#exaspérée
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Quand, cerise sur le gâteau... je demande à une pote de me raccourcir mon side cut et qu'elle me MASSACRE littéralement les cheveux.
Comment dire... retour devant les élèves dans deux jours quoi.
J'en ai marre de mon karma de merde en ce moment là !!
#exaspérée#noooooooon#y'a pas deux mèches de la même longeur#c'est n'imp#JPP#je sais que ça repousse mais merde quoi#on peut faire confiance à personne
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Un couple, plus très jeune, vient de se coucher. L'épouse dit : - Quand nous étions jeunes, tu me tenais la main jusqu'à ce que je m'endorme! Le mari lui prend la main, se retourne et commence à s'endormir. - Tu avais aussi l'habitude de m'embrasser, rajoute la femme. Un peu agacé, il lui donne un petit bisou sur la joue, se retourne et cherche le sommeil. - Même que des fois, tu me mordillais l'oreille, soupire-t-elle! Exaspéré, l'homme repousse le drap et la couverture, et se lève en marmonnant. - Mais où est-ce que tu vas ? demande la femme, inquiète. - Chercher mes dents !
#Un couple#plus très jeune#vient de se coucher. L'épouse dit :#- Quand nous étions jeunes#Le mari lui prend la main#se retourne et commence à s'endormir.#- Tu avais aussi l'habitude de m'embrasser#rajoute la femme.#Un peu agacé#il lui donne un petit bisou sur la joue#se retourne et cherche le sommeil.#- Même que des fois#tu me mordillais l'oreille#soupire-t-elle!#Exaspéré#l'homme repousse le drap et la couverture#et se lève en marmonnant.#- Mais où est-ce que tu vas ? demande la femme#inquiète.#- Chercher mes dents !
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Cœur de mandarine
Fandom : One Piece
Relationship : Luffy x Nami
Voici ma participation pour le Flufftober 2024 pour le prompt : Nourriture réconfortante.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Luffy avait observé Nami toute la journée. C’est étrange, pensa-t-il. Vraiment étrange. Elle n’était pas comme d’habitude. Il la connaissait bien et il pouvait dire que quelque chose n’allait pas.
Disclaimer : One Piece appartient à Eiichiro Oda.
@flufftober
AO3 / FF.NET
Luffy avait observé Nami toute la journée. C’est étrange, pensa-t-il. Vraiment étrange. Elle n’était pas comme d’habitude. Il la connaissait bien et il pouvait dire que quelque chose n’allait pas.
Il savait ce que les gens pensaient de lui. Qu’il n’était pas très intelligent. Mais cela ne le vexait pas. Il connaissait ses points forts et ses faiblesses. Il savait de quoi il était capable où pas. Et s’il voulait vraiment quelque chose, il faisait tout pour l’obtenir.
Mais il y avait une chose que les personnes qui l’entouraient semblaient ne pas avoir remarqué. Quand il le fallait, il savait observer. Surtout lorsqu’il s’agissait des personnes auxquelles il tenait. C’est comme ça qu’il avait vite appris à connaître Nami. Il n’aurait pas su dire pourquoi, ni comment, mais depuis le jour de leur rencontre un lien spécial c’était créé entre eux. Il avait essayé de lui parler toute la journée, mais à chaque fois, elle le rembarrait plus ou moins violemment, ou elle l’insultait.
La soirée était arrivée, ainsi que l’heure du dîner. Luffy était affamé et il était impatient de goûter ce que Sanji avait préparé. Manger lui avait toujours fait du bien et il savait que ça ferait du bien à Nami. Il entra dans la cuisine avec fracas, accompagné de Chopper et Usopp. Il s’installa à table, tandis que Sanji servait les plats. Il regarda les membres de son équipage et fronça les sourcils. Nami n’était pas là. Il se leva brusquement et se dirigea vers la porte.
« Luffy ? Où est-ce que tu vas ? Demanda Sanji.
-Je vais chercher Nami.
-Tu devrais la laisser, dit Zoro. Tu vas encore te faire insulter.
-Je suis sûr que lorsqu’elle aura mangé, elle ira mieux. »
Zoro haussa les épaules.
« C’est toi qui vois, répondit-il en buvant son rhum. »
Luffy partit à la recherche de sa navigatrice. Il passa devant le mandarinier et un immense sourire illumina son visage. Il savait ce qui ferait plaisir à Nami. Il allongea son bras et cueillit une mandarine. Il porta le fruit à son nez et huma son parfum.
Il ne mit pas longtemps à retrouver Nami. Elle était assise sur le pont. Ses bras entouraient ses genoux qui étaient repliés sur sa poitrine. Elle regardait au loin, comme si l’océan l’hypnotisait. Il s’approcha et s’accroupit devant elle.
« Tu n’es pas venue dîner, dit-il. »
Nami soupira, exaspérée.
« Pas maintenant Luffy. »
Mais il ne se découragea pas. Elle n’allait pas bien et il voulait l’aider.
« Je suis sûr qu’après avoir mangé, ça ira mieux. »
Elle leva les yeux au ciel et s’apprêta à l’insulter lorsque Luffy lui tendit la mandarine. Nami écarquilla les yeux. Elle prit la mandarine d’une main tremblante. Luffy s’assit à côté d’elle. Elle avait accepté son geste et semblait s’adoucir. C’est un bon début, pensa-t-il. Nami ferma les yeux et sentit l’odeur de la mandarine. Une larme coula le long de sa joue.
« Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de la mort de Belmer. »
Luffy comprit alors les réactions qu’elle avait eu toute la journée. Même s’il faisait tout pour ne rien montrer, le jour de la mort de Ace était toujours difficile. Il porta sa main à son chapeau, l’enleva et le posa sur la tête de Nami. Elle tourna le regard vers lui, surprise. Elle sourit, éplucha la mandarine et en donna la moitié à Luffy.
« Merci, dit-elle. »
Elle ne le remerciait pas seulement pour le fruit, mais pour s’inquiéter pour elle et rester près d’elle. Il prit la moitié de mandarine et sourit jusqu’aux oreilles. Il savait que la nourriture lui ferait du bien.
Fin
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 4 : Le procès d'Alice
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Le matin était arrivé, baignant le paysage d'une lumière douce et dorée. Les rayons du soleil filtraient à travers les feuilles des arbres, créant des ombres dansantes sur le sol. Ivana, le regard perdu dans le lointain, s'éloignait lentement, ses pas feutrés sur le sol recouvert de rosée. Chaque pas semblait être une tentative de fuir non seulement Agatha, mais aussi les émotions tumultueuses qui bouillonnaient en elle.
Elle ne voulait pas rester à ses côtés, la colère l'envahissant comme une marée montante. Elle pouvait sentir son cœur battre plus vite, une pulsation irrégulière, comme si son corps savait que la confrontation était inévitable.
Le vent frais du matin jouait avec ses cheveux, les ébouriffant autour de son visage, mais elle ne se souciait guère de son apparence. Elle avait besoin d'espace, de solitude pour réfléchir, pour apaiser cette tempête intérieure. Chaque souffle semblait lourd, chargé de tension, et elle se sentait à la fois coupable et déterminée. La distance entre elle et Agatha grandissait, mais la colère persistait, comme une ombre insidieuse prête à surgir à tout moment.
Agatha détestait profondément le fait qu'Ivana s'éloigne d'elle. Chaque pas qu'Ivana prenait pour s'éloigner était comme un coup de poignard dans le cœur d'Agatha. Elle ressentait un mélange de frustration et de tristesse, son visage se crispant alors qu'elle observait Ivana s'éloigner.
Elle avait essayé de l'appeler, de briser le silence qui s'était installé entre elles, mais Ivana était restée froide, ses mots se heurtant à un mur invisible. Agatha pouvait voir la détermination dans le dos d'Ivana, une silhouette qui semblait se détacher. Cette indifférence affectait Agatha bien plus qu'elle ne voulait l'admettre. Son cœur se serrait à chaque instant, et elle pouvait sentir une boule d'angoisse se former dans sa gorge.
Ne pouvant plus supporter cette distance, Agatha prit une profonde inspiration, déterminée à agir. Elle se leva, son esprit en proie à un tourbillon d’émotions. Chaque pas vers Ivana était chargé de l'espoir de réparer ce qui avait été brisé. Agatha se fraya un chemin à travers l'herbe encore humide du matin, ses pensées s'accélérant. Elle savait qu'elle devait faire face à la situation, qu'elle ne pouvait pas laisser la colère et le silence définir leur relation.
Lorsqu'elle atteignit Ivana, elle sentit son cœur battre la chamade, une combinaison d'appréhension et de détermination. Agatha s'arrêta à quelques pas d'elle, cherchant les mots justes, prête à tout pour renouer le lien fragile qui les unissait.
Agatha, le cœur battant, s'approcha d'Ivana avec détermination. Elle attrapa doucement son bras, la dirigeant vers un coin tranquille, à l'écart des regards curieux. Les feuilles des arbres bruissaient doucement au gré du vent, créant une atmosphère presque intime.
Une fois à l'abri des autres, Agatha se tourna vers Ivana, plongeant son regard dans le sien. Elle pouvait voir la confusion dans les yeux d'Ivana, une lueur d'inquiétude mêlée à une pointe de défi.
« Qu'est-ce qui te prend ? » demanda Ivana, les sourcils froncés, sa voix trahissant une légère irritation.
Agatha ne put s'empêcher de lâcher un rire léger, presque nerveux. « C'est plutôt à toi de répondre à cette question, tu ne trouves pas ? » dit-elle, sa voix teintée d'une mélancolie douce. « Tu es si froide qu'on dirai la reine de glace»
Ivana, le regard défiant, croisa les bras devant elle, comme pour se protéger des mots d'Agatha. « Qu'est-ce que ça peut bien te faire ? » demanda-t-elle avec une voix teintée de mépris, sa posture raide.
Agatha, un mélange de frustration et de tristesse dans les yeux, répondit calmement. « Je te rappelle que c'est toi qui es venue me voir pour avoir de l'aide, Ivana. » Sa voix était ferme, mais elle essayait de garder une douceur, espérant apaiser la tension.
Ivana lâcha un soupir, presque exaspérée. « Oui, j'avais besoin de ton aide, mais ça ne veut pas dire que je dois être proche de toi. » Elle détourna le regard, comme si elle ne voulait pas admettre la vérité de ses propres sentiments.
« Et puis, je sais que tu vas finir par me trahir, » ajouta-t-elle, les mots sortant avec une amertume palpable.
Agatha, blessée par cette accusation, sentit son cœur se serrer. « Pardon ? Alors la c'est injuste. »
Ivana, toujours sur la défensive, ne répondit pas tout de suite. Elle semblait perdue dans ses pensées, mais Agatha pouvait voir la lutte intérieure dans ses yeux. C’était un moment chargé, où la confiance et la trahison se mêlaient dans un équilibre précaire.
Ivana éclata d'un rire amer, un son qui résonna dans l'air comme une note discordante. Elle s'avança d'un pas, son regard perçant fixé sur Agatha.
« C'est toi qui parles d'injustice ? » lança-t-elle, sa voix pleine de défi. « Tu m'as abandonnée, tout comme ma mère l'a fait. Et tu oses dire que c'est moi qui suis injuste ? »
Ses mots étaient chargés de colère, mais derrière cette colère se cachait une profonde tristesse. Ses yeux brillaient, trahissant une douleur qu'elle ne pouvait plus contenir. Agatha, face à cette explosion d'émotions, sentit son cœur se serrer.
Agatha observait Ivana, son cœur lourd de peine. Elle pouvait voir la colère sur son visage, mais c'était la tristesse dans ses yeux qui la touchait le plus. Chaque mot qu'Ivana avait prononcé résonnait dans son esprit comme un écho douloureux.
« Ivana, je… » commença-t-elle, mais elle hésita, ne sachant pas comment exprimer ce qu'elle ressentait.
Elle s'approcha lentement, cherchant à établir un contact, mais Ivana se détourna, son regard perdu dans le vide.
« Tu ne comprends pas, Agatha, » murmura Ivana, sa voix tremblante. « Ma mère m'a laissais, elle a choisi de sauvé le monde au lieux de sauvé sa famille et la seule personne vers qui j'aurai pus me retourné m'a laissais tomber. Et ne me parle pas du sors, tu as toujours été Agnes. Tu aurai pus resté à mes cotés au lieu de jouer les détectives. » Elle prit une inspiration et continua «Je ne sais même pas pourquoi je t'en parle. Ce qui est fait et fait.»
Agatha plongea son regard dans celui d'Ivana, et un frisson d'inquiétude parcourut son corps. Leurs yeux se rencontrèrent, et Agatha sentit son cœur se serrer à la vue de la détresse d'Ivana. C'était comme si chaque émotion de la jeune femme se reflétait dans ses prunelles, et cette vulnérabilité la touchait profondément.
Elle s'avança doucement, chaque pas semblant peser lourdement sur son âme. Les battements de son cœur résonnaient dans ses oreilles tandis qu'elle tendait la main, hésitante, pour replacer une mèche de cheveux qui tombait sur le visage d'Ivana. Ses doigts frôlèrent la peau douce et fragile de son visage, et Agatha ressentit une chaleur inexplicable à ce contact.
À cet instant, elle se rendit compte qu'elle appréciait cette proximité, cette intimité qui les unissait dans un moment si délicat. Mais une voix intérieure lui murmura qu'elle ne devrait pas ressentir cela. La douleur d'Ivana était palpable, et la tendresse qu'Agatha éprouvait se mêlait à un sentiment de culpabilité. Elle savait que ce moment était à la fois précieux et tragique, un équilibre fragile entre le désir de réconforter et la peur de franchir une ligne qu'il ne fallait pas traverser.
Agatha, le cœur lourd, se décida finalement à s'éloigner. Elle prit une profonde inspiration, essayant de masquer la tempête d'émotions qui l'envahissait. D'un ton sec, elle déclara :
« Tu viens de le dire, ce qui est fait est fait. » Ses mots résonnèrent dans l'air, tranchants comme une lame, et elle pouvait presque sentir le choc sur le visage d'Ivana.
Elle recula, laissant un espace entre elles, un espace qui semblait à la fois nécessaire et douloureux. Ses yeux ne quittaient pas Ivana, observant la manière dont la jeune femme absorbait ses paroles. Agatha savait que sa méchanceté était un bouclier, une façon de se protéger de ses véritables sentiments, mais cela lui coûtait cher.
« Allez, on a du chemin à faire, » poursuivit-elle, sa voix plus douce mais toujours empreinte d'une certaine froideur.
Elle se détourna légèrement, comme si l'acte de se retourner pouvait l'aider à échapper à la vulnérabilité de ce moment.Ivana, visiblement blessée, ne savait pas quoi répondre. Elle regarda Agatha s'éloigner, ressentant un mélange de tristesse et de confusion. Les mots d'Agatha, bien que durs, étaient une tentative maladroite de masquer ce qu'elles ressentaient toutes les deux.Agatha se força à avancer, mais chaque pas lui rappelait à quel point elle avait peur de ce qu'elle ressentait vraiment.
☆○o。 。o○☆
Le coven avançait lentement sur la route, les silhouettes des membres se découpant dans la lumière pâle du crépuscule. Les arbres, sombres et menaçants, semblaient murmurer des secrets à mesure qu'ils s'approchaient d'une vieille maison isolée, dont la façade était recouverte de lierre. Les fenêtres, obscures et poussiéreuses, donnaient l'impression que la maison était abandonnée depuis des décennies.
En s'approchant de la porte d'entrée, un frisson parcourut le groupe. Accrochée à la porte, une lune rouge brillait d'une lueur sinistre, illuminant les visages inquiets des membres du coven. Agatha, le cœur battant, comprit immédiatement que c'était l'épreuve d'Alice. Elle se tourna vers la jeune femme, cherchant du soutien dans ses yeux.
Alice, les mains tremblantes, observa la maison avec une expression de terreur. Ses yeux s'écarquillèrent en voyant la lune rouge, symbole de ce qui l'attendait à l'intérieur. Elle se tourna alors vers les autres, son visage marqué par la détermination mais aussi par la peur.
« Non, hors de question ! » s'exclama-t-elle, sa voix résonnant dans l'air frais du soir.
Les membres du coven échangèrent des regards inquiets, certains murmurant des mots d'encouragement. Jen s'approcha d'Alice, posant une main réconfortante sur son épaule.
« Alice, nous sommes tous avec toi. Tu n'es pas seule dans cette épreuve, » dit-elle doucement, essayant de lui insuffler un peu de courage.
Alice secoua la tête, ses yeux pleins d'émotion. « Je ne peux pas faire ça ! »
Le silence s'installa un moment, chacun ressentant la tension palpable. La lune rouge continuait de briller, comme un phare menaçant, attendant la décision d'Alice.
Alice se tenait là, figée, le regard perdu dans le vide. La douleur de la perte de sa mère, consumée par un feu criminel, lui pesait sur le cœur comme une lourde pierre. Chaque souvenir de sa mère, chaque éclat de rire, chaque moment de tendresse, se mêlait à une angoisse sourde qui l’envahissait.
Alice savait que cette épreuve, symbolisée par la lune rouge sur la porte de la maison, l'obligerait à affronter cette réalité qu'elle avait tant tenté de fuir. Elle ferma les yeux un instant, espérant que, dans l'obscurité, elle pourrait échapper à cette vérité. Mais la réalité était là, implacable, et elle ne pouvait pas l'ignorer.
« Pourquoi maintenant ? » murmura-t-elle, sa voix tremblante trahissant son désespoir. Elle se sentait comme une enfant perdue, confrontée à un monstre qu'elle n'était pas prête à affronter.
Les souvenirs de sa mère, douce et aimante, l'assaillaient. Elle se revoyait, petite, blottissant son visage contre son épaule, écoutant les histoires réconfortantes qui la faisaient rire. Mais maintenant, ces souvenirs étaient teintés de douleur, et chaque pensée la ramenait à cette nuit fatidique.
Alice savait qu'elle devait faire face à ses peurs, mais l'idée de revivre cette douleur lui était insupportable. Elle se tenait là, le cœur battant, confrontée à l'ombre de son passé, prête à plier sous le poids de ses émotions.
Lucillia s'approcha doucement d'Alice, ses pas légers sur le sol comme si elle craignait de briser le fragile silence qui les entourait. Lilia, un peu en retrait, observait la scène avec un regard perplexe, ses sourcils froncés.
Lucillia, avec une tendresse palpable, posa une main douce sur l'épaule d'Alice. Ce geste, bien que simple, était chargé de réconfort. Alice tourna lentement la tête, ses yeux embués de larmes rencontrant le regard chaleureux de Lucillia.
« Alice, » commença Lucillia d'une voix apaisante, « je sais que c'est difficile. Mais tu n'es pas seule dans cette épreuve. Nous allons toutes surmonter ça ensemble. »Lucillia serra doucement l'épaule d'Alice, son regard plein de compassion. « Chaque jour, nous ferons un pas. Parfois, ce sera un petit pas, et d'autres fois, ce sera un grand. Mais nous serons là, main dans la main. »
Jen, toujours en retrait, s'avança enfin, ses bras croisés, mais son visage s’adoucit. « Tu sais, Alice, il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de ressentir. Prends le temps qu'il te faut. Nous serons là pour t'écouter. »
Alice sentit un léger réconfort à ces paroles, mais l'angoisse demeurait. « Et si je ne suis jamais prête à affronter ça ? »
Lucillia secoua la tête, un sourire encourageant sur les lèvres. « Tu es plus forte que tu ne le penses. Et même si cela prend du temps, sache que nous serons toujours à tes côtés. »
Une fois rentrée dans la maison, le coven découvrit avec stupéfaction que c'était la réplique parfaite de la maison d'enfance d'Alice. Les murs étaient peints dans des teintes pastel, et chaque détail, du mobilier aux rideaux, semblait avoir été soigneusement reproduit. Les sorcières, ébahies, parcouraient les pièces, leurs regards scrutant chaque recoin à la recherche d'indices.
«Je crois que c'est ma maison d'enfance » s'exclama Alice
Les autres sorcières s'approchèrent, intriguées. « C'est troublant, » murmura Ivana en frissonnant légèrement. « Pourquoi cette maison ? Que signifie tout cela ? »
Agatha, qui observait la scène avec un air désinvolte, finit par croiser les bras et soupirer. « Franchement, c'est une perte de temps, » déclara-t-elle d'une voix acerbe. « On tourne en rond ici. Rien ne se passe. »
Lorsque Agatha eut à peine fini sa phrase, un cri perça l'air, un cri aigu et désespéré qui fit sursauter tout le monde. Alice, les yeux écarquillés, se débattait contre un nuage scintillant qui l'engloutissait. Ce nuage, d'un bleu luminescent, tourbillonnait autour d'elle, émettant des éclats de lumière qui dansaient sur les murs de la maison.
« Alice ! » s'écria Jen en avançant d'un pas hésitant, son cœur battant la chamade. « Que se passe-t-il ? »
Alice, la voix tremblante, parvint à articuler avant d'être aspirée : « Je... je ne sais pas ! Il m'aspire ! »
Ivana, observant la scène avec une lueur d'inquiétude dans les yeux, tourna son regard vers Agatha. « Tu portes vraiment l'œil, toi, Agatha, » lança-t-elle, la voix teintée d'ironie, mais avec une pointe de peur.
Agatha, les bras croisés, haussant les épaules, répondit d'un ton désinvolte : « Eh, j'y suis pour rien. Je ne contrôle pas ce qui arrive. »
Mais son regard trahissait une nervosité croissante. Les autres sorcières, bien que préoccupées par le sort d'Alice, ne purent s'empêcher de remarquer la tension dans la voix d'Agatha.
« On doit faire quelque chose ! » s'exclama Jen, en se tournant vers Ivana. « Si ce nuage est une sorte de magie, peut-être que nous pouvons l'inverser ! »
Ivana hocha la tête, déterminée. « D'accord, mais comment ? »
Lucillia, le cœur battant, leva les yeux et aperçut un livre posé sur une étagère, un livre qu'elle n'avait jamais remarqué auparavant. La couverture était ornée de motifs en relief, scintillant légèrement à la lumière tamisée de la pièce. Intriguée, elle s'approcha, ses doigts effleurant la surface du cuir usé.
« Qu'est-ce que c'est ? » murmura-t-elle pour elle-même, avant de le prendre délicatement dans ses mains.
Elle l'ouvrit avec précaution, et à sa grande surprise, les pages semblaient vibrer d'une énergie mystérieuse. Les mots s'inscrivaient sous ses yeux, décrivant la scène qui venait de se dérouler, comme si le livre était le témoin silencieux de leur histoire.
« Regardez ça ! » s'exclama Lucillia, ses yeux pétillants d'excitation. Elle se tourna vers le groupe, brandissant le livre avec enthousiasme. « Ça raconte ce qui vient de se passer ! »
Lilia, attirée par l'enthousiasme de Lucillia, s'approcha rapidement, posant une main réconfortante sur son dos. «Fait voir » dit-elle, la voix douce mais pleine d'émerveillement.
Lucillia, sentant le soutien de Lilia, se mit à sourire « Regardez, » continua-t-elle en feuilletant les pages.
Les autres sorcières, rassemblées autour d'elles, se penchèrent pour mieux voir. Chacune d'elles était fascinée par ce livre mystérieux qui semblait les relier à leur destin.
« C'est comme une chronique de se que Alice est entrain de vivre. » murmura Lilia, son regard fixé sur les mots qui dansaient sous ses yeux.
Pendant ce temps, Alice, à l'intérieur de ce cercle, était plongée dans un monde à la fois doux et douloureux. Les images de son enfance défilaient devant elle, comme un film nostalgique. Elle revivait des moments précieux avec sa mère, les rires résonnant dans son esprit comme une mélodie familière. Elle se voyait courir dans un champ de fleurs sauvages, les rayons du soleil caressant son visage, alors que sa mère l'appelait avec tendresse.
Les souvenirs étaient si vivants qu'Alice pouvait presque sentir la douceur de la main de sa mère sur son épaule, entendre sa voix douce lui parler, lui raconter des histoires. Chaque image était une vague d'émotion, la joie et la tristesse se mêlant en un tourbillon d'affects. Mais, malgré la beauté de ces souvenirs, il y avait une ombre, une prise de conscience que tout cela n'était qu'un rêve, un piège destiné à l'empêcher de s'échapper.
Chaque seconde qui passait semblait s'étirer, le sort d'Alice suspendu entre le passé et le présent, tandis qu'à l'intérieur, elle continuait de revivre ces doux souvenirs, piégée dans un bonheur illusoire qui l'empêchait de voir la réalité.
Alors qu'Alice était immergée dans ses souvenirs, une vision sombre et terrifiante surgit soudainement. Elle se retrouva face à une scène cauchemardesque : sa mère, entourée de flammes dévorantes, hurlait de douleur. Le feu dansait autour d'elle, embrasant ses vêtements et illuminant son visage d'une lueur sinistre. Alice, horrifiée, se mit à crier, son cœur se brisant à la vue de cette image insupportable. Elle ne voulait pas voir cela, elle ne pouvait pas.
Mais au fond de son esprit, une voix mystérieuse s'éleva, douce mais insistante. « Regarde, Alice. Comprends que ce n'est pas de ta faute. » Cette voix résonnait comme un écho, l'invitant à affronter la réalité de ce qu'elle voyait. Tremblante, Alice détourna le regard un instant, mais la voix persistait, lui disant de ne pas fuir.
Finalement, rassemblant son courage, elle fixa à nouveau sa mère. Les flammes dansaient toujours, mais quelque chose changea dans l'air. Les yeux de sa mère, bien que remplis de souffrance, étaient pleins d'amour et de compréhension. « Alice, ce n'est pas de ta faute, » lui dit-elle, sa voix à la fois réconfortante et désespérée. « Ne te blâme pas pour ce qui est arrivé. »
À chaque répétition de ces mots, Alice sentit une chaleur douce envahir son cœur, remplaçant peu à peu la douleur par une lueur d'espoir. Les larmes coulaient sur ses joues, mêlées à la chaleur des flammes, mais elles portaient aussi un sentiment de libération. Elle commença à croire sa mère, à comprendre que la culpabilité qu'elle portait n'était pas la sienne. La voix de sa mère, répétant encore et encore que ce n'était pas sa faute, devenait une mélodie apaisante, un mantra qui lui permettait de se libérer du poids de la honte.
Alors que les flammes continuaient de lécher l'air, Alice réalisa qu'elle pouvait choisir de laisser cette douleur derrière elle. La vision de sa mère, bien que tragique, se transforma en un symbole de pardon et d'amour inconditionnel. Dans ce moment de révélation, Alice se sentit plus forte, prête à affronter la réalité et à se libérer de son passé et c'est à ce moment précis quelle se retrouva alors dans la même Piece que les autres membres du coven elle venait de réussir l'épreuve.
☆○o。 。o○☆
Le groupe poursuivait sa route, les membres avançant avec précaution, leurs pas feutrés sur le chemin de terre. Les bruits de la nature les entouraient : le chant des oiseaux, le murmure d'un ruisseau à proximité, et le bruissement des feuilles dans le vent. Le soleil, filtrant à travers les branches, créait des jeux de lumière dansants sur le sol, ajoutant une touche de magie à l'atmosphère déjà chargée d'énigmes.
L'homme mystérieux, dissimulé dans l'ombre d'un vieux chêne, observait avec une attention soutenue. Ses yeux, d'un noir profond, brillaient d'une lueur calculatrice. Dans sa main, le miroir magique pulsait d'une lumière argentée, révélant non seulement son reflet, mais aussi les secrets que le groupe tentait de cacher. Puis, le miroir capta un éclat particulier : le collier que Lucillia portait. Ce bijou, orné de pierres précieuses scintillantes, était un chef-d'œuvre d'artisanat, chaque gemme capturant la lumière d'une manière envoûtante. Lucillia, insouciante, jouait avec une mèche de cheveux, ignorant l'importance de ce qu'elle portait. Mais pour l'homme, ce collier était bien plus qu'un simple accessoire ; il était le symbole d'un pouvoir ancien, un artefact qu'il avait perdu et qu'il était déterminé à récupérer.
À la vue du collier, une rage sourde monta en lui. Ses sourcils se froncèrent, et un rictus de détermination se dessina sur ses lèvres. « Ce collier est à moi », murmura-t-il d'une voix basse et menaçante, chaque mot chargé de menace
☆○o。 。o○☆
Le crépuscule s'était installé, enveloppant la clairière d'une douce lumière orangée. Le feu crépitait doucement, projetant des ombres dansantes sur les troncs des arbres environnants. La chaleur du feu contrastait avec la fraîcheur de la nuit qui s'installait lentement, et l'air était chargé d'une odeur boisée et légèrement sucrée, émanant des branches qui brûlaient lentement.
Autour du feu, le groupe de sorcières était disposé en un cercle presque sacré. Jen, Alice et Lilia dormaient paisiblement, leurs visages détendus et sereins. Jen avait une expression de tranquillité. Alice, était enroulée dans une couverture, un léger sourire flottant sur ses lèvres, comme si elle rêvait d'un monde enchanté. Lilia, avait trouvé un coin confortable, sa tête reposant sur un coussin fait de feuilles et de mousse, son souffle régulier et apaisant.
Cependant, Lucillia, à quelques pas du feu, ne partageait pas ce calme. Son sommeil était agité, son corps se tordant sous les draps de fortune qu'elle avait rassemblés. Ses sourcils se froncèrent à plusieurs reprises, et un léger murmure s'échappa de ses lèvres, comme si elle luttait contre des visions troublantes. Ses yeux, parfois ouverts, scrutaient l'obscurité, cherchant à percer le mystère qui l'entourait.
Le feu, dansant et crépitant, semblait réagir à l'état de Lucillia, projetant des éclats de lumière qui illuminaient son visage inquiet. Les ombres des arbres se mouvaient, créant des formes étranges qui s'étiraient et se recroquevillaient, comme si elles prenaient vie. Un léger vent faisait frémir les feuilles, ajoutant une mélodie douce et mystérieuse à la nuit, mais pour Lucillia, cette musique était un appel lointain, une promesse de secrets à découvrir.
Lilia se réveilla lentement elle se redressa, frottant ses yeux encore embrumés de sommeil, et observa autour d'elle. Le feu crépitait doucement, projetant des ombres dansantes sur le sol, mais c'était le murmure inquiet de Lucillia qui attira son attention.
Lucillia était là, à quelques pas, son visage marqué par l'angoisse. Elle se débattait dans son sommeil, ses lèvres bougeant rapidement alors qu'elle marmonnait des supplications à voix basse. "Laissez-moi tranquille... s'il vous plaît..." répétait-elle, sa voix tremblante trahissant la profondeur de ses cauchemars. Ses traits, d'habitude si sereins, étaient maintenant tordus par l'inquiétude, et une fine couche de sueur brillait sur son front.
Lilia, le cœur lourd à la vue de la jeune femme en détresse, se leva doucement. Elle s'approcha de Lucillia, veillant à ne pas faire de bruit, comme si chaque pas pouvait briser le fragile fil de la nuit. Ses pieds nus effleuraient le sol frais, et elle pouvait sentir l'odeur terreuse de la forêt qui l'entourait.
En s'approchant, Lilia observa les détails du visage de Lucillia : ses longs cils qui frémissaient, son souffle irrégulier, et la façon dont ses mains se crispaient. Elle se pencha légèrement, cherchant à apaiser sa protégé. "Lucillia, c'est moi, Lilia," murmura-t-elle doucement, sa voix teintée de compassion. Elle tendit une main réconfortante vers le visage de Lucillia, espérant que ce simple geste suffirait à la ramener à la réalité.
Lilia ressentait une profonde connexion avec Lucillia, une envie de la protéger de ses démons intérieurs.
Lucillia était toujours prisonnière de son cauchemar, ses traits marqués par la peur et l'angoisse. Sa respiration devenait de plus en plus rapide, chaque inspiration semblant plus difficile que la précédente. Lilia, observant la détresse de Lucillia , sentit son cœur se serrer. Elle savait qu'elle devait agir pour aider Lucillia à retrouver la paix.
Avec douceur, Lilia s'allongea à côté de Lucillia, veillant à ne pas la brusquer. Elle glissa un bras autour de son épaule, la prenant délicatement dans ses bras, comme pour lui offrir un cocon de chaleur et de sécurité. La chaleur de son corps contrastait avec le froid de la nuit, et Lilia espérait que ce contact pourrait apaiser les tourments de Lucillia.
Une de ses mains se posa doucement sur le dos de Lucillia, exerçant une pression rassurante, tandis que l'autre main s'égara dans ses cheveux soyeux. Lilia commença à caresser les mèches délicates avec tendresse, ses doigts glissant lentement à travers les boucles, comme si elle tissait un fil de calme autour de sa protégé. Elle murmura des mots doux, des promesses de sécurité et de réconfort, espérant que sa voix douce parviendrait à percer le voile de l'angoisse qui enveloppait Lucillia.
Les cheveux de Lucillia, parfumés d'une légère senteur florale, glissaient entre les doigts de Lilia, et elle se concentra sur chaque mouvement, chaque geste, pour créer une atmosphère apaisante. Elle pouvait sentir la tension dans le corps de Lucillia, mais peu à peu, avec chaque caresse, elle sentait également un léger relâchement, comme si les cauchemars commençaient à s'évanouir sous l'effet de sa présence réconfortante.
Lucillia, dans un moment de douceur inattendue, trouva enfin un apaisement immédiat. Alors qu'elle était toujours plongée dans son sommeil troublé, un instinct profond la poussa à se rapprocher de Lilia, la sorcière âgée qui veillait sur elle. Dans un geste instinctif, elle plaça son nez délicatement dans le cou de Lilia, cherchant la chaleur et le réconfort que seule sa présence pouvait offrir.
Le parfum de Lilia, un mélange d'herbes et de fleurs, enveloppa Lucillia comme une couverture apaisante. Elle pouvait sentir la douceur de la peau de la sorcière contre son visage, et cela lui apportait une sensation de sécurité inégalée. Chaque respiration qu'elle prenait était une bouffée de tranquillité, éloignant les ombres de son cauchemar.
Dans ce geste tendre, Lucillia se laissa aller complètement, ses tensions se dissolvant lentement. Elle pouvait sentir le rythme régulier du cœur de Lilia, un battement rassurant qui lui donnait l'impression d'être ancrée dans un monde où rien ne pouvait lui faire de mal. Ce contact intime lui procurait une chaleur réconfortante, et elle se sentit protégée, comme si tous ses soucis s'évanouissaient dans la nuit.
Les bras de Lilia, bienveillants et forts, l’enveloppaient, créant un cocon de paix autour d'elle. Lucillia se laissa aller à cette sensation de bien-être, oubliant les angoisses de son esprit. Dans ce moment suspendu, elle trouva une sérénité qu'elle n'avait pas connue depuis longtemps, bercée par la présence rassurante de la sorcière.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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[Nuit de l'Écriture] 21/09/2024
Apparemment, ce coup-ci, ce fut une spéciale Dead Boy Detectives et plus particulièrement Charles Rowland. AO3 ou ⬇️ (Very Short Stories, you can use Google Translation if French is not your language)
NUIT DE L’ÉCRITURE 21/09/2024
01- Ce n’est pas humain – Dead Boy Detectives – 246 mots
« Ce n’est pas humain ! » se plaint Charles, exténué. Edwin le regarda, exaspéré
« Évidemment, c’est un Chien de Garde des Cimetières, Charles. »
« Oï ! Tu sais ce que je voulais dire ! Et ce n’est pas un Chien de Garde des Cimetières. C’est un Chiot de Garde. » Charles regarda le chiot au pelage noir qui était assis à ses pieds. « Qui c’est le gentil toutou ? Qui c’est ? »
« Tu sais qu’on ne peut pas le garder ? » Charles prit le chiot dans ses bras et colla son visage à celui du canidé.
« Mais regarde comme il est mignon… » Edwin était à deux doigts de craquer mais il ne pouvait pas.
« Un compromis alors. Nous viendrons le voir tous les jours si notre emploi du temps le permet et tu pourras jouer avec lui. »
« Génial ! Tu entends ça Max ! On va venir te voir tous les jours ! Mission accomplie ! Qui sait, peut-être Edwin trouvera un compagnon à son goût parmi tes amis, hein ? »
« Ses… amis ? » Edwin se retourna vers la direction que Charles pointait avec sa tête. Des dizaines, des CENTAINES de chiots et chiens en tout genre se tenaient là. « Gentils chiens ? » bafouilla t-il.
Et là, se fut la débâcle. Edwin fut littéralement assaillit par une armée de chiens cherchant les câlins et Charles ne fit que s’esclaffer.
02- Ta réalité n’est pas la mienne – Dead Boy Detectives – 167 mots
Kashi était un modèle de patience et il trouvait la plupart des gens qu’il avait rencontré amusants. Mais cette femme au caractère bien trempé le faisait rire intérieurement.
« Pourquoi tant de rage ? Rien de bien ne vous arrivera dans cet état. »
« Je dois sortir de ce fichu poisson et retourner trouver ces petits morveux pour qu’ils puissent aller où ils sont censés être. »
« Est-ce que ça troublerait à ce point l’Univers s’ils restaient où ils sont ? »
« Chaque chose à une place dans l’Univers, chaque personne une place dans l’au-delà. C’est la réalité des choses. »
« Ta réalité n’est pas la mienne. L’Univers ne va pas succomber et disparaître parce que deux âmes ont décidé de rester sur Terre. » La Veilleuse de Nuit de l’Au-Delà ne répondit pas. Chaque chose avait une place, chaque âme avait un au-delà, c’était le mantra qu’elle se répétait depuis son décès. Si elle n’avait même plus ça, que lui restait-il?
03- Rencontre avec une divinité – Dead Boy Detectives – 193 mots
Crystal était surprise. Devant elle se tenait Lilith. Après Port Townsend, elle s’était renseigné autant qu’elle put sur elle. Lilith, la première épouse d’Adam, soit-disant une tueuse d’enfants selon les religions traditionnelles. Une déesse de l’indépendance, LA déesse selon la Wicca Moderne.
« En quoi puis-je vous aider ? » demanda la voyante en laissant entrer la divinité.
« Ton plaidoyer, à Port Townsend, a été assez révélateur pour moi. Les temps ont changé. J’ai décidé d’être plus pro-active. Mais j’aimerais quelqu’un qui puisse m’aider dans ma quête. Quelqu’un qui comprenne ce qu’est être une femme à cette époque. » Crystal fit de gros yeux.
« Vous voulez dire, moi ? Vous êtes sûre ? » Lilith sourit.
« Oui. Et en échange, je m’occuperais de ce petit démon dans ton esprit. »
« Vous pouvez l’enlever ? Et il ne fera plus de mal à personne ? » Lilith émit un petit rire.
« N’as-tu pas entendu ? Je suis la mère des Démons et j’en laisse 100 mourir chaque jour. Quelle terrible mère je suis. » Crystal se demandait si elle allait regretter cet accord. L’avenir lui ferait voir que non.
04- Le cycle de l’abus – Dead Boy Detectives – 289 mots
Charles Rowland n’avait pas toujours été le «muscle de service». En fait, en voyant les photos de ces jeunes années, Charles était un adorable bambin toujours souriant, gentil comme pas deux et absolument contre toute forme de violence.
Puis, vers l’année de ces 8 ans, tout changea. Son père avait perdu son emploi dans l’industrie et il fut très difficile pour lui de retrouver un emploi dans ce secteur. Sa mère avait eu plus de chance, travaillant dans une cantine scolaire. Son père avait donc commencé un cycle infernal d’abus, d’abord verbal puis physique.
Charles avait donc dû apprendre à encaisser les coups, puis à en donner. Il aurait pu devenir abusif, comme son père mais Charles ne voulait pas être comme lui. Alors, ses poings, c’était contre d’autres brutes. Jamais contre des innocents. Cela lui a valu de mourir à 16 ans, mais cela en valait la peine.
Cela en valait la peine quand il vit sa mère finalement dire à son père ses 4 vérités. Ils resteraient mariés mais l’amour était mort en même temps que leur fils. Cela en valait la peine quand il rencontra, 10 ans après, le jeune pakistanais avec sa fille, son premier enfant, qu’il avait nommé Charlotte. Le jeune homme était un professeur et avait fondé une association qui venait en aide aux enfants victimes d’abus, que ce soit à la maison ou à l’école.
Edwin ne comprit pas la raison pour laquelle Charles l’enlaça pendant 5 bonnes minutes après être revenu de sa sortie mais il n’allait pas s’en plaindre. Il n’apprendrait la vérité que bien plus tard. Le cycle de l’abus était vicieux mais il pouvait être rompu. Un jour, peut-être, l’abus ne serait que de l’histoire ancienne.
05- Partir ou rester - Dead Boy Detectives - 262 mots
Partir avec la Mort ou rester avec le garçon qui lui avait permis de vivre ses dernières heures le plus gentiment possible ? Pour Charles, la question ne se posait même pas. Edwin était un garçon socialement maladroit qui avait probablement dû se débrouiller seul la majeur partie du temps tout en essayant de se conformer à une façon d’être qui n’était pas la sienne. Bref, Edwin avait besoin de Charles. Et en plus, il n’était pas vraiment pressé d’aller dans l’au-delà. Il n’était pas vraiment croyant (quelque soit la religion) donc les promesses de paradis éternel et tout ça, il n’en avait rien à faire.
« Donc, c’est ici que tu vis ? » demanda Charles.
« C’est exact. J’étudie tout ce qui à trait à l’occulte. J’espère ouvrir une agence de détectives. »
« Une agence de détectives ? »
« Oui, pour aider les âmes qui restent coincés à cause d’affaires non finies. Où les cas comme le mien. » Edwin lui avait parler de son cas. Raison de plus pour rester avec lui.
« C’est cool. Je serai les muscles, tu seras le cerveau. Hey ! Ce sac a l’air cool ! »
« Techniquement, c’est un sac magique sans fond mais je n’arrive pas à le faire fonctionner correctement. Il est à toi si tu y arrives. »
« C’est cool ! Merci, je vais m’y mettre de suite. » Et effectivement, il lui fallut peu de temps pour s’approprier le sac. Même après 35 ans ensemble, Charles savait qu’il avait pris la meilleure décision en restant.
#KittyNanny Original Post#KittyNanny Original Work#Fanfiction#French Language#Dead Boy Detectives#Edwin Payne#Charles Rowland#Crystal Palace#Lilith#Kashi#The Night Nurse#The Infamous Puppy Debacle Of '94
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Lola se fait (difficilement) à la nouvelle copine de Mario
Lola : "Tu vois, c'est pour ça que j'étais pas fan à l'idée que vous vous engagiez. Comment vous allez faire après le bac ? Vous aimez les relations longue distance ?"
Sally : "Euh, moi j'aime bien la fac de Bridgeport."
Mario : "Moi aussi"
Lola *exaspérée* : "Qu'est-ce qui faut pas entendre..."
Plus tard dans la soirée...
Sally : "On peut continuer à faire rouspéter ta mère? C'est ma nouvelle passion ! "
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"On peut parvenir au bonheur par la voie de la rigueur. De la rigueur, s’entend, librement consentie, dans cette profonde manière d’être libre qui consiste à renoncer à une part de liberté. Plus de pastorales romanesques, mais une austère fatigue en face du champ de vérité : résolution forte et ferme de s’imposer une discipline et de redoubler d’efforts, d’embrasser exaspérément une dramatique ardeur de salut. Ainsi, on nous donnera le bonheur comme un prix et non comme un cadeau."
José Antonio Primo de Rivera, « Inocencia y penitencia » dans Falange espanôla, n° 3 (18 janvier 1938)
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On Y Va Ensemble - Stiles Stilinski
Drabble Masterlist
Résumé : Avec Stiles, vous faites une soirée films d'horreur, mais vous le regrettez plus tard quand vous entendez un bruit bizarre.
Warnings : mention de films d'horreur, sentiment de peur, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 883
Version anglaise
Prompt utilisé : "Please tell me that was the wind" (S'il te plait, dis-moi que c'était le vent) de cette prompt list faite par @the-moon-dust-writings
Le titre La Nonne apparaît sur l'écran d'ordinateur de Stiles. Pop-corns en bouche, vous commencez à regarder le troisième film d'horreur de la soirée. Comme pour les précédents, vous n’êtes pas tant effrayés. Vous sursautez seulement à quelques moments, mais rien de grave. Cependant, quand le générique défile, tu sens l'angoisse prendre possession de ton corps en repensant aux différentes histoires. Par fierté, tu ne montres rien à Stiles. Il n'a pas l'air d'avoir peur donc tu ne vas pas te dégonfler. Autrement, tu sais qu'il va te taquiner jusqu'à ta mort.
Fatigués par votre soirée films d'horreur, Stiles pose son ordinateur avant d'éteindre la lumière. Enlacés, vous êtes prêts à vous endormir. Enfin, c'est le cas pour Stiles. Tes yeux sont grands ouverts, tes sens à l'affût de la moindre menace. Tu essayes de te rassurer en te rappelant que ce n'est pas la réalité. Tu tentes de penser à des moments drôles pour oublier la Nonne et autres monstres. En vain. Tu t'éloignes du corps de ton petit ami pour te tourner. Peut-être que dans une autre position, tu arriveras à dormir ? Mais encore une fois, tu restes éveillée. Tu soupires en te retournant dans le lit.
- Tu ne dors pas ? te demande Stiles, te faisant sursauter car tu pensais qu’il dormait.
- Je n'arrive pas à trouver ma place.
- Moi non plus.
Tu grognes de frustration. Tu te colles de nouveau à Stiles quand un bruit retentit. Vous vous regardez, complètement paniqués.
- S'il te plait, dis-moi que c'était le vent, chuchotes-tu.
- Oui, c'était sûrement ça, te rassure-t-il, mais un nouveau son se fait entendre.
- C'était quoi ça ? Va vérifier !
- Quoi ? Mais pourquoi moi ? rétorque Stiles, outré et en allumant sa lampe de chevet.
- Parce que c'est chez toi.
- Et alors ? Tu devrais y aller.
- Pour quelle raison ? le questionnes-tu, choquée.
- C'est pas toi qui dis que pour tuer le patriarcat faut détruire les normes de genre ? Dans ce genre de situation, logiquement c'est l'homme qui y va et bah, on change. Va voir, s'exclame-t-il en tentant de te sortir du lit.
- Vous, les hommes, le combat pour l'égalité c'est que quand ça vous arrange ! Allez, Stiles, descends. T'as une batte, je te rappelle ! tentes-tu de le convaincre.
- Je peux très bien te la passer.
- Ton père est shérif. Tu t'y connais mieux en sécurité.
- Ça ne veut rien dire.
- Stiles, si je meurs à cause d'un démon, je reviendrai te hanter.
- Y/N, les démons n'existent pas, te contredit Stiles en tentant de cacher sa peur.
- Ouais, et on pensait pareil pour les loups-garous. Et puis, si t'es si sûr, va vérifier.
- Je bouge pas d'ici, proteste-t-il et tu lèves les yeux au ciel.
- Bon, tu sais quoi ? On y va ensemble. Prends ta batte.
Vous sortez du lit, totalement apeurés. Stiles se saisit de son arme de fortune et te regarde, attendant tes indications :
- Passe devant, je te suis.
- Pourquoi je passerai devant ? s'indigne Stiles.
- Si tu m’aimes vraiment, tu voudras te sacrifier pour me sauver, affirmes-tu avec un grand sourire.
Stiles te regarde, exaspéré par ton argument, avant de rouler des yeux. Tu pouffes avant de lui embrasser la joue.
- Je rigole, tu sais bien que je ne te sacrifierais pas, ajoutes-tu plus sérieusement. Allez, tu as l'arme et je suis juste derrière toi, t'inquiète.
Stiles soupire avant de s'exécuter. Il ouvre doucement la porte pendant que tu t'accroches à son haut de pyjama. C'est ridicule, mais tu te sens plus rassurée. En haut des escaliers, vous remarquez de la lumière venant de la cuisine, signalant la présence d'un inconnu. La panique devient de plus en plus forte. Tu fais mentalement ta dernière prière quand vous descendez les dernières marches. Stiles lève un peu plus la batte alors que vous vous rapprochez de la cuisine. Il te fait signe de ne pas faire de bruit. Vous vous apprêtez à entrer, mais vous lâchez un cri quand, par surprise, la personne apparaît. L'intru porte sa main sur sa poitrine en sermonnant Stiles. En ouvrant les yeux que tu avais fermés sans t'en rendre compte, tu vois seulement Noah, devant vous, désespéré.
- Mais qu'est-ce que vous fichez, bon sang ?
- On...
- Bah, en fait...
Stiles et toi balbutiez quelques secondes avant que Stiles informe en essayant de paraître naturel :
- On voulait te faire peur.
- Me faire peur ? Il est quatre heures du matin, vous devriez être en train de dormir.
- Bah, je suis totalement d’accord, on devrait. Notre blague n'a clairement pas marché en plus.
- Ouais, peu importe. Je vais me coucher. Et vous aussi, dit Noah en faisant un pas en avant. Au fait, Stiles, ta batte de baseball n'est pas une arme, ajoute-t-il en regardant son fils de haut en bas.
Vous attendez que Noah soit monté dans sa chambre avant de reprendre une respiration normale. Vous restez silencieux pendant une seconde, vous sentant complètement idiots.
- Tu ne te rappelais pas que ton père rentrait maintenant, toi ? le réprimandes-tu.
- Ça va être ma faute maintenant ?
- Oui ! Si tu avais réfléchi deux minutes, on n'aurait pas paniqué pour rien.
- C'est toi qui m'as fait paniquer, à parler de démon, rétorque-t-il.
- Oh, s'il te plait ! T'étais déjà en flippe avant.
- Bref, coupe Stiles, plus jamais de films d'horreur après minuit. Et personne ne doit jamais savoir pour ce soir.
- Je suis d’accord.
Drabble Masterlist
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Ma nièce, quatre ans moins un mois, à côté du château de sable que je lui ai construit avec amour: Maintenant tu t'en vas !
Moi : Comment tu parles à ta tante ?
Elle, d'un ton exaspéré : S'il! Te! Plaît!
Moi, tout aussi exaspérée : Je me souviens pas que tes cousins aient été aussi insolents
Elle : C'est juste que t'as oublié !
#à trois ans elle a sorti à mon frère :#'et pis d'abord t'es pas mon père !'#j'aurais pas été là j'y aurais pas cru#là cest une mini adulte#elle régurgite toutes les phrases que les adultes lui disent#90% des fois dans le bon contexte#c'est un petit cœur dans la majorité des cas#mais elle a un putain de caractère#cest bien la fille de son père#blabla
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La peste certaine, plutôt qu'un hypothétique choléra...
Il faut vraiment se donner beaucoup de mal pour arriver à trouver, dans l'Histoire de France –pourtant riche en cycles inintelligibles et en péripéties inexplicables-- un homme d'état qui se soit donné autant de mal que Emmanuel Macron pour déchirer un peuple déjà prompt à se quereller, et pour pourrir une situation déjà pas mal écornée, la transformant en écartèlement ''à quatre chevaux'' –ce supplice réservé, il y a bien longtemps, aux seuls régicides, mais apparemment devenu ''abordable par tous » », dans ce qui reste comme bribes de souvenirs de feu notre beau pays.
Force est de reconnaître que l'idée saugrenue d'une dissolution ne peut trouver de justification que dans la puérilité de sale gosse trop gâté de notre président qui a préféré casser son joujou plutôt que d'accepter qu'il ne se plie pas à tous ses caprices. Le résultat ne s'est pas fait attendre : un envol spontané de la Nation vers les cieux auxquels le pouvoir interdisait d'aller. La catastrophe lui semblant encore pire que le trouble qui lui avait donné naissance, le pouvoir a mobilisé toutes ses forces --et les techniques de la propaganda, du viol des foules et du mensonge d'état réunies-- pour transformer un processus jusque là relativement démocratique (dans les limites étroites que notre ''démocratie conditionnelle'' nous laisse) en une manipulation impudique à en être mortifère
Le résultat de ce gigantesque tripatouillage est à la hauteur des moyens mis en œuvre par un président aux abois (dont la France exaspérée aurait vraiment préféré qu'il soit... aux abonnés absents) : une catastrophe sans limites potentielles, qui risque fort de mener le pays à sa ''fin finale'', et qui, quel que soit le sens dans lequel on la retourne et le côté sous lequel on la regarde, ne peut avoir que des conséquences et des suites épouvantables. Pour en arriver à ce point-le-plus-bas, il a fallu ressortir d'immenses mensonges dans le genre de ceux qui avaient été utilisés à grande échelle lors de la farce sinistre du covid : ceux qui nous conduisent à notre perte ont découvert que plus ils mentent gros et fort, et plus ''ça passe''... et nous n'avons pas fini de payer les conséquences de cette sinistre découverte (NDLR - petit rappel, pas inutile : ''sinistre'', étymologiquement, n'a qu'un seul sens : à gauche ! Nous y sommes, en plein !).
Je ne vous cacherai pas que hier, au moment des résultats de cet étalage de mauvaise foi, de rapprochements contre nature, d'insultes à l'intelligence, de déformation du réel et de l'abolition de toute morale, j'ai eu le sentiment d'être ''KO – debout'' : pour la première fois depuis 2013, je me suis assis devant mon clavier, pour venir vers vous, à notre habitude... mais j'ai été dans l'incapacité absolue d'écrire un seul mot. La seule pensée qui occupait tout le petit espace de mon cerveau encore plus limité que d'habitude était : ''Je refuse de participer à la mise à mort de la France que j'ai tant aimée : j'arrête ce Blog''. Dites-moi ce que vous en pensez...
Pour aujourd'hui, je n'ai pas de commentaires à faire autres que ''C'est vraiment trop con''... et ''Comment une telle folie a-t-elle pu être possible ?''... Le plus vraisemblable est que le ''programme'' (le vrai mot est : ''le délire'') du soi-disant front soi-disant populaire --qui n'est qu'une més-union contre-nature des pires forces mauvaises de l'ultra-gauche et de l'islamo-gauchisme'', promues ''système de référence'' (NB : chacun est libre de son choix, bien entendu... mais est libre, aussi, de dire que ce choix-là est de très loin le plus destructeur qui ait jamais été conçu !)-- va se traduire, au début, par des éructations, des anathèmes, des mesures perverses et la présence envahissante sur nos petits écrans des trognes haineuses d'irresponsables promus ministres... mais peu ou pas des mesures suicidaires promises. En tout cas, pas tout de suite : merci De Gaulle, merci la V ème république ! Et même, à la limite et au prix de quelques nouvelles compromissions aussi puantes que celles qui viennent de nous donner cette ''Chambre honteuse'', Macron pourrait encore sortir vainqueur de cette partie de à qui perd, perd. Ce serait un comble !
Ce qui reste de bon en Europe, les marchés, le bon sens des électeurs –qui ne peuvent pas ne pas se réveiller très vite devant les conséquences de ce qu'on les a forcés (d'une certaine manière) à faire !)-- et les juges contre lesquels nous avons tant râlé, parfois, devraient nous protéger des idées autodestructrices des fous-furieux a qui nous avons bien imprudemment confié un pouvoir dont ils ne savent et ne peuvent que mal se servir, pour notre plus grand malheur...
Là où toute cette péripétie honteuse devient une menace, c'est que l'ultra-gauche maintenant au pouvoir réel –car elle contrôle la presse et donc la désinformation-- n'a qu'une seule idée fixe : changer définitivement la composition sociologique du corps électoral, de façon à ce que tout retour en arrière sur sa main-mise sur le pouvoir devienne très vite impossible... Nous sommes déjà bien lancés sur ce terrain de malheur !
Nous allons hélas avoir bien des occasions de revenir sur ces sujets, sur ces malheurs, sur les horreurs qui nous attendent. Pour aujourd'hui, je suis encore trop ''sous le choc'' pour pouvoir proposer autre chose que ma tristesse, mâtinée de honte, que ma crainte des lendemains, et que mon incompréhension devant le caractère ''Gribouille'' de mes compatriotes, décidément très enclins à lâcher la proie pour l'ombre... Pourquoi les français font-ils le bon choix dans les sondages et dans les ''premiers tours'' et TOUJOURS le mauvais, devant l'obstacle ? Car là, ils ont vraiment choisi ce qu'il y avait de pire...
H-Cl.
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"Lovey-Dovey "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Roronoa Zoro.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Compagnons, et peut-être bien plus, Roronoa Zoro et sa charmante bien-aimée se retrouvent coincés sur une île au beau milieu d'East Blue lorsque Zoro se fait faire prisonnier dans la cour d'une base de la marine. Cependant, qu'il se rassure, quelqu'un viendra bientôt à sa rescousse.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : violence (sabres, arme à feu, combats)
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes
Nombre de mots : 𝟒,����𝟐𝟔.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
« Qu'est-ce que tu fiches ici ? »
J'ignorai royalement l'abruti de prisonnier pour focaliser plutôt mon attention sur l'énergumène dans son dos, occupé à lui défaire ses liens. Les nœuds étaient maladroits. Pitoyables. Je le voyais d'ici.
« Je peux savoir à quoi tu joues ? » m'écriai-je.
Le garçon au chapeau de paille s'arrêta de parler, il releva la tête.
« Oh. Salut ! » il s'exclama. « Je le libère, ça se voit pas ? »
Repoussant mon ombrelle sur mon épaule, j'arquai un sourcil. Le noiraud finit de libérer l'idiot de prisonnier, toujours un immense sourire aux coins de ses lèvres. Le temps de dépoussiérer le bas de ma robe touchant le sol miteux, les deux hommes étaient libres, discutant et m'ignorant. Avec cette chaleur, je n'avais aucune idée de comment ils pouvaient se tenir ainsi ⸺malgré le fait qu'ils soient à l'ombre. Le garçon au chapeau de paille trottina jusqu'à un grillage menant à ce que je supposais être les égouts de la base marine. Il passa devant moi, me saluant très grossièrement.
« Bon courage pour ton histoire d'épées. » il dit à l'ancien prisonnier ⸺quoique toujours abruti.
J'extirpai un éventail de ma robe, l'ouvrai et le secouai vivement en direction du bas de mon visage, sans quitter du regard l'étrange présence qui venait de me gêner dans ma mission.
« Hey tu peux fermer ça derrière moi ? »
Cette fois-ci, il s'était adressé à moi.
« Je te demande pardon ? »
Déjà engouffré dans cette puanteur, il en sorti sa tête et me sourit.
« Merci ! »
« Ew. Hors de ma vue ! »
Je me cachai derrière mon éventail, grimaçant. Le temps de m'exclamer, il avait déjà disparu, laissant derrière lui cette immonde odeur de merde et de mer salée et son fichu grillage même pas replacé là où il se devait.
« Quel crasseux, non mais je rêve ! »
« Eh. »
Je jetai un coup d'œil à l'imbécile.
« Je t'ai posé une question. »
« Quoi ? »
J'abaissai mon éventail, lui offrant l'expression lasse placardée sur mon visage version grand écran. Lui, en grogna. Il roula même des yeux en bonus. Quel honneur... Il me rejoignit, se massa les poignets, tout en traînant des pieds. Sa tenue était dans un terrible état. C'en était triste. Sans parler de son si joli visage.. Couvert de sueur et masqué par la fatigue, il aurait presque pu me faire pitié. Je le vis réduire les quelques mètres nous séparant à néant. Je m'attendais à ce qu'il me rejoigne sous mon ombrelle, qu'il nous guide en direction de cette poisseuse base cependant, il me surprit en s'approchant du grillage et en le soulevant à mains nues. Il s'en saisit, serrant la mâchoire au passage et la referma.
« Oh, seigneur. »
J'accentuai les va-et-vient de mon éventail.
« Quoi ? » lui grogna, exaspéré.
Il se retourna et me rejoignit enfin.
Je refermai brusquement mon éventail dans un bruit sec, et le pointai dans sa direction. Le timing fut parfait. À peine l'eus-je bougé qu'il s'était arrêté devant moi, laissant son pectoral entrer en contact avec celui-ci. À l'unisson, nous échangeâmes un regard. Sans surprise, je l'entendis répéter :
« Quoi ? »
Je forçai un sourire taquin.
« Ce gamin, il te plaît ? »
Il força une mine offusquée.
« Tu racontes quoi, encore ? Des âneries. »
« J'ai vu comment il te regarde. Et tu as bien refermé ce passage derrière lui. » me justifiai-je. « C'est ton ami ? Oh, seigneur. Zoro, chéri, tu t'es enfin fait un ami ? »
Il repoussa mon précieux, roula des yeux et continua d'avancer tout droit. Son comportement immature ne me faisait pas peur, au contraire, j'en étais plus distraite qu'autre chose. Je me retournai, hilare.
« Je le savais ! »
Je plaçai mon éventail dans ma main qui tenait mon ombrelle, au même moment, j'attrapai le bas de ma robe victorienne et partis à sa poursuite. Ainsi, je m'évitai de chuter inutilement, me permettant de rejoindre les côtés de mon idiot de sabreur qui... qui n'avait pas ses sabres. Je rejoignis les côtés de mon non-sabreur. Zoro ne parla pas davantage. Il nous fit avancer, devant nous, se tenait deux immenses portes. Elles étaient si grandes que je fus forcée de lever la tête, poussant mon ombrelle derrière mon crâne, les yeux grands ouverts.
« Ne me dis pas que tu comptes les ouvrir ? »
Mon exclamation ne passa pas dans l'oreille d'un sourd, Zoro pivota, s'accouda à l'une des deux portes et m'offrit un sourire charmeur.
« Non. Je vais faire mieux. »
Il... Il toqua à la porte ?
Zoro frappa l'immense porte boisée de son poing, trois grands coups. Il ne me quitta pas du regard, le temps que quelques secondes s'écoulent, mais aussi le temps d'entendre des voix chuchoter derrière. Je désirais m'exprimer, lui hurler que c'était idiot, qu'évidement une base de la marine n'ouvrait pas ses portes à n'importe qui. J'ouvris la bouche.
Je fus cependant prise de court, car, l'instant suivant, l'une d'entre-elle s'entrouvrit.
« Non mais je rêve... »
« J'en étais sûr. »
Zoro se décolla de la porte. Il me fit signe de passer la première.
« Après toi. »
Ce fut à mon tour de rouler des yeux.
« Quel gentleman tu fais... »
J'avançai tout de même, me frayant un chemin dans l'étroit espace que l'ont nous avait malgré tout offert. Deux marines étaient présents. Ils gardaient l'allée menant à la base de la marine jusqu'à la cour arrière. L'un tenait la porte de l'autre côté tandis que son collègue avait tendu sa petite bouille afin de s'assurer que nous n'étions pas des intrus. Dommage pour lui, nous étions pires que cela. Le temps de le voir se saisir de son arme, je m'emparai de son canon et lui explosai le nez avec. Le soldat s'effondra au sol sur le dos, soulevant sur son passage un épais nuage de poussière. Son collègue n'eut malheureusement pas l'occasion de me maîtriser : Zoro lui avait envoyé son poing en pleine poire. Je l'avais admiré faire discrètement, charmée par sa force physique et sa rapidité.
« Bien, allons-y ! »
Je me redressai, puisant dans le reste des ressources de mes poumons. Ils grimacèrent de douleur, compressés depuis bien trop longtemps dans mon joli corset rose pâle. J'étalai un sourire ravissant sur mes lèvres gluantes de gloss. Je pivotai ensuite. Dans mes mains, reposait l'arme du marine.
« Partons à la rescousse de tes sabres, mon cher et tendre ! Ils ne doivent pas être- »
« Donne moi ça, avant que tu te blesses. »
Il m'arracha le fusil des mains, le jeta au sol. Je fis alors la moue.
« Eh, c'était mon arme ! »
Je ravalai mes lèvres à l'intérieur de ma bouche, les yeux plissés de colère. Je ramassai mon ombrelle abandonnée au sol ⸺il fallait dire qu'une arme était tellement plus intéressante⸺ et la plaquai de nouveau contre mon épaule nue, oubliant mon éventail que j'avais déjà rangé dans ma longue robe victorienne. Je bougeai avec frustration. Un peu comme une enfant punie, je devais l'avouer. Je boudais. Et j'avais bien raison ! De quel droit se permettait-il de briser mes rêves ? Moi qui fondait délicieusement à l'idée de réduire cette fichue base grouillant de bons à rien à néant. Je peinais à y croire, quel exécrable personnage !
Zoro s'arrêta à quelques mètres de moi.
« Bon, tu viens ? »
Mon regard s'illumina.
« Oui, oui ! Mon amour ! J'arrive, attends moi ! »
Je gloussai, accourant dans sa direction. Qu'il était attentif ! L'homme parfait !
Je pouffais en arrivant à ses côtés. Zoro ne me regardait pas vraiment. Il marchait. Nous marchions.
La base était à présent sous nos yeux, nous faufiler à l'intérieur fut étrangement facile, peut-être trop, il n'y avait pas beaucoup de gardes à l'intérieur, seulement quatre par couloirs. Ils faisaient la ronde à deux avec, à noter, un grand écart de plusieurs mètres les séparant, nous laissant en conséquence tout le loisir de grimper les étages et de faire notre petite enquête. Zoro m'accompagnait. Main dans la main, sa peau nue contre ma main recouverte d'un gant blanc en dentelle, il restait près de moi, je restais près de lui. Tous les couloirs se ressemblaient. De peur de perdre mon bien aimé, je le traînais. De plus, cela rendait notre marche plus facile, si jamais nous étions vus, je pouvais toujours le tirer et nous cacher dans une pièce choisie au hasard. Tout cela pour dire : je n'étais pas prête de le lâcher.
J'aurais pu tout simplement dire que ce contact physique me plaisait, mais peut-être n'étais-je pas totalement sûre de vouloir l'admettre.
« Tu penses que c'est ici ? »
Zoro jeta un coup d'œil à une porte ayant, en effet, un curieux aspect.
« Non, je ne pense pas. » affirmai-je. « Ça doit être là où ils gardent leurs armes. Regarde l'emblème sur la porte, mon amour. »
« Ouais, tu dois avoir raison. »
Je raffermis ma prise sur sa main.
« Tu penses quoi de la porte un peu plus loin ? » lui indiquai-je. « Elle aussi elle est bizarre, mon sucre d'orge. »
« Celle-là, elle me parle. »
Zoro nous fit presser le pas.
« Je vais y jeter un coup d'œil. »
Je trottinais sur ses pas. Gentiment, mes bottines de cuir tapaient le vieux parquet fraîchement nettoyé. Mes talons le raclaient assez bruyamment. Zoro ne me réprimanda pas, malgré le fait que lui ait avancé presque sur la pointe des pieds depuis que nous étions parvenus ici. À mes côtés, présente dans ma main libre, se tenait mon ombrelle fermée. Elle se rendait utile, me servant de canne.
« Monte la garde, je reviens. »
Zoro lâcha ma main. Je me collai contre le mur à côté.
« Tu peux compter sur moi, chéri. »
Zoro fit tourner la poignée, il déposa le plat de sa paume sur la porte et l'ouvrit. Il y mit pas mal de sa force, la porte me semblait lourde, sûrement mal huilée et entretenue. Du travail bâclé. Même le sol l'était, mal entretenu, lorsqu'on y faisait un peu plus attention, lavé avec peu d'attention. Quelques morceaux de terre ici, un caillou dans une fissure, des cheveux, de la poussière. Je m'en esclaffai. Cela me distrayait le temps que mon bien-aimé récupère ses biens. J'avais regardé de tous les côtés à la recherche de soldat, cependant, rien ne vint, cela me sembla même suspect. À présent, je posais tout mon poids sur mon ombrelle, mes mains posées l'une sur l'autre et mon corps cambré en avant. Je m'occupais mentalement.
Songeant grandement, mes yeux s'ouvrirent et mes lèvres se séparèrent. Je me perdis dans mes pensées.
Soudain, j'entendis un cri aiguë.
La seconde suivante, Zoro sortit de la pièce.
Immédiatement, je l'interrogeai.
« C'était quoi ce bruit ? »
Zoro secoua la tête.
« On s'en fout. »
Mes sourcils se froncèrent.
De dos, il me tendit sa main.
« Viens. »
Sans surprise, en vue de son comportement répugnant et de son indifférence envers moi, je la saisis dans un grand sourire.
Par pur automatisme, nos doigts s'entremêlaient et Zoro attendait que je me colle contre lui avant de se mettre à marcher pour rejoindre les escaliers. Je le remarquais immédiatement, il avait récupéré ses sabres. Les trois étaient fièrement accrochés à sa taille, tous en bon état et lui donnant fière allure. Je me rapprochai de lui. Ainsi, c'était évident : tout le monde penserait que nous étions ensemble. Plus rien ne serait laissé au hasard. De cette manière, les gens se diraient "n'ont-ils pas l'air adorables ?", "ils sont faits pour être ensemble !", "mais pourquoi n'a-t-il toujours pas demandé sa main ?", et j'aurais répondu avec gentillesse "voyons, voyons ! Notre amour a beaucoup plus de signification qu'un simple anneau doré !" tout en riant et en battant des cils.
Nous étions si adorables côte à côte.
J'en avais le cœur qui battait à vive allure. Des papillons virevoltaient dans mon estomac, sûrement se pensaient-ils dans une prairie tant mon intérieur était ravi d'être en vie, de palpiter d'amour pour mon tendre et charmant prince.
« Quelle bande d'abrutis.. »
Zoro s'arrêta de marcher si soudainement, je me cognai contre son épaule.
« Qu'est-ce qu'il y a, ma tarte des îles ? »
Il fit un signe de la tête en direction de l'extérieur de la base. Ou plutôt, la cour dans laquelle je m'étais précédemment infiltrée afin de le sauver.
Tout était poussiéreux. J'eus du mal à y voir quoi que ce soit, le temps que ça se calme. Au centre de tout ce bazar se trouvaient une rousse et ce même garçon au chapeau de paille. Cette constatation me prit de court. Un de mes sourcils se arqua. Ils se battaient, et plutôt bien. Une armée de soldats était vautrée au sol, tout autour d'eux, leurs armes abandonnées, les deux énergumènes n'étaient même pas si effrayants que ça. Dans leurs mains, ils n'avaient rien. Le chapeau de paille se battait avec ses poings. Quant à la jolie rousse, elle tenait un fin et petit bâton de bois dans sa main gauche. Pas de sabre, pas de couteau, pas de pistolet.
J'étais impressionnée, incapable de le nier.
« Il faut qu'on se casse tant qu'on en a le temps. On y va. »
Je me retrouvai violemment tirée en avant. Je n'eus même pas le temps de répliquer.
« Zoro, attends ! C'est pas ton copain là-bas ? On devrait aller l'aider ! »
Mon tendre et bien-aimé nous faisait longer un des murs de manière très discrète. Dans le chaos qu'était la bataille menée par la rousse et le chapeau de paille, nous passions étrangement inaperçus. Tout cela faisait partie de son plan. C'était ingénieux, je le concédais, néanmoins, j'étais franchement déçue. J'aurais adoré les rejoindre et réduire en cendre l'endroit. Tous ces soldats... Ils auraient pu m'en laisser !
Devant les portes menant à la sortie de la base, mon partenaire s'arrêta.
« Zoro ? »
Il était hésitant. Tournant la tête, il me fit signe qu'il écoutait.
« Tu fais ce que tu veux, d'accord ? Tu peux m'attendre un peu plus loin, mais moi, j'ai très très très très très envie d'y aller. »
« Hei- »
Je séparai nos mains, libérant avec horreur la mienne de son emprise. Je fis immédiatement demi-tour, me précipitant au cœur de la bataille tout en rétractant mon ombrelle et en la rangeant dans ma robe aux côtés de mon éventail ⸺mon vêtement victorien contenait énormément de cachettes⸺. L'instant suivant, je me pliai en deux, glissai mes mains sous ma jupe et en extirpai deux gros pistolets à silex accrochés à mes chevilles. Je les braquai en direction de la foule composée de soldat, j'ignorai la rousse et le noiraud, me postant à leurs côtés et blessant tout le reste. Mes coups de feu surprirent tout le monde, aucune arme à feu n'ayant été apportées dans les deux camps. Je faisais exception, je sortais du lot.
« Hey, je te reconnais, toi ! »
J'offris un sourire au chapeau de paille.
« Salut, je pensais pas te revoir ! » lui répondis-je. « Merci d'avoir sauvé mon copain, tout à l'heure, je t'en dois une ! »
« Pas de problème ! »
Il envoya valser un marine en me parlant. En même temps, je tirais dans l'épaule d'un autre.
« C'est normal que je l'aide, il fait partie de mon équipage après tout ! »
« Oh- »
Sans me prévenir, la rousse passa violemment son bâton au dessus de ma tête, me laissant �� peine le temps de m'abaisser, pendant que je braquai mes pistolets à silex dans son dos afin de tirer en direction des soldats lancés à sa poursuite. Malgré les gestes imprévisibles des deux criminels, nous parvenions à bouger à l'unisson, dans un rythme presque naturel.
« Je voudrais pas vous gêner, mais c'est vraiment pas le moment de discuter, vous deux ! » pesta-t-elle.
« On s'en sort ! » la rassurai-je, un peu irritée. « Qu'est-ce que tu disais, chapeau de paille ? Mon Zoro a rejoint ton équipage ? »
Le noiraud était en plein vol : il s'était servi des épaules d'un soldat pour se propulser dans les airs et atterrir sur un autre, le plaquant au sol et le faisant hurler de douleur. De mon côté, je plaçai une de mes armes sur mon flanc, retourné, de manière à tirer une balle au marine qui s'était faufilé dans mon dos. Blessé au bas ventre, il tomba au sol, sans surprise; ne se releva pas.
« Oui, enfin, pas vraiment techniquement. Mais j'y travaille ! »
Un rire moqueur me quitta. J'étais honnêtement surprise, tant que, je fus contrainte de m'arrêter en plein combat.
« Tu veux le persuader de rejoindre ton équipage de pirates ? »
Le garçon s'arrêta aussi.
Il me regardait dans le blanc des yeux.
« Ouais, j'y compte bien. Pourquoi, t'as un problème avec ça ? »
Rapportant mes pistolets à silex contre ma poitrine, je secouai vivement la tête. Je ne pouvais pas vraiment l'expliquer, c'était confus, mais à le voir ainsi, soudain contrarié, je m'étais sentie forcée de le rassurer, pas par pitié, non... Plutôt par appréhension. Dans un coin de ma tête, la voix de ma raison me hurla qu'il serait judicieux de ne pas faire de cet énergumène mon ennemi. Je l'écoutais malgré moi. Je me dépêchais dès lors de calmer ses craintes.
« Non, absolument pas. » dis-je. « Tu as le chemin libre, mon ami. J'ai hâte de voir comment tu vas t'y prendre ! Tu sais qu'il est dur à convaincre ? »
« J'ai confiance en mes talents de persuasion, ne t'en fais pas. »
Je ris de nouveau.
Subitement, un bras passa autour de ma taille, me plaquant contre un ferme torse et m'évitant de justesse une lame blanche. Je la vis passer au ralenti, juste sous mon nez. Elle tomba au sol la seconde d'après. Tout comme le soldat qui avait tenté de me poignarder avec.
« Concentre toi, on est en terrain ennemi, ici. »
« Oh ! Zoro ! Justement, on parlait de toi ! Tu sais, avec ce- Hein ? »
Je regardai autour de nous.
« Bah il est passé- »
Zoro trancha un second marine.
« On s'en fiche pour l'instant. Concentre toi. »
Je roulai des yeux, apportai les canons de mes armes au niveau de mon visage, mes index tous deux pressés sur la détente. Zoro colla son dos au mien. Il me laissa le temps de conclure notre discussion, me faisant bêtement sourire. Comme si il n'en faisait déjà pas assez...
« Mhh, c'est d'accord. » pestai-je.
Je le poussai avec mon popotin.
« Mais on doit discuter après. De ton intégration dans l'équipage au chapeau de paille, je veux dire. Je pensais que tu m'en aurais parlé... »
« J'ai rien rejoint. Va pas croire ces idioties, non plus. »
« Si tu le dis... » je répondis peu convaincue.
Zoro se sépara de moi, il se fraya facilement un chemin entre deux soldats, après les avoir tranché en deux. Cela me laissa le champ libre pour tirer une balle entre les deux yeux d'un soldat, tourner sur ma droite, répéter le même mouvement et me saisir du bord de ma robe avant de me rapprocher d'une horde de soldats vautrée sur la pauvre rousse à quelques mètres de moi. Elle parvenait à les gérer, tour à tour, elle les repoussait et les assommait, cependant, je jugeais qu'un peu d'aide ne lui ferait pas de mal.
« Toi ! »
Je fis volte-face.
Le chapeau de paille revint comme de pur hasard dans ma direction, au même moment, il courait en jouant de ses coudes, un immense sourire étiré sur son visage. La rousse et moi le dévisageâmes.
« J'ai une idée ! »
J'arquai un sourcil. Je tirai sur la gâchette simultanément, abattant un soldat prêt à attaquer le noiraud de dos. Quelle belle brochette de lâches... Je tirais en même temps de l'autre côté, mes bras l'un sur l'autre, placés dans le sens inverse, m'assurant ainsi que je ne risquais rien. À bout de souffle, je pris tout de même le temps de sourire au garçon et de répliquer :
« Ouais, bien sûr. Tu penses à quoi ? »
« Alors voilà.. Je me disais, le sabreur c'est ton ami, non ? »
« En quelque sorte..? »
« Restez concentrés vous deux ! » s'emporta la rousse. « L'un d'entre vous finira mort avant l'heure... »
Ni moi ni le chapeau de paille ne l'écoutions. Au lieu de nous protéger, ou de faire attention à nos alentours, moi je préférais le regarder les yeux dans les yeux et lui, m'expliquer son "plan". De temps à autre, lorsqu'un soldat se rapprochait trop de lui ou de moi, je n'hésitais pas à tirer, outre ça, les alentours étaient plutôt calmes. Étrangement calmes.
« J'y ai réfléchis tu vois.. Et je me demandais, si tu rejoins mon équipage, tu crois qu'il voudra venir ? »
Je pouffai.
« Moi ? Rejoindre ton équipage ? Quel équipage ? »
« Celui que je recrute ! Tu seras la deuxième, après lui, bien sûr ! »
J'aurais bien voulu acquiescer, mais toute forme de réponse fut masquée par mon rire. Je tirai par dessus son épaule sans manquer ma cible, mais sans pour autant m'arrêter de ricaner. Le chapeau de paille restait de marbre. Ce fut la douche froide. Il... Il ne plaisantait pas ? Je m'arrêterai d'un coup.
« Tu rigoles ? »
« Je t'ai fait croire que je plaisantais ? Non, non, je suis sérieux. »
« T'es bien gentil, chapeau de paille, mais je chasse les pirates, je bosse pas pour eux. »
Quoique...
À bien y réfléchir, Zoro avait l'air de l'apprécier, sans parler du fait qu'il avait un véritable potentiel. Je ne rêvais pas. Sa force, son mental de fer, son enthousiasme et détermination... Je peinais à y croire, mais si il avait réussi à charmer mon Zoro et s'en faire un allié, je me voyais mal lui tourner le dos et faire demi-tour. Cela me laissa muette. Les sourcils froncés, les yeux plissés, je l'observai. La poussière autour de nous me tachait. J'étais sale. Mes bottes, les bords de ma robe, mes gants, mes pistolets à silex. J'étais crasseuse. J'étais crasseuse et perplexe. Le temps de zieuter Zoro au loin, le voir charcuter ses ennemis, leur arracher des membres, les décapiter, les torturer, un sentiment étrange s'empara de moi. Zoro avait agi de son plein gré. Il avait rejoin ce combat seul, sans l'ordre de personne. C'était la stricte vérité, mais...
Il l'avait fait pour lui, le chapeau de paille.
« D'accord. »
Je coinçai mon arme dans une de mes poches et lui tendis ma main libre.
« Je veux bien rejoindre ton équipage. »
En conséquence, je sentis le regard de mon amant me foudroyer.
« Équipage ? » s'étonna la rousse.
« On est pas un équipage ! » s'écrièrent cette dernière et Zoro.
« Et c'est hors de question ! » répliqua mon cher et tendre.
Je fis la moue en réponse.
« Yay ! J'ai un début d'équipage ! »
Le garçon aux bouclettes s'en alla loin de moi, il se défoula joyeusement auprès d'un groupe de marine, nous laissant suffisamment de nous pour que, Zoro et moi, nous rapprochions l'un de l'autre.
« Quoi ? Pourquoi, chéri ? »
Saisie par l'épaule, je me retournai et frappai le ventre d'un marine avec le talon de ma botte. Son corps voltigea dans les airs, il tomba au sol et je l'abattis la seconde suivante d'une balle en plein cœur. Derrière moi, Zoro trancha trois homme d'un seul coup d'épées. Mon dos se colla au sien. Je l'entendais, il respirait comme un buffle. Toute cette action... On commençait à fatiguer, tous.
« Je rejoindrai pas son équipage, tu m'entends ? » parla-t-il. « C'est même pas envisageable. »
« Mais c'est ridicule, amour. Regarde le ! Je suis sûre qu'on s'amusera bien avec lui, en plus, je pensais que c'était ton ami ! »
« Hein ? D'où tu sors ça ?! »
« Je sais pas moi, c'est lui qui t'as libéré ! Et t'as fermé la grille d'égout derrière lui, qu'est-ce que j'étais supposée croire ? »
Tandis que nous discutions, Zoro et moi continuions de nous battre. Je le protégeais, il faisait de même, tranchant et tailladant, moi, tirant et frappant. C'était une danse, une valse sublime et vécue tant de fois que cela fut à l'instar de respirer, autant pour lui que pour moi. Lorsqu'il me fallait prendre appui sur son épaule, il s'était déjà légèrement abaissé, lorsqu'il devait se débarrasser d'un nombre trop important de soldats, je savais me baisser et le laisser lancer ses attaques.
Recroquevillée contre ma robe, je ne répliquais pas.
« C'est pas mon pote ! Je suis un chasseur de prime, qu'est-ce que j'en ai à faire d'un pirate de bas étage ? »
« Eh, parle pas comme ça de notre capitaine ! »
Zoro me jeta un mauvais coup d'œil
« Tu te fiches de moi ? »
Je cachai mon sourire derrière ma main libre.
« Désolée. C'était trop tentant. »
Je me saisis de mon second pistolet à silex dans la poche de ma robe et m'avançai, ainsi, je n'étais plus collée contre Zoro. J'abattis sèchement, d'un coup, une rangée entière de soldat. En tout, ils étaient peut-être neuf. Je les enjambai et zieutai la rousse ainsi que le chapeau de paille, m'assurant avec hâte qu'ils étaient toujours là, que rien ne leur était arrivé. Ce qui était le cas. Je remarquai d'ailleurs que, petit à petit, nous nous rapprochions les uns des autres. Nous ne tardions pas à finir encerclés par une poignée de soldats.
« Merde ! »
Je rechargeai mes pistolets à silex, de manière grossière, je me sentais obligée de préciser; nous n'avions pas le temps de nous reposer. J'étais la seule handicapée à ce moment. Zoro n'était pas très embêté avec ses sabres, de même pour la rousse avec son bâton ou le chapeau de paille avec ses poings. J'avais mes coups de pieds, c'était un fait, mais tout de même !
« Calme toi. »
Mon épaule et celle de Zoro se touchèrent. Honnêtement surprise, je tournai la tête.
« Arrête de te presser, je te protège au cas où. Prends ton temps. »
J'étouffai un gémissement. Pour autant, mon œil gauche se mit à palpiter. Je résistais à l'envie de lui sauter dessus.
Zoro m'observait recharger mes pistolets à silex, la façon dont je glissais les balles à l'intérieur, les saisissant de mes mains habillées de mes élégants gants et refermais mes armes. Je m'amusais à rendre mes gestes plus lents, plus séducteurs, du moins, j'avais fait mon possible. Tout ceci sans cesser de le zieuter. C'était flatteur. Il n'avait même pas besoin de parler, il lui suffisait de me regarder ainsi, de dévisager la partie la plus minime de mon corps, j'en finissais ébranlée.
Mes armes rechargées, je déclarais :
« Maintenant, c'est à mon tour de te protéger. »
Zoro grimaça en réponse.
« J'ai pas besoin de ton aide. »
« Si tu veux, chéri. »
« On voudrait surtout pas gêner, » parla soudainement la rousse derrière nous. « mais on est légèrement encerclés là. »
« Ça va aller. » s'exclama le chapeau de paille.
Du coin de l'œil, je le vis frapper ses poings l'un contre l'autre. Son chapeau reposait joliment sur ses bouclettes. Même dos à moi, j'étais capable de le voir sourire tant celui-ci était immense. C'était d'une évidence accablante : il prenait du plaisir à se battre. Il avait même hâte. Il sautillait légèrement sur place.
Cette constatation forçait un sourire sur mes lèvres.
Le joyeux énergumène s'excita.
Ce fut une réaction en chaîne. Il avait commencé, en réponse : j'avais relevé mes armes et les avais pointées en direction de soldats. La rousse m'avait imitée, jouant avec son bout de bois et mon bien-aimé avait redressé ses deux sabres en direction d'une longue rangée de marines. Tout cela c'était fait automatiquement, comme lorsque Zoro et moi nous battions, à l'instar d'une chorégraphie minutieusement répétée et révisée. Comme si nous nous étions déjà tous battus côte à côte.
Cette pensée me força à échanger un coup d'œil avec Zoro. Il me regardait déjà.
Satisfaite, je détournai le regard.
Après un petit moment de silence, très intense, le chapeau de paille s'exclama :
« Allons-y ! » s'écria-t-il. « Montrons leur de quel bois notre équipage se chauffe ! »
Je riais de nouveau.
« Aye aye capitaine ! »
Quant à eux, la rousse et mon amant contestèrent sans surprise, déjà jetés au cœur de la bataille :
« On est pas un équipage ! »
#live action#pirare hunter zoro#zoro x reader#one piece zoro#zoro#zoro roronoa#roronoa zoro#zoro roronoa x you#zoro roronoa x y/n#zoro roronoa x reader#one piece#opla spoilers#opla#opla zoro
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…top 5 Falconi moments… go!!
(english version of all of this under the cut if you're feeling lazy asdfhkh)
Ok alors ça va être 2 top 5 parce que je pouvais PAS dire "Absolument tout Le Secret du Lorrain" pour la première place parce que ça serait de la triche, alors.
Top 5 des moments qui sont PAS dans Le Secret du Lorrain
5. Toute cette petite section de l'épisode où Isabelle se fait kidnapper où Falconi essaie de faire l'échange de rançon puis se retrouve à devoir investiguer ce qui s'est passé. Parce que pour lui toute cette journée est un énorme désastre, mais aussi parce que c'est chouette de le voir travailler un peu en équipe avec Mordoc et Brutus!
4. Cette scène de Noblesse Oblige où Isabelle prétend avoir besoin d'aide avec sa robe de bal. Parce que oui c'est marrant que Falconi soit confus et exaspéré par tout ça, mais ça l'est encore plus quand on se rappelle qu'ils se connaissent à peine??? Pour ce qu'on en sait ils se sont jamais parlé avant!
3. La petite convo avec Isabelle à la fin de l'épisode où elle se fait kidnapper. Ils discutent normalement?? Ils sont polis l'un envers l'autre??? Falconi fait même l'effort d'être gentil avec elle???? Cet espèce de sens de l'honneur qu'il a est mentionné dans cette scène, et ça c'est toujours Excellent. Tbh pas mal de cette liste pourrait être des moments qu'il a avec Isabelle, j'aime bien cette vibe qu'ils ont quand ils interagissent.
2. Tout ce morceau du tout premier épisode où il passe un solide 5 minutes planté là à fixer le Lorrain avant de finalement le reconnaitre et d'essayer de le tuer littéralement devant tout le monde. Oui parce que c'est marrant, mais aussi parce qu'avant cette scène on l'a surtout vu être froid et parfaitement en contrôle; quand il fait affaire avec Chien Noir puis quand il menace Isaac. Et puis là tout d'un coup il est furieux et a absolument aucun chill? Première fois qu'on a cette impression claire qu'il y a quelque chose qui se passe là…
(fun fact pendant vraiment longtemps le seul screenshot à moitié décent de Falconi était spécifiquement de cette scène. exactement celui-ci, en fait)
1. Pas exactement un moment précis, mais toute sa dynamique avec le Régent dans l'épisode du testament de Louis XIV!!! Leur première scène où Falconi sait qu'il a fait une énorme gaffe et se fait menacer (le livre mentionne qu'il a peur!) ? Excellent. La scène plus tard où ils attendent de voir si les Cartouchiens vont se pointer et où le Régent est juste "bon, on s'ennuie, là, tu veux torturer un de ces types pour rigoler?" et se contente de regarder d'un air amusé alors que Falconi tombe hyper visiblement dans le panneau et se retrouve à combattre Fleur d'Épine au lieu de son premier choix? Excellent aussi!! Le Régent qui a soudain une opportunité parfaite de tuer Cartouche mais choisit de ne pas la prendre parce que Falconi est en danger au même moment????? A++, 10/10, absolument rien à redire, du contenu de Qualité
Top 5 : édition Le Secret du Lorrain
5. Menacer Demachault direct dans la scène d'ouverture en lui laissant savoir que ça va mal aller si l'opération tourne mal…. pour IMMÉDIATEMENT gâcher l'opération lui-même 5 secondes plus tard parce qu'il peut pas s'empêcher d'essayer de tuer le Lorrain
4. Presque se faire trancher la gorge par un type pas important parce qu'il a donné sa parole à Cartouche qu'il ne tuerait personne même si ça aurait été franchement plus facile comme ça. Et le Lorrain qui le sauve à la dernière seconde??? Le Lorrain qui est même content de le voir???? De la qualité™, important, adorable, 10/10
3. Le Lorrain qui s'excuse, et ces excuses qui reçoivent un furieux "Je n'ai que faire de tes regrets!" en retour. Le livre donne à la scène une vibe un peu plus solennelle qui est chouette, et j'aime bien l'échange? Le Lorrain qui fait une dernière vague tentative de réparer les choses et Falconi qui ferme brutalement cette porte-là sans une seule seconde d'hésitation.
2. "Je ne serai jamais une de vos marionnettes." "Êtes-vous réellement convaincu de ce que vous dites, mon ami? Sans moi, vous ne seriez qu'un mercenaire sans avenir, un homme sans idéal. Vous n'existez que par moi." DU DIALOGUE DE QUALITÉ. DU DIALOGUE QUI M'A FAIT VOULOIR DONNER À CET IDIOT UN REDEMPTION ARC. J'AI DES OPINIONS LÀ-DESSUS.
1. Forcément ça DOIT être le flashback, right? J'ai le tattoo pour aller avec, alors bon… Mais ironiquement, faut avouer que dans ce cas-ci ce sont plus les idées qui sont amenées par le flashback qu'une bonne partie de l'animation elle-même, considérant que c'est si court? Mais c'est IMPORTANT. Falconi avec les cheveux longs!! Ses vêtements!!! La petite lettre d'amour!!!!! Le drama! Le angst! Le duel!!!!! Ça vit gratuitement dans ma tête depuis beaucoup, beaucoup d'années, quoi.
Top 5 bits that AREN'T from Le Secret du Lorrain
5. The whole section from the Isabelle gets kidnapped episode where Falconi tries to do the ransom exchange and then proceeds to have a really awful day. First bc it's kinda funny, but also because it's fun seeing him figure things out with Mordoc and Brutus after. i kinda wish we'd gotten to see all 3 of them work as a little team more often!
4. The whole bit from Noblesse oblige with Isabelle pretending she needs help with her dress asdfgk It's just good comedy! They barely know each other and Falconi is wildly baffled by the whole thing but also just. rolls with it? It's silly!! I just think it's nice!!
3. The short exchange he gets with Isabelle towards the end of that episode where she gets kidnapped. They have a normal conversation??? They're polite to each other??? He's even kinda nice to her?????? It brings up that sense of honor he shows sometimes too, and that's always a fave! A lot of this list could be his interactions w Isabelle tbh, bc it's fun how they play off each other most of the time.
2. That entire bit from the first episode where he spends a solid 5 minutes staring at le Lorrain before recognizing him and going full murder mode in the middle of a room full of people. Yes because it's funny, but also because up until that point we've only kinda seen him be cold and quiet; scheming with Chien Noir and then threatening Isaac. Here we get the first hint that this guy miiight have some anger issues and maybe a bit of backstory going on…
1. Not exactly a specific moment, but his entire dynamic with the Regent in the episode about Louis XIV's secret testament is A Big Fave!!! Their first scene where Falconi knows he fucked up and gets very clearly threatened for it (and the book tells us he's actually scared!)? Good stuff! The later one where they're both a bit bored waiting for the good guys and the Regent goes "we've all had a rough day, you want to fight one of these guys for funsies?" and just amusingly looks on while Falconi very visibly gets tricked into fighting the most competent person here??? ALSO good!! The Regent getting a perfect opportunity to kill Cartouche but NOT taking it because Falconi is getting threatened at the same time???? A++, 10/10, no notes
Top 5 moments but it's just Le Secret du Lorrain
5. Snarkily threatening Demachault over any potential operation fuckups in the opening scene and then immediately proceeding to ruin the whole thing himself bc he couldn't wait to commit murder
4. My boy almost getting murdered by a complete rando because he gave his word that he wouldn't destroy Monteiro's guys despite being perfectly able to, and le Lorrain saving him at the last second??? le Lorrain being genuinely happy to see him ??? a fave, very cute, 10/10
3. Le Lorrain apologizing, and that apology being met with a spiteful "Je n'ai que faire de tes regrets!" I think the book does a better job making the scene feel kinda quiet and solemn, but i just like that exchange? Le Lorrain making a last vague attempt to mend things and Falconi just furiously shutting him down. it's a fave!!!
2. "Je ne serai jamais une de vos marionnettes." "Êtes-vous réellement convaincu de ce que vous dites, mon ami? Sans moi, vous ne seriez qu'un mercenaire sans avenir, un homme sans idéal. Vous n'existez que par moi." LINES THAT GO HARD. LINES THAT MADE ME WANT TO GIVE THIS IDIOT A REDEMPTION ARC. IT'S GOOD STUFF
1. It GOTTA be the flashback. i mean i got a tattoo about it, so, y'know. But ironically, that one's more about, like, the ideas they put in there than the actual presentation, since it's so short and he's in it a surprisingly small amount, all things considered? But look at my boy. look at his little outfit. Look at his little love letter. The drama! The angst!! The duel!!! i've been going feral about it for many, many years.
#cartouche prince des faubourgs#i dont have screenshots for all of them bc the quality for some of these eps is Yikes...#they would need more editing than i'm willing to do right now asdfkg#long post
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La lettre J
Jack (Bon)
Homme fiable, toujours prêt à rendre service.
Jack (Grand)
Homme de grande taille.
Jambette
Croc-en-jambe
Jaquette
Chemise de nuit pour femme
Jarnigoine
Intelligence, débrouillardise
Jaser
Bavarder, causer avec quelqu’un
Jobine
Emploi précaire, sans avenir, qui nécessite peu de qualifications
Joualvert
Juron québécois qui exprime la colère ou un grand étonnement négatif.
Exemple: Ah ben joualvert! Qu’est-ce que t’as fais là?
Exemple: j’me suis fait couper en char, ça m’a mis en beau joualvert!
Expressions
J’ai déjà vu neiger
J’ai de l’expérience, je te vois venir. On ne me la fait pas à moi.
J’ai mon voyage!
Utilisée lorsqu’on en a assez de quelque chose, d’une situation. Peut aussi s’utiliser pour marquer un grand étonnement.
Exemple: J’ai mon voyage de toutes vos conneries!
Exemple: Ah ben j’ai mon voyage! Valerie a passé son BAC!
J’en ai plein mon casque
En avoir marre, être exaspéré.
youtube
Jamais dans cent ans!
Pas du tout, mais avec une impossibilité dans le temps. Autrement dit, c’est vraiment jamais jamais 🤣
Piquer une jasette
Faire un brin de causette
Jouer aux fesses
Avoir des rapports sexuels. A ne pas confondre avec:
Jouer fessier
Agir de façon très prudente, ne prendre aucun risque.
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Les étoiles de mer se déhanchaient sur le dance-floor.
Amélia ne savait pas ce qui l’énervait le plus : qu’elle trouve le concept d’une soirée déguisée autour de la faune aquatique ridicule, ou bien qu’elle n’ait pas pu trouver une idée de costume à temps. Résultat, elle faisait tâche. Gina, la reine du lycée, était éclatante dans sa robe bleue nuit aux paillettes scintillantes. Ses manches se transformaient en vaguelettes de tissus avec des dégradés de couleurs oscillant du bleu turquoise au doré. Jamais Amélia n’aurait pu penser qu’une méduse soit aussi sexy. Elle se mordit la lèvre. C’était la fatigue, ça ne pouvait être que ça. Gina l’avait toujours exaspérée. Mademoiselle la star était toujours là, à se mettre en avant, à rire de son rire cristallin en rejetant la tête en arrière, faisant voler ses boucles blondes. Elle était énervante, toujours trop, toujours là. Amélia ne pouvait passer une seconde de sa vie paisible de lycéenne sans que Gina ne vienne l’éblouir dans sa vision périphérique. Et cette année, elles avaient le malheur d’être dans la même classe de première. Ça lui tapait sur le système, elle ne pouvait pas lui échapper. Et ce soir, c’était le soir de trop.
Amélia avança jusqu’à la première table du buffet pour essayer de se changer les idées. Des cookies en étoile, des muffins avec des coquillages en sucre. Rien que du sucré, évidemment. Avec un thème autour de la mer, personne n’avait pensé à mettre à disposition un peu de salé ? Elle soupira, vaincue et se servit un verre de jus de raisin avant de se mettre en route vers le fond de la salle, à l’abri des regards plein de jugement de ses camarades. Alors qu’elle se demandait quelle mouche l’avait piquée de venir à cette fête et avant d’avoir pu regretter sa décision, elle percuta un danseur habillé en homard qui, visiblement, ne regardait pas où il mettait les pieds.
L’intégralité du contenu de son verre venait d’être dispersé sur le haut de sa petite robe blanche. Sa seule robe potable, qui avait déjà de la peine à la convaincre. Ruinée. Le homard, très embêté, n’eut même pas le temps de balbutier des excuses qu’elle s’élançait hors de la salle de sport reconvertie en dance-floor. Amélia couru dans les vestiaires des filles et se rua dans les toilettes, ne prenant même pas la peine de fermer le verrou de son cabinet.
Elle s’écroula par terre et se lâcha enfin.
Sa soirée était foutue, ruinée, pourrie. Elle était misérable, immonde. Elle n’avait même pas pu trouver quoi que ce soit qui lui allait et qui était dans ce stupide thème marin. Elle n’avait pas la classe de Gina. Elle n’était rien. Elle était juste une pauvre fille pathétique qui n’arrivait même pas à contenir ses larmes et maintenant elle allait être défigurée par les pleurs et la morve. Merde.
Amélia ne savait pas depuis combien de temps elle s’était abandonnée à ses sanglots, mais elle commençait à avoir mal à la tête. Elle s’arrêta pour reprendre son souffle et déglutir quand un timide Toc Toc se fit entendre à la porte des toilettes où elle s’était réfugiée.
“Amélia ? C’est toi ? Je t’ai vue partir de la salle et je te cherchais… Est ce que tout va bien ?” Gina, c’était Gina. Si Amélia avait pensé que la soirée ne pouvait pas être pire, elle s’était trompée. Qu’est ce qu’elle venait faire là ? La jeune femme avait toujours fait attention à ne jamais engager la conversation avec celle qu’elle redoutait. Pourquoi elle, pourquoi maintenant ? “L…laisse moi tranquille” hésita–t-elle en reniflant. “Non.” Amélia n’eut même pas le temps de répondre que Gina avait franchi la porte des WC et s’était agenouillée près d’elle. Beaucoup trop près. Amélia recula sa tête et baissa le regard, gênée.
“Si tu voulais être seule, il fallait fermer la porte, ou pleurer moins fort. Maintenant, qu’est ce qu’il se passe ? Tu es blessée, le garçon qui t’a percutée t’as dit quelque chose ? Tu veux que j’aille lui faire un croche patte ?” Amélia resta abasourdie. Elle s’était toujours imaginé que Gina n’attendait qu’une faute, un faux pas, pour se payer sa tête, l’humilier. C’était ce genre de fille… enfin du moins, Amélia le croyait. Elle ne sut pas quoi répondre et se contenta de secouer la tête. Gina souffla, rassurée et arracha plusieurs feuilles de papier toilette pour essuyer le visage d’Amélia. Cette dernière, rougissant, lui prit doucement des mains. “Je… je peux le faire moi même, t’embête pas”. Gina la regardait sans rien dire, un petit sourire gêné aux lèvres. Amélia tenta de se moucher discrètement pour dégager son nez mais c’était peine perdue. En entendant le bruit digne d’un éléphant, Gina laissa échapper un petit rire mélodieux. “C…C’est bon, te moque pas” lâcha Amélia, dépitée, mais Gina l’arrêta “Je ne me moque pas ! Tu devrais m’entendre quand je me mouche, c’est bien pire !”. Le nez rouge et les yeux humides, Amélia ne savait plus où se mettre, embêtée de ses réactions et de sa propre personne.
“Déso…” commença-t-elle avant de s’interrompre. Gina venait de prendre ses mains dans les siennes. Elle la regarda droit dans les yeux, et lui demanda avec douceur : “Qu’est ce qu’il se passe Amélia, dis moi tout...”.
Elle connaissait son nom. Amélia eut l’impression que son cœur s’était trompé dans son rythme. Elle était déjà rouge d’avoir pleuré, mais là elle devait battre des records de couleur. En tremblant, elle éloigna les mains de sa poitrine pour révéler à Gina l’ampleur des dégâts du jus de raisin sur le haut de sa robe. “Oh” lacha Gina “Quel dommage, elle t’allait vraiment bien.”Qu’est ce qu’elle était censée répondre à ça ?
- “Non…non, elle n’était même pas dans le thème de toute manière, j’ai cherché les embrouilles…
- Comment ça ? On s’en fiche du thème ! Tu t’habilles comme tu veux ! C’était si important que ça pour toi ?
- Je voulais pas faire tâche...”
Amélia s’arrêta. Gina baissa les yeux vers la grande tâche de jus de raisin sur son torse, puis releva la tête, contenant à peine un sourire malicieux. “Et bien, c’est raté on dirait.” Les deux jeunes filles éclatèrent de rire en même temps. Gina n’avait pas lâché ses mains. Sa peau était douce et réconfortante. “Tu ne vas pas rester éternellement ici, à hanter les toilettes, non ?” lui demanda-t-elle, pensive. “Si tu regrettes de ne pas être rentrée dans le thème alors… j’ai une idée !” Gina retira ses mains de celles d’Amélia et lui effleura le visage pour ramener une mèche de cheveux sauvage derrière ses oreilles. La jeune femme se releva d’un bond et épousseta sa magnifique robe bleue, puis tendit la main à Amélia pour l’aider à se relever, avant de la tirer hors des toilettes vers le miroir commun du vestiaire.
“Reste là et recoiffe toi un peu, je reviens tout de suite !” Lui annonça-t-elle d’une voix chantante en sortant en courant.
Amélia restait seule dans le vestiaire. Sans la présence de Gina, tout lui semblait vide, silencieux. Son cœur battait la chamade dans sa poitrine et elle avait chaud aux joues. Mais plus à cause des pleurs.
Alors qu’elle tentait de retrouver son flegme habituel, elle entendit Gina revenir en courant dans les vestiaires. La reine de la promo avait ramené son sac, qu’elle lança sur l’évier sans perdre une seconde. La jeune femme s’affaira en sortant une brosse à cheveux, un kit de maquillage et plusieurs écharpes de tissus chatoyant, aux reflets dorés.
-“Mais c’est… on dirait le tissu de tes manches.
- C’est le même genre ! J’en avais fait trop ! J’allais pas accrocher tout ça à mes manches alors je ne savais pas quoi en faire, je l’ai ramené avec moi ! Je me suis dit que ça pourrait servir et … ça va servir, allez viens par là !”
Entraînée par l'enthousiasme de Gina, Amélia la laissa faire et la regarda accrocher avec des épingles à nourrice les bras de méduse brillants aux manches de sa robe.
-”Il faut encore masquer les tâches… hmm. Ah ! Je sais, attends deux secondes !”
Gina s’écarta et souleva sa robe. Amélia détourna le regard, gênée, tout en se demandant ce qu’elle faisait.
-”J’ai un jupon jaune d’or, avec des paillettes ! Mais il ne sert à rien, il est caché sous la robe et les musiques ne sont pas assez… rythmées pour que je saute partout ! Il est un peu bouffant… alors si je le coupe ici… et que je l’attache là…
- N…n’abime pas tes vêtements pour moi !
- Ah, ne t’en fais pas, j’adore retoucher et bidouiller les fringues ! Je change toujours ce que je couds selon mes envies. Et j’aime le challenge !
- Je ne savais pas que tu cousais des vêtements…
- Oui, c’est une de mes passions, mais je n’ose pas forcément porter mes créations au lycée, elles sont parfois un peu fantaisistes !
- Tu as fait ta robe toi-même ?
- Hm hm !
- Je la trouve magnifique…” Souffla Amélia, en admiration devant l'œuvre et sa créatrice, pendant que Gina était entièrement concentrée sur la reconstruction de son jupon.
“Et… voilà ! Enfile ça par-dessus ta robe ! Et je l’attache en dessous des bras… parfait !”
Amélia était incrédule, en deux temps trois mouvements, Gina avait créé un haut de secours qui masquait le haut de sa robe blanche, et ajouté des pans de tissus pour l’habiller et lui donner du volume. Le tout était adorné de petites étoiles de mer en pins décoratifs, qui venaient habiller et soutenir sa tenue.
Elle aussi était devenue une méduse, tout en jaune d’or et paillettes.
Après avoir apposé la touche finale sur le visage d’Amélia avec du maquillage brillant doré et bleuté, Gina jubila :
-“On est accordées ! C’est génial ! Allez viens ! Avec un style pareil, tu as intérêt à venir danser avec moi !
- Je… je.. merci beaucoup, je ne sais pas comment te repayer ça je…
- Non, nonononon ! Tu ne me dois rien, c’était un plaisir de te rendre service et puis… ça fait longtemps que j’ai envie de te parler et de faire ta connaissance alors… C’est le homard que je dois remercier !
- C’est vrai ? Je suis désolée je ne pensais pas que…tu aurais envie de me connaître.” rougit Amélia.
-”Ah bon ? Pourquoi donc ! Tu avais vraiment l’air cool, je n’avais juste jamais trouvé la bonne occasion de t’aborder.
- Je n’ai pas été la plus accessible alors…désolée.
- Stop ! Arrête de t’excuser ! Tout le plaisir est pour moi ! Et puis… si tu veux vraiment me repayer… j’ai une idée ! Si tu aimes tant que ça mes créations vestimentaires… tu pourrais m’aider, j’ai justement besoin d’un modèle et …. tu… tu es une super source d’inspiration !” lui avoue Gina, en la regardant droit dans les yeux, un peu gênée.
-”C’est vrai ?” Amélia avait l’impression d’être légère comme une plume. Elle n’en revenait pas. Ce soir, toutes ses impressions sur Gina avaient éclaté en morceau, dispersées par le caractère enjoué et le magnifique sourire de la jeune fille.
-”Oui ! Allez viens danser, je cherche une méduse partenaire de danse, et vous êtes la plus jolie méduse de ces eaux !” Plaisanta la reine du lycée.
Elle attrapa sa main et l'entraîna dans la salle de danse, à son contact doux et chaud, Amélia espéra qu’elle ne la lâcherait plus jamais.
#short story#writing prompt#french#écriture#writting#prompt#short#romance#crush#prom#high school prom
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Je suis. Exaspérée. Vidée.
Avec pas mal de potes, on a clash avec le gars dont je n'ai plus envie d'avoir de liens (validiste et pense le wokisme 1er degré et pensent que c'est un choix qu'on soit tous devenus neuroatypiques et /ou lgbt...)
Je vais juste partager un seul screen.
Ça m'a mis en panique et colère pas possible. Heureusement que je ne conduisais pas, j'aurais tout lu en arrivant au airbnb et pas été bien devant ma belle mère et ses parents...
(Pour contexte, il a un ami qui bosse en clinique psychiatrique et semble dire de la merde + ne respecte pas les pronoms de ses patients trans en dehors du taf...)
Bref, avec quasi tous les potes on s'est insurgés. Une a pris ma défense et engueuler et IL TROUVAIT TOUJOURS DES CONNERIES À RÉPONDRE
On s'est créé un nouveau serveur discord sans lui, on s'est plainds, on s'est soutenus mutuellement et j'ai muté le serveur.
Je vais profiter à fond de mes vacances, dans une petite ville thermale au milieu des montagnes, manger du fromage auvergnat et randonner dans les forêts.
Je vais probablement limiter un max internet et les réseaux, sauf discuter avec les vrais amis, un peu me tenir au courant des mutus tumblr et jouer à PoKeMon Go
#jezatalks#c'était vraiment la goutte de trop#et il pense que l'autisme les catégories c'est lasperger+ hpi#ceux trop handicapés avec “tare mentale''#ou tout le reste qui se prétendent autistes pour excuser leur social exécrable et vivre des aides de l'état#il me saoule#je disais juste vouloir être reconnue handicapée pour être idéalement en contrat 80% voir temps partielle si embauchée en CDD/CDI#et legitimer le fait de demander a répéter les consignes plus de 5 fois
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Journées du Patrimoine. Piégé dans cette file d'attente — ma première erreur est déjà d'y avoir cédé, car toute file d'attente est à fuir — où j'ai du supporter pendant une heure les flots de bêtises de cette famille bien de notre temps. Femme qui porte la culotte, mari exaspérant, exaspéré de jouer un rôle qu'il ne supporte plus. La façon que ces parents débiles avaient de parler à leurs enfants, mon pauvre dieu... avec cette autorité malsaine, cette domination bête et méchante qu'ils exerçaient sur eux. "Ça dépendra de tes résultats" et toutes autres sortes de mesquines menaces qui leur rappelaient constamment leur statut d'enfant, donc de leur infériorité et illégitimité à vivre par eux-mêmes. Couple évidement malheureux qui, je suis sûr, faisait bien exprès de raconter leurs futurs vacances et prochaines activités et vie bien organisée et patati et patata et tout ça bien à haute voix et bien sûr l'air de rien. Cons qui se donnent un genre, qui sont terrifiés de mal faire. Et ils font mal, très, très mal. La mère : "C'est quoi que j'ai là ? Ha oui, ce que j'avais ramassé à Pompéi !... Étienne, c'était quel château en Irlande qu'on n'avait pas pu visiter la première fois qu'on y est allé ? Tu regardes pour la Bretagne en octobre ?"... Et toute sortes d'allusions bien ennuyeuses sur ce qu'ils ont fait, vont faire, ont oublié de faire, mais qu'ils feront très certainement la prochaine fois... Et leur organisation de comptable sur les cinq ans à venir à propos des prochaines sorties "pour les enfants". Haïssable, ennuyeux au possible. Une bonne famille de merde comme la France en compte par milliers, millions peut-être. Quel ennui, quel vide, quelle platitude. Ce sont des ventres, ils ne vivent pas. Ils vont voir les choses, bouffent, dépensent dans les souvenirs et reviennent. Leur temps libre, ils regardent ce qu'ils ont acheté, ils continuent d'aller voir les choses qu'ils ont ramenées... Des merdes. Ils leur manquent tout : l'intelligence de l'amour et l'amour de l'intelligence. À fuir.
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