#fleur de douleur
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azulghoul · 20 hours ago
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Outfit Swap!
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zalgoid · 7 months ago
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it is actually comedic that these two are only a year apart in age
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42 but due to silly dead girl status stopped physically aging at 20 ish and 43 and stressed as shit
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480pfootage · 5 months ago
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REVENGE! For @azulghoul's Fleur.. oh fleur be born anew in your flesh
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ruanbaijie · 2 years ago
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girl help i’m suddenly reliving my french musical phase from 6 years ago
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jules-and-company · 3 months ago
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LA DERNIÈRE LETTRE À YOUKI JUSTE AVANT QU’IL SE FASSE DÉPORTER C’EST POUR ME TUER
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mellosdrawings · 5 months ago
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When you need to declare your love to your wife but it is so strong you can't help but revert back to french.
You know the perk of being french ? I can write Rook rambling haha !
(Though I am incapable of writing poetry, so here is the poem I used and its approximate translation:
Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?
(I breathe where you throb, you know ;
What for, alas! stay here if you leave me, and live if you go away?)
A quoi bon vivre, étant l'ombre
De cet ange qui s'enfuit ?
A quoi bon, sous le ciel sombre,
N'être plus que de la nuit ?
(What good is living, being the shadow of this fleeing angel?
What for, under the dark sky, being from the night only?)
Je suis la fleur des murailles
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles
Pour qu'il ne reste plus rien.
(I am the flower of your walls for which April is the only good.
You only need to leave for me to be left with nothing.)
Tu m'entoures d'Auréoles;
Te voir est mon seul souci.
Il suffit que tu t'envoles
Pour que je m'envole aussi.
(You surround me with Halos;
I care only about seeing you.
You need only to take flight for me to fly too.)
Si tu pars, mon front se penche ;
Mon âme au ciel, son berceau,
Fuira, dans ta main blanche
Tu tiens ce sauvage oiseau.
(Should you leave, my front/forehead shall lean ;
My soul in the sky, its cradle, will flee,
In your white hand you hold this wild bird.)
Que veux-tu que je devienne
Si je n'entends plus ton pas ?
Est-ce ta vie ou la mienne
Qui s'en va ? Je ne sais pas.
(What would I become, should I not hear your steps anymore?
Is it your life or mine that is fleeing ?
I cannot tell?)
Quand mon orage succombe,
J'en reprends dans ton coeur pur ;
Je suis comme la colombe
Qui vient boire au lac d'azur.
(When my thunder dies down, I take some from your pure heart ;
I am like the dove that just drank in the azur lake.)
L'amour fait comprendre à l'âme
L'univers, salubre et béni ;
Et cette petite flamme
Seule éclaire l'infini
(Love makes the soul understand the universe, healthful and blessed ;
And this lonely little flame shines upon the endless)
Sans toi, toute la nature
N'est plus qu'un cachot fermé,
Où je vais à l'aventure,
Pâle et n'étant plus aimé.
(Without you, all of nature is only a closed cell where I go on an adventure,
Pale and no longer beloved.)
Sans toi, tout s'effeuille et tombe ;
L'ombre emplit mon noir sourcil ;
Une fête est une tombe,
La patrie est un exil.
(Without you, everything falls apart ;
Shadows fill my dark eyebrow ;
A feast/party is a tomb,
The homeland is an exile.)
Je t'implore et réclame ;
Ne fuis pas loin de mes maux,
O fauvette de mon âme
Qui chantes dans mes rameaux !
(I beg and demand ;
Do not flee any longer from my pain,
O warbler of my soul who sings in my twigs!)
De quoi puis-je avoir envie,
De quoi puis-je avoir effroi,
Que ferai-je de la vie
Si tu n'es plus près de moi ?
(What could I want?
What could I be afraid of?
What would I do of life without you by my side?)
Tu portes dans la lumière,
Tu portes dans les buissons,
Sur une aile ma prière,
Et sur l'autre mes chansons.
(You carry in the light,
You carry in the bushes,
On a wing my prayers,
On the other my songs.)
Que dirai-je aux champs que voile
L'inconsolable douleur ?
Que ferai-je de l'étoile ?
Que ferai-je de la fleur ?
(What will I tell to the fields that hide my inconsolable pain?
What would I do of the star?
What would I do of the flower?)
Que dirai-je au bois morose
Qu'illuminait ta douceur ?
Que répondrai-je à la rose
Disant : " Où donc est ma soeur ?"
(What will I tell to the morose forest that illuminated your softness?
What will I answer at the rose asking "Where is my sister?")
J'en mourrai ; fuis, si tu l'oses.
A quoi bon, jours révolus !
Regarder toutes ces choses
Qu'elle ne regarde plus ?
(I would die ;
Flee if you dare.
What is the point, days gone! of looking at all those she no longer looks at?)
Que ferai-je de la lyre,
De la vertu, du destin ?
Hélas ! et, sans ton sourire,
Que ferai-je du matin ?
(What would I do of the lyre, of virtue, of destiny?
Alas! And, without your smile,
What would I do of the morning?)
Que ferai-je, seul, farouche,
Sans toi, du jour et des cieux,
De mes baisers sans ta bouche,
Et de mes pleurs sans tes yeux !
(What would I do, alone, wild, without you, of days and heavens,
Of my kisses without your lips,
And of my tears without your eyes!)
Il suffit que tu t'envoles pour que je m'envoles aussi - Victor Hugo
(You need only take flight for me to fly too))
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au-jardin-de-mon-coeur · 1 month ago
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À tous les hypersensibles, vous êtes des cadeaux d'amour 💐🎁
Susceptibilité ou hypersensibilité.
Quand une personne est hypersensible, elle peut être prise pour une personne susceptible.
Une hypersensible se sent vite touchée, blessée.
Sa vulnérabilité, sa fragilité la referment dans une coquille afin de ne pas "trop" ressentir la douleur.
Cependant, la souffrance a été perçue et tout un mécanisme se met alors en route.
Elle peut être en réaction, le visage fermé, ne dialoguant plus, ou alors se sentir attaquée et répondre par des mots, une attitude plus dure, plus froide. Elle peut aussi rester sur la défensive et ne plus arriver à se détendre, vigilante au prochain "coup".
Elle peut aussi choisir la voie du silence et du repli pendant un temps... Juste pour elle de sentir qu'elle n'était pas la cible.
En effet, une hypersensible est à fleur de peau. Elle ne prend pas les choses mal ou de travers.
Non, elle prend les choses à cœur, en plein cœur. Il n'existe pas de filtre, de distance entre la vibration des mots verbalisés et ce qu'elle ressent.
Elle vit intensément les mots comme des maux.
Elle peut être remplie d'humour, de joie, mais elle ressent tout avec son corps, avec son cœur, avec son Être.
Ce qui sauve l'hypersensible, c'est l'amour.
Elle est en amour du monde.
Elle est emplie de compassion, de compréhension.
En toute simplicité pour elle, car les mots deviennent des énergies qu'elle ressent.
Non, les hypersensibles ne sont pas susceptibles, ce sont juste des cœurs aimants et vibrants au rythme de l'univers, mais également au tempo des émotions, des souffrances véhiculées de partout, par tous.
Les hypersensibles sont un cadeau précieux pour l'humanité où de belles valeurs, de merveilleuses vibrations sont envoyées de leur Être, amoureux du monde.
Apprivoiser ce don, se connaître, être présent à soi, rester le cœur ouvert, prendre de la distance avec l'émotion ressentie, car l'hypersensibilité est un joyau au cœur de la personne.
Laurence Simonnet
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lisaalmeida · 2 months ago
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Belle Lettre d'amour... à lire......
Lettre de Consuelo de Saint-Exupéry à son mari Antoine St Exupery
Fin décembre 1944
Que j’aille très loin, en train, en avion, sous la mer, par la terre, j’ai l’impression que jamais je ne pourrai arriver jusqu’à toi.
Tonio, Tonito, mon homme, mon fils, mon clocher, fais sonner les grandes cloches parce que je ne peux pas respirer. J’ai grossi en attendant la houle qui va te ramener.
Je tombe avec les feuilles, avec la pluie, avec ma jupe de fête.
Je ne peux pas marcher à force d’attendre le moment où
je reverrai tes yeux, ronds comme des fleurs.
Tu ne vois pas que je ne peux pas arroser l’arbre de Noël pour le faire grandir. Mon mari des étoiles, j’ai de tout petits pieds et de toutes petites mains, il faut que tu reviennes m’aider.
Je ne sais pas comment j’ai marché depuis mon enfance jusqu’à aujourd’hui. Ma vie fut un immense vertige.
A présent, j’ai des cheveux gris, j’ai tellement de larmes dans ma bouche que cela me suffirait pour boire toute ma vie.
Pourquoi Tonio, mon Tonio, mon mari,
mon mal et mon bien, mon ciel et mon enfer,
es-tu parti pour ne jamais revenir ?
Je ne peux pas le croire, je ne veux pas le savoir, tu es parti dans ton avion, le 31 juillet, en mission de guerre et tu n’es pas revenu. Pas de nouvelles de toi et l’année va finir. Il faut que je l’accepte, et si je l’accepte, c’est pour t’aimer davantage.
Comme je t’aurais aimé si tu étais revenu ! Comme toi aussi tu aurais fait la même chose pour moi !
Seigneur à la couronne d’épines, arrache-moi le cœur pour qu’il ne me fasse plus mal.
Tu sais, toi, que Tonio est tout pour moi. Sans lui, je ne suis rien. Sur la table de ma chambre d’hôtel, j’ai un livre de lui, son portrait avec son manteau de soldat en cuir et ses fines mains d’homme comme des ailes et sa barbe pousse avec mes larmes.
Seigneur grand et miséricordieux, je te donne ma peine et ma douleur.
Mon Père, aide-moi. Je n’ai personne pour aimer, pour attendre, pour embrasser.
Ma maison est devenue petite, seule ma fenêtre reste ouverte pour faire entrer le ciel où il est parti en s’envolant pour ne pas revenir.
Rendez-le-moi mon Père, je vous en prie, faites un miracle.
Si vous me le rendez dans sa tendresse, je le coifferai, je le laverai, je l’embrasserai et ensemble nous irons jusqu’à vous
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narche · 1 month ago
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Mille-fleur de douleur et odio - ver.2 -Oct.2024
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insociablementcompliquee · 3 months ago
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Tout a commencé avec un papillon noir et un cauchemar. Il s’est envolé devant moi, hors de ma portée, et alors j’ai réalisé que rien de tout cela n’était la réalité. Et pourtant je jurais de l’avoir vu, il était sombre, hypnotisant, mal venu. En un battement d’ailes je revoyais tes prunelles. Je t’ai couru après, dans un rêve bien trop réel. Et il s’est volatilisé, comme s’il n’avait jamais existé, fruit d’un fantasme refoulé. Il a disparu et le goût amer de l’échec m’ait apparu. Comme notre union, c’était un fantasme, un peu fantasque, une pauvre idée saugrenue.
Les sourcils froncés, le cœur lourd et l’esprit préoccupé, je suis retournée d’un pas ferme dans le jardin. Le cauchemar m’avait eu, mais ce n’était pas un signe du destin, une simple coïncidence d’un cauchemar et d’un papillon noir. Les abeilles butinaient, les oiseaux s’envolaient, les fleurs fleurissaient. Tout était normal, je n’étais pas folle, pas plus que cette nature frivole. Et le revoilà. D’un coup d’œil, je l’ai aperçu, posé sur le muret. D’un noir profond, comme un mauvais présage.
Il ne volait pas, comme pour m’apprendre une leçon, attendant toute mon attention. Puis d’un battement d’ailes, il s’est envolé, et j’en suis restée hébétée. Un sourire idiot a fendu mon visage : ses ailes étaient d’un noir sans espoir à l’extérieur, et resplendissantes de couleurs à l’intérieur.
Comme une métaphore, j’ai compris que l’amour ne pouvait être compris des autres. Qu’ils ne voyaient pas ce que je te trouvais. Mais que nos cœurs s’étaient envolés, et que pour moi, tu les avaient déployés. Ces ailes multicolores, ces humeurs, ces douleurs. J’ai vu la complexité de tes ailes, sous la pluie et sous le soleil. J’ai eu accès à ton intimité, à ton rire et à ton toucher. Et j’espère de tout mon cœur que malgré les ailes sombres que tu me montres désormais, tu caches quelques part des ailes bien plus élaborées, et que tu les montres à celles et ceux qui sauront les respecter.
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azulghoul · 3 months ago
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It's nice to smile every now and then :)
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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Avec le temps, vous comprendrez que les plus belles vacances peuvent se trouver sur une paire de lèvres ; qu'il y a de l'hiver en été, de la poésie en automne et que toutes les fleurs ne naissent pas au printemps. Vous apprendrez aussi que rien n'est éternel, mais que certains moments sont proches de l'être ; que les cicatrices sur l'âme ne guérissent pas, que les promesses expirent, que les rêves changent, que les plans changent et que les gens déçoivent ; qu'il y a de la douleur derrière les sourires, de l'amour derrière un "prenez soin", des raisons et des regrets derrière les silences. Que les meilleurs baisers que vous ayez jamais reçus sont cachés dans les regards et que les bras sont sans aucun doute le meilleur abri, celui qui vous débarrasse vraiment du froid. Avec le temps, vous comprendrez la valeur d'un je t'aime, d'un comment vas-tu, d'un merci, d'un pardon et d'un je t'ai manqué, et que, bien que ce soient des mots, certains sont si lourds qu'ils ne sont pas emportés par le vent ; vous comprendrez l'importance d'un sourire, d'une accolade, d'un bonjour, d'un baiser sur le front, d'un repas à l'ancienne, d'un café avec des amis et d'une lettre inattendue dans la boîte aux lettres. Avec le temps, vous changerez vos priorités, votre façon de penser, de rire, de vous habiller, de rêver, vous changerez votre numéro préféré pour celui d'un rendez-vous, votre chanson pour une bande originale dans le silence d'une paire de bras, votre couleur préférée pour celle de ces yeux ? Vous changerez tant de choses… Le temps vous fera aussi pleurer, crier de rage, vous mettre en colère, tomber amoureux, désirer quelque chose… Mais il t'apprendra qu'il n'y a pas de regrets, qu'il faut prendre des risques, qu'il y a des erreurs, des regards, des baisers et des moments qui sont les seuls à donner un sens à tout cela.
Et avec le temps, vous comprendrez qu'il n'y a plus de temps. Que c'est aujourd'hui et maintenant qu'il faut agir.
Mais seulement… Vous ne réaliserez qu'avec le temps…
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zalgoid · 7 months ago
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shading skin is so fun when it’s a real skin tone and I can tell when it looks right
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Ej is remaining unshaded for their crime of not having a human skin color
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cheminer-poesie-cressant · 3 months ago
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@cheminer-poesie-cressant
le silence dormant des fleurs enferment des paroles de miel ; couleur sur couleur qui exerce le discours que la matin espérait pour s’épanouir ; ouvrir ce réveil pétale après pétale, ombre après ombre, lumière après lumière ; ne plus laisser s'approcher ce qui a été douleur durant la nuit ; ne plus fragiliser l'existence sur des chemins d'impasse ; la victoire appelle la victoire lorsque tout est floraison
© Pierre Cressant
(vendredi 16 août 2024)
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carraways-son · 8 months ago
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Vendredi
Sakura dans la douceur du printemps toulousain. Au cours de son bulletin météo, la chaîne NHK World donne la date de floraison des cerisiers dans chaque région du Japon. Ce haïku de circonstance du poète Issa (XVIIIe-XIXe), n'en finit pas de traverser les continents et les siècles :
Un monde de douleur et de peine
alors même que les cerisiers
sont en fleur.
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tosteur-gluteal · 9 months ago
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OMOFALLS ONESHOT - tulip (FR)
Ce oneshot se passe avant les évènements présents de OMOFALLS. Pour un peu de contexte, le pronostic vital de Sunny est engagé après le récital. SPOILERS OMOFALLS + les trigger warnings associés à OMORI, mention de la mort, présence de lame, et en général, les deux p'tits gars vont pas très bien. Peut-être une version anglaise plus tard, qui sait?
Elles tombaient une à une, décapitées dans la froideur de leur amer requiem. De leur corps ruisselle leur sang jaunis, un venin dont l'odeur florale étouffe, dont les épines qui grattent le fond de la gorge. De cette même gorge en asphyxie s'échappait la douce torture d'une mélodie d'un soir de décembre.
Le soir fatidique, où Basil avait tout perdu.
Basil, dont l'allure est habituellement si droite, rappelait maintenant son œuvre, tuait toutes ses fleurs sans remords. Les cisailles tranchaient les tiges comme dans du beurre, chaque fibre méticuleusement condamnée d'un coup net et mécanique. Efficace, sans flancher, sans empathie et sans inutile hystérie. Il décapitait ce glaïeul.
«…Mh…hm..»
Cette mélodie étouffée et fausse, si grinçante qu'elle s'enfonçait dans des plaies ouvertes. Son âme dont les fleurs l'ont privé d'amour. Ces maudites fleurs, toutes coupables aux regards innocents, toutes témoins, pourritures dédaigneuses qui le toisaient.
«…Lalala… La,...la la…»
Basil avait tout perdu; ou plutôt, on lui avait tout pris. Quelle malheureuse fin, quand le regret lui fut si insoutenable que la violence lui semblait être la seule issue. La grisaille dans ses yeux creusait tout ce qu'il restait de lui; un corps dont la peine avait engendré la négligence, jusque cette violence de dernier recours.  Après un énième coup, il balayait ses rares larmes d’une traite. Il ne reviendra pas, peu importe les punitions infligées à ces hypocrites de fleurs.
«…La…lala…la…lala..!»
Il haïssait cette mélodie. Elle est hors de ton, arrogante, pleine de fausse modestie et de cette maligne innocence malgré le meurtre. La mélodie d’une menteuse.
Il jeta un coup franc dans un pot de muguet.
«…La…la…la…»
A la fin, il ne resta d’un seul pot intact.
«…Sunny…»
Une seule tulipe blanche, mourrante au pas de sa fenêtre. Le froid et le manque de le lumière ont dû finir par la scarifier, la faire partir de la manière la plus atroce. Une agonie solitaire qui découvrait la perfection sous l’angle le plus laid.
Basil se demandait pourquoi. La douleur qu’il ressentait l’éteignait un peu plus chaque jour, en même temps que cette pâle imitation de perfection. La tulipe, bulbeuse, simple, modeste, parfaite. “Parfait” était un mot qui lui donnait envie de mourir. “Parfait”sonnait comme une injure. Un mot si plat qu’il en est intouchable. Il se maudissait pour avoir un jour osé appeler Sunny “parfait”. Tout ça, c’était de sa faute. Son parfait petit Sunny était mort par sa faute.
«…»
Comme cette tulipe-là qui suppliait la délivrance. 
Comme Sunny seul dans sa chambre, étranglé par ces sombres murmures aux cordes du violon.
Et Basil, au pas de la porte, qui regardait.
Basil lui avait tout pris. 
La tulipe fanée regardait la guillotine qui l’invitait.
«…»
Abréger ses souffrances – la chavirante fleur ne respirait déjà plus.
«…Je l’ai tué.»
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