de services réseau peuvent s'appliquer. Les services intégrés de Google TV sont soumis à des conditions générales et peuvent être modifiés ou supprimés sans préavis. Les fonctionnalités Apple AirPlay 2 et HomeKit seront disponibles sur les modèles FY19 (ZF9, AF9, ZG9, AG9, XG95 et XG85 ), FY20 (ZH8, A9, A8, XH95 et XH90) et FY21 (Z9J, A90J, A80J, X95J, X90J, X85J et X81J/X80J). Les fonctions AirPlay 2 et HomeKit nécessitent un appareil iOS fonctionnant sous iOS 12.3 ou plus récent ou un Mac fonctionnant sous macOS 10.14.5. Apple, AirPlay, HomeKit, iPhone, iPad, Mac et macOS sont des marques commerciales d'Apple Inc. enregistrées aux États-Unis et dans d'autres pays. L'adhésion au service de streaming Netflix est obligatoire. La disponibilité de la définition 4K Ultra HD dépend de votre plan d'abonnement Netflix, de votre service Internet, des capacités de votre appareil et de la disponibilité du contenu. www.netflix.com/termsofuse. Le pied 2 positions n'est disponible que sur les modèles d'au moins 55 pouces.
Read the full article
0 notes
Photo
Deuxième dispositif multisensoriel au Musée Réattu (Arles) par Polymorphe Design !
L'œuvre du moment, c'est un petit bijou. Une huile sur toile de petit format, peinte avec un pinceau qui ne semble fait que d'un seul poil tellement le détail est fin. Une image précise qui nous renseigne sur le travail dans un atelier de couture provençal de la seconde moitié du XVIIIe siècle.
Foisonnement est un mot qui résume cette œuvre : plein de couleurs, plein de plis, plein de motifs... on a l'impression de toucher les tissus, les bobines et les aiguilles entre points de couture et touches de peinture. De cet atelier pris sur le vif émane une sensation de calme, de maitrise, de savoir-faire.
Cette œuvre d'Antoine Raspal (c'est l'oncle de Jacques Réattu) est mise en avant à Arles au musée Reattu jusqu'à l'automne 2020. Si l'actualité sanitaire a nécessité de supprimer les boites à tissus, la transposition tactile du tableau est exposée pour les visiteurs déficients visuels et les autres, et donne à percevoir la scène, ses personnages et la préciosité de ses motifs.
Pour compléter l'accessibilité à l'œuvre, Julie MAZÉ (chargée de la médiation culturelle au musée Réattu) a rédigé l'audiodescription, enregistrée par les donneurs de voix de la Bibliothèque Sonore du Pays d’Arles, et a fait appel à Vivien FONTVIEILLE et à l'ASIP Vaucluse pour la mise en avant de cet œuvre en LSF (visionnable ici : https://vimeo.com/263852499 )
Atelier de couture de Antoine Raspal, vers 1780, image tactile à voir et à toucher au musée Réattu, à Arles : http://www.museereattu.arles.fr
0 notes